BE505726A - - Google Patents

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BE505726A
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    • BPERFORMING OPERATIONS; TRANSPORTING
    • B41PRINTING; LINING MACHINES; TYPEWRITERS; STAMPS
    • B41BMACHINES OR ACCESSORIES FOR MAKING, SETTING, OR DISTRIBUTING TYPE; TYPE; PHOTOGRAPHIC OR PHOTOELECTRIC COMPOSING DEVICES
    • B41B11/00Details of, or accessories for, machines for mechanical composition using matrices for individual characters which are selected and assembled for type casting or moulding
    • B41B11/52Moulding or casting devices or associated mechanisms
    • B41B11/54Moulds; Liners therefor

Landscapes

  • Fertilizers (AREA)

Description


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  PERFECTIONNEMENTS AUX MACHINES TYPOGRAPHIQUES A COMPOSER, CLICHER ET ,DISTRIBUER. 



   La présente invention concerne les machines typographiques à composer, clicher et distribuer du genre de celles connues commercialement sous la marque de fabrique enregistrée "Linotype", dans lesquelles des matri- ces sont libérées de leur magasin   dàns   l'ordre dans lequel les caractères doivent apparaître en impression et sont alors composées en ligne, la ligne composée est transférée à la face d'un moule à fente, le moule est rempli fondu en vue de former une ligne-bloc ou barre de caractères contre les ma- trices et les matrices sont ensuite ramenées, par l'intermédiaire d'un mé- canisme distributeur, au magasin dont elles étaient parties. 



   La vitesse de travail des machines actuellement en usage est de l'ordre de six à sept cycles par minutes, c'est-à-dire que ces machines pro- duisent normalement six à sept lignes par minute. 



  Dans ces dernières années, on a observé une demande croissante en machines susceptibles de travailler à une vitesse plus élevée, et plus spécialement en machines équipées de claviers à commande par ruban. 



   La présente invention vise à satisfaire à cette demande, tout en conservant la construction fondamentale des machines existantes. 



   Conformément à cette invention, il est prévu, dans une machine typographique à composer et distribuer, un ou plusieurs magasins à matri- ces disposés dans un plan en pente raide de manière à accélérer le parcours des matrices à partir dudit magasin et à travers lui. Une courroie de compos- teur inclinée, destinée à recevoir les matrices à mesure qu'elles sont libé- rées de leur magasin et à les transférer au composteur, peut avoir un angle d'inclinaison notablement inférieur à   40   degrés, et il peut.âtre prévu des moyens permettant d'entraîner cette courroie à une vitesse notablement supé- rieure à deux mètres par,seconde. 



   L'invention prévoit en outre, dans une machine à composer et 

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 distribuer typographique, la combinaison d'une série de magasins à matrice inclinés, un châssis de changement de magasin où "déplaceur" suspendu de façon coulissante par son extrémité supérieure et des moyens permettant d' élever et'd'abaisser ce châssis pour amener un magasin choisi à la position de travail, lesdits moyens étant disposés de manière à maintenir les magasins convenablement inclinés dans toutes les positions du châssis déplaceur. 



  11 peut être prévu une paire d'arbres-manivelles situés aux extrémités res- pectives du châssis déplaceur, des biellettes reliant ces arbres audit châs- sis, et des liaisons entre les deux arbres pour assurer leur rotation en synchronisme. Le châssis déplaceur peut être suspendu de façon coulissante par son extrémité supérieure et de chaque côté à l'aide d'un galet et d'une plaque inclinée en contact à roulement avec ledit galet, un de ces organes étant fixé au châssis et l'autre au bâti fixe de la machine. 



   Conformément à une autre caractéristique de l'invention, la machi- ne à composer typographique comportant une entrée de composteur comprenant des plaques avant et arrière et des cloisons intermédiaires, une courroie de com- posteur inclinée disposée à l'extrémité inférieure de ladite entrée pour en recevoir les matrices,une goulotte guide-matrices disposée à l'extrémité de décharge de la courroie du composteur, une molette ou roue entaillée disposée   au-des-   sous de la goulotte guide-matrices pour agir sur les matrices au moment où elles émergent de cette goulotte et des moyens pour actionner la courroie du composteur et la molette est caractérisée par la combinaison avec ces éléments d'un bâti de support auxiliaire sur lequel sont montés tous les susdits élé- ments,

   ledit bâti étant mobile à partir de la position de travail qu'il occu- pe dans le bâti fixe.de la machine afin de permettre l'accès aux pièces inté- rieures. De préférence, le bâti de support auxiliaire est monté à charnière par une de ses extrémités sur le bâti de machine fixe. Comme les lames action- nant les échappements sont exposées lorsque le bâti de support auxiliaire a été amené à l'écart de sa position de travail, lesdites lames peuvent aussi être montées dans un bâti de support auxiliaire qui est fixé de façon amovi- ble au bâti fixe de la machiné afin de pouvoir facilement en être démonté en bloc. 



   Une autre caractéristique de l'invention consiste dans l'appli- cation à une machine à composer typographique, d'une roue en étoile rotati- ve servant à empiler les matrices dans le composteur   à   mesure qu'elles sont libérées par leur magasin et d'une transmission motrice pour la commande de ladite roue, ladite transmission comprenant une poulie dentée reliée à 1' arbre de la roue et une courroie dentée à actionner cette poulie. 



   Dans une machine comportant une courroie de composteur inclinée et des poulies inférieure et supérieure pour cette courroie, il est prévu un arbre pour la commande de la poulie inférieure, une roue en étoile rotative disposée au-delà de l'extrémité de décharge de la courroie de composteur, un arbre pour la commande de la roue, des poulies dentées montées à raison d'une poulie sur chacun des arbres de commande, et une courroie dentée reliant les deux poulies. 



   Conformément à une autre caractéristique de l'invention, la machi- ne comprend la combinaison d'un arbre principal pourvu d'une série de cames qui commandent le fonctionnement des divers organes de la machine et sont des- tinées à effectuer une rotation complète à chaque cycle de travail de la ma- chine avec des moyens pour entraîner ledit arbre à cames principal à une vi- tesse notablement supérieure à sept cycles par minute. 



   Selon une autre caractéristique de l'invention, la machine com- portant un mécanisme à clavier, elle comprend, en combinaison, une série de cames rotatives actionnant des dispositifs de libération des matrices, ces cames étant destinées à effectuer un tour complet à chaque libération de ma- trice, un rouleau tournant continuellement pour la commande desdites cames et des moyens pour actionner ce-rouleau à une vitesse notablement supérieure à 300 tours par minute. 



   Une autre caractéristique de l'invention réside dans l'applica- 

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 tion, à une machine à composer typographique, d'une roue en étoile tournant continuellement et servant à empiler les matrices dans le composteur au fur et à mesure qu'elles sont libérées de leur magasin et de moyens servant à actionner cette roue à une vitesse notablement supérieure à 220 tours par minute. 



   Une autre caractéristique de l'invention réside dans l'appli- cation, à une machine typographique servant à distribuer les matrices, de la combinaison d'un distributeur comprenant une série de vis tournant con- tinuellement et servant à faire avanver les matrices le long de la barre du distributeur et de moyens servant à actionner ces vis à une vitesse nota- blement supérieure à 280 tours par minute. 



   Conformément à une autre caractéristique de l'invention, il est prévu, dans une machine typographique servant à distribuer les matri- ces, une boîte de distributeur comportant une barre dentée en forme de V destinée à recevoir les matrices du second élévateur, ladite barre étant pro- longée vers l'extérieur au-delà de l'entrée de la boite de distributeur afin d'accroître la capacité de réception de matrices de ladite boite;

   et selon une autre caractéristique de l'invention, il est prévu un second élévateur pouvant descendre depuis sa position de décharge des matrices jusqu'à sa position de réception des matrices et remonter de cette dernière position à sa posi- tion initiale, et des moyens pour effectuer de tels mouvements du second é- lévateur au cours de chacun des cycles de travail de la machine, lesdits moy- ens étant construits et disposés de manière que   le,mouvement   de descente du second élévateur commence à une période plus avancée du cycle de travail de la machine, afin de laisser à l'élévateur plus de temps pour atteindre sa po- sition de réception des matrices. 



   Selon une autre caractéristique de l'invention, une machine ty- pographique à distribuer les matrices comprend, en combinaison,   -Lui   premier élévateur destiné à descendre de sa position de réception de ligne à la po- sition de clichage, à remonter ensuite à sa position de décharge de.ligne puis à redescendre finalement à sa position de réception de ligne, et des moyens pour effectuer de tels mouvements du premier élévateur pendant chacun des cycles de la machine, lesdits moyens étant construits et disposés de ma- nière que le mouvement de montée'du premier élévateur de la position de cli- chage à la position de décharge de ligne, et le mouvement de retour ou de descente dudit premier élévateur à sa position de réception de ligne commen- cent à des instants plus avancés du cycle de la machine,

   afin de laisser à l'élévateur plus de temps pour de tels mouvements. 



   Par suite des divers perfectionnements incorporés à la machine, sa vitesse a pu être pratiquement doublée, c'est-à-dire portée à douze cycles par minute ou à une valeur un peu plus élevée. Bien que tous les perfection- nements en question aient été conçus et réalisés en vue de ce fonctionnement à grande vitesse, nombre d'entre eux seraient néanmoins également utiles dans des machines conduites aux vitesses normales. 



   Pour décrire plus complètement l'invention, on se référera main- tenant aux dessins annexés qui en représentent une forme de réalisation pré- férée et sur lesquels la figure 1 est une vue de face de la machine complète; la figure 2 en est une vue de côté, en regardant de la droite; la figure 3 est une vue de côté semblable à la figure 2 mais dans laquelle on n'a pas représenté'une certaine portion du bâti; certaines des pièces étant représentées en coupe verticale; la figure 4 est une vue de l'arrière de la structure des maga- sins et du mécanisme distributeur et représente en particulier les moyens prévus pour déplacer les magasins ; la figure 5 est un   détail-du   bras de commande du tâteur de ma- trice associé au distributeur;

   

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 la figure 6 est un détail du dispositif de sécurité empêchant le   changement   de magasin à un moment   Inopportune   la figure 7 est une vue de l'arrière des pièces représentées à la figure 6 ; la figure 8 est une vue de face du mécanisme composteur, la pla- que-couvercle de l'entrée du composteur étant omise, et représentant le mon- tage à charnière des diverses pièces du composteur; la figure 9 est une coupe verticale par la ligne 9-9 de la fi- gure 8 et représente en particulier les liaisons du clavier qui servent à li- bérer les matrices du magasin en cours de service; la figure 10. est une coupe horizontale par la ligne 10-10 de la figure 8; la figure 11 est une vue de l'arrière à plus grande échelle du mécanisme de commande de la roue en étoile;

   la figure 12 est une coupe par la ligne 12-12 de la figure 11; la figure 13 est une coupe verticale par la ligne 13-13 de la figure 9 et montre en particulier le montage amovible des lames de comman- de des échapp.ements, ainsi que d'autres détails ; la figure 14 est une coupe par la ligne 14-14 de la figure 3; les figures 15, 16 et 17 sont des coupes de détail par les li- gnes 15-15, 16-16 et 17-17 de la figure 13; la figure 18 est une vue en élévation latérale prise de la gau- che de la machine et montre en particulier le premier élévateur et sa came de commande; la figure 19 est un graphique des temps du fonctionnement de la came du premier élévateur; la figure 20 est une vue en élévation latérale, en regardant de la gauche de la machine, du mécanisme de commande du disque à moules; la figure 21 est une vue de face du disque à moules équipé de quatre moules;

   la figure 22 est une vue de l'arrière de l'arbre à cames prin- cipal et de ses moyens de commande; la figure 23 est une vue de côté, en regardant de la gauche de la machine, représentant le second élévateur et sa came de commande; la figure 24 est un graphique des temps du fonctionnement de la came du second élévateur; la figure 25est une vue de face à plus grande échelle, avec coupe verticale partielle, des organes de transfert supérieurs qui enlè- vent la ligne composée du premier élévateur, cette figure représentant le coulisseau de transfert bloqué; la figure 26 est une vue semblable à la figure 25 mais repré- sentant le coulisseau de transfert débloqué par le premier élévateur, ce déblocage ayant eu lieu au moment où ce dernier atteint sa position la plus haute;

   la figure 27 est une vue en plan des pièces représentées à la figure 26 et représente en particulier comment travaille par le haut le coulisseau de résistance de ligne monté dans la tête du premier élévateur. 
 EMI4.1 
 1-4AGASIliS à I1ATRICES et NECANIS1:#S DE GI14NGEPn3T DE 
MAGASINS (figures 1 à 4 et 14). 



   Bien qu'on puisse établir une machine ne comporant qu'un seul magasin, la machine représentée est équipée de deux magasins A contenant des 

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 matrices X de deux fontes différentes. Ces magasins sont de préférence du type ne comportant pas d'échappements. ils sont montés de façon amovible sur des châssis de base distincts A1 qui constituent conjointement un châssis de changement du magasin du "déplaceur" pouvant être élevé ou abaissé de manière à amener l'un ou l'autre des magasins à la position de travail. Il est bon de noter présentement que les magasins sont inclinés de 70  sur 1' horizontale, ce qui constitue une forte inclinaison en comparaison avec 1' inclinaison normale de 37 degrés environ des machines antérieures.

   En aug- mentant l'angle d'inclinaison des magasins, on accélère considérablement le mouvement des matrices quittant les magasins ou y revenant. On pourrait accé- lérer davantage encore le mouvement des matrices en disposant les magasins dans une position exactement verticale, mais une telle disposition donnerait lieu à d'autres complications et doit être évitée. Un angle de l'ordre de 70 degrés a donné des résultats très satisfaisants,en particulier avec une vitesse de la machine de 12' cycles par minute. 



   En raison de la forte inclinaison des magasins, la distance à angle droit dont ils sont déplacés se trouve réduite dans une mesure qui correspond à un angle de 20 degrés par rapport à l'horizontale, c'est-à- dire au complément de l'angle d'inclinaison (70 ). On a tiré parti de cet angle de déplacement réduit en suspendant le châssis déplaceur de façon cou- lissante à son extrémité supérieure.

   A cet effet, le châssis déplaceur est pourvu sur ses côtés opposés de deux plaques de support A2 (disposées sui- vant un angle de 20 degrés) se déplaçant sur des galets A3 supportés de fa- çon rotative a l'intérieur d'équerres A4 montées de façon réglable dans le bâti fixe de la machine (figures 3 et   14).   Les plaques de support A2 sont fixées au châssis de base inférieur et s'étendent vers le haut jusqu'à un niveau assez élevé pour constituer des sièges A5 pour les axes-pivots habi- tuels A6 faisant saillie latéralement à partir du châssis de base supérieur. 



  Trois réglages sont prévus pour effectuer la mise en position correcte de la structure entière des magasins (voir en particulier la figure 14). En premier lieu, les sièges A6 des axes-pivots peuvent être réglés à l'aide de vis de blocage A7 qui situent le châssis de base supérieur et le magasin porté par ce châssis dans la position longitudinale correcte à l'intérieur du châssis déplaceur;en second lieu, les équerres porte-galets   A4   peuvent être réglées à l'aide de vis de blocage A8 qui effectuent la mise en position de   l'ensem-   ble du châssis déplaceur en direction longitudinale;

   en troisième lieu, 1' ensemble de ce châssis est réglé en position dans la direction transversale par des vis de blocage A9 portées par les équerres   A4   et prenant appui con- tre les bords latéraux des plaques de support A2. 



   A son extrémité inférieure, le châssis déplaceur reste non suppor- té, à l'exception du mécanisme de monte-et-baisse qu'on décrira maintenant. 



  Dans le bâti fixe de la machine sont montés de façon rotative deux arbres os- cillants parallèles A10 situés respectivement près des extrémités inférieure et supérieure du châssis déplaceur. Chacun de ces arbres oscillants (figure 3 et   4),   porte, fixés à ses extrémités opposées, des bras de manivelle A11, ayant la même longueur et la même disposition angulaire, qui sont reliés de façon   pivotante.,   par des biellettes A12, à la face de dessous du châssis dé-   placeuro   Chacun de ces arbres oscillants porte aussi, fixés à ses extrémités opposées, d'autres bras de manivelle A13, les éléments semblables des paires de bras de manivelle portées par les arbres oscillants respectifs étant re- liés de façon pivotante par de longues bièllettes avant-arrière A14. 



  Il est ainsi évident que les deux arbres-manivelles seront contraints à tour- ner à l'unisson lors du mouvement d'élévation ou d'abaissement du châssis dé- placeur et qu'ils maintiendront les magasins   à   l'inclinaison voulue dans les deux positions dudit châssis. On fait tourner les arbres-manivelles à l'aide d'un levier à main A15 directement fixé à l'arbre inférieur et situé à l'avant de la machine. 



   Pour limiter les mouvements du châssis déplaceur dans les   aeus   opposés, et assurer une mise en position précise du magasin choisi dans la position de travail, il'est prévu deux paires de butées fixes constituées par 

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 des vis de serrage réglables A16 prévues à raison d'une paire à chacun des quatre angles du châssis. Chaque paire de butées est montée dans une conso- le A17, en forme d'U, assujettie au châssis fixe (figure 3) et destinée à entrer en contact avec une patte A18 faisant saillie sur le châssis de base inférieur.

   Il est clair que lorsque le châssis déplaceur occupe sa position inférieure, les pattes A18 du bâti de base viennent toutes reposer contre les butées fixes inférieures, comme représenté à la figure   3,   alors que, dans la position supérieure dudit châssis, ces pattes reposent toutes con- tre les butées dudit châssis, ces pattes reposent toutes contre les butées fixes supérieures. 



   Le châssis déplaceur est maintenu dans l'une ou l'autre de ces deux positions par un ressort équilibreur A19, qui est relié à ce châssis par l'intermédiaire d'un arbre-manivelle de faible longueur A20, monté dans le bâti fixe (figure 3 et   4).   L'arbre-manivelle A20 est pourvu de deux bras d' égale longueur reliés de façon pivotante l'un A21, à l'extrémité supérieure du ressort, l'autre A22, à l'aide d'une biellette A23, à une plaque A24 fixée sur la face de dessous du châssis déplaceur.

   Les positions relatives des piè- ces sont telles que lorsque le châssis déplaceur occupe sa position inférieu- re (figure 3), la force de levage du ressort A19 est surmontée par le poids de la structure à magasins, qui est ainsi mise à même de s'appliquer ferme- ment contre les butées fixes inférieures A16 (il convient de noter que, à ce moment, le bras de manivelle A21 est sur le point d'atteindre la vertica- le et maintient le ressort équilibreur près d'une position de point mort). 



  Toutefois, lorsque le châssis déplaceur reçoit un mouvement d'élévation jus- qu'à sa position supérieure, le bras de manivelle A21 pivote vers le bas jus- qu'à une position presque horizontale et, en raison de l'accroissement qui en résulte du bras de levier, permet au ressort équilibreur d'exercer une force de levage plus grande, suffisante pour surmonter le poids de la struc- ture entière des magasins et maintenir cette structure fermement appliquée contre les butées fixes supérieures A16. 



   Les bras A25 et les pièces associées représentent les organes d'attache habituellement prévus pour permettre de démonter les magasins lorsqu'on le désire. 



   DISPOSITIFS DE LIBERATION DES MATRICES (figures 9, 10, 13 et 15 à 17). 



   A chacun des magasins A est associé un banc d'échappement B supporté indépendamment à l'intérieur du bâti de base correspondant Al. 



  Ces échappements comportent des coulisseaux de commande B1 dont les portions antérieures ou nez affleurent sensiblement avec l'extrémité de décharge du magasin. En raison de la forte inclinaison du magasin, les coulisseaux de commande B1 du magasin occupant la position de travail sont disposés de fa- çon qu'ils entrent directement en contact avec les extrémités supérieures d'une série correspondante de lames B2, dont les extrémités inférieures sont elles-mêmes destinées à entrer directement en contact avec les coulisseaux de clavier habituels B3 actionnés par une énergie   motrice.   



   Selon une caractéristique de la présente invention, au lieu que les lames de commande B2 soient montées dans le bâti fixe de la machine, elles sont montées dans un cadre de support rectangulaire auxiliaire B4, qui est fixé de façon amovible au bâti fixe de la machine afin de permettre l'enlève- ment en bloc de la série entière de lames. Ce bâti de support auxiliaire B4 est pourvu de plaques-peignes supérieure et inférieure B5, servant à guider les lames dans leur mouvement de monte-et-baisse, et il comporte aussi près de son sommet, une barre d'appui B6 qui supporte les lames dans leur position infé- rieure. Des ressorts B7 fixés à la plaque-peigne inférieure, ramènent les la- mes à leur position inférieure après qu'elles ont été soulevées par les cou- lisseaux de clavier B3 pour actionner les échappements libérant les matrices. 



   Le montage amovible du cadre porte-lames est représenté plus clai- rement à la figure 13. On voit que ce cadre est supporté à son extrémité infé- 

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 rieure et de chaque côté, par des pattes fendues B8 destinées à chevau- cher des goujons de support B9 faisant saillie vers l'intérieur à partir de bras de support B10 assujettis au bâti fixe. Les pattes B8 portent, à l'extrémité supérieure de leurs fentes, des vis de serrage réglables Bll qui assurent le maintien conect ducedre dans une direction verticale, et les bras B10 (figure 16) sont pourvus de vis de serrage réglables B12 assurant le maintien du cadre dans une direction transversale.

   A son extrémité su- périeure et de chaque côté, le cadre à lames est pourvu d'une paire de vis à tête moletée B13 montées dans les viroles réglables B14 portées par des pattes B15 faisant saillie latéralement à partir du cadre à lames (figure 15). Les vis à tête moletée'se vissent par leur extrémité arrière dans des trous taraudés pratiqués dans des consoles B16 faisant saillie laté- ralement à partir du bâti fixe.Comme il ressort du dessin, il suffit de des- -serrer les vis B13 pour pouvoir détacher rapidement le cadre porte-lames des bras de support   B16,   ce cadre pouvant alors être soulevé à l'écart des gou- jons de support B9.

   Pour remettre le cadre en place, on fait descendre et en- gage les pattes fendues B8 sur les goujons de support B9 et on resserre alors à fond les vis B13 pour assujettir le cadre aux bras fixes B16. 



  Les viroles B14 ont pour rôle d'assurer une mise en position correcte du cadre porte-lames en direction de face et l'alignement¯vertical correct des lamesB2 par rapport aux poussoirs Bl actionnant les échappements. 



   Les coulisseaux de clavier à commande mécanique B3 sont montés dans un bâti de support distinct B17 qui, comme d'ordinaire, est destiné à recevoir un mouvement de pivotement vers et à l'écart de sa position de tra- vail dans le bâti   fixe.   Le bâti B17 contient aussi (figure 9) le mécanisme moteur ordinairement utilisé pour actionner les coulisseaux B3, ce mécanis- me étant composé des chapes à came pivotante B18, des cames rotatives B19 (faisant un tour complet à chaque libération de matrice), des rouleaux B20 tournant continuellement pour actionner les cames B19, des loquets déclen- cheurs B21 qui commandent le fonctionnement des chapes B18, et des coulis- seaux B22 actionnant ces loquets.

   Ces coulisseaux B22 peuvent être action- nés à la main à partir du clavier B23 ou automatiquement à l'aidé d'un ap- pareil de commande à ruban tel que l'appareil dit   "Télétypesetter"   indiqué en B24 à la figure 1. Toutefois, ainsi qu'il a été mentionné à titre de caractéristique de cette invention, la vitesse de rotation des rouleaux B20 tournant continuellement, qui était normalement de 300 tours environ par minute,a été portée à une valeur de l'ordre de 550 tours par   minute.   



  Il en résulte que les matrices sont libérées beaucoup plus rapidement jus- qu'à ce jour,ceci étant permis non seulement par la forte inclinaison des magasins, mais aussi en raison du plus grand nombre de cycles par minute des cames rotatives   B19.,     MECANISME   D'ASSEMBLAGE DES MATRICES. 



   (figures 8 à 12). 



   A mesure que les matrices sont libérées de celui des magasins qui est en service, elles tombent dans une entrée de composteur C qui est disposée verticalement et comprend, comme d'ordinaire, une plaque arrière, une plaque avant montée à charnière et des cloisons intermédiaires consti- tuant des canaux verticaux propres à guider les matrices dans leur chute. 



  En émergeant des canaux d'entrée, les matrices viennent reposer sur le brin supérieur d'une courroie d'assemblage ou "courroie de composteur" C1, à mouvement interrompu, qui est inclinée et passe autour d'une poulie motri- ce inférieure 02 et d'une poulie folle réglable supérieure C3. La courroie de composteur décharge les matrices une à une dans une goulotte de guidage C4 où elles arrivent en regard d'une roue en étoile C5 qui tourne conti- nuellement et les empile en ligne dans un élévateur de composteur C6, en surmontant l'action d'un doigt de résistance de ligne flexible C7.

   Le doigt C7 est porté par un long chariot C8 qui présente un élément d'arrêt C9 sus- ceptible d'être mis en position pour régler la longueur de la ligne à compo- ser; et un frein double C10, coopérant avec le chariot C8, est prévu pour empêcher le mouvement rétrograde du chariot jusqu'à ce qu'il ait été libéré 

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 soit par le mouvement ascendant qu'effectue l'élévateur de composteur pour faire avancer la ligne en vue du clichage, soit par quelqu'autre moyen.

   Ces divers éléments d'assemblage sont du type classique, dans leur. forme et leur mode d'action, sauf en ce qui concerne les points-suivants s 
1 .- l'angle d'inclinaison de la courroie de composteur, qui était normalement d'environ   40   degrés par rapport à l'horizontale, a été réduit à une valeur de l'ordre de 17 degrés 45 minutes; 
2 .- la vitesse linéaire du mouvement de la courroie, qui était normalement de 2 mètres par seconde, a été portée à une valeur de 1' ordre de 3,1 mètres par seconde ; 
3 .- la vitesse de rotation de la roue en étoile, qui était normalement d'environ 220 tours par minutes, a été portée à une valeur de l'ordre de 375 tours par minute. Ces variations de vitesse sont impor- tantes et toutes concourent à atteindre la vitesse de marche élevée envisa- gée par la présente invention pour cette machine.

   Un intérêt particulier dans le fait que, tandis que la vitesse de marche de la courroie de composteur ait été accrue, l'angle d'inclinaison de cette courroie a été notablement diminué. 



  Cette caractéristique a pour but d'empêcher que des matrices se déplaçant à l'intérieur du même canal d'entrée se dépassent l'une l'autre et d'empêcher en même temps des transpositions de matrice passant dans des canaux diffé- rents, et plus particulièrement dans des canaux situés à distance. A cet égard, il convient de rappeler que, en raison de la plus forte inclinaison des maga- sins et du fait que les matrices sont mises en liberté l'une après l'autre plus rapidement à cause de la vitesse de rotation plus élevée des rouleaux à came du clavier, les dites matrices pénètrent dans l'entrée du composteur et traversent cette entrée à une vitesse considérablement accélérée en compa- raison avec leur vitesse normale ou antérieure. 



   La poulie inférieure C2 est fixée à un arbre de commande Cll (figure 11 et 12) portant une poulie fixe C12 et une poulie folle C13. La courroie de transmission motrice C14 peut être déplacée, de la manière ha- bituelle,d'une des poulies à l'autre par un dispositif de déplacement C15 manoeuvré à l'aide d'une poignée C16 placée à l'avant de la machine. A l'ar- bre moteur C11 est aussi fixée une poulie dentée C17 qui est reliée par une courroie dentée C18 à une poulie dentée de plus grand diamètre C19 montée à friction sur l'arbre C20 servant à actionner la roue en étoile   C5,   le rap- port de transmission des deux poulies C17 et C19 étant 2:1.

   Ordinairement, la roue en étoile est entrainée par un engrenage porté par l'arbre moteur Cll et le mécanisme de commande à poulies dentées et à courroie dentée qui vient d'être décrit a été substitué à la disposition précédente afin d'assu- rer non seulement les vitesses relatives convenables de la courroie de com- posteur et de la roue en étoile, mais aussi un fonctionnement plus régulier et plus silencieux des pièces aux vitesses élevées indiquées. 



  La courroie motrice dentée C18 est de préférence faite de fils métalliques de caoutchouc renforcé ou de tissu caoutchouté. 



   Tous les éléments jusqu'ici décrits sont, conformément à la présente invention, montés sur un bâti de support auxiliaire C21, qui est monté à charnière sur le côté de droite du bâti fixe de la machine afin qu' il puisse pivoter vers l'avant. Deux charnières C22, situées respectivement à la base et au sommet du bâti C21, suffisent, bien que, pour supporter le bâti à gauche, ce bâti ait été pourvu d'une patte C23 qui, dans la position de fermeture du bâti auxiliaire, repose sur une tablette C24 du bâti fixe de la machine (voir figure 13). 



  En raison de son montage sur le bâti de support auxiliaire C21, il devient possible de faire pivoter pratiquement le mécanisme de composteur entier soit dans une direction qui l'éloigne de sa position de travail soit en sens inverse pour le ramener   à.cette   position, à volonté, aux fins non seulement d'avoir accès aux pièces intérieures de ce mécanisme, mais aussi d'assurer un accès complet au cadre porte-lames auxiliaire.84 qui,'par conséquent, peut être enlevé librement dans la pôsition d'ouverture du bâti pivotant C21. 

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  Il convient toutefois d'observer à cet égard que l'élévateur de compos- teur C6 doit être soulevé à un niveau assez élevé pour être dégagé de la résistance de ligne C7 qui, de même que les autres éléments du méca- nisme d'assemblage ou de composteur, est porté par le bâti auxiliaire. 



   Le bâti auxiliaire pivotant 021 est maintenu dans sa position fermée par un verrou rotatif C25 (figures 8 et 13) monté sur le bâti fixe de la machine et destiné à s'engager dans une fente pratiquée dans l'ex- trémité dudit bâti pivotant (voir figure 11). A titre de sécurité, le ver- rou porte une portion excentrique C26 ajustée dans une fente allongée pra- tiquée dans l'extrémité supérieure d'un loquet C27 articulé en son centre. 



  Dans la position active du verrou rotatif, et comme représenté aux figures 8 et   13,   le loquet C27 est situé à un certain écartement de l'élévateur de .composteur C6 pour permettre les mouvements normaux de cet élévateur, mais si l'opérateur tente de faire tourner le verrou pour l'amener à sa position de déverrouillage du bâti pivotant avant d'avoir préalablement élevé l'élé- vateur de composteur, le loquet de sûreté vient buter contre une partie de l'élévateur et empêche le verrou de tourner. Toutefois, aussitôt que l'élé- vateur a été élevé à l'écart du doigt de résistance de ligne   07:,   le loquet de sûreté peut se mouvoir librement et, par conséquent, permettre la rota- tion du verrou C25 pour déverrouiller le bâti. 



  En fait, c'est sur un tel mouvement du loquet par le verrou rotatif qu'on se repose pour assurer le maintien, par le loquet C27 de l'élévateur de compos- teur dans sa position élevée car on notera que, par suite de la rotation de l'excentrique C26, ledit loquet pivote de telle sorte que son extrémité in- férieure se meut vers la gauche et est ainsi amenée à la position voulue pour faire obstacle au mouvement de l'élévateur vers le bas. De cette facon, l'ouverture du bâti du mécanisme à composteur est impossible, à moins que l'élévateur de composteur n'ait préalablement été déplacé vers le haut à un niveau assez élevé pour être à l'écart de la résistance de ligne, ce qui évi- te toute détérioration des pièces.

   Comme le loquet de sûreté maintient l'élé- vateur dans sa position élevée, ledit bâti peut être en tout temps librement ramené en place par pivotement, aussi longtemps que le verrou rotatif du bâ- ti reste dans sa position de déverrouillage du bâti. - 
Il est à noter que le mouvement de pivotement du bâti C21 n'est en aucune façon entravé par les liaisons motrices de la courroie de compos- teur Cl et de la roue en étoile C5. 



  On notera, en se référant aux figures 8, 10 et 13, que la courroie de trans- mission   C14   dont il a été question précédemment passe sur deux poulies de guidage C28 qui sont situées immédiatement au voisinage de l'axe des charniè- res C22. 



   PREMIERS   ELEVATEUR -   (figures l, 18 et 19) 
Après qu'une ligne a été composée dans l'élévateur de compos- teur C6, cette ligne est transportée vers le haut entre les doigts du chariot déchargeur de ligne D, puis transférée par le canal intermédiaire Dl à l'in- térieur du premier élévateur E (figure 1), qui descend ensuite pour présenter la ligne à la position de fonte ou clichage. Après le clichage, le premier élévateur reçoit un mouvement d'élévation qui l'amène en coïncidence avec le canal de transfert supérieur F en vue d'enlever la ligne de-cet'élévateur, et il est ultérieurement ramené à sa position initiale de réception de ligne, comme représenté aux figures 1 et 18.

   Le premier élévateur coulisse dans le bâti à étau G et est actionné, par l'entremise d'un long levier E1, à partir d'une came rotative E2 qui est montée sur l'arbre à cames principal H de la machine. On a vu précédemment que cet arbre H effectue un tour complet à chaque cycle de travail de la machine. par suite, lorsque la machine est actionnée à la vitesse élevée de douze cycles par minute, la came du premier élévateur communique un nombre égal de cycles de travail complets au premier élévateur.

   En raison de cette vitesse accrue, la forme ou contour de la came E2 a été modifié de manière à modifier les tempes de travail du premier élé- vateur, ainsi   qu'il   ressort du diagramme de la figure 19 qui comprend deux courbes des temps, l'une désignée par ANCIEN et l'autre par   NOUVEAU.   En com- 

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 parant ces deux courbes, on remarquera que, alors que, conformément à 1' ancien minutage., le mouvement du premier élévateur de la position   de '   clichage à la position de transfert supérieure avait lieu   approximativement   dans la période de 200 degrés à 240 degrés de la rotation de la came E2, ce mouvement, conformément au nouveau minutage, a lieu approximativement dans la période de 190 degrés à 250 degrés.

   Ceci représente un accroissement de 20 degrés dans le temps, dont on dispose pour déplacer le premier élévateur de la position de clichage à la position de transfert. La comparaison montre aussi que, alors que, conformément à l'ancien minutage, le mouvement de re- tour qu'effectuait le premier élévateur de sa position de transfert supé- rieure à sa position de réception de ligne avait lieu approximativement dans la période de 290 degrés à 320 degrés de la rotation de la came E2, ce même mouvement a lieu,conformément au nouveau minutage, dans la période de 280 degrés à 320 degrés, ce qui représente dans ce cas un accroissement de 10 degrés du temps dont on dispose pour ce mouvement.

   Ces augmentations du temps disposnible pour le fonctionnement du premier élévateur se sont avérées ex- trêmement utiles pour supprimer les vibrations et mouvements saccadés de cet organe lorsque la machine fonctionne à la vitesse élevée de 12 cycles par minute. En d'autres termes, telle qu'elle a été modifiée, la came E2 commu- nique un mouvement comparativement lent, progressif et régulier au premier élévateur et assure l'alignement convenable de cet organe, à la fois avec le canal de décharge de ligne, lors de la réception d'une ligne composée, et avec le canal de transfert supérieur, lors de la décharge de la ligne. 



   Afin de laisser au premier élévateur un temps plus long pour sa montée et sa descente, comme il convient d'être décrit, on   e diminué   d' une façon correspondante le temps pendant lequel cet organe est maintenu dans sa position de transfert supérieure, comme l'indiquent les courbes de temps de la figure 19. Pour compenser cette diminution de temps de repos, certains changements ont été apportés aux dispositifs de transfert supérieurs, ainsi qu'il va maintenant être décrit. 



   DISPOSITIFS DE TRANSFERT   SUPERIEURS   (figures 25 à 27). 



   Pour enlever la ligne du premier élévateur E et l'introduire dans le canal de transfert supérieur F, il est prévu un poussoir F1 fixé à un coulisseau F2 actionné par une came rotative de l'arbre à cames princi- pal H. Ce coulisseau est normalement verrouillé dans sa position extrême de gauche par le loquet habituel F3 (comme à la figure   25),   mais est déverrouil- lé par le premier élévateur E si et lorsque ce dernier atteint sa position la plus haute ou de transfert (comme à la figure   26).   La portion de tête du premier élévateur est pourvue comme d'ordinaire, d'une résistance de ligne en forme de gouttière F4 dont le rôle est de maintenir les matrices debout pendant le mouvement de l'élévateur.

   Normalement, la résistance   F4   occupe à l'intérieur de la tête de l'élévateur une position située à droite, de sorte que ses deux portions extrêmes sont en contact avec la matrice menan- te de la ligne au cours du transfert du canal de décharge de ligne Dl à 1' intérieur du premier élévateur, la ligne poussant l'élément de résistance vers la gauche en pénétrant dans l'élévateur. Lorsque la ligne est ultérieu- rement retirée du premier élévateur par le poussoir F1, il est par conséquent nécessaire que la résistance de ligne soit ramenée à sa position normale. 



  Ordinairement, ceci est effectué par un second poussoir porté par le coulis- seau de transfert   F2,  ce qui oblige à utiliser une pièce de liaison s'éten- dant au-dessous de la paroi arrière de la tête du premier élévateur. Cette disposition a été modifiée de manière que la commande de la résistance de ligne par le coulisseau de transfert soit effectuée par des organes qui s' étendent au-dessus de la paroi arrière de l'élévateur, plutôt qu'au-dessous de cette paroi.

   Ainsi, comme représenté aux figures 26 et 27, la console en surplomb F5, à partir de laquelle le poussoir FI s'étend vers le bas, est pourvue d'un crochet F6 dirigé vers le bas et qui est destiné à entrer en con- tact avec un taquet F7   s'élevant   de la paroi   latérale   arrière de la résisten- ce de ligne, comme représenté clairement:. aux figures 26 et   27 .Par conséquent., au   cours du transfert de la ligne composée ue la tête de   l'élévateur   a l'intérieur au 

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 canal de transfert supérieur, le crochet F6 entrera tôt ou tard en contact avec le taquet F7 et entraînera la résistance de ligne vers la droite pour la ramener à sa position normale.

   Une goupille d'arrêt F8 limite le mouve- ment de la résistance de ligne vers la droite et. un frein à friction F9 commande son mouvement vers la gauche sous l'influence propulsive de la ligne composée. 



   On observera que, en actionnant la résistance de ligne par le haut comme il vient d'être décrit,le premier élévateur est mis à même de commencer son mouvement de retour vers le bas jusqu'à la position de récep- tion de ligne avant que le coulisseau de transfert   F2   n'ait été ramené à sa position extrême de gauche, qui est cellé du dessin.. Comme le mouvement du coulisseau F2 vers la gauche s'effectue sous la commande d'une came rota- tive de l'arbre principal H, il faut tenir compte du temps de travail du cou- lisseau par rapport au premier élévateur. 



   SECOND ELEVATEUR (figures-1,23 et   24).   



   La position normale du second élévateur I est sa position de dé- charge supérieure, représentée par les lignes continues des figures 1 et 23, mais au moment où les matrices sont déplacées à partir du premier élévateur E et introduites dans le canal de transfert supérieur F, le second élévateur occupe sa position de réception de ligne, comme représenté par des traits mix- tes à la figure 23, ainsi qu'il est bien connu de l'homme du métier. Les mou- vements du second élévateur lui sont communiqués par l'entremise d'une trin- glerie, désignée de façon générale par Il à partir d'une came rotative 12 montée sur l'arbre à cames principal H. Comme dans le cas de la came E2 du premier élévateur, le profil ou contour de la came I2 a été modifié de maniè- re à modifier les temps de travail du second élévateur.

   Ceci ressort du dia- gramme de-la figure 24, qui représente deux courbes des temps, l'une désignée par ANCIEN, l'autre par   NOUVEAU.   En comparant ces deux courbes, on remarque- ra que, alors que, conformément à l'ancien minutage, le mouvement du second élévateur depuis sa position de décharge de ligne, à sa position de récep- tion de ligne avait lieu approximativement dans la période de 200 degrés à 250 degrés de la rotation de la came I2, ce même mouvement effectué confor-   mément   au nouveau minutage a. lieu   approximativement   dans la période de 170 degrés à 250 degrés, ce qui représente un accroissement de 20 degrés du temps disponible pour le mouvement du second élévateur de la position de décharge à la position de réception de ligne.

   On a constaté que cet accroissement de temps supprime les vibrations et les mouvements saccadés du second élévateur lorsque la machine travaille à la vitesse élevée de 12 cycles par minute.   En   d'autres termes, ainsi modifiée, la came I2 communique un mouvement compara- tivement lent, progressif et régulier au second élévateur et assure l'aligne- ment convenable de cet organe avec le premier élévateur lorsqu'il occupe sa position de réception de ligne. Comme il ressort du diagramme de la figure 24, aucun changement n'a été apporté au minutage afférent au mouvement de retour du second élévateur de la position de réception à la position de décharge de ligne, la période normale prévue étant satisfaisante. 



   Afin de laisser au second élévateur un temps plus long pour son mouvement entre la position de décharge et la position de réception de ligne du dit élévateur, comme il vient d'être décrit, on a réduit dans une mesure correspondante le temps pendant lequel cet organe reste dans sa position normale ainsi qu'il ressort du diagramme de la figure 24. 



  Pour compenser cette réduction de temps, on a augmenté la capacité de récep- tion des matrices de la boîte de distributeur J en prolongeant la barre den- tée Jl de cette boîte vers l'extérieur, ou vers le gauche, au-delà des parois latérales de la dite boite, comme représenté à la figure 1. Ainsi qu'il est bien connu, les matrices sont transférées de-la barre du second élévateur à la barre de la boite de distributeur J par un poussoir porté par le coulis- seau déplaceur J2 du distributeur, lequel coulisseau est aussi actionné par l'entremise d'un long levier J3 à partir d'une came rotative portée par l'ar- bre à cames principal H de la machine.

   Normalement, le poussoir occupe une position située à droite dans la boite J et est tiré vers la gauche, jusqu'en 

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 un point situé au-delà du trajet du second élévateur, au moment où ce der- nier atteint sa position de décharge de ligne à l'alignement de la boite de distributeur J. Immédiatement après, le coulisseau déplaceur est actionné pour pousser la ligne de matrice du second élévateur à l'intérieur de la boite J et pour assurer le maintien d'une-poussée constante sur la ligne de matrices jusqu'à ce que toutes les matrices aient été enlevées de la boîte et transfé- rées au distributeur.

   On se rend compte que, en raison du fait que la descen- te du second élévateur à partir- de sa position de décharge de ligne a lieu à un moment plus avancé, il se pourrait que certaines matrices soient encore suspendues à la barre de l'élévateur si-le prolongement de la barre de la boite J n'était pas prévu. En d'autres termes., lorsque la machine travail- le à la vitesse élevée indiquée, une série successive de lignes longues risquerait d'occasionner un entassement des matrices dans la boite J et d' empêcher l'enlèvement de la totalité des matrices portées par la barre du second élévateur et leur transfert à l'intérieur de la boite au moment où le second élévateur commence sa descente vers la position de réception de ligne. 



     MECANISME   DISTRIBUTEUR (figures 1   à     4   et 23). 



   Comme d'habitude,le mécanisme distributeur comprend une barre distributrice K et une série de vis rotatives K1 servant à faire avancer les matrices le long de cette barre. Les matrices sont entraînées une à une, vers la boite J au distributeur, par le doigt releveur habituel J3 (figure   4),   ce doigt effectuant un mouvement alternatif à chaque rotation des vis Kl sous la commande de la came K2 portée par une de ces vis.

   Conformément à la présente invention, la vitesse de rotation des vis   Kl,   qui est normalement d'environ 
280 tours par minutes, a été portée à une valeur de l'ordre de 510 tours par minute, ce qui veut dire que non seulement les matrices sont entraînées le long de la barre à une vitesse accrue dans une mesure correspondante, mais que en outre, elles sont amenées à cette barre à une vitesse accrue de façon correspondante, le tout en vue de la réalisation de l'objet principal de 1' invention, qui est d'augmenter la vitesse de la machine considérée dans son ensemble.

   Les autres pièces du distributeur sont généralement les mêmes que , d'ordinaire et n'exigent aucune description particulière, ceci étant par   ex-   emple le cas de l'embrayage automatique K3 (figure 2) qui arrête la rotation des vis lorsqu'une matrice vient à se loger dans le distributeur. 



   A mesure que les matrices sont libérées par la barre distributri- ce K, elles tombent dans une entrée de magasin L comprenant, comme d'ordinai- re, des plaques avant et arrière et des cloisons intermédiaires propres à cons- tituer une série de canaux guide-matrices, prévues à raison d'un canal pour chacun des canaux rainurés du magasin.

   Comme il ressort des figures 3 et 4, l'entrée des canaux est particulièrement courte et cet organe laisse tomber les matrices à l'intérieur du magasin en cours de travail presque aussitôt qu'elles sont tombées du distributeur. 11 y a lieu de noter aussi (voir en-   - core   la figure 3) que la paroi arrière ou inférieure de l'entrée de magasin 
L est droite et disposée 'suivant le même angle d'inclinaison (70 degrés) que la plaque inférieure du magasin en cours de travail, et ce sur une distance au moins égale à la longueur d'une matrice individuelle. Comme d'ordinaire, l'entrée de magasin est montée sur un bâti oscillant L2 qui est monté à pi- vot sur le bâti de la machine, en 13,- afin qu'on puisse déplacer la dite en- trée vers l'arrière lorsqu'on désire avoir accès aux pièces intérieures. 



   DISQUE A MOULES ET   MECANISME   DE ROTATION (figures 20 et 21). 



   Comme d'ordinaire, le disque à moules M est pourvu de quatre moules M1,M2,M3 etM4.Ordinairement, ce disque est animé d'une rotation com- plète à chaque cycle de travail de la machine, cet organe effectuant d'abord un quart de tour pour faire passer le moule en cours de travail d'une posi- tion d'éjection verticale à une'position de clichage horizontale, et, plus tard, pour ramener le moule en service de la position de clichage à la posi- tion d'éjection. Dans les conditions normales, le moule M4 représenté à la figure 21 serait donc le moule en service.

   Toutefois, lorsqu'on fait tra- vailler la machine à la vitesse élevée de 12 cycles par minute comme l'envi- 

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 sage la présente invention, on constate qu'un moule unique se surchauffe et donne une ligne-bloc de qualité médiocre. ' ' Par conséquent.,' conformément à la présente invention, le disque à moulés ne reçoit, au cours de chaque cycle de la machine, qu'une moitié de rota- tion dans les deux périodes différentes, afin que les deux moules diamé- tralement opposés soient amenés alternativement à la position de clicha- ge au cours des opérations successives de la machine.

   Par exemple, à la-' figure 21 s'est le moule M4 qui est en cours de travail, et ce moule est amené à la position de clichage horizontale par une rotation d'un quart de tour du disque à moules, comme il était jusqu'ici normal dans les machines antérieures.Plus tard, après le clichage, le disque à moules reçoit une rotation d'un autre quart de tour (au lieu des trois quarts de tour habi- tuels) pour transférer le moule M4 de la position de clichage à une position verticale située à gauche et correspondant à celle   quoccupe   le moule M2 à la figure 21. Comme résultat de cette moitié de rotation du disque à moules, le moule M2 (diamétralement opposé au moule M4) est amené à la posi- tion d'éjection principale correspondant au moule M4 de la figure 21.

   Par suite, lors de l'opération suivante de la machine, le moule M2 est amené à la position de clichage en -vue du clichage de la ligne-bloc suivante. 



  Pendant cette seconde rotation du disque à moules, le moule M4 qui avait précédemment en service est amené à la position d'éjection verticale, comme représenté à la figure   21,   en vue de l'enlèvement de la ligne-bloc pré- cédemment coulée, cette ligne ayant à ce moment été suffisamment refroidie pour supprimer tout risque de dommage lors de l'éjection. Dans la troisième opération de la   machine;,   c'est le moule M4 qui redeviendra le moule actif, et puis la série successive d'opérations se renouvelle. 



   La rotation du disque à moules est effectuée par le pignon de commande habituel M5 porté par un arbre de transmission   1.16   recevant sa com- mande,par l'entremise de l'engrenage habituel M7, d'un pignon commandé M8. 



  Ce pignon commandé M8,est actionnée par deux secteurs dentés M9 et M10 montés sur une roue M11, souvent appelée "came tourne-moule";, qui est fixée à Par- bre à cames principal H. Comme d'ordinaire, la roue M11 effectue un tour com- plet à chaque cycle de travail de la machine, mais il est à noter que le se- cond secteur denté M10 a été établi de façon qu'il'corresponde au premier M9, l'un et l'autre de ces secteurs ayant été établis de manière à communiquer au disque à moules deux rotations d'un quart de tour à chaque cycle de la ma- chine, de la manière précédemment décrite.

   On remarquera que le   premier"sec-   teur denté M9 correspond au secteur denté classique antérieur qui effectuait le premier quart de tour du disque à moules, mais que le second secteur den- té M10 a été raccourci de manière qu'il communique au disque à moules une rotation de 45 degrés, au lieu de la rotation habituelle de 135 degrés. Ces secteurs dentés portent l'un et   l'autre   des dispositifs d'accélération M12 et de ralentissement 1413 qui font l'objet de la demande de brevet britanni- que déposée le 11 juillet 1951 sous le N    613.288.   



   Lorsque la machine est au repos, on peut régler le disque à mou- les de manière à choisir l'autre paire de moules M1 et M3 en vue de l'utili- sation alternante des deux éléments de cette nouvelle paire. On opère pour cela de la manière habit'''elle par l'entremise du pignon de commande M5, qu' on peut temporairement débrayer de l'arbre   M6   et faire tourner indépendam- ment par la manoeuvre de la poignée de commande à main M14. 



  ARBRE A CAMES   PRINCIPAL   (figure   22)   
L'ensemble de l'arbre à cames principal dont il a été question précédemment à plusieurs reprises et de toutes les cames montées sur cet arbre a été représenté par une vue de l'arrière'de la figure 22. La came E2 du premier élévateur la came I2 du second élévateur, la came J3 de dépla- cement du distributeur et la came M11 de rotation du disque à moules ont déjà   été identifiées.   Les cames restantes (telles que la came de fermeture de   l'étau.,   la came de justification, la came de commande de la pompe, la ca- me de commande cu creuset, la came du chariot porte-moule, l'engrenage de commande., la came.

   du coulisseau   d'éjection,   la came de décharge et de trans- 

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 fert de ligne etc.) sont du type normal et fonctionnent de la manière normale et il n'est donc pas nécessaire de les décrire en détail, mais il va de soi, lorsque la machine travaille à la vitesse élevée de 12 - cycles par   minuter   les divers organes commandés par les cames restantes qui viennent d'être énumérées devront travailler à des vitesses accrues correspondantes. 



   L'arbre à cames est actionné à partir d'un moteur à vitesse variable N capable de faire tourner cet arbre à une vitesse de six à douze tours par minute, cet arbre est pourvu du pignon de commande habituel Nl engrenant avec une roue dentée beaucoup plus grande, N2, montée sur l'arbre à embrayage qui porte un petit pignon (non représenté) engrenant avec la roue dentée de commande N3 portée par l'arbre principal. L'embrayage, dési- gné par N4, commande la mise en marche et l'arrêt automatique de l'arbre à cames qui, bien entendu, reste- normalement au repos. 



  LIAISONS MOTRICES (figures 1, 3, 4, 8, 10, 13 et 22). 



   Les liaisons motrices destinées aux pièces de la machine animées d'un mouvement continu partent du moteur N, qui entraîne continuellement la grande roue .dentée sus-mentionnée N2 à la vitesse voulue. Cette roue N2 en- traîne une poulie de transmission qui possède approximativement le même dia- mètre et   quiest   reliée par une courroie 0à une poulie O1 portée par l'ar- bre intermédiaire O2. Près de son extrémité de droite, l'arbre intermédiaire 02 porte une poulie O3 qui actionne la courroie sus-mentionnée C14 du méca- nisme à composteur.Un peu plus vers la droite, l'arbre intermédiaire O2 por- te une autre poulie O4 qui actionne une courroie O5 destinée à l'entraînement des vis du distributeur.

   Des poulies supplémentaires portées par l'arbre in- termédiaire actionnent la courroie de commande 06 des rouleaux de clavier et la courroie de commande O7 de l'appareil de commande à ruban dit "Télétype- setter" (voir figure 1). 



   A l'exception des rapports de transmission élevés indiqués, les liaisons motrices dont il vient d'être question sont du type courant et fonc- tionnent de la manière habituelle. 



  Il va sans dire que lorsqu'on fait travailler le moteur à une vitesse éle- vée pour entraîner l'arbre à cames principal à raison de 12 cycles par minu- te, les pièces animées d'un mouvement continu doivent travailler -aux vites- ses élevées déjà indiquées. 



  Au contraire, lorsque le moteur entraîne l'arbre à cames principal à une vitesse moindre, par exemple à la vitesse minimum de six cycles par minute, les pièces animées d'un mouvement continu sont açtionnées à des vitesses réduites correspondantes approximativement égales aux vitesses normales qui ont aussi été indiquées,précédemment. 



  TATEURS DE MATRICES ET   VERROUS'DE   SURETE (figures 1,2,3,4,5,6,7) 
Comme d'ordinaire, la machine est pourvue d'un tâteur de matri- ce inférieur Pl, destiné à être déplacé en travers de l'extrémité inférieu- re, ou de décharge, de celui des magasins qui est en cours de travail pour déceler la présence de matrices susceptibles de faire saillie hors de ce magasin, ainsi que d'un tâteur de matrice supérieur P2, destiné à être dépla- cé en travers du chemin des matrices se déplaçant le long de la barre dis- tributrice pour déceler la présence de matrices ainsi en saillie; ces tâteurs sont actionnés à 1'unisson à partir d'un levier à main commun P3 placé à 1' avant de la machine.

   Ce levier est calé sur un arbre P4 qui est pourvu d'un bras P5 relié à un levier P6 supporté en un point intermédiaire de sa   longu'eur   et relié lui-même par des biellettes P7, àu tâteur de matrice inférieur P1. 



  Le levier   P6'est   aussi relié par une longue tringle ou biellette P8 à un bras oscillant P9 qui pivote en P10 sur le bâti fixe de la machine et porte un lo- quet de verrouillage Pll (voir en particulierles figures 6 et 7). 



  Du bras P9 part et s'étend latéralement une plaque P12 supportant un bloc P13 qui est traversé par une longue tige verticale P14 dirigée vers le haut et servant à établir une liaison avec le tâteur de matrice supérieur P2. Ce dernier est porté par un bras pivotant P15   soumis 'à   l'action d'un levier coudé Pl 

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 dont un bras horizontal est relié, par son extrémité arrière.., à   l'extrémi-   té supérieure de la tige P14 (voir en particulier la figure 5).   Un   ressort P17, relié par son bout inférieur à la plaque P12 et par son bout supérieur à un collier P18 goupillé sur la tige P14, a normalement pour rôle de main- tenir le bloc P13 pressé vers le bas contre la plaque P12.

   Le loquet P11 coopère avec un bras P19 s'étendant vers le bas à partir de l'arbre oscil- lant P4 et portant des vis de serrage réglables P20 destinées à entrer en contact avec le loquet P11. 



   Conformément à la disposition précédente, lorsqu'on appuie sur le levier à main P3, les deux tâteurs de matrices se meuvent,, par l'inter- médiaire des liaisons décrites., en travers des chemins effectués par les ma- trices, à condition bien entendu qu'aucune matrice ne se trouve sur leur chemin. 



  Dans de telles circonstances, le loquet P11 s'abaisse et entre en contact avec le bras P19, en permettant aux magasins d'être élevés ou abaissés par la manoeuvre du levier A15 du mécanisme de changement de magasin. A cet   égards   il y a lieu de noter que le bras P19 occupe deux positions différen- tes.. la position représentée à la figure 6 étant celle qui correspond à la position élevée du châssis déplaceur. Dans la position abaissée du châssis déplaceur,le bras P19 est amené à la position marquée en traits mixtes à la figure 6, et le loquet Pll est placé à l'avant dudit bras.

   Si une matri- ce quelconque se trouve sur le chemin soit du tâteur de matrice Pl. soit du tâteur de matrice P2, le loquet Pll ne pourra être abaissé et ainsi dé- gagé du bras P19. de sorte que les magasins seront verrouillés et ne pour- ront pas être déplacés.. qu'elle que soit la position qu'ils occupent (élé- vée ou abaissée). 



  Toutefois, pour empêcher le risque de détérioration des matrices dans de telles circonstances, il est prévu un verrou auxiliaire qui empêche tout risque qu'une pression exagérée soit exercée sur les matrices. Ce verrou auxiliaire consiste en une plaque P21 qui est assujettie au bâti fixe de la machine comme indiqué en P22 à la figure 7, et qui est destinée à s'enga- ger dans une entaille biseautée   P25   pratiquée sur le côté arrière du verrou P13. Par suite., si une matrice en cours de distribution résiste au mouvement de la tige   P14   vers le bas, le ressort P17 cède et le bloc P13 (qui coulisse sur la plaque P12 portée par le bras P9) est déplacée vers l'arrière pour faire entrer en prise l'entaille P23 avec la plaque de verrouillage auxi- liaire P21.

   De cette   façon   le loquet Pll est positivement protégé contre toute possibilité d'une manoeuvre du levier à main P5 tendant à déverrouil- ler les magasins.. ce qui évite tout risque de détérioration des pièces. 



   A titre d'autre caractéristique de sécurité., des moyens sont prévus pour abaisser celles des lames B2 de commande des échappements qui auraient pu se coincer dans leur position de commande d'échappement supé- rieure à un moment où l'opérateur tente d'élever ou d'abaisser les magasins. 



  Ce résultat est obtenu grâce à une barre d'abaissement Q qui est calée sur l'arbre oscillant P4 portant le levier à main P3. 



  Par suite, chaque fois que le levier à main P3 reçoit un mouvement d'abais- sement, il actionne la barre Q et ramène toute lame d'échappement suscepti- ble d'être encore relevée à sa position convenable. La barre Q agit sur une plaque Ql qui est supportée à l'intérieur du cadre à lames et   qui.,   lorsque ladite barre est actionnée, entre en contact avec des parois inférieures d' entailles Q2 pratiquées dans les lames B2. La plaque Ql est normalement dans sa position la plus haute par des ressorts Q3 également portés par le cadre à lames  et des butées Q4, également portées par ce   cadre,,   sont prévues pour limiter le mouvement de la plaque Ql vers le haut.

Claims (1)

  1. RESUME.
    Machine typographique à composer, clicher et distribuer des matrices, comprenant un bâti fixe, un magasin à matrices au moins pourvu d'une entrée de magasin, un distributeur de matrices comprenant une boite distributrice un premier élévateur, un second élévateur., un châssis de changement.de magasin ci-après.appelé "châssis déplaceur", une goulotte de <Desc/Clms Page number 16> matrices, des lames de commande de l'échappement des matrices hors des magasins, une courroie de composteur amenant les matrices évacuées des magasins à l'entrée d'un composteurune roue en étoile située à l'extré- mité de décharge de ladite courroie., des moyens de commande de ladite cour- roie et de ladite étoile, un mécanisme composteur, ladite machine étant caractérisée par les points suivants., séparément ou en combinaisons :
    1/ Le magasin à matrices est disposé suivant une forte incli- naison de manière à accélérer le parcours des matrices à travers et à par- tir de ce magasin.
    2/ Ce magasin fait avec l'horizontale un angle d'environ 70 degrés.
    3/ Une courroie de composteur inclinée est destinée à rece- voir les matrices à mesure qu'elles sont libérées par leur magasin et à les transférer au composteur, l'angle d'inclinaison de cette courroie étant notablement inférieur à 40 degrés.
    4/ Des moyens sont prévus pour entraîner la courroie de com- posteur à une vitesse notablement supérieure à 2 mètres par seconde.
    5/ L'angle d'inclinaison de la courroie de composteur est d'environ 17 degrés 45 minutes.
    6/L'entraînement de la courroie est effectué à une vitesse de l'ordre de 3,1 mètres par seconde.
    7/ La machine se compose d'une série de magasins à matrices inclinés d'un châssis de changement de magasin, appelé ci-après " châssis déplaceur", suspendu de façon coulissante par son extrémité supérieure, et de moyens permettant d'élever et d'abaisser ledit châssis déplaceur pour amener un magasin choisi à la position de travail, lesdits moyens étant disposés de façon à maintenir les magasins convenablement inclinés dans toutes les positions du châssis déplaceur.
    8/ Deux arbres-manivelles sont disposés respectivement aux extrémités du châssis déplaceur et reliés à ce châssis par des biellettes., des organes reliant les deux arbres-manivelles entre eux de manière qu'ils tour- nent à l'unisson.
    9/-Le châssis déplaceur est suspendu de façon coulissante, à son extrémité supérieure et de chaque côté, à l'aide d'un galet et d'une plaque inclinée en contact à roulement avec ce galet.. l'une de ces pièces étant fixée-au châssis déplaceur et l'autre au bâti fixe de la machine.
    10/ Des butées fixes sont disposées de façon à limiter les mouvements du châssis déplaceur dans des sens opposés et à assurer l'amenée et le maintien du magasin choisi en alignement convenable avec les mécanis- mes composteur et distributeur.
    11/ 11 est prévu. quatre paires de butées fixes montées aux quatres angles du châssis déplaceur.
    12/ Un ressort équilibreur maintient le châssis déplaceur appli- qué contre les butées supérieures dans sa position élevée.
    13/ Les magasins sont fortement inclinés et les mouvements d' élévation et d'abaissement du châssis déplaceur s'effectuent selon une in- clinaison réduite de façon correspondante.
    14/ Les magasins sont inclinés sur l'horizontale d'un angle d' environ 70 degrés et les mouvements du châssis déplaceur s'effectuent sui- vant une inclinaison complémentaire, de l'ordre de 20 degrés.
    15/ La machine comportant une entrée de composteur comprenant des plaques avant et arrière et des cloisons intermédiaires, une courroie de composteur, .inclinée disposée à l'extrémité inférieure de ladite entrée pour recevoir les matrices qui en émergent, une goulotte à matrices dispo- <Desc/Clms Page number 17> sée à l'extrémité de décharge de la courroie de composteur une roue en étoile disposée au-dessous de ladite goulotte pour agir sur les matrices à leur sortie de celle-ci, et des moyens assurant l'entraînement de ladi- te courroie et de ladite roue en étoile, elle comprend en combinaison avec les divers éléments ci-dessus énumérés, un châssis ou bâti de ces éléments et qui est mobile à partir de la position de fonctionnement qu'il occupe dans le bâti fixe de la machine pour permettre d'avoir accès aux pièces inférieures.
    16/ Le bâti de support auxiliaire spécifié sous 15 est arti- ' culé de ses extrémités au bâti fixe de la machine.
    17/ La machine spécifiée sous 15 comprend une résistance de ligne au contact de laquelle les matrices sont empilées par la roue en étoi- le et un mécanisme de freinage coopérant avec cette résistance de ligne.
    18/ Les lames de commande des échappements des matrices sont exposées après que le bâti de support auxiliaire a été amené à l'écart de sa position de travail et lesdites lames sont aussi montées dans un cadre de support auxiliaire qui est relié de façon amovible au bâti de façon à pouvoir être démonté en bloc.
    19/ Le cadre porte-lames est relié de façon amovible au bâti fixe de la machine pour qu'on puisse le démonter par l'avant et le bâti de support auxiliaire destiné à l'entrée de composteur est articulé au bâti de la machine de façon à pouvoir être déplacé vers l'avant à partir de sa posi- tion de travail en vue de permettre l'enlèvement dudit cadre porte-lames.
    20/ La machine comprenant un magasin à matrices fortement incli- né comme spécifié sous 1, lesdits magasins sont pourvus à leur extrémité in- férieure ou décharge d'une série d'échappements de libération des matrices et de coulisseaux destinés à la commande de ces échappements,,, lesdits coulis- seaux présentent des nez affleurant approximativement l'extrémité de déchar- ge du magasin ; la machine comprenant en outre une série correspondante de lames de commande ayant leurs extrémités supérieures directement en contact avec les coulisseaux de commande des échappements ; un mécanisme à clavier compor tant des éléments actionnés à l'aide d'une énergie motrice et disposés directe- ment en contact avec les extrémités inférieures des lames de commande des é- chappements.
    21/ La roue en étoile rotative qui sert à empiler les matrices dans le composteur au fur et à mesure qu'elles sont libérées de leur magasin est pourvue de moyens de commande comprenant une poulie dentée reliée à l' arbre de la roue en étoile et une courroie dentée servant à actionner cette poulie.
    22/ En combinaison avec les organes spécifiés sous 21., la machi- ne comprend une courroie de composteur inclinée, des poulies supérieure et inférieure destinées à cette courroies et un arbre pour la commande de la poulie inférieure; et la roue en étoile, située au-dessous de l'extrémité de décharge de la courroie de composteur, est actionnée par un arbre, ce der- nier et l'arbre ci-dessus portant respectivement des poulies dentées entre elles par une courroie dentée.
    23/ Un arbre principal pourvu d'une série de cames commande le fonctionnement de divers organes de la machine et est destiné à effectuer une rotation complète à chacun des cycles de travail de la machine.,, des moy- ens étant prévus pour entraîner cet arbre à cames principal à une vitesse notablement supérieure à sept cycles par minute, et de préférence, de l'ordre de 12 cycles par minute.
    24/ La machine est pourvue d'un mécanisme à clavier comprenant., en combinaison., une série de cames rotatives servant à actionner des organes de libération de matrices et destinées à effectuer une rotation complète à cha- que libération de matrice, un rouleau tournant continuellement pour la commande de des cames et des moyens pour actionner ce rouleau à une vitesse notablement supérieure à 300 tours par minute, et de préférence de l'ordre de 550 tours par <Desc/Clms Page number 18> minute.
    25/ La roue en étoile tourne continuellement pour empiler les matrices dans¯ le composteur au fur et à mesure qu'elles sont libérées par les magasins respectifs et elle est actionnée par un mécanisme qui le fait tourner à une vitesse notablement supérieure à 200 tours par minute et de préférence de l'ordre de 375 tours par minute.
    26/ Le distributeur de matrices comprend une série de vis tournant continuellement et servant à faire avancer les matrices le long d'une barre distributrice et des moyens pour actionner ces vis à une vites- se notablement supérieure à 280 tours par minute et de préférence de l'or- dre de 510 tours par minute.
    27/ La boite du distributeur comporte une barre dentée en for- me de V qui est destinée à recevoir les matrices du second élévateurcette barre étant prolongée vers l'extérieur au-delà de l'entrée de ladite boîte de manière à accroître la capacité de réception de matrices de cette boite.
    28/ Le second élévateur est mobile vers le bas à partir de sa position de décharge de matrices jusqu'à sa position de réception de matri- ces et inversement,, et des moyens permettent de communiquer un tel mouvement au second élévateur à chacun des cycles de travail de la machines ces moyens étant construits et disposés de manière que le mouvement de descente du se- cond élévateur soit commencé à un instant plus avancé du cycle de la machine, afin de laisser à l'élévateur plus de temps pour atteindre la position de réception de matrices;
    les moyens de commande du second élévateur compren- nent de préférence une came rotative destinée à effectuer un tour complet à chaque cycle de la machine et ayant un profil tel qu'elle effectue le mou- vement de descente de l'élévateur dans la période de 170 degrés à 250 degrés de la rotation de la came.
    29/ La boite de distributeur à recevoir les matrices du second élévateur dans la position de décharge de matrices de cet élévateur est pro- longée à son extrémité réceptrice de manière à accroître la capacité de récep- tion de matrices de cette boîte et à commenser l'avancement de l'instant au- ¯quel commence le mouvement de descente du- second élévateur.
    30/ Dans une machine typographique à distribuer les matrices comprenant un premier élévateur descendant de sa position de réception de ligne à sa position de clichage remontant alors à sa position de décharge de ligne et redescendant finalement à sa position de réception de ligne les moyens permettant à de tels mouvements du premier élévateur d'être effec- tués dans chacun des cycles de la machine sont construits et disposés de ma- nière que le mouvement de montée du premier élévateur de la position de cli- chage à la position de décharge de ligne, de même que son mouvement de des- cente ou de retour à sa position de réception de ligne soit effectué à des instants plus avancés du cycle de la machine, afin de laisser à l'élé- vateur plus de temps pour l'accomplissement de tels mouvements.
    31/ Les moyens prévus pour actionner le premier élévateur spé- cifié sous 30 comprennent une came rotative destinée à effectuer un tour complet à chaque cycle de la machine, cet e came étant profilée de telle ma- nière qu'elle effectue le mouvement ascendant de l'élévateur dans la pério- de de 190 à 250 degrés de la rotation de la came et qu'elle effectue le mou- vement descendant de l'élévateur dans la période de 280 à 320 degrés de la rotation de la came.
    32/ Le premier élévateur est pourvu d'une butée de ligne desti- née à entrer en contact avec la matrice menante d'une ligne pendant le trans- fert de cette ligne à l'intérieur du premier élévateur et de moyens permet- tant le retour de la butée de ligne à sa position normale à l'intérieur de 1' élévateur ces moyens comprenant un poussoir destiné à entrer en contact avec la butée de ligne un coulisseau servant-à actionner ce poussoir et,disposée au-dessus de la paroi arrière de la tête du premier élévateur, une liaison en- tre le poussoir et le coulisseau. <Desc/Clms Page number 19>
    33/ La machine est pourvue d'un magasin déplaçable comportant des échappements., une série de lames se mouvant de bas en haut en'travers du chemin parcouru par les magasins et servant à actionner les échappements, puis de haut en bas à l'écart du chemin des magasins, et un dispositif ac- tionné préalablement au déplacement du magasin pour contraindre une lame quelconque susceptible de s'être coincée dans sa position supérieure de commande d'échappement à s'abaisser.
    34/ Le dispositif d'abaissement des lames spécifié sous 33 est relié à un tâteur de matrice qui est mobile en travers de l'extrémité de dé- charge du magasin avant le déplacement de celui-ci.
    35/ Le mécanisme composteur est monté sur un châssis à char- nières pour se mouvoir à partir de sa position de travail ou vers cette position et il est prévu un verrou servant à maintenir ce châssis dans sa position de travail et un dispositif de sécurité servant à empêcher ce verrou d'être verrouillé lorsque le composteur occupe sa position de tra- vail.
    36/ Le dispositif de sécurité est mis hors d'action lorsque le composteur a été élevé d'une distance suffisante au-dessus de sa position de travail pour venir à l'écart du doigt de résistance de ligne.
    37/ Lorsque le composteur occupe sa position relevée., le dis- positif de sécurité est mis à même d'être actionné par le verrou du châssis pivotant de manière que le composteur soit maintenu dans sa position élevée tant que le verrou n'a pas été ramené à sa position de verrouillage.
    38/ Dans une machine typographique à deux magasins comportant un châssis "déplaceur" ou de changement de magasin, il est prévu des moy- ' ens permettant d'élever ou d'abaisser les magasins pour amener l'un ou 1' autre desdits magasins à la position de travail, ces moyens comprenant un levier à main qui est manoeuvrable dans des sens opposés pour effectuer l'élévation et la descente du châssis déplaeeur, un loquet servant à. empêcher le mouvement dudit levier à main dans l'une et l'autre des positions auxquelles il a été amené, un second levier à main destiné à être manoeuvré pour dégager le lo- quet et un tâteur de matrice relié au loquet et servant à empêcher ou per- mettre la commande dudit loquet par le second levier à main selon que des matrices sont absentes ou présentes sur le chemin dudit tâteur.
    39/ Le loquet est relié au second levier à main par l'entremi- se d'une liaison flexible et il est prévu un second loquet permettant de verrouiller le second levier à main de manière à empêcher le loquet d'être dégagé à fond lorsque le tâteur de matrice rencontre une matrice sur son chemin.
    40/ Le dispositif de clichage comprend un disque à moules ro- tatif pourvu de deux moules identiques et des moyens, actionnés à partir de l'arbre à cames principali pour faire tourner ce disque de manière à ame- ner les deux moules alternativement à la position de clichage à des cycles de travail successifs de la machine, les moules étant de préférence montés sur le disque en des points diamétralement opposés de ce disque et des moy- ens, actionnés à partir de l'arbre à cames principal sont prévus pour com- muniquer au disque à moules deux mouvements angulaires d'un quart de tour à chaque cycle de la machine, afin que les moules soient amenés alter- nativement à la position de clichage au cours de cycles successifs de la machine;
    les moyens de commande du disque à moules comprennent de préféren- ce une roue rotative montée sur l'arbre à cames principal et pourvue de deux secteurs dentés diamétralement opposés, chaque secteur étant capable, par l'entremise d'un engrenage relié au disque à moules, de communiquer à ce dernier un mouvement angulaire d'un quart .de tour.
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