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Machine comptable Dans les machines comptables dotées de mécanismes d'espacement individuels pour deux documents, il peut arriver qu'un des deux documents parvienne à la position correspondant à la dernière ligne d'impression avant l'autre document, ce qui est dû au fait que ce dernier n'est pas toujours présenté pour recevoir les entrées au même moment que l'autre document.
L'invention a pour objet une machine comptable comportant des mécanismes d'impression susceptibles d'imprimer selon plusieurs colonnes sur chacun de deux documents introduits dans la machine et, pour chacun des documents, un dispositif d'espacement de lignes, caractérisée par un dispositif de contrôle d'impression qui est sous la dépendance d'organes palpeurs prévus pour chaque document, de façon telle que lorsqu'un de ces palpeurs détecte que le document correspondant est à sa dernière ligne d'impression, le dispositif de contrôle d'impression bloque le mécanisme d'impression pour l'autre document.
Le dessin annexé représente, à titre d'exemple une forme d'exécution de la machine faisant l'objet de l'invention.
La fig. 1 est une vue en perspective de la machine, montrant le clavier et les tables d'impression. La fig. 2 est une vue schématique de la disposition du clavier.
La fig. 3 est une vue détaillée montrant l'ossature essentielle de la machine.
La fig. 4 est une vue du côté droit de la machine, avec certains éléments du mécanisme d'embrayage du totalisateur.
La fig. 5 est une vue en élévation montrant le mécanisme permettant le déplacement du totalisateur addition-soustraction, ainsi que certains éléments des mécanismes différentiels de montants et de commande.
La fig. 6 est une vue, détaillée montrant une coupe passant par une rangée de montants du totalisateur addition-soustraction.
La fig. 7 est une vue en y plan montrant des éléments des deux arbres à cames de la machine et l'embrayage de commande de la machine, pour les opérations à un ou à deux cycles.
La fig. 8 est une coupe montrant une rangée de touches de montants et un différentiel de montants.
La fig. 9 est une vue détaillée du mécanisme de réarmage pour le mécanisme de report des dizaines.
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La fig. 10 est une vue détaillée des cames actionnant le différentiel de montants.
La fig. 11 est une vue détaillée et agrandie d'un mécanisme d'entraînement de montants. La fig. 12 est un tableau montrant les encoches des plaques de commande du mécanisme d'impression.
La fig. 13 est une coupe selon la troisième rangée des transactions.
La fig. 14 est une vue détaillée d'une partie du mécanisme d'entraînement pour les différentiels des transactions.
La fig. 15 est une vue détaillée d'une partie du mécanisme servant à l'entraînement du mécanisme de la fig. 14.
La fig. 16 est une vue détaillée d'une partie du mécanisme différentiel de manoauvre des commandes.
La fi-. 17 est une vue détaillée du mécanisme de commande de cycle.
La fi-. 18 est une vue détaillée du mécanisme d'embrayage destiné à la mise en marche de la machine.
La fig. 19 est une vue détaillée montrant le mécanisme d'embrayage pour la mise en marche de la machine.
La fig. 20 représente le schéma d'un circuit du moteur et des connexions électriques destinés au déverrouillage de la machine, après inscription d'un article sur la dernière ligne du livret, du compte, ou des deux.
La fig. 21 est une vue détaillée d'une détente de verrouillage pour les touches de la première rangée des transactions, dans une position soit abaissée soit relevée.
La fig. 22 est une vue détaillée d'une détente de rappel servant à déclencher en partie la machine au moyen de certaines touches de la première rangée des transactions.
La fia. 23 est une vue détaillée d'une détente pour déclencher la machine en enfonçant cer- taines touches de la première rangée des transactions.
La fig. 24 est une vue d'une détente servant à déclencher la machine en enfonçant certaines touches de la seconde rangée des transactions.
La fig. 25 représente une détente servant à déclencher la machine en enfonçant une touche quelconque de la troisième rangée.
La fig. 26 est une vue en plan des détentes en question et du mécanisme de déclenchement représentés aux fig. 22 à 25.
La fig. 27 est une vue détaillée d'un commutateur avec son bras de fonctionnement qui actionne les dispositifs de déclenchement de la machine pour déverrouiller la machine après l'impression sur la dernière ligne du livret, du compte, ou des deux.
La fig. 28 est une vue détaillée d'une barre de commande actionnée par une touche de la troisième rangée des transactions, servant à fermer l'interrupteur représenté à la fig. 27.
La fig. 29 est une vue détaillée d'une barre de commande actionnée par certaines touches de la première rangée, servant à fermer l'interrupteur représenté à la fig. 27.
La fig. 30 est une vue détaillée d'une barre de commande dans la troisième rangée des transactions, empêchant une pression fortuite de deux touches voisines de cette rangée.
La fig. 31 est une vue détaillée d'une détente servant à maintenir une touche enfoncée dans les rangées de transactions et représente une plaque de commande spéciale placée dans la seconde rangée des transactions.
La fig. 32 est une vue d'une détente de la première rangée, servant à commander le mécanisme de blocage de solde.
La fig. 33 est une vue détaillée d'une détente de commande de la seconde rangée de transactions.
La fig. 34 est un détail représentant la connexion nécessaire à maintenir une barre d'ac-
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couplement représentée à la fig. 40, dans sa position normale.
La fig. 35 est une vue détaillée d'une détente d'interverrouillage, placée dans la seconde rangée des transactions, et sous le contrôle de la détente de la première rangée, représentée à la fig. 32.
La fig. 36 est une vue détaillée d'une partie du mécanisme représenté à la fig. 41.
La fig. 37 est une vue détaillée d'une détente placée dans la seconde rangée des transactions, servant à verrouiller la touche de solde, soit dans sa position enfoncée, soit relevée.
La fig. 38 est une vue détaillée d'une partie du mécanisme servant à bloquer le déplacement des cliquets d'arrêt à zéro dans les rangées différentielles de montants quand la touche de total a été enfoncée.
La fig. 39 est une vue détaillée d'une détente souple de la seconde rangée des transactions, servant à maintenir certaines touches de commande dans leurs positions enfoncées.
La fig. 40 est une vue détaillée d'une glissière de commande dans la première rangée des transactions, constituant partie d'un inter- verrouillage entre les touches de total et les touches de montants.
La fig. 41 est une vue détaillée du mécanisme servant à empêcher l'enclenchement de la machine par les touches de total, quand des touches de montants sont enfoncées, et permettant la commande du mécanisme d'arrêt à zéro dans les rangées de montants lorsqu'une touche de total a été enfoncée.
La fig. 42 est une vue détaillée du mécanisme servant à empêcher le blocage de la machine après l'impression d'un article sur la dernière ligne d'un livret, d'un compte, ou des deux, pour permettre ainsi l'impression d'un solde ou d'un découvert sur la même ligne que celle où a été imprimé le dernier article ou pour permettre l'éjection du document. La fig. 43 est une vue en plan d'un groupe de plaques de commande, destiné à la commande de l'enclenchement, des totalisateurs arrière, avec les entraineurs.
La fig. 44 est une vue détaillée de la plaque de sélection sous la commande de la troisième rangée des transactions.
La fig. 45 est une vue de la plaque de sélection sous la commande de la seconde rangée. La fig. 46 est une vue détaillée du mécanisme d'embrayage des totalisateurs de la rangée arrière et englobant la plaque de sélection placée sous la commande de la première rangée.
La fig. 47 est une vue détaillée du mécanisme de commande de l'embrayage du totalisateur supérieur ou totalisateur addition-soustraction.
La fig. 48 est une vue détaillée d'une plaque de commande réglée par le mécanisme différentiel de la première rangée et destinée à la commande du mécanisme de la fig. 47.
La fi-. 49 est une vue détaillée d'une plaque de commande réglée par le mécanisme différentiel de la troisième rangée et destinée à la commande du mécanisme de la fig. 47.
La fig. 50 est une vue détaillée d'une plaque de commande réglée par le mécanisme différentiel de la seconde rangée et destinée à la commande du mécanisme de la fig. 47.
La fig. 51 est une vue détaillée des cames servant à basculer le mécanisme d'embrayage de la prise en total.
La fig. 52 est une vue détaillée du mécanisme de commande du mouvement du trident d'embrayage en total, avec les liaisons de transmission, de l'arbre de transmission principal à l'arbre à came d'impression.
La fig. 53 est une vue détaillée du mécanisme servant au fonctionnement du mécanisme d'embrayage du totalisateur pendant une addition.
La fig. 54 est une vue détaillée du mécanisme destiné à commander le temps au bout duquel les palpeurs de commande de l'embrayage
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pour le groupe arrière de totalisateurs effectuent les opérations de total.
La fig. 55 est une vue détaillée de la plaque de commande réglée par la première rangée de transactions, pour la commande de l'embrayage du groupe arrière de totalisateur.
La fig. 56 est une vue détaillée d'une partie du mécanisme d'embrayage pour ce groupe arrière.
La fig. 57 est une vue détaillée du mécanisme représenté à la fig. 56, mais dans une position différente, correspondant à l'embrayage du totalisateur.
La fig. 58 est une vue détaillée du mécanisme d'embrayage en addition et en total, pour les deux groupes de totalisateurs.
La fig. 59 est une vue détaillée d'une plaque de commande placée dans la première rangée de transactions et destinée à commander le décalage du totalisateur addition-soustraction.
La fig. 60 est une vue détaillée d'une plaque de commande placée dans la seconde rangée et destinée à commander le décalage de ce totalisateur.
La fig. 61 est une vue détaillée d'une plaque de commande placée dans la troisième rangée et destinée à commander ce décalage.
La fig. 62 est une vue détaillée du mécanisme de commande du décalage du totalisateur addition-soustraction.
La fig. 63 est une vue détaillée représentant le mécanisme destiné à faire entrer une unité fugitive dans l'ordre inférieur de valeurs du totalisateur addition-soustraction .
La fig. 64 est une vue détaillée de ce mécanisme actionné par l'ordre supérieur de valeurs du totalisateur à addition et soustraction.
La fig. 65 est une vue détaillée d'un dispositif de sûreté destiné à maintenir le totalisateur addition-soustraction en position convenable La fig. 66 est une vue détaillée d'interverrouillage positionné par le mécanisme d'u- nité fugitive, destiné à abaisser les touches appropriées correspondant au fonctionnement en solde, sous-solde et découvert, tel que cela s est fixé par la position positive ou négative du totalisateur addition-soustraction.
Les fig. 67A et 67B assemblées, constituent une vue en plan schématique de différentes plaques de commande destinées à commander ; les fonctions de la machine, et montrant les palpeurs qui mettent en contact certains d'entre eux dans des positions correspondant aux positions de commande.
Les fig. 68A et 68B, prises ensemble, constituent une élévation des transmissions venant des différentiels des montants et des transactions, représentent les transmissions destinées à positionner les caractères servant à l'impression dans les diverses colonnes du compte, du livret et du bordereau et représentent également des parties fragmentaires de chacun des dispositifs d'enregistrement afin d'indiquer celui des marteaux qui imprime dans les différentes colonnes des documents.
Les fig. 69A et 69B, prises ensemble, constituent une vue en plan montrant les différents marteaux d'impression, avec leurs mécanismes d'actionnement, ainsi que le mécanisme destiné à sélectionner les marteaux utilisés au cours de l'opération (les plaques de commande ont été omises en vue d'obtenir une figure plus claire).
La fig. 70 est une coupe, prise selon la ligne 70 de la fig. 69B, qui montre l'un des mécanismes de sélection et de mise en oeuvre des marteaux d'impression, ce qui est caractéristique de tous les mécanismes de sélection et de mise en oeuvre des marteaux d'impression destinés au livret et au compte.
La fig. 71 est une vue détaillée des paliers de l'arbre supportant la rotule du marteau d'impression.
La fig. 72 est une vue détaillée, prise selon la ligne 72 de la fig. 69B, qui représente le support élastique de l'arbre de la rotule entraînant le marteau d'impression.
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La fig. 73 est une vue détaillée de l'un des mécanismes d'actionnement du palpeur, avec la connexion destinée à commander le fonctionnement du marteau d'impression.
La fig. 74 est une vue détaillée du mécanisme destiné au fonctionnement et au contrôle de l'efficacité du rouleau tendeur.
La fig. 75 est une vue détaillée d'une partie du mécanisme palpeur destiné aux sections de la machine se rapportant au livret et au compte, un tel mécanisme étant prévu pour chacune des sections.
La fig. 76 est une vue en plan montrant les deux mécanismes de commande du rouleau tendeur, l'un d'entre eux étant destiné au livret et l'autre au compte.
La fig. 77 est une vue détaillée montrant l'un des mécanismes destinés à faire entrer et à éjecter le livret et le compte, avec une plaque de commande pour le contrôle de l'efficacité de ces mécanismes.
La fig. 78 est une vue en plan montrant la position des rouleaux d'alimentation et de tension; on prévoit un tel élément pour la section correspondant au livret et un autre pour la section correspondant au compte.
La fig. 79 est une vue détaillée d'une partie du mécanisme destiné au contrôle de l'efficacité de la biellette de commande de l'alimentation.
La fig. 80 est une vue détaillée du mécanisme destiné au contrôle de l'efficacité des cliquets d'entrée du livret et du compte, avec le disque de commande servant à déterminer l'efficacité du mécanisme.
La fig. 81 est une vue détaillée d'une partie du mécanisme de la fig. 80.
La fig. 82 est une vue détaillée d'une partie du mécanisme de la fig. 80, et représentant les pièces dans la position qu'elles occupent à la fin du fonctionnement d'alimentation.
La fig. 83 est une vue détaillée d'une partie du mécanisme destiné au contrôle de l'efficacité du mécanisme d'alimentation représenté à la fig. 77. La fig. 84 est une autre vue détaillée du mécanisme représenté à la fig. 82, qui figure le mécanisme avec le cliquet de retenue, dans sa position efficace.
La fig. 85 est une vue en plan montrant les mécanismes d'entrée du livret et du compte, avec les différentes commandes destinées au contrôle de leur efficacité.
La fig. 86 est une vue éclatée du mécanisme de la fig. 87.
La fig. 87 est une vue détaillée du mécanisme palpeur coopérant avec le livret pour bloquer le mécanisme de déclenchement, après que la dernière ligne a été sélectionnée pour recevoir une écriture.
La fig. 88 est une partie du mécanisme de la fig. 87 qui figure une liaison entre ce mécanisme et un mécanisme de transmission, destiné à commander le mécanisme d'impression et d'éjection lorsque la dernière ligne a été imprimée.
La fig. 89 est une vue détaillée d'une partie du mécanisme des fig. 86 et 88.
La fig. 90 est une vue détaillée d'une partie du mécanisme des fig. 86 et 87.
La fig. 91 est une vue détaillée d'une partie du mécanisme de transmission et d'une fraction des dispositifs de fonctionnement de celui-ci, dispositifs actionnés afin de déterminer la position du mécanisme de transmission lorsque la dernière ligne du compte a été imprimée.
La fig. 92 est une vue détaillée du mécanisme opératoire destiné à la ligne de transmission, pour effectuer les commandes du mécanisme d'impression et d'éjection lorsque la dernière ligne du compte a été imprimée.
La fig. 93 est une vue détaillée d'un autre élément de la ligne de transmission destiné. à la commande du mécanisme d'impression quand la dernière ligne du compte a été imprimée.
La fig. 94 est une vue détaillée d'une partie du mécanisme de transmission destiné à la
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commande des mécanismes d'impression et d'éjection lorsque la dernière ligne du livret a été imprimée.
La fig. 95 est une vue détaillée d'un autre élément de la ligne de transmission destiné à la commande des mécanismes d'impression et d'éjection lorsque la dernière ligne du livret a été imprimée.
La fig. 96 est une vue détaillée d'un autre élément du mécanisme de transmission destiné à la commande du mécanisme d'impression lorsque la dernière ligne du livret a été imprimée.
La fi-. 97 est une vue détaillée de la plaque de commande et du palpeur annexe, pour la commande du mécanisme d'impression lorsque la dernière ligne du compte a été imprimée.
La fig. 98 est une vue détaillée d'un autre élément de la ligne de transmission destiné à la commande du mécanisme d'impression lorsque la dernière ligne du livret a été imprimée.
La fig. 99 est une vue détaillée d'une partie du mécanisme de transmission destiné à la commande du mécanisme d'impression lorsque la dernière ligne du livret a été imprimée.
La fig. 100 est une vue détaillée de l'élément de commande, avec le palpeur correspondant, destiné à la commande du mécanisme d'impression lorsque la dernière ligne du livret a été imprimée.
La fig. 101 est une vue en plan du mécanisme destiné à bloquer le mécanisme de déclenchement lorsque la dernière ligne du livret a été imprimée, avec le mécanisme destiné à débloquer le mécanisme de déclenchement afin de permettre l'impression d'un solde ou d'un découvert sur la même ligne où figure le dernier article imprimé sur le livret ou le compte.
La fig. 102 est une vue détaillée d'une partie du mécanisme destiné à rétablir le mécanisme de déclenchement de la machine, après que celui-ci a été bloqué en raison de l'impression sur la dernière ligne du livret et du compte; la figure montre certains éléments destinés à débloquer le mécanisme de déclenchement afin de permettre l'impression d'un solde ou d'un découvert dans la colonne de solde sur la même ligne que le dernier article imprimé.
La fig. 103 est une vue détaillée du mécanisme destiné à bloquer le mécanisme de déclenchement après que la dernière ligne du livret ou du compte a été imprimée, avec les dispositifs nécessaires pour débloquer le mécanisme de déclenchement afin de permettre l'impression d'un solde ou d'un découvert dans la colonne de solde sur la même ligne que le dernier article imprimé.
La fig. 104 est une vue détaillée du mécanisme palpeur, coopérant avec le compte pour bloquer le mécanisme de déclenchement après que la dernière ligne a été sélectionnée pour recevoir un article.
La fig. 105 est un graphique indiquant comment sont encochées les plaques de contrôle, destinées à sélectionner les marteaux d'impression et les mécanismes d'alimentation de ladite machine.
La fig. 106 est un diagramme des temps donnant le temps de fonctionnement des différents mécanismes des parties essentielles de la machine.
La fig. 107 est un diagramme des temps donnant le temps de fonctionnement du mécanisme des parties de la machine se rapportant à l'impression.
La fig. 108 est un diagramme des temps donnant le fonctionnement de certains mécanismes pendant une opération à deux cycles.
Clavier: Comme le montrent les fig. 1 et 2, le clavier de la machine représentée comporte huit rangées de touches de montants 120 et de trois rangées de touches de transactions ou de commande: la rangée 1 ou la première rangée de touches 121 à 129; la rangée 2 ou la seconde rangée de touches 131 à 139; et la rangée 3 ou la troisième rangée de touches 141 à 149.
Les touches 121 à 125, 131 à 134, 138, et 141 à 149 sont motrices, c'est-à-dire qu'elles commandent la marche de la machine. Les
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touches 126 à 129, 135 à 137 et 139 ne sont pas motrices et doivent être utilisées en combinaison avec d'autres touches motrices. Dans l'angle droit inférieur du clavier se trouve la touche Rappel 150, qu'on utilise pour libérer les touches non motrices qui sont enfoncées, avant que la machine soit mise en marche. Les touches 126 à 129 sont munies de serrures individuelles 151, au moyen desquelles ces touches peuvent être bloquées et ne pas être enfoncées, si on le désire.
Les touches 126 à 129 sont des touches qui sont normalement enfoncées et qui restent dans cette position à la fin de l'opération de machine. Ces touches peuvent être rappelées par une pression sur une autre touche de la même rangée ou par un doigt 152 (fig. 2) saillant du clavier, à l'extrémité de la rangée de touches.
La touche 139 est une touche qui est normalement enfoncée et, une fois enfoncée, elle ne peut être libérée qu'au moyen d'un levier 153, représenté à la fig. 2 vers le haut du clavier.
Une serrure à glissière 154 est placée du côté gauche du clavier et destinée à la commande des différentes fonctions de la machine, comme il est "exposé dans la description du Brevet suisse NI' 288478.
On prévoit aussi un cadran 155 indiquant la date, qui peut être mis à jour au moyen d'un bouton moleté 156, selon l'usage, et destiné à positionner les caractères sur la ligne d'impression.
Bâti principal: La fig. 3 représente les bâtis principaux de la machine. Un flasque de gauche 160 et un flasque de droite 161 sont montés sur une base 162. Les parois intermédiaires 163 et 164 sont disposées entre les flasques 160 et 161; ces parois intermédiaires supportent les mécanismes d'impression du livret, du compte et de la bande de contrôle, et sont également fixées sur le socle 162. Une paroi auxiliaire 165 est fixée au flasque latéral de droite 161; cette paroi est munie des blocs 166, percés pour recevoir les vis provenant du bâti postérieur 167. Une autre paroi auxiliaire 168 est munie de blocs 169, taraudés pour recevoir les vis fixées au bâti 167.
Une troisième paroi auxiliaire 170 est munie de blocs 171, taraudés pour recevoir les vis fixées au bâti 167. Un goujon à épaulement 172 (fig. 8) est fixé sur chacun des côtés des parois 163 et 164 supportant le mécanisme d'impression et sur chacun des flasques latéraux 160 et 161, situés à gauche et à droite respectivement. On prévoit, vers l'avant de la machine, une série de six plaques auxiliaires 175 (fig. 2 et 8) destinées à supporter lb porte-caractères et le mécanisme de positionnement. Chaque paroi auxiliaire 175 possède une encoche à l'extrémité intérieure et située en arrière, encoche destinée à être posée sur le petit diamètre du goujon 172 lorsque le bloc porte-caractères, assemblé séparément, est monté dans la machine.
On prévoit une entretoise 176 (fig. 13) avec une série de six encoches, dans lesquelles est introduit le bord supérieur de chacune des parois 175. Après que le bloc porte-caractères a été assemblé à part, le bloc complet est placé dans la machine au moyen des encoches des parois auxiliaires 175 qui sont placées sur le petit diamètre des goujons 172 (fig. 8), en faisant glisser les bords supérieurs des parois 175 dans les encoches de l'entretoise 176, et en introduisant un arbre 177 (fig. 8 et 13) à travers la paroi de droite 161, toutes les parois auxiliaires 175, les parois 163 et 164 supportant le mécanisme d'impression, et finalement à travers le flasque de gauche 160.
Vers l'arrière de la machine, une barre transversale en forme de gorge est placée entre les flasques latéraux 160 et 161, et une autre paroi auxiliaire 179 est montée sur cette barre transversale 178. Une paroi auxiliaire supplémentaire est également montée sur la barre transversale 178 et les deux parois auxiliaires 179 et 180 sont fixées sur l'entretoise 176 au moyen des vis 181. Un arbre 182, décrit plus loin, est maintenu entre la paroi auxiliaire 180 et le flasque latéral de gauche 160. Un second arbre 183, est maintenu entre le flasque de droite 161 et la paroi auxiliaire 179, qui supporte certains mécanismes décrits plus loin.
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Mécanisme d'entraînement de la machine: La machine peut être entraînée par un moteur électrique ou au moyen d'une manivelle.
Le moteur repose sur la paroi auxiliaire 179 (fig. 3). L'arbre du moteur 190 (fig. 7, 13 et 18) est relié à une roue dentée 191 en prise avec une roue dentée 192, montée folle sur l'arbre à cames 193.
Un manchon d'embrayage 194 (fig. 7 et 18) est fixé à la roue dentée 192; un cliquet d'embrayage 195 est mis en prise avec le manchon lorsque la machine fonctionne. Le cliquet 195 est monté sur un disque 196, fixé à l'arbre 193, et peut pivoter autour d'un axe. Une roue dentée 197 (fig. 7, 13 et 18) est également fixée à l'arbre 193 et est en prise avec une roue dentée 198 fixée à une douille 199 (fig. 7 et 18), montée sur l'arbre à cames principal 200 (voir aussi fig. 17) autour duquel elle peut tourner. Une roue dentée 201 est également goupillée sur l'arbre 193 et est en prise avec une roue dentée 202 (fig. 7 et 13), fixée à une douille 203, montée sur l'arbre 200 autour, duquel elle peut tourner.
Deux paires de cames 204 sont fixées sur la douille 203, cames destinées à actionner les différentiels de la première et seconde rangée de commande; une paire de cames 204 est fixée sur la douille 199, cames destinées à actionner le différentiel de commande de la troisième rangée de commande. Les trois paires de cames 204 sont mises en mouvement simultanément lorsque l'arbre 193 est entraîné au moyen des roues dentées 197 et 201, en prise avec les roues dentées 198 et 202, respectivement. Ainsi, lorsque l'arbre 193 tourne, les douilles 199 et 203 peuvent entrer en rotation indépendamment de l'arbre 200. Un manchon d'embrayage 205 est également fixé sur la douille 199, et relie normalement celle-ci à l'arbre 200.
On a prévu un mécanisme, décrit ci-après, destiné à séparer la liaison entre la douille 199 et l'arbre 200 pendant les deux cycles de fonctionnement, de façon que les douilles 199 et 203 puissent tourner indépendamment de l'arbre 200 pendant le premier cycle d'une opération à deux cycles, et que l'embrayage commande la liaison entre les douilles 199 et 203 et l'arbre 200 pendant le second cycle d'une telle opération, commande qui est décrite ci-après.
Une roue dentée 206 (fig. 7 et 52) est aussi fixée sur l'arbre 200, roue qui est en prise avec une roue dentée 207 montée sur une douille 208, portant les cames destinées au fonctionnement de certains mécanismes de la machine; cette douille est montée de façon à pouvoir tourner sur un axe 209, porté par le flasque latéral de droite 161.
Si désiré, la machine peut fonctionner à l'aide d'un organe manuel tel qu'une manivelle 210 (fig. 4), montée folle sur un axe 211 du flasque de droite 161. Lorsqu'on désire faire fonctionner la machine au moyen de la manivelle, la poignée 210 est placée en bout de l'axe 211, pour la mettre en prise avec un moyeu 212 (fig. 7) tournant également sur l'axe 211. Un pignon 213 (fig. 4 et 7) est fixé sur le moyeu 212 et est en prise avec un autre pignon 214 qui, en tournant, est en prise avec un pignon 215, engrenant lui-même avec un pignon 216. Les pignons 214 et 215 tournent sur les axes portés par le flasque latéral de droite 161.
Le pignon 216 est fixé à un arbre 217 maintenu par une portée de ce flasque 161 et sur cet arbre est fixée une roue dentée 218 en prise avec la roue dentée 202.
La rotation de la poignée de la manivelle 210, par l'intermédiaire de la série de roues dentées que l'on vient d'énumérer, entraîne les roues dentées 210, 202, 197 et 198, et par suite les douilles 199 et 203 comme elles le sont par le moteur, par l'intermédiaire de la roue dentée 191. Lorsque la machine fonctionne au moyen de la poignée, le manchon d'embrayage 194 enclenche simplement le cliquet 195. Rangées de touches de montants: Chaque rangée de touches de montants comporte neuf touches 120 (fig. 1, 2 et 8).
Quatre organes de commande coopèrent avec chaque rangée de touches de montants, organes qui comportent une détente flexible 220, une plaque actionnant les butées d'arrêt à zéro 221, une détente de blocage 222 et une plaque d'interverrouillage 223. Ces divers organes
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constituent un dispositif destiné à empêcher le déclenchement de la machine au moyen d'une pression sur certaines touches de commande, après qu'une touche de montants a été enfoncée. La façon dont fonctionnent les quatre détentes 220 à 223 est exposée dans la description du Brevet suisse NI, 288478, déjà mentionné, et l'on pourra s'y référer pour une description détaillée de ces organes.
Mécanisme différentiel des montants: Une glissière d'un organe d'entraînement différentiel 250 est placée dessous chaque rangée de touches de montants 120 (fig. 8) dans une position intermédiaire entre les touches décalées et de façon à être commandée par celles-ci. Chaque glissière 250 est convenablement maintenue par les deux barres transversales 251 et 252, supportées par le bâti de la machine et pour pouvoir glisser sur ces barres. La glissière 250 est pourvue à son extrémité de huit saillies possédant des brides 255 coudées à angles droits, placées alternativement à droite et à gauche et alignées avec les tiges des touches 120. Les brides 255 sont placées sur la glissière 250 de façon à être commandées par les touches à chiffres de 1 à 8, respectivement.
La glissière 250 comporte, près de l'extrémité avant, une surface d'arrêt 256, qui s'engage dans la barre transversale 251 pour fixer la glissière 250 dans sa position 9 . Lorsqu'aucune touche n'est enfoncée, une bride 257 d'un cliquet d'arrêt à zéro 258, se déplace sur la trajectoire d'une bride 259 de la glissière 250, pour arrêter cette dernière bride dans la position de zéro, ce qui correspond à un déplacement d'un degré à partir de sa position propre. Ainsi les brides 255 et 257, avec la surface 256, fournissent un dispositif destiné à arrêter, où on le désire et à l'aide d'un différentiel, la glissière dans l'une quelconque des dix positions. Par conséquent, la glissière 250 peut occuper une quelconque des onze positions que constituent sa position propre et les dix positions de réglage.
La glissière 250 (fig. 11) est munie à l'extrémité arrière de dents en prise avec un secteur différentiel 266 tournant sur un arbre 267, maintenu par l'ossature de la machine. Au sec- teur 266 est fixé un support 268 pour l'entraîneur et sur ce support glissent deux crémaillères 269 et 270 montées de façon à pouvoir être embrayées avec les roues du totalisateur qui sera décrit plus loin.
Lorsque la machine est mise en marche par abaissement d'une touche de montants 120, la glissière 250 de l'organe d'entraînement se déplace d'une quantité proportionnelle à la valeur indiquée sur la touche de montants et, par l'intermédiaire des dents 265, fait basculer le segment 266, et le dispositif 268 qui supporte l'organe d'entraînement, d'une quantité identique. Ceci amène les crémaillères 269 et 270 de l'organe d'entraînement à une position correspondant à la valeur indiquée sur la touche enfoncée. Après que les organes d'entraînement ont été ainsi amenés dans cette position, un ou deux des totalisateurs sont embrayés avec ces organes, et la glissière 250 est ensuite remise dans sa position propre.
En revenant à la position propre; le segment 266 et les entraîneurs 269 et 270 tourrient dans le sens rétrograde d'un nombre de degrés correspondant à la valeur indiquée sur la touche enfoncée, faisant ainsi entrer le montant voulu dans le ou les totalisateurs embrayés. Une fois que le montant est entré dans le ou les totalisateurs, ceux-ci sont débrayés des organes d'entraînement.
Le réglage du mouvement de la glissière différentielle 250 est commandé par une barre principale, comportant une tige universelle 275 (fig. 8). Un ressort 276, dont une extrémité est fixée à la glissière 250 et l'autre extrémité à une plaque transversale 277, supportée par l'ossature de la machine, maintient normalement une embase 278 de la glissière différentielle 250 contre la tige universelle 275. La tige 275 est supportée par plusieurs bras 279 fixés à un arbre 280. Deux bras 281 solidaires des cames sont également fixés à l'arbre 280 chaque bras possédant deux galets 282 qui coopèrent avec une paire de cames 283 fixées sur l'arbre à cames principal 200.
Une paire de cames est placée près du flasque latéral de gauche 160 et l'autre près de la paroi 179 (fig. 3).
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Pendant le fonctionnement de la machine, les cames 283 tournent dans le sens dextrorsum (fig. 10) afin de faire basculer le bras 281 d'abord dans le sens dextrorsum puis dans le sens opposé, en vue de déplacer la tige universelle 275 d'abord vers la droite puis vers la gauche.
Lorsque la tige universelle 275 se déplace vers la droite, le ressort 276 entraîne la glissière différentielle 250 vers la droite jusqu'à ce qu'elle soit arrêtée par une bride 255, venant alors en contact avec une touche enfoncée marquée de 1 à 8, ou bien la portée 256 engage la barre transversale 251 dans la position 9 , ou bien le cliquet d'arrêt à zéro 258 arrête la glissière 250 dans la position zéro, après quoi la tige universelle 275 continue son déplacement vers l'arrière.
Vers la -fin du fonctionnement de la machine, lorsque la tige universelle 275 est ramenée à sa position d'origine par les cames 283, la tige universelle 275 relève la glissière différentielle 250 et la ramène à sa position de repos qui se trouve un degré plus loin que ,la position zéro, tendant à nouveau le ressort 276. Pendant ce mouvement de retour à la position de repos, la glissière différentielle 250 fait basculer, par l'intermédiaire des liaisons décrites précédemment, dans le sens rétrograde les crémaillères 269 et 270 de l'organe d'entraînement d'un nombre de degrés proportionnel à la valeur indiquée sur la touche enfoncée, faisant ainsi entrer les montants dans le ou les totalisateurs embrayés.
Le cliquet d'arrêt à zéro 258 est normalement déplacé de sa position active et est ramené à sa position inactive, d'une manière connue, lorsque la machine fonctionne sans qu'une touche de montants de la rangée de touches associées ait été enfoncée.
Totalisateurs: La machine telle qu'elle est représentée ici à titre d'exemple, comporte onze totalisateurs. Le nombre de totalisateurs, utilisés dans la machine du type exposé, dépend du genre de comptabilité pour lequel la machine est appliquée. Dans l'exemple, on prévoit un totalisateur de transaction pour chacune des touches de la troisième rangée (rangée 3). On prévoit un dixième totalisateur afin d'obtenir un total pour la touche Intérêt Livret de la rangée 2. Les dix totalisateurs de transaction sont -du type intercalés sur un même arbre, suivant la technique connue, et ne seront pas décrits en détail.
Le totalisateur addition-sous- traction est monté sur l'arbre supérieur de totalisateurs et comporte une paire de roues pour chaque dénomination, lesquelles sont reliées ensemble suivant une technique bien connue.
Les totalisateurs intercalés sur le groupe arrière de totalisateurs nécessitent un déplacement ou décalage axial destiné à la sélection du totalisateur voulu dans lequel les montants seront additionnés, ou le totalisateur dont on veut relever le total. Pour cette raison, on utilise un fonctionnement à deux cycles pour débrayer le totalisateur sélectionné du groupe arrière. On prévoit un mécanisme, qui est décrit ci-dessous, pour la commande automatique de la machine, en vue de son fonctionnement en total sur un cycle ou sur deux cycles.
Les dix totalisateurs de transaction intercalés, se composent des éléments 290 (fig. 8, 11, 56 et 57), montés de façon à pouvoir tourner sur un arbre totalisateur 291 qui repose dans des cavités pratiquées dans une paire de bras 292, placés près des parois 168 et 170 (fig. 3), dans lesquelles l'arbre est engagé et peut se déplacer. Les bras d'embrayage 292 (fig. 11, 56 et 57) sont montés librement sur un arbre de basculement 293, de façon à basculer autour de l'arbre. Chaque bras 292 est muni d'une gorge 294 (fig. 56 et 57) dans laquelle pénètre un galet 295 porté par un bras 296 monté sur un goujon 297, est engagé dans chaque rainure de came 294.
Chaque bras 296 est également muni d'un .goujon 298 pénétrant dans une rainure ouverte pratiquée sur chaque paire de bras 299 (voir aussi fig. 8) fixée sur l'arbre de basculement 293. Celui-ci est actionné, à chaque opération, suivant le réglage pour addition ou prise de total, de la façon qui est décrite ci-dessous.
L'arbre 291 est décalé vers son extrémité, suivant une manière connue, de telle façon que le totalisateur choisi soit aligné avec l'or-
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gane d'entraînement 270, avant que l'arbre 293 ait basculé.
Lorsque les roues du totalisateur 290 sont dans la position non embrayée, comme on l'a représenté à la fig. 56, un dispositif d'alignement 300, enclenché entre les dents des roues 290 empêche les roues du totalisateur de tourner. Le dispositif d'alignement 300 est assez long pour franchir tout le groupe de totalisateurs et se prolonge de la paroi 168 (fig. 3) à la paroi 170. Ce dispositif d'alignement a la forme d'un étrier comportant une traverse et deux bras 301 (fig. 56 et 57). Chacun des bras possède un goujon 302 qui pénètre dans une gorge de came 303 du bras d'enclenchement 299.
Lorsque l'arbre 293 bascule, les gorges 303, enserrant les goujons 302 des bras 301 du dispositif d'alignement, déclenchent le dispositif d'alignement des roues du totalisateur 290, et ensuite les roues du totalisateur viennent s'enclencher avec les dents 270 de l'organe d'entraînement. Totalisateur supérieur: Le totalisateur supérieur comporte une roue 305 d'addition et une roue 306 de soustraction (fig. 5, 6, 8, 11, 62, 63 et 64) pour chaque ordre de valeur. Les roues 305 et 306 sont munies de dents 308 (voir fig. 6) en prise avec un pignon 309 monté sur une goupille 310. Cette dernière fait saillie dans un arbre de support 307, sur lequel tournent les roues 305 et 306. Celles-ci sont maintenues dans une position convenable au moyen de deux bagues 311 et 312 goupillées sur l'arbre 307 par les goupilles 313.
Un manchon 314, monté avec du jeu entre les roues 305 et 306, maintient le pignon 309 sur la goupille 310, et en prise convenable avec les dents 308 des roues 305 et 306 du totalisateur.
La roue d'addition 305 est normalement alignée avec les entraîneurs 269 et, lorsque les roues du totalisateur sont embrayées avec ceux- ci, une addition est effectuée. Lorsqu'on enfonce une touche de l'une quelconque des trois rangées de commande, qui commande la réalisation d'une soustraction par la machine, un dispositif de commande fait déplacer la roue de soustraction 306 pour l'amener en face de l'entraîneur 269, de façon que, lorsque la machine fonctionne et que la roue 306 a basculé pour s'embrayer avec l'entraîneur 269, la roue d'addition 305 tourne en sens inverse grâce aux dents 308 de la roue de soustraction et au pignon 309.
La roue de soustraction 306 est amenée en face de l'entraîneur 269 au moyen du mécanisme suivant: Un manchon 320 est fixé à l'arbre de support 307 (fig. 5), manchon qui est fileté pour amener d'une façon précise par réglage micrométrique, les roues 305 et 306 en alignement convenable avec les entraîneurs 269. Un étrier 321 enfourche le manchon 320. L'étrier 321 est monté. de façon à pouvoir glisser sur deux axes 322 et 323 (voir aussi fig. 62) et ces axes sont maintenus par les flasques 161 et 168. Un galet 324, monté sur l'étrier 321, pénètre dans une rainure de came 325 à tambour 326, laquelle tourne sur un arbre 327 fixé dans les parois 161 et 168.
Un moyeu 328 relie la came à tambour 326 à une roue dentée 329 en prise avec un secteur 330 monté de façon à pouvoir tourner sur l'arbre 267. Le secteur 330 est relié à un levier coudé 331 au moyen d'une rotule comportant deux brides 332 et 333. Les brides 332 et 333 sont reliées par un goujon 334, qui pénètre dans une rainure de came 335 d'un levier 336 qui pivote autour d'un arbre 337. Le levier 336 est relié au bras de came 338 au moyen d'une bielle 339. Le bras de came 338 pivote autour d'un arbre 340 et porte deux galets 341 et 342 coopérant avec une paire de cames 343 fixées à l'arbre à cames 193 (voir aussi fig. 7).
Un cliquet de retenue 355, actionné par un ressort, est pourvu d'un goujon 352 qui repose sur une encoche de secteur 330, pour s'opposer à un déplacement fortuit du secteur en dehors de l'une des deux positions de réglage.
Lorsque les carnes 343 font basculer le bras 338 dans le sens senestrorsum (11g. 62), le levier 336 bascule dans le sens contraire pour ouvrir l'angle de la rotule 332-333: A ce moment, le secteur 330 est retenu par le cliquet de retenue 355 et par suite le levier coudé 331 bascule à vide dans le sens senestrorsum; il en résulte que le secteur n'actionne pas la came
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à tambour 326 et le totalisateur ne se place pas dans la position de soustrâction.
Vers la fin du fonctionnement de la machine les cames 343, en passant par le bras de came 338, la bride 339 et le levier 336, font basculer à nouveau la rotule, constituée par les brides 332 et 333, dans sa position normale, ramenant ainsi le levier coudé 331 à sa position normale.
Un galet 345 est monté sur le levier coudé 331 (fig. 62) et repose normalement sur l'extrémité supérieure du levier coudé 346, pivotant autour d'un goujon 347 et relié à un bras 348 par une bride 349. Le bras 348 est fixé à un arbre libérant l'embrayage 350, qui bascule dans le sens senestrorsum. (fig. 62) lorsque la machine est déclenchée pour une opération d'une façon exposée plus loin. Lorsque la machine fonctionne et que l'arbre 350 a basculé dans le sens senestrorsum, la bride 349 fait basculer le levier coudé 346 (fig. 62) dans le sens dexirorsum ce qui écarte l'extrémité supérieure du levier coudé 346 de sa position sous le galet 345.
Pour amener la roue soustractive 306 (fig. 62) du totalisateur en face de l'entraîneur 269, on prévoit un bras d'arrêt 351 pivotant autour d'un arbre 398 et basculant au-dessus du galet 345 du levier coudé 331, lorsqu'on enfonce certaines touches des rangées de commande. Dans le système donné à titre d'exemple, ce bras d'arrêt 351 est basculé dans la position qu'il occupe lorsque sont enfoncées les touches 123 et 124 de la rangée de commande, la touche 138 de la seconde rangée, ou les touches 143, 145 et 148 de la troisième rangée. Une plaque de commande 356 (fig. 59), portée pour pouvoir glisser par quatre galets 357, est montée près des touches de la première rangée de commande de façon à être actionnée par celles-ci.
Au voisinage de la touche Découvert 123 et la touche Soustraction 124, la plaque de commande 356 est pourvue d'arêtes-cames 358, de façon que, lorsqu'on enfonce l'une de ces deux touches, les goujons 579 portés par les touches agissent sur ces arêtes et déplacent la plaque de commande 356 vers la gauche (fig. 59). L'extrémité de droite de la plaque de contrôle 356 est pouvue d'un goujon 359 pénètrant dans une entaille d'un bras 360, qui pivote autour d'un goujon 361. La partie inférieure du bras 360 est bifurquée pour enserrer la barre d'un étrier 362, monté de façon à pouvoir pivoter sur le goujon 361. L'étrier 362 est muni d'un bras 363 (fig. 62) possédant un goujon 364 qui pénètre dans l'extrémité bifurquée du levier coudé 365.
Une biellette 366 relie le levier coudé 365 au bras de commande 351.
Lorsque l'une des touches 123 ou 124 est enfoncée et que la plaque de commande 356 (fig. 59) se déplace suivant le processus que l'on vient d'exposer, l'étrier 362 bascule et, au moyen du goujon 364, fait basculer le levier coudé 365 qui déplace, grâce à la biellette 366, le bras de commande 351 situé au-dessus du galet 345 du levier coudé 331. Lorsque la machine fonctionne en soustraction, avec le bras de commande 351 situé au-dessus du galet 345, le rappel du levier coudé 346, qui se fait de la façon exposée précédemment, libère le levier coudé 331 qui peut tourner dans le sens dextrorsum (fig. 62) pendant le fonctionnement de la machine.
Ce mouvement du levier coudé 331 est réalisé par les cames 345, au moyen de connexions comportant le bras de came 338, la biellette 339 et le levier 336 qui, en agissant sur le goujon 334 pour allonger la rotule constituée par les biellettes 332 et 333, font que le galet 345 vient contacter l'extrémité inférieure du bras d'arrêt 351. Lorsque ceci se produit la rotule fait tourner le secteur 330 (fig. 62) dans le sens dextrorsum, ce qui fait tourner la came à tambour 326 et déplace l'étrier 321 ainsi que l'arbre du totalisateur 307, qui amène les roues soustractives 306 en face des entraîneurs 269. Pendant le fonctionnement de la machine, les données composées sur le clavier entrent alors dans les roues de soustraction 306 qui, au moyen du pignon 309, font tourner la roue d'addition 305 en sens inverse.
Le bras d'arrêt 351 se déplace également au-dessus du galet 345 et provoque un déplacement du totalisateur addition-soustraction lorsque la touche 138 est enfoncée. Cette touche est pourvue d'un goujon 579 (fig. 60) qui pénètre dans une rainure-came de la plaque de
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commande 368 (fig. 60) située dans la seconde rangée de commande. La plaque de commande 368 est montée de façon à pouvoir glisser sur quatre goujons 369. Une arête came 370 pratiquée dans la plaque de commande 368, coopère avec le goujon 579 de la touche 138 et l'extrémité droite de la glissière est munie d'un goujon 371, enserré dans l'extrémité bifurquée d'un bras 372, monté également de façon à pouvoir pivoter sur le goujon 361.
Le bras 372 est bifurqué pour enserrer l'étrier 362, suivant la manière exposée au sujet du bras 360. Par suite, lorsque la touche 138 est enfoncée, l'étrier 362 bascule et déplace le bras d'arrêt 351 situé au-dessus du galet 345 du levier coudé 331 et provoque le déplacement de l'arbre 307 du totalisateur, pour amener les roues soustractives en face des entraîneurs 269.
Une plaque de commande 375 (fig. 61), montée de façon à pouvoir glisser sur les goujons 376 est placée dans la troisième rangée de commande. On prévoit des arêtes-cames 377 coopérant avec les goujons 579 des touches 143, 145 et 148 de la troisième rangée de commande, de façon que lorsqu'on enfonce l'une quelconque de ces touches, la plaque de commande 375 se déplace et fasse ainsi basculer un bras 378 par l'engagement d'un goujon 379 de la plaque de commande 375 avec l'extrémité supérieure bifurquée du bras 378. Celui-ci pivote autour du goujon 361 et est bifurqué pour enserrer l'étrier 362.
Lorsqu'on enfonce l'une quelconque des touches 143, 145 ou 148 et que la plaque 375 se déplace, le bras 378 bascule et fait pivoter l'étrier 362 et les bras 363, ce qui déplace le bras de commande 351 situé au-dessus du galet 345. Aussi, lorsque la machine fonctionne sur commande de l'une quelconque de ces trois touches, l'arbre du totalisateur 307 se déplace et amène les roues soustractives en face des entraîneurs 269.
Le fonctionnement de la machine commandé par l'une quelconque des touche 124, 138, 143, 145 ou 148, donnera lieu à une soustraction. Le fonctionnement de la machine déclenché par la touche 123 produit une opération de total comportant deux cycles opératoires. Pendant le premier de ces deux cycles, le bras 351, situé au-dessus du galet 345, entraîne le secteur 330 qui déplace l'arbre 307 du totalisateur addition- soustraction pour amener les roues soustractives en face des entraîneurs. Vers la fin du premier cycle, le levier coudé 346 n'est pas ramené à sa position normale et pour cette raison, vers la fin du premier cycle, lorsque le levier 336 bascule pour actionner les biel- lettes à rotule 332 et 333, le levier coudé 331 bascule à vide de bas en haut.
Cependant, vers la fin du second cycle, l'arbre 350 de rappel de l'embrayage est ramené à sa position normale, ramenant ainsi le levier coudé 346 sous le galet 345, après quoi la came 343 fait basculer le levier 336 pour ramener la rotule à sa position normale. A ce moment, le galet 345 est coincé entre l'extrémité supérieure de bras 346 et l'extrémité inférieure du bras de commande 351, ce qui fait revenir le segment 330 à sa position de repos, et par l'intermédiaire du tambour- came 326 ramène l'arbre du totalisateur 307 à sa position de repos, pour laquelle les roues d'addition sont de nouveau alignées avec les entraîneurs 269.
On décrira ultérieurement les temps de fonctionnement de l'embrayage de la roue du totalisateur et des entraîneurs 269 en considérant les opérations d'addition et de soustraction, et une opération de total.
Mécanisme de report des dizaines: Chacun des groupes de totalisateurs comporte un mécanisme de report de dizaines connu. Comme les mécanismes de report des deux groupes sont identiques, on ne décrira brièvement ici que celui qui est associé au groupe arrière de totalisateurs.
En plus du mécanisme de report, le totalisateur addition-soustraction est muni d'un mécanisme d'unité fugitive que l'on décrira ultérieurement, destiné à faire entrer une unité dans la roue du totalisateur de l'ordre le plus faible lorsque la roue de l'ordre le plus élevé passe par zéro dans n'importe quel sens.
Le report des dizaines dans la roue de l'ordre supérieur suivant s'effectue en laissant la crémaillère d'entraînement 270 (fig. 11) se déplacer d'un cran de plus que n'imposerait la com-
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mande des touches de montant. Ce déplacement supplémentaire d'un cran s'effectue par rapport à la plaque 268 sur laquelle la crémaillère est montée. La crémaillère 270 est munie de deux goujons 385 et 386 qui pénètrent respectivement dans des fentes 387 et 388 percées dans la plaque différentielle 268. Un ressort 389, fixé à une extrémité de la crémaillère 270, tend à la déplacer dans le sens senestrorsum comme le représente la fig. 11.
Lorsque la plaque 268 se trouve en position de repos, c'est-à-dire en fin d'opération, un goujon 390 fixé à l'entraîneur 270 s'appuie contre l'extrémité avant d'un levier 391. Lorsqu'elle se trouve dans cette position, l'entraîneur 270 est en position de repos; ; c'est-à-dire qu'aucun report ne peut s'effectuer. Lorsque l'on doit effectuer un report, on fait basculer le levier 391 dans le sens dextror- sum (fig. 11) de façon à écarter son extrémité libre du trajet du goujon 390, ce qui permet à l'entraîneur 270 de se déplacer d'un cran de plus, pour ajouter ainsi une unité à l'élément du totalisateur avec lequel il est embrayé.
Sur la fig. 11, on a représenté cet état par rapport à la crémaillère 270 du groupe arrière et l'on a représenté l'état sans report pour l'entraîneur 269.
Les bras 391 sont articulés sur une tige 392 portée par plusieurs supports 293, un support 393 étant destiné à chaque élément du totalisateur. Un ressort 394, dont une extrémité est fixée à l'extrémité libre du bras 391 et l'autre est fixée à une tige 395, portée par tous les supports 393, maintient normalement un rebord 396, qui constitue une bride entre le levier 391 et un levier 397, en contact avec un bord d'un étrier 399 porté par une tige 400 également supportée par les organes 393. L'extrémité libre du bras 391 se trouve sur le trajet du goujon 390 fixé sur l'entraîneur 269 lorsque le bord 396 vient au contact de l'étrier 399.
Un bras 399 est muni d'un rebord 421 saillant sur le trajet d'une longue dent de la roue totalisatrice 290 lorsque le totalisateur se trouve embrayé. L'étrier est tiré dans le sens dextrorsum par un ressort 422 tendu entre un bras de l'étrier et la tige 395 de façon à maintenir l'extrémité 423 d'un bras de l'étrier 399, contre la tige 392. Lorsque la roue totalisatrice 290 est embrayée avec l'entraîneur 270 et que celle-ci en se déplaçant dans le sens senestrorsum (fig. 11), fait tourner la roue totalisatrice 290 de sa position 9 à sa position 0, la longue dent de la roue 290 contacte le rebord 421 et fait basculer l'étrier 399 dans le sens senestrorsum sous l'action du ressort 422.
Ce mouvement écarte l'étrier 399 du rebord 396 et permet au ressort 394 de faire basculer le bras 391 dans le sens dex- trorsum hors du trajet du goujon 390 fixé à l'entraîneur 270 de l'ordre supérieur suivant. A ce moment, lorsque la plaque 268 de l'ordre supérieur suivant entraîne l'entraîneur 270 correspondant jusqu'à sa position de repos, celle-ci se déplace d'un cran de plus pour enregistrer une unité dans l'ordre supérieur suivant dont on a parlé précédemment.
Dès que les montants, y compris les reports de dizaines, ont été enregistrés dans le totalisateur, les roues du totalisateur sont débrayées, puis tous les bras de report qui s'étaient déclenchés sont ramenés à leur position de repos avec les entraîneurs 269 et 270.
On a représenté sur la fig. 9 la position de repos du mécanisme de rappel, tandis que la fig. 11 montre la position dans laquelle il se trouve au moment du report des dizaines.
Ce dispositif destiné à rappeler le mécanisme de report et les entraîneurs comprend un plateau à bras multiples 450 (fig. 9), fixé à l'axe 267, un plateau 450 étant destiné à chaque ordre particulier. Tous les plateaux 450 sont goupillés sur l'axe 267, avec un bras 451, sur lequel est articulée l'extrémité supérieure d'une biellette 452. L'extrémité inférieure de la biel- lette 452 est articulée à un bras 453, relié lui- même à un goujon 454, porté par la paroi latérale gauche 160. Le bras 453 est muni de deux galets 455 coopérant avec deux cames 456.
Au début du fonctionnement de la machine les carnes 456 font légèrement basculer le bras 453 dans le sens senestrorsum (fig. 9), ce qui soulève la biellette 452 et fait basculer les pla- traux à bras multiples 450 dans le sens senes- trorsum jusqu'à la position représentée à la fig. 11. Lorsque les plateaux 450 se trouvent dans cette position, les reports de dizaines
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peuvent s'effectuer librement dans les roues totalisatrices.
Lorsque les sommes sont enregistrées dans les roues totalisatrices et lorsque les reports de dizaines convenables ont été effectués, le totalisateur est débrayé et aussitôt après, la came 456 fait basculer le levier 453 dans le sens dextrorsum (fig. 9 ef 11). L'arbre 267 tourne alors dans le sens dextrorsum et fait basculer les plateaux à bras multiples 450, dans le même sens, ce qui engage un levier 457, fixé à chacun des plateaux 450, dans les goujons 390 des entraîneurs 269 et 270, respectivement, et les ramène dans leur position non déclenchée. Un deuxième levier 458 appartenant à chaque pièce à bras multiples 450 coopère avec un goujon 459 fixé aux leviers de report 391 et les ramène à leur position de repos.
A ce moment, les étriers 399 sont également ramenés à leur position de repos par les ressorts 422, de façon à maintenir le levier de report 391 en position de repos. Lorsque tous les cliquets de report enclenchés sont revenus au repos, et presque à la fin d'un cycle de fonctionnement de la machine. les cames 456 font de nouveau basculer le levier 453 dans le sens senestrorsum (fig. 9), ce qui fait basculer l'arbre 267, et place les plateaux à prolongements multiples 450 dans la position représentée à la fig. 9. Mécanisme d'unité fugitive: On utilise un tel mécanisme dans le tota= lisateur addition-soustraction pour permettre d'imprimer des totaux négatifs.
Ce mécanisme comprend un dispositif destiné à enregistrer un 1 dans l'ordre des unités du totalisateur lorsque la roue de l'ordre le plus élevé passe par zéro soit dans le sens de l'addition soit dans celui de la soustraction.
L'ordre le plus élevé du totalisateur comporte un mécanisme d'enclenchement de report analogue à celui qui est utilisé entre les ordres dénominaux inférieurs. La longue dent de chacune des roues du totalisateur 305 ou 306 déclenche l'étrier de report 399, ce qui laisse retomber le bras 397 et relâche le levier d'arrêt 391 exactement comme on l'a décrit plus haut à propos de l'ordre inférieur. Lorsque le levier d'arrêt 391a basculé dans le sens dextrorsum (fig. 64), il s'écarte du trajet d'un goujon 5101 porté par un levier 511, articulé sur l'axe 267.
Le levier 511 est relié, par l'intermédiaire d'une biellette 513,à un levier 512 articulé sur le goujon 454, et est muni d'un prolongement inférieur 514 sur lequel est placé un galet 515 maintenu normalement au contact d'une came 516 fixée à l'arbre à cames principal 200, sous l'action d'un ressort 522, ce dernier maintenant également la biellette 513 et le levier 511 dans la position représentée à la -fig. 64.
Un levier 519, pivotant sur un arbre 398, est bifurqué pour enserrer un goujon 520 fixé sur un levier opératoire 521. Ce dernier est muni de deux arêtes actives 523 et 524. Lorsque le solde du totalisateur est positif, l'arête 523 s'aligne avec un goujon 525 fixé sur un levier de positionnement 526. Lorsque le solde du totalisateur est négatif, c'est l'arête 524 qui s'aligne avec un goujon 527 fixé au levier de positionnement 526.
Le levier de positionnement 526 est représenté dans la position positive et si le levier 511 fonctionne à ce moment, l'arête 523 se déplace vers l'avant et vers l'arrière sans produire aucun effet. Si la pièce de positionnement 526 se trouve en position négative, le goujon 525 se trouve en contact avec l'arête 523 et par conséquent le mouvement senestrorsum du levier de déclenchement 521 fait glisser la pièce de positionnement 526 de sa position négative à sa position positive.
Le levier opératoire 521 est déplacé jusqu'à sa nouvelle position pour laquelle l'arête 524 est alignée avec le goujon 527 de la pièce de réglage 526 lorsque le totalisateur effectue des soustractions.
Un bloc 528 est fixé à l'axe 307 (se reporter également à la fig. 5). La position du bloc 528 par rapport aux roues totalisatrices est telle que ce bloc 528 se trouve hors du trajet du bras 519 lorsque le totalisateur se trouve en position d'addition. Cependant lorsque le totalisateur est décalé vers la gauche (fig. 5) de façon à aligner les roues soustractives 306 avec l'entraîneur 269, le bloc 528 se déplace sur la surface 529 du bras 519. Lorsqu'il se trouve dans cette position et que le totalisateur est embrayé
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avec les entraîneurs 269,1e bloc 528 engrenant la surface 529, fait basculer le bras 519 dans le sens senestrorsum (fig. 64).
Ce dernier mouvement du bras 519 a pour effet, par l'intermédiaire de son extrémité fourchue enserrant le goujon 520 ,de soulever le levier opératoire 521, et place l'arête active 524 en position de fonctionnement par rapport au goujon 527. Ensuite, lorsque la longue dent de la roue 306 passe par zéro, et lorsque le levier d'arrêt 391 s'abaisse pour libérer le goujon 510, le bras 511 reste au repos pendant le cycle de fonctionnement de la machine.
La came 516 est munie d'un bloc 530 destiné à libérer la came 512 lorsqu'une surface 509 qui en fait partie s'écarte du bloc 530, ce qui fait retomber le bras 514 sous l'action du ressort 522, soulève la bielle 513 et fait basculer le bras 511 dans le sens senestrorsum (fig. 64). Ce mouvement du bras 511 fait basculer, par l'intermédiaire du goujon 520, le levier opératoire 521 dans le sens senestrorsum (fig. 64) autour de l'arbre 267 et, à ce moment, l'arête 524 agit sur le goujon 527 et fait basculer la pièce de positionnement 526 dans le sens dextrorsum.
La pièce de positionnement 526 est fixée à un arbre 531, auquel est fixé un levier 532 (fig. 63) placé dans la rangée des unités des touches de montant. Le levier 532 est, bifurqué pour entourer un goujon 533 fixé à un levier de déclenchement 534. Ce dernier est muni d'un prolongement 535 à double action de carne, coopérant avec un goujon 536 fixé sur un levier de déclenchement 537, articulé sur la tige 392. Le levier de déclenchement 537 est muni d'un goujon 538, entourant un doigt 539 fixé sur un levier de déclenchement de report 540 du mécanisme de report de l'ordre des unités.
Le levier de déclenchement 540 est analogue à l'étrier de déclenchement 399 et comporte un rebord en prise avec un bord 396 de la pièce de déclenchement 397, identique à celle du mécanisme de report déjà décrit.
Lorsque l'arbre 531 bascule par suite du déplacement de l'élément totalisateur de l'ordre le plus élevé passant de 9 à 0 , le levier 532 fait basculer le bras de déclenchement 534 dans le sens senestrorsum (fig. 63), ce qui, par l'intermédiaire de la double came 535, déplace le goujon 536 vers le haut et fait basculer le levier de déclenchement 537 dans le sens senestrorsum. Ceci a pour effet de faire basculer, par l'intermédiaire du goujon 538, le bras de déclenchement 540 et de ramener au repos le levier d'arrêt 391, pour ainsi libérer le goujon 390 du mécanisme différentiel des unités et enregistrer 1 dans l'ordre des unités du totalisateur.
Si le totalisateur passe de nouveau par zéro dans le sens négatif, lorsque le levier d'arrêt 391 a basculé et laissé retomber le bras 511 jusqu'à ce qu'il ait déclenché la came 530 et fait basculer le levier opératoire 521, aucun 1 supplémentaire n'est introduit dans l'ordre des unités, étant donné que la pièce de positionnement 526 se trouve déjà en position écartée ou position négative.
Cependant, si la roue du totalisateur passait de l'état négatif à l'état positif, ce qui proviendrait du fait qu'une roue de l'ordre le plus élevé passerait par zéro dans le sens de l'addition, lorsque le totalisateur se trouve en position d'addition, la pièce 528 ne se trouverait pas sur l'arête 529 du bras 519 et, par conséquent, lorsque le totalisateur est embrayé avec l'entraîneur alors que ledit totalisateur se trouve en position positive, le bras 519 ne bascule pas. Par conséquent, l'arête active 523 reste dans la position représentée à la fig. 64.
Si le totalisateur se trouve en position négative, le goujon 525 est alors entraîné par l'arête 523 et, par conséquent, lorsque la pièce 530 laisse retomber le bras 514 et fait basculer la biellette 513 et le levier 511 dans le sens senestrorsum, l'arête active 523, entraînant le goujon 525, fait basculer le levier 526 de sa position négative à sa position positive, comme le représente la fig. 64.
Lorsque le bras 511 a été actionné par le ressort 522, la came 516 ramène les différentes parties à leur position de repos par contact avec le galet 515 qui fait basculer le bras 514 contre l'action du ressort 522, abaisse la biellette 513 et ramène au repos le bras 511 avec le levier de déclenchement 521.
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Verrouillage de la touche Découvert et des touches Solde et Sous-total solde :
Dans la première rangée de touches de transactions est prévu un système d'inter- verrouillage afin d'empêcher l'enfoncement de la touche de découvert 123 lorsque le totalisateur se trouve à l'état positif et empêcher l'enfoncement des touches de Solde et de Sous- Solde 121 et 122, respectivement, lorsque le totalisateur se trouve dans un état négatif.
L'arbre 531 (fig. 5 et 66) est muni d'un bras 541 relié à une équerre 543 par une biellette 542. L'équerre 543 est articulée sur l'axe 327 et est divisée en deux parties de façon à enserrer un goujon fixé à un levier coudé 544. Ce dernier est articulé sur un axe 545 et une biellette 546 relie l'équerre 544 à une glissière 547 comportant une rainure lui permettant de glisser sur deux goujons 548 fixés sur la plaque de fond 549 du clavier. La glissière 547 est munie d'encoches 550 destinées à coopérer avec les goujons 579 des touches 121, 122 et 123.
Lorsque l'arbre 531 se trouve en position positive, les encoches 550, coopérant avec les goujons 579 des touches de Solde 121 et de Sous-Solde 122, sont placées de façon à permettre leur enfoncement. Lorsqu'elle se trouve dans cette position, l'encoche 550 travaillant avec le goujon 579 de la touche Découvert 123, empêche l'enfoncement de cette dernière. Cependant lorsque l'axe 531 bascule dans le sens dextrorsum (fig. 66) par suite du fait que le totalisateur passe d'un état positif à un état négatif, la biellette 542, les leviers coudés 543 et 544 et la bielle 546 font glisser la glissière 547 vers la droite (fig. 66) ce qui verrouille la touche de Solde 121 et la touche de Sous-Solde 122 et fait passer l'encoche 550 au-dessous du goujon 579 de la touche de Découvert 123.
Par conséquent, lorsque le totalisateur se trouve dans un état négatif, les touches 122 et 123 sont verrouillées et ne peuvent s'enfoncer, tandis que l'on peut enfoncer la touche de Découvert.
Support du châssis totalisateur: On a remarqué que, dans certaines conditions, lorsqu'on ajoutait des sommes dans le totalisateur, ce dernier par suite de sa portée importante avait tendance à plier. Pour éviter cet inconvénient, on a fixé un hauban 555 (fig. 65) sur une tige 556, et on a muni son extrémité supérieure d'une came 557 travaillant avec un galet 558 fixé sur un levier 559 faisant partie du châssis du totalisateur.
La came 557 a une forme telle que lorsque le totalisateur bascule et embraye avec les entraîneurs comme le représente la fig. 65, un levier en deux parties 560 fixé sur l'arbre de basculement 398, engrène un goujon 561 du levier 555, fait basculer la came 557 et l'embraye avec le galet 558, ce qui soutient l'ensemble totalisateur.
Mise en place des dispositifs d'impression des montants: Afin d'imprimer les montants enregistrés sur une carte de compte, sur un livret et sur une bande de contrôle, on a utilisé un certain nombre de roues imprimeuses 465 (fig. 8, 68A et 68B) montées sur des arbres 463 portés entre les paires de plaques 175.
Ainsi qu'on l'a représenté, la carte de compte est conçue pour recevoir les montants dans quatre colonnes différentes et on utilise par conséquent quatre ensembles de roues imprimeuses 465 dans la section d'impression prévue pour la carte. Ces quatre colonnes sont représentées à la fig. 68A avec les en-iêtes Retrait , Intérêt dépôt , Solde et Ancien Solde . Une cinquième colonne permet d'inscrire les dates et un libellé.
Le livret est conçu de façon à recevoir les montants dans trois colonnes et on doit par conséquent utiliser trois groupes de roues im- primeuses 465 pour la partie réservée à l'impression du livret. Ces colonnes sont semblables aux colonnes de la carte, sauf qu'il n'y a pas de colonne Ancien Solde .
Il n'y a qu'une seule colonne de données imprimée sur la bande de contrôle et par conséquent un seul ensemble de roues imprimeuses 465 suffit pour imprimer sur cette bande. Les fig. 68A et 68B représentent les vues de profil des différents groupes de roues imprimeuses 465.
Chaque roue ou molette 465 est positionnée suivant la somme à enregistrer dans le totalisa-
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teur, à l'aide du mécanisme différentiel de montant. Ce mécanisme différentiel commande la position d'une glissière 466 (fig. 8) munie d'encoches de façon à pouvoir être portée par les barres transversales 251 et 252. Cette glissière est réglée au cours de chaque opération de façon à représenter le montant à enregistrer dans le totalisateur et elle reste dans cette position jusqu'à ce qu'on lui attribue une nouvelle position au cours de la première opération suivante.
Au cours de chaque opération, lorsque la tige principale 275 bascule dans le sens dex- trorsum (fig. 8) autour de l'arbre 280 et libère les pièces différentielles 250, la tige principale 275 vient contacter une arête 467 de la glissière 466 et la déplace vers la droite jusqu'à une position que l'on désignera dans ce qui suit par position éliminée ; c'est-à-dire la position que la glissière 466 occupe lorsque la roue imprimeuse 465 se trouve dans la position d'élimination du zéro, position pour laquelle il y a un blanc à l'endroit de la roue imprimeuse correspondant à la ligne d'écriture.
Une fois que l'on a ajusté la glissière différentielle 250 à l'aide de la commande des touches à montants 120 ou de cliquet d'arrêt de zéro 258, suivant la méthode indiquée plus haut, et une fois que l'on a placé la glissière 466 dans sa position éliminée, les deux glissières sont couplées à l'aide - d'un bras de couplage 468 articulé sur la glissière 466 au moyen d'un goujon 469, et muni de deux dents de couplage 470. Ces dents sont en prise avec les dents placées sur les bords inférieurs de la glissière différentielle 250. Normalement, les dents 470 sont ainsi en prise, mais avant que la tige principale 275 ne se déplace, les dents 470 se libèrent de la glissière différentielle 250, de sorte que ces glissières peuvent être déplacées indépendamment l'une de l'autre.
Une fois que les glissières 466 et 250 ont atteint leurs nouvelles positions, le bras de couplage 468 bascule de nouveau dans le sens senestrorsum et couple ensemble les deux glissières, après quoi la tige principale 275 bascule dans le sens senestrorsum (fig. 8) pour, à ce moment-là, faire passer la glissière différentielle 250 de la position dans laquelle elle se trouvait à sa position de repos. Pendant ce mouvement, la glissière de réglage du dispositif d'impression 466, couplée à la glissière 250 est amenée de sa position éliminée à la position correspondant au montant à enregistrer dans le totalisateur à l'aide de cette glissière différentielle 250.
Le débrayage et l'embrayage du bras de couplage 468 s'effectue par l'intermédiaire d'une came 471, montée sur un axe 461. La came 471 est munie d'une gorge 472 dans laquelle s'introduit une tige universelle 473 qui est placée dans la machine de façon à pénétrer dans la fente 472 du levier 471 de chaque mécanisme différentiel de montant. La tige principale 473 est portée par un certain nombre de bras 474 articulés sur un axe 462. Prés du centre de la machine et à côté de l'un des bras 474, se trouve un bras 475 dont la partie supérieure se divise en deux et enserre la tige principale 473. Un cliquet de couplage 476 pivote sur le bras 475 au moyen d'un goujon 477. Le cliquet de couplage 476 est muni d'un bec placé sur le trajet d'un épaulement 479 d'un bras 480 solidaire d'un levier coudé 481, articulé sur l'axe 462.
Le levier coudé est muni de deux galets 482, maintenus au contact de deux cames 483, fixées sur l'arbre à cames principal 200.
Lorsque cet arbre 200 tourne au cours du fonctionnement de la machine, la came 483 coopère avec les galets 482 et fait d'abord basculer l'équerre 481 dans le sens senestrorsum (fig. 8), puis dans le sens contraire. Pendant le premier mouvement, l'épaulement 479 placé sur le bras 468 entraîne le bec du cliquet 476 et fait basculer le bras 475, l'axe 462 et la tige principale 473 dans le sens senestrorsum et ce mouvement, par l'intermédiaire de la fente 472, fait basculer le bras 471 dans le sens dextrorsum. Il en résulte qu'un doigt 484, fixé à ce bras, vient contacter un goujon 485 fixé au bras de couplage 468 et fait basculer celui-ci dans le sens dextrorsum ce qui libère les dents 470 des dents correspondantes de la glissière différentielle 250.
Lorsque la position de celle-ci a été réglée suivant la commande effectuée à l'aide des touches de montants ou du cliquet d'arrêt à zéro et lorsque la glissière de positionnement des roues d'impression s'est
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déplacée jusqu'à sa position éliminée les cames 483 font basculer l'équerre 481 et le bras 480 dans le sens dextrorsum et en agissant par l'intermédiaire d'un doigt 486 sur le bras 480, viennent en prise avec la tige principale 473 et la ramènent à sa position initiale en le faisant tourner dans le sens dextrorsum. Par ce mouvement, la tige principale 473 agit sur la came 472 et soulève le bras 471, et par l'intermédiaire du goujon 485, engrène de nouveau les dents 470 avec les dents placées sur la face inférieure de la glissière différentielle 250.
Une fois que le bras de couplage 468 est à nouveau en prise avec les dents de la glissière 250, la tige universelle 275 ramène cette glissière à sa position de repos. Etant donné que ces deux glissières sont couplées par le bras 468 au moment où la glissière 250 est rappelée à sa position d'origine, la glissière 466 de positionnement des caractères est déplacée dans une position qui représente le montant enregistré au totalisateur.
Les roues imprimeuses de montants 465 (fig. 8), pour les huit groupes de roues représentées aux fig. 68A et 68B, sont réglées par les glissières de positionnement 466 de la manière décrite pour l'une des rangées de montants. Cette glissière 466 (fig. 8) comporte des dents 496 engrenant avec un pignon 497 qui tourne sur un arbre 498, prévu en nombre égal à celui des rangées de montants. Au pignon 497 est connecté, grâce à un moyeu 499, un segment 500 (voir également fig. 68A et 68B) qui est en prise avec une couronne dentée 501 munie d'une denture interne 502 engrenant avec un pignon 503 monté sur un arbre carré 504.
On a prévu un arbre 504 pour chaque rangée de montant et cet arbre s'étend le long de toutes les couronnes dentées. Des couronnes dentées 505 sont disposées dans chaque groupe de roues imprimeuses 465 et en alignement avec ces couronnes, sur l'arbre 504 se trouve un pignon analogue au pignon 503, en prise avec les dents internes de la couronne 505. Chacune de ces couronnes 505 est munie de dents 508 qui engrènent avec des encoches en forme de dent prévues dans les roues imprimeuses 465 qui peuvent être ainsi positionnées suivant le réglage reçu par les couronnes dentées.
On voit, d'après ce qui précède, que la position de la glissière de positionnement 466 est transmise, par les dents 496, le pignon 497, le segment 500, la couronne dentée 501, le pignon 503 et l'arbre carré 504 jusqu'à la couronne 505 qui positionne correctement les roues 465 conformément au montant enregistré.
Les glissières de positionnement 466 sont commandées dans leur mouvement de façon que les zéros ne soient pas imprimés à gauche du chiffre significatif de l'ordre le plus élevé. Mécanisfne différentiel des transactions: Les touches 121-129 de la rangée 1 ou première rangée des transactions, les touches 131-139 de la rangée 2 des transactions, et les touches 141-149 de la rangée 3 des transactions commandent toutes le fonctionnement d'un mécanisme différentiel prévu dans chacune de ces rangées. Ces mécanismes sont réglés différentiellement pour commander les opérations de la machine, l'embrayage et le débrayage des totalisateurs convenables avec les entraîneurs pour les additions et soustractions, ainsi que les opérations de total.
La troisième rangée des transactions peut aussi sélectionner l'un des totalisateurs intercalés sur le groupe pour son embrayage avec les entraîneurs. Les mécanismes différentiels de ces rangées sont identiques et on ne décrira que celui de la rangée 3.
Chaque touche de transactions porte un goujon carré 597 qui coopère avec une glissière différentielle 689 (fig. 13 et 16). Les carrés 597 font saillie alternativement à gauche et à droite sur le trajet de brides 690 prévues alternativement sur la glissière 589. La relation entre les carrés 597 et les brides 690 est telle que lors du fonctionnement par suite d'une touche enfoncée, la glissière 689 est arrêtée à une position proportionnelle à la position de cette touche.
La glissière 689 est fendue à ses extrémités de manière à être supportée et à glisser sur des colliers 691 et 692 portés par des goujons 693 et 694 respectivement.
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La glissière 689 comporte des dents 696 en prise avec un secteur 697 (fig. 16) solidaire d'un bras 698 muni d'une ouverture 699 dans laquelle pénètre un goujon 700 d'un verrou 701 (fig. 14, 15 et 16). Le bras 698 pivote en 702 sur le bâti de la machine. Le verrou 701 pivote sur un goujon 703 porté par un bras 704 tournant sur un axe 702. Une barre 705 articulée en 706 sur un bras 704 porte à son extrémité un goujon 707 pénétrant dans une fente 708 pratiquée dans un bras 709 pivotant également sur le goujon 702.
Le bras 709 comporte un segment 710 en prise avec des dents 711 (fig. 13) d'une glissière de commande 712. Cette glissière de commande coulisse dans les colliers 691 et 692 et sur un goujon 688 placé entre les parois 168 et 165 (fi-, 3).
Le verrou 701 (fig. 14 et 15) est muni d'un pied 713 engagé normalement dans une encoche 715 d'un entraîneur différentiel 716 tournant autour de l'axe 702 et muni d'une encoche 717 dans laquelle pénètre un goujon 718, placé à l'extrémité libre d'un levier 719 pivotant en 720 sur les parois 161 et 179. Le levier 719 est solidaire d'un bras 733 (fi-. 13) à l'aide d'un manchon 721. Le bras 733 est muni de deux galets 722 qui coopèrent avec une double came 204. fixée au manchon 199 (se reporter également à la fig. 7) de façon à être entraînée par celui-ci. Le levier 719 est muni d'un galet 724, qui peut venir au contact d'une surface 725 de la traverse 705 ainsi qu'on le décrira plus loin.
Les doubles cames 204 destinées à faire fonctionner les mécanismes différentiels de la première et de la deuxième rangée de transactions sont fixées au manchon 203 (fig. 7).
Lorsque ces cames 204 tournent, par suite de la rotation des manchons 199 ou 203 ,le bras 733 bascule et fait pivoter le levier 719 dans le sens dextrorsum, mouvement qui par l'intermédiaire de l'axe 718 et de l'encoche 717, fait basculer de la même façon l'entraîneur différentiel 716 et à ce moment, ce dernier entraîne le verrou 701 et par l'intermédiaire du goujon 700, fait basculer le bras 698 dans le sens dextrorsum (fig. 16). Ce mouvement a pour effet de déplacer la glissière 689 vers la droite (fig. 13). par l'intermédiaire de segment 697, jusqu'à ce que la bride 690 de ce segment vienne au contact du goujon 579 porté par une touche enfoncée.
Ceci arrête la glissière 689 dans une position dépendant de la touche enfoncée et place au même instant le bras 698 dans la position correspondante. L'arrêt du bras 698, par l'intermédiaire de la fente 699 coopérant avec le goujon 700, fait tourner le verrou 701 dans le sens senestrorsum autour de son axe 703, ce qui écarte le talon 713 de l'encoche 715 et empêche tout mouvement ultérieur du bras 704. Le mouvement dans le sens senestrorsum (fig. 14) du verrou 701 fait que sa bride 726 pénètre dans une encoche correspondante 727 (fig. 13) d'une plaque de verrouillage 728, portée par les goujons 720 et 693.
La continuation du mouvement de l'entraîneur 716, lorsque le verrou 701 est dégagé, déplace une arête 729 (fig. 15) concentrique à celui-ci et l'amène au-dessous du talon 713, ce qui verrouille positivement le verrou 701 et le bras 704 dans la position acquise; il en résulte que le pivot 706 de la traverse 705 est également verrouillé dans une position correspondant à la touche enfoncée.
Au cours du mouvement de verrouillage dans le sens dextrorsum du levier 719 (fig. 14 et 15), le galet 724 fixé sur ce levier vient au contact de l'arête 725 de la traverse 705 et fait basculer celle-ci autour du goujon verrouillé 706. Le mouvement de la traverse 705 autour de l'axe 706 fait passer le goujon 707 dans la fente 708, ce qui fait basculer le bras 709 et le segment 710 dans une position correspondant à celle dans laquelle le bras 704 a été positionné et verrouillé au moyen du verrou 701. Ce réglage de la position du segment 710, au moyen des dents 711 de la glissière 712, place cette dernière dans une position correspondant à la position réglée de la glissière différentielle 689.
Une fois que la glissière de commande 712 a été placée à l'aide de la traverse 705 suivant le processus que l'on vient de décrire, les cames 204 font basculer de nouveau le levier 719 dans le sens senestrorsum (fig. 13) et ramènent l'entraîneur différentiel 716 à sa position de repos. Pendant ce mouvement, au moment où
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l'encoche 715 vient de nouveau se placer au- dessous du talon 713, celui-ci tombe derrière l'encoche 715 et, pendant la suite du mouvement dans le sens dextrorsum, l'entraîneur 716, agissant par l'intermédiaire d'un galet 714, entraîne le bras 704 et le ramène avec le verrou 701 à leur position de repos.
Pendant ce mouvement, le segment 710 et la glissière de commande 712, sont maintenus à leur position acquise de toute manière connue et, par conséquent, la traverse 705 pivote autour de l'axe 707. Le segment 710 reste dans sa position jusqu'à ce qu'il reçoive une nouvelle position au cours du cycle de fonctionnement suivant.
La troisième rangée de touches de transactions commande trois roues imprimeuses destinées à imprimer un symbole dans la première colonne de la carte, dans la première colonne du livret et sur la bande de contrôle. Ces roues imprimeuses 735 sont représentées sur les fig. 68A et 68B.
La deuxième rangée de touches de transactions positionne cinq roues imprimeuses 755 destinées à imprimer des symboles dans la première, la troisième et la cinquième colonne de la carte, dans la quatrième colonne du livret, ainsi que sur la bande.
La première rangée de touches de transactions règle la position de trois roues imprimeuses de symboles 754 destinées à imprimer un symbole dans les quatrièmes colonnes de la carte et du livret, ainsi que sur la bande.
On va maintenant décrire la mise en place de la roue imprimeuse 735 commandée par la troisième rangée de touches de transactions et il importe de bien comprendre que les roues 754 et 755 sont respectivement réglées de façon analogue sous la commande des différentiels des première et deuxième rangées de transactions.
Des dents 736 sont prévues sur la surface inférieure de la glissière de commande 712 (fig. 13) qui engrène avec un segment 737 pouvant tourner autour de l'axe 498 (voir également fig. 68B). Un segment 739 est relié au segment 737 par un manchon 738 et il entraîne une couronne 740 montée sur un disque 741 porté par un axe 510. Un pignon 742 engrène avec les dents internes de la couronne 740 et est monté sur un axe carré 743 disposé entre les parois latérales 160 et 161 (fig. 3). Un pignon, semblable au pignon 742, est monté à l'intérieur d'une couronne semblable à la couronne 740 adjacente à chacune des roues 755.
Ce pignon est monté sur l'axe carré 743, de sorte que les couronnes des différentes roues impri- meuses tournent et règlent la position de ces roues pour chacune desquelles un symbole doit être imprimé.
On positionne à l'aide de mécanismes analogues la position des roues à symboles correspondant aux première et seconde rangées de transactions.
Mécanisme d'embrayage des totalisateurs: Ainsi qu'on l'a décrit plus haut le totalisateur sélectionné dans le groupe arrière de totalisateurs bascule et vient en prise avec l'entraîneur 270 en faisant basculer l'axe 293 (fig. 8, 11, 56, 57). Un axe de basculement analogue 398 (fig. 11) est prévu pour le totalisateur addition-soustrac- tion et il suffira de décrire le mécanisme d'embrayage du groupe arrière.
On peut faire basculer l'axe 293 dans les opérations d'addition ou de total, et l'on peut de même faire basculer l'axe 398 pour effectuer les opérations d'addition, de soustraction et de total. Le total peut se faire soit par lecture, soit par remise à zéro. Le basculement de l'axe 293 destiné à embrayer le totalisateur avec l'entraîneur est commandé par une série de disques à encoches, dont la position est réglée par les mécanismes différentiels des trois rangées de touches de transactions. La mise en place de ces disques détermine quel groupe de totalisateurs doit être embrayé et détermine également si le mouvement d'embrayage doit avoir lieu pendant la période d'addition, de soustraction, de lecture ou de remise à zéro.
La commande s'effectue à l'aide d'une série de palpeurs qui viennent contacter la périphérie des disques à encoches et déterminent les connexions qu'il convient d'établir pour obtenir les différents mouvements d'embrayage et de synchronisation. Un plateau de commande est également destiné à régler la durée et l'instant d'embrayage des palpeurs de commande au cours du fonctionnement de
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la machine. L'ensemble des disques à encoches destinés à la commande des différents mouvements d'embrayage des totalisateurs comprend les disques 801, 802, 803, 804, 805 et 806 (fig. 43) ; sur cette figure les disques sont représentés vus en plan.
Les disques 801 à 806 sont placés juste à l'extérieur du flasque latéral de droite 161 (fig. 67B). Les disques 801, 804 et 806 (fig. 43, 46, 48, 52 et 55) sont commandés par la première rangée de touches de transactions, lorsque la position de la glissière de commande 712 est commandée par les touches 121 à 129, ainsi qu'on l'a indiqué plus haut. En bref, chaque segment 739 (fig. 13) est en prise avec une couronne 760, pouvant tourner autour d'un disque 761, porté par un axe 632. Un axe carré 763 destiné à chaque rangée relie la couronne 760 à chacun des disques, un moyen de pignons montés sur ledit arbre et engrenant avec les dents internes de ces disques.
La position du disque 802 (fig. 43, 45 et 50) est commandée par la deuxième rangée de touches de transaction tandis que le disque 803 (fig. 43, 44 et 49) est commandé par les touches de la troisième rangée. Le disque 805 maintient normalement des palpeurs, que l'on décrira plus loin, éloignés du disque de commande jusqu'à l'instant convenable au cours du fonctionnement de la machine et, à ce moment, le disque 805 bascule et relâche ces palpeurs.
Lorsqu'il faut embrayeruntotalisateur faisant partie du groupe arrière ouletotalisateuraddition- soustraction avec l'une des crémaillères entraîneuses 270 ou 269 afin d'effectuer une addition, l'axe de basculement du totalisateur choisi 293 ou 398 est couplé à un croisillon d'embrayage d'addition 810 (fig. 53 et 58), tournant sur un axe 809 et l'on fait basculer ce croisillon au temps de l'addition. Si l'on désire embrayer le totalisateur choisi pour une opération de total on couple ces axes avec un croisillon de total 811 (fig. 52 et 58) qui bascule aux temps de total, soit pour la lecture, soit pour la remise à zéro.
Les liaisons de couplage entre les croisillons 810 et 811 et l'axe d'embrayage dutotalisateur293 (fig. 58) du groupe arrière, comprennent un goujon 813 porté par une bielle 814 articulée à un bras 815, fixé à l'arbre d'embrayage 293. Le goujon 813 se trouve normalement dans la position intermédiaire, dans laquelle il est séparé des croisillons 810 et 811. Lorsque la biellette 814 bascule dans le sens dextrorsum (fi-. 58) autour de son axe fixé au bras 815, le goujon 813 se trouve dans une encoche 816 du croisillon d'addition 810; alors, au moment du basculement de ce dernier letotalisateur arrière embraye avec les entraîneurs 270, puis s'en dégage aux temps d'addition.
Si l'on fait basculer la biellette 814 dans le sens senestrorsum (fig. 58) le goujon 813 pénètre dans une encoche 817 du croisillon de total. A ce moment, et pendant le fonctionnement de la machine, l'arbre d'embrayage du totalisateur 293 bascule soit au temps de lalecture soit au temps de la remise à zéro, selon l'instant auquel on reçoit le mouvement du croisillon de total 811.
Le croisillon d'embrayage d'addition 810 (fig. 53) bascule aux temps d'addition sous l'action de deux cames 820 fixées à l'arbre à cames déjà mentionné 200. Des galets 821 coopèrent avec ces cames 820 et sont portés par un levier coudé 822 articulé sur un axe 823 fixé sur la partie droite du châssis. Une bielle 824 relie le levier coudé 822 au croisillon d'embrayage d'addition 810.
Lorsquelegoujon 813 du totalisateur arrière s'engage dans l'encoche 816, les cames 820, agissant par l'intermédiaire des galets 821, font basculer le levier coudé 822 d'abord dans le sens dextrorsum (fig. 53) puis dans le sens contraire, ce qui fait basculer le croisillon 810 dans les sens inverses. Le premier de ces mouvements fait basculer l'axe 293 dans le sens dex- trorsum, par l'intermédiaire du goujon 813, de la bielle 814 et du bras 815. Le mouvement dans le sens senestrorsum de l'axe 293 (fig. 57), par, l'intermédiaire du levier 299, du goujon 298, du galet 295 et de la fente 294 du levier 292 fait basculer les roues totalisatrices 290 et les embraye avec les entraîneurs 270.
Les temps de fonctionnement des cames 820 sont tels qu'elles font basculer le croisillon 819 dans le sens initial c'est-à-dire senestrorsum, une fois que la position des entraîneurs 270 a été fixée à l'aide des touches de montants. Une fois que le totalisateur est embrayé les entraîneurs revien-
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nent à leur position initiale et ce mouvement enregistre les sommes correspondant à la position des entraîneurs dans le totalisateur sélectionné. Puis, une fois que les entraîneurs 270 ont fait cet enregistrement, les cames 820 font basculer le croisillon 810 dans le sens dextrorsum ce qui, par l'intermédiaire du goujon 813 débraye les éléments du totalisateur des entraîneurs 270.
Le déplacement du goujon 813 dans l'encoche 816 du croisillon d'addition 810 est commandé par les disques 801, 802 et 803 (fig. 43). Non seulement le goujon 813 pénètre dans le plan de l'encoche 816 du croisillon 810, mais il pénètre également dans une ouverture 825 (fig. 46) d'un levier coudé 826 articulé sur un axe 827 porté par le châssis de la machine. Le levier coudé 826 est muni d'un goujon 828, qui est normalement maintenu par deux cliquets à ressorts 829 et 830. Un ressort 831, tendu entre un crochet du cliquet 829 et un crochet du cliquet 830, maintient normalement ces deux cliquets contre les faces opposées du goujon 828. Les cliquets 829 et 830 entourent également un goujon 832 fixé sur une pièce à trois bras 833, pouvant tourner autour de l'axe 809.
Cette pièce à trois prolongements 833 est reliée à un levier coudé 834 par une biellette 835. Le levier coudé 834 est monté sur l'axe 823 et est muni de deux galets 837 coopérant avec deux cames 836 fixées sur l'arbre à cames principal 200.
Les cames 836, par l'intermédiaire du levier coudé 834, de la biellette 835 et de la pièce à trois prolongements 833, déterminent la position du goujon 832. Lorsqu'il se trouve dans sa position normale, ou position de repos, le goujon 832 commande la position des cliquets 829 et 830 ((fig. 46), de sorte que le levier coudé 826, par l'intermédiaire de son ouverture 825, maintient le goujon 813 en position normale, ou position de repos; c'est-à-dire dans une position pour laquelle il n'est en prise ni avec le croisillon d'addition 810, ni avec le croisillon de total 811.
*Le moment auquel fonctionnent les cames 836 est choisi de façon qu'elles fassent basculer dans le sens dextrorsum, la pièce 833 à trois prolongements (fig. 46), au début de l'opération puis lorsque les entraîneurs 270 ont été mis en place, les cames 836 font basculer la pièce 833 à trois prolongements dans le sens inverse jusqu'à sa position de repos et même au-delà. Presque à la fin du cycle, les cames 836 ramènent de nouveau la pièce 833 à trois prolongements à sa position de repos.
Si le levier coudé 826 est libre de fonctionner au cours du mouvement senestrorsum de la pièce à trois prolongements 833 et du goujon 832, ce dernier fait basculer le cliquet 830 dans le sens dextrorsum et, par l'intermédiaire du ressort 831, fait basculer le cliquet 829 dans le même sens, entraînant ainsi avec lui le goujon 828 et le levier coudé 826, ce qui ramène le goujon 813 dans l'encoche du croisillon d'addition.
Ce sont les disques à encoches 801, 802 et 803 qui commandent si le levier coudé 826 doit se déplacer dans le sens dexti#orsum et entraîner le goujon 813 et l'encoche 816 ou non. Le mécanisme destiné à commander le mouvement du levier coudé 826 comprend une biellette 840 (fig. 46), dont une extrémité est articulée sur le levier coudé 826, et dont l'autre extrémité est portée entre deux palpeurs 841 et 842. Les palpeurs 841 et 842 sont reliés de façon à se déplacer comme un tout, et sont articulés sur un axe 843. L'extrémité libre du palpeur 841 est munie d'un goujon 844 qui coopère avec la périphérie des disques de commande 804 et 805 (voir également fig. 54 et 55).
Un cliquet pivotant est relié à l'extrémité inférieure du palpeur 842 et est muni d'un doigt 894 qui coopère avec le disque de commande 803 (fig. 44) et un doigt 895 (fig 45) qui coopère avec le disque de commande 802. Les doigts 894 et 895 sont reliés par un axe 853 de façon à constituer un cliquet 893, et cet axe pénètre entre deux cliquets maintenus par des ressorts 897 articulés sur un prolongement du palpeur 842. Le cliquet 897, maintenu par des ressorts, maintient normalement le cliquet 893 dans sa position centrale. Un troisième doigt 896 (fig. 46) est placé sur le palpeur 842 et coopère avec le disque de commande 801.
Lorsque la pièce 833 bascule dans le sens senestrorsum à partir de sa position située au- delà de sa position de repos dans l'autre sens le goujon 832 fait basculer dans le sens destror- sum le cliquet 830 maintenu par des ressorts
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(fig. 46), ce qui amène le ressort 831 à pousser le cliquet 829 et fait tourner le goujon 828 et le levier coudé 826 dans le sens dextrorsum. Si le levier coudé 826 est ainsi libre de se déplacer sous l'action du ressort 831, par suite de la présence d'une ou de plusieurs encoches en face des doigts 894, 895 et 896, le cliquet 829, par l'intermédiaire du goujon 828 et du levier coudé 826,
fait pénétrer le goujon 813 dans l'encoche 816 du croisillon d'addition 810. Si le doigt 896 ou les deux doigts 894 ou 895 contactent une partie saillante de leurs disques de commande respectifs 801, 802 ou 803, la biellette 840 s'arrête et le goujon 813 ne peut entraîner le croisillon d'addition 810.
Les encoches des disques 801, 802 et 803 que l'on a représentées ici, sont destinées au système particulier que l'on décrit. Il importe de bien comprendre que l'on peut modifier la disposition de ces encoches suivant n'importe quel système auquel on désire adapter la machine.
L'instant auquel fonctionne le palpeur 841 est commandé par le disque 805 (fig. 54). Une biellette 900 relie le disque 805 à un levier coudé 901 muni d'une came 902. Un ressort 903 maintient normalement un bras inférieur du levier coudé 901 contre un goujon 908, porté par la paroi latérale de la machine. Le ressort 903 a normalement tendance à faire basculer le disque 805 dans le sens dextrorsum et par conséquent à faire basculer dans le même sens le levier coudé 901 autour de l'axe 905. On utilise un goujon 906 monté sur l'une des deux cames 204 de l'un des mécanismes différentiels des transactions pour faire fonctionner le levier coudé 901.
Le goujon 906 est ainsi placé sur la carne 204 de sorte que, après la mise en place des disques de commande 801, 802, 803 et 804, au moyen. de ces mécanismes différentiels, le goujon 906 vient au contact de la came 902 et fait basculer le levier coudé 901 dans le sens senestrorsum (fig. 54) et ce mouvement, par l'intermédiaire de la biellette 900, fait basculer le disque de commande 805 dans le sens senes- trorsum laissant ainsi retomber le palpeur 841 sous l'action de son ressort (non représenté). Mécanisme d'embrayage des totalisateurs - Lec- ture et remise à zéro: Le croisillon d'embrayage de total 811 est déclenché au moment de la remise à zéro par deux cames 855 (fig. 51).
Les cames 855 sont serrées sur le manchon 208. Deux galets 856 coopérant avec ces cames 855 sont montés sur un levier coudé 854, relié à un levier 857 monté sur un axe 853. Le levier 857 est muni d'une encoche 858 en prise normalement avec un galet 859, monté sur un goujon 861 porté par une biellette 860 que l'on décrira ultérieurement; et à ce goujon 861 est également reliée une biellette 862 dont l'extrémité supérieure est articulée sur le croisillon d'embrayage de total 811 (fig. 52).
Lorsque les cames 855 tournent, le bras 857 bascule dans le sens senestrorsum (fig. 51), soulève la biellette 862 et par suite fait basculer le croisillon de total 8l1 dans le sens senestror- sum (fig. 52). Si, à ce moment, le goujon 813 se trouve dans l'encoche 817 du croisillon 811, le groupe de totalisateur choisi bascule, et vient embrayer avec les entraîneurs 270 avant que ces entraîneurs 270 ne fonctionnent, ce qui remet à zéro les cylindres du totalisateur. Une fois que les roues totalisatrices ont été remises à zéro, le croisillon 811 bascule de nouveau dans le sens dextrorsum (fi.. 52) et revient à sa position de repos sous l'action des cames 855 (fig. 51), ce qui libère les roues des entraîneurs 270.
Une fois que ces roues sont ainsi débrayées, les crémaillères des entraîneurs reviennent à leur position au repos.
Le galet 859 est normalement maintenu dans l'encoche 858 de la came 857 à l'aide d'une liaison actionnée par une came 863 (fig. 52). Un galet 864 coopérant avec la came 863 est porté par un levier coudé 865, articulé sur un axe 866. Ce levier 865 est relié à un levier 867 par une biellette 868. Un ressort 869 dont une extrémité est fixée à un goujon lui-même fixé à la paroi latérale de la machine et dont l'autre extrémité est fixée à un axe 871 de la biellette 868 maintient normalement le galet 864 contre le
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pourtour de la came 863. Le levier 867 est articulé sur un axe 872 et la biellette 860 est articulée à son extrémité supérieure.
Pendant le fonctionnement de la machine, lorsque la came 863 (fig. 52) tourne, le ressort 869 fait tourner le levier coudé 865 dans le sens dextrorsum, ce qui déplace la biellette 868 vers la gauche (fig. 52) et amène un palpeur 873 du levier 867 au contact de la périphérie du disque de commande à encoches 806. Si le palpeur 873 du levier 867 rencontre une partie saillante du disque, le galet 859 reste dans l'encoche 858 de la came 857 et par conséquent le croisillon 811 est basculé en position de repos pendant le fonctionnement de la machine.
Le disque à encoches 806 est réglé sous la commande de la première rangée de transactions et, lorsque la machine fonctionne, la touche 122 de Sous-Total Solde ou la touche 127 de Total étant enfoncée, une encoche du disque 806 vient s'aligner avec le palpeur 873. Toute autre touche de la première rangée qui a été enfoncée, place un bossage du disque 806 en face du palpeur 873 de façon que le galet 859 reste dans la rainure 858 du bras 857, et ainsi, le croisillon 811 est renvoyé au repos. Pendant cette opération, le groupe de totalisateurs sélectionné est remis à zéro.
Le croisillon de total 811 est basculé en position de lecture par les cames 855 associées à une paire de cames comprenant la came 863 et une came 878 (fig. 52). Pendant les opérations de lecture, le croisillon 811 est basculé dans le sens senestrorsum (fig. 52) par les carnes 855 et dans le sens dextrorsum par les cames 878. Les commandes correspondantes se font comme suit: Comme mentionné ci-dessus, lorsque la touche 122 de Sous-Total ou la touche 127 de Total est enfoncée et que la machine fonctionne, le mécanisme différentiel des transactions ajuste le disque 806 de façon qu'il présente une encoche sur le trajet du palpeur 873.
Pendant cette opération de la machine, le totalisateur ayant été embrayé avec les entraîneurs puis remis au zéro, la carne 863 relâche le levier coudé 865, la biellette 868 et le levier 867 pour permettre au palpeur 873 de s'introduire dans l'encoche du disque 806. Quand le doigt palpeur 873 entre dans ladite encoche, le ressort 869 bascule le levier 867 de sa position indiquée sur la fig. 52 dans le sens dextrorsum et déplace la bielle 860 vers la droite pour écarter le galet 859 de l'encoche 858 et le placer dans une encoche 874 d'un bras 875, pivotant sur le goujon 853. Le bras 875 est muni d'une paire de galets 877 qui coopèrent avec les cames 863 et 878 solidaires de l'engrenage 207.
La synchronisation relative des cames 855 et 863 - 878 est telle que le premier mouvement de ces cames bascule respectivement les bras 857 et 875, en même temps et dans le sens senes- trorsurn (fig. 52). Ensuite, si la came 863 relâche le palpeur 873 et si le palpeur engrène un bossage du disque de commande 806, le galet 859 demeure dans l'encoche du bras 857.
La came 855 bascule alors le bras 857, dans le sens dex- trorsum, dans sa position normale et entraîne la biellette 862 afin de débrayer le totalisateur des entraîneurs, en position de repos. Etant donné que le bras de came 857 commence à tourner avant le bras 875, celui-ci présente un évidement pour le galet 859, pendant le retour de la biellette 862.
Si, durant le fonctionnement de la machine, le palpeur 873 s'engage dans une encoche du disque 806 après la rotation (dans le sens senestrorsum) des arbres 857 et 875, le galet 859 est placé dans l'encoche 874 du bras 875. Alors, le bras 857 retourne en position inférieure et comme le galet 859 est retiré de l'encoche 858, la biellette 862 reste en position supérieure. Dans la suite du cycle, l'arbre 875 ayant réintégré son logement, l'encoche 874 descend la biellette 862 pour entraîner le croisillon de total 811 à débrayer le totalisateur des entraîneurs après que le montant a été rétabli dans les totalisateurs.
D'après ce qui précède, on- voit que les bras 857 et 875 sont entraînés simultanément dans le sens senestrorsum, le bras 857 embrayant les totalisateurs sur les entraîneurs. Les bras ayant tourné dans le sens senestrorsum si le palpeur 873 déplace le galet 859 de l'encoche 858 à l'encoche 874, le bras 857 est alors libéré et
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le bras 875 remet en place le croisillon 811 pour débrayer le totalisateur au temps dé lecture.
A la fin de chaque opération, la came 863 renvoie le levier 865, et par conséquent le palpeur 873 dans leur position de repos indiquée à la fig. 52. Simultanément, le galet 859 est replacé dans l'encoche 858 du bras 857.
Mécanisme d'embrayage de totalisateur: tota- lisateui- addition-soustraction: Le mécanisme d'embrayage du totalisateur d'addition-soustraction destiné aux opérations d'addition, de soustraction ou de total, est commandé par le mécanisme que montre la fig. 47.
La pièce à bras multiples 833 porte un goujon 911 (fig. 47) destiné à commander le mouvement du goujon 912 pour mise en prise avec le croisillon d'addition 810 (fig. 53) ou le croisillon de total 811 (fig. 52). Le goujon 911 (fig. 47) est retenu dans les deux sens par des cliquets à ressort 913 et 914 sollicités par un ressort 915. Sur un bras 916, pivotant en 917, se trouve un goujon 918 qui est placé également entre les cliquets 913 et 914. Le goujon 912 est monté sur la biellette 919 (voir aussi fig. 58), articulée à un bras d'entraînement 920 produisant la rotation de l'axe 398 du totalisateur supérieur.
L'arbre 920 bascule soit en position addition-soustraction, soit en position de remise à zéro, suivant que le goujon 912 est engagé dans l'encoche 923 du croisillon d'addition 810 ou dans l'encoche 924 du croisillon de total 811.
La rotation dans le sens dextrorsum de la pièce à bras multiples 833 bascule le cliquet 913 dans le sens senestrorsum, tendant ainsi le ressort 915 et incitant ainsi le cliquet 914 à tourner dans le sens senestrorsum. Ce cliquet peut tourner ainsi si le bras 916 portant le goujon 918, a la possibilité de tourner dans le sens senestrorsum. Ce mouvement est commandé par un doigt 925 fixé à un arbre 926 et normalement sur le trajet d'un goujon 9201 porté par un palpeur 921.
La lecture ou le retour au zéro du totalisateur supérieur sont commandés par les touches Solde 121, Sous-Total Solde 122 et Découvert 123. Le bras palpeur 921 doit tourner dans le sens senestrorsum (fig. 47) pour embrayer le totalisateur addition soustraction avec le croisillon de total 811. Ce mouvement senestrorsum de palpeur 921 est normalement contrôlé par le doigt 925 surmontant le goujon 9201. Le doigt 925 est fixé à un arbre 926 auquel est également fixé le levier coudé 927 qui se loge entre les goujons 579 de la touche Solde 121 et de la touche Sous-Total Solde 122. Fixé aussi à l'arbre 926 se trouve un bras 9271 qui est surmonté par le goujon 597 de la touche Découvert 123.
Le levier 927 porte un doigt 929 qui est normalement maintenu au collier 930 par le ressort 928 de façon que le doigt 925 se trouve sur la trajectoire du goujon 9201. L'enfoncement des touches 121, 122, 123 fait que leurs goujons respectifs 597 s'engagent soit avec le levier coudé 927, soit avec le bras 9271, et bascule le doigt 925, comprimant le ressort 928, pour dégager ce doigt 925 de la trajectoire du goujon 9201. Ainsi, la machine étant en fonctionnement, lorsque la pièce à bras multiples 833 est basculée dans le sens dextrorsum (fia. 47), la biellette 922 qui relie le bras 921 au bras 916, peut tomber et faire basculer le bras 921 (fig. 47) vers la gauche. Ce mouvement bascule le bras 916 vers la gauche pour placer le goujon 912 dans l'encoche 924 du croisillon de total 811.
L'enfoncement de la touche de Solde 121 ou de la touche de Découvert 123 contrôle la position que prend le disque 806 sous l'action du mécanisme différentiel de la première rangée de transaction de façon à placer une partie pleine sur le trajet du doigt 873 (fig. 52) et commander ainsi la position du galet 859 durant la remise au zéro, comme on l'a expliqué ci- dessus. L'enfoncement de la touche de Solde 121 déplace le disque 806 de façon qu'il présente une encoche sur le trajet du doigt 873 (fig. 52) pour la commande du galet 859 lors des opérations de lecture, de la façon décrite ci-dessus.
L'enfoncement des touches 121, 122 et 123, contrôle également la mise en place du disque 806 de façon qu'il présente une partie haute face au goujon 9201, afin que, pendant les opérations de lecture de solde ou de remise au zéro du solde, le mouvement vers la gauche du bras
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palpeur 921 soit empêché (fig. 47) et que par conséquent le goujon 912 ne puisse s'accoupler au croisillon d'addition 810.
Relié au bras palpeur 921, un palpeur adjoint 9211 (fig. 48, 49 et 50) est articulé au goujon 843, les deux bras 921 et 9211 étant solidaires grâce au goujon 9212, au moyen duquel la biellette 922 est reliée au bras palpeur 921. Le bras palpeur 9211 porte un goujon 9202 qui surmonte les disques à encoches 801, 802 et 803. Lorsque la pièce à bras multiples 833 (fig. 47) est déplacée dans le sens senestrorsum, au-delà de sa position normale ou de son logement, le ressort 915, agissant sur le cliquet 913, tend à entraîner le bras 916 dans le sens dex- trorsum. Ce mouvement du bras 916 est commandé par les disques 801, 802 et 803 avec lesquels coopère le goujon 9202 de l'arbre 9211.
Si, lorsque la pièce à bras multiples 833 bascule à gauche, une encoche de chacun des disques 801, 802, 803 est en face du goujon 9202, et une encoche du disque de commande 806 est en face du goujon 9201, le ressort 915 peut faire basculer à droite le bras 921, pour soulever ainsi la biellette 922 et basculer le bras 916 dans le sens senestrorsum jusqu'à engager le goujon 912 dans l'encoche 923 du croisillon d'addition 810.
Lorsque la touche 124 Moins est enfoncée et que la machine fonctionne, le disque 801, qui est contrôlé par la première rangée des transactions, présente une encoche sur la trajectoire du goujon 9202. Quand la machine est utilisée avec la touche 134 Plus de la seconde rangée des transactions enfoncée, une encoche également se présente sur le trajet du goujon 9202. Lors de cette opération, soit la touche A, soit la touche B est aussi enfoncée, par conséquent le disque 801, placé sous le contrôle de la première rangée, présente une encoche au goujon 9202. Les disques 801, 802 et 803 portent, ainsi que l'indiquent les figures, plusieurs encoches pour commander l'embrayage du totalisateur addition-soustraction, chaque fois que le nécessite le système utilisé pour illustrer l'invention.
Leur emplacement dépend du système désiré auquel la machine doit être adaptée. Mécanisme de déclenchement de la machine: commande des cycles: Lorsque la machine est déclenchée, elle peut effectuer une opération à un cycle ou une opération à deux cycles suivant les touches qui ont été enfoncées dans la première rangée des transactions. Quand la machine exécute une opération d'addition ou de soustraction, elle accomplit un seul cycle. De même, pour la prise d'un total au totalisateur addition- soustraction, sous la commande des touches 121 ou 122 la machine n'effectue qu'un cycle. Par contre, lorsque la machine est commandée par la touche de Découvert 123, la touche de Total 126, ou la touche de Sous-Total 127, elle exécute deux cycles opératoires.
Pendant le premier, le côté soustraction du totalisateur addition- soustraction est sélectionné, ou, si l'on tire un total du groupe arrière de totalisateurs, ce . groupe est déplacé de façon à sélectionner le totalisateur approprié. Lors du premier des deux cycles, l'arbre à cames principal 200 est bloqué peu après son démarrage, et les cames 204 exécutent deux tours complets. Par cycle on entend ici un tour complet des cames 204.
Pendant le premier tour des cames 204, le totalisateur sélectionné est décalé de façon à choisir le totalisateur dont on doit extraire le total. Pendant le second tour, l'arbre à cames principal 200 achève sa rotation. Le nouveau mécanisme de commande des cycles permet de simplifier les opérations de total lorsqu'un seul cycle est nécessaire, par exemple lors de la prise d'un total sans découvert du totalisateur addi- tion-soustraction. Une opération de total à deux cycles n'est effectuée que lorsqu'il est nécessaire de sélectionner un totalisateur parmi les totalisateurs intercalés pendant le premier cycle, ou quand il y a un découvert dans le totalisateur addition-soustraction:
Pour déclencher le fonctionnement de la machine, l'un des trois coulisseaux 881, 882 ou 883 situés respectivement dans la première, la seconde et la troisième rangées de transactions (fig. 23 à 25), est tiré à gauche sous l'action de certaines touches de ces rangées. Les coulis- seaux 881, 882 et 883 sont montés sur les
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galets 884 portés par les bâtis de touches. Le coulisseau 881 est muni d'un goujon 885 en prise avec un doigt de l'extrémité supérieure d'un bras 886 fixé à un arbre 887.
En enfonçant l'une des touches: Solde (121), Sous-Total Solde (122), Découvert (123), Moins (124), Ejection (125), le goujon 579 de l'une ou l'autre de ces touches vient frotter sur une arête-came 888 du coulisseau 881 de façon à le déplacer vers la gauche puis le goujon 885 fait tourner le bras 886 et l'axe 887 (fig. 23) dans le sens senestrorsum. Un cliquet 606, fixé de plus à l'axe 887, est normalement engagé sur un goujon carré 610 du bras 608 de l'arbre de déclenchement 264. Un ressort, décrit plus loin, tend normalement à entramer l'arbre 264 dans le sens senestrorsum. Par conséquent, lorsque l'on dégage le cliquet 606 du goujon 610 par le mouvement du coulisseau 881, le bras 608 et l'arbre sont relâchés pour déclencher la machine.
Le coulisseau 882 (fig. 24) de la seconde rangée est déplacé de la même manière que le coulisseau 881, par les touches 131, 132, 133, 134 ou 138. Le coulisseau 882 comporte un goujon 1888, s'engageant sur le bras 889 qui est aussi fixé à l'axe 887. Ainsi, lorsque l'une des touches mentionnées ci-dessus est enfoncée, le coulisseau 882 est tiré vers la gauche de façon à soulever le cliquet 606 du goujon carré 610.
De même, le coulisseau 883 (fi-. 25) porte un goujon 890 engagé sur l'extrémité fourchue d'un bras 891 fixé lui aussi sur l'axe 887. En face de chacune des touches 141 à 149 de la troisième rangée de transactions se trouve une arête-came, grâce à laquelle le coulisseau 883 est déplacé à gauche sous l'action de toute touche de cette rangée. En enfonçant une touche, on fait basculer le bras 891 et l'axe 887 pour écarter le cliquet 606 du carré 610.
La première rangée de transactions possède une seconde glissière de commande 892 (fig. 22), mobile sur les quatre galets 884 également. cette glissière porte un goujon 1893, engagé sur la bifurcation du bras 1894 coulissant sur l'arbre 887. L'épaulement du bras 1894 repose sur un goujon carré 1895 fixé à -un bras 1896 fixé également sur l'arbre de déclenchement 264. Par conséquent, avant de pouvoir déclencher la machine à l'aide de l'un des coulisseaux 881, 882 ou 883, il faut auparavant agir sur la glissière 892, ce qui se fait avec les touches 121, 123 et 126 à 129. Les touches 126 à 129 peuvent rester enfoncées grâce aux épaulements 1897 agissant sur les goujons 579 (des touches enfoncées). Elles sont dégagées lorsque la glissière est repoussée sous l'action du poussoir 152.
En enfonçant l'une de ces six touches de la première rangée, on bascule le bras 1894 de façon à le dégager du goujon 1895, ce qui permet la rotation dans le sens senestrorsum de l'arbre de déclenchement 264, après rotation du bras 606.
Un bras 937 (fig. 103) fixé à l'axe 264 est connecté à un bras 938 articulé à un axe 940 par l'intermédiaire d'une bielle 939. Un ressort 941, fixé au châssis et, par le goujon 942, à la bielle 939, sollicite vers le bas cette dernière et tend normalement à faire pivoter le bras 938 dans le sens dextrorsum et le bras 937 en sens inverse, pour faire tourner l'axe 264 dans le sens senestrorsum. Ce mouvement de l'axe 264 est normalement arrêté par les goujons 610 et 1895 (fig. 22 à 35) engagés sur les épaulements des bras 606 et 1894.
Lorsque, comme décrit ci-dessus, on enfonce une touche de déclenchement, les bras 606 et 1894 ayant basculé comme indiqué, de façon à dégager leurs épaulements des goujons carrés 610 et 1895, le ressort 941 (fig. 103) en abaissant la biellette 939, fait tourner le bras 938 dans le sens dextrorsum jusqu'à dégager le goujon 962 porté par le bras 938 d'un épaulement d'un levier coudé 946. Une bride 932 du bras 938 s'appuie sur une butée 933 fixée au châssis de la machine, pour limiter le mouvement du bras 938. De même, le mouvement du levier coudé 946 (dû au ressort 949) est limité lorsqu'une bride 947 rencontre une butée 948.
Lorsque le bras 938 tourne dans le sens dextrorsum (fi.-,. 103), le goujon 962 est écarté de dessous le levier coudé 946 de façon à permettre au ressort 949 de basculer le levier 946 dans le sens senestrorsum. Ce levier coudé 946 est fixé à l'axe 350 (voir aussi fi-. 19) qui porte aussi un bras 950. La rotation de l'axe 350 bascule donc le bras 950 à gauche. Un ressort 951 est
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fixé, d'une part, à un goujon 952 de l'extrémité supérieure du bras 950 et, d'autre part, à un goujon 953 du levier-interrupteur 954 qui pivote autour du goujon 454 déjà mentionné. Le ressort 951 maintient une arête 955 du bras 954 contre le goujon 952 et, lorsque le bras 950 pivote à gauche, le levier interrupteur 954 pivote à droite.
Une biellette 956 relie l'extrémité supérieure du levier 954 à un levier coudé 957 articulé en 935 et portant une pièce isolante 958 qui maintient la lame-interrupteur 959 normalement ouverte. La lame 959 pivote sur le goujon 934. La rotation à droite du levier interrupteur 954, par l'intermédiaire de la biellette 956, bascule le levier coudé 957 à droite. Le ressort 960, attaché à la lame 959, bascule cette lame à droite, en contact avec la lame 961, ce qui ferme le circuit électrique du moteur 1216 (fig. 20) qui entraîne la machine de la manière déjà décrite.
Le levier coudé 946 (fig. 103) est fendu pour recevoir un goujon 9621 porté par un bras 963, monté sur l'axe 940. Quand le bras 938 bascule dans le sens dextrorsum, sous l'action d'une touche de déclenchement, pour sortir le goujon 962 du bras du levier coudé 946, le bras 963 pivote à droite de façon à placer une arête 964, sur le trajet d'un galet 965 supporté entre un disque 966 et une came 975 goupillée sur l'arbre à came principal 200. De plus, le déplacement à droite du levier 938 place l'arête 967 sur la trajectoire d'un goujon 9651.
Aux deux tiers environ de la rotation de l'arbre à came principal 200 (voir le diagramme des temps - fig. 106), le galet 965 rencontre l'arête 964 et bascule le levier 963 à gauche (fig. 103) ce qui fait pivoter à droite le levier coudé 946, et dégage son extrémité libre de la trajectoire du goujon 962. La rotation dans le sens dextrorsum du levier coudé 946 fait tourner l'arbre 350 (voir aussi fig. 19) et tend le ressort 951. Mais, tant que le galet 968 (voir plus haut) reste en contact avec le bossage de la came 969 de l'arbre à came 200, le levier-interrupteur 954 ne peut suivre le bras 950. Ensuite, la rotation du disque 966 et de la came 975 amène le goujon 9651 en contact avec l'arête 967 du bras 938 et le renvoie en position normale.
Ce pivo- tement déplace, par l'intermédiaire de la biel- lette 939 et du bras 937, l'arbre de déclenchement 264 au-delà de sa position normale, dans laquelle les bras 606 et 1894 (fig. 22 et 25) se retrouvent sur le trajet des goujons carrés 610 et 1895, respectivement. Le coulisseau à ressort 883 fait tourner alors l'arbre 887 pour rappeler le bras 606 sur le goujon 610.
Le goujon 9651 du disque 966 a son extrémité engagée sur un bras 3016 centré sur le bras 938, de façon à maintenir ce dernier une fois que le galet 965 a quitté la surface 967, pour éviter jusqu'à la fin du cycle un déclenchement intempestif de la machine.
Lorsque le bras 950 est basculé dans le sens senestrorsum, du fait de l'enfoncement d'une touche de déclenchement, et lorsque le bras interrupteur 954 (fig. 19) est basculé à droite pour fermer l'interrupteur 961, le galet 968 est placé hors de portée de la carne 969. Pendant la plus grande partie de la rotation de la came 969, sa périphérie vient en contact avec le galet 968 et maintient l'interrupteur 959-961 en position fermée. Peu avant la fin du cycle le bossage de la came 969 s'éloigne du galet 968 et, à cet instant, le bras 954 est sous la tension du ressort 951.
Par conséquent, lorsque la périphérie de la came 969 dégage le trajet du galet 968, le ressort 951 tire le levier-interrupteur 954 vers la gauche, ce qui ouvre l'interrupteur 961 et coupe le circuit électrique du moteur 1216 (fig. 20).
Lorsque ce circuit est ainsi coupé, la machine est bloquée en position finale par un épaulement 970 (fig. 18) du cliquet 195 qui se trouve coincé entre le goujon 971 du disque 196 et l'extrémité supérieure de la butée 972 fixée à l'axe 350.
Lorsque, de la manière décrite ci-dessus, l'arbre 350 tourne dans le sens senes- trorsum à la suite de l'enfoncement d'une touche de déclenchement, la butée 972 est dégagée de l'épaulement 970 du cliquet 195 et un ressort 973 fixé à l'extrémité libre du cliquet d'embrayage 195 et à un goujon du disque 196, bascule alors le cliquet 195 dans le sens senestrorsum pour l'engager avec l'embrayage 194, de façon à entraîner l'arbre à came 200, comme décrit ci-dessus.
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Lorsque le bras 950 (fig. 19) est renvoyé dans son logement par le galet 965 (voir fit.
103), le bras 963, le levier coudé 946 et l'axe 350, l'extrémité supérieure de la butée 972 (fig. 18) vient s'intercaler sur le trajet de l'épaulement 970; et, par conséquent, lorsque celui-ci vient en contact avec la butée 972, le cliquet 195 est écarté du débrayage 194 pour débrayer le moteur 1216 (fig. 20); au même instant, la butée 972 (fig. 18), l'épaulement 970 et le goujon 971 bloquent de façon positive .l'axe 200 dans sa position finale.
Le cliquet à ressort 9711, de non-répétition (fig. 27 et 103), est prévu pour empêcher, tant que la machine n'a pas terminé sa première opération, un déclenchement prématuré au cas où une touche de déclenchement resterait enfoncée.
Opération fraonocycle d'addition: Comme décrit ci-dessus, l'embrayage 205 (fig. 17 et 18) et les cames d'entraînement différentielles 204 (fig. 13) des rangées de transactions, sont montées de façon à pivoter indépendamment de l'arbre à came principal 200. L'embrayage 205 et les cames 204 de la troisième rangée de transactions sont montés sur le manchon 199 (fig. 7) et sont engrenés avec le mandrin 203 par les engrenages 198, 197, 201 et 202 de façon que les cames 204 de la première et de la seconde rangées de transactions soient entraînées en même tamps que l'embrayage 205 et les cames 204 de la troisième rangée différentielle.
Normalement, les mandrins 199 et 203 sont reliés à l'arbre principal 200 par un mécanisme d'embrayage qui embraye l'arbre 200 sur le mandrin 199 et qui fait l'objet de la description ci-dessous.
Un disque 981 est fixé à l'arbre principal 200 (fig. 7 et 17). Un cliquet d'embrayage 982, articulé sur le disque 981 est normalement maintenu sur le disque d'embrayage 205 par le ressort 983. Le ressort 983 rattache le cliquet d'embrayage 982 au cliquet de retenue 984, également engagé normalement au disque d'embrayage 205. Lorsque le moteur entraîne l'arbre 200 dans le sens dextrorsum (fig. 17), le cliquet 982 étant engagé avec le disque d'embrayage 205, ce disque fait alors que le cliquet 982 fait tourner le disque 981 et l'arbre principal 200 dans le sens destrorsum. Pendant toute l'opération monocycle d'addition, le cliquet d'embrayage 982 reste bloqué sur le disque d'embrayage 205 et par conséquent les cames 204 tournent sur l'arbre 200.
A la fin de cette opération, quand l'épaulement 970 (fig. 18) porté par le cliquet 195 vient en contact de l'extrémité du bras de butée 972, la machine s'arrête suivant la manière décrite ci-dessus.
Pendant ce fonctionnement à un cycle de l'arbre principal 200, les différentiels de montant opèrent et le mécanisme actionnant les totalisateurs sont mis en oeuvre pour embrayer les totalisateurs avec les entraîneurs en position d'addition, sous le contrôle de la touche de transaction, selon le processus décrit ci-dessus. Opération de total à deux cycles: Le groupe de totalisateurs arrière, précédemment décrit, est constitué de totalisateurs intercalé; il est par suite nécessaire de faire une opération préliminaire, dans l'opération de total, pour donner le temps de déplacer le groupe afin de sélectionner le totalisateur convenable et l'aligner avec les entraîneurs différentiels avant qu'on puisse en extraire les totaux.
Cependant, il n'est ni nécessaire ni désirable d'actionner les entraîneurs de montant pendant le premier des deux cycles. Pour ce faire, l'arbre à came 200 est débrayé du manchon 199 pour permettre aux cames différentielles de transaction 204 d'opérer indépendamment de l'arbre à came 200 au cours du premier des deux cycles. Ce débrayage s'opère par l'interm-diaire du cliquet d'embrayage 982 (fit. 17) qui s'échappe de son logement dans l'organe d'embrayage 205 au commencement de l'opération. Lc débrayage du cliquet 982 s'effectue sous le contrôle de la touche de Découvert 123, de la touche de Total 126 et de la touche de Sous-Total 127.
L'enfoncement de la touche 123, 126 ou 127 déplace une glissière de commande 634 (fig. 17) vers le haut, au moyen du goujon 579 d'une quelconque de ces trois touches, s'appuyant contre une arête-came 991 formée dans la glis-
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Bière 634. Celle-ci est montée librement sur quatre rouleaux 884 supportés par le bâti de touches. L'extrémité droite de la glissière de commande 634 est arrondie en 992 et un bras 993 est normalement maintenu en contact avec cette extrémité au moyen d'un ressort. Un bras 994, articulé au bras 993, s'appuie sur un têton 995 monté à l'extrémité supérieure d'une coulisse 996 munie d'une encoche dans laquelle s'engage le têton 693 pour guider la biellette 996 dans son mouvement de haut en bas.
La partie inférieure de la biellette 996 est articulée à un bras 998 d'un étrier pivotant autour d'un têton 997 porté par le bâti de la machine. Un deuxième bras 999 de l'étrier est muni d'un ressort 1000 qui, normalement, sollicite l'étrier 998-999 dans le sens dextrorsum, maintenant ainsi la coulisse 996 à sa position supérieure et le têton 995 contre le bras 994 pour garder le bras 993 en contact avec l'extrémité arrondie 992 de la glissière de commande 634. L'étrier 998-999 est muni d'une barre 1001 qui, normalement actionne un doigt 1002 d'un bras de contrôle de cycle 1003, libre sur un têton 1004.
Un ressort 1005 bandé entre un têton 1006 d'un bras 1003 et un doigt d'un cliquet 1007, maintient normalement une collerette 1010 sur la partie basse du bras 1003 contre l'extrémité d'un bras 1009. Le ressort 1005 maintient un têton 1008 du cliquet 1007 en contact avec un doigt porté par un bras d'arrêt 1009 fixé sur sur l'arbre 350.
L'abaissement de l'une des touches 123, 126 ou 127 agissant par l'intermédiaire de la glissière de commande 634, abaisse la biellette 996 pour déplacer l'étrier 998-999 et agir sur la barre 1001 alors en dehors de la trajectoire de l'extrémité supérieure du bras 1003, et met en place cet organe 1001 en face d'une partie évidée du bras 1003, de manière à permettre un mouvement libre de ce dernier lorsqu'il est libéré.
La bielle 996 étant abaissée, l'arbre 350 pivote dans le sens senestrorsum comme on l'a indiqué ci-dessus et le bras d'arrêt 1009 s'échappe alors de la trajectoire de la collerette 1010, permettant ainsi au ressort 1005 de faire pivoter le bras 1003 dans le sens senestrorsum. Ce mouvement est arrêté lorsqu'un têton 1011 entre en contact avec la paroi 10l2, prévue sur le bâti latéral de la machine. Le bras 1003 étant stoppé, une arête 1013 dudit bras est alors placée sur la trajectoire d'un prolongement 1014 du cliquet d'embrayage 982.
Lorsque la machine commence à fonctionner, cette arête 1013 étant sur la trajectoire du prolongement 1014, ce prolongement vient en contact avec l'arête 1013 peu de temps après que la machine a commencé son cycle et la continuation de la rotation du disque 981, supportant le cliquet 982, fait que ce dernier est basculé dans le sens dextrorsum pour le libérer de l'organe d'embrayage 205, de sorte que le disque 981 n'est pas déplacé alors que l'arbre à came principal 200 reste en place. Cette rotation partielle .de l'arbre 200 n'est pas suffisante pour mettre en mouvement le mécanisme différentiel de montant.
Les cames différentielles de transaction 204 continuent cependant à tourner et, par l'intermédiaire du troisième différentiel de transaction, actionnent les cames de déplacement des totalisateurs pour la sélection d'un totalisateur, par alignement des éléments du totalisateur sélectionné avec les organes entraîneurs selon le processus décrit plus haut. Le cliquet d'embrayage 982 étant libéré de son contact avec l'épaulement de l'élément d'embrayage 205, il peut se déplacer sur la partie périphérique de cet élément. Pendant le premier cycle de fonctionnement, une came 1021, fixée sur l'arbre 193, est en contact avec un galet 1015 monté sur le bras 1003 de contrôle de cycle et bascule ce dernier dans le sens dextrorsum au-delà de sa position de repos.
Lorsque le bras d'arrêt 1009 est basculé dans le sens senestrorsum au moment du déclenchement de la machine, la collerette 1010 se déplace entre le bras d'arrêt 1009 et le cliquet 1007. Lorsque le bras 1003 est ramené au-delà de sa position de repos par la came 1021, le bras d'arrêt 1009 reste à sa nouvelle position et lorsque la collerette 1010 s'échappe de l'intervalle compris entre le bras 1009 et le cliquet 1007, le ressort 1005 amène le cliquet de contact avec le bord de la collerette 1010 pour maintenir le bras 1003 légèrement en dehors de sa position de repos et garder l'arête 1013 hors de la trajectoire du prolongement 1014 du cliquet
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d'embrayage 982.
Pendant le commencement du second cycle de fonctionnement, lorsque l'élément d'embrayage 205 passe sous le cliquet d'embrayage 982, le ressort 983 fait basculer le cliquet et le met en prise avec l'élément 205 et ainsi, pendant le second cycle d'une opération de total à deux cycles, l'arbre à came principal 200 tourne avec les cames différentielles de transaction. Vers la fin du second cycle, l'arbre 350 est ramené en position de repos selon le processus et décrit plus haut, mettant ainsi le bras d'arrêt 1009 sur le trajet de la collerette 1010 et par l'intermédiaire du goujon 1008, libère le cliquet 1007 de la collerette 1010.
Lorsque la touche enfoncée 123, 126 ou 127 est libérée pour revenir à sa position normale le ressort 1000 soulève à nouveau l'étrier 998- 999 pour placer la barre 1001 sur le trajet du doigt 1002 du bras de contrôle de cycle 1003.
Le galet 965 (fig. 103) est tenu entre le disque 966 et la came 975 fixée sur l'arbre à came principal 200, et comme ce dernier ne tourne pas pendant tout le premier cycle d'opération l'arbre 350 n'est basculé pour libérer l'arbre 264 qu'à la fin du second cycle de l'opération de total à deux cycles.
Le disque 966 est muni de deux logements 1016 et 1017 (fig. 103). Lorsque le logement 1016 est à sa position de repos, un cliquet 1018 articulé sur un axe 1019 s'y engage. Sur une rotation initiale de l'arbre 200 dans le premier des deux cycles, le cliquet 1018 tombe dans le logement 1017, qui est distant du-logement 1016 d'une longueur égale à celle qui est nécessaire à l'arbre 200 pour désolidariser le cliquet d'embrayage de l'élément d'embrayage 205. Un ressort 1020 maintient le cliquet 1018 en contact constant avec le. disque 966. Détentes de contrôle des rangées de transactions: Les fig. 31 à 41 représentent un ensemble de détentes ou glissières de contrôle disposées dans les première, seconde et troisième rangées de transactions, pour contrôler les différentes fonctions de la machine.
Chaque rangée de transactions est munie d'une glissière de contrôle 612 (fig. 31), qui est en forme de fourche pour engager un têton 611 sur un bras 615, goupillé sur l'arbre de déclenchement 264. Lorsque la machine est prête à fonctionner et que l'arbre 264 est basculé dans le sens, senes- trorsum (fig. 31), le bras 615 déplace la glissière de contrôle 612 vers la droite pour déverrouiller toutes les touches non enfoncées et verrouiller les touches enfoncées dans leur position, selon un processus bien connu dans ce genre de machine.
A la fin de l'opération, lorsque l'arbre 264 est ramené à sa position initiale, la glissière 612 est déplacée vers la droite pour libérer les touches et permettre l'enfoncement d'une autre touche pour la nouvelle opération.
Le système auquel la présente machine est appliquée suppose qu'après une opération de reprise d'ancien solde débiteur ou créditeur, les touches 131 ou 138 ne peuvent être enfoncées à nouveau jusqu'à ce que l'opération de Solde déclenchée par la touche 121, ou l'opération de découvert déclenchée par la touche 123, soit effectuée.
Pour permettre un tel contrôle, les touches 121 et 123 de la première rangée de transaction actionnent une glissière de contrôle 620 (fig 32) et les touches 131 et 138 de la seconde rangée de transactions actionnent une plaque de contrôle 621 (fig. 33). La plaque de contrôle 621 est montée sur quatre galets 884 et est poussée vers la droite par un ressort 623. Une détente 622 (fig. 35) est également montée sur les galets 884 et un ressort 624 tend à déplacer la détente 622 vers la gauche. L'enfoncement de la touche d'ancien solde 131 ou de la touche de reprise de découvert 138 par l'intermédiaire d'un ergot de touche 579 mettant en contact une arête-came 625 et la plaque de contrôle 621, décale celle-ci vers la gauche contre l'action d'un ressort antagoniste 623.
Ce mouvement de la plaque de contrôle 621, actionné par la came 626, soulève le cliquet de retenue 627 au-dessus d'un ergot placé à l'extrémité gauche de la plaque 621. Ce mouvement du cliquet 627 l'éloigne du bord gauche de la plaque 622 et permet au ressort 624 de la déplacer vers la gauche pour l'amener en butée sur l'axe 633. Quand les touches 131 ou 138 sont ramenées à leur position non enfoncée, la plaque 622 se déplace vers la gauche,
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autant .que le permet l'axe 633, les parties horizontales des ouvertures dans la plaque 622 s'engagent sous les ergots 597 des touches 131 ou 138, évitant ainsi un enfoncement postérieur de ces deux touches tant que la plaque 622 n'est pas revenue à sa position normale.
Le rappel en position normale de la plaque de contrôle 622 est effectué soit par la touche de Solde 121 soit la touche Découvert 123 de la première rangée de transaction; ces touches sont munies d'ergots 579 s'appuyant contre les arêtes-came 629 de la plaque de contrôle 620. Celle-ci comporte un têton s'enclenchant sur l'extrémité en forme de chape du bras d'un étrier articulé sur l'axe 632. Un second bras de l'étrier 631 est muni d'un têton 633 placé sur la trajectoire de la plaque de contrôle 622 (fig. 35). Lorsque celle-ci occupe sa position de gauche, position où les touches 131 et 138 sont verrouillées contre l'enfoncement, l'extrémité gauche de la plaque touche le têton 633.
Après enfoncement de la touche 121 ou 123, l'ergot 579 vient contacter l'arête- came 629 pour déplacer la plaque de contrôle 620 vers la droite, faisant basculer l'étrier 631 dans le sens senestrorsum, poussant ainsi le têton 633 contre l'extrémité de la plaque 622 et ramenant cette dernière à sa position initiale, dans laquelle elle est maintenue à nouveau par le cliquet 627. Détentes des touches de contrôle: Chaque rangée de touches de contrôle est munie d'une détente maintenant les touches non motrices en position enfoncée jusqu'à ce qu'une touche motrice puisse être enfoncée à son tour. La fi-. 39 représente la détente de la seconde rangée de transactions. Les touches 135, 136 et 137 de cette rangée sont des touches non motrices.
Une détente 595, supportée par les galets 884 précédemment décrits, est associée aux touches 135, 136 et 137 de la deuxième rangée. Un ressort 596, attaché à un oéilleton du bord supérieur de la détente 595 maintient les rampes des cames 598 au contact des ergots 579 des touches (135, 136, 137). L'enfoncement de l'une d'elles éloigne les ergots 579 de l'arête- came 598 et provoque le déplacement vers la gauche de la détente jusqu'à ce que l'ergot 579 passe au-dessus de la came 598.A ce moment, le ressort 596 repousse la détente 595 vers la droite, au-dessus de l'ergot 579, pour maintenir la touche en position enfoncée.
Vers la fin de l'opération, la détente 595 est déplacée vers la gauche au moyen du dispositif décrit ci- dessous, pour rappeler la touche utilisée.
Un interverrouillage 5102 (fig. 30) est prévu pour les rangées de touches de transactions pour éviter que l'on puisse actionner deux touches adjacentes. Les ergots 579 de deux touches non consécutives sont susceptibles d'être engagés soit avec des arêtes-cames 5111, soit avec des ouvertures en forme de L, désignées par 5121. Un ressort 5131 maintient la détente 5102 dans la position représentée. La présence d'un ergot 579 dans une ouverture en forme de L (5121) empêche la manoeuvre de la touche adjacente; l'enfoncement d'une touche dont l'ergot 579 est en contact avec la came 5111, provoque le déplacement de la section horizontale de l'ouverture en forme de L sous l'ergot 579 des touches respectives.
Glissières de commande de verrouillage: A chacune des trois rangées de contrôle, est associée une glissière de contrôle 612 (fig. 31) qui s'engage, sur l'ergot 579 de la touche enfoncée pour la maintenir dans cette position, ou pour verrouiller les touches de la même rangée dans leur position de repos. La glissière de contrôle 612 est terminée par une fourche enserrant l'ergot 611 du bras 615 goupillée sur l'axe 264. II existe un bras 615 pour chaque rangée de contrôle.
Lorsque l'axe de déclenchement est actionné dans le sens senestrorsum (fi-. 31), la glissière de contrôle 612 se déplace vers la droite pour maintenir les ergots 579 des touches respectives, de manière à verrouiller les touches au repos, dans leur position de repos et les touches enfoncées dans leur position de travail.
Vers la fin de l'opération, lorsque l'arbre 264 est remis en position initiale, la glissière de contrôle 612 engage un ergot 614 de la détente 595 (fig. 39) pour déplacer cette dernière vers
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la gauche contre l'action du ressort 596 ce qui assure en définitive la libération des touches enfoncées 136, 137, 135.
Glissière d'interverrouillage entre les touches de total et les touches de montants: Un interverrouillage est prévu entre les touches de total de la rangée 1 et les touches de montants 120, pour empêcher le déclenchement de la machine si une touche de montants est enfoncée avant qu'une touche de Total ne le soit. Cet interverrouillage est nécessaire pour empêcher les erreurs lorsque les totaux sont pris, puisque, durant les opérations de total, les entraîneurs de montants doivent être libres pour pouvoir être commandés par les roues totalisatrices.
Lorsqu'une touche de montants 120 est enfoncée, un bossage (fig. 40) se trouve placé sur la trajectoire d'une plaque 223 (fig. 8) solidaire d'un étrier 2671, dont un des bras (fig. 36) est articulé à une bielle 637 dont l'autre extrémité est munie d'un ergot 638. L'ergot 638 se déplace dans une rainure à baïonnette 639 (fig. 41) pratiquée dans un bras 640 solidaire de l'arbre de déclenchement 264. L'ergot 638 se déplace aussi dans une rainure 641 pratiquée dans un levier 642 axé sur un tourillon porté par le bâti de la machine. Le levier 642 est relié au bras 644 au moyen d'une biellette 645. Le bras 644 est fixé sur un axe court 1630 (voir fig. 40) porté par le panneau droit du clavier.
Sur le même axe 1630 se trouve mondé un bras 1629 muni d'un ergot 646 solidaire de l'extrémité d'une glissière de contrôle 647 par l'intermédiaire d'un ressort 648 tendu entre le bras 644 et un ergot du bâti de clavier. Le ressort 648 maintient, grâce au bras 644, à l'axe 1630, au bras 1629 et à l'ergot 646, des arêtes-cames 649 de la glissière de contrôle 647 au contact des ergots 579 des tiges de touches de total.
Lorsqu'une touche de total est enfoncée, son ergot 579 parcourt l'arête-came 649 et repousse la glissière de contrôle 647 vers la gauche (fig. 40). L'extrémité de celle-ci agissant sur l'ergot 646, bascule le bras 1629, l'axe 1630 et le bras 644 (fig. 40 et 41); déplaçant ainsi la biellette 645 vers la gauche, pour faire osciller le levier 642 à l'instant précis où l'ergot 638 doit pénétrer dans la partie verticale inférieure de la rainure 639 pratiquée dans le bras 640.
Lorsque l'arbre 264 est actionné par une touche déclenchant la machine, le bras 640 agissant par la rainure 639, bascule l'ergot 638, la biel- lette 637, le bras 636 et l'étrier 2671 dans le sens senestrorsum. Cependant, si au moment où l'arbre 264 est déclenché, une touche de montant 120 est en position enfoncée, l'étrier 2671, le bras 2661 et la plaque 223 sont immobilisés par le bossage 635 de la touche de montants 120 en prise avec la plaque 223. Si aucune des touches 120 n'est enfoncée, la plaque 223 est libre et par suite l'arbre de déclenchement 264 peut fonctionner.
L'étrier 2671 est maintenu dans sa position normale par un ressort 1267 (fig. 34) relié à un bras 1268 comportant un épaulement au contact de la partie inférieure de l'étrier. Le bras 1268 est limité dans sa course sous l'action du ressort 1267 grâce à une butée d'un doigt de ce bras coopérant avec un ergot 1269.
Commande de butées d'arrêt à zéro pour les opérations de total: Les cliquets d'arrêt à zéro 258 ne doivent pas être en position de travail pendant les opérations de total, afin que les entraîneurs de montants puissent être mis en position par les roues du totalisateur sélectionné. Ceci est obtenu par un bras d'arrêt 650 (fig. 38) solidaire de l'axe 1630. Lorsque cet axe est actionné par une touche de total, au moyen de la glissière 647, de l'ergot 646 (fig. 40) et du bras 1629, le bras d'arrêt 650 est placé sur la trajectoire d'une collerette 651 (fi-. 38) montée sur un curseur 652.
Celui-ci est fourchu à sa partie supérieure afin qu'il puisse coulisser sur l'axe 1630; il est fixé à sa partie inférieure à un bras 653 solidaire du moyeu de l'étrier 272 qui, de la manière connue, est libéré dans toutes les opérations pour amener les arrêts à zéro en position active.
Si l'étrier 272 étant relâché, la touche de total est enfoncée et si le bras 650 recouvre la collerette 651, l'étrier 272 ne peut suivre car il est bloqué par le bras d'arrêt 650 qui agit par l'intermédiaire de la collerette 651, du curseur 652 et du bras 653.
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Par conséquent, les cliquets d'arrêt à zéro ne peuvent venir en position de travail; les organes entraîneurs sont libres et peuvent être commandés par les roues du totalisateur sélectionné. Détente de verrouillage pour le solde provisoire: La touche 139 du solde provisoire est, en temps normal, bloquée en position de repos.
Lorsqu'elle est libérée puis enfoncée elle est à nouveau verrouillée pour n'être dégagée que par le levier à commande manuelle 153 (fig. 37) faisant partie d'une détente 680. L'ergot 579 correspondant à cette touche repose normalement dans une encoche 681 de la détente 680 et un ressort 682 l'appuie constamment contre la paroi gauche de l'encoche. Lorsqu'on veut pouvoir enfoncer la touche 139, on repousse manuellement le levier 153 (fig. 37) vers la gauche jusqu'à ce qu'une ouverture 683 de la détente 680 soit en regard de l'ergot 579 et soit maintenue dans cette position; la touche de solde peut alors être enfoncée.
Ensuite, le levier 153 est relâché et le ressort 682 pousse la détente 680 vers la droite (fig. 37) jusqu'à ce qu'une encoche 684 de la détente 680 soit amenée sur l'ergot 579 ce qui immobilise la touche. L'encoche 684 est moins profonde que l'encoche 681, de sorte que la détente 680 est maintenue plus à guache que ne le laisse voir la fig. 37.
Au même moment, des encoches horizontales 685 de la détente 680 emprisonnent les ergots de touches 133, 134, 135, 136, 137, empêchant ainsi leur enfoncement tant que la touche 139 l'est elle aussi sous l'action de la détente 680. Mécanisme d'impression: Comme on l'a indiqué ci-dessus la machine comporte trois sections d'impression qui sont: un mécanisme pour impression d'une bande de contrôle, un mécanisme pour impression d'un livret et un autre pour l'impression d'une carte de compte. Le second mécanisme opère sur quatre colonnes tandis que le troisième est prévu pour écrire sur cinq colonnes.
Dans chacun des cas, on a prévu un marteuu imprimeur individuel pour chaque colonne ce qui fait au total neuf marteaux, qui sont sélectionnés au moyen de disques de commande à encoches positionnés par les trois mécanismes différentiels de transactions. En plus des disques encochés placés sous la commande des mécanismes différentiels, certains autres disques sont commandés par les palpeurs de carte et de livret, pour débrayer les marteaux sélectionnés quand aucun livret, ni aucune carte ne se trouve dans la machine.
Une commande supplémentaire est nécessaire pour mettre hors de service le mécanisme de déclenchement de la machine, après que la dernière ligne a été imprimée soit sur la carte, soit sur le livret, soit sur les deux.
La découpe des encoches des différents disques de commande dépend de l'application de la machine et de l'utilisation à laquelle on la destine. Dans le système utilisant le clavier représenté ici, l'encochage des disques commandés par le différentiel des transactions est appliqué sur les graphiques des fig. 12 et 105. Disques de commande des marteaux dateurs: Chacun des marteaux imprimant la date à la fois sur le livret et sur la carte est commandé par quatre disques 1401, 1402, 1403 et 1404 (fig. 67A), et l'entaillage de ceux-ci dans chaque groupe est représenté aux emplacements 1 et 3 (fig. 105). L'entaillage est identique pour ces deux groupes, de sorte qu'on imprime une date sur le livret et sur la carte de compte en une seule opération.
Les quatre disques 1401, 1402, 1403 et 1404 sont munis de dents internes et tournent sur des disques semblables aux disques 761 (fig. 13). Les dents internes engrènent avec des pignons, semblables aux pignons 742, montés sur des arbres carrés et actionnés de la même façon.
Les disques 1401 et 1404 sont positionnés par le différentiel de la première rangée de transactions; les disques 1402 par le mécanisme de la troisième; et les disques 1403 par le mécanisme de la seconde.
Sur la fig. 105, deux colonnes sont intitulées côté A et côté B . Ces indications se rapportent aux côtés des palpeurs qui coopèrent avec les disques. La légende côté A se rapporte au doigt palpeur supérieur et la légende côté B au doigt palpeur inférieur. La légende Bras se rapporte à l'extrémité
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des palpeurs sur lesquels sont montés les cliquets palpeurs, les bras palpeurs coopérant aussi avec un disque, comme indiqué sur la fig. 67Â. Il faut noter que les encoches sont de deux profondeurs, comme indiqué sur le tableau de fig. 105.
Pour faire imprimer la date au marteau, une encoche profonde est nécessaire pour le bras et pour le côté A du palpeur ou pour les deux côtés B du palpeur, les palpeurs ayant deux doigts côté B et un côté A , comme l'indique le tableau.
La façon dont les disques commandent le marteau imprimant la date, sera décrite à propos du mécanisme général d'actionnement du marteau. Disques de commande des marteaux de solde: Les marteaux Solde pour le livret et la carte sont chacun commandés par quatre disques 1405, 1406, 1407 et 1408 (fig. 67A et 67B) et l'entaillage des encoches de ces quatre disques est représenté aux emplacements 2 et 4 (fig. 105). Il est identique pour les deux groupes, de sorte que le Solde peut être imprimé sur le livret et la carte en une seule opération.
Les disques 1405, 1406, 1407 et 1408 sont montés sur d'autres disques, de la même manière que les disques 1401, 1402, 1403 et 1404. Les disques 1406 et 1408 sont réglés par le différentiel de transaction de la première rangée et les disques 1407 par le différentiel de la seconde. Les disques 1405 sont réglés par un mécanisme sous contrôle des palpeurs du livret et de la carte, de la façon décrite plus loin. Disques de commande des marteaux retrait : Les marteaux Retrait pour le livret et la carte sont chacun commandés par trois disques 1409, 1410 et 1411 (fig. 67A et 67B), et les systèmes d'encoches pour ces trois disques sont représentés aux endroits 1 et 4 du tableau de la fig. 12.
La denture est identique pour les deux groupes, ce qui permet d'imprimer les Retraits sur le livret et sur la carte en une seule opération.
Les disques 1409, 1410 et 1411 sont montés de la même manière que les disques 1401, 1402, 1403 et 1404. Les disques 1409 sont réglés par le différentiel de transaction de la première rangée, les disques 1410 par le différentiel de la seconde rangée et les disques 1411 par le différentiel de la troisième rangée de transactions. Disques de commande des marteaux Intérêts Dépôt : Les marteaux Intérêts Dépôt pour le livret et la carte sont chacun commandés par trois disques 1412, 1413 et 1414 (fig. 67A et 67B) et les encoches de ces disques sont figurées aux endroits 2 et 5 du tableau de la fig. 12. Les systèmes d'encoches sont identiques dans les groupes de disques, ce qui permet d'imprimer les dépôts ou les intérêts sur le livret et sur la carte en une seule opération.
Les disques 1412, 1413 et 1414 sont montés de la même façon que les disques 1401, 1402, 1403 et 1404. Les disques 1412 sont réglés par le différentiel de la première rangée, les disques 1413 par le différentiel de la deuxième rangée, et les -disques 1414 par le différentiel de la troisième rangée de transactions.
Disques de commande du marteau Ancien Solde L'ancien solde est imprimé seulement sur la carte de compte et non sur le livret. Un seul disque 1415 (fig. 67A) est nécessaire pour commander les opérations de ce marteau; sa denture est représentée dans la case 3 du tableau de la fig. 12. Le disque 1415 est réglé sous contrôle du différentiel de la seconde rangée de transactions.
Mécanisme d'actionuemeut des marteaux impri- meurs: Les neufs marteaux imprimeurs pour la carte et le livret sont actionnés sélectivement par les disques 1401 à 1415 inclus. Comme le mécanisme d'actionnement est le même pour chaque marteau, on n'en a montré qu'un seul dans une vue en élévation. Le mécanisme d'actionnement du marteau pour la colonne Solde du livret est représenté à la fig. 70. Les mêmes numéros de référence sont appliqués aux parties correspondantes de chacun des neuf mécanismes de manoeuvre des marteaux. On les a représentés suivant une vue en plan
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sur les fig. 69A et 69B.
Chaque marteau 1420 comporte deux bras reliés par un manchon pivotant sur un arbre 1421. Entourant les deux bras 1420, se trouve une pièce 1422 en forme d'U, sur laquelle est montée une platine 1423. La pièce 1422 est munie d'une oreille 1424 dirigée vers le bas, montée sur pivots entre une paire de biellettes 1425 formant genouillère. L'extrémité opposée de la biellette 1425 est articulée à un goujon 1426 porté par un bras 1427 lui-même monté sur un arbre 1428 (voir aussi fig. 71 et 72). L'arbre 1428 est supporté de façon flexible par des ressorts 1429, prévus au nombre de trois. un à chaque extrémité de l'arbre et un au centre, pour servir de support flexible à l'arbre.
Le ressort 1429 est placé dans une ouverture située à la base de la machine et peut être réglé à l'intérieur à l'aide d'une vis de réglage 1430. Chaque extrémité de l'arbre 1428 est montée sur un coussinet 431 ayant une ouverture allongée pour permettre un jeu de haut en bas de l'arbre 1428.
Le montage flexible comprenant les ressorts 1429 est prévu pour donner à la platine 1423 la souplesse de fonctionnement, de manière à obtenir des impressions uniformes sur le livret quel que soit le nombre de feuilles qui peuvent se trouver entre le marteau et les roues irnpri- meuses. Si le marteau était réglé pour donner une bonne impression lorsqu'une seule page se trouve dessous, l'impression serait alors trop forte quand on imprimerait sur la dernière page du livret. Pour permettre cette variation d'épaisseur, on a disposé les ressorts 1429 qui permettent un certain degré de réglage et de souplesse pour rendre uniformes toutes les impressions sur le livret.
Articulée au goujon 1426 de la genouillère formée par les bielles 1425 et 1427, se trouve une bielle 1431 dont l'extrémité droite est supportée par un goujon 1432 porté par l'extrémité inférieure d'une bielle 1433 articulée en 1434 à un bras 1435 et monté sur un arbre 1443. L'extrémité droite de la bielle 1431 (fig. 70) est munie d'une encoche 1436 qui peut être abaissée pour engager la tige 1437, portée par une paire de bras de came 1438 monté à pivot sur un arbre 1439. La tige 1437 est assez longue pour franchir la distance séparant les quatre bielles 1431 dans la section d'imprimerie du livret de façon que l'une quelconque des quatre bielles 1431 dans cette section, puisse être abaissée pour accrocher la tige 1437.
Chacun des bras de came 1438 est muni d'une paire de galets coopérant avec une paire de cames 1440 assujetties sur l'arbre d'impression 1441.
Cet arbre 1441 est actionné à partir de l'arbre principal 200 par l'intermédiaire d'un engrenage 5151 (fig. 52) en prise avec l'engrenage 207 et monté sur un goujon 5161 porté par le flasque latéral 161. L'engrenage 5151 est en prise avec un engrenage 517 assujetti à l'arbre d'imprimerie 1441. Le rapport du train des engrenages 207, 5151 et 517 est tel que, pour toute rotation, dans le sens dextrorsum de l'arbre principal 200, l'arbre 1441 prend un mouvement de rotation dans le sens senes- trorsum.
Si, pendant l'opération, la biellette 1433 (fig. 70) est abaissée par commande des disques dentés de la façon décrite plus loin, pour que la biellette 1431 soit accrochée à la tige 1437, une oscillation des bras 1438 et de la tige 1437 dans le sens senestrorsum déplace la biellette 1431 vers la droite (fig. 70), pour armer la genouillère formée par les biellettes 1425 et le bras 1427, lever le marteau 1420, le faire pivoter autour de son arbre 1421 et produire une impression sur le livret, à l'aide des roues 465.
La biellette 1433 est ou non abaissée pour accrocher l'extrémité droite de la biellette 1431 à la tige 1437, suivant la disposition des disques de commande encochés 1405 à 1408 décrits plus haut.
Le bras 1435 est tourillonné à un bras 1442 pivotant sur l'arbre 1443. L'extrémité libre de ce bras fait en outre pivoter un bras palpeur 1444, qui est poussé vers la gauche (fig. 70) par un ressort 1445 dont une extrémité est reliée à une tige 1446 supportée par les bâtis 160, 163 et 164 (fig. 3). L'autre extrémité du ressort 1445 (fig. 70) est reliée à un goujon qui forme la jonction à pivot entre les bras 1444 et 1442.
Le mouvement senestrorsum (fig. 70) du bras
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1444 est limité par un goujon du bras 1435 qui repose sur un bras 1448 fixé à l'arbre 1443 (voir aussi fig.:42). Le bras 1448 est muni de deux galets 1449, coopérant avec une paire de cames 1450 goupillées sur l'arbre principal 200.
Les cames 1450 sont appropriées pour faire osciller le bras 1448 une fois que les plaques de contrôle, telles que 1408 (fig. 70), ont été réglées sous la commande des différentiels des rangées de transactions. La rotation des cames 1450 fait osciller le bras 1448 dans le sens dextrorsum pour permettre au ressort 1445 (fig. 70) de faire basculer le bras 1435 dans le même sens et abaisser la biellette 1433, quand l'entaillage des disques est tel que les palpeurs 1451, pivotant sur le bras 1444, se déplacent vers la gauche de la manière décrite plus haut. Cette condition se présente quand une encoche profonde se trouve sur le trajet du bras 1444 et du doigt A ou B, comme l'indique le tableau de fig. 105.
Les cliquets palpeurs comprennent un cliquet à pivot comportant deux doigts A et deux doigts B. Les bras palpeurs 1444 pour la colonne Intérêts-Dépôt et les colonnes Retrait ne sont pas munis de cliquets palpeurs à pivot 1451, et dans ces colonnes-là le bras palpeur 1444 est muni de galets 1453 ((fig. 67A) coopérant avec les plaques de contrôle. Le bras palpeur 1444 de la colonne où est imprimée la date, est muni d'un cliquet palpeur 1451 ayant deux doigts B et un doigt A pour travailler avec les plaques commandant l'impression de la date dans la première colonne.
Le bras 1448 pour la colonne Solde possède des galets 1449 qui coopèrent avec les cames 1450 de la façon indiquée. Le bras 1448 est fixé à l'arbre 1443 auquel est aussi fixé un bras 1448 flour chacun des mécanismes de marteau imprimeur. Donc, quand les cames 1450 font osciller l'arbre 1443, tous les bras 1448 oscillent et rappellent toutes les biellettes 1433, qui s'abaissent sous la commande de leurs plateaux de commande respectifs. Mécanismes palpeurs du livret de la carte: Chaque section du dispositif d'imprimerie, c'est-à-dire la section imprimant sur le livret et celle imprimant sur la carte de compte est munie d'un mécanisme palpeur destiné à palper le livret ou la carte. Si un de ces documents se trouve dans la section d'imprimerie correspondante, les marteaux imprimeurs peuvent fonctionner.
Si au contraire il n'y a ni livret ou in carte dans cette section, le marteau est mis hors de service par le mécanisme palpeur et les marteaux imprimeurs ne fonctionnent pas. Chaque section d'imprimerie est munie d'un palpeur 1460 (fig. 75 et 76) coulissant sur un goujon 1461. L'extrémité inférieure du palpeur 1460 est articulée à un bras 1462 qui est dévié dans le sens senestrorsum (fig. 75) par un ressort 1463, de telle sorte que le palpeur tend normalement à se relever pour entrer en contact avec le livret et la carte. Le bras 1462 est normalement retenu dans la position de la fig. 75 par un cliquet 1464 en prise avec un doigt 1465 du bras 1462.
Le cliquet 1464 pivote sur un bras 1467 (fig. 73) articulé à l'extrémité gauche d'une bielle 1468. Un ressort 1469 tient normalement le cliquet 1464 engagé avec l'extérieur d'un levier 1470 pivotant sur un arbre 1471, sur lequel pivote aussi le bras 1467. L'extrémité droite de la bielle 1468 est articulée à un bras de came 1472 (voir aussi fig. 69A, 69B et 76) qui est muni d'un galet 1473 coopérant avec une carne 1474 goupillée sur l'arbre à came 1441. La came 1474 est munie d'un galet 1475 en contact avec une arête 1476 du bras 1472 quand la came 1474 commence à tourner dans le sens senestrorsum (fig. 73) au début du fonctionnement de la machine.
L'engagement du rouleau 1475 avec le bord 1476 de la came fait tourner rapidement les bras 1472 dans le sens dextrorsum pour déplacer la bielle 1468 vers la gauche (fig. 73), faire basculer le bras 1467 dans le sens contraire et dégager le cliquet 1464 du doigt 1465, permettant ainsi au ressort 1463 de faire tourner le bras 1462 dans le sens senes- trorsum et au palpeur de se soulever.
Si le palpeur 1460 est arrêté par suite de la présence d'un livret ou d'une carte, le bras 1462
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est limité dans sa rotation et par conséquent s'arrête avant que le cliquet 1464 se soit complètement déplacé. En l'occurrence, le cliquet 1464 quitte une encoche 1478 du bras 1462 et parcourt la périphérie 1479 du bras 1462 Si, au contraire, le palpeur 1460 peut s'élever complètement par suite de l'absence de document dans la section d'imprimerie, le bras 1462 suit le cliquet 1464 dans tout son déplacement. Dans ce cas, le cliquet 1464 reste en arrière de l'arête 1480 du levier 1470. Par conséquent, quand le cliquet 1464 retourne à sa position normale, par suite de la came 1474, le levier 1470 tourne dans le sens dextrorsum (fig. 75).
Ce mouvement déplace une biellette 1481, reliée à l'extrémité inférieure du levier 1470, vers la gauche (fig. 75) et la biellette 1481, fait ainsi tourner un bras 1482 dans le sens dextrorsum, sur l'arbre 1439. Le bras 1482 est muni d'une encoche engageant un étrier 1483 pivotant aussi autour de l'arbre 1439 (voir aussi fig. 69A, 69B, 70 et 75) et qui s'étend en travers de toutes les biellettes 1433. Chaque biellette est munie d'un épaulement 1484 situé sur le parcours de l'étrier 1483. Donc, quand celui-ci tourne dans le sens dextrorsum (fig. 70), il reste engagé avec les épaulements 1484 de toutes les biellettes 1433, empêchant celles-ci de descendre pour engager les biellettes sélectionnées 1431 avec la tige 1437.
En conséquence, bien que le marteau imprimeur ait été sélectionné par les disques de commande, les biellettes 1433 ne peuvent pas néanmoins être abaissées, vu qu'elles sont arrêtées par l'étrier 1483 et tous les marteaux imprimeurs 1420 sont ainsi mis hors de service.
Un ressort 1490 (fig. 73) relié à un goujon 1489, maintient un doigt 1486 disposé sur le levier 1470, engagé avec un arbre 1487, pour maintenir le levier 1470, la biellette 1481, le bras 1482 et l'étrier 1483 dans leur position normale.
A la fin du fonctionnement de lamachine, l'étrier 1483 demeure dans sa position supérieure où les biellettes sont maintenues hors service. Au début de l'opération suivante, lorsque le galet 1475 (fig. 73) entre en contact avec l'arête- came 1476 pour déplacer la biellette 1468 vers la gauche et quand le bras 1467 tourne dans le sens senestrorsum un doigt 1488 disposé sur son extrémité inférieure, engage le goujon 1489 pour aider le ressort 1490 à ramener la biellette 1481 et. l'étrier 1483 à leur position normale.
Mécanisme d'avancement des documents: La machine est munie d'une table 1500 (fig. 1) pour recevoir le livret, et d'une autre table 1501 pour recevoir la carte. Le livret ou la carte sont placés sur la table correspondante sous une plaque de guidage 1502 ou 1503 (fig. 68A et 68B), et disposée en alignement avec des ouvertures 1504 et 1505 pratiquées dans les guides 1502 et 1503 pour sélectionner la ligne sur laquelle on doit imprimer la donnée suivante. Un mécanisme est prévu pour faire avancer le livret et la carte de la position dans laquelle on les place à la main, à une position correspondant à un espace de ligne en dessous de la position d'imprimerie, en face des organes imprimants.
Par suite, le livret et la carte seront alimentés ou avancés sur un espace de ligne et l'écriture est imprimée sur la ligne ainsi sélectionnée. Après que la machine a imprimé cette écriture, le livret et la carte peuvent être laissés en position pour recevoir une donnée dans une colonne différente de la même ligne ou être éjectés de la machine, suivant la donnée en question. Ainsi, la carte ou le livret prennent part à trois mouvements: le premier, avancement à partir de la position dans laquelle on les place à la main; le second déplacement de l'espace d'une ligne vers la position d'impression, le dernier mouvement est l'expulsion.
Soit que la carte doive être déplacée de l'espace d'une ligne, soit qu'elle doive être éjectée, l'opération est commandée par les touches de transactions, grâce aux mécanismes différentiels de transaction et à l'aide d'un mécanisme palpeur qui mettent les disques dentés en position pour commander le mécanisme d'avancement et d'éjection.
Rouleaux de tension: Normalement, les rouleaux d'avancement sont séparés pour faciliter l'introduction du
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livret ou de la carte sur les tables respectives Peu avant que le premier mécanisme d'avancement soit actionné - il s'agit du mécanisme destiné à faire passer le livret ou la carte dans la position d'impression - les rouleaux de tension sont soulevés pour appliquer le livret et la carte contre les rouleaux d'avancement de façon que, lorsque ceux-ci fonctionnent, le mécanisme soit en mesure d'accomplir son opération d'avancement.
Mécanisme d'actionnement des rouleaux de tension: Etant donné l'identité des mécanismes d'impression sur le livret et sur la carte, les mêmes nombres de référence sont appliqués aux parties correspondantes de chaque section d'imprimerie. Deux rouleaux de tension 1506 (fig. 74, 76 et 78) sont prévus dans chaque section d'imprimerie. Chaque rouleau 1506 est monté sur un goujon 1507 porté entre une paire de bras 1508. Les bras 1508 sont montés à pivot sur l'arbre 1487 et sont sollicités dans le sens senestrorsum par des ressorts 1509. Chaque bras 1508 est muni d'un galet 1510 normalement engagé avec un bras de came 1511, grâce au ressort 1509.
Le bras 1511 est fixé à l'arbre 1471 ainsi qu'à un autre bras 1512. Une biellette 1513 est articulée au bras 1512 et reliée à son extrémité opposée à un bras 1514 qui pivote sur l'arbre 1439 et porte une paire de galets 1515 coopérant avec une paire de cames 1516 fixées sur l'arbre à cames 1441. La liaison entre la biellette 1513 et le bras de came 1514 comporte une encoche 1517 où s'engage un rouleau 1518 du bras 1514. L'encoche 1517 est plus large que le diamètre du rouleau 1518 pour faciliter la séparation et la liaison de la biellette 1513 et du rouleau 1518 et empêcher les rouleaux de tension d'opérer de la façon décrite plus loin.
Quand le rouleau 1518 s'engage dans l'encoche 1517 et lors de l'opération, les cames 1516 font osciller le bras de came 1514 pour déplacer la biellette 1513 et basculer le bras 1512, l'arbre 1471, ainsi que les bras de came 1511 dans le sens senestrorsum (fig. 74). Cette rotation du bras 1511 permet au rouleau 1510 de suivre la partie 1519 de la came, jusqu'à ce que ce rouleau se place sur la partie extrême de pourtour 1519. Quand le rouleau arrive à cette position, les ressorts 1509 basculent les bras 1508 qui soulèvent les rouleaux de tension 1506 pour mettre le livret ou la carte en contact avec une paire de rouleaux d'avancement 1520.
Ensuite, quand ceux-ci subissent une rotation dans le sens senestrorsum, comme on va le décrire ci-après, le livret ou la carte passent en position d'impression au-dessous des roues irnprimeuses 465 (fig. 74). Mécanisme d'avancement: Le mécanisme destiné à faire tourner les rouleaux d'avancement 1520 et ses diverses commandes, sont représentés aux fig. 76 à 84. Comme le représente la fig. 78, les deux rouleaux d'alimentation 1520 de chaque section imprimeuse sont reliés par un manchon 1521 auquel est fixé un pignon 1522, l'ensemble tournant sur l'arbre 1523. Le pignon 1522 est en prise avec l'engrenage 1524, qui peut pivoter sur le goujon 1525 porté par le bâti de la machine.
L'engrenage 1524 est en prise avec un engrenage 1526 fixé à l'arbre 1527. Deux roues à rochet 1528 et 1529 séparées par le disque 1530, sont aussi fixées à l'arbre 1527. La roue 1528 est embrayée avec le cliquet d'avancement 1531 et la roue 1529 avec le cliquet d'éjection 1532. Les cliquets 1531 et 1532 pivotent sur un goujon 1533 porté par un bras de commande 1534 pivotant sur l'arbre 1527. Un pignon 1535, fixé au bras 1534, est en prise avec les dents 1536 d'une crémaillère 1537 glissant sur une paire de goujons 1538. Cette crémaillère est poussée vers la gauche (fig. 77) par un ressort 1539, mouvement qui est limité par un galet 1540 porté par un goujon 1541 du bâti de la machine.
Pour obtenir un ajustement précis de la crémaillère 1537, des rouleaux 1540 de différents diamètres peuvent être prévus pour faire varier l'étendue du mouvement vers la gauche qu'il est possible d'imprimer à la crémaillère 1537.
Une biellette 1542 relie la crémaillère 1537 à un bras pivotant 1543 monté sur un goujon 1544 porté par le bâti de la machine. Une biellette
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1545 est reliée au bras 1543 et un rouleau 1546 situé sur la biellette 1545, repose dans une fente 1547 du bras 1485 fixé à l'étrier de commande 1483 pour l'imprimerie (fig. 70). La fente 1547 a une longueur suffisante pour permettre un mouvement de glissement de la biellette 1545. L'extrémité droite de la biellette 1545 comporte un pourtour légèrement anguleux 1548 situé sur le trajet du rouleau 1549 du bras 1550 pivotant sur l'arbre 1439. Le ressort 1551 maintient normalement le rouleau 1552 du bras 1550, en contact avec une came 1553, laquelle est fixée sur l'arbre à came 1441 de l'imprimerie.
Quand les pièces sont dans la position représentée à la fig. 77 et que la machine fonctionne, la came 1553 bascule le bras 1550 pour déplacer la biellette 1545 vers la gauche (fig. 77) et bascule le bras 1543 dans le sens senestrorsum, mouvement qui déplace la biellette 1542 à droite, pour entraîner la crémaillère 1537 vers la droite, contre la tension du ressort 1539.
Ce mouvement de la crémaillère 1537 fait tourner le pignon 1535, en même temps que le bras 1534, dans le sens senestrorsum (fig. 77) et par ce moyen, embraye le cliquet 1531 avec la roue à rochet 1528, pour basculer l'arbre 1527 dans le sens senestrorsum. Ce mouvement fait tourner, par l'intermédiaire des engrenages 1526 et 1524. le pignon 1522 dans le sens senes- trorsum, pour faire tourner les rouleaux d'alimentation 1520 eux-mêmes dans le même sens. A ce moment, les rouleaux de tension 1506 ont été relâchés, pour mettre la carte ou le livret en contact avec les rouleaux d'avancement 1520, qui sont ainsi avancés jusqu'à la position d'impression.
La came 1553 comporte un point bas 1554 pour soutenir le cliquet d'avancement 1531 destiné à faire avancer le mécanisme d'un interligne, quand la machine est commandée dans ce but, suivant la manière décrite ci- dessous. Immédiatement après l'opération de commande destinée à déterminer si un interligne doit être effectué ou non, le point bas 1554 actionne à nouveau le cliquet 1531 dans le sens de l'avancement. Vers la fin de l'opération d'avancement, la came 1553 permet au ressort 1551 de ramener le bras 1550 à sa position initiale permettant ainsi au ressort 1539 de ramener la crémaillère 1537, la biellette 1542, le bras 1543 et la biellette 1545 à leur position initiale.
Pendant ce mouvement, le bras 1534 est basculé dans le sens dextrorsum et, se déplaçant dans ce sens, le cliquet d'éjection 1532 embraye la roue à rochet 1529 et fait tourner l'arbre 1527 dans le sens dextrorsum. L'arbre 1527, par l'intermédiaire des engrenages 1526 et 1524, ainsi que le pignon 1522, fait tourner les rouleaux d'avancement 1520 dans le sens dextrorsum pour éjecter le livret ou la carte hors de la machine. Quand le palpeur 1460 (fig. 75) décèle l'absence de document et que l'étrier 1483 met ainsi hors de service les marteaux d'imprimerie, comme on l'a déjà décrit, le bras 1485 est levé, à partir de la position représentée à la fig. 77, puisque le bras 1485 est solidaire de l'étrier 1483.
Quand le bras 1485 est ainsi soulevé, grâce à la dépendance mutuelle entre le fente 1547 et le rouleau 1546, l'arête-came 1548 est écartée du chemin du rouleau 1549. Par conséquent, quand la came 1553 est actionnée, le bras de came 1550 est à l'état de repos. De ce fait, lorsqu'il n'y a pas de livret, ni de carte dans la machine, le mécanisme d'avancement ne fonctionne pas. Commande de l'interligne: Comme on l'a mentionné ci-dessus, la came 1553 comporte un point bas 1554 qui provoque un déplacement d'un interligne du mécanisme d'avancement. Après que le document, auparavant placé manuellement sur la table, a avancé, le point bas 1554 permet au mécanisme de revenir en arrière, à partir de la position représentée à la fig. 84.
Comme le bras 1534 tourne dans le sens dextrorsum à ce moment, la face 1555 contacte l'extrémité 1556 d'un cliquet de retenue 1900, qui sera décrit plus loin. Par la suite, la carne 1553 actionne de nouveau la crémaillère 1537 et le bras d'avancement 1534, pour amener le cliquet 1531 à effectuer l'interligne sur le livret ou la carte.
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Le mouvement de la biellette 1545 est commandé par le bras 1560, faisant partie d'un étrier 1561 (fig. 79) qui comporte un second bras 1562. Les bras 1560 et 1562 pivotent sur un arbre 1563.
Un ressort 1564 (fig. 77) pousse normalement les' bras 1560 et 1562 dans le sens dextrorsum jusqu'à ce que le bras 1560 soit bloqué par un goujon rectangulaire 1565 fixé sur la biellette 1545 déjà mentionnée. Quand celle-ci se meut dans le sens inverse, le goujon 1565 passe au-delà de l'extrémité du bras 1560, permettant au ressort 1564 de soulever le bras 1560 et d'amener l'extrémité coudée 1566 sur le trajet de retour du goujon 1565. Le changement de position du goujon 1565 est indiqué en pointillé sur la fig. 77.
La portée du mouvement communiqué au bras 1560 par le ressort 1564 est commandée par le goujon 1567 mettant en prise la partie supérieure 1568 de l'extrémité bifurquée de la biellette 1569. Cette extrémité pivote sur un goujon 1599 porté par un bras 1571 monté fou sur l'arbre 1443. Le bras 1571 est relié au bras 1570 par un moyeu et il comporte un goujon 1572 qui contacte normalement un bras 1573 fixé sur l'arbre 1443. Le bras 1571 comporte en outre, une branche 1574 dirigée vers le bas. Une biellette palpeuse 1575 pivote sur le bras 1574 et est fendue pour pouvoir glisser sur la tige 1446. Un ressort 1576 maintient normalement la biellette 1575 et le goujon 1572 en prise avec le bras 1573.
Quand la came 1450 (fig. 42) bascule le bras 1448 et l'arbre 1443 dans le sens dextror- sum (fig. 42 et 77), le bras 1573 (fig. 77) s'abaisse pour permettre au goujon 1572 de s'abaisser lui aussi; grâce au mouvement du ressort 1576, pour projecter les doigts palpeurs 1577 en prise avec les plaques de commande 1578, 1579, 1580 et 1581 (fig. 67A et 67B), qui, dans le système décrit ici, sont munies d'encoches conformément au tableau de la fig. 105.
Si l'entaillage des plaques de commande est tel que les doigts palpeurs 1577 et la biel- lette 1575 sont bloqués dès le début de l'opération, la biellette 1569 ne s'abaisse pas, mais reste dans la position représentée à la fig. 77. Dans cette position, lorsque la came 1553 actionne le galet de carne 1550, pour déplacer la biel- lette 1545 vers la gauche, le goujon 1565 prend la position représentée en pointillé (fig. 77) et le bras 1560 est soulevé, sous l'action du ressort 1564.
L'encoche 1568 sur la partie inférieure de la biellette 1569 a une longueur suffisante pour permettre au goujon 1567 de s'y mouvoir, afin d'amener l'extrémité 1566 sur le trajet du goujon 1565 pour bloquer la biellette 1545 dans la position saillante et par conséquent, la biellette 1545 ne peut pas être rappelée pour faire avancer la carte ou le livret.
L'extrémité du bras 1560 comporte un prolongement 1582 qui dépasse légèrement la face 1566 du bras. A la fin du fonctionnement de la machine, le prolongement 1582 vient se poser sur le goujon carré 1565. Quand la biel- lette 1545 est actionnée par le bras 1550, ce goujon dépasse légèrement sa course normale pour se mouvoir au-delà du prolongement 1582. Et, quand le ressort 1539 rappelle la biel- lette 1545, après que le bras 1560 a été soulevé, le goujon carré 1565 peut se déplacer sous le prolongement 1582 .
Du fait que le bras 1560, une fois placé devant le goujon 1565, empêche le mouvement de retour de la biellette 1545 afin d'empêcher l'opération d'interligne, le bras 1560 empêche aussi l'éjection du livret ou de la carte. En ce cas, il est préférable d'empêcher les rouleaux de tension 1506 (fig. 74) d'être ramenés à leur position normale, de sorte que les rouleaux 1506 restent en contact avec la carte ou autre document et les maintiennent appliqués contre les rouleaux d'avancement 1520. Pour empêcher le retour des rouleaux de tension 1506, le bras 1543 est articulé à une biellette 1583 qui est munie de fentes pour. pouvoir recevoir un goujon 1584 fixé sur un bras 1585 solidaire de l'arbre 1563.
A l'arbre 1563 est encore fixé un bras 1586, bifurqué pour pouvoir saisir un goujon 1587 placé sur la biellette 1513 déjà mentionnée. Quand le bras 1543 est basculé dans le sens senestrorsum (fig. 74) par la came 1554, la biellette 1583 fait pivoter les bras 1585 et 1586 dans le sens destrorsum de telle sorte qu'il soulève la biellette 1513 et en dégage le cran 1517 du rouleau 1518, déconnectant
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ainsi la biellette 1513 du galet de came 1514.
Etant donné qu'après le déplacement, lorsque la biellette 1545 est maintenue dans sa nouvelle position par le bras 1560, et que ni une opération d'interligne, ni une opération d'éjection ne doit avoir lieu, la biellette 1583 reste dans sa nouvelle position, maintenant ainsi la biellette 1513 dégagée du goujon 1518, la biellette 1513 ne revient pas à sa position initiale à la fin du fonctionnement de-la machine. Comme la biellette 1513 ne revient pas en arrière, le bras 1511 reste dans sa nouvelle position après le déplacement, pour maintenir le pourtour de came 1519 au-dessus du rouleau 1510 du bras 1508, afin de maintenir le rouleau de tension 1506 en contact avec le rouleau d'avancement 1520.
Ainsi, à la fin de l'opération, le rouleau de tension 1506 maintient le livret ou la carte dans la position suivant laquelle ils étaient avancés pendant le fonction- nement de la machine, prêts à recevoir une autre écriture sur la même ligne, pendant l'opération suivante.
La biellette 1569 revient à sa position normale, grâce aux cames 1450 (fig. 42) ou bien grâce à une came 1590 (fig. 80). Celle-ci coopère avec un galet 1591 porté par une pièce à triple bras 1592 pivotant sur l'arbre 1443. Un bras 1594 est relié à la pièce à triple bras 1592 (voir aussi fig. 77).
La came 1590 a son temps de fonctionnement réglé de façon à ramener la biellette 1569 dans le cycle plus tôt que la came 1450. Ce sont les encoches des plaques de commande 1578, 1579, 1580 et 1581 qui commandent l'une ou l'autre des cames 1590 et 1450 pour ramener effectivement en place la biellette 1569. Si à la fois les encoches profondes et moins profondes se présentent devant les doigts 1577, la biel- lette 1575 effectue son mouvement le plus ample et, par conséquent, la biellette 1569 s'abaisse le plus possible. Pour cette position de la plaque de commande, les cames 1450 sont commandées pour ramener la biellette 1569 en place.
Cependant, si des encoches à la fois profondes et moyennement profondes se présentent aux doigts 1577, la biellette 1575 effectue un mouvement d'une portée plus limitée et par conséquent la biellette 1569 subit un abaissement de moindre importance. Dans ce cas, un mécanisme de rappel pour la biellette 1569 est couplé au bras 1594; par conséquent, la came 1590 ramène la biellette 1569 plus tôt dans le cycle que dans le cas où elle est ramenée par les cames 1450. Les bras 1573 et 1594 s'abaissent pour relâcher le bras 1571 approximativement au même moment, au cours du cycle. Le retour prématuré de la biellette 1569 est commandé par un cliquet 1595 pivotant sur le goujon 1599, qui est aussi le point de pivotement de la biellette 1569 sur le bras 1571.
Quand la biellette 1569 s'abaisse, par suite du mouvement de la biellette 1575 vers les plaques de commande 1578 à 1581, et que la biellette 1575 est arrêtée pas les encoches profondes et moyennement profondes des plaques, le bras 1573 continue à se déplacer, après quoi un goujon 1600 du cliquet 1595 se dirige vers le bas du pourtour de came 1596. Le ressort 1897, relié au goujon 1600 et au goujon 1572 fait que le premier suit l'arête inclinée 1596 pour amener l'extrémité 1598 sur le trajet du bras 1594. Par suite, quand le bras 1594 est basculé par la carne 1590, il contacte l'extrémité 1598 du cliquet 1595 et soulève la biellette 1569 jusqu'à sa position normale.
Cependant, si deux encoches profondes ou deux encoches peu profondes, ou une encoche profonde et une encoche peu profonde se présentent aux doigts 1577, la biellette 1569 suit le bras 1573 dans son mouvement complet. Par conséquent, l'extrémité 1598 du cliquet 1595 ne peut pas déplacer sur le bras 1594 celui-ci n'est par conséquent pas apte à ramener la biellette 1569. Dans cette position, les cames 1450 ramènent les biellettes 1569 à leur position normale quand elles basculent le bras 1573, plus tard que les bras 1594 ne pourraient ramener la biellette 1569.
Comme indiqué plus haut, la came 1553 comporte un point bas 1554 (fig. 77), qui peut permettre un mouvement de retour de la biel- lette 1545 d'une portée suffisante pour provoquer un déplacement d'avancement d'un interligne de cette biellette. Après que le point bas 1554 a permis le déplacement d'un interligne de la biellette 1545, la came 1553 ramène de nouveau
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celle-ci à sa nouvelle position.
Si, à ce moment, les plaques de commande encochées l578-1581 commandent le mouvement de la biellette pal- peuse 1575, de façon qu'elle soit rappelée par le bras 1594, le bras 1560 est ramené dans le chemin du goujon carré 1565, avant que la came 1553 permette le mouvement d'éjection du bras 1550, à l'approche de la fin de l'opération.
Cependant, si les plaques de commande en question permettent à la biellette palpeuse 1575 d'effectuer son mouvement le plus complet et empêchent le couplage entre le cliquet 1595 et le bras 1594, la biellette .est ramenée par les cames 1450 après que les plaques 1553 ont permis le mouvement d'éjection de la biel- lette 1545, c'est-à-dire ont permis à la biellette 1545 d'effectuer son mouvement le plus complet et au goujon carré 1565 de se déplacer de nouveau sur le bras 1560 dans la position repré- représentée à la fig. 77.
Les temps de fonctionnement respectifs des cames 1553, 1450 et 1590 déterminent si les documents doivent subir l'opération d'interligne ou doivent être éjectés hors de la machine. Mécanisme de commande du cliquet d'avancement: Comme on l'a décrit auparavant, la came 1553 actionne tout d'abord la biellette 1545 pour amener le document en position d'inscription puis ramène la crémaillère 1537 en position préparatoire d'une opération d'espacement de ligne, et finalement la came 1553 actionne la biellette 1545 -pour éjecter le document hors de de la machine. On a dit aussi que l'interligne et l'éjection ne peuvent pas avoir lieu simultanément dans une même opération. Les commandes décrites ici déterminent quelle opération doit avoir lieu pendant le fonctionnement de la machine.
Normalement, le cliquet d'avancement 1531 et le cliquet d'éjection 1532 sont en prise respectivement avec leurs roues à rochet 1528 et 1529, comme on l'a représenté aux fig. 77, 80 et 81. A la fin de l'opération, pendant laquelle le document reçoit son avancement initial, les cliquets 1531 et 1532 prennent les positions représentées à la fi-. 82. Quand le point bas 1554 de la came 1553 soutient la crémaillère 1537 destinée à l'interligne, il est nécessaire de maintenir le cliquet d'éjection 1532 dégagé de sa roue à rochet 1529. De même, pour empêcher le mouvement rétrograde de la roue à rochet 1529, tandis que le cliquet d'alimentation entraîne la roue 1528, on a prévu un cliquet d'arrêt 1900 monté à pivot sur un goujon 1901.
Solidaire du cliquet d'arrêt 1900, se trouve un bras 1902 auquel est relié l'extrémité d'un ressort 1903 destiné à pousser le cliquet dans le sens senestrorsum (fi-. 80) vers la roue à rochet 1528. Un goujon 1904 porté par le bras 1902 est normalement en prise avec une arête 1905 d'une plaque de commande 1906. Celle-ci comporte aussi une arête 1907 pouvant coopérer avec un goujon 1908 porté par le cliquet d'éjection, quand celui-ci est à bout de course, dans son mouvement senestrorsum (fig. 84). La plaque de commande 1906 est reliée à un bras 1909 articulé à une bielle 1910 reliée à un bras de came 1911 tournant sur l'arbre 1439.
Le bras de came 1911 comporte un galet 1912 coopérant avec une carne 1913 goupillée sur l'arbre à cames 1441 de l'imprimerie. Un ressort 1914 relié au bras 1909, maintient normalement le galet 1912 en contact avec la came 1913.
A la fin de l'opération d'avancement initial, la came 1913 bascule la plaque de contrôle 1906, de la position représentée à la fig. 82 à celle de la fig. 84, après quoi l'arête 1905 passe du côté inférieur du goujon 1904 pour relâcher le cliquet d'arrêt 1900, afin de venir en prise avec la roue à rochet 1528. En même temps, l'arête 1907 coopérant avec le goujon 1908 du cliquet d'éjection 1532, bascule ce dernier pour le dégager de la roue à rochet 1529. Ensuite, lorsque la crémaillère 1537 entraîne le bras d'avancement 1534, le cliquet d'éjection 1532 est dégagé de la roue 1529, alors que le cliquet 1531 engrène sur la roue à rochet 1528. Enfin le cliquet d'arrêt 1900 empêche le mouvement en arrière de ce dernier au même moment.
Par conséquent, quand un déplacement d'interligne doit être effectué, le cliquet d'avancement 1531, étant en prise avec la roue 1528, fait tourner celle-ci dans le sens senestrorsum (fi-. 81), et le cliquet d'avancement engrène
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la roue à rochet 1528. La came 1913 ramène alors à nouveau le bras 1911, la biellette 1910 et la plaque de commande 1906 à leur position normale, dans laquelle le cliquet d'arrêt 1900 se soulève pour se dégager de la roue à rochet 1528. Le cliquet d'éjection 1531 s'abaisse de nouveau pour venir en prise avec sa roue à rochet 1529, prête pour une opération d'éjection.
Dans ces opérations, pendant lesquelles la biellette 1569 et le bras 1560 empêchent une opération d'interligne, il est aussi préférable d'empêcher le fonctionnement de la plaque de commande 1906 du cliquet d'avancement. A cet effet, le bras 1560 est relié au bras 1562 qui comporte un crochet 1916 qui bascule devant un goujon 1917 de la biellette 1910 mentionnée précédemment. Pour cette raison, lorsque le bras 1560 est placé derrière le goujon 1565, le crochet 1916 se trouve devant le goujon 1917, s'opposant ainsi au déplacement de la biellette 1910 et à l'arrêt du cliquet d'éjection 1532.
Lorsque la bielle 1569 est abaissée et permet ainsi l'éjection par abaissement des bras 1560 hors du goujon 1565, le crochet 1916 s'abaisse également et laisse libre la trajectoire du goujon 1917, permettant ainsi à la biellette 1910 d'actionner le bras de commande 1906 du cliquet d'éjection.
On prévoit une autre commande du mécanisme d'espacement de ligne et de la plaque de commande d'avancement 1906 afin de s'opposer au fonctionnement de ces deux mécanismes avant qu'aient lieu l'opération de rappel et l'interlignage, ce qui empêche ainsi une production d'interlignes avant l'éjection. Ce mécanisme est commandé par une plaque de commande 1920 (fig. 80) comportant des encoches et montée sur l'arbre 632, suivant la façon décrite plus loin. La plaque de contrôle 1920 est réglée différentiellement par la première rangée de transactions, à la manière connue.
Lorsque le fonctionnement de la machine est commandé par enfoncement de l'une des touches Solde 121, Découvert 123 ou Ejection 125, il est préférable de provoquer l'éjection du document imprimé. On prévoit donc lé disque de commande 1920, comportant des encoches qui correspondent à ces quatre positions. Une glissière palpeuse 1921 est commandée par un ressort pour palper les encoches de la plaque de contrôle 1920. Si une encoche se trouve en face de la glissière palpeuse 1921, lorsque la came 1590 autorise une rotation dans le sens dextrorsum (fig. 80) de la pièce 1592, une biel- lette 1923 connectée à celle-ci, est abaissée.
La biellette 1923 pivote autour d'un bras crochu 1924 qui s'abaisse pour enclencher le goujon 1917 lorsqu'une encoche profonde se trouve en face de la glissière 1921. Un bras 1925 est également relié au bras crochu 1924; il' est muni d'une bride 1926 qui s'abaisse et se place sur la trajectoire d'un prolongement du goujon carré 1565 lorsque la biellette 1923 est abaissée.
La coopération du bras crochu 1924 et du goujon 1917 s'oppose au fonctionnement de la plaque de commande 1906 tant qu'il n'a pas été produit d'interligne, après quoi la came 1590 soulève à nouveau la biellette 1923 pour libérer la bielle 1910. Le réglage de la came 1590 est tel qu'elle abaisse la biellette 1923 après que la biellette d'avancement 1545 a repris sa position précédente. Lorsqu'elle se trouve dans cette position et que le bras crochu 1924 est abaissé au-dessus du goujon 1917, la bride 1926 se déplace derrière le goujon 1565, qui occupe alors la position représentée en trait mixte dans la fig. 83. Ceci empêche le mouvement de retour de la biellette 1545, ainsi qu'un mouvement d'interligne du bras 1534.
A la fin du temps d'espacement de ligne, la came 1590 soulève à nouveau la biellette 1923 et libère ainsi les biellettes 1910 et 1545, de façon que, le fonctionnement de la machine se poursuivant, le document (soit la carte, soit le livret) soit éjecté de la machine.
A la fin de l'opération pendant laquelle le livret et la carte ont subi l'espacement de ligne, les rouleaux de tension 1506 restent à leur position efficace, pressant le document contre les rouleaux 1520. A la fin de cette opération, le goujon carré 1565 est également placé sous le prolongement 1582 du bras 1560, soutenant ainsi le rouleau 1546 à l'extrémité de gauche (fig. 77) de la rainure 1547 du bras 1485. A la fin de cette opération, il est prévu que le livret
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ou la carte restent dans la machine jusqu'à une opération suivante, pendant laquelle les documents sont éjectés de la machine au moyen du mécanisme d'éjection.
Cependant, si en raison d'une erreur d'opération, l'opératrice saisissait le livret ou la carte et les retirait de force de la machine, il s'en suivrait un mauvais fonctionnement pendant l'opération suivante.
Il en résulterait un mauvais fonctionnement qui serait dû au fait que le palpeur 1460, se relevant, passerait à travers l'orifice de la table et s'élèverait au maximum. De ce fait, comme expliqué précédemment, le bras 1485 basculerait dans le sens dextrorsum (fig.-77). Comme à ce moment le rouleau 1546 est près de l'extrémité de gauche de la rainure 1547 du bras 1485, ce basculement occasionnerait l'éloignement de la glissière 1547 par le rouleau 1546, séparant de cette façon la bielle 1545 du bras 1485. Pour éviter un tel fonctionnement défectueux, on prévoit un interverrouillage, conçu de la manière suivante: Un bras de came 1930 (fig. 74) est fixé sur l'arbre 1471 et un galet 1931 est posé normalement sur ce bras.
Le galet 1931 est porté par le côté d'un bras 1932 monté fou sur l'arbre 1487. L'extrémité libre du bras 1932 est destinée à prendre place derrière un goujon 1933 du bras 1462, autour duquel pivote le palpeur 1460.
A la fin d'une opération comportant l'enregistrement d'un document, le bras de carne 1511 (fig. 74) reste dans sa position déplacée, maintenant le bord de la came 1519 en contact avec le galet 1510, pour maintenir le rouleau de tension 1506 dans sa position efficace. Le bras 1511 est également fixé à l'arbre 1471 et, de ce fait, lorsque le bras 1511 se trouve dans sa position déplacée, le bras de came 1930 se trouve également dans une position déplacée. Au moment où le bras de came 1930 bascule avec le bras 1511, l'arête-came de ce dernier, permet alors au ressort 1934 d'abaisser l'extrémité libre du bras 1932 sur la trajectoire du goujon 1933, où reste le bras à la fin de cette opération.
Si on enlève de force le livret ou la carte de l'espace compris entre le rouleau de tension et le rouleau d'avancement 1520, le bras 1932 maintiendra le bras 1462 et le pal- peur 1460 dans leur position abaissée, de façon que, même si la machine fonctionne sans document, le palpeur 1460 en se relève pas et que par conséquent il ne soit pas possible au mécanisme palpeur de débrayer le mécanisme d'impression et le bras 1485.
Le bras 1932 reste derrière le goujon 1933 jusqu'à ce que le mécanisme d'éjection des documents soit actionné, ce qui produit l'éjection; le rouleau de tension 1506 est alors abaissé et le bras de carne 1930 est ramené dans sa position de repos pour soulever le bras 1932 et l'éloigner de devant le goujon 1933.
Commande de l'impression de la dernière ligne: de l'éjection et des marteaux d'hnpression: Lorsque la carte de compte est remplie, c'est-à-dire lorsqu'une écriture a été portée sur la dernière ligne, la machine est bloquée et ne peut fonctionner excepté si le fonctionnement est commandé par l'une des touches: Intérêt sur Prêt 142, Ejection 125, Découvert 123, Sous-Solde 122, ou Solde 121. On peut utiliser d'autres combinaisons de touches pour commander la machine en modifiant les encoches de certaines plaques de commande décrites ici-même. On réalise les mêmes commandes, lorsque la dernière ligne de la page du livret a été imprimée, et ces commandes interviennent lorsque la carte ou le livret ou les deux documents sont remplis.
Les mécanismes d'impression et d'éjection, décrits précédemment, sont également contrôlés par les commandes de la dernière ligne. Les opérations et les commandes suivantes sont groupées dans ce qui suit, pour cataloguer certaines de ces commandes, lorsque les opérations suivent l'entrée d'une écriture sur la dernière ligne du livret ou de la carte, et que la machine est bloquée 1. Opération de Solde - Impression dans la colonne de solde et éjection de la carte et du livret, qu'ils soient remplis ou non.
2. Opération de Sous-Total Solde: a) la carte est remplie - Impression dans la colonne solde de la carte, éjection de la carte et non-impression du livret.
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b) Le livret est rempli - Impression dans la colonne solde du livret, éjection du livret et non-impression de la carte.
c) La carte et le livret sont tous deux remplis - Impression dans la colonne solde du livret et de la carte et éjection des deux documents.
3. Opération de Sous-Total Solde - Ni la carte ni le livret ne sont remplis - Impression dans la colonne solde de la carte et du livret - Pas d'éjection.
4. Opération Intérêt sur Prêt - Impression dans la seconde colonne du livret et de la carte qu'ils soient remplis ou non.
5. Opération Ejection - Ejection du livret et de la carte.
Les plaques de commande, destinées à contrôler les mécanismes d'impression et d'éjection et de la carte à partir du clavier, ont été décrites précédemment. Ces plaques englobent les plaques 1406, 1407 et 1408 (fig. 67A et 67B) destinées à commander les marteaux d'impression de la colonne Solde du livret et de la carte et les plaques 1578, 1579 et 1580 destinées à commander les mécanismes d'éjection du livret et de la carte. Comme on l'a déjà mentionné, ces groupes de plaques de commande comportent également les plaques 1405 et 1581, respectivement, dans la section d'impression du livret et dans la section d'impression de la carte, plaques commandées par des palpeurs.
Pour les distinguer l'une de l'autre dans la description suivante, les plaques 1405 et 1581 sont pourvues des expositions B et C et sont ainsi représentées aux fig. 67A, 67B, 97 et 100. Les plaques de commande 1405B, 1405C, 1581B et 1581C sont sous la commande des palpeurs de documents l'un étant destiné au livret et l'autre à la carte.
Les dimensions des documents peuvent varier suivant les modèles adoptés par les banques qui utilisent cette machine. Pour cette raison et pour obtenir une commande précise de la part des palpeurs par rapport aux extrémités des documents les palpeurs sont montés de façon à pouvoir être réglés, afin de permettre leur réglage de l'avant à l'arrière de la machine. Le mécanisme palpeur destiné au livret est représenté aux fig. 87 et 101 et comporte un doigt de palpeur 1950 réglable. Ce palpeur 1950 peut être fixé, de façon réglable sur l'une des deux rainures 1951 (voir fig. 101) par un boulon 1949. Le boulon 1949 est destiné à fixer le palpeur sur les rainures 1951, dans une position de droite ou de gauche, permettant ainsi un maximum de positions de réglage du palpeur.
Les rainures 1951 sont pratiquées sur le rebord horizontal 1952 d'une glissière 1953, pourvue d'une rainure 1954 et d'une extrémité bifurquée 1955, dans laquelle pénètrent des goujons 1956 et 1957, respectivement. Les goujons 1956 et 1957 sont montés sur un support 1958 fixé au bâti 162 de la machine. La glissière 1953 est pourvue d'un goujon 1959 engagé dans l'extrémité bifurquée d'un levier coudé 1960. (Voir aussi fig. 86.) Le levier coudé 1960 est monté de façon à pouvoir tourner sur un arbre 1961, supporté par les parois 160, 163 et 164 (fig. 3) de la machine.
Un manchon 1962 (fig. 101) relie le levier coudé 1960 à un bras en forme de secteur 1963 (voir aussi fig. 87) possédant un doigt 1964 normalement engagé avec un goujon 1965 d'un bras 1966 commandé par un ressort 1967 ayant une extrémité reliée au bras 1960 et l'autre à un goujon 1968 du support 1958. Une branche supérieure du bras 1966 fait pivoter une des extrémités d'une bielle 1969, l'autre extrémité de celle-ci étant reliée à un bras 1970 dont un galet 'l971 est en contact avec une came 1972 fixée sur l'arbre à cames 1441. Un galet 1973 est prévu sur le côté de la came 1972 et est destiné à venir en prise avec un pied 1974 du bras 1970.
Un cliquet 1976 possédant un rebord 1977 est supporté de façon à pouvoir pivoter, par le prolongement avant d'une branche 1975 du bras 1966, rebord qui est normalement maintenu en contact avec la portée 1978 du bras en forme de secteur 1963 montés sur un support 1958 fixé au bâti 162 de la machine. La glissière 1953 est pourvue d'un goujon 1959 engagé dans l'extrémité bifurquée d'un levier coudé 1960. (Voir aussi fig. 86.) Le levier coudé 1960 est monté de façon à pouvoir tourner sur un arbre 1961,
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supporté par les parois 160, 163 et 164 (fig. 3) de la machine.
Un manchon 1962 (fig. 101) relie le levier coudé 1960 à un bras en forme de secteur 1963 (voir aussi fig. 87) possédant un doigt 1964 normalement engagé avec un goujon 1965 d'un bras 1966 commandé par un ressort 1967 ayant une extrémité reliée au bras 1960 et l'autre à un goujon 1968 du support 1958. Une branche supérieure du bras 1966 fait pivoter une des extrémités d'une bielle 1969, l'autre extrémité de celle-ci étant reliée à un bras 1970 dont un galet 1971 est en contact avec une came 1972 fixée sur l'arbre à cames 1441. Un galet 1973 est prévu sur le côté de la came 1972 et est destiné à venir en prise avec un pied 1974 du bras 1970.
Un cliquet 1976 possédant un rebord 1977 est supporté de façon à pouvoir pivoter, par le prolongement avant d'une branche 1975 du bras 1966, rebord qui est normalement maintenu en contact avec la portée 1978 du bras en forme de secteur 1963 par un ressort 1979, comme le montrent les fig. 86 et 87.
Lorsque le livret est introduit dans la machine il repose sur la table 1500 (fig. 87) pourvue d'une ouverture à travers laquelle peut passer le palpeur 1950 pour s'assurer de la présence ou de l'absence du document. Lorsque le livret n'est pas rempli, c'est-à-dire lorsque la dernière écriture imprimée n'est pas sur la dernière ligne, le palpeur 1950 n'est pas arrêté dans son mouvement de montée. Cependant, lorsque le livret est placé de façon à recevoir une écriture sur sa dernière ligne, sa position est telle que le palpeur touche l'extrémité du livret de façon à être arrêté dans son mouvement de montée.
Lorsque la machine fonctionne et que la came 1972 tourne dans le sens senestrorsum (fig. 87), le bras 1970 s'appuyant sur une came bascule dans le sens dextrorsum, alors que le galet 1973 s'engage dans l'extrémité 1974 du bras. La rotation dans le sens dextrorsum du bras 1970 repousse vers la gauche (fig. 87) la bielle 1969 pour faire basculer le bras 1966 dans le sens senestrorsum, abaissant ainsi le cliquet 1976. Le basculement du bras 1966 éloigne également le goujon 1965 du doigt 1964, permettant ainsi au levier coudé 1960 de bas- culer dans le sens senestrorsum sous l'action du ressort 1967.
Le levier coudé 1960 soulève alors la glissière 1953 et fait avancer le palpeur 1950 dans l'ouverture de la table 1500, pour s'assurer de la présence ou de l'absence de l'extrémité du livret sur la table. Lorsque le palpeur 1950 est en contact avec le dessous du livret, par suite du fait que ce dernier est placé en regard de la dernière ligne d'impression, le palpeur est arrêté et le bras 1966 continue à tourner dans le sens senestrorsum, permettant ainsi à la bride 1977 du cliquet 1976 de prendre place derrière le prolongement en forme de secteur 1963 du bras 1960, sous l'action du ressort 1979. Ensuite, lorsque la came 1972 ramène le bras 1970, la bielle 1969 et le bras 1966 à leur position de repos le cliquet 1976 ramène le bras 1960 à sa position originale ce qui supprime le contact entre le palpeur 1950 et le livret.
A la fin de cette opération, la bride 1977 reste au-dessous du bras 1963. Pendant l'opération suivante, lorsque le bras 1966 bascule dans le sens senestrorsum dans sa position d'extension maximum, une queue 1887 du cliquet 1976 et formant carne, est en contact avec un goujon 4000, au moyen duquel le cliquet 1977 est ramené dans le sens senestrorsum autour de son axe, de façon que le levier 1977 repose à nouveau sur l'arête 1978 du bras 1963.
Si, par contre, la dernière ligne du livret n'a pas été imprimée, le palpeur 1950 n'est pas arrêté lorsque la came 1972 fait basculer le bras 1966 et le cliquet 1976 dans le sens senes- trorsum. Pendant cette opération, la bride 1977 ne prend pas place au-dessous du bras 1963 mais reste en contact avec l'arête 1978, alors que le levier coudé 1960 et le bras 1966 tournent en même temps dans le sens senestrorsum et, de ce fait, lorsque la came 1972 ramène les pièces à leur position de repos la bride 1977 repose sur le sommet de l'arête et ne ramène pas le palpeur 1950 à sa position originale.
Pour le ramener à cette position, le goujon 1965 vient en contact du doigt 1964 et fait basculer le bras 1960 dans le sens dextrorsum (fig. 87) pour abaisser le palpeur 1950 dans sa position de repos.
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Si le palpeur 1950 est arrêté, du fait que le livret est placé sur la table pour recevoir un enregistrement sur la dernière ligne, comme expliqué plus haut, et si le cliquet 1976 prend place derrière le bras 1963, la bride 1977 de ce cliquet prend place derrière une encoche 1980 (fig. 88) pratiquée à l'extrémité libre d'un bras 1981 pivotant autour de l'arbre 1961 et relié à un bras 1982 au moyen d'un étrier 1983.
Le bras 1982 fait pivoter une bielle 1984 faisant tourner une couronne 1985 qui comporte des dents internes en prise avec un pignon 1986 monté sur un arbre carré 1987 qui fait partie d'un mécanisme de rotation interne, semblable à celui du mécanisme d'impression, déjà décrit.
Un pignon 1988 (fig. 95) est également monté sur l'arbre carré 1987 et est en prise avec les dents internes d'une couronne 1989. Celle-ci porte un goujon 1990 pénétrant dans une encoche 1991 pratiquée à l'extrémité avant d'un curseur 1992 (voir aussi fig. 94). Le curseur 1992 fait pivoter un bras de came 1993 (fig. 92 et 101) qui pivote autour d'un goujon 1994 (fig. 92). Le bras 1993 est pourvu de deux galets 1995 en contact avec une paire de cames 1996 montées sur l'arbre à cames 200 déjà mentionné.
Lorsque la couronne 1989 (fig. 95) tourne dans le sens dextrorsum comme décrit plus loin, en raison de l'abaissement de la bielle 1984 (fig. 88) le goujon 1990, s'engageant dans l'encoche 1991, abaisse l'extrémité libre du curseur 1992, ce qui place une de ses extrémités 1093 sur la trajectoire d'un goujon 1094 (fig. 94 et 101) porté par une couronne 1095 à dents internes en prise avec un pignon 1096 monté sur un arbre carré 1997. Un pignon 1998 (fig. 93), également monté sur cet arbre engrène avec les dents internes d'une couronne 1999, entaillée à l'endroit marqué 2000 et un goujon 2001 de la plaque de commande 1405C (fig. 97) est placé à l'intérieur de l'encoche 2000.
Un ressort 2002 maintient normalement le goujon 2001 en contact avec le bord de droite (fig. 93) de l'encoche 2000.
La plaque 1581B (fig. 77) précédemment mentionnée est également réglée par l'arbre carré 1997 qui porte un pignon en prise avec les dents internes de la plaque 1581B. Comme on l'a mentionné auparavant, lorsque le livret gêne le palpeur 1950 (fig. 87), ce qui est dû à ce que l'impression doit être faite sur la dernière ligne, la bride 1977 prend place derrière le secteur 1963 de façon à ramener ce dernier lorsque le cliquet 1976 exécute son mouvement de retour ascendant.
Comme cette bride 1977 est aussi engagée dans l'encoche 1980 du bras 1981, celui-ci est alors entraîné dans le sens dextrorsum pendant le mouvement ascendant du cliquet 1976, abaissant la bielle 1984 et faisant basculer la couronne dentée 1985 (fig. 88) avec le pignon 1986 dans le sens dextrorsum. La rotation qui s'en suit, de l'arbre carré 1987, fait tourner la couronne dentée 1989 (fig. 95) dans le sens dextrorsum au moyen du pignon 1988. Ensuite, le goujon 1990 abaisse le curseur 1992 de façon que sa portée 1093 se trouve dans le même plan horizontal que le goujon 1094 (fig. 94) de la couronne dentée 1095.
Les carnes 1996 (fig. 92) font alors basculer le bras 1993 dans le sens senestrorsum et le curseur 1992 vers la gauche (fig. 94), amenant ainsi l'extrémité 1093 en contact avec le goujon 1094 ce qui fait tourner les couronnes 1095 et 1999 dans le sens senestrorsum. La rotation de la couronne 1999, grâce au ressort 2002, attire le goujon 2001 et fait tourner la plaque 1405C pour placer un point élevé de la plaque de commande 1405C sur la trajectoire du palpeur 1451 (fig. 70) du mécanisme d'impression de la carte. Comme indiqué précédemment, lorsque la tête du palpeur 1451 vient en contact d'une partie élevée du disque 1405C, le mécanisme d'impression de la carte est arrêté.
Par conséquent, lorsque la dernière ligne du livret a été imprimée, le mécanisme d'impression de la carte est arrêté, de façon qu'aucune écriture ne puisse être imprimée sur cette dernière pendant les opérations d'impression de la dernière ligne du livret.
Un aligneur 2003 (fig. 100) monté sur un arbre 2004 est enclenché dans l'une ou l'autre des encoches 2005 de la plaque circulaire 1405C pour maintenir celle-ci dans sa position réglée.
Les commandes précédemment décrites, au moyen du palpeur destiné à palper la dernière
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ligne du livret, lorsque le carnet est rempli, s'appliquent aux opérations dans lesquelles la carte n'est pas remplie.
On prévoit un second mécanisme palpeur pour déceler la dernière ligne de la carte. Ce mécanisme est semblable à celui qui a été décrit précédemment. Lorsque la dernière ligne de la carte est remplie, il est désirable de débrayer l'impression du livret. Cependant, si ce dernier et la carte sont remplis tous les deux, c'est-à-dire si la dernière ligne des deux documents est en position d'impression, les données sont alors imprimées sur les deux documents qui tous les deux sont éjectés de la machine. On décrira d'abord la commande de non- impression du livret.
Lorsque la carte est en position d'impression, elle repose sur la table 1501 (fig. 104). Un palpeur 2050 (fig. 101 et 104) placé sous la table 1501, passe par un orifice pratiqué dans la partie inférieure de la table 1501 pour détecter la -présence de l'extrémité de la carte. Si celle-ci est placée de façon à recevoir une impression sur la dernière ligne, le palpeur 2050 vient en contact avec elle, ce qui limite ainsi sa montée. Si la carte n'est pas encore dans la position correspondant à la dernière ligne, son extrémité ne se trouvera pas sur la trajectoire du palpeur 2050 qui peut alors effectuer sa course maximum.
Le palpeur 2050 est monté dans l'une des deux rainures 2051 pratiquées dans le rebord 2053 d'une glissière 2054, au moyen d'un boulon 2052. La liaison à boulon et fente sur la glissière 2054 constitue un moyen de réglage du palpeur 2050 par rapport à la carte, de façon qu'on puisse utiliser des cartes de longueurs variables. La glissière 2054 est pourvue d'une rainure 2055 et d'une extrémité bifurquée 2056, qui glissent sur des goujons 2057 et 2058 respectivement, montés sur un support 2059. La glissière 2054 est pourvue d'un goujon 2060 qui pénètre dans une extrémité bifurquée d'un levier coudé 2061 pivotant sur l'arbre 1961. Le levier coudé 2061 est relié par un manchon à un bras 2063 en forme de secteur.
Le bras 2061 est également pourvu d'un doigt 2064, maintenu en contact avec un goujon 2065 d'un bras 2066, par un ressort 2067 relié au prolongement du bras du levier coudé 2061. Une extrémité du ressort 2067 est reliée à un goujon 2062 du support 2059. Le bras 2066 est articulé à une bielle 2069 dont l'autre extrémité est reliée à un bras de came 2070 qui pivote autour de l'arbre 1439 déjà mentionné. Le bras 2070 comporte un galet 2071 coopérant avec une came 2072 montée sur l'arbre à cames 1441. La came 2072 est pourvue d'un goujon 2073 s'enclenchant avec un pied 2074 destiné à faire basculer le bras 2070, pendant le fonctionnement de la machine.
Le bras 2066 est muni d'un goujon 2075 sur lequel est monté un cliquet 2076, possédant un rebord 2077, maintenu normalement en contact avec le contour extérieur d'un bras 2063 en secteur, sous l'action d'un ressort 2079.
Lorsque, pendant le fonctionnement de la machine, la came 2072 fait basculer le bras 2070 pour déplacer la bielle 2069 vers la gauche (fig. 104), le bras 2066 bascule dans le sens senestrorsum en vue de séparer le goujon 2065 du doigt 2064, après quoi le ressort 2067 provoque la rotation du bras 2063 dans le sens senes- trorsum, ce qui soulève la glissière 2054 et le palpeur 2050 destiné à détecter la présence d'une carte.
Si la carte est placée de manière à être imprimée sur une autre ligne que la dernière, le palpeur 2050 effectue sa course et le bras en secteur 2063 bascule avec le bras 2066 pendant son mouvement de basculage complet; par suite, le rebord 2077 du cliquet 2076 demeure sur la portée 2078. Lorsque le bras 2061 effectue un mouvement de retour, le goujon 2065 vient en contact avec le doigt 2064 et ramène le bras 2063 et le palpeur 2050 à leur position de repos.
Cependant, si la carte est placée de manière à être imprimée sur la dernière ligne, le palpeur 2050 vient en contact avec la carte et est arrêté avant d'atteindre sa course maximum. Le bras 2066 continue néanmoins à se déplacer, entrai- nant ainsi le rebord 2077 qui s'éloigne de l'arête 2078 du bras 2063 pour se placer derrière ce dernier. Lorsque le bras 2066 effectue son mouvement de retour, le rebord 2077 ramène le bras 2063 et le palpeur 2050 à leur position originale.
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Lors de la rotation complète suivante du bras 2066 dans le sens senestrorsum, un pied du cliquet 2076 contacte un goujon 400 (fig. 103) provoquant le retour du cliquet à sa position normale.
Lorsque le rebord 2077 bascule derrière le bras 2063, il se déplace derrière un épaulement 2080 (fig. 103) d'un bras 2081 qui est relié à un second bras 2082 par un étrier 2083. Le bras 2082 est relié à l'extrémité inférieure d'une bielle 2084 dont l'extrémité supérieure est reliée à une couronne 2085.
Lorsque le rebord 2077 prend place derrière l'épaulement 2080 et que le bras 2066 est ramené à sa position normale, les bras 2081 et 2082 basculent dans le sens dextrorsum pour abaisser la bielle 2084 et faire tourner la couronne 2085 dans le sens dextrorsum. La couronne 2085 est pourvue de dents internes en prise avec un pignon 2086 monté sur un arbre carré 2087, pour former une transmission interne semblable à celle décrite précédemment. L'arbre carré 2087 porte un autre pignon 2088 en prise avec les dents internes d'une couronne dentée 2089 (fig. 92). Celle-ci porte un goujon 2090, pénétrant dans une enccthe 2091 d'un curseur 2092.
L'extrémité de droite du curseur 2092 (fig. 92) est reliée au même goujon du bras 1993, qui forme articulation du curseur 1992, comme le montre clairement la fig. 101.
Lorsque la couronne dentée 2085 (fig. 103) tourne dans le sens dextrorsum sous la commande du mécanisme palpeur, le goujon 2090 (fig. 92) abaisse l'extrémité libre du curseur 2092 pour amener l'extrémité 2093 de celui-ci sur la trajectoire d'un goujon 2094 (fig. 91) d'une couronne 2095. Cette dernière comporte des dents internes en prise avec un pignon 2096 fixé sur un arbre carré 2097. Un pignon 2098 (fig. 98) également porté par cet arbre 2097, est en prise avec les dents internes d'une couronne dentée 2099. Cette dernière est pourvue d'une encoche 2100 dans laquelle pénètre un goujon 2101 de la plaque de commande 1405B. Un ressort 2102 maintient normalement l'extrémité de droite de l'encoche 2100 en contact avec le goujon 2101.
La plaque 1581C déjà mentionnée, est également réglée par l'arbre carré 2097, qui porte un pignon en prise avec les dents internes de la plaque 1581 C.
Lorsque les cames 1996 tournent pendant une opération de la machine et que le bras de came 1993 bascule dans le sens senestrorsum, le curseur 2092 se déplace vers la gauche (fig. 92). Si, à ce moment, l'extrémité 2093 se trouve derrière le goujon 2094, la couronne 2095 tourne dans le sens senestrorsum (fig. 91) ce qui, par l'intermédiaire de l'arbre carré 2097 et du pignon 2098, fait basculer la couronne 2099 également dans le sens senestrorsum. Lorsque cela se produit, le ressort 2102 attire le goujon 2101 pour placer la plaque de commande 1405B (fig. 97) de façon qu'elle présente un bossage au palpeur 1451, empêchant ainsi les marteaux d'imprimer sur le livret.
Ainsi, lorsque la carte est placée de manière à être imprimée sur la dernière ligne et lorsque le livret est rempli, le marteau d'impression du livret reste bloqué de façon qu'aucune écriture ne soit portée sur ce dernier.
Lorsque le livret et la carte sont remplis, il est préférable d'imprimer le solde sur les deux documents et d'éjecter les deux documents. Dans ce cas, le palpeur ferait normalement tourner les plaques de commande 1405C et 1405B dans une position telle qu'elle présente une partie -élevée aux palpeurs respectifs 1451, et dans ce cas aucune impression ne serait faite sur les documents. Pour éviter qu'un tel cas se présente, on prévoit le mécanisme suivant: Un pignon 2105, fixé sur l'arbre 2087 déjà mentionné, est en prise avec les dents internes d'une couronne dentée 2104 (fig. 96).
L'arbre 2087 oscille dans le sens dextrorsum (fig. 92) sous la commande de la couronne 2085 (fig. 103) et de la bielle 2084, lorsque la carte est remplie, pour permettre le mouvement de la plaque de commande 1405B qui empêche l'impression du livret. Cependant, sous la condition déjà mentionnée, c'est-à-dire lorsque la carte et le livret sont remplis, il est préférable d'empêcher le mouvement de la plaque de commande 1405B; à cet effet, lorsque l'arbre 2087 oscille la couronne 2104 tourne dans le sens dextrorsum et
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vient en contact avec le goujon 2001 pour s'opposer au mouvement dû au ressort 2002 de la plaque de commande 1405C.
De plus, lorsque l'arbre 1987 oscille sous la commande du palpeur 1950, donc lorsque la dernière ligne du livret doit être imprimée, une couronne 2106 (fig. 99) est entraînée par un pignon 2107 monté sur l'arbre carré 1987 en vue de déplacer un épaulement de celui-ci et l'amener au contact d'un goujon 2101, ce qui empêche le mouvement de la plaque de commande 1405B. A cet effet, on maintient un bossage de la plaque de commande 1405C sur la trajectoire du doigt palpeur 1451, permettant ainsi le fonctionnement du mécanisme d'impression de la carte.
Un étrier 2110 (fig. 103), maintenu par un ressort et servant à l'alignement, est monté sur l'arbre 4000 destiné à maintenir le bras 2082 et les mécanismes annexes dans leur position normale. L'étrier 2110 est pourvu d'un goujon 2111 qui pénètre normalement dans une entaille 2112 (fig. 88) du bras 2082. On prévoit un étrier semblable 2110 pour maintenir le bras 1982 et le mécanisme associé dans leur position normale.
Les commandes de débrayage de l'impression que l'on vient de décrire se rapportent à l'impression dans la quatrième colonne du livret ou de la carte. Il est bon de noter que l'impression des données dans les colonnes 2 et 3 peut être effectuée sur la dernière ligne des documents, mais certaines entrées dans la colonne 4 sont supprimées, après que la dernière ligne du livret ou de la carte ait reçu des écritures dans les colonnes 2 et 3. Dans le système décrit comme on l'expliquera plus loin, on réalise cette commande lorsque des sous-totaux partiels sont enregistrés et le sous-total est imprimé uniquement dans la colonne 4 du livret ou de la carte et sur leur dernière ligne, après l'entrée d'un article sur la dernière ligne.
Ainsi, si l'article est imprimé sur la dernière ligne du livret mais non sur celle de la carte, et si la touche Sous-Total est enfoncée en vue de l'opération suivante le Sous-Total est imprimé sur le livret mais non sur la carte. Lorsque l'article est imprimé sur la dernière ligne de la carte, mais non sur celle du livret, le Sous-Total est imprimé sur la carte mais non sur le livret. Cependant, lorsque l'article est imprimé sur la dernière ligne des deux documents, le Sous- Total est imprimé dans la colonne 4 de chacun d'eux.
Impression de la dernière ligne - Coininandes de verrouillage de la machine: A la fin de l'opération pendant laquelle la dernière ligne reçoit les données, la machine est verrouillée, excepté pour la commande de certaines touches. Dans l'exemple actuel, ces touches sont la touche Intérêt sur Prêt 142, la touche Solde 121 et la touche Ejec- tion 125.
Chacun des bras 1982 et 2082 qui basculent dans le sens dextrorsum (fi-. 103) lorsque la dernière ligne du livret ou de la carte, respectivement, a été imprimée, suivant le processus décrit précédemment, sous la commande des palpeurs 1950 ou 2050, est pourvu d'un goujon 3000. Un doigt 3001 est maintenu normalement en contact avec chacun des goujons 3000 et les doigts sont fixés aux moyeux 3002, qui sont montés sur l'arbre 19e1 (voir aussi fig. 89 et 90). Un bras 3003 est également fixé sur l'arbre 1961, bras qui est poussé par un ressort 3004 dans 1 e sens senestrorsum et muni d'un doigt 3005 qui est maintenu au contact d'un goujon 3006 de la paroi latérale 160 de la machine. L'extrémité inférieure du bras 3003 est articulée à une bielle 3007 reliée à un bras 3008 qui tourne sur un arbre 3009.
Un bras 3010 est solidaire d'un bras 3008 et comporte un goujon 3011 engagé dans une entaille d'un bras d'arrêt 3012 (voir aussi fig. 102). Le bras d'arrêt 3012 est monté librement sur l'arbre 3009 et le côté supérieur de l'encoche du bras 3012 est maintenu en contact avec le goujon 3011 au moyen d'un ressort 3013. Le bras 3012 est pourvu d'une arête de verrouillage 3014, qui est réglée pour se placer sur la trajectoire d'un rebord 3015 d'un bras 3016 qui pivote pivote autour de l'arbre 940.
Le bras 3016 est fixé au bras 938 qui oscille dans le sens dextrorsum lors dit déclenchement de la machine.
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Si l'arête de verrouillage 3014 est placée sur la trajectoire du rebord 3015 lors de son déplacement, le mécanisme de déclenchement ne peut fonctionner, étant donné que le bras 938 est empêché de tourner dans le sens dextrorsum.
Lorsque l'un des bras 1982 ou 2082 bascule dans le sens dextrorsum (fig. 103) en raison de l'arrêt des palpeurs 1950 ou 2050, arrêt qui est dû à ce que le livret ou la carte, ou ces deux documents, occupent une position correspondant à la dernière ligne, un ou les deux goujons 3000, en contact avec l'un ou les deux doigts 3001 font basculer l'arbre 1961 qui déplace, par l'intermédiaire du bras 3003, la bielle 3007 et fait basculer le bras 3008 dans le sens dextrorsum (fig. 103). Ce mouvement entraîne le bras 3010 et amène, grâce au ressort 3013, le bras 3012 dans une position qui empêche le déplacement du bras 3016, bloquant ainsi le déclenchement de la machine.
*II est nécessaire, pour permettre un nouveau fonctionnement de la machine, de ramener en arrière le bras 3012 et écarter l'arête de verrouillage 3014 de dessous du rebord 3015. On réalise le retour du bras 3012 en enfonçant la touche Intérêt sur Prêt 142, la touche Solde 121, la touche Sous-Total Solde 122, la touche Découvert 123 ou la touche Ejection 125.
On obtient le retrait du bras 3012 en excitant un solénoïde 3018 (fig. 20 et 103) au moyen de la fermeture d'un interrupteur lorsque l'on enfonce une des touches mentionnées ci- dessus. Lorsque le solénoïde est excité de la façon que l'on vient de décrire, son armature 3019 est soulevée (fig. 103) avec une biel- lette 3020 reliée à un bras 3021 (voir aussi fig. 102), monté sur l'arbre 3009. Un ressort 3055, relié au bras 3056, articulé au bras 3021, maintient l'armature 3019 à sa position normale. Le bras 3021 est muni d'un doigt 3022 qui se trouve sur la trajectoire d'un goujon 3023 du bras 3012.
Lorsque le bras 3012 se déplace vers sa position de verrouillage, le goujon 3023 se trouve placé contre le côté gauche du doigt 3022. Ainsi, lorsque le solénoïde 3018 est excité pour éloigner son armature 3019, le bras 3021 bascule dans le sens senestrorsum (fig. 102 et 103) et le doigt 3022, en contact avec le gou- jon 3023, fait basculer le bras 3012 vers sa position normale ou position de déverrouillage.
Un bras de commutateur 3024, fixé au bras 3010 est prévu pour fermer un commutateur 3025 lorsque le bras 3012 se déplace vers sa position de verrouillage.
L'interrupteur 3025, comme indiqué sur le schéma (fig. 20) se trouve dans un circuit d'excitation du solénoïde 3018. On prévoit également un second interrupteur 3026, dans le circuit comportant le solénoïde 3018, interrupteur qui est fermé lorsque l'une des cinq touches, énumérées en dernier lieu, est enfoncée.
Le commutateur 3026 (fig. 27) est monté sur la barre transversale située à l'avant de la machine et fermé par un bras 3027, fixé à un bras d'un étrier 3028 qui franchit l'espace compris entre les touches des rangées de commande. L'un des bras de l'étrier 3028 est pourvu d'un doigt 3029 (fig. 28) en prise avec un goujon 3030 d'une détente 3031 de la troisième rangée des transactions. Le goujon 579 de la touche Intérêt sur Prêt passe à travers un orifice de la détente 3031 et cette dernière est pourvue d'un contour de came 3032 avec lequel le goujon 579 est en contact.
L'abaissement de la touche Intérêt sur Prêt , coopérant avec le contour de la came 3032, déplace la détente 3031 vers la gauche (fig. 28) ce qui fait basculer le doigt 3029 dans le sens dex- trorsum par l'intermédiaire de l'étrier 3028, le bras de commutateur 3027 dans le même sens, pour fermer le commutateur 3026.
Une détente 3033 (fig. 29) est placée dans la troisième rangée de transactions, et comporte des arêtes-cames qui engagent les goujons 579 des touches Solde , Sous-Total Solde , Découvert et Ejection . La détente 3033 est munie d'un goujon 3035 en contact avec un bras 3036, lequel possède une encoche dans laquelle s'engage la culasse 3028.
Lorsqu'on enfonce la touche Solde , Sous-Total Solde , Découvert ou Ejec- tion , le goujon 579 correspondant à cette touche, en contact avec l'arête-came 3034, déplace la détente 3033 vers la gauche (fig. 29) ce qui provoque le basculement de l'étrier 3028
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par l'intermédiaire du goujon 3035, en contact avec le bras 3036 et celui du bras de commutateur 3027 qui ferme ainsi le commutateur 3026.
Comme on l'a mentionné précédemment, le commutateur 3025 est fermé lorsque la machine est verouillée, lors de l'impression d'un article sur la dernière ligne. Lorsqu'on enfonce l'une quelconque des touches précédentes, qui actionnent le commutateur 3026, un circuit est fermé par l'intermédiaire du solénoïde 3018, rappelant ainsi l'armature 3019 et ramenant le bras 3012 suivant le processus décrit précédemment.
L'abaissement de l'une quelconque des autres touches de commande n'agit pas sur la fermeture du commutateur 3026, et, par conséquent, la machine ne peut être rappelée par aucune touche autre que les cinq touches mentionnées ci-dessus.
Le fonctionnement de la machine étant déclenché par l'une des touches Intérêt sur Prêt , Solde , Sous-Total Solde , Découvert ou Ejection , suivant le verrouillage de la machine en raison de l'impression de la dernière ligne, maintient le document à la position correspondant à la dernière ligne et de ce fait les palpeurs 1950 et 2050 verrouilleraient à nouveau la machine à la fin de chacune de ces opérations. Pour s'opposer à un tel verrouillage de la machine à la fin d'une des opérations de solde, de découvert ou d'éjection, on prévoit un mécanisme de commande spécial (fig. 42).
Un disque à encoches 3040 (fig. 42) est réglé par rapport à un palpeur 3041 sous la commande du premier mécanisme différentiel de transactions, par l'intermédiaire d'un dispositif de couronnes dentées d'embrayage interne en anneau, semblable à ceux qui ont déjà été décrits plus haut. Pendant une opération de la machine correspondant à l'abaissement de la touche Solde , de la touche Découvert ou de la touche Ejection , le disque à encoches 3040 est disposé de façon qu'une encoche se trouve sur le passage du palpeur 3041. Le palpeur 3041 est pourvu d'une rainure 3042 au moyen de laquelle une extrémité du palpeur est guidée et l'autre extrémité du palpeur pivote autour d'un bras 3043.
Un ressort 3044 tend normale- ment à maintenir en contact le palpeur 3041 et le disque de commande 3040. Le bras 3043 est muni d'un goujon 3045 maintenu en contact avec un doigt 3046 fixé à l'arbre 1443 déjà mentionné, lequel est commandé par les cames 1450. Le bras 3043 est relié à une biellette 3047, elle-même reliée à un levier coudé 3048 qui pivote autour de l'arbre 1439. Une biellette 3049 est également fixée au levier coudé 3048 et est reliée à un bras 3050 pivotant autour de l'arbre 1961. Le bras 3050 comporte un secteur 3051 qui peut basculer et venir dans la trajectoire du rebord 1977 du cliquet 1976.
Le secteur 3051 est placé sur la trajectoire du rebord 1977 pendant le fonctionnement de la machine, lorsque les cames 1450 font pivoter le bras 1448 et le doigt 3046, ce qui permet au ressort 3044 d'introduire le palpeur 3041 dans les encoches alignées, désignées par les nombres 1, 3 et 5 sur la fig. 42. Lorsque le palpeur 3041 est engagé dans une encoche, le bras 3043, basculant dans le sens dextrorsum, abaisse le doigt 3046 et, par l'intermédiaire du levier coudé 3048, déplace la biellette 3049 vers la droite, ce qui fait basculer le bras 3050 et le secteur 3051 dans le sens dextrorsum.
Le contour du secteur 3051 vient en face du contour 3053 du bras 1981 lorsque le secteur 3051 tourne dans le sens dextrorsum. Lorsqu'il se trouve dans une telle position, le secteur 3051 est placé suffisamment haut pour empêcher le cliquet 1976 de venir en contact avec l'encoche 1980, pendant le fonctionnement de la machine. Par conséquent, lorsque le cli- quet 1976 est basculé vers le haut (fig. 42), le rebord 1977 ne peut s'engager dans l'épaulement 1980; le bras 1982 ne se déplace donc pas pour faire tourner le doigt 3001 (fig. 103) et le bras 3003, la biellette 3007, le bras 3008 et le bras 3012 ne sont pas déplacés vers leur position de verrouillage.
Un disque de commande 3040 (fig. 42), et les liaisons reliant celui-ci au secteur 3051, sont destinés à empêcher l'enclenchement du cli- quet 1976 avec l'encoche 1980 du bras 1982 dans le dispositif d'impression du livret. Le dispositif d'impression de la carte est pourvu d'un mécanisme semblable.
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Pendant le mouvement initial du bras 1975, un goujon 3052 (fig. 86 et 90) du bras 1975 vient au contact d'un doigt 3037 d'un bras fixé au moyeu 3002 de l'arbre 1961, et par conséquent pendant le début d'une opération de la machine, le goujon 3052, en contact avec le doigt 3037, ramène l'arbre 1961 et le bras 3012 à leur position normale, prêts à être réglés à nouveau par les organes de commandes pendant l'opération suivante de la machine.
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Accounting machine In accounting machines with individual spacing mechanisms for two documents, it may happen that one of the two documents reaches the position corresponding to the last print line before the other document, which is due to the fact that the latter is not always presented to receive the entries at the same time as the other document.
The subject of the invention is an accounting machine comprising printing mechanisms capable of printing in several columns on each of two documents introduced into the machine and, for each of the documents, a line spacing device, characterized by a device printing control which is under the control of feelers provided for each document, such that when one of these probes detects that the corresponding document is at its last line of printing, the printing control device blocks the printing mechanism for the other document.
The appended drawing represents, by way of example, an embodiment of the machine forming the subject of the invention.
Fig. 1 is a perspective view of the machine, showing the keyboard and the printing tables. Fig. 2 is a schematic view of the keyboard layout.
Fig. 3 is a detailed view showing the essential framework of the machine.
Fig. 4 is a view of the right side of the machine, with certain elements of the totalizer clutch mechanism.
Fig. 5 is an elevational view showing the mechanism allowing the movement of the addition-subtraction totalizer, as well as certain elements of the differential upright and control mechanisms.
Fig. 6 is a detailed view showing a section passing through a row of posts of the addition-subtraction totalizer.
Fig. 7 is a plan view showing parts of the two machine camshafts and the machine control clutch, for one or two cycle operations.
Fig. 8 is a sectional view showing a row of upright keys and an upright differential.
Fig. 9 is a detailed view of the reset mechanism for the tens carry mechanism.
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Fig. 10 is a detailed view of the cams operating the upright differential.
Fig. 11 is a detailed and enlarged view of a post drive mechanism. Fig. 12 is a table showing the notches of the printing mechanism control plates.
Fig. 13 is a section according to the third row of transactions.
Fig. 14 is a detailed view of part of the drive mechanism for transaction differentials.
Fig. 15 is a detailed view of part of the mechanism for driving the mechanism of FIG. 14.
Fig. 16 is a detailed view of part of the differential control mechanism.
The fi-. 17 is a detailed view of the cycle control mechanism.
The fi-. 18 is a detailed view of the clutch mechanism for starting the machine.
Fig. 19 is a detailed view showing the clutch mechanism for starting the machine.
Fig. 20 represents the diagram of a circuit of the motor and of the electrical connections intended for unlocking the machine, after entering an article on the last line of the booklet, the account, or both.
Fig. 21 is a detailed view of a locking trigger for the keys of the first row of transactions, in either a down or up position.
Fig. 22 is a detailed view of a recall trigger used to partially trigger the machine by means of certain keys of the first row of transactions.
The fia. 23 is a detailed view of a trigger for triggering the machine by depressing certain keys of the first row of transactions.
Fig. 24 is a view of a trigger for triggering the machine by depressing certain keys of the second row of transactions.
Fig. 25 shows a trigger for triggering the machine by depressing any key in the third row.
Fig. 26 is a plan view of the trigger in question and the trigger mechanism shown in FIGS. 22 to 25.
Fig. 27 is a detail view of a switch with its operating arm which operates the machine triggers to unlock the machine after printing on the last line of the passbook, account, or both.
Fig. 28 is a detailed view of a key operated control bar of the third transaction row, serving to close the switch shown in FIG. 27.
Fig. 29 is a detailed view of a control bar actuated by certain keys of the first row, serving to close the switch shown in FIG. 27.
Fig. 30 is a detailed view of a command bar in the third row of transactions, preventing accidental pressing of two neighboring keys in that row.
Fig. 31 is a detailed view of a trigger for holding down a key in the rows of transactions and shows a special control plate placed in the second row of transactions.
Fig. 32 is a view of a first row trigger, used to control the balance locking mechanism.
Fig. 33 is a detailed view of a control trigger of the second row of transactions.
Fig. 34 is a detail showing the connection necessary to maintain a bar.
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coupling shown in FIG. 40, in its normal position.
Fig. 35 is a detailed view of an interlock trigger, placed in the second row of transactions, and under the control of the first row trigger, shown in FIG. 32.
Fig. 36 is a detailed view of part of the mechanism shown in FIG. 41.
Fig. 37 is a detailed view of a trigger placed in the second row of transactions, serving to lock the balance key, either in its depressed or raised position.
Fig. 38 is a detailed view of part of the mechanism for locking the movement of the zero stop pawls in the differential rows of uprights when the total key has been depressed.
Fig. 39 is a detailed view of a flexible trigger of the second row of transactions, serving to hold certain control keys in their depressed positions.
Fig. 40 is a detailed view of a control slider in the first row of transactions, forming part of an interlock between the total keys and the amount keys.
Fig. 41 is a detailed view of the mechanism for preventing engagement of the machine by the total keys, when upright keys are depressed, and allowing control of the zero stop mechanism in the upright rows when a key is pressed. of total has been pressed.
Fig. 42 is a detailed view of the mechanism for preventing the machine from jamming after printing an item on the last line of a passbook, an account, or both, thereby enabling the printing of a balance or overdraft on the same line where the last item was printed or to allow ejection of the document. Fig. 43 is a plan view of a group of control plates, intended for the control of the engagement, of the rear totalizers, with the coaches.
Fig. 44 is a detailed view of the selection plate under the control of the third row of transactions.
Fig. 45 is a view of the selector plate under control of the second row. Fig. 46 is a detailed view of the rear row totalizer clutch mechanism and including the selector plate under the first row control.
Fig. 47 is a detailed view of the clutch control mechanism of the upper totalizer or addition-subtraction totalizer.
Fig. 48 is a detailed view of a control plate adjusted by the differential mechanism of the first row and intended to control the mechanism of FIG. 47.
The fi-. 49 is a detailed view of a control plate adjusted by the differential mechanism of the third row and intended for the control of the mechanism of FIG. 47.
Fig. 50 is a detailed view of a control plate adjusted by the differential mechanism of the second row and intended for the control of the mechanism of FIG. 47.
Fig. 51 is a detailed view of the cams used to switch the clutch mechanism of the full engagement.
Fig. 52 is a detailed view of the mechanism for controlling the movement of the clutch trident as a whole, with the transmission links, from the main transmission shaft to the printing camshaft.
Fig. 53 is a detailed view of the mechanism for operating the totalizer clutch mechanism during addition.
Fig. 54 is a detailed view of the mechanism for controlling the time after which the clutch control probes
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for the rear group of totalizers perform the total operations.
Fig. 55 is a detail view of the control plate set by the first row of transactions, for controlling the clutch of the rear totalizer group.
Fig. 56 is a detailed view of part of the clutch mechanism for this rear group.
Fig. 57 is a detailed view of the mechanism shown in FIG. 56, but in a different position, corresponding to the totalizer clutch.
Fig. 58 is a detailed view of the clutch mechanism in addition and in total, for the two groups of totalizers.
Fig. 59 is a detail view of a control plate placed in the first row of transactions and for controlling the shift of the add-subtract totalizer.
Fig. 60 is a detailed view of a control plate placed in the second row and intended to control the shift of this totalizer.
Fig. 61 is a detailed view of a control plate placed in the third row and intended to control this offset.
Fig. 62 is a detailed view of the add-subtract totalizer offset control mechanism.
Fig. 63 is a detail view showing the mechanism for entering a fugitive unit in the lower order of values of the addition-subtraction totalizer.
Fig. 64 is a detailed view of this mechanism operated by the higher order of values of the addition and subtraction totalizer.
Fig. 65 is a detailed view of a safety device intended to keep the addition-subtraction totalizer in the correct position. FIG. 66 is a detailed view of an interlock positioned by the fugitive unit mechanism, intended to lower the appropriate keys corresponding to the operation on balance, under-balance and overdraft, as fixed by the positive or negative position of the addition-subtraction totalizer.
Figs. 67A and 67B assembled, constitute a schematic plan view of various control plates intended to control; the functions of the machine, and showing the probes which bring some of them into contact in positions corresponding to the control positions.
Figs. 68A and 68B, taken together, constitute an elevation of the transmissions coming from the differentials of the amounts and the transactions, represent the transmissions intended to position the characters used for printing in the various columns of the account, the passbook and the slip and also represent fragmentary parts of each of the recording devices to indicate which of the hammers prints in the different columns of the documents.
Figs. 69A and 69B, taken together, is a plan view showing the various printing hammers, with their actuation mechanisms, as well as the mechanism for selecting the hammers used in the operation (the control plates have been omitted in order to obtain a clearer figure).
Fig. 70 is a section taken along line 70 of FIG. 69B, which shows one of the printing hammer selection and operation mechanisms, which is characteristic of all printing hammer selection and operation mechanisms for booklet and account.
Fig. 71 is a detailed view of the bearings of the shaft supporting the ball of the printing hammer.
Fig. 72 is a detailed view, taken along line 72 of FIG. 69B, which represents the elastic support of the ball joint shaft driving the printing hammer.
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Fig. 73 is a detailed view of one of the actuating mechanisms of the probe, with the connection for controlling the operation of the printing hammer.
Fig. 74 is a detailed view of the mechanism for operating and controlling the efficiency of the tension roller.
Fig. 75 is a detailed view of a part of the feeler mechanism for the sections of the machine relating to the passbook and the account, such a mechanism being provided for each of the sections.
Fig. 76 is a plan view showing the two control mechanisms of the tension roller, one of them for the booklet and the other for the account.
Fig. 77 is a detailed view showing one of the mechanisms for entering and ejecting the passbook and the account, with a control plate for checking the efficiency of these mechanisms.
Fig. 78 is a plan view showing the position of the feed and tension rollers; such an element is provided for the section corresponding to the passbook and another for the section corresponding to the account.
Fig. 79 is a detailed view of part of the mechanism for controlling the efficiency of the power control rod.
Fig. 80 is a detailed view of the mechanism for checking the efficiency of the passbook and account entry pawls, with the control disc serving to determine the efficiency of the mechanism.
Fig. 81 is a detailed view of part of the mechanism of FIG. 80.
Fig. 82 is a detailed view of part of the mechanism of FIG. 80, and showing the parts in the position they occupy at the end of the feed operation.
Fig. 83 is a detailed view of part of the mechanism for checking the efficiency of the feed mechanism shown in FIG. 77. FIG. 84 is another detailed view of the mechanism shown in FIG. 82, which shows the mechanism with the retaining pawl in its effective position.
Fig. 85 is a plan view showing the entry mechanisms of the passbook and the account, with the various controls intended to control their efficiency.
Fig. 86 is an exploded view of the mechanism of FIG. 87.
Fig. 87 is a detailed view of the feeler mechanism cooperating with the booklet to block the trigger mechanism, after the last line has been selected to receive a write.
Fig. 88 is part of the mechanism of FIG. 87 which shows a link between this mechanism and a transmission mechanism, intended to control the printing and ejection mechanism when the last line has been printed.
Fig. 89 is a detailed view of part of the mechanism of FIGS. 86 and 88.
Fig. 90 is a detailed view of part of the mechanism of FIGS. 86 and 87.
Fig. 91 is a detailed view of a part of the transmission mechanism and a fraction of the operating devices thereof, devices actuated to determine the position of the transmission mechanism when the last line of the count has been printed.
Fig. 92 is a detailed view of the operating mechanism intended for the transmission line, for performing the commands of the printing and ejecting mechanism when the last line of the count has been printed.
Fig. 93 is a detailed view of another element of the intended transmission line. at the command of the printing mechanism when the last line of the account has been printed.
Fig. 94 is a detailed view of part of the transmission mechanism intended for the
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controls the print and eject mechanisms when the last line of the booklet has been printed.
Fig. 95 is a detailed view of another element of the transmission line for controlling the printing and ejecting mechanisms when the last line of the booklet has been printed.
Fig. 96 is a detailed view of another part of the transmission mechanism for controlling the printing mechanism when the last line of the booklet has been printed.
The fi-. 97 is a detailed view of the control plate and auxiliary probe, for controlling the printing mechanism when the last line of the count has been printed.
Fig. 98 is a detailed view of another element of the transmission line for controlling the printing mechanism when the last line of the booklet has been printed.
Fig. 99 is a detailed view of part of the transmission mechanism for controlling the printing mechanism when the last line of the booklet has been printed.
Fig. 100 is a detailed view of the control element, with the corresponding probe, intended for controlling the printing mechanism when the last line of the booklet has been printed.
Fig. 101 is a plan view of the mechanism for locking the trigger mechanism when the last line of the passbook has been printed, with the mechanism for unlocking the trigger mechanism to allow printing of a balance or overdraft on the same line where the last item printed on the passbook or account appears.
Fig. 102 is a detailed view of a part of the mechanism intended to restore the triggering mechanism of the machine, after it has been blocked due to the printing on the last line of the passbook and the account; the figure shows certain elements intended to unlock the trigger mechanism in order to allow the printing of a balance or an overdraft in the balance column on the same line as the last printed item.
Fig. 103 is a detailed view of the mechanism intended to block the trigger mechanism after the last line of the passbook or account has been printed, with the necessary devices to unlock the trigger mechanism to allow the printing of a balance or d 'an overdraft in the balance column on the same row as the last item printed.
Fig. 104 is a detailed view of the feeler mechanism, cooperating with the count to block the trigger mechanism after the last line has been selected to receive an item.
Fig. 105 is a graphic showing how the control plates are notched, for selecting the printing hammers and the feed mechanisms of said machine.
Fig. 106 is a timing diagram giving the operating time of the various mechanisms of the essential parts of the machine.
Fig. 107 is a timing diagram showing the operating time of the mechanism of parts of the machine relating to printing.
Fig. 108 is a timing diagram showing the operation of certain mechanisms during a two cycle operation.
Keyboard: As shown in fig. 1 and 2, the keypad of the machine shown comprises eight rows of upright keys 120 and three rows of transaction or control keys: row 1 or the first row of keys 121 to 129; row 2 or the second row of keys 131 to 139; and row 3 or the third row of keys 141 to 149.
The keys 121 to 125, 131 to 134, 138, and 141 to 149 are motor, that is to say they control the running of the machine. The
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keys 126 to 129, 135 to 137 and 139 are not motorized and must be used in combination with other motor keys. In the lower right corner of the keypad is the Recall key 150, which is used to release non-motor keys that are pressed, before the machine is turned on. The keys 126 to 129 are provided with individual locks 151, by means of which these keys can be locked and not be pressed, if desired.
Keys 126 to 129 are keys which are normally pressed and which remain in this position at the end of the machine operation. These keys can be recalled by pressing another key in the same row or by a finger 152 (FIG. 2) protruding from the keyboard, at the end of the row of keys.
Key 139 is a key which is normally depressed and, once depressed, can only be released by means of a lever 153, shown in fig. 2 towards the top of the keyboard.
A slide lock 154 is placed on the left side of the keypad and intended for the control of various functions of the machine, as disclosed in Swiss Patent Specification NI '288478.
A dial 155 indicating the date is also provided, which can be updated by means of a knurled button 156, according to use, and intended to position the characters on the printing line.
Main frame: Fig. 3 shows the main frames of the machine. A left flange 160 and a right flange 161 are mounted on a base 162. The intermediate walls 163 and 164 are disposed between the flanges 160 and 161; these intermediate walls support the printing mechanisms of the booklet, the account and the control strip, and are also fixed on the base 162. An auxiliary wall 165 is fixed to the right side flange 161; this wall is provided with blocks 166, drilled to receive the screws coming from the rear frame 167. Another auxiliary wall 168 is provided with blocks 169, threaded to receive the screws fixed to the frame 167.
A third auxiliary wall 170 is provided with blocks 171, threaded to receive the screws fixed to the frame 167. A shoulder stud 172 (fig. 8) is fixed on each side of the walls 163 and 164 supporting the printing mechanism and on each of the side plates 160 and 161, located on the left and on the right respectively. There is provided, towards the front of the machine, a series of six auxiliary plates 175 (FIGS. 2 and 8) intended to support the character carrier and the positioning mechanism. Each auxiliary wall 175 has a notch at the interior end and located at the rear, a notch intended to be placed on the small diameter of the stud 172 when the character block, assembled separately, is mounted in the machine.
A spacer 176 (fig. 13) is provided with a series of six notches, into which is inserted the upper edge of each of the walls 175. After the character block has been assembled separately, the complete block is placed in the machine by means of the notches of the auxiliary walls 175 which are placed on the small diameter of the studs 172 (fig. 8), by sliding the upper edges of the walls 175 into the notches of the spacer 176, and by inserting a shaft 177 ( Fig. 8 and 13) through the right wall 161, all of the auxiliary walls 175, the walls 163 and 164 supporting the printing mechanism, and finally through the left flange 160.
Towards the rear of the machine, a groove-shaped cross bar is placed between the side flanges 160 and 161, and another auxiliary wall 179 is mounted on this cross bar 178. An additional auxiliary wall is also mounted on the cross bar. 178 and the two auxiliary walls 179 and 180 are fixed to the spacer 176 by means of the screws 181. A shaft 182, described later, is held between the auxiliary wall 180 and the left side flange 160. A second shaft 183, is held between the right flange 161 and the auxiliary wall 179, which supports certain mechanisms described below.
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Machine drive mechanism: The machine can be driven by an electric motor or by means of a crank.
The motor rests on the auxiliary wall 179 (fig. 3). The motor shaft 190 (fig. 7, 13 and 18) is connected to a toothed wheel 191 in mesh with a toothed wheel 192, mounted loose on the camshaft 193.
A clutch sleeve 194 (Figs. 7 and 18) is attached to the toothed wheel 192; a clutch pawl 195 is engaged with the sleeve when the machine is in operation. The pawl 195 is mounted on a disc 196, attached to the shaft 193, and can pivot about an axis. A toothed wheel 197 (fig. 7, 13 and 18) is also fixed to the shaft 193 and is in mesh with a toothed wheel 198 fixed to a socket 199 (fig. 7 and 18), mounted on the camshaft. main 200 (see also fig. 17) around which it can rotate. A toothed wheel 201 is also pinned to the shaft 193 and is engaged with a toothed wheel 202 (Figs. 7 and 13), attached to a bush 203, mounted on the shaft 200 around which it can rotate.
Two pairs of cams 204 are fixed on the sleeve 203, cams intended to actuate the differentials of the first and second control row; a pair of cams 204 is fixed on the sleeve 199, cams intended to actuate the control differential of the third control row. The three pairs of cams 204 are set in motion simultaneously when the shaft 193 is driven by means of the gears 197 and 201, in mesh with the gears 198 and 202, respectively. Thus, when the shaft 193 rotates, the sleeves 199 and 203 can rotate independently of the shaft 200. A clutch sleeve 205 is also fixed on the sleeve 199, and normally connects the latter to the shaft 200. .
There is provided a mechanism, described below, intended to separate the connection between the sleeve 199 and the shaft 200 during the two operating cycles, so that the sleeves 199 and 203 can rotate independently of the shaft 200 during the operation. first cycle of a two-cycle operation, and the clutch controls the connection between bushings 199 and 203 and shaft 200 during the second cycle of such an operation, which control is described below.
A toothed wheel 206 (FIGS. 7 and 52) is also fixed on the shaft 200, which wheel is in engagement with a toothed wheel 207 mounted on a bushing 208, carrying the cams intended for the operation of certain mechanisms of the machine; this socket is mounted so as to be able to rotate on an axis 209, carried by the right side flange 161.
If desired, the machine can operate using a manual device such as a crank 210 (fig. 4), mounted loose on an axis 211 of the right flange 161. When it is desired to operate the machine by means of of the crank, the handle 210 is placed at the end of the axis 211, to engage it with a hub 212 (fig. 7) also rotating on the axis 211. A pinion 213 (fig. 4 and 7) is attached to the hub 212 and is in engagement with another pinion 214 which, in rotation, engages a pinion 215, itself meshing with a pinion 216. The pinions 214 and 215 rotate on the axles carried by the side flange right 161.
The pinion 216 is fixed to a shaft 217 held by a bearing surface of this flange 161 and on this shaft is fixed a toothed wheel 218 in engagement with the toothed wheel 202.
The rotation of the handle of the crank 210, by means of the series of toothed wheels which we have just enumerated, drives the toothed wheels 210, 202, 197 and 198, and consequently the bushes 199 and 203 as they are operated by the motor, via the toothed wheel 191. When the machine is operated by means of the handle, the clutch sleeve 194 simply engages the pawl 195. Rows of upright keys: Each row of upright keys uprights has nine buttons 120 (fig. 1, 2 and 8).
Four control members cooperate with each row of upright buttons, members which include a flexible trigger 220, a plate actuating the zero stops 221, a locking detent 222 and an interlocking plate 223. These various members
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constitute a device intended to prevent the triggering of the machine by pressing certain control keys, after an upright key has been pressed. The way in which the four detents 220 to 223 operate is set out in the description of Swiss Patent NI, 288478, already mentioned, and reference may be made to it for a detailed description of these members.
Differential mechanism of the uprights: A slide of a differential drive member 250 is placed below each row of upright keys 120 (Fig. 8) in an intermediate position between the offset keys and so as to be controlled by them. Each slide 250 is suitably held by the two transverse bars 251 and 252, supported by the frame of the machine and in order to be able to slide on these bars. The slide 250 is provided at its end with eight protrusions having flanges 255 angled at right angles, placed alternately to the right and to the left and aligned with the rods of the keys 120. The flanges 255 are placed on the slide 250 so that they can be ordered. by number keys 1 to 8, respectively.
Slide 250 has, near the front end, a stop surface 256, which engages crossbar 251 to secure slide 250 in position 9. When no key is pressed, a flange 257 of a zero stop pawl 258 moves in the path of a flange 259 of the slideway 250, to stop the latter flange in the zero position, this which corresponds to a displacement of one degree from its proper position. Thus the flanges 255 and 257, together with the surface 256, provide a device intended to stop, where desired and by means of a differential, the slide in any one of the ten positions. Consequently, the slide 250 can occupy any of the eleven positions which constitute its own position and the ten adjustment positions.
The slide 250 (fig. 11) is provided at the rear end with teeth engaged with a differential sector 266 rotating on a shaft 267, held by the frame of the machine. To sector 266 is fixed a support 268 for the trainer and on this support slide two racks 269 and 270 mounted so as to be able to be engaged with the wheels of the totalizer which will be described later.
When the machine is started by lowering a post key 120, the slide 250 of the drive member moves by an amount proportional to the value indicated on the post key and, through the teeth 265, rocks segment 266, and device 268 which supports the drive member, by an identical amount. This brings the racks 269 and 270 of the drive member to a position corresponding to the value indicated on the pressed key. After the drive members have thus been brought into this position, one or two of the totalizers are engaged with these members, and the slideway 250 is then returned to its proper position.
By returning to the proper position; segment 266 and coaches 269 and 270 rotate in the retrograde direction by a number of degrees corresponding to the value indicated on the pressed key, thus entering the desired amount into the engaged totalizer (s). Once the amount has entered the totalizer (s), they are disengaged from the drive members.
The adjustment of the movement of the differential slide 250 is controlled by a main bar, comprising a universal rod 275 (Fig. 8). A spring 276, one end of which is fixed to the slide 250 and the other end to a transverse plate 277, supported by the frame of the machine, normally holds a base 278 of the differential slide 250 against the universal rod 275. The spring 276 rod 275 is supported by several arms 279 attached to a shaft 280. Two arms 281 integral with the cams are also attached to the shaft 280 each arm having two rollers 282 which cooperate with a pair of cams 283 attached to the main camshaft 200.
One pair of cams is placed near the left side flange 160 and the other near the wall 179 (fig. 3).
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During the operation of the machine, the cams 283 rotate in the dextrorsum direction (fig. 10) in order to tilt the arm 281 first in the dextrorsal direction and then in the opposite direction, in order to move the universal rod 275 d ' first to the right then to the left.
As the universal rod 275 moves to the right, the spring 276 drives the differential slide 250 to the right until it is stopped by a flange 255, then coming into contact with a depressed key marked 1 through 8, either the seat 256 engages the crossbar 251 in position 9, or the zero stop pawl 258 stops the slide 250 in the zero position, after which the universal rod 275 continues its rearward movement.
Towards the end of machine operation, when the universal rod 275 is returned to its original position by the cams 283, the universal rod 275 raises the differential slide 250 and returns it to its rest position which is one degree further than, the zero position, again tensioning the spring 276. During this movement back to the rest position, the differential slide 250 causes the racks 269 to switch, via the links described above, in the retrograde direction. 270 of the drive member by a number of degrees proportional to the value indicated on the pressed key, thus entering the amounts into the engaged totalizer (s).
The zero stop pawl 258 is normally moved from its active position and is returned to its inactive position, in a known manner, when the machine is operating without a post key of the associated row of keys having been depressed.
Totalizers: The machine as shown here by way of example has eleven totalizers. The number of totalizers, used in the machine of the type shown, depends on the kind of accounting for which the machine is applied. In the example, a transaction totalizer is provided for each of the keys of the third row (row 3). A tenth totalizer is provided in order to obtain a total for the Passbook Interest key of row 2. The ten transaction totalizers are of the type interspersed on the same tree, according to the known technique, and will not be described in detail.
The add-subtract totalizer is mounted on the upper totalizer shaft and has a pair of wheels for each denomination, which are connected together in a well-known technique.
The totalizers inserted on the rear group of totalizers require an axial displacement or offset intended to select the desired totalizer in which the amounts will be added, or the totalizer whose total is to be read. For this reason, two-cycle operation is used to disengage the selected totalizer from the rear group. There is provided a mechanism, which is described below, for the automatic control of the machine, with a view to its operation in total over one cycle or over two cycles.
The ten intercalated transaction totalisers consist of elements 290 (fig. 8, 11, 56 and 57), mounted so as to be able to rotate on a totalising shaft 291 which rests in cavities made in a pair of arms 292, placed near walls 168 and 170 (fig. 3), in which the shaft is engaged and can move. The clutch arms 292 (Figs. 11, 56 and 57) are mounted freely on a tilt shaft 293, so as to tilt around the shaft. Each arm 292 is provided with a groove 294 (fig. 56 and 57) in which penetrates a roller 295 carried by an arm 296 mounted on a stud 297, is engaged in each cam groove 294.
Each arm 296 is also provided with a. Stud 298 penetrating into an open groove made on each pair of arms 299 (see also fig. 8) fixed to the tilting shaft 293. The latter is actuated, with each operation, depending on the setting for addition or total taking, as described below.
The shaft 291 is shifted towards its end, in a known manner, so that the selected totalizer is aligned with the gold-
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drive shaft 270, before the shaft 293 has tilted.
When the wheels of the totalizer 290 are in the non-engaged position, as shown in FIG. 56, an alignment device 300, engaged between the teeth of the wheels 290, prevents the wheels of the totalizer from turning. The alignment device 300 is long enough to pass through the entire group of totalisers and extends from the wall 168 (FIG. 3) to the wall 170. This alignment device has the form of a caliper comprising a cross member and two. arm 301 (fig. 56 and 57). Each of the arms has a stud 302 which enters a cam groove 303 of the engagement arm 299.
When the shaft 293 tilts, the grooves 303, gripping the studs 302 of the arms 301 of the alignment device, trigger the alignment device of the wheels of the totalizer 290, and then the wheels of the totalizer come into place with the teeth 270 of the drive unit. Upper totalizer: The upper totalizer comprises an addition wheel 305 and a subtraction wheel 306 (Figs. 5, 6, 8, 11, 62, 63 and 64) for each order of value. The wheels 305 and 306 are provided with teeth 308 (see fig. 6) engaged with a pinion 309 mounted on a pin 310. The latter protrudes into a support shaft 307, on which the wheels 305 and 306 rotate. these are maintained in a suitable position by means of two rings 311 and 312 pinned to the shaft 307 by the pins 313.
A sleeve 314, mounted with clearance between the wheels 305 and 306, holds the pinion 309 on the pin 310, and in proper engagement with the teeth 308 of the wheels 305 and 306 of the totalizer.
The addition wheel 305 is normally aligned with the drivers 269 and, when the totalizer wheels are engaged therewith, an addition is made. When a key of any one of the three control rows is pressed, which controls the performance of a subtraction by the machine, a control device moves the subtraction wheel 306 to bring it in front of the driver. 269, so that when the machine is running and the wheel 306 has tilted to engage with the driver 269, the addition wheel 305 turns in the opposite direction by the teeth 308 of the subtraction wheel and the pinion 309 .
The subtraction wheel 306 is brought in front of the driver 269 by means of the following mechanism: A sleeve 320 is fixed to the support shaft 307 (fig. 5), which sleeve is threaded to bring precisely by. micrometric adjustment, the wheels 305 and 306 in proper alignment with the coaches 269. A caliper 321 straddles the sleeve 320. The caliper 321 is mounted. so as to be able to slide on two pins 322 and 323 (see also fig. 62) and these pins are held by the flanges 161 and 168. A roller 324, mounted on the caliper 321, enters a drum cam groove 325 326, which rotates on a shaft 327 fixed in the walls 161 and 168.
A hub 328 connects the drum cam 326 to a toothed wheel 329 engaged with a sector 330 mounted so as to be able to turn on the shaft 267. The sector 330 is connected to an elbow lever 331 by means of a ball joint comprising two flanges 332 and 333. Flanges 332 and 333 are connected by a stud 334, which enters a cam groove 335 of a lever 336 which pivots around a shaft 337. The lever 336 is connected to the cam arm 338 to the by means of a connecting rod 339. The cam arm 338 pivots around a shaft 340 and carries two rollers 341 and 342 cooperating with a pair of cams 343 fixed to the camshaft 193 (see also Fig. 7).
A spring-actuated retaining pawl 355 is provided with a stud 352 which rests on a sector notch 330, to prevent inadvertent displacement of the sector out of one of the two adjustment positions.
When the carnes 343 tilt the arm 338 in the senestrorsum direction (11g. 62), the lever 336 swings in the opposite direction to open the angle of the ball 332-333: At this moment, the sector 330 is retained by the retaining pawl 355 and consequently the angled lever 331 switches empty in the senestrorsum direction; it follows that the sector does not actuate the cam
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drum 326 and the totalizer does not move to the subtract position.
Towards the end of the operation of the machine the cams 343, passing through the cam arm 338, the flange 339 and the lever 336, again tilt the ball, formed by the flanges 332 and 333, in its normal position, bringing thus the angled lever 331 in its normal position.
A roller 345 is mounted on the elbow lever 331 (Fig. 62) and normally rests on the upper end of the elbow lever 346, pivoting about a stud 347 and connected to an arm 348 by a flange 349. The arm 348 is attached to a shaft releasing the clutch 350, which swings in the senestrorsum direction. (fig. 62) when the machine is triggered for an operation in a manner explained later. When the machine is running and the shaft 350 has tilted in the senestorsum direction, the flange 349 causes the elbow lever 346 (fig. 62) to tilt in the dexirorsum direction which moves the upper end of the elbow lever 346 away from its position under the roller 345.
To bring the subtractive wheel 306 (fig. 62) of the totalizer in front of the driver 269, there is provided a stop arm 351 pivoting around a shaft 398 and tilting above the roller 345 of the elbow lever 331, when 'certain keys of the control rows are pressed. In the system given by way of example, this stop arm 351 is tilted into the position it occupies when the keys 123 and 124 of the command row, the key 138 of the second row, or the keys are pressed. 143, 145 and 148 of the third row. A control plate 356 (fig. 59), carried so as to be able to slide by four rollers 357, is mounted near the keys of the first control row so as to be actuated by them.
In the vicinity of the Open key 123 and the Subtraction key 124, the control plate 356 is provided with cam-ridges 358, so that, when one of these two keys is pressed, the studs 579 carried by the keys act on these edges and move the control plate 356 to the left (fig. 59). The right end of the control plate 356 is powered by a stud 359 entering a notch of an arm 360, which pivots around a stud 361. The lower part of the arm 360 is bifurcated to grip the bar. a yoke 362, mounted so as to be able to pivot on the stud 361. The yoke 362 is provided with an arm 363 (Fig. 62) having a stud 364 which penetrates the bifurcated end of the elbow lever 365.
A link 366 connects the elbow lever 365 to the control arm 351.
When one of the keys 123 or 124 is pressed and the control plate 356 (fig. 59) moves according to the process just described, the yoke 362 switches and, by means of the pin 364, switches the crank lever 365 which moves, thanks to the link 366, the control arm 351 located above the roller 345 of the crank lever 331. When the machine is operating in subtraction, with the control arm 351 located above the roller 345, the return of the angled lever 346, which is done in the manner explained previously, releases the angled lever 331 which can turn in the dextrorsum direction (fig. 62) during operation of the machine.
This movement of the angled lever 331 is achieved by the cams 345, by means of connections comprising the cam arm 338, the rod 339 and the lever 336 which, by acting on the stud 334 to lengthen the ball formed by the rods 332 and 333 , cause the roller 345 to come into contact with the lower end of the stop arm 351. When this occurs the ball joint turns the sector 330 (fig. 62) in the dextrorsum direction, which turns the drum cam 326 and moves the caliper 321 as well as the totalizer shaft 307, which brings the subtractive wheels 306 in front of the coaches 269. During the operation of the machine, the data entered on the keyboard then enters the subtraction wheels 306 which, at using pinion 309, rotate addition wheel 305 in the reverse direction.
Stop arm 351 also moves over roller 345 and causes the addition-subtraction totalizer to move when key 138 is depressed. This key is fitted with a pin 579 (fig. 60) which enters a cam groove in the control plate.
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control 368 (fig. 60) located in the second control row. The control plate 368 is mounted so as to be able to slide on four studs 369. A cam ridge 370 formed in the control plate 368, cooperates with the stud 579 of the key 138 and the right end of the slide is provided with a stud 371, clamped in the bifurcated end of an arm 372, also mounted so as to be able to pivot on the stud 361.
The arm 372 is bifurcated to grip the caliper 362, in the manner discussed with respect to the arm 360. As a result, when the key 138 is depressed, the caliper 362 tilts and moves the stop arm 351 located above the arm. roller 345 of the crank lever 331 and causes the displacement of the shaft 307 of the totalizer, to bring the subtractive wheels in front of the coaches 269.
A control plate 375 (fig. 61), mounted so that it can slide over the studs 376, is placed in the third control row. Cam ridges 377 are provided cooperating with the studs 579 of the keys 143, 145 and 148 of the third control row, so that when any one of these keys is pressed, the control plate 375 moves and makes thus tilting an arm 378 by engaging a stud 379 of the control plate 375 with the bifurcated upper end of the arm 378. The latter pivots around the stud 361 and is bifurcated to grip the caliper 362.
When any of the keys 143, 145, or 148 are depressed and the plate 375 moves, the arm 378 swings and rotates the yoke 362 and the arms 363, which moves the control arm 351 located at the top. top of roller 345. Also, when the machine is operated on command of any of these three keys, the totalizer shaft 307 moves and brings the subtractive wheels in front of the drivers 269.
Operation of the machine controlled by any one of the keys 124, 138, 143, 145 or 148 will result in a subtraction. Machine operation triggered by the 123 key produces a total operation with two operating cycles. During the first of these two cycles, the arm 351, located above the roller 345, drives the sector 330 which moves the shaft 307 of the addition-subtraction totalizer to bring the subtractive wheels in front of the drivers. Towards the end of the first cycle, the elbow lever 346 is not returned to its normal position and for this reason, towards the end of the first cycle, when the lever 336 swings to actuate the ball links 332 and 333, the angled lever 331 vacuum rocker from bottom to top.
However, towards the end of the second cycle, the clutch return shaft 350 is returned to its normal position, thus returning the elbow lever 346 under the roller 345, after which the cam 343 switches the lever 336 to return the lever. ball joint to its normal position. At this time, the roller 345 is wedged between the upper end of the arm 346 and the lower end of the control arm 351, which returns the segment 330 to its rest position, and through the drum cam 326 returns the totalizer shaft 307 to its home position, for which the addition wheels are again aligned with the drivers 269.
The operating times of the clutch of the totalizer wheel and the coaches 269 will be described later in considering the addition and subtraction operations, and a total operation.
Tens carry-over mechanism: Each of the totalizer groups has a known tens carry-over mechanism. As the transfer mechanisms of the two groups are identical, only that which is associated with the rear group of totalisers will be briefly described here.
In addition to the carryover mechanism, the add-subtract totalizer is provided with a fugitive unit mechanism, which will be described later, intended to cause a unit to enter the lowest order totalizer wheel when the wheel of the highest order goes through zero in any direction.
The transfer of the tens in the wheel of the next higher order is effected by allowing the drive rack 270 (fig. 11) to move a notch more than would require the control.
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requires amount keys. This additional displacement by one notch is effected relative to the plate 268 on which the rack is mounted. The rack 270 is provided with two studs 385 and 386 which penetrate respectively into slots 387 and 388 drilled in the differential plate 268. A spring 389, fixed to one end of the rack 270, tends to move it in the senestorsum direction like the represents fig. 11.
When the plate 268 is in the rest position, that is to say at the end of the operation, a pin 390 fixed to the driver 270 rests against the front end of a lever 391. When it is in this position, the coach 270 is in the rest position; ; that is, no postponement can be made. When a transfer is to be made, the lever 391 is tilted in the dextror- sum direction (fig. 11) so as to move its free end away from the path of the stud 390, which allows the driver 270 to move. one more notch, thus adding one unit to the totalizer element with which it is engaged.
In fig. 11, this state has been shown with respect to the rack 270 of the rear group and the state without postponement has been shown for the coach 269.
The arms 391 are articulated on a rod 392 carried by several supports 293, a support 393 being intended for each element of the totalizer. A spring 394, one end of which is fixed to the free end of the arm 391 and the other is fixed to a rod 395, carried by all the supports 393, normally holds a flange 396, which forms a flange between the lever 391 and a lever 397, in contact with an edge of a caliper 399 carried by a rod 400 also supported by the members 393. The free end of the arm 391 is in the path of the stud 390 fixed on the driver 269 when the edge 396 comes into contact with the caliper 399.
An arm 399 is provided with a flange 421 projecting on the path of a long tooth of the totalizer wheel 290 when the totalizer is engaged. The caliper is pulled in the dextrorsum direction by a spring 422 stretched between an arm of the caliper and the rod 395 so as to hold the end 423 of an arm of the caliper 399 against the rod 392. When the totalizer wheel 290 is engaged with the driver 270 and that the latter, moving in the senestrorsum direction (fig. 11), turns the totalizer wheel 290 from its position 9 to its position 0, the long tooth of the wheel 290 contacts the rim 421 and swings the caliper 399 in the senestorsum direction under the action of the spring 422.
This movement moves the yoke 399 away from the flange 396 and allows the spring 394 to tilt the arm 391 in the dextrorsum direction out of the path of the stud 390 attached to the driver 270 of the next higher order. At this time, when the plate 268 of the next higher order drives the corresponding driver 270 to its rest position, the latter moves one more notch to register a unit in the next higher order of which we spoke previously.
As soon as the amounts, including the tens carryovers, have been recorded in the totalizer, the totalizer wheels are disengaged, then any transfer arms that had tripped are returned to their home position with coaches 269 and 270 .
There is shown in FIG. 9 the rest position of the return mechanism, while FIG. 11 shows the position in which it is when the tens carry over.
This device intended to recall the transfer mechanism and the coaches comprises a multi-arm plate 450 (FIG. 9), fixed to the axis 267, a plate 450 being intended for each particular order. All the plates 450 are pinned to the axis 267, with an arm 451, on which is articulated the upper end of a link 452. The lower end of the link 452 is articulated to an arm 453, connected to it. - even to a pin 454, carried by the left side wall 160. The arm 453 is provided with two rollers 455 cooperating with two cams 456.
At the start of the machine's operation, the carnes 456 tilt the arm 453 slightly in the senestorsum direction (fig. 9), which lifts the link 452 and causes the multi-arm frames 450 to tilt in the senestorsum direction up to 'to the position shown in FIG. 11. When the plates 450 are in this position, the tens transfers
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can be carried out freely in the totalizing wheels.
When the sums are registered in the totalizer wheels and when the appropriate tens transfers have been made, the totalizer is disengaged and immediately afterwards, the cam 456 switches the lever 453 in the dextrorsum direction (fig. 9 ef 11). The shaft 267 then turns in the dextrorsum direction and swings the multi-arm chainrings 450, in the same direction, which engages a lever 457, attached to each of the chainrings 450, in the studs 390 of the coaches 269 and 270, respectively. , and returns them to their untriggered position. A second lever 458 belonging to each multi-arm part 450 cooperates with a stud 459 fixed to the transfer levers 391 and returns them to their rest position.
At this time, the calipers 399 are also returned to their rest position by the springs 422, so as to keep the transfer lever 391 in the rest position. When all of the engaged carry pawls have returned to idle, and almost at the end of a machine cycle. the cams 456 again tilt the lever 453 in the senestorsum direction (fig. 9), which tilts the shaft 267, and places the multi-extension plates 450 in the position shown in fig. 9. Fugitive Unit Mechanism: Such a mechanism is used in the addition-subtraction tota = lizer to allow printing of negative totals.
This mechanism includes a device for registering a 1 in the order of the units of the totalizer when the wheel of the highest order passes through zero either in the direction of addition or in that of subtraction.
The highest order of the totalizer has a carry trigger mechanism similar to that used between lower denominal orders. The long tooth of each of the totalizer wheels 305 or 306 triggers the transfer caliper 399, which drops the arm 397 and releases the stop lever 391 exactly as described above in connection with the command. inferior. When the stop lever 391 has tilted in the dextrorsum direction (fig. 64), it moves away from the path of a pin 5101 carried by a lever 511, articulated on the axis 267.
The lever 511 is connected, by means of a rod 513, to a lever 512 articulated on the stud 454, and is provided with a lower extension 514 on which is placed a roller 515 normally maintained in contact with a cam 516 fixed to the main camshaft 200, under the action of a spring 522, the latter also maintaining the connecting rod 513 and the lever 511 in the position shown in -fig. 64.
A lever 519, pivoting on a shaft 398, is bifurcated to grip a stud 520 fixed on an operating lever 521. The latter is provided with two active edges 523 and 524. When the balance of the totalizer is positive, the edge 523 s' aligns with a stud 525 attached to a positioning lever 526. When the totalizer balance is negative, it is ridge 524 that aligns with a stud 527 attached to the positioning lever 526.
Positioning lever 526 is shown in the positive position and if lever 511 is operating at this time, edge 523 moves forward and backward without producing any effect. If the locator 526 is in the negative position, the pin 525 is in contact with the edge 523 and therefore the senestorsum movement of the trigger lever 521 slides the locator 526 from its negative position to its positive position. .
The operating lever 521 is moved to its new position where the edge 524 is aligned with the stud 527 of the adjuster 526 when the totalizer performs subtractions.
A block 528 is attached to the axle 307 (also refer to fig. 5). The position of block 528 with respect to the totalizer wheels is such that this block 528 is outside the path of the arm 519 when the totalizer is in the addition position. However, when the totalizer is shifted to the left (Fig. 5) so as to align the subtractive wheels 306 with the driver 269, the block 528 moves on the surface 529 of the arm 519. When in this position and that the totalizer is engaged
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with the drivers 269, 1st block 528 meshing the surface 529, swings the arm 519 in the senestrorsum direction (fig. 64).
This last movement of the arm 519 has the effect, by means of its forked end enclosing the stud 520, of lifting the operating lever 521, and places the active edge 524 in the operating position relative to the stud 527. Then, when the long tooth of the wheel 306 goes through zero, and when the stop lever 391 is lowered to release the stud 510, the arm 511 remains at rest during the cycle of operation of the machine.
The cam 516 is provided with a block 530 intended to release the cam 512 when a surface 509 which forms part of it moves away from the block 530, which causes the arm 514 to fall under the action of the spring 522, lifts the connecting rod. 513 and swings the arm 511 in the senestrorsum direction (fig. 64). This movement of the arm 511 causes the operating lever 521 to swing through the stud 520 in the senestorsum direction (fig. 64) around the shaft 267 and, at this moment, the ridge 524 acts on the stud 527. and swings the locator 526 in the dextrorsum direction.
The locator 526 is attached to a shaft 531, to which is attached a lever 532 (Fig. 63) placed in the row of upright key units. The lever 532 is bifurcated to surround a stud 533 fixed to a trigger lever 534. The latter is provided with an extension 535 with double cam action, cooperating with a stud 536 fixed on a trigger lever 537, articulated on the rod 392. The trigger lever 537 is provided with a stud 538, surrounding a finger 539 attached to a transfer trigger lever 540 of the unit order transfer mechanism.
The trigger lever 540 is analogous to the trigger bracket 399 and has a rim in engagement with an edge 396 of the trigger part 397, identical to that of the transfer mechanism already described.
When the shaft 531 tilts due to the movement of the highest order totalizer element from 9 to 0, the lever 532 switches the trigger arm 534 in the senestrorsum direction (Fig. 63). , by means of the double cam 535, moves the stud 536 upwards and switches the trigger lever 537 in the senestorsum direction. This has the effect of tilting, through the stud 538, the trigger arm 540 and resting the stop lever 391, thereby releasing the stud 390 from the differential mechanism of the units and registering 1 in the unit. order of the totalizer units.
If the totalizer goes through zero again in the negative direction, when the stop lever 391 has tilted and let the arm 511 fall until it has triggered the cam 530 and switches the operating lever 521, none 1 further is entered in the order of the units, since the positioning piece 526 is already in the spread or negative position.
However, if the totalizer wheel went from negative state to positive state, which would be because a wheel of the highest order would go through zero in the direction of addition, when the totalizer is is in the addition position, the part 528 would not be on the edge 529 of the arm 519 and, therefore, when the totalizer is engaged with the driver while said totalizer is in the positive position, the arm 519 does not not rock. Consequently, the active edge 523 remains in the position shown in FIG. 64.
If the totalizer is in the negative position, then the pin 525 is driven by the edge 523 and, consequently, when the part 530 drops the arm 514 and causes the link 513 and the lever 511 to swing in the senestrorsum direction, the The active ridge 523, driving the stud 525, causes the lever 526 to switch from its negative position to its positive position, as shown in FIG. 64.
When the arm 511 has been actuated by the spring 522, the cam 516 returns the various parts to their rest position by contact with the roller 515 which causes the arm 514 to tilt against the action of the spring 522, lowers the link 513 and brings back at rest the arm 511 with the release lever 521.
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Locking the Overdraft key and the Balance and Sub-total balance keys:
In the first row of transaction keys, an interlocking system is provided in order to prevent the depression of the overdraft key 123 when the totalizer is in the positive state and to prevent the depression of the Balance keys and of Sub-Balance 121 and 122, respectively, when the totalizer is in a negative state.
The shaft 531 (fig. 5 and 66) is provided with an arm 541 connected to a square 543 by a link 542. The square 543 is articulated on the axis 327 and is divided into two parts so as to grip a stud fixed to an elbow lever 544. The latter is articulated on an axis 545 and a link 546 connects the bracket 544 to a slide 547 comprising a groove allowing it to slide on two studs 548 fixed on the base plate 549 of the keyboard. The slide 547 is provided with notches 550 intended to cooperate with the studs 579 of the keys 121, 122 and 123.
When the shaft 531 is in the positive position, the notches 550, cooperating with the studs 579 of the Balance 121 and Sub-Balance 122 keys, are placed so as to allow their depression. When it is in this position, the notch 550 working with the stud 579 of the uncovered key 123, prevents the depression of the latter. However, when the axis 531 tilts in the dextrorsum direction (fig. 66) due to the fact that the totalizer goes from a positive state to a negative state, the link 542, the elbow levers 543 and 544 and the link 546 slide. slide 547 to the right (fig. 66) which locks the Balance key 121 and the Under-Balance key 122 and passes the notch 550 below the stud 579 of the Open key 123.
Consequently, when the totalizer is in a negative state, the keys 122 and 123 are locked and cannot be depressed, while the Overdraft key can be pressed.
Support of the totalizer frame: It has been noticed that, under certain conditions, when adding sums to the totalizer, the latter, due to its large reach, tended to bend. To avoid this drawback, a stay 555 (fig. 65) was fixed on a rod 556, and its upper end was provided with a cam 557 working with a roller 558 fixed to a lever 559 forming part of the totalizer frame.
Cam 557 has a shape such that when the totalizer rocks and engages with the coaches as shown in fig. 65, a two-part lever 560 attached to the rocker shaft 398, engages a pin 561 of the lever 555, rocks the cam 557 and engages it with the roller 558, which supports the totalizer assembly.
Installation of the printing devices for the amounts: In order to print the amounts recorded on an account card, on a booklet and on a control strip, a certain number of printing wheels 465 were used (fig. 8, 68A and 68B) mounted on shafts 463 carried between the pairs of plates 175.
As shown, the account card is designed to receive amounts in four different columns and therefore four sets of printing wheels 465 are used in the printing section provided for the card. These four columns are shown in fig. 68A with the headers Withdrawal, Deposit Interest, Balance and Old Balance. A fifth column allows you to enter the dates and a description.
The booklet is designed to accommodate the posts in three columns and therefore three sets of printing wheels 465 must be used for the printing portion of the booklet. These columns are similar to the columns on the map, except that there is no Old Balance column.
There is only one column of data printed on the control tape and therefore only one set of printing wheels 465 suffices to print on that tape. Figs. 68A and 68B represent the side views of the different groups of printing wheels 465.
Each wheel or knob 465 is positioned according to the sum to be recorded in the totalization.
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tor, using the post differential mechanism. This differential mechanism controls the position of a slide 466 (fig. 8) provided with notches so as to be able to be carried by the transverse bars 251 and 252. This slide is adjusted during each operation so as to represent the upright. register in the totalizer and it remains in that position until a new position is assigned to it during the next first operation.
During each operation, when the main rod 275 swings in the dextrorsum direction (fig. 8) around the shaft 280 and releases the differential pieces 250, the main rod 275 comes into contact with an edge 467 of the slide 466 and moves it to the right to a position which will be designated in what follows as the eliminated position; that is, the position that the slide 466 occupies when the printing wheel 465 is in the zero elimination position, a position for which there is a blank at the location of the printing wheel corresponding to the line writing.
Once the differential slide 250 has been adjusted using the 120 post button control or the zero stop pawl 258, following the method described above, and the slide 466 in its eliminated position, the two slides are coupled with the aid of - a coupling arm 468 articulated on the slide 466 by means of a pin 469, and provided with two coupling teeth 470. These teeth are meshed with the teeth placed on the lower edges of the differential slide 250. Normally, the teeth 470 are thus engaged, but before the main rod 275 moves, the teeth 470 disengage from the differential slide 250, so that these slides can be moved independently of one another.
Once the slides 466 and 250 have reached their new positions, the coupling arm 468 swings again in the senestorsum direction and couples the two slides together, after which the main rod 275 swings in the senestrorsum direction (Fig. 8) to , at this time, pass the differential slide 250 from the position in which it was to its rest position. During this movement, the adjustment slide of the printing device 466, coupled to the slide 250, is brought from its eliminated position to the position corresponding to the amount to be recorded in the totalizer using this differential slide 250.
The coupling arm 468 is disengaged and engaged by means of a cam 471, mounted on a pin 461. The cam 471 is provided with a groove 472 in which is inserted a universal rod 473 which is placed in the machine so as to enter the slot 472 of the lever 471 of each post differential mechanism. The main rod 473 is carried by a number of arms 474 articulated on an axis 462. Near the center of the machine and next to one of the arms 474, there is an arm 475, the upper part of which is divided into two and grips the main rod 473. A coupling pawl 476 pivots on the arm 475 by means of a stud 477. The coupling pawl 476 is provided with a spout placed on the path of a shoulder 479 of an integral arm 480 an angled lever 481, articulated on the axis 462.
The angled lever is provided with two rollers 482, held in contact with two cams 483, fixed on the main camshaft 200.
When this shaft 200 rotates during the operation of the machine, the cam 483 cooperates with the rollers 482 and first causes the bracket 481 to tilt in the senestrorsum direction (FIG. 8), then in the opposite direction. During the first movement, the shoulder 479 placed on the arm 468 drives the beak of the pawl 476 and causes the arm 475, the axis 462 and the main rod 473 to swing in the senestrorsum direction and this movement, through the intermediary of the slot 472, swings the arm 471 in the dextrorsum direction. As a result, a finger 484, fixed to this arm, comes into contact with a pin 485 fixed to the coupling arm 468 and causes the latter to tilt in the dextrorsum direction which frees the teeth 470 from the corresponding teeth of the differential slideway 250.
When the position of the latter has been adjusted according to the command carried out using the upright keys or the zero stop pawl and when the slide for positioning the printing wheels has
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moved to its eliminated position the cams 483 tilt the bracket 481 and the arm 480 in the dextrorsum direction and by acting through a finger 486 on the arm 480, engage with the main rod 473 and return it to its initial position by rotating it in the dextrorsum direction. By this movement, the main rod 473 acts on the cam 472 and lifts the arm 471, and by means of the pin 485, again meshes the teeth 470 with the teeth placed on the underside of the differential slide 250.
Once the coupling arm 468 again engages the teeth of the slide 250, the universal rod 275 returns that slide to its rest position. Since these two slides are coupled by the arm 468 as the slide 250 is returned to its original position, the character positioning slide 466 is moved to a position which represents the amount recorded in the totalizer.
The upright printing wheels 465 (fig. 8), for the eight groups of wheels shown in fig. 68A and 68B, are adjusted by positioning slides 466 in the manner described for one of the rows of uprights. This slideway 466 (FIG. 8) comprises teeth 496 meshing with a pinion 497 which rotates on a shaft 498, provided in a number equal to that of the rows of uprights. To the pinion 497 is connected, thanks to a hub 499, a segment 500 (see also fig. 68A and 68B) which is engaged with a toothed ring 501 provided with an internal toothing 502 meshing with a pinion 503 mounted on a square shaft 504.
A shaft 504 has been provided for each row of uprights and this shaft extends along all the toothed rings. Toothed rings 505 are arranged in each group of printing wheels 465 and in alignment with these rings, on the shaft 504 is a pinion similar to the pinion 503, in engagement with the internal teeth of the crown 505. Each of these rings 505 is provided with teeth 508 which mesh with tooth-shaped notches provided in the printing wheels 465 which can thus be positioned according to the setting received by the toothed rings.
It can be seen, from the above, that the position of the positioning slide 466 is transmitted, by the teeth 496, the pinion 497, the segment 500, the ring gear 501, the pinion 503 and the square shaft 504 until 'to the crown 505 which correctly positions the wheels 465 in accordance with the recorded amount.
Positioning slides 466 are controlled in motion so that zeros are not printed to the left of the highest order significant digit. Differential transaction mechanism: Keys 121-129 in row 1 or first row of transactions, keys 131-139 in row 2 of transactions, and keys 141-149 in row 3 of transactions all control operation of the transaction. a differential mechanism provided in each of these rows. These mechanisms are differentially adjusted to control machine operations, engagement and disengagement of suitable totalizers with coaches for addition and subtraction, as well as total operations.
The third row of transactions can also select one of the totalisers interspersed on the group for its engagement with the coaches. The differential mechanisms of these rows are identical and only that of row 3 will be described.
Each transaction key carries a square stud 597 which cooperates with a differential slide 689 (Figs. 13 and 16). The squares 597 protrude alternately left and right on the path of flanges 690 provided alternately on the slide 589. The relationship between the squares 597 and the flanges 690 is such that when operating as a result of a depressed key, the slide 689 is stopped at a position proportional to the position of this key.
Slide 689 is slotted at its ends so as to be supported and to slide on collars 691 and 692 carried by studs 693 and 694 respectively.
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Slide 689 has teeth 696 in engagement with a sector 697 (fig. 16) integral with an arm 698 provided with an opening 699 into which penetrates a pin 700 of a lock 701 (fig. 14, 15 and 16). . The arm 698 pivots at 702 on the frame of the machine. The lock 701 pivots on a stud 703 carried by an arm 704 rotating on an axis 702. A bar 705 articulated at 706 on an arm 704 carries at its end a stud 707 penetrating into a slot 708 made in an arm 709 also pivoting on the stud 702.
The arm 709 has a segment 710 engaged with teeth 711 (fig. 13) of a control slide 712. This control slide slides in the collars 691 and 692 and on a stud 688 placed between the walls 168 and 165 ( fi-, 3).
The lock 701 (fig. 14 and 15) is provided with a foot 713 normally engaged in a notch 715 of a differential driver 716 rotating around the axis 702 and provided with a notch 717 into which a pin 718 penetrates, placed at the free end of a lever 719 pivoting at 720 on the walls 161 and 179. The lever 719 is integral with an arm 733 (fig. 13) using a sleeve 721. The arm 733 is provided with two rollers 722 which cooperate with a double cam 204. fixed to the sleeve 199 (also refer to FIG. 7) so as to be driven by the latter. The lever 719 is provided with a roller 724, which can come into contact with a surface 725 of the cross member 705 as will be described later.
The double cams 204 intended to operate the differential mechanisms of the first and second row of transactions are attached to the sleeve 203 (Fig. 7).
When these cams 204 rotate, as a result of the rotation of the sleeves 199 or 203, the arm 733 swings and causes the lever 719 to pivot in the dextrorsum direction, a movement which via the axis 718 and the notch 717, In the same way, the differential driver 716 switches and at this moment, the latter drives the latch 701 and by means of the stud 700, the arm 698 switches in the dextrorsum direction (fig. 16). This movement has the effect of moving the slide 689 to the right (fig. 13). via segment 697, until the flange 690 of this segment comes into contact with the stud 579 carried by a pressed key.
This stops the slide 689 in a position dependent on the depressed key and at the same time places the arm 698 in the corresponding position. The stopping of the arm 698, by means of the slot 699 cooperating with the stud 700, turns the latch 701 in the senestrorsum direction around its axis 703, which moves the heel 713 away from the notch 715 and prevents any subsequent movement of the arm 704. The movement in the senestrorsum direction (fig. 14) of the latch 701 causes its flange 726 to penetrate a corresponding notch 727 (fig. 13) of a locking plate 728, carried by the studs 720 and 693.
Continuing movement of the driver 716, when the latch 701 is released, moves an edge 729 (Fig. 15) concentric with it and brings it below the heel 713, which positively locks the latch 701 and the arm 704 in the acquired position; as a result, the pivot 706 of the cross member 705 is also locked in a position corresponding to the pressed key.
During the locking movement in the dextrorsum direction of lever 719 (fig. 14 and 15), the roller 724 fixed to this lever comes into contact with the edge 725 of the cross member 705 and causes the latter to tilt around the locked pin. 706. Movement of crosshead 705 around axis 706 causes stud 707 to pass through slot 708, causing arm 709 and segment 710 to tilt to a position corresponding to that in which arm 704 has been positioned and locked by means of the lock 701. This adjustment of the position of the segment 710, by means of the teeth 711 of the slide 712, places the latter in a position corresponding to the adjusted position of the differential slide 689.
Once the control slide 712 has been placed with the aid of the cross member 705 following the process just described, the cams 204 again tilt the lever 719 in the senestrorsum direction (fig. 13) and return the differential driver 716 to its rest position. During this movement, when
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the notch 715 is again placed below the heel 713, the latter falls behind the notch 715 and, during the rest of the movement in the dextrorsal direction, the trainer 716, acting by means of a roller 714, drives the arm 704 and brings it with the latch 701 to their rest position.
During this movement, the segment 710 and the control slide 712 are maintained in their acquired position in any known manner and, consequently, the cross member 705 pivots around the axis 707. The segment 710 remains in its position until which it receives a new position during the next operating cycle.
The third row of transaction keys controls three printing wheels intended to print a symbol in the first column of the card, in the first column of the passbook and on the control strip. These printing wheels 735 are shown in FIGS. 68A and 68B.
The second row of transaction keys positions five printing wheels 755 for printing symbols in the first, third and fifth columns of the card, in the fourth column of the booklet, as well as on the web.
The first row of transaction keys adjusts the position of three symbol printing wheels 754 for printing a symbol in the fourth columns of the card and booklet, as well as on the web.
We will now describe the placement of the printing wheel 735 controlled by the third row of transaction keys and it is important to understand that the wheels 754 and 755 are respectively adjusted in a similar manner under the control of the differentials of the first and second rows. of transactions.
Teeth 736 are provided on the lower surface of the control slide 712 (Fig. 13) which meshes with a segment 737 rotatable about the axis 498 (see also Fig. 68B). A segment 739 is connected to segment 737 by a sleeve 738 and it drives a ring gear 740 mounted on a disc 741 carried by a pin 510. A pinion 742 meshes with the internal teeth of the ring gear 740 and is mounted on a square pin 743 arranged between the side walls 160 and 161 (fig. 3). A pinion, similar to pinion 742, is mounted within a ring gear similar to crown 740 adjacent to each of the wheels 755.
This pinion is mounted on the square axle 743, so that the crowns of the different printing wheels rotate and adjust the position of these wheels for each of which a symbol is to be printed.
The position of the symbol wheels corresponding to the first and second rows of transactions is positioned using similar mechanisms.
Totalizers clutch mechanism: As described above, the totalizer selected in the rear group of totalizers tilts and engages with the driver 270 by tilting the axis 293 (fig. 8, 11, 56, 57). A similar tilting pin 398 (fig. 11) is provided for the addition-subtraction totalizer and it will suffice to describe the clutch mechanism of the rear group.
Axis 293 can be tilted in addition or total operations, and pin 398 can also be tilted to perform addition, subtraction, and total operations. The total can be done either by reading or by resetting. The tilting of the axis 293 intended to engage the totalizer with the trainer is controlled by a series of notched discs, the position of which is regulated by the differential mechanisms of the three rows of transaction keys. The placement of these discs determines which totalizer group should be engaged and also determines whether clutch movement should take place during the add, subtract, read, or reset period.
The control is carried out by means of a series of probes which come into contact with the periphery of the notched discs and determine the connections which should be made to obtain the various clutch and synchronization movements. A control plate is also intended to adjust the duration and the moment of engagement of the control probes during the operation of the
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the machine. The set of notched discs intended for controlling the various clutch movements of the totalizers comprises the discs 801, 802, 803, 804, 805 and 806 (fig. 43); in this figure the disks are shown seen in plan.
The discs 801 to 806 are placed just outside the right side shield 161 (fig. 67B). The disks 801, 804 and 806 (fig. 43, 46, 48, 52 and 55) are controlled by the first row of transaction keys, when the position of the control slide 712 is controlled by the keys 121 to 129, thus as indicated above. Briefly, each segment 739 (fig. 13) is engaged with a crown 760, able to rotate around a disc 761, carried by an axis 632. A square axis 763 intended for each row connects the crown 760 to each of the discs. , a pinion means mounted on said shaft and meshing with the internal teeth of these discs.
The position of disc 802 (Figs. 43, 45 and 50) is controlled by the second row of transaction keys while disc 803 (Figs 43, 44 and 49) is controlled by the keys of the third row. The disc 805 normally maintains the probes, which will be described later, away from the control disc until the appropriate time during machine operation, and at that point the disc 805 tilts and releases these probes.
When it is necessary to engage the totalizer forming part of the rear group or the addition-subtraction totalizer with one of the driving racks 270 or 269 in order to carry out an addition, the tilting axis of the selected totalizer 293 or 398 is coupled to a clutch spider of addition 810 (fig. 53 and 58), rotating on an axis 809 and this spider is tilted at the time of the addition. If you wish to engage the totalizer chosen for a total operation, these axes are coupled with a total crosshead 811 (fig. 52 and 58) which switches to the total times, either for reading or for resetting.
The coupling links between the crosses 810 and 811 and the clutch axis of the totalizer 293 (fig. 58) of the rear group, include a pin 813 carried by a connecting rod 814 articulated to an arm 815, fixed to the clutch shaft 293. The stud 813 is normally in the intermediate position, in which it is separated from the cross members 810 and 811. When the link 814 swings in the dextrorsum direction (fig. 58) around its axis fixed to the arm 815, the stud 813 is in a notch 816 of the addition spider 810; then, at the time of the tilting of the latter, the rear totalizer engages with the coaches 270, then disengages therefrom at the addition times.
If the link 814 is tilted in the senestrorsum direction (fig. 58) the pin 813 enters a notch 817 of the total cross member. At this moment, and during operation of the machine, the clutch shaft of the totalizer 293 switches either at the time of reading or at the time of resetting, depending on the moment at which the movement of the total spider 811 is received. .
The addition clutch spider 810 (fig. 53) switches at the addition times under the action of two cams 820 fixed to the already mentioned camshaft 200. Rollers 821 cooperate with these cams 820 and are carried by an angled lever 822 articulated on a pin 823 fixed to the right part of the frame. A connecting rod 824 connects the elbow lever 822 to the addition clutch spider 810.
When the stud 813 of the rear counter engages in the notch 816, the cams 820, acting through the rollers 821, cause the elbow lever 822 to swing first in the dextrorsal direction (fig. 53) then in the opposite direction. , which causes the spider 810 to tilt in the opposite direction. The first of these movements causes the axis 293 to tilt in the dextrorsum direction, through the intermediary of the pin 813, the connecting rod 814 and the arm 815. The movement in the senestrorsum direction of the axis 293 (fig. 57) ), by the intermediary of the lever 299, the pin 298, the roller 295 and the slot 294 of the lever 292 causes the totalizing wheels 290 to tilt and engages them with the coaches 270.
The operating times of the cams 820 are such that they cause the spider 819 to tilt in the initial direction that is to say senestrorsum, once the position of the drivers 270 has been fixed using the upright keys. Once the totalizer is engaged the coaches come back
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to their initial position and this movement records the sums corresponding to the position of the trainers in the selected totalizer. Then, once the coaches 270 have made this recording, the cams 820 tilt the spider 810 in the dextrorsum direction which, via the stud 813, disengages the totalizer elements from the coaches 270.
The movement of the stud 813 in the notch 816 of the addition spider 810 is controlled by the discs 801, 802 and 803 (Fig. 43). Not only does the stud 813 enter the plane of the notch 816 of the spider 810, but it also enters an opening 825 (Fig. 46) of an elbow lever 826 articulated on a pin 827 carried by the frame of the machine. Elbow lever 826 has a stud 828, which is normally held by two spring loaded pawls 829 and 830. A spring 831, tensioned between a hook of pawl 829 and a hook of pawl 830, normally holds these two pawls against the pawls. opposite faces of the stud 828. The pawls 829 and 830 also surround a stud 832 attached to a three-arm part 833, rotatable about the axis 809.
This part with three extensions 833 is connected to an elbow lever 834 by a rod 835. The elbow lever 834 is mounted on the axis 823 and is provided with two rollers 837 cooperating with two cams 836 fixed on the main camshaft 200 .
The cams 836, through the elbow lever 834, the link 835 and the three-extension piece 833, determine the position of the stud 832. When it is in its normal position, or rest position, the stud 832 controls the position of pawls 829 and 830 ((fig. 46), so that the angled lever 826, through its opening 825, maintains the stud 813 in the normal position, or rest position; that is, that is to say in a position for which it is not engaged neither with the addition spider 810, nor with the total spider 811.
* The moment at which the cams 836 operate is chosen so that they tilt in the dextrorsum direction, the part 833 with three extensions (fig. 46), at the start of the operation then when the coaches 270 have been put in place , the cams 836 tilt the part 833 with three extensions in the opposite direction to its rest position and even beyond. Almost at the end of the cycle, the cams 836 return the three-extension part 833 to its rest position again.
If the elbow lever 826 is free to operate during the senestorsum movement of the three-extension piece 833 and the pin 832, the latter rocks the pawl 830 in the dextrorsal direction and, by means of the spring 831, switches the pawl 829 in the same direction, thus bringing with it the stud 828 and the elbow lever 826, which returns the stud 813 in the notch of the addition spider.
It is the notched discs 801, 802 and 803 which control whether the angle lever 826 should move in the dexti # orsum direction and drive the stud 813 and the notch 816 or not. The mechanism intended to control the movement of the elbow lever 826 comprises a link 840 (fig. 46), one end of which is articulated on the elbow lever 826, and the other end of which is carried between two probes 841 and 842. The probes 841 and 842 are connected so as to move as a whole, and are articulated on an axis 843. The free end of the probe 841 is provided with a pin 844 which cooperates with the periphery of the control discs 804 and 805 (see also fig. 54 and 55).
A pivoting pawl is connected to the lower end of the probe 842 and is provided with a finger 894 which cooperates with the control disc 803 (fig. 44) and a finger 895 (fig 45) which cooperates with the control disc 802 The fingers 894 and 895 are connected by a pin 853 so as to constitute a pawl 893, and this pin penetrates between two pawls held by springs 897 articulated on an extension of the probe 842. The pawl 897, held by springs, maintains normally the pawl 893 in its central position. A third finger 896 (fig. 46) is placed on the feeler 842 and cooperates with the control disc 801.
When the part 833 swings in the senestrorsum direction from its position located beyond its rest position in the other direction, the pin 832 causes the pawl 830 held by springs to swing in the destructive direction.
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(Fig. 46), which causes the spring 831 to push the pawl 829 and rotate the stud 828 and the elbow lever 826 in the dextrorsum direction. If the elbow lever 826 is thus free to move under the action of the spring 831, due to the presence of one or more notches opposite the fingers 894, 895 and 896, the pawl 829, via the stud 828 and elbow lever 826,
penetrates stud 813 into notch 816 of addition spider 810. If finger 896 or both fingers 894 or 895 contact a protrusion of their respective control discs 801, 802 or 803, link 840 will stop and the stud 813 cannot drive the addition spider 810.
The notches of the disks 801, 802 and 803 which have been shown here are intended for the particular system which is described. It is important to understand that one can modify the arrangement of these notches according to any system to which one wishes to adapt the machine.
The instant at which the probe 841 operates is controlled by the disc 805 (fig. 54). A link 900 connects the disc 805 to an elbow lever 901 provided with a cam 902. A spring 903 normally holds a lower arm of the elbow lever 901 against a stud 908, carried by the side wall of the machine. The spring 903 normally has a tendency to tilt the disc 805 in the dextrorsum direction and consequently to cause the elbow lever 901 to tilt in the same direction around the axis 905. A stud 906 mounted on one of the two cams is used. 204 of one of the differential transaction mechanisms for operating the 901 crank lever.
The stud 906 is thus placed on the hull 204 so that, after the installation of the control discs 801, 802, 803 and 804, by means. of these differential mechanisms, the pin 906 comes into contact with the cam 902 and causes the angled lever 901 to swing in the senestrorsum direction (fig. 54) and this movement, by means of the connecting rod 900, causes the control disc to swing 805 in the senestrorsum direction thus letting the feeler 841 fall back under the action of its spring (not shown). Totalizers clutch mechanism - Reading and resetting: The clutch spider for total 811 is released when resetting by two cams 855 (fig. 51).
The cams 855 are clamped on the sleeve 208. Two rollers 856 cooperating with these cams 855 are mounted on an elbow lever 854, connected to a lever 857 mounted on a pin 853. The lever 857 is provided with a notch 858 normally engaged. with a roller 859, mounted on a pin 861 carried by a rod 860 which will be described later; and to this pin 861 is also connected a rod 862, the upper end of which is articulated on the clutch spider of total 811 (fig. 52).
As the cams 855 rotate, the arm 857 swings in the senestorsum direction (fig. 51), lifts the link 862 and thereby swings the total 811 spider in the senestrorsum direction (fig. 52). If, at this moment, the pin 813 is in the notch 817 of the spider 811, the selected totalizer group switches, and comes into engagement with the coaches 270 before these coaches 270 operate, which resets the cylinders of the totalizer. Once the totalizer wheels have been reset, the spider 811 swings again in the dextrorsal direction (fi .. 52) and returns to its rest position under the action of the cams 855 (fig. 51), which frees the wheels of the coaches 270.
Once these wheels are thus disengaged, the coaches racks return to their rest position.
The roller 859 is normally held in the notch 858 of the cam 857 by means of a link actuated by a cam 863 (fig. 52). A roller 864 cooperating with the cam 863 is carried by an elbow lever 865, articulated on an axis 866. This lever 865 is connected to a lever 867 by a rod 868. A spring 869, one end of which is fixed to a pin itself fixed to the side wall of the machine and the other end of which is fixed to an axis 871 of the rod 868 normally maintains the roller 864 against the
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periphery of the cam 863. The lever 867 is articulated on an axis 872 and the rod 860 is articulated at its upper end.
While the machine is running, when the cam 863 (fig. 52) turns, the spring 869 turns the elbow lever 865 in the dextrorsum direction, which moves the link 868 to the left (fig. 52) and brings up a feeler. 873 of the lever 867 in contact with the periphery of the notched control disc 806. If the feeler 873 of the lever 867 encounters a protruding part of the disc, the roller 859 remains in the notch 858 of the cam 857 and therefore the spider 811 is tilted to the rest position while the machine is in operation.
Notched disc 806 is set under control of the first row of transactions, and when the machine is running with either the Sub-Total Balance key 122 or the Total key 127 being pressed, a notch in disc 806 aligns with feeler 873. Any other key in the first row that has been depressed places a boss of disc 806 in front of feeler 873 so that roller 859 remains in groove 858 of arm 857, and thus spider 811 is returned. resting. During this operation, the selected totalizer group is reset to zero.
The total spider 811 is tilted into the read position by the cams 855 associated with a pair of cams comprising the cam 863 and a cam 878 (fig. 52). During the read operations, the spider 811 is tilted in the senestrorsum direction (fig. 52) by the carnes 855 and in the dextrorsum direction by the cams 878. The corresponding commands are carried out as follows: As mentioned above, when the Sub-Total key 122 or Total key 127 is pressed and the machine is operating, the transaction differential mechanism adjusts disk 806 so that it has a notch in the path of probe 873.
During this operation of the machine, the totalizer having been engaged with the coaches then reset to zero, the guard 863 releases the elbow lever 865, the rod 868 and the lever 867 to allow the probe 873 to enter the notch of the disc 806. When the feeler finger 873 enters said notch, the spring 869 rocks the lever 867 from its position shown in FIG. 52 in the dextrorsum direction and moves the connecting rod 860 to the right to move the roller 859 away from the notch 858 and place it in a notch 874 of an arm 875, pivoting on the stud 853. The arm 875 is provided with a pair of rollers 877 which cooperate with the cams 863 and 878 integral with the gear 207.
The relative synchronization of cams 855 and 863 - 878 is such that the first movement of these cams switches arms 857 and 875 respectively, at the same time and in the reverse direction (fig. 52). Then, if the cam 863 releases the probe 873 and if the probe engages a boss of the control disc 806, the roller 859 remains in the notch of the arm 857.
The cam 855 then switches the arm 857, in the dextrorsum direction, in its normal position and drives the rod 862 in order to disengage the totalizer of the coaches, in the rest position. Since the cam arm 857 begins to rotate before the arm 875, the latter has a recess for the roller 859, during the return of the link 862.
If, during operation of the machine, the feeler 873 engages in a notch of the disc 806 after the rotation (in the senestorsum direction) of the shafts 857 and 875, the roller 859 is placed in the notch 874 of the arm 875. Then, arm 857 returns to the lower position and as roller 859 is withdrawn from notch 858, link 862 remains in the upper position. In the remainder of the cycle, the shaft 875 having returned to its housing, the notch 874 lowers the rod 862 to cause the total spider 811 to disengage the totalizer from the coaches after the amount has been restored in the totalizers.
From the foregoing, it can be seen that the arms 857 and 875 are driven simultaneously in the senestorsum direction, the arm 857 engaging the totalisers on the coaches. The arms having turned in the senestorsum direction if the feeler 873 moves the roller 859 from the notch 858 to the notch 874, the arm 857 is then released and
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the arm 875 puts the crosspiece 811 back in place to disengage the totalizer at the reading time.
At the end of each operation, the cam 863 returns the lever 865, and consequently the feeler 873 in their rest position indicated in FIG. 52. At the same time, the roller 859 is replaced in the notch 858 of the arm 857.
Totalizer clutch mechanism: totalizer-addition-subtraction: The addition-subtraction totalizer clutch mechanism intended for addition, subtraction or total operations is controlled by the mechanism shown in fig. 47.
Multi-arm piece 833 carries a pin 911 (fig. 47) for controlling movement of pin 912 for engagement with addition spider 810 (fig. 53) or total spider 811 (fig. 52) . The pin 911 (fig. 47) is retained in both directions by spring pawls 913 and 914 biased by a spring 915. On an arm 916, pivoting at 917, there is a pin 918 which is also placed between the pawls 913 and 914. The stud 912 is mounted on the link 919 (see also Fig. 58), articulated to a drive arm 920 producing the rotation of the shaft 398 of the upper totalizer.
The shaft 920 switches either to the addition-subtraction position or to the reset position, depending on whether the stud 912 is engaged in the notch 923 of the addition spider 810 or in the notch 924 of the total spider 811.
The dextrorsum rotation of the multi-arm part 833 rocks the pawl 913 in the senestorsum direction, thereby tensioning the spring 915 and thereby causing the pawl 914 to rotate in the senestorsum direction. This pawl can thus rotate if the arm 916 carrying the pin 918 has the possibility of turning in the senestorsum direction. This movement is controlled by a finger 925 fixed to a shaft 926 and normally in the path of a stud 9201 carried by a feeler 921.
The reading or return to zero of the upper totalizer is controlled by the Balance 121, Sub-Total Balance 122 and Overdraft 123 keys. The feeler arm 921 must turn in the senestrorsum direction (fig. 47) to engage the addition and subtraction totalizer with the total 811 spider. This senestrorsum movement of the feeler 921 is normally controlled by the finger 925 surmounting the stud 9201. The finger 925 is fixed to a shaft 926 to which is also fixed the elbow lever 927 which fits between the studs 579 of the button Balance 121 and the Sub-Total Balance key 122. Also attached to shaft 926 is an arm 9271 which is topped by stud 597 of the open key 123.
The lever 927 carries a finger 929 which is normally held to the collar 930 by the spring 928 so that the finger 925 is in the path of the stud 9201. The depression of the keys 121, 122, 123 causes their respective studs to 597 s 'engage either with the bent lever 927, or with the arm 9271, and tilt the finger 925, compressing the spring 928, to release this finger 925 from the path of the stud 9201. Thus, the machine being in operation, when the part to multiple arms 833 is tilted in the dextrorsal direction (fia. 47), the link 922 which connects the arm 921 to the arm 916, can fall and cause the arm 921 (fig. 47) to tilt to the left. This movement rocks arm 916 to the left to place stud 912 in notch 924 of total spider 811.
Depression of the Balance key 121 or the Overdraft key 123 controls the position of the disc 806 under the action of the differential mechanism of the first transaction row so as to place a solid part in the path of the finger 873 (fig. 52) and thus control the position of roller 859 during zeroing, as explained above. Depression of the Balance key 121 moves the disc 806 so that it has a notch in the path of the finger 873 (fig. 52) for controlling the roller 859 during read operations, as described above. above.
The depression of the keys 121, 122 and 123, also controls the positioning of the disc 806 so that it has an upper part facing the pin 9201, so that, during the balance reading or reset operations of the balance, movement to the left of the arm
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feeler 921 is prevented (fig. 47) and therefore the pin 912 cannot mate with the addition spider 810.
Connected to the feeler arm 921, an assistant feeler 9211 (fig. 48, 49 and 50) is articulated to the pin 843, the two arms 921 and 9211 being integral thanks to the pin 9212, by means of which the rod 922 is connected to the feeler arm 921 The feeler arm 9211 carries a pin 9202 which surmounts the notched discs 801, 802 and 803. When the multi-arm part 833 (fig. 47) is moved in the senestrorsum direction, beyond its normal position or its position. housing, the spring 915, acting on the pawl 913, tends to drive the arm 916 in the dextrorsum direction. This movement of the arm 916 is controlled by the disks 801, 802 and 803 with which the pin 9202 of the shaft 9211 cooperates.
If, when the multi-arm part 833 rocks to the left, a notch of each of the discs 801, 802, 803 is in front of the stud 9202, and a notch of the drive disc 806 is in front of the stud 9201, the spring 915 may tilt the arm 921 to the right, in order to thus lift the link 922 and tilt the arm 916 in the senestorsum direction until the pin 912 engages the notch 923 of the addition spider 810.
When the 124 Minus key is pressed and the machine is running, disk 801, which is controlled by the first row of transactions, has a notch in the path of stud 9202. When the machine is used with the 134 Plus key of the second row of transactions pressed, a notch also appears on the path of the pin 9202. During this operation, either the A key or the B key is also pressed, consequently the disk 801, placed under the control of the first row, has a notch in the pin 9202. The discs 801, 802 and 803 carry, as shown in the figures, several notches to control the clutch of the addition-subtraction totalizer, whenever required by the system used to illustrate the invention .
Their location depends on the desired system to which the machine is to be adapted. Machine trigger mechanism: cycle control: When the machine is triggered, it can perform a one cycle operation or a two cycle operation depending on the keys that were pressed in the first row of transactions. When the machine performs an addition or subtraction operation, it performs only one cycle. Likewise, for taking a total from the addition-subtraction totalizer, under the command of keys 121 or 122, the machine performs only one cycle. On the other hand, when the machine is controlled by the Discovery key 123, the Total key 126, or the Sub-Total key 127, it executes two operating cycles.
During the first, the subtraction side of the add-subtract totalizer is selected, or, if a total is taken from the rear group of totalizers, this. group is moved to select the appropriate totalizer. In the first of two cycles, the main camshaft 200 is locked soon after it is started, and the cams 204 make two full turns. By cycle is meant here a complete revolution of the cams 204.
During the first revolution of the cams 204, the selected totalizer is shifted so as to choose the totalizer from which the total is to be extracted. During the second revolution, the main camshaft 200 completes its rotation. The new cycle control mechanism simplifies total operations when only one cycle is required, for example when taking a total without overdrafting of the add-subtract totalizer. A two-cycle total operation is only performed when it is necessary to select a totalizer from among the totalisers interspersed during the first cycle, or when there is an overdraft in the add-subtract totalizer:
To trigger the operation of the machine, one of the three slides 881, 882 or 883 located respectively in the first, the second and the third rows of transactions (fig. 23 to 25), is pulled to the left under the action of some keys of these rows. Sliders 881, 882 and 883 are mounted on the
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rollers 884 carried by the key frames. The slider 881 has a stud 885 engaged with a finger of the upper end of an arm 886 attached to a shaft 887.
By pressing one of the keys: Balance (121), Sub-Total Balance (122), Overdraft (123), Minus (124), Eject (125), the stud 579 of either of these keys comes to rub on a cam edge 888 of the slide 881 so as to move it to the left then the pin 885 turns the arm 886 and the axis 887 (fig. 23) in the senestrorsum direction. A pawl 606, additionally attached to pin 887, is normally engaged on a square stud 610 of arm 608 of trip shaft 264. A spring, described later, normally tends to crank shaft 264 in the direction. senestrorsum. Therefore, when the pawl 606 is released from the stud 610 by the movement of the slider 881, the arm 608 and the shaft are released to trigger the machine.
The slider 882 (fig. 24) of the second row is moved in the same way as the slider 881, by keys 131, 132, 133, 134 or 138. The slider 882 has a stud 1888, engaging on the arm. 889 which is also attached to the axle 887. Thus, when one of the keys mentioned above is depressed, the slider 882 is pulled to the left so as to lift the pawl 606 from the square stud 610.
Likewise, the slider 883 (fig. 25) carries a pin 890 engaged on the forked end of an arm 891 also fixed on the axis 887. In front of each of the keys 141 to 149 of the third row of transactions is a cam ridge, by which the slider 883 is moved to the left under the action of any key in that row. By pressing a key, the arm 891 and the axis 887 are tilted to move the pawl 606 away from the square 610.
The first row of transactions has a second control slide 892 (Fig. 22), movable on the four rollers 884 as well. this slide carries a stud 1893, engaged on the bifurcation of the arm 1894 sliding on the shaft 887. The shoulder of the arm 1894 rests on a square stud 1895 fixed to an arm 1896 also fixed on the trip shaft 264. By Consequently, before being able to trigger the machine using one of the sliders 881, 882 or 883, it is first necessary to act on the slider 892, which is done with keys 121, 123 and 126 to 129. The keys 126 to 129 can remain depressed thanks to the shoulders 1897 acting on the studs 579 (of the pressed keys). They are released when the slide is pushed back under the action of the pusher 152.
By pressing one of these six keys of the first row, the arm 1894 is tilted so as to disengage it from the stud 1895, which allows the rotation in the senestorsum direction of the trip shaft 264, after rotation of the arm 606 .
An arm 937 (fig. 103) fixed to the axle 264 is connected to an arm 938 articulated to an axle 940 by means of a connecting rod 939. A spring 941, fixed to the frame and, by the stud 942, to the connecting rod 939, biases the latter downwards and normally tends to cause the arm 938 to pivot in the dextrorsum direction and the arm 937 in the opposite direction, to rotate the axis 264 in the senestrorsum direction. This movement of the axis 264 is normally stopped by the studs 610 and 1895 (fig. 22 to 35) engaged on the shoulders of the arms 606 and 1894.
When, as described above, a release button is pressed, the arms 606 and 1894 having tilted as indicated, so as to release their shoulders from the square studs 610 and 1895, the spring 941 (fig. 103) by lowering the link. 939, turns the arm 938 in the dextrorsum direction until the stud 962 carried by the arm 938 is released from a shoulder of an elbow lever 946. A flange 932 of the arm 938 rests on a stop 933 fixed to the frame machine, to limit movement of arm 938. Likewise, movement of elbow lever 946 (due to spring 949) is limited when flange 947 meets stop 948.
As the arm 938 rotates in the dextrorsum direction (fi.- ,. 103), the stud 962 is moved away from under the elbow lever 946 so as to allow the spring 949 to swing the lever 946 in the senestorsum direction. This angled lever 946 is fixed to the axis 350 (see also Fig. 19) which also carries an arm 950. The rotation of the axis 350 therefore rocks the arm 950 to the left. A 951 spring is
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fixed, on the one hand, to a stud 952 of the upper end of the arm 950 and, on the other hand, to a stud 953 of the switch lever 954 which pivots around the stud 454 already mentioned. Spring 951 holds an edge 955 of arm 954 against stud 952 and, when arm 950 rotates left, switch lever 954 rotates right.
A link 956 connects the upper end of the lever 954 to an elbow lever 957 articulated at 935 and carrying an insulating part 958 which maintains the switch blade 959 normally open. The blade 959 pivots on the stud 934. Right rotation of the switch lever 954, through the link 956, rocks the elbow lever 957 to the right. The spring 960, attached to the blade 959, swings this blade to the right, in contact with the blade 961, which closes the electrical circuit of the motor 1216 (FIG. 20) which drives the machine in the manner already described.
The elbow lever 946 (fig. 103) is slotted to receive a stud 9621 carried by an arm 963, mounted on the axle 940. When the arm 938 swings in the dextrorsum direction, under the action of a release button, to remove the stud 962 from the arm of the elbow lever 946, the arm 963 swings to the right so as to place an edge 964, on the path of a roller 965 supported between a disc 966 and a cam 975 pinned to the camshaft main 200. Additionally, rightward movement of lever 938 places edge 967 in the path of a stud 9651.
At about two-thirds of the rotation of the main camshaft 200 (see timing diagram - fig. 106), roller 965 meets ridge 964 and rocks lever 963 to the left (fig. 103). rotate the elbow lever 946 to the right, and disengage its free end from the path of the stud 962. The dextrorsal rotation of the elbow lever 946 rotates the shaft 350 (see also fig. 19) and tightens the spring 951. But , as long as the roller 968 (see above) remains in contact with the boss of the cam 969 of the camshaft 200, the switch lever 954 cannot follow the arm 950. Then, the rotation of the disc 966 and of cam 975 brings stud 9651 into contact with edge 967 of arm 938 and returns it to the normal position.
This pivoting moves, via the link 939 and the arm 937, the trip shaft 264 beyond its normal position, in which the arms 606 and 1894 (fig. 22 and 25) are connected. find on the path of square studs 610 and 1895, respectively. Spring slider 883 then rotates shaft 887 to bias arm 606 on stud 610.
The pin 9651 of the disc 966 has its end engaged on an arm 3016 centered on the arm 938, so as to maintain the latter once the roller 965 has left the surface 967, to prevent untimely triggering until the end of the cycle of the machine.
When the arm 950 is tilted in the senestorsum direction, due to the depression of a trigger key, and when the switch arm 954 (fig. 19) is tilted to the right to close the switch 961, the roller 968 is placed out of reach of cam 969. During most of the rotation of cam 969, its periphery contacts roller 968 and maintains switch 959-961 in the closed position. Shortly before the end of the cycle the boss of the cam 969 moves away from the roller 968 and, at this moment, the arm 954 is under the tension of the spring 951.
Therefore, when the periphery of the cam 969 clears the path of the roller 968, the spring 951 pulls the switch lever 954 to the left, which opens the switch 961 and cuts the electrical circuit of the motor 1216 (fig. 20). .
When this circuit is thus cut, the machine is blocked in the final position by a shoulder 970 (fig. 18) of the pawl 195 which is wedged between the stud 971 of the disc 196 and the upper end of the stop 972 fixed to the axis 350.
When, in the manner described above, the shaft 350 rotates in the senes- trorsum direction as a result of the depressing of a trigger key, the stopper 972 is released from the shoulder 970 of the pawl 195 and a spring 973 fixed to the free end of the clutch pawl 195 and to a stud of the disc 196, then rocks the pawl 195 in the senestorsum direction to engage it with the clutch 194, so as to drive the camshaft 200, as described above.
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When the arm 950 (fig. 19) is returned to its housing by the roller 965 (see fit.
103), the arm 963, the bent lever 946 and the axis 350, the upper end of the stop 972 (fig. 18) comes to be inserted on the path of the shoulder 970; and, therefore, when the latter comes into contact with the stopper 972, the pawl 195 is moved away from the clutch 194 to disengage the motor 1216 (Fig. 20); at the same time, the stopper 972 (fig. 18), the shoulder 970 and the stud 971 positively lock the axle 200 in its final position.
The non-repeating spring-loaded pawl 9711 (fig. 27 and 103) is designed to prevent, until the machine has completed its first operation, a premature triggering in the event that a trigger key remains depressed.
Addition fraonocycle operation: As described above, the clutch 205 (fig. 17 and 18) and the differential drive cams 204 (fig. 13) of the transaction rows, are mounted so as to pivot independently of the main camshaft 200. Clutch 205 and cams 204 of the third row of transactions are mounted on sleeve 199 (Fig. 7) and are meshed with mandrel 203 by gears 198, 197, 201 and 202 of so that the cams 204 of the first and second rows of transactions are driven together with the clutch 205 and the cams 204 of the third differential row.
Normally, the chucks 199 and 203 are connected to the main shaft 200 by a clutch mechanism which engages the shaft 200 to the chuck 199 and which is the subject of the description below.
A disc 981 is attached to the main shaft 200 (Figs. 7 and 17). A clutch pawl 982, articulated on the disc 981 is normally held on the clutch disc 205 by the spring 983. The spring 983 connects the clutch pawl 982 to the retaining pawl 984, also normally engaged to the disc of clutch 205. When the motor drives the shaft 200 in the dextrorsum direction (fig. 17), the pawl 982 being engaged with the clutch disc 205, this disc causes the pawl 982 to rotate the disc 981 and the main shaft 200 in the destrorsum direction. During the entire addition unicycle operation, the clutch pawl 982 remains locked on the clutch disc 205 and consequently the cams 204 rotate on the shaft 200.
At the end of this operation, when the shoulder 970 (fig. 18) carried by the pawl 195 comes into contact with the end of the stop arm 972, the machine stops in the manner described above.
During this one-cycle operation of the main shaft 200, the upright differentials operate and the mechanism actuating the totalizers is implemented to engage the totalizers with the coaches in the add position, under the control of the transaction key, according to the process described above. Two-cycle totaling operation: The rear totalizer group, previously described, consists of inserted totalizers; it is therefore necessary to do a preliminary operation, in the total operation, to give time to move the group in order to select the suitable totalizer and to align it with the differential drivers before the totals can be extracted.
However, it is neither necessary nor desirable to operate the upright trainers during the first of two cycles. To do this, the camshaft 200 is disengaged from the sleeve 199 to allow the transaction differential cams 204 to operate independently of the camshaft 200 during the first of two cycles. This disengagement takes place through the intermediary of the clutch pawl 982 (fit. 17) which escapes from its housing in the clutch member 205 at the start of the operation. The disengagement of the pawl 982 is effected under the control of the Open key 123, the Total key 126 and the Sub-Total key 127.
Depression of the key 123, 126 or 127 moves a control slide 634 (fig. 17) upwards, by means of the stud 579 of any of these three keys, resting against a cam ridge 991 formed. in the slide
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Beer 634. This is freely mounted on four rollers 884 supported by the key frame. The right end of the control slide 634 is rounded at 992 and an arm 993 is normally kept in contact with this end by means of a spring. An arm 994, articulated to the arm 993, rests on a stud 995 mounted at the upper end of a slide 996 provided with a notch in which the stud 693 engages to guide the link 996 in its upward movement. below.
The lower part of the link 996 is articulated to an arm 998 of a yoke pivoting around a stud 997 carried by the frame of the machine. A second arm 999 of the caliper is provided with a spring 1000 which normally biases caliper 998-999 in the dextrorsum direction, thus maintaining the slide 996 in its upper position and the stud 995 against the arm 994 to keep the arm 993 in contact with the rounded end 992 of the control slide 634. The caliper 998-999 is provided with a bar 1001 which normally actuates a finger 1002 of a cycle control arm 1003, free on a nipple 1004.
A spring 1005 tensioned between a stud 1006 of an arm 1003 and a finger of a pawl 1007, normally maintains a collar 1010 on the lower part of the arm 1003 against the end of an arm 1009. The spring 1005 holds a stud 1008 of the pawl 1007 in contact with a finger carried by a stop arm 1009 fixed on the shaft 350.
Lowering one of the keys 123, 126 or 127 acting via the control slide 634, lowers the link 996 to move the caliper 998-999 and act on the bar 1001 then out of the path of the upper end of the arm 1003, and places this member 1001 in front of a recessed part of the arm 1003, so as to allow free movement of the latter when it is released.
With the connecting rod 996 lowered, the shaft 350 pivots in the senestrorsum direction as indicated above and the stop arm 1009 then escapes from the path of the collar 1010, thus allowing the spring 1005 to make rotate the arm 1003 in the senestrorsum direction. This movement is stopped when a stud 1011 comes into contact with the wall 1012, provided on the side frame of the machine. The arm 1003 being stopped, an edge 1013 of said arm is then placed on the path of an extension 1014 of the clutch pawl 982.
When the machine begins to operate, this edge 1013 being in the path of the extension 1014, this extension comes into contact with the edge 1013 shortly after the machine has started its cycle and the continuation of the rotation of the disc 981, supporting the pawl 982 causes the latter to be tilted in the dextrorsum direction to release it from the clutch member 205, so that the disc 981 is not moved while the main camshaft 200 remains in place. This partial rotation of the shaft 200 is not sufficient to set the upright differential mechanism in motion.
The transaction differential cams 204, however, continue to rotate and, via the third transaction differential, actuate the totalizer displacement cams for the selection of a totalizer, by aligning the elements of the selected totalizer with the driving members according to the process described above. The clutch pawl 982 being released from its contact with the shoulder of the clutch element 205, it can move on the peripheral part of this element. During the first operating cycle, a cam 1021, fixed to the shaft 193, is in contact with a roller 1015 mounted on the cycle control arm 1003 and rocks the latter in the dextrorsal direction beyond its rest position. .
When the stop arm 1009 is tilted in the senestorsum direction when the machine is triggered, the collar 1010 moves between the stop arm 1009 and the pawl 1007. When the arm 1003 is returned beyond its position rest by the cam 1021, the stop arm 1009 remains in its new position and when the collar 1010 escapes from the gap between the arm 1009 and the pawl 1007, the spring 1005 brings the pawl in contact with the edge of collar 1010 to keep arm 1003 slightly out of its rest position and keep edge 1013 out of the path of ratchet extension 1014
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clutch 982.
During the commencement of the second cycle of operation, when the clutch element 205 passes under the clutch pawl 982, the spring 983 rocks the pawl and engages it with the element 205 and thus, during the second cycle from a two-cycle total operation, the main camshaft 200 rotates with the transaction differential cams. Towards the end of the second cycle, the shaft 350 is returned to the rest position according to the process and described above, thus placing the stop arm 1009 in the path of the flange 1010 and via the stud 1008, releases the pawl 1007 of the collar 1010.
When the depressed key 123, 126 or 127 is released to return to its normal position the spring 1000 again lifts the caliper 998-999 to place the bar 1001 in the path of the finger 1002 of the cycle control arm 1003.
The roller 965 (fig. 103) is held between the disc 966 and the cam 975 fixed on the main camshaft 200, and since the latter does not rotate during the entire first cycle of operation, the shaft 350 is not tilted to release shaft 264 only at the end of the second cycle of the two cycle total operation.
The disc 966 is provided with two housings 1016 and 1017 (fig. 103). When the housing 1016 is in its rest position, a pawl 1018 articulated on a pin 1019 engages therein. On an initial rotation of the shaft 200 in the first of two cycles, the pawl 1018 falls into the housing 1017, which is spaced from the housing 1016 by a length equal to that required for the shaft 200 to disengage the clutch pawl of clutch element 205. A spring 1020 maintains pawl 1018 in constant contact with the. disk 966. Transaction row control detents: Figs. 31 to 41 show a set of detents or control slides arranged in the first, second and third rows of transactions, to control the various functions of the machine.
Each transaction row is provided with a control slide 612 (fig. 31), which is fork-shaped to engage a stud 611 on an arm 615, pinned to the trip shaft 264. When the machine is ready to go operate and the shaft 264 is tilted in the senestrorsum direction (fig. 31), the arm 615 moves the control slide 612 to the right to unlock all the keys not pressed and lock the keys pressed in their position, according to a process well known in this kind of machine.
At the end of the operation, when the shaft 264 is returned to its initial position, the slide 612 is moved to the right to release the keys and allow the depression of another key for the new operation.
The system to which the present machine is applied assumes that after an operation of recovery of an old debit or credit balance, the keys 131 or 138 cannot be pressed again until the Balance operation triggered by the key 121 , or the overdraft operation triggered by the 123 key, is performed.
To allow such control, the keys 121 and 123 of the first row of transactions actuate a control slide 620 (fig 32) and the keys 131 and 138 of the second row of transactions actuate a control plate 621 (fig. 33). . The control plate 621 is mounted on four rollers 884 and is pushed to the right by a spring 623. A trigger 622 (fig. 35) is also mounted on the rollers 884 and a spring 624 tends to move the trigger 622 to the left. . The depression of the old balance key 131 or of the overdraft recovery key 138 by means of a key pin 579 contacting a cam edge 625 and the control plate 621, shifts the latter to the left against the action of an antagonist spring 623.
This movement of the control plate 621, actuated by the cam 626, raises the retaining pawl 627 above a lug placed at the left end of the plate 621. This movement of the pawl 627 moves it away from the left edge. of the plate 622 and allows the spring 624 to move it to the left to bring it into abutment on the axis 633. When the keys 131 or 138 are returned to their non-depressed position, the plate 622 moves to the left,
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as far as the axis 633 allows, the horizontal parts of the openings in the plate 622 engage under the lugs 597 of the keys 131 or 138, thus avoiding a posterior depression of these two keys as long as the plate 622 is not returned to its normal position.
The return to the normal position of the control plate 622 is effected either by the Balance key 121 or the Overdraft key 123 of the first transaction row; these keys are provided with lugs 579 resting against the cam ridges 629 of the control plate 620. The latter comprises a stud which engages on the end in the form of a clevis of the arm of a bracket articulated on the 'axis 632. A second arm of the caliper 631 is provided with a stud 633 placed on the path of the control plate 622 (FIG. 35). When the latter occupies its left position, the position where the keys 131 and 138 are locked against depression, the left end of the plate touches the stud 633.
After pressing the key 121 or 123, the lug 579 comes into contact with the cam ridge 629 to move the control plate 620 to the right, causing the caliper 631 to swing in the senestorsum direction, thus pushing the stud 633 against the end of the plate 622 and returning the latter to its initial position, in which it is again held by the pawl 627. Control key detents: Each row of control keys is provided with a detent holding the non-motor keys in the depressed position until a motor key can also be depressed. The fi-. 39 represents the relaxation of the second row of transactions. Keys 135, 136 and 137 in this row are non-motor keys.
A trigger 595, supported by the rollers 884 described above, is associated with the keys 135, 136 and 137 of the second row. A spring 596, attached to an eyelet on the upper edge of the trigger 595 maintains the ramps of the cams 598 in contact with the lugs 579 of the keys (135, 136, 137). The depression of one of them moves the lugs 579 away from the cam ridge 598 and causes the displacement to the left of the trigger until the lug 579 passes over the cam 598.A At this time, the spring 596 pushes the trigger 595 to the right, above the lug 579, to keep the key in the depressed position.
Towards the end of the operation, the trigger 595 is moved to the left by means of the device described below, to recall the key used.
An interlock 5102 (fig. 30) is provided for the rows of transaction keys to prevent two adjacent keys being pressed. The pins 579 of two non-consecutive keys are capable of being engaged either with cam-ridges 5111, or with L-shaped openings, designated by 5121. A spring 5131 maintains the trigger 5102 in the position shown. The presence of a pin 579 in an L-shaped opening (5121) prevents the operation of the adjacent key; the depression of a key whose lug 579 is in contact with the cam 5111, causes the displacement of the horizontal section of the L-shaped opening under the lug 579 of the respective keys.
Locking control slides: Each of the three control rows is associated with a control slide 612 (fig. 31) which engages on the lug 579 of the button pressed to hold it in this position, or to lock. the keys of the same row in their rest position. The control slide 612 is terminated by a fork enclosing the lug 611 of the arm 615 pinned to the axis 264. There is an arm 615 for each control row.
When the trigger axis is actuated in the senestrorsum direction (fig. 31), the control slide 612 moves to the right to keep the pins 579 of the respective keys, so as to lock the keys at rest, in their position. rest and the buttons pressed in their working position.
Towards the end of the operation, when the shaft 264 is returned to its initial position, the control slide 612 engages a lug 614 of the trigger 595 (fig. 39) to move the latter towards
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the left against the action of the spring 596 which ultimately ensures the release of the pressed keys 136, 137, 135.
Interlocking slide between the total keys and the upright keys: An interlock is provided between the total keys of row 1 and the 120 upright keys, to prevent the machine from tripping if a upright key is pressed before that a touch of Total is. This interlock is necessary to prevent errors when totals are taken, since during totals operations the upright drivers must be free to be controlled by the totalizer wheels.
When an upright button 120 is pressed, a boss (fig. 40) is placed in the path of a plate 223 (fig. 8) secured to a bracket 2671, one of whose arms (fig. 36) is articulated to a connecting rod 637, the other end of which is provided with a lug 638. The lug 638 moves in a bayonet groove 639 (fig. 41) made in an arm 640 integral with the trip shaft 264. L 'lug 638 also moves in a groove 641 formed in a lever 642 centered on a journal carried by the frame of the machine. The lever 642 is connected to the arm 644 by means of a link 645. The arm 644 is fixed on a short shaft 1630 (see fig. 40) carried by the right panel of the keyboard.
On the same axis 1630 is found an arm 1629 provided with a pin 646 integral with the end of a control slide 647 by means of a spring 648 stretched between the arm 644 and a pin of the keyboard frame . The spring 648 maintains, thanks to the arm 644, the axis 1630, the arm 1629 and the lug 646, the cam-ridges 649 of the control slide 647 in contact with the lugs 579 of the total key rods.
When a total key is pressed, its lug 579 traverses the cam ridge 649 and pushes the control slide 647 to the left (fig. 40). The end of the latter acting on the lug 646, rocks the arm 1629, the axis 1630 and the arm 644 (fig. 40 and 41); thus moving the rod 645 to the left, to make the lever 642 oscillate at the precise moment when the lug 638 must penetrate into the lower vertical part of the groove 639 made in the arm 640.
When the shaft 264 is actuated by a key triggering the machine, the arm 640 acting through the groove 639, swings the lug 638, the link 637, the arm 636 and the yoke 2671 in the senestorsum direction. However, if at the time the shaft 264 is tripped a post key 120 is in the depressed position, yoke 2671, arm 2661, and plate 223 are immobilized by boss 635 of post key 120 engaged. plate 223. If none of the keys 120 are pressed, plate 223 is free and therefore the trip shaft 264 can operate.
The caliper 2671 is held in its normal position by a spring 1267 (FIG. 34) connected to an arm 1268 comprising a shoulder in contact with the lower part of the caliper. The arm 1268 is limited in its travel under the action of the spring 1267 thanks to a stop of a finger of this arm cooperating with a lug 1269.
Zero stop control for total operations: The zero stop pawls 258 must not be in the working position during total operations, so that the upright drivers can be put into position by the wheels of the selected totalizer. This is obtained by a stop arm 650 (fig. 38) secured to the axis 1630. When this axis is actuated by a total key, by means of the slide 647, the lug 646 (fig. 40) and of the arm 1629, the stop arm 650 is placed in the path of a collar 651 (fig. 38) mounted on a slider 652.
This one is forked at its upper part so that it can slide on the axis 1630; it is fixed at its lower part to an arm 653 integral with the hub of the caliper 272 which, in known manner, is released in all operations to bring the stops to zero in the active position.
If the caliper 272 is released, the total key is depressed and if the arm 650 covers the collar 651, the caliper 272 cannot follow because it is blocked by the stop arm 650 which acts through the flange 651, slider 652 and arm 653.
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Consequently, the zero stop pawls cannot come into the working position; the drive components are free and can be controlled by the wheels of the selected totalizer. Lock release for the provisional balance: Key 139 for the provisional balance is normally locked in the idle position.
When it is released and then pressed, it is again locked so that it can only be released by the manually operated lever 153 (fig. 37) forming part of a trigger 680. The pin 579 corresponding to this button normally rests in a notch 681 of the trigger 680 and a spring 682 constantly presses it against the left wall of the notch. When you want to be able to press the button 139, you manually push the lever 153 (fig. 37) to the left until an opening 683 of the trigger 680 is opposite the lug 579 and is held in this position. position; the balance key can then be pressed.
Then the lever 153 is released and the spring 682 pushes the trigger 680 to the right (Fig. 37) until a notch 684 of the trigger 680 is brought on the lug 579 which immobilizes the key. The notch 684 is shallower than the notch 681, so that the trigger 680 is held more out of the way than can be seen in FIG. 37.
At the same time, horizontal notches 685 of the trigger 680 trap the key pins 133, 134, 135, 136, 137, thus preventing their depression as long as the key 139 is also under the action of the trigger 680. Printing Mechanism: As stated above the machine has three printing sections which are: a mechanism for printing a control tape, a mechanism for printing a booklet and another for printing. printing an account card. The second mechanism operates on four columns while the third is designed to write on five columns.
In each case, an individual printing hammer has been provided for each column, making a total of nine hammers, which are selected by means of notched control discs positioned by the three differential transaction mechanisms. In addition to the notched discs placed under the control of the differential mechanisms, some other discs are controlled by the card and booklet feelers, to disengage the selected hammers when no booklet or card is in the machine.
An additional command is necessary to put the trigger mechanism of the machine out of service, after the last line has been printed either on the card, or on the booklet, or on both.
The cutting of the notches of the different control discs depends on the application of the machine and the use for which it is intended. In the system using the keyboard shown here, the notching of the disks controlled by the transaction differential is applied on the graphs of FIGS. 12 and 105. Date hammer control discs: Each of the date stamping hammers on both the booklet and the card is controlled by four discs 1401, 1402, 1403 and 1404 (fig. 67A), and the notching of these in each group is shown at locations 1 and 3 (fig. 105). The notching is the same for these two groups, so that a date is imprinted on the passbook and on the account card in one operation.
The four discs 1401, 1402, 1403 and 1404 have internal teeth and rotate on discs similar to disc 761 (fig. 13). The internal teeth mesh with pinions, similar to the 742 pinions, mounted on square shafts and operated in the same fashion.
The disks 1401 and 1404 are positioned by the differential of the first row of transactions; the discs 1402 by the mechanism of the third; and the discs 1403 by the mechanism of the second.
In fig. 105, two columns are labeled side A and side B. These indications relate to the sides of the probes which cooperate with the discs. The legend on side A refers to the upper probe and the legend on side B refers to the lower probe. The legend Arm refers to the extremity
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feelers on which the feeler pawls are mounted, the feeler arms also cooperating with a disc, as shown in FIG. 67Â. It should be noted that the notches are of two depths, as indicated in the table of fig. 105.
To print the date with a hammer, a deep notch is required for the arm and for the A side of the probe or for both B sides of the probe, the probes having two fingers on side B and one side A, as shown in the table. .
The way in which the discs control the date imprinting hammer will be described in connection with the general hammer actuation mechanism. Balance hammer control discs: The Balance hammers for the booklet and card are each controlled by four discs 1405, 1406, 1407 and 1408 (fig. 67A and 67B) and the notching of the notches of these four discs is shown in locations 2 and 4 (fig. 105). It is the same for both groups, so that the Balance can be printed on the passbook and the card in one operation.
The 1405, 1406, 1407 and 1408 disks are mounted on other disks, in the same way as the 1401, 1402, 1403 and 1404 disks. The 1406 and 1408 disks are set by the transaction differential of the first row and the 1407 discs by the differential of the second. The discs 1405 are adjusted by a mechanism under control of the feelers of the booklet and of the card, as described later. Removal hammer control discs: The withdrawal hammers for the booklet and card are each controlled by three discs 1409, 1410 and 1411 (fig. 67A and 67B), and the notch systems for these three discs are shown at locations 1 and 4 of the table of FIG. 12.
The teeth are identical for the two groups, which makes it possible to print the Withdrawals on the booklet and on the card in a single operation.
Disks 1409, 1410 and 1411 are mounted in the same way as disks 1401, 1402, 1403 and 1404. Disks 1409 are set by the transaction differential of the first row, disks 1410 by the differential of the second row and disks 1411 by the differential of the third row of transactions. Hammer control discs Deposit Interest: The Deposit Interest hammers for the booklet and card are each controlled by three discs 1412, 1413 and 1414 (fig. 67A and 67B) and the notches of these discs are shown at locations 2 and 5 of the table in fig. 12. The notch systems are identical in the disc groups, which allows the printing of deposits or interest on the passbook and on the card in one operation.
Discs 1412, 1413, and 1414 are mounted in the same way as discs 1401, 1402, 1403 and 1404. Discs 1412 are set by the first row differential, discs 1413 by the second row differential, and -disks 1414 by the differential of the third row of transactions.
Old Balance Hammer Control Discs Old Balance is printed only on the Account Card and not on the Passbook. A single disc 1415 (fig. 67A) is necessary to control the operations of this hammer; its teeth are shown in box 3 of the table in FIG. 12. Disk 1415 is set under differential control of the second row of transactions.
Hammer Printing Mechanism: The nine printing hammers for the card and booklet are selectively operated by discs 1401 to 1415 inclusive. As the actuation mechanism is the same for each hammer, only one has been shown in an elevation view. The hammer actuation mechanism for the Balance column of the booklet is shown in fig. 70. The same reference numbers are applied to the corresponding parts of each of the nine hammer operating mechanisms. They have been represented in a plan view
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in fig. 69A and 69B.
Each hammer 1420 has two arms connected by a sleeve pivoting on a shaft 1421. Surrounding the two arms 1420 is a U-shaped part 1422, on which is mounted a plate 1423. The part 1422 is provided with an ear 1424 directed downwards, mounted on pivots between a pair of connecting rods 1425 forming a knee joint. The opposite end of the link 1425 is articulated to a stud 1426 carried by an arm 1427 which is itself mounted on a shaft 1428 (see also Figs. 71 and 72). The shaft 1428 is flexibly supported by springs 1429, provided three in number. one at each end of the shaft and one in the center, to serve as a flexible support for the shaft.
Spring 1429 is placed in an opening at the base of the machine and can be adjusted inside using an adjusting screw 1430. Each end of shaft 1428 is mounted on a bush 431 having a elongated opening to allow up and down play of shaft 1428.
The flexible assembly comprising the springs 1429 is intended to give the plate 1423 the flexibility of operation, so as to obtain uniform prints on the booklet regardless of the number of sheets which may be between the hammer and the printing wheels. . If the hammer was set to give a good impression when only one page was under it, then the impression would be too strong when printing on the last page of the booklet. To allow this variation in thickness, springs 1429 have been arranged which allow a certain degree of adjustment and flexibility to make all prints on the booklet uniform.
Hinged to the pin 1426 of the knee joint formed by the connecting rods 1425 and 1427, there is a connecting rod 1431, the right end of which is supported by a stud 1432 carried by the lower end of a connecting rod 1433 articulated in 1434 to an arm 1435 and mounted on a shaft 1443. The right end of the connecting rod 1431 (fig. 70) has a notch 1436 which can be lowered to engage the rod 1437, carried by a pair of cam arms 1438 pivotally mounted on a shaft 1439. Rod 1437 is long enough to span the distance between four connecting rods 1431 in the printing section of the booklet so that any of the four connecting rods 1431 in that section can be lowered to hook on rod 1437.
Each of the cam arms 1438 is provided with a pair of rollers cooperating with a pair of cams 1440 secured to the printing shaft 1441.
This shaft 1441 is actuated from the main shaft 200 by means of a gear 5151 (fig. 52) engaged with the gear 207 and mounted on a stud 5161 carried by the side flange 161. The gear 5151 is engaged with a gear 517 secured to the printing shaft 1441. The ratio of the train of the gears 207, 5151 and 517 is such that, for any rotation, in the dextrorsum direction of the main shaft 200, the shaft 1441 takes a rotational movement in the senestrorsal direction.
If, during the operation, the link 1433 (fig. 70) is lowered by controlling the toothed discs in the manner described later, so that the link 1431 is hooked to the rod 1437, an oscillation of the arms 1438 and the rod 1437 in the senestrorsum direction moves the link 1431 to the right (fig. 70), to arm the toggle formed by the links 1425 and the arm 1427, lift the hammer 1420, rotate it around its shaft 1421 and produce an impression on the booklet, using the wheels 465.
The link 1433 is or is not lowered to hook the right end of the link 1431 to the rod 1437, depending on the arrangement of the notched control discs 1405 to 1408 described above.
The arm 1435 is journaled to an arm 1442 pivoting on the shaft 1443. The free end of this arm further causes a feeler arm 1444 to pivot, which is pushed to the left (fig. 70) by a spring 1445, one end of which is is connected to a rod 1446 supported by the frames 160, 163 and 164 (Fig. 3). The other end of spring 1445 (Fig. 70) is connected to a stud which forms the pivot junction between arms 1444 and 1442.
The senestrorsum movement (fig. 70) of the arm
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1444 is limited by a pin of the arm 1435 which rests on an arm 1448 fixed to the shaft 1443 (see also fig.:42). The arm 1448 is provided with two rollers 1449, cooperating with a pair of cams 1450 pinned to the main shaft 200.
Cams 1450 are suitable for oscillating arm 1448 after the control plates, such as 1408 (Fig. 70), have been set under the transaction row differentials control. The rotation of the cams 1450 causes the arm 1448 to oscillate in the dextrorsum direction to allow the spring 1445 (fig. 70) to tilt the arm 1435 in the same direction and to lower the link 1433, when the notching of the discs is such that the feelers 1451, pivoting on arm 1444, move to the left in the manner described above. This condition occurs when a deep notch is in the path of the arm 1444 and the finger A or B, as indicated in the table of fig. 105.
The feeler pawls include a pivot ratchet with two fingers A and two fingers B. The feeler arms 1444 for the Interest-Deposit column and the Withdrawal columns do not have pivot feeler pawls 1451, and in these columns the arm feeler 1444 is provided with rollers 1453 ((fig. 67A) cooperating with the control plates. The feeler arm 1444 of the column where the date is printed is provided with a feeler pawl 1451 having two fingers B and one finger A for work with the plates controlling the printing of the date in the first column.
The arm 1448 for the Balance column has rollers 1449 which cooperate with the cams 1450 as shown. Arm 1448 is attached to shaft 1443 to which is also attached an arm 1448 for each of the printing hammer mechanisms. So, when cams 1450 swing shaft 1443, all arms 1448 swing and recall all tie rods 1433, which lower under the control of their respective control plates. Probe mechanisms of the card book: Each section of the printing device, that is to say the section printing on the booklet and that printing on the account card is provided with a feeler mechanism intended to feel the booklet or the map. If one of these documents is in the corresponding printing section, the printing hammers can work.
If, on the contrary, there is no booklet or card in this section, the hammer is put out of service by the feeler mechanism and the printing hammers do not work. Each printing section is provided with a feeler 1460 (fig. 75 and 76) sliding on a stud 1461. The lower end of the feeler 1460 is articulated to an arm 1462 which is deflected in the senestrorsum direction (fig. 75). by a spring 1463, so that the feeler normally tends to rise to come into contact with the booklet and the card. The arm 1462 is normally retained in the position of FIG. 75 by a pawl 1464 engaged with a finger 1465 of the arm 1462.
The pawl 1464 pivots on an arm 1467 (fig. 73) articulated at the left end of a connecting rod 1468. A spring 1469 normally holds the pawl 1464 engaged with the outside of a lever 1470 pivoting on a shaft 1471, on which also pivots the arm 1467. The right end of the connecting rod 1468 is articulated to a cam arm 1472 (see also fig. 69A, 69B and 76) which is provided with a roller 1473 cooperating with a pin 1474 pinned on the The camshaft 1441. The cam 1474 is provided with a roller 1475 in contact with an edge 1476 of the arm 1472 when the cam 1474 begins to rotate in the senestorsum direction (Fig. 73) at the start of machine operation.
Engaging roller 1475 with edge 1476 of the cam quickly rotates arms 1472 dextrorsum to move connecting rod 1468 to the left (fig. 73), tilt arm 1467 counterclockwise and release the pawl. 1464 of finger 1465, thereby allowing spring 1463 to rotate arm 1462 in the senestrorsum direction and the feeler to lift.
If the 1460 probe is stopped due to the presence of a booklet or card, the 1462 arm
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is limited in its rotation and therefore stops before the pawl 1464 has fully moved. In this case, the pawl 1464 leaves a notch 1478 of the arm 1462 and travels the periphery 1479 of the arm 1462 If, on the contrary, the probe 1460 can be raised completely due to the absence of document in the printing section , the arm 1462 follows the pawl 1464 throughout its movement. In this case, the pawl 1464 remains behind the edge 1480 of the lever 1470. Therefore, when the pawl 1464 returns to its normal position, as a result of the cam 1474, the lever 1470 rotates in the dextrorsum direction (fig. 75).
This movement moves a link 1481, connected to the lower end of the lever 1470, to the left (fig. 75) and the link 1481, thus rotates an arm 1482 in the dextrorsum direction, on the shaft 1439. The arm 1482 is provided with a notch engaging a yoke 1483 also pivoting around the shaft 1439 (see also fig. 69A, 69B, 70 and 75) and which extends across all of the links 1433. Each link is provided with a a shoulder 1484 located on the path of the caliper 1483. Therefore, when this one turns in the dextrorsum direction (fig. 70), it remains engaged with the shoulders 1484 of all the rods 1433, preventing them from descending for engage the selected links 1431 with the rod 1437.
Consequently, although the printing hammer has been selected by the drive discs, the links 1433 cannot nevertheless be lowered, since they are stopped by the yoke 1483 and all the printing hammers 1420 are thus put out of service. .
A spring 1490 (fig. 73) connected to a stud 1489, maintains a finger 1486 disposed on the lever 1470, engaged with a shaft 1487, to hold the lever 1470, the rod 1481, the arm 1482 and the caliper 1483 in their normal position.
At the end of the operation of the machine, the caliper 1483 remains in its upper position where the links are kept out of service. At the start of the next operation, when the roller 1475 (fig. 73) comes into contact with the cam ridge 1476 to move the link 1468 to the left and when the arm 1467 turns in the senestorsum direction a finger 1488 disposed on its lower end engages stud 1489 to help spring 1490 to return link 1481 and. caliper 1483 to their normal position.
Document advancement mechanism: The machine is equipped with a table 1500 (fig. 1) to receive the booklet, and another table 1501 to receive the card. The booklet or card is placed on the corresponding table under a guide plate 1502 or 1503 (fig. 68A and 68B), and arranged in alignment with openings 1504 and 1505 made in the guides 1502 and 1503 to select the line on which we must print the following data. A mechanism is provided for advancing the booklet and card from the position in which they are placed by hand, to a position corresponding to a line space below the printing position, in front of the printing members.
As a result, the booklet and the card will be fed or advanced on a line space and the writing is printed on the line thus selected. After the machine prints this entry, the booklet and card can be left in position to receive data in a different column of the same row or be ejected from the machine, depending on the data in question. Thus, the card or the booklet take part in three movements: the first, advancement from the position in which they are placed by hand; the second displacement of the space of a line to the printing position, the last movement is the expulsion.
Either the card has to be moved one line space, or it has to be ejected, the operation is controlled by the transaction keys, thanks to the differential transaction mechanisms and by means of a mechanism. feeler which put the toothed discs in position to control the advancement and ejection mechanism.
Tension rollers: Normally the feed rollers are separated to facilitate the introduction of the
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booklet or card on the respective tables Shortly before the first feed mechanism is actuated - this is the mechanism for moving the booklet or card into the printing position - the tension rollers are lifted to applying the booklet and the card against the feed rollers so that, when they are operating, the mechanism is able to perform its advancement operation.
Tension Roller Actuation Mechanism: Given the identity of the printing mechanisms on the booklet and on the card, the same reference numbers are applied to the corresponding parts of each printing section. Two tension rollers 1506 (Figs. 74, 76 and 78) are provided in each printing section. Each roller 1506 is mounted on a stud 1507 carried between a pair of arms 1508. The arms 1508 are pivotally mounted on the shaft 1487 and are biased in the senestorsum direction by springs 1509. Each arm 1508 is provided with a roller 1510 normally engaged with a cam arm 1511, thanks to the spring 1509.
The arm 1511 is fixed to the shaft 1471 as well as to another arm 1512. A link 1513 is articulated to the arm 1512 and connected at its end opposite to an arm 1514 which pivots on the shaft 1439 and carries a pair of rollers. 1515 cooperating with a pair of cams 1516 fixed to the camshaft 1441. The connection between the link 1513 and the cam arm 1514 has a notch 1517 where a roller 1518 of the arm 1514 engages. The notch 1517 is more larger than the diameter of roller 1518 to facilitate separation and bonding of link 1513 and roller 1518 and to prevent the tension rollers from operating as described later.
When the roller 1518 engages the notch 1517 and during operation, the cams 1516 oscillate the cam arm 1514 to move the link 1513 and tilt the arm 1512, shaft 1471, as well as the control arms. cam 1511 in the senestrorsum direction (fig. 74). This rotation of the arm 1511 allows the roller 1510 to follow the part 1519 of the cam, until this roller is placed on the extreme periphery part 1519. When the roller reaches this position, the springs 1509 tilt the arms 1508 which lift the tension rollers 1506 to contact the booklet or card with a pair of feed rollers 1520.
Then, when these are rotated in the senestorsum direction, as will be described below, the booklet or card passes into the printing position below the printing wheels 465 (Fig. 74). Advancement mechanism: The mechanism intended to rotate the advancement rollers 1520 and its various controls are shown in fig. 76 to 84. As shown in FIG. 78, the two feed rollers 1520 of each printing section are connected by a sleeve 1521 to which a pinion 1522 is attached, the assembly rotating on the shaft 1523. The pinion 1522 is engaged with the gear 1524, which can pivot on stud 1525 carried by the machine frame.
Gear 1524 is engaged with gear 1526 attached to shaft 1527. Two ratchet wheels 1528 and 1529 separated by disc 1530 are also attached to shaft 1527. Wheel 1528 is engaged with ratchet. feed 1531 and the wheel 1529 with the ejection pawl 1532. The pawls 1531 and 1532 pivot on a stud 1533 carried by a control arm 1534 pivoting on the shaft 1527. A pinion 1535, attached to the arm 1534, is engaged with the teeth 1536 of a rack 1537 sliding on a pair of studs 1538. This rack is pushed to the left (fig. 77) by a spring 1539, movement which is limited by a roller 1540 carried by a stud 1541 of the frame of the machine.
To achieve a precise fit of the rack 1537, rollers 1540 of different diameters can be provided to vary the extent of left-hand movement that can be imparted to the rack 1537.
A rod 1542 connects the rack 1537 to a pivoting arm 1543 mounted on a stud 1544 carried by the frame of the machine. A connecting rod
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1545 is connected to the arm 1543 and a roller 1546 located on the link 1545, rests in a slot 1547 of the arm 1485 attached to the control bracket 1483 for printing (fig. 70). The slot 1547 has sufficient length to allow sliding movement of the link 1545. The right end of the link 1545 has a slightly angular rim 1548 located on the path of the roller 1549 of the arm 1550 pivoting on the shaft 1439. The spring 1551 normally maintains roller 1552 of arm 1550 in contact with cam 1553, which is attached to camshaft 1441 of the printing press.
When the parts are in the position shown in fig. 77 and the machine is running, the cam 1553 swings the arm 1550 to move the link 1545 to the left (fig. 77) and switches the arm 1543 in the senestrorsum direction, movement which moves the link 1542 to the right, to drive the rack 1537 to the right, against the tension of the spring 1539.
This movement of the rack 1537 turns the pinion 1535, together with the arm 1534, in the senestrorsum direction (fig. 77) and by this means, engages the pawl 1531 with the ratchet wheel 1528, to tilt the shaft. 1527 in the senestrorsum sense. This movement rotates, through gears 1526 and 1524, pinion 1522 in the senestrorsum direction, to rotate the feed rollers 1520 themselves in the same direction. At this time, the tension rollers 1506 have been released, to bring the card or booklet into contact with the feed rollers 1520, which are thus advanced to the printing position.
Cam 1553 has a low point 1554 to support feed pawl 1531 for advancing the mechanism one line apart, when the machine is commanded for this purpose, in the manner described below. Immediately after the control operation to determine whether or not a line spacing should be performed, the low point 1554 again actuates the pawl 1531 in the forward direction. Towards the end of the advancement operation, the cam 1553 allows the spring 1551 to return the arm 1550 to its initial position thus allowing the spring 1539 to return the rack 1537, the rod 1542, the arm 1543 and the rod 1545 to their initial position.
During this movement, the arm 1534 is tilted in the dextrorsum direction and, moving in this direction, the ejection pawl 1532 engages the ratchet wheel 1529 and rotates the shaft 1527 in the dextrorsum direction. The shaft 1527, through the gears 1526 and 1524, together with the pinion 1522, rotates the feed rollers 1520 in the dextrorsum direction to eject the booklet or card from the machine. When the feeler 1460 (fig. 75) detects the absence of a document and the caliper 1483 thus puts the printing hammers out of service, as already described, the arm 1485 is raised, from the position shown in fig. 77, since the arm 1485 is integral with the stirrup 1483.
When the arm 1485 is thus raised, thanks to the mutual dependence between the slot 1547 and the roller 1546, the cam ridge 1548 is moved away from the path of the roller 1549. Therefore, when the cam 1553 is actuated, the cam arm 1550 is in the idle state. Therefore, when there is no booklet or card in the machine, the advancement mechanism does not work. Line spacing control: As mentioned above, the cam 1553 has a low point 1554 which causes the advancement mechanism to move one line. After the document, previously placed manually on the table, has advanced, the low point 1554 allows the mechanism to go back, from the position shown in fig. 84.
As arm 1534 rotates in the dextrorsal direction at this time, face 1555 contacts end 1556 of a retaining pawl 1900, which will be described later. Subsequently, the carne 1553 again actuates the rack 1537 and the advancing arm 1534, to cause the pawl 1531 to perform the line spacing on the booklet or the card.
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The movement of the link 1545 is controlled by the arm 1560, part of a yoke 1561 (fig. 79) which has a second arm 1562. The arms 1560 and 1562 pivot on a shaft 1563.
A spring 1564 (Fig. 77) normally pushes the arms 1560 and 1562 in the dextrorsal direction until the arm 1560 is locked by a rectangular stud 1565 attached to the link 1545 already mentioned. When this moves in the opposite direction, the stud 1565 passes past the end of the arm 1560, allowing the spring 1564 to lift the arm 1560 and bring the angled end 1566 on the return path of the stud 1565. The change in position of stud 1565 is shown in dotted lines in fig. 77.
The range of movement communicated to the arm 1560 by the spring 1564 is controlled by the stud 1567 engaging the upper part 1568 of the bifurcated end of the link 1569. This end pivots on a stud 1599 carried by an arm 1571 mounted idle on shaft 1443. Arm 1571 is connected to arm 1570 by a hub and has a stud 1572 which normally contacts an arm 1573 attached to shaft 1443. Arm 1571 further includes a branch 1574 directed downward. A feeler link 1575 pivots on the arm 1574 and is slotted so that it can slide on the rod 1446. A spring 1576 normally maintains the link 1575 and the stud 1572 in engagement with the arm 1573.
When cam 1450 (fig. 42) swings arm 1448 and shaft 1443 dextror- sum (fig. 42 and 77), arm 1573 (fig. 77) lowers to allow stud 1572 to s 'lower him too; thanks to the movement of the spring 1576, to project the feeler fingers 1577 in engagement with the control plates 1578, 1579, 1580 and 1581 (fig. 67A and 67B), which, in the system described here, are provided with notches according to table in fig. 105.
If the notching of the control plates is such that the feeler fingers 1577 and the link 1575 are blocked from the start of the operation, the link 1569 does not lower, but remains in the position shown in FIG. 77. In this position, when cam 1553 actuates cam roller 1550, to move link 1545 to the left, stud 1565 assumes the position shown in dotted lines (fig. 77) and arm 1560 is raised, under the action of the spring 1564.
Notch 1568 on the bottom of link 1569 is long enough to allow stud 1567 to move therein to bring end 1566 into the path of stud 1565 to lock link 1545 in the protruding position and therefore, the link 1545 cannot be recalled to advance the card or booklet.
The end of the arm 1560 has an extension 1582 which slightly protrudes from the face 1566 of the arm. At the end of the operation of the machine, the extension 1582 comes to rest on the square stud 1565. When the link 1545 is actuated by the arm 1550, this stud slightly exceeds its normal travel to move beyond the extension 1582 And, when the spring 1539 returns the link 1545, after the arm 1560 has been lifted, the square pin 1565 can move under the extension 1582.
Because the arm 1560, when placed in front of the stud 1565, prevents the return movement of the link 1545 to prevent the interline operation, the arm 1560 also prevents ejection of the booklet or card. In this case, it is preferable to prevent the tension rollers 1506 (fig. 74) from being returned to their normal position, so that the rollers 1506 remain in contact with the card or other document and keep them pressed against them. feed rollers 1520. To prevent the return of the tension rollers 1506, the arm 1543 is hinged to a link 1583 which is provided with slots for. be able to receive a pin 1584 fixed to an arm 1585 integral with the shaft 1563.
To the shaft 1563 is still fixed an arm 1586, bifurcated in order to be able to grip a pin 1587 placed on the rod 1513 already mentioned. When the arm 1543 is tilted in the senestorsum direction (fig. 74) by the cam 1554, the link 1583 rotates the arms 1585 and 1586 in the destrorsum direction so that it raises the link 1513 and releases the notch 1517. of roller 1518, disconnecting
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thus the rod 1513 of the cam roller 1514.
Since after displacement, when the link 1545 is held in its new position by the arm 1560, and neither an interline operation nor an ejection operation should take place, the link 1583 remains in its new position. position, thus maintaining the link 1513 disengaged from the stud 1518, the link 1513 does not return to its initial position at the end of the operation of the machine. As the link 1513 does not come back, the arm 1511 remains in its new position after the movement, to maintain the cam circumference 1519 above the roller 1510 of the arm 1508, in order to keep the tension roller 1506 in contact with it. the advancement roller 1520.
Thus, at the end of the operation, the tension roller 1506 maintains the booklet or card in the position in which they were advanced during the operation of the machine, ready to receive another writing on the same line, during the next operation.
Rod 1569 returns to its normal position, thanks to cams 1450 (fig. 42) or else thanks to a cam 1590 (fig. 80). This cooperates with a roller 1591 carried by a part with triple arm 1592 pivoting on the shaft 1443. An arm 1594 is connected to the part with triple arm 1592 (see also fig. 77).
Cam 1590 has its run time set to cycle link 1569 earlier than cam 1450. It is the notches on actuator plates 1578, 1579, 1580, and 1581 that control either. cams 1590 and 1450 to effectively return link 1569 in place. If both the deep and shallower notches occur in front of fingers 1577, link 1575 makes its fullest movement and, therefore, link 1569 lowers as much as possible. For this position of the control plate, the cams 1450 are controlled to return the link 1569 into place.
However, if both deep and moderately deep notches occur in fingers 1577, link 1575 makes a movement of a more limited range and therefore link 1569 undergoes a lower lowering. In this case, a return mechanism for the link 1569 is coupled to the arm 1594; therefore, cam 1590 returns link 1569 earlier in the cycle than when it is returned by cams 1450. Arms 1573 and 1594 lower to release arm 1571 at approximately the same time during the cycle. . The premature return of the link 1569 is controlled by a pawl 1595 pivoting on the stud 1599, which is also the pivot point of the link 1569 on the arm 1571.
When link 1569 lowers, as a result of movement of link 1575 towards control plates 1578 through 1581, and link 1575 is stopped by the deep and medium deep notches in the plates, arm 1573 continues to move, after which a stud 1600 of the pawl 1595 goes down the cam rim 1596. The spring 1897, connected to the stud 1600 and the stud 1572 causes the former to follow the inclined ridge 1596 to bring the end 1598 on the path of the arm 1594. As a result, when the arm 1594 is tilted by the cam 1590, it contacts the end 1598 of the pawl 1595 and raises the link 1569 to its normal position.
However, if two deep notches or two shallow notches, or one deep notch and one shallow notch present to fingers 1577, link 1569 follows arm 1573 in its full motion. Consequently, the end 1598 of the pawl 1595 cannot move on the arm 1594 the latter is therefore not able to return the link 1569. In this position, the cams 1450 return the links 1569 to their normal position when they tilt the arm 1573, later than the arms 1594 could bring back the rod 1569.
As indicated above, the cam 1553 has a low point 1554 (fig. 77), which can allow a return movement of the rod 1545 of a sufficient range to cause an advance movement of one line spacing of this. connecting rod. After the low point 1554 has allowed the displacement of a line spacing of the rod 1545, the cam 1553 brings back again
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this one in its new position.
If, at this moment, the notched control plates 1578-1581 control the movement of the pallet rod 1575, so that it is recalled by the arm 1594, the arm 1560 is brought back into the path of the square stud 1565, before the cam 1553 allows the ejection movement of the arm 1550, as the end of the operation approaches.
However, if the control plates in question allow the 1575 feeler link to perform its fullest movement and prevent coupling between the pawl 1595 and the arm 1594, the link is returned by the cams 1450 after the plates 1553 allowed the ejection movement of the 1545 link, that is, allowed the 1545 link to perform its fullest movement and the 1565 square pin to move again on the 1560 arm in the position shown in FIG. 77.
The respective run times of cams 1553, 1450, and 1590 determine whether documents should undergo the interline operation or should be ejected from the machine. Advance pawl control mechanism: As previously described, cam 1553 first actuates rod 1545 to bring the document to the registration position then returns rack 1537 to a preparatory position for an operation. line spacing, and finally cam 1553 actuates link 1545 to eject the document from the machine. It has also been said that line spacing and ejection cannot take place simultaneously in the same operation. The commands described here determine what operation should take place while the machine is running.
Normally, the advancing pawl 1531 and the ejection pawl 1532 are respectively engaged with their ratchet wheels 1528 and 1529, as shown in FIGS. 77, 80 and 81. At the end of the operation, during which the document receives its initial advance, the pawls 1531 and 1532 take the positions shown in FIG. 82. When the low point 1554 of the cam 1553 supports the rack 1537 for line spacing, it is necessary to keep the ejector pawl 1532 disengaged from its ratchet wheel 1529. Likewise, to prevent the backward movement of the ratchet. ratchet wheel 1529, while the feed pawl drives wheel 1528, a stop pawl 1900 is provided pivotally mounted on a stud 1901.
Attached to the stopper pawl 1900, is an arm 1902 to which is connected the end of a spring 1903 intended to push the pawl in the senestrorsum direction (fig. 80) towards the ratchet wheel 1528. A stud 1904 carried by the arm 1902 is normally engaged with an edge 1905 of a control plate 1906. The latter also comprises an edge 1907 which can cooperate with a stud 1908 carried by the ejection pawl, when the latter is at the end of course, in its senestrorsum movement (fig. 84). The control plate 1906 is connected to an arm 1909 articulated to a connecting rod 1910 connected to a cam arm 1911 rotating on the shaft 1439.
The cam arm 1911 comprises a roller 1912 cooperating with a cam 1913 pinned to the camshaft 1441 of the printing press. A spring 1914 connected to the arm 1909, normally maintains the roller 1912 in contact with the cam 1913.
At the end of the initial advancement operation, the cam 1913 switches the control plate 1906, from the position shown in FIG. 82 to that of FIG. 84, after which the 1905 ridge passes on the underside of the 1904 stud to release the 1900 pawl to engage the ratchet wheel 1528. At the same time, the 1907 ridge cooperates with the 1908 stud. ejection pawl 1532, rocks the latter to disengage it from the ratchet wheel 1529. Then, when the rack 1537 drives the advancing arm 1534, the ejection pawl 1532 is released from the wheel 1529, while the pawl 1531 meshes with the ratchet wheel 1528. Finally, the stop pawl 1900 prevents the backward movement of the latter at the same time.
Therefore, when an interline movement is to be effected, the advancing pawl 1531, being engaged with the wheel 1528, rotates the latter in the senestrorsum direction (Fig. 81), and the advancing pawl meshes
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the ratchet wheel 1528. The cam 1913 then again returns the arm 1911, the rod 1910 and the control plate 1906 to their normal position, in which the stop pawl 1900 rises to disengage from the ratchet wheel 1528 The ejection pawl 1531 lowers again to engage its ratchet wheel 1529, ready for an ejection operation.
In these operations, during which the link 1569 and the arm 1560 prevent interline operation, it is also preferable to prevent the operation of the control plate 1906 of the advancing pawl. To this end, the arm 1560 is connected to the arm 1562 which comprises a hook 1916 which swings in front of a stud 1917 of the rod 1910 mentioned above. For this reason, when the arm 1560 is placed behind the stud 1565, the hook 1916 is in front of the stud 1917, thus opposing the displacement of the link 1910 and the stopping of the ejection pawl 1532.
When the connecting rod 1569 is lowered and thus allows the ejection by lowering of the arms 1560 out of the stud 1565, the hook 1916 also lowers and leaves the trajectory of the stud 1917 free, thus allowing the connecting rod 1910 to actuate the control arm. ejection pawl control 1906.
A further control of the line spacing mechanism and the advance control plate 1906 is provided in order to oppose the operation of these two mechanisms before the return operation and the line spacing take place, which thus prevents the production of interlines before ejection. This mechanism is controlled by a control plate 1920 (fig. 80) comprising notches and mounted on the shaft 632, in the manner described later. The control plate 1920 is differentially adjusted by the first row of transactions, in the known manner.
When the operation of the machine is controlled by pressing one of the Balance 121, Open 123 or Eject 125 keys, it is preferable to cause the printed document to be ejected. The control disc 1920 is therefore provided, comprising notches which correspond to these four positions. A safety edge slide 1921 is controlled by a spring to feel the notches of the control plate 1920. If a notch is in front of the safety edge slide 1921, when the cam 1590 allows rotation in the dextrorsum direction (fig. 80) of part 1592, a 1923 connecting rod connected to this, is lowered.
The 1923 link pivots around a 1924 hooked arm that lowers to engage the 1917 stud when a deep notch is in front of the 1921 slide. A 1925 arm also connects to the 1924 hooked arm; it 'is provided with a flange 1926 which lowers and is placed in the path of an extension of the square stud 1565 when the connecting rod 1923 is lowered.
The cooperation of the hooked arm 1924 and the stud 1917 opposes the operation of the control plate 1906 until a line spacing has been produced, after which the cam 1590 again lifts the connecting rod 1923 to release the connecting rod 1910. The adjustment of cam 1590 is such that it lowers link 1923 after advancement link 1545 has returned to its previous position. When in this position and the hooked arm 1924 is lowered over the stud 1917, the flange 1926 moves behind the stud 1565, which then occupies the position shown in phantom in fig. 83. This prevents return movement of link 1545, as well as interline movement of arm 1534.
At the end of the line spacing time, the cam 1590 again lifts the link 1923 and thus frees the links 1910 and 1545, so that, with the operation of the machine continuing, the document (either the card or the booklet) is ejected from the machine.
At the end of the operation in which the booklet and card have undergone line spacing, the tension rollers 1506 remain in their effective position, pressing the document against the rollers 1520. At the end of this operation, the pin square 1565 is also placed under the extension 1582 of the arm 1560, thus supporting the roller 1546 at the left end (fig. 77) of the groove 1547 of the arm 1485. At the end of this operation, it is expected that the booklet
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or the card remains in the machine until a next operation, during which the documents are ejected from the machine by means of the eject mechanism.
However, if due to an operation error, the operator grabs the booklet or card and forcibly pulls them out of the machine, a malfunction will result during the next operation.
This would result in a malfunction which would be due to the fact that the probe 1460, rising, would pass through the hole in the table and rise to the maximum. As a result, as explained previously, the arm 1485 would tilt in the dextrorsal direction (fig.-77). As at this time the roller 1546 is near the left end of the groove 1547 of the arm 1485, this tilting would cause the slide 1547 to move away from the roller 1546, thereby separating the connecting rod 1545 from the arm 1485. For To avoid such faulty operation, an interlock is provided, designed as follows: A cam arm 1930 (fig. 74) is fixed on the shaft 1471 and a roller 1931 is placed normally on this arm.
The roller 1931 is carried by the side of an arm 1932 mounted loose on the shaft 1487. The free end of the arm 1932 is intended to take place behind a pin 1933 of the arm 1462, around which the feeler 1460 pivots.
At the end of an operation involving the recording of a document, the cam arm 1511 (fig. 74) remains in its displaced position, keeping the edge of the cam 1519 in contact with the roller 1510, to maintain the roller. voltage 1506 in its effective position. The arm 1511 is also attached to the shaft 1471 and, therefore, when the arm 1511 is in its displaced position, the cam arm 1930 is also in a displaced position. When the cam arm 1930 swings with the arm 1511, the cam ridge of the latter then allows the spring 1934 to lower the free end of the arm 1932 on the path of the stud 1933, where the left arm remains. the end of this operation.
If the booklet or card is forcibly removed from the space between the tension roller and the feed roller 1520, the arm 1932 will hold the arm 1462 and the probe 1460 in their lowered position, so that, even if the machine is running without a document, the probe 1460 does not rise from it and therefore it is not possible for the probe mechanism to disengage the printing mechanism and the arm 1485.
Arm 1932 remains behind stud 1933 until the document ejection mechanism is actuated, which produces ejection; the tension roller 1506 is then lowered and the cam arm 1930 is returned to its rest position to lift the arm 1932 and move it away from in front of the stud 1933.
Control of the printing of the last line: of the ejection and hammers of pressure: When the account card is filled, that is to say when an entry has been made on the last line, the machine is blocked and cannot operate except if operation is commanded by one of the keys: Interest on Loan 142, Ejection 125, Overdraft 123, Under-Balance 122, or Balance 121. Other key combinations can be used to order the machine by modifying the notches of certain control plates described here. The same commands are carried out when the last line of the booklet page has been printed, and these commands occur when the card or the booklet or both documents are completed.
The print and eject mechanisms, described previously, are also controlled by the commands on the last line. The following operations and commands are grouped in the following, to catalog some of these commands, when the operations follow the entry of an entry on the last line of the booklet or card, and the machine is blocked 1. Balance transaction - Printing in the balance column and ejecting the card and passbook, whether they are filled in or not.
2. Balance Sub-Total Operation: a) the card is filled - Printing in the balance column of the card, ejecting the card and not printing the passbook.
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b) The booklet is completed - Printing in the balance column of the booklet, ejecting the booklet and not printing the card.
c) Both card and passbook are completed - Print in the balance column of passbook and card and eject both documents.
3. Balance Sub-Total Operation - Neither the card nor the passbook are completed - Printing in the balance column of the card and the passbook - No ejection.
4. Operation Interest on Loan - Printing in the second column of the booklet and the card whether or not they are completed.
5. Operation Ejection - Ejection of the booklet and the card.
The control plates, intended to control the printing and ejection mechanisms and the card from the keyboard, have been described previously. These plates include plates 1406, 1407 and 1408 (fig. 67A and 67B) intended to control the printing hammers of the Balance column of the booklet and the card and the plates 1578, 1579 and 1580 intended to control the mechanisms of. ejection of the booklet and the card. As already mentioned, these groups of control plates also include the plates 1405 and 1581, respectively, in the booklet printing section and in the card printing section, which plates are controlled by probes.
To distinguish them from one another in the following description, the plates 1405 and 1581 are provided with exposures B and C and are thus represented in FIGS. 67A, 67B, 97 and 100. The control plates 1405B, 1405C, 1581B and 1581C are under the control of the document probes one being intended for the booklet and the other for the card.
Document dimensions may vary depending on the models adopted by the banks that use this machine. For this reason and to obtain precise control from the probes with respect to the ends of the documents, the probes are mounted so that they can be adjusted, in order to allow their adjustment from the front to the rear of the machine. The feeler mechanism for the booklet is shown in fig. 87 and 101 and has an adjustable 1950 probe finger. This 1950 probe can be fixed in an adjustable manner on one of the two 1951 grooves (see fig. 101) by a 1949 bolt. The 1949 bolt is intended to fix the probe on the 1951 grooves, in a right or right position. left, thus allowing a maximum of adjustment positions of the probe.
The 1951 grooves are made on the 1952 horizontal flange of a 1953 slide, provided with a 1954 groove and a 1955 bifurcated end, into which studs 1956 and 1957 enter, respectively. The 1956 and 1957 studs are mounted on a 1958 bracket attached to the frame 162 of the machine. The 1953 slide is fitted with a 1959 pin engaged in the bifurcated end of a 1960 elbow lever. (See also fig. 86.) The 1960 elbow lever is mounted so that it can rotate on a 1961 shaft, supported by the walls 160, 163 and 164 (fig. 3) of the machine.
A 1962 sleeve (fig. 101) connects the 1960 elbow lever to a 1963 sector-shaped arm (see also fig. 87) having a 1964 finger normally engaged with a 1965 stud of a 1966 spring driven arm 1967 having a end connected to the 1960 arm and the other to a 1968 pin of the 1958 support. An upper branch of the 1966 arm rotates one end of a 1969 connecting rod, the other end of the latter being connected to a 1970 arm, one of which is roller 1971 is in contact with a 1972 cam attached to camshaft 1441. A 1973 roller is provided on the side of the 1972 cam and is intended to engage a 1974 foot of the 1970 arm.
A 1976 pawl having a 1977 flange is pivotally supported by the forward extension of a 1975 branch of the 1966 arm, which flange is normally held in contact with the 1978 seat of the 1963 sector arm mounted on a bracket 1958 fixed to the frame 162 of the machine. The 1953 slide is fitted with a 1959 pin engaged in the bifurcated end of a 1960 elbow lever. (See also fig. 86.) The 1960 elbow lever is mounted so that it can turn on a 1961 shaft,
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supported by the walls 160, 163 and 164 (fig. 3) of the machine.
A 1962 sleeve (fig. 101) connects the 1960 elbow lever to a 1963 sector-shaped arm (see also fig. 87) having a 1964 finger normally engaged with a 1965 stud of a 1966 spring driven arm 1967 having a end connected to the 1960 arm and the other to a 1968 pin of the 1958 support. An upper branch of the 1966 arm rotates one end of a 1969 connecting rod, the other end of the latter being connected to a 1970 arm, one of which is 1971 roller is in contact with a 1972 cam attached to the 1441 camshaft. A 1973 roller is provided on the side of the 1972 cam and is intended to engage a 1974 foot of the 1970 arm.
A 1976 pawl having a 1977 flange is pivotally supported by the forward extension of a 1975 branch of the 1966 arm, which flange is normally held in contact with the 1978 seat of the 1963 sector arm by a 1979 spring , as shown in fig. 86 and 87.
When the booklet is introduced into the machine it rests on the table 1500 (fig. 87) provided with an opening through which the feeler 1950 can pass to ensure the presence or absence of the document. When the booklet is not completed, that is to say when the last printed entry is not on the last line, the probe 1950 is not stopped in its upward movement. However, when the booklet is placed so as to receive a writing on its last line, its position is such that the feeler touches the end of the booklet so as to be stopped in its upward movement.
When the machine is running and the 1972 cam turns in the senestorsum direction (fig. 87), the 1970 arm resting on a cam swings in the dextrorsum direction, while the 1973 roller engages in the 1974 end of the arm. . The dextrorsum rotation of the 1970 arm pushes the 1969 connecting rod to the left (fig. 87) to tilt the 1966 arm in the senestorsum direction, thus lowering the 1976 pawl. The 1966 arm swing also moves the 1965 pin away from the finger. 1964, thus allowing the elbow lever 1960 to swing in the senestrorsum direction under the action of the spring 1967.
The angled lever 1960 then lifts the slide 1953 and advances the probe 1950 into the opening of the table 1500, to ensure the presence or absence of the end of the booklet on the table. When the probe 1950 is in contact with the underside of the booklet, due to the fact that the latter is placed opposite the last line of printing, the probe is stopped and the arm 1966 continues to rotate in the senestrorsum direction, thus allowing to the 1977 flange of the 1976 pawl to take place behind the 1963 sector-shaped extension of the 1960 arm, under the action of the 1979 spring. Then, when the 1972 cam returns the 1970 arm, the 1969 connecting rod and the 1966 arm to their rest position the pawl 1976 returns the arm 1960 to its original position which eliminates contact between the probe 1950 and the booklet.
At the end of this operation, the 1977 flange remains below the 1963. During the following operation, when the 1966 arm swings in the senestorsum direction in its maximum extension position, a 1887 shank of the 1976 pawl and forming a carne , is in contact with a stud 4000, by means of which the pawl 1977 is returned in the senestrorsum direction around its axis, so that the lever 1977 rests on the edge 1978 of the arm 1963 again.
If, on the other hand, the last line of the booklet has not been printed, the probe 1950 is not stopped when the cam 1972 switches the arm 1966 and the pawl 1976 in the senestrorsum direction. During this operation, the 1977 flange does not take place below the 1963 arm but remains in contact with the 1978 ridge, while the 1960 elbow lever and the 1966 arm turn at the same time in the senestrorsum direction and, therefore , when the 1972 cam returns the parts to their rest position, the 1977 flange rests on the top of the edge and does not return the probe 1950 to its original position.
To bring it back to this position, the pin 1965 comes into contact with the finger 1964 and swings the arm 1960 in the dextrorsum direction (fig. 87) to lower the probe 1950 to its rest position.
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If the probe 1950 is stopped, because the booklet is placed on the table to receive a recording on the last line, as explained above, and if the pawl 1976 takes place behind the arm 1963, the clamp 1977 of this pawl takes place behind a notch 1980 (fig. 88) made at the free end of a 1981 arm pivoting around the 1961 shaft and connected to a 1982 arm by means of a 1983 bracket.
The 1982 arm rotates a 1984 connecting rod rotating a 1985 ring gear which has internal teeth engaged with a 1986 pinion mounted on a 1987 square shaft which is part of an internal rotation mechanism, similar to that of the printing mechanism, already described.
A 1988 pinion (fig. 95) is also mounted on the 1987 square shaft and engages the internal teeth of a 1989 crown gear. This has a 1990 pin that penetrates a 1991 notch made at the front end of the gear. 'a 1992 cursor (see also fig. 94). The slider 1992 rotates a cam arm 1993 (fig. 92 and 101) which pivots around a stud 1994 (fig. 92). The 1993 arm is provided with two 1995 rollers in contact with a pair of 1996 cams mounted on the camshaft 200 already mentioned.
When the crown 1989 (fig. 95) turns in the dextrorsal direction as described later, due to the lowering of the connecting rod 1984 (fig. 88) the stud 1990, engaging in the notch 1991, lowers the free end of the slider 1992, which places one of its ends 1093 on the path of a pin 1094 (fig. 94 and 101) carried by a crown 1095 with internal teeth in mesh with a pinion 1096 mounted on a square shaft 1997. A 1998 pinion (fig. 93), also mounted on this shaft meshes with the internal teeth of a 1999 crown gear, notched at the location marked 2000 and a pin 2001 of the control plate 1405C (fig. 97) is placed at inside notch 2000.
A spring 2002 normally keeps the stud 2001 in contact with the right edge (fig. 93) of the notch 2000.
The previously mentioned plate 1581B (Fig. 77) is also adjusted by the 1997 square shaft which carries a pinion in mesh with the internal teeth of plate 1581B. As mentioned before, when the booklet interferes with the probe 1950 (fig. 87), which is due to the printing having to be made on the last line, the clamp 1977 takes place behind the sector 1963 so to bring the latter back when the pawl 1976 performs its upward return movement.
As this 1977 flange is also engaged in the 1980 notch of the 1981 arm, the latter is then driven in the dextrorsal direction during the upward movement of the 1976 pawl, lowering the 1984 connecting rod and causing the 1985 ring gear to tilt (fig. 88) with the 1986 pinion in the dextrorsum direction. The subsequent rotation of the square shaft 1987 turns the ring gear 1989 (fig. 95) in the dextrorsal direction by means of the pinion 1988. Then, the stud 1990 lowers the slider 1992 so that its reach 1093 is in the same horizontal plane as the pin 1094 (fig. 94) of the ring gear 1095.
The 1996 carnes (fig. 92) then tilt the 1993 arm in the senestrorsum direction and the 1992 slider to the left (fig. 94), thus bringing the end 1093 into contact with the pin 1094 which turns the crowns 1095 and 1999 in the sense senestrorsum. The rotation of the 1999 crown, thanks to the spring 2002, attracts the stud 2001 and rotates the plate 1405C to place a high point of the control plate 1405C in the path of the probe 1451 (fig. 70) of the printing mechanism. the map. As previously indicated, when the probe head 1451 comes into contact with an elevated portion of the disc 1405C, the card printing mechanism is stopped.
Therefore, when the last line of the booklet has been printed, the card printing mechanism is stopped, so that no writing can be printed on the latter during the printing operations of the last line of the booklet.
An aligner 2003 (fig. 100) mounted on a shaft 2004 is engaged in one or the other of the notches 2005 of the circular plate 1405C to maintain the latter in its adjusted position.
The controls described above, by means of the probe intended to feel the last
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line of the passbook, when the passbook is filled, apply to transactions in which the card is not filled.
A second feeler mechanism is provided to detect the last line of the card. This mechanism is similar to that which has been described previously. When the last line of the card is full, it is desirable to disengage the printing of the booklet. However, if the latter and the card are both filled, that is, if the last line of both documents is in the printing position, then the data is printed on the two documents which both are ejected. of the machine. The command for not printing the booklet will first be described.
When the card is in the printing position, it rests on the table 1501 (fig. 104). A probe 2050 (fig. 101 and 104) placed under the table 1501, passes through a hole made in the lower part of the table 1501 to detect the presence of the end of the card. If this is placed so as to receive an impression on the last line, the probe 2050 comes into contact with it, thus limiting its rise. If the card is not yet in the position corresponding to the last line, its end will not be in the path of the probe 2050 which can then perform its maximum stroke.
The probe 2050 is mounted in one of the two grooves 2051 made in the flange 2053 of a slide 2054, by means of a bolt 2052. The bolt and slot connection on the slide 2054 constitutes a means of adjusting the probe 2050 relative to the card, so that cards of varying lengths can be used. Slide 2054 has a groove 2055 and a bifurcated end 2056, which slide over studs 2057 and 2058, respectively, mounted on a bracket 2059. Slide 2054 is provided with a stud 2060 which enters a bifurcated end an angled lever 2061 pivoting on the shaft 1961. The angled lever 2061 is connected by a sleeve to an arm 2063 in the form of a sector.
The arm 2061 is also provided with a finger 2064, held in contact with a stud 2065 of an arm 2066, by a spring 2067 connected to the extension of the arm of the elbow lever 2061. One end of the spring 2067 is connected to a stud 2062 of the support 2059. The arm 2066 is articulated to a connecting rod 2069, the other end of which is connected to a cam arm 2070 which pivots around the shaft 1439 already mentioned. The arm 2070 comprises a roller 2071 cooperating with a cam 2072 mounted on the camshaft 1441. The cam 2072 is provided with a stud 2073 engaging with a foot 2074 intended to tilt the arm 2070, during operation of the the machine.
The arm 2066 is provided with a stud 2075 on which is mounted a pawl 2076, having a flange 2077, normally maintained in contact with the outer contour of an arm 2063 in sector, under the action of a spring 2079.
When, during machine operation, the cam 2072 swings the arm 2070 to move the connecting rod 2069 to the left (fig. 104), the arm 2066 swings in the senestrorsum direction in order to separate the stud 2065 from the finger 2064, after which the spring 2067 causes the rotation of the arm 2063 in the senestrorsum direction, which raises the slide 2054 and the probe 2050 intended to detect the presence of a card.
If the card is placed so as to be printed on a different line than the last, the probe 2050 performs its stroke and the sector arm 2063 tilts with the arm 2066 during its full tilting movement; as a result, the rim 2077 of the pawl 2076 remains on the seat 2078. When the arm 2061 makes a return movement, the stud 2065 contacts the finger 2064 and returns the arm 2063 and the probe 2050 to their rest position.
However, if the card is placed so as to be printed on the last line, the probe 2050 contacts the card and is stopped before reaching its maximum stroke. The arm 2066 nevertheless continues to move, thus causing the rim 2077 which moves away from the edge 2078 of the arm 2063 to be placed behind the latter. When the arm 2066 makes its return movement, the flange 2077 returns the arm 2063 and the probe 2050 to their original position.
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During the next complete rotation of the arm 2066 in the senestorsum direction, one foot of the pawl 2076 contacts a stud 400 (Fig. 103) causing the pawl to return to its normal position.
As the ledge 2077 swings behind the arm 2063, it moves behind a shoulder 2080 (Fig. 103) of an arm 2081 which is connected to a second arm 2082 by a yoke 2083. The arm 2082 is connected to the lower end. a connecting rod 2084, the upper end of which is connected to a crown 2085.
When the flange 2077 takes place behind the shoulder 2080 and the arm 2066 is returned to its normal position, the arms 2081 and 2082 swing in the dextrorsum direction to lower the connecting rod 2084 and rotate the crown wheel 2085 in the dextrorsum direction. The crown 2085 is provided with internal teeth in mesh with a pinion 2086 mounted on a square shaft 2087, to form an internal transmission similar to that previously described. Square shaft 2087 carries another pinion 2088 in mesh with the internal teeth of a ring gear 2089 (Fig. 92). This one carries a 2090 stud, penetrating into a 2091 slot of a 2092 slider.
The right end of the slider 2092 (fig. 92) is connected to the same pin of the arm 1993, which forms the hinge of the slider 1992, as clearly shown in fig. 101.
When the ring gear 2085 (fig. 103) turns in the dextrorsum direction under the control of the feeler mechanism, the pin 2090 (fig. 92) lowers the free end of the slider 2092 to bring the end 2093 of the latter on the trajectory of a pin 2094 (fig. 91) of a crown 2095. The latter has internal teeth engaged with a pinion 2096 fixed on a square shaft 2097. A pinion 2098 (fig. 98) also carried by this shaft 2097 , is engaged with the internal teeth of a ring gear 2099. The latter is provided with a notch 2100 into which penetrates a pin 2101 of the control plate 1405B. A spring 2102 normally maintains the right end of notch 2100 in contact with stud 2101.
The already mentioned 1581C plate is also set by the 2097 square shaft, which carries a pinion in mesh with the internal teeth of the 1581 C plate.
When the cams 1996 rotate during machine operation and the cam arm 1993 switches in the senestrorsum direction, the slider 2092 moves to the left (fig. 92). If, at this moment, the end 2093 is behind the stud 2094, the crown wheel 2095 turns in the senestrorsum direction (fig. 91) which, through the intermediary of the square shaft 2097 and the pinion 2098, tilts the crown 2099 also in the senestrorsum sense. When this occurs, the spring 2102 attracts the stud 2101 to position the control plate 1405B (Fig. 97) so that it presents a boss to the feeler 1451, thus preventing the hammers from printing on the booklet.
Thus, when the card is placed so as to be printed on the last line and when the booklet is filled, the booklet printing hammer remains blocked so that no writing is carried on the latter.
When the passbook and card are complete, it is best to print the balance on both documents and eject both documents. In this case, the probe would normally rotate the control plates 1405C and 1405B in such a position that it presents an elevated portion to the respective probes 1451, and in this case no printing would be made on the documents. To prevent such a case from occurring, the following mechanism is provided: A pinion 2105, fixed to the already mentioned shaft 2087, engages the internal teeth of a ring gear 2104 (fig. 96).
The shaft 2087 oscillates in the dextrorsal direction (fig. 92) under the control of the crown wheel 2085 (fig. 103) and the connecting rod 2084, when the card is full, to allow the movement of the control plate 1405B which prevents printing the booklet. However, under the condition already mentioned, that is, when the card and the booklet are filled, it is preferable to prevent the movement of the control plate 1405B; for this purpose, when the shaft 2087 oscillates the crown 2104 turns in the dextrorsum direction and
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comes in contact with stud 2001 to oppose spring 2002 movement of control plate 1405C.
In addition, when the shaft 1987 oscillates under the control of the probe 1950, so when the last line of the booklet is to be printed, a crown 2106 (fig. 99) is driven by a pinion 2107 mounted on the square shaft 1987 in view. moving a shoulder thereof and bringing it into contact with a stud 2101, which prevents movement of the control plate 1405B. To this end, a boss of the control plate 1405C is maintained on the path of the feeler finger 1451, thus allowing the operation of the printing mechanism of the card.
A caliper 2110 (fig. 103), held by a spring and serving for alignment, is mounted on the shaft 4000 intended to maintain the arm 2082 and the associated mechanisms in their normal position. The yoke 2110 is provided with a stud 2111 which normally penetrates a notch 2112 (fig. 88) of the arm 2082. A similar yoke 2110 is provided to keep the arm 1982 and the associated mechanism in their normal position.
The printing disengaging commands just described relate to printing in the fourth column of the booklet or card. It is good to note that printing data in columns 2 and 3 can be done on the last row of documents, but some entries in column 4 are deleted, after the last row of the booklet or card has received entries in columns 2 and 3. In the system described as will be explained later, this command is carried out when partial subtotals are recorded and the subtotal is printed only in column 4 of the booklet or the card and on their last line, after entering an item on the last line.
Thus, if the article is printed on the last line of the booklet but not on that of the card, and if the Sub-Total key is pressed for the next operation the Sub-Total is printed on the booklet but not on the the map. When the item is printed on the last line of the card, but not on the passbook line, the Sub-Total is printed on the card but not on the passbook. However, when the article is printed on the last row of both documents, the Sub-Total is printed in column 4 of each of them.
Printing of the last line - Machine locking coininandes: At the end of the operation during which the last line receives data, the machine is locked, except for the control of certain keys. In the current example, these keys are the Interest on Loan key 142, the Balance key 121, and the Ejection key 125.
Each of the arms 1982 and 2082 which tilt in the dextrorsum direction (fig. 103) when the last line of the booklet or the card, respectively, has been printed, following the process described above, under the control of the probes 1950 or 2050, is provided with a stud 3000. A finger 3001 is normally kept in contact with each of the studs 3000 and the fingers are attached to the hubs 3002, which are mounted on the shaft 19e1 (see also Figs. 89 and 90). An arm 3003 is also fixed on the shaft 1961, an arm which is pushed by a spring 3004 in the first senestorsum direction and provided with a finger 3005 which is kept in contact with a stud 3006 of the side wall 160 of the machine . The lower end of the arm 3003 is articulated to a connecting rod 3007 connected to an arm 3008 which rotates on a shaft 3009.
An arm 3010 is integral with an arm 3008 and comprises a stud 3011 engaged in a notch of a stop arm 3012 (see also FIG. 102). The stop arm 3012 is freely mounted on the shaft 3009 and the upper side of the notch of the arm 3012 is kept in contact with the stud 3011 by means of a spring 3013. The arm 3012 is provided with a ridge. lock 3014, which is set to sit in the path of a flange 3015 of an arm 3016 which swivels pivots around the shaft 940.
The arm 3016 is fixed to the arm 938 which oscillates in the dextrorsum direction when said triggering of the machine.
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If the locking edge 3014 is placed in the path of the flange 3015 as it moves, the trigger mechanism cannot operate, since the arm 938 is prevented from rotating in the dextrorsum direction.
When one of the arms 1982 or 2082 swings in the dextrorsum direction (fig. 103) due to the stopping of the 1950 or 2050 probes, stopping which is due to the booklet or the card, or these two documents, occupying a position corresponding to the last line, one or both studs 3000, in contact with one or both fingers 3001 cause the shaft 1961 to tilt which moves, by means of the arm 3003, the connecting rod 3007 and causes the arm 3008 in the dextrorsal direction (fig. 103). This movement drives the arm 3010 and brings, thanks to the spring 3013, the arm 3012 in a position which prevents the displacement of the arm 3016, thus blocking the triggering of the machine.
* It is necessary, to allow a new operation of the machine, to bring back the arm 3012 and to move the locking edge 3014 away from under the edge 3015. The return of the arm 3012 is carried out by pressing the Interest key on Ready 142 , the Balance 121 key, the Sub-Total Balance 122 key, the Overdraft 123 key or the Eject 125 key.
The withdrawal of the arm 3012 is obtained by energizing a solenoid 3018 (fig. 20 and 103) by means of the closing of a switch when one of the keys mentioned above is pressed. When the solenoid is energized in the way just described, its frame 3019 is lifted (fig. 103) with a link 3020 connected to an arm 3021 (see also fig. 102), mounted on the shaft. 3009. A spring 3055, connected to the arm 3056, articulated to the arm 3021, maintains the frame 3019 in its normal position. The arm 3021 is provided with a finger 3022 which is in the path of a stud 3023 of the arm 3012.
As the arm 3012 moves to its locked position, the pin 3023 is placed against the left side of the finger 3022. Thus, when the solenoid 3018 is energized to move its frame 3019 away, the arm 3021 swings in the senestrorsum direction (fig. 102 and 103) and finger 3022, in contact with pin 3023, causes arm 3012 to tilt to its normal position or unlocked position.
A switch arm 3024, attached to the arm 3010 is provided to close a switch 3025 when the arm 3012 moves to its locked position.
Switch 3025, as shown in the diagram (fig. 20) is in an excitation circuit for solenoid 3018. A second switch 3026 is also provided, in the circuit including solenoid 3018, which switch is closed when the switch is closed. one of the five keys, listed last, is pressed.
The switch 3026 (fig. 27) is mounted on the crossbar located at the front of the machine and closed by an arm 3027, fixed to an arm of a yoke 3028 which crosses the space between the keys of the rows of ordered. One of the arms of the caliper 3028 is provided with a finger 3029 (Fig. 28) in engagement with a stud 3030 of a trigger 3031 of the third row of transactions. Interest on Ready key stud 579 passes through a hole in trigger 3031 and the trigger 3031 has a cam outline 3032 that stud 579 contacts.
Lowering the Interest key to Ready, cooperating with the contour of the cam 3032, moves the trigger 3031 to the left (fig. 28) which causes the finger 3029 to tilt in the dextrorsum direction through the intermediary of l yoke 3028, switch arm 3027 in the same direction, to close switch 3026.
A trigger 3033 (Fig. 29) is placed in the third row of transactions, and has cam edges that engage studs 579 of the Balance, Sub-Total Balance, Overdraft and Eject keys. The trigger 3033 is provided with a pin 3035 in contact with an arm 3036, which has a notch in which the cylinder head 3028 engages.
When the Balance, Sub-Total Balance, Overdraft or Ejection key is pressed, the pin 579 corresponding to this key, in contact with the cam ridge 3034, moves the trigger 3033 to the left (fig. 29). which causes the caliper to tilt 3028
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through the stud 3035, in contact with the arm 3036 and that of the switch arm 3027 which thus closes the switch 3026.
As mentioned earlier, switch 3025 is closed when the machine is locked, when printing an item on the last line. When any of the preceding keys, which actuate switch 3026, are pressed, a circuit is closed through solenoid 3018, thus recalling armature 3019 and returning arm 3012 following the process previously described.
Lowering any of the other control keys does not effect the closing of switch 3026, and therefore the machine cannot be recalled by any key other than the five keys mentioned above.
Since machine operation is triggered by one of the Interest on Loan, Balance, Sub-Total Balance, Overdraft or Eject keys, depending on the machine being locked due to printing the last line, the document will be kept. position corresponding to the last line and therefore the probes 1950 and 2050 would lock the machine again at the end of each of these operations. To oppose such locking of the machine at the end of one of the balance, overdraft or ejection operations, a special control mechanism is provided (fig. 42).
A notched disc 3040 (Fig. 42) is set relative to a probe 3041 under the control of the first transaction differential mechanism, through an internal ring clutch gear ring device, similar to those which have already been described above. During an operation of the machine corresponding to the lowering of the Balance key, the Open key or the Eject key, the notched disc 3040 is arranged so that a notch is on the passage of the probe 3041. The probe 3041 is provided with a groove 3042 by means of which one end of the probe is guided and the other end of the probe pivots around an arm 3043.
A spring 3044 normally tends to keep the feeler 3041 and the control disc 3040 in contact. The arm 3043 is provided with a pin 3045 held in contact with a finger 3046 attached to the already mentioned shaft 1443, which is controlled. by the cams 1450. The arm 3043 is connected to a link 3047, itself connected to an elbow lever 3048 which pivots around the shaft 1439. A link 3049 is also attached to the elbow lever 3048 and is connected to an arm 3050 pivoting around the shaft 1961. The arm 3050 has a sector 3051 which can swing and come into the path of the rim 1977 of the pawl 1976.
Sector 3051 is placed in the path of rim 1977 during machine operation, as cams 1450 rotate arm 1448 and finger 3046, allowing spring 3044 to insert probe 3041 into aligned notches, designated by the numbers 1, 3 and 5 in fig. 42. When the probe 3041 is engaged in a notch, the arm 3043, tilting in the dextrorsum direction, lowers the finger 3046 and, by means of the elbow lever 3048, moves the link 3049 to the right, which causes the rod to tilt. arm 3050 and sector 3051 in the dextrorsal direction.
The contour of the sector 3051 faces the contour 3053 of the arm 1981 when the sector 3051 rotates in the dextrorsum direction. When in such a position, sector 3051 is set high enough to prevent pawl 1976 from contacting notch 1980, during machine operation. Therefore, when the pawl 1976 is tilted upward (Fig. 42), the flange 1977 cannot engage with the shoulder 1980; the arm 1982 therefore does not move to rotate the finger 3001 (fig. 103) and the arm 3003, the link 3007, the arm 3008 and the arm 3012 are not moved to their locking position.
A control disc 3040 (fig. 42), and the links connecting it to sector 3051, are intended to prevent the engagement of the pawl 1976 with the notch 1980 of the arm 1982 in the printing device of the booklet . The card printing device is provided with a similar mechanism.
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During the initial movement of the arm 1975, a pin 3052 (fig. 86 and 90) of the arm 1975 comes into contact with a finger 3037 of an arm fixed to the hub 3002 of the shaft 1961, and therefore during the start of the shaft. 'One machine operation, the pin 3052, in contact with the finger 3037, returns the shaft 1961 and the arm 3012 to their normal position, ready to be readjusted by the controls during the next operation of the machine. machine.