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µµchipe outil. ohan mnt auomati ue doutils
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',F,"1>lji();, .'1 ', ¯La présente invention se rapporte à une machine... à changement' automatique d'outils, comprenant un ., 1..,' k<,t'afllbQ:u:r porte-outils'qui tourne pour amener chaque outil .:'<<ën.fae'un)andi'i'3'i ..t'des moyens positionnables suivant ,-,r;,......',"...' ",ifOJ;''f: l--j;1. séiectsµhher, ' dîverses machines-outils à change- :,:;:. 3\t,1;otha1;iq1Áé3)1.'dud19. En général, dans ces machines, 'àxÔnér,li'ôüôiÉ/ôhôisi en face du mandrin, on fait f;1krrlé m?02:d.une direction constante, de sorte ,e.l# p,ercou1'$ ,dè" .1"Óutil peut être supérieur à 1800 t ,qàè. ,1ï',machi."é demande des temps morts très longs.
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Cet inconvénient ainsi que d'autres sont éliminés par la machine-outil suivant l'invention, laquelle est caractérisée par des moyens de contrôle aptes à faire tour. ner automatiquement ledit tambour dans un sens ou dans, l'autre, de façon à faire parcourir au dit outil le trajet le plus court pour l'amener en face dudit mandrin.
Ces caractéristiques de l' invention, ainsi que d'autres ressortiront clairement de la description donnée ci-dessous d'une forme préférée de réalisation, qui est faite à titre d'exemple non limitatif, et du dessin annexé dans lequel:
La figure 1 est une vue en perspective d'une machine-outil à changement automatique des outils suivant l'invention;
La figure 2 est une vue en coupe longitudinale partielle de la machine;
La figure 3 est une autre vue en coupe longitudinale partielle de la machine;
La figure 4 est une vue prise suivant la'ligne IV-IV de la figure 2, et elle constitue un schéma électrique de commande;
La figure 5 est la vue de la figure 4 dans une ' deuxième position;
La figure 6 est une vue en coupe partielle suivant la ligne VI-VI de la figure 2;
La figure 7 est une vue partielle en plan de la machine ;
La figure 8 est une vue partielle en plan d'un détail de la machine.
Ainsi qu'on peut le voir sur la figure T, la
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machine-outil comprend un socle 10 sur lequel est montée
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l'habituelle table porte-pièce 11, laquelle peuL ic db;)Iaccr dans deux directions horizontales sous la commande d'un dispositif de commande numérique connu en soi nais non
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décrit,ici. Le programme de ce dispositif peut tttr- l''n,,,,p(::19- tré, par exemple sur une bande perforée ou magnétique. La machine comprend en outre un montant 12 muni de deux guides prismatiques 13 et sur lequel est montée une tête de travail désignée dans son ensemble par 14. La tête 11 peut se déplacer verticalement le long des guides 13 et elle peut être fixée dans la position voulue au moyen d'un levier de blocage 16, d'une façon connue en soi.
La tête de travail 14 comprend un tambour porteoutils 17 ayant une forme en tronc de cône et qui peut tourner sur son axe 18. Le tambour 17 est apte à recevoir dans une position préétablie une série de douze porte-outils
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19, chacun portant un outil différent 20 , 20 Fez"! .,...20 L qui est disposée radialement-par rapport à la turfaco latté- raie du tambour 17. La tête de travail 14 est en outre munie d'un mandrin 21 (figure 2), qui peut tourner' sur un axe vertical 22. L'axe 18 du tambour 17 est inclina par rapport à l'axe 22 d'un angle égal à l'angle que la génératrice du
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tronc de c8nv forme avec chaque base du a3ne, de aorte . '<,¯ qtie, par rotation du tambour 17, les divers outil% 20 sont amenés 3,ndividuellEntrynt Rur l'axe 22 du mandrin 21.
LE tambour 17 eet solidaire .d'un manchon 22 qui tourne sur un arbre 24 fixé lui-m4tmr sur le b3tl 2 de la ttte 14. L tabur 17 est <>n Dutrp n ni d'un guide annulaire creux 2-! qui coopAi-f dV(,, unf t,\i 11 h; annulaire 28 du bàti 26. L :,,axcE.rrn 3 f,''',r on outI'f.' r.IHd..\1:r(t 'd'une roue '1'1.4t7'"t:d3f >t. qui r;>nj,,'r<1 ,"'1'{" un" vis flan; fin 32,
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(figure 7), laquelle est fixée sur un arbre 33 qui tourne sur le bti de la tête 14. Le rapport de transmission entre la vis 32 et la roue 33 est tel qu'à chaque tour de l'arbre 33, la roue 29 fasse avancer le tambour 17 de la distance séparant deux outils 20 contigus.
L'arbre 33 peut être entraîné en rotation par l'intermédiaire d'un embrayage électromagnétique, désigné dans son ensemble par 34, par une deuxième roue hélicoïdale 35 qui est en prise avec une vis sans fin 36 (Figure 6) fixée sur un arbre vertical 37. Ce dernier, à l'aide d'un couple conique 38, est entraîné par rotation par un arbre horizontal 39, lequel, par l'intermédiaire d'un deuxième couple conique 40 (figure 3), est entraîné en rotation par un arbre 41 d'un moteur électrique triphasé 42 apte à tourner sélectivement dans l'un ou l'autre des deux sens.
A cette fin, il est prévu pour le pilotage du moteur 42 un premier télérupteur TX, (figure 4) apte à actionner un contact TX 1, lequel forme le circuit du moteur 42 de façon telle que ce moteur tourne dans le sens propr( à faire tourner le tambour 17 dans le sens des aiguiller d'une montre, et un deuxième télérupteur TY apte à actionner un contact TY 1, lequel ferme le circuit du motpur 42 d'un façon telle que ce moteur fasse tourner le tambour 17 dans le sens inverse des aiguilles d'une montra.
Doux relais RX et RY sont aptes à fermer chacun
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ur, contact RX1 ou RY1 respc>cti Vf\m(lnt. interposés sur le circuit du télérupteur TX et TY respectivement. Les deux
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tlérupt,ur TX pt TY sont munis on outre d'un circuit do raixti<an, lequel Pst ferné par un contact TX2 ou TY2 r('9pr.'ctl'lc;!;pnt. Los d ux relais RX fit RY actionnent en outr- chacun un contact RX 2 ou RY 2 rfspcctivempnt interP0!::('':,': !"ur 1.' circuit d'un lpctr()-(lilT'..1ntf EL, qui actionne
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l'embrayage électromagnétique 34 (figure 7).
L'électro-aimant EL (Figura 4) est finalement fiuni d'un circuit de maintien qui se ferme A l'aide d'un contact EL 1. Sur ce circuit de maintien, est en outre disposé un interrupteur 50 qui est maintenu ouvert, à l'aide d'une encoche creusée dans un disque 55 (figure 2) fixé sur l'arbre 33, uniquement lorsque cet arbre se trouve au repos, c'est-à-dire lorsque un outil 20 est disposé sur l'axe du mandrin 21.
Sur la partie fixe de la machine est disposée unp série de douze contacts 44 A, 44 B....44 L (figure 4) qui sont associés aux outils 20 A, 20 B,.,.20 L. La ferme- ture de chaque contact 44 est commandée d'une façon connue par la bande du programme, sur laquelle est enregistré un code tour chaque outil, en même temps que les données du travail que cet outil doit effectuer.
Sur l'arbre 24 du tambour 17 est fixée une plaque 43 sur laquelle est disposée une série de douze interrupteurs électriques 45 A, 45 B,...45 L, eux aussi associés aux outils 2C A, 20 B,...20 L. Les interrupteurs 45 sont dis- posés en série avec les contacts 54 correspondants et sont ordonnés dans le sens opposé à celui des outils 20.
Les interrupteurs 45 sont à trois positions et sont aptes à être actionnés par une came semi-circulaire 46 fixés au tambour 17. En particulier, les interrupteurs ) ) 45 sont normalement maintenus dans la position externe et ferment un contact correspondant 45X disposé sur un circuit 47 représenté par une ligne continue, et qui alimente le relais RX. La came 46 comprend une partie 48 apte à attaquer simultanément la moitié moins un des interrupteurs 45, et une deuxième partie 49 apte à attaquer un soûl interrupteur 45 à la fois.
Les interrupteurs 45 attaqués par la partie 48
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de la came sont maintenus dans la position intérieure dans laquelle ils forment un contact correspondant 45 Y inter- cale dans un circuit 51 représenté en traits interrompus, lequel alimente le relais RY. L'interrupteur 45 qui est attaqué par la partie 49 de la came 46 est au contraire main- tenu dans une position intermédiaire par rapport aux deux
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première!!, dans laquelle il anoin-i <nt "uverts les contacts 45 X et 45 Y.
Avec la vis sans fin 36 (figure 6) engrène en outre une roue à dents hélicoïdales @2, laquelle est apte
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à pr,traîrpr, par l'intermédiaire d I.n Ei.,ibrayage électromagné- tique 53 à un cycle de 1800 (figure 2) un disque 54 Muni d'unrainure annulaire excentrique 56 (figure 6). Dans la rainure 56 est engagé un galet 57 qui tourne sur un doigt 58 porté par un coulisseau 59, lequel peut coulisser verticalement dans le bâti de la machine. Le doigt 58 se prolonge en arrière du coulisseau 59 (à gauche sur la figure 2) et coopère avec une rainure 61 d'une douille 62.
Cette dernière peut coulisser verticalement dans le bâti de la machine, conjointement avec le mandrin 21, lequel peut tourner par rapport à cette deuille grâce à deux roulements 63.
La douille 62 est munie d'une denture 64 en prise avec un pignon 66 fixé lui-même à un arbre 67 qui tourne sur le bâti de la tête 14. Sur l'arbre 67 est en outre fixé un deuxième pignon 68 (figure 3) en prise avec une crémaillère 69, laquelle est fixée sur un chariot 70 qui coulisse verticalement et qui fait partie d'un mesureur de position connu en soi et désigné dans son ensemble par la référence 71. Le chariot 70 est relié par une chaîne 72 à un piston 73 qui coulisse dans un tube 74 et qui est poussé vers le bas par un ressort de compression 76
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interposé entre le piston 73 et une virole 77 fixée à l'extré- mité supérieure du tube 74. Avec la denture 64 (figure 2) de la douille 62 engrène en outre un deuxième pignon 78 de commande de l'avance du mandrin 21.
Le pignon 78 peut être entraîné en rotation, par l'intermédiaire d'une botte de vitesses à embrayages électromagnétiques désignée dans son ensemble 79 (figure 7), par un arbre 80 qui est entraîné lui-mme en rotation par 1'intermédiaire d'un couple vis @ sans fin roue hélicoïdale 81 et un embrayage électromagnéti-' que non représenté sur le dessin, à partir de l'arbre horizontal 39.
Le mandrin 21 (figure 2) comprend à son extrémité inférieure une partie cannelée 82 en prise avec une douille
83 qui tourne dans le bâti de la machine mais qui est immo- bilisée dans le sens axial. Sur la douille 83 est fixée une autre roue dentée 84 apte à être entraînée n rotation par un arbre 85 (figure 3) relié à l'arbre du moteur 41 par une autre boîte de vitesses à embrayages électromagnétiques
86, lequel est commandé d'une façon connue par le programme enregistré sur la bande. Le mandrin 21, (figure 2) est en outre muni à sa base de deux bossages 87 aptes à entrer en prise avec deux cavités 88 creusées dans le porte-outil 19 de chaque outil 20.
Chaque porte-outil 19 est cn outre muni sur sa surface latérale de deux encoches P9 et 91 déclaées en hauteur et normalement attaquées par deux mâchoires 92 et 93 (figure 8). Chaque mâchoire 92 ou 93 est munie de
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deux bord, dentés 94 (figura 2) rt Q6 rf''1p('ct1m'''nt. qui att3quant par las deux coté*: opposé"; doux riqon' 97 qui tournant nur r1.'UX axes 98 fix6q ur le t.i;!our 17. Do cpt tr façon, .0'; I.!,-'UX ^.5choires se déplacent ;o.ajnurJ d,in3 1<.s
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deux sens opposés. Avec la mâchoire 92 coopère normalement un verrouillage à bille et à ressort 99. La mâchoire 92 est finalement munie d'un bossage 101 présentant une cavité 102 qui est apte à coopérer avec une bride 103 appartenant à une armature 104 d'un électro-aimant 105 fixé sur la machine.
L'armature 104 est normalement maintenue à droite par un ressort 106.
Chaque porte-outil 19 est Finalement muni d'une partie en tronc de cône 107 apte à s'engager dans une cavité conique 108 du mandrin 21. La partie 107 est munie d'un trou fileté 109 avec lequel peut coopérer une extrémité filetée 111 d'une tige 112 qui est coulissante et rotative dans la cavité intérieure du mandrin 21. La tige 112 est munie d'une bague 113 qui coopère avec un épaulement 114 de la cavité du mandrin et d'une partie cannelée 116 (figure 3) qui est normalement en prise avec une douille 117 cannelée intérieurement. Cette dernière est en outre cons- tamment en prise avec une extrémité cannelée d'un arbre 118 (figure 3) appartenant à un moteur électrique auxiliaire 119 du type réversible.
La douille 117 est finalement munie de deux brides 121 entre lesquelles est engagé un galet 122 porté par un levier 123 qui est articulé sur un axe fixe 124. Le levier 123 est normalement appuyé sous l'action d'un ressort 125 contre un arrêt fixe et il est en outre replié par une liaison à doigt et coulisse à une armature 126 appartenant à un électro-aimant 127.
En face de chaque outil 20 (figure 2), le tambour 17 porte un organe qui peut être positionné suivant les caractéristiques de travail demandées par l'outil correspondant, cet organe étant constitué par un tambour à profil en escalier 128 apte à être positionné à la main par
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l'intermédiaire d'une manette 129 correspondante, lorsqu'on a enlevé du tambour 17 une plaque de fermeture 131. Avec le tambour 128 peut coopérer un palpeur constitué par un profil en escalier 132 opposé au profil 128 du tambour et qui est porté par un coulisseau 133 capable de coulisser verticalement dans le bâti de la machine.
Le coulisseau 133 est muni dans sa partie supérieu- re d'une fente 134 (figure 6) qui peut coulisser sur le doigt
58. Le bord supérieur de la fente 134 est normalement Main- tenu appuyé sur le doigt 58 par un ressort de compression
136 interposé entre un trou 137 du coulisseau 133 et l'extré- mité inférieure du coulisseau 59. Un ergot 138 fixé sur le coulisseau 59 sert de guide pour le ressort 136. Le coulisseau 133 est en outre muni d'une denture 139 qui est en prise avec une roue dentée 141, laquelle est à son tour en prise avec un pignon 142 fixé sur un arbre 143 qui peut tourner sur le bâti de la machine.
Sur l'arbre 143 est en outre fixée une manivelle 144 ayant un doigt 146 en prise avec une fente 147 d'un coulisseau horizontal 148 de commande de la boîte de vitesses 79 (figure 7) de l'avance du man- drin 21.
Le fonctionnement de la machine-outil est le suivant :
Au début du cycle de travail correspondant à un outil prédéterminé, le mandrin 21 (figure 2) se trouve en position haute et, par conséquent, dégagé des outils 20.
La machine lit alors sur la bande du programme le code de l'outil 20 qui doit être sélectionné. La lecture du code provoque ensuite la fermeture du contact 44 correspondant à l'outil à sélectionner.
Si le tambour 17 se trouve en position avec l'outil 20 A sur l'axe 22 du mandrin 21 comme représenté sur la
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figure 4 et que le contact 44 I se ferme. Etant donné que l'interrupteur correspondant 45 1 ferme le contact 45 X, le contact 44 1 fait fermer alors le circuit 47 en excitant ainsi le relais RX. Celui-ci, d'une part, à travers le contact RX I, excite le télérupteur TX qui provoque la rotation du moteur électrique 42 dans le sens propre à faire tourner le tambour 17 dans le sens des aiguilies d'une montre et, d'autre part, à travers le contact RX 2, excite l'electro- aimart EL qui ferme l'embrayage 34 (figure 7).
L'arbre 41 (figure 3) du moteur 42, à travers le couple conique 40, de l'arbre 39, le couple conique 38 (figure 7) l'arbre 37, la vis sans fin 36, la roue hélicoidale 35 et l'embrayage 34, entraîne en rotation l'arbre 33 et la vis sans fin 32. Cette dernière fait alors tourner la roue 29 (figure 2) conjointement avec le tambour 17 dans le sens des aiguilles d'une montre d'un pas à chaque tour.
A la fin de chaque tour de l'arbre 33. le disque 55 fait ouvrir le contact 40. Toutefois, 3'électro-.aimant EL (figure 4) reste excité à travers le contact RX 2 du relais RX.
Lorsque la partie 49 de la came 46 entre en prise avec l'interrupteur 45 1 comme représenté sur la figure 5, ce dernier est amené à la position intermédiaire en ouvrant le contact 45 X correspondant et en désexcitant ensuite le relais RX. Les contacts RX 1 et RX 2 s'ouvrent alors mais le télérupteur #X, et l'électro-aimant EL, restent excités par leurs circuits de maintien respectifs. Lorsque, ensuite le disque 55 (figure 2) de l'arbre 63, par sa rainure, fait ouvrir le contact 50, l'électro-aimant EL (figure 4) est désexcité et fait ouvrir l'embrayage 34 (figure 7).
Le tambour 17 s'arrête alors exactement dans la position
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dans laquelle l'outil 20 1 !PI3u. ruz, ^ trouva sur l'axe 22 (figure 2) du mandrin 21 tandis jur 1- "offur électrique 42 continue à tourner pour commander les phases suivantes du cycle.
Si, au contrairp, à un moment où l'outil 20 A (figure 4) se trouve sur l'axe du mandrin, on ferme par exemple le contact 44 D, il se ferme à travers l'interupteur 45 D le circuit 51 qui excite le relais RY. Par l'intermé- diaire du relais RY 1, le télérupteur TY est alors excité et provoque la rotation du moteur 42 dans le sens opposé au sens précédent pendant que le contact RY 2 excite 1'électro-aimant EL comme dans le cas précédent.
Le tambour 17 est alors mis en rotation dans le sens inverse des aiguilles d'une montre et, lorsque la partie 48 de la came 46 dégage l'interrupteur 45 D, ce dernier est attaqué par la partie 49 de la came 46 et se place dans sa position intermédiaire, en faisant désexciter le relais RY, Lorsque ensuite l'arbre 33 (figure 2) termine son tour, le disque 65 fait ouvrir le contact 50, de sorte, que le tambour 17 s'arrête pendant que le moteur 42 continue à tourner de la même façon que dans le cas précédent.
Il est donc évident que les moyens 44, 45 et 46 (figure 4) sont aptes à fairp tourner automatiquement le tambour 17 (figure 2) dans un sens ou dans l'autre de façon à déplacer l'outil 20 à sélectionner en lui faisant parcourir le trajet le plus court pour l'amener en face du mandrin 21.
A la suite de l'arrêt du tambour 17, on provoque
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d'une façon connue le serrage de 1't,rl)r.iyaqc 3 pour un cyc.14- elf' H:-,". vis sans fin 36 (riç.Jr; 6), rn agissant kir l'rl:P1 {Llir" de la roue 52 <'t 1'4';'I,br.)y..g.. 53. fait
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maintenant tourner le disque 54 de 1800 dans un sens ou dans l'autre. La rainure excentriqup 56 du disque 54, en agissant par l'intermédiaire du galet 57 et du doigt 58, fait maintenant abaisser d'une course constante, égale à l'excentricité de la rainure 56. le coulisseau 59 conjointement avec la douille 62 et le mandrin 21. Ce dernier par l'intermédiaire de la cavité conique 108 attaque la partie 107 du porte-outil 19 tandis que les deux bossages 87 attaquent les deux cavités 88.
A son tour, la tige 112 accompagne le mandrin sous l'effet de son propre poids jusqu'à ce qu'elle s'appuie sur le trou fileté ni du porte-outil 19. Le coulisseau 59, en arrivant à fond de course, provoque une rotation du moteur auxiliaire 119 dans un sens propre à faire visser la tige 112 dans le porte-outil 19. Lorsque la bague 113 de la tige 112 s'appuie à nouveau sur l'épaulement 114, le mandrin 21 est refoulé contre le porte-outil 19. Il se produit alors une augmentation du couple demandé au moteur 119 qui, d'une façon connue, provoque l'arrêt du moteur 19.
Ensuite, l'électro-aimant 105 est excité (figure 2), l'armature 104 de cet électro-aimant faisant alors déplacer la mâchoire 92 vers la gauche par l'intermédiaire de la bride 103. Cette mâchoire, par l'intermédiaire de ses bords dentés 94 (figure 8), des deux pignons 97 et des bords dentés 98, fait déplacer la mâchoire 93 vers la droite de sorte que l'outil reste débloqué. Simultanément, l'électro- aimant 127 (figure 3) est également excité et fait descendre l'armature 126. Le levier 123 est entraîné dans le sens des aiguilles d'une montre en faisant monter la douille 117, qui dégage ainsi la partie cannelée 116 de la tige 112.
Le coulisseau 59 (figure 2) en descendant, repous-
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sr vers lp b.ag, par l'intcrrdiaire du ressort 136, le couli!!sl".\u 133 dont le profil "n escalier 132 va s'arrêtpr
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sur le profil en escalier 128 du tambour en exécutant ainsi une course qui dépend de la position angulaire dans laquelle le tambour 128 a été placé, Le déplacement du coulisseau
133 vers le bas, par l'intermédiaire de la roue 141, (fi- gure 6) du pignon 142, de l'arbre 145. de la manivelle 144 et du doigt 146, est transmis au coulisseau 148 qui prédis- pose ainsi la botte de vitesses 79 (figure 7) en fonction de l'avance prescrite pour l'outil sélectionné.
Le moteur 42 (figure 3) est alors entraîné en rotation dans le sens demandé par l'outil, cependant que la boite de vitesse 86 est Mise en action, cette botte ayant été prédisposée automatiquement par le programme enregistré sur la bande. La roue dentée 84 est alors entraînée en rotation conjointement avec la douille 83 qui fait tourner le mandrin 21 et par conséquent l'outil 20, qui a été rendu solidaire de ce mandrin par la tige 112.
Pendant cette phase du cycle, la botte de vitesses 79 (figure 7) est également mise en action et, par l'interné- diaire du pignon 78, elle fait avancer la douille 62 conjoin- tement avec le mandrin 21, en fonction de l'avance prescrite pour l'outil sélectionné.
L'arrêt et le retour de bas en haut de l'outil
20 sont commandés par le mesureur de position 71, (figure 3) d'une façon connue en soi. Lorsque le mandrin 21 est reve- nu à la position verticale qu'il avait au début du travail, les deux boites. de vitesses 79 (figure 7) et 86 (figure 3) sont rendues inactives et 1'électro-aimant 105 (figure 8) est désexcité.
Le ressort 106 ramène maintenant au repos l'armature 104 et tend à faire fermer les mâchoires 92 et
93 tandis que le mandrin 21 est encore en rotation par inertia. Les mâchoires 92 et 93 ne peuvent toutefois Se
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fermer entièrement que lorsque le porte-outil 19 se trouve orienté angulairement de àçon à présenter aux Mâchoires 92 et 93 les cavités 89 et 91 comme sur la figure 2 de sorte que chaque outil 20 est bloqué sur le tambour 17 en position orientée.
A la suite de la fermeture complète des Mâchoires 92 et 93, l'électro-aimant 127 est désexcité (figure 3), de sorte que le ressort 125 fait rêveur le levier 123 à la position de la figure 3 dans le sens inverse des aiguilles d'une montre. Le levier 123 repousse maintenant vers le bas la douille 117 en le remettant ainsi en prise avec la partie cannelée 116 de la tige 112. Le moteur 119 est alors mis en rotation dans le sens propre à dévisser l'extrémité 111 de la tige 112 du trou fileté 109 du porte-outil 19. Finalement se produit le serrage de l'embrayage 53 (figure 2), qui fait décrire un cycle de 180 au disque 54 en ramenant le coulisseau 59 à la position haute de la figure 6.
Le doigt 53 ramène alors en position haute le coulisseau 133 tandis que le ressort 76, par l'intermédiaire de la chaîne 72, ramène en position haute la douille 62 en même temps que le mandrin 21, en complétant ainsi le cycle de travail de l'outil sélectionné.
Les outils 20 utilisés dans la machine peuvent nécessiter un déplacement commandé du mandrin uniquement pendant la course descendante de travail comme, par exemple les mèches à percer 20 D et 20 C, ou bien pendant les deux courses comme, par exemple les mèches à aléser 20 A et 20 C. Dans le but d'introduire dans la fonction de l'outil sélectionné une variation automatique du programme de la machine consistant dans la commande du déplacement du mandrin également pendant la course de retour, le tambour portant le profil en escalier 128 (figure 7) est muni de deux profils
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en escaliers analogues 149 et 150.
Chaque profil 149 et
150 occupe un arc de 1800 du tambour 128 et est apte à être amené en position active par rotation de la manette
129 dans le sens correspondant, le profil 149 correspondant à un outil à percer, le profil 150 correspondant à un outil à aléser.
Le tambour 128 est également muni d'une came 151 apte à actionner un interrupteur 152 uniquement lorsque le tambour 128 est prédisposé pour placer en position ac- tive le profil 150 correspondant aux outils à aléser. L'in- terrupteur 152 prédispose alors un circuit apte A faire revenir l'outil 20 vois le haut à une vitesse réglé;.
Il va de soi que l'on peut apporter à la machine- outil à changpment automatique d'outils qui a été décrite ci-dessus divers perfectionnements et diverses modifica- tions et additions d'éléments sans pour cela sortir du domaine de l'invention.