CH152000A - Machine à calculer. - Google Patents

Machine à calculer.

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CH152000A
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Ridley Debenham Ernest
Donovan Rowley Charles
Isherwood Harold
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Ridley Debenham Ernest
Donovan Rowley Charles
Isherwood Harold
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  Machine à calculer.    L'objet de     l'invention    est une machine à  calculer     comportant    un jeu d'organes action  nés par des touches,     -des        jeux    d'organes mo  biles représentant mécaniquement des pro  duits partiels,. et des moyens pour tâter ces  organes et pour présenter la réponse ainsi  constatée. Cette machine est caractérisée par  un mécanisme sélecteur comportant un cha  riot     monté,de    façon qu'il puisse     "être    déplacé,  d'une part, par rapport aux organes actionnés  par les touches et, d'autre part, par rapport  aux organes représentant les     produits    partiels.

    En outre, des jeux d'organes mobiles indivi  duellement,     correspondant    en nombre aux or  ganes représentant les produits     partiels    et dis  posés en jeux semblables à -ces derniers, sont  montés sur ce chariot en relation telle, par  rapport aux organes actionnés par les touches  que, lorsque le chariot est déplacé, les organe  mobiles individuellement     soient    amenés par  ,jeux     -successifs    en correspondance avec les or  ganes actionnés par les touches au moyen des-    quels certains des organes mobiles individuel  lement des jeux     successifs    sur le chariot peu  vent être choisis et mis en     position    active, ce,

    organes choisis par suite -du mouvement du  chariot étant ensuite amenés clans des     poi-          tions        telles,    par rapport aux organes de pro  duits partiels, que par un mouvement simul  tané de tous les organes mobiles individuel  lement qui ont été choisis, des organes     repr(#-          sentant    les produits partiels     correspondant;     soient .à leur tour choisis et mis en     activité,.     



  Le dessin annexé     représente,    à titre  d'exemple, une forme d'exécution de l'objet  (le l'invention. La machine représentée à cc  dessin peut effectuer     des    multiplications du  deux facteurs, dont chacun peut comporter  de un à cinq chiffres, c'est-à-dire qu'elle peut  être employée pour     effectuer    des multiplica  tions de n'importe quel nombre allant de 1 à.  9999 par n'importe duel nombre allant de  1 à 9999. L'utilisation de la machine peul  cependant être très étendue. de façon à en      augmenter la.     portée,    et ceci en nécessitant  relativement peu de modifications.  



  La     fig.    1 est une élévation en coupe mon  trant les caractéristiques principales du mé  canisme actionné par touches pour la     sélec.     lion et le placement -des cames, ainsi que le,  moyens pour tâter les cames et pour donner  la réponse.

   Cette figure montre la relation       ;énérale    entre les parties et la manière dont  elles coopèrent, certaines parties constructives  ayant cependant été omises pour plus     cl(-          clarté    ;  La     fig.    2 est une élévation postérieure du  premier mécanisme sélecteur, c'est-à-dire de  ce mécanisme tel qu'il est vu de gauche à la       fig.    1, et se trouvant à l'arrière de la machine;  La     fig.    3 est une élévation frontale à plus  grande échelle du chariot     sélecteur.        Cette    fi  n montre la face :de cet appareil qui est.

    opposée à .celle représentée à la     fig.    2, une  partie de la plaque de couverture étant brisée  et les parties     extrêmes    seulement des tiges  poussoirs     actionnées    par les touches étant  représentées.

   D'autres     parties    sont omises  pour la clarté du dessin;  La     fig.    4 ,est une coupe transversale verti  cale selon la ligne     4-4    de la     fig.    3, en regar  dant dans la direction des flèches;  La     fig.    5 est un plan du chariot sélecteur,  tel qu'il est vu à la     fig.    3;

    La     fïg.    6 est une     élévation    en coupe par  tielle des     cames,    -des tâteurs et du mécanisme  de réponse, tels que vus de l'arrière, les par  ties     apparaissant    telles qu'elles sont vues de  l'extrémité gauche du mécanisme, comme re  présenté à la     fig.    1, le mécanisme sélecteur       primaire    étant enlevé et     d'autres    parties étant  omises, pour la. clarté -du dessin;

    Les     fig.    7 et 7a sont des diagrammes re  présentant les     rapports    existant entre les dif  férents jeux d'organes mobiles en forme     4e    L  pariés par le     chariot    sélecteur, les différents  jeux de     cames    et les tâteurs qui coopèrent  avec les cames;  La     fig.    8 comporte une série de vues  montrant en élévation les formes des dix ca  nes qui composent un jeu complet;    La     fig.    9 est un plan du     totalisateur    et:       des-parties    qui lui sont associées, comprenant  la partie principale du     mécanisme    d'indica  tion de la réponse;

    - La     fig.    10 est une élévation .de côté, à  plus grande échelle, du dispositif d'échappe  ment qui est vu en plan à l'extrémité gauche  de la.     fig.    9 et qui commande la rotation -de  l'arbre à cames au moyen duquel     l'actionne-          ment    des     tâteurs,    le déplacement, l'élévation  et l'abaissement des roues du totalisateur  sont effectués.

   Cet échappement commande  également le blocage des     cames    mises en place;  La     fig.    11 est une vue en bout de l'échap  pement tel qu'il est représenté à la fi:-.<B>10;</B>  La     fig.    12 montre en élévation latérale et  à plus grande échelle, des détails du disposi  tif de     blocage    pour les roues du     totalisateur;     La     fig.    13 est un plan des parties repré  sentées à la fi g. 12;

    La     fig.    14 est une élévation latérale tant  soit peu schématique -de certaines     parties    du  mécanisme     d'indication    de réponses et des  moyens pax     lesquels    ces parties sont com  mandées;  La     fig.    15 est une élévation postérieure  des parties du mécanisme associé au totalisa  teur et du mécanisme     d'indication    de la ré  ponse;

    Les     fig.    16 -et 17 sont des élévations pos  térieures semblables à la     fig.    15, mais avec  parties enlevées pour montrer les détails du  mécanisme employé pour commander la posi  tion du chariot mobile avec les roues du to  talisateur, lorsque l'appareil est réglé pour  calculer et déduire un escompte;  La     fig.    18 représente le     totalisateur,    la  partie droite de cette figure montrant les  roues en élévation latérale, tandis que la par  tie gauche est une coupe     longitudinale    verti  cale;

    La     fig.    19 est une coupe transversale à  travers le totalisateur selon la ligne 19-19  de la     fig.    18, prise en regardant dans la di  rection -des flèches;  Les     fig.    20 et 21     sont,des        coupes        trans-          versales    semblables, faites respectivement     se-          lozi    les lignes 20-20 et 21-21 de la fi-.     7.8;         La     fig.    22 est un plan de la machine  complète;       Là,        fig.    23 est une élévation montrant le  côté. droit de la machine;

    La     fig.    24     est    une élévation     montrant    le  côté gauche ,de la machine;  La     fig.    25 est une élévation postérieure  de la machine;       Ira.        fig.    26 est une élévation frontale;  La     fig.    27 est une coupe longitudinale  verticale de la machine, selon la ligne brisée  27-27 de     la        fig.    22, vue en regardant dans  la direction des flèches;

    La     fig.    28 est une coupe     transversale    ver  ticale selon la ligne brisée     28-2,8    de la       fil;.    22, en regardant clans la direction des  flèches.  



  En référence à     la        fig.    1, une série de dix  touches 21 est prévue; chaque touche est des  tinée à être employée séparément pour intro  duire dans la machine les chiffres .du premier  facteur du produit qui doit être calculé par  la machine. Ces touches sont portées par des  tiges 22 qui peuvent coulisser verticalement  clans des plaques 23, et soumises à l'action  de ressorts     24.    Chaque tige 22 est reliée de  façon effective au moyen d'un     levier    coudé  25 et d'une biellette 26     d'accouplement    à un  bras 27 d'un levier coudé pivoté en 28 dont  l'autre bras 29 est relié en 30 à l'extrémité  supérieure d'une tige 31 de poussoir coulis  sant verticalement.

   Les extrémités supérieu  res de ces     tiges-poussoirs    31 sont     espacées    les  unes des autres latéralement, comme repré  senté à la fi-. 2 où elles sont     reliées    aux bras  29 des leviers coudés avec le jeu suffisant et  nécessaire pour le montage de ces leviers cou  clés sur un axe 28 commun et pour les liai  sons à ces leviers; mais les parties inférieu  res de ces tiges-poussoirs sont recourbées la  t6ràlement de façon à rapprocher leurs extré  mités 32.

   De plus, certaines de ces     tiges-          poussoirs    sont recourbées comme représenté à  la fi-. 1, c'est-à-dire autrement que latérale  ment, de telle sorte que les extrémités 32 in  férieures de toutes les     tiges-poussoirs    se trou  vent en deux groupes de cinq tiges; les extré-    mités des tiges-poussoirs -d'un groupe se trou  vant derrière les     extrémités    des     tiges-pous-          soirs    de l'autre groupe, comme représenté  à la     fig.    3;

   les     tiges-poussoirs    formant le  groupe 32a frontal ou interne, peuvent     r1,@     préférence     être    celles qui sont actionnées par  les touches portant les nombres 0, 4, 8. 3 et  7, les tiges étant disposées côte à côte dans  cet ordre lorsqu'on les considère de droite à  gauche en regardant la     fig.    3. Le groupe     32>>     postérieur ou externe des     tiges-poussoirs    est  alors composé des tiges actionnées par les  touches numérotées 2, 6, 1, 5 et 9.  



  Chaque tige-poussoir est de préférence  formée d'une bande plate métallique, et     soie          extrémité    inférieure peut coulisser librement  à travers une plaque 33 de guidage. Les ex  trémités inférieures de toutes les     tiges-pous-          soirs    sont carrées et, dans leur position nor  male de repos,     elles    se trouvent toutes dans  même plan horizontal.  



  Une plaque     .10    suspendue sur des pivots  41 entre les bras     dirigés    vers le haut     d'un     châssis 42 en forme de<B>U</B> de construction     ap-          propriée    peut osciller autour d'un axe hori  zontal voisin de l'axe de l'arbre 28 sur lequel  les leviers coudés<B>27-29</B> sont montés libre  ment     (fig.    1). Cette plaque 40     porte    deux  guides 43 en forme de L, montés sur sa face  frontale ou interne. Ces guides sont horizon  taux et sont espacés l'un de     l'autre.    Un cha  riot 60 peut coulisser sur ces guides 43.

   Un  ressort 44 :disposé de façon à agir sur un le  vier 45 qui est pivoté en 46 à la plaque     4()     et qui est relié à son extrémité libre par une  bielle 47 au chariot 60,     tend    à déplacer cons  tamment ce dernier vers la droite, comme re  présenté à la     fig.    2,     au-dessous    des extrémi  tés 32<B>-</B>inférieures des     tiges-poussoirs    grou  pées.

   Ce déplacement du chariot, qui a lieu  pas à pas, est commandé par un échappement       actionné    par un organe 48 en forme de<B>T,</B>  dont la branche verticale est guidée dans des  guides 49 .de la plaque 40, et qui peut coulis  ser vers le haut et vers le bas. étant tiré       constamment    vers le haut par un ressort 50  agissant par un levier 51 sur son extrémité      inférieure. Le sommet 48a de l'organe 48 est  dentelé comme représenté à la     fig.    2, et s'é  tend à travers et au-dessous des extrémités  des bras 29 des leviers coudés auxquels les  tiges 31 sont fiées.

   Lorsqu'une     touche    21  est actionnée et qu'une tige 31 est abaissée  vers le chariot 60, le levier coudé 29 pousse  simultanément l'organe 48 vers le bas et ac  tionne l'échappement,     -de    telle .sorte que le  chariot se déplace sur la plaque 40 de la dis  tance -d'un pas, dès que la     touche    est libérée.  



       L'échappement    qui commande le mouve  ment du chariot est construit comme suit.  Une rangée horizontale de dents 61 sembla  bles -se trouve sur la face arrière ou externe  du chariot. Ces dents sont espacées égale  ment les unes des autres. Une butée 61a se  trouve à l'extrémité de la     rangée,    comme re  présenté aux     fig.    2 et 3. Chaque dent 61     est     de forme approximativement triangulaire, le  côté     supérieur    étant horizontal. L'extrémité  inférieure de l'organe 48 est fixée à     l'extré-          mité    libre du levier 51     pivoté    en 52 sur la  plaque 40.

   Le levier 51 présente une saillie  latérale sur son côté interne dirigée vers la  face du chariot 60,     cette    saillie 53 étant for  mée et disposée de façon à se trouver sur le  passage d'une dent 61 du     chariot    et de façon  à venir en prise avec un côté de cette dent.  Un     deuxième        levier    54 est également pivoté  en 52 et tiré vers le haut par un ressort 55  fié à. une goupille latérale 56 du levier. La  face de     l'extrémité    de ce levier 54 se trouve  sur le parcours de l'un des côtés d'une dent  61 du chariot et peut     venir    en prise avec ce  côté.

   Le bord supérieur de ce levier est in  cliné pour     constituer    une encoche en forme  de<B>V,</B> comme représenté en     traits    interrompus  à la     fig.    2, cette     construction    étant telle, que  le côté inférieur     d'une        dent.    61 est dégagé  lorsque le levier 54 est     abaissé.    L'abaissement  de ce levier se produit lorsque le levier 51 est  appuyé vers le bas par l'organe 48 lorsqu'une  touche 21 est abaissée, vu que la saillie 53 la  térale du levier 51 se trouve au-dessus de     l'ex-          trémité,du    levier 54.     L'extrémité    du levier 54:

    frappe alors par l'angle sur le côté inférieur  de la dent 61, dont le côté est saisi par la    saillie 53     latérale    du levier 51. La. -face de  travail de cette saillie latérale étant     'à    une  distance du centre 52     légèrement    plus petite  que la face du levier 54, le chariot effectuera,  un léger mouvement vers la droite. Lorsque  le levier 51 est à nouveau soulevé, lors de la       libération    de la touche 21 qui a été abaissée,  la saillie 53 s'éloignera de .la. dent 61 et le  chariot sera libéré de façon à se déplacer d'un  pas vers la droite.

   Le chariot sera arrêté à  l'extrémité de ce pas par le côté de la dent  61 suivante .se     présentant    contre l'extrémité  du levier 54 qui s'est élevé aussitôt qu'il l'a  pu par le mouvement du chariot.  



  Une     série,de    jeux de clavettes 70, 71 est  montée sur le chariot 60. Chacune d'elles est  mobile séparément sur le chariot dans une  direction verticale     (fig.    4) et     comporte    une       -partie    principale droite qui se trouve dans un  passage de     guidage    et qui peut se déplacer  dans ce passage, lequel est ménagé dans le  chariot. Elles comprennent également cha  cune une partie 70a, 71a qui fait     saillie    en  avant, c'est-à-dire sur le côté interne du cha  riot.

   Chaque clavette 70, 71 est formée d'une  bande plate ayant pratiquement la forme  d'un<B>L</B> vue de côté, et se trouve dans une  rainure verticale et peut se déplacer dans  cette rainure qui est ménagée dans le cha  riot 60; l'ajustement d'une     clavette    dans la,  rainure est tel qu'elle soit retenue par frot  tement .dans chacune des deux     positions     qu'elle est destinée à occuper.

   Une série de  rainures 62     parallèles    est ménagée dans les  côtés opposés     d'une    plaque 63 d'épaisseur  convenable     (fig.    4 et 5), chaque rainure ayant  une profondeur plus grande que -sa largeur,  et ses dimensions étant déterminées par la  largeur et l'épaisseur des     clavettes    70, 71.  Cette plaque 63 rainurée est fixée au côté  interne du chariot 60. Un couvercle 64 est  fixé sur la face libre de la plaque rainurée.

    De cette manière, les clavettes 70, 71 sont  maintenues en place, des ouvertures     étant     ménagées dans les     parties    supérieures et in  férieures du couvercle, à travers lesquelles  s'étendent les parties saillantes     70a,-    71a.

   Cha  que clavette 70,     \71    est     foimée    par eux ban-      clos métalliques semblables rivées ensemble à  leurs     parties        extrêmes,    de telle sorte que ces       parties    se trouvent     près    l'une de l'autre, tan  dis que les     parties        intermédiaires        des    deux  bandes sont légèrement séparées l'une de Pau  -ire, de telle sorte que lorsque cette partie       principale     &  la     clavette    se trouve     dans    sa  rainure 62, la double bande tendra.

   à saisir  les côtés de la rainure et à s'opposer à     uc,          déplacement    accidentel, tout en lui permet  tant .d'être     poussée        longitudinalement        -d'une     position dans une     autre.     



       Les    clavettes 70, 71. sont disposées par  jeux, chaque jeu en comprenant dix, dont  cinq sont celles dont les saillies 70a se trou  vent vers leurs extrémités     supérieures,    tandis  que les cinq autres sont     celles    dont les sail  lies     71a    se trouvent vers leurs     extrémités    in  férieures.

   Dans l'exemple, quatre de ces jeux  sont représentés à la     fig.    5,     où.    ils sont séparés  par des lignes en traits     mixtes,    les     différents     jeux étant     indiqués    par<B><I>A', -A', A',</I> A'.</B> Les  deux groupes .de cinq     clavettes    70 et de cinq  clavettes 71 formant un jeu sont adjacents,  et leurs     positions    relatives sont telles que les  extrémités supérieures carrées de toutes les  dix clavettes 70, 71 d'un jeu coopèrent avec  les extrémités inférieures 32, 32a des     tiges-          poussoirs    31 actionnées par des touches.

    Ainsi, lorsque le chariot 60 est .déplacé pas  à pas sous la commande de l'échappement,  chaque jeu de     clavettes,    en commençant par  le jeu A', sera. placé successivement en cor  respondance avec     les        extrémités        inférieures     ;poupées semblablement des     tiges-poussoirs     31 actionnées par     :

  des    touches et     près    de ces       extrémités.    Au début, toutes les     clavettes    70,  71 occupent les positions supérieures dans les  quelles elles peuvent coulisser et lorsqu'une  touche     2.1    est abaissée, la     tige-poussoir    31  ainsi actionnée abaissera celle dont l'extré  mité supérieure correspond alors avec l'extré  mité de la tige-poussoir.

   De cette manière,  lorsque les touches sont abaissées pour intro  (luire les chiffres du premier facteur -du     pro-          iluit,    une des clavettes sera choisie et obligée  (le     coulisser        .dans    une position active dans  chacun des jeux qui sont successivement pla-         cés    au-dessous du jeu de     tige-poussoir    par     1u     déplacement :du chariot. Chaque jeu de cla  vettes 70, 71     fonctionne    selon une désigna  tion, le nombre des jeux étant déterminé par  la capacité de la. machine par rapport ai;       r:ombre    de chiffres dans le premier facteur.

    La machine décrite, où il existe quatre     jeux           < 11,    A', A-.     _l'    de clavettes 70. 71. est capa  ble     de    travailler avec des produits dans cha  cun .desquels il     '-    a de un à quatre chiffre       dans    le premier facteur.

   Lorsque toutes les  touches ont été abaissées, ce qui est nécessaire  pour introduire tous les chiffres     clans    le pre  mier facteur, le chariot présentera un     nombre     correspondant de clavettes, une dans     chacu;i     des différents jeux de désignation de ces or  ganes, qui ont été choisies     respectivement    se  lon les valeurs des chiffres introduits et qui  ont toutes été mues en position active.  



  La machine peut être munie     d'une    louche  marquée par exemple du signe de multipli  cation; si cette touche est abaissée, elle com  muniquera un mouvement oscillant     autour     des goupilles 41 à la plaque 40 sur laquelle  se trouve le chariot 60, et ce mouvement obli  gera les saillies 70a, 71a de celles des cla  vettes qui ont été choisies et mues comme  décrit ci-dessus,

   à agir plusieurs fois et si  multanément sur des     dispositifs-crochetsavec     lesquels ces saillies sont alors en     correspon-          dance.    Ces     dispositifs-crochets    seront alors  libérés et mettront en action des     organos    cor  respondants constituant des     représentatioi,-          mécaniques    des produits partiels.

   Alterna  tivement et comme dans la présente construc  tion de machine, l'oscillation de la. plaque 40  du châssis du chariot peut être effectuée lors  que n'importe quelle touche est abaissée     dan4     le second jeu dont la machine est munie     polar     l'introduction des chiffres dans le     second     facteur.  



  Les représentations mécaniques des pro  duits partiels sont     constituées    par une série  d'organes 80 rotatifs indépendants. consti  tuant des     cames.    Chacune de ces cames  (comme représenté à la fi-. 8) est formée  d'un disque     ayant        certaines        parties    entaillée      de façon à. laisser     deux        parties    81 et 82 prin  cipales espacées     circonférentiellement    l'une  de l'autre, chacune de ces parties ayant ap  proximativement la forme d'un secteur et  étant entaillée comme indiqué en 83 et 84:

    ces deux parties 81 et 82 sont décalées l'une  par rapport à l'autre, de telle sorte que lors  qu'une came est dans sa position initiale et  inactive, comme représenté à la     fig.    1, la par  tie 81 est dirigée pratiquement horizontale  ment et la partie 82 verticalement, la pre  mière partie 81 s'étendant alors à partir d'un  axe 85 autour duquel la came peut tourner  dans une     direction    opposée à celle dans     la.-          quelle    le chariot 60 est placé par rapport     èL     cet axe. Cette partie 81 approximativement  horizontale de la came est prolongée par un       doigt    86 dirigé vers le bas.

   La came no 6,       représentée    par exemple à la     fig.    1, présente  également une saillie 87 qui s'étend vers le       chariot    60: un ressort 88 est fixé à     cette          saillie    et tend à faire tourner la came autour  de son axe dans le sens des aiguilles d'une  montre d'après la     fig.    1, c'est-à-dire en     re-          ;arda.nt        depuis    le côté gauche de la machine.

    La saillie 87 de chaque came est à l'origine  saisie par un bras 89 d'un crochet oscillant  monté librement sur un axe 90 et présentant  une queue 91 placée de telle sorte qu'elle  corresponde avec la. partie 70a ou 71a sail  lante d'une clavette 70 ou 71 amenée du cha  riot de la manière décrite, clans sa position  active par suite de     l'actionnement    d'une tou  che.

   Lorsque la plaque 40 de cadre suppor  tant     le    chariot 60 est     actionnée,    la     clavette    70  ou 71     qui    a été choisie et déplacée frappera  la queue 91 du crochet avec lequel elle est  en correspondance et, en dégageant le crochet  89 de la came,     permettra    à cette dernière de  tourner autour de son axe 85 sous l'action  du ressort 88.

   La came 80 tournera ainsi jus  qu'à ce que son     doigt    86 dirigé vers le bas  frappe une barre 92 commune qui s'étend  horizontalement au-dessous de toutes les ca  mes,     cette        barre    étant     portée    par deux bras  93 de leviers portés par l'arbre 85 sur lequel  toutes les cames sont montées de façon à     pou-          coir    tourner librement,    Il est nécessaire de disposer les crochet  de telle sorte que leurs queues correspondent  avec les rangées supérieures et inférieures de  saillies 70a et     71a.    De ce fait, comme repré  senté aux     fig.    1 et 18,

   quelques-unes des ca  mes ont leurs saillies qui sont     saisies    par les  crochets directement vers le bas, comme en  87a, les:     crochets    correspondants 89a ayant  leurs     queues    91a dirigées vers le haut, de fa  çon à pouvoir correspondre avec les saillies  70a de la     rangée    supérieure.     Les    saillies 71a  (le la rangée inférieure correspondront alors  avec les queues 91 des crochets 89 et pour  ront saisir ces queues. Les cames qui pré  sentent des -saillies 87a dirigées vers le bas,  sont munies d'oreilles 87b auxquels des res  sorts 88a sont fixés.

   Les crochets reçoivent  par paire     l'action    de ressorts 94 formés et  disposés comme représenté à la fi-. 1, de telle  sorte que ces     ressorts    tendent à faire osciller  tous les crochets vers les cames, en permet  tant ainsi leur engagement avec les saillies  87, 87a des cames.  



  Le nombre de cames 80 correspond au  nombre de     qclave'ctes    70, 71 et, comme elles,  sont disposées en groupes de dix, chaque  groupe correspondant à une désignation dif  férente. Les crochets 89, 89a, qui comman  dent respectivement. ces cames et qui les  maintiennent à l'origine dans leurs positions  inactives ou "mortes", ont leurs queues -dis  posées de telle sorte par rapport aux clavet  tes 70, 71, que lorsque le chariot est déplacé  pas      < i.    pas, les clavettes 70, 71 groupées seront  placées en opposition aux     groupes    successifs  (le crochets, de telle sorte que n'importe quelle  clavette 70 ou 71 qui a été amenée dans sa  position active par     l'actionnement    d'une tou  che,

   correspondra avec la queue d'un crochet  et pourra agir sur ce crochet lorsque le cha  riot est     mîl    latéralement par l'oscillation de  la plaque 40 de cadre. Ainsi, lorsque tous  les chiffres du     premier    facteur ont été     intro-          dnits    et qu'un mouvement sélectif a été com  muniqué de ce fait     aux    clavettes 70, 71 dans  les différents groupes de désignation sur le  chariot, l'oscillation du chariot assurera la  libération des crochets dans différents grou-           1.)es    clé désignation et     mettra    ainsi en action  les cames séparées dans les     groupes    corres  pondants, Toutes ces cames,

   qui ont ainsi  :té choisies et mises en action, tourneront au  tour de l'arbre 85, jusqu'à ce que leurs doigt       t16    soient en contact avec la barre 92.  



  Les vues schématiques     .des        fig.    7 et 7a in=       diquent    la manière selon laquelle le déplace  ment du chariot 60 effectue le placement suc  cessif des clavettes 70 et 71 choisies, dans les  divers jeux par rapport aux divers jeux de  cames 80, lorsque des     chiffres    dans le pre  mier facteur sont introduits dans la machine.

    Gomme déjà mentionné, les différents jeux de  clavettes qui fonctionnent pour chaque dési  gnation, peuvent être désignés par A', A\,       _1?,        A4.    Semblablement, les différents jeux       .de        ,cames    80 qui fonctionnent par .rapport aux       différentes,désignailons,    peuvent être     désignés     par     B',        BZ,        B3,        B@.        Dans    la position ini  tiale du chariot 60,

   le premier jeu de clavet  tes A' se trouve d'un côté du premier jeu de  cames     B'.    Lorsqu'une touche a été abaissée  pour     introduire    le premier chiffre du premier  facteur et que     l'extrémité    32 inférieure de la       tige-poussoir        correspondante    a choisi et mû  une clavette 70 ou 71 du jeu A' avec     lequel     l'extrémité de cette     tige-poussoir    est alors en  correspondance et que la touche s'élève en  suite,

   le chariot 60 se déplace comme décrit  de la distance d'un pas en amenant     aïnsi    le  jeu A' en     opposition    et en correspondance  avec les crochets qui commandent le premier  jeu de cames     B'.    Les parties se trouvent alors  dans les positions relatives indiquées schéma  tiquement à. la     fig.    7. Si le premier facteur       rie    contient qu'un chiffre seulement, la pla  que 40 du cadre de chariot est obligée d'os  ciller et la clavette qui a été choisie et mue  dans sa position active dans le jeu A', agit  sur le crochet avec lequel elle se trouve alors  en correspondance et libère de cette manière  la came correspondante du jeu B'.

   Ce jeu de  cames fonctionne par rapport     aux        unités,    tan  dis que les autres jeux de     cames        B2,        B3,        B'     fonctionnent     respectivement    pour les dizaines,  les centaines et les milliers des chiffres des    premiers facteurs des produits avec     lesquel,     la     machine    travaille.  



  En référence à la     fig.    3, la plaque 64 fixée  au     chariot    60 présente trois tasseaux saillant  sur son extrémité gauche, c'est-à-dire l'extré  mité qui, dans cette figure, est     représentée     arrachée pour la clarté du     dessin.    Ces tas  seaux occupent     des    positions analogues aux  saillies 70a, lorsque ces dernières ont été  abaissées dans une position active et les trois  tasseaux sont disposés de telle sorte que lorsque  la plaque 40 oscille,

   les tasseaux viendront     cri     prise avec les queues     91a    des crochets     89a    et  mettront en action les cames zéro     dans        ceux          des    jeux de cames qui se trouvent à la gauche  du chariot 60. Ainsi, si le premier facteur  ne comporte qu'un chiffre seulement, et si le  chariot a occupé la position relative représen  tée à la     fig.    7, la came de chiffre choisie sera  libérée dans le jeu B' et les cames zéro des  jeux     B2,        B3    et     B'    seront libérées par les tas  seaux portés par la plaque 64.

   La came re  quise dans le jeu     B'    des unités ayant ainsi       é   <B><U>1</U></B>     té        choisie        et        mise        en        vigueur,        il        est        alors     possible de placer cette came selon la valeur  d'une touche qui vient d'être abaissée pour  introduire le premier chiffre du second fac  teur. Cette came peut être tâtée et la réponse  ainsi constatée peut être indiquée de la ma  nière décrite ci-après.  



  Si l'on a par exemple trois chiffres dans  le premier facteur, il s'ensuit que lorsque les  touches correspondantes sont successivement  abaissées, les extrémités 32 des     tiges-poussoirs     choisiront et déplaceront dans leurs positions  actives une clavette 70 ou 71 dans chacun des  jeux Al,     Az,    A'. Le     chariot    se déplacera     d'iin     pas en suivant chaque     abaissement    de touche.  de telle sorte que     lorsque    les trois chiffres ont  été     introduits,    le chariot     aura.    pris la position  indiquée à la     fig.        7a    par rapport aux jeux des  cames.

   Par exemple, si le premier facteur est  278, les clavettes 70 et 71 qui fonctionnent  pour     ces    nombres, auront été choisies et pla  cées     effectivement    pour 2 dans les centaine  du jeu A', pour 7 dans les dizaines du jeu       A2,    pour 8 dans les unités du jeu     A3.    La      plaque de cadre et le chariot 60 sons: alors  mis en     oscillation,    en libérant ainsi les cro  chets des cames correspondantes, de telle  sorte que seront libérées et mises en vigueur:

    la came zéro du jeu     B4,    la came du nombre 2  du jeu     B',    la came du nombre 7 du jeu     B'     et la came du nombre 8 -du jeu     Bl.    Lorsque  le premier chiffre du second facteur est in  troduit, toutes les quatre cames qui ont été  mises en vigueur sont mises en rotation d'un  arc déterminé par la valeur, de la touche       abaissée,,et    les cames sont alors tâtées .simul  tanément et la     solution    ainsi constatée est.  transmise dans le mécanisme d'indication de  la réponse.  



  On remarquera que lorsque les cames 80  ainsi choisies sont en contact avec la barre  92, elles sont en action seulement, et pas en  core placées pour être tâtées. Ce mouvement  de placement est effectué en faisant osciller  la barre 92 d'un arc dont la longueur est dé  terminée par la valeur .d'un chiffre du second  facteur, qui est alors introduit dans la ma  chine en abaissant la touche     appropriée.    Un  second jeu de touches 101     (fig.    1) est em  ployé pour     introduire    les chiffres du second  facteur, ce jeu de touches étant distinct du  jeu 21 qui est employé pour introduire les  chiffres du premier facteur.  



  Des moyens sont prévus pour donner à la  barre 92 universelle et par son intermédiaire  à toutes les cames choisies     un    mouvement  selon la valeur de chaque touche 101 qui est  abaissée dans le but -d'introduire un chiffre  du second facteur. Ces moyens comportent  les leviers 93 qui portent les extrémités de la  barre 92 et qui sont reliés à ces extrémités;  ils sont fixés aux extrémités de l'arbre 85 et  sont dirigés vers ces extrémités. Comme     in-          cliqué,    ces leviers 93 font saillie vers le bas,  de telle sorte que la barre 92 se trouve     au-          dessous    de toutes les cames 80. Deux leviers  95, 96, portés par l'arbre 85, font saillie vers  le haut à partir de cet arbre.

   Le levier 96  présente à son extrémité un secteur denté à  rochet. Un     cliquet    98 est pivoté en 97 sur  une partie fixe, près de ce secteur. Ce cli-         quet    98 est     de-tiné    à venir en prise avec les  dents du rochet et à     maintenir    ainsi la barre  92 clans la position dans laquelle elle a été  placée avec l'arbre 85, par suite de l'abais  sement :d'une touche 101. Le cliquet 98 pré  sente une queue 99 qui, lorsqu'elle est action  née par le mécanisme d'échappement décrit.  ci-après, soulèvera le     cliquet    et libérera la  barre 92 qui sera alors ramenée à sa position  initiale par l'action des ressorts 88; 88a de  cames.

   Les     came:    choisies retourneront     éga-          lement.à    leurs positions actives, de telle sorte  qu'elles sont prêtes à être     basculées    et ainsi  placées à nouveau, comme déterminé par la  valeur numérique de la touche 101 suivante  qui est abaissée. L'oscillation de la barre 92  est effectuée par une bielle 100 fiée à une  extrémité au levier 95 et à l'autre extrémité  à un organe auquel un mouvement est com  muniqué, lorsque chaque touche 101 est  abaissée.  



  Chaque touche 101 est montée sur une  tige 102 qui peut coulisser verticalement dans  les plaques 23, la touche étant poussée vers  le haut par un ressort 103. Chaque     tige    102  de touches porte près de son extrémité infé  rieure une goupille 101 saillant latéralement.  Une plaque 105 est montée de telle sorte  qu'elle peut coulisser horizontalement dans  des guides disposés de façon appropriée     au-          dessous    des touches 101 et près d'un côté des       parties    extrêmes inférieures des     tiges    102 de  touches.

   Cette plaque 105 est dirigée vers le  haut et     est    entaillée, à partir de son bord       supérieur,    d'une série de rainures 106 droites  dirigées vers le bas. Le bord supérieur<B>107</B>  de la     plaque    est parallèle au ou aux guides  sur lesquels la plaque peut se déplacer et  chacune .des rainures 106 se termine près     dil     bord inférieur 108 de la plaque sur une ligne  qui est parallèle au bord 107 de la plaque.  Chacune des rainures 106 est dirigée     oblique-          ment    par rapport au bord 107 supérieur de  la plaque, la rainure formant un angle aigu  avec le plan vertical dans lequel se trouve et  se déplace une tige 102 de touche.

   Les angles  aigus ainsi formés par les rainures 106 sont  tous différents et     augmentent    d'une manière      définie. Chaque rainure     -est    destinée à.     -coopé-          rer    avec une goupille 104 de tige de touche,  lorsqu'une touche 101 est abaissée, chaque  goupille 104 venant en prise également avec  des rainures 109 verticales qui les guident et  qui sont ménagées dans deux plaques 110       fixes    se trouvant de chaque côté de la plaque  105 coulissante et qui facilitent le guidage  de cette plaque<B>105</B>     (fig.    23).

   Ainsi, lors  qu'une touche 101 est abaissée, sa goupille  104 oblige la plaque 105 à coulisser sur une  distance horizontale déterminée par l'angle de  la rainure 106 venant en prise avec elle, et  cette .distance horizontale représente un rap  port défini par la valeur numérique de la  touche. L'extrémité de la bielle 100 est fixée  à la plaque 105, de telle sorte que la barre  92 oscillera lorsque la plaque 105 est obligée  de glisser par suite de l'abaissement d'une  touche 101.

   Le mouvement angulaire com  muniqué de cette manière à la barre 92 et  par elle aux cames 80 qui ont été choisies et  qui sont en contact avec elle, variera par des       augmentations    angulaires, régulières et défi  nies, déterminées     respectivement    par     l'inch-          naison    des rainures 106 de la plaque 105, qui  correspondent à leur tour aux valeurs numéri  ques -les différentes touches 101. Grâce à ce  mécanisme, lorsqu'une touche 101 est abais  sée, toutes les cames choisies oscilleront simul  tanément à partir d'un plan     transversal    fixe.

    qui peut être considéré comme s'étendant     ra-          dialement    à partir .de l'axe de l'arbre 85,  travers la barre 92 universelle, lorsque cette  dernière est dans sa position initiale, l'oscil  lation des cames choisies ayant lieu selon un  arc dont la longueur est déterminée par la  valeur .de la touche abaissée, c'est-à-dire la  valeur -lu chiffre du second facteur qui est  ainsi introduite dans la machine. Les came  sélectionnées qui ont ainsi été     placées    sont  alors maintenues par le cliquet 98 et par le  levier 96 du secteur à rochet, et ces came:  sont prêtes à être tâtées pour en constater les  valeurs des produits     partiels    représentés     par     les parties placées des cames choisies.

    



  Comme indiqué ci-dessus, chaque came 80  comprend deux parties entaillées 81 et 82.  
EMI0009.0016     
  
    La <SEP> première <SEP> de <SEP> ces <SEP> partie.: <SEP> 81 <SEP> est <SEP> placée <SEP> à
<tb>  l'origine <SEP> de <SEP> façon <SEP> à <SEP> être <SEP> dirigée <SEP> pratiquement
<tb>  horizontalement <SEP> et <SEP> l'encoche <SEP> 83 <SEP> de <SEP> cette <SEP> par  tie <SEP> est <SEP> telle <SEP> qu'elle <SEP> représente <SEP> les <SEP> unités <SEP> <B>(111</B>
<tb>  produit <SEP> partiel.

   <SEP> La <SEP> deuxième <SEP> partie <SEP> 82, <SEP> qui
<tb>  dans <SEP> la <SEP> position <SEP> initiale <SEP> de <SEP> la <SEP> came <SEP> est <SEP> cliri@éc
<tb>  vers <SEP> le <SEP> haut, <SEP> est <SEP> entaillée <SEP> comme <SEP> indiqué <SEP> en
<tb>  84 <SEP> selon <SEP> les <SEP> dizaines <SEP> du <SEP> produit <SEP> partiel.
<tb>  Ainsi, <SEP> lorsque <SEP> des <SEP> cames <SEP> choisies <SEP> ont <SEP> été <SEP> fi  nalement <SEP> placées <SEP> par <SEP> oscillation. <SEP> comme <SEP> dé  crit <SEP> ci-dessus, <SEP> selon <SEP> la <SEP> valeur <SEP> iiuiuérique <SEP> d'iiii
<tb>  chiffre <SEP> du <SEP> premier <SEP> facteur.

   <SEP> les <SEP> produits <SEP> par  tiels <SEP> représentés <SEP> par <SEP> ces <SEP> carnes <SEP> mises <SEP> en <SEP> place
<tb>  peuvent <SEP> être <SEP> constatés, <SEP> en <SEP> ce <SEP> qui <SEP> concerne <SEP> les
<tb>  unités, <SEP> en <SEP> tâtant <SEP> la <SEP> rainure <SEP> 83 <SEP> inférieure <SEP> dc
<tb>  la <SEP> came <SEP> et <SEP> en <SEP> ce <SEP> qui <SEP> concerne <SEP> les <SEP> dizaines <SEP> en
<tb>  tâtant <SEP> la <SEP> rainure <SEP> supérieure <SEP> 81. <SEP> Les <SEP> position
<tb>  angulaires <SEP> relatives <SEP> des <SEP> deux <SEP> parties <SEP> 81 <SEP> et <SEP> 82
<tb>  sont <SEP> telles <SEP> que <SEP> des <SEP> graduations <SEP> ou <SEP> des <SEP> entail  les <SEP> se <SEP> correspondant <SEP> dans <SEP> ces <SEP> deux <SEP> partie
<tb>  sont <SEP> approximativement <SEP> distantes <SEP> de <SEP> 90 <SEP>  .

   <SEP> Le,
<tb>  entailles <SEP> indiquées <SEP> ci-dessus <SEP> comme <SEP> se <SEP> cor  respondant <SEP> sont <SEP> celles <SEP> qui. <SEP> dans <SEP> les <SEP> deux <SEP> par  ties <SEP> de <SEP> la <SEP> came, <SEP> représèntent <SEP> respc <SEP> etiveinen <SEP> t
<tb>  des <SEP> dizaines <SEP> et <SEP> des <SEP> unités <SEP> et <SEP> constituent <SEP> ainsi
<tb>  des <SEP> paires, <SEP> les <SEP> entailles <SEP> dans <SEP> n'importe <SEP> quelle
<tb>  paire <SEP> représentant <SEP> ensemble <SEP> un <SEP> produit <SEP> par  tiel.
<tb>  On <SEP> a <SEP> représenté <SEP> à <SEP> la <SEP> fig. <SEP> 8 <SEP> un <SEP> jeu <SEP> com  plet <SEP> de <SEP> ces <SEP> cames.

   <SEP> Le <SEP> chiffre <SEP> uiarquc, <SEP> daim
<tb>  cette <SEP> figure <SEP> sur <SEP> chaque <SEP> came <SEP> indique <SEP> sa <SEP> va  leur <SEP> numérique <SEP> comme <SEP> constituant <SEP> une <SEP> re@iri  sentation <SEP> d'une <SEP> partie <SEP> de <SEP> la. <SEP> table <SEP> de <SEP> niulii  plication. <SEP> Ainsi, <SEP> la <SEP> came <SEP> marquée <SEP> C <SEP> reliri@  sente <SEP> par <SEP> les <SEP> encoches <SEP> 83, <SEP> 81 <SEP> qui <SEP> y <SEP> sont <SEP> mii  nagées, <SEP> tous <SEP> les <SEP> produits <SEP> de <SEP> (i <SEP> mirltililiés <SEP> par
<tb>  les <SEP> divers <SEP> nombres <SEP> de <SEP> 1. <SEP> à <SEP> 9. <SEP> Les <SEP> encoches <SEP> 8
<tb>  représentent <SEP> les <SEP> unités <SEP> clans <SEP> ces <SEP> produits <SEP> ci
<tb>  les <SEP> encoches <SEP> 84 <SEP> représentent <SEP> les <SEP> dizaine,.

   <SEP> Les
<tb>  valeurs <SEP> numériques <SEP> des <SEP> profondeurs <SEP> des <SEP> en  coches <SEP> sont <SEP> indiquées <SEP> par <SEP> les <SEP> nombre, <SEP> in;ii-  qués <SEP> sur <SEP> les <SEP> ares <SEP> concentriques. <SEP> icindi- <SEP> qui,
<tb>  les <SEP> valeurs <SEP> numériques <SEP> des <SEP> différentes <SEP> po'i  tions <SEP> dans <SEP> lesquelles <SEP> les <SEP> cames <SEP> peuvent <SEP> oscil  ler,selon <SEP> la <SEP> valeur <SEP> d'un <SEP> chiffre <SEP> du <SEP> second
<tb>  facteur, <SEP> sont <SEP> indiquées <SEP> par <SEP> les <SEP> nombres
<tb>  cés <SEP> circonférentiellement <SEP> sur <SEP> les <SEP> lignes <SEP> rayon  nantes <SEP> incurvées. <SEP> Ainsi.

   <SEP> si <SEP> cette <SEP> came <SEP> est <SEP> bas-         culée et placée     angulairement    pour le chiffre  8, ce dernier nombre étant un chiffre du  deuxième facteur du produit effectué et si  les deux parties 81 et 82 de la came sont en  suite tâtées de la manière décrite ici, les mou  vements de     tâtement    ayant lieu dans une di  rection radiale par rapport à l'axe de la came,  la profondeur de l'encoche qui est tâtée     clans     la partie 82 (les dizaines, sera de quatre     au--          inentations    radiales, tandis que la profondeur  clé l'encoche correspondante dans la partie 81  des unités, sera de huit augmentations ra  diales, ceci donnant une indication du pro  duit 48.  



  Le     tâtement    des cames 80 est effectué an  moyen .d'organes tâteurs     .â,    deux bras, qui sont  construits de façon à osciller et qui sont dis  posés pour     fonctionner    comme décrit ci-après.  



  Ces organes sont montés sur un arbre  commun 120 et mobiles séparément sur     cet,     arbre (-fi-. 1). Chaque tâteur comporte un bras  121 dirigé vers le bas et présentant à son  extrémité un doigt     12e2    tâteur incurvé en  forme     @de    lame, et un bras<B>123</B> dirigé vers le  haut, lequel est muni à son extrémité d'un  doigt tâteur 124 semblable. Le bras 123 pré  sente une branche 125 dirigée vers le haut,  à l'extrémité de laquelle est un secteur denté  126.

   La     construction    et la disposition de ces  organes tâteurs 121 et 123 par rapport     aux     cames 80 sont telles que lorsqu'un tâteur os  cille dans une direction à     partir    d'une posi  tion moyenne ou neutre, l'entaille de l'un des  secteurs de l'une des cames 80 sera tâtée par  son bras 123, et lorsque le tâteur est déplacé  clans l'autre direction en passant par sa posi  tion neutre, son bras 121. tâtera l'entaille du  secteur opposé d'une came -du jeu voisin de  cames.  



  La disposition des organes     tâteurs    par  rapport aux jeux de cames est représentée à  la,     fig.    6, ainsi qu'au diagramme de la     fig.    7.  



  Le mécanisme     d'actionnement    des tâteurs  est disposé de telle sorte que les tâteurs sont  basculés en premier lieu dans une direction  inverse des aiguilles d'une montre selon la  fi;. 1. puis clans la direction des aiguilles    d'une montre autour de leur arbre     commun     120. Ainsi, au     moyen    de son bras 123, cha  que tâteur tâte en premier lieu la     partie    des  dizaines d'une     carne,    puis lorsque le tâteur se  déplace     dans    la direction des aiguilles     d'une     montre, le bras tâteur 121 tâte la partie des  unités d'une came.

   On remarquera cependant,  comme représenté aux     fig.    6 et 7, que pen  dant que le bras     inférieur    121 de chaque or  gane     tâteur        fonctionne    par rapport au sec  teur des unités clés cames choisies et mises en  place dans un jeu clé dénomination, comme  par exemple le jeu     B'    de la     fig.    7, le     bras     123 dirigé     vers    le haut du même organe     tâ-          teur    fonctionne par rapport aux parties des  dizaines des cames du jeu de cames     Bl    adja  cent, inférieur.

   Trois de ces tâteurs présen  tent chacun deux bras 121 et 123,     tandis     qu'un autre tâteur présente seulement un     bras     121 et une lame     1\?2    pour tâter les unités du  jeu     B'        inférieur,    et qu'un autre tâteur ne pré  sente qu'un bras 123 pour tâter les dizaines  clans<B>la</B> ,jeu     B',    le plus haut des cames.  



  Si, par exemple, le produit à exécuter est  la multiplication de 396 par     4-,    l'introduction  des chiffres 3, 9, 6, par     l'actionnement    des  touches, clans le premier ,jeu, s'effectuera clé  la manière décrite ci-dessus par le choix et la  mise en action de trois cames     respectivement     dans les trois ,jeux adjacents     B,,        B=,        Bi    et de  la came zéro dans le jeu     B'.    La came du pre  mier jeu     B'    sera la came no 3 représentée à  la     fig.    8, qui est entaillée pour représenter  tous les produits de 3 multipliés par les nom  bres de 1 à 9 inclusivement.

   La. came du jeu       B2    sera la came no 9 qui est entaillée pour  représenter tous les produits de 9 multiplié  par les nombres 1 à 9. La came du jeu     Bl     sera la came no 6 qui est     entaillée    pour re  présenter tous les produits de 6 multipliés  par les nombres 1 à 9.

   La mise en place si  multanée de toutes ces trois cames par rap  port au chiffre 4 est effectuée lorsque ce  chiffre est     introduit    par     l'actionnement    d'une  touche 101, de telle sorte qu'en tâtant la came  choisie dans le jeu     Bi,    on constatera le pre  mier produit     partiel    de 6 multiplié par     .1=24,

       le     tâteinent    clé la     seconde    came du jeu     B2    don-           liera    le     deuxième    produit partial 9 multiplié  par 4 = 36 et le     tâtement    de la troisième  came du jeu     B3    donnera le produit partiel de  3 multiplié par 4 = 12.

   Ces produits     partiels     peuvent être     indiqués    de la manière suivante:  
EMI0011.0007     
  
    2 <SEP> 4
<tb>  3 <SEP> 6
<tb>  <U>12</U>
<tb>  1584       Comme le premier des tâteurs de désigna  tion tend à osciller dans une     direction    inverse  de celle des aiguilles d'une montre, il ne bou  gera pas, vu qu'il n'y a pas de came de dé  sIgnation inférieure dont la partie des dizai  nes puisse être tâtée. Lorsque ce premier     tâ-          teur    oscille dans le sens des aiguilles d'une  montre, il tâtera les unités, c'est-à-dire le  chiffre 4 dans l'une -des parties de la came  no 6 du jeu     Bl.     



  Comme le deuxième tâteur de désignation  oscille en sens inverse des aiguilles d'une  montre, il tâtera la partie des dizaines de la  came no 6 du jeu     B1    et constatera la valeur  des dizaines, c'est-à-dire le chiffre 2 dans le  premier produit partiel, et lorsque ce tâteur  oseille .dans le sens des aiguilles d'une mon  tre, il tâtera la. partie des unités de la came       no    9 du jeu B\ et constatera les unités,     c'est-          à-dire    le chiffre 6 dans le second produit par  tiel. De même, le troisième tâteur tâtera les  dizaines du second produit     partiel    dans la  came no 9 du jeu     B2,    c'est-à-dire le chiffre 3.

    puis les unités dans la came no 3 du jeu     B3.          c'est-à-dire    le chiffre 2 du troisième produit  partiel. Le quatrième tâteur ne tâtera que  les unités     seulement,    notamment le chiffre 1  du troisième produit partiel -de la came no 3  du jeu     B3    et sera empêché de tâter clans la       direction    .des aiguilles d'une montre, par la  came zéro du jeu     B4.    Le cinquième tâteur  sera     empêché    de tâter les dizaines par la  came zéro du jeu     B4    et il sera empêché de  tâter clans le sens des aiguilles d'une mon  tre.

   par une butée permanente, parce     qu'il          n'est-    jamais nécessaire de tâter des unités.    La profondeur mesurée dans la direction  radiale de chaque entaille de came a une va  leur linéaire correspondant à la valeur     num@-          rique    qu'elle représente, cette profondeur  étant basée sur n'importe quelle unité con  venable de     distance    radiale. Ces unités sont,  indiquées par les ares concentriques dans la  vue .de la came ne 6     à.    la     fig.    8.

   Par consé  quent, dans les cas indiqués ci-dessus, lors  que le deuxième tâteur se déplace dans la       direction    inverse des aiguilles d'une montre,  il aura oscillé de sa position neutre ou  moyenne à travers un arc mesurant deux uni  tés de distance. Cependant, lorsque ce même       tâteur    oscille dans le sens des aiguilles d'une  montre, il se déplacera au delà de sa position       neutre    d'un arc dont la longueur est égale     ;i     2     -j-    6 unités de longueur.

   Ainsi, l'oscillation  totale du tâteur dans la direction des aiguil  les d'une montre représentera. la somme     des     dizaines, c'est-à-dire 2 dans le premier pro  duit partiel, et les unités. c'est-à-dire 6 dans  le second produit partiel, de telle sorte     que     le tâteur se sera déplacé sur une distance  représentant 8. Semblablement, le troisième  tâteur indiqué ci-dessus, lorsqu'il oscille dan  la     direction    des aiguilles d'une montre, se  déplacera sur une distance totale égale à la  somme 3     -f-    2 = 5.  



  De cette manière, tous les tâteurs qui os  cillent simultanément, en premier lieu dans le  sens inverse des aiguilles d'une montre, puis  dans le sens des     aiguilles    d'une montre, grâce  à un mécanisme décrit ci-après, se déplaceront       respectivement    dans le sens des aiguille  d'une montre sur des longueurs d'arc corres  pondant aux différentes valeurs des chiffre  des unités, des dizaines, des centaines et des  milliers de la réponse finale de la somme.  



  L'oscillation des organes tâteurs 121,     12:;     qui a lieu dans une direction, puis dans la       direction    inverse, est effectuée par de  moyens assurant le synchronisme correct     de@     mouvements de     tâtement    par rapport au pla  cement des cames. La source d'énergie pour  les mouvements des tâteurs est un arbre<B>130</B>  horizontal, sur lequel agit un ressort qui tend      à le faire tourner, ce ressort étant remonté  lorsque le mécanisme est ramené à la position  de, départ.

   La rotation de cet arbre 130     eFi     commandée par un échappement à crochet  représenté aux     fig.    10 et 11, qui est actionné  de manière à libérer l'arbre lorsque     l'oa     abaisse une touche 101. La disposition est  telle que c'est la dernière     partie        chi    mouve  ment descendant de la touche qui effectue la       libération    de l'arbre 130, la     première    partie  du mouvement descendant de la touche ayant  effectué le placement par rotation des cames  80, selon la valeur     numérique    de la touche  de     1a    manière décrite ci-dessus.

   Ainsi, le mé  canisme assure que les cames choisies soient  en premier lieu placées et qu'un mouvement  soit ensuite communiqué aux organes tâteurs.  Un lien élastique est intercalé entre l'arbre  130 et chacun des organes tâteurs, de telle  sorte que, sur la distance minimum nécessaire  pour tâter l'entaille ou la graduation radial  la plus profonde dans n'importe quelle came,  le mouvement du     tâteur    dans chaque     direction     peut être arrêté sans effort nuisible du mé  canisme sur les différentes     parties    de la. came  qui sont de profondeur moindre que la pro  fondeur maximum.

   Il est également     néëes-          saire    de s'assurer que chaque organe     tâteur     est toujours ramené à sa position centrale on  neutre après qu'il a été basculé. Comme in  diqué ci-dessus, certaines     parties    des came  sont telles que les tâteurs agissant sur elle  seront empêchés d'effectuer n'importe quel  mouvement     d'oscillation    soit dans une direc  tion, soit dans l'autre.  



  Une plaque 17.1     (fig.    1) disposée horizon  talement au-dessous des     tiges    102 des tou  ches 101     est    portée par des leviers coudés 112  pivotés en 113 et reliés par une bielle     1T    4.  de     façon.    à     constituer    un     dispositif    à mouve  ments parallèles, grâce auquel la plaque<B>11]</B>  peut se déplacer vers le bas en restant hori  zontale.

   Les     extrémités    inférieures de toutes  les     tiges    102 de touches se trouvent au-dessus  de cette plaque     111.à    une distance telle que,  lorsque n'importe quelle touche est complète  ment abaissée, dans la dernière     partie    du       mouvement    descendant de sa     fige,    elle entre    en contact avec la plaque et abaisse cette  dernière. Ce mouvement descendant de la  plaque aura -lieu juste lorsque la goupille<B>101</B>  portée par la tige de touche atteint l'extré  mité inférieure de la rainure inclinée     10C)     ménagée dans la plaque 105 qui effectue le  placement rotatif des cames choisies, de la  manière décrite ci-dessus.

   Le mouvement des  cendant de la plaque 111 effectue la libéra  tion .d'un crochet faisant     partie    d'un échappe  ment qui commande la. rotation de     l'arbr:-          l.30,        une    bielle 115     (fig.    10) s'étendant dans  ce but entre l'un des leviers 112 et l'organe à  crochet.  



  Ce mécanisme d'échappement coopère avec  le     cliquet    98 destiné à venir en prise avec les       dents,du    secteur 96 monté sur l'arbre 85 oscil  lant qui porte la barre 92. La disposition est  telle que,     lorsqu'une        touche    101 est     abaissée    et.  que     cette        baire    92 est, basculée pour     placer    par       rotation    les cames 80, de la manière décrite,  le cliquet 98 maintiendra la barre dans la po  sition dans laquelle elle a été basculée, ainsi  que les cames après que la touche a été     libér(     et bien que les cames soient tâtées.

   Le     cliquet     98 est     automatiquement    frappé par l'échap  pement, lorsque le     tâtement    des cames est ter  miné, et l'arbre entraîné par un     ressort        fer-          mine    sa     rotation    qui donne un     mouvemeni     oscillant aux tâteurs.  



  L'arbre 130 et son ressort sont arrangés de  manière que le ressort tende à faire     tourner     l'arbre dans le sens des aiguilles d'une mon  tre selon la     fig.    1. Un disque à manivelle 137  présentant une goupille 132, une came     133          destinée    à soulever un levier lorsque     l'arbre     tourne, et un cylindre 134 sont fixés sur cet  arbre 130     (fig.    1, 6, 10 et 11). Une rainure  135 sensiblement     hélicoidale    est ménagée  dans la périphérie du cylindre 134.

   Cette  rainure a pour     fonction    de donner un mou  vement à certaines     parties    du mécanisme     dan#     une     direction    parallèle à l'axe de l'arbre. Les  mécanismes associés avec la came 133 et avec  le cylindre 134 de came seront décrits     ci-          après.     



  Le disque 131 est disposé à une     extrémitA     de l'arbre 130     (fig.    6) et la goupille 132 fait.      saillie de sa face externe,     tandis    qu'une autre  goupille plus courte 136 fait saillie     cle    sa face  interne, cette goupille étant placée à une dis  tance angulaire     déterminée    d'une encoche<B>137</B>  ménagée clans la     périphérie    du disque; la pé  riphérie de ce disque fonctionne comme une  came, et agit sur un     cliquet    138 qui est relié  par la bielle 115 à la plaque horizontale 111,  laquelle peut être abaissée par les touches  101.

   Le mouvement descendant de     cette    pla  que<B>111,</B> lorsqu'une touche 101 est     abaissée,    a       pour    effet de sortir le cliquet 138 de l'en  coche<B>137,</B> de telle sorte que le disque<B>13L</B>  peut être mis en     rotation    par le ressort agis  sant sur l'arbre 130 jusqu'à     terminaison    de  sa rotation, le cliquet pénétrant alors de nou  veau dans l'encoche.

   La goupille 136 de la  face interne du disque 131 coopère avec un  organe<B>139</B> de détente de l'échappement, de  façon à. assurer la     remise    en prise du     cliquet     avec l'encoche     137.    Le cliquet 138 et  l'organe 139 de détente font saillie d'un  moyeu 140 porté par un axe 141. Un     levier     112, formé sur ce moyeu, est dirigé vers le  bas et constitue une queue présentant une  goupille latérale     1-L3    destinée à frapper la  queue 99 du cliquet 98. De cette manière, ce       cliquet    peut être dégagé du secteur denté 96,  de façon à libérer la barre 92.

   Ainsi,     à,    la fin  de la rotation de l'arbre 130, lorsque les  mouvements d'oscillation des tâteurs sont       terminés,    les cames choisies seront toutes libé  rées et pourront revenir en arrière dans les  positions occupées par elles, lorsqu'elles sont  choisies et mises en action la     première        foiz#-          La    goupille 132     chi    disque 131     (fig.    1) est  reliée par une bielle 114 à un bras d'un levier       1#15    porté par un arbre 146 horizontal oscil  lant,

   auquel une     plaque    147 dirigée vers le  bas est fixée     radialement.    Plusieurs leviers  118 sont montés librement sur cet arbre os  cillant. Ces leviers sont dirigés dans leurs       positions        -initiales    en opposition à la plaque  147 et pratiquement en ligne avec cette pla  que, laquelle est fixée sur l'arbre, c'est-à-dire  que, la plaque étant dirigée vers le bas, ces  leviers sont dirigés vers le haut.

   Chacun de  ces leviers     14#,    est fixé par une bielle 149 à         une        goupille        1-?    i sur le     côte        dit    bras     12:@     d'un     or(yane    tâteur.

   La plaque     117        portée    par  l'arbre oscillant.     présente        filée        ïc    elle,     ver,     son bord externe et     sur        ses        côtés        opposés.     une paire de     ressorts    à lames incurvées     150     qui s'étend     au    delà. de l'arbre     1-16.    Ainsi.

         déux        ressorts    150 clans     ehaclue    paire s'éten  dent à partir de     côtés    opposés du bord externe  de la plaque 147 et reposent contre les     face:

       opposées d'un même levier tâteur 148.<B>Ce</B>       dispositif        constitue    une     liaison        souple    entre  l'arbre 146 el les     différents    leviers tâteur       148,    telle que lorsque     l'arbre    oscille clans     mie     direction ou dans l'autre, il tendra à entraî  ner avec lui tous les     leviers    tâteurs, mais si  une résistance s'oppose au     mouvement        de     n'importe quel levier tâteur,

   par     exemple    lors  qu'un     tâteur    est en     contact        avec    une encoche  d'une came. l'oscillation de l'arbre peut se  poursuivre complètement.     sans    efforts nuisi  bles sur les autres parties du     mécanisme.    Les  paires de ressorts 150 sont     disposées    de telle  sorte que, lorsque l'arbre     1-16    est dans sa po  sition initiale.

   les     leviers        tâteurs        1-18    sont  maintenus de telle sorte par les     ressorts,    que  les tâteurs<B>121, 123</B> seront clans leurs posi  tions neutres, les doigts     122,    121 de     chaque     organe tâteur étant à faible distance de la  périphérie des secteurs 81, 8 2 des cames.  



  Lorsque l'arbre<B>130</B> actionné par un res  sort effectue une rotation     complète,        l'arbre     oscillant 146 sera     baqculé    en premier lien  dans une direction. puis dans l'autre, com  muniquant ainsi par l'intermédiaire des liai  sons souples, le mouvement oscillant néces  saire, en premier lieu dans le sens inverse     dezz     aiguilles d'une montre selon la     fig    1, et en  second lieu, dans le sens des     aigazilles    d'une  montre, à tous les     tâteurs,    les     mouvement=     actifs d'oscillation de ces     tâteurs,        ii.    partir     d;

  @     leurs positions médianes ou neutres et la va  leur de ces     mouvements    étant déterminé  comme décrit ci-dessus par les parties     ucc     place des cames choisies qui sont ainsi tâtée  par les organes tâteurs.  



  Les mouvements oscillants des     organe.     tâteurs, clans le sens des aiguilles d'une mon .       tre,    qui auront lieu, comme décrit     ci-dessus.         sur des     distance:;    déterminées par la valeur  des produits partiels constatés en tâtant les  deux parties des cames choisies et mises en  place, sont transportés dans le mécanisme  totalisateur de la manière suivante:  Comme mentionné, chaque organe tâteur  est pourvu d'une branche 125 qui est con  venablement dirigée vers le haut et qui porte  un secteur denté 126.

   Plusieurs roues den  tées 151, totalisatrices ou donnant la réponse,  sont montées de telle sorte sur un arbre 1.5?  qu'elles peuvent être soit abaissées pour ame  ner une roue totalisatrice en prise avec un  secteur 126 tâteur ou élevées lorsque ces roue  totalisatrices seront dégagées et éloignées des  secteurs tâteurs. Le mécanisme de commande  de ces roues totalisatrices est disposé et fonc  tionne de façon à les maintenir clans leur  position élevée, lorsque les organes     tâteur,     oscillent en sens inverse des aiguilles d'une  montre; mais les roues totalisatrices sont  abaissées de façon à. venir en prise avec les  secteurs et     :sont    maintenues en prise avec  ceux-ci lorsque les     tâteurs    sont déplacés dans  le sens des aiguilles d'une montre.

   Ainsi,  lorsqu'un tâteur se déplace dans le sens des  aiguilles d'une montre, il fera. tourner une  roue totalisatrice d'un arc correspondant à la.  valeur numérique représentée par le chemin  le long duquel le tâteur effectue son oscilla  tion dans le sens des aiguilles d'une montre.  



  Le mécanisme suivant est employé     pou-          effectuer    le soulèvement et l'abaissement     des     roues totalisatrices 151, ainsi que pour dépla  cer ces roues à. travers les divers secteurs  tâteurs 126, de telle sorte que les roues to  talisatrices peuvent être obligées de venir en       prise    successivement avec les secteurs des dif  férents     tâteurs    de désignations différentes.  Ceci est     nécessaire    lorsque les touches 101  sont     abaisséev#    successivement pour l'introduc  tion des chiffres du second facteur.

   Dans le  produit indiqué ci-dessus comme exemple, un       .-cul    chiffre 4 est donné comme appartenant  au second facteur, et la solution, c'est-à-dire  le produit total 1584, est indiqué par les  roues 151 totalisatrices ou de réponses. lors-    que les tâteurs ont     terminé    leurs oscillation  dans le :sens des     aiguilles    d'une montre. Les  roues de réponses sont alors soulevées hors  de prise d'avec les secteurs tâteurs 126, tan  dis que ces derniers reviennent à leurs po  sitions neutres initiales.  



  Si maintenant il se trouve un deuxième  chiffre, par exemple 6, dans le second fac  teur, ce chiffre est introduit comme précé  demment, en abaissant la, touche 101 corres  pondante lorsque les cames choisies seront  placées, puis tâtées, en constatant ainsi la  solution du     produit    396     X    6.

   Les distances       parcourues    par les différents tâteurs repré  senteront     alors    les produits partiels qui peu  vent être     écrits    comme précédemment de la  manière suivante:  
EMI0014.0020     
  
    3 <SEP> (6
<tb>  54
<tb>  18
<tb>  \? <SEP> 3 <SEP> 7 <SEP> 6       Ce total doit     maintenant    être introduit dans  les roues 151 de réponses et     additionné        ai,     produit déjà<B>,</B> porté par ces roues:

    
EMI0014.0024     
  
    1 <SEP> .Î <SEP> <B>8</B> <SEP> 4
<tb>  2 <SEP> <U>3</U> <SEP> 7 <SEP> 6
<tb>  1 <SEP> 8 <SEP> ? <SEP> 1. <SEP> 6       Cependant, les roues de     réponses    ont été dé  placées à. travers les secteurs tâteurs 126, de  telle sorte qu'une roue 151 qui, dans l'opé  ration précédente, n'était pas en prise avec  un secteur     tâteur,    soit maintenant mise en       prise    avec le premier secteur, et     cette        roaic@     sera alors mise en rotation pour indiquer 6.  le chiffre d'unités du second produit.

   La roue  (le réponses suivante qui porte le chiffre d'uni  tés 4 .du premier produit est alors mise en prise  avec le deuxième secteur tâteur, de telle sorte  que 7 (chiffre des dizaines du second pro  duit) est introduit dans cette roue de répon  ses. Le report (la retenue) résultant de cette  addition est reporté     â    la roue de réponse      suivante de     désignations    supérieures, qui doit  être     mise    en rotation lorsque le 3 du second  produit lui est transmis. De la même ma  nière, le report de     cette    roue est transmis à  la roue de réponses de la désignation supé  rieure suivant immédiatement et cette der  nière roue est également mise en rotation  lorsque le 2 provenant du second produit est  reporté sur elle.

   De cette manière, cinq roues  151 indiqueront la réponse du produit 396  par 46, soit 18216.  



  S'il v avait un troisième chiffre dans le       .second    facteur, celui-ci serait introduit et les  produits     partiels    traités de la même manière,  le troisième produit ainsi obtenu étant addi  tionné clans le total indiqué ci-dessus qui est  déjà porté dans les roues de réponses. Ces  dernières ont été transportées comme précé  demment, à travers les secteurs tâteurs, de  façon à s'assurer que le troisième produit soit  transmis correctement au mécanisme d'indi  cation de la réponse.  



  Un arbre 170     (fig.    1, 9 et 14) monté     dans     des paliers appropriés est disposé horizon  talement près de l'arbre 130 actionné par un  ressort, et présente fixés à lui près de ses  extrémités deux leviers 1.71 dont les extré  mités sont reliées par une tige 172 parallèle  à l'arbre. Cet arbre .170. avec les leviers 171  et la tige 172 les reliant, constitue un cadre  qui peut être basculé autour de l'axe de l'ar  bre au moyen d'un bras 173 qui fait saillie  vers le bas à partir .de l'arbre, son extrémité  appuyant contre la périphérie de la came     13:(     décrite ci-dessus et montée sur l'arbre<B>130</B>  actionné par un ressort.

   Ce cadre     présente    un  autre bras 174 dirigé vers le bas     (fig.    14)  dont .le but sera expliqué ci-après; il porte  un autre cadre     (fig.    9) qui comporte des flas  ques 175 et des traverses<B>176,</B> 177, et peut  coulisser le long de l'arbre 170 et le long de  la tige 172 qui passe à travers les organe  175 latéraux. Ce cadre coulissant fait saillie  au delà du cadre basculant 1.71, 172,     comnic     représenté aux     fig.    1 et 9 et sa partie en sail  lie supporte l'arbre<B>152</B> avec les roues 151  totalisatrices ou de réponses, qui se trouvent  ainsi au-dessus des secteurs tâteurs 126.

      Deux -bossages 178 montés     librement    sur  l'arbre 170 du cadre oscillant sont reliés par  une partie 179 longitudinale, l'un d'eux pré  sentant un bras<B>180</B> qui fait saillie vers l'ar  rière de l'arbre 170     (fig.    6 et 9), c'est-à-dire  en s'éloignant du cadre oscillant 171, 172 e1:  du cadre coulissant 175.

   Ces bossages se  trouvent entre et contre les flasques 175     clic     cadre des roues     tota.lisatrices,    et viennent  ainsi en prise avec ce cadre, de telle manière  qu'un mouvement communiqué au bras 180  clans la direction de l'axe de     l'arbre    17 0,  obligera le bras à porter avec lui le     cadre     coulissant des roues     totalisatriees    et à faire  coulisser ce cadre le long du cadre oscillant  171, 1.72.

   Ce bras 180 présente, près de son  extrémité et sur son côté inférieur, quatre  saillies 181 en forme de     (lents    semblables et  dirigées vers le bas     (fig.    6) qui sont. égale  ment espacées les unes des autres selon une  direction horizontale parallèle à l'axe de l'ar  bre 170. Ces dents 181 sont disposées de telle  sorte qu'elles peuvent venir successivement en  prise avec la rainure 135 périphérique de la  came 134 portée par l'arbre<B>130</B> lorsque cet  arbre tourne. La. came communiquera ainsi  au bras 180 un mouvement dans la direction  de l'axe de l'arbre<B>170</B> et ainsi par l'intermé  diaire de ce bras, le cadre<B>175</B> des roues to  talisatrices sera obligé de coulisser le long du  cadre oscillant 171. 172.

   La liaison entre le  bras 1,80 -et le cadre 175 est en fait une liai  son articulée de telle sorte que le cadre peut  être élevé et abaissé en faisant osciller le ca  dre 171, 172. sans intéresser l'engagement de,  dents 181 avec la rainure 135. Celle-ci s'é  tend autour du cylindre 134 sur plus d'un  tour, ses deux extrémités étant inclinées la  téralement en     directions    opposées, et     s'on-          vrant    aux extrémités du cylindre.

   La     forme     et la disposition de cette rainure de came,  ainsi que des dents 181 qui viennent succes  sivement en prise avec elle sont telles     qu(@     lorsque l'arbre 130 sur lequel le cylindre 131  est monté effectue un tour complet, une des  dents 181 soit en prise avec une extrémité<B>de</B>  la     rainure    135 de came, un mouvement     dt@     déplacement coulissant étant donné aux roue      151 totalisatrices par rapport aux secteurs  <B>126</B> des tâteurs.

   Ce mouvement clé déplace  ment est suffisant pour amener les roues     to-          talisatrices    clé plans intermédiaires entre les  plans des secteurs 126 clans les plans de ces       secteurs,    de telle sorte que les roues totalisa  trices peuvent être abaissées pour venir en  prise avec les secteurs tâteurs     (fig.    6).

   Le  cadre 175 des roues     totalisatrices    est alors  maintenu dans cette position par la rainure  135 et la dent. 181 qui est en prise avec elle,  jusqu'au moment désiré où, après que les roues  totalisatrices ont été soulevées de façon     a,        se     dégager des secteurs tâteurs, une partie in  clinée de la rainure 135 donne un nouveau  mouvement de déplacement au cadre des  roues     totalisatrices,    en déplaçant ainsi les  roues totalisatrices de nouveau dans des plans       intermédiaires    entre les plans des secteurs  tâteurs. A ce moment, la deuxième dent 181  entre en prise avec la rainure 135, l'arbre 130  ayant alors terminé une rotation.

   Lorsque  cet arbre effectue sa rotation suivante, en sui  vant l'introduction d'un autre chiffre dans le  second facteur, la première dent 181 sort clé  la rainure 135 de came,     tandis    que     la          deuxième    dent transmet le mouvement de     clé-          placement    nécessaire de la came au cadre 175,  de la même manière que précédemment. Ce  cycle d'opérations se répète selon la construc  tion et la capacité de la machine par rapport  au nombre des chiffres du second     facteur    avec  lesquels elle peut travailler.

   Comme on le  comprend, la forme de la rainure 135 de came  et sa position -sur l'arbre 130 sont     déterminées     clé façon à synchroniser les mouvements créés  par la came avec les mouvements créés par  la came élévatrice     133    et par la goupille 132,  en assurant ainsi une coordination convena  ble entre les mouvements tâteurs, l'élévation  et l'abaissement des roues totalisatrices par  rapport aux secteurs tâteurs et le déplace  ment des roues     totalisatrices    à travers les  secteurs tâteurs.  



  On remarquera que lorsqu'un chiffre du  second facteur a été introduit dans la ma  chine en abaissant la touche 101 appropriée  les opérations effectuées directement par         l'abaissement    de cette touche sont le place  ment par rotation des cames 80 choisies se  lon la. valeur de cette touche et lorsque ce  placement est     terminé,    la libération de l'ar  bre 130 entraîné par son ressort.

   Cependant,  les     opérations    suivantes sont automatiques,  notamment le     tâtement    des cames,     l'abaisse-          #.nent    et l'élévation des roues     totalisatrice     151, de telle sorte que ces roues peuvent  être mises en rotation sur une valeur déter  minée par les     valeurs    des produits partiel:  constatées par le     tâtement,    et le déplacement  des roues totalisatrices en vue de les     rendra     prêtes à recevoir les produits partiels     r6sul-          tant    de     l'introduction    du chiffre suivant du  second facteur.  



  Les roues     totalisatrices    151 peuvent être  <B>, -</B>     ssociées        avec        un        mécanisme        permettant        h   <B>-</B>  report de la retenue à la fois lorsque le  produits partiels passent en premier lien  dans le mécanisme totalisateur et lorsque     des     produits successifs sont obtenus de l'introduc  tion dans la machine clé chiffres successifs du  second facteur du produit.

   Si on le désire,       clés    moyens peuvent être prévus pour bloquer  les roues totalisatrices lorsqu'elles sont soule  vées et     dégagées    des secteurs tâteurs, en évi  tant ainsi le risque d'une rotation     accidentelle     clé ces roues.  



  Les roues totalisatrices peuvent être cons  truites et disposées pour présenter directe  ment d'une manière visible la réponse ainsi  obtenue ou bien un mécanisme peut être  prévu, grâce auquel lorsqu'un produit com  plet a été introduit dans le mécanisme totali  sateur et que tout le mécanisme est ramené à  sa position zéro     pour    y introduire un nouveau  produit, le produit se trouvant déjà dans le  mécanisme totalisateur peut être transféré et  traité d'une autre manière. Par exemple, on  peut prévoir des moyens grâce auxquels cha  que produit tel qu'il est ainsi constaté est  imprimé et grâce auxquels des produits suc  cessifs sont totalisés et ce total indiqué.  



  La     construction    du mécanisme totalisateur  employé de préférence est celle représentée  en détail aux     fig.    18 à 21.      Ce mécanisme comprend une série de  groupes de roues, chaque groupe comportant  des organes à trois roues et le nombre des  groupes correspondant au nombre de désigna  tions ou de chiffres qui peuvent se trouver  dans la solution. Les organes à trois roues  sont divisés en roues indicatrices 151, roues  introductrices 153 et roues intermédiaires  154; toutes ces roues peuvent tourner direc  tement ou indirectement sur l'arbre 152. La  roue indicatrice 151 est constituée par un  disque formé à l'extrémité d'une douille 155  de longueur appropriée dont l'extrémité la  plus éloignée du disque a la forme d'un excen  trique 156.

   La face du disque qui est la plus  éloignée de la douille 155, porte une série  de dents 157     constituées    par des goupilles fai  sant saillie; ce disque est muni de vingt de  ces dents 157. Une encoche 158 ménagée  dans la périphérie du disque est     destinée    à       coopérer    avec un     cliquet,    la. position de     @    la  roue étant la position zéro lorsque le cliquet  bute contre cette encoche.

   Lorsque la roue  tourne à partir de sa position zéro, le     cliquet     qui repose en     premier    lieu sur     une        partie    de  la périphérie de la. roue de faible diamètre,  comme représenté à la     fig.    19, est soulevé par  une rampe 159 sur une partie de plus grand  diamètre s'étendant sur un arc qui peut avoir  approximativement 180   jusqu'à l'encoche  158. Ainsi, si la roue<B>151</B> a tourné de neuf  unités de distance pendant la transmission au  mécanisme de réponses des chiffres d'un pro  duit, le cliquet se trouve sur la partie élevée  de la périphérie de la roue près de l'encoche  158. Lorsque cette roue revient en arrière à.

    sa position zéro, le     cliquet,repose    sur la par  tie élevée, jusqu'à la rampe<B>159</B> où le dia  mètre .de la roue décroît, puis bute contre la  face radiale de l'encoche 158. Le but de  cette construction sera expliqué ci-après.  



  La roue d'introduction 153 est en forme  de disque monté sur l'extrémité d'une courte  douille qui est portée et qui tourne librement  sur la douille 155 clé la roue 151 indicatrice,  la douille de la roue d'introduction servant de  pièce d'espacement entre l'une des faces de  cette roue et la face plane adjacente de la    roue<B>151.</B> La roue     d'introduction    est munie  sur     sa,    face opposée à la face plane de la     rouie     151, de neuf dents<B>160</B> saillant latéralement.       constituées    par des goupilles; dix-huit autres  dents 161 également constituées par des gou  pilles se trouvent sur l'autre face de la     roue     introductrice 153.  



  La roue 154 intermédiaire présente sur sa  périphérie clés dents en forme de     1/.    comme  représenté aux     fig.    20 et 21, le nombre de ce,  dents étant de dix-sept. Cette roue est por  tée et tourne librement sur la partie 156  excentrique clé la douille de la roue 151. Lors  que les parties sont montées sur l'arbre     1,52.     comme représenté à la     fig.    18, la roue<B>151</B>  intermédiaire se trouve entre la face de la  roue 151 d'indication, qui est munie des dent  157 et la face de la roue 153 d'introduction  qui porte les dents 161. ces trois roues for  mant un groupe     fonctionnant    par rapport     >l     une et même désignation.

   Les dents<B>157</B>     de     la. roue 151 et les dents<B>161</B> de la. roue 153  peuvent toutes venir en prise avec les dent,  de la roue 154 intermédiaire en pénétrant  entre ces dernières; mais ce contact des dents  ne peut se     produire    que sur un     petit    arc seu  lement, comme on le voit à la     fig.    20, par  suite du montage excentrique de la roue 15-1  intermédiaire. La disposition est telle que si  la roue 153     d'introduction    a tourné d'une va  leur de dix unités. elle agira à l'aide de la  roue 154 intermédiaire pour faire tourner  d'une unité la roue 151 d'indication du  groupe de la désignation suivante la     plia     élevée.  



  Les neuf dents 160 de l'une des faces de  chaque roue 153 d'introduction sont les dents  qui, lorsque le mécanisme de réponse est  abaissé de la manière décrite, viennent en  prise avec le     secteur    denté 126 d'un organe  tâteur. Lorsque le mécanisme de réponse est  soulevé de sa     position    neutre, les mêmes dents  160 sont mises en prise avec une crémaillère  coulissante 200 munie de dents 201. Il est  possible, grâce à la liaison entre les groupe  de roues, de faire tourner simultanément, soit  dans une direction, soit dans l'autre, au moins      deux roues 153 d'introduction, lorsqu'un pro  duit est introduit dans ces roues par les sec  teurs tâteurs 126, ou bien lorsque ces roues  sont ensuite ramenées à leurs positions zéro  par coulissement des -crémaillères 200.

   La  liaison entre les roues, dans des groupes adja  cents, a lieu par l'intermédiaire de la douille  155 de chaque roue 151- indicatrice et de l'ex  centrique 156 monté sur cette douille.  



  Tous les groupes de roues sont montés  côte à côte et peuvent tourner séparément sur  l'arbre 152. Une roue     151a    se trouve à l'ex  trémité de la désignation la plus basse     (fig.     18); cette roue ne présente aucune dent sur  sa face externe, mais seulement une goupille  qui vient en prise avec un trou dans la pla  que qui sert de support pour une extrémité  de l'arbre 152, la roue étant ainsi empêchée  de tourner. Une roue     151u    d'indication tour  nant librement est montée à l'autre extrémité  de la série des groupes de roues. Cette roue  151b présente des dents 157 sur sa face in  terne, mais le moyeu de cette roue ne porte  pas de roue d'introduction et ne présente au  cime partie de forme excentrique.  



  Un arbre 162 s'étend parallèlement à l'ar  bre 152 près de la     périphérie    des roues por  tées par ce     dernier    arbre; des cliquets 163  sont montés sur l'arbre 162; chacun de ces  cliquets est destiné à venir en prise avec l'en  coche 158 de la périphérie d'une roue 151  d'indication.

   Du fait de la nature du méca  nisme de réponse et de la manière selon la  quelle les roues 151 d'indication des groupes  de     désignations    supérieures peuvent recevoir  des mouvements provenant des retenues, ces  rotations peuvent avoir lieu suivant de petits  arcs et s'il arrivait qu'une de ces roues d'in  dication se trouve près de sa position zéro,  cette roue pourrait avoir tendance à être sai  sie par son cliquet 163, avant que la roue ait  tourné, comme cela pourrait être, d'environ  360   en arrière, jusqu'à sa position zéro  réelle. Pour éviter ceci, les crémaillères 200  sont obligées de coulisser successivement et  non pas simultanément, lorsqu'elles ramènent  les roues du mécanisme de réponse à leurs    positions zéro.

   En outre, les     cliquets    163 des  divers groupes de roues de réponses sont re  liés de telle sorte entre eux que, lorsqu'un  cliquet fonctionne par rapport au groupe de  roues d'une désignation, il est maintenu en  arrière jusqu'à ce que le     cliquet        qui    fonc  tionne par rapport au groupe de la désigna  tion immédiatement inférieure soit sur le  point de venir en prise avec l'encoche 158 de  la roue 151 indicatrice de ce groupe.

   Cette  liaison des cliquets entre eux est obtenue com  modément en constituant chaque cliquet 163  comme un bras faisant saillie d'une extrémité  d'une courte douille 164 sur l'autre extrémité  de laquelle un deuxième bras 165 est prévu  avec un prolongement latéral 166 qui re  couvre le bras 163     Constituant    le     cliquet    de  la désignation inférieure suivante. Comme dé  crit ci-dessus, la périphérie de chaque roue  151 d'indication de la réponse est constituée  de telle sorte que le cliquet 163 ne peut se  déplacer vers     l'intérieur,    jusqu'à ce que la  roue soit revenue en arrière sur un arc essen  tiel mesuré à     partir    de son encoche 158  lorsque cette roue est ramenée à sa position  initiale.

   Bien que maintenu ainsi extérieure  ment à travers la partie 166, ce cliquet main  tient dans la position "ouverte" le cliquet qui       fonctionne    avec la roue 151 d'indication     du     groupe de désignation supérieure suivante.  



  La construction est telle qu'il est possible  -de mettre en place de façon rotative et simul  tanément au moins deux des roues 151, lors  que les dents 160 des roues 153 sont saisie:  par les secteurs 126, tandis qu'en même temps  la retenue nécessaire peut être transportée  d'un groupe de roues totalisatrices au suivant.       Semblablement,    il est possible avec ce mé  canisme, lorsqu'il est en prise avec les cré  maillères 200, de ramener     toutes    ces roues  vers la position zéro et finalement à cette       position,    lorsque les crémaillères coulissent  dans la direction nécessaire pour effectuer  cette remise à zéro.

   La mise en place relative  des différentes roues du mécanisme totalisa  teur est alors transférée à ces crémaillères  coulissantes, dont les positions horizontales      respectives dans lesquelles elles ont été pla  cées à partir de leurs différents points zéro  correspondront aux positions relatives numé  riques des roues totalisatrices avec lesquelles  elles étaient en prise lorsque les crémaillères  ont été déplacées de ces positions zéro.

   De la  même manière, si un ou plusieurs autres mé  canismes totalisateurs sont mis en prise avec  ces crémaillères et que ces dernières sont obli  gées de revenir à leurs positions zéro, il s'en  suit que ces autres mécanismes totalisateurs  auront leurs roues amenées par rotation aux  valeurs numériques représentées par les po  sitions à partir desquelles les crémaillères in  dividuelles se sont déplacées pour revenir au  zéro.  



  Le mécanisme totalisateur porté par le  cadre coulissant 175 est construit de la même  manière que représenté aux     fig.    18 et 19, et  le montage représenté à ces figures est celui  employé pour quelques-uns des autres méca  nismes totalisateurs qui seront décrits     ci-          après.    L'arbre 162 qui porte les     cliquets    163  est monté dans le cadre coulissant 175.

   Un  dispositif de verrouillage représenté aux       fig.    1, 9, 12 et 13 est prévu pour les roues       totalisatrices,    de façon à empêcher une rota  tion accidentelle de ces roues, lorsque le ca  dre 175 a été soulevé dans une position telle  que les roues totalisatrices sont dans une po  sition intermédiaire dans laquelle elles sont  écartées et ne peuvent venir en prise soit avec  les secteurs tâteurs 126, soit avec les dents  (les crémaillères coulissantes 200. Ce -méca  nisme de verrouillage est commodément dis  posé et fonctionne de la manière suivante.  Une partie fixe du cadre 182 porte une barre  transversale 183 (fi-. 9) qui passe à travers  les bras d'un organe 184 en forme de<B>U</B> (le  grande dimension, lequel est ainsi libre de  tourner sur la barre 183.

   Les extrémités (les  bras de l'organe 184 sont reliées de façon à  pouvoir pivoter à une plaque 185 dont les  extrémités sont portées (le telle sorte qu'elles  peuvent coulisser dans des rainures 186 mé  nagées dans les extrémités des flasques 175  du cadre coulissant     (fig.    12 et 13). La plaque  185 présente une série de dents 187 saillant    de son bord     interne,    ces dents étant destinées  à venir en     prise    avec les dents 160 des roues  153.

   Lorsque le cadre 175 est abaissé, comme  représenté en traits pleins à la     fig.    12, de  façon     que    les dents 160 puissent venir en  prise avec les dents des secteurs tâteurs, la  plaque 185 de verrouillage peut être     retirée     par     oscillation    de l'organe 18.1 en forme de U;

    les dents totalisatrices sont alors libres de  tourner lorsque les tâteurs et leurs secteurs  126 sont basculés.     Au    contraire, lorsque le  cadre 175 est soulevé dans sa position mé  diane ou neutre, position représentée en traits  mixtes à la     fig.    12, la plaque de     verrouilla.g-          185    est obligée de coulisser vers l'intérieur.  de telle sorte que ces dents viennent en prise  avec les dents des roues totalisatrices. La  plaque de verrouillage est retirée de la même  manière, et les roues totalisatrices sont libé  rées quand le cadre 175 est soulevé de sa  position neutre, de façon à amener les roues  totalisatrices en prise avec les     crémaillères     coulissantes 200.  



  Les mouvements de celles-ci peuvent être  utilisés de différentes manières. Comme in  diqué, lorsque les roues 151 sont soulevées et  sont en prise avec ces barres, ces dernières  ramènent en coulissant     toutes    les roues totali  satrices au zéro. Lorsqu'elles se déplacent  ainsi, les crémaillères peuvent servir à sou  lever des caractères au moyen desquels il est  possible d'imprimer les valeurs numérique  correspondant à la position dans laquelle les  crémaillères peuvent coulisser. Celles-ci peu  vent également servir à transporter les ré  ponses successives à partir des roues 151 dan.;  d'autres mécanismes à roues calculatrice,  dans lesquels ces réponses peuvent être addi  tionnées entre elles ou traitées autrement.  comme on le désire.  



  La     fig.    14 représente une partie du mé  canisme comportant un jeu (le roues totalisa  trices qui fonctionnent avec les crémaillères  coulissantes 200, en combinaison avec le dis  positif donnant la réponse soit sous forme  imprimée, soit autrement. Un jeu (le     roue     151c de réponses est monté sur un cadre<B>167</B>  comportant (les plaques latérales triangulaires      qui supportent l'arbre 152a des roues totalisa  trices, et qui peuvent osciller comme un tout  autour d'un arbre 168; un cadre semblable  est également représenté à la     fig.    19. Une  bielle, au moyen de laquelle le cadre 167 peut  être basculé, est reliée au cadre en 169.

   Le  levier 171 oscille comme décrit autour de l'ar  bre 170 pour élever ou pour abaisser le jeu  principal des roues 151     totalisatrices    et pré  sente un bras 174 dirigé vers le bas; celui-ci  est relié par une bielle 188 à un bras<B>189</B>  d'un levier à deux bras pivotés en 190. Le  deuxième bras 191 de ce levier présente un  doigt qui fait saillie vers une came 192 mon  tée sur un arbre 210. Un enfoncement 193  radial se trouve en un point de la périphérie  de cette came. Le doigt du bras 191 peut  pénétrer dans cet enfoncement 193 lorsque le  levier 171 des roues totalisatrices est     basculé     vers le bas pour     mettre    les roues 151 de ré  ponses en prise avec les secteurs     tâteurs    126.

    Une partie de la came 192 est formée de fa  çon à dégager ou à porter l'extrémité du le  vier 191 muni d'un doigt, lorsque les roues  <B>151</B>     totalisatrices    on été élevées dans leur  position médiane ou neutre, et l'autre partie  de la came est constituée de façon à agir sur  ce     doigt,    de manière à faire osciller 12 levier  171 des roues totalisatrices vers le haut, en  amenant ainsi ces roues en prise avec les cré  maillères 200.  



  Une bielle 194 s'étend à     partir    du cadre  triangulaire 167 qui     porte    le jeu     151e    de  roues jusqu'à un levier 195 monté sur l'arbre  190. Un     deuxième    bras 196 du levier 195  présente un doigt     qui    se trouve derrière le  bras 191     (fig.    14) et qui est destiné à reposer  sur une seconde came 197 portée par l'arbre  210.

   Cette came est constituée de telle sorte  que le mécanisme     151e    à roues     totalisatrices,     qui peut fonctionner comme totalisateur, sera  soulevé pour venir en prise avec les crémail  lères 200, lorsque ces     dernières    sont prêtes à  coulisser en arrière vers leurs     positions    zéro,  après avoir déplacé en direction opposée les  roues 151 totalisatrices principales, en vue de  revenir à leurs positions zéro.

   Lorsque les cré  maillères 200     reviennent    alors en coulissant    à leurs positions zéro, les roues totalisatrices       lâle        seront.    mises en place par rotation, leur  position étant en fait celle     transmise    par les  crémaillères à partir des roues 151 totalisa  trices principales, lorsque ces dernière  avaient été remises à zéro. Un dispositif de  verrouillage est prévu pour les roues     151e          totalisatrices,    lorsque ces roues sont abaissées  et dégagées des crémaillères.  



  La remise en place du mécanisme est ef  fectuée lorsqu'un organe tel qu'une roue et  un arbre est tourné à la main ou par une  source d'énergie quelconque et à la fin des  opérations d'introduction des chiffres, la ro  tation de-cette roue ou de cet arbre effec  tuant les mouvements des organes qui accom  plissent certaines fonctions avant que la re  mise en place soit terminée, tandis qu'en  même temps, le remontage du ressort qui agit  sur l'arbre<B>130</B> est effectué. Un arbre hori  zontal 220 actionné à la main     (fig.    23) porte  une manivelle à son extrémité placée du côté  droit de la machine. Cet arbre met en rota  tion un autre arbre 221 transversal, à. l'aide  d'engrenages.

   Une roue d'angle 227.a se  trouve à l'extrémité de l'arbre 221 du côté  gauche de la machine, cette roue d'angle en  grenant avec une autre roue d'angle 221b  montée sur un arbre 222 qui -est porté hori  zontalement dans des paliers le long du côté  gauche de la machine     (fig.    24.) Plusieurs  roues d'angle 223, 224, 225, 226 sont con  venablement espacées les unes des autres sur  cet arbre 222, et une came 227 et un pignon  228 se trouvent près de son extrémité arrière.  La roue d'angle 224 engrène avec une roue  d'angle 211 portée par l'arbre à came 210  transversal. Le pignon d'angle 226 en  grène avec un pignon d'angle<B>230</B> monté  sur un arbre qui porte une roue 231 dentée  engrenant avec une autre roue dentée 232  montée sur un arbre 233.

   Le barillet qui  contient le ressort principal est monté     sur     cet arbre 233. Ce ressort est disposé de telle  sorte que pendant qu'il peut être remonté par  la rotation de la roue 232, lorsqu'on     tourne     la manivelle, l'autre extrémité du ressort tend  à faire     tourner    une roue d'engrenage 234 qui      engrène avec une roue dentée 23.5 montée à       l'extrémité    de l'arbre<B>130.</B> Le ressort est dis  posé de telle sorte à l'intérieur du barillet  coopérant avec le mécanisme à rochet de cons  truction appropriée, que le remontage ne peut  avoir lieu que sur la distance sur laquelle le  ressort s'est déroulé, par l'intermédiaire de  l'arbre 222 qui est constamment mis en rota  tion, sur un arc déterminé à l'avance,

   lorsque  l'arbre 220 de remise en place, actionné à. la  main, est mis en     rotation.     



  Comme on le voit, bien des organes du  mécanisme retournent automatiquement à  leurs positions initiales,     niais    d'autres organes  nécessitent d'être ramenés effectivement à  leurs positions zéro. Ces organes comprennent  en     particulier    le chariot 60 sélecteur et le  cadre 175 coulissant portant les roues 151  totalisatrices principales. Ces organes sont  ramenés en place lorsque l'arbre 222 est mis  en rotation.

      Le chariot 60 sélecteur est ramené en ar  rière dans sa position initiale par une bielle  45a     (fig.    25) fixée à une extrémité au levier  45 oscillant, dont l'extrémité libre est reliée  au chariot 60, l'autre extrémité de la bielle  45a étant reliée à la goupille 236 d'une Mani  velle pouvant tourner sur un axe 237, et por  tée par une roue dentée 23$ qui engrène avec  le pignon denté 228 à l'extrémité arrière de  l'arbre 222     (fig.    24).  



  Lorsque le chariot 60 est obligé de revenir  en coulissant dans sa position initiale, les cla  vettes 70 et 71 en forme de<B>L,</B> qui ont été  choisies et abaissées par suite de     l'actionne-          ment    d'une touche, sont de nouveau poussées  dans leurs positions     initiales.    Ceci est effec  tué par les moyens suivants. Sur le côté du  mécanisme .sélecteur actionné par des touches  qui se trouvent vers les cames,     une    console 57  est portée par le cadre sélecteur 40 (fi-, 1,  3 et 4).

   Les deux barres 58 s'étendent hori  zontalement     sur    le côté     interne    de cette con  sole; elles sont parallèles et disposées et espa  cées l'une au-dessus de l'autre, de telle sorte  que le bord supérieur de chaque barre peut       passer    au-dessous de la saillie 70a ou 71a de    chaque clavette 70, 71, lorsque celles-ci sont  dans leurs positions initiales supérieures.  L'extrémité libre 59 ou gauche de chacune  de ces barres     (fig.    3) est biseautée à partir  de son bord supérieur, et l'extrémité extrême  de la barre se trouve en une place où elle est  distante d'un jeu de clavettes 70, 71, lorsque  ces dernières sont placées en correspondance  avec les crochets 91, 91a.

   Lorsque pendant la  remise en     place    du mécanisme le chariot 60  est obligé de revenir en coulissant vers sa  position initiale, les extrémités     biseautées    des  barres fixes 58 viendront en contact avec cel  les des clavettes 70, 71 qui ont été choisies et  abaissées, de telle sorte que ces clavettes se  ront de nouveau poussées vers le haut.

   La  distance sur laquelle le chariot est obligé de  coulisser lors de la remise en place est telle  qu'il est déplacé au delà de la position dans  laquelle il est maintenu à l'origine par l'é  chappement, de telle sorte que les barres  fixes 58 de remise en place peuvent agir sur  toutes les clavettes 70, 71 de tous les jeux de  clavettes et pousser ces derniers dans leurs  positions initiales.     Le    chariot est ensuite laissé  libre de se déplacer sur une petite distance  dans la direction de son déplacement pas à  pas, ceci amenant le premier jeu de clavettes  70, 71 coulissant au-dessous des extrémités  des tiges 31 actionnées par des touches.  



  La remise en place des cames 80 choisie  est     effectuée    en leur donnant à toutes un mou  vement de rotation en sens inverse des aiguil  les d'une montre, vues comme à la     fig.    1, ce  mouvement étant effectué en faisant osciller  la barre 92 d'un arc plus grand que l'arc  maximum dont elle oscillerait lors de la re  mise en place des cames par suite de l'abais  sement d'une touche 101. Cette oscillation  des cames sera suffisante pour qu'elles soient  saisies une fois de plus par leurs crochets res  pectifs 89, 89a, qui les maintiendront alors  dans leurs     positions    initiales     "mortes".    Cette  oscillation de remise en place de la. barre 9?  est effectuée par un mouvement provenant de  la rotation de retour de l'arbre 222.

   La roue  d'angle 225 de cet arbre     (fig.    24) engrène  avec une roue d'angle montée sur un arbre      <B>2250-</B> vertical, dont l'extrémité inférieure  donne un mouvement de rotation à une roue  92a (fie. 23), par l'intermédiaire d'un engre  nage d'angle et -d'un arbre. Un     manetan    .est  monté sur cette roue 92a et relié par une  bielle 925 à l'extrémité de la barre 92. Ainsi,  à chaque tour de l'arbre 222, la roue 92a ef  fectue un tour complet, et -la barre 92 est bas  culée selon un arc, entraînant avec elle toutes  les cames qui ont été choisies et mises en vi  gueur, ces cames étant ainsi (amenées à leurs  positions. initiales     "mortes"    où elles sont  maintenues par des crochets.  



  Lors de la remise en place des parties, il  est nécessaire de ramener le cadre totalisateur  coulissant 175 à sa position initiale sur le  cadre oscillant 171. Ceci est effectué de la  manière suivante. La came 227 de l'arbre 222  (fie. 22) agit sur une goupille 239 à l'extré  mité d'un bras     d'un    levier 240 qui est pivoté  en 241 sur un bras s'étendant à partir du ca  dre fixe 182 (fie. 9 et 15). L'autre bras 242  de ce levier appuie contre la face inférieure  d'une goupille 243     qui    fait saillie de la par  tie verticale d'un cadre     24-?:    en forme de<B>L,</B>  lequel peut coulisser sur un guide vertical du  châssis 182 qui     supporte    le mécanisme totali  sateur.

   Une     rainure    2'46 est ménagée dans le  bras horizontal 245 de ce châssis coulissant.  L'extrémité 180a du levier denté se trouve  dans cette rainure, et ce levier vient en prise  avec la rainure 135 ménagée dans le cylindre  à cames     1,34    par la rotation duquel le cadre  175     totalisateur    est déplacé. Lorsque le ca  dre 244 est soulevé, le cadre totalisateur est  libre de coulisser le long du cadre oscillant  171 et ce     coulissement    est obtenu par l'action  d'une came 247 montée sur l'arbre 222 (fie.  22)     qui    agit sur un levier 248 relié par une  bielle 249 à une goupille 250 montée sur le  cadre 175 (fie. 9).  



  Une touche séparée n'étant pas prévue  pour     effectuer    l'oscillation du chariot 60 qui  met en action les cames 80, ce mouvement  d'oscillation est dérivé du mouvement prove  nant de l'abaissement de n'importe laquelle  des touches 101. -A cet effet, selon la fie. 1       ainsi    que l'élévation latérale de la fie. 23, on    a prévu une bielle 116 pivotée en 117 et re  liée à son extrémité libre par une bielle 118  à la plaque 5 7 montée sur le cadre oscillant  40 qui supporte le chariot sélecteur 60. La  bielle 116 touche une cheville 119 portée par  l'un des bras d'un des leviers coudés<B>Il':),</B> qui  sont reliés par la plaque 111, cette plaque  étant abaissée et les leviers coudés     11.2    tour  nés lorsqu'une touche 101 est abaissée.

   La  cheville 119 communique alors un mouvement  oscillant à. la bielle 116 et fait osciller le ca  dre 40 du     chariot    par l'intermédiaire de la  bielle 118.  



  La machine représentée -est munie d'un  mécanisme qui permet de régler la position  transversale clés roues 151     totalisatriees    sur le  cadre 175 par rapport aux chiffres selon les  quels ces roues     totalisatrices    sont mises en       position    par rotation, et qui doivent être trai  tés de différentes manières, par exemple lors  que ces chiffres doivent être additionnés dans  une note ou dans le total des opérations d'un  jour, ou si un escompte doit être déduit.

   Le  transport des chiffres représentés par le ré  glage rotatif des roues totalisatrices 151 est       effectué    d'une manière déjà indiquée au  moyen des crémaillères coulissantes 200, coo  pérant avec des jeux appropriés de roues     to-          talisatrices,    semblables au jeu 151c; ces jeux  de roues totalisatrices ou des totalisateurs  peuvent être soulevés de façon à venir en  prise avec les crémaillères 200 ou abaissés de  façon à être dégagés de ces crémaillères, de  la manière indiquée à la fie. 14. Ces totali  sateurs sont représentés à la     fie.    27.  



  Le mécanisme de commande de la posi  tion transversale des roues 151 totalisatrices  est indiqué plus particulièrement aux fie. 15,  16 et 17, ainsi qu'aux fie. 22 et 23.  



  Selon le plan .de la machine représenté à  la fie. 22, l'extrémité supérieure d'un arbre  vertical     2"r0    porte une pièce transversale 271  au moyen de laquelle l'arbre peut-être mis en  rotation à la main. Cet arbre 270 porte égale  ment un bras indicateur 272 qui se déplace,  lorsque l'arbre tourne, sur un cadran 273 con  venablement gradué. Un bras 274 est fixé      sur l'arbre 270     (fig.    23) et plus bas une roue  d'angle 275 et un pignon d'angle 276. La  roue d'angle 275 engrène avec une roue d'an  gle 277 fixée à l'extrémité d'un arbre hori  zontal 278. Le pignon d'angle 276 engrène  avec une roue d'angle 279 fixée à l'extrémité  d'un autre arbre horizontal 280.

   Un mouve  ment de réglage transversal d'un arbre à ca  mes est effectué par un pignon sur cet arbre  280 et sur .une crémaillère. Cet arbre à cames  commande la succession des mouvements de  plusieurs mécanismes totalisateurs par rap  port à leur engagement avec les barres 200  de crémaillère, ces divers mécanismes totali  sateurs étant représentés à la     fig.    27.  



  L'arbre 278     (fig.    1,5, 16 et 17) porte près  de son extrémité     postérieure    un disque 281  sur la face duquel se trouvent une goupille  282 et une came 283. Une barre horizontale  284 portée par les parties fixes 182 de façon  à coulisser transversalement présente un bras  285 dirigé vers le bas dans lequel est ménagée  une rainure 286 destinée à être sollicitée par  la goupille 282 du disque 2'81, lorsque l'arbre  278 est mis en     rotation.    De cette manière, la  barre 284 peut être obligée de coulisser sur  une     distance    définie vers la gauche. Un le  vier 288 est pivoté en 287 sur la barre 284.

    Une série d'encoches 289 sont ménagées dans  la face inférieure de ce levier 288, ces en  coches sont     destinées    à saisir l'extrémité     180a     du bras 180 qui, comme décrit, est pivoté sur  l'arbre transversal 170 et permet, d'une part,  qu'un coulissement transversal soit donné au  cadre totalisateur 175, lorsque ce levier 180  est élevé, les dents de son côté inférieur étant  hors de prise d'avec la rainure de came 135.  Le levier entaillé 288 est muni d'une goupille  290 saillant latéralement.

   Un autre levier à  deux bras est pivoté en 291 à la barre coulis  sante 284; l'un de ses bras 292 est destiné à  venir en prise avec la goupille 290 du levier  288, tandis que l'autre bras 293 qui est di  rigé vers le bas présente une rainure 294 des  tinée à être sollicitée par la goupille 282 du  disque 281. Un ressort 295 agit sur le levier  292, 293 .de la manière indiquée     aux        fig.    16  et 17, de telle sorte due ce levier tend nor-         malement    à soulever le levier 288 dans la po  sition représentée à la     fig.    16, lorsque les en  coches 289 qu'il comporte sont éloignées de  l'extrémité du levier 180a.

   Lorsque l'arbre  278 a été mis en rotation de façon à     amener     'la goupille 282 en prise avec la rainure mé  nagée dans le bras 293 et avec la rainure du  bras 285 de la barre coulissante     28-1.    le levier  entaillé 288 est libre de tomber dans la posi  tion représentée à la fi-. 17, de façon à venir  en prise avec l'extrémité du levier 180a;  comme l'arbre 278 tourne, la barre ?84 cou  lissera en entraînant avec elle les roues totali  satrices 151 dans une position transversale  où elles seront maintenues selon le réglage  rotatif donné par l'arbre vertical 270.

   A ce  moment, la came 283 de l'arbre<B>278</B> a     actioiinc#     l'extrémité du bras 296     d'un    levier pivoté en  297 sur un organe de cadre transversal fixe,  dont l'autre bras 298 vient. en prise avec une  goupille 251 portée par le cadre 2.44 coulis  sant verticalement     (fig.    15). Ce dernier, qui  est soulevé ainsi que l'extrémité du levier       180a,    dégage les dents de ce levier de la rai  nure 185 de la même manière qu'est     effectue     le dégagement de ces dents lors de la remise  en     place    de la façon .décrite ci-dessus.

Claims (1)

  1. REVENDICATION Machine à calculer comportant un jeu d'organes (31) actionnés par clés touches, des jeux d'organes mobiles représentant mécani quement des produits partiels, et des moyen pour tâter ces organes et pour présenter la réponse ainsi constatée, caractérisée par un mécanisme sélecteur comportant un chariot (60) monté de façon qu'il puisse être déplacé, d'une part, par rapport aux organes actionné par les touches et, d'autre part, par rapport aux organes représentant les produits par tiels, des jeux d'organes mobiles individuelle ment (70,<B>71)</B> correspondant en nombre aux organes représentant les produits partiels et disposés en jeux semblables à.
    ces derniers, étant montés sur ce chariot en relation telle, par rapport aux organes actionnés par les touches, que, lorsque le chariot est déplacé, les organes mobiles individuellement (711, 71). ,soient amenés par jeux successifs en corres pondance avec les organes actionnés par les touches au moyen desquels certains des or ganes mobiles individuellement (70, 71) des jeux successifs sur le chariot peuvent être choisis et mis en position active, ces organes choisis par suite du mouvement du chariot.
    étant ensuite amenés dans des positions tel les, par rapport aux organes de produits par tiels, que par un mouvement simultané de tous les organes mobiles individuellement (70, 71) qui ont été choisis, des organes re présentant les produits partiels correspon dants soient à leur tour choisis et mis en activité.
    SOUS-REVENDICATIONS: 1 Machine selon la revendication, caractéri sée en ce que le chariot (60) est monté de façon à pouvoir coulisser sur un cadre dans une direction transversale par rapport au mouvement des organes (31) actionnés par les touches, le coulissement du chariot ayant lieu pas à pas; et étant commandé par un échappement actionné par les tou ches lorsqu'elles sont abaissées.
    2 Machine selon la revendication, caractéri sée en ce que le chariot (60) est disposé de façon à pouvoir coulisser sur un cadre (40) qui est monté à son tour sur des pivots de telle sorte que ce cadre avec le chariot qu'il porte puisse osciller dans une direction transversale à celle dans laquelle coulisse le chariot, cette oscillation du cadre et du chariot obligeant les organes mobiles in dividuellement (70, 71) montés sur ce der nier, qui ont été choisis et mus par suite de l'actionnement des touches, à effectuer la sélection des organes de produits par tiels.
    3 Machine selon la revendication, caractéri sée en ce que les organes mobiles indivi duellement (70, 71) sont construits et dis posés sur le chariot (60) de telle sorte qu'ils puissent passer d'une position inac tive à une position active, ce mouvement étant effectué par .des poussoirs (31) ac tionnés lors de l'abaissement des touches, les organes mobiles individuellement (70, 71) qui sont ainsi choisis étant de ce fait. amenés dans des positions où quelques-unes de leurs parties (70a, 71a) peuvent agir de façon à effectuer la sélection des organes de produits partiels lorsque les organes mo biles individuellement (70, 71) après leur sélection, sont tous déplacés simultanément, par un mouvement de tout le chariot (60).
    4 Machine selon la revendication, caractéri sée en ce que les parties sont remises en place par coulissement du chariot (60) en arrière vers sa position initiale et tant soit peu au delà de cette position dans laquelle il est maintenu par un échappement, tandis qu'en même temps des barres fixes horizon tales (5$, 59) viennent en prise avec des parties de ceux des organes mobiles indivi- ,duellement 70, 71) :qui ont -été choisis et mus, et de cette manière ramènent ces or ganes à leurs positions initiales.
    5 Machine à calculer selon la revendication, caractérisée en ce que les organes mobiles individuellement (70, 71) portés par le cha riot (60) sont constitués et disposés de telle sorte que lorsqu'ils ont été choisis et mus par suite de l'actionnement de touches et que le chariot comme un tout est alors mû, des parties des organes mobiles individuel lement (70, 71) choisis viennent en prise avec des parties (91, 91a) qui sont sembla bles à des crochets et qui maintiennent les organes de produits partiels dans leurs po sitions inactives, et actionnent ces parties de façon à libérer des organes des produits partiels correspondants de telle sorte qu'ils soient choisis et mis en action par ces moyens.
    6 Machine selon la revendication et la sous- revendication 1, caractérisée en ce qu'elle comporte un jeu de tiges coulissantes (31) dont chacune est destinée à être mue lors qu'une des touches (21) -est abaissée, les extrémités (32) de toutes ces tiges (31) étant groupées ensemble de telle sorte qu'elles se trouvent les unes près des autres et qu'elles puissent correspondre avec les extrémités supérieures des organes mobiles individuellement (70,<B>71).,</B> portés par le chariot (60), lorsque ces organes sont mis en position dans des jeux successifs par le coulissement du chariot, l'échappement commandant ce mouvement du chariot étant actionné par un organe (48)
    qui est mîi toutes les fois qu'une touche est abaissée. 7 Machine selon la revendication, caractéri sée en ce que le mouvement du chariot (60), qui provoque la sélection et la libéra tion des organes des produits partiels, est effectué lorsque n'importe quelle touche d'un deuxième jeu de touche est actionnée pour l'introduction des chiffres dans le se cond facteur du produit, l'abaissement des touches du premier jeu de touches numéri- EMI0025.0005 ques <SEP> pour <SEP> l'introduction <SEP> des <SEP> chiffres <SEP> (laps <tb> le <SEP> premier <SEP> facteur <SEP> ayaiit_provoqué <SEP> la.
    <SEP> sélec tion <SEP> et <SEP> le <SEP> mouvement <SEP> (les <SEP> organes <SEP> mobile <tb> individuellement <SEP> (70, <SEP> 71) <SEP> portés <SEP> par <SEP> <B>le</B> <tb> chariot. <tb> 8 <SEP> Machine <SEP> selon <SEP> la <SEP> rcvcndicatioii, <SEP> caractéri sée <SEP> en <SEP> ce <SEP> que <SEP> les <SEP> organes <SEP> mobiles <SEP> indivi duellement <SEP> (70. <SEP> 71) <SEP> sont <SEP> des <SEP> clavettes <SEP> cou lissantes. <tb> 9 <SEP> Machine <SEP> selon <SEP> la. <SEP> revendication, <SEP> caractéri sée <SEP> en <SEP> ce <SEP> que <SEP> le <SEP> chariot <SEP> (6t)) <SEP> est. <SEP> oscillant.
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