BE659119A

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Publication number: BE659119A
Authority: BE

Description

Machine à calculer du type à report progressif.

La présente invention se rapporte aux machines à calculer ou aux machines analogues, et concerne plus particulièrement les accumulateurs ou totalisateurs du type à report progressif, dans lesquels chaque ordre d'unités ou dénominations comprend un pignon enregistreur entraîné par l'intermédiaire d'un mécanisme différentiel, simultanément par un pignon numérique appartenant au même ordre d'unités ou dénominations et par le pignon enregistreur de l'ordre d'unités immédiatement inférieur, etest-à-dire de rang immédiatement inférieur.

Les totalisateurs de ce genre sont en eux-mêmes relativement simples et de fonctionnement sûr, en raison de l'engrènement direct entre les divers pignons enregistreurs rangés par ordres d'unités. Néanmoins,

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l'exécution de totaux et de eoua-totaux, dans les, totalisateurs du type à report progressif à pond
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jusqu'à présent certaine problèmes du fait que la j' ;' pignon enrogintrour de chaque rangée reçoit une en%r4a 1,;

fractionnaire correspondant au dixième du mouvement
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(dans lee totalisateur* décimaux) du pignon enrocie-P treur du rang immédiatement inférieur, de sorte qu'il cet possible à un pignon enregietreur d'enregistrer
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par exemple 9999* Or lors de l'exécution d'un total ou 41= tous-total (total partiel), les pignons ..

sont entraînée dans le @eue de la nouctraction jusqu'à ce que dee épaulement@ de butée correspondant au zéro appelée ci-aprés "butéen de zéro" portés ",j, par les pignona enregîetroure ou associée à eux , bzz entrent en contact avec des butées de total, Ainsi, dans le cas du pignon enregistreur enregistrant 9,99
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indiqué oi-deeaue a titre d'exemple, ce pignon doit ¯, reculer de plus de 9 pas pour effectuer un total correct.

Toutefois, étant donné que, lors de l'enregistrement de 9,99, la butée de zéro associée serait pratiquement à 0, la butée de total empêcherait normalement le recul de ce pignon enregistreur et il en résulterait un total ou un total partiel erroné.

Jusqu'à présent le problème mentionné ci-dessus a été généralement résolu en ramenant successivement les divers pignons enregistreurs, eu roues calculatrices à zéro en commençant par le pignon enregistreur ayant le rang le moins élevé. Toutefois, un tel procédé exige un temps appréciable et implique la présence d'un méca- nieme de commande supplémentaire compliqué.

L'invention a pour but de résoudre les problèmes/ indiqués ci-dessus et, plus particulièrement t

- de fournir un dispositif relativement simple et de fonctionnement sur permettant d'obtenir un total ou un total partiel à partir d'un totalisateur du type à report progressif ; - de créer un totalisateur du type à report progressif dans lequel une opération de totalisation générale ou partielle peut être effeotuée en un temps égal au temps nécessaire pour exécuter une opération de pose de montant ; - de réaliser un totalisateur du type à report progressif et des commandes associées de fabrication et de montage économiques ;

- de réaliser un totalisateur du type à report progressif et des commandes associées dans lesquelles la majeure partie des pièces peuvent être moulées en matière plastique ou en une autre matière moulable.

La description qui va suivre, faite en regard des dessins annexés, donnés à titre non limitatif, permettra de mieux comprendre l'invention.

Dans ces dessins :
La fig. 1 est une vue en plan d'une machine à additionner constituant un mode de réalisation préféré de l'invention.

La fig. 2 est une vue en coupe longitudinale de la machine, faite sensiblement suivant la ligne 2-2 en fige 1. la fige 3 est une vue en coupe horizontale. représentant une partie du chariot à broches, la coupe étant faite par la ligne 3-3 en fig. 2.

La fig. 4 est une vue en coupe horizontale, sensiblement par la ligne 4-4 en fig. 2.

La fig. 5 est une vue en coupe du mécanisme de

commande de l'élément d'alignement.. , '
La fig. 6 est une vue en coupe, par la ligne
6-6 en fig. 4 représentant la came de commande du totalisateur et le galet de came associé.

La fig. 7 est une vue en coupe, à travers la ; came de commande du totalisateur par la ligne 7-7 en tige 4 ''
La fig. 8 est une autre vue en coupe à travers la came de commande du totalisateur, faite par la ligne 8-8 en fig. 4.

La fig. 9 est une vue en coupe latérale du mécanisme d'entraînement principal à secteurs sensi- blement par la ligne 9-9 en fig. 4.

La fige 10 est une vue en coupe représentant une partie du mécanisme dtexécution de total du totalisateur sensiblement par la ligne 10-10 en fig. 2.

La fig. 11 est une vue de profil aveo coupe partielle de la tringlerie actionnant les coins. détecteurs des butées de total.

La fig. 12 est une vue en coupe horizontale sensiblement par la ligne 12-12 eu fige 2 montrant une partie des commandes du totalisateur.

La fig. 13 est une vue en coupe transversale faite à travers le clavier par la ligne 13-13 en fig. 2.

La fig. 14 est une vue en plan du totalisateur.

La fig. 15 est une vue à plus grande échelle représentant, démontées, les pièces appartenant à l'un des ordres d'unités du totalisateur. la fige 16 est une vue en coupe à grande échelle du totalisateur sensiblement par la ligne 16-16 en fig.

14.

La fig. 17 est une vue en coupe à grande échelle

du totalisateur par la ligne 17-17 en fig. 16.

La fig. 18 est une vue de coté du mécanisme de , . commande des butées de totale
La fige 19 est une vue schématique Montrant la relation entre les organes du totalisateur et les leviers des butées de total, lors de l'enregistrement d'une valeur donnée à titre d'exemple.

La fig. 20 est une vue schématique montrant la relation entre les leviers des butées de total et les coins de détection de ces butées, après abais- sement de ces derniers jusqu'à leur position de coopération avec lesdits leviers.

La fige 21 représente un diagramme de distribution temporelle du fonctionnement des divers organes de la machine.

La fige 22 est une vue tragmentaire à grande échelle montrant une butée de total et son coin de détection, en position de détection d'un pignon enregistreur qui se trouve à 9.

La fige 23 est une vue analogue à la fig. 22 mais montrant un levier de butée de total et le coin de détection de celle-ci, en position de détection d'un pignon enregistreur qui se trouve à zéro.

La fig. 24 est une vue fragmentaire à plus grande échelle montrant les positions relatives des deux leviera de butée de total adjacente, lora de la détection de pignons enregistreurs respectifs réglée de manière à enregistrer la valeur exacte 99: antérieurement à l'abaissement des coins de détection.

La fig. 25 cet une vue analogue à la tige 24, montrant les pignons enregistreurs réglés pour enregistrer la valeur exacte 09 avant l'abaissement

des coins de détection* AGENCEMENT GENERAL
Si l'on considère le@' dessine de façon plue détaillée, on voit que la machine suivant l'invention eet du type à clavier réduit, également connu nous la désignation commerciale de un% KEYS", dans lequel les chiffres d'un montant ou d'une valeur, sont posée successivement au moyen de dix touches de montant 11 qui représentent les valeurs de zéro à 9.

Le fonctionnement de la machine, en vue de l'exécution des fonctions de pose des montante et d'extraction de totaux ou de nous-totaux est commandé par deux barrea de commande 109 et 1100 qui peuvent tire abaissées au doigta
L'abaissement d'une touche de montant règle une broche d'arrêt approprié 12 (fig. 2) dane un chariot à brochée désigné par la référence générale 13 qui se déplace transversalement à la machine pour venir coopérer avec des secteurs d'impression 14.

Chacun de ces secteurs porte sur sa périphérie une série de caractères d'imprimerie 15 rangée de 0 à 9, le caractère 0 étantsitué à l'emplacement extrême (dans le sens horaire) par rapport au reste de la série, Les secteurs d'impression 14 coopèrent avec un mécanisme d'impression désigné dans son ensemble par 16 pour imprimer les montants enregistrés par les secteurs 14 sur une bande de papier 17. Ces secteurs coopèrent également avec un totalisateur, désigné dans son ensemble par 18 pour poser des montants dans celui-ci ou pour extraire des montante',,-

totalisés, au cours des opérations d'extraction de totaux ou de sous-totaux.

La machine est entraînée par un moteur électrique (non représenté) par l'intermédiaire d'un accouplement à fonctionnement cyclique 20 (Fig. 4) qui est étudié de manière à entratner un arbre principal 21 d'un tour complet au cours de chaque cycle de fonctionnement. Cet arbre 21 porte plusieurs cames, qui seront décrites plus loin et qui commandent divers ensembles fonctionnels de la machine suivant une relation temporelle appro- priée.

CLAVIER
Les touches de montant 11 sont montées sur des queues 23 (Fige 2 et 13) qui peuvent coulisser verticalement dans des fentes pratiquées respectivement dans des plaques de montage de touches supérieur et inférieur 24 et 25, la plaque 25 étant convenablement fixée au bâti de la maohine. Des ressorts de tension 26 fixée à leur extrémité inférieure sur la plaque de montage inférieure 25 s'étendent sous les queues 23 des touches 11 pour les maintenir normalement en position relevée. Ces ressorts 26 traversent des trous pratiqués dans la plaque 25 pour permettre l'abaissement des touches.

Chaque queue de touche comporte un prolongement 27 fixé à l'extrémité supérieure d'un câble flexible correspondant 28. Les divers câbles sont alignés verticalement entre eux et sont montés de manière à pouvoir coulisser longitudinalement dans des rainures
29 formées dans un bloc de guidage 30 fixé à la plaque inférieure 25. Les divers câbles 28 se

terminent en un ensemble incurvé en arc de cercle concentrique à un arbre 31 qui tourillonne dans des paliers prévus dans des plaques de montage latérales 32 et 33 faisant partie du bâti de la machine (voir également la fig. 4).

CHARIOT A BROCHES
Le chariot à broches 13 est formé d'un corps incurvé 321 monté à son extrémité inférieure de manière à pouvoir coulisser sur une tige fixe 331. Ce chariot comporte à son extrémité supérieure un prolongement 34 qui est guidé le long d'une fente 35 (Pigé 2 et 3) ménagée dans un élément 36 à section en U fixé au voisinage immédiat de ses extrémités à des plaques de montage 37 et 38. le chariot à broches 13 comporte plusieurs colonnes verticales de broches d'arrêt 12 qui s'étendent radialement par rapport à l'arbre 31 et peuvent coulisser longitudinalement dans des rainures formées dans le corps 321 du chariot. Lee broches d'arrêt sont disposées en rangées horizontales alignées aveo les extrémités inférieures des câbles flexibles 28.

Ainsi, en réponse à l'abaissement d'une touche de montant 11 donnée, le câble corres- pondant 28 est déplacé longitudinalement et déplace à son tour et de la même manière une broche d'arrêt alignée en l'amenant de sa position normale de repos représentée sur la fig. 2 'à une position dans laquelle elle interpose une butée sur la trajectoire d'un épaulement 41 prévu sur chacun des secteurs d'impres- sion 14. Les broches 12 sont agencées de manière à frotter contre les parois latérales de leur rainure respective et restent ainsi dans leur position

de réglage longitudinale jusqu'à ce qu'elle soient rappelées, au coure de stade@ ultérieur* du cycle de la machine, à la suite du rappel du chariot à , broches.

Une rangée supplémentaire de brochée d'échappe- ment 40 cet prévue. Ces broches sont alignées avec les diverses colonnes verticales de broches normales et sont montées comme celles-ci de manière à pouvoir ,. coulisser longitudinalement dans des rainures formées dans le corps 331 du chariot à broche., nous l'action d'un doigt 43 d'une barre de commande commune 44 ar- ticulée en 45 sur les plaquée de montage latérales 46 et 47 du olavier, La barre de commande commune 44 cet articulée en 48 sur une autre barre de commande commune 50 (Fig.

13) qui peut pivoter dans une fente 51 de la plaque de montage 47 et s'étend sous les prolongements 27 des diverses touches de montant*
Des organes élastiques (non représentés) sollicitent constamment le chariot à broches vers la gauche (sur la fig. 3) de sorte que l'une den brochée d'échappement 40 est maintenue en butée sur un épau- lement 52 formé sur un prolongement s'étendant vers le bas de l'élément 36 à section en U.

En réponse à l'abaissement de l'une quelconque des touches de montant en vue de régler une broche d'arrêt appropriée 12, la barre de commande commune 50 bascule vers le bas et provoque l'enfoncement, par le doigt 43 de la barre de commande commune 44, d'une broche alignée 40, de sorte que le chariot à broches 13 peut s'échapper d'une colonne vers la gauche.

A la fin d'un cycle opératoire de la machine,

des organes (non représentée) rappellent le chariot
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à broches 13 vers la droite jusquth sa position reprr6.. aontée sur la t1g. , dans laquelle sa colonne de brochée de gauche est alignée avec les extrémités des, ombles 28.

Pendant ce mouvemeiltp lea broches passent sur une came fixe (non repréeentée) qui les ramené à leur position normale de repos représentée
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En réponse à l'abaiaaement de la touche de montant représentant le chiffre .9" '.Iul. la broche 40 qui permet au chariot à brochea,de t'échapper est abaïendet et Ilarrat du secteur d'impression cet assuré par une broche 211 faisant partie intégrante de ce
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secteur qui a'immobiliae contre un râtelier à armé- maillbre 212 qui elétonà transversalement à la machine ' nous le secteur 14 et qui est convenablement monté sur lea plaques latérales 32 et 33.
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QOb S $EQ t3&S D¯'¯122U8¯8I0g
Lee divers secteurs d'impression 14 peuvent tourner séparément sur l'arbre 31 et sont entraînés élastiquement dans le sens horaire à partir de leur position de repos représentée sur la fig. 2 par une
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tige de commande commune 54* Celle-ci est montée a.. ses extrémités sur des secteurs dentés dont l'un est représenté en 55 (Fig.9). Ce secteur 55 engrène avec . un second secteur denté 56 qui tourne sur un axe 114 et porte un galet de came 58 engagé dans une rainure 60 formée dans une came 61 convenablement fixée à l' arbre de oommande 21.

La tige de commande commune 54 traverse des fentes 62 pratiquées dans les divers secteurs d'impres- sion 14 et est normalement en contact avec un épaulement 69 formé sur un mince appendice incurvé 64 qui fait

partie intégrante de chaque secteur.

Comme on le voit par la fig. 21 (ligne 2) la tige de commande commune 54 bascule dans le sens horaire à partir de sa position de repos représentée, au cours d'une période qui s'étend d'environ 75 à environ 180. du cycle. Pendant cette période, elle fait tourner d'un angle correspondant les secteurs 14 jusqu'à ce que ceux- oi viennent frapper une broche d'arrêt 12 enfoncée du ohariot à broches, au cours d'une opération de pose de chiffres, ou jusqu'à ce qu'un pignon associé du totali- sateur soit ramené à zéro au cours d'opérations d'ex- traction d'un total ou d'un total partiel comme décrit plus loin. A ce moment, les épaulements de détente 69 des appendices 64 cèdent, en permettant à la tige de oommande commune de se déplacer jusqu'à la limite de sa course.

D'environ 2200 à environ 300 , la tige de com- mande oommune est ramenée à sa position de repos par basculement dans le sens anti-horaire. Au cours de cette période, le frottement entre la tige de commande commune et les appendices 64 entraine tout d'abord normalement les secteurs 14 jusqu'à leur position de repos, sous la commande, dans chaque cas, d'un ergot
213 faisant partie intégrante du secteur considéré et qui vient reposer contre le râtelier à secteurs 212.

L'immobilisation des secteurs par les ergots 213 permet à la tige de commande commune, en poursuivant son mouvement vers sa position de repos, de glisser le long des appendices 64 pour venir s'arrêter derrière les épaulements 63 des seoteurs respectifs.

DISPOSITIF D'IMPRESSION et MECANISME D'ENTRAINEMENT DU PAPIER
La bande de papier 17 est débitée par un rouleau d'alimentation 631, puis passe entre des galets d'en- traînement 641 et 65 qui la pincent entre eux, traverse. un oouloir de guidage 66 et défile devant un poste d'impression situé entre les seoteurs d'impression 14 :, et les marteaux associés 67.

En quittant le poste d'impression, la bande 17 poursuit son parcours vers le haut et passe derrière une barre de déchirement . transparente 167. ,
Les marteaux 67 sont convenablement guidés dans une plaque à fentes 68 qui leur permet de se déplacer radialement par rapport aux secteurs 14 pour entrer en contact avec la bande de papier 17 ou s'écarter de celle-ci. Les éléments 70 sollicitent les marteaux vers le bas mais ils sont normalement retenus par un élément de came tournant 71 qui agit par l'intermédiaire d'une barre de came commune 72 pivotant en 73.

La came 71 est convenablement entraînée par l'intermédiaire d'un engrenage (non représenté) avec l'arbre 21. Au cours de la phase d'impression (Fig.21, ligne 1) qui a lieu à environ 2100 du cycle de la machine, cette came permet aux ressorts 70 de propul- ser les marteaux b7 vers le bas, ce qui provoque une impression des caractères d'imprimerie 15 choisis sur la bande, à travers un ruban imprimeur approprié.

TOTALISATEUR
Suivant l'invention, le totalisateur est du type à report progressif. En se référant en particulier aux tige 2 à 14 et 17, on voit que le totalisateur 18 comporte un arbre guidé dans des fentes 169 pratiquées

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dans les plaques de montage 32 et 33 de manière a...' pouvoir se déplacer radialement par rapport aux seoteurs, 4'1=pr8esion 14, pour permettre une venue en prise ' des pignon# numérique@ 75 qui font partie du totalisa- ',1 leur, avec des segmente dentée respectifs des secteurs
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d'impreesion 14 ou un ddoengrbnement entre lesdits pignons et lesdits segments dentée.

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Chaque ordre dtuaités du totalisateur comporte" un pignon enregistreur individuel 76 muni d'une denture ., intérieure à dix dents 77 et d'un moyeu excentre 78.

Les divers pignons enregistreurs peuvent tourner
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eéparément sur l'arbre 74 et sont maintenue convens- . l' blement espacée entre eux par des doigts élastique* 81 formée chacun entre detwainureti 79 etipacées s'dten- dant longitudinalement pratiquées dans le moyeu oor
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reepondant 78 et présentant chacun un lobe 82 engagé dans une gorge 83 correspondante formée sur la péri-* phérie de l'arbre.

Un pignon flottant 84 à neuf dente tourne sur chaque moyeu 78. Ce pignon 84 engrené avec une denture intérieure à neuf dents prévue sur le pignon numérique 75 associé.et aveo les dix dents 77 du pignon enregis- treur 76 de rang immédiatement supérieur.

Chaque pignon 75 tourillonne sur un bossage annulaire 85 formé sur un pignon enregistreur voisin 76 et porte une denture extérieure de 18 dents capable d engrener aveo le segment denté du secteur d'impression associé 14.

On voit donc que chaque pignon enregistreur 76 est entrainé en rotation à la fois à partir du pignon numérique 75 associé et à partir du pignon enregistreur 76 de rang immédiatement inférieur. La relation entre

lea pignons est telle que chaque pignon enregistreur soit entraîne d'un pas numérique (intervalle entre deux chiffrée successifs) par le pignon numérique associés en réponse à un déplacement d'un pas numérique de ce dernier, et d'un dixième de pas numérique, en réponse au déplacement du pignon enregistreur de rang immédiatement inférieur d'un pas numérique,

de sorte qu'un report d'une dizaine peut t'effectuer simultané- ment à l'enregistrement de chiffrée par lee secteurs d'impression 14 dane un $@ne ou dans l'autre, selon qu'il s'agit d'effectuer des entrées additives ou des entrées
En se référant à la fig. 14, on remarquera que le pignon enregistreur 76u ayant le rang le moine élève, ou pignon de l'ordre des unités simples, est Immobilisé en rotation dans les deux sonne Il est muni à cet effet d'un ergot 191 engagé dans une fente
192 de la plaque de montage 33.

Cette fente 192 s'étend, de préférence, dans une direction radiale par rapport aux secteurs d'impression 14, de manière à empêcher toute rotation du pignon 76u au cours de la mise en prise et du désengrnement du totalisateur* COMMANDES DU TOTALISATEUR
Le totalisateur est amené en prise avec les secteurs d'impression 14 ou désengrené de ceux-ci à des instants différente d'un cycle opératoire de la machine, comme indiqué par les lignes 6, 7 et 8 du diagramme de distribution temporelle formant la figure 21, selon que des entrées additives ou noue-,'' tractives sont effectuées ou que des opérations d'ex- traction de totaux ou de totaux partiels sont exé- cutées.

A cet effet, une came de commande 86 du totali- sateur (Fig. 4, 6, 7 et 8) cet fixée à l'arbre de commande principal 21. Cette came 86 est munie sur sa périphérie de trois profile différente 87, 88 et 89 séparés par des joues discontinues 90.

Un levier commun explorateur de came 91 est monté sur l'axe fixe 114, de manière à pouvoir pivoter et se déplacer longitudinalement le long de cet arbre. Un bec palpeur 93 est prévu pour explorer, le profil de came choisi. le levier commun 91 est associée par intermédiaire d'une liaison 94 à bouton et boutonnière, à un levier commun à action de came 95 qui pivote également sur l'axe 114. * Le levier 95 est muni de bras espacés dans lesquels sont pratiquées des rainures de came 96 dans lesquelles sont engagés des galets 990, aux extrémités opposées de l'arbre 74
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du totalisateur. ln conaequenoe loraque xwi µ , 91 et 95 bauculent dane pans 0Q%1-%4>TaÀWO 'M ¯J];, 1'offe% d'un profil de Oçn8 choisi, JI1a3.l;

" It d'un receort de tension 97? nu engqbpms Il autour &V60 leu oeotê=àg d'd.mpnl.:L9ft, PU de OBBie* just iome. On :remarquera quo lM jûu$$ µ9 $#nf ' des comme indiqua en 190 pour pM?mtt$ ia+04> , du levier commun explorateur de @me 91 or4 machine fonctionne par cycles oPp>Bn t\ ' ,, Des moyen$ sont prévue your an*n*Q lot 11", commun explorateur de came 91 ti.v ' de coopération avec Il= qu*1 00 éo k1, la came 86 * A cet effet, le levier ,2... '.. par un levier fourchu 99 (rigo, 19 t comme indiqué en 100 et qui est tIlf,." 1* i\:7:

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sens anti-horaire par un ressort de tension 1f31 qui tend à amener le bec du levier explorateur de eane"> 91 en contact avec le profil 87 de la came de commande .

86. Dans ce cas, le totalisateur serait en priée avec
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les secteurs d'impreeeion 14 au cours de ces zôuv-ëzêni 0 :..' de retour à la poaition de repos ou de 'basculement dane le sono anti-horaire. Ces mouvements ne produloïnt'," , au cours d'opérations d'entrées additivee (voir auo4 ligne 8, fig. 21).

Le chariot à 'broches 13 porte un ergot 102 (Fig. 2 et 12) qui est engage dans une fente 103 '
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pratiquée dans une -plaque de blocage 104'*0elle-ei ett montée de manière à pouvoir oouliMer'd'avant eu arrière et vice-Terea sur une plaque de montage inférieure 105 de la machine, au moyen de disons 106 à tenons et mortaises. Lorsque le chariot &
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brochon 13 est amené dans sa position de droits oU' de repos sur les fige 3 et 4# l'erget 109 déplace la plaque de blocage 104 vers l'avant par effet
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de came en l'amenant a. sa position représentée sur la fig.

18 et qui fait qu'une patte 107 exerce uns action de came contre un bord incliné 108 du levier
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990 en Menant aînoï et der.n1.r à os o.it1oft .... représentés dans laquelle le levier commun explorateur ..,
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de came 91 est en position relative de ôoopeï'ttion avec le profil de dame central 884 On reaarquorà, on ,;

) ne référant aux fige 6 et 21 (ligne 7) que le profil ,,)),] de olme 88 comporte une partie . haute a'étendant tour z la majeure partie de sa périphérie, de.manière à maintenir le totalisateur en priée avec les secteurs
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d'impreaaion, tant au cours de l'avance de ces derniers qu'au cours de leur recule cet état de choses se produit

pendant les opérations d'exécution de sous-totaux du cotalisateur.

,Dans ces conditions, si aucun montant n'a été porte dans le chariot à broches 13 c'est-à-dire si ce chariot se trouve dans sa position de repos, et si l'on enfonce la barre "+ Boue-total- 109 (Fige 1) pour provoquer l'embrayage de l'accouplement 20, d'une manière appropriée (non représentée), une opération d'exécution d'un sous-total s'ensuitPar contre, si un montant a été porté dans le chariot à broches, c'est-à-dire si ce dernier est déplacé par rapport à sa position de report, la plaque de blocage 104 est déplacée, par effet de came, vers l'arrière, par rapport à sa position représentée sur la fige 12, ce qui permet au levier 99 de basculer dans le sens anti-horaire,

et d'amener le levier commun. explorateur de came 91 en position relative de coopération avec le profil de came 87*
La barre "-total" 1100 est montée sur une queue 711 (Fige 13) qui est convenablement guidée verticalement et qui comporte un bord à action de came
112 apte à coopérer avec le levier 99, de telle manière qu'un enfoncement de la barre 1100 provoque un déplacement par effet de came de ce dernier levier; dans le sens horaire, au delà de sa position représen- tée sur la fig. 12, de façon à amener le levier commun explorateur de came 91 en position relative de coopération avec le profil 89 de la came 86.

Comme représenté sur les fig. 8 et 21 (ligne 6), le profil de came 89 comporte une partie haute disposée de manière à assurer la venue en prise du totalisateur avec les secteurs d'impression au cours de la partie

initiale du cycle, ou lors de l'avance des secteurs 14, de manière à effectuer une entrée soustractive ou une opération d'extraction de total, comme il est décrit ci-après de façon plus détaillée
COMMANDES DE TOTALISATION GENERALE OU PARTISLLE.

Suivant l'invention, des moyens sont prévu* pour effectuer une extraction de total ou de sous- total dans le totalisateur, au cours de la même période cyclique que pour les opérations d'enregistrement de chiffres. A cet effet, chaque pignon enregistreur 76 est muni d'une joue 110 (Fig. 2, 15, 16 et 22 à 25) présentant une périphérie discontinue ou découpée en gradins.

La joue 110 est subdivisée en deux niveaux supérieurs diamétralement opposés 110H, de niveaux intermédiaires diamétralement opposée 110 I, et de niveaux inférieurs diamétralement opposée 110 L, Une butée de séro 111 est formée entre chaque niveau supérieur et chaque niveau intermédiaire,
Comme décrit précédemment, le totalisateur est agencé de manière à permettre l'exécution de totaux dans un sens soustractif et est ramené l'enregistrement de zéros au cours des opérations! de totalisation, par entraînement élastique de ses pignons, par l'intermédiaire des secteurs 14,

jus- qu'à ce que l'une ou l'autre des butées de zéro 111 des pignons enregistreurs soit arrêtée par une patte
112 d'un levier de butée de total associé 113. * Ces derniers leviers ne sont interposés sur les parcours des butées 111 qu'au cours des opérations de totali- sation générale ou partielle.

Les leviers 113 pivotent séparément sur l'axe fixe 114 ; chacun d'eux comporte deux dente de fourche

115 et 116 s'étendant vers le haut et qui sont espacées entre elles longitudinalement à l'axe 114 auquel elle@ sont en outre perpendiculaires. les leviers 113 sont disposés à l'intérieur d'un étrier d'arrêt de totalisation 117 qui pivote également sur l'axe 114.

Ce dernier étrier présente des fentes 118 dans les- quelles sont engagés les talons 120 des leviers 113 pour limiter le mouvement relatif entre les leviers et l'étrier. Les leviers 113 sont, de préférence, en une matière plastique flexible ; chacun d'eux comporte une mince saillie élastique 121 qui en fait partie intégrante et qui est en contact aveo l'étrier 117 de façon à maintenir élastiquement le levier cor- respondant dans sa position relative représentée à la fige 2 par rapport à l'étrier dans laquelle son talon 120 est en contact aveo le bord avent de la fente associée 118.

L'étrier 117 (voir également la fig. 18) est normalement maintenu dans la position basculée dans le sens horaire représentée par un ressort de tension 122 qui maintient un ergot 123 de l'étrier en contact avec une came 124 fixée à l'arbre d'entraînement 21.

Dans cette position, les leviers 113 sont maintenus à l'écart des joues 110, comme on le voit sur la fig.2.

Au cours de chaque cycle (comme indiqué sur la ligne 5, fig. 21), la came 124 agit en déplaçant tout d'abord l'étrier 117 dans le sens anti-horaire, d'une distance suffisante pour permettre aux leviers de butée de total 113 (si les autres oonditions le leur permettent) de se déplacer également dans le sens anti- horaire, d'une distance suffisante pour détecter tous les niveaux inférieurs 110 L des pignons enregistreurs

pouvant se trouver en regard des pattes 112 des leviera associée 113.

Un court instant plus tard (à 75 ) la came 124 permet au ressort 122 de rappeler par- tiellement l'étrier 117 dans le sens horaire, dans une mesure suffisante pour ramener tous les leviers-113 pouvant avoir antérieurement détecté les niveaux infé- rieurs des joues correspondantes des pignons enregis- treurs, à une position indiquée sur la fig. 23, dans laquelle les parties intermédiaires 110 1 peuvent passer au-dessous d'eux pour permettre aux butées de zéro 111 de venir reposer contre les pattes 112.

Ultérieurement (à 210 ) la came 124 permet au ressort 122 de racnener complètement l'étrier 117 et tous les leviers 113 à leur position normale représentée sur la fige 2.

Des moyens sont prévue pour rappeler certaine des leviers de butée de total 113 au commencement d'une opération d'enregistrement de chiffres, selon les conditions des leviers voisins des ordres d'unités immédiatement inférieurs. A cet effet, une série de coins de détection à action de came 130 (Fig. 2, 10 et 22 à 25) pivotant séparément sur une, tige 131 disposée au-dessus des dents de fourche des . leviers 113.

Comme représenté par les fige 10 et 20, chaque coin 130 s'étend au-dessus de la dent de fourche 116 du levier 113 d'un ordre d'unité donné et au-dessus de la dent de fourche 115 du levier 113 de rang immé- diatement inférieur* la tige 131 est guidée, à ses extrémités, dans des fentes 133 s'étendant verticalement (Fig. 11) pratiquées dans les plaques de montage 32 et 33.

Cette tige 131 est également engagée dans des fentes

134 pratiquées dans les braa d'un levier commun 135 pivotant en 136 et est associé, par l'intermédiaire d'une biellette 137a, à un levier commun explorateur de came 138. Celui-ci pivot* en 140 et cet sollicité dans le sens horaire par un ressort de tension 141 qui maintient son galet 142 en contact avec nn profil 143 (Pige 6 et 7) formé sur la came 86. '
Comme indiqué par la ligne 4 (Fig.

21), la came 143 cet capable de faire basculer le levier explorateur de came 138 dans le sent horaires de manière à abaisser les coins 130, au cours de la période qui s'étend de 60 à 90 C du cycles
On remarquera que les parties supérieure* des coins sont aplaties en 144 et que, lorsque la tige 131 est maintenue dans sa position supérieure comme représenté par la tige 2, ces partie. aplaties subissent l'action d'un ressort à lame 145 (Fig. 2 et 4) fixé en 146 à la barre de commande commune 135, ce qui provoque une détente des coin..

Par ailleurs en réponse à l'abaissement de la barre de commande commune 135, le ressort 145 vient frapper l'arbre 21, ce qui libère les coins pour leur permettre de basculer*
On trouvera ci-après une description de la coopération entre les leviers de butées de total 113, les divers pignons enregistreurs 76 et les soins à action de came 130, au cours d'une opération d'ex- traction de total ou de sous-totale Lorsque tous lea pignons enregistreurs enregistrent des zéros, leure parties intermédiaires 1101 sont situées directement sous les dents 112 du levier 113, comme indiqué sur la fig. 23. Dans ces conditions, si l'on essaie

d'effectuer un total, le totalisateur *et tout d'abord déplace pour venir en priée avec les secteur* 14.

La came 124 entre ensuite en action et fait basculer l'étrier 117 dans le sens anti-horaire pour permettre aux leviers de total 113 de détecter les partie. intermédiaires 110 1 des pignons enregistreurs associés. Un court instant plus tard. la came 143 abajoue les coins 130. De ce .fait, les ooins glissent simplement le long des surfaces de gauche 150 des dents de fourche 116, ce qui pro- voque un basculement libre de celles-ci, dans le sens horaire, jusqu'aux positions représentées sur la fig.

23. les secteurs d'impression sont alors actionnés et amènent les butées de zéro 111 contre les pattes 112.

Etant donné qu'aucun mouvement appréoiable des pignons enregistreurs n'a lieu à ce moment, les secteurs 14 sont arrêtés dans leur position normale de repos pour laquelle les caractères 15 d'impression de zéros sont présentés aux marteaux d'impression.

Lorsqu'un pignon enregistreur enregistre une valeur autre que zéro, une partie différente de sa joue 110 est présentée à son levier de butée 113.

Si par exemple, le pignon enregistre une valeur numérique réelle comprise entre 6 et 9,75 environ, le niveau supérieur 110 H est présenté comme indiqué,, sur la fige 22, tandis que si le pignon enregistre une valeur comprise approximativement entre 0,25 et
5, c'est le niveau inférieur 110 L qui est présenté et que si le pignon enregistre une valeur comprise entre environ 9,75 et 0,25, c'est le niveau intermédiaire
110 1 qui est présenté.

pour donner un autre exemple, si deux ordres

d'unités voisins du totalisateur enregistrent la valeur 0,9, le pignon enregistreur 76 du rang le moins élevé est réglé à 9 et le pignon 76 du rang le plus élevé est réglé à environ 0,9 en raison de la transmission des neuf-dixièmes du mouvement du pignon 76 du rang le moins élevé. Ce mouvement est suffisant pour faire franohir au niveau intermédiaire 110 1 du pignon du rang le plus élevé la patte associée 112. En oonséquenoe, les leviers de butée de total prennent la position représentés sur la fig. 25 lorsque l'étrier 117 bascule dans le sens anti-horaire.

Quand les coins 130 sont abaissés, le coin associé à ces leviers glisse dans le sens anti-horaire librement le long de la surface 152 de la dent de fourche 115 du levier de butée du rang le moins élevé et également le long du coté arrière 151 de la fourohe 116 du levier de butée du rang le plus élevé.

Avant l'aotionnement des secteurs d'impres- sion, la came 124 entre en action et ramène le levier de butée du rang le plus élevé au niveau de la partie intérieure 110 1 de son pignon enregistreur 76.

En conséquence, lorsque les secteurs sont actionnés, les pignons enregistreurs du rang le moins élevé sont déplacés dans le sens anti-horaire de 9 pas, jusqu'à ce que sa butée de zéro 111 soit appliquée oontre son levier de butée de total. Ainsi, l'inter- valle entre la patte 112 du levier de butée de rang immédiatement supérieur et sa butée de zéro associée
111 est pratiquement comblé, de sorte que le pignon enregistreur de ce dernier rang n'avanoe pas de façon appréciable.

On considérera maintenant un exemple dans lequel la valeur 99 est enregistrée par deux ordres d'unités adjacents, les positions relatives normales des deux pignons enregistreurs et de leurs leviers . de butée de total associés, antérieurement à l'abaissement des coins 130 étant représenté sur la tige 24. Dans ce cas, le pignon enregistreur du rang le moins élevé présente son niveau supérieur 110 H à son levier de butée de total, maie le pignon enregistreur du rang le plue élevé qui enregistre en fait 9,9 présente normalement son niveau intermédiaire 110 I, bien qu'il puisse éventuellement présenter son niveau supérieur 110 H, si les pignons entraînés compor- tent des imprécisions.

Si les conditions représentées sur la fige 24 sont réalisées, l'abaissement ultérieur du coin 130 commun aux deux leviers de butée fait glisser ceux-ci, avec effet de came, le long de la surface 152 de la dent de fourche 115 du levier du rang le moins élevé et exerce ainsi une action de came sur le levier de butée du rang le plue élevé en le faisant pivoter dans le sens horaire pour amener sa patte 112 au-dessus du niveau supérieur de la joue du pignon assooié, de sorte que les deux pignons sont entraînée dans le sens soustractif de 9 pas jusqu'à zéro. Tout report fractionnaire vers un pignon enregistreur de rang immédiatement supérieur est retranché au cours de cette opération.

Dans l'ordre d'unités immédiatement supérieur, le levier de butée de total 113 se soulève sous l'action de la came 124, jusqu'à un niveau intermédiaire, ce qui immobilise son pignon associé à zéro.

On considérera maintenant un exemple dans lequel

la valeur 009990 est enregistrée par le totalisateur et dans lequel une opération d'extraction de total doit être effectuée. Dans ce cas, comme représenté-,,' schématiquement sur la fig. 19, les jouée 110 des divers pignons enregistreurs 76 se trouveraient dans les positions relatives représentées par rapport à leurs leviers de butée de total 113. En d'autres termes, les divers pignons enregistreurs et leurs joues 110 enregistreraient en fait les valeurs indiquées directement au-dessus de ces organes, tandis que l'enregistrement en valeur numérique réelle est indiqué entre parenthèses..

Lorsque les leviers de butée de total 113 peuvent palper les joues 110, ils prennent les po- sitions relatives (vues en plan) représentées dans l'angle inférieur de gauche de la fig, 19, par rap- port à une ligne de référence 155.Plus préciément, le levier de butée 113 de l'ordre des unités simples z¯, ¯¯ entre en contact avec le niveau intermédiaire de la joue 110 associée. Le levier de butée de l'ordre des dizaines entre en contact avec le niveau extérieur de . la joue associée 110. Dans l'ordre des centaines, le pignon enregistreur et sa joue enregistrent 9,9.

En conséquence, la butée associée est normalement bloquée dans sa position intermédiaire représentée en trait@ pleine dans laquelle elle repose sur le niveau inter- médiaire de la joue, mais elle peut être éventuellement ' bloquée dans sa position extérieure extrême, représentée en traits interrompus en cas d'imprécisions dans le train d'engrenages. Dans l'ordre des mille, le pignon enregistreur 76 et sa joue 110 sont à 9,99 c'est-à-dire sensiblement à O de sorte que le levier de butée de

total associé prend sensiblement la même position que la butée de zéro de l'ordre des unités simples.

Dans l'ordre des dizaines de mille, bien qu'aucun enregie- trement de chiffre n'ait eu lieu, le pignon ce trouve à 0,999 c'est-à-dire pratiquement à 1, sous le seul effet de report de dizaines à partir des trois ordres d'unité* inférieure. Le levier de butée de total reto@- be en conséquence à sa position intérieure extrême.

L' ordre des centaines de mille, qui enregistre 0,09, pré- cent* son niveau intermédiaire à son levier de butée.,
On remarquera que, à ce stade, les coins de détection 130 sont de forme asymétrique, chacun d'eux présentant un profil de came 171 qui s'étend en faisant - avec une ligne radiale passant par son sommet un angle plus grand que le profil de came opposé 173.

Cette construction permet à chaque coin, lorsqu'il est déplacé dans le sens anti-horaire, par effet de came, par un levier de butée de total associé 113 d'exercer lui-même un effet de came sur le levier de butée de total de rang immédiatement supérieur, dans une mesure légèrement plus grande, ce qui compense toute usure ou imprécision dans les dimensions, tout en assurant que la joue 110 associée à ce levier de butée de rang supérieur, est convenablement mise en position par rapport à celui-ci.

Par ailleurs, lorsque les coins 130 sont abaissés, comme indiqué dans la vue schématique en plan de la fig. 20, le levier de butée des unité aîmples levier butée des dizaines ites simples ? et le levier de butée des dizaines T restent respectivement non affectés. Le levier de butée H de l'ordre des centaines est ramené par effet de came à la position représentée, s'il n'était pas déjà maintenu

dans celle-ci par la joue du pignon associée Le levier de butée T de l'ordre des mille est rappelé par effet de came par le coin associé 130 coopérant avec le levier de butée H.

Le levier de butée TT de l'ordre! des dizaines de mille, qui à ce moment détecte le niveau. inférieur de la joue du pignon associé, peut rester en contact aveo ce niveau. Bien entendu, le levier HT des centaines de mille détecte le niveau intermédiaire de la joue associée et n'est pas déplacé par le coin associé.

Des moyens sont prévus pour faire légèrement reculer les secteurs d'impression 14, d'environ un quart du pas circulaire des dents de ce secteur, et ceci dans le sens anti-horaire lorsque la machine est au repos, ainsi que pendant les phases initiales d'un cycle et au cours de l'opération d'impression. Ce recul des secteurs permet à l'une quelconque des broches d'arrêt 12 les plus inférieures représentant zéro d'être réglées, tout en permettant un déplacement du chariot à broches, sans que celui-ci risque d'entrer en contact avec les épaulements 41 des secteurs. En outre, ce réglage permet un maximum de tolérance dans la fabri- cation des pièces du totalisateur, tout en assurant néanmoins un fonctionnement sût de ces pièces en par- ticulier au cours d'opération de totalisation généra- le ou partielle.

Il est prévu à cet effet, un organe d'alignement 156 ( Pige 2 et 5) s'étendant le long de tous les sec- teurs d'impression. Cet organe d'alignement est articule en 158 sur un levier de commande commun 160 qui pivote sur une tige fixe 161 et est normalement maintenu dans une position basculée dans le sens anti-horaire

par rapport au levier 160 par un ressort de tension 159.

Le levier de commande commun 160 (voir également la fig. 5) est associé par l'intermédiaire d'un liaison à ergot et encoche 162 à un levier explorateur de came 163. Oelui-oi pivote sur l'axe 114 et porte un galet 164 qui est maintenu par un ressort de tension 165 contre la périphérie d'une came de commande 166 de l'organe d'alignement fixée sur l'arbre d'entrai- nement 21.

Lorsque l'organe d'alignement subit un bascu- lement et s'engage entre deux dents adjacentes des secteurs 14, le levier de commande commun 160 continue à basculer légèrement dans le sens anti-horaire et exerce une action de pivotement qui fait reculer légè- rement les secteurs,
Comme indiqué sur la ligne 3 de la fige 21 l'organe d'alignement 156 est normalement engagé et maintenu en position jusqutà environ 75 du cycle..

Ainsi, au cours d'opérations de totalisation générales ou partielles, dans lesquelles les leviers de butée de total 113 sont mis en coopération avec les éléments enregistreurs 76 du totalisateur; ces éléments subissent un léger recul (voir la fig. 23) de manière à assurer la présentation des niveaux voulus des éléments enre- gistreurs aux leviers de butée respectifs 113, en dépit d'imprécisions quelconques des pièces du totali- ' sateur.

Juste avant l'opération d'impression, l'organe d'alignement est à nouveau amené en position active pour aligner les secteurs et les faire avancer jusqu'à . une position dans laquelle ils sont maintenus jusqu'après l'opération d'impression et le commencement du mouvement de retour des secteurs (à 220 ).Ainsi, les caractères

d'imprimerie appropries sont convenablement alignés entre eux et avec les marteaux au cour* de l'impression.

On remarquera (Fige 2 et 12) qu'un rebord 127 de la plaque 104 se trouve normalement (lorsque le chariot à broches se trouve en position de repos) à l'écart des trajectoires des doigts 125 des leviers 113, ce qui permet à ceux-ci d'être amenée en position relative de coopération avec les joues 110. Par contre, au coure d'opérations de pose de chiffres, lorsque le chariot à broches est déplacé par rapport à sa position de repos, la plaque 124 est déplacée vers l'arrière, ce qui met en position le rebord 127 sous les doigts 125 pour empêcher le mouvement des leviers 113 vers leur position relative de coopération aveo la joue 110.

Des doigts d'alignement supplémentaires 128 font saillie sur les leviers 113 pour aligner les pignons numériques 75, lorsque ceux-ci sont désengrénés des secteurs 14, comme représenté sur la fig. 2. Par contre... lorsque le totalisateur est déplacé vers le haut pour venir en prise avec les secteurs, les pignons 75 sont dégagés de ces voies d'alignement.

**ATTENTION** fin du champ DESC peut contenir debut de CLMS **.

Claims

Diverses modifications peuvent être apportées au mode de réalisation décrit sans s'écarter de l' invention dans le domaine des équivalences techniques* REVENDICATIONS 1. Dans une machine à calculer, oombinaison carac- térisée par un totalisateur possédant une série d'élé- mente enregistreurs arrangés par ordres d'unités, des pignons numériques pour ceux-ci, un mécanisme de report progressif des dizaines entraîné avec ces pignons et ces éléments enregistreurs, des organes de commande <Desc/Clms Page number 30> différentiels pour ces pignons numériques, des diapo- sitifs de totalisation, pour ce totalisateur, consti- tuée par des butées de zéro portés par les éléments enregistreurs, des butées de total,

desdispositifs de commande de totalisation pour assurer une relation de coopération entre ces butées de total et les élé- mente enregistreurs et pour provoquer l'entraînement des pignons par les organes de commande, de façon à rétracter les éléments enregistreurs, jusqu'à ce que les ratées de zéro engagent les butées de total, des dispositifs commandés par une butée de total en coopé- ration avec un élément enregistreur qui enregistre plus qu'un montant prédéterminé, pour maintenir la butée de total associée à l'élément enregistreur de rang im- médiatement supérieur en dehors d'une relation de coopération avec ce dernier élément ,%, ,mentionné, seu- lement quand celui-oi enregistre moins qu'un montant prédéterminé,

et des dispositifs pouvant être manoeu- vrés indépendamment des éléments enregistreurs, après que.l'élément enregistreur mentionné en dernier lieu a été rétracté d'un montant prédéterminé, pour rendre inopérante les derniers dispositifs mentionnés.

2. Dans une machine à calculer, combinaison caractérisée par un totalisateur possédant une série d'éléments enregistreurs arrangés par ordres d'unités, des pignons numériques pour ceux-ci, un mécanisme de report progressif des dizaines entraîné avec ces pi- gnons et ces éléments enregistreurs, des organes de oommande différentiels pour les pignons numériques, des dispositifs de totalisation constituée par des butées de zéro portées par les éléments enregistreure des butées de total, des dispositifs de commande de <Desc/Clms Page number 31> commande de totalisation, pour assurer une natation de coopération entre ces butées de total et les éléments enregistreurs et provoquer l'entraînement des pignons par les organes de commande,

afin de ré-' tracter les éléments enregistreurs jusqu'à ce que les butées de zéro engagent les butées de total. des dis- positifs commandés par chaoun des éléments.enregis- treurs, pour contrôler normalement la position de sa butée de total par rapport à sa butée de zéro ,des dispositifs commandés par une butée de total en coopé- ration aveo un élément enregistreur qui enregistre plus qu'un montant prédéterminé, pour maintenir la butée de total associée avec l'élément enregistreur d'ordre immédiatement supérieur, sans relation de coopération avec le dernier élément mentionné, le dernier dispositif mentionné étant inopérant quand l' élément enregistreur de rang supérieur enregistre es- sentiellement 1 ou plus,

et des dispositifs pouvant être manoeuvrés indépendamment des éléments enregis- treurs, après que l'élément enregistreur mentionné en dernier lieu a été rétracté dans une mesure pré- déterminée, pour rendre inopérant le dernier disposi- tif mentionné.

3. Dans une machine à calculer, combinaison caractérisée par un totalisateur possédant une série d'éléments enregistreurs arrangés par ordres d'unitéa des dispositifs numériques pour ceux-ci, un mécanisme de report progressif des dizaines entraîné aveo ces pignons et ces éléments enregistreurs, des organes de commande différentiels pour les pignons numériques, des dispositifs de totalisation constitués par des butées de zéro portées par les éléments enregistreurs, <Desc/Clms Page number 32> des butées de total, des dispositifs de commande de totalisation pour assurer une relation de coopération entre les butées de total et les éléments enregistreurs et provoquer l'entraînement des pignons par les organes, d'actionnement,

afin de rétracter les éléments enregis- treurs jusqu'à ce que les butées de zéro engagent les butées de total, des dispositifs commandés par chacun des éléments enregistreurs, pour contrôler normalement la position de sa butée de total par rapport à sa bu- , tée de zéro, des dispositifs commandés par une butée de total en coopération avec un premier élément enre- gistreur enregistrant plus qu'un montant prédéterminé, pour maintenir la butée de total de rang Immédiatement' supérieur associée à l'élément enregistreur de rang im- médiatement supérieur, sans relation de coopération avec l'élément mentionné en dernier lieu,

les disposi- tifs mentionnés en dernier lieu étant inopérants quand l'élément enregistreur de rang immédiatement supérieur enregistre essentiellement plus que 0, et des disposi- tifs pouvant être manoeuvrés indépendamment des élé- ments enregistreurs, après que la butée de zéro de cet élément enregistreur de rang supérieur est rétracté au-delà de la butée de total de rang supérieur, pour rendre inopérant le dispositif maintenant la butée de total.

4. Dans une machine à calculer, combinaison ca- ractérisée par un totalisateur possédant une série d' éléments enregistreurs arrangés par ordres d'unités, des pignons numériques pour ceux-ci, un mécanisme de report progressif des dizaines entraîné aveo ces pi- gnons et ces éléments enregistreurs, des organes de commande différentiels pour les pignons numériques, <Desc/Clms Page number 33> des dispositifs de totalisation constitué* par des butées de zéro portées par les éléments enregistreurs, des butées de total, des dispositifs de commande de totalisation, pour assurer une relation de coopération entre les butées de total et les éléments enregistreur* et pour provoquer l'entraînement des pignons par les organes de commande, afin de rétracter ces éléments en- registreurs jusqu'à ce que les butées de zéro engagent les butées de total,

des dispositifs palpeurs commandée par un premier élément enregistreur sur enregistrement d'essentiellement 9 pour rendre inopérante une seconde butée de total associée à un second élément enregistreur de rang immédiatement supérieur si ce second élément en- registreur enregistre essentiellement 0, ces dispositif* palpeurs étant inopérants si le second élément enregis- treur enregistre essentiellement 1 ou plus, et des dis- positifs pouvant être manoeuvrés indépendamment des élé- ments enregistreurs, après commencement du mouvement d' entraînement par les organes de commande, pour rendre inopérants les dispositifs palpeurs.

5. Dans une machine à calculer, combinaison caractérisée par un totalisateur possédant une série d'éléments enregistreurs arrangés par ordres d'unités, des pignons numériques pour oeux-oi, un mécanisme de report progressif des dizaines entraînés avec ces pi- gnons et ces éléments enregistreurs, des organes de com- mande différentiels pour les pignons numériques, des dispositifs totalisateurs constitués par des butées de zéro portées par les éléments enregistreurs, des butée* de total, des dispositifs de commande de totalisation pour assurer une relation de ooopération entre les bu- tées de total et les éléments enregistreurs et provo- <Desc/Clms Page number 34> quer l'entraînement des pignons par les organes d'en- traînement,

afin de rétracter les éléments enregistreurs jusqu'à ce que les butées de zéro engagent les butées de total, des dispositifs comprenant les butées de total, pour palper les valeurs enregistrées par chacun des éléments enregistreurs respectifs, des dispositifs commandés par une butée de total sur la détection d'un enregistrement de 9 par son élément enregistreur respec- tif, pour empêcher une seconde butée de total associée à un second élément enregistreur de rang immédiatement supérieur d'engager la butéa de zéro portée par ce se- cond élément enregistreur, si celui-ci enregistre essen- tiellement moins que 1, les derniers dispositifs mention- nés étant inopérants si le second élément enregistreur enregistre essentiellement 1 ou plus,

et des dispositifs pouvant être manoeuvrés après que le premier élément enregistreur est rétracté dans une mesure prédéterminée pour placer la seconde butée de total dans le passage de la seconde butée de zéro.

6. Dans une machine à calculer, combinaison ca- ractérisée par un totalisateur possédant une série d' éléments enregistreurs arrangés par ordres d'unités, des pignons numériques pour ceux-ci, un mécanisme de report progressif des dizaines entraîné aveo ces pi- gnons et ces éléments enregistreurs, des organes de.com- mande différentiels pour les pignons numériques, des butées de total, chacun des éléments enregistreurs possédant un épaulement de butée de zéro, une partie supérieure représentant essentiellement l'enregistre- ment de 9, une partie intermédiaire représentant es- sentiellement l'enregistrement de 0 et une partie in- férieure représentant essentiellement l'enregistrement de 1, dès dispositifs de commande totalisateurs pour <Desc/Clms Page number 35> amener les butées de total en engagement avec les éléments enregistreurs,

dans les passages des épau- lements des butées de zéro et provoquer l'entraînement des pignons par les organes de oommande, des disposi- tifs commandés par l'une des butées de total sur enga- gement d'une partie supérieure, afin d'empêcher une se- conde butée de total associée à un second élément d' enregistrement de rang immédiatement supérieur de coopé- rer avec l'épaulement de butée de zéro sur ce second élément enregistreur, si la seconde butée de total en- gage une partie intermédiaire de ce second élément en- . registreur, les dispositifs mentionnés en dernier lieu étant inopérants si la seconde butée de total engage une' partie inférieure du second élément enregistreur.

7. Dans une machine à calculer, combinaison caractérisée par un totalisateur possédant une série d'éléments enregistreurs rotatifs arrangés par ordre d'unité , des pignons numériques pour ceux-ci, un mé- canisme de report progressif des dizaines entraîné avec ces pignons et ces éléments enregistreurs, des organes de commande différentiels pour les pignons numériques, des dispositifs totalisateurs constitués par des épau- lements de butée de zéro portés par les éléments enre- , gistreurs, des butées de total, des dispositifs de com- mande totalisateurs pour engager les butées de total aveo les éléments enregistreurs et provoquer l'entrai- nement de ces derniers par les organes de oommande vers l'enregistrement de 0,

chacun de ces éléments enregis- treurs possédant une partie supérieure qui lui est con-. oentrique et pouvant coopérer avec une butée de total quand l'élément enregistreur associé enregistre un mon- tant prédéterminé, et une partie inférieure pouvant <Desc/Clms Page number 36> coopérer avec la butée de total, quand l'élément enre- gistreur associé enregistre essentiellement 0, et 'des :

, dispositifs commandés par une butée de total sur l'en gagement de la partie supérieure d'unélément enregis- treur associée afin de rendre inopérant cette butée de , total associée à l'élément.enregistreur d'ordre immédia- tement supérieur, si cet élément enregistreur enregistre essentiellement 0, ce dernier dispositif mentionné pou- vant être actionné après que l'épaulement de butée de zéro de l'élément enregistreur mentionné en dernier lieu a dépassé la butée de total associée pour rendre cette dernière inopérante.

8. Dans une machine à calculer, combinaison ca- ractérisée par un totalisateur possédant une série d' éléments enregistreurs rotatifs arrangés par ordres d' unités, des pignons numériques pour oeux-oi, un diapo- sitif de report progressif des dizaines entraîné avec ces pignons et ces éléments, des organes de commande différentiels pour ces éléments numériques, des butées de total, chacun des éléments enregistreurs possédant une partie supérieure concentrique à celui-ci et re- présentant essentiellement 9 et une partie inférieure représentant essentiellement 0, un épaulement de butée , de zéro, des dispositifs de commande totalisateurs pour engager les butées de total avec les éléments enregis- treurs et provoquer l'entraînement de ces derniers par les organes de commande,

des dispositifs palpeurs pou- vant engager les butées de total, et dont chacun est efficace, quand l'une des butées de total engage une partie supérieure, pour dégager la butée de total asso- ciée à l'élément enregistreur de rang le plus élevé de ce dernier élément, seulement.quand la dernière butée de total mentionnée engage la partie inférieure de cet <Desc/Clms Page number 37> élément enregistreur de :rang immédiatement supérieur, et des dispositifs pour rendre les dispositifs palpeurs efficaces avant le commencement du mouvement dtentrai- nement des organes de commande et pour rendre inopérant* ces dispositifs palpeurs, après le commencement du mou- vement d'entraînement de ces organes de commande.

9. Dans une machine à calculer, combinaison d'un totalisateur possédant une série d'éléments enregis- treurs arrangés par ordres d'unités, des pignons numé- riques pour ceux-ci, un mécanisme de report progressif des dizaines entraîné avec ces pignons et ces élément* enregistreurs, des organes de commande différentiels pour les pignons numériques, des disques de commande portés par les éléments enregistreurs et possédant cha- cun une partie supérieure représentant essentiellement 9, une partie intermédiaire représentant essentiellement 0, une partie inférieure représentant essentiellement 1 et miaulement de butée de zéro entre les parties @u- périeure et intermédiaire, des butées de total pouvant engager ces disques, des dispositifs de oommande tota- lisateurs,

pour provoquer l'engagement des butées de total avec les disques et provoquer l'entraînement des pignons par les organes de commande, afin de rétracter les éléments enregistreurs, des dispositifs palpeurs, dont chacun est commandé par une butée de total, seule- ment quand la dernière butée de total mentionnée engage une partie supérieure pour retirer la butée de total associée à l'élément enregistreur de rang immédiatement supérieur, seulement quand la dernière butée de total mentionnée engage une partie intermédiaire.

10. D2ns une machine à calouler, combinaison caractérisée par un totalisateur possédant une série <Desc/Clms Page number 38> d'éléments enregistreurs arrangea par ordres d'unitée, des pignons numériques pour ceux-ci, un mécanisme de /,,# report progressif des dizaines entraîné avec ces pi- '' gnons et ces éléments enregistreurs, des organes de commande différentiels pour les pignons numériques, des disques associés fonctionnellement aux éléments en- registreurs et possédant chacun une partie supérieure .. représentant essentiellement 9, une partie intermédiaire représentant essentiellement 0, une partie Inférieure représentant essentiellement 1 et un épaulement de butée de zéro,

entre les parties supérieure et intermé- diaire, des butées de total pouvant engager les dis- ques, des dispositifs de commande totalisateurs pour provoquer l'engagement des butées de total avec les disques et assurer l'entraînement des pignons par les organes de commande, afin de rétracter les éléments enregistreurs, des dispositifs palpeurs dont chacun est commandé par une butée de total, seulement quand la dernière butée de total mentionnée engage une par-,,',, tie supérieure pour retirer la butée de total associée .. avec l'élément enregistreur de rang immédiatement su- périeur, seulement quand la butée de total mentionnée,,

*'-.- en dernier lieu engage une partie intermédiaire et des dispositifs pour rendre les dispositifs palpeurs inopérants après une rétraction prédéterminée des élé- mente enregistreurs.

Il. Dans une machine à calculer, combinaison caractérisée par un totalisateur possédant une série d'éléments enregistreurs arrangés par ordres d'unités, des dispositifs numériques pour ceux-ci, un mécanisme de report progressif des dizaines entraîné avec ces pi- gnons et ces éléments enregistreurs, des organes de com- <Desc/Clms Page number 39> mande différentiels pour ces pignons numériques, des disques de commande portée par les éléments enregistreur,4, possédant chacun une partie supérieure représentant essentiellement 9, une partie intermédiaire repré- sentant essentiellement 0, une partie inférieure repré- sentant essentiellement 1 et un épaulement de 'butée de zéro, entre les parties supérieure et intermédiaire, des butées de total pouvant engager ces disques,

des dispositifs de commande totalisateurs pour provoquer l'engagement des butées de total et des disques et as- surer l'entraînement des pignons par les organes de com- mande, afin de rétracter les éléments enregistreurs, des dispositifs palpeurs, des dispositifs pouvant être ac- tionnés avant rétraction des éléments enregistreur., pour assurer une relation de coopération entre les dis- positifs palpeurs et les butées de total, ces dispositif* palpeurs étant commandés par une butée de total, seule- ment quand la dernière butée mentionnée engage une par- tie supérieure, pour retirer la butée de total associer à l'élément enregistreur de rang immédiatement supérieur, seulement quand la dernière butée de total mentionnée engage une partie intermédiaire, le dispositif mention- .

né en dernier lieu dégageant les dispositifs palpeurs: de leur relation de coopération avec les butées de to- tal, après une rétraction prédéterminée des éléments enregistreurs.

12. Dans une machine à calculer, combinaison caractérisée par un totalisateur possédant une série d'éléments enregistreurs rotatifs arrangés par ordres d'unités, des pignons numériques pour ceux-ci, un mé- canisme de report progressif des dizaines entraîné avec ces pignons et ces éléments enregistreurs, des organes <Desc/Clms Page number 40> de commande différentiels pour ces pignons numériques,.

des disques de commande portée par les éléments enre- gistreurs dont chacun possède une partie supérieure con- contrique à l'élément enregistreur respectif et repré- eentant essentiellement les valeurs 6 à 9 inclusivement, une partie intermédiaire représentant essentiellement 0, une partie inférieure concentrique à la partie supérieure et représentant approximativement les valeurs 1 à 6 in- clusivement, un épaulement de butée de zéro entre ces parties supérieure et intermédiaire, des butées de to- tal pouvant engager ces disques, des dispositifs de com- mande totalisateurs pour provoquer l'engagement des bu- tées de total et des disques et assurer l'entraînement des pignons par les organes de commande, afin de rétrac-, ter ces éléments enregistreurs, des dispositifs palpeurs,

des dispositifs pouvant être actionnés avant la rétrao- tion des éléments enregistreurs, pour assurer une rela- tion de coopération entre les dispositifs palpeurs et les butées de total, chacun des dispositifs palpeurs étant commandé par une butée de total respective, seu- lement quand la dernière butée mentionnée engage une partie supérieure pour retirer la butée de total asso- ciée à l'élément enregistreur de rang immédiatement supérieur, seulement quand cette dernière butée de to- tal mentionnée engage une partie intermédiaire, lea dispositifs mentionnés en dernier lieu supprimant la relation de coopération entre les dispositifs palpeurs et les butées de total après un mouvement d'entraîne- ment prédéterminé des organes de commande.