Machine à calculer. L'objet de l'invention est une machine à calculer comportant un jeu d'organes action nés par des touches, -des jeux d'organes mo biles représentant mécaniquement des pro duits partiels,. et des moyens pour tâter ces organes et pour présenter la réponse ainsi constatée. Cette machine est caractérisée par un mécanisme sélecteur comportant un cha riot monté,de façon qu'il puisse "être déplacé, d'une part, par rapport aux organes actionnés par les touches et, d'autre part, par rapport aux organes représentant les produits partiels.
En outre, des jeux d'organes mobiles indivi duellement, correspondant en nombre aux or ganes représentant les produits partiels et dis posés en jeux semblables à -ces derniers, sont montés sur ce chariot en relation telle, par rapport aux organes actionnés par les touches que, lorsque le chariot est déplacé, les organe mobiles individuellement soient amenés par ,jeux -successifs en correspondance avec les or ganes actionnés par les touches au moyen des- quels certains des organes mobiles individuel lement des jeux successifs sur le chariot peu vent être choisis et mis en position active, ce,
organes choisis par suite -du mouvement du chariot étant ensuite amenés clans des poi- tions telles, par rapport aux organes de pro duits partiels, que par un mouvement simul tané de tous les organes mobiles individuel lement qui ont été choisis, des organes repr(#- sentant les produits partiels correspondant; soient .à leur tour choisis et mis en activité,.
Le dessin annexé représente, à titre d'exemple, une forme d'exécution de l'objet (le l'invention. La machine représentée à cc dessin peut effectuer des multiplications du deux facteurs, dont chacun peut comporter de un à cinq chiffres, c'est-à-dire qu'elle peut être employée pour effectuer des multiplica tions de n'importe quel nombre allant de 1 à. 9999 par n'importe duel nombre allant de 1 à 9999. L'utilisation de la machine peul cependant être très étendue. de façon à en augmenter la. portée, et ceci en nécessitant relativement peu de modifications.
La fig. 1 est une élévation en coupe mon trant les caractéristiques principales du mé canisme actionné par touches pour la sélec. lion et le placement -des cames, ainsi que le, moyens pour tâter les cames et pour donner la réponse.
Cette figure montre la relation ;énérale entre les parties et la manière dont elles coopèrent, certaines parties constructives ayant cependant été omises pour plus cl(- clarté ; La fig. 2 est une élévation postérieure du premier mécanisme sélecteur, c'est-à-dire de ce mécanisme tel qu'il est vu de gauche à la fig. 1, et se trouvant à l'arrière de la machine; La fig. 3 est une élévation frontale à plus grande échelle du chariot sélecteur. Cette fi n montre la face :de cet appareil qui est.
opposée à .celle représentée à la fig. 2, une partie de la plaque de couverture étant brisée et les parties extrêmes seulement des tiges poussoirs actionnées par les touches étant représentées.
D'autres parties sont omises pour la clarté du dessin; La fig. 4 ,est une coupe transversale verti cale selon la ligne 4-4 de la fig. 3, en regar dant dans la direction des flèches; La fig. 5 est un plan du chariot sélecteur, tel qu'il est vu à la fig. 3;
La fïg. 6 est une élévation en coupe par tielle des cames, -des tâteurs et du mécanisme de réponse, tels que vus de l'arrière, les par ties apparaissant telles qu'elles sont vues de l'extrémité gauche du mécanisme, comme re présenté à la fig. 1, le mécanisme sélecteur primaire étant enlevé et d'autres parties étant omises, pour la. clarté -du dessin;
Les fig. 7 et 7a sont des diagrammes re présentant les rapports existant entre les dif férents jeux d'organes mobiles en forme 4e L pariés par le chariot sélecteur, les différents jeux de cames et les tâteurs qui coopèrent avec les cames; La fig. 8 comporte une série de vues montrant en élévation les formes des dix ca nes qui composent un jeu complet; La fig. 9 est un plan du totalisateur et: des-parties qui lui sont associées, comprenant la partie principale du mécanisme d'indica tion de la réponse;
- La fig. 10 est une élévation .de côté, à plus grande échelle, du dispositif d'échappe ment qui est vu en plan à l'extrémité gauche de la. fig. 9 et qui commande la rotation -de l'arbre à cames au moyen duquel l'actionne- ment des tâteurs, le déplacement, l'élévation et l'abaissement des roues du totalisateur sont effectués.
Cet échappement commande également le blocage des cames mises en place; La fig. 11 est une vue en bout de l'échap pement tel qu'il est représenté à la fi:-.<B>10;</B> La fig. 12 montre en élévation latérale et à plus grande échelle, des détails du disposi tif de blocage pour les roues du totalisateur; La fig. 13 est un plan des parties repré sentées à la fi g. 12;
La fig. 14 est une élévation latérale tant soit peu schématique -de certaines parties du mécanisme d'indication de réponses et des moyens pax lesquels ces parties sont com mandées; La fig. 15 est une élévation postérieure des parties du mécanisme associé au totalisa teur et du mécanisme d'indication de la ré ponse;
Les fig. 16 -et 17 sont des élévations pos térieures semblables à la fig. 15, mais avec parties enlevées pour montrer les détails du mécanisme employé pour commander la posi tion du chariot mobile avec les roues du to talisateur, lorsque l'appareil est réglé pour calculer et déduire un escompte; La fig. 18 représente le totalisateur, la partie droite de cette figure montrant les roues en élévation latérale, tandis que la par tie gauche est une coupe longitudinale verti cale;
La fig. 19 est une coupe transversale à travers le totalisateur selon la ligne 19-19 de la fig. 18, prise en regardant dans la di rection -des flèches; Les fig. 20 et 21 sont,des coupes trans- versales semblables, faites respectivement se- lozi les lignes 20-20 et 21-21 de la fi-. 7.8; La fig. 22 est un plan de la machine complète; Là, fig. 23 est une élévation montrant le côté. droit de la machine;
La fig. 24 est une élévation montrant le côté gauche ,de la machine; La fig. 25 est une élévation postérieure de la machine; Ira. fig. 26 est une élévation frontale; La fig. 27 est une coupe longitudinale verticale de la machine, selon la ligne brisée 27-27 de la fig. 22, vue en regardant dans la direction des flèches;
La fig. 28 est une coupe transversale ver ticale selon la ligne brisée 28-2,8 de la fil;. 22, en regardant clans la direction des flèches.
En référence à la fig. 1, une série de dix touches 21 est prévue; chaque touche est des tinée à être employée séparément pour intro duire dans la machine les chiffres .du premier facteur du produit qui doit être calculé par la machine. Ces touches sont portées par des tiges 22 qui peuvent coulisser verticalement clans des plaques 23, et soumises à l'action de ressorts 24. Chaque tige 22 est reliée de façon effective au moyen d'un levier coudé 25 et d'une biellette 26 d'accouplement à un bras 27 d'un levier coudé pivoté en 28 dont l'autre bras 29 est relié en 30 à l'extrémité supérieure d'une tige 31 de poussoir coulis sant verticalement.
Les extrémités supérieu res de ces tiges-poussoirs 31 sont espacées les unes des autres latéralement, comme repré senté à la fi-. 2 où elles sont reliées aux bras 29 des leviers coudés avec le jeu suffisant et nécessaire pour le montage de ces leviers cou clés sur un axe 28 commun et pour les liai sons à ces leviers; mais les parties inférieu res de ces tiges-poussoirs sont recourbées la t6ràlement de façon à rapprocher leurs extré mités 32.
De plus, certaines de ces tiges- poussoirs sont recourbées comme représenté à la fi-. 1, c'est-à-dire autrement que latérale ment, de telle sorte que les extrémités 32 in férieures de toutes les tiges-poussoirs se trou vent en deux groupes de cinq tiges; les extré- mités des tiges-poussoirs -d'un groupe se trou vant derrière les extrémités des tiges-pous- soirs de l'autre groupe, comme représenté à la fig. 3;
les tiges-poussoirs formant le groupe 32a frontal ou interne, peuvent r1,@ préférence être celles qui sont actionnées par les touches portant les nombres 0, 4, 8. 3 et 7, les tiges étant disposées côte à côte dans cet ordre lorsqu'on les considère de droite à gauche en regardant la fig. 3. Le groupe 32>> postérieur ou externe des tiges-poussoirs est alors composé des tiges actionnées par les touches numérotées 2, 6, 1, 5 et 9.
Chaque tige-poussoir est de préférence formée d'une bande plate métallique, et soie extrémité inférieure peut coulisser librement à travers une plaque 33 de guidage. Les ex trémités inférieures de toutes les tiges-pous- soirs sont carrées et, dans leur position nor male de repos, elles se trouvent toutes dans même plan horizontal.
Une plaque .10 suspendue sur des pivots 41 entre les bras dirigés vers le haut d'un châssis 42 en forme de<B>U</B> de construction ap- propriée peut osciller autour d'un axe hori zontal voisin de l'axe de l'arbre 28 sur lequel les leviers coudés<B>27-29</B> sont montés libre ment (fig. 1). Cette plaque 40 porte deux guides 43 en forme de L, montés sur sa face frontale ou interne. Ces guides sont horizon taux et sont espacés l'un de l'autre. Un cha riot 60 peut coulisser sur ces guides 43.
Un ressort 44 :disposé de façon à agir sur un le vier 45 qui est pivoté en 46 à la plaque 4() et qui est relié à son extrémité libre par une bielle 47 au chariot 60, tend à déplacer cons tamment ce dernier vers la droite, comme re présenté à la fig. 2, au-dessous des extrémi tés 32<B>-</B>inférieures des tiges-poussoirs grou pées.
Ce déplacement du chariot, qui a lieu pas à pas, est commandé par un échappement actionné par un organe 48 en forme de<B>T,</B> dont la branche verticale est guidée dans des guides 49 .de la plaque 40, et qui peut coulis ser vers le haut et vers le bas. étant tiré constamment vers le haut par un ressort 50 agissant par un levier 51 sur son extrémité inférieure. Le sommet 48a de l'organe 48 est dentelé comme représenté à la fig. 2, et s'é tend à travers et au-dessous des extrémités des bras 29 des leviers coudés auxquels les tiges 31 sont fiées.
Lorsqu'une touche 21 est actionnée et qu'une tige 31 est abaissée vers le chariot 60, le levier coudé 29 pousse simultanément l'organe 48 vers le bas et ac tionne l'échappement, -de telle .sorte que le chariot se déplace sur la plaque 40 de la dis tance -d'un pas, dès que la touche est libérée.
L'échappement qui commande le mouve ment du chariot est construit comme suit. Une rangée horizontale de dents 61 sembla bles -se trouve sur la face arrière ou externe du chariot. Ces dents sont espacées égale ment les unes des autres. Une butée 61a se trouve à l'extrémité de la rangée, comme re présenté aux fig. 2 et 3. Chaque dent 61 est de forme approximativement triangulaire, le côté supérieur étant horizontal. L'extrémité inférieure de l'organe 48 est fixée à l'extré- mité libre du levier 51 pivoté en 52 sur la plaque 40.
Le levier 51 présente une saillie latérale sur son côté interne dirigée vers la face du chariot 60, cette saillie 53 étant for mée et disposée de façon à se trouver sur le passage d'une dent 61 du chariot et de façon à venir en prise avec un côté de cette dent. Un deuxième levier 54 est également pivoté en 52 et tiré vers le haut par un ressort 55 fié à. une goupille latérale 56 du levier. La face de l'extrémité de ce levier 54 se trouve sur le parcours de l'un des côtés d'une dent 61 du chariot et peut venir en prise avec ce côté.
Le bord supérieur de ce levier est in cliné pour constituer une encoche en forme de<B>V,</B> comme représenté en traits interrompus à la fig. 2, cette construction étant telle, que le côté inférieur d'une dent. 61 est dégagé lorsque le levier 54 est abaissé. L'abaissement de ce levier se produit lorsque le levier 51 est appuyé vers le bas par l'organe 48 lorsqu'une touche 21 est abaissée, vu que la saillie 53 la térale du levier 51 se trouve au-dessus de l'ex- trémité,du levier 54. L'extrémité du levier 54:
frappe alors par l'angle sur le côté inférieur de la dent 61, dont le côté est saisi par la saillie 53 latérale du levier 51. La. -face de travail de cette saillie latérale étant 'à une distance du centre 52 légèrement plus petite que la face du levier 54, le chariot effectuera, un léger mouvement vers la droite. Lorsque le levier 51 est à nouveau soulevé, lors de la libération de la touche 21 qui a été abaissée, la saillie 53 s'éloignera de .la. dent 61 et le chariot sera libéré de façon à se déplacer d'un pas vers la droite.
Le chariot sera arrêté à l'extrémité de ce pas par le côté de la dent 61 suivante .se présentant contre l'extrémité du levier 54 qui s'est élevé aussitôt qu'il l'a pu par le mouvement du chariot.
Une série,de jeux de clavettes 70, 71 est montée sur le chariot 60. Chacune d'elles est mobile séparément sur le chariot dans une direction verticale (fig. 4) et comporte une -partie principale droite qui se trouve dans un passage de guidage et qui peut se déplacer dans ce passage, lequel est ménagé dans le chariot. Elles comprennent également cha cune une partie 70a, 71a qui fait saillie en avant, c'est-à-dire sur le côté interne du cha riot.
Chaque clavette 70, 71 est formée d'une bande plate ayant pratiquement la forme d'un<B>L</B> vue de côté, et se trouve dans une rainure verticale et peut se déplacer dans cette rainure qui est ménagée dans le cha riot 60; l'ajustement d'une clavette dans la, rainure est tel qu'elle soit retenue par frot tement .dans chacune des deux positions qu'elle est destinée à occuper.
Une série de rainures 62 parallèles est ménagée dans les côtés opposés d'une plaque 63 d'épaisseur convenable (fig. 4 et 5), chaque rainure ayant une profondeur plus grande que -sa largeur, et ses dimensions étant déterminées par la largeur et l'épaisseur des clavettes 70, 71. Cette plaque 63 rainurée est fixée au côté interne du chariot 60. Un couvercle 64 est fixé sur la face libre de la plaque rainurée.
De cette manière, les clavettes 70, 71 sont maintenues en place, des ouvertures étant ménagées dans les parties supérieures et in férieures du couvercle, à travers lesquelles s'étendent les parties saillantes 70a,- 71a.
Cha que clavette 70, \71 est foimée par eux ban- clos métalliques semblables rivées ensemble à leurs parties extrêmes, de telle sorte que ces parties se trouvent près l'une de l'autre, tan dis que les parties intermédiaires des deux bandes sont légèrement séparées l'une de Pau -ire, de telle sorte que lorsque cette partie principale & la clavette se trouve dans sa rainure 62, la double bande tendra.
à saisir les côtés de la rainure et à s'opposer à uc, déplacement accidentel, tout en lui permet tant .d'être poussée longitudinalement -d'une position dans une autre.
Les clavettes 70, 71. sont disposées par jeux, chaque jeu en comprenant dix, dont cinq sont celles dont les saillies 70a se trou vent vers leurs extrémités supérieures, tandis que les cinq autres sont celles dont les sail lies 71a se trouvent vers leurs extrémités in férieures.
Dans l'exemple, quatre de ces jeux sont représentés à la fig. 5, où. ils sont séparés par des lignes en traits mixtes, les différents jeux étant indiqués par<B><I>A', -A', A',</I> A'.</B> Les deux groupes .de cinq clavettes 70 et de cinq clavettes 71 formant un jeu sont adjacents, et leurs positions relatives sont telles que les extrémités supérieures carrées de toutes les dix clavettes 70, 71 d'un jeu coopèrent avec les extrémités inférieures 32, 32a des tiges- poussoirs 31 actionnées par des touches.
Ainsi, lorsque le chariot 60 est .déplacé pas à pas sous la commande de l'échappement, chaque jeu de clavettes, en commençant par le jeu A', sera. placé successivement en cor respondance avec les extrémités inférieures ;poupées semblablement des tiges-poussoirs 31 actionnées par :
des touches et près de ces extrémités. Au début, toutes les clavettes 70, 71 occupent les positions supérieures dans les quelles elles peuvent coulisser et lorsqu'une touche 2.1 est abaissée, la tige-poussoir 31 ainsi actionnée abaissera celle dont l'extré mité supérieure correspond alors avec l'extré mité de la tige-poussoir.
De cette manière, lorsque les touches sont abaissées pour intro (luire les chiffres du premier facteur -du pro- iluit, une des clavettes sera choisie et obligée (le coulisser .dans une position active dans chacun des jeux qui sont successivement pla- cés au-dessous du jeu de tige-poussoir par 1u déplacement :du chariot. Chaque jeu de cla vettes 70, 71 fonctionne selon une désigna tion, le nombre des jeux étant déterminé par la capacité de la. machine par rapport ai; r:ombre de chiffres dans le premier facteur.
La machine décrite, où il existe quatre jeux < 11, A', A-. _l' de clavettes 70. 71. est capa ble de travailler avec des produits dans cha cun .desquels il '- a de un à quatre chiffre dans le premier facteur.
Lorsque toutes les touches ont été abaissées, ce qui est nécessaire pour introduire tous les chiffres clans le pre mier facteur, le chariot présentera un nombre correspondant de clavettes, une dans chacu;i des différents jeux de désignation de ces or ganes, qui ont été choisies respectivement se lon les valeurs des chiffres introduits et qui ont toutes été mues en position active.
La machine peut être munie d'une louche marquée par exemple du signe de multipli cation; si cette touche est abaissée, elle com muniquera un mouvement oscillant autour des goupilles 41 à la plaque 40 sur laquelle se trouve le chariot 60, et ce mouvement obli gera les saillies 70a, 71a de celles des cla vettes qui ont été choisies et mues comme décrit ci-dessus,
à agir plusieurs fois et si multanément sur des dispositifs-crochetsavec lesquels ces saillies sont alors en correspon- dance. Ces dispositifs-crochets seront alors libérés et mettront en action des organos cor respondants constituant des représentatioi,- mécaniques des produits partiels.
Alterna tivement et comme dans la présente construc tion de machine, l'oscillation de la. plaque 40 du châssis du chariot peut être effectuée lors que n'importe quelle touche est abaissée dan4 le second jeu dont la machine est munie polar l'introduction des chiffres dans le second facteur.
Les représentations mécaniques des pro duits partiels sont constituées par une série d'organes 80 rotatifs indépendants. consti tuant des cames. Chacune de ces cames (comme représenté à la fi-. 8) est formée d'un disque ayant certaines parties entaillée de façon à. laisser deux parties 81 et 82 prin cipales espacées circonférentiellement l'une de l'autre, chacune de ces parties ayant ap proximativement la forme d'un secteur et étant entaillée comme indiqué en 83 et 84:
ces deux parties 81 et 82 sont décalées l'une par rapport à l'autre, de telle sorte que lors qu'une came est dans sa position initiale et inactive, comme représenté à la fig. 1, la par tie 81 est dirigée pratiquement horizontale ment et la partie 82 verticalement, la pre mière partie 81 s'étendant alors à partir d'un axe 85 autour duquel la came peut tourner dans une direction opposée à celle dans la.- quelle le chariot 60 est placé par rapport èL cet axe. Cette partie 81 approximativement horizontale de la came est prolongée par un doigt 86 dirigé vers le bas.
La came no 6, représentée par exemple à la fig. 1, présente également une saillie 87 qui s'étend vers le chariot 60: un ressort 88 est fixé à cette saillie et tend à faire tourner la came autour de son axe dans le sens des aiguilles d'une montre d'après la fig. 1, c'est-à-dire en re- ;arda.nt depuis le côté gauche de la machine.
La saillie 87 de chaque came est à l'origine saisie par un bras 89 d'un crochet oscillant monté librement sur un axe 90 et présentant une queue 91 placée de telle sorte qu'elle corresponde avec la. partie 70a ou 71a sail lante d'une clavette 70 ou 71 amenée du cha riot de la manière décrite, clans sa position active par suite de l'actionnement d'une tou che.
Lorsque la plaque 40 de cadre suppor tant le chariot 60 est actionnée, la clavette 70 ou 71 qui a été choisie et déplacée frappera la queue 91 du crochet avec lequel elle est en correspondance et, en dégageant le crochet 89 de la came, permettra à cette dernière de tourner autour de son axe 85 sous l'action du ressort 88.
La came 80 tournera ainsi jus qu'à ce que son doigt 86 dirigé vers le bas frappe une barre 92 commune qui s'étend horizontalement au-dessous de toutes les ca mes, cette barre étant portée par deux bras 93 de leviers portés par l'arbre 85 sur lequel toutes les cames sont montées de façon à pou- coir tourner librement, Il est nécessaire de disposer les crochet de telle sorte que leurs queues correspondent avec les rangées supérieures et inférieures de saillies 70a et 71a. De ce fait, comme repré senté aux fig. 1 et 18,
quelques-unes des ca mes ont leurs saillies qui sont saisies par les crochets directement vers le bas, comme en 87a, les: crochets correspondants 89a ayant leurs queues 91a dirigées vers le haut, de fa çon à pouvoir correspondre avec les saillies 70a de la rangée supérieure. Les saillies 71a (le la rangée inférieure correspondront alors avec les queues 91 des crochets 89 et pour ront saisir ces queues. Les cames qui pré sentent des -saillies 87a dirigées vers le bas, sont munies d'oreilles 87b auxquels des res sorts 88a sont fixés.
Les crochets reçoivent par paire l'action de ressorts 94 formés et disposés comme représenté à la fi-. 1, de telle sorte que ces ressorts tendent à faire osciller tous les crochets vers les cames, en permet tant ainsi leur engagement avec les saillies 87, 87a des cames.
Le nombre de cames 80 correspond au nombre de qclave'ctes 70, 71 et, comme elles, sont disposées en groupes de dix, chaque groupe correspondant à une désignation dif férente. Les crochets 89, 89a, qui comman dent respectivement. ces cames et qui les maintiennent à l'origine dans leurs positions inactives ou "mortes", ont leurs queues -dis posées de telle sorte par rapport aux clavet tes 70, 71, que lorsque le chariot est déplacé pas < i. pas, les clavettes 70, 71 groupées seront placées en opposition aux groupes successifs (le crochets, de telle sorte que n'importe quelle clavette 70 ou 71 qui a été amenée dans sa position active par l'actionnement d'une tou che,
correspondra avec la queue d'un crochet et pourra agir sur ce crochet lorsque le cha riot est mîl latéralement par l'oscillation de la plaque 40 de cadre. Ainsi, lorsque tous les chiffres du premier facteur ont été intro- dnits et qu'un mouvement sélectif a été com muniqué de ce fait aux clavettes 70, 71 dans les différents groupes de désignation sur le chariot, l'oscillation du chariot assurera la libération des crochets dans différents grou- 1.)es clé désignation et mettra ainsi en action les cames séparées dans les groupes corres pondants, Toutes ces cames,
qui ont ainsi :té choisies et mises en action, tourneront au tour de l'arbre 85, jusqu'à ce que leurs doigt t16 soient en contact avec la barre 92.
Les vues schématiques .des fig. 7 et 7a in= diquent la manière selon laquelle le déplace ment du chariot 60 effectue le placement suc cessif des clavettes 70 et 71 choisies, dans les divers jeux par rapport aux divers jeux de cames 80, lorsque des chiffres dans le pre mier facteur sont introduits dans la machine.
Gomme déjà mentionné, les différents jeux de clavettes qui fonctionnent pour chaque dési gnation, peuvent être désignés par A', A\, _1?, A4. Semblablement, les différents jeux .de ,cames 80 qui fonctionnent par .rapport aux différentes,désignailons, peuvent être désignés par B', BZ, B3, B@. Dans la position ini tiale du chariot 60,
le premier jeu de clavet tes A' se trouve d'un côté du premier jeu de cames B'. Lorsqu'une touche a été abaissée pour introduire le premier chiffre du premier facteur et que l'extrémité 32 inférieure de la tige-poussoir correspondante a choisi et mû une clavette 70 ou 71 du jeu A' avec lequel l'extrémité de cette tige-poussoir est alors en correspondance et que la touche s'élève en suite,
le chariot 60 se déplace comme décrit de la distance d'un pas en amenant aïnsi le jeu A' en opposition et en correspondance avec les crochets qui commandent le premier jeu de cames B'. Les parties se trouvent alors dans les positions relatives indiquées schéma tiquement à. la fig. 7. Si le premier facteur rie contient qu'un chiffre seulement, la pla que 40 du cadre de chariot est obligée d'os ciller et la clavette qui a été choisie et mue dans sa position active dans le jeu A', agit sur le crochet avec lequel elle se trouve alors en correspondance et libère de cette manière la came correspondante du jeu B'.
Ce jeu de cames fonctionne par rapport aux unités, tan dis que les autres jeux de cames B2, B3, B' fonctionnent respectivement pour les dizaines, les centaines et les milliers des chiffres des premiers facteurs des produits avec lesquel, la machine travaille.
En référence à la fig. 3, la plaque 64 fixée au chariot 60 présente trois tasseaux saillant sur son extrémité gauche, c'est-à-dire l'extré mité qui, dans cette figure, est représentée arrachée pour la clarté du dessin. Ces tas seaux occupent des positions analogues aux saillies 70a, lorsque ces dernières ont été abaissées dans une position active et les trois tasseaux sont disposés de telle sorte que lorsque la plaque 40 oscille,
les tasseaux viendront cri prise avec les queues 91a des crochets 89a et mettront en action les cames zéro dans ceux des jeux de cames qui se trouvent à la gauche du chariot 60. Ainsi, si le premier facteur ne comporte qu'un chiffre seulement, et si le chariot a occupé la position relative représen tée à la fig. 7, la came de chiffre choisie sera libérée dans le jeu B' et les cames zéro des jeux B2, B3 et B' seront libérées par les tas seaux portés par la plaque 64.
La came re quise dans le jeu B' des unités ayant ainsi é <B><U>1</U></B> té choisie et mise en vigueur, il est alors possible de placer cette came selon la valeur d'une touche qui vient d'être abaissée pour introduire le premier chiffre du second fac teur. Cette came peut être tâtée et la réponse ainsi constatée peut être indiquée de la ma nière décrite ci-après.
Si l'on a par exemple trois chiffres dans le premier facteur, il s'ensuit que lorsque les touches correspondantes sont successivement abaissées, les extrémités 32 des tiges-poussoirs choisiront et déplaceront dans leurs positions actives une clavette 70 ou 71 dans chacun des jeux Al, Az, A'. Le chariot se déplacera d'iin pas en suivant chaque abaissement de touche. de telle sorte que lorsque les trois chiffres ont été introduits, le chariot aura. pris la position indiquée à la fig. 7a par rapport aux jeux des cames.
Par exemple, si le premier facteur est 278, les clavettes 70 et 71 qui fonctionnent pour ces nombres, auront été choisies et pla cées effectivement pour 2 dans les centaine du jeu A', pour 7 dans les dizaines du jeu A2, pour 8 dans les unités du jeu A3. La plaque de cadre et le chariot 60 sons: alors mis en oscillation, en libérant ainsi les cro chets des cames correspondantes, de telle sorte que seront libérées et mises en vigueur:
la came zéro du jeu B4, la came du nombre 2 du jeu B', la came du nombre 7 du jeu B' et la came du nombre 8 -du jeu Bl. Lorsque le premier chiffre du second facteur est in troduit, toutes les quatre cames qui ont été mises en vigueur sont mises en rotation d'un arc déterminé par la valeur, de la touche abaissée,,et les cames sont alors tâtées .simul tanément et la solution ainsi constatée est. transmise dans le mécanisme d'indication de la réponse.
On remarquera que lorsque les cames 80 ainsi choisies sont en contact avec la barre 92, elles sont en action seulement, et pas en core placées pour être tâtées. Ce mouvement de placement est effectué en faisant osciller la barre 92 d'un arc dont la longueur est dé terminée par la valeur .d'un chiffre du second facteur, qui est alors introduit dans la ma chine en abaissant la touche appropriée. Un second jeu de touches 101 (fig. 1) est em ployé pour introduire les chiffres du second facteur, ce jeu de touches étant distinct du jeu 21 qui est employé pour introduire les chiffres du premier facteur.
Des moyens sont prévus pour donner à la barre 92 universelle et par son intermédiaire à toutes les cames choisies un mouvement selon la valeur de chaque touche 101 qui est abaissée dans le but -d'introduire un chiffre du second facteur. Ces moyens comportent les leviers 93 qui portent les extrémités de la barre 92 et qui sont reliés à ces extrémités; ils sont fixés aux extrémités de l'arbre 85 et sont dirigés vers ces extrémités. Comme in- cliqué, ces leviers 93 font saillie vers le bas, de telle sorte que la barre 92 se trouve au- dessous de toutes les cames 80. Deux leviers 95, 96, portés par l'arbre 85, font saillie vers le haut à partir de cet arbre.
Le levier 96 présente à son extrémité un secteur denté à rochet. Un cliquet 98 est pivoté en 97 sur une partie fixe, près de ce secteur. Ce cli- quet 98 est de-tiné à venir en prise avec les dents du rochet et à maintenir ainsi la barre 92 clans la position dans laquelle elle a été placée avec l'arbre 85, par suite de l'abais sement :d'une touche 101. Le cliquet 98 pré sente une queue 99 qui, lorsqu'elle est action née par le mécanisme d'échappement décrit. ci-après, soulèvera le cliquet et libérera la barre 92 qui sera alors ramenée à sa position initiale par l'action des ressorts 88; 88a de cames.
Les came: choisies retourneront éga- lement.à leurs positions actives, de telle sorte qu'elles sont prêtes à être basculées et ainsi placées à nouveau, comme déterminé par la valeur numérique de la touche 101 suivante qui est abaissée. L'oscillation de la barre 92 est effectuée par une bielle 100 fiée à une extrémité au levier 95 et à l'autre extrémité à un organe auquel un mouvement est com muniqué, lorsque chaque touche 101 est abaissée.
Chaque touche 101 est montée sur une tige 102 qui peut coulisser verticalement dans les plaques 23, la touche étant poussée vers le haut par un ressort 103. Chaque tige 102 de touches porte près de son extrémité infé rieure une goupille 101 saillant latéralement. Une plaque 105 est montée de telle sorte qu'elle peut coulisser horizontalement dans des guides disposés de façon appropriée au- dessous des touches 101 et près d'un côté des parties extrêmes inférieures des tiges 102 de touches.
Cette plaque 105 est dirigée vers le haut et est entaillée, à partir de son bord supérieur, d'une série de rainures 106 droites dirigées vers le bas. Le bord supérieur<B>107</B> de la plaque est parallèle au ou aux guides sur lesquels la plaque peut se déplacer et chacune .des rainures 106 se termine près dil bord inférieur 108 de la plaque sur une ligne qui est parallèle au bord 107 de la plaque. Chacune des rainures 106 est dirigée oblique- ment par rapport au bord 107 supérieur de la plaque, la rainure formant un angle aigu avec le plan vertical dans lequel se trouve et se déplace une tige 102 de touche.
Les angles aigus ainsi formés par les rainures 106 sont tous différents et augmentent d'une manière définie. Chaque rainure -est destinée à. -coopé- rer avec une goupille 104 de tige de touche, lorsqu'une touche 101 est abaissée, chaque goupille 104 venant en prise également avec des rainures 109 verticales qui les guident et qui sont ménagées dans deux plaques 110 fixes se trouvant de chaque côté de la plaque 105 coulissante et qui facilitent le guidage de cette plaque<B>105</B> (fig. 23).
Ainsi, lors qu'une touche 101 est abaissée, sa goupille 104 oblige la plaque 105 à coulisser sur une distance horizontale déterminée par l'angle de la rainure 106 venant en prise avec elle, et cette .distance horizontale représente un rap port défini par la valeur numérique de la touche. L'extrémité de la bielle 100 est fixée à la plaque 105, de telle sorte que la barre 92 oscillera lorsque la plaque 105 est obligée de glisser par suite de l'abaissement d'une touche 101.
Le mouvement angulaire com muniqué de cette manière à la barre 92 et par elle aux cames 80 qui ont été choisies et qui sont en contact avec elle, variera par des augmentations angulaires, régulières et défi nies, déterminées respectivement par l'inch- naison des rainures 106 de la plaque 105, qui correspondent à leur tour aux valeurs numéri ques -les différentes touches 101. Grâce à ce mécanisme, lorsqu'une touche 101 est abais sée, toutes les cames choisies oscilleront simul tanément à partir d'un plan transversal fixe.
qui peut être considéré comme s'étendant ra- dialement à partir .de l'axe de l'arbre 85, travers la barre 92 universelle, lorsque cette dernière est dans sa position initiale, l'oscil lation des cames choisies ayant lieu selon un arc dont la longueur est déterminée par la valeur .de la touche abaissée, c'est-à-dire la valeur -lu chiffre du second facteur qui est ainsi introduite dans la machine. Les came sélectionnées qui ont ainsi été placées sont alors maintenues par le cliquet 98 et par le levier 96 du secteur à rochet, et ces came: sont prêtes à être tâtées pour en constater les valeurs des produits partiels représentés par les parties placées des cames choisies.
Comme indiqué ci-dessus, chaque came 80 comprend deux parties entaillées 81 et 82.
EMI0009.0016
La <SEP> première <SEP> de <SEP> ces <SEP> partie.: <SEP> 81 <SEP> est <SEP> placée <SEP> à
<tb> l'origine <SEP> de <SEP> façon <SEP> à <SEP> être <SEP> dirigée <SEP> pratiquement
<tb> horizontalement <SEP> et <SEP> l'encoche <SEP> 83 <SEP> de <SEP> cette <SEP> par tie <SEP> est <SEP> telle <SEP> qu'elle <SEP> représente <SEP> les <SEP> unités <SEP> <B>(111</B>
<tb> produit <SEP> partiel.
<SEP> La <SEP> deuxième <SEP> partie <SEP> 82, <SEP> qui
<tb> dans <SEP> la <SEP> position <SEP> initiale <SEP> de <SEP> la <SEP> came <SEP> est <SEP> cliri@éc
<tb> vers <SEP> le <SEP> haut, <SEP> est <SEP> entaillée <SEP> comme <SEP> indiqué <SEP> en
<tb> 84 <SEP> selon <SEP> les <SEP> dizaines <SEP> du <SEP> produit <SEP> partiel.
<tb> Ainsi, <SEP> lorsque <SEP> des <SEP> cames <SEP> choisies <SEP> ont <SEP> été <SEP> fi nalement <SEP> placées <SEP> par <SEP> oscillation. <SEP> comme <SEP> dé crit <SEP> ci-dessus, <SEP> selon <SEP> la <SEP> valeur <SEP> iiuiuérique <SEP> d'iiii
<tb> chiffre <SEP> du <SEP> premier <SEP> facteur.
<SEP> les <SEP> produits <SEP> par tiels <SEP> représentés <SEP> par <SEP> ces <SEP> carnes <SEP> mises <SEP> en <SEP> place
<tb> peuvent <SEP> être <SEP> constatés, <SEP> en <SEP> ce <SEP> qui <SEP> concerne <SEP> les
<tb> unités, <SEP> en <SEP> tâtant <SEP> la <SEP> rainure <SEP> 83 <SEP> inférieure <SEP> dc
<tb> la <SEP> came <SEP> et <SEP> en <SEP> ce <SEP> qui <SEP> concerne <SEP> les <SEP> dizaines <SEP> en
<tb> tâtant <SEP> la <SEP> rainure <SEP> supérieure <SEP> 81. <SEP> Les <SEP> position
<tb> angulaires <SEP> relatives <SEP> des <SEP> deux <SEP> parties <SEP> 81 <SEP> et <SEP> 82
<tb> sont <SEP> telles <SEP> que <SEP> des <SEP> graduations <SEP> ou <SEP> des <SEP> entail les <SEP> se <SEP> correspondant <SEP> dans <SEP> ces <SEP> deux <SEP> partie
<tb> sont <SEP> approximativement <SEP> distantes <SEP> de <SEP> 90 <SEP> .
<SEP> Le,
<tb> entailles <SEP> indiquées <SEP> ci-dessus <SEP> comme <SEP> se <SEP> cor respondant <SEP> sont <SEP> celles <SEP> qui. <SEP> dans <SEP> les <SEP> deux <SEP> par ties <SEP> de <SEP> la <SEP> came, <SEP> représèntent <SEP> respc <SEP> etiveinen <SEP> t
<tb> des <SEP> dizaines <SEP> et <SEP> des <SEP> unités <SEP> et <SEP> constituent <SEP> ainsi
<tb> des <SEP> paires, <SEP> les <SEP> entailles <SEP> dans <SEP> n'importe <SEP> quelle
<tb> paire <SEP> représentant <SEP> ensemble <SEP> un <SEP> produit <SEP> par tiel.
<tb> On <SEP> a <SEP> représenté <SEP> à <SEP> la <SEP> fig. <SEP> 8 <SEP> un <SEP> jeu <SEP> com plet <SEP> de <SEP> ces <SEP> cames.
<SEP> Le <SEP> chiffre <SEP> uiarquc, <SEP> daim
<tb> cette <SEP> figure <SEP> sur <SEP> chaque <SEP> came <SEP> indique <SEP> sa <SEP> va leur <SEP> numérique <SEP> comme <SEP> constituant <SEP> une <SEP> re@iri sentation <SEP> d'une <SEP> partie <SEP> de <SEP> la. <SEP> table <SEP> de <SEP> niulii plication. <SEP> Ainsi, <SEP> la <SEP> came <SEP> marquée <SEP> C <SEP> reliri@ sente <SEP> par <SEP> les <SEP> encoches <SEP> 83, <SEP> 81 <SEP> qui <SEP> y <SEP> sont <SEP> mii nagées, <SEP> tous <SEP> les <SEP> produits <SEP> de <SEP> (i <SEP> mirltililiés <SEP> par
<tb> les <SEP> divers <SEP> nombres <SEP> de <SEP> 1. <SEP> à <SEP> 9. <SEP> Les <SEP> encoches <SEP> 8
<tb> représentent <SEP> les <SEP> unités <SEP> clans <SEP> ces <SEP> produits <SEP> ci
<tb> les <SEP> encoches <SEP> 84 <SEP> représentent <SEP> les <SEP> dizaine,.
<SEP> Les
<tb> valeurs <SEP> numériques <SEP> des <SEP> profondeurs <SEP> des <SEP> en coches <SEP> sont <SEP> indiquées <SEP> par <SEP> les <SEP> nombre, <SEP> in;ii- qués <SEP> sur <SEP> les <SEP> ares <SEP> concentriques. <SEP> icindi- <SEP> qui,
<tb> les <SEP> valeurs <SEP> numériques <SEP> des <SEP> différentes <SEP> po'i tions <SEP> dans <SEP> lesquelles <SEP> les <SEP> cames <SEP> peuvent <SEP> oscil ler,selon <SEP> la <SEP> valeur <SEP> d'un <SEP> chiffre <SEP> du <SEP> second
<tb> facteur, <SEP> sont <SEP> indiquées <SEP> par <SEP> les <SEP> nombres
<tb> cés <SEP> circonférentiellement <SEP> sur <SEP> les <SEP> lignes <SEP> rayon nantes <SEP> incurvées. <SEP> Ainsi.
<SEP> si <SEP> cette <SEP> came <SEP> est <SEP> bas- culée et placée angulairement pour le chiffre 8, ce dernier nombre étant un chiffre du deuxième facteur du produit effectué et si les deux parties 81 et 82 de la came sont en suite tâtées de la manière décrite ici, les mou vements de tâtement ayant lieu dans une di rection radiale par rapport à l'axe de la came, la profondeur de l'encoche qui est tâtée clans la partie 82 (les dizaines, sera de quatre au-- inentations radiales, tandis que la profondeur clé l'encoche correspondante dans la partie 81 des unités, sera de huit augmentations ra diales, ceci donnant une indication du pro duit 48.
Le tâtement des cames 80 est effectué an moyen .d'organes tâteurs .â, deux bras, qui sont construits de façon à osciller et qui sont dis posés pour fonctionner comme décrit ci-après.
Ces organes sont montés sur un arbre commun 120 et mobiles séparément sur cet, arbre (-fi-. 1). Chaque tâteur comporte un bras 121 dirigé vers le bas et présentant à son extrémité un doigt 12e2 tâteur incurvé en forme @de lame, et un bras<B>123</B> dirigé vers le haut, lequel est muni à son extrémité d'un doigt tâteur 124 semblable. Le bras 123 pré sente une branche 125 dirigée vers le haut, à l'extrémité de laquelle est un secteur denté 126.
La construction et la disposition de ces organes tâteurs 121 et 123 par rapport aux cames 80 sont telles que lorsqu'un tâteur os cille dans une direction à partir d'une posi tion moyenne ou neutre, l'entaille de l'un des secteurs de l'une des cames 80 sera tâtée par son bras 123, et lorsque le tâteur est déplacé clans l'autre direction en passant par sa posi tion neutre, son bras 121. tâtera l'entaille du secteur opposé d'une came -du jeu voisin de cames.
La disposition des organes tâteurs par rapport aux jeux de cames est représentée à la, fig. 6, ainsi qu'au diagramme de la fig. 7.
Le mécanisme d'actionnement des tâteurs est disposé de telle sorte que les tâteurs sont basculés en premier lieu dans une direction inverse des aiguilles d'une montre selon la fi;. 1. puis clans la direction des aiguilles d'une montre autour de leur arbre commun 120. Ainsi, au moyen de son bras 123, cha que tâteur tâte en premier lieu la partie des dizaines d'une carne, puis lorsque le tâteur se déplace dans la direction des aiguilles d'une montre, le bras tâteur 121 tâte la partie des unités d'une came.
On remarquera cependant, comme représenté aux fig. 6 et 7, que pen dant que le bras inférieur 121 de chaque or gane tâteur fonctionne par rapport au sec teur des unités clés cames choisies et mises en place dans un jeu clé dénomination, comme par exemple le jeu B' de la fig. 7, le bras 123 dirigé vers le haut du même organe tâ- teur fonctionne par rapport aux parties des dizaines des cames du jeu de cames Bl adja cent, inférieur.
Trois de ces tâteurs présen tent chacun deux bras 121 et 123, tandis qu'un autre tâteur présente seulement un bras 121 et une lame 1\?2 pour tâter les unités du jeu B' inférieur, et qu'un autre tâteur ne pré sente qu'un bras 123 pour tâter les dizaines clans<B>la</B> ,jeu B', le plus haut des cames.
Si, par exemple, le produit à exécuter est la multiplication de 396 par 4-, l'introduction des chiffres 3, 9, 6, par l'actionnement des touches, clans le premier ,jeu, s'effectuera clé la manière décrite ci-dessus par le choix et la mise en action de trois cames respectivement dans les trois ,jeux adjacents B,, B=, Bi et de la came zéro dans le jeu B'. La came du pre mier jeu B' sera la came no 3 représentée à la fig. 8, qui est entaillée pour représenter tous les produits de 3 multipliés par les nom bres de 1 à 9 inclusivement.
La. came du jeu B2 sera la came no 9 qui est entaillée pour représenter tous les produits de 9 multiplié par les nombres 1 à 9. La came du jeu Bl sera la came no 6 qui est entaillée pour re présenter tous les produits de 6 multipliés par les nombres 1 à 9.
La mise en place si multanée de toutes ces trois cames par rap port au chiffre 4 est effectuée lorsque ce chiffre est introduit par l'actionnement d'une touche 101, de telle sorte qu'en tâtant la came choisie dans le jeu Bi, on constatera le pre mier produit partiel de 6 multiplié par .1=24,
le tâteinent clé la seconde came du jeu B2 don- liera le deuxième produit partial 9 multiplié par 4 = 36 et le tâtement de la troisième came du jeu B3 donnera le produit partiel de 3 multiplié par 4 = 12.
Ces produits partiels peuvent être indiqués de la manière suivante:
EMI0011.0007
2 <SEP> 4
<tb> 3 <SEP> 6
<tb> <U>12</U>
<tb> 1584 Comme le premier des tâteurs de désigna tion tend à osciller dans une direction inverse de celle des aiguilles d'une montre, il ne bou gera pas, vu qu'il n'y a pas de came de dé sIgnation inférieure dont la partie des dizai nes puisse être tâtée. Lorsque ce premier tâ- teur oscille dans le sens des aiguilles d'une montre, il tâtera les unités, c'est-à-dire le chiffre 4 dans l'une -des parties de la came no 6 du jeu Bl.
Comme le deuxième tâteur de désignation oscille en sens inverse des aiguilles d'une montre, il tâtera la partie des dizaines de la came no 6 du jeu B1 et constatera la valeur des dizaines, c'est-à-dire le chiffre 2 dans le premier produit partiel, et lorsque ce tâteur oseille .dans le sens des aiguilles d'une mon tre, il tâtera la. partie des unités de la came no 9 du jeu B\ et constatera les unités, c'est- à-dire le chiffre 6 dans le second produit par tiel. De même, le troisième tâteur tâtera les dizaines du second produit partiel dans la came no 9 du jeu B2, c'est-à-dire le chiffre 3.
puis les unités dans la came no 3 du jeu B3. c'est-à-dire le chiffre 2 du troisième produit partiel. Le quatrième tâteur ne tâtera que les unités seulement, notamment le chiffre 1 du troisième produit partiel -de la came no 3 du jeu B3 et sera empêché de tâter clans la direction .des aiguilles d'une montre, par la came zéro du jeu B4. Le cinquième tâteur sera empêché de tâter les dizaines par la came zéro du jeu B4 et il sera empêché de tâter clans le sens des aiguilles d'une mon tre.
par une butée permanente, parce qu'il n'est- jamais nécessaire de tâter des unités. La profondeur mesurée dans la direction radiale de chaque entaille de came a une va leur linéaire correspondant à la valeur num@- rique qu'elle représente, cette profondeur étant basée sur n'importe quelle unité con venable de distance radiale. Ces unités sont, indiquées par les ares concentriques dans la vue .de la came ne 6 à. la fig. 8.
Par consé quent, dans les cas indiqués ci-dessus, lors que le deuxième tâteur se déplace dans la direction inverse des aiguilles d'une montre, il aura oscillé de sa position neutre ou moyenne à travers un arc mesurant deux uni tés de distance. Cependant, lorsque ce même tâteur oscille dans le sens des aiguilles d'une montre, il se déplacera au delà de sa position neutre d'un arc dont la longueur est égale ;i 2 -j- 6 unités de longueur.
Ainsi, l'oscillation totale du tâteur dans la direction des aiguil les d'une montre représentera. la somme des dizaines, c'est-à-dire 2 dans le premier pro duit partiel, et les unités. c'est-à-dire 6 dans le second produit partiel, de telle sorte que le tâteur se sera déplacé sur une distance représentant 8. Semblablement, le troisième tâteur indiqué ci-dessus, lorsqu'il oscille dan la direction des aiguilles d'une montre, se déplacera sur une distance totale égale à la somme 3 -f- 2 = 5.
De cette manière, tous les tâteurs qui os cillent simultanément, en premier lieu dans le sens inverse des aiguilles d'une montre, puis dans le sens des aiguilles d'une montre, grâce à un mécanisme décrit ci-après, se déplaceront respectivement dans le sens des aiguille d'une montre sur des longueurs d'arc corres pondant aux différentes valeurs des chiffre des unités, des dizaines, des centaines et des milliers de la réponse finale de la somme.
L'oscillation des organes tâteurs 121, 12:; qui a lieu dans une direction, puis dans la direction inverse, est effectuée par de moyens assurant le synchronisme correct de@ mouvements de tâtement par rapport au pla cement des cames. La source d'énergie pour les mouvements des tâteurs est un arbre<B>130</B> horizontal, sur lequel agit un ressort qui tend à le faire tourner, ce ressort étant remonté lorsque le mécanisme est ramené à la position de, départ.
La rotation de cet arbre 130 eFi commandée par un échappement à crochet représenté aux fig. 10 et 11, qui est actionné de manière à libérer l'arbre lorsque l'oa abaisse une touche 101. La disposition est telle que c'est la dernière partie chi mouve ment descendant de la touche qui effectue la libération de l'arbre 130, la première partie du mouvement descendant de la touche ayant effectué le placement par rotation des cames 80, selon la valeur numérique de la touche de 1a manière décrite ci-dessus.
Ainsi, le mé canisme assure que les cames choisies soient en premier lieu placées et qu'un mouvement soit ensuite communiqué aux organes tâteurs. Un lien élastique est intercalé entre l'arbre 130 et chacun des organes tâteurs, de telle sorte que, sur la distance minimum nécessaire pour tâter l'entaille ou la graduation radial la plus profonde dans n'importe quelle came, le mouvement du tâteur dans chaque direction peut être arrêté sans effort nuisible du mé canisme sur les différentes parties de la. came qui sont de profondeur moindre que la pro fondeur maximum.
Il est également néëes- saire de s'assurer que chaque organe tâteur est toujours ramené à sa position centrale on neutre après qu'il a été basculé. Comme in diqué ci-dessus, certaines parties des came sont telles que les tâteurs agissant sur elle seront empêchés d'effectuer n'importe quel mouvement d'oscillation soit dans une direc tion, soit dans l'autre.
Une plaque 17.1 (fig. 1) disposée horizon talement au-dessous des tiges 102 des tou ches 101 est portée par des leviers coudés 112 pivotés en 113 et reliés par une bielle 1T 4. de façon. à constituer un dispositif à mouve ments parallèles, grâce auquel la plaque<B>11]</B> peut se déplacer vers le bas en restant hori zontale.
Les extrémités inférieures de toutes les tiges 102 de touches se trouvent au-dessus de cette plaque 111.à une distance telle que, lorsque n'importe quelle touche est complète ment abaissée, dans la dernière partie du mouvement descendant de sa fige, elle entre en contact avec la plaque et abaisse cette dernière. Ce mouvement descendant de la plaque aura -lieu juste lorsque la goupille<B>101</B> portée par la tige de touche atteint l'extré mité inférieure de la rainure inclinée 10C) ménagée dans la plaque 105 qui effectue le placement rotatif des cames choisies, de la manière décrite ci-dessus.
Le mouvement des cendant de la plaque 111 effectue la libéra tion .d'un crochet faisant partie d'un échappe ment qui commande la. rotation de l'arbr:- l.30, une bielle 115 (fig. 10) s'étendant dans ce but entre l'un des leviers 112 et l'organe à crochet.
Ce mécanisme d'échappement coopère avec le cliquet 98 destiné à venir en prise avec les dents,du secteur 96 monté sur l'arbre 85 oscil lant qui porte la barre 92. La disposition est telle que, lorsqu'une touche 101 est abaissée et. que cette baire 92 est, basculée pour placer par rotation les cames 80, de la manière décrite, le cliquet 98 maintiendra la barre dans la po sition dans laquelle elle a été basculée, ainsi que les cames après que la touche a été libér( et bien que les cames soient tâtées.
Le cliquet 98 est automatiquement frappé par l'échap pement, lorsque le tâtement des cames est ter miné, et l'arbre entraîné par un ressort fer- mine sa rotation qui donne un mouvemeni oscillant aux tâteurs.
L'arbre 130 et son ressort sont arrangés de manière que le ressort tende à faire tourner l'arbre dans le sens des aiguilles d'une mon tre selon la fig. 1. Un disque à manivelle 137 présentant une goupille 132, une came 133 destinée à soulever un levier lorsque l'arbre tourne, et un cylindre 134 sont fixés sur cet arbre 130 (fig. 1, 6, 10 et 11). Une rainure 135 sensiblement hélicoidale est ménagée dans la périphérie du cylindre 134.
Cette rainure a pour fonction de donner un mou vement à certaines parties du mécanisme dan# une direction parallèle à l'axe de l'arbre. Les mécanismes associés avec la came 133 et avec le cylindre 134 de came seront décrits ci- après.
Le disque 131 est disposé à une extrémitA de l'arbre 130 (fig. 6) et la goupille 132 fait. saillie de sa face externe, tandis qu'une autre goupille plus courte 136 fait saillie cle sa face interne, cette goupille étant placée à une dis tance angulaire déterminée d'une encoche<B>137</B> ménagée clans la périphérie du disque; la pé riphérie de ce disque fonctionne comme une came, et agit sur un cliquet 138 qui est relié par la bielle 115 à la plaque horizontale 111, laquelle peut être abaissée par les touches 101.
Le mouvement descendant de cette pla que<B>111,</B> lorsqu'une touche 101 est abaissée, a pour effet de sortir le cliquet 138 de l'en coche<B>137,</B> de telle sorte que le disque<B>13L</B> peut être mis en rotation par le ressort agis sant sur l'arbre 130 jusqu'à terminaison de sa rotation, le cliquet pénétrant alors de nou veau dans l'encoche.
La goupille 136 de la face interne du disque 131 coopère avec un organe<B>139</B> de détente de l'échappement, de façon à. assurer la remise en prise du cliquet avec l'encoche 137. Le cliquet 138 et l'organe 139 de détente font saillie d'un moyeu 140 porté par un axe 141. Un levier 112, formé sur ce moyeu, est dirigé vers le bas et constitue une queue présentant une goupille latérale 1-L3 destinée à frapper la queue 99 du cliquet 98. De cette manière, ce cliquet peut être dégagé du secteur denté 96, de façon à libérer la barre 92.
Ainsi, à, la fin de la rotation de l'arbre 130, lorsque les mouvements d'oscillation des tâteurs sont terminés, les cames choisies seront toutes libé rées et pourront revenir en arrière dans les positions occupées par elles, lorsqu'elles sont choisies et mises en action la première foiz#- La goupille 132 chi disque 131 (fig. 1) est reliée par une bielle 114 à un bras d'un levier 1#15 porté par un arbre 146 horizontal oscil lant,
auquel une plaque 147 dirigée vers le bas est fixée radialement. Plusieurs leviers 118 sont montés librement sur cet arbre os cillant. Ces leviers sont dirigés dans leurs positions -initiales en opposition à la plaque 147 et pratiquement en ligne avec cette pla que, laquelle est fixée sur l'arbre, c'est-à-dire que, la plaque étant dirigée vers le bas, ces leviers sont dirigés vers le haut.
Chacun de ces leviers 14#, est fixé par une bielle 149 à une goupille 1-? i sur le côte dit bras 12:@ d'un or(yane tâteur.
La plaque 117 portée par l'arbre oscillant. présente filée ïc elle, ver, son bord externe et sur ses côtés opposés. une paire de ressorts à lames incurvées 150 qui s'étend au delà. de l'arbre 1-16. Ainsi.
déux ressorts 150 clans ehaclue paire s'éten dent à partir de côtés opposés du bord externe de la plaque 147 et reposent contre les face:
opposées d'un même levier tâteur 148.<B>Ce</B> dispositif constitue une liaison souple entre l'arbre 146 el les différents leviers tâteur 148, telle que lorsque l'arbre oscille clans mie direction ou dans l'autre, il tendra à entraî ner avec lui tous les leviers tâteurs, mais si une résistance s'oppose au mouvement de n'importe quel levier tâteur,
par exemple lors qu'un tâteur est en contact avec une encoche d'une came. l'oscillation de l'arbre peut se poursuivre complètement. sans efforts nuisi bles sur les autres parties du mécanisme. Les paires de ressorts 150 sont disposées de telle sorte que, lorsque l'arbre 1-16 est dans sa po sition initiale.
les leviers tâteurs 1-18 sont maintenus de telle sorte par les ressorts, que les tâteurs<B>121, 123</B> seront clans leurs posi tions neutres, les doigts 122, 121 de chaque organe tâteur étant à faible distance de la périphérie des secteurs 81, 8 2 des cames.
Lorsque l'arbre<B>130</B> actionné par un res sort effectue une rotation complète, l'arbre oscillant 146 sera baqculé en premier lien dans une direction. puis dans l'autre, com muniquant ainsi par l'intermédiaire des liai sons souples, le mouvement oscillant néces saire, en premier lieu dans le sens inverse dezz aiguilles d'une montre selon la fig 1, et en second lieu, dans le sens des aigazilles d'une montre, à tous les tâteurs, les mouvement= actifs d'oscillation de ces tâteurs, ii. partir d;
@ leurs positions médianes ou neutres et la va leur de ces mouvements étant déterminé comme décrit ci-dessus par les parties ucc place des cames choisies qui sont ainsi tâtée par les organes tâteurs.
Les mouvements oscillants des organe. tâteurs, clans le sens des aiguilles d'une mon . tre, qui auront lieu, comme décrit ci-dessus. sur des distance:; déterminées par la valeur des produits partiels constatés en tâtant les deux parties des cames choisies et mises en place, sont transportés dans le mécanisme totalisateur de la manière suivante: Comme mentionné, chaque organe tâteur est pourvu d'une branche 125 qui est con venablement dirigée vers le haut et qui porte un secteur denté 126.
Plusieurs roues den tées 151, totalisatrices ou donnant la réponse, sont montées de telle sorte sur un arbre 1.5? qu'elles peuvent être soit abaissées pour ame ner une roue totalisatrice en prise avec un secteur 126 tâteur ou élevées lorsque ces roue totalisatrices seront dégagées et éloignées des secteurs tâteurs. Le mécanisme de commande de ces roues totalisatrices est disposé et fonc tionne de façon à les maintenir clans leur position élevée, lorsque les organes tâteur, oscillent en sens inverse des aiguilles d'une montre; mais les roues totalisatrices sont abaissées de façon à. venir en prise avec les secteurs et :sont maintenues en prise avec ceux-ci lorsque les tâteurs sont déplacés dans le sens des aiguilles d'une montre.
Ainsi, lorsqu'un tâteur se déplace dans le sens des aiguilles d'une montre, il fera. tourner une roue totalisatrice d'un arc correspondant à la. valeur numérique représentée par le chemin le long duquel le tâteur effectue son oscilla tion dans le sens des aiguilles d'une montre.
Le mécanisme suivant est employé pou- effectuer le soulèvement et l'abaissement des roues totalisatrices 151, ainsi que pour dépla cer ces roues à. travers les divers secteurs tâteurs 126, de telle sorte que les roues to talisatrices peuvent être obligées de venir en prise successivement avec les secteurs des dif férents tâteurs de désignations différentes. Ceci est nécessaire lorsque les touches 101 sont abaisséev# successivement pour l'introduc tion des chiffres du second facteur.
Dans le produit indiqué ci-dessus comme exemple, un .-cul chiffre 4 est donné comme appartenant au second facteur, et la solution, c'est-à-dire le produit total 1584, est indiqué par les roues 151 totalisatrices ou de réponses. lors- que les tâteurs ont terminé leurs oscillation dans le :sens des aiguilles d'une montre. Les roues de réponses sont alors soulevées hors de prise d'avec les secteurs tâteurs 126, tan dis que ces derniers reviennent à leurs po sitions neutres initiales.
Si maintenant il se trouve un deuxième chiffre, par exemple 6, dans le second fac teur, ce chiffre est introduit comme précé demment, en abaissant la, touche 101 corres pondante lorsque les cames choisies seront placées, puis tâtées, en constatant ainsi la solution du produit 396 X 6.
Les distances parcourues par les différents tâteurs repré senteront alors les produits partiels qui peu vent être écrits comme précédemment de la manière suivante:
EMI0014.0020
3 <SEP> (6
<tb> 54
<tb> 18
<tb> \? <SEP> 3 <SEP> 7 <SEP> 6 Ce total doit maintenant être introduit dans les roues 151 de réponses et additionné ai, produit déjà<B>,</B> porté par ces roues:
EMI0014.0024
1 <SEP> .Î <SEP> <B>8</B> <SEP> 4
<tb> 2 <SEP> <U>3</U> <SEP> 7 <SEP> 6
<tb> 1 <SEP> 8 <SEP> ? <SEP> 1. <SEP> 6 Cependant, les roues de réponses ont été dé placées à. travers les secteurs tâteurs 126, de telle sorte qu'une roue 151 qui, dans l'opé ration précédente, n'était pas en prise avec un secteur tâteur, soit maintenant mise en prise avec le premier secteur, et cette roaic@ sera alors mise en rotation pour indiquer 6. le chiffre d'unités du second produit.
La roue (le réponses suivante qui porte le chiffre d'uni tés 4 .du premier produit est alors mise en prise avec le deuxième secteur tâteur, de telle sorte que 7 (chiffre des dizaines du second pro duit) est introduit dans cette roue de répon ses. Le report (la retenue) résultant de cette addition est reporté â la roue de réponse suivante de désignations supérieures, qui doit être mise en rotation lorsque le 3 du second produit lui est transmis. De la même ma nière, le report de cette roue est transmis à la roue de réponses de la désignation supé rieure suivant immédiatement et cette der nière roue est également mise en rotation lorsque le 2 provenant du second produit est reporté sur elle.
De cette manière, cinq roues 151 indiqueront la réponse du produit 396 par 46, soit 18216.
S'il v avait un troisième chiffre dans le .second facteur, celui-ci serait introduit et les produits partiels traités de la même manière, le troisième produit ainsi obtenu étant addi tionné clans le total indiqué ci-dessus qui est déjà porté dans les roues de réponses. Ces dernières ont été transportées comme précé demment, à travers les secteurs tâteurs, de façon à s'assurer que le troisième produit soit transmis correctement au mécanisme d'indi cation de la réponse.
Un arbre 170 (fig. 1, 9 et 14) monté dans des paliers appropriés est disposé horizon talement près de l'arbre 130 actionné par un ressort, et présente fixés à lui près de ses extrémités deux leviers 1.71 dont les extré mités sont reliées par une tige 172 parallèle à l'arbre. Cet arbre .170. avec les leviers 171 et la tige 172 les reliant, constitue un cadre qui peut être basculé autour de l'axe de l'ar bre au moyen d'un bras 173 qui fait saillie vers le bas à partir .de l'arbre, son extrémité appuyant contre la périphérie de la came 13:( décrite ci-dessus et montée sur l'arbre<B>130</B> actionné par un ressort.
Ce cadre présente un autre bras 174 dirigé vers le bas (fig. 14) dont .le but sera expliqué ci-après; il porte un autre cadre (fig. 9) qui comporte des flas ques 175 et des traverses<B>176,</B> 177, et peut coulisser le long de l'arbre 170 et le long de la tige 172 qui passe à travers les organe 175 latéraux. Ce cadre coulissant fait saillie au delà du cadre basculant 1.71, 172, comnic représenté aux fig. 1 et 9 et sa partie en sail lie supporte l'arbre<B>152</B> avec les roues 151 totalisatrices ou de réponses, qui se trouvent ainsi au-dessus des secteurs tâteurs 126.
Deux -bossages 178 montés librement sur l'arbre 170 du cadre oscillant sont reliés par une partie 179 longitudinale, l'un d'eux pré sentant un bras<B>180</B> qui fait saillie vers l'ar rière de l'arbre 170 (fig. 6 et 9), c'est-à-dire en s'éloignant du cadre oscillant 171, 172 e1: du cadre coulissant 175.
Ces bossages se trouvent entre et contre les flasques 175 clic cadre des roues tota.lisatrices, et viennent ainsi en prise avec ce cadre, de telle manière qu'un mouvement communiqué au bras 180 clans la direction de l'axe de l'arbre 17 0, obligera le bras à porter avec lui le cadre coulissant des roues totalisatriees et à faire coulisser ce cadre le long du cadre oscillant 171, 1.72.
Ce bras 180 présente, près de son extrémité et sur son côté inférieur, quatre saillies 181 en forme de (lents semblables et dirigées vers le bas (fig. 6) qui sont. égale ment espacées les unes des autres selon une direction horizontale parallèle à l'axe de l'ar bre 170. Ces dents 181 sont disposées de telle sorte qu'elles peuvent venir successivement en prise avec la rainure 135 périphérique de la came 134 portée par l'arbre<B>130</B> lorsque cet arbre tourne. La. came communiquera ainsi au bras 180 un mouvement dans la direction de l'axe de l'arbre<B>170</B> et ainsi par l'intermé diaire de ce bras, le cadre<B>175</B> des roues to talisatrices sera obligé de coulisser le long du cadre oscillant 171. 172.
La liaison entre le bras 1,80 -et le cadre 175 est en fait une liai son articulée de telle sorte que le cadre peut être élevé et abaissé en faisant osciller le ca dre 171, 172. sans intéresser l'engagement de, dents 181 avec la rainure 135. Celle-ci s'é tend autour du cylindre 134 sur plus d'un tour, ses deux extrémités étant inclinées la téralement en directions opposées, et s'on- vrant aux extrémités du cylindre.
La forme et la disposition de cette rainure de came, ainsi que des dents 181 qui viennent succes sivement en prise avec elle sont telles qu(@ lorsque l'arbre 130 sur lequel le cylindre 131 est monté effectue un tour complet, une des dents 181 soit en prise avec une extrémité<B>de</B> la rainure 135 de came, un mouvement dt@ déplacement coulissant étant donné aux roue 151 totalisatrices par rapport aux secteurs <B>126</B> des tâteurs.
Ce mouvement clé déplace ment est suffisant pour amener les roues to- talisatrices clé plans intermédiaires entre les plans des secteurs 126 clans les plans de ces secteurs, de telle sorte que les roues totalisa trices peuvent être abaissées pour venir en prise avec les secteurs tâteurs (fig. 6).
Le cadre 175 des roues totalisatrices est alors maintenu dans cette position par la rainure 135 et la dent. 181 qui est en prise avec elle, jusqu'au moment désiré où, après que les roues totalisatrices ont été soulevées de façon a, se dégager des secteurs tâteurs, une partie in clinée de la rainure 135 donne un nouveau mouvement de déplacement au cadre des roues totalisatrices, en déplaçant ainsi les roues totalisatrices de nouveau dans des plans intermédiaires entre les plans des secteurs tâteurs. A ce moment, la deuxième dent 181 entre en prise avec la rainure 135, l'arbre 130 ayant alors terminé une rotation.
Lorsque cet arbre effectue sa rotation suivante, en sui vant l'introduction d'un autre chiffre dans le second facteur, la première dent 181 sort clé la rainure 135 de came, tandis que la deuxième dent transmet le mouvement de clé- placement nécessaire de la came au cadre 175, de la même manière que précédemment. Ce cycle d'opérations se répète selon la construc tion et la capacité de la machine par rapport au nombre des chiffres du second facteur avec lesquels elle peut travailler.
Comme on le comprend, la forme de la rainure 135 de came et sa position -sur l'arbre 130 sont déterminées clé façon à synchroniser les mouvements créés par la came avec les mouvements créés par la came élévatrice 133 et par la goupille 132, en assurant ainsi une coordination convena ble entre les mouvements tâteurs, l'élévation et l'abaissement des roues totalisatrices par rapport aux secteurs tâteurs et le déplace ment des roues totalisatrices à travers les secteurs tâteurs.
On remarquera que lorsqu'un chiffre du second facteur a été introduit dans la ma chine en abaissant la touche 101 appropriée les opérations effectuées directement par l'abaissement de cette touche sont le place ment par rotation des cames 80 choisies se lon la. valeur de cette touche et lorsque ce placement est terminé, la libération de l'ar bre 130 entraîné par son ressort.
Cependant, les opérations suivantes sont automatiques, notamment le tâtement des cames, l'abaisse- #.nent et l'élévation des roues totalisatrice 151, de telle sorte que ces roues peuvent être mises en rotation sur une valeur déter minée par les valeurs des produits partiel: constatées par le tâtement, et le déplacement des roues totalisatrices en vue de les rendra prêtes à recevoir les produits partiels r6sul- tant de l'introduction du chiffre suivant du second facteur.
Les roues totalisatrices 151 peuvent être <B>, -</B> ssociées avec un mécanisme permettant h <B>-</B> report de la retenue à la fois lorsque le produits partiels passent en premier lien dans le mécanisme totalisateur et lorsque des produits successifs sont obtenus de l'introduc tion dans la machine clé chiffres successifs du second facteur du produit.
Si on le désire, clés moyens peuvent être prévus pour bloquer les roues totalisatrices lorsqu'elles sont soule vées et dégagées des secteurs tâteurs, en évi tant ainsi le risque d'une rotation accidentelle clé ces roues.
Les roues totalisatrices peuvent être cons truites et disposées pour présenter directe ment d'une manière visible la réponse ainsi obtenue ou bien un mécanisme peut être prévu, grâce auquel lorsqu'un produit com plet a été introduit dans le mécanisme totali sateur et que tout le mécanisme est ramené à sa position zéro pour y introduire un nouveau produit, le produit se trouvant déjà dans le mécanisme totalisateur peut être transféré et traité d'une autre manière. Par exemple, on peut prévoir des moyens grâce auxquels cha que produit tel qu'il est ainsi constaté est imprimé et grâce auxquels des produits suc cessifs sont totalisés et ce total indiqué.
La construction du mécanisme totalisateur employé de préférence est celle représentée en détail aux fig. 18 à 21. Ce mécanisme comprend une série de groupes de roues, chaque groupe comportant des organes à trois roues et le nombre des groupes correspondant au nombre de désigna tions ou de chiffres qui peuvent se trouver dans la solution. Les organes à trois roues sont divisés en roues indicatrices 151, roues introductrices 153 et roues intermédiaires 154; toutes ces roues peuvent tourner direc tement ou indirectement sur l'arbre 152. La roue indicatrice 151 est constituée par un disque formé à l'extrémité d'une douille 155 de longueur appropriée dont l'extrémité la plus éloignée du disque a la forme d'un excen trique 156.
La face du disque qui est la plus éloignée de la douille 155, porte une série de dents 157 constituées par des goupilles fai sant saillie; ce disque est muni de vingt de ces dents 157. Une encoche 158 ménagée dans la périphérie du disque est destinée à coopérer avec un cliquet, la. position de @ la roue étant la position zéro lorsque le cliquet bute contre cette encoche.
Lorsque la roue tourne à partir de sa position zéro, le cliquet qui repose en premier lieu sur une partie de la périphérie de la. roue de faible diamètre, comme représenté à la fig. 19, est soulevé par une rampe 159 sur une partie de plus grand diamètre s'étendant sur un arc qui peut avoir approximativement 180 jusqu'à l'encoche 158. Ainsi, si la roue<B>151</B> a tourné de neuf unités de distance pendant la transmission au mécanisme de réponses des chiffres d'un pro duit, le cliquet se trouve sur la partie élevée de la périphérie de la roue près de l'encoche 158. Lorsque cette roue revient en arrière à.
sa position zéro, le cliquet,repose sur la par tie élevée, jusqu'à la rampe<B>159</B> où le dia mètre .de la roue décroît, puis bute contre la face radiale de l'encoche 158. Le but de cette construction sera expliqué ci-après.
La roue d'introduction 153 est en forme de disque monté sur l'extrémité d'une courte douille qui est portée et qui tourne librement sur la douille 155 clé la roue 151 indicatrice, la douille de la roue d'introduction servant de pièce d'espacement entre l'une des faces de cette roue et la face plane adjacente de la roue<B>151.</B> La roue d'introduction est munie sur sa, face opposée à la face plane de la rouie 151, de neuf dents<B>160</B> saillant latéralement. constituées par des goupilles; dix-huit autres dents 161 également constituées par des gou pilles se trouvent sur l'autre face de la roue introductrice 153.
La roue 154 intermédiaire présente sur sa périphérie clés dents en forme de 1/. comme représenté aux fig. 20 et 21, le nombre de ce, dents étant de dix-sept. Cette roue est por tée et tourne librement sur la partie 156 excentrique clé la douille de la roue 151. Lors que les parties sont montées sur l'arbre 1,52. comme représenté à la fig. 18, la roue<B>151</B> intermédiaire se trouve entre la face de la roue 151 d'indication, qui est munie des dent 157 et la face de la roue 153 d'introduction qui porte les dents 161. ces trois roues for mant un groupe fonctionnant par rapport >l une et même désignation.
Les dents<B>157</B> de la. roue 151 et les dents<B>161</B> de la. roue 153 peuvent toutes venir en prise avec les dent, de la roue 154 intermédiaire en pénétrant entre ces dernières; mais ce contact des dents ne peut se produire que sur un petit arc seu lement, comme on le voit à la fig. 20, par suite du montage excentrique de la roue 15-1 intermédiaire. La disposition est telle que si la roue 153 d'introduction a tourné d'une va leur de dix unités. elle agira à l'aide de la roue 154 intermédiaire pour faire tourner d'une unité la roue 151 d'indication du groupe de la désignation suivante la plia élevée.
Les neuf dents 160 de l'une des faces de chaque roue 153 d'introduction sont les dents qui, lorsque le mécanisme de réponse est abaissé de la manière décrite, viennent en prise avec le secteur denté 126 d'un organe tâteur. Lorsque le mécanisme de réponse est soulevé de sa position neutre, les mêmes dents 160 sont mises en prise avec une crémaillère coulissante 200 munie de dents 201. Il est possible, grâce à la liaison entre les groupe de roues, de faire tourner simultanément, soit dans une direction, soit dans l'autre, au moins deux roues 153 d'introduction, lorsqu'un pro duit est introduit dans ces roues par les sec teurs tâteurs 126, ou bien lorsque ces roues sont ensuite ramenées à leurs positions zéro par coulissement des -crémaillères 200.
La liaison entre les roues, dans des groupes adja cents, a lieu par l'intermédiaire de la douille 155 de chaque roue 151- indicatrice et de l'ex centrique 156 monté sur cette douille.
Tous les groupes de roues sont montés côte à côte et peuvent tourner séparément sur l'arbre 152. Une roue 151a se trouve à l'ex trémité de la désignation la plus basse (fig. 18); cette roue ne présente aucune dent sur sa face externe, mais seulement une goupille qui vient en prise avec un trou dans la pla que qui sert de support pour une extrémité de l'arbre 152, la roue étant ainsi empêchée de tourner. Une roue 151u d'indication tour nant librement est montée à l'autre extrémité de la série des groupes de roues. Cette roue 151b présente des dents 157 sur sa face in terne, mais le moyeu de cette roue ne porte pas de roue d'introduction et ne présente au cime partie de forme excentrique.
Un arbre 162 s'étend parallèlement à l'ar bre 152 près de la périphérie des roues por tées par ce dernier arbre; des cliquets 163 sont montés sur l'arbre 162; chacun de ces cliquets est destiné à venir en prise avec l'en coche 158 de la périphérie d'une roue 151 d'indication.
Du fait de la nature du méca nisme de réponse et de la manière selon la quelle les roues 151 d'indication des groupes de désignations supérieures peuvent recevoir des mouvements provenant des retenues, ces rotations peuvent avoir lieu suivant de petits arcs et s'il arrivait qu'une de ces roues d'in dication se trouve près de sa position zéro, cette roue pourrait avoir tendance à être sai sie par son cliquet 163, avant que la roue ait tourné, comme cela pourrait être, d'environ 360 en arrière, jusqu'à sa position zéro réelle. Pour éviter ceci, les crémaillères 200 sont obligées de coulisser successivement et non pas simultanément, lorsqu'elles ramènent les roues du mécanisme de réponse à leurs positions zéro.
En outre, les cliquets 163 des divers groupes de roues de réponses sont re liés de telle sorte entre eux que, lorsqu'un cliquet fonctionne par rapport au groupe de roues d'une désignation, il est maintenu en arrière jusqu'à ce que le cliquet qui fonc tionne par rapport au groupe de la désigna tion immédiatement inférieure soit sur le point de venir en prise avec l'encoche 158 de la roue 151 indicatrice de ce groupe.
Cette liaison des cliquets entre eux est obtenue com modément en constituant chaque cliquet 163 comme un bras faisant saillie d'une extrémité d'une courte douille 164 sur l'autre extrémité de laquelle un deuxième bras 165 est prévu avec un prolongement latéral 166 qui re couvre le bras 163 Constituant le cliquet de la désignation inférieure suivante. Comme dé crit ci-dessus, la périphérie de chaque roue 151 d'indication de la réponse est constituée de telle sorte que le cliquet 163 ne peut se déplacer vers l'intérieur, jusqu'à ce que la roue soit revenue en arrière sur un arc essen tiel mesuré à partir de son encoche 158 lorsque cette roue est ramenée à sa position initiale.
Bien que maintenu ainsi extérieure ment à travers la partie 166, ce cliquet main tient dans la position "ouverte" le cliquet qui fonctionne avec la roue 151 d'indication du groupe de désignation supérieure suivante.
La construction est telle qu'il est possible -de mettre en place de façon rotative et simul tanément au moins deux des roues 151, lors que les dents 160 des roues 153 sont saisie: par les secteurs 126, tandis qu'en même temps la retenue nécessaire peut être transportée d'un groupe de roues totalisatrices au suivant. Semblablement, il est possible avec ce mé canisme, lorsqu'il est en prise avec les cré maillères 200, de ramener toutes ces roues vers la position zéro et finalement à cette position, lorsque les crémaillères coulissent dans la direction nécessaire pour effectuer cette remise à zéro.
La mise en place relative des différentes roues du mécanisme totalisa teur est alors transférée à ces crémaillères coulissantes, dont les positions horizontales respectives dans lesquelles elles ont été pla cées à partir de leurs différents points zéro correspondront aux positions relatives numé riques des roues totalisatrices avec lesquelles elles étaient en prise lorsque les crémaillères ont été déplacées de ces positions zéro.
De la même manière, si un ou plusieurs autres mé canismes totalisateurs sont mis en prise avec ces crémaillères et que ces dernières sont obli gées de revenir à leurs positions zéro, il s'en suit que ces autres mécanismes totalisateurs auront leurs roues amenées par rotation aux valeurs numériques représentées par les po sitions à partir desquelles les crémaillères in dividuelles se sont déplacées pour revenir au zéro.
Le mécanisme totalisateur porté par le cadre coulissant 175 est construit de la même manière que représenté aux fig. 18 et 19, et le montage représenté à ces figures est celui employé pour quelques-uns des autres méca nismes totalisateurs qui seront décrits ci- après. L'arbre 162 qui porte les cliquets 163 est monté dans le cadre coulissant 175.
Un dispositif de verrouillage représenté aux fig. 1, 9, 12 et 13 est prévu pour les roues totalisatrices, de façon à empêcher une rota tion accidentelle de ces roues, lorsque le ca dre 175 a été soulevé dans une position telle que les roues totalisatrices sont dans une po sition intermédiaire dans laquelle elles sont écartées et ne peuvent venir en prise soit avec les secteurs tâteurs 126, soit avec les dents (les crémaillères coulissantes 200. Ce -méca nisme de verrouillage est commodément dis posé et fonctionne de la manière suivante. Une partie fixe du cadre 182 porte une barre transversale 183 (fi-. 9) qui passe à travers les bras d'un organe 184 en forme de<B>U</B> (le grande dimension, lequel est ainsi libre de tourner sur la barre 183.
Les extrémités (les bras de l'organe 184 sont reliées de façon à pouvoir pivoter à une plaque 185 dont les extrémités sont portées (le telle sorte qu'elles peuvent coulisser dans des rainures 186 mé nagées dans les extrémités des flasques 175 du cadre coulissant (fig. 12 et 13). La plaque 185 présente une série de dents 187 saillant de son bord interne, ces dents étant destinées à venir en prise avec les dents 160 des roues 153.
Lorsque le cadre 175 est abaissé, comme représenté en traits pleins à la fig. 12, de façon que les dents 160 puissent venir en prise avec les dents des secteurs tâteurs, la plaque 185 de verrouillage peut être retirée par oscillation de l'organe 18.1 en forme de U;
les dents totalisatrices sont alors libres de tourner lorsque les tâteurs et leurs secteurs 126 sont basculés. Au contraire, lorsque le cadre 175 est soulevé dans sa position mé diane ou neutre, position représentée en traits mixtes à la fig. 12, la plaque de verrouilla.g- 185 est obligée de coulisser vers l'intérieur. de telle sorte que ces dents viennent en prise avec les dents des roues totalisatrices. La plaque de verrouillage est retirée de la même manière, et les roues totalisatrices sont libé rées quand le cadre 175 est soulevé de sa position neutre, de façon à amener les roues totalisatrices en prise avec les crémaillères coulissantes 200.
Les mouvements de celles-ci peuvent être utilisés de différentes manières. Comme in diqué, lorsque les roues 151 sont soulevées et sont en prise avec ces barres, ces dernières ramènent en coulissant toutes les roues totali satrices au zéro. Lorsqu'elles se déplacent ainsi, les crémaillères peuvent servir à sou lever des caractères au moyen desquels il est possible d'imprimer les valeurs numérique correspondant à la position dans laquelle les crémaillères peuvent coulisser. Celles-ci peu vent également servir à transporter les ré ponses successives à partir des roues 151 dan.; d'autres mécanismes à roues calculatrice, dans lesquels ces réponses peuvent être addi tionnées entre elles ou traitées autrement. comme on le désire.
La fig. 14 représente une partie du mé canisme comportant un jeu (le roues totalisa trices qui fonctionnent avec les crémaillères coulissantes 200, en combinaison avec le dis positif donnant la réponse soit sous forme imprimée, soit autrement. Un jeu (le roue 151c de réponses est monté sur un cadre<B>167</B> comportant (les plaques latérales triangulaires qui supportent l'arbre 152a des roues totalisa trices, et qui peuvent osciller comme un tout autour d'un arbre 168; un cadre semblable est également représenté à la fig. 19. Une bielle, au moyen de laquelle le cadre 167 peut être basculé, est reliée au cadre en 169.
Le levier 171 oscille comme décrit autour de l'ar bre 170 pour élever ou pour abaisser le jeu principal des roues 151 totalisatrices et pré sente un bras 174 dirigé vers le bas; celui-ci est relié par une bielle 188 à un bras<B>189</B> d'un levier à deux bras pivotés en 190. Le deuxième bras 191 de ce levier présente un doigt qui fait saillie vers une came 192 mon tée sur un arbre 210. Un enfoncement 193 radial se trouve en un point de la périphérie de cette came. Le doigt du bras 191 peut pénétrer dans cet enfoncement 193 lorsque le levier 171 des roues totalisatrices est basculé vers le bas pour mettre les roues 151 de ré ponses en prise avec les secteurs tâteurs 126.
Une partie de la came 192 est formée de fa çon à dégager ou à porter l'extrémité du le vier 191 muni d'un doigt, lorsque les roues <B>151</B> totalisatrices on été élevées dans leur position médiane ou neutre, et l'autre partie de la came est constituée de façon à agir sur ce doigt, de manière à faire osciller 12 levier 171 des roues totalisatrices vers le haut, en amenant ainsi ces roues en prise avec les cré maillères 200.
Une bielle 194 s'étend à partir du cadre triangulaire 167 qui porte le jeu 151e de roues jusqu'à un levier 195 monté sur l'arbre 190. Un deuxième bras 196 du levier 195 présente un doigt qui se trouve derrière le bras 191 (fig. 14) et qui est destiné à reposer sur une seconde came 197 portée par l'arbre 210.
Cette came est constituée de telle sorte que le mécanisme 151e à roues totalisatrices, qui peut fonctionner comme totalisateur, sera soulevé pour venir en prise avec les crémail lères 200, lorsque ces dernières sont prêtes à coulisser en arrière vers leurs positions zéro, après avoir déplacé en direction opposée les roues 151 totalisatrices principales, en vue de revenir à leurs positions zéro.
Lorsque les cré maillères 200 reviennent alors en coulissant à leurs positions zéro, les roues totalisatrices lâle seront. mises en place par rotation, leur position étant en fait celle transmise par les crémaillères à partir des roues 151 totalisa trices principales, lorsque ces dernière avaient été remises à zéro. Un dispositif de verrouillage est prévu pour les roues 151e totalisatrices, lorsque ces roues sont abaissées et dégagées des crémaillères.
La remise en place du mécanisme est ef fectuée lorsqu'un organe tel qu'une roue et un arbre est tourné à la main ou par une source d'énergie quelconque et à la fin des opérations d'introduction des chiffres, la ro tation de-cette roue ou de cet arbre effec tuant les mouvements des organes qui accom plissent certaines fonctions avant que la re mise en place soit terminée, tandis qu'en même temps, le remontage du ressort qui agit sur l'arbre<B>130</B> est effectué. Un arbre hori zontal 220 actionné à la main (fig. 23) porte une manivelle à son extrémité placée du côté droit de la machine. Cet arbre met en rota tion un autre arbre 221 transversal, à. l'aide d'engrenages.
Une roue d'angle 227.a se trouve à l'extrémité de l'arbre 221 du côté gauche de la machine, cette roue d'angle en grenant avec une autre roue d'angle 221b montée sur un arbre 222 qui -est porté hori zontalement dans des paliers le long du côté gauche de la machine (fig. 24.) Plusieurs roues d'angle 223, 224, 225, 226 sont con venablement espacées les unes des autres sur cet arbre 222, et une came 227 et un pignon 228 se trouvent près de son extrémité arrière. La roue d'angle 224 engrène avec une roue d'angle 211 portée par l'arbre à came 210 transversal. Le pignon d'angle 226 en grène avec un pignon d'angle<B>230</B> monté sur un arbre qui porte une roue 231 dentée engrenant avec une autre roue dentée 232 montée sur un arbre 233.
Le barillet qui contient le ressort principal est monté sur cet arbre 233. Ce ressort est disposé de telle sorte que pendant qu'il peut être remonté par la rotation de la roue 232, lorsqu'on tourne la manivelle, l'autre extrémité du ressort tend à faire tourner une roue d'engrenage 234 qui engrène avec une roue dentée 23.5 montée à l'extrémité de l'arbre<B>130.</B> Le ressort est dis posé de telle sorte à l'intérieur du barillet coopérant avec le mécanisme à rochet de cons truction appropriée, que le remontage ne peut avoir lieu que sur la distance sur laquelle le ressort s'est déroulé, par l'intermédiaire de l'arbre 222 qui est constamment mis en rota tion, sur un arc déterminé à l'avance,
lorsque l'arbre 220 de remise en place, actionné à. la main, est mis en rotation.
Comme on le voit, bien des organes du mécanisme retournent automatiquement à leurs positions initiales, niais d'autres organes nécessitent d'être ramenés effectivement à leurs positions zéro. Ces organes comprennent en particulier le chariot 60 sélecteur et le cadre 175 coulissant portant les roues 151 totalisatrices principales. Ces organes sont ramenés en place lorsque l'arbre 222 est mis en rotation.
Le chariot 60 sélecteur est ramené en ar rière dans sa position initiale par une bielle 45a (fig. 25) fixée à une extrémité au levier 45 oscillant, dont l'extrémité libre est reliée au chariot 60, l'autre extrémité de la bielle 45a étant reliée à la goupille 236 d'une Mani velle pouvant tourner sur un axe 237, et por tée par une roue dentée 23$ qui engrène avec le pignon denté 228 à l'extrémité arrière de l'arbre 222 (fig. 24).
Lorsque le chariot 60 est obligé de revenir en coulissant dans sa position initiale, les cla vettes 70 et 71 en forme de<B>L,</B> qui ont été choisies et abaissées par suite de l'actionne- ment d'une touche, sont de nouveau poussées dans leurs positions initiales. Ceci est effec tué par les moyens suivants. Sur le côté du mécanisme .sélecteur actionné par des touches qui se trouvent vers les cames, une console 57 est portée par le cadre sélecteur 40 (fi-, 1, 3 et 4).
Les deux barres 58 s'étendent hori zontalement sur le côté interne de cette con sole; elles sont parallèles et disposées et espa cées l'une au-dessus de l'autre, de telle sorte que le bord supérieur de chaque barre peut passer au-dessous de la saillie 70a ou 71a de chaque clavette 70, 71, lorsque celles-ci sont dans leurs positions initiales supérieures. L'extrémité libre 59 ou gauche de chacune de ces barres (fig. 3) est biseautée à partir de son bord supérieur, et l'extrémité extrême de la barre se trouve en une place où elle est distante d'un jeu de clavettes 70, 71, lorsque ces dernières sont placées en correspondance avec les crochets 91, 91a.
Lorsque pendant la remise en place du mécanisme le chariot 60 est obligé de revenir en coulissant vers sa position initiale, les extrémités biseautées des barres fixes 58 viendront en contact avec cel les des clavettes 70, 71 qui ont été choisies et abaissées, de telle sorte que ces clavettes se ront de nouveau poussées vers le haut.
La distance sur laquelle le chariot est obligé de coulisser lors de la remise en place est telle qu'il est déplacé au delà de la position dans laquelle il est maintenu à l'origine par l'é chappement, de telle sorte que les barres fixes 58 de remise en place peuvent agir sur toutes les clavettes 70, 71 de tous les jeux de clavettes et pousser ces derniers dans leurs positions initiales. Le chariot est ensuite laissé libre de se déplacer sur une petite distance dans la direction de son déplacement pas à pas, ceci amenant le premier jeu de clavettes 70, 71 coulissant au-dessous des extrémités des tiges 31 actionnées par des touches.
La remise en place des cames 80 choisie est effectuée en leur donnant à toutes un mou vement de rotation en sens inverse des aiguil les d'une montre, vues comme à la fig. 1, ce mouvement étant effectué en faisant osciller la barre 92 d'un arc plus grand que l'arc maximum dont elle oscillerait lors de la re mise en place des cames par suite de l'abais sement d'une touche 101. Cette oscillation des cames sera suffisante pour qu'elles soient saisies une fois de plus par leurs crochets res pectifs 89, 89a, qui les maintiendront alors dans leurs positions initiales "mortes". Cette oscillation de remise en place de la. barre 9? est effectuée par un mouvement provenant de la rotation de retour de l'arbre 222.
La roue d'angle 225 de cet arbre (fig. 24) engrène avec une roue d'angle montée sur un arbre <B>2250-</B> vertical, dont l'extrémité inférieure donne un mouvement de rotation à une roue 92a (fie. 23), par l'intermédiaire d'un engre nage d'angle et -d'un arbre. Un manetan .est monté sur cette roue 92a et relié par une bielle 925 à l'extrémité de la barre 92. Ainsi, à chaque tour de l'arbre 222, la roue 92a ef fectue un tour complet, et -la barre 92 est bas culée selon un arc, entraînant avec elle toutes les cames qui ont été choisies et mises en vi gueur, ces cames étant ainsi (amenées à leurs positions. initiales "mortes" où elles sont maintenues par des crochets.
Lors de la remise en place des parties, il est nécessaire de ramener le cadre totalisateur coulissant 175 à sa position initiale sur le cadre oscillant 171. Ceci est effectué de la manière suivante. La came 227 de l'arbre 222 (fie. 22) agit sur une goupille 239 à l'extré mité d'un bras d'un levier 240 qui est pivoté en 241 sur un bras s'étendant à partir du ca dre fixe 182 (fie. 9 et 15). L'autre bras 242 de ce levier appuie contre la face inférieure d'une goupille 243 qui fait saillie de la par tie verticale d'un cadre 24-?: en forme de<B>L,</B> lequel peut coulisser sur un guide vertical du châssis 182 qui supporte le mécanisme totali sateur.
Une rainure 2'46 est ménagée dans le bras horizontal 245 de ce châssis coulissant. L'extrémité 180a du levier denté se trouve dans cette rainure, et ce levier vient en prise avec la rainure 135 ménagée dans le cylindre à cames 1,34 par la rotation duquel le cadre 175 totalisateur est déplacé. Lorsque le ca dre 244 est soulevé, le cadre totalisateur est libre de coulisser le long du cadre oscillant 171 et ce coulissement est obtenu par l'action d'une came 247 montée sur l'arbre 222 (fie. 22) qui agit sur un levier 248 relié par une bielle 249 à une goupille 250 montée sur le cadre 175 (fie. 9).
Une touche séparée n'étant pas prévue pour effectuer l'oscillation du chariot 60 qui met en action les cames 80, ce mouvement d'oscillation est dérivé du mouvement prove nant de l'abaissement de n'importe laquelle des touches 101. -A cet effet, selon la fie. 1 ainsi que l'élévation latérale de la fie. 23, on a prévu une bielle 116 pivotée en 117 et re liée à son extrémité libre par une bielle 118 à la plaque 5 7 montée sur le cadre oscillant 40 qui supporte le chariot sélecteur 60. La bielle 116 touche une cheville 119 portée par l'un des bras d'un des leviers coudés<B>Il':),</B> qui sont reliés par la plaque 111, cette plaque étant abaissée et les leviers coudés 11.2 tour nés lorsqu'une touche 101 est abaissée.
La cheville 119 communique alors un mouvement oscillant à. la bielle 116 et fait osciller le ca dre 40 du chariot par l'intermédiaire de la bielle 118.
La machine représentée -est munie d'un mécanisme qui permet de régler la position transversale clés roues 151 totalisatriees sur le cadre 175 par rapport aux chiffres selon les quels ces roues totalisatrices sont mises en position par rotation, et qui doivent être trai tés de différentes manières, par exemple lors que ces chiffres doivent être additionnés dans une note ou dans le total des opérations d'un jour, ou si un escompte doit être déduit.
Le transport des chiffres représentés par le ré glage rotatif des roues totalisatrices 151 est effectué d'une manière déjà indiquée au moyen des crémaillères coulissantes 200, coo pérant avec des jeux appropriés de roues to- talisatrices, semblables au jeu 151c; ces jeux de roues totalisatrices ou des totalisateurs peuvent être soulevés de façon à venir en prise avec les crémaillères 200 ou abaissés de façon à être dégagés de ces crémaillères, de la manière indiquée à la fie. 14. Ces totali sateurs sont représentés à la fie. 27.
Le mécanisme de commande de la posi tion transversale des roues 151 totalisatrices est indiqué plus particulièrement aux fie. 15, 16 et 17, ainsi qu'aux fie. 22 et 23.
Selon le plan .de la machine représenté à la fie. 22, l'extrémité supérieure d'un arbre vertical 2"r0 porte une pièce transversale 271 au moyen de laquelle l'arbre peut-être mis en rotation à la main. Cet arbre 270 porte égale ment un bras indicateur 272 qui se déplace, lorsque l'arbre tourne, sur un cadran 273 con venablement gradué. Un bras 274 est fixé sur l'arbre 270 (fig. 23) et plus bas une roue d'angle 275 et un pignon d'angle 276. La roue d'angle 275 engrène avec une roue d'an gle 277 fixée à l'extrémité d'un arbre hori zontal 278. Le pignon d'angle 276 engrène avec une roue d'angle 279 fixée à l'extrémité d'un autre arbre horizontal 280.
Un mouve ment de réglage transversal d'un arbre à ca mes est effectué par un pignon sur cet arbre 280 et sur .une crémaillère. Cet arbre à cames commande la succession des mouvements de plusieurs mécanismes totalisateurs par rap port à leur engagement avec les barres 200 de crémaillère, ces divers mécanismes totali sateurs étant représentés à la fig. 27.
L'arbre 278 (fig. 1,5, 16 et 17) porte près de son extrémité postérieure un disque 281 sur la face duquel se trouvent une goupille 282 et une came 283. Une barre horizontale 284 portée par les parties fixes 182 de façon à coulisser transversalement présente un bras 285 dirigé vers le bas dans lequel est ménagée une rainure 286 destinée à être sollicitée par la goupille 282 du disque 2'81, lorsque l'arbre 278 est mis en rotation. De cette manière, la barre 284 peut être obligée de coulisser sur une distance définie vers la gauche. Un le vier 288 est pivoté en 287 sur la barre 284.
Une série d'encoches 289 sont ménagées dans la face inférieure de ce levier 288, ces en coches sont destinées à saisir l'extrémité 180a du bras 180 qui, comme décrit, est pivoté sur l'arbre transversal 170 et permet, d'une part, qu'un coulissement transversal soit donné au cadre totalisateur 175, lorsque ce levier 180 est élevé, les dents de son côté inférieur étant hors de prise d'avec la rainure de came 135. Le levier entaillé 288 est muni d'une goupille 290 saillant latéralement.
Un autre levier à deux bras est pivoté en 291 à la barre coulis sante 284; l'un de ses bras 292 est destiné à venir en prise avec la goupille 290 du levier 288, tandis que l'autre bras 293 qui est di rigé vers le bas présente une rainure 294 des tinée à être sollicitée par la goupille 282 du disque 281. Un ressort 295 agit sur le levier 292, 293 .de la manière indiquée aux fig. 16 et 17, de telle sorte due ce levier tend nor- malement à soulever le levier 288 dans la po sition représentée à la fig. 16, lorsque les en coches 289 qu'il comporte sont éloignées de l'extrémité du levier 180a.
Lorsque l'arbre 278 a été mis en rotation de façon à amener 'la goupille 282 en prise avec la rainure mé nagée dans le bras 293 et avec la rainure du bras 285 de la barre coulissante 28-1. le levier entaillé 288 est libre de tomber dans la posi tion représentée à la fi-. 17, de façon à venir en prise avec l'extrémité du levier 180a; comme l'arbre 278 tourne, la barre ?84 cou lissera en entraînant avec elle les roues totali satrices 151 dans une position transversale où elles seront maintenues selon le réglage rotatif donné par l'arbre vertical 270.
A ce moment, la came 283 de l'arbre<B>278</B> a actioiinc# l'extrémité du bras 296 d'un levier pivoté en 297 sur un organe de cadre transversal fixe, dont l'autre bras 298 vient. en prise avec une goupille 251 portée par le cadre 2.44 coulis sant verticalement (fig. 15). Ce dernier, qui est soulevé ainsi que l'extrémité du levier 180a, dégage les dents de ce levier de la rai nure 185 de la même manière qu'est effectue le dégagement de ces dents lors de la remise en place de la façon .décrite ci-dessus.