CH309225A - Calculatrice-imprimeuse. - Google Patents

Calculatrice-imprimeuse.

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CH309225A
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Corporation Underwood
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Underwood Corp
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      Calculatrice-imprimeuse.       La présente invention a pour objet     un(,,          cilculatriee-imprimeuse    capable de résoudre  des problèmes de multiplication ou de division  et d'imprimer les résultats de ces     probl        èmesen     plus des fonctions usuelles d'une     calculatrice-          imprimeuse    pour l'addition et la soustraction.  



  Une machine de ce genre est particulière  ment avantageuse dans les bureaux où la     ma.-          Jorité    des opérations<B>à</B> effectuer sont de sim  ples additions ou soustractions avec, occasion  nellement, un problème de, multiplication oui  <B>de</B> division<B>à</B> résoudre. Pour tous ces problè  mes, les résultats des calculs doivent être  automatiquement imprimés sur une bande  pour contrôler l'attention de l'opérateur et  pour éliminer la nécessité de deux machines  distinctes, avec la possibilité d'une erreur  clans la transcription des réponses de l'une  des machines.  



  La     calculatrice-imprimeuse    faisant l'objet  de l'invention comprend un mécanisme     folie-          tionnant    par cycles, un mécanisme     dInscrip-          tion        avancant    d'un pas dans un rang supé  rieur pour chaque chiffre qui<B>y</B> est inscrit,  un     totalisateLir,    un dispositif pour faire passer  clans ledit totalisateur les valeurs du     inéca-          nisme    d'inscription,     additivement    ou     sous-          tractivement,

      un     méeanismede    multiplication  commandant les cycles répétés dudit     méca,-          nisme    fonctionnant par cycles, un méca  nisme de rappel qui, durant -une multiplica  tion et une -division, rappelle le mécanisme       dInscription    d'un pas pour diviser le -niulti-         plicande    ou le diviseur par le facteur<B>10,</B> et  -une barre<B>à</B> caractères     compte-Lise    avançant  d'un pas<B>à</B> chaque cycle de multiplication ou  de division.  



  Selon l'invention, cette     calculatrice-impri-          nieuse    est caractérisée en ce qu'elle comprend  un organe de pose du multiplicateur, qui est       déplacable    dans un sens<B>à</B> partir de la posi  tion normale zéro jusque dans lune quelcon  que de plusieurs positions numériques corres  pondant<B>à</B> la valeur du multiplicateur et qui  a une position     subnormale    dans laquelle il se  déplace d'un pas dans le sens opposé au-delà  de la position normale dans le dernier cycle  d'addition pendant une multiplication, -un mé  canisme de commande de la multiplication  permettant la répétition de cycles d'addition,

    <B>y</B> compris le rappel dudit organe de pose dit  multiplicateur et l'avancement de ladite barre       eompteuse    d'un pas par cycle, et provoquant  le rappel     dîm    pas du mécanisme d'inscrip  tion et le rappel de la barre     compteuse        seule-          nient    lorsque l'organe de pose<B>du</B> multiplica  teur est     nifide    la position     subnormale   <B>à</B> la po  sition normale,

   et un mécanisme de commande  <B>de</B> la division pour mettre en fonctionnement  le mécanisme de commande de multiplication  et provoquer ainsi la répétition de cycles  soustractifs aussi longtemps que le totalisa  teur contient un reste positif et déterminer  Lin enregistrement additif en vue de ramener  <B>la</B> barre     compteuse    et d'actionner le méca  nisme de rappel du mécanisme d'inscription      d'un pas quand le reste dans le totalisateur  est négatif.  



  Le dessin annexé représente,<B>à'</B> titre  d'exemple, une forme d'exécution de la     calcu-          latrice-imprimeuse    faisant l'objet de l'inven  tion.  



  La     fig.   <B>1</B> en est une vue d'ensemble.  



  La     fig.    2 est une vue en plan représentant  la position des différentes touches du clavier.  La     fig.   <B>3</B> est une vue en coupe montrant  des mécanismes fondamentaux pour l'inscrip  tion et     Fenre-istrement    des nombres dans     un          Zn     totalisateur.  La     fig.    4 est une vue prise du côté droit  et montrant des organes de commande     au-          dessus    du totalisateur, pour l'addition, la  soustraction et la prise des totaux, ainsi     q-LL#iiii     mécanisme     dImpression    de symboles.  



  La     fig.   <B>5</B> est une vue partielle. montrant  le débrayage de berceaux de multiplication et  de division par une touche de correction.  



  La     fig.   <B>6</B> est une vue prise du côté droit  et montrant un mécanisme usuel pour la prise       d5un    total, un mécanisme automatique pour  amorcer une prise de total après -une opéra  tion de multiplication ou de division, ainsi  qu'une partie d'un mécanisme d'impression  des symboles.  



  La     fig.   <B>7</B> est une vue d'une partie de<B>la</B>       fig.   <B>6</B> et montre un     oi-yane    permettant de     pré-          ,déterminer    si -une prise de total automatique       Ooit    suivre ou non une opération de multipli  cation ou de division.  



  La     fig.   <B>8</B> est une vue en perspective d'une  partie du mécanisme d'inscription des valeurs  et montre également une touche de prolonga  tion     du    calcul ainsi que des organes<B>de</B> liaison  entre ces     deuxdispositifs.     



  La     fig.   <B>9</B> est une vue en perspective d'un  mécanisme pour le débrayage du mécanisme  automatique de rappel des organes d'inscrip  tion des nombres dans les opérations de mul  tiplication et de division.  



  La     fig.   <B>10</B> est une vue latérale prise     (lu     côté gauche, montrant un mécanisme de     rap-          -pel    des organes d'inscription, un mécanisme  de rappel pour le     rétro-espacement    et un mé  canisme d'impression de la virgule décimale.    La     fig.   <B>11</B> est une vue en perspective des  organes d'inscription pour la multiplication et  du mécanisme automatique de rappel de     ees     organes.  



  La     fig.    12 est une vue latérale     dacôté        -au-          che,    montrant le     curseur-multiplicateur    d'ins  cription et ses organes de commande,     aiii#,i          que    les organes de commande de ce curseur  par le mécanisme d'impression.  



  La     fig.   <B>13</B> est -une vue partielle montrant  la touche d'arrêt et sa liaison avec les     or,cane:,          d#arrêt    automatique.  



  La     fig.    14 est une vue latérale du     côî        é     droit des organes de multiplication, compre  nant les mécanismes     dInipression,    de comp  tage et d'arrêt automatique et montre égale  ment certains organes du mécanisme diviseur.  



  La     fig.   <B>15</B> est une vue prise du côté droit  de la touche de     non-addition    et de la     touc!ie     d'addition.  



  La     fig.   <B>16</B> montre un mécanisme     faisatit     avancer la barre     compteuse    pendant la multi  plication et la division, les organes étant     re-          préseiltés    dans une position de travail.  



  La     fig.   <B>17</B> est une vue similaire<B>à</B> celle de  la     fig.   <B>16,</B> mais montre les organes dans une  position vers la fin d'un cycle de multiplica  tion ou de division.  



  La     fig.   <B>18</B> reproduit une partie de la       fig.   <B>16</B> et montre les organes<B>à</B> la position  dans laquelle une erreur est signalée par la  machine.  



  La     fig.   <B>19</B> est une vue en perspective re  présentant<B>le</B> mécanisme de la barre     comp-          teuse    que montre la     fig.   <B>16.</B>  



  La     lio,.    20 est une vue en perspective dune  partie du mécanisme diviseur, notamment du  mécanisme signalant un dépassement.  



  La     fig.    21 est une vue prise de l'arrière et  montrant une partie des organes de com  mande de l'impression.  



  La     fig.    22 est une vue en perspective mon  trant le mécanisme de, commande de l'impres  sion et des organes     d#effaceiiient    d'une  unité  fugitive  pour les opérations de division.  



  La     fig.   <B>23</B> est une vue du côté gauche du  mécanisme (le     rétro-espacement    du mécanisme  d'inscription pendant les opérations de division.      La     fig.    24 est une vue similaire<B>à</B> celle, clé       l-a    fi-.<B>23,</B> mais montre les organes dans la     po-          -ilion    de commande.  



  La     fig.   <B>25</B> est une vue du côté gauche du       niécanisme    de     rétro-espacement    utilisé pour  les opérations de multiplication.  



  La     fi-%   <B>26</B> est -une vue partielle montrant  <B>C</B>       un    verrou empêchant le retour du     curseur-          wultiplicateur    d'une position     subnormale    vers  la position<B> 0 </B> jusqu'à la fin du cycle.  



  La     fig.   <B>27</B> est une vue en perspective des  mécanismes commandant les organes     d'impres-          -ion        s        et        d'avancement        du        papier        pendant        les     opérations de multiplication.  



  La fil-. 28 est une vue en perspective (lit       11)écanisme    utilisé pour -une opération de     di-vi-          -ân   <B>à</B> prolongation prédéterminée.  



  Les<B>29, 30</B> et<B>31</B> montrent certains<B>dé-</B>  tails     du    mécanisme empêchant l'arrêt automa  tique     d#une    division tant que le chiffre du  quotient n'a pas été complètement     déterm.iii#.     <I>Description générale.</I>  



  La     calculatrice-imprimeuse    représentée est  destinée<B>à</B> être utilisée chaque fois qu'il est  nécessaire d'effectuer des opérations d'addi  tion, de soustraction, de multiplication et de  division dans lesquelles tous les facteurs     en-          Irantdans    le calcul doivent être imprimés sur       une    bande d'enregistrement. Elle comprend  une machine de base constituée par la ma  chine<B>à</B> additionner de     SLindstrand,    bien con  nue dans le commerce.

   Cette machine est ca  pable d'effectuer des additions, des soustrac  tions, des opérations automatiques clé prise       diin    total et d'un     sous-total,   <B>y</B> compris les to  taux négatifs qui sont imprimés sous la forme       dc    totaux négatifs réels.  



  La machine<B>à</B> additionner de     Sundstrand    a  été modifiée par l'adjonction de commandes  permettant     Fexécution    de multiplications par  <B>le</B> procédé d'addition répétée. On inscrit  d'abord, sur le clavier usuel<B>à</B> dix touches, les  chiffres     du    multiplicande qu'on fait suivre  d'un nombre de zéros égal au nombre des  chiffres du multiplicateur moins un. On place  ensuite un     curseur-multiplicate-ar    sur le     pré-          iiiier    chiffre du multiplicateur et on abaisse    la touche de multiplication.

   La     manceuvre    de  la touche de multiplication amorce d'abord un  cycle de,     non-addition    et ensuite un nombre  de cycles d'addition égal au nombre déterminé  par     lecurseur-multiplicateur.    Pendant le der  nier de ces cycles, les marteaux d'impression  sont libérés pour imprimer<B>le.</B> chiffre<B>du</B> mul  tiplicateur par l'intermédiaire d'une, barre<B>à</B>  caractères qui a été avancée     #d'un    pas par  cycle, et pour imprimer le multiplicande  utilisé pour ce chiffre multiplicateur.<B>A</B> peu  près<B>à</B> la fin de ce dernier cycle,

   la touche (le       rétro-espacement    du clavier est actionnée       outomatiquement    pour diviser le multipli  cande par le facteur<B>10,</B> et la commande     des     cycles de la machine intervient pour arrêter  <B>la</B> suite des cycles.  



  Le     curseur-multiplicateur    a été ramené<B>à</B>       7éro    pendant les opérations précédentes. On le  place sur le deuxième chiffre du multiplica  teur et on abaisse de nouveau la touche     clé     multiplication pour amorcer une deuxième sé  rie de cycles similaire<B>à</B> la première série qui  vient d'être décrite. On répète ces opérations  pour chacun des chiffres suivants du multi  plicateur, sauf pour le dernier.

   Pendant le  dernier     cyclede    multiplication par le dernier  chiffre du multiplicateur, le mécanisme de       r6tro-espacement    est débrayé, et le mécanisme       effaceur    d'inscription est embrayé pour effa  cer complètement le multiplicande sur les bro  ches d'inscription. Au cours de ce dernier  cycle, on petit également     manoeuvrer    la touche  de prise     dun    total pour amorcer un cycle  automatique pendant lequel le produit de la  multiplication est imprimé.  



  Le mécanisme précédemment décrit est  complété par une touche d'arrêt qui, lors  qu'elle est abaissée, arrête la multiplication  précédemment décrite<B>à</B> la fin de l'opération  avec le chiffre multiplicateur<B>déjà</B> inscrit ou  inscrit postérieurement. L'ensemble comporte  également une touche de prolongation qui,  lorsqu'elle est abaissée, empêche l'arrêt de<B>la</B>  multiplication jusqu'à ce que le multiplicande  ait été complètement éliminé par l'interven  tion du mécanisme<B>de</B>     rétro-espacement    pré  cédemment décrit, Cette touche permet Futi-           lisation        dlin    multiplicande et (ou)     dlin    mul  tiplicateur importants dont le produit dépasse  la capacité du totalisateur utilisé,

   quoiqu'il en  résulte une perte insignifiante d'exactitude.  



  <B>5</B> La     caleulatrice-imprimeuse    représentée est  également capable de résoudre des problèmes  de division par soustraction répétée     d'lin    di  viseur inscrit,     d'lin    dividende précédemment  inscrit, jusqu'à l'obtention d'un complément,  <B>a</B> suivie     dlun    cycle d'addition et d'impression  du chiffre     du    quotient, et     du    diviseur utilisé,  et d'un     rétro-espacement    du mécanisme     d'ins-          criptiondu    -diviseur.

   Ce cycle d'opérations est  répété automatiquement jusqu'à ce que le  <B>5</B> problème soit entièrement résolu, après quoi  la machine fonctionne pour imprimer le reste  sous la forme d'un total. On peut utiliser<B>la</B>  touche de prolongation dans des problèmes de  division pour lesquels on désire obtenir plus  <B>a</B> de chiffres de quotient que le calcul n'en  donne avant la fin normale du problème.

    Cette touche, lorsqu'elle est abaissée, empêche       Ilopération    usuelle d'arrêt     dit    problème     Jus-          qit'à    ce que le mécanisme d'inscription du     di-          5    viseur ait été ramené<B>à</B> la position normale  par le mécanisme de     rétro-espacement        sel-il.     Le     curseur-multiplicateur    peut être utilisé  dans la division pour prédéterminer le nom  bre de chiffres du quotient<B>à</B> calculer avant  <B>D</B> l'arrêt     automatiquede    la machine et l'efface  ment du reste.

   Ainsi qu'il sera décrit en détail  plus loin, le mécanisme amorçant l'arrêt des  opérations n'intervient pas tant que le     cur-          seur-multiplicatear    n'occupe pas la position  <B>à</B> zéro, et ce curseur est ramené d'un pas<B>à</B> cha  que cycle d'addition de la machine. En consé  quence, si un problème de division s'arrête  normalement avant l'arrivée du     curseur-mul-          tiplicateur    au point de départ, cet arrêt est  <B>D</B> différé     (jusquà    ce que le curseur ait atteint  le point zéro)     #d'un    pas pour chaque cycle  d'addition qui correspond<B>à</B> la détermination  d'un chiffre du quotient.  



  Machine<B>à</B> additionner<B><I>de</I></B><I> base.</I>  <B>5</B>     (Fig.   <B>1,</B> 2,<B>3,</B> 4 et<B>6.)</B>  <B>c</B>  La     calculatrice-imprimeuse    représentée     coin-          prend,    une machine<B>à,</B> additionner de base,     qui       est du type de la machine portative     Under-          wood        Sundstrand        du    commerce. On décrira  brièvement l'agencement de cette machine  pour autant     quIl    est nécessaire pour la bonne  compréhension de la présente invention.  



  Les     fig,   <B>1 à 3</B> montrent     que    dés touches  numériques<B>30,</B> au nombre de dix, sont reliées  <B>à</B> un nombre égal de poussoirs<B>31</B> montés  clans un cadre oscillant<B>32.</B> Ce cadre<B>32</B> se<B>dé-</B>  place devant un groupe de broches d'inscrip  tion réglables<B>33,</B> d'un pas pour chaque     ma-          n#uvre    dune touche numérique<B>30.</B> Une     des     broches<B>33</B> en regard du cadre oscillant<B>32</B> est       a-#,ancée    par l'intermédiaire d'un poussoir<B>31</B>  <B>à,</B> l'aide de la touche<B>30</B> correspondante.  



  Plusieurs barres<B>35,</B> montées<B>à</B> coulisse  ment sur une tige fixe<B>36,</B> présentent des<B>ca-</B>  ractères<B>37</B> dans la partie supérieure.<B>A</B> la  partie inférieure de ces barres est articulé     illi     bras<B>38,</B> Les extrémités antérieures des bras       38    3     sont        engagées        dans        les        fentes        d'un        groupe        tn     de tiges d'exploration<B>39</B> qui peuvent être  amenées en contact avec les broches avancées  33- Un cadre     cofflissant    40 est fixé<B>à</B> l'arrière  du cadre 

  oscillant<B>32</B> polir se déplacer en     svIl-          chronisme    avec celui-ci, et polir     gliider    les  extrémités supérieures des tiges     dlexploration     <B>39.</B> Les barres<B>à</B> caractères<B>35</B> sont normale  ment.

   maintenues dans leur position inférieure  telle     que    le montre la     fig.   <B>3,</B> et elles sont solli  citées de bas en haut par des bras individuels  42, articulés sur un arbre 43, pour amener les  tiges d'exploration<B>39</B> en contact avec les bro  ches avancées<B>33.</B> Chaque bras 42 porte<B>à</B> son  extrémité antérieure un doigt 44 engagé dans  une fente 45 pratiquée dans un prolongement       postérieuir    46 de la barre,<B>à-</B> caractères<B>35</B> cor  respondante. Les bras 42 sont sollicités dans  le sens des aiguilles d'une montre par des res  sorts 47, accrochés, dune part,<B>à</B> Lin prolon  gement de ces bras et, d'autre part,<B>à</B> -une tige  48 qui est abaissée pendant un cycle de la ma  chine.

   Une barre 49 est placée au-dessus de  tous les bras 42 pour maintenir les barres<B>à</B>  caractères<B>35 à</B> la position de départ. Cette  barre 49 est actionnée pendant chaque cycle  pour libérer les bras 42 et pour permettre  l'élévation. des barres<B>à,</B> caractères<B>35</B> jusqu'à           ce-    qu'elles soient arrêtées par les broches  avancées<B>33.</B> Elle ramène :ensuite tous ces  organes<B>à</B> la position<B>de</B> départ.  



  <B>Un</B> cylindre de frappe<B>52,</B> muni de     rou-          ]eaux    entraîneurs<B>53,</B> est placé<B>à</B> l'arrière des  caractères<B>37</B> pour amener une bande de pa  pier en position d'impression. Lorsque les  barres<B>à</B> caractères<B>35</B> occupent la position  appropriée<B>à</B> l'impression sur le papier, les  caractères<B>37</B> sont frappés par des marteaux 54.  



  Les prolongements postérieurs 46 des, bar  res<B>à</B> caractères<B>35</B> portent deux groupes de  crémaillères<B>D-5</B> et<B>56</B> reliées aux     prolonge-          nients    46 par des doigts<B>57</B> solidaires de ces  prolongements et engagés dans des fentes<B>58</B>  pratiquées dans les crémaillères<B>55</B> et<B>56.</B> Des  ressorts 59a rappellent les crémaillères<B>55</B> et  <B>56 à</B> la position inférieure.

   La position     nor-          niale    des crémaillères<B>55</B> et<B>56</B> est déterminée       par    la coopération d'un talon<B>59</B> des     crémail-          11'res   <B>55</B> ou<B>56</B> avec un bec -de report des di  zaines<B>60.</B> Un totalisateur<B>61,</B> placé entre es  crémaillères<B>55</B> et<B>56,</B> peut engrener avec les  crémaillères<B>55</B> pour l'addition et la prise       cFun    total ou     sous-total    positif, et avec les cré  maillères<B>56</B> pour la soustraction et la prise  d'un total ou     sous-total    négatif. Des dents de  report<B>62</B> sur les pignons du totalisateur 661.

    peuvent coopérer dans un sens de rotation  avec des becs de verrouillage<B>63</B> pour dégager  le bec<B>60</B> du talon<B>59</B> correspondant et pour  libérer la crémaillère<B>55</B> ou<B>56</B> de la colonne  supérieure suivante en vue d'un mouvement  de descente supplémentaire. Dans l'autre sens  de rotation,

   le bec<B>63</B> arrête la dent de report  622 pour empêcher tout mouvement     suppl &           inentaire    de la barre<B>à</B> caractères<B>35</B> et pour  permettre ainsi la prise de totaux et de     sous-          totaux.    Les becs de report<B>63</B> et<B>60</B> dégagés  an cours d'un cycle de fonctionnement de la  machine sont rappelés<B>à</B> la position de travail  par deux barres 64 solidaires de leviers     entre-          toisés   <B>66</B> articulés sur des arbres<B>65</B> avec les  becs<B>60,</B> et déplacées lune vers l'autre pen  dant la première moitié du cycle de fonctionne  ment suivant de la machine,

   par la coopéra  tion d'une barre<B>67</B> avec un bras postérieur de       Pun    des leviers<B>66.</B>    L'engrènement et le     désengrènement    entre  le totalisateur<B>61</B> et les crémaillères<B>55</B> et<B>56</B>  sont effectués par un mécanisme connu. Il  suffira donc d'en rappeler brièvement le fonc  tionnement.

   Ainsi que le montre la     fig,    4, un  levier<B>71,</B> solidaire d'un arbre<B>72,</B> est relié  par une bielle (non représentée) au totalisa  teur<B>61.</B> En partant d'une position médiane,  ce levier est déplacé -dans le sens contraire<B>à</B>  celui des aiguilles d'une montre, vers la posi  tion que, montre la     fig.    4, pour faire engrener  le totalisateur<B>61</B> avec les crémaillères d'ad  dition<B>55,</B> et dans le sens des aiguilles d'une  montre pour faire engrener le totalisateur<B>61</B>  avec les crémaillères<B>56</B> pour les opérations  de soustraction.  



  Le levier<B>71</B> est déplacé entre ses trois     po-          silions    par une bielle<B>73</B> présentant deux en  coches 74 et<B>75</B> destinées<B>à</B> coopérer avec des  doigts<B>76</B> et<B>77</B> solidaires du levier<B>71.</B>     NTorma-          lement,    la bielle<B>73</B> est placée de façon     que     l'encoche inférieure<B>75</B> soit engagée sur le  doigt inférieur<B>77.</B> Dans cette position, tout  mouvement de recul de la bielle<B>73</B> fait     #engre-          ner    le totalisateur<B>61</B> avec les -crémaillères<B>555</B>  pour les opérations     daddition.    Lorsque la  bielle<B>73</B> occupe sa position antérieure,

   elle  peut être déplacée par     -Lm    levier<B>78</B> pour en  gager le doigt<B>76</B> dans l'encoche 74. Ce levier  <B>78</B> est articulé en<B>79</B> au bâti de la machine.  Un ressort<B>80,</B> accroché, d'une part,<B>à</B> une  branche     du    levier<B>78</B> et, d'autre part,<B>à</B> un  curseur<B>81,</B> sollicite ce levier pour appliquer  un doigt 82 de cette branche contre l'extré  mité postérieure dune fente<B>83</B> pratiquée  dans le curseur<B>81.</B> Celui-ci est rappelé vers  l'avant par un ressort 84, accroché, d'une  part,<B>à</B> -une patte de ce curseur et, d'autre  part, au bâti de la machine, pour maintenir  le levier<B>78</B> et la bielle<B>73</B> dans la position  d'addition.

   Pendant la soustraction et les opé  rations de totalisation négative, le curseur<B>81</B>  est déplacé vers l'arrière pour tendre le ressort  <B>80</B> et pour amener le levier<B>78</B> et la bielle 7 ô  à la position de soustraction dès que la bielle  <B>73</B> est déplacée vers l'avant pour centrer le    totalisateur.

        L'extrémité antérieure de la bielle<B>73</B> re  pose sur une broche<B>86</B> solidaire     d'un    levier  <B>87</B> articulé au bâti en<B>88.</B> La broche<B>86</B> est en  gagée dans une coulisse<B>à</B> came<B>89</B>     d#une    pla  tine<B>90</B> articulée en<B>91</B> et portant deux doigts  92 et<B>93</B>     (fig.   <B>6).</B> La coulisse<B>à</B> came<B>89</B> est       conformée        de        faç        .,on        que,

          lorsque        la        platine        90     est déplacée dans le sens des aiguilles d'une  montre., la bielle<B>7â</B> est -déplacée vers l'arrière  pour faire engrener le totalisateur<B>61,</B> tandis  qu'un déplacement de la platine<B>90</B> dans le  sens contraire<B>à</B> celui des aiguilles d'une mon  tre se traduit par un     désengrènement    du to  talisateur<B>61</B> et -des crémaillères<B>55</B> et<B>56.</B> La  platine<B>90</B> -est déplacée pour les opérations  d'addition et de soustraction par un     cliquet     <B>9-1.</B> articulé<B>à</B> une platine<B>95</B> solidaire     d'un     arbre principal<B>96.</B> Un ressort<B>97,

  </B> intercalé  entre le cliquet 94 et la platine<B>95,</B> tend<B>à</B>  faire tourner ce     cliquet    dans le sens des  aiguilles d'une montre. La platine<B>95</B> et l'ar  bre principal<B>96</B> occupent normalement la po  sition de la     fig.    4, sauf que le cliquet 94 est  appliqué contre le doigt<B>92.</B>     -Un    mouvement  initial de l'arbre     96déplace    la platine<B>90</B> dans  le sens contraire<B>à</B> celui des aiguilles d'une  montre pour dégager le totalisateur<B>61</B> des  crémaillères<B>55</B> ou<B>-56.</B>  



  Le totalisateur revient en prise avec les  crémaillères pour l'addition ou la soustraction  suivant la position du curseur<B>81</B> et du levier  <B>78</B> au début de la période de     retourdu    cycle.  Ce mouvement est produit par le cliquet 94  coopérant avec le doigt<B>93</B>     (fig.   <B>6)</B> pour faire  pivoter la platine<B>90</B> clans le sens des aiguilles  d'une montre.

   Le     réengrènement    du totalisa  teur<B>61</B> avec les crémaillères<B>55</B> ou<B>56</B> peut  être empêché par la     manceuvre,    d'une touche  d'arrêt d'addition<B>99</B>     (fig.   <B>6).</B> Cette, touche<B>99</B>  est munie d'une branche<B>100</B> superposée<B>à</B> un  bras d'arrêt<B>101</B> qui, dans la position de re  pos, retient un curseur 102 rappelé par un  ressort     (fig.    4) pour     lempêcher   <B>de</B> reculer.

   Le  curseur 102 est périodiquement libéré pour<B>le</B>  recul et rappelé<B>à</B> la position antérieure par  un levier<B>103</B> faisant partie du mécanisme  d'entraînement du ruban     (non    représenté)<B>.</B>  Le levier<B>103</B> oseille en arrière et en avant    pendant chaque cycle.

   Le curseur 102     occii-          pant    la position postérieure coopère avec la  tranche du     eliquet    94 dans la partie médiane  de son mouvement et le maintient     suffisain-          ment    écarté pour empêcher son contact avec  le doigt<B>93</B> pendant le retour de la platine<B>9.5.</B>  En conséquence, la bielle<B>73</B> commandant le  totalisateur n'est pas déplacée vers l'arrière  pour le faire engrener avec les crémaillères.  



  Le curseur<B>81</B> est poussé vers l'arrière par  un cadre oscillant 104     (fig.    20) pour amener  le totalisateur<B>61</B> en prise avec les crémail  lères<B>56.</B> Ce cadre 104 est articulé sur des  tourillons<B>105</B> du bâti.<B>Il</B> porte une butée<B>à</B>  ressort<B>106</B> pouvant coopérer avec un talon  <B>107</B> solidaire dit curseur<B>81</B>     (fig.    4). Le     eadre     104 oseille<B>à</B> chaque cycle de la machine pour  faire reculer la butée<B>106. Il</B> peut être élevé,  pour amener la butée<B>106</B> en alignement avec  le talon<B>107,</B> par un prolongement (non re  présenté) de la touche de soustraction<B>1.08</B>       (fig.    2), ou automatiquement     d#une    manière  décrite plus loin.

    



  Le mécanisme permet également les opéra  tions de prise d'un total ou     sous-total,    positif  ou négatif, sous la commande de la touche  d'arrêt d'addition<B>99</B> ou de la touche d'addi  tion d'un     sous-total   <B>98.</B>     Etant    donné qu'aucun  changement n'est prévu<B>à</B> l'agencement connu,  il ne semble pas nécessaire de donner une des  cription détaillée de ce mécanisme.  



  Mécanisme     mitltiplicateur.     



  Dans la machine représentée, la multipli  cation est effectuée par des additions répé  tées en partant du chiffre le plus élevé du  multiplicateur, et par réduction     du    multipli  cande     d'un    facteur<B>10</B> pour chacun des chif  fres consécutifs du multiplicateur.  



  <I>Inscription</I> dit multiplicande.       (Fig.   <B>1,</B> 2 et,<B>3.)</B>  La première     manoeuvre   <B>à</B> effectuer pour  une opération de multiplication est l'inscrip  tion du multiplicande dans le groupe de bro  ches<B>3ô</B> par l'intermédiaire des touches numé  riques<B>30.</B> Le multiplicande est localisé par  inscription de ses chiffres réels suivis d'un      nombre de zéros égal au nombre de chiffres  du multiplicateur moins un. Par exemple, si  le multiplicateur comporte cinq chiffres-, qua  tre zéros doivent être inscrits après les     ehif-          très    réels du multiplicande.

   Dans ces condi  tions, et si on tient compté du fait que le  multiplicande est réduit d'un facteur<B>10 à</B> la       fin    de la     nuiltiplication    par chacun des chif  fres     du    multiplicateur     (c'est-à-dire    qu'un zéro  est éliminé chaque fois), on comprend que,  pendant la multiplication par le dernier     chif-          fre    du multiplicateur, la barre<B>à</B> caractères de  la colonne des unités s'élève au-dessus de zéro.  Cette élévation de la barre<B>à</B> caractères des  unités est utilisée pour signaler la fin (le la  multiplication d'une manière     qui    sera décrite  <B>plus</B> loin.  



  <I>Inscription</I> du premier<I>chiffre</I>  du multiplicateur.  



       (Fig.   <B>1,</B> 2,<B>11,</B> 12 et<B>27.)</B>  Le multiplicande ayant été inscrit sur les  broches<B>33,</B> et le cadre oscillant<B>32</B> ayant été       eonvenablement    orienté par rapport aux co  lonnes, on inscrit le premier chiffre du multi  plicateur sur un curseur<B>110</B> portant une ma  nette<B>109</B>     (fig,   <B>1,</B> 2,<B>11</B> et 12), en     déplacant   <B>ce</B>  curseur vers l'arrière d'un nombre de     di,,,,i-          sions    égal<B>à</B> la valeur du -chiffre multiplica  teur.

   Le curseur<B>110</B> présente une coulisse<B>111</B>  par laquelle il est guidé sur une broche 112  du bâti.<B>Il</B> est également guidé par trois     bro-          elies   <B>113,</B> dont une est munie d'une tête, et  qui chevauchent une glissière 114 fixée<B>à</B> la  broche 112 et au bâti de la machine, Le cur  seur<B>110</B> occupe normalement la position<B> 0 .</B>       Lorsqu#on    le déplace en partant     du    zéro vers  un chiffre réel quelconque, il règle les     orga-          nés    de commande de l'impression, de façon  que les cycles suivants, sauf celui     du    retour<B>à</B>  zéro,

   soient des cycles de     non-impression.     L'extrémité postérieure<B>du</B> curseur<B>110</B> pré  sente une rampe oblique de façon que, dans  la position<B> 0 ,</B> ce curseur soit dégagé d'un       1,#alet   <B>115</B> monté sur un levier<B>116</B> articulé sur  un tourillon fixe<B>117.</B> Lorsque le curseur<B>110</B>  est déplacé     d#-une    ou plusieurs divisions vers  l'arrière sur une position correspondant<B>à</B> un    chiffre, la rampe oblique élève le galet<B>115</B>  pour faire pivoter le levier<B>116</B> dans le, sens  contraire<B>à</B> celui des aiguilles d'une montre  et pour abaisser l'extrémité, postérieure hors  de la trajectoire dune barre coulissante<B>118</B>  (voir également     fig.   <B>27)

  .</B> La barre<B>118</B> est  fixée<B>à</B> un curseur<B>119</B> pouvant se déplacer  vers la gauche sur deux vis 120 solidaires     du     bâti de la machine. Dans la position normale  de la barre<B>118,</B> une encoche 121 de celle-ci est  placée en regard d'un curseur 122 sollicité par  un ressort et destiné<B>à</B> faire avancer le papier.

    Le curseur 122 est maintenu dans la position  de la     fig.    12, et libéré pour reculer pendant  chaque cycle de la machine, par un galet<B>123</B>  monté sur une platine 124 reliée par une  bielle<B>125 à</B> une platine<B>126</B> solidaire clé l'ar  bre principal<B>96.</B> Lorsqu'il est libéré, il s'en  gage dans l'encoche 121 de la barre<B>118.</B> Pen  dant son mouvement de retour, il fait tourner  le cylindre de frappe<B>52</B> par l'intermédiaire  d'un levier<B>127,</B>     #d'un        eliquet   <B>128,</B> et d'un ro  chet<B>129</B> solidaire du cylindre.  



  La barre<B>118</B> commande également les mar  teaux de frappe 54 pour déterminer l'opéra  tion de     non-impression.    Pendant les opéra  tions     #d'impression,    les marteaux de frappe 54  sont retenus et libérés aux     momen-rs    appro  priés par une barre<B>133</B> superposée aux ta  lons 134 des marteaux 54.

   Cette barre<B>133</B> est  amenée en prise avec les marteaux 54 et<B>dé-</B>  gagée de ces marteaux par un levier<B>135</B> por  tant un     cliquet   <B>136.</B>     A-Li    début du mouvement  de retour de l'arbre principal<B>96,</B> un doigt  <B>137</B> assurant la liaison entre la platine<B>126</B> et  la bielle<B>125</B> coopère avec un talon<B>138</B> du     cli-          qaet   <B>136</B> pour faire pivoter celui-ci et le     le-          %Îer   <B>135</B> dans le sens des aiguilles d'une mon  tre, et pour dégager la barre<B>133</B> des talons  134,

   ce qui déclenche l'impression du nom  bre inscrit     sur    les barres<B>à</B> caractères<B>35.</B> Un  levier<B>139</B> est normalement retenu par un  doigt 140 de la platine 124 engagé sous son  extrémité postérieure, afin de l'empêcher de  tourner dans le sens inverse de celui des  aiguilles d'une montre sans l'action d'un res  sort 141, ce levier coopérant avec un doigt 142  du cliquet<B>136.</B> Un mouvement du levier<B>139</B>      dans le sens contraire<B>à</B> celui des aiguilles  d'une, montre entraîne le soulèvement du cli  quet<B>136</B> vers une position écartée du doigt  <B>137</B> de la platine<B>126,</B> de sorte que la barre       113)3    n'est pas actionnée pour libérer les mar  teaux de frappe 54 en vue de l'impression.

   La  barre<B>118</B> présente un bloc 143     (fig.   <B>27)</B> nor  malement placé sous une languette 1.44 dit le  vier<B>139,</B> ce qui empêche tout mouvement     dit     levier<B>139</B> dans le sens du débrayage du     me-          eanisme    d'impression.  



  Lorsque la barre<B>118</B> se déplace vers la  gauche, ce qui a lieu pendant les cycles de  multiplication     ou    de -division d'une manière  décrite plus loin, elle arrive sur une position  dans laquelle le curseur 122, destiné<B>à</B> faire  avancer le papier, est bloqué par     urie    partie  pleine 145 de la barre<B>118,</B> tandis que la lan  guette 144     dit    levier<B>139</B> s'engage dans     l'enco-          elle    121, ce qui entraîne le débrayage, du méca  nisme, d'entraînement du cylindre de frappe  et des marteaux d'impression.

   Lorsque la  barre<B>118</B> est     bloqLiée    par le levier<B>116</B> pen  dant l'opération dans laquelle le     curseLir-mul-          tiplicateur   <B>110</B> occupe la position<B> 0 ,</B> elle est  placée     ait    milieu entre les deux positions,  extrêmes. Dans cette position, le bloc 143  arrête     t6ujours    le levier<B>139</B> pour permettre  le dégagement des marteaux d'impression, et  <B>le</B> curseur 1212 est aligné avec une     deuxièiiie     encoche 146 de la barre<B>118</B> pour permettre       Pentraînement    du cylindre<B>de-</B> frappe par le  curseur 122.

   L'impression et l'entraînement  du cylindre de frappe ont donc lieu dans  cette position de la barre<B>118.</B>  



  Un déplacement<B>dit</B>     curseur-multiplicateur     <B>110</B> vers l'arrière en partant, de la position  <B> 0 </B> déplace également un doigt 147     (fig.   <B>11</B>  et 12) du curseur<B>110</B> pour l'écarter d'une  branche d'un levier 148 articulé sur un     toit-          rillon    149.

   Le levier 148 est relié par un res  sort<B>150 à</B> un levier<B>151</B> et porte un doigt  <B>152</B> pouvant coopérer avec la branche     sup &           rieure        du    levier<B>151</B> pour déterminer la     111-          mite        dit    déplacement relatif entre les deux  leviers.     TTn    ressort<B>153</B> accroché     ait    levier<B>1,51</B>  rappelle les leviers 148 et<B>151</B> vers une posi  tion dans le sens contraire<B>à</B> celui des aiguilles  <B>C</B>    d'une montre, vers laquelle le levier 148 petit  <B>se,</B> déplacer lorsque le doigt 147 est écarté de  ce levier 148.

   Dans cette position, un doigt  154 de la branche supérieure du levier<B>151</B>  vient se placer derrière un gradin<B>155</B>     d'lin     bras<B>156,</B> tandis que la branche inférieure  fait avancer     uine    bielle<B>157</B> dont le but sera  décrit<B>plus</B> loin.    <I>Fonctionnement de la touche</I>  <I>de</I>     midtiplication.     



       (Fig.   <B>8 à 121,</B> 14,<B>16 à 19, 213 à 25</B> et 28.)  Après l'inscription des     deuix    facteurs de  multiplication de la manière précédemment  décrite, la     maehine    est mise en marche par la       manceuvre    de la touche de multiplication<B>160</B>       (fig.   <B>1,</B> 2, 4 et<B>11)</B> pour calculer le produit (le  ces facteurs.

   L'abaissement de cette touche<B>160</B>  détermine la position d'un berceau de     militi-          plication   <B>161</B>     (fig.   <B>11)</B> par la coopération     d'lin     doigt<B>162</B> de la touche<B>160</B> avec une branche       d#un    levier<B>163</B> relié par une bielle 164<B>à</B> lin  tourillon<B>165</B> -du berceau<B>161.</B> Celui-ci est  maintenu dans sa position de travail,<B>à</B>     l'-ii-          contre    de l'action de son ressort de rappel  161a, par un levier de verrouillage<B>166</B>     eoopé-          rant    avec le tourillon<B>165</B> du berceau<B>1.61.</B>  



  Lorsqu'il occupe sa position de travail, le  berceau de multiplication<B>161</B> maintient les  organes de commande de la machine dans la  position nécessaire<B>à</B> la multiplication. Une  phase de cette commande est le débrayage du  mécanisme de rappel du cadre oscillant<B>32</B>  vers la position de départ et, par conséquent,  du rappel des broches<B>33</B> vers la position de  repos. Le cadre oscillant<B>32</B>     (fig.   <B>8)</B> est pro  longé par un bras<B>190</B> portant un doigt<B>191</B>  engagé dans une lente<B>192</B>     cl*un    curseur<B>193.</B>  Le curseur<B>193</B> recule lorsque le cadre oscil  lant<B>32</B> se déplace pendant l'inscription d'un  chiffre sur les broches 33, et il avance pour  ramener le cadre,<B>32</B> et les broches<B>33 à</B> la po  sition de départ.

   Normalement, le curseur<B>193</B>  est avancé vers la fin d'un cycle de la machine  par un levier<B>à</B> encoche 194 coopérant a,, ce       lin    talon<B>195</B>     (fig.   <B>9)</B> du curseur<B>193.</B> Le le  vier 194 est articulé<B>à</B> un levier coudé<B>196</B> et  rappelé de bas en haut par un ressort<B>197</B>      pour être appliqué contre le talon<B>195.</B> Dans       ],a    position normale du mécanisme, le levier  coudé<B>196</B> occupe sa position atteinte en     toar-          nant    dans le sens des aiguilles d'une montre,  dans laquelle sa branche postérieure est appli  quée contre un rouleau<B>198</B> de la platine<B>1.26</B>  solidaire, de l'arbre principal<B>96,

  </B> le levier 194  étant maintenu dans sa position antérieure et  écarté du talon<B>195</B> du curseur     19")    par     une     branche<B>199</B> du levier coudé<B>196.</B> Le     mouve-          nient    initial de rotation de     Farbre   <B>96</B> dans le  sens des aiguilles d'une montre fait pivoter le  levier coudé<B>196</B> dans le sens     contraire   <B>à</B> celui  des aiguilles d'une montre pour écarter la  branche<B>199</B> du levier 194 et pour permettre  <B>à</B> ce dernier de s'élever vers une position limi  tée par le contact de sa tranche supérieure  avec la touche de répétition 201     (fig.   <B>1)

  .</B>     'Un     mouvement supplémentaire -du levier coudé  <B>196</B> fait reculer le levier 194 vers un point       au        -delà        du        déplacement        du        talon        195        du        cur-          ,eur   <B>193.</B> Pendant le rappel du levier coudé  <B>196</B> par le ressort<B>197</B> et un autre ressort 200,  le levier 194 coopère avec le talon<B>195</B> et ra  mène le curseur<B>193</B> et le cadre oscillant<B>32 à</B>  la position de départ.

   Vers la fin de ce mou  vement, la branche<B>199</B> du levier coudé<B>196</B>       .1baisse    le levier 194 pour libérer le curseur  <B>193</B> en vue     d'un    déplacement consécutif par  les touches<B>30.</B>  



  Le mécanisme de rappel est débrayé par  berceau<B>161</B> lorsqu'il est réglé par la     toti-          elle    de multiplication<B>160.</B> Un levier '202       (fig.   <B>9)</B> présente une extrémité en regard du  berceau<B>161</B> pour être déplacé par celui-ci  lorsqu'il est réglé, tandis que son autre extré  mité est engagée dans une lente pratiquée  clins l'extrémité     #d'un    levier coudé<B>203</B>     arti-          efflé    au côté gauche du bâti de la machine. Ce  levier coudé 200' porte un rouleau 204 super  posé     a-Li    levier 194     du    mécanisme de rappel.

    Lorsque le levier 202 est déplacé par le ber  ceau<B>161,</B> le rouleau 204 est abaissé pour  maintenir le levier 194 dans la position inac  tive par rapport au curseur<B>193,</B> de sorte     que     le mécanisme de rappel est débrayé.  



  Lorsque le berceau de multiplication  occupe sa position de réglage, il permet égale-    nient<B>à</B> un mécanisme de ramener le cadre  oscillant<B>32</B> d'un pas vers la position de dé  part. Ainsi     qae    le montrent les     fig.   <B>9</B> et<B>10,</B> le  curseur     19Ô    présente sur sa tranche<B>supé-</B>  rieure une rangée de dents de rochet 208. 'Une  touche de     rétro-espacement   <B>209</B> porte un<B>cli-</B>  quet 210 normalement dégagé des dents     :

  1.08,     mais pouvant être amené en prise avec     3es     dents par l'abaissement de la touche<B>209.</B>     ITu     abaissement supplémentaire de la touche<B>209</B>  fait avancer le curseur<B>193</B> pour ramener le  cadre<B>32</B> d'un pas vers la position de départ,  ce qui réduit en réalité le réglage d'un fac  teur égal<B>à 10.</B> Au bas de la course de la     tou-          elle   <B>209,</B> une deuxième dent du cliquet 21.0  vient en prise avec une deuxième rangée de  dents 211     du    curseur<B>193</B> pour empêcher ce  lui-ci d'aller trop loin.

   La touche<B>209</B> est  actionnée automatiquement pour le     rétro-          espacement    du mécanisme d'inscription sous  la commande du     curseur-maltiplicateur   <B>110</B> et  eu berceau de multiplication<B>161.</B>  



  Sur les     fig.    14,<B>23</B> et 24, on voit que le  berceau<B>161</B> présente en haut et<B>à</B> droite -un  crochet 212 superposé<B>à</B> un doigt<B>213</B> d'un  levier 214. Ce levier est solidaire d'un arbre  <B>215</B> s'étendant vers la gauche, de la machine et  sollicité dans le sens des aiguilles d'une mon  tre (sur les     fig.   <B>23</B> et 24) par un ressort<B>216</B>  accroché<B>à</B> un bras<B>217 à</B> l'extrémité de     gau-          elle    de l'arbre<B>215.</B> Une bielle<B>218,</B> articulée<B>à</B>       l#extrémitë    du levier<B>217,</B> est reliée par une  articulation<B>à</B> broche et coulisse<B>à</B> un levier  coudé<B>219</B> articulé sur un tourillon fixe 220.

    L'autre extrémité     du    ressort<B>216</B> est accrochée  au levier coudé<B>219</B> pour maintenir les     fflé-          ments    dans la position représentée. Un doigt  221 du curseur<B>110</B> avançant en partant de  la position<B> 0 </B>     (fig.   <B>25)</B> coopère avec la     bran-          elle    montante du levier coudé<B>219</B> pour le  faire pivoter dans le sens des aiguilles d'une  montre et pour faire tourner l'arbre<B>215</B> dans  le sens des aiguilles dune montre par l'inter  médiaire du ressort<B>216.</B> Lorsque le berceau  de multiplication<B>161</B> occupe sa position de  travail,

   le crochet supérieur de ce berceau est  dégagé du doigt<B>213.</B> Lorsque l'arbre<B>215</B> est  sollicité de la manière précédemment décrite,      <B>le</B> doigt<B>213</B> est élevé. Ce doigt<B>213</B> est libre  ment engagé dans une fente 222 d'un curseur  <B>223.</B>     LorsquIl    est élevé, il élève également  l'extrémité postérieure du curseur 223<B>à</B> la  position que montre la     fig.    24. L'extrémité  antérieure du curseur<B>223</B> est reliée<B>à</B> un     #e-          uier    224 solidaire d'un arbre<B>225</B> traversant le  côté gauche de la machine.

   L'extrémité (le  gauche de l'arbre<B>225</B> porte un autre levier  <B>226</B> auquel est articulée une bielle descen  dante<B>227</B> présentant une fente<B>228</B> chevau  chant un doigt<B>229</B> solidaire de la touche (le       rétro-espacement   <B>209.</B>  



  Le curseur<B>223</B> est déplacé vers l'arrière  Pour abaisser la touche de     rétro-espacement     <B>209,</B> par l'intermédiaire des éléments 224,<B>225,</B>  <B>226</B> et<B>227, à</B> l'aide d'un doigt moteur<B>230.</B> Ce  doigt est solidaire dune platine articulée<B>231</B>  sollicitée par un ressort<B>232</B> vers la position  que montre la     fig.   <B>23.</B> Vers la fin de chaque  cycle de la machine, il est déplacé dans le  sens des aiguilles d'une montre par un doigt       2'33    solidaire d'une platine 234 fixée<B>à</B> l'arbre  principal<B>96.</B> Lorsque l'extrémité postérieure       du    curseur<B>223</B> est élevée par le mouvement  du curseur<B>110</B> partant de la position<B> 0 ,

  </B>  l'extrémité du curseur<B>223</B> est amenée en ali  gnement avec le doigt<B>230,</B> de sorte que le cur  seur<B>223</B> et, par conséquent, la touche de     ré-          tro-espacement   <B>209,</B> sont actionnés vers la fin  du cycle de la machine.  



  Lorsqu'il est avancé, le berceau de     malti-          plication   <B>161</B> actionne également le     méca-          risme    de     non-impression    pour empêcher l'im  pression. Ainsi     que    le montrent les     fig.    14 et  <B>19,</B> une bielle     23Ô    est reliée<B>à</B> un tourillon sur  le côté droit du berceau<B>161.</B> Elle est tirée  vers l'avant lorsque le berceau est avancé.

    Cette bielle est reliée<B>à</B> un verrou 234 pré  sentant -une extrémité en crochet coopérant  avec une branche d'un levier     couclé   <B>2Ô5</B> relié  au curseur de     non-impression   <B>119.</B> Le verrou  234 maintient le curseur<B>119</B> dans la position  de la     fig.   <B>19</B> pendant les cycles d'addition et  de soustraction.

   Lorsque le verrou 234 est  libéré par le berceau<B>161,</B> le curseur<B>119</B> peut  se déplacer librement vers la position de la         non-impression,    mais il est retenu dans la po  sition normale par un ressort<B>236</B> relié au le  vier coudé<B>235.</B> Pendant les cycles effectués  avec le verrou 2ô4 escamoté, le curseur<B>119</B>  est déplacé vers la gauche<B>à</B> la position finale  de     non-impression    ou<B>à</B> la position partielle  contre le levier<B>116</B>     (fig.    12) pour l'impres  sion, par un levier<B>237</B> sollicité de bas en haut  par un ressort<B>238</B> capable de vaincre la ten  sion du ressort<B>236,</B> le levier<B>237</B> restant  appliqué contre la tranche inférieure d'une  bielle<B>239</B> descendant du levier coudé<B>235.

   Le</B>  levier<B>237</B> est     rLintenu    dans sa, position     iiiac-          tive    par la coopération d'un rouleau 240 avec  la branche inférieure du levier<B>237.</B> Le rou  leau 240 est monté sur une platine motrice  241.<B>Il</B> est généralement avancé et ensuite re  culé pour pousser le curseur<B>119</B> vers la gau  che et pour le ramener vers la droite     pendard     chaque cycle de la machine dans lequel le ber  ceau de multiplication est lui-même avancé.  



  Le mouvement d'avancement du berceau  <B>161</B>     action-ne    également un mécanisme destiné  <B>à</B> maintenir dans la position de détente un     eli-          quet   <B>de</B> la barre     conipteuse    de cycles.

   Cette  barre     compteuse    de cycles 242 (fi-.<B>16, 17, 18</B>  et<B>19)</B> se présente sous une forme     glénérale    si  milaire<B>à</B> celle des barres<B>à</B> caractères<B>35</B> et  porte<B>à</B> son extrémité supérieure des carac  tères décimaux allant normalement. de<B> 0  à</B>  <B> 9 </B> et un caractère      ER .    Cette barre 242 est  élevée     dLin    pas par cycle<B>à</B> l'aide d'un     méea-          nisme    décrit plus loin. Pendant les cycles de  multiplication, elle est maintenue dans les  positions avancées par un     cliquet    -943 venant  en prise avec une rangée d'encoches 9-44 tail  lées dans le bord antérieur de la barre 242.

    Le cliquet 243 est     ailiculé    sur un arbre 246.  <B>Il</B> est sollicité par un ressort 247 en     diree-          tion    des encoches 244. Normalement, il est ce  pendant maintenu écarté des encoches 244  par un doigt     24S    solidaire d'un levier 249  fixé<B>à</B> l'arbre 246. Cet arbre 246 est     entraÎné     clans le sens des aiguilles d'une montre (sur  la     fig.   <B>19)</B> par un levier<B>250</B> présentant<B>à</B>  une extrémité une fourche<B>'251</B> chevauchant  un maneton<B>252</B> solidaire d'un autre levier  <B>253</B> fixé<B>à</B> l'arbre 246.

        <B>A</B> l'extrémité supérieure du levier<B>250</B> est  articulée une bielle<B>à</B> crochet 254 portant     un     doigt<B>255</B> et dont le crochet est     norinalement     placé<B>à</B> l'arrière d'un doigt<B>256</B> solidaire de  la platine     2241,    de la manière indiquée sur la       fig.    14. Dans cette position de la bielle 254,  <B>la</B> platine 241 ramène positivement,<B>à</B> la fin  de chaque cycle, le levier<B>250 à</B> la position  que montre la     fig.   <B>19</B> pour dégager le cliquet  <B>2-13</B> de la barre 242.

   Lorsque le berceau de  multiplication<B>161</B> est avancé, il fait pivoter  le levier de verrouillage, 234 de la manière  précédemment décrite pour élever la bielle       2)4    par l'intermédiaire dune bielle<B>257</B> re  liée au doigt<B>255</B> et au levier 234. Dans cette  position, la bielle 254 est dégagée     du    doigt  <B>256 et</B> elle n'est pas rappelée pour libérer 'la  barre     compte-Lise    242.  



  Lorsqu'elle est abaissée, la touche<B>160</B>  abaisse également la touche de     non-addition     <B>99</B> (fi-.<B>11),</B> de sorte que le premier cycle de  le machine devient. un cycle de     non-addition.     Un levier<B>167</B>     artieulé   <B>à</B> la touche<B>160</B> pré  sente un gradin<B>168</B> normalement placé     au-          dessus    d'un doigt<B>169</B> fixé<B>à</B> la touche<B>99</B>  pour constituer un dispositif     -daccouplement     a sens unique entre ces deux touches.

   La     tou-          elie    de     non-addition   <B>99</B> est maintenue abaissée  par le curseur de verrouillage usuel<B>170</B>  <B>(fi-. 15)</B> libéré périodiquement, mais aucun  verrou n'est prévu pour la touche<B>160,</B> (le  sorte que celle-ci retourne<B>à</B> la position<B>de</B>  repos dès que l'opérateur retire le doigt. Une  bielle<B>159</B> est intercalée, entre le levier<B>167</B> et  le curseur de     non-addition    102 pour retirer  le levier<B>167</B>     dudoigt   <B>169</B> pendant le cycle de       non-addition,    pour permettre le rappel<B>de</B> 'la  touche<B>99,</B> même si la touche<B>160</B> est mainte  nue abaissée.  



  Lorsqu'elle est abaissée, la touche<B>160</B>       aetionne    également un mécanisme pour ra  mener le     curseur-multiplicateur        110d'une    po  sition avancée vers la position de départ. Un  deuxième levier<B>171</B>     (fig.   <B>11),</B> similaire au  levier<B>167,</B> est fixé<B>à</B> celui-ci et superposé<B>à</B>  une branche<B>172</B>     dLin    étrier<B>173,</B> de     facon    que  l'abaissement de la touche<B>160</B> fasse pivoter       Pétrier   <B>173</B> dans le sens contraire<B>à</B> celui des    aiguilles d'une montre.

   La branche 174 du  côté gauche de l'étrier<B>173</B> présente un épau  lement<B>175</B> normalement placé devant un  tourillon<B>176</B> d'un levier<B>177</B> du mécanisme  commandant le curseur multiplicateur. La  branche 174 est déplacée par la touche<B>160</B>  pour s'écarter de la trajectoire     du    tourillon  <B>176</B> et pour permettre le déplacement du cur  seur<B>110.</B> L'étrier<B>173</B> est maintenu dans sa  position de travail par un levier de verrouil  lage<B>178</B> qui s'accroche sur un     doigtcarré   <B>1.79</B>  da levier 174 dans la position de travail de  l'étrier<B>173.</B>  



  Le fonctionnement de l'étrier<B>173</B> permet  également<B>à</B> un mécanisme de maintenir<B>dé-</B>  brayé un dispositif (non représenté) d'accou  plement principal pour les cycles jusqu'à ce  que l'opération de multiplication soit achevée.  Ce dispositif d'accouplement est débrayé,  comme dans les machines     Sundstrand    usuelles,  par un mouvement d'avancement d'une bielle  <B>1.80</B>     (fig.   <B>10</B> et<B>11) à</B> l'aide d'une des touches  de commande motorisées, par l'intermédiaire  d'une tringle articulée<B>181</B> que font pivoter  ces touches.

       Etant    donné que la touche<B>99</B>  actionnée par la touche de multiplication<B>160</B>  est une touche motorisée de ce genre, la     ma-          nceuvre    de la touche<B>160</B> fait pivoter la trin  gle<B>181,</B> qui est maintenue dans la nouvelle  position par un gradin<B>182</B> du levier de ver  rouillage<B>178,</B> le gradin venant se placer der  rière la tringle<B>181</B> lorsque le levier<B>178 dé-</B>  place la branche de verrouillage 174 de  l'étrier.  



  L'abaissement de la touche de multiplica  tion<B>160</B> intervient également pour actionner  un mécanisme permettant le dégagement     du     berceau de multiplication<B>161</B> au moment  approprié, c'est-à-dire après l'inscription (le  tous les chiffres du multiplicateur.

   Ainsi que  le montrent les     fig.   <B>Il</B> et 12 et ainsi qu'il a  été indiqué précédemment, la mise -en place       du    curseur<B>110</B> sur un chiffre réel permet au  ressort<B>153</B> de faire pivoter<B>le</B> levier<B>151</B> dans  le sens contraire<B>à</B> celui des aiguilles     d'-Lrae     
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    montre, <SEP> pour <SEP> placer <SEP> le <SEP> doigt <SEP> 154 <SEP> derrière <SEP> <U>le</U>
<tb>  gradin <SEP> <B>155</B> <SEP> du <SEP> levier <SEP> <B>156.</B> <SEP> Cel#L1i#-c* <SEP> <B>é</B>
<tb>  par <SEP> un <SEP> ressort <SEP> <B>183</B> <SEP> <U>da-n_aJ--ns</U> <SEP> <B>e</B> <SEP> ontraire <SEP> <B>à</B> <SEP> ce-         lui des aiguilles d'une montre,

   et il est nor  malement maintenu dans sa position     supé-          rie-Lire    par un verrou 184 qui s'engage sous     un     talon de la partie supérieure du levier<B>156.</B> Le  verrou 184 présente une branche<B>185</B> (voir  également la     fig.   <B>5)</B>     eoudée    vers le bas<B>à</B> côté  d'un doigt<B>186 de</B> la touche<B>160,</B> de façon     que     l'abaissement de la touche<B>160</B> fasse pivoter  le verrou 184 pour libérer le levier<B>156.</B> Ce  levier libéré maintient le levier<B>151</B> dans la  position de travail jusqu'à ce qu'il soit élevé  par la coopération d'un doigt<B>187</B> du curseur  <B>110</B> avec la branche postérieure coudée du  levier<B>156,

  </B> pendant le déplacement du     cursear     <B>110</B> de la position<B> 0 </B> vers une position plus  avancée de décimales.     Etant    donné que ce mé  canisme n'intervient pour libérer le berceau  de multiplication<B>161</B> qu'après la fin de la  multiplication, la description du fonctionne  ment de ces organes sera reprise plus loin.         Preinier   <I>cycle</I> de multiplication.  



  En actionnant la touche de     non-addition          019,    l'abaissement de la touche de multiplica  tion<B>160</B> a amorcé un cycle de la machine par       Fintermédiaire    de la tringle<B>181</B> et de la bielle  <B>180.</B> Pendant ce cycle, l'arbre<B>96</B> tourne dans  le sens contraire<B>à</B> celui des aiguilles dune  montre     (fig.   <B>6)</B> en faisant pivoter la platine  2-11 dans le sens des aiguilles d'une montre. La  platine 124     (fig.    12) pivote, dans le sens con  traire et la platine<B>126</B> dans le sens des aiguil  les d'une montre.

   Au début du cycle, le totali  sateur<B>61</B> est dégagé des crémaillères<B>55</B> et<B>56</B>  par le     cliquet    94     (fig.    4) agissant sur le  doigt     92.     



  Les mécanismes d'entraînement du cylin  dre de frappe et de dégagement des marteaux  de frappe sont débrayés au début du cycle par  la barre<B>118</B> et le curseur<B>119</B>     (fig.   <B>19)</B> se<B>dé-</B>  plaçant vers la gauche. Le rouleau 240 de la  platine 241 libère le levier<B>237</B> pendant le<B>dé-</B>  placement de la platine 241, et le ressort<B>238</B>  intervient ensuite pour faire pivoter le levier  <B>237</B> dans le sens des aiguilles d'une montre et,       p#qur    faire pivoter le levier<B>235</B> par l'intermé-  
EMI0012.0020     
  
    diairè-#,-1a <SEP> <B>__</B> <SEP> bielle <SEP> <B>239,</B> <SEP> tandis <SEP> qi--te <SEP> le <SEP> curseur
<tb>  <B>119</B> <SEP> se <SEP> déplace-V#WQL-la- <SEP> gauche.

   <SEP> Le <SEP> levier <SEP> <B>'235</B>       a été entre temps déverrouillé par le levier  de verrouillage 234 que le berceau de multi  plication<B>161</B> a fait pivoter par l'intermédiaire  de la bielle<B>233,</B> de, la manière précédemment  décrite.     Etant    donné     que    le levier<B>116</B>       (fig.    12)

   a été écarté de la barre<B>118</B> par le  déplacement     du        curseur-multiplicateur   <B>110.</B>  cette barre<B>118</B> peut se déplacer librement  jusqu'à l'extrême position<B>à</B> gauche pour     em--          pêcher    l'avancement du papier et le     déga'-e-          ment    des marteaux d'impression.  



  <B>A</B> ce moment, le     curseur-multiplicateïir     <B>110</B> a été ramené d'un pas vers la position (le  départ. Les     fig.   <B>11,</B> 12,<B>23,</B> 24 et<B>28</B> montrent  que la platine<B>126</B> de l'arbre principal<B>96</B>  porte un rouleau<B>260</B> initialement un peu  espacé d'une branche coudée     d'un    levier<B>261.</B>  Ce levier<B>261</B> est articulé sur un tourillon  <B>262</B> et rappelé par un ressort<B>263</B> contre un  doigt fixe 264.

   Sur le tourillon<B>262</B> est égale  ment     articalé    le levier<B>177</B> rappelé par un res  sort<B>266,</B> de     facon        que    sa tranche antérieure  soit appliquée contre un doigt.<B>267</B> du levier  <B>261.</B> Le tourillon<B>176</B> précédemment indiqué  est fixé au levier<B>177.</B> Sur ce tourillon est  articulé un cliquet<B>268</B> sollicité dans le sens  contraire<B>à</B> celui des aiguilles     d#une    montre  par un ressort<B>269</B> pour être appliqué contre  Lin doigt fixe<B>270,</B> le bec<B>271</B> du     eliquet   <B>2268</B>  étant, dans cette position,

   dégagé d'une ran  gée de dents<B>272</B> ménagées sur la tranche infé  rieure du     cursear-multiplieateur   <B>110.</B> Lorsque  la branche 174 de l'étrier<B>173</B> a été amenée<B>à</B>  <B>la,</B> position inactive par rapport au doigt<B>176</B>  après abaissement de la touche<B>de</B>     multipliea-          tion   <B>160</B> et verrouillée dans cette position par  le levier<B>178,</B> le pivotement de la platine<B>126</B>  pendant le cycle est transmis par le rouleau  <B>260</B> aux leviers<B>261</B> et<B>177</B> dans le sens (les  aiguilles d'une montre pour faire avancer<B>le</B>  cliquet<B>268.</B> Grâce<B>à</B> la conformation de la  tranche supérieure du cliquet<B>268,</B> son mouve  ment d'avancement l'écarte du doigt<B>270,

  </B> et  il pivote de bas en haut pour engager son bec  <B>271</B> entre deux dents<B>272</B> dit curseur<B>110.</B> La  suite     du    mouvement de la platine<B>126</B> et     du     pivotement des leviers<B>261</B> et<B>177</B> fait avancer  le curseur<B>110</B>     d'uii    pas. Le ressort<B>266</B> inter-           ealé    entre les leviers<B>261</B> et<B>177</B> forme une  liaison flexible entre ces leviers pour     empe-          cher    toute détérioration si le curseur<B>110</B> est  bloqué ou si le doigt<B>176</B> est verrouillé par le  levier 174.  



  Pendant le premier     demi-cycle,    la barre<B>à</B>  caractères     compteuse    242     (fig.   <B>16, 17</B> et<B>19)</B>  est élevée<B>à</B> la position d'impression<B> 0 ,</B> et  le cliquet 243 de la barre 242 est placé dans  la position de retenue.

   Le pivotement du le  vier de verrouillage 234, produit par     l'avan-          eement    du berceau de multiplication<B>161,</B> a  élevé le bras<B>à</B> crochet 254 pour le     de.-a.ger    du  doigt<B>256</B> de la platine 241, de sorte que le  levier<B>250</B> petit rester librement dans une po  sition de réglage quelconque, un levier<B>à</B>     eu-          coehe   <B>273,</B> sollicité par un ressort 274 pour  tire maintenu en prise avec un doigt<B>275 à</B>       1-"extrémit,#    supérieure     du    levier<B>250,

  </B>     retenaat     le levier<B>250</B>     élastiquement    dans toutes les<B>Po-</B>  sitions de réglage. Un curseur<B>276</B> est sollicité  par un ressort<B>277</B> vers la gauche de la     fig.   <B>19.</B>  Ce curseur repose sur deux doigts<B>278</B> et<B>279,</B>  dont le premier est solidaire du levier<B>250</B> et  le deuxième de la platine 2-11. Le curseur<B>276</B>  présente une coulisse<B>280</B> engagée sur le doigt  <B>278.</B> La     Iongueur    de cette coulisse est choisie  telle que le levier<B>250</B> puisse osciller librement  entre la position de départ et une position.  intermédiaire.

   Le curseur<B>276</B> présente égale  ment -une coulisse incurvée<B>281</B> engagée sur le       ,doiL-It   <B>279</B> de la platine 241. La longueur de,  cette coulisse est suffisante pour permettre<B>à</B>       la    platine 241 d'osciller librement d'un bout  <B>ù</B> l'autre sans déplacer le curseur<B>276,</B> le     doi-gt,     <B>279</B> coopérant avec l'extrémité postérieure<B>(le</B>  la coulisse<B>281</B> pour rappeler le curseur<B>276</B>  d'une position avancée quelconque.

       L'extré-          mité    postérieure du curseur<B>276</B> est coudée  pour former une languette<B>282</B> restant norma  lement<B>à</B> l'arrière d'une branche inférieure du  levier<B>235.</B> Lorsque le levier<B>235</B> pivote au  début d'un cycle de la manière précédemment  <I>décrite,</I> le curseur<B>276</B> est libre de suivre le  doigt<B>279</B> sous l'action de son ressort<B>277.</B>  Pendant ce mouvement, la coopération de l'ex  trémité postérieure de la coulisse<B>280</B> avec le  doigt<B>278</B> fait pivoter le levier<B>250</B> en partant    de la position postérieure, en passant par la  position intermédiaire,

   vers une position com  plètement avancée que montre la     fig.   <B>16.</B> Ce  mouvement du levier<B>250</B> fait pivoter l'arbre  246 pour déplacer le doigt 248 du levier 249  et pour permettre     Pengrènement        du        eliquet     243 avec la barre 242 en vue de son maintien  dans     une    position de réglage quelconque.  



  Le mouvement du levier<B>250</B> vers la posi  tion complètement avancée lait également  avancer la barre 242 pour amener le caractère  <B> 0  à</B> la position d'impression. Le levier 249  de l'arbre 246 porte un cliquet d'avancement  <B>283.</B> Dans la position de repos de l'arbre 246  et du levier<B>250,</B> le     cliquet   <B>283</B> est rappelé  par un ressort 284     (fig.   <B>18)</B> contre l'extrémité  supérieure du levier 249. Il est amené en prise  avec les dents 244 de la barre 242 lorsque       Parbre    246 est déplacé vers une position inter  médiaire.

   Le déplacement     dit    levier<B>250</B> vers  la position complètement avancée fait tourner  davantage l'arbre 246 et soulève le cliquet<B>283</B>  pour élever la barre<B>à</B> caractères 242 d'un  pas,<B>de</B>     facon    que le caractère<B> 0 </B> soit placé  en regard du point d'impression. Le cliquet  243, également libéré<B>à</B> ce moment, maintient  la barre en ce point. Le retour de la platine  241 vers la position de départ<B>à</B> la fin du<B>cy-</B>  cle rappelle le curseur<B>276 à</B> sa position de  repos, tandis que le levier<B>250</B> n'est pas com  plètement rappelé. Le jeu entre le doigt<B>278</B>  et. la coulisse 280 est choisi tel que le levier  <B>250</B> ne revienne qu'à la position intermédiaire,  laissant ainsi le cliquet 243 dans sa position  de retenue.

   Le levier<B>250</B> ne peut être ramené  <B>à</B> la position de départ que par la coopération  du doigt<B>256</B> et du levier<B>à</B> crochet 254, mais  ce dernier est soulevé<B>à</B> ce moment par le le  vier de verrouillage 234, de sorte que le levier  <B>250</B>     n#est    rappelé que partiellement.  



  Pendant ce premier cycle, la touche de       non-addition   <B>99</B> reste abaissée, parce qu'elle a  été abaissée par la touche de multiplication  <B>160</B> et qu'elle est verrouillée dans cette posi  tion. La touche de     non-addition    étant abaissée,  le curseur 102     (fig.    4) est placé dans sa posi  tion postérieure, dans laquelle le cliquet<B>9-1</B>  est empêché pendant la deuxième moitié     du         cycle de coopérer avec le doigt     9")    pour ame  ner le totalisateur<B>61</B> en prise avec les     cré-          niaillères    d'addition<B>55.</B> En conséquence, ce  premier cycle est un cycle de     non-addition,

       même si les barres<B>à</B> caractères<B>35</B> sont, avan  cées     jusquaux    positions déterminées par les  broches<B>33.</B> Le totalisateur     #61    est rappelé,<B>à</B>  la fin du cycle, pour engrener avec les cré  maillères<B>55,</B> par le mécanisme usuel constitué  par un levier<B>285</B>     (fig.   <B>6)</B> présentant un ta  lon coudé<B>286</B> pouvant coopérer avec la tran  che inférieure de la platine<B>95 à</B> la fin du  cycle, et relié par une bielle<B>287 à</B> la platine  <B>90.</B> La touche de     non-addition   <B>99</B> est libérée  pour retourner<B>à</B> la position de repos<B>à</B> la l'in  <B>dit</B> cycle.    <I>Cycles de multiplication suivants.</I>  



  Un deuxième cycle intervient automatique  ment<B>à</B> la fin     du    premier cycle de multipli  cation qui     vie-nt    d'être décrit.<B>Il</B> convient     clé     rappeler que la tringle<B>181</B> et la bielle<B>180</B>  sont verrouillées dans leur position de 'travail  <B>a</B> ,,près le pivotement du levier de verrouillage  <B>178</B>     (fig.   <B>11).</B> Le levier<B>178</B>     Wétant    pas esca  moté<B>à</B> ce moment, un deuxième cycle suit  automatiquement.

   Ce deuxième cycle et tous  les cycles suivants, sauf le dernier cycle     dIns-          cription    du chiffre multiplicateur, sont tous  clés répétitions du premier cycle décrit, avec  la seule exception que la touche de     non-addi-          tion        Ceux-ci        99        sont        West        donc        pas        abaissée        des        cycles        pour        d'addition,

          ces        cycles'        le     multiplicande inscrit étant introduit<B>à</B> chaque  cycle par addition dans le totalisateur<B>61.</B>  



  Ainsi qu'il a été décrit précédemment, le  mécanisme d'impression est également<B>dé-</B>  brayé, pendant chaque cycle. Le     curseur-mul-          tiplicateur   <B>110</B> est ramené d'un pas vers la  position de départ, et la barre     eompteuse        2-12     est élevée d'un pas pour     amenèr    successive  ment les caractères<B>37</B> au point d'impression.    <I>Dernier cycle de multiplication.</I>       (Fig.    12, 14,<B>19, 23, 26</B> et<B>27.)</B>  <B>c</B>  Le dernier cycle de multiplication par le  premier chiffre du multiplicateur commence  avec le     eurseur-multiplicateur   <B>110 à</B> la posi  tion de départ ou position<B> 0 .

   A</B> ce moment,    la machine a exécuté un nombre clé cycles  égal au chiffre inscrit. Cependant, étant  donné que le premier cycle est un cycle de       rion-addition,        un    cycle supplémentaire est     né-          cessaire    pour introduire le multiplicande le  nombre de fois approprié. De même, la barre       eompteuse    242 est placée pour imprimer un  chiffre inférieur d'une -unité au nombre de  cycles exécutés et doit être élevée au chiffre  approprié.  



  Pendant ce dernier le -.mécanisme  d'impression est mis en place pour     Pimpres-          sion    du multiplicande et du multiplicateur.       Etant    donné que le     eurseur-multiplicateur     occupe<B>la</B> position<B> 0 </B> au début (lu cycle, son  extrémité postérieure     (fig.    12 et<B>9-7)</B> ne main  tient pas le levier<B>116 à</B> la position avancée,  de sorte que l'extrémité postérieure de ce le  vier<B>116</B> arrête la barre<B>1.18</B> dans sa position  intermédiaire.

   Dans cette position     interiiié-          diaire,    le mécanisme d'entraînement du     ey-          lindre    de frappe et le     mée-tiiiisiiie-    libérant les,  marteaux de frappe peuvent être actionnés clé       facon        que    le multiplicande soit imprimé juste  après le, milieu du cycle.

   Le mouvement du  levier<B>235</B> est suffisant pour libérer le     eur-          seur   <B>9-76</B>     (fig.   <B>19),</B> et la barre     eonipteuse        *242     est élevée d'un pas supplémentaire pour     aine-          iler    le caractère approprié sur la ligne     d1iii-          pression.    Après le dégagement des marteaux  54, le multiplicande et le chiffre approprié du  multiplicateur sont imprimés sur le papier  placé sur le cylindre<B><U>5".</U></B>  



  Lorsque le     curseur-multiplieateur   <B>110</B> est  ramené pendant ce dernier cycle, il se     déplaee     de la position<B> 0 </B> vers une position     sub-          normale.    Le     eurseur   <B>110</B> est retenu dans     eette     position     subilormale    par un verrou<B>290</B>  (fi-.<B>23</B> et     26)    presque jusqu'à la     fin    du<B>cy-</B>  cle.

   Ce verrou est sollicité par un ressort<B>291</B>  dans le sens contraire<B>à</B> celui des aiguilles  d'une montre pour que son extrémité anté  rieure coudée<B>292</B> soit appliquée contre la  tranche     postéro-inférieure    encochée du     eur-          seur   <B>110.</B> Le verrou est normalement main  tenu écarté par le rouleau<B>260</B> de la platine  <B>126</B> coopérant avec son extrémité postérieure.

         A-Li    début du cycle, le rouleau<B>260</B> libère le      <B>2,90</B> pour lui permettre de coopérer  avec<B>le</B> curseur<B>110</B>     (fig.   <B>-96).</B> Lorsque le     eur-          scur   <B>110</B> se -déplace vers la position     sub-          normale,    il est verrouillé dans cette position  par le talon<B>292</B> venant en prise avec     une    des  encoches pratiquées dans l'extrémité     -du    cur  seur<B>110.</B> Le curseur<B>110</B> est rappelé<B>à</B> la posi  tion<B> 0 </B> normale par un rouleau<B>293</B>     (fig.    12)  monté, sur un levier 294.

   Ce levier 294 est  sollicité de bas en haut par un ressort<B>295,</B> et  le rouleau<B>293</B> coopère normalement avec les  (lent-,<B>'272</B> du curseur<B>110</B> pour maintenir     ce-          lui-ei    dans sa position de réglage. Lorsque le  curseur se déplace vers la position     sribnor-          inale,    une rampe inclinée<B>296</B> de la tranche  inférieure     poLisse    le rouleau<B>293</B> vers le bas.  Lorsque le verrou<B>290</B> est libéré<B>à</B> la fin du       e#-ele,    le levier<B>à</B> ressort 294 et le rouleau<B>293</B>  interviennent pour ramener le curseur<B>110 à</B>  la position<B> 0 .</B>  



  Pendant son déplacement vers la position       subnormale,    le curseur<B>110</B> libère le levier de  verrouillage<B>178</B> par la coopération d'un doigt  <B>265 11)</B>     cl-Lu    curseur<B>110</B> avec une     bran-          elie   <B>297</B> solidaire du levier<B>178.</B> Une fois     li-          l#Cir6,    le, levier<B>178</B> libère<B>à</B> son tour la branche  <B>17-1</B> de l'étrier<B>173,

  </B> qui s'élève en regard du  doigt<B>176</B> et arrête tout déplacement     supplé-          ineritaire        du        eliquet    d'avancement<B>268</B> pour le       eiirseur   <B>110.</B> L'extrémité antérieure     -,lu    levier  <B>1.78</B>     s*écarte    de la tringle<B>181</B> pour la libérer  et pour libérer également la bielle<B>180</B> per  mettant l'intervention<B>da</B> mécanisme arrêtant  <B>le</B> cycle et. la multiplication<B>à</B> la fin da cycle       en    cours.  



  Dans sa position     sulmormale,    'le curseur  <B>110</B><U>dégage</U> également la branche de verrou       1,36    du doigt 154 solidaire du levier<B>151.</B> Ce  pendant-, étant donné que ce mécanisme n'in  tervient     que    lorsque. la multiplication est  achevée, la description de ce fonctionnement  sera reprise plus loin.  



  Dans sa position     subnorniale,    le curseur  <B>110</B> conditionne     é,,,aleriient    le mécanisme de       rétro-espacement    du cadre, oscillant<B>32.</B> Les       f',,.    2' et<B>25</B> montrent     que    le     doi.gt    221 du       eurseur   <B>110</B> fait pivoter le levier<B>219</B> lorsque  <B>le</B> curseur<B>110</B><I>se</I> déplace vers la position sub-    normale.

   Par l'intermédiaire     du    ressort<B>216,</B>       dui    levier<B>217, de</B> l'arbre<B>215</B> et du levier 214,  ce levier<B>219</B> élève le curseur<B>223.</B> Il convient  de rappeler que le levier 214 a été libéré par  <B>le</B> déplacement du berceau de multiplication  vers la position avancée. Ce berceau étant  avancé<B>à</B> ce moment, le levier est encore li  béré.

   Le curseur<B>223</B> est élevé pour amener  son extrémité postérieure<B>à</B> l'arrière du doigt       2ÔO    de la platine<B>231.</B> Celle-ci étant déplacée       angulairement   <B>à</B> la fin     dun    cycle de la ma  nière précédemment décrite, le curseur<B>223</B>  est actionné pour agir sur la touche<B>209</B> et  pour ramener le cadre oscillant<B>32</B> d'un pas  vers la position de départ.  



  Lorsqu'il est actionné de cette manière  pour     rétro-espacer    le cadre oscillant<B>-32,</B> le  curseur<B>223</B> dégage également le cliquet 243       (fig.    14 et<B>19).</B> Lorsque le curseur<B>223</B> est  élevé, son talon<B>298</B> est aligné avec un doigt  <B>299</B> du levier<B>250.</B> Pendant le recul du     cur-          seuir   <B>223</B> sous l'action     du    doigt<B>230 à</B> la fin  du cycle, le talon<B>298</B> pousse le doigt<B>299</B> et  ramène le levier<B>250 à</B> la position de repos,  libérant ainsi- le     cliquet    243 et le     cliquet     d'avancement<B>283.

   Il</B> en résulte que la. barre       compteuse    242 est<B>à</B> son tour libérée et re  tourne<B>à</B> la position de départ sous l'action  <I>au</I> son ressort.     Etant    donné     que    ce mouve  ment a lieu après le dégagement des marteaux  d'impression,     ri-en    ne contrarie l'impression  du chiffre correct.  



  <B>A</B> la fin de ce cycle, le dispositif     d#accou-          ple.ment    est arrêté et arrête<B>à</B> son tour les  cycles de fonctionnement de la machine. Le  curseur<B>110</B> est<B>dégagé</B>     du    verrou<B>290</B> et re  tourne<B>à</B> la position<B> 0 .</B> Le curseur de     rétro-          espacement   <B>223</B> descend<B>à</B> sa position de<B>dé-</B>  part, et la machine est ainsi préparée pour       Fintroduction    du deuxième chiffre du multi  plicateur,<B>le</B> berceau de multiplication<B>161</B>  restant dans sa position avancée.    <I>Deuxième</I>     ciLiffre    du multiplicateur.

      Le fonctionnement de<B>là</B> machine pour le  deuxième chiffre du multiplicateur est une  répétition     du    fonctionnement pour le premier  chiffre,<B>à</B> l'exception de deux différences, Au      début des opérations pour ce chiffre du multi  plicateur, le berceau de multiplication<B>161</B>  occupe<B>déjà</B> sa position de travail et n'est  donc pas déplacé lorsque l'opérateur abaisse  pour la deuxième fois la touche de multipli  cation<B>160.</B> De plus, le multiplicande inscrit  n'est pas le même.

   En effet, par suite de l'in  tervention du mécanisme de     rétro-espaeement,     le nombre inscrit a été réduit d'un facteur  égal<B>à 10.</B> Les autres opérations sont identi  ques<B>à</B> celles     qui    ont été décrites pour le pre  mier chiffre multiplicateur.,    <I>Dernier chiffre</I> du     #nuJtip1icateur.       Le cycle des opérations pour le dernier  chiffre multiplicateur est une répétition des  opérations pour les autres chiffres, sauf que,  pour ce dernier cycle, le cadre oscillant<B>32</B> est  complètement rappelé<B>à</B> la position de départ,       effacant    ainsi le multiplicande inscrit, tandis  que le berceau<B>161</B> occupe lui-même la position  de repos.  



  Il convient de rappeler que le chiffre du  multiplicande a été inscrit suivi     d'un    nombre  de zéros. Ces zéros, en nombre égal<B>à</B> celui  des chiffres du multiplicateur moins     un,    ont  été éliminés pendant les cycles de multiplica  tion précédents. En conséquence, lorsque le  dernier chiffre multiplicateur doit être intro  duit., le chiffre des unités     du    multiplicande  occupe la colonne la plus basse et, pour la  première fois, la barre<B>à</B> caractères<B>35</B> de, la  colonne des unités peut s'élever au-dessus de  la position<B> 0 .</B> On utilise ce mouvement pour  commander le rappel du berceau de multipli  cation<B>161.</B>  



  En regard de la     fig.   <B>11, il</B> convient<B>de</B>  rappeler que, pendant<B>le</B> déplacement du     cur-          seur-multiplieateur    en partant de la position  <B> 0 ,</B> les leviers 148 et<B>151</B> sont libérés pour  pivoter dans le sens contraire<B>à</B> celui des ai  guilles d'une montre autour de leur pivot 149,  <B>de</B> sorte que le curseur<B>157</B> est déplacé vers  l'avant de la machine. Ce curseur<B>157</B> pré  sente<B>à</B> son extrémité postérieure une coulisse  engagée sur l'arbre 246.

   Dans sa position  avancée, un clique<B>300,</B> articulé au curseur  <B>157,</B> repose sur un talon<B>301</B> d'un levier     â02       solidaire de l'arbre<B>30Ô.</B> Cet, arbre<B>303</B> est  rappelé dans<B>le</B> sens contraire<B>à</B> celui des ai  guilles d'une montre par     lui    ressort 304       (fig.    12), et il est retenu dans sa position  normale     (fig,   <B>11)</B> par la coopération     dun    le  vier<B>305</B> de l'arbre avec un doigt<B>306</B> fixé sur  la barre<B>à</B> caractères<B>35</B> de la colonne la plus  basse.

   Le levier 305 fait partie     dLin    étrier<B>307</B>  monté librement sur l'arbre<B>303.</B> Il est relié  par un ressort<B>308 à</B> une broche<B>309</B> solidaire  de l'arbre<B>303.</B> Le ressort<B>308</B> est plus puis  sant que le ressort 304, et a, par conséquent,  tendance<B>à</B> solliciter l'arbre<B>303</B> dans le sens  des aiguilles     d'uine    montre.<B>A</B> l'extrémité de  droite de     Farbre   <B>303</B> est fixé un levier<B>310</B> re  lié par une bielle<B>311 à</B> un levier<B>312.</B> Le le  vier 312 est articulé par son extrémité     anté-          ii.eure    au verrou<B>166</B> du berceau de multipli  cation<B>161.</B> Lorsqu'il est déplacé vers l'ar  rière,

   il libère le berceau<B>161</B> pour permettre  son retour<B>à</B> la position de départ.  



  L'extrémité postérieure     du    levier<B>312</B> pré  sente un talon<B>313</B> normalement dégagé d'un  doigt carré 314 solidaire d'un levier<B>315,</B> mais  pouvant être engagé sur la trajectoire de ce  doigt. Si le     curseur-multiplicateur   <B>110</B> occupe  une position en regard     d'Lin    chiffre quelcon  que, le ressort<B>153</B> fait pivoter le levier<B>151.</B>  pour faire avancer le curseur<B>157</B> et pour  placer le     cliquet   <B>300</B> au-dessus du talon<B>301</B>  du levier<B>302.</B> Lorsque la barre<B>à</B> caractères  <B>Ô5</B> des unités s'élève au-dessus de la position  <B> 0 ,</B> pendant l'inscription du dernier chiffre  multiplicateur,

   le levier<B>309-</B> est arrêté dans       une    position intermédiaire par le     cliquet   <B>300.</B>  Si le curseur<B>110</B> est ramené<B>à</B> la position<B> 0 ,</B>  le doigt 147 du curseur<B>110</B> coopère avec le  levier 148 pour le faire pivoter dans le sens  des aiguilles d'une montre.

   -Mais le levier<B>151</B>  ne peut pas suivre ce mouvement parce que  le gradin<B>155</B>     (fig.    12) du levier<B>156</B> est<B>à</B> ce  moment engagé sur le doigt 154     du    levier<B>151.</B>  Si le curseur<B>110</B> se déplace de la position<B> 0 </B>  vers la position     subnormale    pendant la par  tie antérieure du dernier cycle,<B>il</B> soulève le  levier<B>156</B> pour libérer le levier<B>151,</B> qui pi  vote alors dans le sens des     aiauilles    d'une mon  tre pour déplacer le curseur<B>157</B> vers Par-           rière    et pour retirer le     cliquet   <B>300</B> du dessus  du talon<B>301.</B> Or,

   étant donné que la barre<B>à</B>  caractères<B>35</B> de la colonne des -unités s'élève  <B>î</B>     au     -dessus de<B> 0 ,</B> le levier<B>302</B> est libre de se  déplacer au-delà de sa position intermédiaire.  <B>Il</B> abaisse ainsi le levier<B>312</B> pour l'amener  sur la trajectoire du doigt, carré 314 et pour  libérer le berceau<B>161.</B>  



  Le levier     Ô15    pivote en avant<B>à</B> la fin du  premier     demi-cycle    et en arrière au début du  cycle de retour, sous l'action de la barre 48  coopérant avec l'extrémité supérieure confor  mée en came du levier<B>315.</B> Cette barre 48       (fi--o-.    14) est reliée aux platines 241 et 124  par des curseurs<B>316</B> reliés par leurs     e--..tré-          inités    supérieures aux platines 241 et 124 et  pouvant coulisser sur des doigts fixes<B>317</B>       (fig.   <B>3).</B> Si les platines 241 et     1'224    pivotent  pendant le cycle,

   la barre 48 est abaissée et  fait pivoter le levier<B>315</B> vers l'avant<B>à</B> l'en  contre de l'action du ressort<B>318</B> qui agit sur  le levier<B>315</B> par l'intermédiaire d'une bielle       ")19,    reliée au levier<B>315</B> par une extrémité et  dont l'extrémité opposée peut coulisser sur un       doi-t    fixe<B>320.</B> Lorsque le levier<B>312</B> est  <B>c</B>  abaissé de la manière précédemment décrite,  le mouvement de     retourdu    levier<B>315</B> fait     re-          euler    le levier 312 pour libérer le berceau<B>161</B>       cl-Li    verrou<B>166</B> peu après la moitié du cycle.  



  Lorsque le berceau<B>161</B> est libéré et ra  mené<B>à</B> la position de repos par son ressort  161a, il embraye le mécanisme de rappel du  cadre oscillant<B>32</B> en libérant le levier 202       (ffig.   <B>9).</B> Ceci permet au ressort<B>321</B> du levier  202 de soulever le rouleau 204 du levier<B>de</B>  rappel 194, et ce levier coopère au moment  approprié avec le talon<B>195</B>     du    curseur<B>193</B>  pour ramener le cadre oscillant<B>32 à</B> la posi  tion<B>de</B> repos.

   Le mécanisme de     rétro-espace-          ment,    qui est intervenu     ilisque-là    pour rappe  ler le cadre oscillant<B>32</B> d'un pas, est de nou  veau débrayé par l'arrivée de l'extrémité su  périeure en crochet 212 du berceau<B>161</B>       (fig.   <B>11)</B> sur le doigt<B>213,</B> pour empêcher       Félévation    da levier<B>223</B> vers la position dans  laquelle il peut coopérer avec son doigt<B>230.</B>  



  <B>A</B> la fin de ce mouvement, tous les     or-          nq          ,,anes    sont ramenés<B>à</B> la position de départ et    le produit complet du multiplicateur et     du     multiplicande est enregistré dans le totalisa  teur<B>61.</B> Ce produit peut ensuite être imprimé  par une opération de prise de total, ou retenu  pour l'utiliser dans d'autres calculs.  



  <I>Opérations de, division.</I>  



  La présente machine est capable d'effec  tuer la division entièrement automatique par  un procédé de soustraction répétée. Dans ce  procédé, le diviseur est retranché d'une     ma-          ilière    répétée du dividende jusqu'à l'obtention       d#un    complément. Le diviseur est ensuite     ré-          tro-additionné    une fois et réduit     dLin    facteur  égal<B>à 10.</B> Cette opération est répétée     jusquà     <B>ce</B> que les mécanismes de commande intervien  nent pour arrêter les opérations.  



  <I>Inscription</I> dit dividende.       (Fig.   <B>1,</B> 2,<B>3</B> et<B>9.)</B>  Le dividende est inscrit sur les broches<B>33</B>       (fig,   <B>3)</B> par la     man#uvre    usuelle des touches  <B>30.</B> Il convient généralement d'inscrire le     di-          vid-ende    dans les colonnes supérieures en fai  sant suivre le dernier chiffre d'un nombre de  zéros pour déplacer le dividende vers les     co-          lônnes    les plus élevées.

   On     man#uvre    ensuite  la barre     d'a#ddition   <B>98</B>     (fig.   <B>1)</B> pour reporter  le dividende sur le totalisateur<B>61</B> de, la ma  nière usuelle. Dans ce cycle d'enregistrement,  le levier de rappel 194     (fig.   <B>9)</B> intervient pour  ramener le cadre oscillant<B>32</B> et pour effacer  <B>le</B> nombre inscrit après son enregistrement.  Tous les organes sont -donc ramenés<B>à</B> la posi  tion de départ.    Inscription du diviseur.    Le diviseur est inscrit ensuite sur les bro  ches<B>33</B> par la     manceuvre    des touches<B>30,</B> et il  est déplacé de la manière précédemment<B>dé-</B>  crite vers les colonnes les     pl-Lis    élevées.  



  Fonctionnement de la touche<I>de division.</I>       (Fig.    4, 14, 20<B>à</B> 24,<B>27</B> et<B>28.)</B>  Après l'enregistrement du dividende sur  <B>le</B> totalisateur<B>61</B> et l'inscription     du        divisel--tr,          Popérateur    abaisse la touche de division<B>325</B>  pour amorcer<B>le</B> cycle de division.

   Sur les           fig.    14 et<B>28,</B> on voit que la touche<B>325</B> est re  liée par un levier coudé<B>326</B> et -une bielle<B>327</B>  <B>à</B> un berceau de division<B>328</B> placé<B>à</B> l'exté  rieur du berceau de multiplication<B>161.</B> Le  doigt<B>165</B> du berceau de multiplication<B>161</B>  est engagé dans la position de repos sur la  tranche antérieure du berceau de division<B>328.</B>  En conséquence, lorsque le berceau de divi  sion<B>328</B> est avancé, il entraîne également le  berceau de multiplication<B>161.</B> Le verrou<B>166</B>  précédemment, décrit retient le berceau de di  vision<B>328 à</B> la position de réglage par la co  opération du verrou<B>166</B> avec un doigt<B>329</B>     du     berceau<B>328.</B>  



  Le réglage du berceau de multiplication  <B>161</B> par la touche de division<B>325</B> conditionne  les mêmes mécanismes qui sont conditionnés  lorsque<B>le</B> berceau<B>161</B> est réglé par la touche  de multiplication<B>160,</B> c'est-à-dire que le<B>mé-</B>  canisme de rappel du cadre oscillant<B>32</B> est  débrayé par le levier 202, tandis que le     cloig     <B>213</B>     (fig.    14) est libéré pour permettre le  fonctionnement automatique de la touche de       rétro-espacement   <B>209.</B> La bielle<B>233</B> est     avan-          eée    pour dégager le verrou 234     du    levier<B>235</B>  commandant l'impression,

   et pour écarter de  la trajectoire du doigt<B>256</B> de la platine 241  le levier 254 libérant la barre     compteuse.     



  La mise en place du berceau de division  <B>â28</B> conditionne d'autres organes de commande  coopérant avec ceux qui sont actionnés par le  berceau de multiplication. Le berceau de di  vision<B>328</B> est relié<B>à</B> une bielle<B>330</B> qui, lors  qu'elle est avancée, vient toucher un doigt     3ôl     d'un levier<B>332</B> solidaire d'un arbre<B>3ô3</B> pour  maintenir le levier<B>332</B> dans une position infé  rieure.

   Le but de ce mouvement sera décrit  plus loin avec le fonctionnement du méca  nisme de     rétro-espacement.    L'extrémité posté  rieure de la bielle<B>330</B> est reliée<B>à</B>     Lurie    branche       d'Lin    étrier 334 faisant partie     d'Lin    mécanisme  de décalage que montrent plus clairement les       fig.    21 et 22.

   L'étrier 334 est articulé sur un  pivot fixe<B>3ô5.</B> Sa branche     postéro-inférieure     est reliée<B>à</B> un curseur<B>336</B> librement mobile  sur des doigts<B>337</B> solidaires du bâti.<B>A</B> ce  curseur<B>336</B> est articulé un levier<B>338</B> présen-    tant deux extrémités     angulairement    relevées  <B>239</B> et 341. Le levier<B>338</B> présente une cou  lisse 342     erigac    e sur Lin doigt î43 d'un cur  seur     î44.    Le curseur     Ô44    est monté sur le  support du totalisateur<B>61</B> et présente deux  talons<B>3-15</B> engagés sous les crémaillères<B>55</B> et  <B>56</B> de la colonne inférieure.

   Un levier<B>à</B>     eliquet     346 articulé au support du totalisateur est  sollicité par un ressort 349 pour appliquer  son doigt<B>352</B> contre la tranche supérieure     du     curseur Ô44. En coopération avec le talon 345  du curseur 344, le     cliquet    retient ce curseur  dans une position de réglage quelconque.

   Nor  malement, le curseur<B>336</B> occupe la position  que montre la fi-. 21, dans laquelle l'extrémité  <B>339</B> coopère<B>à</B> chaque     cyele    de la machine, par  la barre 48 actionnée périodiquement, pour  pousser l'extrémité<B>339</B> et le curseur 344 vers  l'arrière, et pour écarter les talons 345 des  crémaillères<B>55</B> et<B>56.</B>    La branche     postéro-supérieure    de     Pétrier          334    est reliée par une tringle 347<B>à</B> une     bran-          elle        d'un    étrier 348 articulé au bâti de la ma  chine.

   L'autre branche de     Pétrier    348 est su  perposée<B>à</B> l'extrémité postérieure du levier  <B>116</B> précédemment décrit. Lorsque     Pétrier    â34  pivote sous l'action du berceau de division       ,D28,   <B>3</B>     l'étrier        348        intervient        pour        abaisser     l'extrémité postérieure     du    levier<B>116.

   Il</B>     con-          #,ient    de rappeler     que    ce mouvement permet<B>à</B>  la barre de commande (le l'impression<B>118</B>     clé     se déplacer vers l'extrême position<B>à</B> gauche  et de débrayer les mécanismes     d'entraîne-          nient    du cylindre de frappe et, d'impression.  



  La branche     ant6ro-supéiieure    de l'étrier  334 est encochée pour chevaucher le bord     dLin     levier<B>350</B> coulissant -et pivotant sur le tou  rillon<B>317.</B> Le levier<B>350</B> présente une branche  inférieure     (fig.   <B>27)</B> coudée pour arriver<B>à</B>  proximité d'une branche     postéro-inférieure    du  levier<B>à</B> ressort<B>2137</B> précédemment décrit.

    Lorsque le levier<B>350</B> est poussé vers la     -au-          che    par l'étrier 334 actionné par la touche de  division<B>325,</B> la branche     du    levier<B>350</B> est<B>dé-</B>  placée en regard de la branche     post6ro-iiif.é-          rieure    du levier<B>237,</B> de     faeon    que le levier       Ô50    puisse être actionné par le levier<B>237 à</B>      chaque cycle de la machine. L'extrémité     anté-          rieure    du levier<B>350</B>     (fig.    20) est placée sous  une broche<B>351</B> du cadre de soustraction 104.

    Lorsque le levier<B>350</B> est actionné par le le  vier<B>237,</B> le premier élève le cadre 104. On  doit rappeler que l'élévation du cadre 104 fait       que    le cycle suivant de la machine devient un  cycle de soustraction. Il est donc évident que  ],'intervention du levier<B>350</B> se traduit par un       en,ç)*rèiiement    soustractif du totalisateur<B>61</B>  avec les crémaillères<B>56.</B>    La mise en place du berceau de division       __#2S    et de, la bielle,<B>330</B> déplace également un  levier<B>355</B>     (fig.    14,<B>23</B> et 24) en partant de la  position de la     fig.   <B>23,</B> dans laquelle il est  placé sous un doigt<B>0356</B> d'un levier<B>357,</B> vers       I;

  i    position de la     fig.    24, dans laquelle le doigt  <B>356</B> est dégagé du levier<B>'055.</B> Un ressort<B>358</B>  <B>M</B>  accroché au levier<B>'057</B> rappelle celui-ci dans  le sens contraire<B>à</B> celui des aiguilles     dî-ine          niontre,    (fi,-.<B>2ô</B> et 24).

   Mais il est     normale-          nient    maintenu<B>à</B> la position de la     fig.   <B>23,</B>  même lorsqu'il est libéré du levier<B>355,</B> par  un levier de verrouillage<B>359</B> coopérant avec       un    talon<B>366 à</B> l'extrémité antérieure     du    levier  <B>357.</B> Un doigt<B>367 à</B> l'extrémité antérieure     du     levier<B>357</B> est placé sous la tranche inférieure  du curseur de     rétro-espacement   <B>223.</B> Lorsque  le levier<B>357</B> est libre de     sé    déplacer vers la  position de la     fig.    24,

   le doigt<B>367</B> soulève  l'extrémité postérieure du curseur<B>2223</B> vers  une, position dans laquelle il coopère avec le  doigt<B>230</B> de la platine     2ôl    et actionne ainsi la  touche de     rétro-espaeement   <B>209.</B>  



  L'extrémité inférieure de la touche de di  vision<B>325</B>     (fig.    4 et<B>28)</B> est placée au-dessus  cl un coude de la tringle de commande des     cy-          eles   <B>181.</B> Lorsque la touche<B>325</B> est abaissée,  elle fait tourner la tringle pour amorcer un       c#        ele    de la machine. Cette touche<B>325</B> est  maintenue abaissée par le verrou<B>166,</B> étant  donné qu'il n'existe aucun jeu dans la liaison  entre la touche<B>325</B> et le berceau<B>328.</B> En con  séquence, la tringle<B>181</B> est maintenue dans la  position de travail, et la machine continue de  fonctionner tant que la touche<B>325</B> n'est pas  libérée.

           Preinier   <I>cycle de division.</I>       (Fig.    14, 21,<B>23</B> et 24.)  Les organes ayant été mis en place par la       manoeuvre    de la touche de division<B>325</B> de la  manière précédemment décrite, l'arbre princi  pal démarre pour les cycles.     Etant    donné que  la platine 241     (fig.   <B>23</B> et 24) pivote dans le  sens contraire<B>à</B> celui des aiguilles dune mon  tre, le rouleau 240 de cette platine 241 libère  le levier<B>237</B> que le ressort<B>238</B> fait pivoter  dans le sens contraire<B>à</B> celui des aiguilles  d'une montre.

   Le levier<B>350,</B> alors déplacé  pour amener sa languette inférieure en regard  de la branche     postéro-inférieure    du levier<B>237,</B>  pivote<B>à</B> son tour et son extrémité antérieure  soulève le cadre de soustraction 104     (fig.    20).  Ceci détermine le, cycle retranchant le divi  seur inscrit du dividende reporté sur le tota  lisateur.  



  En même temps, le pivotement     du    levier  actionne le levier coudé<B>235</B> (fi-.<B>19)</B> qui  a été libéré par le verrou 234 pendant la mise  en place du berceau de multiplication<B>161,</B> de  sorte que la barre<B>118</B> est poussée vers l'ex  trême position<B>à</B> gauche. Le levier<B>116</B> a été  abaissé et écarté de la trajectoire de la barre  <B>118</B> par la tringle 347 pendant la commande  du berceau de division<B>328.</B> La barre<B>118 dé-</B>  braye donc les mécanismes d'entraînement     du     <B>c-</B> 'impression de la     ma-          ylindre    de frappe et     d#          nière    précédemment décrite.  



  La barre     comptel--tse    242 est élevée d'un pas  vers la position<B> 0 </B> par le curseur<B>276</B> action  nant le levier<B>250,</B> le curseur étant libéré par  le déplacement du levier coudé<B>235. A</B> la fin  du cycle, le levier 254 est soulevé par le     ber-          eeau    de multiplication<B>161,</B> de sorte que le le  vier<B>250</B> est ramené<B>à</B> la position intermé  diaire médiane pour maintenir le     cliquet    243  <B>à,</B> la position de travail. La barre     compteuse     242 est donc<B>à</B> son tour maintenue<B>à</B> la posi  tion élevée de la manière indiquée en détail  dans la description de l'opération de multi  plication.  



  Un peu avant la position au milieu du<B>cy-</B>  cle, la barre 48 coopère avec l'extrémité 341  ,du levier<B>338,</B> alors amené par l'étrier 334<B>à</B>  la position indiquée en pointillé sur la     fig.    21,      et polisse cette extrémité vers l'arrière en fai  sant avancer le curseur 344     (fig.    22).

   Dans  cette position avancée, le curseur     Ô44    présente  ses talons 345 sous les crémaillères<B>55</B> et<B>56</B>  de la     colon-ne,    la plus basse, et placés de, fanon  <B>à</B> empêcher tout mouvement de report de ces  crémaillères au-dessous de leur position<B> 0 ,</B>  ce qui empêche effectivement l'enregistrement       d*une     unité fugitive  sur<B>le</B> totalisateur<B>61.</B>  Ce     non-enregistrement    d'une unité fugitive  dans les opérations de division est nécessaire  pour éviter l'erreur inhérente au totalisateur  algébrique occupant<B>à</B> la fois une position de  totalisation positive et négative lorsqu'il est       uitilisé    pour les opérations de division.  



  Pendant le<B>c<U>1.</U> 0</B>       yele,    la platine 241 (fi 2' et  24) fait osciller le levier<B>103</B> dit ruban par  l'intermédiaire d'une bielle<B>360.</B> Un peu avant  le milieu du cycle, un tourillon<B>361</B> reliant la  bielle<B>360</B> au levier<B>103</B> coopère avec un talon  <B>362</B> du levier de verrouillage     Ô59    pour faire  pivoter celui-ci dans le sens des aiguilles  d'une montre<B>à</B> l'encontre de l'action     dun     ressort<B>363</B> pour déverrouiller le levier<B>357.</B>  Mais ce déverrouillage     dit    levier     Ô57    ne lui  permet pas de pivoter<B>à</B> ce moment,

   étant  donné qu'une extrémité 364     du    levier<B>350</B> est  engagée sur un doigt<B>365 à</B> l'extrémité posté  rieure     du    levier<B>357.</B> Le curseur<B>223</B> n'est  donc pas élevé<B>à</B> la position de travail en re  gard du rouleau<B>230.</B> Le verrou     Ô59    est dégagé  par le levier<B>103</B> pour revenir dans la position  de verrouillage par rapport au levier<B>357</B> pen  dant la deuxième     moitiédu    cycle.  



  <I>Cycles de division suivants,</I>  Le cycle<B>de</B> -division suivant est une répé  tition de celui qui vient d'être décrit, sauf  que le levier<B>338,</B> avant été actionné pendant  le     c#7cle    précédent, n'est     pl-Lis    actionné.     Etant     donné que la barre     compteuse    242 avance pas  <B>à</B> pas,<B>le</B> levier<B>250</B> ne revient qu'à la position  intermédiaire. Les     eveles    de division se suc  cèdent jusqu'à ce que, pendant l'un de ces  cycles, le diviseur devienne supérieur au nom  bre restant dans le totalisateur et jusqu'à ce  que le reste du totalisateur soit une quantité  négative<B>à</B> la fin de ce cycle.

      <I>Cycle de</I>     dépassemeiii.          (Fig.    20,<B>23</B> et 24.)  Ce cycle est une répétition     du    premier<B>cy-</B>  cle et des cycles suivants. Cependant, étant  donné que le totalisateur<B>61</B> passe au-delà     du     reste et fonctionne négativement, un organe  de commande est déplacé pour changer le<B>cy-</B>  cle suivant en un cycle     #d'addition.    Dans le dis  positif     que    montre la     fig.    20,

   le mécanisme de  report pour la colonne la plus élevée du regis  tre<B>61</B> et pour les crémaillères<B>55</B> et<B>56</B> déter  mine le décalage du curseur de dépassement  <B>â68</B> vers     Fune    ou l'autre position. Lorsque le  verrou<B>63</B> des crémaillères<B>56</B> est retiré,     Fex-          trémité    supérieure de sa branche<B>369</B> recule  et polisse le curseur<B>368</B> vers l'arrière. Lors  que le verrou<B>6ô</B> des crémaillères postérieures  est retiré, la branche     Ô69    de ce verrou pousse  le curseur<B>â68</B> vers l'avant.

   Une platine<B>371</B>  articulée et coudée (voir également la     fic.   <B>3)</B>  coopère avec l'extrémité postérieure encochée  du curseur<B>368</B> pour être déplacée par celui-ci.  Ce mécanisme fait partie de la commande       ilsuelle    de totalisation négative de la machine  connue et indique lorsque le curseur<B>368</B> est  avancé et. lorsque la platine     Ô71    a pivoté, dans  le sens contraire<B>à,</B> celui des aiguilles d'une  montre     (fig.   <B>Ô)</B> que le total absorbé par le to  talisateur<B>61</B> est positif et lorsque le curseur       Ô68    est reculé et. que la platine<B>371</B> a pivoté  dans le sens des aiguilles dune- montre, que  le total du totalisateur est négatif.  



  Tant que le reste retenu par le totalisateur  <B>61</B> est positif<B>à</B> la fin d'un cycle, le curseur  <B>368</B> est avancé et, la platine<B>371</B> maintient un  levier<B>372</B>     (fig.    20,<B>23</B> et 9-4) dans une posi  tion élevée. Dans cette position élevée, un  doigt<B>373</B> du levier<B>350</B> passe dans -une en  coche     du    levier<B>372.</B> La longueur de ce doigt       Ô73    est telle qu'il     s#en__-age    dans le plan     dLL     levier     Ô72    lorsque<B>le</B> levier<B>'350</B> est poussé vers  la gauche de la machine pendant les opéra  tions de division.

   Dans d'autres conditions, il  est dégagé du levier<B>372.</B> Si le totalisateur  passe au-delà du reste, le doigt<B>373</B>     s'enga.ge     dans l'encoche 374, mais le ressort usuel     du     levier<B>â69</B> maintient la pression exercée sur  la platine<B>371</B> et le levier<B>372</B> pour abaisser      celui-ci vers une position inférieure dès     que     le levier<B>350</B> est ramené<B>à</B> sa position de<B>dé-</B>  part.  



  <B>A</B> la fin de ce cycle, la barre     comptt-Lise     <B>2</B>     M2    a     été        élevée        pour        la        mise        en        place        d'un     caractère<B>37</B> inférieur d'une unité au nombre  <I>Cie</I>     eveles.        --Mais,    étant donné     que    ce nombre  est supérieur     d*une    unité au nombre correct  de cycles, la barre     compteuse    est placée sur  le chiffre correct du quotient.

      <I>Cycle correcteur du</I>     dépassemeiît.            (Fig.   <B>19, 23,</B> 24 et<B>27.)</B>  Le totalisateur<B>61</B> étant passé d'un reste  positif sur un reste négatif, il est nécessaire  de faire intervenir un cycle correcteur pour  ramener le     resterà    la dernière valeur positive.  Dans ce cycle, qui suit immédiatement le<B>cy-</B>  <B>cle</B> (le dépassement, le diviseur est additionné  et non pas retranché dans le totalisateur<B>61.</B>  lie diviseur et le chiffre présent du quotient  sont imprimés, et la touche de     rétro-espace-          nient   <B>209</B> est actionnée pour réduire le divi  seur inscrit     d*un    facteur égal<B>à 10.</B>  



  <B>Au</B>     débuit    de ce cycle de dépassement<B>'</B> le  levier<B>372</B>     (fig.   <B>223</B> et 24) a été abaissé pour  placer la branche supérieure<B>375</B> sur la tra  jectoire du doigt<B>'07Ô</B> du levier<B>350.</B> Au cours  de ce     e#7e1e,    le levier<B>350</B> ne peut donc pas être  déplacé par le levier     227    lorsque celui-ci est  libéré par le rouleau 240 de la platine 241.       lie    levier<B>237</B> est donc bloqué dans sa position  <B>de</B> départ. Le levier<B>350</B> ne pouvant pas pivo  ter, il ne coopère pas avec le doigt<B>351</B> du ca  dre de. soustraction 104 pour élever celui-ci.

    Le totalisateur<B>61</B> engrène donc pendant ce  cycle avec les crémaillères d'addition     la-la    pour  enregistrer positivement le diviseur. Ceci cor  <U>rige</U> l'état de dépassement du totalisateur<B>61</B>  et ramène le reste<B>à</B> la dernière valeur posi  tive.  



  Pendant ce cycle, le levier<B>237</B> étant     #éga-          lement    retenu dans sa, position de départ, ne  peut soulever la bielle<B>239</B>     (fig.   <B>19),</B> de sorte  que, le curseur<B>119</B> et la barre<B>118</B> ne sont pas  déplacés vers la gauche. Les mécanismes     d1m-          pression    et     d'entrainement    du papier inter  viennent ensuite dans ce cycle pour imprimer    le diviseur et le chiffre du quotient présenté  par la barre     compteuse.     



  De plus, étant donné que le levier<B>235</B>  n'est pas déplacé par le levier<B>237,</B> le curseur  <B>276</B> ne peut pas avancer pour déplacer la       barrt        compteuse    242 sur un chiffre plus élevé.  Cette barre     compteuse    242 présentant le chif  fre correct du quotient pendant le cycle pré  cédent, il n'est pas nécessaire de la faire avan  cer pendant le dernier cycle.

      Le blocage du levier<B>350</B> embraye     égale-          nient    les organes actionnant la touche de       rétro-espacement.    Il<B>y</B> a lieu de rappeler que,  pendant les cycles précédents, le levier<B>350</B>  est intervenu pour retenir le levier<B>357</B>       (fig.   <B>23</B> et 24)<B>à</B> sa position suivant le sens  des aiguilles dune montre pendant que le  verrou<B>359</B> était libéré du talon<B>366</B> du levier  <B>357.</B> Dans le cycle correcteur, par contre, le  levier<B>350</B> n'est pas déplacé.

   Lorsque le ver  rou<B>359</B> est dégagé par le levier<B>103,</B> le levier  <B>'357</B> peut donc pivoter librement dans le sens  contraire<B>à</B> celui des aiguilles d'une montre  vers la position de la     fig.    24, et il soulève l'ex  trémité postérieure du curseur<B>223</B> vers une  position dans laquelle il coopère avec le doigt  <B>230</B> de la platine<B>231. A</B> la fin de ce cycle,  <B>k</B> curseur<B>223</B> est ensuite poussé vers l'arrière  pour actionner la touche<B>209</B> de la manière  précédemment décrite, et pour ramener     dun     pas le cadre oscillant<B>32.</B> Ceci réduit le divi  seur inscrit d'un facteur égal<B>à 10</B> et le pré  pare pour les opérations suivantes.

   Le recul  du curseur<B>9-23</B> libère également la barre       compteuse    242 qui revient ensuite<B>à</B> la posi  tion la plus basse de la manière décrite pour  les opérations de multiplication.  



  Pendant la dernière moitié de ce cycle  correcteur, le totalisateur<B>61</B> repasse cette  fois sur une valeur positive.<B>A</B> moins qu'il  n'en soit empêché, ce dépassement positif sou  lève la branche<B>375</B> du levier<B>372</B> au-dessus du  doigt<B>373</B> du levier<B>350.</B> Si on permettait ce  mouvement, le levier<B>350</B> pourrait ramener le  levier<B>357 à</B> la position inactive et empêcher  le fonctionnement du curseur<B>223.</B> Pour main  tenir le levier<B>372 à</B> la position de blocage  n      avec le -doigt<B>373,</B> un verrou est prévu sur le  levier<B>350</B> pour maintenir le levier<B>372</B>  abaissé jusqu'à la fin du cycle en cours.

   Ce  verrou     (fig.    24 et<B>27)</B> est constitué par une  petite plaquette<B>376</B> articulée<B>à</B> la branche  inférieure du levier<B>350.</B> Un ressort<B>377</B> solli  cite la plaquette pour appliquer une languette  inférieure contre le doigt<B>373.</B> La plaquette  <B>376</B>     présen    te un talon latéral<B>378.</B> Pendant les  cycles dans lesquels le levier<B>372</B> est soulevé,  ce talon<B>378</B> vient buter contre la branche<B>375</B>  du levier<B>372,</B> et la plaquette<B>376</B> oseille       autourde    son pivot.

   Lorsque le levier<B>372</B> est  abaissé pour buter contre le doigt<B>373,</B> le léger  mouvement     du    levier<B>350</B> nécessaire au rattra  page du jeu élève le talon<B>378</B> au-dessus de la  branche<B>375</B> et maintient ainsi le levier<B>372</B>  clans la position inférieure     jusquà    la fin du  cycle, lorsque le levier<B>237</B> est complètement  ramené<B>à</B> la position de départ.  



  <I>Deuxième chiffre du quotient.</I>  



  Le deuxième chiffre et les chiffres sui  vants du quotient     sontdéterminés    de la même  manière que le premier chiffre, quoique les  diviseurs soient réduits d'un facteur égal<B>à 10</B>  pour chaque chiffre consécutif du quotient.  



  <I>Arrêt automatique</I> de<I>la division.</I>       (Fig.   <B>11,</B> 14 et<B>28 à 31.)</B>  La division est arrêtée de la même fanon  que la multiplication, c'est-à-dire par le<B>dé-</B>  gagement des berceaux<B>161</B> et<B>328</B> du verrou  <B>166</B>     (fig.   <B>11</B> et 28). On doit rappeler que pour  la multiplication, le verrou<B>166</B> est retiré  pour permettre le retour     du    berceau<B>161</B> lors  que la barre<B>à</B> caractères de la colonne infé  rieure s'élève au-dessous de la position<B> 0 </B> et  lorsque le curseur<B>157</B> recule.

   Dans une divi  sion, le curseur<B>157</B> n'est pas avancé vers la  position de blocage, étant donné que cet  avancement est effectué par un réglage du       curseur-multiplicateur   <B>110.</B> En conséquence,  lorsque la barre<B>à</B> caractères<B>35</B> de la colonne  des unités s'élève au-dessus de<B> 0 </B> dans une  division, l'arbre<B>303</B> peut osciller librement et  abaisser la bielle sur la trajectoire du doigt  314 du levier<B>315.</B>    Cependant, la barre<B>à</B> caractères<B>35</B> de la  colonne inférieure s'élève au-dessus de<B> 0 </B>  dans -chaque cycle pendant le     caleul    du chif  fre inférieur du quotient. Le retrait da ver  rou<B>166</B> doit donc être différé     jusqu5à    ce que  le chiffre du quotient ait été déterminé.

   Ce  chiffre du quotient est déterminé et imprimé  pendant un cycle correcteur de     rétro-addition,     et le verrou<B>166</B> doit être retiré pendant ce  cycle d'addition.<B>A</B> cet effet est prévu un  verrou pour empêcher le fonctionnement du  levier     Ô15        (fig.   <B>11,</B> 14 et<B>29 à 31)</B> jusqu'à ce  que la machine exécute un cycle d'addition.  Ce verrou est constitué par un levier<B>à</B> cro  chet<B>380</B> articulé<B>à</B> la bielle coulissante<B>319</B> et  rappelé par un ressort<B>381</B> pour engager son  crochet sur le doigt<B>320</B>     lorsqLie,    le levier<B>315</B>  est poussé vers la position avancée.

   Lorsque  le levier<B>380</B> est accroché au doigt<B>320,</B> le le  vier<B>315</B> ne peut pas retourner<B>à</B> la position  de départ après avoir été libéré par la, barre  48, et il ne peut pas actionner la bielle<B>312</B>  par l'intermédiaire du doigt 314. Ainsi que le  montrent les     fig.   <B>11</B> et<B>29 à 31,</B> le levier<B>à</B> cro  chet<B>380</B> est commandé par un doigt<B>382</B> d'une  platine<B>383</B> solidaire d'un tourillon<B>77.</B> Cette  platine 3803 fait partie du     méeanîsme    dépla  çant le totalisateur<B>61</B> entre les crémaillères  d'addition<B>55,

  </B> la position médiane de<B>dé-</B>  brayage et les crémaillères de soustraction<B>56.</B>  Lorsque la platine     Ô83    occupe la position<B>de</B>  soustraction     (fig.   <B>31) à</B> laquelle elle est ame  née dans les cycles de division peu après le  milieu du cycle, le doigt<B>382</B> est dégagé du  levier<B>à</B> crochet<B>380</B> qui     s#enga,-e    sur le doigt  <B>320,</B> empêchant le mouvement de retour du  levier<B>315.

   A</B> ce moment, la barre<B>à</B> caractères  de la colonne inférieure a été élevée au-dessus  de<B> 0 ,</B> et la bielle<B>312</B> est abaissée pour  placer son extrémité<B>313 à</B> l'arrière du doigt  314 du levier<B>315.</B> Le totalisateur<B>61</B> et la pla  tine<B>383</B> restent dans la position de soustrac  tion jusqu'à ce     que    les barres<B>à</B> caractères<B>35</B>  soient toutes revenues<B>à</B> la position la plus  basse et élèvent la bielle<B>31.2 à</B> la position su  périeure. Au cycle suivant, le totalisateur<B>61</B>  revient<B>à</B> la position médiane     (fig.   <B>30)</B> au<B>dé-</B>  but -de ce cycle, et le doigt<B>382</B> dégage le ver-      "Ou<B>380</B> du doigt<B>320</B> pour permettre au le  vier<B>315</B> de retourner.

   Cependant, étant donné  que les barres<B>à</B> caractères<B>35</B> n'ont pas en  core été déplacées, la bielle<B>312</B> occupe la po  sition supérieure et n'est pas actionnée.  



  Pendant le cycle<B>de</B>     rétro-addition,    le     to-          Ialisateur   <B>61</B> et, la platine<B>383</B> viennent<B>à</B> la  position d'addition que montre la     fig.   <B>29,</B> le       doiat,   <B>382</B> maintenant le levier<B>à,</B> crochet<B>380</B>       dém-ac-é    du doigt<B>320.</B>  



  Le, levier<B>315</B> est alors libre de retourner,  étant donné que la barre 48     s#élève,    et comme  la bielle M est en même temps abaissée,  celle-ci vient coopérer avec le doigt 314 pour  être poussée vers l'arrière et libérer le verrou  <B>166</B> des berceaux. Les berceaux<B>161</B> et<B>328</B>  sont ainsi libérés et peuvent revenir<B>à</B> la po  sition de départ, rappelant également     la        tou-          elle    clé division<B>325</B> et, permettant<B>à</B> la tringle  d'accouplement<B>181</B> de retourner<B>à</B> la position  d'arrêt<B>dit</B> cycle.

   Le retour du berceau de  multiplication pendant ce cycle embraye le  mécanisme<B>de</B> rappel du cadre oscillant<B>32</B> et  débraye le mécanisme de     rétro-espacement    de  la touche<B>209,</B> de sorte que le diviseur     précé-          demment    inscrit -est effacé. Tous les organes  sont alors ramenés<B>à</B> la position de repos.    <I>Mécanisme d'arrêt en cas d'erreur</I>         (Fig.   <B>11, 16 à 19</B> et 21.)  Dans un problème de division, il peut  arriver que le diviseur lie soit pas inscrit sur  les broches<B>33</B> ou qu'il soit inscrit, mais lion  pas convenablement. aligné avec la colonne la  plus élevée du dividende.

   Dans ces condi  tions, il ne se produit aucun dépassement     du     totalisateur<B>61</B> pendant les dix premiers     ey-          eles.    Le chiffre du quotient reste<B>à  9 </B> ou la  machine continue de fonctionner indéfini  ment. Pour empêcher<B>ce</B> fonctionnement<B>dé-</B>  fectueux ou continu, un mécanisme est prévu  pour l'arrêter lorsque la barre     compteuse    242  s'élève au-dessus de<B> 9 </B> et pour imprimer        ER     qui constitue alors le signal d'erreur.  Pendant les dix premiers cycles de division       (fig.   <B>16 à 19),</B> la barre     compteuse    242 avance  pas<B>à</B> pas pour présenter le caractère<B> 9 </B> aux  marteaux d'impression.

   Pendant le onzième    cycle de division, la barre     compteuse    242  s'élève au-delà de la position<B> 9 </B> pour pré  senter le caractère      ER     au point d'impres  sion. Un levier<B>386</B>     (fig.   <B>19),</B> maintenu par  un ressort<B>387</B> en contact avec un doigt<B>388</B>  de la barre     compteuse    242, suit le mouvement  de celle-ci jusqu'à ce que, pendant le passage  de la barre     compteuse    242 de<B> 9  à</B>      ER ,    sa  branche supérieure vienne heurter un talon  <B>\89</B> du curseur<B>119</B> commandant l'impression,  qui occupe<B>à</B> ce moment son extrême position  <B>à</B> gauche;

   lorsque le curseur<B>119</B> retourne<B>à</B>  sa position<B>à</B> droite<B>à</B> la fin du cycle, l'extré  mité<B>de</B> la branche supérieure du levier<B>386</B>  se déplace dans le plan     du    talon<B>389</B>     du    cur  seur<B>119.</B>  



  *     A-Li    début du cycle suivant, qui est le dou  zième, le rouleau 240 de la platine 241 libère  le levier<B>237,</B> mais ce     levJer    ne peut pas s'éle  ver complètement pendant ce cycle, parce  qu'il est     bloqué.par   <B>le</B> levier<B>386</B> par l'inter  médiaire du curseur<B>119,</B> du levier<B>235</B> et de  la bielle<B>239.</B> Le levier de soustraction<B>350</B>       (îig.    20) est également bloqué par la bielle  <B>239,</B> de sorte qu'il ne peut pas déplacer le  cadre 104 vers la position de soustraction. Ce  douzième cycle devient ainsi un cycle d'addi  tion.

   Les leviers<B>235, 237</B> et<B>350</B> peuvent exé  cuter un léger mouvement grâce au faible jeu  prévu centre le levier<B>386</B> et le talon<B>389</B> du  curseur<B>119</B>     (fig.    21). Ce mouvement du le  vier<B>235</B> libère la languette<B>282</B> du curseur  <B>276,</B>     clé    sorte que le levier<B>250</B> est actionné  pour actionner<B>à</B> son tour le cliquet d'avance  ment<B>283</B> de la barre     eomptease.    Lorsque la  barre     compteuse    242 occupe la position      ER.

   ,     telle que la     mohtre    la     fig.   <B>18,</B> son extrémité  inférieure est placée au-dessus du     cliquet          dîvancement   <B>283,</B> et celui-ci recule sous cette  extrémité pour s'engager sur un épaulement  <B>390</B> du curseur des erreurs<B>391</B>     (fig.   <B>Il.).</B> Ce  curseur coulisse par son extrémité supérieure  sur un doigt fixe<B>392,</B> tandis que son extré  mité inférieure est articulée<B>-à</B> un levier<B>302</B>  -de l'arbre<B>303.</B>  



  Lorsque le     eliquet    d'avancement<B>283</B> de la  barre     compteuse    est actionné pendant le dou  zième cycle, il passe sous l'extrémité infé-           rieure    de la barre 242.     Etant    donné que cette  extrémité est taillée en rampe inclinée vers       Farrière,    le     cliquet   <B>283</B> ne produit aucun<B>dé-</B>  placement de la barre 242,

   mais le curseur  des erreurs<B>391</B> est élevé par la coopération  du cliquet<B>283</B> avec son épaulement<B>390.</B> Ce  mouvement du curseur<B>391</B> est transmis<B>à</B>  l'arbre<B>303</B> qui oseille dans le sens contraire  <B>à</B> celui des aiguilles d'une montre et abaisse  le levier     Ô12    de la manière précédemment<B>dé-</B>  crite.

   On doit noter que, grâce au ressort     Ô08     intercalé entre l'arbre<B>303</B> et le levier<B>305,</B> cet  arbre<B>30â</B> peut être entraîné par le curseur  des erreurs<B>391,</B> même si la barre<B>à</B> caractè  res 35 de la colonne des unités a été arrêtée<B>à</B>  la position<B> 0 .</B> De même, l'arbre<B>303</B> peut  être entraîné par le curseur<B>391</B> si le curseur  <B>157</B> a été avancé pour placer son cliquet<B>300</B>  sur le talon<B>301</B> du levier     â02    solidaire de  l'arbre<B>303,</B> étant donné que le     cliquet   <B>300</B> est  maintenu     élastiquement,    dans sa position  d'obstruction par un ressort<B>392.</B> intercalé  entre ce     cliquet    et le curseur<B>157.</B>  



  Le mouvement de pivotement de l'arbre  <B>303</B> abaisse le talon     Ô13    de la bielle<B>312</B> sur  la trajectoire du doigt 314 du levier<B>315</B>       ffig.   <B>11).</B>     Etant    -donné que ce douzième cycle  est un cycle d'addition par suite du blocage       dLi    levier<B>350,</B> le levier<B>315</B> peut retourner  librement lorsque la barre 48 s'élève dans la  deuxième moitié     du    cycle et actionne la bielle  <B>312</B> pour libérer les berceaux de multiplica  tion et de division<B>161</B> et<B>328.</B> Ces berceaux  libérés<B>à</B> :

  ce moment amorcent le retour de la  machine<B>à</B> l'état de repos, et les cycles du  fonctionnement s'achèvent de la manière pré  cédemment décrite dans le chapitre  Arrêt  automatique de la division .  



       Multiplicaiion    ou<I>division prolongée.</I>       (Fig.   <B>1,</B> 2,<B>11</B> et 14.)  Dans certaines opérations de multiplica  tion ou de division, il se peut qu'on désire  utiliser un multiplicateur plus grand ou obte  nir un nombre plus élevé de chiffres du quo  tient que le mécanisme décrit jusqu'ici n'est  capable     dutiliser    ou de calculer avant l'inter  vention des organes d'arrêt automatique et la    présentation des valeurs.     Une    touche de pro  longation<B>395</B>     (fig.   <B>1,</B> 2,<B>8</B> et     14.)    est prévue<B>à</B>  cet effet pour différer l'entrée en action du  mécanisme d'arrêt automatique jusqu'à l'ex  trême limite possible.  



  Une caractéristique commune aux méca  nismes d'arrêt pour la multiplication, la di  vision et les erreurs consiste en ce que l'ar  bre<B>303</B>     (fig.    14) tourne dans le sens des  aiguilles d'une montre pour abaisser la bielle  <B>312.</B> Chacun des éléments faisant pivoter l'ar  bre<B>303</B> est rappelé par Lin ressort. Le ressort  304 est prévu pour la multiplication et la     di-          V;          ,sion    et pour l'avancement de la barre     conip-          teuse,    le ressort<B>277</B> étant prévu pour les  erreurs.

   Pour cette raison, si l'arbre<B>303</B> est  verrouillé positivement dans la position de re  pos, ses ressorts refusent simplement d'action  ner cet arbre     30Ô    et il     n*eil    résulte aucun dom  mage. De même, étant donné que l'arbre<B>303</B>  ne pivote pas, les berceaux de multiplication  et de division<B>161</B> et<B>328</B> ne sont pas libérés,       lInscription    n'est pas effacée et, d'une ma  nière générale, la machine reste dans le même  état que pendant le fonctionnement normal et  non pas comme en un point d'arrêt automa  tique.  



  La touche de prolongation<B>395</B>     (fig.   <B>8</B> et  14) est reliée par un levier coudé<B>396</B> et -une  bielle<B>397 à</B> un levier de     blocace   <B>398</B> pour  l'arbre<B>303.</B> Le levier de blocage<B>398</B> est rap  pelé par Lin ressort     Ô99    vers une position su  périeure inactive et maintient la touche<B>395</B>  dans la position abaissée.     L#extrémité        posté-          rienre    du levier de blocage<B>398</B> est conformée  en crochet.

   Lorsqu'il est abaissé par la touche  <B>Ô95,</B> il s'engage sur un doigt 400     d'un    levier  401 fixé<B>à</B> l'extrémité de droite de l'arbre<B>303</B>  (voir également     fig.   <B>11).</B> Ceci retarde     Varrêt     automatique de la machine sous la commande  de l'arbre<B>3033</B> jusqu'à ce     que    la touche<B>395</B> et  le levier<B>398</B> soient ramenés<B>à</B> la position de  repos.  



  La touche<B>395</B> et le levier de     bloeage   <B>398</B>  sont maintenus dans la position abaissée par  un     cliquet   <B>à</B> encoche 402 rappelé par un res  sort 403 sur un doigt 404 d'un bras 405 soli  daire du levier de blocage<B>398.</B> Le cliquet 402      est<U>dégagé</U> du doigt 404 pour permettre au  ressort<B>399</B> de rappeler la touche<B>395</B> et le le  vier de blocage<B>398 à</B> la position inactive par       -Lin    levier de dégagement 406     (fig.   <B>8),

  </B> qui est  actionné pour libérer le     eliquet    402 lorsque le  cadre oscillant â2 est     rétro-espacé    en partant  de la colonne des dizaines vers la colonne des  unités par l'intervention automatique de la  touche de     rétro-espacement   <B>209</B> de la manière  précédemment décrite. En conséquence, pour  les opérations de multiplication ou de division  prolongées, la touche<B>325</B> est libérée lorsque  le cadre oscillant<B>32</B> est ramené<B>à.</B> la colonne  la plus basse.

   Cependant, étant donné que ce       rétro-espacement    a lieu<B>à</B> la fin     du    cycle,  l'arbre     î)03    est maintenu dans la position     nor-          niale    par la barre<B>à</B> caractères<B>35</B> de la co  lonne des unités, et les berceaux<B>161</B> et     Ô28    ne  sont pas libérés.<B>A</B> la fin du cycle suivant,  l'arbre<B>303</B> est dégagé du levier de blocage       39Lq.    La barre<B>à</B> caractères de la colonne des       Liiiités    devant s'élever dans cette opération,  le dégagement automatique des berceaux<B>161</B>  et<B>328</B> a.

   lieu de la manière précédemment<B>dé-</B>  crite pour arrêter le fonctionnement de la ma  chine et pour effacer les valeurs inscrites.  



  Il convient de noter que, pour la multipli  cation ou la. division prolongée, et lorsque le  cadre oscillant<B>32</B> est ramené en arrière, le  multiplicande ou le diviseur est réduit d'un  facteur égal<B>à 10.</B>     Etant    donné qu'il n'existe  pas de colonnes pour les fractions ou déci  males sur les broches<B>33</B> ni sur les barres     î>,     caractères<B>35,</B> les chiffres des colonnes les  plus basses de ces facteurs sont successive  ment, éliminés. Par exemple, en supposant que  le multiplicande ou diviseur initial soit le  nombre<B>4678900000,</B> les nombres successifs ré  sultant des opérations de     rétro-espacement    se  ront<B>467890000, 46789000, 4678900, 467890,</B>  <B>46789,</B> 4678. 467, 46 et finalement 4.

   Comme  ce-, quatre derniers facteurs diffèrent de ceux  qui ont été initialement     inserits    sur les bro  ches<B>33,</B> le produit ou le quotient et<B>le</B> reste  peuvent devenir inexacts pour certains pro  blèmes. Toutefois, cette inexactitude est en<B>gé-</B>  néral tellement, faible qu'elle peut être     négli-          née,    et la réponse prolongée sera correcte pour    un nombre plus grand de chiffres que la ré  ponse qu'on peut obtenir sans prolongation.  



  <I>Quotient prolongé</I> prédéterminé.       (Fig.   <B>11,</B> 12, 14 et<B>28.)</B>  La machine -décrite est également capable  de fonctionner pour prolonger un quotient  dans un problème de division jusqu'à un nom  bre prédéterminé de chiffres supérieur au  nombre     obtenui    sans prolongation, mais infé  rieur<B>à</B> la capacité de la machine. Pour ce  mode de fonctionnement, le     curseur-multipli-          cateur   <B>110</B> est placé sur un chiffre représen  tant le nombre des chiffres désirés du quo  tient.

   Dans la description de la multiplication,  il a été     ihdiqué    que, lorsque le curseur<B>157</B>       (Tig.    12) est avancé pendant la mise -en place  du curseur<B>110,</B> son cliquet<B>300</B> s'engage sur  la trajectoire du levier<B>302</B> de l'arbre<B>303</B>  pour empêcher l'arrêt automatique de la ma  chine. Ce fonctionnement est utilisé dans une  division pour la prolonger jusqu'à la fin du  calcul d'un nombre prédéterminé de chiffres  du quotient. Avant la mise en marche pour  la division, le curseur<B>110</B> est placé<B>à</B> l'aide  <B>de</B> la manette<B>109</B> sur le nombre représentant  le nombre de chiffres désiré     du    quotient.

   Dans  cette position<B>du</B> curseur<B>110,</B> le     eliquet   <B>300</B>  du curseur<B>157</B> empêche le pivotement de l'ar  bre<B>303</B> pour arrêter la division au point  usuel, mais non pas si une erreur a été     'coin-          mise.     



  Le     curseur-multiplicateur    est ramené     deun     pas vers le<B> 0 </B> au moment de l'impression de  chaque chiffre     du    quotient. Le     cliquet    d'avan  cement<B>268</B> du curseur<B>110</B> est normalement  débrayé par la branche 174 de     l'étiier   <B>173,</B> et  il est embrayé par la touche de division<B>325</B>       (fi o,.   <B>28)</B> lorsque cette touche est abaissée.

   Un  doigt 407 de cette touche<B>39-5</B> coopère alors  avec la branche de droite<B>172</B> de l'étrier<B>173</B>  et déplace cette branche suffisamment pour  abaisser l'épaulement<B>175</B> de la branche 174  au-dessous de la trajectoire     du    doigt<B>176,</B>  mais insuffisamment pour permettre<B>à</B> la  branche 174 d'être verrouillée vers le bas.

   Le  cliquet d'avancement<B>268</B> est alors libre d'in  tervenir<B>à</B> chaque cycle de la machine pour      ramener le     curseur-multiplicateur   <B>110</B>     dlin     Pas vers la position      0 .    Cependant, dans ce  mode de fonctionnement, le     cliquet   <B>268</B> est  verrouillé dans sa position de repos par Lin  deuxième verrou 408     (fig.        28')    qui s'abaisse  devant le doigt<B>176 à</B> chaque division     soit--          tractive    de la machine.  



  Le verrou 408 est relié<B>à</B> un levier trans  versal 409 disposé<B>à</B> l'avant de la machine et  présentant une branche descendante 410 pla  cée devant une languette 411 d'un curseur  412. Ce curseur -112 est relié     (fig.    14)<B>à</B> la  branche inférieure du levier<B>350,</B> et il est  avancé chaque fois que le levier<B>350</B> pivote  pour déplacer le cadre 104 dans la direction  de l'engrènement du totalisateur<B>61</B> pour la  soustraction.

   Ce mouvement du curseur 412  fait pivoter le levier 409, qui fait<B>à</B> son tour  pivoter le levier 408     (fig.   <B>28)</B> vers la posi  tion de blocage par rapport au doigt<B>176</B>     dit     mécanisme de commande du curseur<B>110.</B>  Lorsque le levier<B>350</B> est empêché de pivoter  pendant un cycle correcteur<B>à</B>     rétro-addition,     dans lequel le chiffre du quotient est imprimé  de la manière précédemment décrite, le levier  408 n'est pas déplacé et le     cliquet    d'entraîne  ment<B>268</B> est libre pour ramener d'un pas le  curseur<B>110.</B>  



  Ce mouvement -du curseur<B>110</B> a     lie-Li    pen  dant la première moitié du cycle de     rétro-          addition.    En conséquence, lorsque le curseur  est amené<B>à</B> la position<B> 0 </B> dans le cycle de       rétro-addition    pour le dernier chiffre désiré  du quotient, il fait reculer le curseur<B>157</B>       (fig.    12)

   pour libérer l'arbre<B>'003</B> et pour per  mettre l'arrêt automatique de la division et  l'effacement     du        divisear    dans la dernière  moitié de ce cycle de     rétro-addition.    Le le  vier<B>156</B> n'intervient pas pour empêcher le  recul     du    curseur<B>157</B> lorsque, le curseur<B>110</B>  recule vers la position<B> 0 </B> comme dans le cas  d'une     multiplicatioln,    étant. donné que le levier       1,56    n'est libéré dans sa position de blocage  que par la touche de multiplication<B>160</B> et  non pas par la touche de division<B>Ô25.</B>  



  En résumé, la mise en place     dit        curseur-          multiplicateur   <B>110</B> sur une position avancée  débraye donc les organes d'arrêt automatique    de la machine jusqu'à ce     que    le curseur<B>110</B>  soit revenu<B>à  0 </B> d'un pas<B>à</B> la fois pour cha  que chiffre     du    quotient.  



  <I>Prise automatique</I>     d'iut   <I>total.</I>       (Fig.   <B>1,</B> 2,<B>6</B> et<B>7.)</B>  Si on le désire, la machine décrite petit  âtre conditionnée pour la prise d'un total<B>à</B>  la fin d'une multiplication ou d'une division,  en vue de l'impression du produit ou du reste  et de la remise<B>à</B> zéro du totalisateur<B>61.</B> Ce  mécanisme est commandé par un levier de to  tal 415     (fig.   <B>1,</B> 2 et<B>7)</B>     qui    petit pivoter vers  deux positions sur un tourillon 419 et qui est  maintenu dans chaque position par un     eliquet     416 appliqué sur un doigt 417 du levier de  total 415 par un ressort 418.

   Dans sa position  postérieure, dans le sens des aiguilles dune  montre, le levier 415 coopère     par    sa branche  -120 avec Lin doigt 421 d'une bielle 422 (voir  aussi     fig.   <B>6)</B> pour pousser celle-ci légèrement  vers l'avant de la machine.

   Dans cette posi  tion de la bielle 422,     une    platine 423 articulée  <B>à,</B> cette bielle en 424, et sollicitée par un  ressort 425 dans le sens contraire<B>à</B> celui des  aiguilles d'une montre, ne petit pas se     dépla-          eer    dans ce sens pour engager son gradin 426  sous un doigt 4.27     dit    berceau de     multipliea-          tion   <B>161</B> lorsque celui-ci est placé dans la po  sition de travail. Lorsque le levier 415 est<B>dé-</B>  placé vers la. position antérieure et grâce<B>à</B>  l'inclinaison du ressort 438 accroché<B>à</B> la bielle  422, celle-ci recule légèrement.

   Lorsque le  doigt 427 est élevé par la mise en place du  berceau<B>161,</B> la platine 4233 peut se déplacer  dans le sens contraire<B>à</B> celui des aiguilles  d'une montre pour amener le gradin 426 sous       Zn     le doigt 427.  



  Le levier 415 étant amené<B>à</B> la position  antérieure et le.     ---radin    426 étant placé sous le  doigt 427 par la mise en place du berceau<B>161,</B>  les organes restent dans cette position     jus-          qu'a.-Li    dernier cycle de multiplication ou de  division. Pendant ce dernier cycle, le berceau  <B>161</B> est libéré pour être ramené<B>à</B> la position  de départ par son ressort<B>161(t.</B> Pendant ce  retour, le doigt 427 tire la platine, 4213 et la  bielle 422 vers le bas pour placer l'extrémité      postérieure en crochet de cette bielle sur la  trajectoire     dun    doigt 428 de la platine 234  solidaire de l'arbre principal<B>96.</B> Vers la     fin     de ce cycle, qui est le dernier cycle de calcul,.

    ainsi qu'il a été indiqué précédemment,, le       doig,t    428 coopère avec la bielle 422 et la  pousse vers     Parrière.    La bielle 422 est arti  culée par son extrémité antérieure<B>à</B> un levier  4219     artieulé    sur un tourillon 430.

   L'autre  branche. du levier 429 est reliée par un ressort  puissant 431<B>à</B> une branche     d'un    étrier 432,  dont une, autre branche est superposée<B>à</B> un  doigt 433 de la touche de     non-addition   <B>99.</B> Un  mouvement     tic    recul de la bielle 422, entraîné  par     Parbre.    principal<B>96</B> de la manière<B>qui</B>  vient d'être décrite, intervient pour abaisser  la     touelie    de     non-addition   <B>99.</B> Si aucun nom  bre n'est inscrit sur les broches<B>33,</B> cet abaisse  ment de la touche<B>99</B> amorce une opération de  prise de total en     deLix    cycles continus.

   La pla  tine 423 est libérée du doigt<B>-127</B> dans le     pre-          niier   <B>de</B> ces cycles par un bec 434 de la     pla-          fine    234 venant buter sur un talon 435 de la  platine 423, pour faire pivoter celle-ci suffi  samment pour retirer le gradin 426     du        des-          Nous    du doigt 427 et pour permettre au res  sort 438 de rappeler la bielle 422<B>à</B> sa posi  tion supérieure.  



  Le berceau de multiplication<B>161</B> est     tou-          .jours    mis en place pour une opération de     mul-          liplieation    ou de division, et il est ramené au  point de départ dans le dernier cycle de  cette opération. Lorsque le levier 41.5 occupe  sa position avancée, ce retour du berceau<B>161</B>  abaisse, la bielle 422 et permet la prise auto  matique     -d'un    total après le dernier cycle de  l'opération de calcul. Dans ces conditions, la  machine, est automatiquement remise<B>à</B> zéro,       landis    que tous les facteurs de calcul sont  imprimés, tous les organes étant en position  <B>C</B>       (1-attente    pour une autre opération de calcul.

      <I>Arrêt</I>     wianuel   <I>des opérations</I>       (Fig.   <B>1,</B> 2,<B>8, 11</B> et<B>13.)</B>    On désire parfois arrêter une opération de  multiplication ou de division avant le point  d'arrêt automatique.<B>A</B> cet effet est prévue  une touche d'arrêt 440. Cette touche     (fig.   <B>1,</B>    2,<B>8,</B>     13)    coulisse sur     -Lm    doigt 441 du bâti, et  elle est rappelée de bas en haut par un res  sort 442. Lorsque la touche est abaissée, une  encoche 443 pratiquée dans sa partie supé  rieure est placée en regard d'une glissière 444.

    L'agencement est tel qu'un mouvement de  recul de la touche 440 engage l'encoche 443  sur le bord de la glissière 444     qui    la maintient  ainsi abaissée. Un doigt 4-15 est engagé dans  une coulisse 4-16 d'un levier 447. L'abaisse  ment de la touche 440 fait pivoter le levier  4.47 dans le sens contraire<B>à</B> celui des aiguilles  d'une montre.

   L'extrémité postérieure     du    le  vier     447    est superposée<B>à</B>     Fextrémité    d'un le  vier 448 orienté transversalement dans la ma  chine, pour placer l'autre extrémité sous la  branche du verrou 402 de la touche de prolon  gation<B>395.</B> La     man#uvre    de la     tonched'arrêt     4-10 libère ainsi<B>la</B> touche de prolongation<B>395</B>  si elle est abaissée et annule le blocage     éven-          tu.el    de l'arbre<B>303</B> prévu pour l'arrêt auto  matique.  



  L'extrémité antérieure du levier 447 est  normalement placée<B>à</B> l'arrière d'un doigt 449  du levier<B>151</B> pour empêcher le pivotement de       eelai-ci    au-delà de sa position médiane.  L'abaissement de la touche 440 annule ce blo  cage     du    levier<B>151</B> et,     lui    permet de pivoter  jusqu'au bout de sa course.

   Le levier<B>151</B>       (fig.   <B>11)</B> fait partie     dun    dispositif d'arrêt  des chiffres du multiplicateur, et il est relié  au curseur<B>157.</B> L'extrémité postérieure de ce  curseur est normalement appliquée contre un  doigt 450 du levier<B>302</B> solidaire de l'arbre  <B>303,</B> lorsque le     curseur-multiplicateur   <B>110</B>  occupe la position<B> 0 .</B> Dans les opérations de  multiplication, un déplacement du curseur  <B>110</B> vers sa position     subnormale    déplace égale  ment le levier 148. Mais, étant donné     que.le     doigt 449 du levier<B>151</B> est bloqué par le le  vier 447, le levier<B>151</B> ne se déplace pas et le  ressort<B>150</B> cède.

   Au contraire, si la touche  d'arrêt 440 est abaissée, le levier<B>151</B> peut se  déplacer librement lorsque le curseur<B>110</B> est  amené<B>à</B> la position     subnormale.   <B>E</B> entraîne  alors le curseur<B>157</B> vers l'arrière pour le faire  ,on<B>à</B> faire  coopérer avec le -doigt 450, de     faq     pivoter l'arbre<B>303</B> pour amorcer une opéra-           tion    d'arrêt automatique de la manière pré  cédemment décrite.

   Grâce<B>à</B> l'allongement du  ressort entre l'arbre     30Ô    et le levier     Ô05    com  mandé par les barres<B>à</B> caractères, la pré  sence     d7un   <B> 0 </B> sur la barre<B>à</B> caractères<B>35</B> de  la colonne la plus basse est     inessentielle   <B>à</B> ce  moment, le ressort<B>150</B> étant assez puissant  pour vaincre cette résistance.  



  Ainsi qu'il a été indiqué dans la descrip  tion de la multiplication, le curseur<B>110</B> est  amené<B>à</B> la position     sulmormale    dans le der  nier cycle de calcul avec un chiffre quelcon  que     du    multiplicateur. Dans le chapitre  Quo  tient prolongé prédéterminé , il a également  été indiqué que le cliquet d'entraînement<B>268</B>  du     curseur-multiplicateur    peut librement  pousser ce curseur dans un cycle correcteur  de     rétro-addition    quelconque.

   Ce déplacement  du curseur<B>110</B> a     lieui    pendant les opérations  de division normale ou prolongée en partant  de la position<B> 0 </B> vers la position     subnormale.     En conséquence, après la détermination d'un  chiffre quelconque du quotient, ou après le  dernier cycle pour un chiffre quelconque du  multiplicateur, l'abaissement. de la touche 440  peut faire recaler le curseur<B>157</B> pour<B>dé-</B>  clencher un arrêt automatique de la machine.  Cette touche d'arrêt 440 n'intervient pas lors  que la machine est réglée sur un nombre pré  déterminé de chiffres     du    quotient, parce que  le curseur<B>110</B> n'occupe alors pas sa position  <B>  0</B>      .     



  <I>Dégagement manuel des berceaux.</I>       (Fig.        5.)     S'il est. nécessaire d'effectuer une     eorrec-          tion    en -un point quelconque après la mise en  place des berceaux de multiplication ou de di  vision, par exemple si une des touches<B>160</B> et  <B>325</B> pour la multiplication ou la division est       man#uvrée    alors que la machine est débran  chée, le verrou de ces berceaux peut être  escamoté<B>à</B> l'aide d'une touche de correction  451.

   Cette touche, dont la fonction normale  est de ramener le cadre oscillant<B>32 à</B> la posi  tion de départ pour effacer un nombre     incor-          iectement    inscrit, est munie d'une rampe 452       (fig.   <B>5)</B> qui intervient pendant l'abaissement  de la touche 451 pour faire pivoter un étrier    453 portant un doigt 4.54 coopérant avec la  tranche de la rampe 452. L'extrémité de droite  de cet étrier 453 présente     un    doigt superposé  au verrou<B>166</B> des berceaux de multiplication  et de division<B>161</B> et<B>328.</B> Par l'intermédiaire  de l'étrier 453, l'abaissement de la touche 451  abaisse donc également le verrou<B>166</B> pour li  bérer les berceaux s'ils ont été mis en place    par erreur.

      <I>Impression de la virgule décimale.</I>         (Fig.   <B>3</B> et<B>10.)</B>  Une touche spéciale     455a    est prévue     poLir     l'impression d'une virgule décimale entre les  chiffres du     multiplieateur    ou du quotient.

    Tous les facteurs ayant été calculés, et la ma  chine étant remise<B>à</B> zéro, on fait tourner le       evlindre        de        frappe        52        pour        amener        la        vire        gtile     décimale des chiffres du multiplicateur ou     du     quotient au point d'impression, et on     manceu-          ##re    la touche décimale,     455a,.    Cette touche  (fi-.<B>10)

  </B> est articulée sur     un    tourillon 456 et       Zn     comporte -une branche supérieure     qui,    lorsque  la touche 455a est abaissée, est amenée en re  gard     dun    talon 457 d'un levier 458 comman  dant le marteau 54 de la barre     compteLise.   <B>Il</B>  convient (le rappeler     que    la barre     compteuse     242 présente un caractère<B>37</B> au point     dIm-          pression    lorsque cette barre occupe sa posi  tion la plus basse. Ce caractère<B>37,</B> représen  tant généralement le signe<B> - ,</B> est utilisé  comme indicateur de la virgule décimale.

    Ainsi que le montre la fi-.<B>3,</B> le levier 458 est  normalement     déoagé        d'un    doigt 459 du mar  teau d'impression 54. Lorsqu'il pivote dans le  sens contraire<B>à</B> celui des aiguilles d'une mon  tre     (fig.   <B>3),</B> le levier 458 coopère avec le doigt  459 et empêche le mouvement d'impression  des marteaux 54 lorsque ceux-ci sont libérés.  lia branche supérieure de la touche décimale  455a empêche, lorsque la touche est abaissée,  la descente du levier 458 et permet le     dégage-          rnent    du marteau 54     aLi    moment usuel     peu-          dant    le cycle.  



  Une autre branche 460 de la touche 455a       es,t    orientée vers l'arrière et coopère avec -une  branche     d'un    étrier 461     (fig.   <B>10)</B> dont la bran  che opposée est engagée sous un talon de la       #7I   <B>c</B>      bielle 4622,     qui    est la bielle clé commande du  dispositif d'accouplement, de sorte que la     ma-          n#uvre    de la touche 455a déclenche un cycle  de la machine. Ce cycle étant un cycle normal  d'addition, aucun nombre ne doit être inscrit  sur les broches<B>33</B> pour être enregistré dans le  totalisateur<B>61.</B>  



  La touche 455a est verrouillée dans sa     po-          ition    inférieure jusqu'à la fin de l'impres  sion de la virgule décimale par une platine  463     (fig%   <B>10)</B> coulissant sur deux doigts fixes  464 et présentant -un talon 465 qui s'engage  sur un doigt<B>-166</B> de la touche décimale 455a  lorsque celle-ci est abaissée. Un ressort 467  intercalé entre la touche 455 et la platine de  verrouillage     46â    sollicite celle-ci vers la     posi-          lion    clé verrouillage, la touche 455a étant     elle-          même    rappelée<B>à</B> la position normale par un  ressort 470.

   L'extrémité postérieure de la pla  tine 463 porte un clique 468 sollicité par un.  ressort dans le sens contraire<B>à</B> celui des       oiguilles    d'une montre, sur un doigt 469     soli-          claire    de la platine 463. Pendant la, première  moitié -du cycle, une platine 471 faisant partie  du mécanisme de rappel des marteaux d'im  pression et actionnée par la platine<B>126</B> de  l'arbre<B>96</B> passe en regard de l'extrémité de la  platine 463 et fait pivoter le cliquet 468.

   Pen  dant la course de retour de la platine 471,  celle-ci coopère avec le     cliquet    468 pour faire       a,vancer    la platine 4,63 et pour libérer la     tou-          elle    décimale 455a     qui    retourne alors<B>à</B> la posi  tion normale.  



       Non-turegistrement   <I>par blocage des touches.</I>       (Fig.    4 et<B>10.)</B>  Un verrou est prévu pour les touches de  multiplication et de division<B>160</B> et<B>325,</B> pour       cilipêeher    la     manceuvre    de ces touches si au  cun nombre n'a été inscrit sur les broches<B>33.</B>  Le fonctionnement de la machine sans aucun  nombre inscrit sur les broches est normale  ment une     opérationde    prise     dun        sous-total    ou  d'un total et se traduirait par une détériora  tion, si cette opération avait lieu après le     ré-          ,,

  Ia-e    des commandes<B>de</B> multiplication ou de  <B>1 1</B>  division. Un verrou 475     (fig.    4) est solidaire  d'un arbre 476. Si aucun nombre n'est inscrit    et si le cadre oscillant<B>32</B> occupe la position  de départ, ce verrou est placé sur une     bran-          ched'un    levier<B>163</B> relié au berceau de multi  plication<B>161.</B> Ce verrou empêche le     pivote-          nient    du levier<B>163</B> et bloque ainsi les touches  <B>160</B> et<B>325</B> qui font pivoter<B>le</B> levier<B>1.63</B> lors  qu'elles sont abaissées.

       Un    levier<B>477</B>     (fig.   <B>1.0)</B>  fixé<B>à</B> l'autre extrémité de l'arbre 476 est solli  cité vers l'arrière- par un ressort<B>478</B> pour  écarter le verrou 475 du levier<B>163. Il</B> coopère  avec le talon<B>195</B> du curseur 194 relié au ca  dre oscillant<B>32</B> et occupe sa position     alité-          rieure    tant qu'aucun nombre n'est inscrit sur  les broches<B>33.</B> Dès qu'une touche numérique  est abaissée pour déplacer le cadre oscillant  <B>32,</B> le curseur 194 recule pour libérer le levier  <B>477</B> et pour permettre au ressort 478 de<B>dé-</B>  placer le verrou 475 vers une, position inac  tive dans laquelle il libère les touches<B>160</B> et  <B>325.</B>  



  <I>Impression de symboles.</I>       (Fig.   <B>3,</B> 4 et<B>6.)</B>  Une barre<B>à</B> caractères<B>35</B>     (fig.    4) destinée  <B>à</B> l'impression de symboles et similaire aux  barres<B>à</B> caractères usuelles est prévue pour  indiquer l'opération effectuée.

   Cette barre<B>35</B>  présente quatre caractères<B>à</B> symboles<B> </B> c<B> ,</B>   X ,<B> - </B> et      CR .    Pendant les cycles d'ad  dition, cette barre<B>35</B> s'élève jusqu'à ce qu'un  talon 480 de son extrémité inférieure vienne  buter contre une branche 481 descendant du  levier de, soustraction<B>78.</B> Cette branche 481  est articulée au levier<B>78</B> et rappelée par un  ressort 483 vers la position que montre la       fig.    4, dans laquelle elle est appliquée contre  un doigt 482 du levier<B>78.</B> Dans cette posi  tion de la barre<B>35,</B> le caractère le plus élevé  est placé en regard     -du    point d'impression,  mais la barre n'est pas assez élevée pour blo  quer le levier 458     (fig.   <B>3)

  </B> du marteau d'im  pression 54 correspondant. En conséquence,  ,aucun symbole n'est imprimé.  



  Dans les opérations de     non-a#ddition    et de  prise d'un total, l'abaissement de la touche<B>99</B>  déplace par les organes usuels un levier 484       (fig.   <B>6)</B> pour l'amener sous un doigt 485 du  levier des symboles 458, comme dans le cas      de la touche décimale 455, pour empêcher la  descente     du    levier 458 et pour permettre au  marteau 54 de fonctionner. Il en résulte l'im  pression du symbole<B> </B> ci<B> </B> pour indiquer une  opération de     non-addition    ou de prise     dlin     total.  



  Lorsque le berceau de multiplication<B>161</B>  occupe sa position de travail, un levier 486       (fig.    4) articulé     a-Li    tourillon<B>165</B> et relié<B>à</B>  une bielle<B>487</B> peut s'abaisser librement. Un  ressort<B>488</B> accroché<B>à</B> la bielle<B>487</B> la fait re  culer lorsque le tourillon<B>165</B> est écarté du  levier 486 et fait pivoter la branche 481 pour  l'écarter du talon 480 de la barre<B>à</B> symboles       )5.    Le talon 480     s#élève    alors pendant le cy  cle pour venir buter contre un épaulement  489     duturseur   <B>81</B> et pour placer le caractère  du symbole  X  en regard du point d'impres  sion.

   Ce symbole destiné<B>à</B> la multiplication  est imprimé -dans chacune des opérations con  sécutives aussi longtemps que le berceau<B>161</B>  occupe sa position de travail.  



  Lorsque le berceau de division<B>328</B> est mis  en place avec le     berceaude    multiplication<B>161,</B>  le doigt<B>329</B> du berceau<B>328</B> se place sous le  levier 486 pour le maintenir<B>à</B> la position nor  male de     facon    que la barre<B>à</B> symboles<B>35</B>  reste dans la position la plus basse. Cette po  sition est la même que pour une opération  d'addition.     Etant    donné que l'impression a  lieu dans un cycle de     rétro-ad-dition,    aucun  symbole n'est donc imprimé pour les opéra  tions de division.  



  Le curseur<B>81</B> est le curseur d'inscription  pour la soustraction. Lorsqu'il est déplacé  vers la droite de la     fig.    4, il conditionne la  machine pour la soustraction. Dans cette posi  tion<B>à</B> droite, la branche 481 et l'épaulement  489 sont<B>à</B> droite de la trajectoire du talon  480 et de la barre<B>à</B> symboles<B>35</B> jusqu'à ce  <U>que</U> le talon 480 vienne buter contre     l'extré-          mité    antérieure du curseur<B>81,</B> ce qui place le  caractère      CR,     en regard du point d'impres  sion.

       Etant    donné que le curseur<B>81</B> se déplace  vers la droite pendant les opérations de tota  lisation négative, ce symbole est utilisé pour  indiquer ces opérations de totalisation néga  tive.    Le curseur<B>81</B> se -déplace également vers  la droite pour les opérations de soustraction.  <B>A</B> moins     qu#elle    n'en soit empêchée, la barre<B>à</B>  caractères des symboles<B>35</B> s'élève pour impri  mer      CR     pour les opérations de soustraction.

    Pour arrêter la, barre<B>à</B> symboles<B>35 à</B> la troi  sième position, c'est-à-dire<B>à</B> la position<B> - ,</B>  un bras descendant 490 (fi-.<B>10)</B> est articule  au bâti principal.<B>Il</B> est normalement placé  pour coopérer avec le talon 480 et pour arrê  ter la barre<B>35 à</B> la position<B> - </B> pour indi  quer les opérations de soustraction. Un abais  sement de la touche<B>99</B> de     non-addition    de la  manière précédemment décrite, fait passer le  levier 484 sous le doigt 485 du levier 458 com  mandant l'impression. Une bielle 491     interea-          lée    entre le levier 484 et le levier 490 fait  avancer     celai-ci    vers la position antérieure  pour l'écarter du talon 480 lorsque la touche  <B>99</B> est abaissée.

   Si le curseur<B>81</B> est déplacé  vers l'arrière pour commander une opération  de totalisation négative, le talon 480 n'est pas  <B>.</B>     iirrê        -té        tant        que        le        caractère         CR         n'est        pas     placé au point     d1mpression.  

Claims (1)

  1. REVENDICATION: Calculatrice-imprimeuse, comprenant un mécanisme fonctionnant, par cycles, un méca nisme d'inscription avancant d*un pas dans un rang supérieur pour chaque chiffre qui<B>y</B> est inscrit, un totalisateur, -un dispositif pour faire passer dans ledit totalisateur les valeurs du mécanisme d'inscription, additivement ou soustractivement, un mécanisme de mLiltipli- cation commandant les cycles répétés dudit mécanisme fonctionnant par cycles, un méca nisme de rappel qui, durant une multiplica tion et une division,
    rappelle le mécanisme d'inscription d'un pas pour diviser le malti- plicande ou le diviseur par le facteur<B>10,</B> et une barre<B>à</B> caractères compteuse avalleant d"iin pas<B>à</B> chaque cycle de multiplication ou ,de division, caractérisée en ce qu'elle eom.- prend un organe de pose du multiplicateur <B>(109, 110),</B> qui est déplacable dans un sens<B>à</B> partir de la position normale zéro jusque dans l'une quelconque de plusieurs positions numé riques correspondant<B>à</B> la valeur du multipli- cateur,
    et qui a une position subnormale clans laquelle<B>il</B> se déplace d'un pas dans le sens opposé au-delà de la position normale dans le dernier<B>cycle</B> d'addition pendant une multipli- eation, un mécanisme de commande de la miil- tiplication <B>(167, 169, 181, 180)</B> permettant la répétition -de cycles d'addition<B>y</B> compris le rappel dudit organe de pose du multiplica teur et l'avancement de ladite barre comp- teuse (242) d'un pas par cycle,
    et provo quant le rappel d'un pas du mécanisme d'inscription<B>(31,</B> 40,<B>193)</B> et le rappel de la barre compteuse (242) seulement lorsque Forgane de pose du multiplicateur est mû de la position subnormale <B>à</B> la position normale, et un mécanisme de commande de la division <B>(325,</B> 3570, <B>237,</B> 104,<B>330,</B> 334,<B>328)</B> pour met tre en fonctionnement le mécanisme de com mande de multiplication et provoquer ainsi la répétition de cycles soustractifs aussi long temps que le totalisateur<B>(61)
    </B> contient un reste positif et déterminer un enregistrement additif en vue de ramener la barre eompteuse el, d'actionner le mécanisme<B>(268)</B> de rappel du m & ,!anisme d'inscription d'un pas quand le reste dans le totalisateur est négatif, SOUS-REVENDICATIONS:
    <B>1.</B> Calculatrice-imprimeuse selon la reven- dieation, caractérisée en ce que, ledit méca- nisine de commande de la multiplication coin- prend une touche de multiplication<B>(160)</B> qui, lors clé son aetionnement, amorce le fonction nement par cycles, ainsi qu'un dispositif de verrouillage<B>(178, 182)</B> qui maintient en fonctionnement ledit mécanisme de fonction- nenient par cycles<B>(96)</B> jusqu'à<B>ce</B> que<B>le</B> dis positif de verrouillage soit,
    déclenché par suite du passage de l'organe réglable de la position normale<B>à</B> la position subiiormale. 2. Calculatrice-imprinie-tise selon la sous- ievendication <B>1,</B> caractérisée en ce que l'ac- tionnement de la touche de multiplication met en action des moyens qui suppriment l'impres sion<B>à</B> tous les cycles d'addition aussi long temps que l'organe réglable se trouve dans Fune quelconque des positions autres que la position normale et qui actionnent des barres <B>à</B> caractères, en vue de l'impression,
    lorsque cet organe passe de la position subnormale <B>à</B> la position normale. <B>3.</B> Calculatrice-imprimeuse selon la sous- revendication 2, caractérisée en ce qu'elle com prend une tringlerie (148,<B>151, 157, 303, 305,</B> <B>311, 312,</B> 202, 194,<B>193)</B> déclenchée par l'or gane de pose du multiplicateur occupant sa position subnormale et par la levée d'une barre<B>à</B> caractères numérique du rang le plus bas dans son mouvement au-dessus de la po sition normale en vue de permettre le fonc tionnement subséquent de la machine.<B>-</B> 4.
    Calculatrice-imprimeuse selon la reven- dieation, caractérisée en ce qu'elle comprend un mécanisme de calcul prolongé<B>(395 à</B> 400) permettant de faire continuer le cyclage de la machine au-delà de l'arrêt automatique des calculs de multiplication et de division jus qu'à ce que le rappel pas<B>à</B> pas du mécanisme d'inscription ait éliminé -de ce mécanisme<B>le</B> multiplicande ou le diviseur, suivant le genre de l'opération effectuée.
    <B>5.</B> Calcfflatrice-imprimeuse selon la reven- dieation, caractérisée en ce que l'organe de pose du multiplicateur est aussi susceptible d'être actionné lorsqu'une division est effec tuée, et empêche l'arrêt automatique normal d'une opération de division jusqu'à ce que le quotient contienne un nombre de chiffres qui est déterminé par la position dans laquelle a été mis cet organe.
    <B>6.</B> Calculatrice-imprimeuse selon la reven dication, caractérisée en ce qu'elle comprend un mécanisme (Ô86 <B>à 392)</B> d'arrêt en cas d'er reur qui est mis en action par la barre comp- te-Lise chaque fois qu'ensuite d'une erreur<B>de</B> pose du diviseur ou du dividende il ne se pro duit aucun dépassement du totalisateur pen dant un nombre prédéterminé de cycles.
    <B>7.</B> Calculatrice-imprimeuse selon la reven dication, caractérisée en ce qu'elle comprend -un mécanisme<B>(338,</B> 334, 345,<B>352)</B> commandé automatiquement par le mécanisme comman dant ladivision, pour'empêcher, pendant des opérations de division, l'enregistrement dune unité fugitive .
    <B>8.</B> Calculatrice-imprimeuse selon la reven dication, caractérisée en ce qu'elle comprend un mécanisme (415<B>à</B> 430) de prise d'un to tal, susceptible d'être mis dans une première position dans laquelle il retient le total dans le totalisateur et empêche une impression de ce total, et dans une deuxième position dans laquelle il effectue une impression du total et remet<B>à</B> zéro le totalisateuir.
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