Calculatrice-imprimeuse. La présente invention a pour objet un(,, cilculatriee-imprimeuse capable de résoudre des problèmes de multiplication ou de division et d'imprimer les résultats de ces probl èmesen plus des fonctions usuelles d'une calculatrice- imprimeuse pour l'addition et la soustraction.
Une machine de ce genre est particulière ment avantageuse dans les bureaux où la ma.- Jorité des opérations<B>à</B> effectuer sont de sim ples additions ou soustractions avec, occasion nellement, un problème de, multiplication oui <B>de</B> division<B>à</B> résoudre. Pour tous ces problè mes, les résultats des calculs doivent être automatiquement imprimés sur une bande pour contrôler l'attention de l'opérateur et pour éliminer la nécessité de deux machines distinctes, avec la possibilité d'une erreur clans la transcription des réponses de l'une des machines.
La calculatrice-imprimeuse faisant l'objet de l'invention comprend un mécanisme folie- tionnant par cycles, un mécanisme dInscrip- tion avancant d'un pas dans un rang supé rieur pour chaque chiffre qui<B>y</B> est inscrit, un totalisateLir, un dispositif pour faire passer clans ledit totalisateur les valeurs du inéca- nisme d'inscription, additivement ou sous- tractivement,
un méeanismede multiplication commandant les cycles répétés dudit méca,- nisme fonctionnant par cycles, un méca nisme de rappel qui, durant -une multiplica tion et une -division, rappelle le mécanisme dInscription d'un pas pour diviser le -niulti- plicande ou le diviseur par le facteur<B>10,</B> et -une barre<B>à</B> caractères compte-Lise avançant d'un pas<B>à</B> chaque cycle de multiplication ou de division.
Selon l'invention, cette calculatrice-impri- nieuse est caractérisée en ce qu'elle comprend un organe de pose du multiplicateur, qui est déplacable dans un sens<B>à</B> partir de la posi tion normale zéro jusque dans lune quelcon que de plusieurs positions numériques corres pondant<B>à</B> la valeur du multiplicateur et qui a une position subnormale dans laquelle il se déplace d'un pas dans le sens opposé au-delà de la position normale dans le dernier cycle d'addition pendant une multiplication, -un mé canisme de commande de la multiplication permettant la répétition de cycles d'addition,
<B>y</B> compris le rappel dudit organe de pose dit multiplicateur et l'avancement de ladite barre eompteuse d'un pas par cycle, et provoquant le rappel dîm pas du mécanisme d'inscrip tion et le rappel de la barre compteuse seule- nient lorsque l'organe de pose<B>du</B> multiplica teur est nifide la position subnormale <B>à</B> la po sition normale,
et un mécanisme de commande <B>de</B> la division pour mettre en fonctionnement le mécanisme de commande de multiplication et provoquer ainsi la répétition de cycles soustractifs aussi longtemps que le totalisa teur contient un reste positif et déterminer Lin enregistrement additif en vue de ramener <B>la</B> barre compteuse et d'actionner le méca nisme de rappel du mécanisme d'inscription d'un pas quand le reste dans le totalisateur est négatif.
Le dessin annexé représente,<B>à'</B> titre d'exemple, une forme d'exécution de la calcu- latrice-imprimeuse faisant l'objet de l'inven tion.
La fig. <B>1</B> en est une vue d'ensemble.
La fig. 2 est une vue en plan représentant la position des différentes touches du clavier. La fig. <B>3</B> est une vue en coupe montrant des mécanismes fondamentaux pour l'inscrip tion et Fenre-istrement des nombres dans un Zn totalisateur. La fig. 4 est une vue prise du côté droit et montrant des organes de commande au- dessus du totalisateur, pour l'addition, la soustraction et la prise des totaux, ainsi q-LL#iiii mécanisme dImpression de symboles.
La fig. <B>5</B> est une vue partielle. montrant le débrayage de berceaux de multiplication et de division par une touche de correction.
La fig. <B>6</B> est une vue prise du côté droit et montrant un mécanisme usuel pour la prise d5un total, un mécanisme automatique pour amorcer une prise de total après -une opéra tion de multiplication ou de division, ainsi qu'une partie d'un mécanisme d'impression des symboles.
La fig. <B>7</B> est une vue d'une partie de<B>la</B> fig. <B>6</B> et montre un oi-yane permettant de pré- ,déterminer si -une prise de total automatique Ooit suivre ou non une opération de multipli cation ou de division.
La fig. <B>8</B> est une vue en perspective d'une partie du mécanisme d'inscription des valeurs et montre également une touche de prolonga tion du calcul ainsi que des organes<B>de</B> liaison entre ces deuxdispositifs.
La fig. <B>9</B> est une vue en perspective d'un mécanisme pour le débrayage du mécanisme automatique de rappel des organes d'inscrip tion des nombres dans les opérations de mul tiplication et de division.
La fig. <B>10</B> est une vue latérale prise (lu côté gauche, montrant un mécanisme de rap- -pel des organes d'inscription, un mécanisme de rappel pour le rétro-espacement et un mé canisme d'impression de la virgule décimale. La fig. <B>11</B> est une vue en perspective des organes d'inscription pour la multiplication et du mécanisme automatique de rappel de ees organes.
La fig. 12 est une vue latérale dacôté -au- che, montrant le curseur-multiplicateur d'ins cription et ses organes de commande, aiii#,i que les organes de commande de ce curseur par le mécanisme d'impression.
La fig. <B>13</B> est -une vue partielle montrant la touche d'arrêt et sa liaison avec les or,cane:, d#arrêt automatique.
La fig. 14 est une vue latérale du côî é droit des organes de multiplication, compre nant les mécanismes dInipression, de comp tage et d'arrêt automatique et montre égale ment certains organes du mécanisme diviseur.
La fig. <B>15</B> est une vue prise du côté droit de la touche de non-addition et de la touc!ie d'addition.
La fig. <B>16</B> montre un mécanisme faisatit avancer la barre compteuse pendant la multi plication et la division, les organes étant re- préseiltés dans une position de travail.
La fig. <B>17</B> est une vue similaire<B>à</B> celle de la fig. <B>16,</B> mais montre les organes dans une position vers la fin d'un cycle de multiplica tion ou de division.
La fig. <B>18</B> reproduit une partie de la fig. <B>16</B> et montre les organes<B>à</B> la position dans laquelle une erreur est signalée par la machine.
La fig. <B>19</B> est une vue en perspective re présentant<B>le</B> mécanisme de la barre comp- teuse que montre la fig. <B>16.</B>
La lio,. 20 est une vue en perspective dune partie du mécanisme diviseur, notamment du mécanisme signalant un dépassement.
La fig. 21 est une vue prise de l'arrière et montrant une partie des organes de com mande de l'impression.
La fig. 22 est une vue en perspective mon trant le mécanisme de, commande de l'impres sion et des organes d#effaceiiient d'une unité fugitive pour les opérations de division.
La fig. <B>23</B> est une vue du côté gauche du mécanisme (le rétro-espacement du mécanisme d'inscription pendant les opérations de division. La fig. 24 est une vue similaire<B>à</B> celle, clé l-a fi-.<B>23,</B> mais montre les organes dans la po- -ilion de commande.
La fig. <B>25</B> est une vue du côté gauche du niécanisme de rétro-espacement utilisé pour les opérations de multiplication.
La fi-% <B>26</B> est -une vue partielle montrant <B>C</B> un verrou empêchant le retour du curseur- wultiplicateur d'une position subnormale vers la position<B> 0 </B> jusqu'à la fin du cycle.
La fig. <B>27</B> est une vue en perspective des mécanismes commandant les organes d'impres- -ion s et d'avancement du papier pendant les opérations de multiplication.
La fil-. 28 est une vue en perspective (lit 11)écanisme utilisé pour -une opération de di-vi- -ân <B>à</B> prolongation prédéterminée.
Les<B>29, 30</B> et<B>31</B> montrent certains<B>dé-</B> tails du mécanisme empêchant l'arrêt automa tique d#une division tant que le chiffre du quotient n'a pas été complètement déterm.iii#. <I>Description générale.</I>
La calculatrice-imprimeuse représentée est destinée<B>à</B> être utilisée chaque fois qu'il est nécessaire d'effectuer des opérations d'addi tion, de soustraction, de multiplication et de division dans lesquelles tous les facteurs en- Irantdans le calcul doivent être imprimés sur une bande d'enregistrement. Elle comprend une machine de base constituée par la ma chine<B>à</B> additionner de SLindstrand, bien con nue dans le commerce.
Cette machine est ca pable d'effectuer des additions, des soustrac tions, des opérations automatiques clé prise diin total et d'un sous-total, <B>y</B> compris les to taux négatifs qui sont imprimés sous la forme dc totaux négatifs réels.
La machine<B>à</B> additionner de Sundstrand a été modifiée par l'adjonction de commandes permettant Fexécution de multiplications par <B>le</B> procédé d'addition répétée. On inscrit d'abord, sur le clavier usuel<B>à</B> dix touches, les chiffres du multiplicande qu'on fait suivre d'un nombre de zéros égal au nombre des chiffres du multiplicateur moins un. On place ensuite un curseur-multiplicate-ar sur le pré- iiiier chiffre du multiplicateur et on abaisse la touche de multiplication.
La manceuvre de la touche de multiplication amorce d'abord un cycle de, non-addition et ensuite un nombre de cycles d'addition égal au nombre déterminé par lecurseur-multiplicateur. Pendant le der nier de ces cycles, les marteaux d'impression sont libérés pour imprimer<B>le.</B> chiffre<B>du</B> mul tiplicateur par l'intermédiaire d'une, barre<B>à</B> caractères qui a été avancée #d'un pas par cycle, et pour imprimer le multiplicande utilisé pour ce chiffre multiplicateur.<B>A</B> peu près<B>à</B> la fin de ce dernier cycle,
la touche (le rétro-espacement du clavier est actionnée outomatiquement pour diviser le multipli cande par le facteur<B>10,</B> et la commande des cycles de la machine intervient pour arrêter <B>la</B> suite des cycles.
Le curseur-multiplicateur a été ramené<B>à</B> 7éro pendant les opérations précédentes. On le place sur le deuxième chiffre du multiplica teur et on abaisse de nouveau la touche clé multiplication pour amorcer une deuxième sé rie de cycles similaire<B>à</B> la première série qui vient d'être décrite. On répète ces opérations pour chacun des chiffres suivants du multi plicateur, sauf pour le dernier.
Pendant le dernier cyclede multiplication par le dernier chiffre du multiplicateur, le mécanisme de r6tro-espacement est débrayé, et le mécanisme effaceur d'inscription est embrayé pour effa cer complètement le multiplicande sur les bro ches d'inscription. Au cours de ce dernier cycle, on petit également manoeuvrer la touche de prise dun total pour amorcer un cycle automatique pendant lequel le produit de la multiplication est imprimé.
Le mécanisme précédemment décrit est complété par une touche d'arrêt qui, lors qu'elle est abaissée, arrête la multiplication précédemment décrite<B>à</B> la fin de l'opération avec le chiffre multiplicateur<B>déjà</B> inscrit ou inscrit postérieurement. L'ensemble comporte également une touche de prolongation qui, lorsqu'elle est abaissée, empêche l'arrêt de<B>la</B> multiplication jusqu'à ce que le multiplicande ait été complètement éliminé par l'interven tion du mécanisme<B>de</B> rétro-espacement pré cédemment décrit, Cette touche permet Futi- lisation dlin multiplicande et (ou) dlin mul tiplicateur importants dont le produit dépasse la capacité du totalisateur utilisé,
quoiqu'il en résulte une perte insignifiante d'exactitude.
<B>5</B> La caleulatrice-imprimeuse représentée est également capable de résoudre des problèmes de division par soustraction répétée d'lin di viseur inscrit, d'lin dividende précédemment inscrit, jusqu'à l'obtention d'un complément, <B>a</B> suivie dlun cycle d'addition et d'impression du chiffre du quotient, et du diviseur utilisé, et d'un rétro-espacement du mécanisme d'ins- criptiondu -diviseur.
Ce cycle d'opérations est répété automatiquement jusqu'à ce que le <B>5</B> problème soit entièrement résolu, après quoi la machine fonctionne pour imprimer le reste sous la forme d'un total. On peut utiliser<B>la</B> touche de prolongation dans des problèmes de division pour lesquels on désire obtenir plus <B>a</B> de chiffres de quotient que le calcul n'en donne avant la fin normale du problème.
Cette touche, lorsqu'elle est abaissée, empêche Ilopération usuelle d'arrêt dit problème Jus- qit'à ce que le mécanisme d'inscription du di- 5 viseur ait été ramené<B>à</B> la position normale par le mécanisme de rétro-espacement sel-il. Le curseur-multiplicateur peut être utilisé dans la division pour prédéterminer le nom bre de chiffres du quotient<B>à</B> calculer avant <B>D</B> l'arrêt automatiquede la machine et l'efface ment du reste.
Ainsi qu'il sera décrit en détail plus loin, le mécanisme amorçant l'arrêt des opérations n'intervient pas tant que le cur- seur-multiplicatear n'occupe pas la position <B>à</B> zéro, et ce curseur est ramené d'un pas<B>à</B> cha que cycle d'addition de la machine. En consé quence, si un problème de division s'arrête normalement avant l'arrivée du curseur-mul- tiplicateur au point de départ, cet arrêt est <B>D</B> différé (jusquà ce que le curseur ait atteint le point zéro) #d'un pas pour chaque cycle d'addition qui correspond<B>à</B> la détermination d'un chiffre du quotient.
Machine<B>à</B> additionner<B><I>de</I></B><I> base.</I> <B>5</B> (Fig. <B>1,</B> 2,<B>3,</B> 4 et<B>6.)</B> <B>c</B> La calculatrice-imprimeuse représentée coin- prend, une machine<B>à,</B> additionner de base, qui est du type de la machine portative Under- wood Sundstrand du commerce. On décrira brièvement l'agencement de cette machine pour autant quIl est nécessaire pour la bonne compréhension de la présente invention.
Les fig, <B>1 à 3</B> montrent que dés touches numériques<B>30,</B> au nombre de dix, sont reliées <B>à</B> un nombre égal de poussoirs<B>31</B> montés clans un cadre oscillant<B>32.</B> Ce cadre<B>32</B> se<B>dé-</B> place devant un groupe de broches d'inscrip tion réglables<B>33,</B> d'un pas pour chaque ma- n#uvre dune touche numérique<B>30.</B> Une des broches<B>33</B> en regard du cadre oscillant<B>32</B> est a-#,ancée par l'intermédiaire d'un poussoir<B>31</B> <B>à,</B> l'aide de la touche<B>30</B> correspondante.
Plusieurs barres<B>35,</B> montées<B>à</B> coulisse ment sur une tige fixe<B>36,</B> présentent des<B>ca-</B> ractères<B>37</B> dans la partie supérieure.<B>A</B> la partie inférieure de ces barres est articulé illi bras<B>38,</B> Les extrémités antérieures des bras 38 3 sont engagées dans les fentes d'un groupe tn de tiges d'exploration<B>39</B> qui peuvent être amenées en contact avec les broches avancées 33- Un cadre cofflissant 40 est fixé<B>à</B> l'arrière du cadre
oscillant<B>32</B> polir se déplacer en svIl- chronisme avec celui-ci, et polir gliider les extrémités supérieures des tiges dlexploration <B>39.</B> Les barres<B>à</B> caractères<B>35</B> sont normale ment.
maintenues dans leur position inférieure telle que le montre la fig. <B>3,</B> et elles sont solli citées de bas en haut par des bras individuels 42, articulés sur un arbre 43, pour amener les tiges d'exploration<B>39</B> en contact avec les bro ches avancées<B>33.</B> Chaque bras 42 porte<B>à</B> son extrémité antérieure un doigt 44 engagé dans une fente 45 pratiquée dans un prolongement postérieuir 46 de la barre,<B>à-</B> caractères<B>35</B> cor respondante. Les bras 42 sont sollicités dans le sens des aiguilles d'une montre par des res sorts 47, accrochés, dune part,<B>à</B> Lin prolon gement de ces bras et, d'autre part,<B>à</B> -une tige 48 qui est abaissée pendant un cycle de la ma chine.
Une barre 49 est placée au-dessus de tous les bras 42 pour maintenir les barres<B>à</B> caractères<B>35 à</B> la position de départ. Cette barre 49 est actionnée pendant chaque cycle pour libérer les bras 42 et pour permettre l'élévation. des barres<B>à,</B> caractères<B>35</B> jusqu'à ce- qu'elles soient arrêtées par les broches avancées<B>33.</B> Elle ramène :ensuite tous ces organes<B>à</B> la position<B>de</B> départ.
<B>Un</B> cylindre de frappe<B>52,</B> muni de rou- ]eaux entraîneurs<B>53,</B> est placé<B>à</B> l'arrière des caractères<B>37</B> pour amener une bande de pa pier en position d'impression. Lorsque les barres<B>à</B> caractères<B>35</B> occupent la position appropriée<B>à</B> l'impression sur le papier, les caractères<B>37</B> sont frappés par des marteaux 54.
Les prolongements postérieurs 46 des, bar res<B>à</B> caractères<B>35</B> portent deux groupes de crémaillères<B>D-5</B> et<B>56</B> reliées aux prolonge- nients 46 par des doigts<B>57</B> solidaires de ces prolongements et engagés dans des fentes<B>58</B> pratiquées dans les crémaillères<B>55</B> et<B>56.</B> Des ressorts 59a rappellent les crémaillères<B>55</B> et <B>56 à</B> la position inférieure.
La position nor- niale des crémaillères<B>55</B> et<B>56</B> est déterminée par la coopération d'un talon<B>59</B> des crémail- 11'res <B>55</B> ou<B>56</B> avec un bec -de report des di zaines<B>60.</B> Un totalisateur<B>61,</B> placé entre es crémaillères<B>55</B> et<B>56,</B> peut engrener avec les crémaillères<B>55</B> pour l'addition et la prise cFun total ou sous-total positif, et avec les cré maillères<B>56</B> pour la soustraction et la prise d'un total ou sous-total négatif. Des dents de report<B>62</B> sur les pignons du totalisateur 661.
peuvent coopérer dans un sens de rotation avec des becs de verrouillage<B>63</B> pour dégager le bec<B>60</B> du talon<B>59</B> correspondant et pour libérer la crémaillère<B>55</B> ou<B>56</B> de la colonne supérieure suivante en vue d'un mouvement de descente supplémentaire. Dans l'autre sens de rotation,
le bec<B>63</B> arrête la dent de report 622 pour empêcher tout mouvement suppl & inentaire de la barre<B>à</B> caractères<B>35</B> et pour permettre ainsi la prise de totaux et de sous- totaux. Les becs de report<B>63</B> et<B>60</B> dégagés an cours d'un cycle de fonctionnement de la machine sont rappelés<B>à</B> la position de travail par deux barres 64 solidaires de leviers entre- toisés <B>66</B> articulés sur des arbres<B>65</B> avec les becs<B>60,</B> et déplacées lune vers l'autre pen dant la première moitié du cycle de fonctionne ment suivant de la machine,
par la coopéra tion d'une barre<B>67</B> avec un bras postérieur de Pun des leviers<B>66.</B> L'engrènement et le désengrènement entre le totalisateur<B>61</B> et les crémaillères<B>55</B> et<B>56</B> sont effectués par un mécanisme connu. Il suffira donc d'en rappeler brièvement le fonc tionnement.
Ainsi que le montre la fig, 4, un levier<B>71,</B> solidaire d'un arbre<B>72,</B> est relié par une bielle (non représentée) au totalisa teur<B>61.</B> En partant d'une position médiane, ce levier est déplacé -dans le sens contraire<B>à</B> celui des aiguilles d'une montre, vers la posi tion que, montre la fig. 4, pour faire engrener le totalisateur<B>61</B> avec les crémaillères d'ad dition<B>55,</B> et dans le sens des aiguilles d'une montre pour faire engrener le totalisateur<B>61</B> avec les crémaillères<B>56</B> pour les opérations de soustraction.
Le levier<B>71</B> est déplacé entre ses trois po- silions par une bielle<B>73</B> présentant deux en coches 74 et<B>75</B> destinées<B>à</B> coopérer avec des doigts<B>76</B> et<B>77</B> solidaires du levier<B>71.</B> NTorma- lement, la bielle<B>73</B> est placée de façon que l'encoche inférieure<B>75</B> soit engagée sur le doigt inférieur<B>77.</B> Dans cette position, tout mouvement de recul de la bielle<B>73</B> fait #engre- ner le totalisateur<B>61</B> avec les -crémaillères<B>555</B> pour les opérations daddition. Lorsque la bielle<B>73</B> occupe sa position antérieure,
elle peut être déplacée par -Lm levier<B>78</B> pour en gager le doigt<B>76</B> dans l'encoche 74. Ce levier <B>78</B> est articulé en<B>79</B> au bâti de la machine. Un ressort<B>80,</B> accroché, d'une part,<B>à</B> une branche du levier<B>78</B> et, d'autre part,<B>à</B> un curseur<B>81,</B> sollicite ce levier pour appliquer un doigt 82 de cette branche contre l'extré mité postérieure dune fente<B>83</B> pratiquée dans le curseur<B>81.</B> Celui-ci est rappelé vers l'avant par un ressort 84, accroché, d'une part,<B>à</B> -une patte de ce curseur et, d'autre part, au bâti de la machine, pour maintenir le levier<B>78</B> et la bielle<B>73</B> dans la position d'addition.
Pendant la soustraction et les opé rations de totalisation négative, le curseur<B>81</B> est déplacé vers l'arrière pour tendre le ressort <B>80</B> et pour amener le levier<B>78</B> et la bielle 7 ô à la position de soustraction dès que la bielle <B>73</B> est déplacée vers l'avant pour centrer le totalisateur.
L'extrémité antérieure de la bielle<B>73</B> re pose sur une broche<B>86</B> solidaire d'un levier <B>87</B> articulé au bâti en<B>88.</B> La broche<B>86</B> est en gagée dans une coulisse<B>à</B> came<B>89</B> d#une pla tine<B>90</B> articulée en<B>91</B> et portant deux doigts 92 et<B>93</B> (fig. <B>6).</B> La coulisse<B>à</B> came<B>89</B> est conformée de faç .,on que,
lorsque la platine 90 est déplacée dans le sens des aiguilles d'une montre., la bielle<B>7â</B> est -déplacée vers l'arrière pour faire engrener le totalisateur<B>61,</B> tandis qu'un déplacement de la platine<B>90</B> dans le sens contraire<B>à</B> celui des aiguilles d'une mon tre se traduit par un désengrènement du to talisateur<B>61</B> et -des crémaillères<B>55</B> et<B>56.</B> La platine<B>90</B> -est déplacée pour les opérations d'addition et de soustraction par un cliquet <B>9-1.</B> articulé<B>à</B> une platine<B>95</B> solidaire d'un arbre principal<B>96.</B> Un ressort<B>97,
</B> intercalé entre le cliquet 94 et la platine<B>95,</B> tend<B>à</B> faire tourner ce cliquet dans le sens des aiguilles d'une montre. La platine<B>95</B> et l'ar bre principal<B>96</B> occupent normalement la po sition de la fig. 4, sauf que le cliquet 94 est appliqué contre le doigt<B>92.</B> -Un mouvement initial de l'arbre 96déplace la platine<B>90</B> dans le sens contraire<B>à</B> celui des aiguilles d'une montre pour dégager le totalisateur<B>61</B> des crémaillères<B>55</B> ou<B>-56.</B>
Le totalisateur revient en prise avec les crémaillères pour l'addition ou la soustraction suivant la position du curseur<B>81</B> et du levier <B>78</B> au début de la période de retourdu cycle. Ce mouvement est produit par le cliquet 94 coopérant avec le doigt<B>93</B> (fig. <B>6)</B> pour faire pivoter la platine<B>90</B> clans le sens des aiguilles d'une montre.
Le réengrènement du totalisa teur<B>61</B> avec les crémaillères<B>55</B> ou<B>56</B> peut être empêché par la manceuvre, d'une touche d'arrêt d'addition<B>99</B> (fig. <B>6).</B> Cette, touche<B>99</B> est munie d'une branche<B>100</B> superposée<B>à</B> un bras d'arrêt<B>101</B> qui, dans la position de re pos, retient un curseur 102 rappelé par un ressort (fig. 4) pour lempêcher <B>de</B> reculer.
Le curseur 102 est périodiquement libéré pour<B>le</B> recul et rappelé<B>à</B> la position antérieure par un levier<B>103</B> faisant partie du mécanisme d'entraînement du ruban (non représenté)<B>.</B> Le levier<B>103</B> oseille en arrière et en avant pendant chaque cycle.
Le curseur 102 occii- pant la position postérieure coopère avec la tranche du eliquet 94 dans la partie médiane de son mouvement et le maintient suffisain- ment écarté pour empêcher son contact avec le doigt<B>93</B> pendant le retour de la platine<B>9.5.</B> En conséquence, la bielle<B>73</B> commandant le totalisateur n'est pas déplacée vers l'arrière pour le faire engrener avec les crémaillères.
Le curseur<B>81</B> est poussé vers l'arrière par un cadre oscillant 104 (fig. 20) pour amener le totalisateur<B>61</B> en prise avec les crémail lères<B>56.</B> Ce cadre 104 est articulé sur des tourillons<B>105</B> du bâti.<B>Il</B> porte une butée<B>à</B> ressort<B>106</B> pouvant coopérer avec un talon <B>107</B> solidaire dit curseur<B>81</B> (fig. 4). Le eadre 104 oseille<B>à</B> chaque cycle de la machine pour faire reculer la butée<B>106. Il</B> peut être élevé, pour amener la butée<B>106</B> en alignement avec le talon<B>107,</B> par un prolongement (non re présenté) de la touche de soustraction<B>1.08</B> (fig. 2), ou automatiquement d#une manière décrite plus loin.
Le mécanisme permet également les opéra tions de prise d'un total ou sous-total, positif ou négatif, sous la commande de la touche d'arrêt d'addition<B>99</B> ou de la touche d'addi tion d'un sous-total <B>98.</B> Etant donné qu'aucun changement n'est prévu<B>à</B> l'agencement connu, il ne semble pas nécessaire de donner une des cription détaillée de ce mécanisme.
Mécanisme mitltiplicateur.
Dans la machine représentée, la multipli cation est effectuée par des additions répé tées en partant du chiffre le plus élevé du multiplicateur, et par réduction du multipli cande d'un facteur<B>10</B> pour chacun des chif fres consécutifs du multiplicateur.
<I>Inscription</I> dit multiplicande. (Fig. <B>1,</B> 2 et,<B>3.)</B> La première manoeuvre <B>à</B> effectuer pour une opération de multiplication est l'inscrip tion du multiplicande dans le groupe de bro ches<B>3ô</B> par l'intermédiaire des touches numé riques<B>30.</B> Le multiplicande est localisé par inscription de ses chiffres réels suivis d'un nombre de zéros égal au nombre de chiffres du multiplicateur moins un. Par exemple, si le multiplicateur comporte cinq chiffres-, qua tre zéros doivent être inscrits après les ehif- très réels du multiplicande.
Dans ces condi tions, et si on tient compté du fait que le multiplicande est réduit d'un facteur<B>10 à</B> la fin de la nuiltiplication par chacun des chif fres du multiplicateur (c'est-à-dire qu'un zéro est éliminé chaque fois), on comprend que, pendant la multiplication par le dernier chif- fre du multiplicateur, la barre<B>à</B> caractères de la colonne des unités s'élève au-dessus de zéro. Cette élévation de la barre<B>à</B> caractères des unités est utilisée pour signaler la fin (le la multiplication d'une manière qui sera décrite <B>plus</B> loin.
<I>Inscription</I> du premier<I>chiffre</I> du multiplicateur.
(Fig. <B>1,</B> 2,<B>11,</B> 12 et<B>27.)</B> Le multiplicande ayant été inscrit sur les broches<B>33,</B> et le cadre oscillant<B>32</B> ayant été eonvenablement orienté par rapport aux co lonnes, on inscrit le premier chiffre du multi plicateur sur un curseur<B>110</B> portant une ma nette<B>109</B> (fig, <B>1,</B> 2,<B>11</B> et 12), en déplacant <B>ce</B> curseur vers l'arrière d'un nombre de di,,,,i- sions égal<B>à</B> la valeur du -chiffre multiplica teur.
Le curseur<B>110</B> présente une coulisse<B>111</B> par laquelle il est guidé sur une broche 112 du bâti.<B>Il</B> est également guidé par trois bro- elies <B>113,</B> dont une est munie d'une tête, et qui chevauchent une glissière 114 fixée<B>à</B> la broche 112 et au bâti de la machine, Le cur seur<B>110</B> occupe normalement la position<B> 0 .</B> Lorsqu#on le déplace en partant du zéro vers un chiffre réel quelconque, il règle les orga- nés de commande de l'impression, de façon que les cycles suivants, sauf celui du retour<B>à</B> zéro,
soient des cycles de non-impression. L'extrémité postérieure<B>du</B> curseur<B>110</B> pré sente une rampe oblique de façon que, dans la position<B> 0 ,</B> ce curseur soit dégagé d'un 1,#alet <B>115</B> monté sur un levier<B>116</B> articulé sur un tourillon fixe<B>117.</B> Lorsque le curseur<B>110</B> est déplacé d#-une ou plusieurs divisions vers l'arrière sur une position correspondant<B>à</B> un chiffre, la rampe oblique élève le galet<B>115</B> pour faire pivoter le levier<B>116</B> dans le, sens contraire<B>à</B> celui des aiguilles d'une montre et pour abaisser l'extrémité, postérieure hors de la trajectoire dune barre coulissante<B>118</B> (voir également fig. <B>27)
.</B> La barre<B>118</B> est fixée<B>à</B> un curseur<B>119</B> pouvant se déplacer vers la gauche sur deux vis 120 solidaires du bâti de la machine. Dans la position normale de la barre<B>118,</B> une encoche 121 de celle-ci est placée en regard d'un curseur 122 sollicité par un ressort et destiné<B>à</B> faire avancer le papier.
Le curseur 122 est maintenu dans la position de la fig. 12, et libéré pour reculer pendant chaque cycle de la machine, par un galet<B>123</B> monté sur une platine 124 reliée par une bielle<B>125 à</B> une platine<B>126</B> solidaire clé l'ar bre principal<B>96.</B> Lorsqu'il est libéré, il s'en gage dans l'encoche 121 de la barre<B>118.</B> Pen dant son mouvement de retour, il fait tourner le cylindre de frappe<B>52</B> par l'intermédiaire d'un levier<B>127,</B> #d'un eliquet <B>128,</B> et d'un ro chet<B>129</B> solidaire du cylindre.
La barre<B>118</B> commande également les mar teaux de frappe 54 pour déterminer l'opéra tion de non-impression. Pendant les opéra tions #d'impression, les marteaux de frappe 54 sont retenus et libérés aux momen-rs appro priés par une barre<B>133</B> superposée aux ta lons 134 des marteaux 54.
Cette barre<B>133</B> est amenée en prise avec les marteaux 54 et<B>dé-</B> gagée de ces marteaux par un levier<B>135</B> por tant un cliquet <B>136.</B> A-Li début du mouvement de retour de l'arbre principal<B>96,</B> un doigt <B>137</B> assurant la liaison entre la platine<B>126</B> et la bielle<B>125</B> coopère avec un talon<B>138</B> du cli- qaet <B>136</B> pour faire pivoter celui-ci et le le- %Îer <B>135</B> dans le sens des aiguilles d'une mon tre, et pour dégager la barre<B>133</B> des talons 134,
ce qui déclenche l'impression du nom bre inscrit sur les barres<B>à</B> caractères<B>35.</B> Un levier<B>139</B> est normalement retenu par un doigt 140 de la platine 124 engagé sous son extrémité postérieure, afin de l'empêcher de tourner dans le sens inverse de celui des aiguilles d'une montre sans l'action d'un res sort 141, ce levier coopérant avec un doigt 142 du cliquet<B>136.</B> Un mouvement du levier<B>139</B> dans le sens contraire<B>à</B> celui des aiguilles d'une, montre entraîne le soulèvement du cli quet<B>136</B> vers une position écartée du doigt <B>137</B> de la platine<B>126,</B> de sorte que la barre 113)3 n'est pas actionnée pour libérer les mar teaux de frappe 54 en vue de l'impression.
La barre<B>118</B> présente un bloc 143 (fig. <B>27)</B> nor malement placé sous une languette 1.44 dit le vier<B>139,</B> ce qui empêche tout mouvement dit levier<B>139</B> dans le sens du débrayage du me- eanisme d'impression.
Lorsque la barre<B>118</B> se déplace vers la gauche, ce qui a lieu pendant les cycles de multiplication ou de -division d'une manière décrite plus loin, elle arrive sur une position dans laquelle le curseur 122, destiné<B>à</B> faire avancer le papier, est bloqué par urie partie pleine 145 de la barre<B>118,</B> tandis que la lan guette 144 dit levier<B>139</B> s'engage dans l'enco- elle 121, ce qui entraîne le débrayage, du méca nisme, d'entraînement du cylindre de frappe et des marteaux d'impression.
Lorsque la barre<B>118</B> est bloqLiée par le levier<B>116</B> pen dant l'opération dans laquelle le curseLir-mul- tiplicateur <B>110</B> occupe la position<B> 0 ,</B> elle est placée ait milieu entre les deux positions, extrêmes. Dans cette position, le bloc 143 arrête t6ujours le levier<B>139</B> pour permettre le dégagement des marteaux d'impression, et <B>le</B> curseur 1212 est aligné avec une deuxièiiie encoche 146 de la barre<B>118</B> pour permettre Pentraînement du cylindre<B>de-</B> frappe par le curseur 122.
L'impression et l'entraînement du cylindre de frappe ont donc lieu dans cette position de la barre<B>118.</B>
Un déplacement<B>dit</B> curseur-multiplicateur <B>110</B> vers l'arrière en partant, de la position <B> 0 </B> déplace également un doigt 147 (fig. <B>11</B> et 12) du curseur<B>110</B> pour l'écarter d'une branche d'un levier 148 articulé sur un toit- rillon 149.
Le levier 148 est relié par un res sort<B>150 à</B> un levier<B>151</B> et porte un doigt <B>152</B> pouvant coopérer avec la branche sup & rieure du levier<B>151</B> pour déterminer la 111- mite dit déplacement relatif entre les deux leviers. TTn ressort<B>153</B> accroché ait levier<B>1,51</B> rappelle les leviers 148 et<B>151</B> vers une posi tion dans le sens contraire<B>à</B> celui des aiguilles <B>C</B> d'une montre, vers laquelle le levier 148 petit <B>se,</B> déplacer lorsque le doigt 147 est écarté de ce levier 148.
Dans cette position, un doigt 154 de la branche supérieure du levier<B>151</B> vient se placer derrière un gradin<B>155</B> d'lin bras<B>156,</B> tandis que la branche inférieure fait avancer uine bielle<B>157</B> dont le but sera décrit<B>plus</B> loin. <I>Fonctionnement de la touche</I> <I>de</I> midtiplication.
(Fig. <B>8 à 121,</B> 14,<B>16 à 19, 213 à 25</B> et 28.) Après l'inscription des deuix facteurs de multiplication de la manière précédemment décrite, la maehine est mise en marche par la manceuvre de la touche de multiplication<B>160</B> (fig. <B>1,</B> 2, 4 et<B>11)</B> pour calculer le produit (le ces facteurs.
L'abaissement de cette touche<B>160</B> détermine la position d'un berceau de militi- plication <B>161</B> (fig. <B>11)</B> par la coopération d'lin doigt<B>162</B> de la touche<B>160</B> avec une branche d#un levier<B>163</B> relié par une bielle 164<B>à</B> lin tourillon<B>165</B> -du berceau<B>161.</B> Celui-ci est maintenu dans sa position de travail,<B>à</B> l'-ii- contre de l'action de son ressort de rappel 161a, par un levier de verrouillage<B>166</B> eoopé- rant avec le tourillon<B>165</B> du berceau<B>1.61.</B>
Lorsqu'il occupe sa position de travail, le berceau de multiplication<B>161</B> maintient les organes de commande de la machine dans la position nécessaire<B>à</B> la multiplication. Une phase de cette commande est le débrayage du mécanisme de rappel du cadre oscillant<B>32</B> vers la position de départ et, par conséquent, du rappel des broches<B>33</B> vers la position de repos. Le cadre oscillant<B>32</B> (fig. <B>8)</B> est pro longé par un bras<B>190</B> portant un doigt<B>191</B> engagé dans une lente<B>192</B> cl*un curseur<B>193.</B> Le curseur<B>193</B> recule lorsque le cadre oscil lant<B>32</B> se déplace pendant l'inscription d'un chiffre sur les broches 33, et il avance pour ramener le cadre,<B>32</B> et les broches<B>33 à</B> la po sition de départ.
Normalement, le curseur<B>193</B> est avancé vers la fin d'un cycle de la machine par un levier<B>à</B> encoche 194 coopérant a,, ce lin talon<B>195</B> (fig. <B>9)</B> du curseur<B>193.</B> Le le vier 194 est articulé<B>à</B> un levier coudé<B>196</B> et rappelé de bas en haut par un ressort<B>197</B> pour être appliqué contre le talon<B>195.</B> Dans ],a position normale du mécanisme, le levier coudé<B>196</B> occupe sa position atteinte en toar- nant dans le sens des aiguilles d'une montre, dans laquelle sa branche postérieure est appli quée contre un rouleau<B>198</B> de la platine<B>1.26</B> solidaire, de l'arbre principal<B>96,
</B> le levier 194 étant maintenu dans sa position antérieure et écarté du talon<B>195</B> du curseur 19") par une branche<B>199</B> du levier coudé<B>196.</B> Le mouve- nient initial de rotation de Farbre <B>96</B> dans le sens des aiguilles d'une montre fait pivoter le levier coudé<B>196</B> dans le sens contraire <B>à</B> celui des aiguilles d'une montre pour écarter la branche<B>199</B> du levier 194 et pour permettre <B>à</B> ce dernier de s'élever vers une position limi tée par le contact de sa tranche supérieure avec la touche de répétition 201 (fig. <B>1)
.</B> 'Un mouvement supplémentaire -du levier coudé <B>196</B> fait reculer le levier 194 vers un point au -delà du déplacement du talon 195 du cur- ,eur <B>193.</B> Pendant le rappel du levier coudé <B>196</B> par le ressort<B>197</B> et un autre ressort 200, le levier 194 coopère avec le talon<B>195</B> et ra mène le curseur<B>193</B> et le cadre oscillant<B>32 à</B> la position de départ.
Vers la fin de ce mou vement, la branche<B>199</B> du levier coudé<B>196</B> .1baisse le levier 194 pour libérer le curseur <B>193</B> en vue d'un déplacement consécutif par les touches<B>30.</B>
Le mécanisme de rappel est débrayé par berceau<B>161</B> lorsqu'il est réglé par la toti- elle de multiplication<B>160.</B> Un levier '202 (fig. <B>9)</B> présente une extrémité en regard du berceau<B>161</B> pour être déplacé par celui-ci lorsqu'il est réglé, tandis que son autre extré mité est engagée dans une lente pratiquée clins l'extrémité #d'un levier coudé<B>203</B> arti- efflé au côté gauche du bâti de la machine. Ce levier coudé 200' porte un rouleau 204 super posé a-Li levier 194 du mécanisme de rappel.
Lorsque le levier 202 est déplacé par le ber ceau<B>161,</B> le rouleau 204 est abaissé pour maintenir le levier 194 dans la position inac tive par rapport au curseur<B>193,</B> de sorte que le mécanisme de rappel est débrayé.
Lorsque le berceau de multiplication occupe sa position de réglage, il permet égale- nient<B>à</B> un mécanisme de ramener le cadre oscillant<B>32</B> d'un pas vers la position de dé part. Ainsi qae le montrent les fig. <B>9</B> et<B>10,</B> le curseur 19Ô présente sur sa tranche<B>supé-</B> rieure une rangée de dents de rochet 208. 'Une touche de rétro-espacement <B>209</B> porte un<B>cli-</B> quet 210 normalement dégagé des dents :
1.08, mais pouvant être amené en prise avec 3es dents par l'abaissement de la touche<B>209.</B> ITu abaissement supplémentaire de la touche<B>209</B> fait avancer le curseur<B>193</B> pour ramener le cadre<B>32</B> d'un pas vers la position de départ, ce qui réduit en réalité le réglage d'un fac teur égal<B>à 10.</B> Au bas de la course de la tou- elle <B>209,</B> une deuxième dent du cliquet 21.0 vient en prise avec une deuxième rangée de dents 211 du curseur<B>193</B> pour empêcher ce lui-ci d'aller trop loin.
La touche<B>209</B> est actionnée automatiquement pour le rétro- espacement du mécanisme d'inscription sous la commande du curseur-maltiplicateur <B>110</B> et eu berceau de multiplication<B>161.</B>
Sur les fig. 14,<B>23</B> et 24, on voit que le berceau<B>161</B> présente en haut et<B>à</B> droite -un crochet 212 superposé<B>à</B> un doigt<B>213</B> d'un levier 214. Ce levier est solidaire d'un arbre <B>215</B> s'étendant vers la gauche, de la machine et sollicité dans le sens des aiguilles d'une mon tre (sur les fig. <B>23</B> et 24) par un ressort<B>216</B> accroché<B>à</B> un bras<B>217 à</B> l'extrémité de gau- elle de l'arbre<B>215.</B> Une bielle<B>218,</B> articulée<B>à</B> l#extrémitë du levier<B>217,</B> est reliée par une articulation<B>à</B> broche et coulisse<B>à</B> un levier coudé<B>219</B> articulé sur un tourillon fixe 220.
L'autre extrémité du ressort<B>216</B> est accrochée au levier coudé<B>219</B> pour maintenir les fflé- ments dans la position représentée. Un doigt 221 du curseur<B>110</B> avançant en partant de la position<B> 0 </B> (fig. <B>25)</B> coopère avec la bran- elle montante du levier coudé<B>219</B> pour le faire pivoter dans le sens des aiguilles d'une montre et pour faire tourner l'arbre<B>215</B> dans le sens des aiguilles dune montre par l'inter médiaire du ressort<B>216.</B> Lorsque le berceau de multiplication<B>161</B> occupe sa position de travail,
le crochet supérieur de ce berceau est dégagé du doigt<B>213.</B> Lorsque l'arbre<B>215</B> est sollicité de la manière précédemment décrite, <B>le</B> doigt<B>213</B> est élevé. Ce doigt<B>213</B> est libre ment engagé dans une fente 222 d'un curseur <B>223.</B> LorsquIl est élevé, il élève également l'extrémité postérieure du curseur 223<B>à</B> la position que montre la fig. 24. L'extrémité antérieure du curseur<B>223</B> est reliée<B>à</B> un #e- uier 224 solidaire d'un arbre<B>225</B> traversant le côté gauche de la machine.
L'extrémité (le gauche de l'arbre<B>225</B> porte un autre levier <B>226</B> auquel est articulée une bielle descen dante<B>227</B> présentant une fente<B>228</B> chevau chant un doigt<B>229</B> solidaire de la touche (le rétro-espacement <B>209.</B>
Le curseur<B>223</B> est déplacé vers l'arrière Pour abaisser la touche de rétro-espacement <B>209,</B> par l'intermédiaire des éléments 224,<B>225,</B> <B>226</B> et<B>227, à</B> l'aide d'un doigt moteur<B>230.</B> Ce doigt est solidaire dune platine articulée<B>231</B> sollicitée par un ressort<B>232</B> vers la position que montre la fig. <B>23.</B> Vers la fin de chaque cycle de la machine, il est déplacé dans le sens des aiguilles d'une montre par un doigt 2'33 solidaire d'une platine 234 fixée<B>à</B> l'arbre principal<B>96.</B> Lorsque l'extrémité postérieure du curseur<B>223</B> est élevée par le mouvement du curseur<B>110</B> partant de la position<B> 0 ,
</B> l'extrémité du curseur<B>223</B> est amenée en ali gnement avec le doigt<B>230,</B> de sorte que le cur seur<B>223</B> et, par conséquent, la touche de ré- tro-espacement <B>209,</B> sont actionnés vers la fin du cycle de la machine.
Lorsqu'il est avancé, le berceau de malti- plication <B>161</B> actionne également le méca- risme de non-impression pour empêcher l'im pression. Ainsi que le montrent les fig. 14 et <B>19,</B> une bielle 23Ô est reliée<B>à</B> un tourillon sur le côté droit du berceau<B>161.</B> Elle est tirée vers l'avant lorsque le berceau est avancé.
Cette bielle est reliée<B>à</B> un verrou 234 pré sentant -une extrémité en crochet coopérant avec une branche d'un levier couclé <B>2Ô5</B> relié au curseur de non-impression <B>119.</B> Le verrou 234 maintient le curseur<B>119</B> dans la position de la fig. <B>19</B> pendant les cycles d'addition et de soustraction.
Lorsque le verrou 234 est libéré par le berceau<B>161,</B> le curseur<B>119</B> peut se déplacer librement vers la position de la non-impression, mais il est retenu dans la po sition normale par un ressort<B>236</B> relié au le vier coudé<B>235.</B> Pendant les cycles effectués avec le verrou 2ô4 escamoté, le curseur<B>119</B> est déplacé vers la gauche<B>à</B> la position finale de non-impression ou<B>à</B> la position partielle contre le levier<B>116</B> (fig. 12) pour l'impres sion, par un levier<B>237</B> sollicité de bas en haut par un ressort<B>238</B> capable de vaincre la ten sion du ressort<B>236,</B> le levier<B>237</B> restant appliqué contre la tranche inférieure d'une bielle<B>239</B> descendant du levier coudé<B>235.
Le</B> levier<B>237</B> est rLintenu dans sa, position iiiac- tive par la coopération d'un rouleau 240 avec la branche inférieure du levier<B>237.</B> Le rou leau 240 est monté sur une platine motrice 241.<B>Il</B> est généralement avancé et ensuite re culé pour pousser le curseur<B>119</B> vers la gau che et pour le ramener vers la droite pendard chaque cycle de la machine dans lequel le ber ceau de multiplication est lui-même avancé.
Le mouvement d'avancement du berceau <B>161</B> action-ne également un mécanisme destiné <B>à</B> maintenir dans la position de détente un eli- quet <B>de</B> la barre conipteuse de cycles.
Cette barre compteuse de cycles 242 (fi-.<B>16, 17, 18</B> et<B>19)</B> se présente sous une forme glénérale si milaire<B>à</B> celle des barres<B>à</B> caractères<B>35</B> et porte<B>à</B> son extrémité supérieure des carac tères décimaux allant normalement. de<B> 0 à</B> <B> 9 </B> et un caractère ER . Cette barre 242 est élevée dLin pas par cycle<B>à</B> l'aide d'un méea- nisme décrit plus loin. Pendant les cycles de multiplication, elle est maintenue dans les positions avancées par un cliquet -943 venant en prise avec une rangée d'encoches 9-44 tail lées dans le bord antérieur de la barre 242.
Le cliquet 243 est ailiculé sur un arbre 246. <B>Il</B> est sollicité par un ressort 247 en diree- tion des encoches 244. Normalement, il est ce pendant maintenu écarté des encoches 244 par un doigt 24S solidaire d'un levier 249 fixé<B>à</B> l'arbre 246. Cet arbre 246 est entraÎné clans le sens des aiguilles d'une montre (sur la fig. <B>19)</B> par un levier<B>250</B> présentant<B>à</B> une extrémité une fourche<B>'251</B> chevauchant un maneton<B>252</B> solidaire d'un autre levier <B>253</B> fixé<B>à</B> l'arbre 246.
<B>A</B> l'extrémité supérieure du levier<B>250</B> est articulée une bielle<B>à</B> crochet 254 portant un doigt<B>255</B> et dont le crochet est norinalement placé<B>à</B> l'arrière d'un doigt<B>256</B> solidaire de la platine 2241, de la manière indiquée sur la fig. 14. Dans cette position de la bielle 254, <B>la</B> platine 241 ramène positivement,<B>à</B> la fin de chaque cycle, le levier<B>250 à</B> la position que montre la fig. <B>19</B> pour dégager le cliquet <B>2-13</B> de la barre 242.
Lorsque le berceau de multiplication<B>161</B> est avancé, il fait pivoter le levier de verrouillage, 234 de la manière précédemment décrite pour élever la bielle 2)4 par l'intermédiaire dune bielle<B>257</B> re liée au doigt<B>255</B> et au levier 234. Dans cette position, la bielle 254 est dégagée du doigt <B>256 et</B> elle n'est pas rappelée pour libérer 'la barre compte-Lise 242.
Lorsqu'elle est abaissée, la touche<B>160</B> abaisse également la touche de non-addition <B>99</B> (fi-.<B>11),</B> de sorte que le premier cycle de le machine devient. un cycle de non-addition. Un levier<B>167</B> artieulé <B>à</B> la touche<B>160</B> pré sente un gradin<B>168</B> normalement placé au- dessus d'un doigt<B>169</B> fixé<B>à</B> la touche<B>99</B> pour constituer un dispositif -daccouplement a sens unique entre ces deux touches.
La tou- elie de non-addition <B>99</B> est maintenue abaissée par le curseur de verrouillage usuel<B>170</B> <B>(fi-. 15)</B> libéré périodiquement, mais aucun verrou n'est prévu pour la touche<B>160,</B> (le sorte que celle-ci retourne<B>à</B> la position<B>de</B> repos dès que l'opérateur retire le doigt. Une bielle<B>159</B> est intercalée, entre le levier<B>167</B> et le curseur de non-addition 102 pour retirer le levier<B>167</B> dudoigt <B>169</B> pendant le cycle de non-addition, pour permettre le rappel<B>de</B> 'la touche<B>99,</B> même si la touche<B>160</B> est mainte nue abaissée.
Lorsqu'elle est abaissée, la touche<B>160</B> aetionne également un mécanisme pour ra mener le curseur-multiplicateur 110d'une po sition avancée vers la position de départ. Un deuxième levier<B>171</B> (fig. <B>11),</B> similaire au levier<B>167,</B> est fixé<B>à</B> celui-ci et superposé<B>à</B> une branche<B>172</B> dLin étrier<B>173,</B> de facon que l'abaissement de la touche<B>160</B> fasse pivoter Pétrier <B>173</B> dans le sens contraire<B>à</B> celui des aiguilles d'une montre.
La branche 174 du côté gauche de l'étrier<B>173</B> présente un épau lement<B>175</B> normalement placé devant un tourillon<B>176</B> d'un levier<B>177</B> du mécanisme commandant le curseur multiplicateur. La branche 174 est déplacée par la touche<B>160</B> pour s'écarter de la trajectoire du tourillon <B>176</B> et pour permettre le déplacement du cur seur<B>110.</B> L'étrier<B>173</B> est maintenu dans sa position de travail par un levier de verrouil lage<B>178</B> qui s'accroche sur un doigtcarré <B>1.79</B> da levier 174 dans la position de travail de l'étrier<B>173.</B>
Le fonctionnement de l'étrier<B>173</B> permet également<B>à</B> un mécanisme de maintenir<B>dé-</B> brayé un dispositif (non représenté) d'accou plement principal pour les cycles jusqu'à ce que l'opération de multiplication soit achevée. Ce dispositif d'accouplement est débrayé, comme dans les machines Sundstrand usuelles, par un mouvement d'avancement d'une bielle <B>1.80</B> (fig. <B>10</B> et<B>11) à</B> l'aide d'une des touches de commande motorisées, par l'intermédiaire d'une tringle articulée<B>181</B> que font pivoter ces touches.
Etant donné que la touche<B>99</B> actionnée par la touche de multiplication<B>160</B> est une touche motorisée de ce genre, la ma- nceuvre de la touche<B>160</B> fait pivoter la trin gle<B>181,</B> qui est maintenue dans la nouvelle position par un gradin<B>182</B> du levier de ver rouillage<B>178,</B> le gradin venant se placer der rière la tringle<B>181</B> lorsque le levier<B>178 dé-</B> place la branche de verrouillage 174 de l'étrier.
L'abaissement de la touche de multiplica tion<B>160</B> intervient également pour actionner un mécanisme permettant le dégagement du berceau de multiplication<B>161</B> au moment approprié, c'est-à-dire après l'inscription (le tous les chiffres du multiplicateur.
Ainsi que le montrent les fig. <B>Il</B> et 12 et ainsi qu'il a été indiqué précédemment, la mise -en place du curseur<B>110</B> sur un chiffre réel permet au ressort<B>153</B> de faire pivoter<B>le</B> levier<B>151</B> dans le sens contraire<B>à</B> celui des aiguilles d'-Lrae
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montre, <SEP> pour <SEP> placer <SEP> le <SEP> doigt <SEP> 154 <SEP> derrière <SEP> <U>le</U>
<tb> gradin <SEP> <B>155</B> <SEP> du <SEP> levier <SEP> <B>156.</B> <SEP> Cel#L1i#-c* <SEP> <B>é</B>
<tb> par <SEP> un <SEP> ressort <SEP> <B>183</B> <SEP> <U>da-n_aJ--ns</U> <SEP> <B>e</B> <SEP> ontraire <SEP> <B>à</B> <SEP> ce- lui des aiguilles d'une montre,
et il est nor malement maintenu dans sa position supé- rie-Lire par un verrou 184 qui s'engage sous un talon de la partie supérieure du levier<B>156.</B> Le verrou 184 présente une branche<B>185</B> (voir également la fig. <B>5)</B> eoudée vers le bas<B>à</B> côté d'un doigt<B>186 de</B> la touche<B>160,</B> de façon que l'abaissement de la touche<B>160</B> fasse pivoter le verrou 184 pour libérer le levier<B>156.</B> Ce levier libéré maintient le levier<B>151</B> dans la position de travail jusqu'à ce qu'il soit élevé par la coopération d'un doigt<B>187</B> du curseur <B>110</B> avec la branche postérieure coudée du levier<B>156,
</B> pendant le déplacement du cursear <B>110</B> de la position<B> 0 </B> vers une position plus avancée de décimales. Etant donné que ce mé canisme n'intervient pour libérer le berceau de multiplication<B>161</B> qu'après la fin de la multiplication, la description du fonctionne ment de ces organes sera reprise plus loin. Preinier <I>cycle</I> de multiplication.
En actionnant la touche de non-addition 019, l'abaissement de la touche de multiplica tion<B>160</B> a amorcé un cycle de la machine par Fintermédiaire de la tringle<B>181</B> et de la bielle <B>180.</B> Pendant ce cycle, l'arbre<B>96</B> tourne dans le sens contraire<B>à</B> celui des aiguilles dune montre (fig. <B>6)</B> en faisant pivoter la platine 2-11 dans le sens des aiguilles d'une montre. La platine 124 (fig. 12) pivote, dans le sens con traire et la platine<B>126</B> dans le sens des aiguil les d'une montre.
Au début du cycle, le totali sateur<B>61</B> est dégagé des crémaillères<B>55</B> et<B>56</B> par le cliquet 94 (fig. 4) agissant sur le doigt 92.
Les mécanismes d'entraînement du cylin dre de frappe et de dégagement des marteaux de frappe sont débrayés au début du cycle par la barre<B>118</B> et le curseur<B>119</B> (fig. <B>19)</B> se<B>dé-</B> plaçant vers la gauche. Le rouleau 240 de la platine 241 libère le levier<B>237</B> pendant le<B>dé-</B> placement de la platine 241, et le ressort<B>238</B> intervient ensuite pour faire pivoter le levier <B>237</B> dans le sens des aiguilles d'une montre et, p#qur faire pivoter le levier<B>235</B> par l'intermé-
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diairè-#,-1a <SEP> <B>__</B> <SEP> bielle <SEP> <B>239,</B> <SEP> tandis <SEP> qi--te <SEP> le <SEP> curseur
<tb> <B>119</B> <SEP> se <SEP> déplace-V#WQL-la- <SEP> gauche.
<SEP> Le <SEP> levier <SEP> <B>'235</B> a été entre temps déverrouillé par le levier de verrouillage 234 que le berceau de multi plication<B>161</B> a fait pivoter par l'intermédiaire de la bielle<B>233,</B> de, la manière précédemment décrite. Etant donné que le levier<B>116</B> (fig. 12)
a été écarté de la barre<B>118</B> par le déplacement du curseur-multiplicateur <B>110.</B> cette barre<B>118</B> peut se déplacer librement jusqu'à l'extrême position<B>à</B> gauche pour em-- pêcher l'avancement du papier et le déga'-e- ment des marteaux d'impression.
<B>A</B> ce moment, le curseur-multiplicateïir <B>110</B> a été ramené d'un pas vers la position (le départ. Les fig. <B>11,</B> 12,<B>23,</B> 24 et<B>28</B> montrent que la platine<B>126</B> de l'arbre principal<B>96</B> porte un rouleau<B>260</B> initialement un peu espacé d'une branche coudée d'un levier<B>261.</B> Ce levier<B>261</B> est articulé sur un tourillon <B>262</B> et rappelé par un ressort<B>263</B> contre un doigt fixe 264.
Sur le tourillon<B>262</B> est égale ment articalé le levier<B>177</B> rappelé par un res sort<B>266,</B> de facon que sa tranche antérieure soit appliquée contre un doigt.<B>267</B> du levier <B>261.</B> Le tourillon<B>176</B> précédemment indiqué est fixé au levier<B>177.</B> Sur ce tourillon est articulé un cliquet<B>268</B> sollicité dans le sens contraire<B>à</B> celui des aiguilles d#une montre par un ressort<B>269</B> pour être appliqué contre Lin doigt fixe<B>270,</B> le bec<B>271</B> du eliquet <B>2268</B> étant, dans cette position,
dégagé d'une ran gée de dents<B>272</B> ménagées sur la tranche infé rieure du cursear-multiplieateur <B>110.</B> Lorsque la branche 174 de l'étrier<B>173</B> a été amenée<B>à</B> <B>la,</B> position inactive par rapport au doigt<B>176</B> après abaissement de la touche<B>de</B> multipliea- tion <B>160</B> et verrouillée dans cette position par le levier<B>178,</B> le pivotement de la platine<B>126</B> pendant le cycle est transmis par le rouleau <B>260</B> aux leviers<B>261</B> et<B>177</B> dans le sens (les aiguilles d'une montre pour faire avancer<B>le</B> cliquet<B>268.</B> Grâce<B>à</B> la conformation de la tranche supérieure du cliquet<B>268,</B> son mouve ment d'avancement l'écarte du doigt<B>270,
</B> et il pivote de bas en haut pour engager son bec <B>271</B> entre deux dents<B>272</B> dit curseur<B>110.</B> La suite du mouvement de la platine<B>126</B> et du pivotement des leviers<B>261</B> et<B>177</B> fait avancer le curseur<B>110</B> d'uii pas. Le ressort<B>266</B> inter- ealé entre les leviers<B>261</B> et<B>177</B> forme une liaison flexible entre ces leviers pour empe- cher toute détérioration si le curseur<B>110</B> est bloqué ou si le doigt<B>176</B> est verrouillé par le levier 174.
Pendant le premier demi-cycle, la barre<B>à</B> caractères compteuse 242 (fig. <B>16, 17</B> et<B>19)</B> est élevée<B>à</B> la position d'impression<B> 0 ,</B> et le cliquet 243 de la barre 242 est placé dans la position de retenue.
Le pivotement du le vier de verrouillage 234, produit par l'avan- eement du berceau de multiplication<B>161,</B> a élevé le bras<B>à</B> crochet 254 pour le de.-a.ger du doigt<B>256</B> de la platine 241, de sorte que le levier<B>250</B> petit rester librement dans une po sition de réglage quelconque, un levier<B>à</B> eu- coehe <B>273,</B> sollicité par un ressort 274 pour tire maintenu en prise avec un doigt<B>275 à</B> 1-"extrémit,# supérieure du levier<B>250,
</B> retenaat le levier<B>250</B> élastiquement dans toutes les<B>Po-</B> sitions de réglage. Un curseur<B>276</B> est sollicité par un ressort<B>277</B> vers la gauche de la fig. <B>19.</B> Ce curseur repose sur deux doigts<B>278</B> et<B>279,</B> dont le premier est solidaire du levier<B>250</B> et le deuxième de la platine 2-11. Le curseur<B>276</B> présente une coulisse<B>280</B> engagée sur le doigt <B>278.</B> La Iongueur de cette coulisse est choisie telle que le levier<B>250</B> puisse osciller librement entre la position de départ et une position. intermédiaire.
Le curseur<B>276</B> présente égale ment -une coulisse incurvée<B>281</B> engagée sur le ,doiL-It <B>279</B> de la platine 241. La longueur de, cette coulisse est suffisante pour permettre<B>à</B> la platine 241 d'osciller librement d'un bout <B>ù</B> l'autre sans déplacer le curseur<B>276,</B> le doi-gt, <B>279</B> coopérant avec l'extrémité postérieure<B>(le</B> la coulisse<B>281</B> pour rappeler le curseur<B>276</B> d'une position avancée quelconque.
L'extré- mité postérieure du curseur<B>276</B> est coudée pour former une languette<B>282</B> restant norma lement<B>à</B> l'arrière d'une branche inférieure du levier<B>235.</B> Lorsque le levier<B>235</B> pivote au début d'un cycle de la manière précédemment <I>décrite,</I> le curseur<B>276</B> est libre de suivre le doigt<B>279</B> sous l'action de son ressort<B>277.</B> Pendant ce mouvement, la coopération de l'ex trémité postérieure de la coulisse<B>280</B> avec le doigt<B>278</B> fait pivoter le levier<B>250</B> en partant de la position postérieure, en passant par la position intermédiaire,
vers une position com plètement avancée que montre la fig. <B>16.</B> Ce mouvement du levier<B>250</B> fait pivoter l'arbre 246 pour déplacer le doigt 248 du levier 249 et pour permettre Pengrènement du eliquet 243 avec la barre 242 en vue de son maintien dans une position de réglage quelconque.
Le mouvement du levier<B>250</B> vers la posi tion complètement avancée lait également avancer la barre 242 pour amener le caractère <B> 0 à</B> la position d'impression. Le levier 249 de l'arbre 246 porte un cliquet d'avancement <B>283.</B> Dans la position de repos de l'arbre 246 et du levier<B>250,</B> le cliquet <B>283</B> est rappelé par un ressort 284 (fig. <B>18)</B> contre l'extrémité supérieure du levier 249. Il est amené en prise avec les dents 244 de la barre 242 lorsque Parbre 246 est déplacé vers une position inter médiaire.
Le déplacement dit levier<B>250</B> vers la position complètement avancée fait tourner davantage l'arbre 246 et soulève le cliquet<B>283</B> pour élever la barre<B>à</B> caractères 242 d'un pas,<B>de</B> facon que le caractère<B> 0 </B> soit placé en regard du point d'impression. Le cliquet 243, également libéré<B>à</B> ce moment, maintient la barre en ce point. Le retour de la platine 241 vers la position de départ<B>à</B> la fin du<B>cy-</B> cle rappelle le curseur<B>276 à</B> sa position de repos, tandis que le levier<B>250</B> n'est pas com plètement rappelé. Le jeu entre le doigt<B>278</B> et. la coulisse 280 est choisi tel que le levier <B>250</B> ne revienne qu'à la position intermédiaire, laissant ainsi le cliquet 243 dans sa position de retenue.
Le levier<B>250</B> ne peut être ramené <B>à</B> la position de départ que par la coopération du doigt<B>256</B> et du levier<B>à</B> crochet 254, mais ce dernier est soulevé<B>à</B> ce moment par le le vier de verrouillage 234, de sorte que le levier <B>250</B> n#est rappelé que partiellement.
Pendant ce premier cycle, la touche de non-addition <B>99</B> reste abaissée, parce qu'elle a été abaissée par la touche de multiplication <B>160</B> et qu'elle est verrouillée dans cette posi tion. La touche de non-addition étant abaissée, le curseur 102 (fig. 4) est placé dans sa posi tion postérieure, dans laquelle le cliquet<B>9-1</B> est empêché pendant la deuxième moitié du cycle de coopérer avec le doigt 9") pour ame ner le totalisateur<B>61</B> en prise avec les cré- niaillères d'addition<B>55.</B> En conséquence, ce premier cycle est un cycle de non-addition,
même si les barres<B>à</B> caractères<B>35</B> sont, avan cées jusquaux positions déterminées par les broches<B>33.</B> Le totalisateur #61 est rappelé,<B>à</B> la fin du cycle, pour engrener avec les cré maillères<B>55,</B> par le mécanisme usuel constitué par un levier<B>285</B> (fig. <B>6)</B> présentant un ta lon coudé<B>286</B> pouvant coopérer avec la tran che inférieure de la platine<B>95 à</B> la fin du cycle, et relié par une bielle<B>287 à</B> la platine <B>90.</B> La touche de non-addition <B>99</B> est libérée pour retourner<B>à</B> la position de repos<B>à</B> la l'in <B>dit</B> cycle. <I>Cycles de multiplication suivants.</I>
Un deuxième cycle intervient automatique ment<B>à</B> la fin du premier cycle de multipli cation qui vie-nt d'être décrit.<B>Il</B> convient clé rappeler que la tringle<B>181</B> et la bielle<B>180</B> sont verrouillées dans leur position de 'travail <B>a</B> ,,près le pivotement du levier de verrouillage <B>178</B> (fig. <B>11).</B> Le levier<B>178</B> Wétant pas esca moté<B>à</B> ce moment, un deuxième cycle suit automatiquement.
Ce deuxième cycle et tous les cycles suivants, sauf le dernier cycle dIns- cription du chiffre multiplicateur, sont tous clés répétitions du premier cycle décrit, avec la seule exception que la touche de non-addi- tion Ceux-ci 99 sont West donc pas abaissée des cycles pour d'addition,
ces cycles' le multiplicande inscrit étant introduit<B>à</B> chaque cycle par addition dans le totalisateur<B>61.</B>
Ainsi qu'il a été décrit précédemment, le mécanisme d'impression est également<B>dé-</B> brayé, pendant chaque cycle. Le curseur-mul- tiplicateur <B>110</B> est ramené d'un pas vers la position de départ, et la barre eompteuse 2-12 est élevée d'un pas pour amenèr successive ment les caractères<B>37</B> au point d'impression. <I>Dernier cycle de multiplication.</I> (Fig. 12, 14,<B>19, 23, 26</B> et<B>27.)</B> <B>c</B> Le dernier cycle de multiplication par le premier chiffre du multiplicateur commence avec le eurseur-multiplicateur <B>110 à</B> la posi tion de départ ou position<B> 0 .
A</B> ce moment, la machine a exécuté un nombre clé cycles égal au chiffre inscrit. Cependant, étant donné que le premier cycle est un cycle de rion-addition, un cycle supplémentaire est né- cessaire pour introduire le multiplicande le nombre de fois approprié. De même, la barre eompteuse 242 est placée pour imprimer un chiffre inférieur d'une -unité au nombre de cycles exécutés et doit être élevée au chiffre approprié.
Pendant ce dernier le -.mécanisme d'impression est mis en place pour Pimpres- sion du multiplicande et du multiplicateur. Etant donné que le eurseur-multiplicateur occupe<B>la</B> position<B> 0 </B> au début (lu cycle, son extrémité postérieure (fig. 12 et<B>9-7)</B> ne main tient pas le levier<B>116 à</B> la position avancée, de sorte que l'extrémité postérieure de ce le vier<B>116</B> arrête la barre<B>1.18</B> dans sa position intermédiaire.
Dans cette position interiiié- diaire, le mécanisme d'entraînement du ey- lindre de frappe et le mée-tiiiisiiie- libérant les, marteaux de frappe peuvent être actionnés clé facon que le multiplicande soit imprimé juste après le, milieu du cycle.
Le mouvement du levier<B>235</B> est suffisant pour libérer le eur- seur <B>9-76</B> (fig. <B>19),</B> et la barre eonipteuse *242 est élevée d'un pas supplémentaire pour aine- iler le caractère approprié sur la ligne d1iii- pression. Après le dégagement des marteaux 54, le multiplicande et le chiffre approprié du multiplicateur sont imprimés sur le papier placé sur le cylindre<B><U>5".</U></B>
Lorsque le curseur-multiplieateur <B>110</B> est ramené pendant ce dernier cycle, il se déplaee de la position<B> 0 </B> vers une position sub- normale. Le eurseur <B>110</B> est retenu dans eette position subilormale par un verrou<B>290</B> (fi-.<B>23</B> et 26) presque jusqu'à la fin du<B>cy-</B> cle.
Ce verrou est sollicité par un ressort<B>291</B> dans le sens contraire<B>à</B> celui des aiguilles d'une montre pour que son extrémité anté rieure coudée<B>292</B> soit appliquée contre la tranche postéro-inférieure encochée du eur- seur <B>110.</B> Le verrou est normalement main tenu écarté par le rouleau<B>260</B> de la platine <B>126</B> coopérant avec son extrémité postérieure.
A-Li début du cycle, le rouleau<B>260</B> libère le <B>2,90</B> pour lui permettre de coopérer avec<B>le</B> curseur<B>110</B> (fig. <B>-96).</B> Lorsque le eur- scur <B>110</B> se -déplace vers la position sub- normale, il est verrouillé dans cette position par le talon<B>292</B> venant en prise avec une des encoches pratiquées dans l'extrémité -du cur seur<B>110.</B> Le curseur<B>110</B> est rappelé<B>à</B> la posi tion<B> 0 </B> normale par un rouleau<B>293</B> (fig. 12) monté, sur un levier 294.
Ce levier 294 est sollicité de bas en haut par un ressort<B>295,</B> et le rouleau<B>293</B> coopère normalement avec les (lent-,<B>'272</B> du curseur<B>110</B> pour maintenir ce- lui-ei dans sa position de réglage. Lorsque le curseur se déplace vers la position sribnor- inale, une rampe inclinée<B>296</B> de la tranche inférieure poLisse le rouleau<B>293</B> vers le bas. Lorsque le verrou<B>290</B> est libéré<B>à</B> la fin du e#-ele, le levier<B>à</B> ressort 294 et le rouleau<B>293</B> interviennent pour ramener le curseur<B>110 à</B> la position<B> 0 .</B>
Pendant son déplacement vers la position subnormale, le curseur<B>110</B> libère le levier de verrouillage<B>178</B> par la coopération d'un doigt <B>265 11)</B> cl-Lu curseur<B>110</B> avec une bran- elie <B>297</B> solidaire du levier<B>178.</B> Une fois li- l#Cir6, le, levier<B>178</B> libère<B>à</B> son tour la branche <B>17-1</B> de l'étrier<B>173,
</B> qui s'élève en regard du doigt<B>176</B> et arrête tout déplacement supplé- ineritaire du eliquet d'avancement<B>268</B> pour le eiirseur <B>110.</B> L'extrémité antérieure -,lu levier <B>1.78</B> s*écarte de la tringle<B>181</B> pour la libérer et pour libérer également la bielle<B>180</B> per mettant l'intervention<B>da</B> mécanisme arrêtant <B>le</B> cycle et. la multiplication<B>à</B> la fin da cycle en cours.
Dans sa position sulmormale, 'le curseur <B>110</B><U>dégage</U> également la branche de verrou 1,36 du doigt 154 solidaire du levier<B>151.</B> Ce pendant-, étant donné que ce mécanisme n'in tervient que lorsque. la multiplication est achevée, la description de ce fonctionnement sera reprise plus loin.
Dans sa position subnorniale, le curseur <B>110</B> conditionne é,,,aleriient le mécanisme de rétro-espacement du cadre, oscillant<B>32.</B> Les f',,. 2' et<B>25</B> montrent que le doi.gt 221 du eurseur <B>110</B> fait pivoter le levier<B>219</B> lorsque <B>le</B> curseur<B>110</B><I>se</I> déplace vers la position sub- normale.
Par l'intermédiaire du ressort<B>216,</B> dui levier<B>217, de</B> l'arbre<B>215</B> et du levier 214, ce levier<B>219</B> élève le curseur<B>223.</B> Il convient de rappeler que le levier 214 a été libéré par <B>le</B> déplacement du berceau de multiplication vers la position avancée. Ce berceau étant avancé<B>à</B> ce moment, le levier est encore li béré.
Le curseur<B>223</B> est élevé pour amener son extrémité postérieure<B>à</B> l'arrière du doigt 2ÔO de la platine<B>231.</B> Celle-ci étant déplacée angulairement <B>à</B> la fin dun cycle de la ma nière précédemment décrite, le curseur<B>223</B> est actionné pour agir sur la touche<B>209</B> et pour ramener le cadre oscillant<B>32</B> d'un pas vers la position de départ.
Lorsqu'il est actionné de cette manière pour rétro-espacer le cadre oscillant<B>-32,</B> le curseur<B>223</B> dégage également le cliquet 243 (fig. 14 et<B>19).</B> Lorsque le curseur<B>223</B> est élevé, son talon<B>298</B> est aligné avec un doigt <B>299</B> du levier<B>250.</B> Pendant le recul du cur- seuir <B>223</B> sous l'action du doigt<B>230 à</B> la fin du cycle, le talon<B>298</B> pousse le doigt<B>299</B> et ramène le levier<B>250 à</B> la position de repos, libérant ainsi- le cliquet 243 et le cliquet d'avancement<B>283.
Il</B> en résulte que la. barre compteuse 242 est<B>à</B> son tour libérée et re tourne<B>à</B> la position de départ sous l'action <I>au</I> son ressort. Etant donné que ce mouve ment a lieu après le dégagement des marteaux d'impression, ri-en ne contrarie l'impression du chiffre correct.
<B>A</B> la fin de ce cycle, le dispositif d#accou- ple.ment est arrêté et arrête<B>à</B> son tour les cycles de fonctionnement de la machine. Le curseur<B>110</B> est<B>dégagé</B> du verrou<B>290</B> et re tourne<B>à</B> la position<B> 0 .</B> Le curseur de rétro- espacement <B>223</B> descend<B>à</B> sa position de<B>dé-</B> part, et la machine est ainsi préparée pour Fintroduction du deuxième chiffre du multi plicateur,<B>le</B> berceau de multiplication<B>161</B> restant dans sa position avancée. <I>Deuxième</I> ciLiffre du multiplicateur.
Le fonctionnement de<B>là</B> machine pour le deuxième chiffre du multiplicateur est une répétition du fonctionnement pour le premier chiffre,<B>à</B> l'exception de deux différences, Au début des opérations pour ce chiffre du multi plicateur, le berceau de multiplication<B>161</B> occupe<B>déjà</B> sa position de travail et n'est donc pas déplacé lorsque l'opérateur abaisse pour la deuxième fois la touche de multipli cation<B>160.</B> De plus, le multiplicande inscrit n'est pas le même.
En effet, par suite de l'in tervention du mécanisme de rétro-espaeement, le nombre inscrit a été réduit d'un facteur égal<B>à 10.</B> Les autres opérations sont identi ques<B>à</B> celles qui ont été décrites pour le pre mier chiffre multiplicateur., <I>Dernier chiffre</I> du #nuJtip1icateur. Le cycle des opérations pour le dernier chiffre multiplicateur est une répétition des opérations pour les autres chiffres, sauf que, pour ce dernier cycle, le cadre oscillant<B>32</B> est complètement rappelé<B>à</B> la position de départ, effacant ainsi le multiplicande inscrit, tandis que le berceau<B>161</B> occupe lui-même la position de repos.
Il convient de rappeler que le chiffre du multiplicande a été inscrit suivi d'un nombre de zéros. Ces zéros, en nombre égal<B>à</B> celui des chiffres du multiplicateur moins un, ont été éliminés pendant les cycles de multiplica tion précédents. En conséquence, lorsque le dernier chiffre multiplicateur doit être intro duit., le chiffre des unités du multiplicande occupe la colonne la plus basse et, pour la première fois, la barre<B>à</B> caractères<B>35</B> de, la colonne des unités peut s'élever au-dessus de la position<B> 0 .</B> On utilise ce mouvement pour commander le rappel du berceau de multipli cation<B>161.</B>
En regard de la fig. <B>11, il</B> convient<B>de</B> rappeler que, pendant<B>le</B> déplacement du cur- seur-multiplieateur en partant de la position <B> 0 ,</B> les leviers 148 et<B>151</B> sont libérés pour pivoter dans le sens contraire<B>à</B> celui des ai guilles d'une montre autour de leur pivot 149, <B>de</B> sorte que le curseur<B>157</B> est déplacé vers l'avant de la machine. Ce curseur<B>157</B> pré sente<B>à</B> son extrémité postérieure une coulisse engagée sur l'arbre 246.
Dans sa position avancée, un clique<B>300,</B> articulé au curseur <B>157,</B> repose sur un talon<B>301</B> d'un levier â02 solidaire de l'arbre<B>30Ô.</B> Cet, arbre<B>303</B> est rappelé dans<B>le</B> sens contraire<B>à</B> celui des ai guilles d'une montre par lui ressort 304 (fig. 12), et il est retenu dans sa position normale (fig, <B>11)</B> par la coopération dun le vier<B>305</B> de l'arbre avec un doigt<B>306</B> fixé sur la barre<B>à</B> caractères<B>35</B> de la colonne la plus basse.
Le levier 305 fait partie dLin étrier<B>307</B> monté librement sur l'arbre<B>303.</B> Il est relié par un ressort<B>308 à</B> une broche<B>309</B> solidaire de l'arbre<B>303.</B> Le ressort<B>308</B> est plus puis sant que le ressort 304, et a, par conséquent, tendance<B>à</B> solliciter l'arbre<B>303</B> dans le sens des aiguilles d'uine montre.<B>A</B> l'extrémité de droite de Farbre <B>303</B> est fixé un levier<B>310</B> re lié par une bielle<B>311 à</B> un levier<B>312.</B> Le le vier 312 est articulé par son extrémité anté- ii.eure au verrou<B>166</B> du berceau de multipli cation<B>161.</B> Lorsqu'il est déplacé vers l'ar rière,
il libère le berceau<B>161</B> pour permettre son retour<B>à</B> la position de départ.
L'extrémité postérieure du levier<B>312</B> pré sente un talon<B>313</B> normalement dégagé d'un doigt carré 314 solidaire d'un levier<B>315,</B> mais pouvant être engagé sur la trajectoire de ce doigt. Si le curseur-multiplicateur <B>110</B> occupe une position en regard d'Lin chiffre quelcon que, le ressort<B>153</B> fait pivoter le levier<B>151.</B> pour faire avancer le curseur<B>157</B> et pour placer le cliquet <B>300</B> au-dessus du talon<B>301</B> du levier<B>302.</B> Lorsque la barre<B>à</B> caractères <B>Ô5</B> des unités s'élève au-dessus de la position <B> 0 ,</B> pendant l'inscription du dernier chiffre multiplicateur,
le levier<B>309-</B> est arrêté dans une position intermédiaire par le cliquet <B>300.</B> Si le curseur<B>110</B> est ramené<B>à</B> la position<B> 0 ,</B> le doigt 147 du curseur<B>110</B> coopère avec le levier 148 pour le faire pivoter dans le sens des aiguilles d'une montre.
-Mais le levier<B>151</B> ne peut pas suivre ce mouvement parce que le gradin<B>155</B> (fig. 12) du levier<B>156</B> est<B>à</B> ce moment engagé sur le doigt 154 du levier<B>151.</B> Si le curseur<B>110</B> se déplace de la position<B> 0 </B> vers la position subnormale pendant la par tie antérieure du dernier cycle,<B>il</B> soulève le levier<B>156</B> pour libérer le levier<B>151,</B> qui pi vote alors dans le sens des aiauilles d'une mon tre pour déplacer le curseur<B>157</B> vers Par- rière et pour retirer le cliquet <B>300</B> du dessus du talon<B>301.</B> Or,
étant donné que la barre<B>à</B> caractères<B>35</B> de la colonne des -unités s'élève <B>î</B> au -dessus de<B> 0 ,</B> le levier<B>302</B> est libre de se déplacer au-delà de sa position intermédiaire. <B>Il</B> abaisse ainsi le levier<B>312</B> pour l'amener sur la trajectoire du doigt, carré 314 et pour libérer le berceau<B>161.</B>
Le levier Ô15 pivote en avant<B>à</B> la fin du premier demi-cycle et en arrière au début du cycle de retour, sous l'action de la barre 48 coopérant avec l'extrémité supérieure confor mée en came du levier<B>315.</B> Cette barre 48 (fi--o-. 14) est reliée aux platines 241 et 124 par des curseurs<B>316</B> reliés par leurs e--..tré- inités supérieures aux platines 241 et 124 et pouvant coulisser sur des doigts fixes<B>317</B> (fig. <B>3).</B> Si les platines 241 et 1'224 pivotent pendant le cycle,
la barre 48 est abaissée et fait pivoter le levier<B>315</B> vers l'avant<B>à</B> l'en contre de l'action du ressort<B>318</B> qui agit sur le levier<B>315</B> par l'intermédiaire d'une bielle ")19, reliée au levier<B>315</B> par une extrémité et dont l'extrémité opposée peut coulisser sur un doi-t fixe<B>320.</B> Lorsque le levier<B>312</B> est <B>c</B> abaissé de la manière précédemment décrite, le mouvement de retourdu levier<B>315</B> fait re- euler le levier 312 pour libérer le berceau<B>161</B> cl-Li verrou<B>166</B> peu après la moitié du cycle.
Lorsque le berceau<B>161</B> est libéré et ra mené<B>à</B> la position de repos par son ressort 161a, il embraye le mécanisme de rappel du cadre oscillant<B>32</B> en libérant le levier 202 (ffig. <B>9).</B> Ceci permet au ressort<B>321</B> du levier 202 de soulever le rouleau 204 du levier<B>de</B> rappel 194, et ce levier coopère au moment approprié avec le talon<B>195</B> du curseur<B>193</B> pour ramener le cadre oscillant<B>32 à</B> la posi tion<B>de</B> repos.
Le mécanisme de rétro-espace- ment, qui est intervenu ilisque-là pour rappe ler le cadre oscillant<B>32</B> d'un pas, est de nou veau débrayé par l'arrivée de l'extrémité su périeure en crochet 212 du berceau<B>161</B> (fig. <B>11)</B> sur le doigt<B>213,</B> pour empêcher Félévation da levier<B>223</B> vers la position dans laquelle il peut coopérer avec son doigt<B>230.</B>
<B>A</B> la fin de ce mouvement, tous les or- nq ,,anes sont ramenés<B>à</B> la position de départ et le produit complet du multiplicateur et du multiplicande est enregistré dans le totalisa teur<B>61.</B> Ce produit peut ensuite être imprimé par une opération de prise de total, ou retenu pour l'utiliser dans d'autres calculs.
<I>Opérations de, division.</I>
La présente machine est capable d'effec tuer la division entièrement automatique par un procédé de soustraction répétée. Dans ce procédé, le diviseur est retranché d'une ma- ilière répétée du dividende jusqu'à l'obtention d#un complément. Le diviseur est ensuite ré- tro-additionné une fois et réduit dLin facteur égal<B>à 10.</B> Cette opération est répétée jusquà <B>ce</B> que les mécanismes de commande intervien nent pour arrêter les opérations.
<I>Inscription</I> dit dividende. (Fig. <B>1,</B> 2,<B>3</B> et<B>9.)</B> Le dividende est inscrit sur les broches<B>33</B> (fig, <B>3)</B> par la man#uvre usuelle des touches <B>30.</B> Il convient généralement d'inscrire le di- vid-ende dans les colonnes supérieures en fai sant suivre le dernier chiffre d'un nombre de zéros pour déplacer le dividende vers les co- lônnes les plus élevées.
On man#uvre ensuite la barre d'a#ddition <B>98</B> (fig. <B>1)</B> pour reporter le dividende sur le totalisateur<B>61</B> de, la ma nière usuelle. Dans ce cycle d'enregistrement, le levier de rappel 194 (fig. <B>9)</B> intervient pour ramener le cadre oscillant<B>32</B> et pour effacer <B>le</B> nombre inscrit après son enregistrement. Tous les organes sont -donc ramenés<B>à</B> la posi tion de départ. Inscription du diviseur. Le diviseur est inscrit ensuite sur les bro ches<B>33</B> par la manceuvre des touches<B>30,</B> et il est déplacé de la manière précédemment<B>dé-</B> crite vers les colonnes les pl-Lis élevées.
Fonctionnement de la touche<I>de division.</I> (Fig. 4, 14, 20<B>à</B> 24,<B>27</B> et<B>28.)</B> Après l'enregistrement du dividende sur <B>le</B> totalisateur<B>61</B> et l'inscription du divisel--tr, Popérateur abaisse la touche de division<B>325</B> pour amorcer<B>le</B> cycle de division.
Sur les fig. 14 et<B>28,</B> on voit que la touche<B>325</B> est re liée par un levier coudé<B>326</B> et -une bielle<B>327</B> <B>à</B> un berceau de division<B>328</B> placé<B>à</B> l'exté rieur du berceau de multiplication<B>161.</B> Le doigt<B>165</B> du berceau de multiplication<B>161</B> est engagé dans la position de repos sur la tranche antérieure du berceau de division<B>328.</B> En conséquence, lorsque le berceau de divi sion<B>328</B> est avancé, il entraîne également le berceau de multiplication<B>161.</B> Le verrou<B>166</B> précédemment, décrit retient le berceau de di vision<B>328 à</B> la position de réglage par la co opération du verrou<B>166</B> avec un doigt<B>329</B> du berceau<B>328.</B>
Le réglage du berceau de multiplication <B>161</B> par la touche de division<B>325</B> conditionne les mêmes mécanismes qui sont conditionnés lorsque<B>le</B> berceau<B>161</B> est réglé par la touche de multiplication<B>160,</B> c'est-à-dire que le<B>mé-</B> canisme de rappel du cadre oscillant<B>32</B> est débrayé par le levier 202, tandis que le cloig <B>213</B> (fig. 14) est libéré pour permettre le fonctionnement automatique de la touche de rétro-espacement <B>209.</B> La bielle<B>233</B> est avan- eée pour dégager le verrou 234 du levier<B>235</B> commandant l'impression,
et pour écarter de la trajectoire du doigt<B>256</B> de la platine 241 le levier 254 libérant la barre compteuse.
La mise en place du berceau de division <B>â28</B> conditionne d'autres organes de commande coopérant avec ceux qui sont actionnés par le berceau de multiplication. Le berceau de di vision<B>328</B> est relié<B>à</B> une bielle<B>330</B> qui, lors qu'elle est avancée, vient toucher un doigt 3ôl d'un levier<B>332</B> solidaire d'un arbre<B>3ô3</B> pour maintenir le levier<B>332</B> dans une position infé rieure.
Le but de ce mouvement sera décrit plus loin avec le fonctionnement du méca nisme de rétro-espacement. L'extrémité posté rieure de la bielle<B>330</B> est reliée<B>à</B> Lurie branche d'Lin étrier 334 faisant partie d'Lin mécanisme de décalage que montrent plus clairement les fig. 21 et 22.
L'étrier 334 est articulé sur un pivot fixe<B>3ô5.</B> Sa branche postéro-inférieure est reliée<B>à</B> un curseur<B>336</B> librement mobile sur des doigts<B>337</B> solidaires du bâti.<B>A</B> ce curseur<B>336</B> est articulé un levier<B>338</B> présen- tant deux extrémités angulairement relevées <B>239</B> et 341. Le levier<B>338</B> présente une cou lisse 342 erigac e sur Lin doigt î43 d'un cur seur î44. Le curseur Ô44 est monté sur le support du totalisateur<B>61</B> et présente deux talons<B>3-15</B> engagés sous les crémaillères<B>55</B> et <B>56</B> de la colonne inférieure.
Un levier<B>à</B> eliquet 346 articulé au support du totalisateur est sollicité par un ressort 349 pour appliquer son doigt<B>352</B> contre la tranche supérieure du curseur Ô44. En coopération avec le talon 345 du curseur 344, le cliquet retient ce curseur dans une position de réglage quelconque.
Nor malement, le curseur<B>336</B> occupe la position que montre la fi-. 21, dans laquelle l'extrémité <B>339</B> coopère<B>à</B> chaque cyele de la machine, par la barre 48 actionnée périodiquement, pour pousser l'extrémité<B>339</B> et le curseur 344 vers l'arrière, et pour écarter les talons 345 des crémaillères<B>55</B> et<B>56.</B> La branche postéro-supérieure de Pétrier 334 est reliée par une tringle 347<B>à</B> une bran- elle d'un étrier 348 articulé au bâti de la ma chine.
L'autre branche de Pétrier 348 est su perposée<B>à</B> l'extrémité postérieure du levier <B>116</B> précédemment décrit. Lorsque Pétrier â34 pivote sous l'action du berceau de division ,D28, <B>3</B> l'étrier 348 intervient pour abaisser l'extrémité postérieure du levier<B>116.
Il</B> con- #,ient de rappeler que ce mouvement permet<B>à</B> la barre de commande (le l'impression<B>118</B> clé se déplacer vers l'extrême position<B>à</B> gauche et de débrayer les mécanismes d'entraîne- nient du cylindre de frappe et, d'impression.
La branche ant6ro-supéiieure de l'étrier 334 est encochée pour chevaucher le bord dLin levier<B>350</B> coulissant -et pivotant sur le tou rillon<B>317.</B> Le levier<B>350</B> présente une branche inférieure (fig. <B>27)</B> coudée pour arriver<B>à</B> proximité d'une branche postéro-inférieure du levier<B>à</B> ressort<B>2137</B> précédemment décrit.
Lorsque le levier<B>350</B> est poussé vers la -au- che par l'étrier 334 actionné par la touche de division<B>325,</B> la branche du levier<B>350</B> est<B>dé-</B> placée en regard de la branche post6ro-iiif.é- rieure du levier<B>237,</B> de faeon que le levier Ô50 puisse être actionné par le levier<B>237 à</B> chaque cycle de la machine. L'extrémité anté- rieure du levier<B>350</B> (fig. 20) est placée sous une broche<B>351</B> du cadre de soustraction 104.
Lorsque le levier<B>350</B> est actionné par le le vier<B>237,</B> le premier élève le cadre 104. On doit rappeler que l'élévation du cadre 104 fait que le cycle suivant de la machine devient un cycle de soustraction. Il est donc évident que ],'intervention du levier<B>350</B> se traduit par un en,ç)*rèiiement soustractif du totalisateur<B>61</B> avec les crémaillères<B>56.</B> La mise en place du berceau de division __#2S et de, la bielle,<B>330</B> déplace également un levier<B>355</B> (fig. 14,<B>23</B> et 24) en partant de la position de la fig. <B>23,</B> dans laquelle il est placé sous un doigt<B>0356</B> d'un levier<B>357,</B> vers I;
i position de la fig. 24, dans laquelle le doigt <B>356</B> est dégagé du levier<B>'055.</B> Un ressort<B>358</B> <B>M</B> accroché au levier<B>'057</B> rappelle celui-ci dans le sens contraire<B>à</B> celui des aiguilles dî-ine niontre, (fi,-.<B>2ô</B> et 24).
Mais il est normale- nient maintenu<B>à</B> la position de la fig. <B>23,</B> même lorsqu'il est libéré du levier<B>355,</B> par un levier de verrouillage<B>359</B> coopérant avec un talon<B>366 à</B> l'extrémité antérieure du levier <B>357.</B> Un doigt<B>367 à</B> l'extrémité antérieure du levier<B>357</B> est placé sous la tranche inférieure du curseur de rétro-espacement <B>223.</B> Lorsque le levier<B>357</B> est libre de sé déplacer vers la position de la fig. 24,
le doigt<B>367</B> soulève l'extrémité postérieure du curseur<B>2223</B> vers une, position dans laquelle il coopère avec le doigt<B>230</B> de la platine 2ôl et actionne ainsi la touche de rétro-espaeement <B>209.</B>
L'extrémité inférieure de la touche de di vision<B>325</B> (fig. 4 et<B>28)</B> est placée au-dessus cl un coude de la tringle de commande des cy- eles <B>181.</B> Lorsque la touche<B>325</B> est abaissée, elle fait tourner la tringle pour amorcer un c# ele de la machine. Cette touche<B>325</B> est maintenue abaissée par le verrou<B>166,</B> étant donné qu'il n'existe aucun jeu dans la liaison entre la touche<B>325</B> et le berceau<B>328.</B> En con séquence, la tringle<B>181</B> est maintenue dans la position de travail, et la machine continue de fonctionner tant que la touche<B>325</B> n'est pas libérée.
Preinier <I>cycle de division.</I> (Fig. 14, 21,<B>23</B> et 24.) Les organes ayant été mis en place par la manoeuvre de la touche de division<B>325</B> de la manière précédemment décrite, l'arbre princi pal démarre pour les cycles. Etant donné que la platine 241 (fig. <B>23</B> et 24) pivote dans le sens contraire<B>à</B> celui des aiguilles dune mon tre, le rouleau 240 de cette platine 241 libère le levier<B>237</B> que le ressort<B>238</B> fait pivoter dans le sens contraire<B>à</B> celui des aiguilles d'une montre.
Le levier<B>350,</B> alors déplacé pour amener sa languette inférieure en regard de la branche postéro-inférieure du levier<B>237,</B> pivote<B>à</B> son tour et son extrémité antérieure soulève le cadre de soustraction 104 (fig. 20). Ceci détermine le, cycle retranchant le divi seur inscrit du dividende reporté sur le tota lisateur.
En même temps, le pivotement du levier actionne le levier coudé<B>235</B> (fi-.<B>19)</B> qui a été libéré par le verrou 234 pendant la mise en place du berceau de multiplication<B>161,</B> de sorte que la barre<B>118</B> est poussée vers l'ex trême position<B>à</B> gauche. Le levier<B>116</B> a été abaissé et écarté de la trajectoire de la barre <B>118</B> par la tringle 347 pendant la commande du berceau de division<B>328.</B> La barre<B>118 dé-</B> braye donc les mécanismes d'entraînement du <B>c-</B> 'impression de la ma- ylindre de frappe et d# nière précédemment décrite.
La barre comptel--tse 242 est élevée d'un pas vers la position<B> 0 </B> par le curseur<B>276</B> action nant le levier<B>250,</B> le curseur étant libéré par le déplacement du levier coudé<B>235. A</B> la fin du cycle, le levier 254 est soulevé par le ber- eeau de multiplication<B>161,</B> de sorte que le le vier<B>250</B> est ramené<B>à</B> la position intermé diaire médiane pour maintenir le cliquet 243 <B>à,</B> la position de travail. La barre compteuse 242 est donc<B>à</B> son tour maintenue<B>à</B> la posi tion élevée de la manière indiquée en détail dans la description de l'opération de multi plication.
Un peu avant la position au milieu du<B>cy-</B> cle, la barre 48 coopère avec l'extrémité 341 ,du levier<B>338,</B> alors amené par l'étrier 334<B>à</B> la position indiquée en pointillé sur la fig. 21, et polisse cette extrémité vers l'arrière en fai sant avancer le curseur 344 (fig. 22).
Dans cette position avancée, le curseur Ô44 présente ses talons 345 sous les crémaillères<B>55</B> et<B>56</B> de la colon-ne, la plus basse, et placés de, fanon <B>à</B> empêcher tout mouvement de report de ces crémaillères au-dessous de leur position<B> 0 ,</B> ce qui empêche effectivement l'enregistrement d*une unité fugitive sur<B>le</B> totalisateur<B>61.</B> Ce non-enregistrement d'une unité fugitive dans les opérations de division est nécessaire pour éviter l'erreur inhérente au totalisateur algébrique occupant<B>à</B> la fois une position de totalisation positive et négative lorsqu'il est uitilisé pour les opérations de division.
Pendant le<B>c<U>1.</U> 0</B> yele, la platine 241 (fi 2' et 24) fait osciller le levier<B>103</B> dit ruban par l'intermédiaire d'une bielle<B>360.</B> Un peu avant le milieu du cycle, un tourillon<B>361</B> reliant la bielle<B>360</B> au levier<B>103</B> coopère avec un talon <B>362</B> du levier de verrouillage Ô59 pour faire pivoter celui-ci dans le sens des aiguilles d'une montre<B>à</B> l'encontre de l'action dun ressort<B>363</B> pour déverrouiller le levier<B>357.</B> Mais ce déverrouillage dit levier Ô57 ne lui permet pas de pivoter<B>à</B> ce moment,
étant donné qu'une extrémité 364 du levier<B>350</B> est engagée sur un doigt<B>365 à</B> l'extrémité posté rieure du levier<B>357.</B> Le curseur<B>223</B> n'est donc pas élevé<B>à</B> la position de travail en re gard du rouleau<B>230.</B> Le verrou Ô59 est dégagé par le levier<B>103</B> pour revenir dans la position de verrouillage par rapport au levier<B>357</B> pen dant la deuxième moitiédu cycle.
<I>Cycles de division suivants,</I> Le cycle<B>de</B> -division suivant est une répé tition de celui qui vient d'être décrit, sauf que le levier<B>338,</B> avant été actionné pendant le c#7cle précédent, n'est pl-Lis actionné. Etant donné que la barre compteuse 242 avance pas <B>à</B> pas,<B>le</B> levier<B>250</B> ne revient qu'à la position intermédiaire. Les eveles de division se suc cèdent jusqu'à ce que, pendant l'un de ces cycles, le diviseur devienne supérieur au nom bre restant dans le totalisateur et jusqu'à ce que le reste du totalisateur soit une quantité négative<B>à</B> la fin de ce cycle.
<I>Cycle de</I> dépassemeiii. (Fig. 20,<B>23</B> et 24.) Ce cycle est une répétition du premier<B>cy-</B> cle et des cycles suivants. Cependant, étant donné que le totalisateur<B>61</B> passe au-delà du reste et fonctionne négativement, un organe de commande est déplacé pour changer le<B>cy-</B> cle suivant en un cycle #d'addition. Dans le dis positif que montre la fig. 20,
le mécanisme de report pour la colonne la plus élevée du regis tre<B>61</B> et pour les crémaillères<B>55</B> et<B>56</B> déter mine le décalage du curseur de dépassement <B>â68</B> vers Fune ou l'autre position. Lorsque le verrou<B>63</B> des crémaillères<B>56</B> est retiré, Fex- trémité supérieure de sa branche<B>369</B> recule et polisse le curseur<B>368</B> vers l'arrière. Lors que le verrou<B>6ô</B> des crémaillères postérieures est retiré, la branche Ô69 de ce verrou pousse le curseur<B>â68</B> vers l'avant.
Une platine<B>371</B> articulée et coudée (voir également la fic. <B>3)</B> coopère avec l'extrémité postérieure encochée du curseur<B>368</B> pour être déplacée par celui-ci. Ce mécanisme fait partie de la commande ilsuelle de totalisation négative de la machine connue et indique lorsque le curseur<B>368</B> est avancé et. lorsque la platine Ô71 a pivoté, dans le sens contraire<B>à,</B> celui des aiguilles d'une montre (fig. <B>Ô)</B> que le total absorbé par le to talisateur<B>61</B> est positif et lorsque le curseur Ô68 est reculé et. que la platine<B>371</B> a pivoté dans le sens des aiguilles dune- montre, que le total du totalisateur est négatif.
Tant que le reste retenu par le totalisateur <B>61</B> est positif<B>à</B> la fin d'un cycle, le curseur <B>368</B> est avancé et, la platine<B>371</B> maintient un levier<B>372</B> (fig. 20,<B>23</B> et 9-4) dans une posi tion élevée. Dans cette position élevée, un doigt<B>373</B> du levier<B>350</B> passe dans -une en coche du levier<B>372.</B> La longueur de ce doigt Ô73 est telle qu'il s#en__-age dans le plan dLL levier Ô72 lorsque<B>le</B> levier<B>'350</B> est poussé vers la gauche de la machine pendant les opéra tions de division.
Dans d'autres conditions, il est dégagé du levier<B>372.</B> Si le totalisateur passe au-delà du reste, le doigt<B>373</B> s'enga.ge dans l'encoche 374, mais le ressort usuel du levier<B>â69</B> maintient la pression exercée sur la platine<B>371</B> et le levier<B>372</B> pour abaisser celui-ci vers une position inférieure dès que le levier<B>350</B> est ramené<B>à</B> sa position de<B>dé-</B> part.
<B>A</B> la fin de ce cycle, la barre comptt-Lise <B>2</B> M2 a été élevée pour la mise en place d'un caractère<B>37</B> inférieur d'une unité au nombre <I>Cie</I> eveles. --Mais, étant donné que ce nombre est supérieur d*une unité au nombre correct de cycles, la barre compteuse est placée sur le chiffre correct du quotient.
<I>Cycle correcteur du</I> dépassemeiît. (Fig. <B>19, 23,</B> 24 et<B>27.)</B> Le totalisateur<B>61</B> étant passé d'un reste positif sur un reste négatif, il est nécessaire de faire intervenir un cycle correcteur pour ramener le resterà la dernière valeur positive. Dans ce cycle, qui suit immédiatement le<B>cy-</B> <B>cle</B> (le dépassement, le diviseur est additionné et non pas retranché dans le totalisateur<B>61.</B> lie diviseur et le chiffre présent du quotient sont imprimés, et la touche de rétro-espace- nient <B>209</B> est actionnée pour réduire le divi seur inscrit d*un facteur égal<B>à 10.</B>
<B>Au</B> débuit de ce cycle de dépassement<B>'</B> le levier<B>372</B> (fig. <B>223</B> et 24) a été abaissé pour placer la branche supérieure<B>375</B> sur la tra jectoire du doigt<B>'07Ô</B> du levier<B>350.</B> Au cours de ce e#7e1e, le levier<B>350</B> ne peut donc pas être déplacé par le levier 227 lorsque celui-ci est libéré par le rouleau 240 de la platine 241. lie levier<B>237</B> est donc bloqué dans sa position <B>de</B> départ. Le levier<B>350</B> ne pouvant pas pivo ter, il ne coopère pas avec le doigt<B>351</B> du ca dre de. soustraction 104 pour élever celui-ci.
Le totalisateur<B>61</B> engrène donc pendant ce cycle avec les crémaillères d'addition la-la pour enregistrer positivement le diviseur. Ceci cor <U>rige</U> l'état de dépassement du totalisateur<B>61</B> et ramène le reste<B>à</B> la dernière valeur posi tive.
Pendant ce cycle, le levier<B>237</B> étant #éga- lement retenu dans sa, position de départ, ne peut soulever la bielle<B>239</B> (fig. <B>19),</B> de sorte que, le curseur<B>119</B> et la barre<B>118</B> ne sont pas déplacés vers la gauche. Les mécanismes d1m- pression et d'entrainement du papier inter viennent ensuite dans ce cycle pour imprimer le diviseur et le chiffre du quotient présenté par la barre compteuse.
De plus, étant donné que le levier<B>235</B> n'est pas déplacé par le levier<B>237,</B> le curseur <B>276</B> ne peut pas avancer pour déplacer la barrt compteuse 242 sur un chiffre plus élevé. Cette barre compteuse 242 présentant le chif fre correct du quotient pendant le cycle pré cédent, il n'est pas nécessaire de la faire avan cer pendant le dernier cycle.
Le blocage du levier<B>350</B> embraye égale- nient les organes actionnant la touche de rétro-espacement. Il<B>y</B> a lieu de rappeler que, pendant les cycles précédents, le levier<B>350</B> est intervenu pour retenir le levier<B>357</B> (fig. <B>23</B> et 24)<B>à</B> sa position suivant le sens des aiguilles dune montre pendant que le verrou<B>359</B> était libéré du talon<B>366</B> du levier <B>357.</B> Dans le cycle correcteur, par contre, le levier<B>350</B> n'est pas déplacé.
Lorsque le ver rou<B>359</B> est dégagé par le levier<B>103,</B> le levier <B>'357</B> peut donc pivoter librement dans le sens contraire<B>à</B> celui des aiguilles d'une montre vers la position de la fig. 24, et il soulève l'ex trémité postérieure du curseur<B>223</B> vers une position dans laquelle il coopère avec le doigt <B>230</B> de la platine<B>231. A</B> la fin de ce cycle, <B>k</B> curseur<B>223</B> est ensuite poussé vers l'arrière pour actionner la touche<B>209</B> de la manière précédemment décrite, et pour ramener dun pas le cadre oscillant<B>32.</B> Ceci réduit le divi seur inscrit d'un facteur égal<B>à 10</B> et le pré pare pour les opérations suivantes.
Le recul du curseur<B>9-23</B> libère également la barre compteuse 242 qui revient ensuite<B>à</B> la posi tion la plus basse de la manière décrite pour les opérations de multiplication.
Pendant la dernière moitié de ce cycle correcteur, le totalisateur<B>61</B> repasse cette fois sur une valeur positive.<B>A</B> moins qu'il n'en soit empêché, ce dépassement positif sou lève la branche<B>375</B> du levier<B>372</B> au-dessus du doigt<B>373</B> du levier<B>350.</B> Si on permettait ce mouvement, le levier<B>350</B> pourrait ramener le levier<B>357 à</B> la position inactive et empêcher le fonctionnement du curseur<B>223.</B> Pour main tenir le levier<B>372 à</B> la position de blocage n avec le -doigt<B>373,</B> un verrou est prévu sur le levier<B>350</B> pour maintenir le levier<B>372</B> abaissé jusqu'à la fin du cycle en cours.
Ce verrou (fig. 24 et<B>27)</B> est constitué par une petite plaquette<B>376</B> articulée<B>à</B> la branche inférieure du levier<B>350.</B> Un ressort<B>377</B> solli cite la plaquette pour appliquer une languette inférieure contre le doigt<B>373.</B> La plaquette <B>376</B> présen te un talon latéral<B>378.</B> Pendant les cycles dans lesquels le levier<B>372</B> est soulevé, ce talon<B>378</B> vient buter contre la branche<B>375</B> du levier<B>372,</B> et la plaquette<B>376</B> oseille autourde son pivot.
Lorsque le levier<B>372</B> est abaissé pour buter contre le doigt<B>373,</B> le léger mouvement du levier<B>350</B> nécessaire au rattra page du jeu élève le talon<B>378</B> au-dessus de la branche<B>375</B> et maintient ainsi le levier<B>372</B> clans la position inférieure jusquà la fin du cycle, lorsque le levier<B>237</B> est complètement ramené<B>à</B> la position de départ.
<I>Deuxième chiffre du quotient.</I>
Le deuxième chiffre et les chiffres sui vants du quotient sontdéterminés de la même manière que le premier chiffre, quoique les diviseurs soient réduits d'un facteur égal<B>à 10</B> pour chaque chiffre consécutif du quotient.
<I>Arrêt automatique</I> de<I>la division.</I> (Fig. <B>11,</B> 14 et<B>28 à 31.)</B> La division est arrêtée de la même fanon que la multiplication, c'est-à-dire par le<B>dé-</B> gagement des berceaux<B>161</B> et<B>328</B> du verrou <B>166</B> (fig. <B>11</B> et 28). On doit rappeler que pour la multiplication, le verrou<B>166</B> est retiré pour permettre le retour du berceau<B>161</B> lors que la barre<B>à</B> caractères de la colonne infé rieure s'élève au-dessous de la position<B> 0 </B> et lorsque le curseur<B>157</B> recule.
Dans une divi sion, le curseur<B>157</B> n'est pas avancé vers la position de blocage, étant donné que cet avancement est effectué par un réglage du curseur-multiplicateur <B>110.</B> En conséquence, lorsque la barre<B>à</B> caractères<B>35</B> de la colonne des unités s'élève au-dessus de<B> 0 </B> dans une division, l'arbre<B>303</B> peut osciller librement et abaisser la bielle sur la trajectoire du doigt 314 du levier<B>315.</B> Cependant, la barre<B>à</B> caractères<B>35</B> de la colonne inférieure s'élève au-dessus de<B> 0 </B> dans -chaque cycle pendant le caleul du chif fre inférieur du quotient. Le retrait da ver rou<B>166</B> doit donc être différé jusqu5à ce que le chiffre du quotient ait été déterminé.
Ce chiffre du quotient est déterminé et imprimé pendant un cycle correcteur de rétro-addition, et le verrou<B>166</B> doit être retiré pendant ce cycle d'addition.<B>A</B> cet effet est prévu un verrou pour empêcher le fonctionnement du levier Ô15 (fig. <B>11,</B> 14 et<B>29 à 31)</B> jusqu'à ce que la machine exécute un cycle d'addition. Ce verrou est constitué par un levier<B>à</B> cro chet<B>380</B> articulé<B>à</B> la bielle coulissante<B>319</B> et rappelé par un ressort<B>381</B> pour engager son crochet sur le doigt<B>320</B> lorsqLie, le levier<B>315</B> est poussé vers la position avancée.
Lorsque le levier<B>380</B> est accroché au doigt<B>320,</B> le le vier<B>315</B> ne peut pas retourner<B>à</B> la position de départ après avoir été libéré par la, barre 48, et il ne peut pas actionner la bielle<B>312</B> par l'intermédiaire du doigt 314. Ainsi que le montrent les fig. <B>11</B> et<B>29 à 31,</B> le levier<B>à</B> cro chet<B>380</B> est commandé par un doigt<B>382</B> d'une platine<B>383</B> solidaire d'un tourillon<B>77.</B> Cette platine 3803 fait partie du méeanîsme dépla çant le totalisateur<B>61</B> entre les crémaillères d'addition<B>55,
</B> la position médiane de<B>dé-</B> brayage et les crémaillères de soustraction<B>56.</B> Lorsque la platine Ô83 occupe la position<B>de</B> soustraction (fig. <B>31) à</B> laquelle elle est ame née dans les cycles de division peu après le milieu du cycle, le doigt<B>382</B> est dégagé du levier<B>à</B> crochet<B>380</B> qui s#enga,-e sur le doigt <B>320,</B> empêchant le mouvement de retour du levier<B>315.
A</B> ce moment, la barre<B>à</B> caractères de la colonne inférieure a été élevée au-dessus de<B> 0 ,</B> et la bielle<B>312</B> est abaissée pour placer son extrémité<B>313 à</B> l'arrière du doigt 314 du levier<B>315.</B> Le totalisateur<B>61</B> et la pla tine<B>383</B> restent dans la position de soustrac tion jusqu'à ce que les barres<B>à</B> caractères<B>35</B> soient toutes revenues<B>à</B> la position la plus basse et élèvent la bielle<B>31.2 à</B> la position su périeure. Au cycle suivant, le totalisateur<B>61</B> revient<B>à</B> la position médiane (fig. <B>30)</B> au<B>dé-</B> but -de ce cycle, et le doigt<B>382</B> dégage le ver- "Ou<B>380</B> du doigt<B>320</B> pour permettre au le vier<B>315</B> de retourner.
Cependant, étant donné que les barres<B>à</B> caractères<B>35</B> n'ont pas en core été déplacées, la bielle<B>312</B> occupe la po sition supérieure et n'est pas actionnée.
Pendant le cycle<B>de</B> rétro-addition, le to- Ialisateur <B>61</B> et, la platine<B>383</B> viennent<B>à</B> la position d'addition que montre la fig. <B>29,</B> le doiat, <B>382</B> maintenant le levier<B>à,</B> crochet<B>380</B> dém-ac-é du doigt<B>320.</B>
Le, levier<B>315</B> est alors libre de retourner, étant donné que la barre 48 s#élève, et comme la bielle M est en même temps abaissée, celle-ci vient coopérer avec le doigt 314 pour être poussée vers l'arrière et libérer le verrou <B>166</B> des berceaux. Les berceaux<B>161</B> et<B>328</B> sont ainsi libérés et peuvent revenir<B>à</B> la po sition de départ, rappelant également la tou- elle clé division<B>325</B> et, permettant<B>à</B> la tringle d'accouplement<B>181</B> de retourner<B>à</B> la position d'arrêt<B>dit</B> cycle.
Le retour du berceau de multiplication pendant ce cycle embraye le mécanisme<B>de</B> rappel du cadre oscillant<B>32</B> et débraye le mécanisme de rétro-espacement de la touche<B>209,</B> de sorte que le diviseur précé- demment inscrit -est effacé. Tous les organes sont alors ramenés<B>à</B> la position de repos. <I>Mécanisme d'arrêt en cas d'erreur</I> (Fig. <B>11, 16 à 19</B> et 21.) Dans un problème de division, il peut arriver que le diviseur lie soit pas inscrit sur les broches<B>33</B> ou qu'il soit inscrit, mais lion pas convenablement. aligné avec la colonne la plus élevée du dividende.
Dans ces condi tions, il ne se produit aucun dépassement du totalisateur<B>61</B> pendant les dix premiers ey- eles. Le chiffre du quotient reste<B>à 9 </B> ou la machine continue de fonctionner indéfini ment. Pour empêcher<B>ce</B> fonctionnement<B>dé-</B> fectueux ou continu, un mécanisme est prévu pour l'arrêter lorsque la barre compteuse 242 s'élève au-dessus de<B> 9 </B> et pour imprimer ER qui constitue alors le signal d'erreur. Pendant les dix premiers cycles de division (fig. <B>16 à 19),</B> la barre compteuse 242 avance pas<B>à</B> pas pour présenter le caractère<B> 9 </B> aux marteaux d'impression.
Pendant le onzième cycle de division, la barre compteuse 242 s'élève au-delà de la position<B> 9 </B> pour pré senter le caractère ER au point d'impres sion. Un levier<B>386</B> (fig. <B>19),</B> maintenu par un ressort<B>387</B> en contact avec un doigt<B>388</B> de la barre compteuse 242, suit le mouvement de celle-ci jusqu'à ce que, pendant le passage de la barre compteuse 242 de<B> 9 à</B> ER , sa branche supérieure vienne heurter un talon <B>\89</B> du curseur<B>119</B> commandant l'impression, qui occupe<B>à</B> ce moment son extrême position <B>à</B> gauche;
lorsque le curseur<B>119</B> retourne<B>à</B> sa position<B>à</B> droite<B>à</B> la fin du cycle, l'extré mité<B>de</B> la branche supérieure du levier<B>386</B> se déplace dans le plan du talon<B>389</B> du cur seur<B>119.</B>
* A-Li début du cycle suivant, qui est le dou zième, le rouleau 240 de la platine 241 libère le levier<B>237,</B> mais ce levJer ne peut pas s'éle ver complètement pendant ce cycle, parce qu'il est bloqué.par <B>le</B> levier<B>386</B> par l'inter médiaire du curseur<B>119,</B> du levier<B>235</B> et de la bielle<B>239.</B> Le levier de soustraction<B>350</B> (îig. 20) est également bloqué par la bielle <B>239,</B> de sorte qu'il ne peut pas déplacer le cadre 104 vers la position de soustraction. Ce douzième cycle devient ainsi un cycle d'addi tion.
Les leviers<B>235, 237</B> et<B>350</B> peuvent exé cuter un léger mouvement grâce au faible jeu prévu centre le levier<B>386</B> et le talon<B>389</B> du curseur<B>119</B> (fig. 21). Ce mouvement du le vier<B>235</B> libère la languette<B>282</B> du curseur <B>276,</B> clé sorte que le levier<B>250</B> est actionné pour actionner<B>à</B> son tour le cliquet d'avance ment<B>283</B> de la barre eomptease. Lorsque la barre compteuse 242 occupe la position ER.
, telle que la mohtre la fig. <B>18,</B> son extrémité inférieure est placée au-dessus du cliquet dîvancement <B>283,</B> et celui-ci recule sous cette extrémité pour s'engager sur un épaulement <B>390</B> du curseur des erreurs<B>391</B> (fig. <B>Il.).</B> Ce curseur coulisse par son extrémité supérieure sur un doigt fixe<B>392,</B> tandis que son extré mité inférieure est articulée<B>-à</B> un levier<B>302</B> -de l'arbre<B>303.</B>
Lorsque le eliquet d'avancement<B>283</B> de la barre compteuse est actionné pendant le dou zième cycle, il passe sous l'extrémité infé- rieure de la barre 242. Etant donné que cette extrémité est taillée en rampe inclinée vers Farrière, le cliquet <B>283</B> ne produit aucun<B>dé-</B> placement de la barre 242,
mais le curseur des erreurs<B>391</B> est élevé par la coopération du cliquet<B>283</B> avec son épaulement<B>390.</B> Ce mouvement du curseur<B>391</B> est transmis<B>à</B> l'arbre<B>303</B> qui oseille dans le sens contraire <B>à</B> celui des aiguilles d'une montre et abaisse le levier Ô12 de la manière précédemment<B>dé-</B> crite.
On doit noter que, grâce au ressort Ô08 intercalé entre l'arbre<B>303</B> et le levier<B>305,</B> cet arbre<B>30â</B> peut être entraîné par le curseur des erreurs<B>391,</B> même si la barre<B>à</B> caractè res 35 de la colonne des unités a été arrêtée<B>à</B> la position<B> 0 .</B> De même, l'arbre<B>303</B> peut être entraîné par le curseur<B>391</B> si le curseur <B>157</B> a été avancé pour placer son cliquet<B>300</B> sur le talon<B>301</B> du levier â02 solidaire de l'arbre<B>303,</B> étant donné que le cliquet <B>300</B> est maintenu élastiquement, dans sa position d'obstruction par un ressort<B>392.</B> intercalé entre ce cliquet et le curseur<B>157.</B>
Le mouvement de pivotement de l'arbre <B>303</B> abaisse le talon Ô13 de la bielle<B>312</B> sur la trajectoire du doigt 314 du levier<B>315</B> ffig. <B>11).</B> Etant -donné que ce douzième cycle est un cycle d'addition par suite du blocage dLi levier<B>350,</B> le levier<B>315</B> peut retourner librement lorsque la barre 48 s'élève dans la deuxième moitié du cycle et actionne la bielle <B>312</B> pour libérer les berceaux de multiplica tion et de division<B>161</B> et<B>328.</B> Ces berceaux libérés<B>à</B> :
ce moment amorcent le retour de la machine<B>à</B> l'état de repos, et les cycles du fonctionnement s'achèvent de la manière pré cédemment décrite dans le chapitre Arrêt automatique de la division .
Multiplicaiion ou<I>division prolongée.</I> (Fig. <B>1,</B> 2,<B>11</B> et 14.) Dans certaines opérations de multiplica tion ou de division, il se peut qu'on désire utiliser un multiplicateur plus grand ou obte nir un nombre plus élevé de chiffres du quo tient que le mécanisme décrit jusqu'ici n'est capable dutiliser ou de calculer avant l'inter vention des organes d'arrêt automatique et la présentation des valeurs. Une touche de pro longation<B>395</B> (fig. <B>1,</B> 2,<B>8</B> et 14.) est prévue<B>à</B> cet effet pour différer l'entrée en action du mécanisme d'arrêt automatique jusqu'à l'ex trême limite possible.
Une caractéristique commune aux méca nismes d'arrêt pour la multiplication, la di vision et les erreurs consiste en ce que l'ar bre<B>303</B> (fig. 14) tourne dans le sens des aiguilles d'une montre pour abaisser la bielle <B>312.</B> Chacun des éléments faisant pivoter l'ar bre<B>303</B> est rappelé par Lin ressort. Le ressort 304 est prévu pour la multiplication et la di- V; ,sion et pour l'avancement de la barre conip- teuse, le ressort<B>277</B> étant prévu pour les erreurs.
Pour cette raison, si l'arbre<B>303</B> est verrouillé positivement dans la position de re pos, ses ressorts refusent simplement d'action ner cet arbre 30Ô et il n*eil résulte aucun dom mage. De même, étant donné que l'arbre<B>303</B> ne pivote pas, les berceaux de multiplication et de division<B>161</B> et<B>328</B> ne sont pas libérés, lInscription n'est pas effacée et, d'une ma nière générale, la machine reste dans le même état que pendant le fonctionnement normal et non pas comme en un point d'arrêt automa tique.
La touche de prolongation<B>395</B> (fig. <B>8</B> et 14) est reliée par un levier coudé<B>396</B> et -une bielle<B>397 à</B> un levier de blocace <B>398</B> pour l'arbre<B>303.</B> Le levier de blocage<B>398</B> est rap pelé par Lin ressort Ô99 vers une position su périeure inactive et maintient la touche<B>395</B> dans la position abaissée. L#extrémité posté- rienre du levier de blocage<B>398</B> est conformée en crochet.
Lorsqu'il est abaissé par la touche <B>Ô95,</B> il s'engage sur un doigt 400 d'un levier 401 fixé<B>à</B> l'extrémité de droite de l'arbre<B>303</B> (voir également fig. <B>11).</B> Ceci retarde Varrêt automatique de la machine sous la commande de l'arbre<B>3033</B> jusqu'à ce que la touche<B>395</B> et le levier<B>398</B> soient ramenés<B>à</B> la position de repos.
La touche<B>395</B> et le levier de bloeage <B>398</B> sont maintenus dans la position abaissée par un cliquet <B>à</B> encoche 402 rappelé par un res sort 403 sur un doigt 404 d'un bras 405 soli daire du levier de blocage<B>398.</B> Le cliquet 402 est<U>dégagé</U> du doigt 404 pour permettre au ressort<B>399</B> de rappeler la touche<B>395</B> et le le vier de blocage<B>398 à</B> la position inactive par -Lin levier de dégagement 406 (fig. <B>8),
</B> qui est actionné pour libérer le eliquet 402 lorsque le cadre oscillant â2 est rétro-espacé en partant de la colonne des dizaines vers la colonne des unités par l'intervention automatique de la touche de rétro-espacement <B>209</B> de la manière précédemment décrite. En conséquence, pour les opérations de multiplication ou de division prolongées, la touche<B>325</B> est libérée lorsque le cadre oscillant<B>32</B> est ramené<B>à.</B> la colonne la plus basse.
Cependant, étant donné que ce rétro-espacement a lieu<B>à</B> la fin du cycle, l'arbre î)03 est maintenu dans la position nor- niale par la barre<B>à</B> caractères<B>35</B> de la co lonne des unités, et les berceaux<B>161</B> et Ô28 ne sont pas libérés.<B>A</B> la fin du cycle suivant, l'arbre<B>303</B> est dégagé du levier de blocage 39Lq. La barre<B>à</B> caractères de la colonne des Liiiités devant s'élever dans cette opération, le dégagement automatique des berceaux<B>161</B> et<B>328</B> a.
lieu de la manière précédemment<B>dé-</B> crite pour arrêter le fonctionnement de la ma chine et pour effacer les valeurs inscrites.
Il convient de noter que, pour la multipli cation ou la. division prolongée, et lorsque le cadre oscillant<B>32</B> est ramené en arrière, le multiplicande ou le diviseur est réduit d'un facteur égal<B>à 10.</B> Etant donné qu'il n'existe pas de colonnes pour les fractions ou déci males sur les broches<B>33</B> ni sur les barres î>, caractères<B>35,</B> les chiffres des colonnes les plus basses de ces facteurs sont successive ment, éliminés. Par exemple, en supposant que le multiplicande ou diviseur initial soit le nombre<B>4678900000,</B> les nombres successifs ré sultant des opérations de rétro-espacement se ront<B>467890000, 46789000, 4678900, 467890,</B> <B>46789,</B> 4678. 467, 46 et finalement 4.
Comme ce-, quatre derniers facteurs diffèrent de ceux qui ont été initialement inserits sur les bro ches<B>33,</B> le produit ou le quotient et<B>le</B> reste peuvent devenir inexacts pour certains pro blèmes. Toutefois, cette inexactitude est en<B>gé-</B> néral tellement, faible qu'elle peut être négli- née, et la réponse prolongée sera correcte pour un nombre plus grand de chiffres que la ré ponse qu'on peut obtenir sans prolongation.
<I>Quotient prolongé</I> prédéterminé. (Fig. <B>11,</B> 12, 14 et<B>28.)</B> La machine -décrite est également capable de fonctionner pour prolonger un quotient dans un problème de division jusqu'à un nom bre prédéterminé de chiffres supérieur au nombre obtenui sans prolongation, mais infé rieur<B>à</B> la capacité de la machine. Pour ce mode de fonctionnement, le curseur-multipli- cateur <B>110</B> est placé sur un chiffre représen tant le nombre des chiffres désirés du quo tient.
Dans la description de la multiplication, il a été ihdiqué que, lorsque le curseur<B>157</B> (Tig. 12) est avancé pendant la mise -en place du curseur<B>110,</B> son cliquet<B>300</B> s'engage sur la trajectoire du levier<B>302</B> de l'arbre<B>303</B> pour empêcher l'arrêt automatique de la ma chine. Ce fonctionnement est utilisé dans une division pour la prolonger jusqu'à la fin du calcul d'un nombre prédéterminé de chiffres du quotient. Avant la mise en marche pour la division, le curseur<B>110</B> est placé<B>à</B> l'aide <B>de</B> la manette<B>109</B> sur le nombre représentant le nombre de chiffres désiré du quotient.
Dans cette position<B>du</B> curseur<B>110,</B> le eliquet <B>300</B> du curseur<B>157</B> empêche le pivotement de l'ar bre<B>303</B> pour arrêter la division au point usuel, mais non pas si une erreur a été 'coin- mise.
Le curseur-multiplicateur est ramené deun pas vers le<B> 0 </B> au moment de l'impression de chaque chiffre du quotient. Le cliquet d'avan cement<B>268</B> du curseur<B>110</B> est normalement débrayé par la branche 174 de l'étiier <B>173,</B> et il est embrayé par la touche de division<B>325</B> (fi o,. <B>28)</B> lorsque cette touche est abaissée.
Un doigt 407 de cette touche<B>39-5</B> coopère alors avec la branche de droite<B>172</B> de l'étrier<B>173</B> et déplace cette branche suffisamment pour abaisser l'épaulement<B>175</B> de la branche 174 au-dessous de la trajectoire du doigt<B>176,</B> mais insuffisamment pour permettre<B>à</B> la branche 174 d'être verrouillée vers le bas.
Le cliquet d'avancement<B>268</B> est alors libre d'in tervenir<B>à</B> chaque cycle de la machine pour ramener le curseur-multiplicateur <B>110</B> dlin Pas vers la position 0 . Cependant, dans ce mode de fonctionnement, le cliquet <B>268</B> est verrouillé dans sa position de repos par Lin deuxième verrou 408 (fig. 28') qui s'abaisse devant le doigt<B>176 à</B> chaque division soit-- tractive de la machine.
Le verrou 408 est relié<B>à</B> un levier trans versal 409 disposé<B>à</B> l'avant de la machine et présentant une branche descendante 410 pla cée devant une languette 411 d'un curseur 412. Ce curseur -112 est relié (fig. 14)<B>à</B> la branche inférieure du levier<B>350,</B> et il est avancé chaque fois que le levier<B>350</B> pivote pour déplacer le cadre 104 dans la direction de l'engrènement du totalisateur<B>61</B> pour la soustraction.
Ce mouvement du curseur 412 fait pivoter le levier 409, qui fait<B>à</B> son tour pivoter le levier 408 (fig. <B>28)</B> vers la posi tion de blocage par rapport au doigt<B>176</B> dit mécanisme de commande du curseur<B>110.</B> Lorsque le levier<B>350</B> est empêché de pivoter pendant un cycle correcteur<B>à</B> rétro-addition, dans lequel le chiffre du quotient est imprimé de la manière précédemment décrite, le levier 408 n'est pas déplacé et le cliquet d'entraîne ment<B>268</B> est libre pour ramener d'un pas le curseur<B>110.</B>
Ce mouvement -du curseur<B>110</B> a lie-Li pen dant la première moitié du cycle de rétro- addition. En conséquence, lorsque le curseur est amené<B>à</B> la position<B> 0 </B> dans le cycle de rétro-addition pour le dernier chiffre désiré du quotient, il fait reculer le curseur<B>157</B> (fig. 12)
pour libérer l'arbre<B>'003</B> et pour per mettre l'arrêt automatique de la division et l'effacement du divisear dans la dernière moitié de ce cycle de rétro-addition. Le le vier<B>156</B> n'intervient pas pour empêcher le recul du curseur<B>157</B> lorsque, le curseur<B>110</B> recule vers la position<B> 0 </B> comme dans le cas d'une multiplicatioln, étant. donné que le levier 1,56 n'est libéré dans sa position de blocage que par la touche de multiplication<B>160</B> et non pas par la touche de division<B>Ô25.</B>
En résumé, la mise en place dit curseur- multiplicateur <B>110</B> sur une position avancée débraye donc les organes d'arrêt automatique de la machine jusqu'à ce que le curseur<B>110</B> soit revenu<B>à 0 </B> d'un pas<B>à</B> la fois pour cha que chiffre du quotient.
<I>Prise automatique</I> d'iut <I>total.</I> (Fig. <B>1,</B> 2,<B>6</B> et<B>7.)</B> Si on le désire, la machine décrite petit âtre conditionnée pour la prise d'un total<B>à</B> la fin d'une multiplication ou d'une division, en vue de l'impression du produit ou du reste et de la remise<B>à</B> zéro du totalisateur<B>61.</B> Ce mécanisme est commandé par un levier de to tal 415 (fig. <B>1,</B> 2 et<B>7)</B> qui petit pivoter vers deux positions sur un tourillon 419 et qui est maintenu dans chaque position par un eliquet 416 appliqué sur un doigt 417 du levier de total 415 par un ressort 418.
Dans sa position postérieure, dans le sens des aiguilles dune montre, le levier 415 coopère par sa branche -120 avec Lin doigt 421 d'une bielle 422 (voir aussi fig. <B>6)</B> pour pousser celle-ci légèrement vers l'avant de la machine.
Dans cette posi tion de la bielle 422, une platine 423 articulée <B>à,</B> cette bielle en 424, et sollicitée par un ressort 425 dans le sens contraire<B>à</B> celui des aiguilles d'une montre, ne petit pas se dépla- eer dans ce sens pour engager son gradin 426 sous un doigt 4.27 dit berceau de multipliea- tion <B>161</B> lorsque celui-ci est placé dans la po sition de travail. Lorsque le levier 415 est<B>dé-</B> placé vers la. position antérieure et grâce<B>à</B> l'inclinaison du ressort 438 accroché<B>à</B> la bielle 422, celle-ci recule légèrement.
Lorsque le doigt 427 est élevé par la mise en place du berceau<B>161,</B> la platine 4233 peut se déplacer dans le sens contraire<B>à</B> celui des aiguilles d'une montre pour amener le gradin 426 sous Zn le doigt 427.
Le levier 415 étant amené<B>à</B> la position antérieure et le. ---radin 426 étant placé sous le doigt 427 par la mise en place du berceau<B>161,</B> les organes restent dans cette position jus- qu'a.-Li dernier cycle de multiplication ou de division. Pendant ce dernier cycle, le berceau <B>161</B> est libéré pour être ramené<B>à</B> la position de départ par son ressort<B>161(t.</B> Pendant ce retour, le doigt 427 tire la platine, 4213 et la bielle 422 vers le bas pour placer l'extrémité postérieure en crochet de cette bielle sur la trajectoire dun doigt 428 de la platine 234 solidaire de l'arbre principal<B>96.</B> Vers la fin de ce cycle, qui est le dernier cycle de calcul,.
ainsi qu'il a été indiqué précédemment,, le doig,t 428 coopère avec la bielle 422 et la pousse vers Parrière. La bielle 422 est arti culée par son extrémité antérieure<B>à</B> un levier 4219 artieulé sur un tourillon 430.
L'autre branche. du levier 429 est reliée par un ressort puissant 431<B>à</B> une branche d'un étrier 432, dont une, autre branche est superposée<B>à</B> un doigt 433 de la touche de non-addition <B>99.</B> Un mouvement tic recul de la bielle 422, entraîné par Parbre. principal<B>96</B> de la manière<B>qui</B> vient d'être décrite, intervient pour abaisser la touelie de non-addition <B>99.</B> Si aucun nom bre n'est inscrit sur les broches<B>33,</B> cet abaisse ment de la touche<B>99</B> amorce une opération de prise de total en deLix cycles continus.
La pla tine 423 est libérée du doigt<B>-127</B> dans le pre- niier <B>de</B> ces cycles par un bec 434 de la pla- fine 234 venant buter sur un talon 435 de la platine 423, pour faire pivoter celle-ci suffi samment pour retirer le gradin 426 du des- Nous du doigt 427 et pour permettre au res sort 438 de rappeler la bielle 422<B>à</B> sa posi tion supérieure.
Le berceau de multiplication<B>161</B> est tou- .jours mis en place pour une opération de mul- liplieation ou de division, et il est ramené au point de départ dans le dernier cycle de cette opération. Lorsque le levier 41.5 occupe sa position avancée, ce retour du berceau<B>161</B> abaisse, la bielle 422 et permet la prise auto matique -d'un total après le dernier cycle de l'opération de calcul. Dans ces conditions, la machine, est automatiquement remise<B>à</B> zéro, landis que tous les facteurs de calcul sont imprimés, tous les organes étant en position <B>C</B> (1-attente pour une autre opération de calcul.
<I>Arrêt</I> wianuel <I>des opérations</I> (Fig. <B>1,</B> 2,<B>8, 11</B> et<B>13.)</B> On désire parfois arrêter une opération de multiplication ou de division avant le point d'arrêt automatique.<B>A</B> cet effet est prévue une touche d'arrêt 440. Cette touche (fig. <B>1,</B> 2,<B>8,</B> 13) coulisse sur -Lm doigt 441 du bâti, et elle est rappelée de bas en haut par un res sort 442. Lorsque la touche est abaissée, une encoche 443 pratiquée dans sa partie supé rieure est placée en regard d'une glissière 444.
L'agencement est tel qu'un mouvement de recul de la touche 440 engage l'encoche 443 sur le bord de la glissière 444 qui la maintient ainsi abaissée. Un doigt 4-15 est engagé dans une coulisse 4-16 d'un levier 447. L'abaisse ment de la touche 440 fait pivoter le levier 4.47 dans le sens contraire<B>à</B> celui des aiguilles d'une montre.
L'extrémité postérieure du le vier 447 est superposée<B>à</B> Fextrémité d'un le vier 448 orienté transversalement dans la ma chine, pour placer l'autre extrémité sous la branche du verrou 402 de la touche de prolon gation<B>395.</B> La man#uvre de la tonched'arrêt 4-10 libère ainsi<B>la</B> touche de prolongation<B>395</B> si elle est abaissée et annule le blocage éven- tu.el de l'arbre<B>303</B> prévu pour l'arrêt auto matique.
L'extrémité antérieure du levier 447 est normalement placée<B>à</B> l'arrière d'un doigt 449 du levier<B>151</B> pour empêcher le pivotement de eelai-ci au-delà de sa position médiane. L'abaissement de la touche 440 annule ce blo cage du levier<B>151</B> et, lui permet de pivoter jusqu'au bout de sa course.
Le levier<B>151</B> (fig. <B>11)</B> fait partie dun dispositif d'arrêt des chiffres du multiplicateur, et il est relié au curseur<B>157.</B> L'extrémité postérieure de ce curseur est normalement appliquée contre un doigt 450 du levier<B>302</B> solidaire de l'arbre <B>303,</B> lorsque le curseur-multiplicateur <B>110</B> occupe la position<B> 0 .</B> Dans les opérations de multiplication, un déplacement du curseur <B>110</B> vers sa position subnormale déplace égale ment le levier 148. Mais, étant donné que.le doigt 449 du levier<B>151</B> est bloqué par le le vier 447, le levier<B>151</B> ne se déplace pas et le ressort<B>150</B> cède.
Au contraire, si la touche d'arrêt 440 est abaissée, le levier<B>151</B> peut se déplacer librement lorsque le curseur<B>110</B> est amené<B>à</B> la position subnormale. <B>E</B> entraîne alors le curseur<B>157</B> vers l'arrière pour le faire ,on<B>à</B> faire coopérer avec le -doigt 450, de faq pivoter l'arbre<B>303</B> pour amorcer une opéra- tion d'arrêt automatique de la manière pré cédemment décrite.
Grâce<B>à</B> l'allongement du ressort entre l'arbre 30Ô et le levier Ô05 com mandé par les barres<B>à</B> caractères, la pré sence d7un <B> 0 </B> sur la barre<B>à</B> caractères<B>35</B> de la colonne la plus basse est inessentielle <B>à</B> ce moment, le ressort<B>150</B> étant assez puissant pour vaincre cette résistance.
Ainsi qu'il a été indiqué dans la descrip tion de la multiplication, le curseur<B>110</B> est amené<B>à</B> la position sulmormale dans le der nier cycle de calcul avec un chiffre quelcon que du multiplicateur. Dans le chapitre Quo tient prolongé prédéterminé , il a également été indiqué que le cliquet d'entraînement<B>268</B> du curseur-multiplicateur peut librement pousser ce curseur dans un cycle correcteur de rétro-addition quelconque.
Ce déplacement du curseur<B>110</B> a lieui pendant les opérations de division normale ou prolongée en partant de la position<B> 0 </B> vers la position subnormale. En conséquence, après la détermination d'un chiffre quelconque du quotient, ou après le dernier cycle pour un chiffre quelconque du multiplicateur, l'abaissement. de la touche 440 peut faire recaler le curseur<B>157</B> pour<B>dé-</B> clencher un arrêt automatique de la machine. Cette touche d'arrêt 440 n'intervient pas lors que la machine est réglée sur un nombre pré déterminé de chiffres du quotient, parce que le curseur<B>110</B> n'occupe alors pas sa position <B> 0</B> .
<I>Dégagement manuel des berceaux.</I> (Fig. 5.) S'il est. nécessaire d'effectuer une eorrec- tion en -un point quelconque après la mise en place des berceaux de multiplication ou de di vision, par exemple si une des touches<B>160</B> et <B>325</B> pour la multiplication ou la division est man#uvrée alors que la machine est débran chée, le verrou de ces berceaux peut être escamoté<B>à</B> l'aide d'une touche de correction 451.
Cette touche, dont la fonction normale est de ramener le cadre oscillant<B>32 à</B> la posi tion de départ pour effacer un nombre incor- iectement inscrit, est munie d'une rampe 452 (fig. <B>5)</B> qui intervient pendant l'abaissement de la touche 451 pour faire pivoter un étrier 453 portant un doigt 4.54 coopérant avec la tranche de la rampe 452. L'extrémité de droite de cet étrier 453 présente un doigt superposé au verrou<B>166</B> des berceaux de multiplication et de division<B>161</B> et<B>328.</B> Par l'intermédiaire de l'étrier 453, l'abaissement de la touche 451 abaisse donc également le verrou<B>166</B> pour li bérer les berceaux s'ils ont été mis en place par erreur.
<I>Impression de la virgule décimale.</I> (Fig. <B>3</B> et<B>10.)</B> Une touche spéciale 455a est prévue poLir l'impression d'une virgule décimale entre les chiffres du multiplieateur ou du quotient.
Tous les facteurs ayant été calculés, et la ma chine étant remise<B>à</B> zéro, on fait tourner le evlindre de frappe 52 pour amener la vire gtile décimale des chiffres du multiplicateur ou du quotient au point d'impression, et on manceu- ##re la touche décimale, 455a,. Cette touche (fi-.<B>10)
</B> est articulée sur un tourillon 456 et Zn comporte -une branche supérieure qui, lorsque la touche 455a est abaissée, est amenée en re gard dun talon 457 d'un levier 458 comman dant le marteau 54 de la barre compteLise. <B>Il</B> convient (le rappeler que la barre compteuse 242 présente un caractère<B>37</B> au point dIm- pression lorsque cette barre occupe sa posi tion la plus basse. Ce caractère<B>37,</B> représen tant généralement le signe<B> - ,</B> est utilisé comme indicateur de la virgule décimale.
Ainsi que le montre la fi-.<B>3,</B> le levier 458 est normalement déoagé d'un doigt 459 du mar teau d'impression 54. Lorsqu'il pivote dans le sens contraire<B>à</B> celui des aiguilles d'une mon tre (fig. <B>3),</B> le levier 458 coopère avec le doigt 459 et empêche le mouvement d'impression des marteaux 54 lorsque ceux-ci sont libérés. lia branche supérieure de la touche décimale 455a empêche, lorsque la touche est abaissée, la descente du levier 458 et permet le dégage- rnent du marteau 54 aLi moment usuel peu- dant le cycle.
Une autre branche 460 de la touche 455a es,t orientée vers l'arrière et coopère avec -une branche d'un étrier 461 (fig. <B>10)</B> dont la bran che opposée est engagée sous un talon de la #7I <B>c</B> bielle 4622, qui est la bielle clé commande du dispositif d'accouplement, de sorte que la ma- n#uvre de la touche 455a déclenche un cycle de la machine. Ce cycle étant un cycle normal d'addition, aucun nombre ne doit être inscrit sur les broches<B>33</B> pour être enregistré dans le totalisateur<B>61.</B>
La touche 455a est verrouillée dans sa po- ition inférieure jusqu'à la fin de l'impres sion de la virgule décimale par une platine 463 (fig% <B>10)</B> coulissant sur deux doigts fixes 464 et présentant -un talon 465 qui s'engage sur un doigt<B>-166</B> de la touche décimale 455a lorsque celle-ci est abaissée. Un ressort 467 intercalé entre la touche 455 et la platine de verrouillage 46â sollicite celle-ci vers la posi- lion clé verrouillage, la touche 455a étant elle- même rappelée<B>à</B> la position normale par un ressort 470.
L'extrémité postérieure de la pla tine 463 porte un clique 468 sollicité par un. ressort dans le sens contraire<B>à</B> celui des oiguilles d'une montre, sur un doigt 469 soli- claire de la platine 463. Pendant la, première moitié -du cycle, une platine 471 faisant partie du mécanisme de rappel des marteaux d'im pression et actionnée par la platine<B>126</B> de l'arbre<B>96</B> passe en regard de l'extrémité de la platine 463 et fait pivoter le cliquet 468.
Pen dant la course de retour de la platine 471, celle-ci coopère avec le cliquet 468 pour faire a,vancer la platine 4,63 et pour libérer la tou- elle décimale 455a qui retourne alors<B>à</B> la posi tion normale.
Non-turegistrement <I>par blocage des touches.</I> (Fig. 4 et<B>10.)</B> Un verrou est prévu pour les touches de multiplication et de division<B>160</B> et<B>325,</B> pour cilipêeher la manceuvre de ces touches si au cun nombre n'a été inscrit sur les broches<B>33.</B> Le fonctionnement de la machine sans aucun nombre inscrit sur les broches est normale ment une opérationde prise dun sous-total ou d'un total et se traduirait par une détériora tion, si cette opération avait lieu après le ré- ,,
Ia-e des commandes<B>de</B> multiplication ou de <B>1 1</B> division. Un verrou 475 (fig. 4) est solidaire d'un arbre 476. Si aucun nombre n'est inscrit et si le cadre oscillant<B>32</B> occupe la position de départ, ce verrou est placé sur une bran- ched'un levier<B>163</B> relié au berceau de multi plication<B>161.</B> Ce verrou empêche le pivote- nient du levier<B>163</B> et bloque ainsi les touches <B>160</B> et<B>325</B> qui font pivoter<B>le</B> levier<B>1.63</B> lors qu'elles sont abaissées.
Un levier<B>477</B> (fig. <B>1.0)</B> fixé<B>à</B> l'autre extrémité de l'arbre 476 est solli cité vers l'arrière- par un ressort<B>478</B> pour écarter le verrou 475 du levier<B>163. Il</B> coopère avec le talon<B>195</B> du curseur 194 relié au ca dre oscillant<B>32</B> et occupe sa position alité- rieure tant qu'aucun nombre n'est inscrit sur les broches<B>33.</B> Dès qu'une touche numérique est abaissée pour déplacer le cadre oscillant <B>32,</B> le curseur 194 recule pour libérer le levier <B>477</B> et pour permettre au ressort 478 de<B>dé-</B> placer le verrou 475 vers une, position inac tive dans laquelle il libère les touches<B>160</B> et <B>325.</B>
<I>Impression de symboles.</I> (Fig. <B>3,</B> 4 et<B>6.)</B> Une barre<B>à</B> caractères<B>35</B> (fig. 4) destinée <B>à</B> l'impression de symboles et similaire aux barres<B>à</B> caractères usuelles est prévue pour indiquer l'opération effectuée.
Cette barre<B>35</B> présente quatre caractères<B>à</B> symboles<B> </B> c<B> ,</B> X ,<B> - </B> et CR . Pendant les cycles d'ad dition, cette barre<B>35</B> s'élève jusqu'à ce qu'un talon 480 de son extrémité inférieure vienne buter contre une branche 481 descendant du levier de, soustraction<B>78.</B> Cette branche 481 est articulée au levier<B>78</B> et rappelée par un ressort 483 vers la position que montre la fig. 4, dans laquelle elle est appliquée contre un doigt 482 du levier<B>78.</B> Dans cette posi tion de la barre<B>35,</B> le caractère le plus élevé est placé en regard -du point d'impression, mais la barre n'est pas assez élevée pour blo quer le levier 458 (fig. <B>3)
</B> du marteau d'im pression 54 correspondant. En conséquence, ,aucun symbole n'est imprimé.
Dans les opérations de non-a#ddition et de prise d'un total, l'abaissement de la touche<B>99</B> déplace par les organes usuels un levier 484 (fig. <B>6)</B> pour l'amener sous un doigt 485 du levier des symboles 458, comme dans le cas de la touche décimale 455, pour empêcher la descente du levier 458 et pour permettre au marteau 54 de fonctionner. Il en résulte l'im pression du symbole<B> </B> ci<B> </B> pour indiquer une opération de non-addition ou de prise dlin total.
Lorsque le berceau de multiplication<B>161</B> occupe sa position de travail, un levier 486 (fig. 4) articulé a-Li tourillon<B>165</B> et relié<B>à</B> une bielle<B>487</B> peut s'abaisser librement. Un ressort<B>488</B> accroché<B>à</B> la bielle<B>487</B> la fait re culer lorsque le tourillon<B>165</B> est écarté du levier 486 et fait pivoter la branche 481 pour l'écarter du talon 480 de la barre<B>à</B> symboles )5. Le talon 480 s#élève alors pendant le cy cle pour venir buter contre un épaulement 489 duturseur <B>81</B> et pour placer le caractère du symbole X en regard du point d'impres sion.
Ce symbole destiné<B>à</B> la multiplication est imprimé -dans chacune des opérations con sécutives aussi longtemps que le berceau<B>161</B> occupe sa position de travail.
Lorsque le berceau de division<B>328</B> est mis en place avec le berceaude multiplication<B>161,</B> le doigt<B>329</B> du berceau<B>328</B> se place sous le levier 486 pour le maintenir<B>à</B> la position nor male de facon que la barre<B>à</B> symboles<B>35</B> reste dans la position la plus basse. Cette po sition est la même que pour une opération d'addition. Etant donné que l'impression a lieu dans un cycle de rétro-ad-dition, aucun symbole n'est donc imprimé pour les opéra tions de division.
Le curseur<B>81</B> est le curseur d'inscription pour la soustraction. Lorsqu'il est déplacé vers la droite de la fig. 4, il conditionne la machine pour la soustraction. Dans cette posi tion<B>à</B> droite, la branche 481 et l'épaulement 489 sont<B>à</B> droite de la trajectoire du talon 480 et de la barre<B>à</B> symboles<B>35</B> jusqu'à ce <U>que</U> le talon 480 vienne buter contre l'extré- mité antérieure du curseur<B>81,</B> ce qui place le caractère CR, en regard du point d'impres sion.
Etant donné que le curseur<B>81</B> se déplace vers la droite pendant les opérations de tota lisation négative, ce symbole est utilisé pour indiquer ces opérations de totalisation néga tive. Le curseur<B>81</B> se -déplace également vers la droite pour les opérations de soustraction. <B>A</B> moins qu#elle n'en soit empêchée, la barre<B>à</B> caractères des symboles<B>35</B> s'élève pour impri mer CR pour les opérations de soustraction.
Pour arrêter la, barre<B>à</B> symboles<B>35 à</B> la troi sième position, c'est-à-dire<B>à</B> la position<B> - ,</B> un bras descendant 490 (fi-.<B>10)</B> est articule au bâti principal.<B>Il</B> est normalement placé pour coopérer avec le talon 480 et pour arrê ter la barre<B>35 à</B> la position<B> - </B> pour indi quer les opérations de soustraction. Un abais sement de la touche<B>99</B> de non-addition de la manière précédemment décrite, fait passer le levier 484 sous le doigt 485 du levier 458 com mandant l'impression. Une bielle 491 interea- lée entre le levier 484 et le levier 490 fait avancer celai-ci vers la position antérieure pour l'écarter du talon 480 lorsque la touche <B>99</B> est abaissée.
Si le curseur<B>81</B> est déplacé vers l'arrière pour commander une opération de totalisation négative, le talon 480 n'est pas <B>.</B> iirrê -té tant que le caractère CR n'est pas placé au point d1mpression.