CH551265A - Form zum herstellen von hohlkoerpern aus thermoplastischer folie. - Google Patents

Description

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 Machine à    graisser      les      tambours   de    barillet   de    pièces      d'horlogerie   On connaît des    machines   pour la    lubrification   de petites pièces constituées par des tambours rotatifs dans    lequels   les pièces sont agitées avec un lubrifiant sous forme de poudre, par exemple de la poudre de sulfure de molybdène. 



  Une autre machine a été proposée, présentant un support rotatif sur lequel sont fixées les pièces à lubrifier, ces pièces étant huilées sur leurs deux faces en passant à un certain point. 



  Pour le graissage des paliers d'horlogerie on a proposé d'utiliser une pompe de graissage délivrant une quantité déterminée d'huile, montée sur un support, les paliers à graisser étant amenés en    face   de la base de graissage au moyen d'un bras mécanique. 



  Ces machines ne permettent    cependant   pas de distribuer l'huile ou la matière lubrifiante en des endroits précis ou limités de la pièce à lubrifier, en particulier les tambours de barillet. 



  La présente invention a précisément pour objet une machine à graisser les tambours de barillet de pièces d'horlogerie, comprenant un bâti sur lequel est montée une pompe à graisse, pourvue d'un    dispositif   fixé    amoviblement   sur la pompe, pour distribuer la graisse d'une manière déterminée dans le tambour à graisser et des moyens pour amener les tambours à graisser en face dudit dispositif, caractérisé par le fait que le dispositif de distribution de la graisse est constitué par une buse cylindrique,    comprenant   un canal vertical débouchant dans un système de canaux de distribution, distribuant la graisse dans le tambour. 



  Le dessin annexé représente, à titre d'exemple, une forme d'exécution de l'objet de la présente invention. 



  La    fig.   1 représente une vue générale de la machine. La    fig.   2, une vue en coupe de la pompe à graisser. 



  La    fig.   3, une vue en plan du dispositif de distribution. 



  La    fig.   4 représente une vue en coupe du dispositif de la    fig.   3. 



  La machine    représentée   à la    fig.   1 se compose essentiellement d'un bâti 1, sur lequel est montée une pompe à graisse 2, les barillets à graisser étant disposés manuellement, ou automatiquement par des moyens non représentés, dans la glissière 3 en forme de U, dont la largeur correspond au diamètre extérieur des tambours de    barillet,   lesdits tambours glissant sous l'effet de leur propre poids pour venir se placer en face de la buse de la pompe à graisser. L'inclinaison de cette glissière 3 est constante. Un levier 5, pivoté en 6 sur le bâti, permet d'actionner une tige 7 articulée en 8 sur le levier, pour venir saisir lesdits tambours et les appliquer contre la buse de la pompe.

   L'extrémité inférieure de la tige 7 s'appuie sur un ressort de rappel qui, lorsqu'on relâche le levier 5, repousse la tige 7 et permet au dispositif de remonter. 



  La pompe représentée à la    fig.   2 est de construction classique. Elle comprend un corps cylindrique 9 fileté dans sa partie supérieure de manière à pouvoir y visser le couvercle 10 qui vient presser un cylindre inférieur 11 à    l'intérieur   duquel coulisse un piston 12 comprimé par un ressort hélicoïdal 13, de manière à comprimer constamment la graisse contenue dans la partie 14. Le piston 12 est traversé par un cylindre 15 fixé à la base de la pompe et dans lequel coulisse un piston de faible diamètre 16 fixé en sa partie supérieure à la tige de    commande   17, et retenu par le ressort hélicoïdal 18 disposé entre 

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 l'écrou de réglage 19 et le poussoir 20.

   Le cylindre 15 est muni d'un trou 21, par lequel la graisse pénètre dans le canal 22 de la douille 23, où elle est retenue par la bille 24, maintenue contre l'ouverture de ce canal par le ressort 25.    La   douille 23 se prolonge vers le bas par une    partie   cylindrique filetée 26, sur laquelle vient se visser la buse 30. 



  Le remplissage de la chambre 14 de la pompe    s'effectue   par la valve à bille 28 et le canal 29. La buse 30, représentée séparément aux    fig.   3 et 4, vient se visser à l'extrémité 26 de la pompe au moyen de la    partie   filetée 31. Cette buse est pourvue d'un piton cylindrique 32 pour le centrage du barillet 40, sur la buse. La buse 30 est traversée par un canal 33 qui communique avec neuf canaux radiaux 34, qui débouchent obliquement à proximité du fond du barillet 40. Les canaux 34    peuvent   naturellement être en nombre inférieur ou supérieur à neuf, suivant le nombre de points de graissage que l'on désire déposer dans le barillet. 



     Lorsqu'on   presse le poussoir 20 de la pompe, la graisse se trouvant en quantité déterminée dans le canal 22 entre l'ouverture 21 et la bille 24, est chassée dans la buse 30, où elle est répartie dans des canaux de distribution 34, puis expulsée dans le barillet. 



  Cette buse de graissage permet donc la distribution en des points bien déterminés du tambour de barillet d'une quantité déterminée de graisse. 



     Le   barillet une fois graissé, on relâche le poussoir 20 qui remonte sous l'effet du ressort 18.    Le   barillet, relativement léger, a tendance à rester collé à la buse 30. Il est donc nécessaire de prévoir un dispositif d'extraction constitué par la bague 35 coulissant sur l'extrémité 26 de la douille 23. Cette bague porte trois tiges d'extraction 36    coulissant   dans trois trous cylindriques 37 verticaux traversant la buse 30. La bague 35 est repoussée    contre   le haut, par trois    ressorts   hélicoïdaux coaxiaux aux tiges d'extraction 36. 



  Lorsqu'on relâche le levier 5,    celui-ci   remonte de lui-même sous l'effet des    ressorts   situés dans le bâti 1. Le levier 5 commande également un bras 39, qui s'abaisse lorsque le levier 5 remonte et qui vient repousser la bague 35 contre la buse 30. Les tiges d'extraction 36 viennent alors    pousser   le barillet et le décoller de la buse 30. Le barillet retombe dans la glissière 3 qui le délivre à un récipient collecteur non représenté. Le bras 39 est articulé sur une vis à portée 38 et vient entourer la douille 23 sur approximativement la    moitié   de sa circonférence. 



  Les opérations    successives      d'actionnement   de la pompe et du levier pourraient être exécutées automatiquement, par des moyens très simples, par exemple par un jeu de cames ou par air comprimé. 



  La position de la pompe par rapport à la glissière, c'est-à-dire au barillet, devant être très exacte, on prévoit de préférence un dispositif de centrage de la pompe à graisse.    Celui-ci   peut être    constitué   par un manchon cylindrique solidaire du bâti et entourant la pompe. Des vis réparties    radialement   sur le manchon aux sommets d'un triangle équilatéral permettront de centrer la pompe avec précision.

Claims (1)

1. REVENDICATION Machine à graisser les tambours de barillet de pièces d'horlogerie, comprenant un bâti sur lequel est montée une pompe à graisse, pourvue d'un dispositif. fixé amoviblement sur la pompe, pour distribuer la graisse d'une manière déterminée dans le tambour à graisser et des moyens pour amener les tambours à graisser en face dudit dispositif, caractérisé par le fait que le dispositif de distribution de la graisse est constitué par une buse cylindrique, comprenant un canal vertical débouchant dans un système de canaux de distribution, distribuant la graisse dans le tambour.

   Ecrits et images opposés en cours d'examen Exposé d'invention .suisse N 335 192