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MACHINE A COMPOSER- IMPRIMER ET DISTRIBUER DES PATRICES.
La présente invention concerne une machine perfectionnée à com- poser imprimer et distribuer des patrices, dans laquelle les patrices sont libérés conformément aux caractères d'un magasin de réserve par la manipu- lation d'un clavier,puis assemblés en ligne avec des éléments d'espacement ou espaceurs, la ligne ainsi composée pendant un cycle de la machine étant justifiée et encrée préalablement à l'opération d'impression., puis déplacée horizontalement en bout de fagon à venir au contact d'une barre d'élévateur qui soulève la ligne à un niveau supérieur d'où les patrices et les espa- ceurs sont transférés et ramenés au mécanisme distributeur vers leurs ca- naux respectifs de magasin.
Le mot "patrice" utilisé ici désigne un type de matrice destinée à l'impression directe d'un cliché sous la forme d'une feuille de papier ou analogue destiné à servir ultérieurement en vue d'une impression lithogra- phique en offset ou en creux,
L'invention a pour objet une machine de ce typemunie de dispo- sitifs de composition et comprenant un canal récepteur allongé dans lequel les patrices et des espaceurs compressibles sont assemblés en ligne sous l'influence de ces dispositifs, une butée mettant la ligne composée en po- sition d'impression, et un ensemble pouvant être actionné pour faire avan- cer la ligne composée dans ledit canal jusqu'à ce qu'elle soit arrêtée par la butée et également pour procéder à la justification de la ligne des pa- trices en y comprimant les espaceurs avant l'opération d'impression.
La machine comprend des dispositifs de composition et des canaux récepteurs dans lesquels les patrices sont composés en ligne sous l'influen- ce desdits dispositifs, et comprenant un bloc coulissante un doigt d'arrêt de la ligne porté par ce bloc, une barre-poussoir pouvant être actionnée
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pour faire avancer la ligne composée et la justifier en position d9impres- une butée pouvant être réglée à la main selon la longueur des lignes à composer afin d'arrêter et de maintenir le bloc coulissant pendant les opérations de justification et d'impression, et un dispositif manoeuvrable à la main pour actionner la barre-poussoir.
Un interrupteur normalement ouvert peut être disposé dans le circuit électrique de l'embrayage princi-
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palg et le dispositif manoeuvrable à la main peut consister en un levier à main pouvant être actionné pour fermer ledit interrupteur dès que la justification de la ligne composée a été effectuée,de façon à mettre en route la machinée
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Selon une autre caractéristique de 1 j)invention la machine com- prend une barre-poussoir horizontale, à mouvement de va-et-vient,
un dis- positif commandé à la main pour actionner ladite barre en vue de faire a-
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vancer la ligne composée et la justifier en position dgimpressione un élé- vateur recevant pendant un cycle de la machine un mouvement alternatif ver- tical afin de transporter la ligne du niveau de composition au niveau de distribution, un dispositif pour actionner ledit élévateur;, et un disposi- tif à commande automatique destiné à actionner la barre-poussoir en vue de faire avancer la ligne composée de la position d'impression sur l'éléva- teur.
Ce dernier peut comprendre une barre nervurée destinée à supporter les patrices au moyen de leurs combinaisons de dents,un bloc coulissante un doigt d'arrêt de la ligne articulé sur ledit bloc, un dispositif suppor- tant ce doigt indépendamment du bloc dans sa position verticale pendant les opérations de composition, de justification et d'impression de la ligne et un dispositif associé au dispositif de support de façon à permettre au
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doigt d'osciuer vers le bas, à l'écart du trajet du patrice menant de la ligne, lorsque ce dernier vient au contact de la barre de 1-9élévateur.
La machine comprend un magasin;, un élévateur destiné à trans- porter une ligne composée, après 19impressionJ/ au niveau de distribution, un coulisseau rétractile associé au mécanisme de distribution et pouvant être actionné pour déplacer les patrices et les espaceurs de la ligne composée à partir de 1?élévateur, préalablement à la distribution finale, et les introduire dans leurs canaux de magasin correspondants,
et un sup- port formé par des glissières longitudinales sur lesquelles coulisse ledit bloc et susceptible d'être déplacé à l'écart de sa position normale lors-
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qu9on désire avoir accès aux éléments ou aux patrices au cours de la dis- tributiono Le support du bloc peut être articulé sur l'une des extrémités du bâti de la machine de façon à pouvoir être amené à sa position normale et à en être écarté, et la machine peut comprendre un dispositif pouvant être actionné à volonté pour effectuer ces mouvements du support.
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Selon une autre caractéristique de 19inVention la machine com- prend un magasin muni de canaux dans lesquels les patrices sont emmagasinés selon leurs caractères, ledit magasin comprenant une section supérieure et une section inférieure décalées l'une par rapport à l'autre, et une sec- tion intermédiaire plus courte,communiquant avec elles
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h93nvention a également pour objet un patrice circulant pour ma- chine de composition et d'impression, ledit patrice présentant sur ses bords antérieur et postérieur des oreilles en saillie vers le haut et vers le bas, le caractère étant disposé sur l'une des dites oreilles en saillie.
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On va décrire maintenant à titre d9exemple un mode de réalisation de la machine selon l'invention, en se référant aux dessins annexés, sur lesquels
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la fig. 1 est une élévation de face de la machine; la figo 2 est une élévation en bout, en partie en coupe et arra- chée, de la machine; la fig. 3 représente de façon schématique les dispositifs permet- tant de fermer et d'interrompre un circuit électrique en actionnant une tou- che du clavier, afin de libérer un patrice du magasin de réserve;
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la rigo 3A est une coupe verticale suivant la ligne 3 3A de -la figo 3;
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la figo 4 est une vue en perspective, en partie en coupes repré- sentant les dispositifs à commande électrique à partir du clavier, en vue de libérer les cliquets de verrouillage du magasin;
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la figo 4A est une coupe verticale d'un détail, représentant le cliquet de déverrouillage et le poussoir qui actionne; la figo 5 est une élévation de face, en partie en coupe et arra-
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chéeg des mécanismes de composition, d'avance de la ligne et de commande des patrices; la figo 6 est une élévation latérale de l'embrayage principal et de son mécanisme de commande,, représentant schématiquement le circuit é= lectrique permettant de mettre en route automatiquement le cycle de fonc- tionnement de la machine;
la figo 7 est une vue en plan par-dessus montrant le dispositif de roue en étoile, et en partie arrachée afin de montrer plus clairement le montage de la barre-poussoir et du dispositif de commande à la main ac- tionnant ladite barre ainsi que ladite roue; la figo 7A est une élévation de face des éléments de la figo 7, la paroi antérieure de leur console de support étant enlevée afin de pou- voir montrer la barre=poussoir et son dispositif de commande;, représentés en traits pleins;
la fige 8 est une vue de face d'une ligne de patrices avancée et justifiée en position d'impression par la barre-poussoir,et montrant éga- lement le dispositif à commande par came destiné à achever la course acti- ve de ladite barre, ainsi que le dispositif à commande par came et ressort destiné à assurer la course de retour de la barre-poussoir;
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la frigo 9 est une élévation latérale d'un groupe de solénoides et des connexions qu'ils commandent en vue de libérer les patrices de rieurs canaux de magasin;
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la fig. 10 est une vue en perspective des éléments de la fige 9; la fige 11 est une vue en plan des éléments des f igso 9 et 10;
la figo 12 est une vue de face,montrant le levier à commande par came et les câbles destinés à actionner 19 élévateur ainsi que les le- viers et bielles à commande par came et ressort destinés à amener le'cylin- dre encreur à sa position normale et à l'en écarter; la fige 13 est une élévation latérale, en partie en coupe, mon- trant l'élévateur dans sa position de réception d'une ligne de patrices, dans laquelle il s'appuie contre les parois latérales de la console hori- zontale de supporta ainsi que les leviers à contre-poids actionnés par came qui actionnent l'élévateur;
la fige 14 est une vue de face, à plus grande échellede la barre de commande du distributeur et des éléments qui lui sont directement associés;
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la fige l.A est une coupe verticale selon la ligne 14A-14A de la fige 14;
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la figo 15 est une vue de face à échelle relativement réduite du levier à contre=poids actionné par came et des câbles destinés à action- ner le coulis se au du distributeur;
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la figo 16 est une vue partielle du levier de la figo 15 et de sa came de commande; la figo 17 est une coupe verticale du dispositif de support du magasin en position normale et du dispositif utilisé pour déplacer les pa=
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trices horizontalement d'une section verticale du magasin à l'autre;
la figo 18 est un détailmontrant le doigt de déplacement du coulisseau sur le point de transférer une ligne de patrices composéesus- pendue à la barre rainurée de l'élévateur, sur une barre similaire aboutis- sant au mécanisme distributeur;
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la fig. 19 est un détail, à échelle relativement réduite, mon- trant la position du poids dans la colonne de guidage lorsque 1'élévateur est situé dans la position inférieure ou de réception de ligneet indi- quant en pointillés 1-'élévateur dans sa position supérieure., la ligne de patrice étant au contact du doigt du coulisseau du distributeur;
la figo 20 est une vue de face, montrant la position que cer- tains éléments sont amenés à occuper lorsque la barre-poussoir achève sa course active afin de faire avancer une ligne de patrices au contact de la barre de l'élévateur; la figo 21 est une vue de bout, montrant certains éléments des mécanismes d'encrage et d'impression dans leur position normale et indi- quant en pointillés les positions qu'ils ocçupent au cours des opérations
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d'encrage et d9impression; la figo 22 est une coupe verticale suivant la ligne 22-22 de la fig. 5. montrant également le dispositif de butée réglable destiné .a sou tenir le bloc coulissant et le doigt de butée de ligne en position conve- nable pendant les opérations de justification? d'encrage et d9impression;
la fig. 23 est une vue de face de détail, montrant à plus grande échelle un espaceur pour justification de ligne;
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la flg. 24 est une vue en bout, en partie en coupe, de l'espa- ceur de la fig. 23; la figo 25 est une vue de face, en partie arrachée, d2une ligne composée de patrices et d'espaceurs., avant sa justification;
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la figo 26 est une vue analogue de la ligne composée de la fig,, 25,mais après qu'elle a été justifiée, et la figo 27 est une coupe verticale de détail à travers les parois antérieure et postérieure de la console allongée de support de la barre- poussoir,, montrant le canal récepteur des patrices et les glissières de la- dite barre.
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Les patrices =!. et les espaceurs y. sont emmagasinés dans un maga- sin à canaux A monté dans le bâti de la machine ce dernier (figso 1 et 2) comprenant de façon générale deux montants verticaux !t s 9 élevant à partir d'un socle rectangulaire J. une traverse horizontale fi fixée sur les extré- mités supérieures des montants en vue de supporter le mécanisme distribu- teur, et une deuxième paire de montants verticaux plus courts 7,s'élevant également à partir du socle 5, et reliés respectivement à leur sommet aux
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montants principavx ± par des tirants horizontaux intermédiaires 80 Le mé- canisme distributeur oomme celui utilisé dans les machines linotypes du commerce, consiste en une barre allongée rainurée, un groupe de tiges file-
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téex 9 (fîg.
1) tournant constamment afin de faire avancer les patrices le longde la barre, et une entrée de magasin 10 en forme de canaux, associée au mécanisme distributeuren vue de diriger les patrices au fur et à mesu- re qu'ils quittent la barre pour pénétrer dans leurs canaux respectifs.
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Les patrices ont diverses épaisseurs selon leur caractère et ils présentent des oreilles en saillie vers le haut ZI et vers le bas z2, ainsi que l'encoche X3 habituelle en forme de V à bords dentelés. Toutefois, selon la présente invention, les oreilles en saillie des patrices ont la même épaisseur que le corpset leurs caractères X4 sont formés sur leurs oreilles supérieures postérieures au lieu de 1 ) être sur les bords posté-
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rieurs, afin qupon puisse facilement les encrer en vue d9en obtenir un cli- ché au cours du fonctionnement de la machine.
En outre., les oreilles qui
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portent les caractères des patrices peuvent avoir des longueurs diffé.- rentes afin de pouvoir s'adapter à diverses styles de typographie sans que la circulation des patrices en soit gênée dans la présente machinée, Les espaceurs y, (fige. 23 et 24) sont formés de deux éléments latéraux y1 et
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yg en regard9 de forme et de dimension analogues aux patrieesp entre les- quels est disposé un ressort 1 en forme de lame découpée en H et fixée par un seul rivet sur Isolément y2.
Les espaceurs X comprennent également deux axes d'alignement supérieurs, et inférieurs y4 qui sont en saillie latérale sur Isolément v2 et passentà travers des ouvertures correspondan=
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tes 5 percées dans les éléments y .19 leurs têtes étant normalement appli- quées dans des évidements peu profonds fraisés dans les ouvertures sous Inaction de la tension du ressort 3 L.9 ensemble est tel que les deux zip ments x, et i sont maintenus élastiquement espacés d'une certaine distan- ce par le ressort v3 mais qu'ils peuvent être comprimés 1?un vers l'autre lors de la justification d'une ligne, ainsi qu'on le verra par la suite.
Pour permettre à ce moment la compression des espaceurs v. les patrices in- dividuels x présentent également ainsi qu'on peut le voir sur les fige. 4,
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25 et 26e une paire supérieure x 5 et une paire inférieure e6 d'ouvertures transversalessuffisamment larges pour pouvoir recevoir les têtes des axes d'alignement v4 des espaceurs lorsque ces derniers sont comprimés.
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Ainsi qu'on le voit en pointillés sur la figo 29 le magasin A est supporté en position verticale dans le bâti de la machine afin de ré- duire au minimum 1?usure possible des caractères des patrices qui pourrait autrement se produire, et pour amortir la chute des patrices en provenance
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du mécanisme distributeur vers les dispositifs d9vacuation qui sont dispo= ses comme à l'ordinaire près de l'extrémité inférieure ou de décharge du ma- .gasin9 ce dernier (figo 17) est fait en trois sections,
à savoir deux sec- tions verticales Al et A2 décalées l'une par rapport à l'autre et reliées par une section intermédiaire horizontale A3 communiquant avec les deux pre-
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mièreso Les patrices libérés par la barre distributrice et pénétrant dans la section verticale supérieure Al sont arrêtés par les patrices précédents déjà contenus dans cette section:, mais en l'absence de ces patrices, ceux qui suivent ne tombent que sur la distance relativement courte qui sépare cette barre de la section horizontale A3 du magasin.
A partir de ce point, les patrices sont poussés en bout vers l'avant l'un après l'autre le long de la section horizontale du magasin vers une position où ils sont direc- tement au-dessus de la section inférieure A2, d'où ils peuvent continuer leur trajet descendant vers la position d'évacuation, où ils sont arrêtés par les dispositifs d'évacuation.
Le dispositif destiné à faire ainsi avancer les patrices dans la section horizontale A3 du magasin A comprend une série de coulisseaux horizontaux B animés d'un mouvement de va-et-vient (figo 17) disposés di- rectement derrière ladite section et montés dans la barre transversale d'un élément oscillant B1 en forme d'étrier, supporté au moyen de bras pendants B29 par un arbre horizontal C constamment entraînée La commande des coulis- seaux B est assurée par une série correspondante de leviers pivotants,
B3
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s9levant à partir d'un arbre oscillant B4 et commandés par un autre étrier B5 qui est fixé à son extrémité opposée sur l'arbre oscillante entre les bras latéraux de l'étrier Blo L'oscillation de l'arbre B4 lui est communi= qué par une came C1 clavetée sur 1?arbre C et au contact d'un galet anti- friction b à 1?extrémité inférieure d'un bras B6 suspendu à l'arbre oscil-
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liant B4o La barre transversale de 1 étrier B5 est munie d'une série de res- sorts de tension B7 reliés aux leviers B3 de commande des coulis seaux et qui;
, sous la rotation de la came C1, impriment à ces derniers leur course
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active tandis que la barre transversale,, lorsqu9elle vient en contact di- rectement avec les leviers de commande9imprime aux coulisseaux leur course de retour., Un ressort à boudin B5, entourant l'arbre oscillant B4 et ancré sur l'Un des bras latéraux pendants de l'étrier B1, maintient le galet b constamment au contact de la came C1,
de sorte que l'ensemble de commande des coulisseaux peut être soutenu par ladite came dans la position normale
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représentée sur la figea 170 L'étrier Bl et les éléments qu'il supporte sont maintenus dans leur position normale représentée sur la figo 17 par un cli-
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quet de verrouillage B8 à commande à la main monté sur une vie-pivot b2 dans une console fixe 12 du bâti de la machine et-qui est au contact d'un
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goujon b3 en saillie latéralement sur l'un des bras latéraux de 1,9étrier.
Pour enlever et remplacer le magasin A, ce dernier est monté selon 1'9invention de façon à pouvoir osciller ou basculer vers l'arrière et vers l'avant à partir de sa position normale verticale, représentée en pointillés sur la figo 2o A cet effet, le magasin A (figo 17) est supporté sur un troisième étrier D présentant une barre transversale Dl qui est au contact de la face inférieure de la section intermédiaire horizontale A3 du magasin et deux bras latéraux pendants D2 disposés au voisinage de ceux de l'étrier B5 et également montés sur l'arbre horizontal C.
Pour situer 1?étrier D dans sa position activeg l'un au moins des bras latéraux D2 (figso 1 et 2) présente une patte ± destinée à venir à ce moment au con-
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tact d9un goujon correspondant 11, en saillie sur le bâti de la machinée Grâce à cette disposition, on peut faire osciller vers 1:7 arrière le maga- sin et son supporta vers une position (non représentée) où il peut commo- dément être enlevé et remplacée lorsqu'on le désire.
Dans ce cas toutefois, on doit d'abord libérer l'étrier Bl et les éléments qu'il supporte, y com- pris les coulisseaux alternatifs B, en retirant le cliquet B8 du goujon
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b39 puis en le faisant basculer à l9écart vers le base
Les dispositifs d'évacuation des patrices hors du magasin A comprennent (fige. 4 et 4A) respectivement un cliquet A4 à simple action pivotant sur une tige !il un ressort de traction A5 destiné à maintenir nor- malement le cliquet dans sa position active et un poussoir A6 destiné à faire basculer le cliqueta à l'encontre de la tension du ressort A5, vers
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sa position inactiveo L9actionnement des poussoirs A6 a lieu électriquement par des dispositifs commandés à partir du clavier 9 et qui comprennent des solénoltdes F de sélection des patrices (fige.
9 et 10) disposés par pai- res le long de l'extrémité inférieure du magasin A et divisés en groupes de huit, à raison d'un solénoïde pour chaque nombre correspondant de dis- positifs dévacuation des patriceso Les solénoïdes F commandent directement le fonctionnement d'une série de leviers Fl montés sur une tige-pivot ho- rizontale commune f, et les diverses paires des solénoides d'un même grou- pe sont disposées dans le même plan vertical, deux paires au-dessus et deux paires au-dessous de l'axe de ladite tige, afin d'accomplir plus facilement leur fonction et d'être en même temps supportées à l'intérieur d'un carter 14 dont la longueur ne dépasse pas la largeur du magasin à son extrémité
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d9évacuation.
Afin d9établir les connexions convenables entre les solénoïdes F et les leviers Fl qu'ils commandent chacun de ces leviers présente des bras horizontaux F2 et des bras verticaux F3, qui sont munis de saillies f1 se terminant sous la forme des noyaux des divers solénoïdeso Les bras F2 des leviers F1 se dirigent vers Carrière à partir de la tige!:
et sont suffisamment longs pour venir au contact de la face supérieure des bras
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les plus courts d'une série de leviers oscillants F4.9 lesquels sont divisés en séries de huit, pouvant se mouvoir individuellement, vers l'arrière, de sorte qu"un levier F4 choisi à l'avance d'une série puisse actionner par 1 intermédiaire de 1?un d'une série d'éléments de poussée verticaux F5., le poussoir A6 du dispositif correspondant d'évacuation du magasin.
D'une fa- gon plus explicite, lorsqu'un solénoïde F d'un groupe quelconque est exci- té par l'abaissement d'une touche du clavier E, le bras F2 du levier qu'il commande est.forcé vers le bas de façon à soulever l'extrémité postérieure du levier oscillant correspondant F4, à rencontre de la tension d'un res- sort de traction f2, et à l'amener vers une position où elle peut venir au contact de Isolément de poussée correspondant F5 et l'actionner,
lorsque le groupe dans lequel ledit levier oscillant est compris est déplacé vers car- rièreo
Les leviers oscillants F4 des divers groupes sont montés sur
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leurs tiges-pivot .ndividuelles f et ils sont normalement maintenus dans leur position horizontale de la figo 9 par les ressorts de tension 9 de
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sorte qu9à leexception de celui qui est actionné ainsi qu'on vient de le dé- crire par le levier associé Fla ils échappent aux extrémités inférieures des éléments de poussée F5 pendant leur mouvement vers 19arrière.
Ce mouvement des divers groupes de leviers F4 est commandé par des solénoïdes séparés F6, disposés à raison d'un par groupe de solénoïdes F sélecteurs des patri- ces en relation de fonctionnement avec des leviers coudés F7 qui sont reliés respectivement aux tiges-pivot f3 des leviers oscillants. Les leviers coudés
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F7 (figo 9)9 ainsi que les éléments de poussée F5. sont suspendus respecti- vement à des tiges-pivot S,4, 5 et pourvus de leurs ressorts individuels de tension f6 et f destinés à les appliquer élastiquement contre des butées fg et Zg dans leurs positions verticales normales.
Le clavier E (figso 3 et 3A) est muni des interrupteurs bascu- lants ordinaires à mercure G, lesquels peuvent être actionnés en abaissant
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les touches respectives Elfl ainsi que la touche E2 des espaceurs dont, les conducteurs g, sont reliés à une barre omnibus commune Gl à partir de la- quelle on peut établir des circuits électriques à travers les solénoïdes F et F6 en vue, premièrement de choisir, puis en second lieu d'effectuer la
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libération des patrices!, et des espaceurs g pour la composition d'une li- gneo Ces circuits (figo 3) comprennent également un pulsateur H tournant constamment et muni d'éléments conducteurs espacés hfl un shunt Hl associé audit pulsateur;
, et un interrupteur de circuit H2 comprenant un solénoïde H3 et un interrupteur H4 normalement fermé qu'il commande. Les éléments sont disposés de telle sorte que lorsqu) on abaisse une touche à la façon habituelle, un courant (indiqué par les flèches sur la figo 3) en provenan-
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ce du générateur traverse la barre-omnibus G.9 le shunt Hl et le pulsateur H de façon à exciter les troissolénoïdes Ii3 F et F60 Toutefois, le fonc- tionnement de ces solénoïdes est synchronisé afin quils puissent assumer leurs fonctions particulières dans un ordre prédéterminé de succession,
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cgest=à=dire que le solénoïde F conditionne en premier lieu certains éléments ainsi que décrit plus haut en vue d9action.nex le cliquet convenable A4:
, puis le solénoïde F6 actionne ledit cliquet pour assurer l'ÉàVacuation du pa- triee hors du magasin A, et finalement le solénoïde H3 de l'interrupteur de circuit avec l'interrupteur H4 afin de couper momentanément le circuit.
Par ailleurs$) dans le cas où l'on maintiendrait abaissée trop longtemps une tou- che El ou la touche E2 des espaceurs, le circuit resterait interrompu jus-
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qu a ce que la touche soit libérée, en empêchant ainsi une colonne entière de patrices de s9échapper hors du magasino Naturellement, le pulsateur ne fonctionne que pour commander l j)évacuation des patrices un à un du magasin,
dans les conditions normales d9actionnement des toucheso
Les patrices x et les espaceurs y- évacués du magasin A descen- dent le long des canaux de guidage d'une glissière 15 pour tomber sur un transporteur à courroie 16 incliné qui les dirige vers un canal de récep=' tion horizontal 17 situé à gauche du clavier E et dans lequel ils sont com- posés en ligne sous l'action d'une roue en étoile I tournant constamment contre un doigt vertical Jl d'un bloc coulissant rétractile J.
Les parois antérieure et postérieure 18 et ±3 du canal 17,font partie d'une console
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allongée 20 (figSo 1 et 5) du bâti de la machine et elles ont une forme con- venable en vue de supporter et de guider les patrices et les espaceurs par leurs oreilles en saillie.
Après qu9on a composé une ligne de patrices, on la pousse en bout par un dispositif qui sera décrit plus loin, le long du canal 17, à 19écart de la roue en étoile Il. vers une position où elle est justifiée convenablement aux opérations d'encrage et d'impression; pour si- tuer et maintenir les lignes composées pendant ces opérations, la paroi an- térieure 18 du canal 17 est munie d'un dispositif de butée K (figso 12 et 22) qui est disposé dans une fente longitudinale 21 de cette paroi et.dans laquelle il peut être réglé selon la longueur des lignes à composero Le dis- positif de butée K (figo 22)
comprend un coulisseau intérieur k1 et un cou-
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lisseau extérieur 9 un bouton moleté k3 pour serrer le dispositif dans ses diverses positions à réglage et une butée 3g fixée de façon à pouvoir pi- voter entre ses extrémités sur le coulisseau intérieur 19.9 de sorte qu'on peut le faire basculer vers et à l'écart de sa position activée Le disposi- tif K comprend également (figo 12) une paire d'interrupteurs électriques
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ordinaires à lame k5, pouvant être actionnés consécutivement pour former des circuits électriques vers une paire correspondante de lampes-signal L1 et L2 (l'une rouge et 1'autre verte)
placées en un endroit très visible en vue d9informer le conducteur de la machine lorsque les lignes composées a- vancées en position d'impression sont trop courtes pour être convenablement
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justifiéeso Pour faciliter le réglage du dispositif d9arrét K pour des lignes de diverses longueurs, la face antérieure de la paroi 18 porte une gradua- tion 22 disposée au-dessus de la fente 21 et qu'on peut lire en combinai-
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son avec un index k4 porté par le coulisseau extérieur k du dispositifo Normalement,
la butee k4 est disposée et maintenue dans sa position active représentée en traits interrompus sur la figo 5 au moyen'd'une plaque de
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levée K1 disposée au-dessous de la paroi postérieure de la console 20 et venant au contact d'un galet anti-friction k7 fixé sur un bras de la butéeo La plaque K1 (figo 5) est guidée de façon à pouvoir effectuer un mouvement vertical limité par des liaisons goujon et fente k8 du bâti de la machine et on peut 19 actionner pendant le fonctionnement de la machine au moyen de
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deux leviers oscillants Z et 3a à partir d'une came Ml montée sur l9arm bre à cames principal Mo
Le bloc coulissant J (figso 5 et 22)
est monté dans des glissiè-
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res horizontales situées juste au-dessous du canal Il récepteur des pa- trices de la console 20 du bâti et le doigt vertical Jl d 9 arrêt de ligne dudit bloc est articulé sur le bloc de façon qu9on puisse le faire basculer vers le bas ou vers le haut, vers et à l'écart de sa position verticale.
Toutefois, normalement ou bien jusqu9à ce que les opérations de justifica- tion et d'impression aient été terminées, le doigt Jl est maintenu en posi- tion verticale par le contact doun galet anti=friction .1 qu'il porte, avec la paroi inférieure de 1 )une des glissières 2.o A une extrémité, le bloc J présente un rebord il dirigé vers le bas et muni d'un bec et d'une patte décalée i3, le rebord étant disposé sur le trajet de la.butée pivo- tante k4 du dispositif K et la patte constituant un moyen grâce auquel on peut ramener le bloc à sa position primitive au voisinage de la roue en
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étoile 1.
Le rebord 11' présente également un goujon .i4 en saillie vers le bas et destiné à actionner les interrupteurs k5 à lame élastique juste avant que le bloc coulissant soit arrêté par le dispositif de butée K afin de situer une ligne composée en position d9impressiona Dans la présente machine (figso 7 et 7A) la roue en étoile I est calée sur l'extrémité avant d'un arbre horizontal 12 tourillonnant dans
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des paliers espacés 24- et entraîné constamment par l'intermédiaire d'un em- brayage (non représenté) par un engrenage approprié tel qu'une roue droite
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11 clavetée sur l'arbre 1 et un pignon 14 engrenant avec elle.
L'arbre 12 peut effectuer un mouvement en bout limité afin de déplacer la roue en étoi- le vers 19arrière préalablement au déplacement d'une ligne composée vers sa position d'impression, et le dispositif utilisé à cet effet comprend de façon générale un levier N monté sur un axe vertical n, en saillie sur la console fixe 20, une bielle horizontale Nl animée d'un mouvement de va-etvient et fixée sur la face arrière de ladite consoleet un segment de came oscillante N2 commandé par ladite bielle afin d'actionner le levier N à 1 S'en- contre de Inaction d'un ressort de tension nia Plus particulièrement,, le
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levier N (-figo 7) présente deux bras divergents !12 et ni de longueurs dif- férentes le bras le plus long ll2 étant relié à son extrémité libre à laar- bre 12.
et le bras plus court na portant un galet anti-friction a4 au con- tact du segment de came N20 Ce dernier (figo 7A) est monté sur un goujon n5
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en saillie latérale sur la console 2S et il comprend un bras n dirigé vers le bas et relativement courte (représenté en pointillés) pénétrant dans un évidement biseauté n7 formé dans le bord supérieur de la bielle horizontale Nlo La disposition est telle que lorsque la bielle Nl se déplace en bout
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dans un sens le segment de came N2 tourne dans le sens dextrorsum (fig. 7A) et actionne le levier N à l'encontre de la tension du ressort n1, de façon à déplacer la roue en étoile 1;
et Inversement, lorsque la bielle Nl se dé- place dans 19 autre sensle segment de came tourne dans le sens sinistror- sum et permet au ressort n1 de ramener le levier N et la roue en étoile I à leurs positions promitives ou normales.
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La bielle N1 est actionnée en synchronisme avec d'autres élé-
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ments mobiles de la machine que l'on va dc^ire9 et ceci au moyen d'un dis- positif qui comprend un levier à main 0 disposé commodément au voisinage du clavier E et un bras oscillant 01 verticale qui est commandé par le le= vier à main et relié à l'extrémité voisine de la bielleo
En position normale,la roue en étoile I est située comme d'ha- bitude et ainsi qu'on l'a mentionné précédemment, sur le trajet des patri- ces x et des espaceurs y afin qu'ils puissent s'empiler contre le doigt vertical du bloc coulissant J lorsqu'ils passent de la glissière 15 dans le canal récepteur horizontal 17.
Après que la ligne est complètement com- posée) on retire la roue 1 comme décrit ci=.dessus afin de permettre à la ligne devancer en bout le long du canal 17 sous Inaction d'une barre-poux- soir F animée d'un mouvement alternatif (figo 5, 7) et qui comporte des plaques avant 21 et arrière P2, disposées le long de la barre et pouvant coulisser dans les glissières de la console 20 ci-dessus mentionnéeo A son extrémité avant la barre-poussoir P présente un bec Pl articulé
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sur elle et maintenu dans sa position inactive de la figo 79 à l9encontre de la tension d'un ressort plat p- 3D par une protubérance arrondie à 1ex- trémité libre de 1?arbre 12.
de la roue en étoile. Les plaques latérales g1 et :!l2 de la barre P (figo 7) se prolongent quelque peu au-delà de 1 j)ex= trémité de celle-ci de façon à recevoir entre elles un galet anti=frie= tion :B4 et;, au voisinage de ce galet, la barre P, pour des raisons qui appa- raîtront par la suite, présente une patte P2 dirigée vers le baso La barre P (fige.5 et 7A) porte également un cliquet en forme de crochet P3.action-
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né par un ressort et articulé sur une console Pue à l9alîgnement horizon- tal d9une patte décalée 13 formée sur le rebord i1 du bloc coulissant Jo La console P4 (figo 5) est située dessous le bord antérieur de la barre- poussoir P et est destinée, en venant au contact d'une console quelconque 25 fixée sur la paroi postérieure de la console principale allongée 20,
à arrêter la barre-poussoir en position normale ou de retraita A ce moment le crochet P3 est maintenu inopérant à l'encontre de la tension de son res-
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sort par une vis de réglage 26 montée transversalement dans la console 2c Selon la présente invention, la course active de la barre-pdus- soir P à mouvement de va-et-vient s effectue en deux tempsle premier sous 1'action du levier à main 0 avant que la machine ait commencé à démarrer, de façon à faire avancer une ligne composée vers la position d'impression dans laquelle elle est arrêtée et justifiée sous Inaction de la barre P à l'encontre de la butée à commande par came du dispositif K;
et le second
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par un levier à main Q à commande par came et ressort;? qui s?élève â partir d'une tige-pivot fixe 27 et qui est destiné à fonctionner au commencement du cycle de la machine,de façon à compléter la course active de la barre- poussoirToutefois,ce deuxième mouvement suit la libération automatique
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du bloc coulissant J sous l9effet du mouvement de la butée vers sa posi- tion inactive et fait avancer la ligne de patrices, quelle que soit sa lon- gueur, le long du canal 17, pour venir au contact d'une barre horizontale
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nervurée Rl de l'élévateur R (figs.
8 et 0)0 Le bras de levier Q est com- mandé par une came Ql agissant à l'encontre de tension Q2 fixé à une extré- mité du bras Q et ancré à son autre extrémité sur une plaque fixe g (figo 8) La came Q2 est au contact d'un galet g1 fixé sur la face postérieure du bras de levier Q et, grâce à ce contacta maintient ce dernier dans sa position
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normale, à rencontre de la tension du ressorte jusqu'à ce que la machine ait été mise en route.A son extrémité supérieure, le bras de levier Q, com-
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me le bras oscillant 01, est au contact du galet pi.
disposé à l'extrémité de la barre-poussoir P afin d9assurer la souplesse du fonctionnement de cette dernière lorsqu'elle commence à effectuer la deuxième partie de sa
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course, la forme de la came Ql étant telle qu'elle permet au bras Q c3.9oscil ler lentement à partir de sa position normale (figo 5) pour venir au contact du galet 9 tandis que la ligne de patrices est encore en position d'impres- sion.
On remarquera (fige. 20 et 22) que la paroi du fond de la glis- sière postérieure 23 de la barre-poussoir P et du bloc coulissant J est dé- coupée près de 1?extrémité de gauche de la console de support 20 et que deux
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tronçons de rail 20 et go, horizontaux et en contact bout à bout, la rem- placent sur cette longueur.
Le tronçon de rail 28 est fixé sur la paroi postérieure de la console 20, tandis que l'autre trongon de rail 92 lui est articulé à une extrémité et supporte à son autre extrémité le coin supérieur d'un troisiè- me tronçon de rail 30 qui occupe une position inclinée vers le haut au-des-
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sous du tronçon 6il et qui est fixé sur la même paroi de la console Oo Lors- que le patrice antérieur d'une ligne composée;
, au cours de la course active de la barre-poussoir P, vient au contact de la barre Rl de l'élévateur, le bloc coulissant J (figo 20) est arrêté par un axe de butée 31,et le galet de support du doigt vertical Jl de ce bloc passe par-dessus et légèrement au-delà du tronçon de rail fixe 28 (indiquéen pointillés) afin de permet- tre à ce doigt de basculer vers le bas, à 1 'écart du trajet et au--dessous de la ligne de patrices.
La barre P peut aller terminer sa course active
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indépendamment du bloc J. jusqu'à ce qu9elle rencontre un deuxième axe de butée 9 de sorte que le dernier patrice de la ligne composée peut venir au contact de la barre Rl de 19é1évateur: A la suite de cette opération, le crochet P3 situé au bord avant de la barre P s'enclenche derrière la patte décalée 4 du coulisseau J, avant la course de retour de la barreo
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Le levier à main 0 (figs.
1 et 5) est articulé sur le bras os- cillant 01 de sorte qu'il peut osciller vers le bas et vers le haut, vers et à 1'6"cart de la position indiquée en pointillés (figo 5)9 et entre ses extrémités il présente un galet anti-friction 2 destiné à venir au contact de surfaces biseautées Il et 3 disposées selon une certaine inclinaison et formées respectivement sur une pièce fixe 3 d'une cornière 3j et un doigt vertical :
il articulé à son extrémité inférieure sur le bâti de la machine Un ressort de tension la!) fixé sur le doigt 37 et ancré sur une
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extrémité de la console 2 ¯5, est destinée dans les conditions normales de fonctionnement, à maintenir le doigt 32 contre un goujon ±2, la surface bi- seautée de ce doigt étant à l'alignement de la surface correspondante bi-
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seautée 33c Un interrupteur électrique ordinaire e.
commandé par le doigt 119 et un interrupteur 4l à lame élastique situé dessous l'interrupteur 40 et actionné par un goujon o1 en saillie sur le bord inférieur du levier à main 0 sont disposés (figo 6) dans le même circuit, de sorte qu'ils peuvent commander par l'intermédiaire de dispositifs décrits ci-après, la mise en route du cycle de la machine
Le bras oscillant 01 (figo 5)
S'élève à partir d'un pivot o2 dans la console fixe 20 et à son extrémité supérieure il présente une tê-
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te o3 au contact du galet 24 ci-dessus mentionnée lequel est situé à l9ex trémité postérieure delà barre-poussoir Po Un ressort de tension 02 fixé sur le bras oscillant 01 en un point situé au-dessus du pivot o2 et ancré sur la paroi de bout voisine de la console 20, maintient le bras oscillant et le levier à main 0 dans leur position normale représentée sur la figo
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59 cette position étant déterminée, ainsi quaon peut le voir, par le con- tact du galet anti-friction o dudit levier avec une courte patte verticale ou saillie formé à l'extrémité supérieure de la pièce biseautée fixe 35.
Pendant la composition d'une lignela barre-poussoir P est également main- tenue dans sa position normale ou de retrait contre la console 25 par un verrou ou cliquet pivotant S porté par le bras le plus long d'un levier coudé Sl et venant au contact par en-dessous de la patte P2, dirigée vers le bas,de la barre-poussoir.
Le cliquet S est maintenu, élastiquement dans sa position active contre un axe de butée par un ressort de tension rela-
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tivement léger Si et il peut être déplacé à 1'eneontre dudit ressort (figo 8)9 à l'écart de la patte P9 au moyen d'un levier oscillant S2 articulé en- tre ses extrémités sur la console fixe 20 et dont un bras est au contact du cliquet S, son autre bras étant relié par un ressort de tension s2 au
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levier à main Ofl Une liaison par goujon et fente s3 limite les mouvements d9oscillation du levier 52, et le ressort p2 est suffisamment extensible pour permettre la libre manoeuvre du levier à main o.
Les éléments sont disposés de telle sorte que,lorsque le levier à main 0 commence à se dépla- cer vers le basle levier S2 est actionné pour dégager le cliquet S de la patte P2 de la barre-poussoir P,, de sorte que cette dernière peut être ac-
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timmée par la poursuite du mouvement du levier 0 de la manière et dans le but déjà décrits.
Le levier coudé Si (figs 7 et 8) est situé au voisinage du bras de levier Q et il est monté sur la même tige-pivot 27, mais il peut être actionné aussitôt après que la barre=poussoir P a terminé sa course activea de façon à amener le cliquet S au contact de la patte P2 de la
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harre=poussoiro Ce mouvement actif du levier Sl s'effectue à l'encontre d'un ressort de tension S3 sous Inaction d'une came S4 montée sur l'arbre principal M (fige 8) et au contact d'un galet s4 suiveur de came, porté par le bras le plus court dudit leviero Le ressort S3 est fixé sur le bras le plus long dudit levier et il est suffisamment fort pour assurer la course de retour de la barres-poussoir;
, sous la commande de la came S4
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et par 191ntermédïaïre du cliquet So
Il résulte de la description qui précède que lorsquon abaisse le levier à main 0 et que le galet 2, qu'il porte vient au contact de la surface biseautée 33, le cliquet S est dégagé en premier lieu de la patte P2 de la barre=-poussoir en vue de libérer cette dernière et que la roue en étoile est ensuite retirée par le levier N et la bielle N1 de façon à permettre au bec Pl de la barre de s'enclencher derrière une ligne de pa-
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triées composée dans le canal récepteur 17o A ce moment, la tête Q3 du bras oscillant vertical 01 a été amenée par le levier à main 0 au contact du galet anti-friction de l'exbrémité postérieure de la barre,
de sorte que lorsquon continue d'abaisser le levier à main, et que le galet o por- té sur la surface biseautée du doigt vertical 37 est venu s'appliquer contre sa surface verticale, la ligne de patrices s'est tout d'abord ar- rêtée du fait du contact du bloc coulissant J avec la butée pivotante k4
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du dispositif K9 puis est venue en position de justification pour 1,91m- pression, préalablement à la fermeture de 19interrupteur électrique infé- rieur 41 par le goujon a, du levier à main et à la mise en route du cycle de fonctionnement de la machine.
Si la ligne composée est trop longue pour être justifiée, le doigt 37 est écarté de son goujon de butée, à l'encontre de Inaction du ressort 39, lorsque le galet 9, en descendant avec le levier à main 0 roule sur la surface biseautée 34, en ouvrant ainsi l'interrupteur supérieur 40 pour empêcher la mise en route de la machine. D'autre part
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dans le cas où la ligne composée avancée en position d9impression est trop courte pour être justifiée, l'axe i4 du bloc-coulissant J n'actionne que le premier interrupteur à lame du dispositif de butée K et provoque 19a11 mage de la lampe rouge Ll divertissements, à l'exclusian de celui de la lampe verte 12.
Lorsque les lignes composées ont une longueur de justifica- tion convenable,la lampe verte sauf pendant un éclat momentané de la
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lampe rouge, reste allumée jusqu 9à ce que les caractères des lignes de pa= trices aient été encrés et qu'on en ait obtenu des clichés par des moyens qu'on décrira par la suiteo
Lorsque le cycle se poursuit, la butée pivotante k4 du disposi- tif réglable K est actionnée par la plaque de levée Kl à commande par came,, de façon à libérer le bloc coulissant J et à permettre ainsi à la ligne de patrices d'avancer davantage sous Inaction de la barre-poussoir P. pour ve- nir au contact de la barre R1 de l'élévateur, cette dernière opération étant effectuée,
comme décrit ci=dessus par le bras de levier Q sous la commande de la came Qlo A ce moment, le cliquet S a été amené au contact de la patte P2 de la barre='poussoir et les pièces occupent la position de la figo 20,
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cest2a-dire que le bloc J est arrêté par l'axe de butée 1 le crochet P3 est au contact de la patte i3 du rebord du bloc coulissant,, et le doigt Jl de ce dernier est maintenu en position inactivele galet étant en regard du tronçon de rail incliné 30 fixé sur la paroi postérieure de la console 20.
La barre-poussoir P peut maintenant commencer sa course de re=
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tour sous 1 influence du ressort S3 lorsque le galet Soo- du levier coudé SI roule sur la saillie de la came S4. Pendant ce fonctionnement, le galet de support du doigt Jl de butée de ligne du bloc coulissant J vient d'abord
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au contact du tronçon de rail incliné 30, qui le soulève au-!-delà du tronçon
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de rail pivotant g2, fonctionnant à la manière d'un interrupteur pour lia mener sur la paroi inférieure de la glissière horizontale 23.
Par suitele doigt Jl est redressé et de nouveau maintenu en position verticale lorsque la barre-poussoir P continue sa course de retourLe levier à main 0 doit être maintenu en position horizontale afin d'amener la tête du bras oscil-
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lantg O1 sur le trajet du galet R4. à l9extrémité postérieure de la barre- poussoir P et d'arrêter celle-ci, à l'encontre du ressort de tension S3, dans la position de la figo 8 où le bec Pl de cette barre est en face de la saillie 1 de l'extrémité avant de l'arbre 12 de la roue en étoileoOn peut alors relever le levier à main O, premièrement afin de libérer le le- vier N de retrait de la roue en étoile par l'intermédiaire des liaisons décrites ci-dessus et de permettre à ce levier de ramener la roue à sa po- sition de fonctionnement;
puis immédiatement aprèsafin de permettre au
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ressort S3. par l9intermédiaire du levier coudé Sl et du cliquet 51' de ra- mener la barre-poussoir P à sa position normale contre la console fixe 25, dans laquelle le crochet P3 est forcé de s'écarter du bloc coulissant J. pour venir au contact de la vis de réglage 26.
En même temps que le levier à main 0 est soulevée le petit levier oscillant S2, par suite du relâche-
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ment de son ressort 9 est inefficace et permet donc au cliquet S (figo5) de rester au contact dela patte P2 de la barre-poussoir Po
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Le cycle de la machine se poursuit alors jusqu,9à ce que la li- gne composée soit soulevée par la barre R de l'élévateur au niveau de dis- tribution et poussée de ce dernier dans une boîte distributrice (non repré- sentée) où les patrices et les espaceurs sont séparés les uns des autres
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et amenés au mécanisme principal de distribution en vue d 9 être évacués selon leur caractère, au-dessus de leurs canaux de magasin respectif Se De cette façon, il existe un intervalle de temps suffisant, avant la fin du cycle,
pour effectuer la composition de la nouvelle ligne de patrices., ce qui constitue un avantage qu'apprécieront les spécialistes des machines du type à composer et à moulero
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L1'embrayage principal et ses dispositifs de commande comprennent (figo 6) deux éléments dembrayage en regard 42 et 43, dont le premier est calé sur un arbre moteur de commande (non représenté) tandis que le se- cond est'formé sur un manchon 44 qui coulisse au moyen de cannelures sur l'arbre à cames M de façon à pouvoir être amené en prise ou hors de prise
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avec Isolément 42¯c Le mouvement axial du manchon 44 a lieu au moyen d9un levier vertical ±g commandé automatiquement, oscillant par son extrémité inférieure sur une console fixe 46.
et muni entre ses extrémités d'un galet antî-friction 4 (représenté en pointillés) pénétrant dans une rainure an- nulaire 48 fermée dans le manchono Un ressort de tension !il fixé sur le le-
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vier 4j assure la mise en prise de l'embrayage, et une came 0, disposée au voisinage du manchon 44 et calée sur l'arbre à cames M.
assure le débrayage de 1 )embrayage à l'encontre de la tension dudit ressorto La came 50 présen- te une seule saillie 51 et le levier 45 est muni en outre d'un second galet
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anti-friction qui est situé sur le trajet de la saillie .2l et qui est fixé sur un bras 2-en saillie latérale à partir dudit leviero Pour mainte- nir l'embrayage débrayé pendant que la machine est au repos, le levier 45 présente à son extrémité supérieure un cliquet 54 qui lui est articulé et qui comporte une tête 55 formant épaulement qui s'applique à ce moment con- tre la face de dessous d'une console fixe 56.
Un ressort de tension 'il re- lativement léger, fixé à l'autre extrémité du cliquet 54 et ancré sur le
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levier 45..:. tend à faire osciller le cliquet vers le haut et à le maintenir élastiquement dans sa position active de la figo 60
La. disposition est telle qu'en abaissant légèrement la tête du
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cliquet 54-p à l'encontre de son ressort, il s'éloigne de la console 6 et permet au ressort !il par l'intermédiaire du levier 45, de faire coulisser
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le manchon 44 dans le sens convenable sur l'arbre à cames 1>1 pour assurer la mise en prise de l'élément d'embrayage àl avec Isolément de commande 42. en faisant ainsi démarrer le cycle de la machinée En conséquence, le galet 5-2 est amené dans le trajet de la saillie il.
et la tête du cliquet 4, glisse
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sur la surface de dessous de la console 56 sans cesser d'être à son contact.
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Ensuite, lorsque la saillie 2!> du fait que 19 arbre M continue de tourner 9 vient au contact du galet U. le manchon 44. est déplacé à l'encontre de la tension du ressort 49 pour revenir à sa position primitive et débrayer l'em- brayage à la fin du cycle de la machine, le cliquet revenant de nouveau au contact de la console î6-.
En vue à'empêcher que l'arbre à cames M conti- nue de tourner lorsque l'embrayage est débrayé à la fin du cycle, l'ensem-
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ble (fige 6) comprend également un disque fixe 5-8 - percé d'une série d"enco- ches ou ouvertures concentriques situées à des distances différentes de laxe de 1 )arbre et 1-9élément d9embrayage AI comprend deux paires ou plus de gou- jons 59 qui y sont montés élastiquement et qui sont destinés à pénétrer dans les ouvertures lorsque ledit élément cesse d'être en prise avec Isolé- ment de commande 42.
Le fonctionnement du cliquet 54 tel qu'on vient de le décrire
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est assuré par 1gexcitation dun solénoïde 0 dont le noyau 21 se termine juste au-dessus de la tête dudit cliqueto Comme la figo 6 le représente schématiquement, le solénoïde est inclus dans le même circuit électrique que les deux interrupteurs éQ et 4 qui sont commandés par la manoeuvre du levier à main 0 de la façon déjà décrites de sorte que lorsqu'on abaisse le levier 0 pour faire avancer et justifier à la position d'impression une
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ligne de paoerices composée il ferme le circuit du solénoïde en même temps qu'îl actionne i'interrupteur inférieur 411.
Par suite, le. cliquet est écarté de la console J6 par la poussée du noyau 1 et permet la mise en prise de l'embrayage sous Inaction du ressort 49, afin de mettre en route le cycle de fonctionnement de la machine. Il convient de remarquer à cet égard que, bien que les dessins ne représentent aucun dispositif d'arrêt momentané et de remise en route de la machine au cours d'un cycle (ainsi que cela peut être nécessaire pour des raisons bien connues)on peut fa- cilement concevoir un dispositif de commande à la main en vue d'actionner
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le levier 4 indépendamment de la came îO et en même temps d'empêcher le cliquet Sa de s'écarter de la console 60 On se reportera de nouveau maintenant aux figs.
1 et 129 ainsi qu9à la figo 21p qui montrent les éléments respectifs des dispositifs d'en- crage et d9impresaion et les dispositifs qui servent à les commander. Les dispositifs encreurs (figs 12 et 21) comprennent un groupe de trois cylin- dres 9 T19 T2 de fourniture de 19encre, disposés l'un au-dessus et au con- tact l'un de 1'autre et tourillonnant entre leurs extrémités dans des pla- ques latérales T3 d'un support T4 disposé et fixé entre des consoles 62 du bâti de la machine.
Une poulie à courroie T5, calée sur l'arbre du cylindre supérieur T du groupe, entraîne les cylindres à la vitesse nécessaire pour transférer l'encre à un cylindre encreur T6 de plus petit diamètre, pou- vant être animé d'un mouvement de va-et-vient dans le sens vertical et qui normalement est maintenu appliqué contre le cylindre inférieur T2 et guidé
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dans des fenêtres t découpées dans les plaques latérales T3 du support T40 Les mouvements verticaux du cylindre encreur T6 lui sont communiqués par un levier oscillant horizontal T7 en forme d'Y (figso 12 et 2l) relié à son extrémité postérieure par une paire de biellettes T8 aux tourillons de ce cylindre et articulé dans une console ± dirigée vers l'avant à partir de la paroi antérieure de la console 200 A son extrémité avant,
le levier os- cillant T7 est relié par une bielle T9 verticale, relativement longue,à un autre levier oscillant T10 (figso 1 et 12) disposé au-dessous de la con-
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sole ZO et de l'arbre à cames M9 et dont l'extrémité postérieure est fixée sur un support fixe 64.
Le levier T7 (figo 1) est actionné par un ressort
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de tension Tll et commandé par une came T12 montée sur 19 arbre à cames M et au contact de laquelle roule un galet t2 porté par ledit leviero Sauf un évidement profond 13 pratiqué sur son bords la came T12 est concentrique à l'arbre M et occupe normalement la position angulaire représentée sur la fige 12, de sorte que peu après que la machine a commencé à effectuer son
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cycle, taxae paire latérale de l'évidement vient, sous l'effet d9une rota tion partielle de la came 1.9 au contact du galet t2,
en permettant au res- sort Tll d'abaisser le cylindre encreur T6 de la distance nécessaire pour
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transférer une couche dencre sur les caractères x4 d'une ligne justifiée de patriceso Puis, lorsque 1'autre côté de l'évidement t3 vient au contact du galet t2,le cylindre encreur T6 est ramené à sa position primitive con- tre le cylindre inférieur T2, où il est maintenu à 1'encontre de la tension
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du ressort Tl4 par la came Tu jusqu'à ce que la machine ait terminé son cycle
Aussitôt après l'encrage, un cylindre imprimeur U est avancé momentanément à partir de l'arrière pour imprimer la ligne,, à partir des caractères des patrices,
sur une feuille de papier ou matière analogue u tendue sur le cylindre Uo Le cylindre imprimeur U (figo 21) comporte des tourillons u1 qui sont soutenus et guidés dans leurs mouvements dans des fentes horizontales :!il.. découpées dans les plaques opposées du support fixe T2.
Ces mouvements du cylindre U sont effectués sous la commande d'un ar- bre oscillant U1 monté dans le support fixe T2 et muni à ses extrémités
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opposées d9une paire de bras verticaux U2 reliés respectivement aux tou- rillons u du cylindrée Les parois postérieures des fentes t i, servent à situer le cylindre dans sa position normale de la fige 21, dans laquelle il est maintenu élastiquement par un ressort de ension.U3 qui est relié à l'un des bras verticaux U2 de l'arbre U1 et ancré en un point convenable du bâti de la machinée
La rotation de l'arbre U1 est commandée par une came U4 calée sur larbre à cames M et présentant une saillie unique u2 ainsi qu'une por- tion concentrique u3 plus basse qui,lorsque la machine est au repos, est en regard d'un galet anti-friction u4 suiveur de came,
fixé sur l'extrémité inférieure d'un levier coudé U5 dirigé vers le bas à partir de l'arbre os- cillant Ulo Par suite, au moment convenable du cycle de la machine et lors-
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que la saillie g2 de la came ü4 vient au contact du galet l4., l'arbre os- cillant Ul tourne dans le sens voulu pour amener le cylindre U vers l'avant à 19encontre de son ressort de tension U3.
contre les caractères de la li- gne de patrices composéePuis,lorsque la saillie u2 de la came U4 dépasse
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le galet J.l4, le ressort U3 fait revenir le cylindre vers l'arrière sous la commande de la came U4 jusqu9à ce qu'il soit arrêté dans sa position nor- male par le contact des tourillons u1 avec les parois postérieures des fen- tes o
Il reste à décrire les dispositifs de déplacement du distribu-
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teur et celui grâce auquel au cours d'un cycle de la machine 19élévateur R est d'abord abaissé pour recevoir une ligne de patrices qui lui est four- nie de la manière décrite ci-dessuspuis soulevé pour amener cette ligne au niveau du distributeuro L'élévateur R (figso 13 et 18)
est disposé der- rière une colonne métallique creuse 63 et comprend en plus de la barre ner- vurée Rl un corps R2, à partir duquel se dirige vers l'arrière un bras R3, et une plaque horizontale R4 articulée sur l'extrémité libre de ce bras et sur laquelle est fixée la barre Rlo La colonne 63 présente en coupe trans- versale la forme d'un rectangle et elle est supportée à ses extrémités supé-
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rieure et inférieure par des consoles et 6, boulonnées respectivement sur la poutre !à du distributeur et sur la console allongée o Dans la pré.- sente machinel'élévateur R coulisse dans la paroi postérieure de la colonne 63 de façon à pouvoir être abaissé et soulevé aux fins mentionnées,
le mou- vement vers le bas étant assuré par une came R5 par l'intermédiaire de liai- sons décrites plus loin;, et le mouvement vers le haut étant assuré, pour des raisons de sécurité qu'il est inutile de mentionner, au moyen d'un poids 66,
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sous la commande de la came R5a Le poids 66, est caché à l'intérieur de la colonne 63 et il est suspendu à lune des extrémités d'un ruban ou câble fil qui s'enroule sur une poulie 68 et dont 19 autre extrémité est ancrée sur la
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périphérie d'une poulie Q2 beaucoup plus grande..
Les deux poulies 68, et 69 sont calées sur des arbres 68a et a tourillonnant respectivement dans les consoles supérieure 64 et inférieure fii, et en un point donné entre les pou- lies 19 élévateur R est fixé au câble 62. de façon à pouvoir être entraîné dans des sens opposés par la rotation de la poulie 69, de la distance néces-
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eaire pour l9amener soit au niveau de distribution soit au niveau de récep- tion de la ligne de patriceso
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La came R5 (figso 12 et 13)
est calée'sur l'arbre à cames M et dans une position telle qu'elle.puisse venir au contact d'un galet r1 sui- veur de came situé à 19une des extrémités d'un levier oscillant R6 articulé sur une console fixe 70 (figo 1) et qui agit à son extrémité opposée sur
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un levier Ruz' articulé sur l;à bâti de la machine autour d'un axe perpendicu- laire à celui du levier R6. A son extrémité libres le levier R7 (figo 13) est relié par un câble R8 à une poulie R9 relativement petite, située au
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voisinage immédiat de la poulie et calée sur le même arbre Ûaa.
La dis- position est telle qu'au moment voulu du cycle de la machine9 le levier os- cillant R6 est actionné par la came R5 de façon à abaisser le levier articu- lé R7 et, par l'intermédiaire du câble R8 fixé sur la poulie R9, à faire- tourner la poulie 69 dans le sens convenable pour tirer 1 ) élévateur R vers
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le bas à l'encontre de Inaction du poids 66,jjusquà ce que la plaque hori- zontale R4 de l'élévateur vienne reposer sur les parois latérales du ca-
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nal lz de réception et de transfert des lignes de patriceso Puisa après qui)une ligne de patrices a été avancée par la barre-poussoir P jusqu'à ve- nir au contact de la barre Bl de 19élévateur,
et que la portion non suré- levée de la came R5 a été amenée au contact du galet tl9 le poids 66 peut fonctionner par l'întermédiaire du câble 67.pour soulever 19élévateur R au niveau de distribution à partir duquel la ligne de patrices est dépla- cée horizontalement vers la position finale de distribution.
Cette dernière opération a lieu vers la fin du cycle de la ma-
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chine et est accouplée par un coulisseau alternatif V (figso 19 149 15 et 16) lequel présente, comme d'habitude, un doigt V1 verticale décalée desti- né à venir au contact d'une ligne composée et qui est monté dans des glis- sières V2 d'une barre horizontale de support V3. Toutefois, dans la pré- sente machine, la course active ou de déplacement d'une ligne du coulisseau V est effectuée par un poids 71, et sa course inactive est effectuée par un levier V4 agissant à l'encontre du poids et articulé dans une console
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fixe J2,,0 Le levier V4 (figo 16) est actionné par une came V5 calée sur 19arbre à cames M et venant au contact d'un galet v porté par ledit levier.
Comme le poids utilisé pour soulever l'élévateur R. le poids 1 est sus- pendu par un câble 11 passant autour d'une poulie Z4 et ancré sur la pé- riphérie d'une poulie beaucoup plus grande 75.o Les deux poulies 74 et 2i sont montées sur des axes individuels v et y 2 en saillie vers l'avant à partir de consoles séparées V6 et V7 suspendues aux extrémités opposées de la barre horizontale V3, les dites poulies étant disposées l'une par rap- port à l'autre de telle sorte que le brin du câble 73 qui est compris entre elles est parallèle aux glissières V2 et tout près du bord inférieur de la barreo A son extrémité antérieure, le coulisseau V est relié par une conso-
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le A la portion horizontale du câble .,',a et à l'extrémité de sa course active, le coulisseau est arrêté tout près de la plus petite poulie 74 (fige 14).
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La grande poulie 7i (figo 15) est reliée à l'extrémîté libre du levier V4 par un câble 76. qui est ancré sur une petite poulie Ma soli- daire de la poulie 12 et tourillonnant sur le même axe !2 Lorsque le le- vier V4 est actionné par la came V5,la poulie 75 tourne dans le sens si-
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nistrorsus à l'encontre de Inaction du poids 19 en retirant ainsi le con- lisseau V juste avant que le distributeur R soit arrêté au niveau de dis- tribution au cours de son mouvement vers le hauto Puis,lorsque la saillie de la came V5 passe au-delà du galet v sur le levier V4 (figo 16)
le poids 71 peut agir et imprime au coulisseau V sa course activeEn conséquence
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une ligne de patrices supportée par 19é1évateur R en est déplacée horizon- talement vers une position à partir de laquelle les patrices et les espa- ceurs peuvent être fournis, par des dispositifs non représentés, au méca- nisme distributeur principal en vue d'être libérée., selon leur caractère individuel, au-dessus de leur canal respectif de magasin.
,Il arrive souvent qu'il faut retirer à la main le coulisseau V et le doigt à partir de leur position normale afin de pouvoir pousser les patrices sur la barre de l'élévateur, puis les en faire glisser de la ma- nière et aux fins décrites ci-dessus après avoir libéré le coulisseauo Pour
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faciliter cette opération dans la présente machine, la barre V3 de support du coulisseau V est articulée à une extrémité sur un axe v3 dans une con- sole fixe 77,
et maintenue dans sa position horizontale parun bras 78 en saillie sur un arbre oscillant 79 et qui est au contact d'une patte V10 di- rigée vers le bas à partir de l'extrémité opposée de la barre V30 L'arbre oscillant 79 est monté dans le montant vertical voisin du bâti de la ma- chine et est muni d'une manivelle 80 pouvant être actionnée à volonté pour faire tourner l'arbre d'un nombre limité de dégrés dans les sens opposéso Lorsqu'on abaisse la manivelle 80 (de 45 par exemple) à partir de sa po- sition normale de la fig.
14, le bras 78 tourne d'un angle correspondant sous l'effet de la rotation de l'arbre 79 et s'écarte du dessous de la pat- te v10, en permettant à la barre V3 d'occuper la position inclinée repré- sentée en pointillés,dans laquelle le doigt Vl du coulisseau peut être tiré à l'encontre de l'action du poids 71, le long des glissières V2 et à l'écart du trajet des patrices glissés sur la barre R1. Ensuite, lorsqu'on relève la manivelle 80, la barre V3 est ramenée et maintenue dans sa posi- tion horizontale normale au moyen du bras 78 de 1 ) arbre oscillant et le doigt Vl est libéré de sorte qu'il peut fonctionner comme décrit ci-dessus.
En conclusion, on peut mentionner que, bien que les principes généraux concernant la manipulation des patrices de la présente machine depuis leur assemblage jusqu'à leur distribution se rapprochant beaucoup de ceux adoptés dans la manipulation des matrices dans les machines du type linotype du commerce;
, la justification des lignes de patrices composées est assurée automatiquement par le dispositif distributeur de lignes lorsque ces dernières sont arrêtées dans la position d'impression., et le produit de la présente machine consiste en une feuille imprimée de papier ou autre matière convenable, de longueur et largeur voulues et susceptible d'être utilisée ultérieurement en vue d'une impression lithographique en offset ou en creux. Par suite, il n'est plus nécessaire de prévoir les mécanismes compliqués de justification., de moulage de lignes-blocs et d'éjection, ain- si que les dispositifs de sécurité qui leur sont associés,
de sorte que la présente machine tant du point de vue de sa construction que de son mo- de de fonctionnement est relativement simple et présente de nombreux avan- tages, évidents pour les spécialistes de l'imprimerie.