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"Procédé et dispositif de traitement de fils".
La présente invention a trait à un procédé et a un dispositif de traitement de fils en écheveaux.
Un but spécial de l'invention consiste à proposer un procédé et un dispositif de traitement de fils en écheveaux où toutes les opérations où il est fait usage de l'eau peuvent être effectuées automatiquement et continûment;, sans limitation du volume ou du poids, une surface constante du bain étant en
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contact avec 1 :: ,aére ou un milieu ambiant hermétiement
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;Clos, la relation entre le volume du liquide et le po1d de la matière pouvant etre reliée à volonté, tout ce en un temps de traitement mininua. et avec une grande économie de produite, da combustible et ce main-d'oeuvre.
L'invention procure de préférence un agencement per- fectionné de fils en écheveaux au cours de leur traitement et de leur transport.
Fondamentalement, du fait que le traitement des file en écheveaux constitue le cas le plue important, c'est aux fils en écheveaux qu'il est fait référence dans la présente
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iptian, toutefois, l'invention ne s'y limite nullement. ,Le prpcëdé selon la présente invention, par comparai... son avec les procédés actuellement mis en oeuvre, permet une économie dans des cas déterminas, allant jusqu'à 70% de main-
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a.-J çïe4v*e 'e, une économie des matières premières et des combus- tdb4 à-,dé µ0, la matière;, étant traitée avec une pénétration et etuhlr.omité supérieures et le produit obtenu étant de plus haute qualité.
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En outre, les procédés employés présentement requis- rent u94 : ine distincte pour chacune des opérations effec- tuées s- r 1p matière, et, en plus de la fonction spécifique de chaque 11',,;I.{Ü;Í1B gaur chaque opération, elle est limitée quant à la e,..aaà té sott en poids, soit en volume. Dans la forme de la -.c.g :;..¯ la présente invention, il n'y a pratiquement
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p1, ï- liai te à ]", ,-.1.1.untité de matière à traiter en une seule t/<#tic.n et quasi tous les traitements peuvent être effectuât - #<--.; seule machine, avec ses accessoires correspondants.
Si l'on envisage uniquement les frais d'installation, t citer les avantages suivants as .n:n pratiquer une seule machine pourvue des Moet"' .#?;- r'3¯"'''''qf.:pundants, permet d'effectuer la quasi totalité ? ':J;<;'),QiJJ; ;l'quiaes par la matière.
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b) L'espace requis dans l'usine poy >.¯.. ¯ i2 de l'appareil servant à la mise en orer 4 ¯ ¯ ::. procédé perfectionné est uniquement fonction des lote =3 !.ilt...tière à traiter et non de la machine même. c) Pour Une même production, l'ins allation selon là présente invention coûte moins que celles q- sont présente.. ment en service.
Avec les appareils utilisés jusque, présent, les opérations consistant à charger et à décharger l'appareil re- présentent un poste important des frais de main-d'oeuvre;- en outre, si la main-d'oeuvre est peu qualifiée, les pertes dues aux ruptures et à l'effilage de la matière sont parfois impor- tantes. On doit ajouter à cela le temps perdu pendais l'arrêt de l'appareil pendant ces opérations ce qui fait diminuer la production et affecte l'amortissement; il fauu citer aussi la perte de temps afférente au transport de la matière d'une machine à l'autre.
Grûes à la pré@@@te inven@ion, vu que au@@@ toutes les opérations peuvent être, effectuées dans un seul appareil et que plusieurs appareils pauvent être disposés en série et que la chaîne des écheveaux y passe successivement et automati- quement, la durée du chargement et du déchargement ne compte pratiquement paa ; la machine n'est arrêtée que pendant le temps nécessaire pour les opération,3 de nettoyage qui portent sur les résidus des opérations précédentes et pendant le temps nécessai- re à la préparation des produits aux opérations suivantes.
Dans le présent procédé, lorsque, pour des raisons d'installation ou les nécessités de travail, la matière doit être transférée à une autre machine, si cette dernière est ins- tallée en série avec la première , la matière peut passer au- tomatiquement d'une machine à l'autre. Si ces machines sont très éloignées entre elles ou sont disposées dans des locaux différents, il suffit de @@nir compte du temps de transfert de l'ensouple.
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agencement consistant en enrouler sur soi-même, sur une ensouple, constitue le point le plus important du pré-
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sent procédé de traitement de fils en écheveaux et consiste à former une nappe de matière sous la forme d'une chaîne plate, dont les maillons sont formés par des porte-matière couplés par paires, chaque paire étant couplée à la paire suivante par les écheveaux portés par les porte-matière.
L'agencement de la matière qui vient d'être décrit permet pratiquement d'obtenir l'automatisation de l'industrie du traitement des écheveaux à l'eau, car on peut installer une aére de machines, par lesquelles la matière passe sous la for- me d'une nappe ou d'un ruban, sur lequel on effectue les opé- rations distinctes, y compris le séchage, comme il est requis*
On voit donc que les frais de main-d'oeuvre les plus importants sont ceux qui portent sur le chargement et la
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caténisat.on des porte-matière et leur d4o,laiseee ou déckarge-r ment lequel a lieu, dans la plupart des cas, lorsque la matie'- re est complètement traitée e séchée et est prête pour l'em-
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A1u Xl*m4dà,%lêft & m 11t61,..
te tempe total uti,, est celui qui est mis à charger et à décharger un seul des di- vers appareils dans lequel la matière est présentement intro- duite.
Lorsqu'un ensemble de six machines selon la présent*
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invention travaille à pleine charge, il ne requiert qu'un seul ouvrier spécialisé et son aide,alors que, si c'est nécessaire! des traitements distincts sont effectués dans chacune des ma- chines.
Selon l'utilisation finale de la machine faisant généralement partie de Ici présente invention, ses pièces compo- santes, leur ordre, l'agencement des détails des parties, peu. vent être modifiés pour obtenir les résultats voulus* Par exemple t
Lorsque la machine est destinée à merceriser des fils par le présent procédé perfectionné, on fait uae de porte-,
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matière du type cylindrique, à surfaces lissée, rugueuses ou cannelées, couplés ou aptes à être couplés à @n dispositif qui peut les faire tourner autour de leurs axes, la machine étant du type vertical, horizontal ou incliné en ce qui @@@dcerne l'en.. gle formé par les irrigateurs et/ou les entrera du bain,
la machine comportant des guides nécessaires puu: le passage des porte-matière susdits.
Les granas avantages du présent procédé perfection- né, appliqué spécialement: aux fils en écheveaux sont les sui- vants
Les possibilités de teindre de grands lots de manière en un seul ton, avec de grandes pénétration:% uniformité et con- tinuité, avec un grand volume de production et des frais minima de main d'oeuvre, de produits et de combustible, avec la possi- bilité de régler la tension appliquée à la matière pendant le traitement , tension qui empêche l'écheveau de s'appliquer, pen- dant le traitement, sur ses éléments de support et de traînage, ce qui donnerait lieu à des défauts dus au manque de pénétra- tion;
avec réglage à volonté du rapport du poids de la matière au volume du bain, du débit en litres par seconde et de la pres- sion d'irrigation du bain, avec la possibilité de choisir un traitement par irrigation seule ou par simple immersion ou par. une combinaison d'irrigation et d'immersion.
Les facteurs qui sont toujours minima et constants, quelle que soit la grandeur du bain, sont la surface de contact du bain avec l'atmosphère (point très important pour la teinture à l'indanthrène et au soufre, pour éviter l'oxydation), ou avec le milieu de la cham- bre semi-enfermée ou hermétique, la grande augmentation de la qualité de résistance à l'abrasion acquise par la teinture effec- tuée par ce dispositif, grâce à l'élimination des particules adhérentes superficielles de colorant ou des impuretés du bain, effectuée par le lavage pendant la dernière irrigation de la matière.
Il est intéressant d'observer que les deux ensouples
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de l'entrée et delà sortie de la machine et toute la trajectoi-
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re que doit suivre la nappe, peuvent former un circuit hermét,- quement fermé si on le désire et fonctionner à haute températu. re.
Il faut, "aussi noter que la matière peut être soumise dans la machine à la vaporisation simultanément <# *n traitement d'un autre type (par exemple l'imprégnation à froid ou à chaud ou la teinture sans affinité); de mme, la consommation de combua-
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l tible pour la TtxpKXitïMt vaporisation est très faible du fait qu'il est possiole d'enfermer une seule eu les deux ensouples darus une chambre semi-enfermée ou hermétique, formée d'une couverture imperméable ou plastique, ou d'une matière en feuil- @ même le semblable à celle de la machine qui peut/être combinée à de la maçonnerie.
Il faut citer le fait que la matière soumise
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au traitei<&4tdoit quitter le dispositif à une humidité d'un de- gré r;sj à volonté, l'humidité étant réglée en réglant la près* sic- agissant sur des cylindres presseurs ou d'expression et/ou, lpreseiQn régnant aans la chambre de vaporisation*- En outre, ; la macère disposée sous forme de nappe ou de ruban peut être r".1iechée et conditionnée uniformément et rapidement, !4vee une - faible consommation de vapeur d'eau.
Il a été aussi pourvu à la tension et i relâchement
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de la nappe au moyen d'un dispositif par lequel l happe ou le ruban de matière (dont les échereaux ont une lonb 1,4r déverni* née) est tiré par les encochesde deux disques qui .agissent sur les chevilles ou broches des porte-matière et @s guident pour les disposer dans les more ou les saillies deserrage
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d'un dispositif transporteur aans fin, la distance Vtre son che- villes étant inférieure à la longueur des écheveaux*
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Pour faciliter l'explication, il est faiiérence
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à des dessins annexés qui représentent deux réalisât '11,8 à ti- tre d'exemple.
La figure 1 représente une élévation schéma que du dispositif.
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La figure 2 représente en élévation une session de la figure 1 suivant la ligne I-II.
La figure 3 représente uns élévation sch@macique du dispositifsemblable à la figure 1, mais où les irrigateurs sont disposés horizontalement ou dans le même plan.
La figure 4 représente un plan du dispositif de la figure 3.
La figure 5 représente un plan d'un porte-matière en section longitudinale et transversale.
La figure 6 représente un plan de la courroie trans- porteuse comprenant des fils sous forme d'écheveaux.
La figure 7 représente une extrémité d'un porte-ma- tière du type cylindrique en section suivant A-B et C-D, soli- daire avec le mécanisme de rotation qui le fait tourner sur son arbre, l'autre extrémité du perte-matière étant symétrique de celle que la figure représente.
La figure 8 représente schématiquement le mécanisme de rotation du porte-matière (cylindrique);lorsque le porte- matière glisse sur des surfaces lisses, rugueuses, dentées ou cannelées, ces surfaces communiquant une vitesse distincte de celle qui serait acquise par simple glissement sur une seule surface ayant les mêmes caractéristiques.
La figure 9 représente le mécanisme dension et de relâchement de la nappe ou du ruban.
Les figures 10, 11 et 12 représentent un modèle d'ir- rigateur destiné à des fils spéciaux.
Si l'on se rapporte aux figures, on voit qu'une nappe ou un ruban continu de matière est formé (figure 6) en chaîne grâce à des crochets 19 ou à des broches qui forment charnière, ..ou grâce à un autre système d'accrochage entre les porte-matiè- re 14 -(qui servent à porter les écheveaux) qui ont une forme longue et étroite, qui sont plats ou arrondis, listes bu canne- lés dans le sens (le le lan@ur et dont les bords longitudinaux
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comportent ou non des encoches'15 et quelques crocheta 13.
Ces porte-matière peuvent porter quelques pièces 33 qui en sont solidaires ou qui peuvent y être reliées en un point quelconque de leur longueur et qui sont situées, dans le présent cas, à l'intérieur du porte-matière ou à ses extrémités et servent à agir au moment de leur passade. par les cylindres d'expression ou de serrée, sur les bagues métalliques prévues sur ces cy- lindres, lorsque ces deniers sont actionnés par un simple sup- port à pression, dans le but d'égaliser l'expression de la ma- tière en contact avec le porte-matière avec celle de la matière, qui n'est pas en contact avec ce dernier.
D'après la classe, le numéro, le denier ou le traitement auquel la matière doit être soumise, on choisit le porte-matière du type plat selon la fi- oure 5 ou un porte-matière semblable, déjà décrit, ou le type cylindrique de la figure 7 (qui peut tourner surson propre ar- bre).Les porte-matière cylindriques son\:
couplés solidairement dre ou non à leurs extrémités à des châssis de support lb de cylin" lisses, rugueux, dentés ou cannelés 17, châssis qui sont relié* entre eux par des crochets 19 ou par des raccords du type à char,- nière ou autres, deux par deux, comme dans le cas des porte- matière plats, les paires étant jointes par les écheveaux qu'el. les portent, formant, comme dans le cas des porte-matière plats une chaîne ou un ruban.
Le chargement des écheveaux sur les porte-matière est effectué dans une macnine qui étire et élargit ou encore qui étire, élargit et brosse là matière, si bien que, lorsque la matière a été déposée sur deux porte-matière, dont il y en a un à chaque extrémité des écheveaux, un porte-matière est lié au dernier porte-matière libre de la chaîne déjà formée et l'au- tre porte-matière est lié à celui qui suit, pour former une enaîne plate (figure 6) dont les maillons sont constitués de flaires- successives de porte-matière et d'écheveaux de matière, suspendus par ces derniers et unissant lesdites paires.
Cette
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chaîne ou ce ruban de matière s'enroule sur lui-même sur une ensouple porte-nappe 7 (figures 1 et 3), sou@@ forme sous laquelle la matière sera transférée à une autre machine ou, au moyen des guides de support de porte-matière, s..-us la forme d'un; ruban ou d'une nap continue qui est déplacée par la traction d'une autre ensouple située à l'extrémité op@osée.
Quasi toutes les opérations qui d@ivent être effec- tuées sur les écheveaux dans le secteur à eau peuvent être effec-, tuées échangeant uniquement les accessoires d'après l'opération à effectuer. De sorte que, par exemple, le séchage peut être effectué sous forme de ruban, tendu ou non, avec les conduits, les ventilateurs et les tuyères appropriées! en vue du meilleur cas résultat, dune chaque/particulier; lorsqu'il est nécessaire de finir ou de luster, on peut disposer autant de batteries et de balais de tous types voulus qu'il est requis suivant le plan le plus avantageux, dans la trajectoire du ruban ou de la nappe, etc.
On peut aussi monter une série de machines, par les- quelles la matière passe avec ou sans solution de continuité, ,pour recevoir, dans chaque machine, les traitements différents et successifs qu'elle doit subir.
Le fonctionnement a lieu comme suit lorsque l'é- cheveau est tendu et élargi ou tendu, brossé et élargi de manier? ,que les fils soient répartis aussi uniformément et parallèle- ment que possible, on le dispose sur une paire de porte-matière dont un est lié au porte-matière arrière de la paire préparée précédente et dont l'autre est lié au premier écheveau ou aux premiers écheveaux suivants, de manière à former une chaîne ou un ruban plat qui s'enroule sur lui-même autour d'une ensouple porte-ruban.
La matière, sous forme de faisceau ou sous forme d'un ruban continu, est transférée d'une machine à une autre ou. d'une série de machines à une autre et passe, sous forme de ruban, paires machines, pour recevoir un traitement convenable.
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ou"voit;
oeurâ.'Iet 2# que la. machine est cpgpqpd on-voii" .'S. et que machine est composé* êe adux ensouples ou cylindres' porte-ruban 7, disposés à ses 43t*j?émités , et le ruban ou la nappe est guidée entre les zuil ,a4a Il et les guides à rouleaux 2 pour passer par les vaporisa-* leurs 3 vers le dispositif à transporteur sans fin destiné à tendre ou à relâcher la matière, disposé près des guides à rou- le au* 2 (le premier que la matière rencontre est un dispositif de relâchement et le dernier est un dispositif de tension), Elle passe ensuite immédiatement entre des cylindres d'expression 1 vers l'entrée et/ou la sortie des collecteurs à bain 6 en sore tant des cylindres d'expression, par les entrées de bain 8 en communication ou;non avec le réservoir d'apport, Elle poursuit
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son parcours entre des irric:
ateurs ou des injenteurs 4 et par ure conduite étroite où elle subit une action énergique du bain
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de traitement, avant de parvenir à la zone inférieure 41 lgp,, pareil où les tubes de chantage et/ou de réfrigération |? sont situés eu qui comporte la sortie du bain, 5 (avec ou panC1. culbtion dans le bain vers les irrigateurs 4 ou les entrées\8) et des trous d'homme 12 (destinés aux réparations et au net.}\ loyale) et aussi des tubes de niveau 10 et des thermomètres non représentés. Depuis la partie inférieure de l'appareil, ** le ruban ou la nappe parcourt une trajectoire symétrique et
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inverse de celle qui a été décrite, jusqu'à ce qu'elle p4;vo ne à l'autre ensouple 71 située à l'autre extrémité de la machin, na P,)ur ttre de nouveau enroulée.
Fieres 3 et 4, on peut observer les mêmes dispositif!] mais situés dans un plan horizontal.
Dans le cas où l'appareil doit être employé avec des portematière cylindriques, les guides des deux cotés de la tra-
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jectoire qui doit être empruntée par le ruban ot .a nappe de la matière, peuvent comporter des surfaces ou une surface 20 (fi- k | bure 8), lisse, rugueuse, dentée ou cannelée.
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i$ Il faut observer aussx. qu|à . Y.n;, z < j..
sérieux de la machine, on peut installer- aut-¯. ¯rfes ac- .f ij jessoires qu*on peut estimer nécessaires; pour .,,,'-0- .1' :les meil- meurs résultats on peut changer églaent le'' ;- ## n3 ou ,':; fJ I ' érii,ei^ leups changements, supprimer ces élèc; n j #... codifier leurs rmes sans quitter le domaine da la é$:' 4 invention.
Pour mettre le procédé en oeuvre, ¯c z w.8.urs 4, les entrées de bain 8 et sa sortie 5 sont pu ne $Q1rac-
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cordés à une installation ordinaire comprenant pompes pour
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la circulation du bain, en communication avec des cuves de pré-
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paration des produits chimiques, avec ou sojis appareil de chauf- fagne raccordé ou non au circuit du bain, avec ou sans compres-
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seurs, manomètres, thermomètres, tubes de niveau, entrées et
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sorties de vapeur d'eau ou d'huile à haut vv'::'n.:; d'ébullition ou de liquide, avec ou sans sytème réfrigérant et/ou se:ai-pneuma- tique, hydraulique ou mécanique vie fermetures 3t ausi3i tout au-
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tre accessoire nécessaire quelconque pour 1'installation.
Dans le présent procédé, un prévoit que le dispositif
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d'injection ou d'irrigation peut consister en (4) pa,s d'irri- 9±XXJ"%eurs situés l'un devant l' aut. a, de maniera que, lors-
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que l'appareil fonctionne, la pression au liqu:.de injecté s'an- nule en rencontrant les courants de sens opposa, précisément au point où ce liquide rencontre le textile.
Il est ausi pourvu à lu rotation dE: la matière au-
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tour ae son propre axe lorsqu'on fait usase de porte-matière
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cylindriques, comme figure 7 (dans cette figure, le porte-matiè-
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re cylindrique est représenté comme -tint t ca.melé sur toyte sa
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longueur), les cylindres 17 qui en font partie (en formant un
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seul corps ou étant accouplas p¯a..;m la durée nécessaire au passage de la matière dans La machine) glissant sur ou entre la surface ou les surfaces listes, ribueuse!,,, cannelées ou dentôss, en meivement ou non.
Dana les porte-mat agi1 1 ilu4lo, les pièces 33 peuvent
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être @@tuées en un point quelconque de la longueur du porte- matière et peuvent compter autant de pièces qu'il est nécessai- re. Ils peuvent; être disposés près des extrémités ou près du centre et être ou non,pourvus de raccords de liaison des porte- ma@@ère entre eux. cet pièces 33 agissent sur les bagues métal- liques portées par le cylindres d'expression (lorsque ceux-ci sont actionnés par un ressort fort disposé aux extrémités de leurs arbres) de manière à recevoir la pleine pression de ces ressorts;
les cylindres sont séparé$ d'une distance égale à l'épaisseur du porte-matière, de sorte que la matière en con- tact avec ce dernier subit le même effet d'expression que celle qui ne l'st pas. Lorsque les cylindres d'expression sont asser- vis à un autre dispositif quelconque d'un système différent de celui qui est décrit, lesdites pièces se-vent à déconnecter celui-ci pour obtenir des résultats identiques.
Le mécanisme de tension st/ou de relâchement, décrit :JOUI;. sa forme la plus simple, est double, (chaque élément agis- sant sur une extrémité du porte-matière) ; chaque mécanisme com- prend deux disques rotatifs 34 et 35,comportant respectivement des encoches 36 et 37 qui se referment sur la broche 38, montée dans les extrémités- de chaque paire de porte-matière 39,broche qui est portée par le bras 40 et qui se déplace ae manière à pénétrer dans les encoches 36 et 37, le bras 40 sert à favoriser le déplacement parallèle des différentes paires de porte-matiè- re.
Le mouvement de ce bras 40 est rélé par l'ergut d'actionne. ment limiteur 41,situé sur le disque 34, et par le coin 42 qui,
40 lorsque le rôle du bras/est terminé, le sépare de l'ergot d'ac- tionnement limiteur 41 et le rappelle à sa position initiale sons l'effet du ressort 43.
Dès que la broche 38 se trouve jans les encoches des disques 34 et 35, ceux-ci l'amènent dans le sens représenté par les flèches, jusqu'à$ ce que les encoches se séparent, et qu'elle cuit maintenue par le disque 57 aidé par le guide 44, jusqu'à ce qu'elle arrive au dispositif transporteur sans fin 45 où elle
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est maintenue par les clampes 46 sous l"-e *.#* ¯ uide 47 qui, ; ensuite, l'empêche de s'échapper et 1 cb ; re le mou- ! vement des clampes.
Le ruban transport sur , composé de orte-matiâbe 39 et des écheveaux 48 provient de l'ano.,ß-, t la distance entre les porte-matière, dans la zone qui a ...pond à celle qui' est comprise entre l'ensouple 7 et les err,:.:s 35 et 37, est plus grande que celle qui ex ..s entre ic-2 s.pes saillantes 46 prévues sur le dispositif tcla teur sans fin 45. De cette manière, lorsque les chevilles 3E sont maintenues dans les clampes 46, les écheveaux sont détendus et restent détendus tant qu'ils ne quittent pas le dispositif t-r-ar- porteur sans fin 45.
F.n ce qui. concerne le - irrigation, il a été prévu que, selon la qualité, le type et numéro ou le denier ' de la matière à traiter, ou selon l'opération à laquelle la ma- tière doit être soumise, on fera usage ou non des éléments d'un irrigateur 49 (figuras 10 11 et 12) à ouvertures perforées ou. fendues, qui est fixé à ses extrémités à ses propres tubes d'apport 50 et qui est situé à 1 'intérieur d'un cylindre rota- tif 51 (tournant librement ou mis en rotation de l'extérieur), ayant aussi une surface percée et ayant pour support des pa- liers 52 qui sont situés ou non aux extrémités de l irrigateur 49.
Ces irriateurs sont utilisés en groupes de deux et peuvent fonctionner comme irriateurs ou l'un comme irriateur et l'au- tre, comme dispositif aspirant ou encore les deux fonctionnent en dispositifs aspirants, selon le procédé voulu.
**ATTENTION** fin du champ DESC peut contenir debut de CLMS **.