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Caisse enregistreuse
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La présente invention a pour objet une caisse enregistreuse. comportant plusieurs totalisateurs, notamment des totalisateurs gé- néraux et des totalisateurs individuels, composés chacun de plusieurs disques rotatifs, ainsi que les mécanismes auxiliaires usuels, tels, qu'un dispositif indicateur et un mécanisme d'imprimerie.
Le but de l'invention est, d'une part, de simplifier la - construction d'une telle caisse par la disposition des totalisateurs et autres organes sur des arbres longitudinaux de façon que leur nombre puisse être augmenté par l'adjonction d'organes semblables sur leurs arbres respectifs; d'autre part, de rendre son fonctionne- ment très expéditif, indépendamment du nombre de totalisateurs, par la commande simultanée de tous les disques totalisateurs destinés à - intervenir dans une opération en cours, ainsi que des mécanismes auxiliaires participant à celle-ci.
En même temps, l'invention vise à améliorer le fonctionnement de la caisse enregistreuse par l'utili- sation des mêmes organes opérateurs, tant pour les opérations d'ente- gistrement que pour les opérations de mise à zéro des totalisateurs, ces mêmes organes convenant en outre à l'actionneraent de l'indica-
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tcur et du mécanisme d'imprimerie.
Suivant l'invention, l'organe moteur de la caisse enre- gistreuse actionne simultanément un arbre de commande de tous les totalisateurs et des mécanismes opérateurs qui coordonnent les mouve- ments des disques totalisateurs et des organes des mécanismes auxi- liaires.
L'arbre de comriande des totalisateurs effectue au cours de chaque opération un mouvement d'amplitude invariable, tandis que les mécanismes opérateurs, dont chacun correspond à un ordre numé- rique différent, interviennent sous la commande du clavier ou au- tre dispositif' de pose des nombres, pour arrêter les disques tota- lisateurs de chaque ordre numérique dans les positions respectives correspondant à l'enregistrement à effectuer. Le mouvement de l'ar- bre de commande est avantageusement une rotation d'un tour complet, suivie d'une rotation d'un tour en sens inverse.
Pour agir sur les disques totalisateurs, qui sont enfilés de manière connue sur l'ar- bre de commande, les mécanismes opérateurs peuvent être agencés de manière à coopérer avec cet arbre soit pendant son mouvement d'al- ler, soit pendant son mouvement de retour.
En vue de la sélection et de l'actionnement des totalisa- teurs, il est interposé entre l'arbre de commande et les disques totalisateurs des dispositifs d'accouplement qui, pendant les opé- rations d'enregistrement, sont commandés par les mécanismes opéra- teurs, tandis que pendant les opérations de mise à zéro, ils sont commandés par les disques totalisateurs eux-mêmes. Ces dispositifs d'accouplement comportent des entraîneurs en nombre égal à celui des disques et susceptibles d'être mis en prise avec ceux-ci, et tous les entraîneurs d'un même ordre numérique sont montés sur un support commun porté par l'arbre de conunande. En agissant sur ce support à l'aide du mécanisme opérateur d'un ordre donné, il est ainsi possible d'actionner simultanément tous les disques de même ordre participant à une même opération.
A chaque mécanisme opérateur sont, d'autre part, adjoints des organes qui interviennent pour déterminer le fonctionnement des mécanismes auxiliaires, notamment de l'indicateur et de l'im-
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primerie.
Une forme de réalisation de la caisse enregistreuse sui- vant l'invention et une variante de quelques uns de ses mécanismes sont décrites ci-après, à titre d'exemple, avec référence aux des- sins annexés sur lesquels:
Fig. 1 est une vue extérieure de la caisse enregistreuse, à échelle réduite.
Fig. 2 est une vue schématique du clavier de touches et des principaux leviers de commande de la caisse enregistreuse.
Fig. 3 est une coupe longitudinale partielle, montrant la disposition relative des différents totalisateurs.
Fig. 3a est, à plus grande échelle, un fragment de la Fig. 3, montrant la disposition des disques totalisateurs et des roues de lecture d'un des totalisateurs.
Fig. 4 est une coupe transversale suivant la ligne 4-4 de la Fig. 3 ou 3a.
Fig. 5 est une coupe,transversale,à plus grande échelle, suivant la ligne 5-5 de la Fig. 3.
Figs. 6 et 7 sont des vues en élévation et en plan res- pectivement, du mécanisme de sélection des totalisateurs.
Fig. 8 est une coupe transversale suivant la ligne 8-8 de la Fig. 6.
Fig. 9 représente un détail du mécanisme de sélection.
Figs. 10, 11, 12 sont des coupes transversales fragmen- taires suivant les lignes 10-10, 11-11 et 12-12 respectivement, de la Fig. 7.
Fig. 13 est une vue latérale du mécanisme actionnant.l'ar- bre de commande, dans un plan se situant à l'endroit de la ligne 13-13 sur la Fig. 3, et
Fig. 14 est une vue de profil correspondante.
Fig. 15 est une vue latérale du mécanisme actionnant l'ar- bre central de la caisse enregistreuse, et
Fig. 16 est une vue de profil correspondante, ce mécanisme
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se situant, dans la caisse enregistreuse, à l'endroit désigné par la ligne 15-15 sur la Fig. 3.
Fig. 17 est une coupe transversale à travers le mécanis- me de pose des nombres, cette coupe se situant à l'endroit de la caisse enregistreuse désigné par la ligne 17-17 sur la Fig. 1.
Fig. 17a représente un détail de la Fig. 17.
Fig. 18 montre, en coupe suivant la ligne brisée 18-18 de la Fig. 17, le montage d'une touche.
Fig. 19 représente, schématiquement, un détail de la Fig. 17 vu suivant la ligne brisée 19-19...
Fig. 20 est une coupe transversale analogue à la Fig. 4, complétée par le mécanisme de report.
Fig. 21 montre, comme la Fig. 20, la coopération d'un disque totalisateur avec son mécanisme de report, les pièces étant représentées dans une position différente.
Fig. 22 est une vue de détail montrant la commande du moulinet de report des dizaines.
Fig. 23 est une coupe transversale de la caisse, à l'en- droit de la ligne 23-23 de la Fig. 1, montrant le montage du levier de sélection, et
Fig. 24 est une vue de profil correspondante, suivant la ligne brisée 24-24 de la Fig. 23.
Fig. 25 est une coupe transversale de la caisse, à l'en- droit de la ligne 25-25 de la Fig. 1, montrant le mécanisme de com- mande des compteurs d'opérations.
Fig. 26 est une vue d'en dessous d'une des serrures de sélection.
Fig. 27 est une coupe transversale de la caisse, à l'en- droit de la ligne 27-27 de la Fig. 1, montrant le levier de con- trôle et
Fig. 28 est une vue en plan de ce levier, et
Fig. 29 montre le même levier en coupe suivant la ligne brisée 29-29 de la Fig. 27.
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Fig. 30 est une vue en élévation d'un mécanisme de sûreté se situant, à l'intérieur de la caisse enregistreuse, en-dessous du clavier de touches, et
Figs. 31 et 32 sont des coupes transversales partielles suivant les lignes 31-31 et 32-32, respectivement, de la Fig. 30.
Fig. 33 est une coupe transversale de la caisse, à l'en- droit de la ligne 33-33 de la Fig. 1 montrant le mécanisme pour la mise en marche ou le bloquage de la caisse enregistreuse.
Fig. 33a montre un détail de la Fig. 33.
Fig. 34 montre un cliquet de commande particulier.
Fig. 35 montre le mécanisme de libération des touches et la serrure générale de la caisse, vus de droite sur la Fig. 1, la paroi de droite de la caisse étant enlevée.
Fig. 36 est une coupe transversale de la caisse, à l'en- droit de la ligne S6-36 de la Fig. 1, montrant les organes moteurs actionnant les différents mécanismes de la caisse.
Fig. 37 est une coupe partielle suivant la ligne 37-37 de la Fig. 36.
Fig. 38 est une vue partielle, suivant la ligne 38-38 de la Fig. 36, de l'arbre moteur avec le cliquet de commande.
Figs. 39 et 40 sont des coupes partielles suivant les lignes 39-39 et 40-40 respectivement, de la Fig. 37 montrant les contacts électriques de commande du moteur.
Fig. 41 est une vue analogue à la Fig. 13, montrant une construction modifiée du mécanisme actionnant l'arbre de commande.
Fig. 42 est une coupe suivant la ligne 42-42 de la Fig. 41, et
Fig. 43 est une coupe suivant la ligne 43-43 de la Fig. 41.
Fig. 44 montre, en vue de profil, une partie du mécanisme de sélection, destiné à déterminer le moment où la sélection des totalisateurs devient effective.
Fig. 45 est une vue de face, suivant la ligne 45-45 de la Fig. 44.
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Figs. 46 et 47 sont deux vues de détail de la Fig. 44, montrant un des leviers dans deux positions différentes.
Fig. 48 est une coupe transversale analogue à la Fig. 17, montrant une construction modifiée des mécanismes opérateurs, et
Figs. 49 et 50 sont des coupes respectivement suivant les lignes 49-49 et 50-50 de la Fig. 48-
Fig. 51 est une vue en élévation, de devant, de l'indica- teur de la caisse enregistreuse.
Fig. 52 est une coupe transversale suivant la ligne 52-52 de la Fig. 51.-
Fig. 53 est une vue en plan partielle de l'indicateur que représente la Fig. 51.
Fig. 54 est une coupe transversale suivant la ligne 54-54 de la Fig. 53.
Fig. 55 est une vue latérale d'un mécanisme particulier faisant partie du dispositif de commande de l'indicateur.
Fig. 56 est une coupe longitudinale par les arbres de commande du mécanisme d'imprimerie.
Fig. 57 est une coupe transversale par le mécanisme d'im- primerie qui se situe à l'extrémité de gauche de la caisse enregis- treuse.
Fig. 58 est une coupe longitudinale suivant la ligne 58-58 de la Fig. 57.
Fig. 59 est une coupe longitudinale suivant la ligne 59-59 de la Fig. 57, montrant le mécanisme dateur.
Fig. 60 est une coupe transversale par le mécanisme d'im- primerie, montrant la disposition et la commande des rouleaux de papier d'impression.
Fig. 61 est une vue en plan des marteaux d'impression.
Fig. 62 est une vue extérieure du mécanisme d'imprimerie, du côté gauche de la caisse enregistreuse dont la paroi de gauche est enlevée.
Fig. 63 est une vue extérieure de face du mécanisme d'im- primerie.
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Fig. 64 montre le mécanisme d'imprimerie en vue latérale suivant la ligne 64-64 de la Fig. 56.
Fig. 65 est une coupe suivant la ligne brisée 65-65 de la Fig. 64.
Fig. 66 est une coupe suivant la ligne brisée 66-66 de la Fig. 64.
Fig. 67 est un détail, en coupe suivant la ligne 67-67 de la Fig. 66.
Fig. 68 est une coupe partielle suivant la ligne 68-68 de la Fig. 64.
Fig. 69 est une coupe.partielle suivant la ligne 69-69 de la Fig. 64.
Fig. 70 est une coupe partielle suivant la ligne 70-70 de la Fig. 66.
Vue extérieure.- La caisse enregistreuse représentée sur le dessin (Fig. 1) a la forme d'une caisse allongée reposant sur une taque 101 sur laquelle se dressent, à l'intérieur, des cloisons trans- versales 102,103 et 104 qui servent de supports aux organes inté- rieurs de la caisse, protégés par une tôle de couverture 105.
A sa face antérieure, près de l'extrémité de droite, la caisse présente un clavier de touches 215 pour la pose du montant à enregistrer.Le clavier de touches est flanqué,à sa gauche, d'un levier de sélection 290,surmonté d'une poignée 290' et servant à sélectionner celui des totalisateurs individuels qui doit partici- per à l'opération en cours.Les totalisateurs individuels sont,dans l'exemple représenté, au nombre de quatre,désignés par A, B, D et E (Fig.3). De plus, la caisse comporte un totalisateur de ticket K, un totalisateur de jour J et un totalisateur général G ; lesmontants totalisés par chacun des totalisateurs sont directement lisibles dans des fenêtres 106 alignées à gauche du davier de tou- ches et normalement recouvertes d'un volet fermant à clef, omis sur la Fig. 1.
A droite du clavier de touches se trouve un levier de con- trôle 310 surmonté d'une poignée 310' et destiné à être placé dans
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une de ses positions qui correspondent à la nature de l'opération à effectuer:enregistrement simple, mise à zéro d'un totalisateur etc.
A l'extrémité droite de la paroi antérieure se trouve une gran- de touche 440 dite touche de déclenchement, sur laquelle on appuie pour mettre en marche le moteur électrique logé à l'intérieur de la caisse, afin de rendre effective l'opération préparée à 1-'aide des touches et des leviers 290 et 310. Fn-dessous de la touche de déclenchement 440 se trouve une touche de repétition 460 qui permet de répéter plusieurs opérations d'enregistrement portant sur le même montant,sans qu'on ait à poser,chaque fois, ce montant à l'aide des touches 215.
Un bouton 475 dans la paroi latérale de droite sert à mettre hors d'action la touche de répétition quand la série d'opé- rations portant sur un montant invariable est terminée.Une manivelle 516 permet d'actionner la caisse enregistreuse à la. main, si le cou- rant électrique fait défaut.
Le montant de chaque opération est rendu visible, en grands caractères, par un indicateur à plaques 601 surmontant la caisse.
Le même montant est imprime sur un ticket délivré en 856 à travers la paroi de gauche de la caisse. La date que porte chaque ticket est composée par un composteur 716 accessible de l'extérieur,également à la paroi de gauche. A l'intérieur de la caisse, le montant de chaque opération est imprimé aussi sur une bande de contrôle, et les montants des quelques dernières opérations sont visibles dans une fenêtre 107 devant laquelle passe la bande de contrôle. La clef 790 dans la paroi de gauche sert au remplacement de la bobine de laquel- le cette bande se déroule.
Au milieu de la machine, à gauche du levier de sélection 290, des fenêtres 108 mettent en évidence les indications de comp- teurs qui comptent le nombre des opérations du totalisateur du jour et des totalisateurs individuels, ainsi que le nombre des opérations sans enregistrement, dites de "change".
Enfin, une serrure 486 située à droite du levier de com- mande 310 permet d'empêcher toute utilisation non autorisée de la
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caisse, en bloquant tous les organes de commande de celle-ci.
On décrira maintenant le montage des différents organes de la caisse enregistreuse.
Totalisateurs.- Ceux-ci sont tous montés dans la partie supé- rieure de la machine, entre les cloisons transversales 103 et 104 (Fig. 3); ils sont tous de construction identique sauf en ce qui concerne le nombre de disques, de sorte qu'on n'en décrira qu'un seul, par exemple le totalisateur individuel D.
Chaque totalisateur se compose d'un certain nombre de dis- ques annulaires 110 compris entre deux flasques 111, 111' et corres- pondant chacun à un ordre numérique, chaque disque porte à la péri- phérie extérieure dix dents. Dans le totalisateur D les disques 110 sont au nombre de six, ce qui permet de totaliser des montants jus- qu'au total de 9999,99. Les disques sont juxtaposés et enfilés sur un arbre de commande 100 commun à tous les totalisateurs. Les dis- ques 100 entourent l'arbre 100 avec jeu et ils sont supportés exté- rieurement chacun par trois galets Ils, 113' et 114 qui s'engagent dans une rainure périphérique du disque 110, et sont eux-mêmes mon- tés respectivement sur des arbres 115, 115' et 116, parallèles à l'arbre 100 et portés par les flasques 111 et 111' du totalisateur.
Ces flasques sont enfilés, à leur partie inférieure, sur un guide 117 fixé entre les cloisons 103 et 104, parallèlement à l'arbre 100.
A leur sommet, les flasques 111 et 111' se terminent en fourches qui reçoivent dans leur creux un arbre fixe 118 supporté par l'in- termédiaire de manchons 119. Ceux-ci servent à maintenir en place, sur l'arbre 118 des paquets de roues dentées 120 semblables, quant au diamètre et au nombre de dents, aux disques 110. Chaque roue den- tée 120 engrène avec un disque-totalisateur 110, le nombre des roues 120 dans chaque paquet étant égal au nombre de disques 110 du totali- sateur correspondant. Les surfaces périphériques de chacune des dix dents de chaque roue 120 porte les chiffre de 1 à 0, visibles à tra- vers la fenêtre 106 de l'enveloppe 105 de la machine et servant à la lecture du montant totalisé par le totalisateur en question.
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Les disques totalisateurs 110 sont actionnés de la façon suivante:
A sa périphérie intérieure, (Fig. 4) chaque disque pré- sente un mentonnetllO' dans lequel sont découpées un certain nom- bre d'encoches 121, par exemple dix dans le cas représenté, avec lesquelles peuvent coopérer des entraîneurs 122 portés par l'arbre 100. Il y a un entraîneur 122 pour chacun des disques totalisateurs destinés à être actionnés directement; seuls les disques des or- dres numériques supérieurs des totalisateurs généraux G et J sont actionnés seulement par report et n'ont pas d'entraîneur en face d'eux. Tous les entraîneurs 122 correspondant aux disques 110 de même ordre numérique dans les divers totalisateurs sont calés sur une barre 123 logée dans une rainure longitudinale 124 de l'arbre 100 (Fig. 4).
Il y a donc, dans l'arbre 100 au moins autant de rainures 124 avec des barres 123 portant des entraîneurs 122 que de disques 110 actionnés directement dans un quelconque des tota- lisateurs. Les barres 123 sont réparties autour de l'arbre 100 avec le même espacement angulaire que les encoches 121 à l'intérieur des disques 110. Chaque barre 123 constitue, avec tous les entraineurs qu'elle porte, un dispositif d'accouplement pour la commande des disques totalisateurs : pour l'enregistrement d'un montant sur un ou plusieurs totalisateurs, il y a lieu d'amener les entraîneurs 122 en prise avec les encoches 121 des disques 110 qui doivent parti- ciper à l'opération, et de faire tourner chaque disque, dans le sens voulud'autant de dizièmes de tour qu'il doit enregistrer d'unités.
Ainsi que le montre la Fig. 3a, la largeur de chaque en- traîneur 122 est inférieure à l'épaisseur d'un disque totalisateur 110. D'autre part, le mentonnet 110' dans lequel sont ménagées les encoches 121, n'occupe également qu'une partie de l'épaisseur de chaque disque, tandis qu'à côté de cette partie, le diamètre inté- rieur du disque est suffisamment grand pour former un creux annu- laire dans lequel l'entraîneur peut tourner librement. Quand la
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machine est au repos, aucun des entraîneurs 122 n'est en prise avec le disque correspondant 110, tous les entraîneurs 122 étant dans les creux annulaires des disques.
Chaque totalisateur destiné à participer à une opération d'enregistrement doit donc être dé- placé, a.vec ses flasques 111 et 111', le long du guide 117, de gau- che à droite sur la Fig. 3, d'une distance telle que les encoches
121 viennent en prise avec les entraîneurs 122.
Sélection des totalisateurs individuels.- La sélection d'un totali- sateur individuel est préparée, au. début de l'opération d'enregis- trement, à l'aide du levier 290 (Fig. 23) dont la poignée 290' se trouve à l'extérieur de la machine, à gauche du clavier de touches (Figs. 1 et 2). Ce-levier qui tourne autour d'un arbre central 300 de la machine (Figs. 23, 24) peut occuper plusieurs positions, suivant le totalisateur à sélectionner, et ces positions sont repé- rées par une flèche solidaire de la poignée 290' en regard d'indica- tions correspondantes inscrites sur l'enveloppe 105 de la machine.
Le levier 290 entraîne dans ses déplacements angulaires, un secteur denté 282 qui engrène avec un pignon 149 calé à l'extrémité de droite d'un arbre de sélection 125 (Figs. 6,8 et23). Cet arbre tourne li- brement dans les cloisons 103 et 104 et porte, pour chacun des to- talisateurs, une fourche 181 destinée à saisir entre ses griffes une dent 127 du flasque 111' de chaque totalisateur (Figs. 4 et 10).
Les griffes des différentes fourches 181 sont angulairement déca- lées, d'une fourche à l'autre, d'un angle correspondant à celui que décrit le levier 290 en passant d'une position à la suivante. On comprend donc que, suivant la position du levier 290,l'une ou l'au- tre fourche 181 est amenée à saisir la dent 127 du flasque du tota- lisateur correspondant et qu'il suffit ensuite de déplacer l'arbre
125 de gauche à droite d'une distance appropriée, pour que les dis- ques 110 du totalisateur sélectionné soient amenés en prise avec les entraîneurs 122 ce qui permettra à ceux-ci d'actionner les disques totalisateurs.
Le mouvement axial de l'arbre 125 est dérivé de l'arbre moteur 500 (Figs. 36 et 37) qui est mis en rotation, de la manière
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décrite plus loin, au début de chaque opération de la machine. L'ar- bre 500 porte une roue dentée 511 qui engrène avec une roue dentée 512 calée sur un arbre 150. Celui-ci porte également une came à gor- ge 151 (Figs. 37 et 8). Un galet 152 situé à l'extrémité d'un bras 153, est engage dans la gorge de la came qui a un profil tel que pendant une révolution de la came, le bras 153 reçoit d'sbord un mouvenent dans le sens des aiguilles d'une montre puis, après un arrêt, revient à sa position primitive. Le bras 153 est fixe sur un axe 154 qui oscille dans un support 155 monte sur le guide 117 (fig.3 et 8).
A son autre extrémité, l'axe 154 porte un levier 156 plié en U (Figs. 6,8 et 9), élastiquement relié, par un res- sort de compression 157 à un levier coudé 158. Ce dernier est tra- versé par une broche 159 qui traverse également deux montants 160, 160' pivotant sur l'axe 154. La broche 159 peut, de plus, s'engager dans les encoches 161 de deux plaques 162 verticalement guidées, respectivement par des boutonnières 163 et 164, sur l'axe 154 et sur deux vis pivots 165 engagées dans une bague 166 entourant l'ar- bre 125. La bague 166 peut tourner sur l'arbre 125, mais son mouve- ment axial est empêché par deux ba.gues fixes 167 qui la flanquent de part et d'autre.
Quand la sélection d'un des totalisateurs étant préparée par la manoeuvre du levier de sélection, l'arbre 150 dé- crit une révolution, le bras 153 fait osciller l'axe 154 avec les leviers 156 et 158, et la broche 159. Celle-ci, engagce d;ins les encoches 161, entraîne, vers la droite sur la Fig. 6, les plaques 162 et, par les vis 165, la bague 166. L'arbre 125 doit suivre ce mouvement et celle de ses fourches 181 qui a été amenée en prise avec la. dent 127 d'un totalisateur, entraîne celui-ci, vers la droite sur la Fig. 3, de la quantité voulue pour mettre les en- coches 121 de ses disques 110 en prise avec les entraîneurs 122.
La course du totalisateur sélectionne est limitée par la rencontre de son flasque 111 avec une butée reglable 128 (Fig. 3) vissée dans un support 129 fixe sur le guide 117. A la fin de l'opération, le totalisateur est ramené à sa position de repos par la came 151
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et le bras 153 aidés par un ressort de rappel 130 tendu entre le support 129 et le flasque 111'; ce même ressort empêche aussi tout déplacement intempestif d'un totalisateur non sélectionné.
Certaines opérations de la machine, telles que par exem- ple la remise à zéro du totalisateur de jour J ne nécessitent pas le déplacement axial des totalisateurs individuels. Il faut donc, en vue de ces opérations, rendre inopérant le mécanisme qui vient d'être décrit. On se sert à cet effet du levier de contrôle 310 (Fig. 27) dont le bouton 310' se trouve à l'extérieur de la machine.
Avant d'effectuer une opération, on amène le levier 310 dans la po- sition correspondante dont la désignation est indiquée à côté du bouton 310' (Fig. 2). Dans ses déplacements, le levier 310 entraîne par une bielle 307 articulée au levier en 403 et par un levier in- termédiaire 308, un axe 306 (Figs. 27 et 10) sur lequel est calé un levier 171 articulé à une fourche 172 guidée sur un arbre 168 parallèle à l'arbre 125. Une des branches de la fourche 172 porte une crémaillère 169 qui engrène avec un pignon 170 calé sur l'arbre 168. De ce pignon est solidaire une came 173 (Figs. 7 et 8) dans la rainure de laquelle coulisse un tenon 174 porté par une bielle 175 qu'une boutonnière 176 guide verticalement sur l'arbre 168.
A son extrémité inférieure, la bielle 175 est prolongée par une partie horizontale qui porte deux bras 177 (Figs. 6 et 8) percés de bou- tonnières traversées par une broche 178 qui traverse également les plaques 162. Quand le levier de contrôle 310 est amené dans une po- sition qui correspond à une opération nécessitant la sélection d'un des totalisateurs individuels, tous les organes décrits occupent les positions représentées sur les Figs. 6 et 8 et la sélection s'ef- fectue comme décrit.
Mais quand on amène le levier 310 dans une des positions "mise à zéro du totalisateur de jour" ou total du ticket qui ne nécessitent pas de sélection de totalisateurs individuels, ce levier, par les liaisons décrites: bielle 307, levier 308, axe 306, levier 171, fourche 172, engrenages 169-170 et arbre 168--fait tour- ner la came 173 qui, par le tenon 174, la bielle 175, les bras 177
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et la broche 178, fait descendre les plaques 162 d'une distance telle que leurs encoches 161 dégagent la broche 159, et que d'au- tres encoches 179 de ces plaques s'accrochent à une broche fixe 180 montée sur le support 155.
Dans cette position, la rotation de la came 151, qui entraîne un pivotement de la broche 159 reste sans effet sur l'arbre de sélection 125, et aucun des totalisateurs in- dividuels n'est déplacé latéralement.
Sélection des totalisateurs généraux.- Les liaisons qui, pour cer- taines positions du levier de contrôle 310 rendent inopérant le mécanisme de sélection des totalisateurs individuels,servent aussi à effectuer, suivant les besoins, la sélection des totalisateurs G, J et K. Les flasques 111' de ceux-ci, tout comme les flasques des totalisateurs individuels, présentent chacun une dent 127 sus- ceptible d'être saisie par des fourches analogues aux fourches 181 agissant sur les totalisateurs individuels. Toutefois, les fourches pour les totalisateurs généraux sont'plus larges en sens angulaire et sont subdivisées en deux parties 182, 182' (Fig. 12) pour pou- voir intervenir en plusieurs positions angulaires.
Ces fourches sont portées par un manchon 183 (Figs. 6,7, 11,12) qui entoure l'ar- bre 125 et porte une roue dentée 184 en prise avec une roue dentée 185 calée sur l'arbre 168. Une fourche 186,engagée dans une gorge du moyeu de la. roue dentée 184 relie le manchon 183, par une bielle 187 solidaire de la fourche 186, au montant 160 qui, comme déjà dé- crit, pivote de gauche à droite au début de la rotation de la machine puis, après un arrêt, revient à sa position de repos. Le manchon 183 reçoit donc un mouvement axial qui, par les fourches 182, 182' se transmet aux totalisateurs généraux sélectionnés, tout comme cela a été décrit pour les totalisateurs individuels.
La transmission du mouvement angulaire du levier 310 au manchon 183 est telle qu' aux cinq positions du levier correspondent autant de positions an- gulaires du manchon avec les fourches 182, 182'; la largeur et la disposition angulaire de celles-ci sur le manchon 183 sont déter- minées en vue d'actionner le ou les totalisateurs qui doivent par-
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ticiper à l'opération envisagée :
Quand (Fig. 2) le levier 310 est dans la première position d'en bas, (mise à zéro d'un totalisateur individuel), aucun des totalisateurs généraux n'est sélectionné, aucune des fourches 182, 182' n'étant en prise avec les dents 127 de leurs flasques 111'; en 2e. position (enregistrement simple), le totalisateur de jour J et le totalisateur général G sont sélection- nés pour participer à l'opération, en plus du totalisateur indivi- duel sélectionné, comme décrit, à l'aide du levier 290; en 3e. posi- tion (enregistrement à plusieurs postes), les trois totalisateurs G, J et K sont sélectionnés; en 4e. position (total du ticket), le totalisateur de ticket K seul est actif; enfin, en 5e. position, le totalisateur de jour J est seul sélectionné, pour être remis à zéro.
Commande des totalisateurs.- Quand un totalisateur quelconque est sélectionné, c'est-à-dire quand les encoches 121 de ses disques 110 sont amenés en prise avec les entraîneurs 122, on se sert de ceux-ci pour faire tourner chacun des disques d'autant de dixièmes de tour que ce disque doit enregistrer d'unités. La rotation des disques se fait, pour une addition, dans le sens indiqué par la flèche sur la Fig. 20, et en sens inverse pour une soustraction, c'est-à-dire pour la mise à zéro du totalisateur.
Comme déjà dit, il y a, dans chaque totalisateur, un entraîneur 122 pour chaque disque 110; les entraîneurs qui àppartiennent, dans les divers totalisateurs au même ordre numérique, sont groupés sur une même .barre 123, et toutes les barres 123 participent à la rotation de l'arbre 100 qui effectue un tour complet à chaque opération de la machine. Les barres 123, avec les entraîneurs qu'elles portent, constituent des accouplements en- tre l'arbre 100 et les disques 110. Le mouvement de l'arbre 100 est dérivé, comme tous les autres, de l'arbre moteur 500 qui, lui aussi, fait un tour complet par opération.
L'arbre 500 porte une roue dentée 511 (Fig. 37) qui, par un engrenage intermédiaire 537 calé sur le bout d'arbre 539 transmet le mouvement à une roue dentée 538 calée sur un arbre 200, situé en bas et à l'arrière de la machine, entre - les cloisons 103 et 102 (Figs. 13 et 14). Une paire de cames 187,188
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fixées près de l'extrémité de droite de l'arbre 200 commandent po- sitivement un levier double 189 qui porte deux galets 190 et 191 co- opérant respectivement avec les cames 187 et 188. Le levier 189 peut pivoter sur un axe 192 et est articulé au sommet, en 193, à une bielle 194 en forme de fourche. Le pivot 193 est guidé dans la fen- te rectiligne 195 d'un support fixe 196.
Les deux bras de la fourche 194 forment des becs tournés vers l'extérieur et garnis, latérale- ment, chacun d'un petit godet 197, 197' respectivement. Par ses deux becs, la fourche 194 peut s'accrocher à l'un ou l'autre de deux ergots 198 et 199 fixés sur le flanc d'un secteur denté 201 qui peut tourner sur l'arbre central 300.
Le secteur denté 201 engrène avec un pignon 202 calé sur l'arbre de commande 100, près de son extrémité de droite (Fig. 3).
Au repos, le pignon 202 se trouve sensiblement au milieu du sec- teur denté 201 qui peut donc faire tourner le pignon dans l'un ou l'autre sens. Les profils des cames 187 et 188 sont tels que, pen- dant la rotation de l'arbre 200, le levier 194 accroché à l'ergot 198 fait tourner l'arbre 100 d'abord d'un tour dans le sens des aiguilles d'une montre puis, après un moment de repos, d'un tour en sens inverse. Si, par contre, le levier 194 attaque le secteur denté 201 par l'ergot inférieur 199, l'arbre 100 effectue les mê- mes mouvements en ordre inverse.
Pour empêcher le décrochage intempestif de la fourche 194 pendant la marche, un segment 203 est monté à pivot sur l'ar- bre 300. Le rayon de la partie circulaire du segment 203 est tel que cette partie vienne soutenir l'un ou l'autre godet 197 ou 197' de la fourche 194 quand celle-ci est accrochée à l'un ou l'autre des ergots 198, 199. De plus, la fourche 194 est soutenue par l'un ou l'autre de deux tenons 204, 204', fixés sur le segment 203; sui- vant que la fourche est accrochée à l'ergot 198 ou à l'ergot 199, les tenons 204' ou 204 viennent appuyer respectivement d'en-dessous ou d'au-dessus, sur une petite plaque 205 fixée à la fourche 194.
Pour renverser le sens initial de rotation de l'arbre 100, il suf-
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fit donc de faire pivoter le segment 203 vers le bas (Fi.g. 13) jus- qu'à ce que le tenon 204 butte contre la plaque 205 et la pousse vers le bas, avec la fourche 194 qui se décroche alors de l'ergot 198 et se raccroche à l'ergot 199. Dans ce mouvement, la fourche est guidée par les lèvres allongées 206 et 206' des becs de la four- che, qui servent, en outre, à limiter la course du secteur denté 201.
Le segment 203 est commandé, en vue du changement du sens initial de rotation de l'arbre 100, par le levier de contrôle 310, déjà mentionné. Ce levier (Fig. 27) présente une fente profilée 357 dans laquelle peut coulisser un galet 358 porté par un des bras d'un levier coudé 359 (Figs. 13 et 27), pivotant sur un bout d'axe fixe 458. L'autre bras du levier 359 se termine en fourche pour saisir un bouton 207 fixé sur le segment 203.
Le profil de la rainure 357 est tel que lorsque le levier 310 se trouve dans la deuxième ou troisième position d'en bas, sur la Fig. 2, (positions "ticket simple'11 ou "ticket avec addition") le galet 358 est engagé dans la partie basse de la rainure 357 (Fig. 27) et la fourche 194 est accrochée à l'ergot 198 du secteur denté 201 (Fig. 13), de sorte que la ro- tation de l'arbre 100 débute dans le sens des aiguilles d'une mon- tre, ce qui correspond à une opération d'addition.
Si le levier 310 est amené dans une de ses trois autres positions, le galet 358 cou- lissant dans la rainure 357 fait pivoter le levier 359, le segment 203 et la fourche 194, de façon à amener celle-ci en prise avec l'ergot 199 du secteur denté 201 et à renverser le sens initial de rotation de l'arbre 100, ainsi que l'exigent les opérations prépa- rées par le déplacement du levier de contrôle.
Quand une opération de la caisse enregistreuse, par exem- ple une addition simple sur un totalisateur individuel, a été prépa- rée par les manoeuvres décrites des leviers 290 et 310, il s'agit de faire tourner chaque disque du totalisateur sélectionné d'autant de dizièmes de tour que le disque doit enregistrer d'unités. Comme déjà dit, l'arbre 100 qui porte les barres d'accouplement 123 sur
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lesquelles sont enfilés les entraîneurs 122 effectue, au cours de l'opération, un tour complet dans le sens voulu puis, après un court arrêt, retourne à sa position de départ. Les entraîneurs se trouvent normalement en position active avec leurs pointes dirigées radiale- ment par rapport à l'arbre 100 et engagées dans des encoches 121 des disques du ou des totalisateurs sélectionnés.
Un dispositif de freinage 131 (Fig. 5) en forme d'étoile destiné à empêcher le pivotement intempestif des entraîneurs 122, est calé sur l'arbre 100, près de l'extrémité de droite de celui-ci (Fig. 3). Le moyeu de l'étoile reçoit les extrémités de toutes les barres 123 qui portent les entraîneurs 122. A côté de l'étoile 131 est calée, sur chaque barre, un petit levier 1324 dont l'extrémité libre porte un galet 133 pris entre les deux mâchoires d'une pince 134, 134', Chacune de ces pinces a son pivot !35 fixé près du pour- tour de l'étoile 131 et ses deux bras sont reliés entre eux par un ressort 136. Il y a donc une pince 134, 134' par entraîneur 122 de chaque totalisateur, et pour la commodité, deux pinces voisines sont montées alternativement à droite et à gauche de l'étoile 131.
Pour plus de clarté, les Figs. 3 et 5 ne montrent que deux pinces.
Quand, au début de l'opération de la caisse, l'arbre 100 est mis en rotation, l'étoile 131 et toutes les pièces qu'elle por- te participent à ce mouvement. Au même mouvement participent aussi des roues dentées 137 calées sur l'arbre 100 (Fig. 3) entre les totalisateurs et l'étoile 131 ainsi que des entraîneurs 138 sembla- bles aux entraîneurs 122, mais un peu plus larges, calés sur les barres 123;,il y a un entraîneur 138 en face de chaque roue dentée 137 et sa pointe est engagée dans une rainure intérieure 139 dela roue 137. Le nombre des roues dentées 137 est égal à celui des or- dres numériques dans le chiffre le plus élevé sur lequel peut por- ter une opération de la caisse, soit sept dans l'exemple représenté.
Chaque roue dentée 137 est en prise avec un secteur denté 240)Fig.
17) qui tourne sur l'arbre central 300, et dont l'amplitude de ro- tation est réglée par l'enfoncement d'une des touches de l'ordre
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nmiérique correspondant. Ainsi, quand on doit enregistrer un mon- tant comportant, par exemple, 1 dizaine et 5 unités, la touche "1" des dizaines arrête, comme décrit plus loin, le segment correspon- dant 240 après une rotation déterminée, alors que le segment analo- gue 240 coopérant avec les touches des unités est arrêté, après une rotation cinq fois plus grande, par la touche "5" des unités. Avec le segment 240 des dizaines, la roue dentée correspondante 137 est également arrêtée, après une rotation d'un dixième de tour.
A partir de ce moment, son entraîneur 138 calé sur une barre 123 ne peut donc poursuivre sa rotation avec la barre 123 et l'arbre 100, tout en restant en position active, avec sa pointe dirigée radialement par rapport à l'arbre 100. A mesure que l'arbre 100 avance dans sa ro- tation, l'entraîneur 138 pivote donc avec la barre 123 pour se dé- gager de la rainure 137, jusqu'à atteindre une position couchée sem- blable à celle dans laquelle la Fig. 21 représente un entraîneur 122.
Pendant ce pivotement de la barre 123, tous les entraîneurs 122 calés sur la même barre, c'est-à-dire appartenant à l'ordre numéri- que des dizaines dans les divers totalisateurs, sont également in- clinés, de sorte que ceux, qui étaient engagés dans des encoches 121 des disques 110 s'en dégagent après avoir entraîné les disques 110 des dizaines de tous les totalisateurs sélectionnés d'un dixième de tour, conformément au chiffre "1" à enregistrer. Ce processus de désaccouplement se répète pour les disques de chaque ordre numérique, au moment où ces disques ont effectué autant de dixièmes de tour qu'il doivent enregistrer d'unités.
Pendant qu'une barre 123 pivote, en permettant aux entraî- neurs 122 et 138 qu'elle porte, de se dégager des encoches 121 et 139 dans lesquelles ils étaient engagés, le levier 132 que cette barre porte pivote de la même façon que les entraîneurs,et son galet 13 écarte une des mâchoires 134, 134' contre l'action du ressort 136, tandis que l'autre est retenue en place par une butée 141 quis'ap- puie contre la branche voisine de l'étoile 131. Les ressorts 136 servent ainsi à s'opposer à tout pivotement intempestif des. barres
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123 avec les entraîneurs 122 et 138, car, aussi longtemps que ceux- ci ne sont pas basculés par l'enfoncement d'une touche, ils ne peu- vent produire l'extension du ressort 136.
Le profil des encoches 121 (Figs. 4 et 20) est tel que pendant le pivotement des entraîneurs 122 leur pointe oblige les disques 110 quils viennent d'entraîner, à rester immobiles, ce qui empêche la rotation de ces disques, par inertie, au-delà de la po- sition voulue. De plus, l'alignement correct des disques totalisa- teurs 110 est assuré par des cliquets 142 qui sont montés sur l'ar- bre 116, un par disque 110 et s'insèrent élastiquement sous l'ac- tion de ressorts 143 entre les dents des disques.
Mécanisme de pose du montant (clavier de touches¯,),.- Les touches 215 (Fig. 2) dont l'enfoncement détermine l'amplitude de rotation des disques totalisateurs 110 sont groupées, à la face antérieure de la machine, en un clavier comportant autant de colonnes qu'il y a de chiffres dans le plus grand montant qu'on peut enregistrer en une fois, soit cinq dans l'exemple représenté. Chaque colonne comporte neuf touches portant les chiffres 1 à 9, montées dans un support cintré 210 (Fig. 17, 18) qui est porté par deux barres longitudina- les 211 et 212.
Cette dernière présente, sur toute la largeur de l'ensemble des supports 210 un méplat 213 qui permet, après une rotation appropriée de la barre 212, de soulever individuellement en vue du montage ou du démontage, chacun des supports 210 qui pi- vote alors autour de la barre inférieure 211. La tige 216 de chaque touche est guidée dans un évidement de son support 210 et soutenue latéralement par le couvercle 214 de celui-ci (Fig. 18). Une lan- guette 217 solidaire de chaque tige 216 s'engage dans l'évidement du support et appuie sur un ressort de rappel 218 monté dans cet évidement, autour d'une broche 219 qui sert également de guide sup- plémentaire à la tige 216 en traversant une entaille de la languet- te 217.
La course de la touche est limitée, vers le bas, par un talon 220 près du sommet de la tige 216, et vers le haut par un nez 221 de la tige. La surface inférieure du nez 221 est inclinée et
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coopère avec un ergot 222. Tous les ergots 222 d'une même colonne de touches sont fixés sur un arc oscillant dit arc de détente 223 suspendu au support 210 en haut par une biellette 224 et en bas par une gâchette 225, ces deux pièces pouvant pivoter sur des pi- vots 226 et 226' respectivement. L'arc de détente peut donc oscil- ler d'une petite quantité, sensiblement suivant un arc de cercle ayant pour centre l'arbre 300.
A l'enfoncement d'une touche, son nez 221 en agissant sur l'ergot 222 correspondant, repousse légère- ment l'arc de détente 223 dans le sens des aiguilles d'une montre, contre l'action d'un ressort de rappel 227, jusqu'à ce que l'ergot 222 rentre dans une encoche 228 du nez 221 par un petit mouvement de recul de l'arc 223, sous l'action du ressort 227. La touche en- foncée ne peut donc plus remonter sous l'action de son ressort 218.
L'arc de détente 223 est flanqué d'un arc de verrouillage 229, guidé par des biellettes 230 et 231 oscillant respectivement sur les pivots 226 et 226'. L'arc de verrouillage 229 présente des entailles coudées 232 en nombre égal à celui des touches d'une co- lonne, soit neuf, qui peuvent coopérer avec des ergots 233 fixés chacun sur le flanc d'une tige 216. Normalement, les ergots 233 se trouvent au-dessus de l'arc 229, en face de l'entrée des en- tailles coudées 232 qui comportent chacune une partie radiale, et une partie latérale. A l'enfoncement d'une touche, son ergot s'en- gage dans l'entaille coudée jusqu'au fond de sa partie radiale.
Pendant l'opération, l'arc 229 est déplacé, par des moyens décrits plus loin, dans le sens des aiguilles d'une montre, de sorte que l'ergot 233 de chaque touche enfoncée se trouve engagé dans la par- tie latérale de l'entaille 232 et y reste retenu par le bord exté- rieur de celle-ci; ce bord se présente également devant l'ergot de chaque touche non enfoncée, de sorte que jusqu'à la fin de l'opé- ration, c'est-à-dire jusqu'à ce que l'arc 229 soit ramené à sa po- sition normale aucune nouvelle touche ne peut être enfoncée, tandis- que les touches déjà enfoncées ne peuvent plus se libérer intempesti- vement.
Cependant, avant le déplacement de l'arc de verrouillage, on
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peut corriger une erreur commise dans le choix des touches enfon- cées : quand, en plus d'une touche enfoncée par erreur, on enfonce une autre touche de la même colonne, celle-ci fait avancer l'arc de détente 223, comme décrit, et en ce moment la première touche libérée, rebondit sous l'effet de son ressort de rappel 218.
Le clavier ne comporte pas de touches "zéro" dont la fonc- tion est remplie, dans chaque colonne, par un cliquet 234 (Fig.17) monté sur un pivot 235 fixe sur le support 210. Le cliquet 234 est sollicité par un ressort 236 qui le maintient incliné vers le cen- tre de la machine. Dans cette position, le cliquet 234 s'appuie sur une broche 237 que porte la gâchette 225. Quand, à l'enfonce- ment d'une touche, le mouvement de l'arc de détente 223 fait oscil- ler la gâchette 225 dans le sens des aiguilles d'une montre, la broche 237 soulève le cliquet 234 qui devient inopérant. quand, par contre, le chiffre à enregistrer dans la colonne considérée est "0", on n'a aucune touche à enfoncer, et le rôle de touche zéro enfoncée est joué par l'extrémité du cliquet 234.
Quand un montant à enregistrer est posé à l'aide des touches, on fait tourner l'arbre de commande 100 comme déjà décrit dans le sens contraire à celui des aiguilles d'une montre (Figs.17 et 20), pour enregistrer le montant sur le ou les totalisateurs sé- lectionnés ; la rotation peut aussi débuter en sens inverse, quand il s'agit d'une opération de mise à zéro. En même temps que l'arbre de commande 100, l'arbre central 300 reçoit un mouvement dans le même sens et de même amplitude, dérivé du même arbre à cames 200 (Figs.
15 et 16). Le double levier 189 qui commande la bielle en fourche 194 commande également, par une bielle 208 et un tourillon 209, un secteur denté 146 tournant librement l'arbre central 300. La den- ture du secteur 146 est identique à celle du secteur 201 qui action- ne l'arbre 100, et l'amplitude de rotation des deux secteurs est la même; toutefois, la rotation du secteur 146 débute toujours dans le même sens. Le secteur denté 146 engrène avec un pignon 144 accolé à un pignon 145 d'un diamètre un peu plus grand. Les deux pignons
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sont fous sur l'arbre 100, et le pignon 145 engrène avec un secteur denté 147 calé sur l'arbre central 300.
Ce renvoi est déterminé de façon à réaliser une amplitude maximum du secteur 147 égale à l'an- gle formé par les rayons allant de l'arbre 300 respectivement vers la touche "9" et vers le cliquet zéro 234, (Fig. 17).
Organes opérateurs.- Les roues dentées 137 que porte l'arbre 100, présentent chacune une dent 148 un peu plus large que les autres (Figs. 3, 17 et 19), qui peut venir en prise avec une dent isolée
241 portée par le secteur 240 légèrement en dehors du plan de ses autres dents. La dent 148 ne heurte la dent isolée 241 que lorsque la rotation de l'arbre 100 débute dans le sens contraire à celui des aiguilles d'une montre ce qui correspond à une opération d'enre- gistrement; elle entraîne alors le secteur 240 dont la denture vient en prise avec les dents ordinaires de la roue dentée 137.
D'autre part, chaque roue dentée 137 est en prise avec une des dentures d'un pignon double 242 fou sur un axe 243 supporté par la cloison 103 et par un support fixe 238 (Fig. 19). L'autre denture du pignon 242 peut engrener avec un secteur denté 245, tour- nant sur l'arbre 300. Cette deuxième denture du pignon 242 comporte une dent plus large 244, et le secteur denté 245 une dent isolée et latéralement décalée 246. Ces deux dents spéciales n'entrent en prise, au début de la rotation de l'arbre 100, que lorsque cette rotation débute dans le sens des aiguilles d'une montre, ce qui cor- respond à une opération de mise à zéro. Ainsi, suivant le sens ini- tial de rotation de l'arbre 100, c'est le secteur 240 ou le secteur
245 qui est entraîné dans le sens des aiguilles d'une montre.
L'un ou l'autre des secteurs dentés 240 et 245 entraîne dans sa rotation, une plaque 248 pouvant pivoter sur l'arbre 300.
A cet effet, le secteur 240 présente une patte 239 (Fig. 18) perpen- diculaire au plan du secteur, tandis que le secteur 245 porte une patte 247. La plaque 248 a un nez 249 déporté latéralement de façon à se trouver dans le plan des tiges 216 des-touches (Fig. 18) et qui est suffisamment long pour heurter la tige d'une touche enfoncée ou encore l'estrémité du cliquet zéro 234 quand celui-ci n'est pas
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relevé. La plaque 248 porte également un verrou 250 guidé radialement par deux biellettes 251 et 252 articulées d'une part au nez 249 et de l'autre au verrou 250. Sur la biellette 252 est fixé un galet 253 qui s'engage, normalement, dans une encoche 254 d'un segment en forme de faucille 255 dont le moyeu est calé sur l'arbre 300.
Etant donné que la rotation de l'arbre 300 est synchrone avec celle du secteur 240, les organes 240, 248, 250 et 255 se déplacent, pendant l'opération d'enregistrement, ensemble jusqu'à ce que le nez 249 de la plaque 248 soit arrêté par le cliquet 234 ou par la tige d'une touche enfoncée. L'arbre 300 continue sa rotation avec le segment 255 ce qui oblige le galet 253 à se dégager de l'encoche 254 du segment et à avancer le verrou 250 en direction radiale, contre l'action d'un ressort de rappel 256, jusqu'à ce que la pointe du verrou s'engage dans une des entailles 257 que le support 210 des touches présente à sa périphérie intérieure.
Le galet 253 roule sur le segment 255 qui continue à avancer, tandis que la plaque 248 reste arrêtée, avec le segment 240 et la roue dentée 137 dans une position angulaire déterminée par la valeur numérique de la touche enfoncée. Comme déjà décrit, cet arrêt a pour conséquence que l'en- traîneur 138 (Fig. 3) se dégage de la rainure 139 de la roue dentée 137 fait pivoter la barre 123 avec les entraîneurs 122 qu'elle por- te et immobilise les disques 110 qui viennent de marquer le chiffre correspondant à la touche enfoncée. Si le chiffre à marquer est "0", le nez 249 est arrêté par le cliquet 234 dès le début, comme si on avait enfoncé une touche "0" située avant la touche "1".
Cependant, l'arbre 100et,avec lui les entraîneurs 122 et 138 qui se sont placés en position inactive ou inclinée, comme le montre la Fig. 21, pour- suivent leur rotation pour achever le tour complet. L'arbre 300 pour- suit également sa rotation et s'arrête quand la pointe du segment 255 se trouve près du galet 253.
Pendant la rotation de retour de l'arbre 100, les entraî- neurs 138 qui avaient participé à l'opération, restent en position inclinée, avec leur pointe dirigée dans le sens du mouvement. Quand
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un entraîneur 138 rencontre la rainure 139 il s'y engage (Fig. 17) en se redressant sous l'action du ressort 136 (Fig. 5), et ramène la roue dentée 137 en position de repos. Cet engrenage entraîne également le secteur correspondant 240 vers la position de repos, aussi longtemps que leurs dentures restent en prise.
Il est à noter que de leur côté les entraîneurs 122 ne ramènent pas en arrière les disques totalisateurs 110 qu'ils viennent d'actionner, parce qu'avant la rotation en arrière de l'arbre 100, le levier 153 commande par la rainure de la came 151 (Fig. 8) a ramené les totalisateurs sé- lectionnés, par un mouvement axial de droite à gauche sur la Fig. 3 en position de repos, de sorte que les entraîneurs 122 peuvent li- brement tourner et se redresser dans l'espace annulaire des disques 110.
En même temps que l'arbre 100, l'arbre 300 retourne en arrière avec le segment 255. Dès que l'encoche de ce dernier vient en-dessous du galet 253, celui-ci s'y engage et permet au ressort 256 de retirer le verrou 250. La plaque 248, ainsi libérée, est également ramenée en arrière et, en agissant sur la patte 239 du secteur denté 240, elle achève de ramener celui-ci en position de repos.
Le fonctionnement est analogue pendant la mise à zéro d'un totalisateur. Dans ce cas, le levier de commande 310 ayant été placé dans la position correspondante, et le totalisateur à remet- tre à zéro étant¯sélectionné à l'aide du levier 290, (quand il s'agit d'un des totalisateurs individuels), la rotation de l'arbre 100 débute, comme déjà décrit, dans le sens des aiguilles d'une montre (Fig. 17). Les plaques 248 de tous les ordres numériques qui interviennent dans l'opération, sont donc entraînées par l'in- termédiaire des engrenages 137 et 242 et des secteurs dentés 245, tandis que'les secteurs 240 restent immobiles.
Les disques 110 du totalisateur sont tous entraînés- dans le sens opposé à celui où ils tournent lors de l'enregistrement, par les entraîneurs 122 .dont chacun est en prise avec une des encoches 121 du disque cor-
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correspondant. Chaque disque 110 qui engrène avec une roue de lec- ture 120, entraîne celle-ci dans sa rotation et est arrêté, quand il atteint la position zéro, par une dent de butée 140 solidaire de la roue 120 (Fig. 20). Ainsi que le montre la Fig. 3, chaque roue 120 est solidaire d'une bague 126 pouvant tourner sur l'arbre fixe 118. C'est sur la bague 126 qu'est formée la dent 140 qui sert principalement, en coopération avec une came de report 262 portée par un arbre 264, à préparer le report des dizaines d'un disque 110 au disque 110 voisin d'ordre numérique supérieur.
Mais pendant la mise au zéro du totalisateur, quand les roues 120 tournent dans le sens contraire à celui des aiguilles d'une montre, la dent 140 de chaque roue heurte la partie 281 de la came 262 au moment où la roue 120, et avec elle le disque correspondant 110, atteint la posi- tion zéro. A ce moment, le disque 110 s'arrête, mais son entraîneur 122 en s'inclinant avec sa barre 123 pour se dégager de l'encoche 121, poursuit sa rotation avec l'arbre 100 jusqu'à l'achèvement d'un tour complet. Bien entendu, les disques d'un même totalisateur qui, avant la mise àzéro, marquaient des chiffres différents, s'arrêtent à des instants différents, chacun après autant de dixièmes de tour qu'il marquait d'unités.
En même temps que chaque disque 110, s'arrête aussi la roue dentée 137 qui correspond au même ordre numérique, et ce parce que le pivotement de la barre 123 dégage l'entraîneur 138 de la rainure 139 de la roue dentée 137. Avec cette dernière, le pignon 242 et le secteur denté 245 s'arrêtent également. La plaque 248, précéderaient entraînée par le secteur 245,parl'intermédiaire de sa patte 247 agissant sur une pièce 258 solidaire de la plaque, est également arrêtée du fait qu'un crochet 259,oscillant sur un pivot 260 porté par le secteur 245, s'accroche, sous l'action d'un res- sort en spirale 261, à la pièce 258 et rend solidaires la plaque 248 et le secteur 245.
Par contre, le segment 255 poursuit sa ro- tation avec l'arbre 300 et repousse, comme précédemment décrit, le galet 253 avec le verrou 250 qui bloque la plaque 248 dans la posi-
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tion correspondant au chiffre qui était marqué par le disque 110 du même ordre numérique. La plaque 248 est maintenue dans cette position jusqu'à ce que la rotation de retour de l'arbre 100 ramène tous les organes mentionnés à leur position de repos, tout comme après une opération d'enregistrement.
Le crochet 259 qui vient d'être mentionné, remplit encore une autre fonction qui consiste à empêcher l'entraînement intempes- tif de l'un des secteurs dentés, 240 ou 245, quand l'autre est ac- tionné. A cet effet, en revenant à la position de repos après une opération de mise à zéro, le crochet 259 heurte un joug 370 qui s'étend sur toute la largeur occupée par le mécanisme des touches, et se dégage, par un mouvement pivotant en sens contraire des ai- guilles d'une montre, de la pièce 258, ce qui permettra à la plaque 248 d'accompagner le secteur 245 à la prochaine opération d'enre- gistrement. En même temps, le crochet 259 s'accroche, par un cran à son extrémité inférieure, à l'arête vive du joug 370, de sorte que le secteur denté 245 dont ce crochet est solidaire, ne peut se déplacer pendant l'opération d'enregistrement.
Par contre, quand l'opération à effectuer est une mise à zéro, le joug 370 est bas- culé, dans un but et par des moyens décrits plus loin, en sens con- traire des aiguilles d'une montre, ce qui libère le crochet 259 et lui permet de se raccrocher de nouveau à la pièce 258, afin que le secteur 245 puisse participer à l'opération.
L'arbre 300 porte, pour chaque ordre numérique, en plus des organes déjà décrits, un levier bifurqué 631 et un secteur 632 qui communiquent les mouvements de l'arbre respectivement à un mé- canisme indicateur et'à un mécanisme d'imprimerie, afin de rendre visible et d'imprimer sur des tickets ou des fiches le résultat de chaque opération d'enregistrement ou de mise à zéro de la caisse enregistreuse. Ces mécanismes seront décrits plus loin.
Mécanisme de report.- On a décrit la façon de faire tourner chaque disque totalisateur 110 d'autant de dixièmes de tour que ce disque
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doit marquer d'unités, cet angle de rotation étant limité par l'en- foncement d'une des touches 215. Il va de soi que, lorsqu'un disque passe, au cours d'une opération d'enregistrement, de la position "9" à la position "0" ou au-delà, une unité doit être reportée au disque 110 voisin de gauche (Fig. 3) c'est-à-dire au disque 110 de l'ordre numérique immédiatement supérieur. Ce report des dizaines s'effectue à l'aide des bagues 126 (Figs. 20, 21) dont chacune flanque une roue de lecture 120 en prise avec un disque totalisa- teur 110.
Chaque bague 126 présente une dent 140 qui coopère avec la came de report correspondante 262 dont est solidaire une pièce de report 263, située, comme la came 262, sur un arbre 264, mais en face du disque 110 voisin de gauche. L'arbre 264 est monté, pa- rallèlement à l'arbre 118 entre deux supports 265 qui peuvent pi- voter sur un arbre 266. La distance entre les arbres 264 et 118, pendant l'opération de la machine, et la position angulaire des bagues 126 sur ce dernier sont telles que lorsqu'un disque 110 passe de "9" à "0", sa dent de report 140 pénètre dans une entaille 267 de la came correspondante 262 et la fait tourner, avec sa pièce de report 263, contre le sens des aiguilles d'une montre, d'un angle tel que le doigt 268 de la pièce 263 vient se placer dans la tra- jectoire des pales 269 fixes sur l'arbre 266.
Cette rotation des pièces 262-263 se fait contre la tension d'un ressort 270 tendu entre chaque pièce 263 et une barre porte-ressorts 271 reliant en- tre eux les supports 265. Chaque ressort 270 tend donc à ramener sa pièce 263 à la position de repos où elle s'adosse à une barre fixe 272 entretoisant les supports 265.
La pièce 262-263, déplacée par la dent de report 140, reste néanmoins dans sa nouvelle position de préparation de report, à cause de la pression du cliquet 142 sur le disque 110, qui ne per- met pas au ressort 270 de ramener en arrière la pièce 262-263 avec la bague 126 et les disques 120 et 110.
La rotation ultérieure de l'arbre 266.dans le sens des aiguilles d'une montre amène une des ¯pales 269 en prise avec le doigt 268 de la pièce 263 et fait tourner
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celle-ci d'un certain angle tel qu'une dent 279 de cette pièce, entrant en prise avec une des dents de la denture de la roue 120 correspondante, fait tourner celle-ci ainsi que le disque corres- pondant 110 d'un dixième de tour, après quoi, le report étant ainsi accompli, la roue 120 est bloquée par la rencontre de sa dent sui- vante avec la partie 280 de la pièce 263.
Si la roue 120 se trou- vait primitivement dans la position 9, sa rotation causée par le report préparerait à son tour le report d'une unité à la roue sui- vante de gauche, et ce report serait rendu effectif par la pale 269 qui suit celle qui a accompli le premier report. L'arbre 266 ef- fectue, à chaque opération de la machine, deux tours complets, de sorte qu'il pourra rendre effectifs, si besoin est, huit reports consécutifs, après quoi l'arbre 264 s'écarte de l'arbre 118 pour permettre aux pièces 263 de se dégager des roues 120 et d'être ramenées à la position de repos par leurs ressorts 270.
L'arbre 266 reçoit son mouvement de rotation de l'arbre 150 qui porte à cet effet une roue dentée incomplète 273 (Fig. 22) engrenant avec un pignon 274 sur l'arbre 266. Le rapport des en- grenages est tel: que l'arbre 266 fait ses deux tours pendant que l'arbre 150 accomplit le dernier tiers, à peu près, de sa révolution, alors que pendant les deux premiers tiers de la révolution de l'ar- bre 150 au cours desquels s'effectue la préparation des reports, l'arbre 266 est maintenu immobile par les deux cames de verrouil- lage 275 et 276 portées respectivement par les arbres 266 et 150.
Le mouvement de recul de l'arbre 264 est également dérivé de l'arbre 150 (Fig. 20) sur lequel sont calées deux cames identi- ques 277 agissant sur deux galets 278 portés chacun par un des sup- ports 265 de l'arbre 264. Pendant le repos de la machine, (posi- tion représentée sur la Fig. 20) les galets 278 se trouvent respecti- vement en face de la partie découpée de chacune des cames 277, ce qui permet à un ressort non représenté de tenir l'arbre 264 écarté de l'arbre 118. Mais dès le début de la rotation de l'arbre 150, les cames repoussent les galets 278 contre l'action du ressort et
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rapprochent l'arbre 264 de l'arbre 118 pour permettre la prépara- tion et l'achèvement des reports.
A la fin de l'opération, les ca- mes 277 présentent de nouveau leur partie creuse aux galets 278, ce qui permet au ressort de faire reculer l'arbre 264 en vue du redressement de toutes les pièces de report 262-263 qui ont parti- cipé à l'opération.
Le mouvement de recul de l'arbre 264 est utilisé pour blo- ruer toutes les roues 120 et, avec elles, les disques 110 pendant que la machine n'est pas en activité. A cet effet, une barre de blocage 540 (Fig. 36) qui s'étend le long de tous les totalisateurs, est montée entre deux leviers 541 qui peuvent basculer sur le guide fixe 117, de part et d'autre de l'ensemble des totalisateurs. Les leviers 541 sont commandés par deux bielles 542 articulées, en 543, aux supports 265 de l'arbre 264. Quand, la machine étant au repos, l'arbre 264 est écarté de l'arbre 118 qui porte les roues 120, la barre 540 est engagée entre les dents de celles-ci et les bloque, tout en maintenant leur alignement exact, contre toute rotation in- tempestive.
Au début d'une opération, quand l'arbre 264 est rappro- ché de l'arbre 118 par les moyens décrits, les bielles 542 repous- sent les leviers 541 avec la barre de blocage 540 et dégagent ainsi les roues 120 et les disques 110 pour la durée de l'opération, après quoi ces roues et disques sont de nouveau bloqués par le recul de l'arbre 264.
Compteurs d'opérations.- Les différentes opérations effectuées par la caisse sont comptées, séparément, par des compteurs qui sont au nombre de six : quatre pour les opérations de chacun des totalisa- teurs individuels A, B, D et E, un pour les opérations sans enre- gistrement (dites opérations de "change"), et un pour les opérations de mise à zéro du totalisateur de jour J.
Les compteurs peuvent être de toute construction appro- priée connue, à condition de pouvoir être commandés par un mouve- ment de va-et-vient. On n'en décrira donc pas les détails construc- /tifs, mais seulement le mode de leur commande.
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Tous les compteurs 283 (Fig. 24) sont fixés sur la cloi- son 103 de la machine, au voisinage du levier de sélection 290. Il a déjà été expliqué qu'avant toute opération, ce levier est amené dans une position correspondant à l'opération à effectuer, c'est-à- dire, de bas en haut sur la Fig. 2, opération de change, enregistre- ment d'un montant à l'aide d'un des quatre totalisateurs A, B, D ou
E dont la sélection se trouve en même temps préparée, ou opération de mise à zéro du totalisateur de jour J.
Au bout d'axe 284 par lequel chaque compteur est actionné est articulée une biellette 285 articulée d'autre part à un balan- cier 286 (Figs. 23, 24, 25). Ce dernier se termine au sommet par une pointe qui s'engage normalement dans une entaille d'un segment d'ar- rêt fixe'287, tandis que l'extrémité inférieure du balancier 286 est guidée par une boutonnière, en direction radiale de la machine, sur un bouton fixe 288. Chaque balancier est sollicité vers l'exté- rieur par un ressort 289. Le levier de sélection 290 porte un bos- sage à deux rampes 291 (Figs. 23, 24) qui coopère avec des broches
292 fixées chacune sur un des balanciers 286.
Quand le levier 290 est amené dans une de ses six positions mentionnées, son bossage
291 appuie sur une des broches 292 et fait descendre contre l'action du ressort 289 le balancier 286 qui la porte, jusqu'à ce que sa bro- che 292 s'engage à fond dans une encoche 293 d'un secteur 294 qui peut pivoter sur l'arbre central 300. Le balancier 286 se trouve ainsi accouplé au secteur 294 qui, lors de la mise en marche de la machine, reçoit un petit mouvement d'oscillation emprunté à un excentrique 295 calé sur l'arbre à cames 200 et transmis au secteur
294 par une double fourche 296 coopérant avec l'excentrique 295 et oscillant autour de l'arbre 300. La fourche porte deux tenons 297 entre lesquels est normalement engagéel-lextrémité 298 du secteur
294.
Le mouvement d'oscillation ainsi transmis au secteur 294 se transmet par le balancier abaissé 286 et la biellette correspondante
285 au compteur destiné à compter les opérations du totalisateur dont la sélection est déterminée par la position du levier 290.
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Lors des enregistrements à postes multiples qui donnent lieu à l'addition des postes avec impression du total sur un ticket, cette impression ne doit pas s'accompagner du fonctionnement d'un compteur, car chaque poste individuel a déjà été compté. Le compteur qui est resté engagé doit donc être empêché de fonctionner pendant l'opération d'impression du total, malgré la rotation de l'arbre à cames 200. A cette fin, la fourche 296 est déconnectée du secteur 294 par le dispositif suivant :
Une fourche 299 dont les branches entourent l'arbre 200, est guidée longitudinalement par une broche 301 engagée dans une fente 302 de la fourche. A l'extrémité inférieure, la fourche 299 présente une fente 303 perpendiculaire au sens de déplacement de la fourche, et dans cette fente est engagé un tenon 304 porté par un levier 305 calé sur l'axe 306.
Cet axe peut recevoir un mouvement d'oscillation commandé par le levier de contrôle 310, par l'inter- médiaire de la bielle 307 et du bras 308 (Fig. 27). Un des bras de la fourche 299 présente une fente profilée 309 dans laquelle est engagée une broche 311 portée par une bielle 312 pivotant sur l'axe 306. La même broche 311 est engagée dans un oeillet 313 de la fourche 296 (Figs. 23 et 25). Le profil de la fente 309 est tel que, lors du déplacement de la fourche 299 provoqué par la manipu- lation du levier 310, la broche 311 n'est affectée que quand ce der- nier est amené dans la position dite "total du ticket" (Fig. 2).
Dans ce cas, la broche 311 est amenée au fond de la partie en V de la fente 309 et entraine la double fourche 296 vers la droite (Fig. 23) en libérant ainsi la pointe 298 du secteur 294 d'entre les tenons 297. Quand la machine est mise en marche en vue de l'im- pression du total du ticket, la rotation de l'excentrique 295 avec l'arbre 200 reste sans effet sur le secteur 294 qui n'actionne donc pas le compteur engagé.
Levier de contrôle.- On a vu qu'avant la mise en marche de la ma- chine, le levier de contrôle 310 doit être placé dans la position correspondant au genre de l'opération à effectuer. Il y a cinq gen- .
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res d'opérations auxquelles correspondent cinq positions du levier de contrôle., à savoir, vu de bas en haut sur la Fig. 2: 1 ) Vise à zéro d'un des totalisateurs individuels A, B, D ou E. 2 ) Enregis- trement d'un montant unique ('Ticket simple"). 5 ) Enregistrement de plusieurs montants connexes qui doivent être additionnés ensuite ("Ticket avec addition"). 4 ) Addition de ces montants ("Total du ticket") et 5 ) Mise à zéro du totalisateur de jour.
On a déjà décrit, comment le levier de contrôle 310 influence le sens de rotation de l'arbre de commande 100, suivant qu'il est placé soit dans la deu- xième ou troisième des positions ci-dessus, qui correspondent à une opération d'enregistrement, soit dans une autre de ses positions.
On décrira maintenant les autres effets que produisent, dans la machine, les déplacements de ce levier.
Le levier 310 a la forme générale d'une plaque (Fig. 27) dont le moyeu entoure l'arbre central 300 et dont la poignée 310' est guidée dans une fente de la tôle extérieure 105 de la machine.
Des crans de la fente permettent de placer le levier exactement dans chacune de ses cinq positions. Toutefois, la position infé- rieure,qui correspond à la mise à zéro d'un des totalisateurs partiels est normalement interdite par le pène 483 de la serrure 486 placée à droite du levier 310 (Fig. 2) et dont la clef est en possession d'une personne autorisée. Le dispositif suivant empêche le fonctionnement de la machine quand le levier 310 est dans une position intermédiaire:
Un galet 314 porté par un bras 315 (Fig. 27) est engagé dans une rainure sinusoidale 316 du corps du levier 310. Le bras 315 qui est calé sur un pivot 317, est solidaire d'un crochet 435 (Fig. 33) calé sur le même pivot 317 fixé à la cloison 102 de la machine.
A chaque position correcte du levier 310 correspond une crête de la rainure sinusoidale 316, c'est-à-dire un point éloigné de l'arbre 300. Quand le galet 314 se trouve sur une des crêtes, le crochet 435 est soulevé et ne gêne pas le déplacement vers la droite d'uneplaque 400, déplacement qui, comme décrit plus loin., est indis-
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pensable pour la mise en marche de la machine. Si le levier 310 est arrêté entre deux de ses positions exactes, le galet 314 se trou- vant entre deux crêtes de la rainure abaisse le crochet 435 qui s'accroche à une saillie 436 de la plaque 400 et bloque la machine.
Le dispositif de sécurité qui vient d'être décrit, opère également en sens inverse : le fonctionnement de la machine, il n'est pas possible de déplacer le levier de commande 310 parce que, le crochet 435, étant retenu au-dessus de la saillie 436 de la plaque 400 ne permet pas au bras 315 de pivoter, de sorte que le galet 314 reste bloqué sur une des crêtes de la fente 316 et immobilise le levier 310.
Pendant les opérations de mise à zéro des totalisateurs, les touches 215 de la machine doivent être bloquées contre toute manipulation, et les cliquets "zéro" 234 (Fig. 17 doivent être sou- levés pour permettre aux plaques 248 de quitter leur position de repos et d'effectuer les mouvements que nécessite la mise à zéro.
Ainsi qu'il a été expliqué, un joug 370 qui s'étend sur toute la largeur du clavier de touches, est basculé dans le sens contraire à celui des aiguilles d'une montre, au début de chaque opération de mise à zéro, et ce mouvement est commandé par le levier 310, par l'intermédiaire d'un bras 375 qui porte un galet 318 engagé dans une fente 319 du levier 310. Le dit mouvement du joug 370 l'amené en dessous des saillies formant l'extrémité de droite des gâchettes 225 (Fig. 17) qui servent de support inférieur aux arcs de détente 223 du mécanisme de touches, ce qui empêche toute rotation des gâ- chettes 225 qui pourrait résulter de la manipulation des touches.
Celles-ci sont ainsi bloquées pour tpute la durée de l'opération.
Inversement, si une des touches était restée, accidentellement, enfoncée, la gâchette correspondante 225 empêcherait le bascule- ment du joug 370 et ne permettrait ainsi pas d'amener le levier de commande 310 dans la position préparatoire à la mise à zéro d'un totalisateur. L'axe 343 qui porte le joug 370, porte également six doigts 363 (Figs. 30, 31), à savoir un pour chaque cliquet "zéro"
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234 à l'exception de celui de l'ordre numérique des dizaines de mil- liers, dont l'actionnement sera décrit plus loin. Quand le joug 370 est basculé, chaque doigt 363 presse sur une broche 234' que porte le cliquet 234 correspondant, et retire celui-ci de la position acti- ve pour dégager le doigt 249 de chaque plaque 248.et les secteurs dentés 245.
Ces mouvements ont lieu tant pour les cinq secteurs cor- respondant aux cinq colonnes de touches, que ppur les deux secteurs de l'ordre numérique supérieur (millierset dizaines de milliers) qui ne comportent pas de touches.
Interconnexion des leviers de contrôle et de sélection.- On comprendre qu'il doit exister une corrélation entre les positions des leviers 310 et 290 (Fig. 2); on décrira maintenant les liaisons existant, à cet effet, entre ces deux leviers.
A côté du levier de sélection 290 (Figs. 23, 24) un arc 320 est suspendu à deux leviers 321 et 322 pivotant sur des touril- lons 323 et 323' respectivement, fixés sur un support 324 (Fig. 24) qui longe l'arc 320, et est porté par les barres 211 et 212 qui por- tent les supports 210 des touches. Grâce à ce montage, l'arc 320 peut effectuer un léger déplacement, sensiblement suivant un arc de cercle ayant l'arbre 300 pour centre. Un ressort 325 tendu entre le support 324 et l'arc 320 tend à tirer celui-ci vers le haut, mais l'arc est retenu par un crochet 326 qui est accroché au pivot 327 reliant l'arc 320 au levier 322 et attaché en 328 au support 324 par un ressort 329 plus fort que le ressort 325. Ce dernier est donc nor- malement bandé. Dans le support 324 sont encastrées des serrures 330, une pour chacun destotalisateurs A, B, D, E et J.
On voit, sur la Fig. 2, les barillets 331 de ces serrures. Une des serrures doit être actionnée par la clef qui lui est propre, pour permettre au levier 290 de sélectionner le totalisateur correspondant. En-dessous du barillet 331 de chaque serrure (Figs. 24 et 26) est montée une pla- quette 332 guidée parallèlement à l'axe de la machine par le baril- let et par un bouton 333 fixé au corps de la serrure. La partie de droite, plus étroite, de la plaquette 332 est repliée à angle droit,,
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et est sollicité vers la gauche par un ressort 334 (Fig..24) fixé d'autre part au support 324. La partie de gauche de la plaquette 332 forme un oeillet allongé qui entoure le barillet 331 (Fig. 26) en épousant le contour du barillet découpé de façon à former à sa partie de droite, une nervure 335.
De ce fait, la plaquette 332 em- pêche la rotation du barillet, tant qu'elle n'est pas repoussée vers la droite, contre l'action du ressort 334. A cet effet, le levier 290 présente, entre deux entailles 336 (Fig. 26) une partie pleine qui vient repousser la plaquette 332 seulement quand le levier est placé dans la position correcte, sans quoi il n'est pas possible de tour- ner la clef dans la serrure.
Le barillet 331 de la serrure porte, à sa partie inférieure, un pène 337 en forme de came qui, lorsque le levier de sélection est dans une position correcte, s'engage dans une fente de ce le- vier à travers une des découpures 338 de l'arc 320. A la rotation du barillet 331, son pène 337 fait descendre l'arc 320 (Figs. 22,23) et n'est arrêté que lorsqu'il vient buter contre la serrure voisine.
Le mouvement descendant de l'arc 320 fait tourner légèrement le le- vier de support 322 dans le sens contraire à celui des aiguilles d'u- ne montre, et ce mouvement est transmis, par un tenon 339 engagé dans l'extrémité bifurquée du levier 322 et porté par le bras 340 d'un joug 360, à ce dernier, qui pivote sur un axe 361. Le joug 360 s'étend sur toute la largeur du compartiment des touches et se ter- mine, au voisinage du levier de contrôle 310 (Figs. 27 et 30) par un bras 362 qui est relié, par une bielle 341 à un des bras d'un le- vier coudé 342 pivotant sur un axe 350. L'autre bras de ce levier porte un ergot 344 engagé dans une fente 345 du levier de contrôle 310.
Lorsque l'arc 320 est poussé vers le bas par le pène d'une des serrures 550,l'ergot 344 est poussé vers le centre de la machine (matérialisé par l'arbre 300) et permet, en coulissant dans la fen- te 345 de déplacer le levier 310, ce qui n'aurait pas été possible sans actionner une des serrures 330 des totalisateurs individuels.
--Toutefois, la longueur de la fente 345 est limitée de
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façon qu'on ne puisse déplacer le levier 310 qu'entre sa première et sa quatrième position (vue d'en bas sur la Fig. 2). En quatrième position (1!total du ticket") l'ergot 344 atteint le fond de la fen- te 345 et le levier 310 ne peut donc être amené à sa cinquième po- sition préparatoire à la mise à zéro du totalisateur de jour J. Pour que cela devienne possible, il faut d'abord pousser le levier de sé- lection 290 à fond de course vers le haut, ce qui correspond à la sélection du totalisateur de jour J. Peu avant la fin de ce mouve- ment, le levier 290 heurte un taquet 346 (Fig. 23) que l'arc 320 porte sur son flanc, et l'arc est soulevé, contre l'action du fort ressort 329.
Alors seulement la première découpure 338 (d'en haut) de l'arc 320 vient en face de la serrure 331 du totalisateur J et permet au pène 337 de celle-ci d'immobiliser le levier 290 et l'arc
320. Le mouvement vers le haut de l'arc 320 se transmet, eomme dé- crit (mais en sens inverse), par le levier 322, le joug 360, la bielle 341 et le levier coudé 342 à l'ergot 344 qui e,st, de ce fait, complètement dégagé de la fente 345 du levier 310 et permet de pla- cer celui-ci dans sa cinquième position qui correspond à la mise à zéro du totalisateur de jour J.
Ainsi que déjà décrit, pendant la mise à zéro de totali- sateurs individuels, les six premiers cliquets "zéro" 324 sont re- culés par autant de doigts 363 que porte le joug 364. En vue de la mise à zéro du totalisateur de jour J qui comporte sept disques 110, il y a lieu de reculer également son cliquet "zéro" qui correspond à l'ordre numérique supérieur (dizaines de milliers), et ceci est fait par un taquet 388 (Fig. 34) fixé sur le levier 322 supportant l'arc 320. Ce taquet repousse le crochet 324 en question pendant la rotation du levier 322, provoquée par le déplacement du levier de sélection 290 préparatoire à la mise à zéro du totalisateur de jour J.
Afin d'éviter des erreurs dans la manipulation des serrures et dans la pose du montant à enregistrer, des mesures sont prises pour rendre impossible l'actionnement des serrures quand une ou plu- sieurs des touches sont enfoncées, et le retrait de la clef d'un to- talisteur individuel si, à la fin de l'opération, une ou plusieurs
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touches sont restées enfoncées. A cet effet le joug 360 (Figs. 30, 31) est flanqué,à l'extrémité de gauche, d'un bras 365 portant un galet 366 qui occupe normalement, quand aucune des serrures n'est manipulée, une position au-dessus du nez 369 d'un levier 367 soli- daire du joug 370. Quand on tourne le barillet 331 de la serrure d'un des totalisateurs individuels le joug 360 pivote, comme déjà décrit, dans le sens des aiguilles d'une montre.
Le galet 366 re- pousse, en descendant, le nez 369 du levier 367 et imprime ainsi au joug 370 une oscillation rapide. Quand le galet 366 descend en- dessous du nez 369, le joug 370 revient à sa place sous l'action du ressort 371 qui le relie au joug 364 (Fig. 32), ce dernier étant immobilisé, comme expliqué, par le galet 318 (Fig.32 et 27) en- gagé dans la fente 319 du levier de contrôle 310.La même oscilla- tion du joug 370 se produit lorsqu'on tourne le barillet d'une serrure en sens inverse pour retirer la clef, le galet 366 agis- sant dans ce cas sur la surface inclinée inférieure du nez 369.
Or, le joug 370 sert à bloquer les touches en agissant sur le nez saillant des gâchettes 225 (Fig. 17) et, quand une touche est en- foncée, il est impossible de reculer le joug. Il s'en suit que, si l'on voulait tourner le barillet d'une serrure lorsqu'une touche est enfoncée, le joug 370 heurterait le nez d'une gâchette 225, de sorte que le galet 366 ne pourrait ni descendre ni remonter, et l'on serait dans l'impossibilité de manipuler la serrure.
Fonctionnement sans intervention de totalisateurs.- Dans certains cas, par exemple aux fins de contrôle, ou pour une simple opéra- tion de change etc., on doit faire fonctionner la machine sans en- registrement ni mise à zéro, donc sans qu'aucun des totalisateurs soit actionné, et sans qu'on ait à se servir de la clef d'un des totalisateurs.
A cet effet on amène le levier de sélection 290 dans sa position inférieure, dénommée "change" sur la Fig. 2; dans cette position du levier 290 (Figs. 23 et 31), une broche 372 fixée sur une saillie du corps du levier, s'engage dans une encoche inclinée
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368 que présente, à sa partie supérieure, le levier 367, solidaire du joug 370, et fait basculer ce dernier vers la gauche (Fig. 23), où il est.immobilisé. De ce fait, comme déjà expliqué, les touches
215 sont bloquées contre toute manipulation, et inversement, quand une touche est enfoncée, le joug 370 ne peut basculer vers la gau- che et le levier 290 ne peut être amené dans la position "change".
D'autre part, il n'est possible de placer le levier 290 en position "change" que lorsque le levier de contrôle 310 occupe la 2e. ou 3e. position ("ticket simple" ou "ticket avec addition"). En effet, quand le levier 310 est dans une autre position, le joug 364 est basculé, comme on l'a vu, dans le sens contraire à celui des aiguilles d'une montre (Figs. 27, 31). Le bras gauche (Fig. 30) du joug 364 est flanqué d'un doigt 373 qui, en basculant avec le joug 364 vient se placer dans la trajectoire de la broche 372 du levier 290 et empêche celle-ci de s'engager dans l'encoche inclinée 368 du levier 367.
Ce dernier, avec le joug 370, est également basculé vers la gauche, de sorte que la broche 3723, en le heurtant, empêche le levier 290 de descendre en position "change". Inversement, quand le levier 290 se trouve dans cette position, il n'est pas possible de mettre le levier de contrôle 310 dans la lère., 4e. ou 5e. position, parce que la broche 372, placée devant le doigt 373 s'oppose au mouvement du joug 364 vers la gauche et, par conséquent, au déplacement du levier 310.
Ainsi qu'il a été dit, la mise en marche de la machine débute par un échappement, vers la droite, d'une plaque 400 (Fig.33) dont les fonctions seront plus complètement décrites plus loin; pour cela il faut, qu'un verrou 401.qui la retient en s'accrochant à un épaulement de sa face inférieure, soit abaissé, et ce, quelle que soit l'opération que la machine doit effectuer.
Quand il s'agit d'un enregistrement, ou de la mise à zéro d'un des totalisateurs individuels précédé de la manipulation d'une des serrures 330, cette manipulation a pour effet, comme déjà décrit, de provoquer un mouvement pivotant, dans le sens contraire des aigudi-
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les d'une montre, du levier coudé 342 (Figs. 27 et 33). Le bras de gauche de ce levier appuie sur un ergot 348 que porte l'un des bras 347 d'un joug 349 pivotant sur l'axe 350. L'autre bras 351 du même joug, qui se termine en fourche (Fig. 33) embrasse une broche 402 portée par le verrou 401.
Un'ressort non représenté, attaché à la cloison 102 et au joug 349 maintient le bras 347 de celui-ci en contact avec le levier coudé 342, de sorte que, à la manipulation d'une des serrures 330, le mouvement du levier 342 est transmis au verrou 401 qui descend et libère la plaque 400. Quand l'opération envisagée est la mise à zéro du totalisateur de jour J, en vue de laquelle on place le levier de contrôle 310 dans sa position la plus élevée, c'est ce levier lui-même qui, en repoussant l'ergot 348 par sa surface inclinée 352 (Fig. 27), fait pivoter le joug 349 et abais- se ainsi le verrou 401.
Enfin, quand la machine doit fonctionner sans enregistre- ment ni mise à zéro pour une opération dite de "change", le levier de sélection 290 est préalablement amené dans la position inférieu- re correspondant à ce genre d'opérations. En descendant, le levier 290 heurte un taquet 353 (Fig. 23) de l'arc 320 et fait descendre celui-ci, ce qui provoque le même effet que la manipulation d'une des serrures, à savoir : pivotement du levier de support 322 et du joug 360, translation de la bielle 341 (Fig. 33) pivotement du le- vier coudé 342 et du joug 349 avec son bras 351, et abaissement du verrou 401. Pendant ces mouvements, le galet 366 du bras 365 soli- daire du joug 360 (Figs. 30 et 31) vient se placer en-dessous du nez 369 du levier 367, ce qui retient le levier 290 dans sa position in- férieure, malgré la tendance du ressort 325 à relever l'arc 320.
L'encoche 368 au sommet du levier 367, dans laquelle est engagée la broche 372 du levier 290 a une forme telle qu'elle permet au levier 290 de remonter un peu, ce qui provoque une faible rotation du levier 367, avec le joug 370, sous l'action du ressort 371 (Fig.
32), dans le sens des aiguilles d'une montre, de sorte que le nez
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369 s'avance au-dessus du galet 366. Pour qu'on puisse relever le levier 290 dans une autre position que celle dénommée "change", il faut que l'arc 320 et le joug 360 avec le bras 365, de même que le levier 367 reviennent à leur position de repos. Le galet 366 ne peut cependant pas remonter au-dessus du nez 369, en repoussant le le- vier 367, sous la seule action du ressort 325 agissant sur l'arc 320.
On se sert, pour relever l'arc 320, d'un crochet 354 pivotant sur un axe 355 porté par le levier 290. Quand ce dernier est en position "change", le crochet 354 s'accroche à la broche 353 de l'arc 290, sous l'action d'un ressort 356. Pendant qu'on relève le levier 290, le crochet 354 entraîne l'arc 320 ce qui fait remonter le galet 366 au-dessus du nez 369. L'arc 320 dépasse-légèrement, vers le haut, sa. position normale, mais le fort ressort 329 le tire alors vers le bas et fait reculer le crochet 354 contre l'action de son ressort 356, après quoi l'arc 320, déconnecté du levier 290, est ramené par le ressort 329 à sa position de repos.
Commande automatique du levier de contrôle.- L'opération la plus fréquente de la machine est celle d'un simple enregistrement, qui exige que le levier de contrôle se trouve dans sa deuxième position d'en bas, (Fig. 2); cependant, ce levier se trouve souvent aussi dans la quatrième position, pour additionner et imprimer le total de plusieurs enregistrements effectués. Afin de rendre le travail de la machine plus expéditif, le levier 310 est ramené automatiquement à sa deuxième position, à la fin de chaque opération pendant laquel- le il se trouvait dans la quatrième position.
A cet effet, le corps du levier 310 porte, à l'arrière de la machine, une petite came 376 (Figs. 27, 28, 29) dans le plan de laquelle se trouve, d'autre part, un tâtonneur 377 suspendu à deux leviers 378 et 379 pivotant res- pectivement sur des axes 380 et 381 qui sont portés par un support 382 monté sur un bâti fixe 600. Le levier 378, qui est coudé, porte à l'extrémité de son autre bras une broche 383 qui, en traversant une ouverture dans le support 382, s'engage dans l'extrémité four- chue d'un des bras d'un levier coudé 384 pivotant sur l'axe 381.
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L'autre bras, également fourchu, du levier coudé 384 commande un ergot 385 fixé à un doigt 386. Celui-ci peut coulisser, par une boutonnière 387, sur un axe 637 porté par le bâti 600. Le doigt 386 qui se trouve normalement à fond de course à droite, comme représen- té sur la Fig. 27, est supporté également par l'extrémité d'une biellette 389 articulée, à l'autre extrémité, à un bras 390 pouvant pivoter sur l'axe 637. Lorsque le levier de contrôle 310 est amené dans sa quatrième position, la came 376 rencontre le tâtonneur 377 et le repousse vers la droite ce qui, par la coopération des le- viers coudés 378 et 384 fait pivoter ce dernier dans le sens des aiguilles d'une montre, contre la tension d'un ressort 391.
Fn pi- votant, le levier 384 entraine vers la gauche l'ergot 385 avec le doigt 386, jusqu'à ce que l'axe 637 se trouve dans l'extrémité de droite de la boutonnière 387. Dans cette position avancée, le doigt 386 en pivotant sur l'axe 637 pourra venir heurter un tenon 392 fixé au corps du levier de contrôle310 quand cd doigt recevra une impulsion vers le haut. Le bras 390 relié au doigt 386 par la biel- lette 389 est commandé par une bielle fourchue 594 qui porte un galet 395 coopérant avec une came 393 calée sur l'arbre à cames 200. Cet arbre, comme déjà dit, effectue un tour complet à chaque opération de la machine.
Le profil de la came 393 est tel qu'au début de l'opération la bielle 394 est légèrement soulevée et le doigt 386 étant en position avancée vers la gauche vient s'accro- cher au tenon 392 et reste ainsi pendant presque toute la durée de l'opération de la machine. Vers la fin de l'opération, la came 393 soulève brusquement la bielle 394 et, avec elle, le doigt 386. Ce mouvement transmis par le tenon 392 au levier 310, a une amplitude telle que ce levier, en pivotant sur l'arbre central 300, est ramené dans sa deuxième position qu'il doit occuper en vue d'une nouvelle opération d'enregistrement. En même temps, le ressort 391 ramène tous les organes décrits dans leur position de repos.
Organes moteurs. - On a décrit jusqu'ici, en plus des totalisateurs proprement dits,, l'agencement et le fonctionnement des organes de
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la machine qui interviennent dans la préparation d'une opération.
On décrira maintenant les organes moteurs qui servent à la mise en marche de la machine en vue de rendre effective l'opération préparée par les moyens décrits.
La force motrice actionnant la machine peut être fournie, ce qui est le cas normal, par un moteur électrique logé à l'inté- rieur de celle-ci, ou bien, en cas de défaut de courant électrique, par l'opérateur lui-même agissant sur une manivelle. Les deux com- mandes peuvent être utilisées à volonté, sans l'intervention d'un accouplement quelconque.
Le moteur électrique 501 (Figs. 36 et 37) qui peut être d'un type approprié quelconque, et qui est, de préférence, un mo- teur monophasé à pôles auxiliaires, fonctionnant à 40-50 per./sec., et muni d'un réducteur de vitesse 502, est suspendu, par des bras
503 (Fig. 37) au coussinet 504 de l'arbre moteur 500, .et son engre- nage 505 est en prise avec la roue dentée 506 folle sur l'arbre 500.
Le moteur 501 repose en outre élastiquement sur la taque de la ma- chine 101 (Fig. 36) avec interposition de -blocs de caoutchouc 109.
Grâce à ce montage flottant, les engrenages 505 et 506 restent cons- tamment en prise sans heurts en dépit des légères oscillations du moteur qui peuvent se produire, pendant le fonctionnement, par suite des variations rapides du couple résistant.
L'accouplement entre la roue dentée 506 et l'arbre 500 est réalisé, pour la durée de l'opération, par un embrayage à galets composé essentiellement d'une cuvette 507 solidaire de la roue den- tée 506 et d'un disque 508 calé sur l'arbre 500. Trois galets 509 (Fig. 36) logés chacun dans une découpure; en forme de coin, du ,disque 508, établissent la connexion entre celui-ci et la cuvette
507 quand ils sont coincés entre ces deux organes par suite de la rotation, dans le sens des aiguilles d'une montre, de la cuvette
507 entraînée par le moteur.
Le coincement des galets 509 est, en outre,favorisé par des ressorts 510 logés dans le corps du disque 508.-
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D'autre part, l'arbre 500 porte une roue dentée 511 qui, par l'intermédiaire des roues dentées 512 et 513 calées sur l'ar- bre 150 est commandée par un pignon 514 calé sur un arbre 515. Ce dernier, qui sort de la machine du côté droit de celle-ci (Figs.l, 35 et 36) porte une manivelle 516 agissant par l'intermédiaire d'un embrayage à galets 517-518, qui a deux galets, mais est par ail- leurs semblable à celui entre le moteur et l'arbre 500. On com- prend donc que l'arbre 500 peut être entraîné soit par le moteur 501, soit par la manivelle 516.
L'arbre de commande 500 fait un tour complet par opéra- tion, ce qui nécessite, en cas de commande manuelle, deux tours complets de la manivelle 516. Si la commande se fait, comme c'est normal, à l'aide du moteur, la rotation de l'arbre 516 est limitée à un tour par le mécanisme suivant : cliquet 519 "(Figs. 36 et 38) à deux becs 521 et 522 peut pivoter sur un axe 520 fixé à la cloison 102. Le bec 521 peut s'engager dans une encoche d'un disque 523 fixe sur l'arbre 500, et empêche de faire tourner celui-ci à l'ai- de de la manivelle 516 tant que la machine n'est pas débloquée comme expliqué plus loin.
Le bec 522 peut s'engager dans une enco- che d'un disque plat 524 (Fig. 37) fou sur le moyeu du disque 523 et portant, perpendiculairement à son plan, trois broches 525 péné- trant chacune dans un trou central de chaque galet d'embrayage 509.
Le bec 522 maintient le disque 524 dans la position de débrayage, les broches 525 repoussant les galets 509, contre l'action des res- sorts 510, dans la partie la plus large des entailles du disque 508.
Entre le disque 524 et le disque 523 sont encore montés, sur le moyeu de ce dernier; un disque à cran 526 (Fig. 39) coopérant égale- ment avec le bec 522 du cliquet 519 et une came 527 qui en est so- lidaire, enfin une came de rupture de contact 528 (Fig. 40) assem- blée de façon réglable au disque 523. Les cames 527 et 528 coopè- rent avec un levier de contact à deux bras, pivotant sur un axe fixe 529 (Fig. 36). Un des bras, 530 de ce levier porte un galet
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531 qui peut s'engager dans les encoches des deux cames 527 et 528 à la fois; l'autre bras 532 du levier de contact se termine par une tige de matière isolante 533 qui rapproche, quand le bras 532 pivote dans le sens des aiguilles d'une montre, deux contacts élec- triques 534 et 534'.
La came de contact 527 solidaire de son disque à cran 526 est soumise à l'action d'un ressort en spirale 535 (Fig. 39) qui tend à la faire tourner dans le sens des aiguilles d'une montre, en avance sur la rotation de l'arbre moteur, mais ce mouvement est normalement rendu impossible par le cliquet 519 dont le bec 521 re- tient le disque 526 dans la position où le galet 531 du bras 530 est engagé dans le creux de la came 527 en même temps que dans celui de la came 528 solidaire du disque d'arrêt 523.
Pour mettre la machine en marche, il faut donc avant tout faire reculer le cliquet 519 et à cet effet on appuie sur la grande touche de déclenchement 440 (Figs. 2 et 33). La touche 440 surmonte une tige 441 guidée, à travers un bloc fixe 442 vers le centre de la machine. Le bout de la tige 441 porte un ergot 444 engagé dans l'ex- trémité fourchue d'un cliquet 450 pivotant sur un axe 449 et s'ap- puyant, par son autre extrémité, contre un épaulement 458 de la plaque 400 qui, comme déjà dit, doit s'échapper vers la droite (sur la Fig. 33) au début du' fonctionnement de la machine. Lorsqu'on en- fonce la touche de déclenchement 440 contre l'action d'un ressort assez fort 443, le cliquet 450 pivote dans le sens des aiguilles d'une'montre et dégage la plaque 400.
Il est à noter qu'il y a lieu de dégager la plaque 400 en appuyant sur la touche 440 même lorsqu'on désire actionner la machine à la main au moyen de la manivelle 516.
On se souviendra que le verrou 401 qui retient également la plaque, a été retiré au cours des mouvements préparatoires des leviers de sélection 290 et de contrôle 310, de sorte que la plaque 400 peut s'échapper vers la droite, sous l'action d'un puissant ressort 403 attaché à la plaque en 438. Dans son mouvement vers la droite, la plaque 400 qui est guidée par une large encoche 429 embrassant l'ar- bre central 300 repousse une bielle 480 et fait pivoter, autour d'un
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axe 431, un des deux bras 432 d'un joug 433 dont l'autre bras 434 (Fig. 36) est relié à un levier 536 fixe sur l'axe 520ui porte le cliquet 519.
Celui-ci est ainsi soulevé et libère les disques 523, 526 et 524; sous l'action du ressort 535, la came 527 tourne d'un certain angle, en avançant par rapport à la rotation ultérieure de l'arbre 500, repousse le galet 531, fait pivoter le levier 530-532 et ferme le contact 534-534', ce qui met le moteur en marche. En même temps, le disque à broches 524 permet aux galets 509 de s'em- brayer, de sorte que l'ensemble des pièces se met à tourner avec l'arbre 500.
Peu avant l'achèvement du tour complet de l'arbre 500, la plaque 400 est ramenée, comme décrit plus loin, à sa position de repos et, en entraînant dans ce mouvement vers la gauche la bielle 430, il provoque l'abaissement' du cliquet 519. Celui-ci rencontre d'abord le cran du disque 526 qui est immobilisé pendant que l'ar- bre 500 tourne encore et retend ainsi le ressort 535. Le galet 531 du bras de levier 530 reste néanmoins en position écartée car, en face de lui, seule la came 527 lui présente son encoche, tandis que la came de rupture de contact 528 se présente encore par sa face circulaire, de sorte que le circuit électrique reste encore fermé et ne s'ouvre que tout à la fin de l'opération, quand l'en- taille de la came 528 se présente également devant le galet 531.
En même temps, le disque à broches 524 est immobilisé par le bec 522 du cliquet 519 et ses broches 525 font reculer les galets 509 pour effectuer le débrayage tandis que l'arbre 500 est arrêté par le cliquet 519 dont le bec 521 retombe dans l'encoche du disque 523. De cette façon, l'inertie du moteur et de son réducteur de vi- tesse n'affecte pas l'arbre 500 car, aussitôt après l'arrêt de celui-ci, la cuvette 507 peut tourner librement jusqu'à l'arrêt du moteur.
Ainsi qu'il a été expliqué, la rotation de l'arbre moteur 500 se transmet, d'une part, à l'arbre à cames 200, par les engre- nages 511, 537, 538,et de là à l'arbre 100 portant les totalisateurs;
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d'autre part à l'arbre 150, par les engrenages 511 et 512.
Plaque de sécurité.- On a déjà dit qu'au début de chaque opération, la plaque 400 libèrée par la manipulation de la grande touche de déclenchement 440, s'échappe vers la droite sous l'action du ressort 403 (Fig. 33) et met ainsi le moteur 501 en marche.
Le ressort 403, attaché à la plaque 400 en 438 est fixé par l'autre extrémité à une bielle 404 articulée en 405 à un bras 406 qui peut pivoter sur l'axe.193 et qui, normalement, est main- tenu immobile par un galet 407 qu'il porte et qui est engagé dans la rainure 408 d'une came à plateau 409 fixée sur l'arbre 200. La bielle 404 est assemblée à la plaque 400 par l'intermédiaire d'un bouton 410 fixé à la plaque et engagé dans une boutonnière 411 de la bielle. Quand la plaque s'échappe vers la droite, sa course est limitée par la longueur de la boutonnière 411, la bielle restant immobile.
Pendant son mouvement vers la droite et son mouvement de retour, la plaque 400 assure encore d'autres fonctions qui seront décrites maintenant. Il a été'dit qu'après la préparation d'un en- registrement et pendant toute la durée de celui-ci, les touches 215 doivent rester verrouillées par les arcs de verrouillage 229 qui ne permettent ni d'enfoncer une nouvelle touche, ni de libérer les touches enfoncées. Les arcs 229 sont commandés depuis la plaque 400 qui coiaporte, à cet.effet, une rainure courbe 412 dans laquelle peut coulisser une broche 413 portée par une fourche 414 (Fig. 33). Celle- ci est guidée, à l'une de ses extrémités, sur l'arbre central 300 et articulée, à l'autre, à un bras 415 calé sur un axe 416 supporté par la cloison 102 et par une console 417 fixée à la cloison 103.
L'échappement de la plaque 400 vers la droite a pour effet de sou- lever, par la broche 413 la fourche 414 et de faire pivoter le bras 415 et l'axe 416 dans le sens contraire à celui des aiguilles d'une montre. Deux bras identiques 418 calés aux extrémités de l'axe 416 portent.une tringle 419 qui s'étend sur toute la largeur du clavier
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de touches et s'engage, par suite du mouvement décrit auquel elle participe, dans les encoches 420 (Fig. 17) des biellettes 230 sup- portant les extrémités supérieures des arcs de verrouillage 229.
Ceux-ci sont ainsi soulevés et bloquent l'ensemble des touches pour la durée de l'opération. Quand, à la fin de l'opération, la plaque
400 est ramenée à gauche, à sa position de repos, tous les mouvements qui viennent d'être décrits se reproduisent en sens inverse, et les touches sont ainsi libérées en vue de la préparation d'un nouvel enregistrement.
Le retour de la plaque 400 à sa position de repos est commandé par la came 409 (Fig. 33) calée sur l'arbre 200 qui ef- fectue un tour pendant chaque opération. Peu avant l'achèvement du tour, la rainure 408 de la came 409 présente au galet 407 une par- tie rentrante qui oblige,le bras 406 à pivoter rapidement, autour de l'axe 192, d'abord à gauche, puis à droite. Dans son mouvenent vers la gauche, le bras 406 est accompagné par la bielle 404, la plaque 400. et le ressort 403 qui ne s'oppose donc pas au retour de la plaque 400 vers la gauche. La plaque dépasse quelque peu, dans ce mouvement de retour, sa position normale, ce qui permet au cli- quet 450 de retomber devant l'épaulement 458 de la plaque.
Pendant que la came 409 achève son tour, la partie rentrante de¯ la rainure
408 dépasse quelque peu lefgalet 407, ce qui ramène le bras 406 et la bielle 404 un peu à droite, à leur position de repos, et bande le ressort 403. De ce fait la plaque 400 est également ramenée un peu vers la droite et est arrêtée dans sa position normale quand son épaule'fient 458 vient buter contre le cliquet 450.
Pendant le mouvement de retour, à gauche, de la plaque
400, qui marque la fin d'une opération, il y a lieu de faire res- sortir les touches 215 qui ont été enfoncées en vue de l'opération d'enregistrement. A cet effet,la bielle 404 est articulée à une biellette 421 articulée, d'autre part, à un balancier 422 (Figs.
33 et 33a) pivotant sur l'axe 423 et portant, à son extrémité li- bre, une petite plaque 424. Cette plaque 424 présente une encoche
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425 dans laquelle .,est. engagée une broche 426 qui traverse une ou- verture d'une bielle 427 articulée à un levier 428 solidaire d'un joug 374 qui peut pivoter autour de l'axe 361 et s'étend sur toute la largeur du clavier des touches. Quand, vers la fin de l'opéra- tion, la bielle 404 est déplacée vers la gauche sous l'action du galet 407 commandé par la came 409, ce mouvement fait pivoter, en sens contraire à celui des aiguilles d'une montre, le joug 374 (Figs. 33 et 17) qui vient frapper les gâchettes 225 (Fig. 17).
Celles-ci, en pivotant, soulèvent les arcs de détente 223 dont les ergots 222 dégagent les'talons 221 des touches 215 et permettent à toutes les touches qui avaient été enfoncées, de rebondir sous l'action de leurs ressorts de rappel 218. Immédiatement après cela, quand la bielle 404 se retire un peu vers la droite, le joug 374 et, avec lui, les arcs de détente 223, reviennent à leur position nor male.
Il peut arriver accidentellement que la personne qui se sert de la machine maintienne la main sur la touche 440, ce qui pour- rait déclencher une seconde opération. Pour parer à cette éventuali- té, le dispositif de sécurité suivant est prévu.
A côté du cliquet 450 est monté, sur le pivot 449 un con- tre-cliquet 452 muni d'une rainure courbe 453 dans laquelle peut cou- lisser un ergot 451 du cliquet 450. Un ressort 454 tendu entre le cliquet 452 et l'ergot 451 maintient ce dernier à l'extrémité de gauche de la rainure 453 et tient le cliquet 452 soulevé. Ce cli- quet se termine par un crochet déporté latéralement de façon à se trouver dans le plan de la plaque 400, un peu au-dessus d'un épau- lement 455 de celle-ci. Lorsqu'on appuie sur la touche de déclenche- ment 440, le contre-cliquet 452 est appliqué sur l'épaulement 455.
Si la touche 440 restait enfoncée pendant que la plaque 400 revient à gauche à Inachèvement d'une opération, le contre-cliquet 452 tom- berait devant lepaulement 455 de la plaque au moment où celle-ci dépasse un peu vers la gauche, comme décrit, sa position normale, et
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rendrait impossible le déclenchement inopiné d'une deuxième opé- ration. Quand on lâche la touche 440, celle-ci se relève sous l'ac- tion de son ressort 443, abaisse le cliquet 450 un peu en avant de l'épaulement 458 de la plaque, soulève, par l'intermédiaire du res- sort 454 le contre-cliquet 452 et permet ainsi à la plaque 400 de reprendre, sous l'action du ressort 403, sa position normale dé- terminée par la rencontre de l'épaulement 458 avec le cliquet 450.
Touche de répétition.- Ainsi qu'il a été dit, les touches enfoncées en vue d'une opération d'enregistrement sont libérées .et remontent dans leurs positions primitives à la fin de l'opération. 'Fiais, si l'on désire enregistrer plusieurs fois consécutivement le même mon- tant, il est désirable de laisser les touches enfoncées pour qu'il suffise d'appuyer sur la touche de déclenchement 440 à chaque opé- ration suivante, sans autre mouvement préparatoire. A cet effet, la machine comporte une touche 460, nommée "touche de répétition", si- tuée à droite du clavier de touches, en-dessous de la touche 440 (Figs. 2 et 33). La touche 460 surmonte une tige 461 guidée le long de la cloison 102 dans la fente d'un bloc 462 et munie d'un ressort de rappel 463.
Près de son extrémité inférieure, la tige 461 forme un talon 464 dont la face inclinée inférieure vient repousser, quand la touche 460 est enfoncée, un ergot 468 solidaire d'un levier 469 qui pivote sur le pivot 449, et qu'un ressort de rappel, non repré- senté, tend à tirer vers le bas. Dans une rainure 470 du levier 469 est engagéeune broche 471 fixée sur l'un des bras d'un balancier en forme de fourche 472 (Fig. 33a) guidé verticalement par le bout d'axe 423. son extrémité inférieure, le balancier 472 porte la broche 426 qui, comme déjà dit, traverse un trou de la bielle 427 servant à transmettre au joug 374 le mouvement qui sert, à la. fin d'une opération, à libérer les touches enfoncées.
On comprend qu'à l'enfoncement de la touche de répétition 460, le mouvement imprimé par la tige de celle-ci, au levier 469, a pour effet de soulever le balancier 472 avec la broche 426, de faire sortir celle-ci de l'en- coche 425 de la plaquette 424 et de déconnecter ainsi.la bielle 421
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de la bielle 427. Dans ces conditions le joug 374 ne recevant au- cune impulsion à la fin de l'opération, ne libère pas les touches enfoncées, et ce aussi longtemps que la touche de répétition 460 reste enfoncée. Afin d'éviter un rebondissement inopiné de celle- ci, son talon 464 présente une encoche 466 dans laquelle l'ergot 468 s'engage, sous l'action d'un ressort non représenté, dès que la touche 460 est complètement enfoncée.
*Mécanisme de libération des touches.- Quand on ne désire plus répé- ter l'enregistrement du même montant, il faut libérer aussi bien la touche de répétition 460 que les touches 215 du clavier. On utilise à cet effet un bouton 475.se trouvant à droite de la machine, en avant de la manivelle 516 (Figs. 1 et 35). Ce bouton 475 est porté par une tringle 476 articulée, à l'arrière de la machine, à une des trois branches d'un levier en Y, 477, pivotant sur un bout d'axe 478 fixé à la cloison 102. A l'extrémité inférieure du levier 477 est articulée une bielle 479 dont l'extrémité opposée présente une fente 480 dans laquelle est engagée une broche.481 que porte le levier 428 solidaire du joug 374.
Quand l'opérateur. tire vers l'avant de la machine (c'est-à-dire vers la gauche sur la Fig. 35), le bou- ton 475 avec la tringle 476 qui est guidée, à son extrémité anté- rieure par une fente 482 et un tenon,fixe 483, ce mouvement fait pivoter le levier 477 autour de l'axe 478. La bielle 479 se déplace vers l'arrière, entraîne le levier 428 solidaire du joug 374 et fait pivoter celui-ci en sens contraire des aiguilles d'une montre, ce qui a pour effet, comme déjà décrit, de libérer les touches 215 en- foncées,par l'intermédiaire des gâchettes 225 (Fig. 17). Dans son mouvement pivotant, le levier 428 entraîne vers la gauche la bielle 427 avec la broche 426 et l'extrémité inférieure du balancier 472 (Fig. 33).
L'extrémité supérieure de ce balancier décrit un mouve- ment circulaire vers la droite, autour de l'axe 423 comme centre, auquel participe la broche 471 emprisonnée dans la fente courbe 470 du levier 469. La courbure de la fente 470 est moindre que celle
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de la trajectoire de la broche 471, de sorte que le levier 469 se trouve légèrement soulevé et son ergot 468 sort de l'encoche 466, ce qui permet à la touche 460 de revenir à sa position normale, sous l'action de son ressort de rappel 463. Afin que le levier 469 soit soulevé plus facilement, contre l'action de son ressort de rappel, la bielle 479 porte un doigt 484 (Figs. 33 et 35) dont la surface supérieure inclinée vient en-dessous de la broche 426 et la pousse légèrement vers le haut.
Après libération de la touche 460, quand l'opérateur lâche le bouton 475, toutes les pièces sont ramenées à la position correspondant au fonctionnement normal de la machine: le levier 469 avec le balancier 472 sont tirés vers le bas, par le ressort de rappel non représenté du levier 469 jusqu'à ce que la broche 426 s'engage dans l'encoche 425 du balancier 422; le trin- glage 479-477-476, de même que le joug 374 et son levier 428 sont ramenés à leur place par un ressort 485 tendu entre ce dernier le- vier et le doigt 484 de la bielle 479.
On se sert également du mécanisme décrit quand il y a lieu de corriger, avant la mise en marche de la machine, une erreur dans la manipulation des touches: en tirant sur le bouton 475 on libère les touches 215 déjà enfoncées. L'ergot 468 se trouvant en dehors de l'encoche 466 de la touche de répétition qui n'est pas enfoncée, cette touche n'est dans ce cas pas affectée par le maniement du bouton 475.
Quand, à la fin d'une opération d'enregistrement, les touches 215 enfoncées sont libérées de la façon normale, par le recul vers la gauche de la plaque 400, le mouvement transmis au levier 428 par les bielles 421 et 427 n'exerce pas de réaction sur l'ensemble des organes qui viennent d'être décrits car, pendant le mouvement oscillant du levier 428, sa broche 481 coulisse simple- ment dans la fente 480 de la bielle 479, sans déplacer celle-ci ou les organes connexes.
--La libération des touches à l'aide du bouton 475 ne doit
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se faire que lorsque la machine n'a pas encore été mise en marche, c'est-à-dire lorsque la plaque 400 ne s'est pas encore déplacée vers la droite sur la Fig. 33. Afin d'éviter des fausses manoeuvres, la troisième branche du levier en Y, 477 porte une butée 474. Si l'on tire le bouton 475 quand la plaque 400 s'est déjà échappée vers.la droite, la butée 474, en pivotant avec le levier 477 autour de l'axe 478, vient heurter la surface horizontale inférieure de la large encoche 429 par laquelle la plaque 400 est guidée sur l'ar- bre 300 et empêche le maniement du mécanisme de libération des tou- ches, jusqu'au retour de la plaque 400 à sa position de repos, après l'achèvement de l'opération.
Serrure générale.- La mise en marche de la machine, qui exige dans tous les cas le déplacement de la plaque 400 vers la droite, peut être interdite à l'aide de la serrure générale 486 qui se trouve à droite du clavier de touches (Figs. 2 et 35). Le barillet rotatif de cette serrure porte trois bras 487, 488 et 489. Quand on ferme la serrure, les bras se mettent dans la position représentée à la Fig. 35: Le bras 487 se place en-dessous de l'ergot 402 du verrou 401 qui retient, par en-bas, la plaque 400 et empêche donc la mise en marche de la machine.
En même temps, une broche 490 fixée au bras 487 vient en contact avec un levier 491 solidaire, par l'in- termédiaire de la pièce 492 (Figs. 30 et 32) du joug 370; la bro- che 490 fait ainsi basculer le joug 370 qui bloque toutes les tou- ches 215 dans la position de repos, de sorte qu'il devient impossi- ble de les manipuler. Le second bras 488 du barillet, qui a la for- me d'un crochet, s'accroche à une broche 493 de la bielle 479 et empêche ainsi le maniement du mécanisme de libération des touches à l'aide du bouton 475. -Enfin, le troisième bras, 489 est articulé à une tringle 494 articulée d'autre part à un levier 495 pivotant sur le pivot fixe 483 (Figs. 33 et 35). Une broche 499 portée par le levier 495 vient, pendant qu'on ferme la serrure, heurter un talon 496 d'un arc de verrouillage 497 qui est ainsi soulevé.
L'arc 497 est guidé par deux boutons 498 et 498' engagés respectivement ,dans--.une encoche et une fente de l'arc qui est, normalement, tiré
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vers le bas par un ressort non représenté. L'arc 497 présente, à son dos, deux crans 446 et 457, situés normalement à côté des tiges 441 et 461 de la touche de déclenchement 440 et de la touche de répéti- tion 460. Ces tiges portent chacune un ergot, respectivement 445 et
467, qui pénètrent dans les crans 446 et 457 quand on enfonce les touches 440 et 460. Mais lorsque, par la fermeture de la serrure, l'arc 497 est soulevé, les crans s'éloignent des tiges 441 et 461, de sorte qu'il devient impossible d'enfoncer une quelconque des touches 440 et 460.
Bien que le déplacement du levier de sélec- tion 290 reste encore possible, sauf dans la position inférieure, on ne peut manipuler les serrures 331 des totalisateurs, à cause du blocage du verrou 401 de la plaque 400. Ainsi, toute manipula- tion non autorisée de la caisse est interdite par la serrure géné- rale 486.
Variante. - Suivant une forme modifiée de commande des totalisateurs, on fait usage, dans chaque mécanisme régulateur, d'un seul secteur denté, à la place des deux secteurs dentés 240 et 245 précédemment décrits. Dans cette construction modifiée, la rotation de l'arbre de commande débute toujours dans le même sens, quel que soit le genre de l'opération à effectuer. Si l'opération est une mise à zéro d'un totalisateur, la sélection de celui-ci devient effective dès le début de la rotation de l'arbre de commande qui entraîne les disques totalisateurs dans sa course aller ; pendant l'arrêt de l'arbre, les disques totalisateurs s'écartent de leurs entraîneurs respectifs, et l'arbre retourne à sa position normale sans ramener les disques qu'il a entraînés à l'aller.
Par contre, si l'opération est un enregistrement, la course aller de l'arbre de commande s'ef- fectue "à vide", sans entraînement de disques totalisateurs; ceux- ci ne sont amenés en prise avec leurs entraîneurs respectifs que pendant le court arrêt de l'arbre de commande qui les entraîne pen- dant sa rotation de retour. Ce fonctionnement simplifié de la caisse peut être réalisé grâce à quelques modifications dans le mécanisme de sélection, dans la commande de l'arbre de commande et de l'arbre
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central, et dans l'agencement des mécanismes opérateurs. Ces modi- fications seront maintenant décrites.
A la place de la came à rainure profilée 151 (Fig. 8), l'arbre à cames 150 porte deux cames 550 et 551 (Figs. 44 et 45) avec lesquelles coopèrent deux leviers courbes 554 et 555, dont hhacun porte un galet, respectivement 552 et 553 qui roule sur la périphérie de la came correspondante 550 ou 551. Les deux leviers 554 et 555, qui peuvent, sous l'influence des carnes 550, 551, pivo- ter sur un pivot fixe 556, se terminent, chacun,par un doigt 557, dont la rencontre avec un ergot 558 (ou 559) de la came 550 (ou 551) a pour effet de ramener à sa place normale celui des leviers 554 ou 555 que la came 550 ou 551 avait fait pivoter. A l'extrémité op- posée, chacun des leviers 554, 555 se termine par une partie élar- gie (Figs. 46 et 47) dans laquelle est pratiquée une fente, respecti- vement 560 et 561.
Dans ces deux fentes est engagée l'extrémité d'un même levier 562 calé sur l'axe 154 qui est monté dans le support fixe 155 de façon à pouvoir non seulement osciller, mais aussi cou- lisser dans une faible mesure.
L'axe 154 reçoit son mouvement de coulissement d'un balan- cier 565 (Fig. 44) qui peut pivoter sur un pivot fixe 566, et dont l'extrémité fourchùe est engagée dans une gorge 564 que l'axe pré- sente à .son extrémité de gauche. Le balancier 565 porte deux galets 567 et 568 qui coopèrent alternativement avec une came 569 calée sur l'arbre 168. Une oscillation imprimée à l'arbre 168 (par la manoeuvre du levier de contrôle 310, comme déjà décrit avec référence à la Fig. 10), se traduit donc par un déplacement de l'axe 154 vers la gauche ou vers la droite, suivant que la came 569 vient repousser le galet 567 ou 568 du balancier 565.
Le mouvement oscillant de l'axe 154 lui est imprimé par le levier 562. Les fentes 560 et 561, dans lesquelles est engagée l'extrémité du levier 562, qui accompagne l'axe 154 dans son mouve- ment coulissant, sont profilées de telle façon que, placée à gauche
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dans les fentes (Fig. 46) l'extrémité du levier 562 n'est soulevée que par le levier courbe 554, quand celui-ci oscille sous l'influen- ce de le. came 550. Par contre, quand l'extrémité du levier 562 est placée, par le coulissement de l'axe 154, dans la partie de droite des fentes 560 et 561 (Fig. 47), c'est-le levier courbe 555 qui seul peut soulever le levier 562, en faisant ainsi osciller l'axe 154.
Les bossages des cames 550 et 551 ont des positions angu- laires telles, par rapport à l'arbre 150 que, lorsque l'axe 154 est dans sa position de droite, ce qui est le cas quand le levier de contrôle 310 est placé dans une position préparatoire à une opéra- tion de mise à zéro, l'axe 154 reçoit une oscillation, par l'inter- médiaire de la came 551 et des leviers 555 et 562, dès le début de la mise en marche de la machine, et est ramené à sa position angu- laire normale au moment où l'arbre de commande 100, après avoir tourné d'un tour, est arrêté avant sa rotation de retour. L'oscil- lation de l'axe 154 a pour effet de rendre effective la sélection des totalisateurs destinés à participer à l'opération, comme décrit avec référence aux Figs. 7 à 12.
Par contre, quand le levier de contrôle 310 est déplacé en vue d'une opération d'enregistrement, ce mouvement se transmet par la crémaillère 169 (Fig. 10) à l'arbre 168 et par la came 569 et le balancier 565 à l'axe 154 et au levier 562, dont l'extrémité se place dans la partie de gauche des fentes 560 et 561 (Fig. 46). Dans ce cas, c'est le levier courbe 554 qui fait osciller l'axe 154 au moment où l'arbre de commande 100 est arrêté après sa rotation d'aller. En ce moment, la sélection des totalisateurs destinés à participer à l'opération devient effective, et leurs disques sont entraînés pendant la rotation de retour de l'arbre de commande 100.
D'après ce qui précède, on fera donc débuter la rotation de l'arbre de commande 100 toujours dans le même sens, ce qui rend inutile sa commande par l'intermédiaire du dispositif à changement de sens de marche (Figs. 13 à 16). Dans la construction modifiée,
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la rotation de l'arbre de commande dérive, comme précédemment, de deux cames 187 et 188 (Fig.41) calées sur l'arbre à cames 200 et agissant sur les deux galets 190 et 191 d'un levier double 189 qui peut pivoter sur l'axe 192. A son extrémité supérieure, en 193, le levier 189 est articulé à deux bielles 571 et 572. La bielle 572 commande, par un bouton 573, un secteur denté 574 qui est fou sur l'arbre central 300 et engrène avec le pignon 202 calé sur l'arbre de commande 100.
Le pignon 202 engrène d'autre part avec un pignon 575 qui est en prise avec un secteur denté 576 calé sur l'arbre central 300. De cette façon, quand, à la mise en marche de la ma- chine, l'arbre à cames 200 effectue un tour complet avec ses cames 187 et 188, celles-ci, en'vertu de leur profil, impriment à l'ar- bre de commande sa rotation d'un tour suivie, après un court arrêt, d'une rotation d'un tour en sens inverse; et en même temps l'arbre central 300 reçoitson mouvement habituel. Afin qu'il n'y ait aucun retard dans la rotation de l'arbre central 300 par rapport à celle de l'arbre de commande 100, la bielle 571 attaque le secteur denté 576 par le bouton 577 et corrige ainsi le jeu des organes de trans- mission qui pourrait se manifester vers la fin de course.
A son extrémité inférieure en 578, le bras du secteur denté 574 est articulé à une bielle 590 qui commande, par un bou- ton 591, le cadre 643 qui intervient dans le fonctionnement de l'indicateur, comme décrit plus loin.
Ainsi que déjà dit, la commande modifiée de l'arbre de commande 100 permet de remplacer, dans chaque mécanisme régulateur, les deux secteurs dentés (240 et 245), par un secteur denté unique 592 (Fig. 48) qui participe à toutes les opérations, tant d'enregis- trement que de mise à zéro. Par ailleurs, le fonctionnement du mé- canisme régulateur est sensiblement le même que précédemment. Dans chacun de ses déplacements, le secteur denté 592 est accompagné de la plaque 248 qui est maintenant rendue solidaire du secteur denté 592 par deux entretoises 593 (Figs. 48 et 49). Le dispositif de verrouillage, avec ses organes 249 à 255 est le même que celui
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décrit précedemment, avec référence à la Fig. 17.
Les mouvements des mécanismes suivant les Figs. 41 à 50, d'une part pendant une opération d'enregistrement, d'autre part pendant une opération de mise à zéro, sont les suivants:
Préalablement à la mise en marche de la machine en vue d'un enregistrement, on manoeuvre le levier de sélection 290 pour sélectionner le totalisateur individuel destiné à participer à l'opération, et le levier de contrôle 310 que l'on place dans la po'sition correspondant au genre de l'opération, à savoir "Ticket-, simple" ou "Ticket avec addition" (Fig. 2).
Le mouvement du levier 510 se traduit par une rotation de l'arbre 168 (Fig. 44) telle que la came 569 repousse le balancier 565, avec l'axe 154 et le levier 562, vers la gauche, de sorte que l'extrémité du levier 562 se place à gauche dans les fentes 560,561 (Fig. 46) et ne pourra êtresoulevée que par le levier courbe 554.
A la mise en marche de la machine, l'arbre 200 (Fig. 41) commence à tourner dans le sens de la flèche, et presque immédia- tement ses carnes 187 et 188 impriment au secteur denté 574 une ro- tation à gauche puis, après un court arrêt, le ramènent à la po- sition représentée. Le pignon 202 calé sur l'arbre de commande 100 transmet de ce fait à l'arbre de commande une rotation d'un tour complet dans le sens des aiguilles d'une montre puis, après le court arrêt, d'un tour en sens inverse. En même temps, par le pi- gnon 575, le secteur denté 576 calé sur l'arbre central 300, re- çoi t un mouvementsemblable à celui du secteur 574, mais en sens inverse.
L'arbre de commande 100, dont les entraîneurs 138 sont engagés dans les rainures 159 des roues dentées 137, entraîne celles-ci et, avec elles, les secteurs dentés 592 de tous les mé- canismes opérateurs. Chaque fois qu'un des doigts 249 rencontre, à la course aller, la tige d'une touche enfoncée (ou un cliquet zéro), il interrompt la. rotation du mécanisme opérateur auquel il appar- tient et arrête ainsi la roue dentée 137 correspondante. Chaque mé- canisme opérateur reste bloqué dans la position atteinte, par son verrou 250.
Du fait de l'arrêt de .la roue dentée, pendant que l'ar- poursuit Sa rotation jusqu'à l'accomplissement du tour, le
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dispositif d'accouplement 138-123-122 pivote et poursuit sa rota- tion, avec les entraîneurs 138 et.122 inclinés, jusqu'à l'achèvement de la course d'aller de l'arbre 100. Il est à noter, que pendant toute cette première phase du mouvement, aucun disque totalisateur n'est entraîné, car la sélection n'est pas encore devenue effective.
Au moment où l'arbre de commande 100 s'arrête après sa course d'aller, le bossage de la came 550 (Fig. 44) atteint le galet 552 du levier courbe 554 et fait pivoter celui-ci qui, à son tour, soulève l'extrémité du levier 562 (Fig. 46) et fait pivoter l'axe 154. Ainsi que décrit avec référence aux Figs. 6 à 10, le pivotement de l'axe 154 imprime à l'arbre de sélection 125 le mou- vement axial, auquel participe le totalisateur sélectionné dont les mentonnets 110' à encoches viennent se placer dans le plan des entraîneurs 122 correspondants. Ensuite commence le mouvement de retour des secteurs dentés 574 et 576 et de l'arbre de commande 100.
Dans sa rotation de retour, l'arbre de commande 100 n'en- traîne pas immédiatement les disques totalisateurs 110 et les roues dentées 137. Cet entraînement ne débute, pour chaque ordre numéri- que, qu'au moment où l'entraîneur 138, rencontrant la rainure 139 de sa roue dentée 137, s'y engage et redresse le dispositif d'ac- couplement. Au même instant, l'encoche 254 du segment 255 se présen- te devant le galet 253 du dispositif de verrouillage et permet au verrou 250 de reculer et de débloquer tout le mécanisme opérateur correspondant.
A partir de ce moment la roue dentée 137 entraîne, par le dispositif d'accouplement 138-123-122 le ou les disques to- talisateurs 110 du même ordre numérique du ou des totalisateurs sé- lectionnés et, par le pignon 242, le secteur denté 592 et tout le mécanisme opérateur, jusqu'à la position de repos de celui-ci, c'est- à-dire jusqu'à l'achèvement de la rotation de retour de l'arbre de commande 100. On comprend que, dans chaque ordre numérique, les dis- ques totalisateurs 110 accompagnent l'arbre de commande 100 pendant autant de dixièmes de tour, que le mécanisme opérateur a pu faire de dixièmes de sa course à l'aller, avant d'être arrêté par une
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touche enfoncée, et ce nombre de dixièmes est égal à la valeur nu- mérique de la touche enfoncée.
Ainsi, par exemple, si le chiffre à enregistrer dans un ordre numérique donné est "7", le mécanisme opérateur a été arrêté par la touche "7" enfoncée, après sept di- xièmes de sa course ; mécanisme d'accouplement a accompagné la roue dentée 137 pendant sept dixièmes de tour, puis il a pivoté et effectué les trois dixièmes restants sans la roue dentée 137, avec les entraîneurs 138 et 122 inclinés. Au retour, les entraîneurs 138 et 122 restent inclinés pendant les premiers trois dixièmes de tour puis se redressent quand l'entraîneur 138 rencontre la rai- nure 139, et entraînent les disques totalisateurs 110 pendant sept dixièmes de toux, leur faisant ainsi enregistrer le chiffre 7.
A l'arrêt de l'arbre 100 et des mécanismes opérateurs, le bossage de la came 550 (Fig. 44) quitte le contact du galet 552 du levier 554, et l'ergot 558, en heurtant le doigt 557 du levier 554, ramène celui-ci à sa position normale, de même que le levier 562 et l'axe 154, à la suite de quoi l'arbre de sélection 125 coulisse avec le ou les totalisateurs qui ont participé à l'opération et écarte les mentonnets 110' de leurs disques 110 des entraîneurs 122. La machine est ainsi prête à la préparation de l'opération suivante.
Pendant une opération de mise à zéro d'un totalisateur, le fonctionnement ne diffère que de peu de celui qui vient d'être décrit. La manoeuvre préparatoire du levier de contrôle 310 amène, par l'arbre)168, la came 569 et le balancier 565, le coulissement de l'axe 154 vers la droite, de sorte que l'extrémité du levier 562 se place dans la partie de droite des fentes 560,561, ainsi que représenté sur la Fig. 47.
Dès la mise en marche de la machine, le bossage de la came 551 soulève, par le galet 553, le levier courbe 555, et celui- ci actionne le levier 562 et l'axe 154, ce qui rend effective la sélection du totalisateur quon désire remettre à zéro. A ce mo- ment, les cames 187 et 188 (Fig. 41) mettent en rotation, comme
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décrit les secteurs dentés 574 et 576 et, avec eux, les mécanismes opérateurs et l'arbre de commande 100. Les dispositifsd'accouple- ment 138-123-122 étant normalement en position active, tous les disques totalisateurs 110 du totalisateur sélectionné accompagnent l'arbre 110 jusqu'à ce que chacun d'eux soit arrêté (par la rencon- tre de la dent 140 de sa roue de lecture 120 avec la butée 281,
Fig. 20) en position zéro.
Dès qu'un disque 110 atteint cette posi- tion, son entraîneur 122 qui continue à tourner avec l'arbre 100, s'incline, en faisant pivoter la barre 123 et l'entraîneur 138 qui cesse ainsi d'entraîner, sa roue dentée 137 avec le secteur denté
592. Le segment 255, qui continue à tourner avec l'arbre 300, fait avancer le verrou 250 qui bloque tout le mécanisme opérateur dans la position atteinte.
A la fin de la course d'aller de l'arbre 100, la came 551 dégage le galet 553, et le levier courbe 555 est ramené à sa posi- tion normale par l'ergot 559 qui, à ce moment, heurte le doigt 557 du levier 555. Celui-ci abaisse le levier 562, et l'axe 154, en pivotant en sens inverse, ramène l'arbre de sélection 125 à sa po- sition normale, en écartant les disques totalisateurs 110 de leurs entraîneurs 122. La rotation de retour de l'arbre 100 se fait donc sans entraînement de disques 110. Pendant cette rotation de retour, les entraîneurs 122 et 138 se redressent au fur et à mesure de la rencontre de chacun de ces derniers avec la rainure 139 de la roue dentée 137 correspondante qui, à partir de ce moment, ramène le mécanisme opérateur, déverrouillé par son segment 255, à sa posi- tion de repos.
Qu'il s'agisse d'une opération d'enregistrement ou de mise à zéro, pendant la course d'aller, le secteur denté 574 (Fig.
41) entraîne, par son bouton 578, la bielle 590 vers la droite et, vers la fin de la course, celle-ci fait pivoter, dans le sens des aiguilles d'une montre, le cadre 643 avec la barre 642 qui repousse tous les leviers fourchus 631 contre les moyeux des plaques 248, ce qui est nécessaire pour le fonctionnement de l'indicateur qui Osera maintenant décrit.
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Indicateur.- L'indicateur se compose essentiellement de paquets de plaques rectangulaires 601 (Figs. 1, 36, 51, 52, 53) portant sur une face les caractères ou chiffres servant à composer l'indication voulue. Ces paquets de plaques sont groupés en deux séries, les pla- ques d'une des séries portant leur inscription du côté de l'opéra- teur, et celles de l'autre série du côté du client, de sorte que chaque indication complète apparaît sur les deux faces de la caisse.
Pour que ces deux indications ap?araissent simultanément, les deux paquets de plaques qui, dans les deux séries, doivent faire appa- raître le même signe ou chiffre, sont réunis par paires à une com- mande commune. Ainsi, les paquets de plaques indiquant les centimes de chacune des deux indications, forment une paire, et il en est de même pour les plaques indiquant respectivement les décimes, les uni- tés etc., et aussi pour les deux paquets de plaques portant les signes conventionnels qui, suivant le cas, caractérisent le genre de l'opération en cours ou le totalisateur qui y participe.
Il est à noter que les deux paquets de plaques formant une paire ne sont pas adossés l'un à l'autre; au contraire, afin que l'indication sur chaque face de la caisse soit correctement composée, les deux pa- quets de plaques, par exemple ceux des centimes, qui forment une paire, se trouvent aux extrémités opposées de l'indicateur, de façon que leurs chiffres soient les derniers, à droite, dans cha- cune des indications.
Dans l'exemple représenté, chaque série comporte huit paquets de plaques : (le premier à gauche) pour les signes con- ventiondels, et les sept autres ppur les chiffres de 0 à 9, ce qui permet de composer tout montant jusqu'à 99999.99. Chaque plaque 601, sauf la dernière de chaque paquet, se prolonge vers le bas par une tige 602 et dans chaque paquet, les tiges sont décalées latéralement l'une par rapport . 1'autre (Figs. 51 et 53) de manière à être dis- posées en gradins. Les tiges 602 de chaque paquet traversent des ouvertures de forme correspondante du bâti 600 de l'indicateur et 1 lune-plaque de guidage 603 supportée, au-dessus du bâti 600, par
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des montants 604.
Chaque plaque peut occuper une position supé- rieure, dans laquelle le chiffre qu'elle porte est visible derrière la fenêtre de l'indicateur, tandis que l'extrémité inférieure de sa tige 602 est au niveau du bâti 600; et une position inférieure qu'elle atteint en descendant verticalement d'une hauteur égale à celle de la plaque 601 pour découvrir la plaque suivante du paquet.
La première plaque de chaque paquet étant celle qui porte le chif- fre zéro, et les autres chiffres suivant dans l'ordre sur les pla- ques successives, on comprend qu'il suffit, pour composer un mon- tant quelconque, de faire descendre, dans chaque. paquet, autant de plaques que le montant à composer comporte d'unités dans l'ordre nu- mérique correspondant. La dernière plaque de chaque paquet ne doit jamais être abaissée; par conséquent elle est fixe et n'a pas de tige.
Le relèvement des plaques 601 descendues au cours d'une opération précédente et la descente des plaques en vue de composer le montant de l'opération en cours, s'opèrent à l'aide d'un organe de manoeuvre 605 (Fig. 36) en forme d'auge renversée, qui s'étend sur toute la largeur de l'ensemble des plaques et repose, par son sommet, sur une barre 606. Celle-ci est guidée verticalement par deux tiges 607 qui la supportent et qui coulissent à l'intérieur des montants 604. L'auge 605 a des pattes latérales 608 qui pas- sent, en-dessous des plaques, entre les paquets voisins. Chaque patte 608 porte un organe d'entraînement tel qu'un rouleau élasti- que 609 qui s'insère dans l'interstice entre les paquets de plaques voisins.
Le frottement entre le rouleau 609 et le bord des plaques 601 est suffisant pour entraîner dans la descente, avec les rouleaux 609, celles des plaques qui ne sont pas retenues dans la position supérieure.
La descente des plaques est commandée par le mécanisme suivant: Deux paires de bielles verticales 610 (Fig. 36) sont ar-
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ticulées, en haut, à la barre 606 et en bas, à deux leviers 611 pouvant pivoter sur des tourillons 612 fixés aux supports613 qui sont assemblés à la taque 101 de la machine. Chaque levier 611 pré- sente une encoche 614 dans laquelle est engagé un galet 615 fixé sur un bras 616 qui est calé sur l'arbre 192. Entre les deux bras 616 est calé sur l'arbre 192 un levier coudé 618 dont chaque bras porte un galet 619, 619' respectivement. Les galets 619, 619' coopèrent respectivement avec des carnes 620, 621 calées sur l'arbre 200 qui fait un tour par opération; de ce fait, le levier 618 imprime à l'arbre 192 une oscillation au cours de chaque opération.
Ce mouve- ment oscillant de l'arbre 192 est transmis par les bras 616, les galets 615, les leviers 611 et les bielles 610 à l'auge 605, sous forme d'un mouvement descendant suivi d'un mouvement ascendant.
Le profil des carnes 620, 621 est tel qu'au début de chaque opération, toutes les plaques sont soulevées et restent dans leur position su- périeure jusqu'à ce que, vers la fin de l'opération, l'auge 605 descende en entraînant celles des plaques qui entretemps ont été libérées à cet effet. La libération des plaques s'effectue à l'aide du mécanisme suivant, identique pour chacun des ordres numériques:
En-dessous du bâti 600 et de l'extrémité inférieure des tiges 602 quand les plaques 601 sont en position supérieure, se trouve une série de lattes juxtaposées 622 (Figs. 36, 51,52, 53, 54), une pour chaque paire de paquets de plaques 601.
Chaque latte 622 porte une paire de pattes horiontales 623 et 624, qui viennent se placer en-dessous des tiges des deux paquets de plaques de même ordre numérique et s'appuient, par leurs extrémités libtes, sur des cornières 625 longeant le bâti 600. Chaque latte est guidée longi- tudinalement par ses fentes allongées 626 dans lesquelles sont en- gagées des broches 627 et, dans la fente extrême de droite (Fig.51) une broche 628. A l'extrémité de droite, le bord inférieur de cha- que latte 622 est taillé en crémaillère 629.
Quand une latte 622 est dans sa position extrême à gau- che, ses pattes 623 et 624 supportent les tiges 602 de toutes les -
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plaques indicatrices 601 des deux paquets de plaques de l'ordre numérique correspondant. Ces plaques, dont un paquet est tourné vers l'opérateur et l'autre vers le cliente sont donc toutes en po- sition supérieure et laissent apparaître le zéro inscrit sur la première plaque de chaque paquet.
Les tiges 602 des plaques étant décalées en gradins, comme le montre en plan la Fig. 53, il suffit de déplacer une latte 622 avec ses pattes 623 et 624 vers la droite d'un certain nombre de "pas" (dont chacun est égal à la distance dont chaque tige 602 est décalée par rapport à la tige suivante) pour permettre à autant de plaques, dans chacun des deux paquets que cette latte commande, de descendre en position inférieure et découvrir l'inscription que porte la première plaque non descendue.
Ainsi par exemple quand, dans un ordre numérique donné, le chiffre à enregistrer est "4", il faut que la latte 622 correspondant au même ordre numérique soit déplacée vers la droite de quatre pas, ce qui permettra d'abaisser les quatre premières plaques portant respectivement les chiffres 0, 1, 2, 3 et fera apparaître le chiffre "4" sur la plaque suivante qui n'est pas abaissée. Chaque crémaillè- re 622 est commandée à cet effet depuis le mécanisme de touches par l'intermédiaire du mécanisme opérateur du même ordre numérique.
Chaque mécanisme opérateur en plus des organes déjà décrits, com- porte, articulé en 630 à la plaque 248 (Fig. 17) un levier en for- me de fourche 651-dont l'extrémité bifurquée coopère avec un ergot 633 d'un secteur denté 632 pivotant sur l'arbre 300. La possibilité de pivotement du levier 631 par rapport à la plaque 248 est limitée par le moyeu 248' de cette plaque que vient heurter la partie mé- diane du levier 631,courbée de façon à contourner le moyeu. On a déjà expliqué comment, au cours de chaque opération d'enregistre- ment, cette plaque 248 tourne dans le sens des aiguilles d'une mon- tre d'un angle proportionnel au nombre d'unités à enregistrer dans l'ordre numérique auquel il appartient, et comment il est ramené à sa position de repos à la fin de l'opération.
Les mouvements du
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levier 631 sont transmis par l'ergot 633 et une bielle 634, un bras courbe 635 qui est solidaire d'une roue hélicoïdale 636 et peut tourner avec celle-ci sur un arbre 637 (Figs. 17 et 51) supporté par des oreilles 638 du bâti 600. La roue hélicoïdale 636 engrène avec un pignon 639 calé sur un petit arbre transversal 640 sup- porté également par le bâti 600. L'arbre 640 porte, en outre, un pignon droit 641 en prise avec la crémaillère 629 de la latte 622.
Les rapports de transmission de tous ces organes sont tels que la rotation de la plaque 248 limitée par l'enfoncement d'une touche provoque un déplacement vers la droite de la latte 622 d'un nombre de "pas" égal au chiffre que porte la touche enfoncée; de ce fait, autant de plaques 601 sont libérées, dans chacun des deux paquets d'une paire, pour descendre et découvrir la plaque suivante sur laquelle le même chiffre devient visible. Les mouvements des or- ganes de transmission sont commandés, par le levier 631 et l'ergot 633 du secteur denté 632 de la façon suivante:
Le montant d'une opération précédente indiqué par les plaques 601 reste visible jusqu'à l'opération suivante au cours de laquelle l'indication précédente disparait pour faire place à la nouvelle indication.
Tandis qu'à la fin de l'opération précédente, la plaque 248 a été ramenée à sa position de repos par les moyens déjà décrits, l'ergot 633 du secteur 632 a été maintenu en place, à l'aide du dispositif de blocage des lattes 622 décrit plus loin.
De ce fait, la fourche 631 a effectué un mouvement composé d'une rotation autour de l'ergot 633 et d'une translation suivant la li- gne 630-633. Quand, au début de l'opération en cours, la plaque 248 avance de nouveau dans le sens des aiguilles d'une montre, en en- traînant le levier en fourche 631, celui-ci refait, en sens inverse, ledit mouvement composé, jusqu'à ce que sa partie médiane courbe vienne s'appliquer contre le moyeu 248' de la plaque 248.
Si, à partir de ce moment, le mouvement de la plaque 248 continue, ce qui est le cas quand le chiffre à marquer est plus grand que le chiffre marqué au cours de l'opération précédente, le levier
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631 décrit une rotation simple autour de l'axe 300 et déplace l'ergot 633 avec le secteur 632, la bielle 634 et les autres or- ganes de transmission jusqu'à la position qui correspond au nou- veau chiffre à marquer.
Si le nouveau chiffre est égal à celui précédemment mar- qué, le levier 631 s'arrête au moment où il s'applique contre le moyeu 248'de la plaque 248.
Enfin, si le nouveau chiffre est plus petit que le chif- fre précédent, le levier 631 s'arrête avec la plaque 248, sans venir en contact avec le moyeu 248' de celle-ci.¯ Pour que l'indica- teur puisse marquer le nouveau chiffre, il faut donc que le levier 631 soit repoussé contre le moyeu de la plaque 248 en ramenant le secteur 632 avec son ergot 633 à la position qui correspond au nouveau chiffre. Ceci s'effectue à l'aide d'une barre 642 qui s'é- tend sur toute la largeur du compartiment des touches et constitue un des côtés d'un cadre rigide dont les autres côtés sont formés par un joug 643 qui peut pivoter sur l'axe 350 Le joug 643 est relié par un bras 644 (Fig. 27) à une fourche 645 qui porte un galet 646 coopérant avec une came 647 calée sur l'arbre à cames 200.
Le profil de cette came est tel qu'au moment où les secteurs 240 ou 245 (suivant qu'il s'agit d'une opération d'enregistrement ou de mise à zéro) ont achevé leur mouvement d'aller et sont momen- tanément arrêtés, la came 647 imprime à la fourche 645 un rapide mouvement vers la gauche qui se traduit, à la barre 642 par une oscillation dans le sens des aiguilles d'une montre. Au cours de cette oscillation, la barre 642 heurte le dos de la partie courbe de tous les leviers 631 qui sont restés à l'écart du moyeu des plaques 248 correspondantes, et les pousse vers ceux-ci. Les le- viers 631 qui subissent ce mouvement, entraînent les ergots 633 et les secteurs 632 correspondants et les placent dans la position qui correspond au chiffre à marquer par chacun d'eux.
Les plaques indicatrices correspondantes 601 étant ainsi libérées par les lat- tes -622-commandées depuis l'ergot 633, le montant de l'opération
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en cours apparaîtra à l'indicateur au moment où l'auge 605 est abaissée par les moyens décrits. Il est à noter que l'indicateur indique non seulement le montant d'une opération d'enregistrement, mais aussi celui d'une mise à zéro, parce que la commande de l'in- dicateur se fait, à l'intervention des plaques 248, que celles-ci soient déplacées par les secteurs dentés 240 (enregistrement) ou par les secteurs dentés 245 (mise à zéro).
Afin de neutraliser le jeu possible des articulations, il est nécessaire d'assurer l'alignement correct des lattes 622 im- médiatement après leur déplacement, avant que les plaques 601 li- bérées aient commencé leur mouvement de descente. Ensuite, jusqu'à la fin de l'opération en cours et jusqu'au début de l'opération suivante, les lattes 622 doivent être verrouillées contre tout dé- placement intempestif. A cet effet est prévu un dispositif aligneur commandé depuis l'arbre à cames 200. Un levier 648 coudé à angle droit et pivotant sur l'arbre 192 (Figs. 51,52), porte à l'extré- mité d'un de ses bras un galet 649 coopérant avec une came 650 calée sur l'arbre 200. Un ressort non représenté tend à appliquer le galet contre la surface de la came 650.
L'autre bras du levier
648 est relié, par une bielle 651, à l'une des extrémités d'un fléau
652 suspendu, à pivot à l'un des axes 640 (le septième à partir de la droite, dans l'exemple représenté) du mécanisme de commande des lattes 622. A son autre extrémité, le fléau 652 est connecté, par sa boutonnière 653 et un bouton 654, à l'aligneur proprement dit.
Celui-ci se compose de deux leviers 655, 655' (Figs. 51 et 55) pi- votant sur des vis-pivots 656 vissées dans des barres fixes 657 qui flanquent, de part et d'autre, les lattes 622 et portent les broches
627 servant de guides aux lattes 622. A leur extrémité libre, les leviers 655, 655' sont reliés par un couteau transversal 658 qui peut s'engager dans les creux d'une denture 659 pratiquée à la face inférieure des lattes 622, et dont le pas correspond aux pas du déplacement des lattes.
Quand la machine est au repos, la came 650
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présente au galet 649 une surface circulaire de grand rayon (Fig.52) qui tient le levier coudé 648 dans une position telle que l'extré- mité de droite du fléau 652 est tirée vers le bas et le couteau 658 est soulevé et engagé entre les dents 659 des lattes 622 qui sont, de ce fait, correctement alignées et bloquées contre tout déplace- ment. Au début de l'opération, la came 650 présente au galet 649 sa surface de rayon réduit et, sous l'action de son ressort, le levier coudé 648 pivote en soulevant la bielle 651 et le fléau 652 dont l'autre extrémité descend en retirant le couteau 658 d'entre les dents 659. A ce moment commence le déplacement des lattes 622 en vue de la préparation de l'inscription du nouveau montant à l'in- dicateur.
Dès que les lattes ont été déplacées, la came 650 repousse à nouveau le levier 648 et bloque les lattes 622, en les alignant avec précision, dans leur nouvelle position jusqu'à la fin de l'opé- ration, pendant que les plaques 601 descendent en faisant apparaî- tre le montant sur lequel porte l'opération en cours.
Il a été dit qu'à la fin de l'opération, les ergots 633 des secteurs 632 sont maintenus contre tout déplacement par le dis- positif aligneur. On comprendra donc que, pendant que les lattes 622 sont bloquées par le couteau 658, les organes de transmission, parmi lesquels se trouvent les bielles 634 et qui reliant ces lattes chacune à un ergot 633, sont également immobilisés, de sorte que les ergots 633 et les secteurs dentés 632 sont effectivement blo- qués jusqu'au moment où les lattes 622 doivent être déplacées pour préparer l'inscription à l'indicateur.
Le fonctionnement de l'indicateur, tel que décrit jusqu' ici, concerne les sept paires de paquets de plaques 601 qui por- tent des chiffres pour composer le montant des opérations. L'indi- cateur comporte cependant une huitième paire de paquets de plaques (à partir de la droite) qui n'indiquent pas de chiffres mais des signes caractérisant les ..totalisateurs individuels participant à l'opération ou désignant le genre de l'opération.
Cette.paire de paquets de plaques n'est par conséquent
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pas commandée à l'aide des plaques 248 qui accompagnent les sec- teurs dentés 240 ou 245, mais directement depuis le levier de sé- lection 290, qui comme expliqué, est placé, préalablement à chaque opération, dans une position qui détermine la sélection d'un des totalisateurs individuels, ou du totalisateur de jour seul (en vue de sa mise à zéro), ou encore le fonctionnement sans aucun totali- sateur (opération dite "change").
A côté du levier de sélection 290 (Fig. 55) se trouvent, fous sur l'arbre central 500, un secteur denté 632 avec son ergot
633, et un levier fourchu 631, identiques à ceux déjà décrits. Tou- tefois, ce levier 631 est articulé, en 630 au corps du levier de sélection 290, et peut s'appliquer contre le moyeu 690 de ce même levier 290. Du fait que tous les organes de l'indicateur restent bloqués, depuis la fin de l'opération précédente, jusqu'à l'apparition de l'indication de l'opération en cours, les liaisons décrites pour- raient empêcher le déplacement, préalable à toute opération, du levier de sélection 290, notamment quand ce déplacement doit se faire de bas en haut.
Afin de ne pas entraver un tel mouvement du levier 290, la bielle rigide 634 reliant l'ergot 633 au bras courbe
635 est remplacée par une bielle extensible, faite de deux parties
634 et 634', articulées respectivement à l'ergot 633 et au bras 635.
Chacune des parties présente un bouton, respectivement 671 et 671', engagé dans une boutonnière, respectivement 672' et 672 de l'autre partie de la. bielle, de sorte que la bielle 634-634' peut s'allon- ger : quand le levier 631 étant appliqué contre le moyeu 690 du le- vier de sélection 290, on déplace celui-ci de bas en haut, en entraî- nant le levier 631 et le secteur denté 632, la partie 634 de la bielle extensible se déplace de droite à gauche, entraînée par l'er- got 533.
Le bouton 671' de la partie de droite 634', de la bielle extensible est pris dans l'extrémité fourchue d'un levier coudé 673 qui peut pivoter sur l'axe 192. L'autre extrémité du levier 673 forme-un bec 674 qui se trouve près de la came 620 calée sur l'ar-
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bre 200. Au début de chaque opération, quand toutes les plaques de l'indicateur sont soulevées comme expliqué, par suite de la rotation des cames 620 et 621,une broche 675 fixée au flanc de la came 620, vient heurter le bec 674 et fait basculer le levier 675 en sens contraire à celui des aiguilles d'une montre.
De ce fait, la partie de droite 634' de la bielle extensible, précédemment al- longée par la manoeuvre du levier de sélection 290, est poussée vers la gauche, de sorte que les boutons 671 et 671'atteignent le fond des boutonnières 672 et 672' et la bielle est réduite à sa longueur minimum; de plus, elle se déplace toute entière vers la gauche, en faisant pivoter le levier 631 et le secteur denté 632 dont l'ergot 633 s'avance dans la fente du levier 631. Ensuite, pendant l'arrêt de l'arbre de commande 100, quand la barre 642 repousse, comme décrit, tous les leviers 631, elle agit également sur le levier 631 du mécanisme considéré et le ramène contre le moyeu 690 du levier de sélection, en plaçant ainsi le secteur denté 632 avec son bouton 633 dans la position qui correspond au signe que la première paire de plaques doit faire apparaître.
Ce signe apparaîtra, en même temps que le montant sur lequel porte l'opéra- tion, au moment où l'auge 605'sera abaissée comme décrit.
Imprimerie.- Le mécanisme d'impression ci-après dénommé "imprimerie", destiné à imprimer le montant sur lequel porte chaque opération, ainsi que d'autres indications utiles; tant sur un ticket délivré au client que sur une bande de contrôle qui reste dans la machine, est commandé depuis les secteurs dentés 632 qui ont déjà été'men- tionnés au sujet de la commande de l'indicateur.
L'imprimerie, logée dans la partie de gauche de la ma- chine, entre la cloison 104 et une plaque-support 700 (Fig. 56) fournit les documents imprimés suivants :
1) Le ticket, destiné à êtredélivré au client, et sur lequel sont imprimés le nom de la firrae, la date, le numéro d'or- dre du ticket, et le montant enregistré ou annulé; quand le montant enregistré se compose de plusieurs postes, le mot "total" et le
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le résultat de l'addition des postes, dit "total du ticket'', sont également imprimés. A côté du montant est imprimé un signe caracté- risant le totalisateur individuel qui a effectué l'enregistrement.
De même, un signe conventionnel, par exemple "R1", placé transversa- lement à la ligne, à côté du montant, indique une opération de mise à zéro.
2) Le numéro d'ordre, le montant de l'opération et le si- gne caractéristique du totalisateur sont également imprimés sur une bande de contrôle qui reste à l'intérieur de la machine, dans un compartiment fermé à clé.
3) La caisse enregistreuse décrite permet d'utiliser, à la place des tickets, des fiches remplies par le vendeur. Ces fi- ches sont oblitérées par la machine qui y imprime la date, le numéro d'ordre et le montant qui est, en même temps, enregistré par le ou les totalisateurs appropriés.
Les caractères servant à l'impression des montants des opérations sont situés à la périphérie de roues d'impression 702 (Fig. 57) ayant chacune vingt dents qui portent deux séries de chif- fres de 0 à 9, et pouvant tourner librement sur un axe 701 fixé à la cloison 104. Chaque roue 702 engrène avec un pignon intermé- diaire 703 qui est fou sur un axe 704, et est en prise, à son tour, avec une roue dentée spéciale 705 (Figs. 56,57). Les roues 705 sont calées chacune sur l'extrémité d'un arbre tubulaire 706, ces arbres étant emmanchés l'un sur l'autre et supportés par un arbre 707 supporté par la cloison 102 et par un coussinet 708 tournant avec l'arbre dans la plaque de support 700. Le coussinet 708 porte également une roue dentée 705, la dernière à gauche.
La plaque de support 700 est rigidement assemblée à la-cloison de gauche 104 par des entretoises 709 et les axes 701 et 704 des roues dentées 702 et 703. Les tubes 706 et l'arbre 707 dont tout déplacement axial est empêché par une bride 711 attachée à la plaque 700, reçoivent des mouvements de rotation depuis la plaque 248 et les secteurs dentés-.652 des mécanismes opérateurs précédemment décrits (Fig. 17)..
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A cet effet, chaque arbre tubulaire 706, de même que l'arbre 707 porte, près de son extrémité de droite, une roue dentée 710 en prise avec un des dits secteurs dentés 632. On se souviendra qu'il existe un tel secteur pour chaque ordre numérique du montant que la machine peut enregistrer, et qu'au cours de l'opération chaque secteur est amené, par la plaque 248 et le levier fourchu 631, dans une posi- tion angulaire qui correspond au nombre d'unités à enregistrer dans l'ordre numérique considéré. A chaque secteur denté 632 corres- pond une roue dentée 710 et à l'autre bout de l'arbre 707 ou du tube 706, une roue dentée 705 dont l'amplitude de rotation est ainsi déterminée par le chiffre à enregistrer et à imprimer.
Il est à noter que, tout comme les secteurs 632, les roues dentées 705 pas- sent, au cours d'opérations successives, d'une position active di- rectement à la suivante, sans passer par une position intermédiaire de repos.
L'impression sur le papier qui passe, avec le ruban en- creur, en-dessous des roues à caractères 702, s'obtient par la force vive de trois marteaux 720,721 et 722 (Figs. 60, 61) qui frappent le papier au droit des caractères à imprimer. Derrière les roues 705 et à leur niveau inférieur est fixée une barre trans- versale 712 qui relie rigidement la plaque 700 à la cloison 104 et porte le texte invariable du cachet à reproduire sur tous les tickets, à savoir le texte du bas du ticket et l'entête de celui-ci.
La séparation.du ticket émis se fait entre ces deux parties du cachet, de sorte que la formule au pied du ticket se trouve sur le ticket émis, tandis que l'entête est imprimé en haut du ticket qui sera émis à l'opération suivante. Derrière le cachet 712 se trouve le dateur dont l'axe 713 (Figs. 59 et 60) est supporté par la cloi- son 104 et la plaque 700. Sur cet axe est calé le premier des dis- ques à caractères 714, qui est celui des dizaines de jours; les au- tres disques dont les caractères composent la date, sont portés par les extrémités de droite des axes tubulaires 715 emmanchés l'un
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sur l'autre et sur l'axe 713. Les extrémités opposées des axes 715 et 713 sont prolongéesau-delà de la paroi de gauche de la machine (Fig. 59) et portent des boutons 716 qui permettent de composer à la main la date voulue.
L'alignement correct des disques dateurs est assuré par des ressorts de pression 717 (Fig. 60) encastrés par une des extrémités dans un support 718 fixé à la cloison 104.
Les trois marteaux 720, 721 et 722, qui servent à l'im- pression du ticket, sont situés en-dessous d'une tôle horizontale 719 qui les sépare du compartiment des roues à caractères décrits, mais présente des ouvertures permettant aux marteaux de frapper sur les caractères à imprimer. Les marteaux, qui ont chacun la forme d'un corps prismatique garni de matière élastique, sont fixés à des leviers pivotant autour d'un axe 725 fixé à la cloison 104 (Figs. 60, 61) . Le marteau dateur, 720, est porté par deux leviers 730 entretoisés à l'extrémité libre par une tige de commande 726; une tige analogue, 727 entretoise les extrémités des deux leviers 731 qui portent le marteau timbreur 721, et une troisième tige de commande 728 entretoise les leviers 732 du marteau 722 qui imprime le montant de l'opération.
Tous ces leviers sont en outre entre- toisés, sur l'axe commun 725, par des bagues intercalaires 734. Le marteau 722 comporte une petite partie indépendante 723 destinée à imprimer le numéro du ticket et susceptible d'être rendue inacti- ve, ce qui est nécessaire dans le cas d'un enregistrement à plusieurs postes: ceux-ci ne reçoivent pas de numéro, seul le montant total en reçoit un.
La commande des marteaux s'effectue par l'intermédiaire des tiges de commande 726, 727 et 728 qui sont prolongées à travers la cloison 104 vers l'intérieur de la machine et y sont articulées aux bielles de commande verticales 740, 741 et 742, respectivement (Fig. 64). A leur extrémité supérieure, les trois bielles présentent, chacune, un oeillet qui entoure l'arbre de commande 500 qui, atta- qué par.le moteur électrique, fait un tour par opération. Sur l'ar-
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bre 500 est calée une came 736 (Figs. 64 et 66) qui sert à la com- mande des marteaux 720,721 et 722. Une deuxième caine 737, égale- ment calée sur l'arbre 500, commande un autre marteau 724 destiné à effectuer l'impression sur la bande de contrôle, commedécrti plus loin.
Chacune des trois bielles 740, 741 et 742. est sollicitée vers le bas par un ressort 743 attaché d'autre part à un support fixe 745 commun aux trois ressorts. La bielle 742 qui commande le marteau 722 imprimant le montant, porte près de son sommet une broche 746 qui traverse des fentes 747 pratiquées dans la partie supérieure des bielles 740 et 741, et sur laquelle est fixé un galet 748 coopérant avec la came 736. Cette came est de forme cir- oulaire avec une encoche 749 qui se présente devant le galet 748 à l'instant où doit s'effectuer l'impression. A cet instant, le galet tombe dans l'encoche 749 sous l'effet du ressort 743 qui tire la bielle 742 vers le bas,et les deux bielles 740 et 741, précédem- ment retenues par la broche 746, descendent en même temps.
Les leviers 730, 731 et 732 pivotent donc rapidement sur leur axe 725 et les trois marteaux 720, 721 et 722 frappent rapidement les roues à caractères à travers le papier et le ruban encreur interposés, après quoi la came 736 ramène toutes ces pièces à leur position de repos.
Pendant 1-'impression des postes qui doivent être addi- tionnés sur un ticket, le petit marteau partiel 723 doit rester inactif ; de même, les marteaux 720 et 721 doivent rester immobi- les, parce que le numéro d'ordre du ticket, le cachet à firme et la date ne doivent être imprimés qu'une seule fois, en même temps que le total du ticket. L'immobilisation des marteaux 723, 720 et 721 est commandée depuis le levier de contrôle 310 quand celui-ci est placé dans sa 3e. position d'en bas, dite "ticket avec addition!!, Il a été expliqué que, lors du déplacement du levier 310, l'arbre 168 qui s'étend entre les cloisons 103 et 104 (Figs. 6 et 7) reçoit un mouvement de rotation dont l'amplitude dépend de celle du dépla-
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cement du levier 510.
Près de la cloison 104, donc au voisinage du mécanisme d'imprimerie, l'arbre 168 porte une came à rainure 750 (Figs. 7 et 65) dans laquelle est engagée une broche 751 que porte une bielle 752. Quand le levier de contrôle est dans sa 3e. posi- tion, la bielle 752, qui se trouve normalement dans sa position in- férieure, est tirée vers le haut par la came 750 et la broche 751.
A son extrémité inférieure, la bielle 752 est articulée à un levier
753 qui peut pivoter autour du pivot 754 fixé au bâti 104. Quand la bielle 752 est soulevée, elle soulève le levier 753 et amène le doigt 755 à l'extrémité libre de celui-ci en-dessous d'une bro- che 756 fixée à la bielle 740 qui commande le marteau 720. Cette broche traverse la bielle 740 et s'engage dans la partie supérieure d'un trou allongé de la bielle 741 qui commande le marteau 721.
Quand, au moment de l'impression, les bielles 740 et 741 sont li- bérées par l'encoche 749 de la came 736, elles sont empêchées de descendre par la broche 756 qui heurte le doigt 755; seule, la bielle 742 descend et actionne le marteau 722. Pour éviter l'impres- sion du numéro du ticket pendant cette opération, le marteau par- tiel 723 est rendu escamotable, étant supporté par une tige 729 et guidé verticalement dans le corps du marteau 722 (Fig. 57). Près de son extrémité voisine du marteau 722, le levier 732 de celui-ci présente une fente 757 (Fig. 57) dans laquelle peut coulisser une broche 758 que porte un bras 733. Celui-ci présente un oeillet que traverse l'axe 725 des marteaux, de sorte que le bras 733 peut ef- fectuer un léger déplacement à peu près horizontal.
Le bout bifur- qué du bras 733 saisit une barrette transversale 760 solidaire de la tige 729 portant le marteau escamotable 723, tandis qu'à l'ex- trémité opposée le bras 733 présente une encoche 761 en arc de cer- cle, dans laquelle est engagé un ergot 762 d'un levier-disjoncteur
763 (Figs. 64 et 68). Ce levier peut pivoter sur le tube 706', qui est l'extérieur des tubes coaxiaux 706, et son bras supérieur porte un ergot 764, engagé dans une fente profilée 765 du levier 753.
Quand la bielle 752 soulève le levier 753, le levier-disjoncteur 763
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pivote dans le sens contraire à celui des aiguilles d'une montre, son ergot 762 tire le bras 733 vers la droite (sur la Fig. 57), de sorte que sa broche 758 en suivant l'inclinaison de la fente 757, descend et abaisse le bras 733 avec la barrette 760 et le marteau
723 d'une quantité suffisante pour le rendre inefficace pendant que le grand marteau 722 frappe pour l'impression du montant.
Ainsi qu'il a été dit, en plus de la came 736, l'arbre
500 porte une came 737 qui commande l'impression des montants et des numéros d'ordre sur une bande de contrôle, à l'aide d'un mar- teau 724 (Figs. 64 et 65). Ce marteau est solidaire d'un levier 766 pouvant pivoter sur l'axe 754 fixé à la cloison 104 qu'un, bras du levier 766 traverse par une ouverture appropriée (Fig. 65). Le le- vier 766, qu'un fort ressort 768 tend à faire basculer dans le sens contraire à celui des aiguilles d'une montre, est articulé à une bielle 769 embrassant,par une boutonnière ménagée à son extrémité opposée, l'arbre 500 sur lequel la bielle est ainsi guidée. La bielle 769 porte un galet 770 qui coopère avec la came 737, dont la forme est identique à celle de la came 736.
On comprend donc que, lorsque l'encoche de la came 737 se présente devant le galet 770, celui-ci s'y engage, et permet au ressort 768 de tirer brusquement le levier 766 vers la gauche (sur la Fig. 64) ce qui a pour effet que le marteau 724 frappe le coup nécessaire à l'impression à l'ai- de de la deuxième série de caractères que portent les roues d'impres- sion 702.
Pendant une opération de mise à zéro, il faut, en plus du montant sur lequel cette opération porte, imprimer un signe distinctif, par exemple "R1" pour indiquer qu'il ne s'agit pas d'une opération d'enregistrement. A cet effet, on utilise une bielle 773 articulée, à son extrémité inférieure, à un court levier 774 pivotant sur l'axe
754 et guidée, près de son extrémité supérieure, par l'arbre 168 dont une gorge circulaire est engagée dans une fente axiale de la bielle 773. L'extrémité supérieure élargie de la bielle 773 présente une fente profilée transversale dans laquelle est engagé un ergot 772
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fixé sur le flanc de droite (Fig. 65) de la came 750 calée sur l'arbre 168.
Quand celui-ci se trouve, en même temps que le levier de contrôle 310, dans une de ses positions extrêmes, ce qui est le cas lorsque le totalisateur de jour J ou un des totalisateurs indi- viduels A, B, D ou E doit être remis à zéro, l'ergot 772 fait des- cendre la bielle 773 et, avec elle, une barre courbe 775 (Fig. 69) qui en est solidaire et traverse une ouverture de la cloison 104 ; la barre courbe 775 est articulée, par un pivot 776, à la première roue 703' des roues intermédiaires 703, qui est en prise non avec une roue à caractères 705 (comme les autres roues 703), mais avec une roue spéciale 705' qui porte, sur une seule de ses dents, le caractère désignant l'opération de mise à zéro.
Quand la bielle 773 est abaissée, ce mouvement se transforme, à la roue 705', en une rotation qui amène le caractère de celle-ci en face du marteau 722, de sorte que le signe distinctif de la mise à zéro sera imprimé à côté du montant de cette opération.
Au-dessus des roues à caractères 702 (Fig. 60) se trouve le rouleau de papier 781 formant la bande de contrôle. Le papier se déroule d'une bobine 780 emmanchée sur un axe fixe 782 et passe sur deux rouleaux-guides 783, qui le maintiennent en position hori- zontale entre le marteau 724 et les roues 702; de là, le papier est dirigé par d'autres rouleaux 784 vers la bobine enrouleuse 785 sur laquelle la bande imprimée est emmagasinée en 786. Entre les rou- leaux-guides voisins 783 et 784 se trouve,au-dessus du papier, un prisme de lecture 787 en verre, permettant de lire le dernier mon- tant imprimé ; à cet effet, le papier de la bande est translucide et le prisme est à réflexion totale, son hypothènuse servant de miroir de lecture.
La bobine qui reçoit le rouleau imprimé 786 se compose de deux demi-cylindres assemblés par un boulon 788 et un ressort 789 qui presse les demi-cylindres l'un contre l'autre. Une clé à deux broches 790 (Fig. 63) formant fourche est introduite entre les deux moitiés de la bobine 785. Cette clé prend aussi
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dans une fente ménagée dans l'extrémité de l'axe de l'enrouleur 791 qui peut tourner dans la cloison 104, en le dépassant vers l'inté- rieur de la machine (Fig. 65). La clé 790 rend donc l'axe 791 so- lidaire de la bobine 785 et permet de tourner celle-ci, avec le rouleau 786, à la main. Pour sortir le rouleau imprimé, il suffit de retirer la clé 790, ce qui permet aux deux moitiés de la bobine de se rapprocher et de retirer le rouleau.
Le compartiment conte- nant les rouleaux 781 et 786 est isolé des autres parties du mé- canisme d'imprimerie par des tôles 792 et 793 et est accessible de l'extérieur, par une porte,non représentée.
Le bout de l'axe 791 qui pénètre vers l'intérieur de la machine à travers la cloison 104 (Figs. 63, 64,65, 67) porte un mécanisme d'encliquetage qui assure l'avancement automatique de la bande de contrôle. Ce mécanisme comporte une cuvette 794 calée sur l'axe 791 et un plateau fou 795 avec deux découpures en forme de demi-segments, et un couvercle 796 (Figs. 64 et 67) pro- longé par un bras 797, rigidement monté sur le plateau 795. Dans les découpures du plateau sont logés deux galets 798 soumis à la pression de deux petits ressorts 799 logés dans des trous du pla- teau 795, de sorte que chaque galet 798 est coincé entre le pla- teau et la surface intérieure de la cuvette 794. quand le plateau 795 tourne dans le sens de la flèche (Fig. 67) il entraîne donc la cuvette 794 et l'axe 791.
A l'extérieur de la cuvette se trouve un bloc fixe 800 avec une découpure en forme de plan incliné dans la- quelle est logé un galet 801 agissant sur la cuvette comme cliquet de retenue quand celle-ci tourne dans le sens contraire à la flèche (Fig. 67). Un petit bras de commande 802 (Fig. 64), qui tourne sur l'axe 791, est articulé en 803 à une bielle 804 dont l'extrémité bifurquée embrasse l'arbre 500 sur lequel elle est ainsi guidée.
La bielle 804 porte un galet 805 engagé dans une rainure d'un pla- teau 806 calé sur l'arbre 500. La forme de la rainure est telle que, pendant le tour de l'arbre 500, la bielle 804 est d'abord tirée vers la droite (Fig. 64) puis, après l'impression, ramenée
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à sa position initiale, et le bras 802 participe à ces mouvements.
Un ressort 807 accroché à l'extrémité du bras 797 tire ce dernier vers la broche 803 qui relie le bras 802 à la bielle 804, de sorte que le bras 797 avec le couvercle 796 et le plateau 795 partici- pent aux mouvements du bras 802, sous l'action du ressort 807 à l'aller, et sous la poussée de la broche 803 au retour. Pendant ce retour, le plateau 795 entraîne l'axe 791 de la bobine 786 et fait avancer d'un pas la bande de contrôle.
L'avancement uniforme de la bande à chaque impression est assuré par le mécanisme de réglage suivant: Deux bras 811 calés sur un axe 810 (Figs. 60, 62, 630 portent un rouleau tâtonneur 812 qui s'appuie normalement sur le rouleau de pa.pier 786. L'axe 810 qui traverse la cloison 104 porte, de l'autre côté de celle-ci, (Figs.
64, 65) un bras 813 auquel est fixée une broche 814 qui vient se placer dans la trajectoire du bras 797. Pendant que celui-ci pi- vote sous l'action du ressort 807, il rencontre la broche 814 et s'arrête alors que le petit bras 802 continue encore sa rotation.
L'amplitude du mouvement de pivotement du bras 797 (et avec lui, de la bobine 785 du rouleau 786) est donc réglée par la position de la broche 814, c'est-à-dire par le diamètre du rouleau 786, et le profil du bras 797 est tel qu'à mesure que le diamètre du rouleau
786 augmente, l'amplitude du pivotement du bras 797 diminue pour faire avancer le papier d'une quantité invariable à chaque opéra- tion.
Un dispositif de sécurité empêche le fonctionnement de la machine quand le papier de la bande de contrôle est épuisé. De- vant le rouleau d'alimentation 781 se trouve un organe de retenue
816 dont les bras 817 sont calés sur un axe 818 porté par la cloi- son 104 qu'il traverse. Un ressort de torsion 819 (Fig. 63) qui entoure l'axe 818 et est fixé à cet axe et à la cloison 104, tend à faire tourner l'axe et presse ainsi le rouleau de retenue 816 con- tre le rouleau de papier 781. A l'extrémité de l'axe 818 est calé
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un bras 820 (Figs. 63, 65) articulé d'autre part à une bielle 821 reliée à son tour à une tringle coudée 822 qui, supportée par des petites consoles 823 près de la taque de la machine, s'étend sur toute la longueur de celle-ci.
Près de l'autre côté de la machine, la tringle coudée 822 est articulée à une bielle verticale 824 (Figs. 33, 35) dont l'extrémité supérieure porte un ergot 825 en- gagé dans une fente 826 à l'extrémité inférieure de l'arc de ver- rouillage 497. Le papier de la bande de contrôle est enroulé sur une bobine dévideuse coupée en deux longitudinalement, les deux moitiés étant maintenues ensemble par le papier même. Quand celui- ci est presque épuisé, les deux moitiés de la bobine 780 se sépa- rent et tombent. De ce fait, le rouleau de retenue 816 pivote en sens contraire à celui des aiguilles d'une montre, en passant en- dessous de l'axe 782 de la bobine 780.
Sous l'action de son ressort 819, l'axe 818 participe à cémouvement, et son bras 820 soulève la bielle 821 et, par l'intermédiaire de la tringle 822, de la bielle 824 et de l'ergot 825, l'arc de verrouillage 497 est également sou- levé et bloque la touche de déclenchement 440, en empêchant ainsi la mise en marche de la machine.
La bande de papier fournissant les tickets constitue, à l'intérieur de la machine, un grand rouleau 828 porté par une bo- bine 827 (Figs. 60 et 62) fixée à la cloison 104; le rouleau est retenu latéralement par un disque 829 fixé par un écrou molleté 830.
Le papier venant du rouleau 828, est guidé par les galets 831 et 852 et passe ensuite, entre la table 719 et une tôle 833 qui le protège contre le contact avec le ruban encreur 834, vers un mécanisme d'en- traînement. Ce dernier comporte un cylindre 835 et deux galets de pression 836 (Figs. 60, 61, 63). Le cylindre entraîneur 835 est supporté d'un côté par un coussinet 837 fixé à une tôle 838 qui supporte la table 719, et de l'autre côté dans la cloison 104 au- delà duquel l'axe du cylindre porte un pignon 839. Ce pignon (Figs.
61,64) est en prise avec une roue dentée 840 folle sur'un axe fixe -
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841. Le moyeu de la roue 840 constitue une cuvette dans laquelle est logé un dispositif d'entraînement unidirectionnel à galets, analo- gue à celui qui commande l'entraînement de la bande de contrôle. Son plateau porte-galets 842 (Fig. 65) est solidaire d'un couvercle se terminant par un bras 843 (Fig. 64), Un levier 844 pivotant sur l'a- xe 841 est articulé en 845 à une bielle 846.
Le fonctionnement du dispositif d'entraînement étant identique à celui de la bande de contrôle, il suffira de dire que la roue dentée 840 n'est entraînée, dans le sens des aiguilles d'une montre, que lorsque le levier 844 pivote, dans le même sens, sur l'axe 841, ce qui a lieu sous la com- mande du plateau 806 calé sur l'arbre 500,et de sa rainure 848 dans laquelle est engagé un galet 849 d'un bras 850, qui pivote sur l'arbre 150 et est articulé à la bielle 846. A chaque mouvement de la roue dentée 840 qui engrène avec le pignon 839, le cylin- dre entraîneur 835 tourne rapidement d'un angle tel que le papier avance de la longueur d'un ticket.
Les galets de pression 836 sont librement montés, au- dessus du cylindre 835,sur des renflements excentriques 851 d'une tige 852 tourillonnée dans la cloison 104 et dans un support fixe 853 (Figs. 60, 61, 62, 63). Le réglage angulaire de la tige 852 permet donc de modifier, au besoin, la pression des galets 836 sur le papier; on se sert, à cet effet, d'une manette 854 qui est calée sur la tige 852 et se terminé par un bouton 855. Une des faces du support 853, qui vient au-dessus du papier, est biseautée et dente- lée (Fig. 63), pour qu'on puisse arracher facilement le ticket im- primé, poussé hors de la machine, par le dispositif d'entraînement 836-835.
On comprend que pendant l'impression de plusieurs montants destinés à être additionnés sur un même ticket, le papier ne doit avancer, à chaque impression, que d'un interligne et non de toute la longueur du ticket. Cette modification dans l'entrainement du papier est commandée depuis le levier de contrôle 310 qui, en vue
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de l'opération en question, est placé dans sa 3e. position dite: "ticket avec addition". A cette position du levier 310 correspond une position de l'arbre 168 telle que la came 750 calée sur cet arbre maintient la bielle 752 (Figs. 64,65) soulevée. Le levier 753 que la bielle commande, est donc soulevé à droite de son axe 754, et abaissé à gauche.
A l'extrémité de gauche, le levier 753 porte une broche 857 qui, normalement, se trouve en dehors de la trajec- toire du bras 843'du dispositif d'avancement du papier, mais .vient se placer dans sa trajectoire quand elle est abaissée. Dans ce cas, le bras 843 est arrêté, par la broche 857, après une rotation de faible amplitude et reste appuyé contre cette broche, sous l'action de son ressort 858, jusqu'au retour du levier 844 dont l'amplitude d'oscillation reste invariable, et dont la broche-pivot 845 ramène le bras 843 à sa position normale. La faible oscillation ainsi ef- fectuée par le bras 843 est suffisante pour imprimer au papier du ticket, par 1'intermédiaire de la roue dentée 840, du pignon 839 et du cylindre entraîneur 835, un mouvement d'avancement qui cor- respond à un interligne.
Ensuite, après l'impression du total du ticket, celui-ci reçoit un mouvenient d'avancement normal, de sorte que sa longueur totale est égale à celle d'un ticket ordinaire plus la longueur occupée par l'impression des postes additionnés.
Les opérations de mise à zéro donnent lieu à l'émission d'un ticket ordinaire; seul, un signe distinctif, imprimé à côté du montant, tout comme sur la bande de contrôle, indique qu'il s'agit d'une opération de mise à zéro.
Sur l'axe 701 des roues à caractères d'impression 702, à droite de celles-ci (Fig. 58) se trouvent des roues analogues 860 qui servent à l'impression du numéro d'ordre de chaque opération, tant sur le ticket que sur la bande de contrôle. Ces roues 860, dont les vingt dents portent deux séries de caractères de 0 à 9 sont com- mandées par un mécanisme compteur de façon à ajouter, en vue de chaque impression, une unité au chiffre précédemment imprimé. Cha-
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que roue 860 est flanquée d'une roue à rochets 861, chaque roue comportant deux séries de dix dents séparées par des entailles 862 diamétralement opposées.
Sur l'axe 701 des roues 702 peut pivoter un cadre 836 dont les deux côtés latéraux portent un axe 864 sur lequel sont montées des griffes d'entraînement 865 qui coopèrent avec les roues à rochets 861. Les griffes 865 sont décalées angulai- rement l'une par rapport à l'autre (Fig. 57) d'une valeur légère- ment supérieure à la hauteur d'une dent de la roue 861, de sorte que, normalement, seule la griffe coopérant avec la roue 860 des unités peut agir sur celle-ci pour la faire tourner de la longueur d'une dent et ajouter ainsi une unité au chiffre à imprimer. Quand cette roue, après avoir fait un demi-tour, arrive à la position "9", la roue 860 suivante, celle des dizaines, doit avancer d'une unité.
A ce moment, la griffe 865 des unités se trouve devant une encoche 862 et s'engage dans celle-ci, permettant ainsi à l'axe 864 de pi- voter un peu sous l'action d'un ressort 866 et d'amener la griffe 86b suivante, (celle des dizaines), en prise avec la roue 861 cor- respondante. Au mouvement d'oscillation suivant du cadre 863 qui actionne les roues 861, deux de celles-ci, (celles des unités et des dizaines) seront avancées chacune d'une unité, ce qui fait passer la roue 860 des unités de la position "9" à la position "9". Quand la deuxième roue 861 sera également arrivée en position "9", son encoche 862 permettra à la troisième griffe 865 d'intervenir pour actionner la roue 860 des centaines, et ainsi de suite, jusqu'à la quatrième et dernière roue 860.
La position angulaire correcte des roues 860 est assurée par des cliquets 867 pivotant sur un petit axe fixe 868 et s'engageant, sous l'action de ressorts à lame 869, fixés sur la traverse 712, entre les dents des roues 861.
La commande des roues 861 solidaires des roues à caractè- res 860 s'effectue par l'intermédiaire du cadre 863. L'axe 864 qui porte les griffes 865 et est monté entre les deux cotés latéraux du cadre, est relié, à une bielle 870 (Figs. 59, 64) pliée de façon à cpntourner les roues dentées 840 et articulée à l'extrémité opposée;
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en 871, à un bras de guidage 872 pivotant sur le moyeu de la pièce 844 du mécanisme d'entraînement du papier des tickets. Un crochet 873 (Figs. 64, 65) librement monté sur le tourillon 845 de la pièce 844 peut s'accrocher au prolongement de l'axe d'articulation 871 entre la bielle 870 et le bras 872; il est maintenu dans cette po- sition par un ressort 874 tendu entre lui-même et la pièce 844.
Chaque oscillation de la pièce 844 commandée elle-même par la bielle 846, le levier 850 et la came 806, est ainsi transmise, par la bielle 870, au cadre 863 qui effectue une oscillation complète et ajoute, au moyen d'une ou de plusieurs griffes 865, une unité au chiffre composé par les roues 860. Toutefois, pendant l'impression de plusieurs postes sur un seul ticket, ces postes ne reçoivent pas de numéro d'ordre, un tel numéro n'étant attribué qu'au total du ticket. Les roues 860 ne doivent donc pas être actionnées pen- dant l'impression des postes à additionner. Il a été expliqué que, pendant leur impression, la course du bras 843 est limitée à une faible amplitude par la broche 857 du levier 753 (Fig. 64). Le bras 843 porte un ergot 875 situé devant le crochet 873.
La face adjacen- te du crochet a un profil tel que, lorsque le bras 843 est arrêté alors que le levier 844 continue son mouvement, la réaction de l'er- got 875 soulève le crochet 873 et le déconnecte du bras de guidage 872, contre la tension du ressort 874. Les roues 861 ne sont donc pas actionnées et le numéro composé par les roues 860 reste inchangé.
Au retour des pièces décrites à leur position normale, ce qui a lieu à l'impression du total du ticket, le crochet 873 se raccroche de nouveau à l'ergot 875, sous la traction du ressort 874.
Quand les roues à caractères 702 et 860 sont amenées en position pour l'impression du montant et du numéro d'ordre, elles doivent être alignées et retenues en place pour la durée de l'im- pression. L'alignement est assuré par la barre horizontale 878 d'un cadre 879 (Figs. 60 70) qui peut osciller sur l'axe fixe 880 sup- porté par la cloison 104 et la plaque support 700, de façon à enga-
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ger la barre 878 entre les dents des roues 702 et 860. Au cadre 879 est fixée une tige 881 qui traverse un trou de la cloison 104 et est articulé à une bielle 882 qui la relie à un balancier 883 pi- votant sur l'axe 884 d'un cylindre entraîneur 885 du ruban-encreur.
Le bras supérieur du balancier 883 porte un galet 886 qui coopère avec une came 887 calée sur l'arbre 500. Le prof il et l'angle de calage de cette came sont tels que le balancier pivote dans le sens contraire à celui des aiguilles d'une montre quand les roues 702 et 860 ont déjà composé les chiffres à imprimer, mais avant l'impression proprement dite. La barre 878 est alors attirée entre les dents des roues 702 et 860 et bloque celles-ci dans l'aligne- ment correct jusqu'à Inachèvement de l'impression, après quoi la carne 887 permet au balancier 883 de revenir à sa position de repos, sous l'action d'un ressort de rappel non représenté. Les roues 702 et 860 sont ainsi libérées en vue de la composition des chiffres à imprimer au cours de l'opération suivante.
Le balancier 883 commande en même temps l'avancement du ruban encreur 834. Ce ruban sans fin contourne les roues '702 et 860 à caractères d'impression, ainsi que leurs roues de commande 703et 750 (Figs. 57,60) et peut cheminer guidé par des rouleaux 888, 889 et 890. Le ruban 834 passe aussi sur un rouleau encreur 891 entouré d'une couche de feutre imbibé d'encre, puis sur le rouleau entraîneur 885, et enfin sur un rouleau-tendeur 892. Ce dernier peut tourner entre deux flasques 893 soumis à l'action de ressorts 394 attachés d'autre part à une entretoise 895 reliant la plaque-support 700 à la cloison 104.
Sur l'extrémité de l'axe 884 qui traverse la cloison 104 vers l'intérieur de la machine est calée une roue à rochets 896 (Fig. 70) qui peut être actionnée par un cliquet 897 articulé au bras inférieur du balancier 883 et subit la pression d'un ressort 898. A chaque opération d'impression, quand le balancier oscille pour aligner et bloquer les roues à caractères, le cliquet 897 fait tourner la roue à rochets 896 d'une dent de sor-
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te que :Le cylindre 885 entraine le ruban-encreur 834 d'une longueur correspondante.
Ainsi qu'il a été dit, la machine convient aussi pour l'oblitération, à chaque opération, d'une fiche remplie d'avance, par exemple par le vendeur. Dans ce cas, il n'y a pas lieu d'émet- tre de tickets. Quand la machine doit fonctionner de cette façon, on retire préalablement le rouleau 828 de papier à tickets, et à chaque opération on glisse la fiche dans la fente entre la table 719 et la tôle protège-papier 833 (Figs. 60, 62) en vue de l'im- pression du montant de l'opération, du numéro d'ordre et de la date.
Le marteau 721 portant le cachet de la firme doit être rendu inactif, de même que les rouleaux de pression 836, ceci en vue de faciliter le passage de la fiche. A cet effet, on se sert de la manette 854 (Figs. 61, 62) dont le bouton 855 peut se déplacer axialement. La tige 899 de la manette peut s'engager dans un des deux trous "T" ou "F" de la plaque-support 700, où elle est maintenue par la pression d'un ressort 900. Quand la tige 899 est engagée dans le trou "T", ce qui correspond au fonctionnement décrit de la machine, avec émission de tickets,' l'excentricité des renflements 851 de l'axe 852 est dirigée vers le bas (Fig. 60), et les rouleaux 836 sont pressés contre le cylindre d'entraînement 835. De plus, la queue de la manette 854 est engagée dans une découpure 901 de la table 719 et obstrue la fente entre cette table et la tôle 833.
Par contre, quand la manette est amenée en position "F", en vue du fonctionne- ment avec fiches, la queue de la manette se retire de la découpure 901 et dégage le trajet des fiches; en même temps, les rouleaux 836 sont soulevés de façon à ne plus presser sur les cylindres 835 et à dégager, de leur côté, la fente par laquelle passent les fiches.
En-dessous du marteau 721 (Fig. 60) qu'il y a lieu d'im- mobiliser, se trouve un levier 902 qui peut pivoter sur un axe fixe 903. L'extrémité supérieure du levier 902 forme un crochet qui peut s'accrocher à une tige 904 solidaire du marteau 721. Dans le corps
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du levier 902 est pratiquée une fente courbe 905 dans laquelle est engagée une broche 906 que porte l'extrémité d'un levier courbe 907 dont l'extrémité opposée est calée sur un axe 908 tourillonné entre la cloison 104 et la tôle 838 qui supporte la table 719. Sur le bout de l'axe 908 qui traverse la tôle 838 est fixé un petit levier 909 dont l'extrémité opposée peut venir obstruer la découpure 901 de la table 719.
Normalement, le levier 909 est abaissé par la queue de la manette 854 (Fig. 62), contre l'action d'un ressort non représenté qui tend à soulever l'extrémité libre du levier 909.
La broche 906 du levier 907 est,alors en haut de la fente 905 (Fig.
60) et maintient ainsi le levier crochu 902 à l'écart de la tige 904 du marteau 721. Mais si la manette 854 est placée en position "F", sa queue dégage le levier 909 qui se soulève sous l'action de son ressort, et fait pivoter son axe 908 avec le levier 907 dont la broche 906 attire le levier 902 vers la droite, de façon à ac- crocher celui-ci à la tige 904 du marteau 721 et à immobiliser ce dernier.
Il doit être entendu que l'invention s'étend à chacun des divers mécanismes ci-dessus décrits, considéré séparément, aussi bien qu'à la combinaison de ces mécanismes, résultant de leur co-opération, dans une caisse enregistreuse construite et fonction- nant comme il a été exposé.
**ATTENTION** fin du champ DESC peut contenir debut de CLMS **.
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Cash register
1
The present invention relates to a cash register. comprising several totalizers, in particular general totalizers and individual totalizers, each composed of several rotating discs, as well as the usual auxiliary mechanisms, such as an indicating device and a printing mechanism.
The object of the invention is, on the one hand, to simplify the construction of such a body by the arrangement of the totalizers and other members on longitudinal shafts so that their number can be increased by the addition of members. similar on their respective trees; on the other hand, to make its operation very expeditious, independently of the number of totalizers, by the simultaneous control of all the totalizer disks intended to intervene in an operation in progress, as well as of the auxiliary mechanisms participating in it.
At the same time, the invention aims to improve the operation of the cash register by using the same operating members, both for the recording operations and for the operations of resetting the totalizers, these same units. furthermore suitable for actuation of the indicator
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tcur and the printing mechanism.
According to the invention, the motor unit of the register simultaneously actuates a control shaft of all the totalizers and of the operating mechanisms which coordinate the movements of the totalizer discs and of the components of the auxiliary mechanisms.
The control tree of the totalisers performs during each operation a movement of invariable amplitude, while the operating mechanisms, each of which corresponds to a different numerical order, intervene under the control of the keyboard or other control device. setting numbers, to stop the totalizing discs of each numerical order in the respective positions corresponding to the recording to be made. The movement of the control shaft is advantageously a rotation of one full turn, followed by a rotation of one turn in the opposite direction.
In order to act on the totalizer discs, which are threaded in a known manner onto the control shaft, the operating mechanisms can be arranged so as to cooperate with this shaft either during its forward movement or during its backward movement. return.
With a view to selecting and actuating the totalizers, there are interposed between the control shaft and the totalizer discs coupling devices which, during recording operations, are controlled by the operating mechanisms. - counters, while during the zeroing operations they are controlled by the totalizer discs themselves. These coupling devices include coaches in a number equal to that of the disks and capable of being brought into engagement with the latter, and all the coaches of the same numerical order are mounted on a common support carried by the drive shaft. control. By acting on this support using the operating mechanism of a given order, it is thus possible to simultaneously actuate all the disks of the same order participating in the same operation.
To each operating mechanism are, on the other hand, adjoining bodies which intervene to determine the operation of the auxiliary mechanisms, in particular the indicator and the impediment.
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primery.
An embodiment of the cash register according to the invention and a variant of some of its mechanisms are described below, by way of example, with reference to the accompanying drawings in which:
Fig. 1 is an exterior view of the cash register, on a reduced scale.
Fig. 2 is a schematic view of the keypad and the main control levers of the cash register.
Fig. 3 is a partial longitudinal section showing the relative arrangement of the various totalizers.
Fig. 3a is, on a larger scale, a fragment of FIG. 3, showing the arrangement of the totalizer discs and the reading wheels of one of the totalizers.
Fig. 4 is a cross section taken on line 4-4 of FIG. 3 or 3a.
Fig. 5 is a cross-section, on a larger scale, taken on line 5-5 of FIG. 3.
Figs. 6 and 7 are elevation and plan views, respectively, of the totalizer selection mechanism.
Fig. 8 is a cross section taken on line 8-8 of FIG. 6.
Fig. 9 shows a detail of the selection mechanism.
Figs. 10, 11, 12 are fragmentary cross sections taken along lines 10-10, 11-11 and 12-12, respectively, of FIG. 7.
Fig. 13 is a side view of the actuating mechanism of the control shaft, in a plane lying at the location of line 13-13 in FIG. 3, and
Fig. 14 is a corresponding profile view.
Fig. 15 is a side view of the mechanism operating the central shaft of the cash register, and
Fig. 16 is a corresponding profile view, this mechanism
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located in the cash register at the location designated by line 15-15 in FIG. 3.
Fig. 17 is a cross section through the numbering mechanism, that section being at the location of the cash register designated by line 17-17 in FIG. 1.
Fig. 17a shows a detail of FIG. 17.
Fig. 18 shows, in section along the broken line 18-18 of FIG. 17, mounting a key.
Fig. 19 shows, schematically, a detail of FIG. 17 seen along the broken line 19-19 ...
Fig. 20 is a cross section similar to FIG. 4, supplemented by the carry forward mechanism.
Fig. 21 shows, as in FIG. 20, the cooperation of a totalizer disc with its transfer mechanism, the parts being shown in a different position.
Fig. 22 is a detail view showing the control of the tens transfer reel.
Fig. 23 is a cross section of the body taken at line 23-23 of FIG. 1, showing the assembly of the selector lever, and
Fig. 24 is a corresponding side view, taken along broken line 24-24 of FIG. 23.
Fig. 25 is a cross section of the body at line 25-25 of FIG. 1, showing the operation counter control mechanism.
Fig. 26 is a view from below of one of the selection locks.
Fig. 27 is a cross section of the body taken at line 27-27 of FIG. 1, showing the control lever and
Fig. 28 is a plan view of this lever, and
Fig. 29 shows the same lever in section taken along broken line 29-29 of FIG. 27.
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Fig. 30 is an elevational view of a safety mechanism located, inside the cash register, below the keypad, and
Figs. 31 and 32 are partial cross sections taken on lines 31-31 and 32-32, respectively, of FIG. 30.
Fig. 33 is a cross section of the body, taken at line 33-33 of FIG. 1 showing the mechanism for starting or blocking the cash register.
Fig. 33a shows a detail of FIG. 33.
Fig. 34 shows a particular control pawl.
Fig. 35 shows the key release mechanism and the general cash register lock, seen from the right in FIG. 1, the right wall of the body being removed.
Fig. 36 is a cross section of the body, at the line S6-36 of FIG. 1, showing the motor components operating the various mechanisms of the body.
Fig. 37 is a partial section taken on line 37-37 of FIG. 36.
Fig. 38 is a partial view, taken on line 38-38 of FIG. 36, of the motor shaft with the control pawl.
Figs. 39 and 40 are partial sections taken along lines 39-39 and 40-40, respectively, of FIG. 37 showing the electric motor control contacts.
Fig. 41 is a view similar to FIG. 13, showing a modified construction of the mechanism operating the drive shaft.
Fig. 42 is a section taken on line 42-42 of FIG. 41, and
Fig. 43 is a section taken on line 43-43 of FIG. 41.
Fig. 44 shows, in side view, part of the selection mechanism, intended to determine when the selection of the totalizers becomes effective.
Fig. 45 is a front view, taken along line 45-45 of FIG. 44.
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Figs. 46 and 47 are two detail views of FIG. 44, showing one of the levers in two different positions.
Fig. 48 is a cross section similar to FIG. 17, showing a modified construction of the operating mechanisms, and
Figs. 49 and 50 are sections taken respectively along lines 49-49 and 50-50 of FIG. 48-
Fig. 51 is a front elevational view of the cash register indicator.
Fig. 52 is a cross section taken on line 52-52 of FIG. 51.-
Fig. 53 is a partial plan view of the indicator shown in FIG. 51.
Fig. 54 is a cross section taken on line 54-54 of FIG. 53.
Fig. 55 is a side view of a particular mechanism forming part of the indicator control device.
Fig. 56 is a longitudinal section through the control shafts of the printing mechanism.
Fig. 57 is a cross section through the printing mechanism located at the left end of the cash register.
Fig. 58 is a longitudinal section taken on line 58-58 of FIG. 57.
Fig. 59 is a longitudinal section taken on line 59-59 of FIG. 57, showing the date mechanism.
Fig. 60 is a cross section through the printing mechanism, showing the arrangement and control of the printing paper rolls.
Fig. 61 is a plan view of the printing hammers.
Fig. 62 is an exterior view of the printing mechanism, from the left side of the cash register with the left wall removed.
Fig. 63 is an exterior front view of the printing mechanism.
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Fig. 64 shows the printing mechanism in side view taken along line 64-64 of FIG. 56.
Fig. 65 is a section taken along broken line 65-65 of FIG. 64.
Fig. 66 is a section taken along broken line 66-66 of FIG. 64.
Fig. 67 is a detail, in section taken along line 67-67 of FIG. 66.
Fig. 68 is a partial section taken on line 68-68 of FIG. 64.
Fig. 69 is a partial section taken on line 69-69 of FIG. 64.
Fig. 70 is a partial section taken on line 70-70 of FIG. 66.
External view.- The cash register shown in the drawing (Fig. 1) has the shape of an elongated cash register resting on a plate 101 on which stand up, inside, transverse partitions 102, 103 and 104 which serve as supports for the internal parts of the body, protected by a cover plate 105.
On its front face, near the right end, the cash register has a keypad 215 for setting the amount to be recorded. The keypad is flanked, on its left, by a selection lever 290, surmounted by 'a handle 290' and used to select which of the individual totalizers to participate in the current operation. The individual totalizers are, in the example shown, four in number, designated by A, B, D and E (Fig. 3). In addition, the cash register includes a ticket totalizer K, a day totalizer J and a general totalizer G; the amounts totaled by each of the totalizers are directly readable in windows 106 aligned to the left of the key holder and normally covered with a locking shutter, omitted in FIG. 1.
To the right of the keypad is a control lever 310 surmounted by a handle 310 'and intended to be placed in
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one of its positions which correspond to the nature of the operation to be performed: simple recording, zeroing of a totalizer, etc.
At the right end of the front wall is a large button 440 called the trigger button, which is pressed to start the electric motor housed inside the body, in order to make the prepared operation effective. using the keys and levers 290 and 310. Below the trigger key 440 is a repeat key 460 which allows several recording operations relating to the same amount to be repeated without having to to set, each time, this amount using keys 215.
A button 475 in the right side wall is used to deactivate the repeat key when the series of operations involving an unchanging amount is completed. A crank 516 operates the cash register at the. hand, if the electric current fails.
The amount of each transaction is made visible, in large characters, by a plate indicator 601 surmounting the cash register.
The same amount is printed on a receipt issued at 856 through the left wall of the cash register. The date on each ticket is made up by a composter 716 accessible from the outside, also on the left wall. Inside the cash register, the amount of each transaction is also printed on a control strip, and the amounts of the last few transactions are visible in a window 107 in front of which the control strip passes. The key 790 in the left wall is used to replace the reel from which this tape unwinds.
In the middle of the machine, to the left of the selection lever 290, windows 108 show the counter indications which count the number of operations of the day totalizer and of the individual totalizers, as well as the number of operations without recording, say "change".
Finally, a lock 486 located to the right of the control lever 310 makes it possible to prevent any unauthorized use of the device.
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checkout, blocking all of its control devices.
We will now describe the assembly of the various components of the cash register.
Totalisers.- These are all mounted in the upper part of the machine, between the transverse partitions 103 and 104 (Fig. 3); they are all of identical construction except for the number of disks, so that only one will be described, for example the individual totalizer D.
Each totalizer is composed of a certain number of annular discs 110 comprised between two flanges 111, 111 'and each corresponding to a numerical order, each disc has ten teeth on the outer periphery. In the totalizer D there are six disks 110, which makes it possible to totalize amounts up to a total of 9999.99. The discs are juxtaposed and threaded on a control shaft 100 common to all the totalizers. The discs 100 surround the shaft 100 with play and they are each supported on the outside by three rollers Il, 113 'and 114 which engage in a peripheral groove of the disc 110, and are themselves respectively mounted. on shafts 115, 115 'and 116, parallel to the shaft 100 and carried by the flanges 111 and 111' of the totalizer.
These flanges are threaded, at their lower part, on a guide 117 fixed between the partitions 103 and 104, parallel to the shaft 100.
At their top, the flanges 111 and 111 'end in forks which receive in their hollow a fixed shaft 118 supported by means of sleeves 119. These serve to hold the packages in place on the shaft 118. toothed wheels 120 similar in diameter and number of teeth to discs 110. Each toothed wheel 120 meshes with a totalizer disc 110, the number of wheels 120 in each pack being equal to the number of discs 110 in the total. - corresponding sateur. The peripheral surfaces of each of the ten teeth of each wheel 120 bear the numbers from 1 to 0, visible through the window 106 of the casing 105 of the machine and used for reading the amount totaled by the totalizer in question.
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The totalizer disks 110 are operated as follows:
At its inner periphery, (Fig. 4) each disc has a mentonnetllO 'in which are cut a number of notches 121, for example ten in the case shown, with which the coaches 122 carried by the liner can cooperate. shaft 100. There is a driver 122 for each of the totalizer discs intended to be actuated directly; only the disks of the upper numerical orders of the general totalizers G and J are actuated only by transfer and do not have a driver in front of them. All the trainers 122 corresponding to the disks 110 of the same numerical order in the various totalizers are wedged on a bar 123 housed in a longitudinal groove 124 of the shaft 100 (FIG. 4).
There are therefore, in the shaft 100 at least as many grooves 124 with bars 123 carrying coaches 122 as there are disks 110 actuated directly in any one of the totalisers. The bars 123 are distributed around the shaft 100 with the same angular spacing as the notches 121 inside the discs 110. Each bar 123 constitutes, with all the coaches that it carries, a coupling device for the control. totalizer disks: for recording an amount on one or more totalizers, it is necessary to bring the coaches 122 into engagement with the notches 121 of the disks 110 which are to participate in the operation, and to make turn each disc in the desired direction as many tenths of a turn as there are units.
As shown in Fig. 3a, the width of each driver 122 is less than the thickness of a totalizer disc 110. On the other hand, the chin 110 'in which the notches 121 are formed, also occupies only part of the length. The thickness of each disc, while beside this part the internal diameter of the disc is large enough to form an annular hollow in which the driver can rotate freely. When the
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machine is at rest, none of the coaches 122 is engaged with the corresponding disc 110, all of the coaches 122 being in the annular recesses of the discs.
Each totalizer intended to participate in a recording operation must therefore be moved, with its flanges 111 and 111 ', along the guide 117, from left to right in FIG. 3, from a distance such that the notches
121 engage with coaches 122.
Selection of individual totalizers.- The selection of an individual totalizer is prepared, at. start of the recording operation, using lever 290 (Fig. 23), the handle 290 'of which is on the outside of the machine, to the left of the keypad (Figs. 1 and 2 ). This lever which turns around a central shaft 300 of the machine (Figs. 23, 24) can occupy several positions, depending on the totalizer to be selected, and these positions are indicated by an arrow integral with the handle 290 'at look at the corresponding indications written on the envelope 105 of the machine.
The lever 290 drives in its angular displacements, a toothed sector 282 which meshes with a pinion 149 wedged at the right end of a selection shaft 125 (Figs. 6,8 and 23). This shaft rotates freely in the partitions 103 and 104 and carries, for each of the totalizers, a fork 181 intended to grip between its claws a tooth 127 of the flange 111 'of each totalizer (Figs. 4 and 10).
The claws of the various forks 181 are angularly offset, from one fork to another, by an angle corresponding to that described by the lever 290 when passing from one position to the next. It is therefore understood that, depending on the position of the lever 290, one or the other fork 181 is made to grip the tooth 127 of the flange of the corresponding totalizer and that it is then sufficient to move the shaft.
125 from left to right by an appropriate distance, so that the disks 110 of the selected totalizer are brought into engagement with the drivers 122 which will allow the latter to actuate the totalizer disks.
The axial movement of the shaft 125 is derived from the motor shaft 500 (Figs. 36 and 37) which is rotated, in the manner
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described later, at the start of each machine operation. The shaft 500 carries a toothed wheel 511 which meshes with a toothed wheel 512 mounted on a shaft 150. This also carries a groove cam 151 (Figs. 37 and 8). A roller 152 located at the end of an arm 153, is engaged in the groove of the cam which has a profile such that during a revolution of the cam, the arm 153 receives from the edge a movement in the direction of needles. a watch then, after a stop, returns to its original position. The arm 153 is fixed on an axis 154 which oscillates in a support 155 mounted on the guide 117 (fig.3 and 8).
At its other end, the pin 154 carries a U-bent lever 156 (Figs. 6,8 and 9), elastically connected by a compression spring 157 to an elbow lever 158. The latter is crossed by a spindle 159 which also passes through two uprights 160, 160 'pivoting on the axis 154. The spindle 159 can, moreover, engage in the notches 161 of two plates 162 vertically guided, respectively by buttonholes 163 and 164, on the axis 154 and on two pivot screws 165 engaged in a ring 166 surrounding the shaft 125. The ring 166 can rotate on the shaft 125, but its axial movement is prevented by two fixed bars 167 which flank it on both sides.
When the selection of one of the totalizers being prepared by the operation of the selection lever, the shaft 150 describes one revolution, the arm 153 oscillates the axis 154 with the levers 156 and 158, and the spindle 159. That here, engaged in the notches 161, driven, to the right in FIG. 6, the plates 162 and, by the screws 165, the ring 166. The shaft 125 must follow this movement and that of its forks 181 which has been brought into engagement with the. tooth 127 of a totalizer, drives it to the right in FIG. 3, the quantity desired to bring the notches 121 of its discs 110 into engagement with the coaches 122.
The travel of the selected totalizer is limited by the meeting of its flange 111 with an adjustable stop 128 (Fig. 3) screwed into a support 129 fixed on the guide 117. At the end of the operation, the totalizer is returned to its position. resting by the cam 151
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and the arm 153 aided by a return spring 130 stretched between the support 129 and the flange 111 '; this same spring also prevents any untimely displacement of an unselected totalizer.
Some machine operations, such as resetting the D-day totalizer to zero, do not require the axial movement of the individual totalizers. In view of these operations, therefore, the mechanism which has just been described must be rendered inoperative. For this purpose, the control lever 310 (Fig. 27) is used, the button 310 'of which is located outside the machine.
Before carrying out an operation, the lever 310 is brought into the corresponding position, the designation of which is indicated next to the button 310 '(FIG. 2). In its movements, the lever 310 drives by a connecting rod 307 articulated to the lever at 403 and by an intermediate lever 308, a pin 306 (Figs. 27 and 10) on which is wedged a lever 171 articulated to a fork 172 guided on a shaft 168 parallel to the shaft 125. One of the branches of the fork 172 carries a rack 169 which meshes with a pinion 170 wedged on the shaft 168. A cam 173 (Figs. 7 and 8) is integral with this pinion. the groove of which slides a tenon 174 carried by a connecting rod 175 that a buttonhole 176 guides vertically on the shaft 168.
At its lower end, the connecting rod 175 is extended by a horizontal part which carries two arms 177 (Figs. 6 and 8) pierced with buttonholes traversed by a pin 178 which also passes through the plates 162. When the control lever 310 is brought into a position which corresponds to an operation requiring the selection of one of the individual totalisers, all the members described occupy the positions shown in Figs. 6 and 8 and the selection is made as described.
But when the lever 310 is brought into one of the "zeroing the day totalizer" or ticket total positions which does not require the selection of individual totalizers, this lever, by the connections described: connecting rod 307, lever 308, axis 306 , lever 171, fork 172, gears 169-170 and shaft 168 - rotates cam 173 which, through lug 174, connecting rod 175, arms 177
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and pin 178 lowers plates 162 such that their notches 161 clear pin 159, and other notches 179 of these plates catch on a fixed pin 180 mounted on support 155.
In this position, the rotation of the cam 151, which causes a pivoting of the spindle 159, has no effect on the selection shaft 125, and none of the individual totalizers is moved laterally.
Selection of the general totalizers.- The connections which, for certain positions of the control lever 310 render inoperative the mechanism for selecting the individual totalizers, are also used to carry out, as required, the selection of the totalizers G, J and K. The Flanges 111 'thereof, like the flanges of the individual totalizers, each have a tooth 127 capable of being gripped by forks similar to the forks 181 acting on the individual totalizers. However, the forks for the grand totalizers are 'wider in the angular direction and are subdivided into two parts 182, 182' (Fig. 12) to be able to intervene in several angular positions.
These forks are carried by a sleeve 183 (Figs. 6,7, 11,12) which surrounds the shaft 125 and carries a toothed wheel 184 in mesh with a toothed wheel 185 wedged on the shaft 168. A fork 186 , engaged in a groove of the hub of the. toothed wheel 184 connects the sleeve 183, by a connecting rod 187 integral with the fork 186, to the upright 160 which, as already described, pivots from left to right at the start of rotation of the machine then, after a stop, returns to its resting position. The sleeve 183 therefore receives an axial movement which, through the forks 182, 182 'is transmitted to the selected grand totalizers, just as has been described for the individual totalizers.
The transmission of the angular movement of the lever 310 to the sleeve 183 is such that the five positions of the lever correspond as many angular positions of the sleeve with the forks 182, 182 '; the width and the angular arrangement of these on the sleeve 183 are determined with a view to actuating the totalizer (s) which must per-
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ticipate in the planned operation:
When (Fig. 2) lever 310 is in the first down position, (zeroing an individual totalizer), none of the general totalizers are selected, none of the forks 182, 182 'being in operation. taken with the teeth 127 of their flanges 111 '; in 2nd. position (single recording), the day totalizer D and the general totalizer G are selected to participate in the operation, in addition to the individual totalizer selected, as described, using the lever 290; in 3rd. position (recording at several stations), the three totalizers G, J and K are selected; in 4th. position (ticket total), the ticket totalizer K alone is active; finally, in 5th. position, only the D-day totalizer is selected, to be reset to zero.
Control of the totalizers.- When any totalizer is selected, that is to say when the notches 121 of its discs 110 are brought into engagement with the coaches 122, these are used to rotate each of the discs. 'as many tenths of a turn as this disk has to register units. The rotation of the discs is done, for an addition, in the direction indicated by the arrow in Fig. 20, and in the reverse direction for a subtraction, that is to say for the resetting of the totalizer.
As already said, there is, in each totalizer, a driver 122 for each disc 110; the coaches which belong, in the various totalisers in the same numerical order, are grouped on the same .bar 123, and all the bars 123 participate in the rotation of the shaft 100 which performs one complete revolution for each operation of the machine. The bars 123, with the drivers which they carry, constitute couplings between the shaft 100 and the discs 110. The movement of the shaft 100 is derived, like all the others, from the motor shaft 500 which, he, too, makes a complete revolution per operation.
The shaft 500 carries a toothed wheel 511 (Fig. 37) which, by an intermediate gear 537 wedged on the shaft end 539 transmits the movement to a toothed wheel 538 wedged on a shaft 200, located at the bottom and at the bottom. rear of the machine, between - partitions 103 and 102 (Figs. 13 and 14). A pair of 187,188 cams
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fixed near the right end of the shaft 200 positively control a double lever 189 which carries two rollers 190 and 191 co-operating with the cams 187 and 188, respectively. The lever 189 can pivot on an axis 192 and is articulated at the top, in 193, to a connecting rod 194 in the form of a fork. The pivot 193 is guided in the rectilinear window 195 of a fixed support 196.
The two arms of the fork 194 form outwardly facing slats each furnished laterally with a small cup 197, 197 'respectively. By its two jaws, the fork 194 can be hooked to one or the other of two lugs 198 and 199 fixed on the side of a toothed sector 201 which can rotate on the central shaft 300.
The toothed sector 201 meshes with a pinion 202 wedged on the control shaft 100, near its right end (Fig. 3).
At rest, the pinion 202 is located substantially in the middle of the toothed sector 201 which can therefore rotate the pinion in either direction. The profiles of the cams 187 and 188 are such that, during the rotation of the shaft 200, the lever 194 hooked to the lug 198 causes the shaft 100 to rotate first one turn clockwise. 'a watch then, after a moment of rest, a turn in the opposite direction. If, on the other hand, the lever 194 attacks the toothed sector 201 via the lower lug 199, the shaft 100 performs the same movements in reverse order.
To prevent the fork 194 from unhooking during travel, a segment 203 is pivotally mounted on the shaft 300. The radius of the circular part of the segment 203 is such that this part comes to support one or the other. another bucket 197 or 197 'of the fork 194 when the latter is hooked to one or other of the lugs 198, 199. In addition, the fork 194 is supported by one or the other of two tenons 204 , 204 ', fixed on segment 203; depending on whether the fork is hooked to the lug 198 or to the lug 199, the lugs 204 'or 204 come to rest respectively from below or from above, on a small plate 205 fixed to the fork 194.
To reverse the initial direction of rotation of shaft 100, it suffices
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therefore made to pivot the segment 203 downwards (Fi.g. 13) until the tenon 204 butts against the plate 205 and pushes it downwards, with the fork 194 which then unhooks from the 'lug 198 and hooks up to lug 199. In this movement, the fork is guided by the elongated lips 206 and 206' of the tips of the fork, which also serve to limit the travel of the toothed sector 201 .
The segment 203 is controlled, with a view to changing the initial direction of rotation of the shaft 100, by the control lever 310, already mentioned. This lever (Fig. 27) has a profiled slot 357 in which can slide a roller 358 carried by one of the arms of an elbow lever 359 (Figs. 13 and 27), pivoting on a fixed axle end 458. The another arm of the lever 359 ends in a fork to grip a button 207 fixed on the segment 203.
The profile of the groove 357 is such that when the lever 310 is in the second or third position from below, in FIG. 2, ("single ticket'11 or" ticket with addition "positions) the roller 358 is engaged in the lower part of the groove 357 (Fig. 27) and the fork 194 is hooked to the lug 198 of the toothed sector 201 ( Fig. 13), so that the rotation of the shaft 100 starts in a clockwise direction, which corresponds to an addition operation.
If the lever 310 is moved to one of its other three positions, the roller 358 sliding in the groove 357 rotates the lever 359, the segment 203 and the yoke 194 so as to bring the yoke into engagement with the yoke. lug 199 of the toothed sector 201 and to reverse the initial direction of rotation of the shaft 100, as required by the operations prepared by the movement of the control lever.
When a cash register operation, for example a simple addition on an individual totalizer, has been prepared by the described maneuvers of levers 290 and 310, it is a matter of rotating each disc of the selected totalizer by the same amount. tenths of a revolution that the disc must register in units. As already said, the shaft 100 which carries the tie rods 123 on
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which are threaded the coaches 122 performs, during the operation, a complete turn in the desired direction and then, after a short stop, returns to its starting position. The drivers are normally in the active position with their points directed radially with respect to the shaft 100 and engaged in the notches 121 of the disks of the selected totalizer (s).
A star-shaped braking device 131 (Fig. 5) intended to prevent inadvertent pivoting of the coaches 122, is wedged on the shaft 100, near the right end thereof (Fig. 3). The hub of the star receives the ends of all the bars 123 which carry the coaches 122. Next to the star 131 is wedged, on each bar, a small lever 1324, the free end of which carries a roller 133 taken between the two jaws of a clamp 134, 134 ', Each of these clamps has its pivot! 35 fixed near the periphery of the star 131 and its two arms are connected to each other by a spring 136. There is therefore a clamp 134, 134 'by driver 122 of each totalizer, and for convenience, two neighboring clamps are mounted alternately to the right and left of star 131.
For greater clarity, Figs. 3 and 5 show only two clamps.
When, at the start of the operation of the body, the shaft 100 is set in rotation, the star 131 and all the parts which it carries participate in this movement. To the same movement also participate toothed wheels 137 wedged on the shaft 100 (Fig. 3) between the totalisers and star 131 as well as coaches 138 similar to coaches 122, but a little wider, wedged on the bars. 123;, there is a driver 138 in front of each toothed wheel 137 and its tip is engaged in an interior groove 139 of the wheel 137. The number of the toothed wheels 137 is equal to that of the numerical orders in the highest digit. high on which a cash transaction can relate, ie seven in the example shown.
Each toothed wheel 137 engages with a toothed sector 240) Fig.
17) which rotates on the central shaft 300, and the amplitude of which is regulated by pressing one of the keys of the order
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corresponding nmeric. Thus, when an amount comprising, for example, 1 tens and 5 units, the "1" key for tens stops, as described later, the corresponding segment 240 after a determined rotation, while the segment analog 240 cooperating with the keys of the units is stopped, after a rotation five times greater, by the key "5" of the units. With the tens segment 240, the corresponding toothed wheel 137 is also stopped, after a rotation of one tenth of a turn.
From this moment, its driver 138 wedged on a bar 123 cannot therefore continue its rotation with the bar 123 and the shaft 100, while remaining in the active position, with its tip directed radially with respect to the shaft 100. As the shaft 100 advances in its rotation, the driver 138 therefore pivots with the bar 123 to disengage from the groove 137, until it reaches a lying position similar to that in which FIG. . 21 shows a trainer 122.
During this pivoting of the bar 123, all the drivers 122 wedged on the same bar, that is to say belonging to the numerical order of tens in the various totalizers, are also tilted, so that those , which were engaged in notches 121 of the disks 110 are released after having driven the disks 110 of the tens of all the selected totalizers by a tenth of a revolution, in accordance with the number "1" to be recorded. This uncoupling process is repeated for the disks of each numerical order, at the moment when these disks have made as many tenths of a revolution as they have to register units.
While a bar 123 pivots, allowing the trainers 122 and 138 that it carries, to disengage from the notches 121 and 139 in which they were engaged, the lever 132 that this bar carries pivots in the same way as the coaches, and its roller 13 moves one of the jaws 134, 134 'against the action of the spring 136, while the other is held in place by a stop 141 which rests against the neighboring branch of the star 131. The springs 136 thus serve to oppose any untimely pivoting of. bars
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123 with the coaches 122 and 138, because, as long as these are not tilted by the depression of a key, they cannot produce the extension of the spring 136.
The profile of the notches 121 (Figs. 4 and 20) is such that during the pivoting of the coaches 122 their point forces the discs 110 which they have just driven to remain stationary, which prevents the rotation of these discs, by inertia, in the process. -beyond the desired position. In addition, the correct alignment of the totalizing discs 110 is ensured by pawls 142 which are mounted on the shaft 116, one per disc 110 and are elastically inserted under the action of springs 143 between the teeth of the discs.
Mechanism for installing the upright (keypad of keys ¯,), .- Keys 215 (Fig. 2) whose depression determines the amplitude of rotation of the totalizing discs 110 are grouped, on the front face of the machine, in a keyboard comprising as many columns as there are digits in the largest amount that can be recorded at once, ie five in the example shown. Each column has nine keys bearing the numbers 1 to 9, mounted in a curved support 210 (Fig. 17, 18) which is carried by two longitudinal bars 211 and 212.
The latter has, over the entire width of all the supports 210 a flat 213 which allows, after an appropriate rotation of the bar 212, to individually lift for assembly or disassembly, each of the supports 210 which then pivot. around the lower bar 211. The rod 216 of each key is guided in a recess of its support 210 and supported laterally by the cover 214 thereof (Fig. 18). A tab 217 integral with each rod 216 engages in the recess of the support and presses on a return spring 218 mounted in this recess, around a pin 219 which also serves as an additional guide for the rod 216. by crossing a notch in the tongue 217.
The stroke of the key is limited, downwards, by a heel 220 near the top of the rod 216, and upwards by a nose 221 of the rod. The lower surface of the nose 221 is tilted and
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cooperates with a lug 222. All the lugs 222 of the same column of keys are fixed on an oscillating arc called the trigger arc 223 suspended from the support 210 at the top by a link 224 and at the bottom by a trigger 225, these two parts being able to pivot on pins 226 and 226 'respectively. The trigger arc can therefore oscillate a small amount, substantially along an arc of a circle having the shaft 300 as its center.
When a key is pressed, its nose 221, acting on the corresponding lug 222, slightly pushes the trigger 223 clockwise, against the action of a spring of return 227, until the lug 222 enters a notch 228 of the nose 221 by a small backward movement of the arc 223, under the action of the spring 227. The pressed key can therefore no longer go up. under the action of its spring 218.
The trigger arc 223 is flanked by a locking arc 229, guided by rods 230 and 231 oscillating respectively on the pivots 226 and 226 '. The locking arc 229 has angled notches 232 in a number equal to that of the keys of a column, ie new, which can cooperate with lugs 233 each fixed to the side of a rod 216. Normally, the lugs 233 are located above the arch 229, opposite the entrance of the elbow cutouts 232 which each have a radial part, and a side part. When a key is pressed, its lug engages in the angled notch to the bottom of its radial part.
During the operation, the arc 229 is moved, by means described below, in the direction of clockwise, so that the lug 233 of each pressed key is engaged in the lateral part of the key. the notch 232 and remains retained there by the outer edge thereof; this edge is also present in front of the lug of each key not pressed, so that until the end of the operation, that is to say until the arc 229 is brought back to its normal position no new key can be pressed, whereas keys already pressed cannot be released unexpectedly.
However, before moving the locking arc, we
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can correct an error made in the choice of the keys pressed: when, in addition to a key pressed by mistake, another key of the same column is pressed, this one advances the trigger arc 223, as described , and at this moment the first released key rebounds under the effect of its return spring 218.
The keyboard does not include "zero" keys, the function of which is fulfilled, in each column, by a pawl 234 (Fig. 17) mounted on a pivot 235 fixed on the support 210. The pawl 234 is biased by a spring. 236 which keeps it tilted towards the center of the machine. In this position, the pawl 234 rests on a pin 237 carried by the trigger 225. When, on depressing a key, the movement of the trigger arc 223 causes the trigger 225 to oscillate in clockwise, pin 237 lifts pawl 234 which becomes inoperative. when, on the other hand, the figure to be recorded in the considered column is "0", there is no key to press, and the role of pressed zero key is played by the end of the pawl 234.
When an amount to be recorded is set using the keys, the control shaft 100 is rotated as already described in an anti-clockwise direction (Figs. 17 and 20), to record the amount on the selected totalizer (s); the rotation can also start in the opposite direction, in the case of a zeroing operation. At the same time as the control shaft 100, the central shaft 300 receives movement in the same direction and of the same amplitude, derived from the same camshaft 200 (Figs.
15 and 16). The double lever 189 which controls the forked connecting rod 194 also controls, by means of a connecting rod 208 and a journal 209, a toothed sector 146 freely rotating the central shaft 300. The toothing of the sector 146 is identical to that of the sector 201 which actuate the shaft 100, and the amplitude of rotation of the two sectors is the same; however, the rotation of the sector 146 always starts in the same direction. The toothed sector 146 meshes with a pinion 144 attached to a pinion 145 of a slightly larger diameter. The two gears
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are idle on the shaft 100, and the pinion 145 meshes with a toothed sector 147 wedged on the central shaft 300.
This return is determined so as to achieve a maximum amplitude of the sector 147 equal to the angle formed by the spokes going from the shaft 300 respectively to the "9" key and to the zero pawl 234, (Fig. 17). .
Operators.- The toothed wheels 137 which the shaft 100 carries, each have a tooth 148 a little wider than the others (Figs. 3, 17 and 19), which can come into engagement with an isolated tooth
241 carried by sector 240 slightly out of the plane of its other teeth. The tooth 148 only hits the isolated tooth 241 when the rotation of the shaft 100 begins in the counterclockwise direction, which corresponds to a recording operation; it then drives the sector 240, the teeth of which engage with the ordinary teeth of the toothed wheel 137.
On the other hand, each toothed wheel 137 is engaged with one of the teeth of a double pinion 242 idle on an axis 243 supported by the partition 103 and by a fixed support 238 (FIG. 19). The other toothing of pinion 242 can mesh with a toothed sector 245, rotating on shaft 300. This second toothing of pinion 242 has a larger tooth 244, and the toothed sector 245 an isolated and laterally offset tooth 246. These two special teeth do not engage, at the start of the rotation of the shaft 100, until this rotation begins in the direction of clockwise, which corresponds to a zeroing operation. Thus, depending on the initial direction of rotation of the shaft 100, it is the sector 240 or the sector
245 which is driven in a clockwise direction.
One or the other of the toothed sectors 240 and 245 drives in its rotation, a plate 248 which can pivot on the shaft 300.
To this end, the sector 240 has a tab 239 (Fig. 18) perpendicular to the plane of the sector, while the sector 245 carries a tab 247. The plate 248 has a nose 249 offset laterally so as to be located in the plane of the shanks 216 of the keys (Fig. 18) and which is long enough to strike the shank of a pressed key or the end of the zero pawl 234 when the latter is not
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statement. The plate 248 also carries a lock 250 guided radially by two rods 251 and 252 articulated on the one hand to the nose 249 and the other to the lock 250. On the rod 252 is fixed a roller 253 which engages, normally, in a notch 254 of a sickle-shaped segment 255, the hub of which is wedged on the shaft 300.
Since the rotation of shaft 300 is synchronous with that of sector 240, members 240, 248, 250 and 255 move, during the recording operation, together until nose 249 of the plate 248 is stopped by the pawl 234 or by the rod of a depressed key. The shaft 300 continues its rotation with the segment 255 which forces the roller 253 to disengage from the notch 254 of the segment and to advance the latch 250 in a radial direction, against the action of a return spring 256, until 'so that the point of the lock engages in one of the notches 257 that the support 210 of the keys has at its inner periphery.
The roller 253 rolls on the segment 255 which continues to advance, while the plate 248 remains stopped, with the segment 240 and the toothed wheel 137 in an angular position determined by the numerical value of the pressed key. As already described, this stop has the consequence that the trainer 138 (FIG. 3) disengages from the groove 139 of the toothed wheel 137 causes the bar 123 to pivot with the trainers 122 which it carries and immobilizes the bars. discs 110 which have just marked the number corresponding to the pressed key. If the digit to be marked is "0", the nose 249 is stopped by the pawl 234 from the start, as if a "0" key located before the "1" key had been pressed.
However, the shaft 100 and, with it the coaches 122 and 138 which are placed in the inactive or inclined position, as shown in FIG. 21, continue their rotation to complete the complete turn. Shaft 300 also continues to rotate and stops when the tip of segment 255 is near roller 253.
During the return rotation of shaft 100, the drivers 138 which had participated in the operation remain in an inclined position, with their tips pointing in the direction of movement. When
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a driver 138 meets the groove 139 it engages there (Fig. 17) by straightening up under the action of the spring 136 (Fig. 5), and returns the toothed wheel 137 to the rest position. This gear also drives the corresponding sector 240 towards the rest position, as long as their teeth remain in engagement.
It should be noted that for their part the coaches 122 do not bring back the totalizer discs 110 which they have just actuated, because before the backward rotation of the shaft 100, the lever 153 controls by the the cam 151 (Fig. 8) has returned the selected totalizers, by an axial movement from right to left in FIG. 3 in the rest position, so that the drivers 122 can freely rotate and straighten in the annular space of the discs 110.
At the same time as the shaft 100, the shaft 300 returns back with the segment 255. As soon as the notch of the latter comes below the roller 253, the latter engages therein and allows the spring 256 to remove the lock 250. The plate 248, thus released, is also brought back and, by acting on the tab 239 of the toothed sector 240, it completes the return thereof to the rest position.
The operation is analogous during the resetting of a totalizer. In this case, the control lever 310 having been placed in the corresponding position, and the totalizer to be reset being ¯ selected using the lever 290, (in the case of one of the individual totalizers) , the rotation of the shaft 100 begins, as already described, in a clockwise direction (Fig. 17). The plates 248 of all the numerical orders involved in the operation are therefore driven through the gears 137 and 242 and toothed sectors 245, while the sectors 240 remain stationary.
The discs 110 of the totalizer are all driven in the opposite direction to that in which they rotate during recording, by the coaches 122, each of which is in engagement with one of the notches 121 of the corresponding disc.
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corresponding. Each disc 110 which meshes with a reading wheel 120, drives the latter in its rotation and is stopped, when it reaches the zero position, by a stop tooth 140 integral with the wheel 120 (FIG. 20). As shown in Fig. 3, each wheel 120 is integral with a ring 126 capable of rotating on the fixed shaft 118. It is on the ring 126 that the tooth 140 is formed which mainly serves, in cooperation with a transfer cam 262 carried by a shaft 264, to prepare the transfer of the tens of a disk 110 to the neighboring disk 110 of higher numerical order.
But during the zeroing of the totalizer, when the wheels 120 turn counterclockwise, the tooth 140 of each wheel hits the part 281 of the cam 262 as the wheel 120, and with it, the corresponding disk 110, reaches the zero position. At this moment, the disc 110 stops, but its driver 122, tilting with its bar 123 to disengage from the notch 121, continues its rotation with the shaft 100 until the completion of a revolution full. Of course, the discs of the same totalizer which, before setting to zero, marked different figures, stop at different times, each after as many tenths of a turn as it marked units.
At the same time as each disc 110, also stops the toothed wheel 137 which corresponds to the same numerical order, and this because the pivoting of the bar 123 releases the driver 138 from the groove 139 of the toothed wheel 137. With this last, the pinion 242 and the toothed sector 245 also stop. The plate 248, would precede driven by the sector 245, by the intermediary of its tab 247 acting on a part 258 integral with the plate, is also stopped because a hook 259, oscillating on a pivot 260 carried by the sector 245, hooks, under the action of a spiral spring 261, to part 258 and makes plate 248 and sector 245 integral.
On the other hand, the segment 255 continues its rotation with the shaft 300 and pushes back, as previously described, the roller 253 with the latch 250 which locks the plate 248 in the position.
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tion corresponding to the number which was marked by the disc 110 of the same numerical order. Plate 248 is held in this position until the return rotation of shaft 100 returns all of the mentioned members to their rest position, just as after a recording operation.
The hook 259 which has just been mentioned fulfills yet another function which consists in preventing the inadvertent entrainment of one of the toothed sectors, 240 or 245, when the other is activated. To this end, on returning to the rest position after a zeroing operation, the hook 259 hits a yoke 370 which extends over the entire width occupied by the key mechanism, and is released, by a pivoting movement in counterclockwise, of part 258, which will allow plate 248 to accompany sector 245 to the next recording operation. At the same time, the hook 259 is hooked, by a notch at its lower end, to the sharp edge of the yoke 370, so that the toothed sector 245 to which this hook is integral, cannot move during the operation of 'recording.
On the other hand, when the operation to be carried out is a setting to zero, the yoke 370 is tilted, for a purpose and by means described below, in an anti-clockwise direction, which frees the yoke. hook 259 and allows it to hook again to room 258, so that sector 245 can participate in the operation.
The shaft 300 carries, for each numerical order, in addition to the components already described, a bifurcated lever 631 and a sector 632 which communicate the movements of the shaft respectively to an indicator mechanism and to a printing mechanism, in order to make visible and print on receipts or cards the result of each recording or zeroing operation of the cash register. These mechanisms will be described later.
Transfer Mechanism.- We have described how to make each totalizer disc 110 turn by as many tenths of a turn as this disc
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must mark units, this angle of rotation being limited by the depressing of one of the keys 215. It goes without saying that, when a disc passes, during a recording operation, from the position "9" to the "0" position or beyond, one unit must be carried over to the adjacent left-hand disc 110 (Fig. 3) ie to the disc 110 of the next higher numerical order. This transfer of the tens is effected with the aid of the rings 126 (Figs. 20, 21), each of which flanks a reading wheel 120 in engagement with a totalizer disc 110.
Each ring 126 has a tooth 140 which cooperates with the corresponding transfer cam 262 of which is integral a transfer part 263, located, like the cam 262, on a shaft 264, but opposite the adjacent disk 110 on the left. The shaft 264 is mounted, parallel to the shaft 118, between two supports 265 which can pivot on a shaft 266. The distance between the shafts 264 and 118, during the operation of the machine, and the angular position rings 126 on the latter are such that when a disc 110 changes from "9" to "0", its transfer tooth 140 enters a notch 267 of the corresponding cam 262 and causes it to rotate, with its transfer part 263 , counterclockwise, at an angle such that the finger 268 of the part 263 comes to be placed in the path of the blades 269 fixed on the shaft 266.
This rotation of the parts 262-263 takes place against the tension of a spring 270 stretched between each part 263 and a spring-holder bar 271 connecting the supports 265 between them. Each spring 270 therefore tends to return its part 263 to the rest position where it leans against a fixed bar 272 bracing the supports 265.
The part 262-263, moved by the transfer tooth 140, nevertheless remains in its new position of preparation for the transfer, because of the pressure of the pawl 142 on the disc 110, which does not allow the spring 270 to bring back in. rear part 262-263 with ring 126 and discs 120 and 110.
Subsequent clockwise rotation of shaft 266 brings one of the blades 269 into engagement with finger 268 of part 263 and rotates
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this at a certain angle such that a tooth 279 of this part, coming into engagement with one of the teeth of the toothing of the corresponding wheel 120, rotates the latter as well as the corresponding disc 110 by a tenth of a turn, after which, the transfer being thus accomplished, the wheel 120 is blocked by the meeting of its next tooth with the part 280 of the part 263.
If the wheel 120 was originally in position 9, its rotation caused by the transfer would in turn prepare the transfer by one unit to the next left wheel, and this transfer would be made effective by the blade 269 which follows the one that completed the first postponement. The shaft 266 makes two complete revolutions with each machine operation, so that it can make effective, if necessary, eight consecutive transfers, after which the shaft 264 moves away from the shaft 118 to allow the parts 263 to disengage from the wheels 120 and to be returned to the rest position by their springs 270.
The shaft 266 receives its rotational movement from the shaft 150 which carries for this purpose an incomplete toothed wheel 273 (Fig. 22) meshing with a pinion 274 on the shaft 266. The ratio of the gears is such: that shaft 266 makes its two turns while shaft 150 completes approximately the last third of its revolution, while during the first two thirds of the revolution of shaft 150 during which takes place When preparing the transfers, the shaft 266 is held stationary by the two locking cams 275 and 276 carried respectively by the shafts 266 and 150.
The backward movement of the shaft 264 is also derived from the shaft 150 (Fig. 20) on which are wedged two identical cams 277 acting on two rollers 278 each carried by one of the supports 265 of the shaft. 264. While the machine is at rest, (position shown in Fig. 20) the rollers 278 are respectively in front of the cut-out portion of each of the cams 277, which allows a spring not shown to hold. the shaft 264 moved away from the shaft 118. But as soon as the rotation of the shaft 150 begins, the cams push the rollers 278 against the action of the spring and
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move shaft 264 closer to shaft 118 to allow for preparation and completion of carryovers.
At the end of the operation, the cams 277 again present their hollow part to the rollers 278, which allows the spring to move back the shaft 264 for the purpose of straightening all the transfer parts 262-263 which have participated in the operation.
The backward movement of shaft 264 is used to lock all wheels 120 and, with them, discs 110 while the machine is not in use. For this purpose, a blocking bar 540 (Fig. 36) which extends along all the totalizers, is mounted between two levers 541 which can swing on the fixed guide 117, on either side of the assembly. totalizers. The levers 541 are controlled by two connecting rods 542 articulated, at 543, to the supports 265 of the shaft 264. When, the machine being at rest, the shaft 264 is moved away from the shaft 118 which carries the wheels 120, the bar 540 is engaged between the teeth thereof and locks them, while maintaining their exact alignment, against any inadvertent rotation.
At the start of an operation, when the shaft 264 is brought closer to the shaft 118 by the means described, the connecting rods 542 push back the levers 541 with the locking bar 540 and thus disengage the wheels 120 and the discs. 110 for the duration of the operation, after which these wheels and discs are again blocked by the recoil of the shaft 264.
Operation counters.- The different operations carried out by the cash register are counted separately by counters which are six in number: four for the operations of each of the individual totalizers A, B, D and E, one for the operations without recording (known as "exchange" operations), and one for the operations of zeroing the D-day totalizer.
The meters may be of any suitable known construction, provided that they can be controlled by a reciprocating movement. We will not therefore describe the construction details, but only the mode of their control.
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All the counters 283 (Fig. 24) are fixed on the partition 103 of the machine, in the vicinity of the selection lever 290. It has already been explained that before any operation, this lever is brought into a position corresponding to the The operation to be carried out, that is to say, from bottom to top in FIG. 2, foreign exchange transaction, recording of an amount using one of the four totalizers A, B, D or
E, the selection of which is prepared at the same time, or operation to reset the day totalizer J.
At the end of the axis 284 by which each counter is actuated is articulated a link 285 articulated on the other hand to a balance 286 (Figs. 23, 24, 25). The latter ends at the top with a point which normally engages in a notch of a fixed stop segment'287, while the lower end of the balance 286 is guided by a buttonhole, in the radial direction of the machine, on a fixed button 288. Each balance is biased towards the outside by a spring 289. The selection lever 290 carries a bogus with two ramps 291 (Figs. 23, 24) which cooperates with pins.
292 each fixed on one of the balances 286.
When lever 290 is moved to one of its six mentioned positions, its boss
291 presses on one of the pins 292 and causes the balance 286 which carries it to descend against the action of the spring 289, until its pin 292 engages fully in a notch 293 of a sector 294 which can pivot on the central shaft 300. The balance 286 is thus coupled to the sector 294 which, when the machine is started, receives a small oscillation movement borrowed from an eccentric 295 wedged on the camshaft 200 and transmitted to the sector
294 by a double fork 296 cooperating with the eccentric 295 and oscillating around the shaft 300. The fork carries two tenons 297 between which is normally engaged the end 298 of the sector.
294.
The oscillation movement thus transmitted to the sector 294 is transmitted by the lowered balance 286 and the corresponding rod
285 to the counter intended to count the operations of the totalizer, the selection of which is determined by the position of the lever 290.
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In multiple item registrations which result in the addition of items with printing of the total on a receipt, this printing must not be accompanied by the operation of a counter, because each individual item has already been counted. The counter which has remained engaged must therefore be prevented from functioning during the operation of printing the total, despite the rotation of the camshaft 200. To this end, the fork 296 is disconnected from the sector 294 by the following device:
A fork 299, the branches of which surround the shaft 200, is guided longitudinally by a pin 301 engaged in a slot 302 of the fork. At the lower end, the fork 299 has a slot 303 perpendicular to the direction of movement of the fork, and in this slot is engaged a tenon 304 carried by a lever 305 wedged on the axis 306.
This axis can receive an oscillating movement controlled by the control lever 310, via the connecting rod 307 and the arm 308 (Fig. 27). One of the arms of the fork 299 has a profiled slot 309 in which is engaged a pin 311 carried by a connecting rod 312 pivoting on the axis 306. The same pin 311 is engaged in an eyelet 313 of the fork 296 (Figs. 23 and 25). The profile of the slot 309 is such that, during the displacement of the fork 299 caused by the manipulation of the lever 310, the spindle 311 is only affected when the latter is brought into the so-called "total ticket position". "(Fig. 2).
In this case, the pin 311 is brought to the bottom of the V-shaped portion of the slot 309 and drives the double fork 296 to the right (Fig. 23), thus freeing the tip 298 of the sector 294 from between the tenons 297. When the machine is started for printing the total ticket, the rotation of the eccentric 295 with the shaft 200 has no effect on the sector 294 which therefore does not activate the engaged counter.
Control lever. We have seen that before starting the machine, the control lever 310 must be placed in the position corresponding to the type of operation to be carried out. There are five gen-.
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res of operations to which correspond five positions of the control lever, namely, seen from bottom to top in FIG. 2: 1) Aims at zero of one of the individual totalizers A, B, D or E. 2) Recording of a single amount ('Single ticket "). 5) Recording of several related amounts which must then be added together ("Ticket with addition") 4) Addition of these amounts ("Total of the ticket") and 5) Reset of the day totalizer.
It has already been described how the control lever 310 influences the direction of rotation of the control shaft 100, depending on whether it is placed either in the second or third of the above positions, which correspond to an operation d. 'recording, or in another of its positions.
We will now describe the other effects produced in the machine by the movements of this lever.
The lever 310 has the general shape of a plate (Fig. 27), the hub of which surrounds the central shaft 300 and the handle 310 'of which is guided in a slot in the outer sheet 105 of the machine.
Notches in the slot allow the lever to be placed exactly in each of its five positions. However, the lower position, which corresponds to the setting to zero of one of the partial totalizers, is normally prohibited by the bolt 483 of the lock 486 placed to the right of the lever 310 (Fig. 2) and of which the key is in possession. of an authorized person. The following device prevents the operation of the machine when the lever 310 is in an intermediate position:
A roller 314 carried by an arm 315 (Fig. 27) is engaged in a sinusoidal groove 316 of the body of the lever 310. The arm 315 which is wedged on a pivot 317, is secured to a hook 435 (Fig. 33) wedged. on the same pivot 317 fixed to the partition 102 of the machine.
Each correct position of the lever 310 corresponds to a peak of the sinusoidal groove 316, that is to say a point remote from the shaft 300. When the roller 314 is on one of the ridges, the hook 435 is raised and not not hinder the movement to the right of a plate 400, a movement which, as described later.
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thinkable for starting the machine. If lever 310 is stopped between two of its exact positions, roller 314 located between two ridges of the groove lowers hook 435 which hooks to a projection 436 of plate 400 and locks the machine.
The safety device which has just been described also operates in the opposite direction: when operating the machine, it is not possible to move the control lever 310 because, the hook 435, being retained above the projection 436 of the plate 400 does not allow the arm 315 to pivot, so that the roller 314 remains blocked on one of the ridges of the slot 316 and immobilizes the lever 310.
During the zeroing operations of the totalizers, the keys 215 of the machine must be blocked against any manipulation, and the "zero" pawls 234 (Fig. 17 must be raised to allow the plates 248 to leave their rest position. and perform the movements required for zeroing.
As has been explained, a yoke 370 which extends over the entire width of the keypad is tilted counterclockwise at the start of each zeroing operation, and this movement is controlled by the lever 310, through an arm 375 which carries a roller 318 engaged in a slot 319 of the lever 310. Said movement of the yoke 370 brings it below the projections forming the end of right of the triggers 225 (Fig. 17) which serve as lower support for the trigger arcs 223 of the key mechanism, which prevents any rotation of the triggers 225 which could result from the manipulation of the keys.
These are thus blocked for the duration of the operation.
Conversely, if one of the keys had accidentally remained depressed, the corresponding trigger 225 would prevent the tilting of the yoke 370 and thus would not allow the control lever 310 to be brought into the position preparatory to the zeroing of a totalizer. The axis 343 which carries the yoke 370, also carries six fingers 363 (Figs. 30, 31), namely one for each "zero" pawl.
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234 with the exception of that of the numerical order of tens of thousands, the actuation of which will be described later. When yoke 370 is tilted, each finger 363 presses on a pin 234 'carried by the corresponding pawl 234, and withdraws the latter from the active position to disengage the finger 249 from each plate 248 and the toothed sectors 245.
These movements take place both for the five sectors corresponding to the five columns of keys, and for the two sectors of the higher numerical order (thousands and tens of thousands) which do not include any keys.
Interconnection of the control and selection levers.- It is understood that there must be a correlation between the positions of the levers 310 and 290 (Fig. 2); we will now describe the connections existing, for this purpose, between these two levers.
Next to the selection lever 290 (Figs. 23, 24) an arc 320 is suspended from two levers 321 and 322 pivoting on journals 323 and 323 'respectively, fixed on a support 324 (Fig. 24) which runs alongside the arc 320, and is carried by the bars 211 and 212 which carry the supports 210 of the keys. Thanks to this assembly, the arc 320 can perform a slight displacement, substantially along an arc of a circle having the shaft 300 as its center. A spring 325 stretched between the support 324 and the arc 320 tends to pull the latter upwards, but the arc is retained by a hook 326 which is hooked to the pivot 327 connecting the arc 320 to the lever 322 and attached in 328 to the support 324 by a spring 329 stronger than the spring 325. The latter is therefore normally loaded. In the support 324 are embedded locks 330, one for each of the totalizers A, B, D, E and J.
It can be seen in FIG. 2, the barrels 331 of these locks. One of the locks must be operated by its own key, to allow lever 290 to select the corresponding totalizer. Below the barrel 331 of each lock (Figs. 24 and 26) is mounted a plate 332 guided parallel to the axis of the machine by the barrel and by a button 333 fixed to the body of the lock. The narrower right part of the plate 332 is bent at a right angle ,,
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and is biased to the left by a spring 334 (Fig. 24) fixed on the other hand to the support 324. The left part of the plate 332 forms an elongated eyelet which surrounds the barrel 331 (Fig. 26) by following the contour of the barrel cut so as to form at its right part, a rib 335.
As a result, the plate 332 prevents the rotation of the barrel, as long as it is not pushed to the right, against the action of the spring 334. For this purpose, the lever 290 has, between two notches 336 ( Fig. 26) a solid part which only pushes back plate 332 when the lever is placed in the correct position, otherwise it is not possible to turn the key in the lock.
The cylinder 331 of the lock carries, at its lower part, a bolt 337 in the form of a cam which, when the selection lever is in a correct position, engages in a slot of this lever through one of the cutouts 338 of the arc 320. When the barrel 331 rotates, its bolt 337 lowers the arc 320 (Figs. 22,23) and is only stopped when it comes into contact with the neighboring lock.
The downward movement of the arc 320 causes the support lever 322 to rotate slightly counterclockwise, and this movement is transmitted by a tenon 339 engaged in the bifurcated end of the lever 322 and carried by the arm 340 of a yoke 360, to the latter, which pivots on an axis 361. The yoke 360 extends over the entire width of the key compartment and ends in the vicinity of the control lever. control 310 (Figs. 27 and 30) by an arm 362 which is connected by a connecting rod 341 to one of the arms of an elbow lever 342 pivoting on an axis 350. The other arm of this lever carries a lug 344 engaged in a slot 345 of the control lever 310.
When the arc 320 is pushed down by the bolt of one of the locks 550, the lug 344 is pushed towards the center of the machine (materialized by the shaft 300) and allows, by sliding in the slot 345 to move the lever 310, which would not have been possible without actuating one of the locks 330 of the individual totalizers.
--However, the length of slot 345 is limited to
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so that the lever 310 can only be moved between its first and fourth position (seen from below in Fig. 2). In fourth position (1! Ticket total ") the lug 344 reaches the bottom of the window 345 and the lever 310 cannot therefore be brought to its fifth position preparatory to the zeroing of the day totalizer J In order for this to become possible, it is first necessary to push the selection lever 290 fully upwards, which corresponds to the selection of the D-day totalizer. Shortly before the end of this movement, the lever 290 strikes a latch 346 (Fig. 23) which the arc 320 bears on its side, and the arc is lifted against the action of the strong spring 329.
Then only the first cutout 338 (from above) of the arc 320 comes in front of the lock 331 of the totalizer J and allows the bolt 337 of the latter to immobilize the lever 290 and the arc
320. The upward movement of the arc 320 is transmitted, as described (but in reverse), by the lever 322, the yoke 360, the connecting rod 341 and the elbow lever 342 to the lug 344 which is , st, therefore, completely disengaged from the slot 345 of the lever 310 and allows the latter to be placed in its fifth position which corresponds to the setting to zero of the day totalizer J.
As already described, during the resetting of individual totalizers, the first six "zero" pawls 324 are reversed by as many fingers 363 as the yoke 364 carries. For the purpose of resetting the day totalizer J which has seven discs 110, it is also necessary to move back its "zero" pawl which corresponds to the higher numerical order (tens of thousands), and this is done by a latch 388 (Fig. 34) fixed on the lever. 322 supporting the arc 320. This latch pushes back the hook 324 in question during the rotation of the lever 322, caused by the movement of the selection lever 290 preparatory to the zeroing of the day totalizer J.
In order to avoid errors in the handling of the locks and in the installation of the amount to be registered, measures are taken to make it impossible to actuate the locks when one or more of the keys are pressed, and to remove the key from the lock. '' an individual to- talisteur if, at the end of the operation, one or more
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keys remained pressed. For this purpose the yoke 360 (Figs. 30, 31) is flanked, at the left end, by an arm 365 carrying a roller 366 which normally occupies, when none of the locks is manipulated, a position above of the nose 369 of a lever 367 integral with the yoke 370. When the cylinder 331 of the lock of one of the individual totalisers is turned, the yoke 360 pivots, as already described, in the direction of clockwise.
The roller 366 pushes back the nose 369 of the lever 367 while descending and thus gives the yoke 370 a rapid oscillation. When the roller 366 descends below the nose 369, the yoke 370 returns to its place under the action of the spring 371 which connects it to the yoke 364 (Fig. 32), the latter being immobilized, as explained, by the roller 318 (Fig. 32 and 27) engaged in slot 319 of control lever 310.The same oscillation of yoke 370 occurs when turning the cylinder of a lock in the opposite direction to remove the key, the roller 366 acting in this case on the lower inclined surface of the nose 369.
Now, the yoke 370 serves to block the keys by acting on the protruding nose of the triggers 225 (Fig. 17) and, when a key is pressed, it is impossible to move the yoke back. It follows that, if one wanted to turn the cylinder of a lock when a key is pressed, the yoke 370 would strike the nose of a trigger 225, so that the roller 366 could neither descend nor rise. , and it would be impossible to manipulate the lock.
Operation without intervention of totalizers.- In certain cases, for example for control purposes, or for a simple exchange operation etc., the machine must be operated without recording or resetting, therefore without any totalizers is activated, and without having to use the key of one of the totalizers.
To this end, the selection lever 290 is brought into its lower position, called "change" in FIG. 2; in this position of the lever 290 (Figs. 23 and 31), a pin 372 fixed on a projection of the body of the lever, engages in an inclined notch
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368 which has, at its upper part, the lever 367, integral with the yoke 370, and causes the latter to tilt to the left (Fig. 23), where it is immobilized. Therefore, as already explained, the keys
215 are locked against manipulation, and conversely, when a key is depressed, yoke 370 cannot swing to the left and lever 290 cannot be moved to the "change" position.
On the other hand, it is only possible to place the lever 290 in the "change" position when the control lever 310 occupies the 2nd. or 3rd. position ("single ticket" or "ticket with addition"). In fact, when the lever 310 is in another position, the yoke 364 is tilted, as we have seen, in the opposite direction to that of clockwise (Figs. 27, 31). The left arm (Fig. 30) of the yoke 364 is flanked by a finger 373 which, by tilting with the yoke 364 comes into the path of the pin 372 of the lever 290 and prevents the latter from engaging in the yoke. 'inclined notch 368 of lever 367.
The latter, together with the yoke 370, is also tilted to the left, so that the pin 3723, upon striking it, prevents the lever 290 from lowering to the "change" position. Conversely, when the lever 290 is in this position, it is not possible to put the control lever 310 in the 1st., 4th. or 5th. position, because the pin 372, placed in front of the finger 373 opposes the movement of the yoke 364 to the left and, therefore, the movement of the lever 310.
As has been said, the starting of the machine begins with an escape, to the right, of a plate 400 (Fig. 33), the functions of which will be more fully described later; for this it is necessary, that a lock 401.qui retains it by hooking to a shoulder of its lower face, is lowered, and this, whatever the operation that the machine must perform.
When it is a question of a recording, or of the resetting of one of the individual totalizers preceded by the manipulation of one of the locks 330, this manipulation has the effect, as already described, of causing a pivoting movement, in the opposite direction of acute
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the of a watch, of the elbow lever 342 (Figs. 27 and 33). The left arm of this lever presses on a lug 348 carried by one of the arms 347 of a yoke 349 pivoting on the axis 350. The other arm 351 of the same yoke, which ends in a fork (Fig. 33. ) embraces a pin 402 carried by the latch 401.
A spring, not shown, attached to the partition 102 and to the yoke 349 maintains the arm 347 thereof in contact with the elbow lever 342, so that, upon manipulation of one of the locks 330, the movement of the lever 342 is transmitted to the latch 401 which descends and releases the plate 400. When the operation envisaged is the resetting of the day totalizer D, with a view to which the control lever 310 is placed in its highest position, it is this lever itself which, by pushing back the lug 348 by its inclined surface 352 (Fig. 27), rotates the yoke 349 and thus lowers the latch 401.
Finally, when the machine has to operate without recording or zeroing for a so-called "change" operation, the selection lever 290 is first brought into the lower position corresponding to this type of operation. Going down, the lever 290 strikes a catch 353 (Fig. 23) of the arc 320 and causes the latter to descend, which causes the same effect as the manipulation of one of the locks, namely: pivoting of the support lever 322 and yoke 360, translation of the connecting rod 341 (Fig. 33), pivoting of the elbow lever 342 and of the yoke 349 with its arm 351, and lowering of the lock 401. During these movements, the roller 366 of the arm 365 soli- The yoke of the yoke 360 (Figs. 30 and 31) is placed below the nose 369 of the lever 367, which retains the lever 290 in its lower position, despite the tendency of the spring 325 to raise the arc 320.
The notch 368 at the top of the lever 367, in which the pin 372 of the lever 290 is engaged, has a shape such that it allows the lever 290 to go up a little, which causes a slight rotation of the lever 367, with the yoke 370 , under the action of spring 371 (Fig.
32), in a clockwise direction, so that the nose
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369 advances above the roller 366. In order to be able to raise the lever 290 in a position other than that called "change", it is necessary that the arc 320 and the yoke 360 with the arm 365, as well as the lever 367 return to their rest position. The roller 366 cannot however rise above the nose 369, by pushing the lever 367 back, under the sole action of the spring 325 acting on the arc 320.
To raise the arc 320, use is made of a hook 354 pivoting on an axis 355 carried by the lever 290. When the latter is in the "change" position, the hook 354 hooks onto the pin 353 of the lever. arc 290, under the action of a spring 356. While the lever 290 is raised, the hook 354 drives the arc 320 which causes the roller 366 to rise above the nose 369. The arc 320 protrudes. slightly, upward, his. normal position, but the strong spring 329 then pulls it down and moves the hook 354 back against the action of its spring 356, after which the arc 320, disconnected from the lever 290, is returned by the spring 329 to its position rest.
Automatic control of the control lever.- The most frequent operation of the machine is that of a simple recording, which requires that the control lever is in its second position from below, (Fig. 2); however, this lever is often also in the fourth position, to add and print the total of several recordings made. In order to make the work of the machine more expeditious, the lever 310 is automatically returned to its second position, at the end of each operation during which it was in the fourth position.
For this purpose, the body of the lever 310 carries, at the rear of the machine, a small cam 376 (Figs. 27, 28, 29) in the plane of which is, on the other hand, a groping 377 suspended from it. two levers 378 and 379 pivoting respectively on axes 380 and 381 which are carried by a support 382 mounted on a fixed frame 600. The lever 378, which is bent, carries at the end of its other arm a pin 383 which , by passing through an opening in the support 382, engages in the forked end of one of the arms of an elbow lever 384 pivoting on the axis 381.
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The other arm, also forked, of the angled lever 384 controls a lug 385 fixed to a finger 386. The latter can slide, by a buttonhole 387, on a pin 637 carried by the frame 600. The finger 386 which is normally located fully clockwise, as shown in Fig. 27, is also supported by the end of a link 389 articulated, at the other end, to an arm 390 capable of pivoting on the axis 637. When the control lever 310 is brought into its fourth position, the cam 376 meets the feeler 377 and pushes it back to the right which, by the cooperation of the bent levers 378 and 384, causes the latter to pivot clockwise, against the tension of a spring 391.
Fn swiveling, the lever 384 drives the lug 385 to the left with the finger 386, until the axis 637 is in the right end of the buttonhole 387. In this advanced position, the finger 386 by pivoting on the axis 637 may strike a tenon 392 fixed to the body of the control lever 310 when the finger receives an upward impulse. The arm 390 connected to the finger 386 by the connecting rod 389 is controlled by a forked connecting rod 594 which carries a roller 395 cooperating with a cam 393 wedged on the camshaft 200. This shaft, as already said, makes a complete revolution. every time the machine is operated.
The profile of the cam 393 is such that at the start of the operation the connecting rod 394 is slightly raised and the finger 386, being in the forward position to the left, hooks onto the pin 392 and remains so for almost the entire duration. of machine operation. Towards the end of the operation, the cam 393 abruptly lifts the connecting rod 394 and, with it, the finger 386. This movement transmitted by the tenon 392 to the lever 310, has an amplitude such that this lever, by pivoting on the shaft central 300, is returned to its second position that it must occupy for a new registration operation. At the same time, the spring 391 returns all the components described in their rest position.
Motor organs. - We have described so far, in addition to the actual totalisers, the arrangement and operation of the
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the machine involved in the preparation of an operation.
We will now describe the motor members which are used to start the machine in order to make effective the operation prepared by the means described.
The motive force actuating the machine can be supplied, which is the normal case, by an electric motor housed therein, or else, in the event of an electric current fault, by the operator himself. even acting on a crank. The two controls can be used at will, without the intervention of any coupling.
The electric motor 501 (Figs. 36 and 37) which may be of any suitable type, and which is preferably a single phase auxiliary pole motor, operating at 40-50 per./sec., And provided with of a speed reducer 502, is suspended, by arms
503 (Fig. 37) to the bearing 504 of the motor shaft 500, and its gear 505 engages the idler toothed wheel 506 on the shaft 500.
The motor 501 also rests elastically on the plate of the machine 101 (Fig. 36) with the interposition of rubber blocks 109.
By virtue of this floating arrangement, the gears 505 and 506 remain in constant mesh smoothly despite the slight oscillations of the motor which may occur during operation as a result of rapid variations in resistive torque.
The coupling between the toothed wheel 506 and the shaft 500 is produced, for the duration of the operation, by a roller clutch consisting essentially of a cup 507 integral with the toothed wheel 506 and a disc 508. wedged on the shaft 500. Three rollers 509 (Fig. 36) each housed in a cutout; wedge-shaped disc 508 establishes the connection between it and the cup
507 when they are wedged between these two parts as a result of the clockwise rotation of the bowl
507 driven by the engine.
The jamming of the rollers 509 is further promoted by springs 510 housed in the body of the disc 508.
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On the other hand, the shaft 500 carries a toothed wheel 511 which, by means of the toothed wheels 512 and 513 wedged on the shaft 150 is controlled by a pinion 514 wedged on a shaft 515. The latter, which comes out of the machine on the right side of it (Figs.l, 35 and 36) carries a crank 516 acting through a roller clutch 517-518, which has two rollers, but is otherwise similar to that between the motor and the shaft 500. It will therefore be understood that the shaft 500 can be driven either by the motor 501 or by the crank 516.
Control shaft 500 makes one complete revolution per operation, which requires, in the case of manual control, two complete revolutions of crank 516. If the control is carried out, as is normal, using the motor, the rotation of the shaft 516 is limited to one revolution by the following mechanism: pawl 519 "(Figs. 36 and 38) with two jaws 521 and 522 can pivot on a pin 520 fixed to the partition 102. The nozzle 521 can engage in a notch of a disk 523 fixed on the shaft 500, and prevents the latter from turning using the crank 516 as long as the machine is not released as explained below .
The nose 522 can engage in a notch of a flat disc 524 (Fig. 37) mounted on the hub of the disc 523 and carrying, perpendicularly to its plane, three pins 525 each entering a central hole of each clutch roller 509.
The nose 522 maintains the disc 524 in the disengaged position, the pins 525 pushing the rollers 509, against the action of the springs 510, in the widest part of the notches in the disc 508.
Between the disc 524 and the disc 523 are still mounted on the hub of the latter; a detent disc 526 (Fig. 39) also cooperating with the nose 522 of the pawl 519 and a cam 527 which is attached thereto, finally a contact breaking cam 528 (Fig. 40) assembled in such a manner adjustable to disc 523. Cams 527 and 528 cooperate with a two-arm contact lever, pivoting on a fixed axis 529 (Fig. 36). One of the arms, 530 of this lever carries a roller
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531 which can engage in the notches of the two cams 527 and 528 at the same time; the other arm 532 of the contact lever ends in a rod of insulating material 533 which brings together, when the arm 532 pivots clockwise, two electrical contacts 534 and 534 '.
The contact cam 527 integral with its detent disk 526 is subjected to the action of a spiral spring 535 (Fig. 39) which tends to make it rotate clockwise, in advance of the axis. rotation of the motor shaft, but this movement is normally made impossible by the pawl 519, the nose of which 521 retains the disc 526 in the position where the roller 531 of the arm 530 is engaged in the hollow of the cam 527 at the same time than in that of the cam 528 integral with the stop disk 523.
To start the machine, it is therefore necessary first of all to reverse the pawl 519 and for this purpose the large release button 440 is pressed (Figs. 2 and 33). The key 440 surmounts a rod 441 guided, through a fixed block 442 towards the center of the machine. The end of the rod 441 carries a lug 444 engaged in the forked end of a pawl 450 pivoting on a pin 449 and resting, by its other end, against a shoulder 458 of the plate 400 which, as already said, must escape to the right (in Fig. 33) at the start of machine operation. When the trigger button 440 is depressed against the action of a strong enough spring 443, the pawl 450 pivots clockwise and disengages the plate 400.
It should be noted that it is necessary to release the plate 400 by pressing the button 440 even when it is desired to operate the machine by hand by means of the crank 516.
It will be remembered that the latch 401 which also retains the plate, was withdrawn during the preparatory movements of the selection 290 and control levers 310, so that the plate 400 can escape to the right, under the action of 'a powerful spring 403 attached to the plate at 438. In its movement to the right, the plate 400 which is guided by a large notch 429 embracing the central shaft 300 pushes back a connecting rod 480 and rotates, around a
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axis 431, one of the two arms 432 of a yoke 433, the other arm 434 of which (Fig. 36) is connected to a lever 536 fixed on the axis 520 which carries the pawl 519.
The latter is thus lifted and releases the disks 523, 526 and 524; under the action of the spring 535, the cam 527 turns by a certain angle, advancing with respect to the subsequent rotation of the shaft 500, pushes the roller 531 back, rotates the lever 530-532 and closes the contact 534- 534 ', which starts the engine. At the same time, the spindle disc 524 allows the rollers 509 to engage, so that all parts start to rotate with the shaft 500.
Shortly before the completion of the complete revolution of the shaft 500, the plate 400 is returned, as described below, to its rest position and, by causing the connecting rod 430 in this movement to the left, it causes the lowering. of the pawl 519. This first meets the notch of the disc 526 which is immobilized while the shaft 500 is still turning and thus tightens the spring 535. The roller 531 of the lever arm 530 nevertheless remains in the out position because , in front of it, only the cam 527 presents its notch to it, while the contact breaking cam 528 is still present by its circular face, so that the electrical circuit still remains closed and only opens completely at the end of the operation, when the size of the cam 528 is also in front of the roller 531.
At the same time, the pin disc 524 is immobilized by the nose 522 of the pawl 519 and its pins 525 push back the rollers 509 to effect the disengagement while the shaft 500 is stopped by the pawl 519 whose nose 521 falls back into the 'notch of disc 523. In this way, the inertia of the motor and its speed reducer does not affect the shaft 500 because, immediately after stopping the latter, the cup 507 can rotate freely up to 'when the engine is stopped.
As has been explained, the rotation of the motor shaft 500 is transmitted, on the one hand, to the camshaft 200, by the gears 511, 537, 538, and from there to the shaft. 100 carrying the totalisers;
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on the other hand to the shaft 150, by the gears 511 and 512.
Safety plate.- We have already said that at the start of each operation, the plate 400 released by the manipulation of the large release button 440, escapes to the right under the action of the spring 403 (Fig. 33). and thus starts the engine 501.
The spring 403, attached to the plate 400 at 438 is fixed at the other end to a connecting rod 404 articulated at 405 to an arm 406 which can pivot on the axle 193 and which is normally held stationary by a roller 407 which it carries and which is engaged in the groove 408 of a plate cam 409 fixed on the shaft 200. The connecting rod 404 is assembled to the plate 400 by means of a button 410 fixed to the plate and engaged in a buttonhole 411 of the connecting rod. When the plate escapes to the right, its stroke is limited by the length of the buttonhole 411, the connecting rod remaining stationary.
During its movement to the right and its return movement, the plate 400 performs yet other functions which will now be described. It has been said that after the preparation of a recording and throughout the duration of the latter, the keys 215 must remain locked by the locking arcs 229 which do not allow a new key to be pressed, nor release the pressed keys. The arcs 229 are controlled from the plate 400 which coiaports, for this purpose, a curved groove 412 in which can slide a pin 413 carried by a fork 414 (Fig. 33). The latter is guided, at one of its ends, on the central shaft 300 and articulated, at the other, to an arm 415 wedged on an axis 416 supported by the partition 102 and by a bracket 417 fixed to the partition 103.
The escape of the plate 400 to the right has the effect of lifting, by the spindle 413, the fork 414 and of rotating the arm 415 and the axis 416 in the opposite direction to that of clockwise. Two identical arms 418 wedged at the ends of the axis 416 carry a rod 419 which extends over the entire width of the keyboard
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keys and engages, as a result of the described movement in which it participates, in the notches 420 (Fig. 17) of the rods 230 supporting the upper ends of the locking arcs 229.
These are thus raised and block all the keys for the duration of the operation. When, at the end of the operation, the plaque
400 is returned to the left, to its rest position, all the movements which have just been described are reproduced in the opposite direction, and the keys are thus released with a view to preparing a new recording.
The return of the plate 400 to its rest position is controlled by the cam 409 (Fig. 33) wedged on the shaft 200 which makes one revolution during each operation. Shortly before the end of the turn, the groove 408 of the cam 409 presents to the roller 407 a re-entrant part which forces the arm 406 to pivot rapidly, around the axis 192, first to the left, then to the right. . In its movement to the left, the arm 406 is accompanied by the connecting rod 404, the plate 400. and the spring 403 which therefore does not oppose the return of the plate 400 to the left. The plate in this return movement extends somewhat beyond its normal position, which allows the pawl 450 to drop past the shoulder 458 of the plate.
While the cam 409 completes its turn, the re-entrant part of the groove
408 slightly exceeds the fgalet 407, which brings the arm 406 and the connecting rod 404 a little to the right, to their rest position, and binds the spring 403. As a result, the plate 400 is also brought back a little to the right and is stopped in its normal position when its shoulder 'rests 458 butts against the pawl 450.
During the return movement, to the left, of the plate
400, which marks the end of an operation, the keys 215 which were pressed for the recording operation should be pulled out. For this purpose, the connecting rod 404 is articulated to a connecting rod 421 articulated, on the other hand, to a balance 422 (Figs.
33 and 33a) pivoting on the axis 423 and carrying, at its free end, a small plate 424. This plate 424 has a notch
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425 in which., Is. engaged a pin 426 which passes through an opening of a connecting rod 427 articulated to a lever 428 integral with a yoke 374 which can pivot about the axis 361 and extends over the entire width of the keyboard. When, towards the end of the operation, the connecting rod 404 is moved to the left under the action of the roller 407 controlled by the cam 409, this movement rotates, in an anti-clockwise direction, yoke 374 (Figs. 33 and 17) which strikes the triggers 225 (Fig. 17).
These, by pivoting, raise the trigger arcs 223, the pins 222 of which release the stems 221 from the keys 215 and allow all the keys which had been pressed to rebound under the action of their return springs 218. Immediately after that, when the connecting rod 404 withdraws a little to the right, the yoke 374 and, with it, the detent arcs 223, return to their normal position.
It may happen accidentally that the person using the machine keeps his hand on key 440, which could trigger a second operation. To deal with this eventuality, the following safety device is provided.
Next to the pawl 450 is mounted on the pivot 449 a counter-pawl 452 provided with a curved groove 453 in which a lug 451 of the pawl 450 can slide. A spring 454 stretched between the pawl 452 and the pawl 452. lug 451 maintains the latter at the left end of the groove 453 and holds the pawl 452 raised. This pawl ends in a hook offset laterally so as to be in the plane of the plate 400, a little above a shoulder 455 thereof. When the trigger button 440 is pressed, the counter-pawl 452 is applied to the shoulder 455.
If key 440 were to remain depressed while plate 400 returns to the left at Operation Complete, counter-pawl 452 would drop past shoulder 455 of the plate as the plate protrudes a little to the left, as described. , its normal position, and
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would make it impossible to trigger a second operation unexpectedly. When the button 440 is released, the latter rises under the action of its spring 443, lowers the pawl 450 a little in front of the shoulder 458 of the plate, raises, by means of the spring 454 the counter-pawl 452 and thus allows the plate 400 to resume, under the action of the spring 403, its normal position determined by the meeting of the shoulder 458 with the pawl 450.
Repeat Key - As has been said, the keys pressed for a recording operation are released and return to their original positions at the end of the operation. However, if it is desired to record the same amount several times consecutively, it is desirable to leave the keys pressed so that it is sufficient to press the release key 440 at each subsequent operation, without any further movement. preparatory. For this purpose, the machine has a key 460, called "repeat key", located to the right of the keypad, below key 440 (Figs. 2 and 33). The key 460 surmounts a rod 461 guided along the partition 102 in the slot of a block 462 and provided with a return spring 463.
Near its lower end, the rod 461 forms a heel 464, the lower inclined face of which pushes back, when the key 460 is pressed, a lug 468 integral with a lever 469 which pivots on the pivot 449, and that a spring of reminder, not shown, tends to pull down. In a groove 470 of the lever 469 is engaged a pin 471 fixed to one of the arms of a fork-shaped balance 472 (Fig. 33a) guided vertically by the end of the shaft 423. its lower end, the balance 472 carries the pin 426 which, as already said, passes through a hole in the connecting rod 427 serving to transmit to the yoke 374 the movement which is used for the. end of an operation, to release the pressed keys.
It will be understood that when the repeating key 460 is pressed, the movement imparted by the rod thereof, to the lever 469, has the effect of lifting the balance 472 with the pin 426, to cause the latter to come out. the notch 425 of the plate 424 and thus disconnect the connecting rod 421
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of the connecting rod 427. Under these conditions, the yoke 374 not receiving any pulse at the end of the operation, does not release the pressed keys, and this as long as the repeat key 460 remains pressed. In order to avoid an unexpected rebound of the latter, its heel 464 has a notch 466 in which the lug 468 engages, under the action of a spring not shown, as soon as the key 460 is fully depressed.
* Key release mechanism.- When you no longer wish to repeat the recording of the same amount, you must release both the repeat key 460 and the keys 215 on the keyboard. A button 475 is used for this purpose located to the right of the machine, in front of the crank 516 (Figs. 1 and 35). This button 475 is carried by an articulated rod 476, at the rear of the machine, to one of the three branches of a Y-shaped lever, 477, pivoting on an end of axis 478 fixed to the partition 102. At the lower end of the lever 477 is articulated a connecting rod 479, the opposite end of which has a slot 480 in which is engaged a pin 481 which the lever 428 carries, integral with the yoke 374.
When the operator. pulls towards the front of the machine (that is to say towards the left in Fig. 35), the button 475 with the rod 476 which is guided, at its front end by a slot 482 and a tenon, fixed 483, this movement causes the lever 477 to pivot around the axis 478. The connecting rod 479 moves rearwardly, drives the lever 428 integral with the yoke 374 and causes the latter to pivot counterclockwise. 'a watch, which has the effect, as already described, of releasing the pressed keys 215, via the triggers 225 (FIG. 17). In its pivoting movement, the lever 428 drives the connecting rod 427 to the left with the spindle 426 and the lower end of the balance 472 (Fig. 33).
The upper end of this balance describes a circular movement to the right, around the axis 423 as its center, in which the spindle 471 takes part, trapped in the curved slot 470 of the lever 469. The curvature of the slot 470 is less than that
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of the path of the spindle 471, so that the lever 469 is slightly raised and its lug 468 comes out of the notch 466, which allows the key 460 to return to its normal position, under the action of its spring return 463. In order that the lever 469 is lifted more easily, against the action of its return spring, the connecting rod 479 carries a finger 484 (Figs. 33 and 35), the inclined upper surface of which comes below the spindle. 426 and pushes it slightly upwards.
After releasing the button 460, when the operator releases the button 475, all the parts are returned to the position corresponding to the normal operation of the machine: the lever 469 with the balance 472 are pulled down, by the return spring not shown of the lever 469 until the pin 426 engages in the notch 425 of the balance 422; the linkage 479-477-476, as well as the yoke 374 and its lever 428 are returned to their place by a spring 485 stretched between the latter lever and the finger 484 of the connecting rod 479.
The mechanism described is also used when it is necessary to correct, before starting up the machine, an error in the handling of the keys: pulling the button 475 releases the keys 215 already pressed. The lug 468 being outside the notch 466 of the repeat key which is not pressed, this key is in this case not affected by the handling of the button 475.
When, at the end of a recording operation, the pressed keys 215 are released in the normal way, by the recoil to the left of the plate 400, the movement transmitted to the lever 428 by the connecting rods 421 and 427 is exerted. no reaction on all of the components which have just been described because, during the oscillating movement of the lever 428, its pin 481 simply slides in the slot 480 of the connecting rod 479, without moving the latter or the related components .
- Releasing the keys using button 475 must not be
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be done when the machine has not yet been started, that is to say when the plate 400 has not yet moved to the right in FIG. 33. In order to avoid false maneuvers, the third branch of the Y-lever 477 carries a stopper 474. If the button 475 is pulled when the plate 400 has already escaped to the right, the stopper 474, by pivoting with the lever 477 about the axis 478, hits the lower horizontal surface of the wide notch 429 by which the plate 400 is guided on the shaft 300 and prevents the operation of the key release mechanism , until the plate 400 returns to its rest position, after the completion of the operation.
General lock - The starting of the machine, which in any case requires the movement of plate 400 to the right, can be prohibited using the general lock 486 which is to the right of the keypad ( Figs. 2 and 35). The rotary cylinder of this lock carries three arms 487, 488 and 489. When the lock is closed, the arms move into the position shown in FIG. 35: The arm 487 is placed below the lug 402 of the latch 401 which retains, from below, the plate 400 and therefore prevents the starting of the machine.
At the same time, a pin 490 fixed to the arm 487 comes into contact with an integral lever 491, through the part 492 (Figs. 30 and 32) of the yoke 370; the pin 490 thus causes the yoke 370 to tilt which locks all the keys 215 in the rest position, so that it becomes impossible to manipulate them. The second barrel arm 488, which has the shape of a hook, hooks onto a pin 493 of the connecting rod 479 and thus prevents the operation of the key release mechanism using the button 475. -Finally , the third arm, 489 is articulated to a rod 494 articulated on the other hand to a lever 495 pivoting on the fixed pivot 483 (Figs. 33 and 35). A pin 499 carried by the lever 495 comes, while the lock is being closed, to strike a heel 496 of a locking arc 497 which is thus raised.
The arc 497 is guided by two buttons 498 and 498 'engaged respectively, in -. A notch and a slot of the arc which is normally drawn.
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down by a spring, not shown. The arc 497 has, on its back, two notches 446 and 457, normally situated next to the rods 441 and 461 of the trigger button 440 and of the repeat button 460. These rods each have a lug, respectively 445. and
467, which enter the notches 446 and 457 when the keys 440 and 460 are pressed. But when, by closing the lock, the arc 497 is raised, the notches move away from the rods 441 and 461, so that 'it becomes impossible to press any of the keys 440 and 460.
Although the movement of the selector lever 290 is still possible, except in the lower position, the locks 331 of the totalizers cannot be manipulated, because of the blocking of the latch 401 of the plate 400. Thus, any manipulation not authorized checkout is prohibited by the general lock 486.
Variant. - According to a modified form of control of the totalizers, use is made, in each regulating mechanism, of a single toothed sector, instead of the two toothed sectors 240 and 245 described above. In this modified construction, the rotation of the control shaft always starts in the same direction, whatever the type of operation to be performed. If the operation is a resetting of a totalizer, the selection of the latter becomes effective from the start of the rotation of the control shaft which drives the totalizer discs in its forward stroke; during the stopping of the shaft, the totalizing discs move away from their respective drivers, and the shaft returns to its normal position without bringing back the discs which it has driven on the way.
On the other hand, if the operation is a recording, the forward stroke of the control shaft is carried out "empty", without driving totalizing disks; these are brought into engagement with their respective drivers only during the short stop of the control shaft which drives them during its return rotation. This simplified operation of the body can be achieved thanks to some modifications in the selection mechanism, in the control of the control shaft and the shaft.
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central, and in the arrangement of the operating mechanisms. These modifications will now be described.
Instead of the profiled groove cam 151 (Fig. 8), the camshaft 150 carries two cams 550 and 551 (Figs. 44 and 45) with which two curved levers 554 and 555 cooperate, each of which carries a roller. , respectively 552 and 553 which rolls on the periphery of the corresponding cam 550 or 551. The two levers 554 and 555, which can, under the influence of the cams 550, 551, pivot on a fixed pivot 556, end, each, by a finger 557, the meeting of which with a lug 558 (or 559) of the cam 550 (or 551) has the effect of returning to its normal place that of the levers 554 or 555 that the cam 550 or 551 had rotated . At the opposite end, each of the levers 554, 555 ends in an enlarged part (Figs. 46 and 47) in which a slot is made, respectively 560 and 561.
In these two slots is engaged the end of the same lever 562 wedged on the pin 154 which is mounted in the fixed support 155 so as to be able not only to oscillate, but also to slide to a small extent.
The axis 154 receives its sliding movement from a rocker 565 (Fig. 44) which can pivot on a fixed pivot 566, and the forked end of which is engaged in a groove 564 which the axis presents to. . its left end. The rocker 565 carries two rollers 567 and 568 which cooperate alternately with a cam 569 fixed on the shaft 168. An oscillation imparted to the shaft 168 (by the operation of the control lever 310, as already described with reference to FIG. 10), therefore results in a displacement of the axis 154 to the left or to the right, depending on whether the cam 569 pushes the roller 567 or 568 of the balance 565.
The oscillating movement of the axis 154 is imparted to it by the lever 562. The slots 560 and 561, in which is engaged the end of the lever 562, which accompanies the axis 154 in its sliding movement, are profiled in such a way. way that, placed on the left
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in the slots (Fig. 46) the end of the lever 562 is only lifted by the curved lever 554, when the latter oscillates under the influence of the. cam 550. On the other hand, when the end of the lever 562 is placed, by the sliding of the axis 154, in the right part of the slots 560 and 561 (Fig. 47), it is the curved lever 555 which only the lever 562 can be lifted, thus causing the axle 154 to oscillate.
The bosses of the cams 550 and 551 have such angular positions, with respect to the shaft 150, that when the pin 154 is in its right-hand position, which is the case when the control lever 310 is placed in the right position. a position preparatory to a zero-setting operation, the axis 154 receives an oscillation, through the intermediary of the cam 551 and the levers 555 and 562, as soon as the machine is started up, and is returned to its normal angular position when the control shaft 100, after having turned one revolution, is stopped before its return rotation. The oscillation of the axis 154 has the effect of making effective the selection of the totalizers intended to participate in the operation, as described with reference to Figs. 7 to 12.
On the other hand, when the control lever 310 is moved for a recording operation, this movement is transmitted by the rack 169 (Fig. 10) to the shaft 168 and by the cam 569 and the balance 565 to the shaft. pin 154 and lever 562, the end of which is placed in the left part of slots 560 and 561 (Fig. 46). In this case, it is the curved lever 554 which oscillates the axis 154 when the drive shaft 100 is stopped after its forward rotation. At this time, the selection of the totalizers to participate in the operation becomes effective, and their discs are driven during the return rotation of the drive shaft 100.
From the foregoing, we will therefore start the rotation of the control shaft 100 always in the same direction, which makes it unnecessary to control it by means of the device for changing the direction of travel (Figs. 13 to 16). ). In the modified construction,
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the rotation of the control shaft derives, as before, from two cams 187 and 188 (Fig. 41) wedged on the camshaft 200 and acting on the two rollers 190 and 191 of a double lever 189 which can pivot on the axis 192. At its upper end, at 193, the lever 189 is articulated to two connecting rods 571 and 572. The connecting rod 572 controls, by a button 573, a toothed sector 574 which is loose on the central shaft 300 and meshes with the pinion 202 wedged on the control shaft 100.
The pinion 202 on the other hand meshes with a pinion 575 which is in mesh with a toothed sector 576 wedged on the central shaft 300. In this way, when, when the machine is started, the shaft to cams 200 make a complete revolution with its cams 187 and 188, these, in accordance with their profile, impart to the control shaft its rotation of one revolution followed, after a short stop, by a rotation one turn in the opposite direction; and at the same time the central shaft 300 receives its usual movement. So that there is no delay in the rotation of the central shaft 300 relative to that of the control shaft 100, the connecting rod 571 attacks the toothed sector 576 by the button 577 and thus corrects the play of the components. transmission which could appear towards the end of the race.
At its lower end at 578, the arm of the toothed sector 574 is articulated to a connecting rod 590 which controls, by a button 591, the frame 643 which intervenes in the operation of the indicator, as described below.
As already stated, the modified control of the control shaft 100 makes it possible to replace, in each regulating mechanism, the two toothed sectors (240 and 245), by a single toothed sector 592 (FIG. 48) which participates in all the changes. operations, both recording and resetting. Furthermore, the operation of the regulatory mechanism is substantially the same as previously. In each of its movements, the toothed sector 592 is accompanied by the plate 248 which is now secured to the toothed sector 592 by two spacers 593 (Figs. 48 and 49). The locking device, with its members 249 to 255 is the same as that
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previously described, with reference to FIG. 17.
The movements of the mechanisms according to Figs. 41 to 50, on the one hand during a recording operation, on the other hand during a zeroing operation, are as follows:
Prior to starting the machine for recording, the selection lever 290 is operated to select the individual totalizer intended to participate in the operation, and the control lever 310 which is placed in the po 'position corresponding to the type of operation, namely "Ticket-, simple" or "Ticket with addition" (Fig. 2).
The movement of the lever 510 results in a rotation of the shaft 168 (Fig. 44) such that the cam 569 pushes the balance 565, with the axis 154 and the lever 562, to the left, so that the end lever 562 is placed on the left in slots 560.561 (Fig. 46) and can only be lifted by curved lever 554.
When the machine is started up, the shaft 200 (Fig. 41) begins to turn in the direction of the arrow, and almost immediately its cams 187 and 188 make the toothed sector 574 rotate to the left then , after a short stop, bring it back to the position shown. The pinion 202 wedged on the control shaft 100 thereby transmits to the control shaft a rotation of one complete turn in the direction of clockwise then, after the short stop, of a turn in the direction. reverse. At the same time, by the pinion 575, the toothed sector 576 wedged on the central shaft 300, receives a movement similar to that of the sector 574, but in the opposite direction.
The control shaft 100, the drivers 138 of which are engaged in the grooves 159 of the toothed wheels 137, drives the latter and, with them, the toothed sectors 592 of all the operating mechanisms. Each time one of the fingers 249 encounters the stem of a depressed key (or a zero pawl) during the forward stroke, it interrupts it. rotation of the operating mechanism to which it belongs and thus stops the corresponding toothed wheel 137. Each operator mechanism remains locked in the position reached, by its lock 250.
Due to the stopping of the toothed wheel, while it continues its rotation until the completion of the revolution, the
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coupling device 138-123-122 swivels and continues its rotation, with the drivers 138 and 122 inclined, until the completion of the outward travel of the shaft 100. It should be noted that during this whole first phase of the movement, no totalizer disc is driven, because the selection has not yet become effective.
As the drive shaft 100 stops after its forward stroke, the cam boss 550 (Fig. 44) reaches the roller 552 of the curved lever 554 and rotates the latter which, in turn, rotates. raises the end of lever 562 (Fig. 46) and rotates pin 154. As described with reference to Figs. 6 to 10, the pivoting of the axis 154 imparts to the selection shaft 125 the axial movement, in which the selected totalizer participates, the notched chins 110 'of which are placed in the plane of the corresponding coaches 122. Then begins the return movement of the toothed sectors 574 and 576 and of the control shaft 100.
In its return rotation, the control shaft 100 does not immediately drive the totalizer discs 110 and the toothed wheels 137. This drive does not start, for each numerical order, until the moment when the driver 138 , meeting the groove 139 of its toothed wheel 137, engages therein and straightens the coupling device. At the same time, the notch 254 of the segment 255 is in front of the roller 253 of the locking device and allows the latch 250 to move back and unlock the entire corresponding operating mechanism.
From this moment the toothed wheel 137 drives, by the coupling device 138-123-122 the totalizer disc (s) 110 of the same numerical order of the selected totalizer (s) and, by the pinion 242, the sector toothed 592 and the entire operating mechanism, up to the rest position thereof, that is to say until the completion of the return rotation of the control shaft 100. It is understood that, in each numerical order, the totalizer disks 110 accompany the control shaft 100 for as many tenths of a turn as the operating mechanism has been able to make tenths of its outward travel, before being stopped by a
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key pressed, and this number of tenths is equal to the numerical value of the key pressed.
Thus, for example, if the digit to be recorded in a given numerical order is "7", the operating mechanism has been stopped by the key "7" pressed, after seven tenths of its travel; Coupling mechanism accompanied toothed wheel 137 for seven tenths of a turn, then it rotated and performed the remaining three tenths without toothed wheel 137, with coaches 138 and 122 tilted. On the return, trainers 138 and 122 remain tilted for the first three tenths of a lap then straighten up when trainer 138 encounters groove 139, and train totalizing discs 110 for seven tenths of a cough, causing them to register the number. 7.
When the shaft 100 and the operating mechanisms stop, the boss of the cam 550 (Fig. 44) leaves the contact of the roller 552 of the lever 554, and the lug 558, by striking the finger 557 of the lever 554, returns this to its normal position, as do the lever 562 and the pin 154, following which the selection shaft 125 slides with the totalizer (s) which participated in the operation and moves the chinsticks 110 apart 'of their disks 110 of the coaches 122. The machine is thus ready for preparation for the next operation.
During a zeroing operation of a totalizer, the operation differs only slightly from that which has just been described. The preparatory operation of the control lever 310 causes, through the shaft) 168, the cam 569 and the balance 565, the axis 154 sliding to the right, so that the end of the lever 562 is placed in the part right of the slots 560,561, as shown in FIG. 47.
As soon as the machine is started up, the boss of the cam 551 raises, by the roller 553, the curved lever 555, and the latter actuates the lever 562 and the axis 154, which makes the selection of the totalizer effective. wants to reset. At this time, the cams 187 and 188 (Fig. 41) rotate, as
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describes the toothed sectors 574 and 576 and, with them, the operating mechanisms and the control shaft 100. The coupling devices 138-123-122 being normally in the active position, all of the totalizer discs 110 of the selected totalizer accompany the 'shaft 110 until each of them is stopped (by the meeting of tooth 140 of its reading wheel 120 with stop 281,
Fig. 20) in zero position.
As soon as a disc 110 reaches this position, its driver 122 which continues to rotate with the shaft 100, tilts, causing the bar 123 and the driver 138 to pivot, which thus ceases to drive, its toothed wheel. 137 with the toothed sector
592. Segment 255, which continues to rotate with shaft 300, advances latch 250 which locks the entire operating mechanism in the position reached.
At the end of the forward stroke of shaft 100, cam 551 releases roller 553, and curved lever 555 is returned to its normal position by lug 559 which, at this moment, hits the finger. 557 of the lever 555. This lowers the lever 562, and the axis 154, by pivoting in the opposite direction, returns the selection shaft 125 to its normal position, by moving the totalizer discs 110 away from their drivers 122. The return rotation of the shaft 100 is therefore done without driving discs 110. During this return rotation, the coaches 122 and 138 straighten up as each of the latter meets the groove 139 of the corresponding toothed wheel 137 which, from that moment, returns the operating mechanism, unlocked by its segment 255, to its rest position.
Whether it is a recording or zeroing operation, during the forward stroke, toothed sector 574 (Fig.
41) drives, by its button 578, the connecting rod 590 to the right and, towards the end of the stroke, the latter rotates, in the direction of clockwise, the frame 643 with the bar 642 which pushes back all the forked levers 631 against the hubs of the plates 248, which is necessary for the operation of the indicator which will now dare described.
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Indicator.- The indicator consists essentially of packets of rectangular plates 601 (Figs. 1, 36, 51, 52, 53) bearing on one side the characters or figures used to compose the desired indication. These packs of plates are grouped into two sets, the plates of one of the series bearing their inscription on the operator's side, and those of the other series on the customer's side, so that each complete indication appears. on both sides of the body.
So that these two indications appear simultaneously, the two packs of plates which, in the two series, must show the same sign or number, are united in pairs by a common command. Thus, the packs of plates indicating the centimes of each of the two indications form a pair, and the same applies to the plates indicating respectively the decimes, the units etc., and also for the two packs of plates bearing the conventional signs which, as the case may be, characterize the genre of the operation in progress or the totalizer involved in it.
It should be noted that the two packs of plates forming a pair are not leaned against each other; on the contrary, so that the indication on each face of the case is correctly composed, the two packs of plates, for example those of the centimes, which form a pair, are located at the opposite ends of the indicator, so that their digits are the last, on the right, in each indication.
In the example shown, each series comprises eight packs of plates: (the first on the left) for the conventional signs, and the other seven for the digits from 0 to 9, which makes it possible to dial any amount up to 99999.99 . Each plate 601, except the last of each pack, is extended downwards by a rod 602 and in each pack the rods are laterally offset with respect to one another. The other (Figs. 51 and 53) so as to be arranged in steps. The rods 602 of each pack pass through correspondingly shaped openings of the frame 600 of the indicator and a guide plate 603 supported, above the frame 600, by
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amounts 604.
Each plate can occupy an upper position, in which the number it bears is visible behind the window of the indicator, while the lower end of its rod 602 is at the level of the frame 600; and a lower position which it reaches by descending vertically from a height equal to that of the plate 601 to uncover the next plate of the package.
The first plate of each packet being that which bears the number zero, and the other following numbers in the order on the successive plates, it is understood that it suffices, to compose any amount, to lower , in each. package, as many plates as the amount to be composed contains units in the corresponding numerical order. The last plate of each package should never be lowered; therefore it is fixed and has no stem.
The raising of the plates 601 lowered during a previous operation and the descent of the plates with a view to composing the amount of the operation in progress, are effected with the aid of an operating member 605 (Fig. 36). in the form of an inverted trough, which extends over the entire width of all the plates and rests, by its top, on a bar 606. This bar is guided vertically by two rods 607 which support it and which slide at the interior of the uprights 604. The trough 605 has side legs 608 which pass, below the plates, between neighboring packages. Each tab 608 carries a drive member such as an elastic roller 609 which fits into the gap between neighboring plate packs.
The friction between the roller 609 and the edge of the plates 601 is sufficient to cause in the descent, with the rollers 609, those of the plates which are not retained in the upper position.
The descent of the plates is controlled by the following mechanism: Two pairs of vertical connecting rods 610 (Fig. 36) are ar-
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Linked, at the top, to the bar 606 and at the bottom, with two levers 611 which can pivot on journals 612 fixed to the supports 613 which are assembled to the plate 101 of the machine. Each lever 611 has a notch 614 in which is engaged a roller 615 fixed on an arm 616 which is wedged on the shaft 192. Between the two arms 616 is wedged on the shaft 192 an elbow lever 618, each arm of which carries a roller 619, 619 'respectively. The rollers 619, 619 'cooperate respectively with carnes 620, 621 wedged on the shaft 200 which makes one revolution per operation; therefore, the lever 618 impresses the shaft 192 with an oscillation during each operation.
This oscillating motion of shaft 192 is transmitted by arms 616, rollers 615, levers 611 and connecting rods 610 to trough 605 as a downward motion followed by an upward motion.
The profile of the carnes 620, 621 is such that at the beginning of each operation all the plates are raised and remain in their upper position until, towards the end of the operation, the trough 605 descends in resulting in those plates which have meanwhile been released for this purpose. The plates are released using the following mechanism, identical for each of the numerical orders:
Below the frame 600 and the lower end of the rods 602 when the plates 601 are in the upper position is a series of juxtaposed slats 622 (Figs. 36, 51,52, 53, 54), one for each pair. packets of plates 601.
Each slat 622 carries a pair of horizontal legs 623 and 624, which come to be placed below the rods of the two packages of plates of the same numerical order and are supported, by their free ends, on angles 625 along the frame 600. Each slat is guided longitudinally by its elongated slots 626 in which pins 627 are engaged and, in the extreme right slot (Fig. 51) a pin 628. At the right end, the lower edge of the slat - that slat 622 is cut into a rack 629.
When a slat 622 is in its extreme left position, its legs 623 and 624 support the rods 602 of all -
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indicator plates 601 of the two packs of plates in the corresponding numerical order. These plates, one packet of which is turned towards the operator and the other towards the customer, are therefore all in the upper position and show the zero inscribed on the first plate of each pack.
The rods 602 of the plates being staggered, as shown in plan in FIG. 53, it suffices to move a slat 622 with its legs 623 and 624 to the right a certain number of "steps" (each of which is equal to the distance by which each rod 602 is offset from the following rod) to allow to as many plates, in each of the two packages that this slat commands, to descend to the lower position and discover the inscription on the first non-lowered plate.
So for example when, in a given numerical order, the digit to be recorded is "4", the batten 622 corresponding to the same numerical order must be moved to the right by four steps, which will allow the first four plates to be lowered. respectively bearing the numbers 0, 1, 2, 3 and will show the number "4" on the next plate which is not lowered. Each rack 622 is controlled for this purpose from the key mechanism via the operator mechanism of the same numerical order.
Each operating mechanism, in addition to the components already described, comprises, articulated at 630 to the plate 248 (FIG. 17), a fork-shaped lever 651, the bifurcated end of which cooperates with a lug 633 of a sector. toothed 632 pivoting on the shaft 300. The possibility of pivoting the lever 631 with respect to the plate 248 is limited by the hub 248 'of this plate which hits the middle part of the lever 631, curved so as to bypass the hub. It has already been explained how, during each recording operation, this plate 248 turns clockwise by an angle proportional to the number of units to be recorded in the numerical order at which it belongs, and how it is returned to its resting position at the end of the operation.
The movements of
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lever 631 are transmitted by the lug 633 and a connecting rod 634, a curved arm 635 which is integral with a helical wheel 636 and can rotate with the latter on a shaft 637 (Figs. 17 and 51) supported by ears 638 of the frame 600. The helical wheel 636 meshes with a pinion 639 wedged on a small transverse shaft 640 also supported by the frame 600. The shaft 640 also carries a spur gear 641 in mesh with the rack 629 of the batten 622.
The transmission ratios of all these members are such that the rotation of the plate 248 limited by the depression of a key causes a movement to the right of the slat 622 by a number of "steps" equal to the number carried by the key. key pressed; therefore, as many plates 601 are released, in each of the two packs of a pair, to descend and discover the next plate on which the same number becomes visible. The movements of the transmission components are controlled, by the lever 631 and the lug 633 of the toothed sector 632 as follows:
The amount of a previous transaction indicated by the plates 601 remains visible until the next transaction during which the previous indication disappears to make room for the new indication.
While at the end of the previous operation, the plate 248 has been returned to its rest position by the means already described, the lug 633 of the sector 632 has been held in place, using the locking device slats 622 described later.
Therefore, the fork 631 has performed a movement consisting of a rotation around the lug 633 and a translation along the line 630-633. When, at the start of the current operation, the plate 248 advances again in the direction of clockwise, by pulling the forked lever 631, the latter repeats, in the opposite direction, said compound movement, until its curved middle part comes to rest against the hub 248 'of the plate 248.
If, from this moment, the movement of plate 248 continues, which is the case when the number to be marked is greater than the number marked during the previous operation, the lever
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631 describes a simple rotation around the axis 300 and moves the pin 633 with the sector 632, the connecting rod 634 and the other transmission members to the position which corresponds to the new number to be marked.
If the new number is equal to the one previously marked, the lever 631 stops as it rests against the hub 248 'of the plate 248.
Finally, if the new number is smaller than the previous one, the lever 631 stops with the plate 248, without coming into contact with the hub 248 'of the latter.¯ So that the indicator can mark the new number, it is therefore necessary that the lever 631 is pushed back against the hub of the plate 248 by bringing the sector 632 with its lug 633 to the position which corresponds to the new number. This is done with the aid of a bar 642 which extends over the entire width of the key compartment and constitutes one side of a rigid frame, the other sides of which are formed by a yoke 643 which can pivot. on the axis 350 The yoke 643 is connected by an arm 644 (Fig. 27) to a fork 645 which carries a roller 646 cooperating with a cam 647 wedged on the camshaft 200.
The profile of this cam is such that at the moment when sectors 240 or 245 (depending on whether it is a recording or zeroing operation) have completed their outward movement and are momentarily stopped, the cam 647 gives the fork 645 a rapid movement to the left which results, at the bar 642, in an oscillation in the direction of clockwise. During this oscillation, the bar 642 hits the back of the curved part of all the levers 631 which have remained away from the hub of the corresponding plates 248, and pushes them towards them. The levers 631 which undergo this movement, drive the pins 633 and the corresponding sectors 632 and place them in the position which corresponds to the number to be marked by each of them.
The corresponding indicator plates 601 being thus released by the slats -622-controlled from the lug 633, the amount of the operation
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in progress will appear on the indicator as the trough 605 is lowered by the means described. It should be noted that the indicator indicates not only the amount of a recording operation, but also that of a reset, because the indicator is controlled by the intervention of the plates. 248, whether these are moved by the toothed sectors 240 (recording) or by the toothed sectors 245 (zeroing).
In order to neutralize the possible play of the joints, it is necessary to ensure the correct alignment of the slats 622 immediately after their displacement, before the released plates 601 have started their downward movement. Then, until the end of the current operation and until the start of the next operation, the slats 622 must be locked against any untimely displacement. For this purpose an alignment device is provided controlled from the camshaft 200. A lever 648, angled at right angles and pivoting on the shaft 192 (Figs. 51,52), carries at the end of one of the its arms a roller 649 cooperating with a cam 650 wedged on the shaft 200. A spring, not shown, tends to apply the roller against the surface of the cam 650.
The other arm of the lever
648 is connected, by a connecting rod 651, to one of the ends of a flail
652 suspended, pivotally to one of the axes 640 (the seventh from the right, in the example shown) of the slat control mechanism 622. At its other end, the flail 652 is connected, by its buttonhole 653 and a button 654, to the aligner itself.
This is made up of two levers 655, 655 '(Figs. 51 and 55) pivoting on pivot screws 656 screwed into fixed bars 657 which flank, on either side, the slats 622 and carry the brooches
627 serving as guides for the slats 622. At their free end, the levers 655, 655 'are connected by a transverse knife 658 which can engage in the hollows of a toothing 659 made on the underside of the slats 622, and of which the step corresponds to the steps of the movement of the slats.
When the machine is at rest, the cam 650
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presents to the roller 649 a circular surface of large radius (Fig. 52) which holds the elbow lever 648 in a position such that the right-hand end of the flail 652 is pulled down and the knife 658 is lifted and engaged between the teeth 659 of the slats 622 which are thereby correctly aligned and locked against displacement. At the start of the operation, the cam 650 presents the roller 649 with its reduced radius surface and, under the action of its spring, the elbow lever 648 pivots, lifting the connecting rod 651 and the flail 652, the other end of which descends in removing the knife 658 from between the teeth 659. At this point the movement of the slats 622 begins in preparation for the inscription of the new post on the indicator.
As soon as the slats have been moved, the cam 650 pushes the lever 648 again and locks the slats 622, aligning them with precision, in their new position until the end of the operation, while the plates 601 go down by showing the amount to which the transaction in progress relates.
It has been said that at the end of the operation, the pins 633 of the sectors 632 are held against any movement by the aligner device. It will therefore be understood that, while the slats 622 are blocked by the knife 658, the transmission members, among which are the connecting rods 634 and which connect these slats each to a lug 633, are also immobilized, so that the lugs 633 and the toothed sectors 632 are effectively locked until the time when the slats 622 have to be moved in order to prepare the inscription to the indicator.
The operation of the indicator, as described heretofore, relates to the seven pairs of packets of plates 601 which carry digits to compose the amount of transactions. The indicator, however, has an eighth pair of packs of plates (from the right) which do not indicate numbers but signs characterizing the individual totalizers participating in the operation or designating the type of operation. .
This pair of plate packs is therefore not
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not controlled by means of the plates 248 which accompany the toothed sectors 240 or 245, but directly from the selector lever 290, which as explained, is placed, prior to each operation, in a position which determines the selection one of the individual totalizers, or of the day totalizer alone (with a view to setting it to zero), or even operation without any totalizer (so-called "change" operation).
Next to the selector lever 290 (Fig. 55) there is, idle on the central shaft 500, a toothed sector 632 with its lug
633, and a forked lever 631, identical to those already described. However, this lever 631 is articulated, at 630 to the body of the selection lever 290, and can be applied against the hub 690 of this same lever 290. Because all the elements of the indicator remain blocked, since the end of the previous operation, until the indication of the operation in progress appears, the connections described could prevent the movement, prior to any operation, of the selection lever 290, in particular when this movement must be done from the bottom up.
In order not to hinder such a movement of the lever 290, the rigid connecting rod 634 connecting the lug 633 to the curved arm
635 is replaced by an extendable connecting rod, made of two parts
634 and 634 ', articulated respectively to the lug 633 and to the arm 635.
Each of the parts has a button, respectively 671 and 671 ', engaged in a buttonhole, respectively 672' and 672 of the other part of the. connecting rod, so that the connecting rod 634-634 'can extend: when the lever 631 being applied against the hub 690 of the selector lever 290, the latter is moved from bottom to top, driving the lever 631 and the toothed sector 632, the part 634 of the extendable connecting rod moves from right to left, driven by the bit 533.
The button 671 'of the right part 634' of the extendable connecting rod is caught in the forked end of an elbow lever 673 which can pivot on the axis 192. The other end of the lever 673 forms a spout 674 which is located near the cam 620 fixed on the
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bre 200. At the start of each operation, when all the indicator plates are raised as explained, as a result of the rotation of the cams 620 and 621, a pin 675 fixed to the side of the cam 620, hits the nozzle 674 and tilt lever 675 counterclockwise.
As a result, the right part 634 'of the extendable connecting rod, previously lengthened by the operation of the selection lever 290, is pushed to the left, so that the buttons 671 and 671' reach the bottom of the buttonholes 672 and 672 'and the connecting rod is reduced to its minimum length; moreover, it moves entirely to the left, by causing the lever 631 and the toothed sector 632 to pivot, the lug 633 of which advances into the slot of the lever 631. Then, while the control shaft is stopped 100, when the bar 642 pushes back, as described, all the levers 631, it also acts on the lever 631 of the mechanism in question and brings it back against the hub 690 of the selection lever, thus placing the toothed sector 632 with its button 633 in the position which corresponds to the sign that the first pair of plates must show.
This sign will appear, along with the transaction upright, as the trough 605's is lowered as described.
Printing - The printing mechanism hereinafter referred to as "printing", intended to print the amount to which each operation relates, as well as other useful indications; both on a ticket issued to the customer and on a control strip which remains in the machine, is controlled from the toothed sectors 632 which have already been mentioned in connection with the control of the indicator.
The printing press, housed in the left part of the machine, between the partition 104 and a support plate 700 (Fig. 56) supplies the following printed documents:
1) The ticket, intended to be delivered to the customer, and on which are printed the name of the firm, the date, the order number of the ticket, and the amount recorded or canceled; when the recorded amount consists of several items, the word "total" and the
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the result of the addition of the items, known as the "receipt total", are also printed. Beside the amount is printed a sign characterizing the individual totalizer which carried out the recording.
Likewise, a conventional sign, for example "R1", placed transversely to the line, next to the upright, indicates a zeroing operation.
2) The serial number, the amount of the transaction and the characteristic sign of the totalizer are also printed on a control strip which remains inside the machine, in a locked compartment.
3) The cash register described makes it possible to use, instead of receipts, forms filled in by the seller. These cards are obliterated by the machine which prints on them the date, the serial number and the amount which is, at the same time, recorded by the appropriate totalizer (s).
The characters used for printing the transaction amounts are located at the periphery of printing wheels 702 (Fig. 57) each having twenty teeth which carry two series of numbers from 0 to 9, and which can rotate freely on one. pin 701 attached to bulkhead 104. Each wheel 702 meshes with an intermediate pinion 703 which is idle on pin 704, and is in turn engaged with a special gear 705 (Figs. 56,57). The wheels 705 are each wedged on the end of a tubular shaft 706, these shafts being fitted one over the other and supported by a shaft 707 supported by the partition 102 and by a bearing 708 rotating with the shaft in the support plate 700. The bearing 708 also carries a gear 705, the last one on the left.
The support plate 700 is rigidly assembled to the left-hand partition 104 by spacers 709 and the axes 701 and 704 of the toothed wheels 702 and 703. The tubes 706 and the shaft 707 whose axial displacement is prevented by a flange 711 attached to the plate 700, receive rotational movements from the plate 248 and the toothed sectors-.652 of the previously described operating mechanisms (Fig. 17).
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For this purpose, each tubular shaft 706, as well as the shaft 707 carries, near its right end, a toothed wheel 710 in engagement with one of said toothed sectors 632. It will be remembered that there is such a sector for each numerical order of the amount that the machine can register, and that during the operation each sector is brought, by the plate 248 and the forked lever 631, in an angular position which corresponds to the number of units to be registered in the numerical order considered. To each toothed sector 632 corresponds a toothed wheel 710 and at the other end of the shaft 707 or of the tube 706, a toothed wheel 705 whose amplitude of rotation is thus determined by the figure to be recorded and printed.
It should be noted that, like the sectors 632, the toothed wheels 705 pass, in the course of successive operations, from one active position directly to the next, without passing through an intermediate rest position.
The printing on the paper which passes, with the ink ribbon, under the type wheels 702, is obtained by the living force of three hammers 720, 721 and 722 (Figs. 60, 61) which strike the paper at the bottom. right of the characters to be printed. Behind the wheels 705 and at their lower level is fixed a transverse bar 712 which rigidly connects the plate 700 to the partition 104 and bears the invariable text of the stamp to be reproduced on all tickets, namely the text at the bottom of the ticket and the header of it.
The separation of the issued ticket is made between these two parts of the stamp, so that the formula at the foot of the ticket is on the issued ticket, while the header is printed at the top of the ticket which will be issued in the next operation . Behind the stamp 712 is the date stamp whose axis 713 (Figs. 59 and 60) is supported by the partition 104 and the plate 700. On this axis is wedged the first of the character discs 714, which is that of tens of days; the other discs, the characters of which make up the date, are carried by the right ends of the tubular pins 715, one
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on the other and on the axis 713. The opposite ends of the axes 715 and 713 are extended beyond the left wall of the machine (Fig. 59) and carry buttons 716 which allow the date to be dialed by hand. wanted.
The correct alignment of the date discs is ensured by pressure springs 717 (Fig. 60) fitted at one end in a support 718 fixed to the partition 104.
The three hammers 720, 721 and 722, which are used for printing the ticket, are located below a horizontal plate 719 which separates them from the compartment of the type wheels described, but has openings allowing the hammers to hit on the characters to be printed. The hammers, which each have the shape of a prismatic body lined with elastic material, are attached to levers pivoting about a pin 725 attached to the partition 104 (Figs. 60, 61). The date hammer, 720, is carried by two levers 730 braced at the free end by a control rod 726; a similar rod 727 braces the ends of the two levers 731 which carry the stamping hammer 721, and a third control rod 728 braces the levers 732 of the hammer 722 which prints the amount of the operation.
All these levers are furthermore interlocked, on the common axis 725, by intermediate rings 734. The hammer 722 comprises a small independent part 723 intended to print the ticket number and capable of being made inactive, this which is necessary in the case of a recording at several stations: these do not receive a number, only the total amount receives one.
The hammers are controlled by means of the control rods 726, 727 and 728 which are extended through the partition 104 towards the interior of the machine and are hinged there to the vertical control rods 740, 741 and 742, respectively (Fig. 64). At their upper end, the three connecting rods each have an eyelet which surrounds the control shaft 500 which, engaged by the electric motor, makes one revolution per operation. On the ar-
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bre 500 is wedged a cam 736 (Figs. 64 and 66) which is used to control hammers 720, 721 and 722. A second caine 737, also wedged on the shaft 500, controls another hammer 724 intended to perform printing on the control strip, as described below.
Each of the three connecting rods 740, 741 and 742. is biased downwards by a spring 743 attached on the other hand to a fixed support 745 common to the three springs. The connecting rod 742 which controls the hammer 722 printing the upright, carries near its top a pin 746 which passes through slots 747 made in the upper part of the connecting rods 740 and 741, and on which is fixed a roller 748 cooperating with the cam 736. This cam is circular in shape with a notch 749 which presents itself in front of the roller 748 at the instant when printing is to take place. At this instant, the roller falls into the notch 749 under the effect of the spring 743 which pulls the connecting rod 742 downwards, and the two connecting rods 740 and 741, previously retained by the pin 746, descend at the same time.
The levers 730, 731 and 732 therefore pivot rapidly on their axis 725 and the three hammers 720, 721 and 722 quickly strike the character wheels through the interposed paper and ink ribbon, after which the cam 736 returns all these parts to their rest position.
While printing the items which are to be added to a receipt, the small partial hammer 723 should remain inactive; likewise, hammers 720 and 721 must remain stationary, because the serial number of the ticket, the company stamp and the date must only be printed once, together with the total of the ticket. The immobilization of hammers 723, 720 and 721 is controlled from the control lever 310 when the latter is placed in its 3rd. bottom position, called "ticket with addition !!, It has been explained that, during the movement of the lever 310, the shaft 168 which extends between the partitions 103 and 104 (Figs. 6 and 7) receives a rotational movement, the amplitude of which depends on that of the displacement
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cementing of lever 510.
Near the partition 104, therefore in the vicinity of the printing mechanism, the shaft 168 carries a grooved cam 750 (Figs. 7 and 65) in which is engaged a pin 751 which carries a connecting rod 752. When the control lever is in its 3rd. In this position, the connecting rod 752, which is normally in its lower position, is pulled upward by the cam 750 and the spindle 751.
At its lower end, the connecting rod 752 is articulated to a lever
753 which can pivot around pivot 754 attached to frame 104. When connecting rod 752 is lifted, it lifts lever 753 and brings finger 755 to the free end thereof below a pin 756 attached. to the connecting rod 740 which controls the hammer 720. This pin passes through the connecting rod 740 and engages in the upper part of an elongated hole in the connecting rod 741 which controls the hammer 721.
When, at the time of printing, the connecting rods 740 and 741 are released by the notch 749 of the cam 736, they are prevented from descending by the pin 756 which strikes the finger 755; alone, the connecting rod 742 descends and actuates the hammer 722. To avoid printing the ticket number during this operation, the partial hammer 723 is made retractable, being supported by a rod 729 and guided vertically in the body of the ticket. hammer 722 (Fig. 57). Near its end near the hammer 722, the lever 732 thereof has a slot 757 (Fig. 57) in which a pin 758 can slide which is carried by an arm 733. This has an eyelet through which the pin 725 passes. hammers so that the arm 733 can move slightly approximately horizontally.
The bifurcated end of the arm 733 grips a transverse bar 760 integral with the rod 729 carrying the retractable hammer 723, while at the opposite end the arm 733 has a notch 761 in the form of an arc of a circle, in which a lug 762 of a circuit breaker lever is engaged
763 (Figs. 64 and 68). This lever can pivot on the tube 706 ', which is the outside of the coaxial tubes 706, and its upper arm carries a lug 764, engaged in a profiled slot 765 of the lever 753.
When connecting rod 752 lifts lever 753, lever-circuit breaker 763
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rotates counterclockwise, its pin 762 pulls the arm 733 to the right (in Fig. 57), so that its pin 758, following the inclination of the slot 757, descends and lower arm 733 with bar 760 and hammer
723 of an amount sufficient to render it ineffective while the large hammer 722 strikes for printing the post.
As has been said, in addition to the cam 736, the shaft
500 carries a cam 737 which controls the printing of amounts and serial numbers on a control strip, using a hammer 724 (Figs. 64 and 65). This hammer is integral with a lever 766 capable of pivoting on the axis 754 fixed to the partition 104 that an arm of the lever 766 passes through a suitable opening (Fig. 65). The lever 766, which a strong spring 768 tends to swing counterclockwise, is articulated to a connecting rod 769 embracing, by a buttonhole made at its opposite end, the shaft 500 on which the connecting rod is thus guided. The connecting rod 769 carries a roller 770 which cooperates with the cam 737, the shape of which is identical to that of the cam 736.
It is therefore understood that, when the notch of the cam 737 presents itself in front of the roller 770, the latter engages therein, and allows the spring 768 to suddenly pull the lever 766 to the left (in FIG. 64). which causes the hammer 724 to strike the necessary blow for printing with the aid of the second series of characters carried by the printing wheels 702.
During a zeroing operation, it is necessary, in addition to the amount to which this operation relates, to print a distinctive sign, for example "R1" to indicate that it is not a registration operation. For this purpose, one uses a connecting rod 773 articulated, at its lower end, to a short lever 774 pivoting on the axis
754 and guided, near its upper end, by the shaft 168, a circular groove of which is engaged in an axial slot of the connecting rod 773. The widened upper end of the connecting rod 773 has a transverse profiled slot in which a lug is engaged 772
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fixed on the right side (Fig. 65) of the cam 750 fixed on the shaft 168.
When this is, at the same time as the control lever 310, in one of its extreme positions, which is the case when the day totalizer J or one of the individual totalizers A, B, D or E must be reset, the lug 772 lowers the connecting rod 773 and, with it, a curved bar 775 (Fig. 69) which is integral with it and passes through an opening in the partition 104; the curved bar 775 is articulated, by a pivot 776, to the first wheel 703 'of the intermediate wheels 703, which engages not with a character wheel 705 (like the other wheels 703), but with a special wheel 705' which bears, on only one of its teeth, the character designating the zeroing operation.
When the connecting rod 773 is lowered, this movement is transformed, at the wheel 705 ', into a rotation which brings the character of this one opposite the hammer 722, so that the distinctive sign of zeroing will be printed next to it. the amount of this transaction.
Above the character wheels 702 (Fig. 60) is the paper roll 781 forming the control strip. The paper unwinds from a reel 780 fitted on a fixed axle 782 and passes over two guide rollers 783, which hold it in a horizontal position between the hammer 724 and the wheels 702; from there the paper is directed by further rollers 784 to take-up reel 785 on which the printed web is stored at 786. Between the neighboring guide rollers 783 and 784 is, above the paper, a prism 787 glass reader, allowing the last printed amount to be read; for this purpose, the paper of the tape is translucent and the prism is total reflection, its hypothenuse serving as a reading mirror.
The spool which receives the printed roll 786 consists of two half-cylinders assembled by a bolt 788 and a spring 789 which presses the half-cylinders against each other. A two-pin wrench 790 (Fig. 63) forming a fork is inserted between the two halves of the coil 785. This wrench also takes
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in a slot made in the end of the shaft of the reel 791 which can turn in the partition 104, going beyond it towards the interior of the machine (Fig. 65). The key 790 therefore makes the axis 791 integral with the spool 785 and allows the latter to be turned, with the roller 786, by hand. To take out the printed roll, simply remove the 790 key, which allows the two halves of the spool to come together and remove the roll.
The compartment containing the rolls 781 and 786 is isolated from the other parts of the printing mechanism by sheets 792 and 793 and is accessible from the outside, by a door, not shown.
The end of the axis 791 which penetrates towards the interior of the machine through the partition 104 (Figs. 63, 64,65, 67) carries a ratchet mechanism which ensures the automatic advancement of the control strip. This mechanism comprises a cup 794 wedged on the axis 791 and an idler plate 795 with two cutouts in the form of half-segments, and a cover 796 (Figs. 64 and 67) extended by an arm 797, rigidly mounted on the plate 795. In the cutouts of the plate are housed two rollers 798 subjected to the pressure of two small springs 799 housed in holes of the plate 795, so that each roller 798 is wedged between the plate and the inner surface of the plate. the cup 794. when the plate 795 turns in the direction of the arrow (Fig. 67) it therefore drives the cup 794 and the shaft 791.
On the outside of the bowl is a fixed block 800 with a cutout in the form of an inclined plane in which is housed a roller 801 acting on the bowl as a retaining pawl when the latter rotates in the opposite direction to the arrow. (Fig. 67). A small control arm 802 (Fig. 64), which rotates on the axis 791, is articulated at 803 to a connecting rod 804, the bifurcated end of which embraces the shaft 500 on which it is thus guided.
The connecting rod 804 carries a roller 805 engaged in a groove of a plate 806 wedged on the shaft 500. The shape of the groove is such that, during the revolution of the shaft 500, the connecting rod 804 is first. pulled to the right (Fig. 64) then, after printing, pulled back
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in its initial position, and the arm 802 participates in these movements.
A spring 807 hooked to the end of the arm 797 pulls the latter towards the pin 803 which connects the arm 802 to the connecting rod 804, so that the arm 797 with the cover 796 and the plate 795 participate in the movements of the arm 802 , under the action of the spring 807 on the outward journey, and under the thrust of the spindle 803 on the return. During this return, the plate 795 drives the axis 791 of the reel 786 and advances the control strip by one step.
The uniform advancement of the web at each printing is ensured by the following adjustment mechanism: Two arms 811 wedged on an axis 810 (Figs. 60, 62, 630 carry a groping roller 812 which normally rests on the pressure roller. .pier 786. The axis 810 which crosses the partition 104 door, on the other side thereof, (Figs.
64, 65) an arm 813 to which is fixed a pin 814 which comes to be placed in the path of the arm 797. While the latter pivots under the action of the spring 807, it meets the pin 814 and then stops that the small arm 802 still continues its rotation.
The amplitude of the pivotal movement of the arm 797 (and with it, of the spool 785 of the roller 786) is therefore regulated by the position of the spindle 814, i.e. by the diameter of the roller 786, and the profile of arm 797 is such that as the diameter of the roller
786 increases, the amplitude of the pivoting of the arm 797 decreases to advance the paper by an invariable amount with each operation.
A safety device prevents the operation of the machine when the paper in the control strip has run out. In front of the feed roller 781 is a retainer
816, the arms 817 of which are wedged on an axis 818 carried by the partition 104 which it passes through. A torsion spring 819 (Fig. 63) which surrounds the axle 818 and is fixed to this axle and to the partition 104, tends to rotate the axle and thus presses the retaining roll 816 against the paper roll. 781. At the end of the axis 818 is wedged
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an arm 820 (Figs. 63, 65) articulated on the other hand to a connecting rod 821 connected in turn to an angled rod 822 which, supported by small brackets 823 near the machine plate, extends over the entire length of it.
Near the other side of the machine, the bent rod 822 is hinged to a vertical link 824 (Figs. 33, 35), the upper end of which carries a lug 825 engaged in a slot 826 at the lower end of the machine. locking arc 497. The control tape paper is wound onto a longitudinally halved take-up reel, the two halves being held together by the paper itself. When this is almost exhausted, the two halves of the spool 780 separate and fall out. As a result, the retaining roller 816 rotates counterclockwise, passing below the axis 782 of the spool 780.
Under the action of its spring 819, the axis 818 participates in its movement, and its arm 820 lifts the connecting rod 821 and, via the rod 822, the connecting rod 824 and the lug 825, the arc lock 497 is also raised and locks the trigger button 440, thereby preventing the machine from being started.
The web of paper supplying the tickets constitutes, inside the machine, a large roll 828 carried by a spool 827 (Figs. 60 and 62) fixed to the partition 104; the roller is retained laterally by a disc 829 fixed by a knurled nut 830.
The paper coming from the roller 828, is guided by the rollers 831 and 852 and then passes, between the table 719 and a sheet 833 which protects it against contact with the ink ribbon 834, towards a drive mechanism. The latter comprises a cylinder 835 and two pressure rollers 836 (Figs. 60, 61, 63). The driving cylinder 835 is supported on one side by a bearing 837 fixed to a sheet 838 which supports the table 719, and on the other side in the partition 104 beyond which the axis of the cylinder carries a pinion 839. This pinion (Figs.
61,64) is meshed with an idle toothed wheel 840 on a fixed axis -
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841. The hub of the wheel 840 constitutes a cup in which is housed a unidirectional drive device with rollers, similar to that which controls the drive of the control strip. Its roller carrier plate 842 (Fig. 65) is integral with a cover terminating in an arm 843 (Fig. 64). A lever 844 pivoting on the pin 841 is articulated at 845 to a connecting rod 846.
As the operation of the drive device is identical to that of the control strip, it will suffice to say that the toothed wheel 840 is only driven, in a clockwise direction, when the lever 844 is pivoted, in the same direction, on the axis 841, which takes place under the control of the plate 806 wedged on the shaft 500, and of its groove 848 in which is engaged a roller 849 of an arm 850, which pivots on the shaft. 'shaft 150 and is articulated to connecting rod 846. With each movement of toothed wheel 840 which meshes with pinion 839, drive cylinder 835 rapidly rotates at an angle such that the paper advances the length of a ticket. .
The pressure rollers 836 are freely mounted, above the cylinder 835, on eccentric bulges 851 of a rod 852 journaled in the partition 104 and in a fixed support 853 (Figs. 60, 61, 62, 63). The angular adjustment of the rod 852 therefore makes it possible to modify, if necessary, the pressure of the rollers 836 on the paper; a lever 854 is used for this purpose, which is wedged on the rod 852 and ends in a button 855. One of the faces of the support 853, which comes above the paper, is bevelled and serrated ( Fig. 63), so that the printed ticket can be easily torn off, pushed out of the machine, by the drive device 836-835.
It will be understood that during the printing of several amounts intended to be added together on the same ticket, the paper must advance, at each printing, only one space and not the entire length of the ticket. This modification in the paper feed is controlled from the control lever 310 which, in order to
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of the operation in question, is placed in its 3rd. position known as: "ticket with addition". This position of the lever 310 corresponds to a position of the shaft 168 such that the cam 750 wedged on this shaft keeps the connecting rod 752 (Figs. 64,65) raised. The lever 753 that the connecting rod controls, is therefore raised to the right of its axis 754, and lowered to the left.
At the left end, lever 753 carries a pin 857 which normally lies out of the path of paper advancing arm 843 ', but comes into its path when it is. lowered. In this case, the arm 843 is stopped, by the pin 857, after a low amplitude rotation and remains pressed against this pin, under the action of its spring 858, until the return of the lever 844 whose amplitude of oscillation remains invariable, and the pivot pin 845 returns the arm 843 to its normal position. The slight oscillation thus effected by the arm 843 is sufficient to impart to the receipt paper, via the toothed wheel 840, the pinion 839 and the driving cylinder 835, an advance movement which corresponds to a line spacing.
Then, after printing the total of the ticket, the latter receives a normal advancement movement, so that its total length is equal to that of an ordinary ticket plus the length occupied by the printing of the added items.
The zeroing operations result in the issuance of an ordinary ticket; only a distinctive sign, printed next to the amount, just like on the control strip, indicates that it is a zeroing operation.
On the axis 701 of the printing character wheels 702, to the right of these (Fig. 58) are similar wheels 860 which are used to print the serial number of each operation, both on the receipt. than on the control strip. These wheels 860, the twenty teeth of which carry two series of characters from 0 to 9, are controlled by a counter mechanism so as to add, for each printing, a unit to the number previously printed. Cha-
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that wheel 860 is flanked by a ratchet wheel 861, each wheel comprising two series of ten teeth separated by diametrically opposed notches 862.
On the axis 701 of the wheels 702 can pivot a frame 836, the two lateral sides of which carry an axis 864 on which are mounted drive claws 865 which cooperate with the ratchet wheels 861. The claws 865 are angularly offset. 'relative to each other (Fig. 57) by a value slightly greater than the height of one tooth of the wheel 861, so that normally only the claw cooperating with the wheel 860 of the units can act on it to make it turn the length of a tooth and thus add a unit to the number to be printed. When this wheel, after having made a U-turn, arrives at position "9", the next wheel 860, the tens wheel, must advance by one.
At this moment, the claw 865 of the units is in front of a notch 862 and engages in this one, thus allowing the axis 864 to pivot a little under the action of a spring 866 and to bring the next claw 86b, (that of the tens), engaged with the corresponding wheel 861. On the next oscillating movement of frame 863 which operates wheels 861, two of these, (those for units and tens) will each be advanced one unit, which causes wheel 860 to move units to position " 9 "to position" 9 ". When the second wheel 861 has also reached the "9" position, its notch 862 will allow the third claw 865 to intervene to drive the wheel 860 hundreds, and so on, up to the fourth and last wheel 860.
The correct angular position of the wheels 860 is ensured by pawls 867 pivoting on a small fixed axis 868 and engaging, under the action of leaf springs 869, fixed on the cross member 712, between the teeth of the wheels 861.
The wheels 861 integral with the character wheels 860 are controlled via the frame 863. The pin 864 which carries the claws 865 and is mounted between the two lateral sides of the frame, is connected to a connecting rod 870 (Figs. 59, 64) folded so as to turn the toothed wheels 840 and articulated at the opposite end;
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at 871, to a guide arm 872 pivoting on the hub of part 844 of the ticket paper drive mechanism. A hook 873 (Figs. 64, 65) freely mounted on the journal 845 of the part 844 can catch on the extension of the articulation axis 871 between the connecting rod 870 and the arm 872; it is held in this position by a spring 874 stretched between itself and the part 844.
Each oscillation of the part 844 itself controlled by the connecting rod 846, the lever 850 and the cam 806, is thus transmitted, by the connecting rod 870, to the frame 863 which performs a complete oscillation and adds, by means of one or more several claws 865, one unit with the number composed by the wheels 860. However, during the printing of several items on a single ticket, these items are not assigned a serial number, such a number being allocated only in total of the ticket. The wheels 860 must therefore not be actuated while printing the items to be added. It has been explained that, during their printing, the stroke of the arm 843 is limited to a small amplitude by the pin 857 of the lever 753 (Fig. 64). The arm 843 carries a lug 875 located in front of the hook 873.
The adjacent face of the hook has a profile such that when the arm 843 is stopped while the lever 844 continues to move, the reaction of the hook 875 lifts the hook 873 and disconnects it from the guide arm 872, against the tension of the spring 874. The wheels 861 are therefore not actuated and the number dialed by the wheels 860 remains unchanged.
When the described parts return to their normal position, which takes place when the ticket total is printed, the hook 873 again hooks up to the lug 875, under the traction of the spring 874.
When character wheels 702 and 860 are brought into position for printing the amount and serial number, they must be aligned and held in place for the duration of the printing. The alignment is ensured by the horizontal bar 878 of a frame 879 (Figs. 60 70) which can oscillate on the fixed axis 880 supported by the partition 104 and the support plate 700, so as to engage
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manage the bar 878 between the teeth of the wheels 702 and 860. To the frame 879 is fixed a rod 881 which passes through a hole in the partition 104 and is articulated to a connecting rod 882 which connects it to a balance 883 pivoting on the axis 884 of a driving cylinder 885 of the ink ribbon.
The upper arm of the balance 883 carries a roller 886 which cooperates with a cam 887 wedged on the shaft 500. The depth and the wedging angle of this cam are such that the balance pivots in the opposite direction to that of the needles. 'a watch when the wheels 702 and 860 have already dialed the numbers to be printed, but before the actual printing. Bar 878 is then drawn between the teeth of wheels 702 and 860 and locks these in the correct alignment until printing is complete, after which cam 887 allows balance 883 to return to its idle position. rest, under the action of a not shown return spring. The wheels 702 and 860 are thus released for the purpose of composing the digits to be printed during the following operation.
The balance 883 simultaneously controls the advancement of the ink ribbon 834. This endless ribbon bypasses the '702 and 860 imprint wheels, as well as their control wheels 703 and 750 (Figs. 57,60) and can travel guided by rollers 888, 889 and 890. The ribbon 834 also passes over an ink roller 891 surrounded by a layer of felt soaked in ink, then over the drive roller 885, and finally over a tensioning roller 892. The latter can rotate between two flanges 893 subjected to the action of springs 394 attached on the other hand to a spacer 895 connecting the support plate 700 to the partition 104.
On the end of the axle 884 which passes through the partition 104 towards the interior of the machine is wedged a ratchet wheel 896 (Fig. 70) which can be actuated by a pawl 897 articulated to the lower arm of the balance 883 and is subjected to the pressure of a spring 898. At each printing operation, as the balance swings to align and lock the character wheels, the pawl 897 turns the ratchet wheel 896 by one tooth of output.
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such as: The cylinder 885 drives the ink ribbon 834 of a corresponding length.
As has been said, the machine is also suitable for the obliteration, at each operation, of a form filled in advance, for example by the seller. In this case, there is no need to issue tickets. When the machine is to operate in this way, the roll 828 of receipt paper is removed beforehand, and at each operation the card is slid into the slot between the table 719 and the paper guard plate 833 (Figs. 60, 62) in view of the printing of the transaction amount, the order number and the date.
The hammer 721 bearing the stamp of the company must be made inactive, as well as the pressure rollers 836, in order to facilitate the passage of the card. For this purpose, the handle 854 (Figs. 61, 62) is used, the button 855 of which can be moved axially. The rod 899 of the lever can engage in one of the two holes "T" or "F" of the support plate 700, where it is held by the pressure of a spring 900. When the rod 899 is engaged in the hole "T", which corresponds to the described operation of the machine, with issue of tickets, the eccentricity of the bulges 851 of the shaft 852 is directed downwards (Fig. 60), and the rollers 836 are pressed against the drive cylinder 835. In addition, the tail of the lever 854 is engaged in a cutout 901 of the table 719 and obstructs the slot between this table and the sheet 833.
On the other hand, when the handle is brought to position "F", for operation with plugs, the tail of the handle is withdrawn from the cutout 901 and clears the path of the plugs; at the same time, the rollers 836 are raised so as to no longer press on the cylinders 835 and to release, on their side, the slot through which the cards pass.
Below the hammer 721 (Fig. 60) which needs to be immobilized, there is a lever 902 which can pivot on a fixed axis 903. The upper end of the lever 902 forms a hook which can be seated. 'hook to a rod 904 integral with the hammer 721. In the body
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of the lever 902 is made a curved slot 905 in which is engaged a pin 906 carried by the end of a curved lever 907 whose opposite end is wedged on a pin 908 journalled between the partition 104 and the sheet 838 which supports the table 719. On the end of the axis 908 which passes through the sheet 838 is fixed a small lever 909 whose opposite end can obstruct the cutout 901 of the table 719.
Normally, lever 909 is lowered by the tail of lever 854 (Fig. 62), against the action of a spring, not shown, which tends to lift the free end of lever 909.
Pin 906 of lever 907 is then at the top of slot 905 (Fig.
60) and thus keeps the hooked lever 902 away from the rod 904 of the hammer 721. But if the lever 854 is placed in the "F" position, its tail releases the lever 909 which is raised under the action of its spring. , and rotates its axis 908 with the lever 907, the pin 906 of which draws the lever 902 to the right, so as to hook the latter to the rod 904 of the hammer 721 and to immobilize the latter.
It should be understood that the invention extends to each of the various mechanisms described above, considered separately, as well as to the combination of these mechanisms, resulting from their co-operation, in a cash register constructed and operating. nant as it has been exposed.
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