BE514813A - - Google Patents

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BE514813A
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    • BPERFORMING OPERATIONS; TRANSPORTING
    • B41PRINTING; LINING MACHINES; TYPEWRITERS; STAMPS
    • B41BMACHINES OR ACCESSORIES FOR MAKING, SETTING, OR DISTRIBUTING TYPE; TYPE; PHOTOGRAPHIC OR PHOTOELECTRIC COMPOSING DEVICES
    • B41B11/00Details of, or accessories for, machines for mechanical composition using matrices for individual characters which are selected and assembled for type casting or moulding
    • B41B11/18Devices or arrangements for assembling matrices and space bands

Landscapes

  • Sewing Machines And Sewing (AREA)

Description


   <Desc/Clms Page number 1> 
 



  PERFECTIONNEMENTS AUX MACHINES A COMPOSER ET FONDRE LES LIGNES-BLOCS TYPOGRA- 
PHIQUES. 



   La présente invention concerne les machines à composer et   à   fondre les lignes-blocs   typographiques   telles que celles connues sous la marque de fabrique enregistrée   "Linotype",   dans lesquelles des matrices et espaces-bandes-circulantes sont libérées sélectivement de magasins et-compo- sées sous forme   d'une   ligne, la ligne composée est transférée à la face d'un moule en vue de la fonte ou "clichage" d'une ligne-bloc ou barre typographi- que et lesdites matrices et espaces-bandes sont alors amenées à un canal de transfert supérieur, où elles sont séparées les matrices étant transportées par un organe dit "second élévateur" jusqu'au mécanisme distributeur qui les ramène à leurs lieux d'emmagasinage respectifs, en vue d'une utilisation ul- térieure,

   tandis que les espaces-bandes sont ramenées indépendamment à un magasin distinct. 



   Dans ces machines, pendant l'opération de clichage la ligne composée est mise en position à l'avant d'un moule et entre deux mâchoires de serrage et le rôle des espaces-bandes en forme de coin est d'élargir ou   "justifier"   la ligne juste avant le clichage pour empêcher que le métal fondu qui doit être introduit dans le moule soit expulsé par les interstices susceptibles de subsister entre les éléments de la ligne ainsi mise en posi- tion. Un mécanisme de sûreté est prévu pour empêcher l'opération de clichage dans le cas où la ligne composée serait trop courte ou contiendrait un trop petit nombre d'espaces-bandes pour être justifiée; par conséquent, dans de telles conditions, la barre ou ligne-bloc   n'est   pas formée.

   Il est possible que le fait qu'une ligne-bloc n'a pas été fondue ne soit pas observé par l'o- pérateur, et une telle inobservation devient plus sérieuse encore lorsque la machine fonctionne sous la dépendance   d'un   appareil automatique, tel que l'appareil de commande par ruban dit "télécompositeur" étant donné que, dans ce cas, l'opérateur ne s'apercevra presque certainement du non-clichage d'une ligne qu'au bout   d'un   certain temps. 

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   Divers dispositifs avertisseurs ont déjà été proposés pour attirer l'attention de l'opérateur sur le défaut de clichage d'une ligne- bloc, mais ces dispositifs ne conviennent évidemment pas pour les machines fonctionnant automatiquement. 



   Conformément à la présente invention, une machine à composer et fondre les barres typographiques du genre sus-mentionné, dans lequel   des   matrices sont composées sélectivement en ligne, transférées à un mécanisme de clichage, puis distribuéesentre les divers canaux d'un magasin et'dans lequel un arbre à cames principal servant à commander les diverses opéra- tions de la machine dans un ordre de succession prédéterminé est actionné par l'intermédiaire d'un embrayage, est caractérisé par l'application d'un' dispositif de sûreté automatique qui agit de manière à débrayer l'embrayage lorsque le mécanisme de clichage n'a pas fonctionné. 



   Une machine comportant un transporteur de matrices destiné à recevoir les matrices après le clichage est caractérisée par l'application d'un dispositif de sûreté automatique destiné à faire obstacle au   mouvement   normal du transporteur de matrices dans le cas   où   l'opération de clichage n'aurait pas eu lieu. Le dispositif de sûreté peut consister en -un organe d'arrêt mobile dont le mouvement est commandé par le fonctionnement du mé- canisme de clichage et qui est destiné à empêcher la descente complète du second élévateur dans le cas où l'opération de clichage n'aurait pas eu lieu. 



   Une des caractéristiques de toutes les machines du genre sus- mentionné est que, lorsqu'un obstacle est offert au fonctionnement du second élévateur, l'embrayage de commande prévu pour l'arbre à cames principal se débraie automatiquement. De plus, une des caractéristiques normales du télé- compositeur réside dans le fait que lorsque le mécanisme de transfert de lignes n'a pas fonctionné (ce qui se produit toujours lorsque le mouvement du. second élévateur rencontre un obstacle), le ruban de commande cesse   d'@-   tre entraîné. La ligne, est par conséquent immobilisée dans la position de transfert supérieure, avec la machine arrêtée, ce dont l'opérateur se rend évidemment compte.

   Pour remettre la machine en marche, il suffit de faire- reculer le ruban   jusqu'à   la ligne dont le clichage n'a pas été effectué,'de laisser le ruban recomposer cette ligne et de justifier alors la ligne re- composée à l'aide des espaces-bandes ou des blancs nécessaires, le clichage étant ainsi de nouveau rendu possible. 



   Ainsi la présente invention, grâce à un dispositif faisant ob- stacle au fonctionnement normal du second élévateur, tire ingénieusement par- ti des caractéristiques de sûreté qui existent dans la machine normale pour réaliser le résultat désiré. 



   On va décrire maintenant plus en détail un exemple particulier d'une machine à composer et fondre les barres typographiques comportant l'ap- plication des caractéristiques spécifiées ci-dessus de l'invention, en se référant aux dessins annexés dans lesquels : 
Figure 1 est une vue en élévation latérale, en regardant de la gauche d'une partie d'une machine équipée des présents perfectionnements. 



   Figure 2 est une vue de face du mécanisme de transfert   supé-   rieur. 



   Figures 3 et 4 sont des vues de l'arrière du présent mécanis- me de sûreté, illustrant différentes positions de travail. 



   Figure 5 est une vue du côté gauche d'une partie du dispositif de sûreté. 



   Dans la machine normale, les matrices sont libérées sélective- ment d'un des magasins 1 par la manoeuvre d'un clavier et sont composées suivant une ligne dans l'ordre dans lequel leurs caractères doivent   apparaî-   tre en impression. Les espaces-bandes 2, en forme de coin, sont emmagasinées dans un magasin distinct 3 (voir figure   2),   d'où elles sont aussi libérées   @   

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 par la manoeuvre du claviero Dès qu'une ligne a été complètement composée, elle est transférée à un premier élévateur 4 (voir figure   1),     -et   cette li- gne, désignée par x à la figure 1, est alors mise en position entre   deux'   mâchoires de serrage (non représentées)

   qui la bloquent suivant sa   longueur   à l'avant d'un moule à fente 5 porté par une roue rotative 6. Par une' série d'opérations se succédant à des instants prédéterminés, le moule est pressé contre la ligne et les espaces-bandes sont poussés vers le haut' de manière à élargir ou justifier ladite ligne;, qui se trouve ainsi fortement serrée entre les mâchoireso Ensuite,un creusot ou pot de fusion 7, contenant le métal fondu, reçoit un mouvement vers l'avant pour pousser son orifice de décharge 8 contre la face arrière du moule 5. Si la ligne est suffisamment longue et contient un nombre suffisant d'espaces-bandes pour sa   justifica-   tion, le plongeur de pompe 9 peut effectuer son mouvement de descente,' au cours duquel il refoule le métal fondu dans le moule et contre la ligne pour former la barre typographique. 



   Le mouvement du plongeur de pompe 9 est effectué par un res- sort de traction robuste 10 sous la commande d'une came 11 portée par l'ar- bre à cames principal 12 actionné par un embrayage. Le ressort 10 est assu- jetti au bâti de la machine par son extrémité inférieure et à un levier 13 par son extrémité supérieure, et une liaison est établie par l'intermédiaire d'un arbre oscillant 14 entre ce levier 13 et un levier 15 portant un galet 
16 destiné à rouler sur la périphérie de la came 11. La forme de la came 11    est telle que le levier de pompe 15 se trouve maintenu dans sa position relevée ou d inactivité jusqu'au moment où un clichage doit avoir lieu.

   A ce   moment, une déclivité très brusque de la came permet au ressort 10, agissant par l'intermédiaire des leviers 13 et 15, de lancer le plongeur vers le bas en vue du clichageo 
En temps normal, toutefois:, le levier de pompe 15 est verrouil- lé par une butée (non représentée) dont l'effacement est commandé par la poussée exercée sur les mâchoires de serrage pendant la justification de la ligne. Si la ligne est convenablement justifiée, la butée s'efface pour permettre le clichage, au contraire, si la ligne n a pas été convenablement justifiée, la butée empêche le mouvement du.plongeur. 



   Après   l'opération   de clichage, la roue-moule 6 tourne jusqu'à la position d'éjection de la barre. Entretemps, le premier élévateur   4,   trans- portant la ligne de matrices et d'espaces-bandes, est soulevé jusqu'à son niveau le plus élevé, où il est arrêté par une structure surplombante fixe 
17 du bâti de la machine dans une position alignée en bout d'un canal de , transfert supérieur 18. A peu près au moment même où le premier élévateur 4 arrive au niveau de transfert supérieur, un second élévateur 19 descendant d'un niveau plus élevé atteint une position de repos sur le sommet du canal de transfert supérieur et effectue ainsi la mise en position de sa barre den- tée horizontale 20 en alignement longitudinal avec les combinaisons de dents des matrices.

   Dans sa course vers le basle second élévateur fait pivoter un loquet 21 qui déclenche un chariot de transfert 22, actionné par une biel- le 24, en vue d'une course de travail dudit chariot vers la droite. Pendant cette course, un doigt inférieur 23 du chariot pousse la ligne vers la   droi-   te à 1-intérieur du canal de transfert supérieur 18 où le second élévateur est en attente pour recevoir les matrices. Les espaces-bandes, dépourvues de portions dentées, passent au-dessous de la barre 20 du second élévateur et, sont supportées par des rails disposés dans le canal de transfert au lieu de l'être par la barre 20.

   Aussitôt que le second élévateur commence son mouve- ment d'élévation pour amener les matrices au mécanisme distributeur, désigné de façon générale par D à la figure   1,   un cliquet d'espaces-bandes 25, porté par un levier 26, commence une course qui le fait passer d'abord vers la gau- che au-dessus des extrémités supérieures des espaces-bandes, puis vers la droite, cet organe transférant alors les espaces-bandes au magasin 3 destiné à les recevoir. 



   Le cliquet 25 des espaces-bandes' travaille conjointement avec le chariot de transfert   22,   mais en sens inverse de ce chariot, et les opé- 

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 rations décrites ci-dessus ont lieu en deux stades,le premier ayant'pour effet de transférer la ligne composée du premier élévateur au canal de. transfert supérieur (mouvement pendant lequel le cliquet des espaces-bandes n'effectue qu'une course partielle) et le second (qui a lieu lorsque   le' ses-   cond élévateur est hors du chemin),permettant audit cliquet d'effectuer u- ne course complète pour recueillir les espaces bandes et les ramener au ma-   gasin   3. 



   11 convient d'observer que le loquet 21 constitue un autre   @   dispositif de sûreté normal dont le rôle est d'empêcher le mouvement du cha- riot de transfert supérieur 22 lorsque le second élévateur n'effectue pas sa descente complète ou que la barre 20 n'a pas été convenablement mise'en position dans le canal intermédiaire 18. De plus, dans l'un et l'autre de ces cas,une caractéristique de sûreté normale de la machine réside dans le fait que l'embrayage de commande principal est automatiquement débrayé pour arrêter la rotation de l'arbre à cames principal 12. 



   Ainsi qu'il a été expliqué, le second élévateur 19 sert à trans- porter les matrices composées du canal de transfert supérieur 18 au mécanis- me distributeur D de la machine. La position normale du second   élévateur   est sa position supérieure, ou de livraison de ligne, représentée en traits pleins à la figure 1, mais au moment où les matrices passent du premier élévateur dans le canal de transfert supérieur, le second élévateur a été amené à sa position de réception de ligne dans laquelle il repose sur le canal de trans- fert.   ûne   colonne de guidage verticale   27   facilite l'application correcte du second élévateur sur ledit canal.

   Comme d'ordinaire, le second élévateur est supporté à partir d'un arbre 28 par un levier pivotant 29 et ses mouve- ments lui sont   communiqués   à partir d'une came rotative 30 portée par l'ar- bre 12, par l'intermédiaire d'un galet suiveur de came 31 et d'une tringle- rie 32. 



   Les pièces décrites jusqu'ici et leur mode d'action sont cou- rants et ne font partie de la présente invention que dans la mesure où elles' concourent à sa réalisation. 



   I1 ressort de la description de la machine normale que, dans certaines circonstances, le plongeur de pompe est mis hors d'action, auquel cas aucune ligne=bloc n'est clichée. Les stades suivants de la distribution   des-matrices   et des espaces-bandes se succèdent néanmoins automatiquement, de sorte que si le manque de clichage n'est pas observé, la ligne se trouve- perdue et doit être de nouveau composée et fondue lorsqu'on constate   qu'elle   manque. De plus, si la machine fonctionne automatiquement sous la commande d'un appareil à ruban, la porte de la ligne-bloc ne s'observe que quelque temps plus tard.

   De plus, il est possible que le ruban de commande ait été préparé à partir d'un poste situé à distance et qu'il n'existe pas de copie écrite du texte qui   permettrait   de recomposer et refondre la ligne   manquante.   



  Dans ce cas, on est obligé de rechercher cette ligne sur le long ruban de commande perforé. 



   L'objet de la présente invention est d'immobiliser dans le premier élévateur 4, au niveau de transfert supérieur, toute ligne composée n'ayant pas été clichée, et ce en empêchant la descente complète du second élévateur 190 Ainsi qu'il a été déjà expliqué, aucun transfert de ligne à partir du premier élévateur n'a lieu tant que le loquet déclencheur 21 n'a pas été actionné par la descente complète du second élévateur, et si.le transfert n'a pas lieu, l'embrayage par l'intermédiaire duquel l'arbre à cames principal 12 est actionné est débrayé automatiquement, ce qui empèse toute nouvelle opération de la machine. De plus, dans ces conditions, le ru- ban de commande cesse d'être entraîné aussitôt que la ligne en cours de com- position est terminée. 



   L'arrêt de la machine s'observe rapidement et on en détermine immédiatement la cause. La machine peut alors être remise en état de fonc- tionnement et il suffit à cet effet de ramener le ruban en arrière jusqu'à la ligne qui n'a pas été clichée, de permettre au ruban de recomposer cette 

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 ligne et de remplir ladite ligne à la main à l'aide des espaces-bandes et blancs nécessaires de façon que, après justificationla longueur de la li- gne soit suffisante pour effacer la butée de pompe. Le ruban devra ordinai- rement être ramené en arrière de la distance de trois lignes entières   qui - .   correspondent à la ligne composée, à la ligne en position d'attente (c'est- à-dire attendant le retour du premier élévateur pour être reçue par lui) et, finalement à la ligne manquante. 



   On se réfèrera maintenant à la structure du présent   disposi-   tif de sûreté, représenté spécialement dans les figures 3 à 5 dans lesquel- les 35 désigne un organe d'arrêt monté pour pivoter autour d'un point 35a voisin de son extrémité inférieure sur une équerre de support 36 fixée au bâti F de la machine. En temps normal, l'extrémité supérieure de l'organe d'arrêt est placé sur le trajet du levier 29 supportant le second élévateur, comme représenté à la figure 3, afin d'empêcher sa descente complète. Toute- fois, si le clichage a eu lieu, ce qui est mis en évidence par le mouvement du levier de commande de pompe 13 vers le bas, l'extrémité supérieure de l'organe 35 a été déplacée et se trouve à l'écart du trajet du levier 29. 



   L'organe d'arrêt 35 est maintenu dans sa position de verrouil- lage normale et commandé dans son mouvement vers la position de   déverrouil-   lage par un levier 37 qui est monté pour tourner autour du même axe-pivot 35a. L'extrémité inférieure de ce levier 37 est au contact du levier de com- mande de pompe 13 et le contour du bord de cette extrémité qui est au con- tact du levier 13 comprend une partie en creux 37a et une partie en relief 37b.L'extrémité supérieure du levier 37 porte une vis réglable 38 qui la relie à l'organe d'arrêt 35. 



   L'organe d'arrêt 35 porte un loquet 39 monté de fagon   pivotan-   te et disposé horizontalement, ce loquet présentant à l'une de ses extrémités un nez formant crochet 39a et portant à son autre extrémité une vis vertica- le 40 destinée à se comporter comme un élément déclencheur. Un petit ressort de traction   41;   fixé à l'équerre 36 au-dessous du loquet 39, est relié   à   une goupille 42 faisant saillie sur l'extrémité à crochet dudit loquet. Le res- sort 41 maintient normalement la goupille 42 appuyée sur le bord supérieur de l'équerre 36 et, en outre, agit de manière à maintenir.l'organe d'arrêt 35 dans la position d'obstruction représentée à la figure 3.

   Dans cette po- sition de l'organe   d'arrêt.,   le levier 13 actionnant la pompe est engagé dans la portion en creux 37a du levier 37. 



   Pendant le clichage, le levier 13 se meut verticalement vers le bas, comme représenté à la figure 4, et vient en contact de la partie en relief 37b du levier 37, faisant ainsi pivoter l'organe d'arrêt 35 à l'écart du trajet vertical du levier 29 du second élévateur. Lorsque l'organe d'ar- rêt effectue ce mouvement de pivotement, le crochet   39a   du loquet 39 vient s'engager derrière le bord supérieur du côté fixé de l'équerre 36 et main- tient ainsi temporairement l'organe d'arrêt à l'écart de la position de tra- vail, ou d'obstruction. 



   Au moment où le levier 29 atteint sa position la plus basse (voir la ligne en traits mixtes de la figure   4),   il entre en contact avec la vis 40, fait pivoter le levier 39 autour de son axe pour le dégager de l'équerre 36 et permet au ressort 41 de faire mouvoir l'organe d'arrêt 35 pour l'amener contre le côté du levier 29. La fagon dont l'organe d'arrêt 35 est ainsi dégagé est illustrée par les lignes de traits mixtes de la figure 4. Aussitôt que le levier 29 s'élève pour amener le second élévateur au distributeur D, le ressort 41 rappelle complètement l'organe d'arrêt 35 à sa position de travail normale, comme indiqué à la figure 3. Cette po- sition est la position de travail normale des pièces. 



   Si le clichage n'a pas lieu, le levier 13 de commande de la pompe n'agit pas de manière à effacer l'organe d'arrêt 35 du trajet du le- vier 29 et par conséquent le second élévateur s'arrête à la position indi- quée par les lignes de traits discontinus de la figure 1, de sorte que le loquet 21 verrouille le chariot de transfert supérieur 22 en l'empêchant 

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 ainsi de fonctionner,et provoque le débrayage automatique de l'embrayage de commande de l'arbre à cames principal 12, en empêchant ainsi le fonctionne- ment de la machine.   --     --- - - --..   



   Bien entendu, la vis 40 est réglable pour permettre   'de* régler   l'instant où s'effectue le dégagement du loquet 39, et l'on peut   'aussi   ré- gler la vis 38 pour amener l'extrémité supérieure de   l'organe.-d'arrêt   35 à une position correcte par rapport au chemin suivi par le levier 29 du second élévateur. - -   ----- -   
L'invention a été représentée et décrite sous sa forme--de réa- lisation préférée et à titre d'exemple, mais il est évident qu'elle est sus- ceptible de recevoir d'autres formes ainsi que de nombreuses   modifications,   tant en ce qui concerne sa construction que son mode d'application, ces   di-   verses modifications rentrant dans le cadre et l'esprit de ladite invention. 



  Par exemple, le présent dispositif de sûreté pourrait être combiné avec un dispositif d'avertissement propre à attirer l'attention sur le fait que la machine a été arrêtée. De même, il pourrait être combiné avec un   interrupte@r   de commande établi pour arrêter l'entraînement du ruban de l'appareil   de--   commande automatique instantanément, au lieu que ce soit à l'achèvement 'de la ligne en train d'être composée, comme c'est maintenant le   cas.' Il   y a lieu de noter aussi que, dans la machine normale, le chariot de transfert supérieur est verrouillé par un autre loquet qui n'est dégagé que lorsque le premier élévateur atteint sa position la plus haute.

   Il est évident que le présent dispositif de sûreté pourrait être établi de manière à faire ob- stacle au mouvement complet d'élévation du premier élévateur dans les condi- tions décrites et qu'on pourrait de cette façon atteindre le résultat final désiré.

Claims (1)

  1. R E S U M E.
    Machine à composer et fondre les lignes-blocs ou barres typo- graphiques, du genre dans lequel des matrices sont composées sélectivement, en ligne, transférées à un mécanisme de clichage, puis distribuées entre les divers canaux d'un magasin ; et dans lequel un arbre à cames principal servant à commander les diverses opérations de la machine dans un ordre de succession déterminé est actionné par l'intermédiaire d'un embrayage., cette machine étant caractérisée par les points suivants, séparément ou en combi- naisons : 1.- Elle comporte un dispositif de sûreté automatique qui agit de manière à débrayer le sus-dit embrayage lorsque le mécanisme de clichage n'a pas fonctionné.
    2.- Dans une telle machine comportant un transporteur de ma- trices destiné à recevoir les matrices après le clichage, le dispositif de sûreté automatique est établi de fagon à faire obstacle au mouvement normal du transporteur de matrices dans le cas où l'opération de clichage n'aurait pas eu lieu.
    3.- Ce dispositif de sûreté peut consister en un organe d'ar- rêt mobile dont le mouvement est commandé par le fonctionnement du mécanis- me de clichage.
    4.- Dans une machine dans laquelle les matrices sont ramenées à leur magasin par un mécanisme distributeur et qui comprend un premier élé- vateur les transportant à partir du mécanisme de clichage, un second'éléva- teur transférant les matrices au mécanisme distributeur et un mécanisme de transfert déplaçant les matrices du premier élévateur au second élévateur, l'organe d'arrêt automatique du dispositif de sûreté empêche la descente complète du second élévateur dans le cas où le clichage n'aurait pas lieu.
    5.- La rotation de l'arbre à cames principal est arrêtée aut- matiquement lorsqu'un obstacle empêche la descente complète du second élé- vateur. <Desc/Clms Page number 7>
    6.- Des moyens commandés par le fonctionnement du mécanisme de clichage permettent de mettre l'organe d'arrêt hors d'action. - - 70= Dans une machine typographique dont le chariot' de trans- fert supérieur est normalement bloqué et n'est libéré en vue de son fonc- tionnement que par un mouvement de descente complet du second élévateur et dans laquelle l'embrayage de commande de l'arbre à cames principal de la machine est automatiquement débrayé lorsque le chariot de' transfert supé- rieur n9effectue pas sa course de travail, l'organe d'arrêt du dispositif de sûreté empêche normalement la descente complète du second élévateur à la position de réception de ligne,
    et des moyens commandés par le levier ac- tionnant la pompe sont prévus pour amener ledit organe à sa position d'inac- tivitéo 8.- Un loquet est prévu pour verrouiller temporairement l'or- gane d'arrêt dans sa position d'inactivité, 9.- Un élément déclencheur actionné par le mouvement de des- cente complet du second élévateur est prévu pour déverrouiller le loquet. en annexe 3 dessins.
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