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Machin* d'emballage *
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Là présence invention concerne une chiné 4'<<*
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ballas- pour la fabrication de paquets en sachet* en boyau
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rempli , à partir d'une bande de matière d'emballage .cell&b\. à chaud avec un rouleau de réserve de mattire d'emballage, av#tt un épauleiJ1enf:
de façonnage, qui assemble la bande de matîët* dl emballage autour d'un tube de façonnage et de remplissage ma boyau, avec une mâchoire de .ceUage qui, travaillant contre 1. '
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tube de façonnage et de remplissage, soude entre eux les bord.
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longitudinaux de le bande de matière d'emballage, avec un dit* .
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positif doseur pour la matière à emballer, avec des mâchoires de scellage transversal à mouvement de va-et-vient dans le sens d'emballage pour tirer le boyau de matière d'emballage du tube de façonnage et pour établir une ligne de soudure transversale supérieure d'un sachet rempli et: une ligne de soudure transver- sale inférieure pour le sachet suivant, ainsi qu'avec un cou- teau découpeur pour trancher le boyau de matière d'emballage entre les deux lignes de soudure transversales.
Des machines d'emballage de ce genre sont connues en soi, Le mouvement de montée et de descente des mâchoires de collage transversal,qui assurent simultanément le transport du boyau de matière d'emballage, se fait dans les machines con- nues par voie mécanique. Si, dans ces machines connues, l'on veut modifier de façon connue en soi la longueur du parcours des mâchoires de scellage transversal et donc la longueur du sachet en boyau à fabriquer, l'on doit arrêter la machine d' emballage dans ce but.
Ceci est un gros inconvénient, car une telle modification de la longueur du parcours de la course des mâchoires de scellage transversal doit être effectuée non seule- ment lorsque l'on doit fabriquer des sachets d'une autre lon- gueur , mais aussi lorsque, en particulier avec des bandes de matière d'emballage imprimées, les lignes de soudure transver- sale ne se trouvent plus à l'endroit correct par rapport à l' impression, par exemple à cause d'une irrégularité dans l'im- pression ou d'un allongement de la bande de matière d'emballa- ge. Dans les machines d'emballage connues, il est nécessaire dans ce cas d'arrêter la machine pour ajuster à nouveau la ban- de de matière d'emballage.
Un but de la présente invention est d'éliminer cet inconvénient et d'offrir un agencement avec lequel il est possible de modifier en continu, avec la machine en mouvement, la longueur de parcours des mâchoires de scellage transversal.
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Dans les machines d'emballage décrites connue, l'introduction de la matière à emballer dans le boyau de mati- ère d'emballage se fait sous une commande mécanique en un en- droit bien déterminé du cycle de travail de la machine d'embal- lage. Ceci offre divers inconvénients, en particulier celui que la vitesse de travail de la machine d'emballage est limitée dans certaines circonstances par la vitesse de chute de la ma- tière à emballer dans le boyau de matière d'emballage. Grâce à un réglage approprié du moment où le dispositif doseur se dé- charge dans le boyau de matière d'emballage et en fait en fane tion du genre et de la quantité du produit à emballer et en fonction du cycle de travail de la machine d'emballage et du dispositif doseur,
il serait sans aucun doute possible d'aug- menter la vitesse de travail de la machine d'emballage.
Un autre but de la présente invention est par con- séquent d'offrir un agencement avec lequel l'on peut régler, avec la machine en mouvement, le moment dans le temps de la dé- charge du dispositif doseur dans le boyau de matière d'emballa- ge par rapport au cycle de travail de la machine d'emballage.
Four résoudre ces problèmes, dans une machin* d' emballage suivant la présente invention, l'on prévoit un *Son- cement de cylindre et piston actionné hydrauliquement pour le déplacement alternatif vertical des mâchoires de scellai trans- versai, dont la longueur du parcours de course, avec un point mort supérieur constant des mâchoires de scellage transversal peut être modifiée en faisant varier la longueur du parcours de courte d'un piston de cylindre de réglage, même avec la maehine en mouvement,
Pour résoudre d'autres problèmes posés par l'in- vention,
il est proposé dans une machine d'emballage suivant la présente invention que l'actionnement de l'alimentation en matière à emballer dans le boyau de matière d'emballage soit ré-
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glable, avec la machine d'emballage en mouvement aussi bien qu' avec la machine arrêtée, par rapport au rythme de travail de l' ensemble de la machine, de telle sorte que le remplissage avec la matière à emballer peut se faire en un moment quelconque pouvant être choisi au cours de la fabrication de l'emballage en sachets en boyau.
D'autres détails et particularités de l'invention ressortiront de la description ci-après, donnée à titre d'exem- ple non limitatif et en se référant aux dessins annexés, dans lesquels :
La Figure 1 est une représentation schématique de la machine d'emballage dans laquelle l'on fait appel à l'agen- cement suivant l'invention.
La Figure 2 est une vue en coupe transversale sui- vant la ligne 11-Il de la Figure 1.
La Figure 3 est une vue en coupe verticale, à grande échelle, des mâchoires de scellage transversal désignées par la flèche K à la Figure 1.
La Figure 4 est une vue en plan d'une partie du couteau de découpage.
La Figure 5 est une vue en élévation d'un emballa- ge en sachet en boyau fini fabriqué par la machine.
Les Figures 6 et 7 représentent une vue en coupe verticale schématique de l'agencement suivant l'invention pour un déplacement hydraulique commandé des mâchoires de soudure,
La Figure 8 est une vue en élévation, partielle- ment en coupe verticale, de l'agencement: suivant l'invention pour le réglage de l'opération de dosage.
La Figure 9 est une vue en élévation de l'agence- ment représenté à la Figure 8, en regardant de la droite dans le plan de la Figure 8.
La machine d'emballage représentée schématiquement
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à la Figure 1, dans laquelle l'on peut faire application de l'objet de l'invention, est connue en soi. Elle est constituée par un bâti de machine 1, qu. est muni sur sa face supérieure d'une plaque de couverture. A la plaque de couverture 2 est fixé, perpendiculairement à cette plaque, un tube de façonnage et de remplissage 3 devant le bâti de machine 1. Le tube de la* cannage et de remplissage 3 traverse la plaque de couverture 2 et ,'élargit au-dessus de cette plaque en orme d'entonnoir.
Sur la plaque de couverture 2 est agencé un dispositif doseur de type connu (non représenté). En-dessous de la plaque de cous verture 2 est disposé, sur le tube de façonnage et de emplit sage 3, un épaulement de façonnage 4. La matière d'emballage pouvant être scellée à chaud est tenue en réserve sous la forte d'un rouleau 5 disposé sur la face dorsale du bâti de Machine 1, La bande de matière d'emballage est prélevée du rouleau S et amenée, par l'intermédiaire d'un galet de guidage 6 à l'épau- leatent de façonnage 4, qui pose la matière d'emballage en fort* de bande autour du tube de façonnage 3.
A ce moment, les bord* longitudinaux de la bande de matière d'emballage se chevauchent légèrement à l'endrota (Figure 2). Une mâchoire de soudure longitudinale 7 travaillant contre le tube de façonnage 3 soude les bords longitudinaux de la bande de matière d'emballage entre eux, par une ligne de soudure longitudinale d, de telle sorte que l'on forme un boyau de matière d'emballage. En dessous du tube de façonnage et de remplissage 3 sont disposées des mâchci- res de soudure transversale 8 et 9. Elles sont mobiles dans le sens de la flèche à deux pointes représentée à la Figure 1, horizontalement et perpendiculairement au boyau de matière d' emballage.
En outre, ces mâchoires de soudure transversale 8 et 9 sont mobiles verticalement, d'une façon décrite plus en détail ci-après. Dans l'état fermé (Figures 1 et 3), les ml- choires de scellage transversal 8 et 9 pressent entre elles
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la boyau de matière d'emballage et établissent alors, par leurs moitiéssupérieures fl et f2 une ligne de soudure transversale supérieure b et, par leurs moitié-, inférieure-, si et e2, une li- gne do soudure transversale inférieure c, sur 3.se boyau de mati- ère en feuille.
En même temps que les lignes de soudure trans- versale sont établies, les mâchoires de soudure transversale 8 et 9 se déplacent vers le bas et tirent le boyau de matière dO emballage venant du rouleau 5 sur le galet de guidage 6 et l'é- paulement de façonnage 4, vers le bas. L'amplitude du mouvement de descente des mâchoires de soudure transversale 8 et 9 corres- pond à la longueur d'un sachet à fabriquer (Figure 5). Pendant le déplacement vers le bas des mâchoires de soudure transversa- le 8 et 9, le boyau de matière en feuille est simultanément dé- coupé entre les deux lignes de soudure, par un couteau de dé- coupage 12. Le couteau de découpage denté a été représenté iso- lément à la Figure 4,, en une vue en plan partielle.
Après avoir atteint le point mort inférieur, les mâchoires de soudure trans- versale 8 et 9 t'ouvrent, le sachet fini est découpé tombe vers le bas et les mâchoires de soudure transversale reviennent, en position d'ouverturs, à leur position de point mort supérieur .
Simultanément, l'on introduit par l'intermédiaire du tube de remplissage 3 une quantité de matière à emballer dosée dans le godet doseur 11, à l'intérieur du boyau de matière en feuille. pans ce but, l'on retire le coulisseau 10 obturant à sa base le godet doseur 11.
Après que la position de point mort supérieur des mâchoires de soudure transversale 8 et 9 a été atteinte et après le remplissage décrit ci-avant de la matière à emballer, les mâchoires de soudure transversale se referment à nouveau et l'opération de traction du boyau de matière en feuille recom- menée tout en établissant simultanément les lignes de soudure transversale,
En se référant aux Figures 6 et 7, l'on décrira ci-
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après le dispositif suivant l'invention, travaillant hydruli- quement, à l'aide duquel l'on effectue le déplacement vertical des mâchoires de soudure transversale 8 et 9.
Grâce à ce dispo- sitif, comme il ressortira de la description ci-après, il est. possible de modifier l'amplitude du déplacement vertical des mâ- choires de soudure transversale 8 et 9 alors que la machine est en mouvement, grâce à une modification de la position du point mort inférieur des mâchoires de soudure transversale 8 et 9. sans que la position du point mort supérieur de ces mâchoire de soudure transversale 8 et 9 soit modifiée.
Les mâchoires de soudute transversale 8 et 9 sont fixées à un cylindre 86, pouvant se déplacer verticalement et fermé à sa partie supérieure. Le cylindre 86 est guidé dans des paliers lisses 13 et 14, qui sont supportés dans le bâti de ma- ehine 1 ; Dane le cylindre sé se trouva un plaecon 1(, qui est fixé rigidement par une tige creuse 16 au bâti de machine 1.
Le piston 15 est percé en son milieu, de telle torte.que l'inté- rieur du cylindre 86 est mis en communication par ce passage a- vec l'espace interne de la tige creuse 16. Sur l'extrémité si- tuée à l'extérieur, écartéz du piston 15, de la tige creuse 16 est enfilé un tuyau 17 qui relie l'intérieur du cylindre 86, par l'intermédiaire de la tige creuse 16, à l'espace interne d'un cylindre 18 (Figure 7). Dans le cylindre 18 est placé un piston 19. Un arbre 21 entraîné par moteur (d'une façon non représente*) est supporté à rotation dans des paliers 22 et 23. Ces paliers 22 et 23 sont fixés sur le bâti de machine 1.
Une manivelle 24 est prévue à l'extrémité inférieure de l'arbre 21 et fait corps avec celui-ci. La manivelle 24 est reliée au piston 19 précité par une tige 25. La liaison entre la tige 25 et la manivelle 24 est constituée par une articulation sphérique 26. La liaison en. tire le piston 19 et la tige 25 est établie par une articulation ' sphérique 27. Grâce à l'agencement des deux articulations sphé-
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riques 26 et 27 sur les extrémités de la tige 25, une possibill- té de mouvement libre du cylindre 18 avec le piston 19 qui s'y trouve est offorte vis-à-vis de la manivelle 24 et de l'arbre 21 qui fait corps avec celle-ci.
Le cylindre 18 est fixé à un étrier 28, qui peut pivoter autour d'un axe 42 fixé au bâti de machine 1.
L'axe 42 est tangent au cercle que décrit la manivelle 24, lors* que l'arbre 21 tourne autour de son axe longitudinal.
L'arbre 21 est muni d'une came excentrique 29, qui coopère avec un piston plongeur 30. Le piston plongeur 30 se de* place dans un cylindre 31 et il est appliqué sous l'action d'un ressort de pression 32 élastiquement contre la came 29. Le cy- lindre 3 est mis en liaison, par une soupape à sens unique 33 avec un réservoir à liquide 34, En outre, il est raccordé par une soupape à sens unique 35 à une conduite 36 qui pass à l'in- @ pivoter autour d'un axe 38 et coopérant avec l'extrémité supé¯ rieure du cylindre 86 actionne, par l'intermédiaire d'une barre 39, une soupape 40 qui est disposée dans une dérivation de la conduite 36 et qui établit:
la liaison avec une conduite 41 qui revient au réservoir 34.
Un ressort de traction est fixé, d'une part, à l' extrémité supérieure du cylindre 86 et, d'aucre part, au bâti de machine 1 et il a tendance à ramener le cylindre 86 vers le bas.
L'espace interne du cylindre 86, la tige creuse 16, le tuyau 17 et l'espace interne du cylindre 18 ainsi que le ré- servoir 34, la conduite 36 et la conduite 41sont remplis par un liquide.
Le mouvement alternatif vertical du Cylindre 86 et par conséquent le mouvement de montée et de descente des mâ- chaires de soudure 8 et 9 résultent du* fait que- le piston 19 est déplacé dans le cylindre 18 avec un mouvement de va-et-vient
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ce qui a pour conséquence que le liquide, lors du aouvettettt d' descente du piston 19, est chassé par l'intermédiaire du t\'1av 17 dans la chambre de cylindre 86, de telle aorte que le ylin. dre 86 glisse vers le haut et, lors du mouvement de montée du piston 19, le liquide s'écoule hors du cylindre 86, de tell* sorte que ce cylindre 86 glisse vers le bas sous l'action sup-
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plémentuire du ressort 20.
Le ressort de traction 20 veille alors à ce que, lors du mouvement de montée du piston 19, il se produise aucune dépression dans le cylindre 86, tiut9.* au ** # traire que le cylindre 86 se déplace immédiatement vers le idem
Le mouvement de montée et de descente du piston 19 dans le cylindre 18 est réalisé par l'arbre 21 entraîné par mo- teur et sera à présent décrit plus en détail. Lors de la total tion de l'arbre 21 autour de son axe longitudinal, la manivelle 24 décrit un cercle. Dans ce cas, la tige de liaison 25 entre la manivelle 24 et le piston 15 se déplace sur la surface d'en* '
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veloppe d'un cône imaginaire, dont la surface du cercle de bzz est engendrée par la manivelle 24 et dont le sommet se trouve dans l'articulation sphérique 27.
Lorsque l'axe longitudinal du cylindre 18 coïncide, comme représenté en trait plein à la Fi-
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gure 7, avec l'axe longitudinal de l'arbre 21, ce cône imggî* naire est un cône droit. Dans ce cas limite, le piston 19 dans le cylindre 18 ne se déplace pas vers le haut et vers le bas lors de la rotation 21, de telle sorte que par conséquent le cylindre 86 reste également immobile.
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Par suite de la suspension du cylindre 18 out 1' étrier 28 pouvant pivoter autour de l'axe 42, il est cependant possible de faire pivoter latéralement le cylindre 18. L'on peut se rendre compte que le cône imaginaire devient lors un
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cône oblique.
Si l'on imagine alors, pour faciliter la éo#pr.. hension, que la manivelle 24 a pivoté de 180 à partir de la position représentée à la Figure 7 (cette position correspond
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au point mort inférieur du piston 19 et par conséquent au point mort supérieur du cylindre 86), l'aniculation sphérique 26 se trouve alors immédiatement à coté de l'axe 42, qui forme comme déjà décrit une tangente au cercle de pivotement de la manivelle 24. L'on peut se rendre compte que le cylindre 18 peut pivoter latéralement dans cette position de la manivelle 24 sans que le piston 19 ae déplace dans le cylindre 18. La position du point mort supérieur du cylindre 86 reste par conséquent toujours cons- tante.
Si la manivelle 24 se trouve cependant à la position ra- présentée à la Figure 7 (qui correspond au point mort supérieur du piston 19 et donc au point mort inférieur du cylindre 86), le piston 19 se déplace lors d'un pivotement latéral du cylin- dre 18 d'une distance s dans ce cylindre 18 vers le haut. La distance a augmente avec l'augmentation de la déviation du cy- lindre 18.
En fonctionnement,l'arbre 21 tourne constamment autour de son axe longitudinal. Une rotation complète corres- pond alors à un mouvement de montée et de descente du cylindre
86 et par conséquent des mâchoires de scellage transversal 8 et
9. Le cylindre 18 pivote, en fonctionnement, plus ou moins lar- gement latéralement autour de l'axe 42. Il résulte de la des- cription ci-avant que le parcours de course s du piston 19 et par conséquent des mâchoires de scellage transversal 8 et 9, augmente avec l'augmentation de la déviation latérale du cylin- dre 18. Cependant, seule la position du point mort supérieur du piston 19 et par conséquent du point mort inférieur du cylindre
86 se modifie alors.
Le point mort inférieur du piston 19 et donc le point mort supérieur du cylindre 86 (et en conséquence des mâchoires de scellage transversal 8 et 9) restent constants.
La modification de la longueur du parcours de cour- se par pivotement du cylindre 18 peut être effectuée aussi bien avec la machine en mouvement qu'avec la machine à l'arrêt.
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Le pivotement: du cylindre 18 est effectué soit par des moyens mécaniques (non représentés), soit manuellement, A l'aide d'un dispositif de fixation (non représenté), l'on peut immobiliser le cylindre 18 dans n'importe quelle position obli- que désirée.
Pour compenser une perte possible du liquide à par- tir de la chambre de cylindre 86 et de l'espace interne de la tige creuse 16 en liaison avec cette chambre, du tuyau 17 et du cylindre 18, l'on fait agir la came 29 sur l'arbre 21. La came 29 déplace le piston plongeur 30 à chaque rotation de l'arbre 21, qui correspond en fait à un mouvement de montée et de descente des mâchoires de scellage transversal 8 et 9, dans le cylindre.
31. Le mouvement de retour du piston plongeur 30 hora du cylin* dre 31 est réalisé par un ressort de pression 32. Lors de ce mouvement de retour, du liquide de pression estaspiré du réser- voir 34 par l'intermédiaire de la soupape 33. Un peu avant que le cylindre 86 n'atteigne sa position la plus haute, ce liquide aspiré est chassé par le piston plongeur 30 avancé par la came 29, par l'intermédiaire de la soupape 35 et de la conduite 36, à 1'intérieur de la tige creuse 16. Afin d'éviter que le cylin- dre 86 ne chemine, dans le cas de la fourniture d'un excédent de liquide, au delà de sa position de point mort supérieur, l' on fait agir le levier 37.
Le cylindre 86 fait pivoter dans en position de point mort supérieur le levier 37 d'une façon telle que la tige 39 ouvre la soupape 40 sur la conduite 36, de tell* sorte que l'excédent de la quantité de liquide amenas par la con- duite 36 est renvoyé par la conduite 41 dans le réservoir 34.
La position de point mort supérieur du cylindre 86 ne peut par conséquent pas être modifiée par la fourniture de liquide dé pression par l'intermédiaire de la conduite 36. Simultanément, grâce à l'agencement du levier 37, le cylindre 86 est amené à s'arrêter brièvement dans sa position de point mort supérieur,
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de telle sorte qu'il est possible de fermer les mâchoires de scellage transversal 8 et 9 sans qu'il se produise simultanément un déplacement vertical de ces mâchoires de scellée transversal.
L'on a représenté aux Figures 8 et 9 un dispositif à l'aide duquel l'on peut modifier le moment de la vidange du dispositif doseur dans le tube de remplissage 3 et par conséquent dans le boyau de matière d'emballage. Un arbre 50 est entraîné par le dispositif d'entraînement de la machine d'emballage, par exemple conjointement avec l'arbre 21. Sur cet arbre 50 est dis- posé à rotation une roue de vis sans fin 51, qui est guidée dans un palier 52 fixé sur le bâti de machine 1. En dessous de la roue de vis sans fin 51 est fixée, autour de l'arbre 50, une plaque 53. Cette plaque 53 est d'une pièce avec l'arbre 50 et tourne par conséquent avec celui-ci. La roue de vis sans fin 51 est donc suportée à rotation entre le palier 52 et la plaque 53.
Grâce à la fixation du palier 52 sur le bâti de machine 1, l'on évite un déplacement axial de l'arbre 50. Sur la face supérieure de la plaque 53 sont prévus, avec un écartement mutuel, deux ap- puis 54 et 55 dans lesquels est supporté à rotation un arbre 56.
Sur cet arbre 56 est enfilé une vis sans fin 57 qui coopère avec la roue de vis sans fin 51. Du côté de l'appui 55 est fixé sur l'arbre 56 une autre roue de vis sans fin 58. Avec cette roue de vis sans fin 58 engrène une vis sans fin 59, qui est fixée à l'arbre d'un moteur électrique 60. Le moteur électrique 60 est accroché à la plaque 53.
L'alimentation en courant du mo- teur électrique 60 est effectuéepar l'intermédiaire d'un câble
61 et de bagues collectrices 62, qui sont fixées rigidement sur l'arbre 50 avec un isolement approprié:qui coopèreavec des ba- lais 63. Le moteur électrique 60 est un moteur qui peut tourner aussi bien vers la droite que vers la gauche et dont le sens de rotation est déterminé par l'actionnement d'un commutateur ap- proprié non représente L'actionnement du dispositif doseur, par
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exemple le retrait du coulisseau 10 sous le godet doseur 11, ait réalisé par une butée 51a sur la roue de via sans fin 51, dans une position angulaire déterminée de cette roue à vis sans fin.
La butée 51a est indiquée à la Figure 8 par la partie de la roue à vis sans fin 51 dépassant au delà du palier 52.
Lorsque le moteur 60 est arrêté, la roue à via sans fin 51 effectuant l'alimentation en matière dans le boyau d'en- ballage est entraînée par l'arbre 50 par-ce que cette roue à vis sans fin 51 est reliée cet arbre 50 par l'intermédiaire de la vis sans fin arrêtée 57, de la roue à vis sans fin 58, de la vis sans fin 59, du moteur 60 et de la plaque 53, Si au contraire le moteur électrique 60 est amené à tourner vers la droite ou vers la gauche par actionnèrent du commutateur précité non re- présenté,
la position angulaire de la roue à vis sans fin 51 se modifie par rapport à l'arbre 50 dans l'un ou l'autre sens Cette modification de la position angulaire de l'arbre 50 vise à-vis de la roue à vis sans fin 51 se fait par l'intermédiaire de la roue à vis sans fin 58 décrite coopérant avec la vis tant fin 59.
En mettant en circuit le moteur électrique 60 pour le faire tourner dans l'un ou l'autre sens, l'on peut par consé. quent modifier le moment de l'alimentation en matière dans le boyau de matière d'emballage, par exemple donc le retrait du coulisseau 10, par rapport au cycle de travail de la machine d' emballage lorsque cette machine est en mouvement aussi bien que lorsqu'elle est à l'arrêt. De préférence, l'on effectuera un réglage grossier de l'alimentation en matière avec la machi- ne à l'arrêt en actionnant le moteur 60 et ensuite, avec la ma- chine en mouvement, l'on réalisera, à nouveau en actionnant le moteur électrique 60,le réglage fin de l'alimentation en matière,
Il doit être entendu que la présente invention n' est en aucune façon limitée aux formes de réalisation ci-avant et que bien des modifications peuvent y être apportées sans'
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sortir du cadre du présent brevet.
REVENDICATIONS l. Machine d'emballage pour la fabrication d'em- ballages en sachets en boyau remplis, à partir d'une bande de Matière d'emballage scellable à chaud, avec un rouleau de matiè- re d'emballage, avec un épaulement de façonnage qui pose la ban- de de matière d'emballage autour d'un tube de façonnage et de remplissage pour former un boyau, avec une mâchoire de soudure longitudinale qui, travaillant contre le tube de façonnage et de remplissage, soude ensemble les bords longitudinaux de la bande de matière d'emballage, avec un dispositif doseur pour la matière à emballer,
avec des mâchoires de scellage transversal se déplaçant vers le haut et vers le bas dans le sens d'embal- lage pour tirer le boyau de matière d'emballage à partir du tu- be de façonnage et pour établir une ligne de soudure transver- sale supérieure d'un sachet rempli et une ligne de soudure trans- versale inférieure pour le sachet suivant, ainsi qu'avec un cou- teau de découpage destiné à trancher le boyau de matière d'em- ballage entre deux lignes de soudure transversale, caractérisée en ce quille comprend un agencement de cylindre de piston action- né hydrauliquement pour le mouvement de montée et de descente des mâchoires de soudure transversale, dont la longueur du par- cours de course peut être modifiée, avec un point mort supérieur constant dep mâchoires de soudure transversale,
par modification de la longueur du parcours de course d'un piston de cylindre de réglage, même avec la machine en mouvement.