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PERFECTIONNEMENTS AU DISPOSITIF DE JUSTIFICATION DE LIGNE DANS LES
MACHINES TYPOGRAPHIQUES.
La présente invention concerne les machines typographiques et plus particulièrement des perfectionnements à l'appareillage de justification de lignes utilisable dans les machines de photocomposition de lignes, appli- quant le principe de base du nouveau dispositif de justification décrit dans les brevets des Etats-Unis d'Amérique n .2.395.659 du 26 Février 1946 et n . 2.552.882.
Dans ces machines, on produit photographiquement les lignes jus- tifiées de caractères en exposant individuellement sur le film ou papier sen- sible les caractères portés par des éléments ayant une épaisseur de corps correspondant à la largeur dans le sens des rangées de leurs- caractères res- pectifs, ces éléments (y compris les blancs d'espacement de mots) étant com- posés en une ligne de longueur quelconque, un peu plus courte que la longueur justifiée désirée et que l'on mesure à sa.dimension réelle ou "raccourcisse- ment" (ou "raccourcissage") grâce à l'appareillage de justification à un pos- te de mesure de ligne, les éléments étant ensuite prélevés un par un de l'ex- trémité d'attaque de la ligne composée le long d'une paroi terminale adjacen- te jusqu'à une position de photographie;
un suiveur de ligne sert à amener la ligne au poste de mesure puis à faire avancer les éléments restants après chaque prélèvement d'un élément, dans le but de porter les éléments successifs à la position de prélèvement; des liaisons à pignon et arbres depuis le suiveur jusqu'à un porte-film servent à faire avancer- ce dernier pas à pas pour rece- voir les- expositions photographiques successives, jusque ce que le suiveur atteigne sa position de fin de ligne contre la dite paroi terminale.
Selon les brevets des Etats-Unis d'Amérique n .2.395.659 et n .2.552.882, l'appareillage de justification comprend des organes de com- position de ligne coopérants, portés par le suiveur de ligne et un rail de
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contrôle pour actionner ces organes, le rail étant supporté sur un pivot fi- xe situé en un point placé environ à la verticale au-dessous de l'extrémité d'attaque d'une ligne d'éléments et correspondant à la position de fin de ligne du suiveur, et le rail s'étendant longitudinalement depuis ce pivot sur une distance telle qu'il soit au-dessous de la ligne et du suiveur quand celui-ci est dans une position de départ de-ligne adjacente à l'extrémité ter- minale de n'importe quelle ligne jusqu'à la plus longue (c'est-à-dire 42 Ems)
compatible avec la capacité de la machinée
La disposition est telle qu'à l'arrivée à la station de mesure de ligne., le suiveur de ligne est temporairement verrouillé à une position de départ de ligne espacée de la paroi terminale adjacente à l'extrémité d'at- taque de la ligne délivrée d'éléments., d'une distance correspondant à la lon- gueur de la ligne justifiée à produire.
Le suiveur étant ainsi verrouillé un basculement vers le haut conféré au rail de contrôle (par une tige de manoeu- vre reliée à celui-ci vers son extrémité libre) déplace les organes de res- serrage contre l'action d'un ressort, dans une direction telle que la ligne composée d'éléments dans son ensemble soit pressée contre la dite paroi ter- minale et par suite l'éloigne du suiveur de la quantité du raccourcissage que l'opérateur laisse dans la ligne,, ce qui procure ainsi une mesure ou ga- barit du raccourcissement total de la ligazeo Puis, quand le suiveur avance par degrés depuis sa position de départ de ligne à la suite de chaque prélèvement d'un élément de l'extrémité d'attaque de la ligne., et le rail étant verrouil- lé dans la position inclinée qu'il a pu prendre (vers le bas et vers son pivot)
en déplaçant les organes de resserrage; l'un de ces organes actionnés ensem- ble suit le rail et selon son. inclinaison et l'effet de leur ressorte ils re- viennent graduellement vers le suiveur.L'étendue de ce retour pour chaque avance du suiveur est naturellement très faible et est réglée à la fois par l'inclinaison du rail de contrôle et la distance dont se sont déplacés les organes de resserrage par rapport à lui en raison de l'épaisseur de l'élément particulier prélevé.
Cette action de retour entraîne que chaque degré d'avan- ce du suiveur dépasse l'épaisseur de Isolément prélevé d'une fraction du rac- courcissement total mesuré par le déplacement des organes de resserrage ini= tialement dans la direction opposée au suiveur. Ainsi le raccourcissement to- tal mesuré est réparti dans la ligne reproduite en augmentant chaque avance du suiveur;, et en transmettant ces augmentations au porte-film qui lui est relié positivement de sorte que l'espacement entre les images de caractères sur le film est augmenté de façon à produire une ligne de la longueur justi- fiée désirée.
De ce qui précède, et en se reportant aux brevets précités pour plus de détails on voit que 1-'l'action justificatrice" (répartition du raccour- cissement, mesurée par l'action de retour des organes de resserrage de ligne) est effective dans toute la ligne (comme il est d'usage pour produire la varié- té ordinaire de ligne de textes), les organes de resserrage et le rail de con- trôle coopérant constamment, depuis la position de départ de ligne jusqu'à la position de fin de ligne du suiveur de lignes, pour répartir les augmentations de la quantité mesurée de raccourcissement pour chaque élément, caractère et espacement de mot dans la ligne.
Pour cette raison l'appareil du brevet préci- té ne convient pas pour la production de lignes justifiées contenant des por- tions tabulées dans lesquelles comme on le sait les portions tabulées de la ligne ne doivent pas être soumises à l'action de justification.
On voit également que 19 appareil décrit dans les brevets précités n'est capable que pour des lignes relativement longues de mesurer le rac- courcissement maximum dans son intervalle d'utilisation (c'est-à-dire jusqu' à 3 Ems de raccourcissement qui est une limite pratique permise à l'opérateur), étant évident que pour de longues lignes seulement la position de départ de ligne du suiveur est située vers l'extrémité libre du rail de contrôle qui décrit l'arc maximum et est capable ainsi de manoeuvrer les organes de res- serrage dans la mesure maximum.
Pour des lignes relativement courtes, dans
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lesquelles la position de départ de ligne du suiveur est plus près du pivot du rail,il est plus mal commode pour l'opérateur de les composer plus près de la longueur justifiée finale, c-est-à-dire de réduire la quantité de rac- courcissage nécessaire à mesurer dans l'intervalle de mesure des organes de resserrage quand ceux-ci spnt déplacés suivant des trajets devenant progres- sivement plus petits décrits par les parties de rail plus voisines de son pivot fixe.
La présente invention a pour objet un appareillage de justification amélioré du type décrite dont l'action de justification puisse être rendue ef- fective de la façon régulière dans toute la longueur de la ligne, ou puisse être rendue ineffective sur des parties prédéterminées d'une ligne, permet- tant ainsi la production de lignes justifiées contenant des portions tabulées à l'une de leurs extrémités ou. aux deuxo
Un autre objet de l'invention est un appareillage de justification du type précité qui soit capable de mesurer et de :
'répartir la même quantité de raccourcissement, jusqu'au maximum dans son intervalle de fonctionnement par rapport aux lignes de toutes longueurs (ou des parties choisies de celles- ci) depuis la ligne la plus courte jusqu'à la plus longue ligne dans le domai- ne dutilisation de la machinée
Un autre objet de l'invention est un appareillage de justification du type précité dans lequel on peut rendre Inaction de justification sans ef- fet à volonté sur toute la longueur de la.-ligne,9 permettant ainsi la produc- tion de lignes de longueur quelconque qui, à volonté ont leurs extrémités de départ ou de fin alignées ou au ras de la marge de gauche ou de droite d'une colonne.
Dans ce but l'invention concerne un appareillage de justification comprenant des organes de resserrage de lignes portés par un suiveur de ligne et un rail de contrôle pour actionner ces organes comme il a été expliqué dans les brevets précités.Cependant, au lieu que l'extrémité du rail de @on= trôle soit au-dessous du point de fin de ligne du suiveur elle est supportée de façon à pouvoir basculer autour d'une charnière portée par un bloc dont la surface prolonge le rail et est réglable longitudinalement pour qu'on puisse placer soit la charnière du rail soit une partie du bloc en correspondance avec toute position de départ de ligne du suiveur. Puis,
pour supporter la- partie libre du rail s'étendant depuis sa charnière dans la direction du point de fin de ligne du suiveur, on prévoit un pivot autour duquel le rail peut basculer et que l'on peut régler au point de fin de ligne du suiveur ou écarter de celui-ci vers la charnière du railLe bloc sur lequel le rail est monté à charnière est réglable longitudinalement sur un. organe horizon- tal d'un bâti mobile susceptible de relever le bloc,
et par suite 1-'extrémité à charnière du rail dans-le but d'actionner les organes de resserrage et par suite de disposer le rail angulairement sur le chemin du suiveur de lignes Il résulte de cette disposition dans laquelle l'extrémité élevée du rail est alignée avec le suiveur en toute position de départ de ligne de celui-ci? que les organes de resserrage sont constamment soumis au plus grand arc de basculement du rail, et par suite peuvent être actionnés de toute quantité jusqu'au maximum dans leur intervalle de mesure, que la ligne- composée- d'élé- ments à mesurer soit longue ou courte.
Ainsi, dans la production de lignes contenant des portions tabu- lées à leur extrémité gauche ou de départ (voir figure 12). le- bloc sur lequel le rail de contrôle est monté à charnière est réglé initialement de fagon à disposer la charnière du rail en un point séparé de la position de départ de ligne du suiveur de lignes de la quantité de la portion tabulée de-la ligne-.
Dans ce cas, le bloc constitue une piste horizontale évitant le retour des organes de resserrage et de compensation de raccourcissement de ligne jus- qu'à ce que le suiveur les avance jusqu'au point de charnière du rail et l'ac- tion de justification est ainsi rendue- sans effet jusqu'à ce que les éléments
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à partir desquels sont produites les portions soient prélevés.
Ainsi., dans la production de lignes contenant des portions tabu- lées à leur extrémité droite ou terminale (voir figure 13) le pivot suppor- tant le rail éloigné de l'extrémité à charnière du rail est initialement réglé en un point choisi en avant de la position de fin de ligne du suiveur de lig- nes, point où le raccourcissement de ligne total mesuré est réparti parmi les éléments prélevés sur la ligne et Inaction de justification arrêtée quand le suiveur de ligne a avancé jusqu'à ce pointe
Dans la production de lignes contenant des parties tabulées à leurs deux extrémités (voir figure 14).on règleà la fois l'extrémité supérieu- re du rail et le pivot de support du rail opposé à celle-ci en des points choi- sis entre les positions de départ de ligne et de fin de ligne du suiveur de lignes,
de sorte que l'action justificatrice n'est effective que pendant le retour des organes de resserrage actionnés ensemble et pendant que le suiveur de ligne suit la partie du rail comprise entre sa charnière et son pivot de supporta
Pour rendre 1-'action justificatrice ineffective sur toute la lon- gueur de la ligne, dans le but de produire des lignes de longueur quelconque alignées à leurs extrémités droites ou terminales (voir figure 16). l'inven- tion concerne un verrou grâce auquel on peut bloquer le rail de contrôle contre tout mouvement, de façon à ne pas agir du tout sur les organes de res- serrage de sorte que le suiveur et le porte-film prennent une avance initiale aussi longue qu'il est nécessaire pour porter le premier élément d'une ligne composée de toute longueur à la position de prélèvement,
puis poursuivent leur avance (à la suite du prélèvement de chaque élément) jusqu'à la position de fin de ligne, qui est constante dans tous les cas, produisant ainsi sur le film des lignes qui se terminent toutes à une marge commune ou "d'alignement à droite" et ayant toute longueur quelconque que l'on peut composerPour pro- duire des lignes de longueur quelconque alignées à leurs extrémités gauche ou de départ (voir figure 15) l'invention prévoit un verrou grâce auquel on peut placer le rail de contrôle d'une manière telle qu'il s'élève parallèle- ment à lui-même, et actionne ainsi les organes de resserrage de la quantité correspondant au raccourcissement de gauche de la ligne composée, de sorte que les organes de resserrage suivent simplement le niveau du rail sans re- tour au fur et à mesure du prélèvement des éléments:
, et les lignes produites sur le film commencent toutes à une marge commune ou "d'alignement à gauche" mais se terminent en des points quelconques selon la disposition du dernier caractère de la ligne composée.
La présente invention oonoernee pour atteindre ces buts les nou- veaux modes de construction, combinaison et arrangement de parties qui sont ci-après décrits avec référence au dessin annexé qui représente un mode de réalisation particulier de cette invention. Sur ce dessin :
La figure 1 est une vue de face partielle d'une machine de com- position photographique de lignes, montrant les parties composant, l'appareil- lage perfectionné de justification de lignes à la station de mesure de lignes de la machine et en position normale avant une opération de mesure de ligne.
La figure 2 est une vue en plan montrant les parties du haut de la figure 1 intervenant dans la disposition du suiveur de lignes dans une position de départ de lignes correspondant à la longueur de-ligne justi- fiée que l'on désire produire.
La figure 3 représente une partie de l'appareille. 3:0 de la figure 1 avec le pivot de support éloigné de l'extrémité à charnière du rail de con- trôle réglé en un point choisi en avant de sa, position normale représentée sur la figure 1,comme quand une ligne à produire contient une portion tabu- lée à son extrémité terminale.
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La figure 4 est une vue perspective montrant les parties compo- sant l'appareillage de justification selon l'invention, l'extrémité à char- nière du rail de contrôle étant placée en position déplacée par rapport à la position de départ de ligne du suiveur de lignes, comme quand une ligne à produire contient une partie tabulée à son extrémité de départ.
La figure 5 est une élévation de 1-'appareillage perfectionnée vu dans la direction des flèches de la figure 1, et montre dans leur position inactive les verrous de blocage qui, déplacés en position active, rendent 19 action de justification sans effet, le verrou vu vers le centre de la fi- gure étant utilisé quand on produit les lignes "alignées à gauche" et le ver- rou vu vers le bas étant utilisé quand on produit les lignes "alignées à droite".
La figure 6 est une vue fragmentaire montrant en coupe le verrou de blocage désalignement à gauche" vu vers le centre de la figure 5 à sa po- sition active ou de blocage par rapport au rail de contrôlée
La figure 7 est une vue d'extrémité montrant une partie des éléments de la figure 5 en position active, le verrou de blocage d'"alignement à gauche" étant en position active comme sur la figure 6.
La figure 8 est une vue de côté montrant la disposition des cames et leviers pour le fonctionnement et le blocage du rail de contrôle et la li- bération du suiveur de lignes.
La figure 9 est une coupe partielle suivant 9-9 de la figure 8, montrant le verrou à action de genouillère prévu pour coopérer avec le méca- nisme commandant le rail de contrôle.
La figure 10 est une coupe suivant 10-10 de la figure 7, montrant en détail la construction de la détente à ressort prévue pour déterminer les différentes positions réglées du pivot autour duquel bascule le rail de con- trôle quand son extrémité à charnière est relevée, une détente similaire étant prévue pour déterminer la position de l'extrémité à charnière du rail en différentes positions par rapport à la position de départ de ligne du suiveur de lignes.
Les figs.11 à 16 incluse sont des illustrations schématiques semblables montrant l'appareillage perfectionné selon l'invention dans diffé- rentes positions de réglage; la figure 11 indiquant le réglage pour lequel Inaction justificatrice est effective dans toute une ligne!) comme d'ordinaire dans la composition de textes; la figure 12 indiquant le réglage pour lequel Inaction justificatrice est sans effet sur une partie d'une ligne contenant une portion tabulée à son extrémité de départ; la figure 13 indiquant le régla- ge pour lequel 1-'action justificatrice est sans effet sur une- partie d'une ligne contenant une portion tabulée à son extrémité terminale;
la figure 14 indiquant le réglage pour lequel Inaction justificatrice, est sans effet sur des parties de lignes contenant des portions tabulées à la fois aux extrémi- tés de départ.et terminale; la figure 15 indiquant le réglage pour lequel 1' action justificatrice est sans effet dans toute une ligne, pour produire des lignes "alignées à gauche" de longueur quelconque et la figure 16 montre un réglage similaire permettant de produire des lignes alignées à droite de lon- gueur quelconque.
Conformément à la présente invention, le dispositif de justifica- tion perfectionné est représenté incorporé à une machine de photocomposition lettre par lettre du type décrit dans les brevets précités; ces machines com- prennent un dispositif de justification qui peut être modifié conformément à la présente invention.
Les éléments porte-caractères du type employé dans ces machines
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sont décrits dans les brevets des Etats-Unis d'Amérique n .2.231.925 du 18 Février 1941 et 2.486.834 du 1er. Novembre 19499 et on a représenté un tel élément, désigné par M sur la figure 5.
Décrite à propos des machines ci-dessus et représentée sur la figure 1, une ligne composée d'éléments porte-caractères M-1 se présen- tant devant le suiveur de lignes 1 est ainsi portée à la station de mesure de lignes où la ligne amenée., indiquée en trait interrompu., est désignée par m62. Lors de l'arrivée à la station de mesure de lignes., le suiveur de lignes est momentanément verrouillé au cavalier 2 qui est préalablement ré- glé manuellement le long de la voie d'alimentation de ligne 3 dans une posi- tion correspondant à la longueur de la ligne justifiée à produire.
Cette po- sition verrouillée du suiveur à l'extrémité terminale de la ligne composée d'éléments est sa position de départe c'est-à-dire la position à partir de laquelle il avance graduellement lors du prélèvement des éléments indivi- duellement et successivement depuis la tête de ligne, ce prélèvement étant effectué par des chaînes d'alimentation ou analogues (non représentées) sus- ceptibles de déplacer les éléments vers le haut le long de la paroi C du canal d'alimentation en élémentsformé dans la paroi droite du boîtier de caméra H, jusqu'à l'axe optique 0-0 pour l'exposition photographique.,
On réalise le réglage du cavalier 2 et par suite du suiveur de lignes à la position de départ de lignes désirée grâce à des dispositifs ré- glables,
comprenant un volant voisin du clavier, tel qu'il est décrit en dé- tail dans le brevet des E.U.A. 2.552.882. En résumé le dispositif de justi- fication comprend un arbre vertical 4 que l'on fait tourner à 1 il aide de liai- sons convenables au volant précité (non représentées) et qui porte à son extré- mité supérieure un engrenage conique 5 engrenant normalement avec un engrena- ge correspondant 6, ce dernier étant monté rotatif dans un support 7 fixé à la crémaillère d'alimentation 3, comme représenté, et étant vissé intérieure- ment sur la vis allongée 8 fixée à ses extrémités opposées au repère 9 et à une oreille à l'arrière du cavalier 2.Comme il est évidente la rotation de l'engrenage 6,
quand on fait tourner l'arbre 4 entraîne le déplacement de la vis 8 et du cavalier et du repère qui lui sont fixés solidairement par rap- port à la crémaillère d'alimentation 3, la disposition étant telle que quand on place le repère à la longueur de lignes indiquée sur l'échelle 10 fixée à la crémaillère 3, la position du cavalier 2 sur la crémaillère 3 est telle que la position de départ du suiveur de lignes correspond à la longueur de ligne indiquée.
Le réglage précédent du cavalier 2 est naturellement fait quand le suiveur de lignes 1 est dans sa position normale ou de retour à la station d'alimentation (extrême droite dans les figures 1 et 2), et la crémaillère d' alimentation de lignes 3 est bloquée dans sa position normale., comme on le voit sur les figures 1 et 2, par engagement avec un pignon 11 d'une dent à l'extrémité supérieure de la tige de verrouillage 12, le pignon 11 engrenant constamment avec les dents du côté inférieur de la crémaillère.
Sur les figures 1 et 2, on a représenté le suiveur de lignes 1 verrouillé au cavalier 2, avec ce dernier et le repère 9 réglé pour une ligne de 30 Ems, en disposant ainsi le suiveur à une position de départ de ligne dans laquelle sa face gauche (la face de la tête de plongeur 14b qui y est pratiquée comme on l'expliquera plus loin) est placée à 30 Ems de la paroi verticale C du canal d'alimentation (comme il est indiqué sur la figure 2) qui est la position constante de fin de ligne du suiveur., la ligne composée d'éléments M-2 entre le suiveur et la paroi C étant un peu plus courte que 30 Em. comme il est d'usage dans les buts de justification.
Si l'on considère maintenant l'appareillage de justification per- fectionné selon la présente invention., une partie en est constituée par les éléments de composition de ligne coopérant portés par le suiveur de lignes et
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correspondant aux éléments semblables complètement décrits dans le brevet 2039506590 Le reste de l'appareillage de justification est constitué par la nouvelle construction du rail de contrôle 19 prévu ici pour commander les organes de resserrage et les moyens grâce auxquels ce rail est réglé et manoeu=
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viré pour atteindre les buts définis ci-dessus.
Comme on 19a vu ci=dessus les organes de resserrage de lignes comprennent la pièce en forme de coin 13 dépla= gable verticalement dans des guides c01ib-venab1es prévus dans le corps du sui- veur et qui, quand elle se déplace vers le haut entraîne le plongeur dépla- gable horizontalement 14 vers la gauche en l'éloignant du corps du suiveur (dans la direction de resserrage de la ligne) en opposition au ressort 15.
Sur la figure 1 les éléments 13, 14 sont représentés maintenus dans leur position inactive ou de repos par le ressort 15,ces positions étant établies par engagement de la tête du plongeur 14b contre l'extrémité supérieure de la fente de limitation de course 16 de Isolément 13 contre la vis d'arrêt 17, Inaction de retour provoquée par le ressort 15 sur la. tige du plongeur 14 étant transformée en une action vers le bas sur le galet 14a (monté sur la tige) contre la surface du coin 13 pour effectuer ces engagements simultanés.
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La eh-arnîère réglable du rail de \'.3entle Dourlesligne6 régulières et tabu- liées à gauche,,
Si l'on se réfère aux figures 1, 4 et 5 on voit que le nouveau rail de contrôle 19 est monté sur une charnière 20 fixée à un bloc 21 dont le
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côté intérieur a une forme telle qu9il entoure une barre à crémaillère 22 en forme de T le long de laquelle on peut régler longitudinalement le bloc à différentes positions de longueurs de lignes par rapport à la position de départ de ligne à laquelle on peut régler le suiveur 1.Un repère 23 sur le bloc 21 indique sa position de réglage par rapport à une échelle graduée 24 en Ems montée sur une barre transversale 25 sur laquelle est fixée la barre.
à crémaillère 22, et un cliquet pressé par un ressort, convenablement logé dans le bloc 21 (semblable au dispositif de la figure 10) et manoeuvré par un bouton moleté 26 sert à bloquer le bloc 21 dans différentes positions de ré- glage le long de la barre à crémaillère 22. Comme il est indiqué, la surface supérieure du rail 19 prolonge la surface supérieure du bloc 21, et le rail
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a une longueur suffisante pour recouvrir le suiveur et une ligne d9éléments quand le bloc 21 est réglé pour la plus longue ligne indiquée sur l'échelle 24.
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La barre transversale 25 9 étcad horizontalement au-dessous de la station de mesure de lignes de la machine et est fixée aux extrémités ou- péri'enreg d'une paire de tiges 27 qui en même temps que la barre transversale 25 forment un support,, les tiges 27 étant guidées pendant leur mouvement ver- tical dans un support vertical 28 fixé au logement rigide 29 au-dessous de la station de mesure de lignes de la machinéeComme on le voit sur la figure 4, les tiges 27 sont tourillonnées à une pièce de liaison transversale 30 de
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façon à se déplacer à 19unîsson en élevant le supporte le bloc 21 et l'extré= mité à charnière 20 du rail 19, et ainsi à commander les organes de resser-
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rage 13, 140 Ce mouvement est transmis aux tiges 27 par un levier à mouvement alternatif 31 (voir figure 8)
pivotant en 32 sur une partie du cadre rigide de la machine, le bras avant du levier 31 étant relié aux oreilles de la pièce de liaison transversale 30 par une bielle 33 et son bras arrière portant un galet 34 commandé par une came 35 placée sur l'arbre de commande principa-
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le 36 de la maehineo Un ressort 31 pousse le levier 31 dans le sens contraire à celui des aiguilles d'une montre sur son pivot de .façon à maintenir le galet 34 en position de fonctionnement par rapport à la came 35.
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De ce qui pre rède, on voit que quand la came 35 tourne dans la di= rection de la flèche de la figure 8 (comme elle le fait en relation tempori= sée avec l'arrivée d'une ligne composée d'éléments à la station de mesure de lignes),le contour en retrait de la came 35a permet au levier 31 (sous Inaction du ressort 31a) de basculer vers le haut à son extrémité avant, re-
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levant ainsi simultanément les tiges 279 la barre transversale 25, le bloc 21 et l'extrémité à charnière du rail de contrôle 19, ce dernier basculant au- tour de ses charnières vers le bas, autour d'un pivot de support que l'on dé- crira plus loino Ce relèvement du bloc.
et du rail contre le galet supérieur 18 de l'élément en forme de coin 13 entraîne évidemment le déplacement vers le haut de cet élément? qui à son tour, entraîne le plongeur associé 14 vers
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la gauche dans une direction de mesure du.. resserrage ou du raccouroîssage des lignes, cette condition étant illustrée sur la figure 4 dans laquelle on voit la tête de plongeur 14b dépasser du côté gauche du corps du suiveur
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de lignes 1.
L9étendue du déplacement des organes coopérants 13a 14 dépend naturellement de la quantité de raccourcissage que l'opérateur peut avoir laissée dans une ligne composée d'éléments avant le suiveuro Cependant le contour en retrait 35a de la came 35 a une profondeur telle qu'elle permet un relèvement de la barre transversale 25 et du bloc 21 suffisant pour me-
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surer la quantité maximum de ramoouro.ssage qU'il est possible de laisser ( 0 9 est à.dire 3 Ems) dans la plus longue ligne à produire Quand le rac- courcissage à mesurer est inférieur à ce maximum9 le galet 34 du levier de commande 31 est placé naturellement un peu plus loin du contour en retrait de
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la cameg tandis que le ressort 3la pousse les organes de resserrage aussi loin qu}1il est nécessaire pour compenser le raceourcisasment de ligne.
De ce qui précède on voit également que 1-'on peut régler le bloc, 21 le long de la crémaillère 22 de façon à disposer la charnière 20 du rail
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19a soit directement en alignement vertical avec l'axe du galet d'entraine- ment du rail 18 (en correspondance avec la position de départ de ligne du. suiveur 1 indiquée sur les échelles respectives 24 et 10)soit pour placer la charnière du rail 20 vers la gauche de 19 axe du galet 18.
Dans tous les cas, comme 1 ?extrémité articulée du rail 19 et le bloc 21 sont relevés ensem- ble et comme ce dernier, quand il est à n'importe quelle position de ligne sur
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la crémaillère 22 peut se relever de n'importe quelle quantité jusqu.9à la ca- pacité maximum de mesure de rascoureissage de ligne des organes d, resserra- ge, ces organes (ce qui les distingue de ceux du brevet 0395059 peuvent;
) quand ils sont commande., mesurer le même racsoursissage dans toute longueur de ligne depuis la plus courte jusqu'à la plus longue que la machine peut pro- duireo Le but d'un tel réglage du bloc z en s'éloignant de la charnîère 20 vers la gauche de la position de départ du suiveur et de l'axe du galet 18
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est de constituer une surface horizontale (le sommet du bi-oc 21)
sur laquelle le galet peut rouler avant que les organes de resserrage commencent leur rc-
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toure en rendant ainsi l'action de justification sans effet sur la partie d'une ligne vers son extrémité de départ quand elle contient une partie ta- bul ée
Comme on le voit sur les figures 8 et 9 on prévoit un verrou à genouillère classique pour maintenir les tiges 27 dans la position quelles pren- nent en relevant le bloc 2l et l'extrémité articulée du rail 19 comme il est décrit ci-dessus.
Ce verrou comprend des bielles semblables 37 dont des ex-
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trématés en fourchette entourent les tiges 279 ces bielles étant actionnées par une tige 38 qui leur est fixée en 39 et déplaçable d'avant en arrière dans des guides convenables, la. tige étant fixée à son extrémité opposée à
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un bras basculant 40 (monté sur un pivot convenable fixe non repré6en%é)
por- tant un galet 41 sensible à 1-'action d'une came 42 La position et la forme du contour en retrait 42a de la came 42 sont telles quelles libèrent la ti- ge 38 et permettent au ressort 43 de tirer les bielles à genouillère de leur position relâchée représentée sur la figure 9 en engagement à emboîtement im- médiatement après leur relèvement par le levier 31 et de remettre les bielles
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à 1 eu,< position relâchée après la fin de Inaction de juatifisationo Le pivot réeabl du rail de contrôle Doyr les l.n é éb ,s et i:
,abu1ée à droite. --Iêeg
Si l'on se réfère maintenant à la construction particulière du rail 19 et aux moyens prévus pour le support à pivot de es rail en des points
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situes au=delà. de sa charnière 20, on doit examiner les figures 2, 4 et 5. Com- ms on le voit, le rail 19 comprend des élémentsq inférieur et supérieur9 réu- sis convenablement ensemble de façon à être parallèles 1?un à l'autre à une certaine distance, pour laisser entre eux une fente allongée ouverte 44 dans laquelle glisse le patin 45 d9un support en forme à?étrier comportant des bras verticaux 46. Des goupilles 47 dépassant des bras 46 vers l'extérieur à travers des fentes 48 pratiquées dans des plaques latérales verticales 49 constituent un pivot supportant de façon basculante la rail chevauchant le patin 45.
La disposition est telle que quand on règle le bloc 21 longitudinalement sur la crémaillère 22 (avec les diverses parties en position de repos ou en position active représentée sur la -figure 1) le rail 19 glisse simplement librement sur
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le patin de l'étrier 45. Cependant quand le bloc 21 est relevé,, le rail baseu- 18 vers le bas autour de sa charnière et en raison du chevauchement du patin d9é'ù-rier 459 il fait basculer 1?étrier autour du pivot 47 Cette position des divers éléments est clairement représentée sur la figure 4 sur laquelle on a fait basculer le support en étrier depuis sa position suspendue normale verti= sale comme on le voit sur la figure 1 jusqu'à une position angulaire normale
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à l in1inaion du rail 19.
Ainsi l'axe de pivotement 47e tel queon l'a décrit correspondant au pivot stationnaire du rail de contrôle du brevet 2.395.659, étant apparent sur la figure 1 que le pivot 47 est disposé en un point sensiblement vertical au-dessous de l'extrémité d'attaque de la ligne composée d9éléments M-2 et qui-
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correspond au point de fin de ligne du trajet du suiveur 1. clest=à-dire au point auquel les organes de resserrage de ligne ont complètement subi leur ac- tison de retour (en raison du prélèvement de tous les éléments et de 1?incli- naison vers le bas du rail dans le sens allant de sa charnière 20 au pivot 47) et auquel l'axe du galet 18 coïncide latéralement avec l'axe du pivot simulta- nément à l'arrêt du suiveur contre la paroi verticale C du canal d9alimentation en éléments.
Cependant, comme il est indiqué précédemment, le pivot 47, autour duquel bascule le rail 19 quand son extrémité 20 à charnière est relevée, est disposé de façon à pouvoir être réglable longitudinalement vers la charnière 20 de façon à établir pour le galet 18 un point de fin de ligne sur le rail sur lequel il avance depuis le point de fin de ligne constant du suiveur d' une quantité déterminée Le but du réglage du pivot 47 est de permettre le re- tour complet des éléments de resserrage avant que tous les éléments d'une ligne soient prélevés,
ce qui rend Inaction de justification effet sur cette partie de ligne vers son extrémité terminale contenant une portion ta= bilée
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Si l'on se réfère aux figures 49 5 et 79 on voit que l'axe du pivot 47 est disposé pour permettre ce réglage longitudinal par montage des plaques verticales- 49 sur un bloc 50 dont la forme est telle sur son côté in-
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térieur qu9il entoure en coulissant une barre crémaillère en forme de T, 51 fixée au support vertical rigide 28. Un eliqueu 52 pressé par un res$or't- et convenablement logé dans le bloc 50e voir figure 109 et manoeuvré par un bou= ton à main 53 sert bloquer le bloc 50 en différentes positions de réglage le long de la crémaillère 51, comme 1?indique la position de la flèche 54 par
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rapport à 1-'échelle graduée en Ems 55.
Sur la figure 1 on a représenté le bloc 50 réglé au zéro de l'é- chelle 559 de sorte que le pivot 47 est sensiblement verticalement au-dessous de l'extrémité d'attaque de la ligne d'éléments M-2. Sur la figure 3 cepen='
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dant s bloc 50 est placé 10 Ems à droite du zéro de l'échelle 559 ce qui place ainsi le pivot 47 de façon correspondante à un point de 10 Ems en avan- ce sur la position de fin de ligne du suiveur de lignes, en 20 Ems au lieu de
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30 Ems à partir de la position de départ de ligne pour laquelle le suiveur est réglé comme il est indiqué sur 1?échelle 24 de la figure 1.
Il en résulte qu'
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après que 1?extréwité à charnière du-rail.est relevée pour effectuer une ope-
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ration de mesure de raccourcissage de ligne des organes de resserrage de ligne, seule la partie inclinée du rail 19 entre sa charnière 20 et le pivot 47 fonctionne pour effectuer Inaction de retour des organes de resserrage quand le suiveur fait avancer le galet de suiveur de rail 18 sur cette par- tie du rail, l'action de retour étant complète dès que l'axe du galet 18 coin- cide avec l'axe de pivot 47 à sa position 10 Ems.En conséquence, l'action de justification n'est effective que par rapport aux éléments prélevés sur les 20 premiers Ems de la ligne composée.,
et comme les éléments des 10 Ems res- tants de la ligne sont prélevés le galet 18 quitte le rail et se déplace suivant un trajet horizontal le long du suiveur jusqu'à ce que ce dernier atteigne sa position constante de fin de ligne contre la paroi G du canal d'alimentation.
Il est maintenant évident que le réglage de la charnière du rail 20 et/ou du support à pivot du rail 47 en des points éloignés respec- tivement des positions de départ de ligne et de fin de ligne du suiveur 1 provoque l'action de justification (retrait des organes de resserrage) n'est effective qu'entre ces points éloignés et qu'elle est ineffective par rapport aux éléments porteurs de caractères tabulés prélevés d'une ligne composée quand le suiveur avance de sa position de départ de ligne jusqu'à sa char- nière 20 et du pivot 47 jusqu'à sa position de fin de ligne contre la paroi C du canal d'alimentation en éléments.
Les verrous rendant ineffective l'action de justificationQuand on produit des lignes alignées sur une marge à droite ou à gauche.
Les moyens apportés par l'invention pour rendre Inaction de jus- tification ineffective sur toute la longueur de la ligne de façon à permettre la production de lignes "alignées à droite" ou "alignées à gauche" vont main- tenant être décrits avec référence aux figures 5, 6 et 7. Comme on le voit mieux sur la figure 5, ces moyens comprennent les verrous de blocage 56 et 57, dont on peut déplacer l'un ou l'autre longitudinalement en position ac- tive comme on le désire en plaçant convenablement un. levier à main 58 de la manière décrite ci-après.
On utilise le verrou 56 quand on produit des lignes "alignées à droite" et il est déplaçable longitudinalement dans des appuis convenables 59, 59a au-dessous du sommet du logement 29, un ressort 60 accroché à une extrémité à l'appui 59 et à l'autre extrémité au verrou rappelant ce der- nier à sa position de retour ou de repos où une goupille 61 du verrou bute contre l'appui 59 comme on le voit sur le bas de la figure 5En position rap- pelée, l'extrémité intérieure du verrou 56 est dégagée d9une cavité coopé- rante 56a de la tige 27 de droite,, voir figures 1 et 5,et son extrémité ex- térieure ou avant est sur le trajet d'une goupille 62 fixée dans un collier 63,
ce dernier étant fixé à un arbre transversal 64 pouvant basculer axiale- ment dans des portées convenables des parois latérales opposées du logement 29. Pour le basculement de l'arbre transversal 64, une partie- de celui-ci dépassant la paroi de droite du logement 29 est fixée à un collier agrandi auquel est fixé le dit levier à main 58.
On utilise le verrou 57 quand on produit des lignes alignées à gauche" et il est déplaçable longitudinalement dans un manchon d'appui 66 fixé àet s'étendant vers l'arrière de l'extrémité gauche de la barre trans- versale 25, voir figures 4, 5 et 7, le verrou étant muni de plusieurs enco- ches 67 grâce auxquelles on peut le retenir en différentes positions par une détente à ressort et bille 68. Quand il est dans sa position rappelée ou de repos représentée sur la figure 5, l'extrémité extérieure ou avant ou-verrou 57 est alignée avec la face avant de la crémaillère 22, cette dernière étant percée d'un trou prolongeant 1-'appui dans le manchon 66 pour recevoir le ver- rou.
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En plaçant le levier à main 58 selon les repères portes sur le collier 65 auquel il est fixée on peut déplacer 1-'un ou l'autre des verrous 56 ou 57 de leurs positions de repos représentées sur la figure 5 à une po= sition active.
Ainsi, en faisant basculer le levier 58 à sa position désig- née par "F.R." (alignement à droite) et ainsi en faisant basculer 1-'arbre trans- versal 64 dans le sens contraire à celui des aiguilles d'une montre somme on le voit sur la figure 5, la goupille 62 entraîne le verrou 56 vers Pinté= rieur (entre Inaction du ressort 60)
de sorte que son extrémité intérieure pé= nètre dans une cavité annulaire 56a de selle des tiges de guidage 27 qui est située à droite et ainsi bloque les tiges 27 en les empêchant de fonctionner sous 1 effet du levier de commande 31 et de la came 35En faisant basculer le levier 58 à la position désignée par "F.L." et ainsi en faisant basculer l'arbre transversal 64 dans le sens des aiguilles d'une montre, comme on le voit sur la figure 5, des liaisons positives convenables (décrites im- médiatement ci-après) interviennent pour projeter le verrou 57 dans la fente ouverte 44 du rail 19, voir figure 6,
bloquant ainsi le rail avec la barre transversale 25 par laquelle il est relevé quand les tiges 27 sont comman- dées par leur levier de commande 31.
Les liaisons positives pour le déplacement du verrou 57 compren- nent une chaîne continue 69 s'étendant depuis une roue à chaîne 70 fixée sur l'arbre transversal 64 jjsqu'à une roue à chaîne 71 fixée sur un tourillon 72, sur lequel est goupillé un engrenage 73 rencontrant normalement des dents 74 de la face inférieure du verrou 57.Le tourillon 72 peut tourner dans un appui situé à l'extrémité supérieure d'un support vertical 75 fixé au loge- ment 29 vers le bord arrière gauche de celui-ci et la chaîne 69 passe sur des roues intermédiaires folles 76 et 77 goupillées sur des arbres similaires 78 montés rotatifs à une extrémité dans une oreille de support 79 et à l'au- tre dans la paroi de gauche du logement 29 comme on le voit sur la- figure 1.
Par suite quand on tourne vers 1-'avant le levier à main- 58, de la position verticale indiquée en trait plein sur la figure 5 à la position "alignement à gauche" indiquée en trait interrompu,, la rotation de l'engrenage 73 dans le sens des aiguilles d'une montre par la chaîne 69 entraîne le verrou 57 vers la droite ou vers l'avant en engagement de blocage avec le rail 19 somme on le voit clairement sur la figure 60 Quand on tourne le levier à main 58 vers larrière de sa position verticale à la position "alignement à droite" indi- quée en trait interrompu sur la figure 5 (dans le but d'amener le verrou 56 en action)
la rotation dans le sens contraire à celui des aiguilles d'une mon= tre de l'engrenage 73 par la chaîne produit simplement un déplacement de re- tour sans effet du verrou 57 de la quantité égale à la distance comprise en- tre les deux encoches 67 très rapprochées. Comme il est évidente le retour du levier à main 58 à sa position verticale depuis l'une des positions- "F.R." ou "F.L." remet les verrous à leur position inactive représentée, sur la figure 5, la liaison à chaîne et engrenages fonctionne pour le retour du verrou 5-7 et le ressort 60 pour le retour du verrou 56.
Quand on déplace le verrou 56 désalignement à droite" en posi- tion active dans laquelle son engagement avec la cavité 56a bloque les tiges 27 en les empêchant de relever le rail de contrôle 19, les organes de resser- rage de ligne restent naturellement inactifs.Dans ces conditions, le suiveur de lignes et le porte-films libérés de leur position de départ de ligne pren- nent ensemble une avance initiale aussi étendue qu'il est nécessaire pour porter le premier élément de la ligne composée à la position de prélèvement contre la paroi C du canal d'alimentation, puis continuent d'avancer jusque à ce que tous les éléments soient prélevée, le galet 18 pendant ce temps étant séparé du rail 19 comme sur la figure 16.Par suite,
aucune action de justification ne se produit- et les lignes sur le film partent en des pointe quelconques correspondant à la position du premier élément porteur de- ca- ractère de la ligne composée mais se-terminent à la marge commune ou d'"alig- nement à droite" établie par la position constante de fin de ligne du suiveur contre la paroi Co
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Quand on déplace le verrou d'"alignement à gauche" 57 en position active dans laquelle il pénètre dans la fente 44 du rail 19, il bloque le rail avec la barre transversale 25 en un point éloigné de son extrémité à charniè- re 20.
Par suite le relèvement de la barre 25 par les tiges 27 provoque le relèvement du rail parallèlement à lui-même le relèvement du verrou 57 hors de prise d'avec son engrenage 73 comme on le voit sur la figure 7, et le re- lèvement de l'étrier 46-46 par le .rail qui le chevauche$ le pivot 47 se dé- plaçant depuis le bas jusqu'en haut des fentes 48 des plaques latérales 49, comme il est indiqué sur la figure 15.
En raison de ce relèvement parallèle du rail 19, les organes de resserrage de lignes sont actionnés à toute l'éten- due du "raccourcissage" que l'on peut laisser dans la ligne composée d'éléments en avant du suiveur de lignes., mais avec le rail bloqué à sa position relevée (par l'action du verrouillage à genouillère sur les tiges 27) les organes de resserrage sont maintenus à leur position actionnée et contre toute action de retrait lorsque le suiveur et le galet 18 avancent à leur position de fin de ligne par rapport au rail horizontal 19. Dans ces conditions,
l'action de justification est rendue sans effet entièrement et les lignes produites sur le film débutent à une marge commune ou d"'alignement à gauche" mais finis- sent en des points quelconques selon la disposition du dernier caractère de la ligneLe verrou 57 revient en prise avec l'engrenage 73 quand la char- nière 20 du rail et le pivot 47 sont simultanément abaissés sous l'effet des tiges 27 et de la came 35.
A propos du déplacement du verrou 57 en position active "pour un alignement à gauche". on observera que l'organe inférieur du rail 19 est muni d'une nervure surélevée 80 qui réduit la largeur de la fente 44 sauf à son extrémité gauche de manière à empêcher le déplacement du verrou 57 dans la fente 44 à moins que le bloc 21 ne soit disposé à l'extrême droite pour la plus longue ligne possible pour la machine,comme il est indiqué sur l'é- chelle 24. Cette disposition dégage également le rail 19 du. carter de camé- ra H (tel qu'il est représenté dans le brevet des Etats-Unis d'Amérique n .2.552.882) qui gênerait autrement le relèvement du rail à un niveau supé- rieur à celui auquel le pivot 47 le supporte quand il repose à l'extrémité inférieure des fentes 48 des plaques latérales 49.
Sur la figure 15 on voit le verrou 57 se prolongeant dans la fente 44 juste dégagée de la nervure 80 quand le repère 23 du bloc 21 est en face de la graduation 42 Ems sur l'échel- le 24.
Dans l'utilisation du verrou d'"alignement à gauche" 57 on doit également remarquer comme on l'a déjà dit, que l'on doit composer les lignes d'éléments dans la capacité maximum de mesure de raccoureissage de lignes des organes de resserrage (c'est-à-dire 3 Ems}; la raison en est que pour obtenir une marge de départ commune pour chaque ligne,, l'élément de départ de ligne doit être, en position de prélèvement, directement contre le canal d'alimentation C,simultanément au retour du suiveur de ligne et du porte- film à leurs positions de départ de lignes.
En d'autres termes!) si on doit composer une ligne avec un "raccourcissage" supérieur à la capacité maximum de mesure de lignes des organes de resserrage, le suiveur de lignes et le porte-film, à leur retour, devraient prendre simultanément une avance ini- tiale libre, (de l'étendue de la différence entre le domaine maximum des or- ganes de resserrage et le raccourcis sage excessif) dans le but de porter l'élément d'attaque jusqu'au canal d'alimentation. Il. en résulte que le point de départ de la ligne reproduite sur le film pénétrerait dans la marge commune ou d'"alignement à gauche" de la longueur de cette avance initiale.
Evidemment toute ligne qui ne contient pas suffisamment de carac- tère pour venir dans un domaine de mesure de 3 Ems- peut être composée dans ce dcnaine, simplement en ajoutant suffisamment de blancs ou éléments d'es- pacement pour remplir complètement ce domaine de mesure.
Comme on le voit mieux sur la figure 5 et comme il est indiqué sur la figure 1, la position verticale du levier à main 58 est désignée par
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"J" qui signifie "justification"9 et c'est la position normale du levier pour produire des lignes justifiées de-toute longueur, quelle qu'elle. soit,. En d'autres termes,quand le levier 58 est réglé à la position J, toute ligne mesurée d'éléments apportés à la station de mesure de lignes de la machine est mesurée pour le "raccourcissage" par relèvement de 1-'extrémité à char- nière du rail de contrôle 19 et par libération du suiveur de lignes et son avance,, ainsi que celle du porte-film, la quantité mesurée de raccourcissage est répartie soit dans toute la.
ligne reproduite soit dans une portion de celle-ci déterminée par le réglage de la position de la charnière 20 du rail et du- pivot 47 par rapport aux positions de départ de lignes et de fin de ligne-dû suiveur.
Le suiveur de lignes 1 est libéré de sa position de départ de ligne (déterminée par le réglage-du cavalier 2'et du repère 9 le long de la crémaillère d'alimentation 3) par le dégagement de la tige de blocage 12 d'a- vec le pignon 11. Ce dégagement est effectué par une traction vers le bas d'un sabot coopérant 81 fixé à une tige coulissante verticale 82, elle-même reliée par une bielle 83, (figure 8) à un bras d'un levier 84 pivotant en 32 et muni d'un galet 85 suivant une came 86.Le relief 86a du contour de la came 86 est disposé de telle sorte qu'il fait basculer le levier 84 dans le sens contraire de celui des aiguilles d'une montre, contre l'action d'un ressort 87 et ainsi provoque le retrait de la tige 12 sous Inaction du pa- tin,
en relation temporisée avec Inachèvement de-Inaction de mesura de la ligne produite par la rotation¯de la came 35 et le verrouillage subséquent des bielles à genouillère 37 sous l'effet de la came 42. Après le prélèvement du dernier élément d'une ligne de ceux-ci et le retour du- suiveur de.
lignes et de la crémaillère d'alimentation 3 à leurs positions normales, la tige de verrouillage 12 revient en engagement avec le pignon 11 sous l'action d'un ressort (non représenté mais entourant la tige 12 somme dans le brevet des E.U.Ao n .2.552.882), le levier 84 baseulant dans le sens contraire à ce- lui des aiguilles d'une montre sous 1-'effet du ressort 87 sous l'action du contour rentrant de la came 86, de façon à relever le patin de commande 81.
Comme on l'a déjà indiqué, quand le suiveur de lignes est li- béré, ses avances pas à pas à la suite de chaque prélèvement d'un élément sont transmises au porte-film par une liaison à engrenage et arbres entre le porte-film et la crémaillère d'alimentation 3. L'engrenage conique 91, fixé à la face avant du pignon 11 (voir figure 2) mis en rotation par la crémaillère d'alimentation 3 quand il avance est un élément de ces liai- sons de transmission de mouvement. Quand la crémaillère 3 avance, son ex- trémité droite est supportée par un galet 88 porté par un support 89 fixé à la crémaillère et qui suit un rail de guidage. 9Q oomme on le voit sur la figure 1.
Résumé de la description -
Dans ce qui précède on a expliqué comment différentes conditions de réglage de la charnière 20 et du pivot 47 du rail de contrôle 19 provoquent l'action de justification de l'appareillage perfectionné satisfaisant aux "nécessités de justification" mesurées par les organes de resserrage et effec- tives soit dans toute une ligne, soit seulement sur une partie prédéterminée d'une ligne, de-façon à produire des lignes justifiées de la façon ordinaire ou des lignes justifiées contenant des parties tabulées à une extrémité ou aux deuxOn a expliqué comment l'appareillage perfectionné permet la produc= tion de lignes alignées sur la marge de gauche ou de droite d'une colonne, par l'utilisation sélective des verrous de blocage 56 et 57.
Les figures 11 à 16 incluse illustrent schématiquement les parties essentielles de l'appareillage perfectionné en position réglée pour la produc- tion de lignes ayant les différentes caractéristiques précitées. Pour plus de simplicité on a représenté le suiveur de lignes 1 dans chaque cas à une posi- tion de départ pour la- production d'une ligne de 30 Ems, et la position de me-
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sure de raccourcissage du plongeur 1412 par rapport au suiveur est indiquée en trait interrompuo Un modèle imprimé est associé à chaque figure., ce modèle indiquant la nature de la ligne produite sur le film (mais représentée en demi grandeur) à partir d'une ligne composée d'éléments supposés être devant le suiveur de lignes.
Le trajet du galet 18, quand le suiveur de lignes va de sa position de départ de ligne à sa position de fin de ligne, est indiqué par la ligne en trait mixte gras
En se rappelant que l'on utilise ici l'expression "action de jus- tification" comme synonyme de "répartion de raccourcissage de ligne mesurée" (le résultat de l'action de retour des organes de resserrage de ligne en raison de ce que le galet 18 suit le rail central incliné vers le bas),l'ap- pareillage perfectionné de justification selon l'invention fonctionne pour pro- duire des lignes ayant six caractéristiques différentes comme suit Limes ordinaires justifiées sur toute leur longueur.
La figure 11 représente les conditions régnant quand on produit une ligne de type "AA" qui représente la variété ordinaire de lignes justi- fiées de texte tel qu'on la produit également avec l'appareillage de justifi- cation décrit au brevet nO.2.396.659 du 19 Mars 1946. Comme on le voit, les axes de la charnière du rail 20 et du galet suivant le rail 18 sont alignés verticalement (le bloc 21 étant réglé pour 30 Ems comme dans la figure 1) et, comme il est indiqué par la ligne de "tracé" en trait mixteg le galet 18 suit le rail incliné vers le bas 19 depuis sa charnière 20 jusqu'en un point coincidant avec le pivot 47 supportant le rail quand le suiveur de lignes avan- ce depuis sa position. de départ de 30 Ems jusqu'à sa position de fin de lignes contre la paroi C du canal d'alimentation en éléments.
Par suite, les organes de resserrage de lignes subissent une action de retour pendant le prélèvement de tous les éléments de la ligne composée et l'action de justification est ainsi effective pendant toute la ligne de 30 Ems "AA" reproduite sur le film.
Limes justifiées contenant des parties tabulées à leur extrémité de départ.
La figure 12 indique les conditions régnant quand on produit une ligne du type "BB", qui représente une ligne justifiée contenant par exemple 6 Ems de matière tabulée à son extrémité de départ. Dans ce cas, le bloc 21 est réglé à la graduation 24 de l'échelle 24, comme sur la figure 4, de sorte que la charnière 20 du rail est déplacée de façon correspondante de 6 Ems de la position de départ de ligne de 30 Ems du suiveur 1. Par suite comme l'in- dique la ligne de "tracé" en trait mixte, le galet 18 suit la surface supé- rieure du bloc 21 pendant la première avance de 6 Ems du suiveur (à la suite du prélèvement des éléments portant les caractères tabulés présents dans les 6 premiers Ems de la ligne composée d'éléments) , et ainsi,, les organes de res- serrage sont retenus contre le retrait.
Puis pendant le prélèvement des élé- ments restants., les organes de resserrage subissent le retour quand le galet 18 suit le rail incliné 19 de sa. charnière 20 au point de fin de ligne où son axe coincide avec l'axe du pivot de support du rail 47 et le suiveur atteint simultanément la paroi C du canal d'alimentation en éléments. Ainsi, l'action de justification est rendue sans effet par rapport aux 6 premiers Ems de ma- tière tabulée à l'extrémité de départ de la ligne justifiée de 30 Ems "BB" reproduite sur le film.
On observera sur la fig. 1 que le bloc 21 est inscrit avec la let- tre "L" grâce à quoi l'opérateur peut immédiatement l'identifier comme étant la bonne pour le réglage de tabulation à gauche. On doit aussi noter que, bien que la longueur du bloc 21 ne soit représentée suffisante que pour permettre le déplacement de la charnière 20 de 10 Ems environ de matière tabulée, ceci est une limitation purement arbitraire et n'est donnée qu'en exempleo Lignes justifiées contenant des parties tabulées à leur extrémité terminale.
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La figure 13 indique les conditions régnant quand on produit une ligne du type "CC" qui représente une ligne justifiée contenant par exemple 10 Ems de matière tabulée à son extrémité terminale. Dans ce cas, le bloc 21 est réglé à 30 Ems en correspondance avec la position de départ de ligne du suiveur 1 comme dans la fig1-par exemple, de sorte que la charnière 20 du rail est alignée verticalement avec 1-'axe du galet 18, tandis que le bloc 50 est réglé pour déplacer le pivot 47 de 10 Ems en avant de la position de fin
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de ligne du suiveur, comme il est indiqué sur 1-'éohelle 55 de la figure 3 Par suite, comme 1-'indique le "tracé" en- trait mixte,9 le galets 18 suit le rail incliné vers le bas 19 depuis sa charnière 20 jusqu'au. point où.
son axe coincide avec l'axe du pivot 47, le retour des organes de resserrage étant complet en ce pointe Puis quand le suiveur continue son avance à la suite du prélève,ment des éléments porteurs de caractères tabulés présents dans les 10 derniers Ems de la ligne composée d'éléments, le galet 18 quitte- le rail 19 et se déplace horizontalement avec le suiveur,
jusqu'à la-position.de fin de ligne de ce dernier contre la paroi C Ainsi Inaction de justification est rendue sans effet par rapport aux 10 Ems de matière tabulée à l'extrémité terminale de la ligne justifiée de 30 Ems "CC" reproduite sur le filme
On observera que le bloc 50 sur la fige 1 est inscrit avec la lettre "R" grâce à quoi l'opérateur peut immédiatement l'identifier comme étant la bonne pour le réglage de la tabulation à droite.On doit aussi noter que bien au-on ait représenté ici le bloc 50 réglé pour déplacer le pivot 47 pour 14 Ems de matière tabulée (oomms l'indique 1?échelle 55),
ceci est arbitraire et on peut modifier cette condition comme on le désireo
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Lignes justifiées contenant des matières tabulées aux deux extrémitéso
La figure 14 indique les conditions régnant quand on produit une ligne du type "DD", qui représente une ligne justifiée contenant par exemple 6 Ems de matière tabulée à son extrémité de départ et 10 Ems de matière ta- bulée à son extrémité terminale.Dans ce case le bloc 21 est réglé à la gra- duation 24 de 1-'échelle 24, comme sur les figures 4 et 12, et le pivot du rail 47 est réglé à la graduation 10 Ems de l'échelle 55 comme sur les figures 3 et 13.
Par suite, comme il est indiqué en trait mixte pendant l'avance du suiveur 1 de sa position de départ de ligne de 30 Ems à sa position de fin de ligne contre la paroi C, le galet 18 suit le sommet du bloc 21 pendant les
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6 premiers Fms9 puis le rail 19 incliné vers le bas pendant les 14 Ems xi- vants, de sorte que son axe coïncide avec l'axe du pivot du rail 47, puis un trajet horizontal quand le suiveur avance des 10 derniers Ems jusquà la paroi C. a Ainsi, l'action de justification n'est effective que sur la partie de 14 Ems de la ligne justifiée de 30 Ems "DD" qui est reproduite sur le film quand le galet 18 suit le rail 19 entre sa charnière 20 et son pivot 47.
Lignes non justifiées a alignées à leurs extrémités de départ
La figure 15 indique les conditions régnant quand on produit des lignes du type "EE" qui sont des lignes non justifiées de longueur quelcon- que mais commençant toutes à une marge commune.Dans ce cas,le verrou de
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blocage "d'alignement à gauche" 57 est en prise dans la fente- 44 prévue- dans le rail 19 grâce à la. mise du levier 58 en position !IF aL 0 il" de sorte que le rail 19 se relève parallèlement à lui-même et en conséquence relève le- pivot
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47 jusqu'au -sommet des fentes 48, comme il est représentée tandis qu? en même temps les organes de resserrage sont commandés.
Comme on l'a déjà expliqué à propos de l'utilisation du verrou 57, chaque ligne d-'éléments est composée dans ,ce domaine maximum de mesure, de. raccourcis sage de ligne des organes de
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resserrage (c'est-à-dire 3 Eoeéi) , comme en ajoutant des éléments blancs d'es- pacement, :
3911 est nécessaire, au-delà du dernier élément porteur de <sarac# tère ce qui permet ainsi aux organes de resserrage, quand ils sont comman-
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dés, de presser 1-'élém-ent- de conduite de ligne contre la paroi C du canal d9
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alimentations prêt pour le prélèvement simultanément à la libération du sui- veur et du porte-film de leurs positions de départo Comme on l'a aussi dé- jà expliqué, le bloc 21 est réglé à la graduation 42 Ems de l'échelle 24 pour placer le rail 19 dans la position permettant au verrou 57 de s'y introduire.
Le suiveur de lignes est cependant réglé à la dite position de départ de ligne de 30 Ems utilisée ici à titre illustratif. Par suite, le caractère repro- duit sur le film à partir du premier élément prélevé de chaque ligne commence à la. même. pénétration dans la marge et, comme il est indiqué par la ligne en trait mixtele galet 18 suit simplement le rail relevé mais horizontal 19 jusqu'à son point de fin de ligne coïncidant avec l'axe de pivot 47 et les organes de resserrage sont ainsi retenus contre tout mouvement de retour Ainsi l'action de justification est rendue entièrement sans effet et les lig- nes "EE" reproduites sont alignées sur leur marge de gauche ou de départ,
mais finissent en- des points quelconques selon la disposition du dernier élément porteur de caractère de la ligne composée d'élémentso Lignes non justifiées. alignées à leurs extrémités terminales
La figure 16, indique les conditions régnant quand on produit des lignes du type "FF" qui sont des lignes non justifiées de longueur quelconque mais finissant toutes à une marge commune "d'alignement à droite".Dans ce cas on place en position active le verrou de blocage 56 d'"alignement à droi- te" en plaçant le levier 58 à sa position "F.R.", de sorte que les tiges 27 sont bloquées contre tout relèvement du rail 19 et les organes de resserrage ne sont pas commandés du tout.
Par suite quand le suiveur est libéré de sa position de départ de 30 Ems (ou de toute autre position de départ pour laquel- le on a pu le régler) il avance librement jusqu'à ce que l'élément de début de ligne (soit un blanc d'espacement., soit un élément porteur de caractères) soit porté contre la paroi C du canal d'alimentations puis il continue son avance, au fur et à mesure du prélèvement des éléments successifs, jusqu'à sa position de fin de ligne. En même temps, comme il est indiqué par le tracé en trait mixte, le galet 18 se déplace simplement parallèlement au et hors de contact d'avec le rail 19 jusqu'à sa position de fin de ligne coïncidant avec l'axe de pivot 47.
Ainsi, l'action de justification est rendue entièrement sans effet et les lignes reproduites sur le film commencent en des points quelcon- ques selon la disposition du premier élément porteur de caractère de chaque ligne composée d'éléments,, mais se terminent sur une marge commune ou d'"alig- nement à droite"ce point étant le point de'fin de ligne du trajet du suiveur de ligne et qui est constant par rapport à toute ligne produite par la ma- chine.
Le mode de réalisation décrit ici et représenté n'est donné qu'à titre d'exemple et on peut modifier de différentes façons la forme et la dis- position des diverses parties et leur mode de fonctionnement, et on peut ap- pliquer l'invention à des machines de composition photographique de ligne dif- férant en diverses façons de celle représentée ici et en employant d'autres formes d'éléments porteurs de caractères dans la mesure où ils présentent les caractéristiques essentielles pour la production de lignes de caractères let- tre par lettre.
**ATTENTION** fin du champ DESC peut contenir debut de CLMS **.