CH306074A - Machine à composer typographique. - Google Patents

Machine à composer typographique.

Info

Publication number
CH306074A
CH306074A CH306074DA CH306074A CH 306074 A CH306074 A CH 306074A CH 306074D A CH306074D A CH 306074DA CH 306074 A CH306074 A CH 306074A
Authority
CH
Switzerland
Prior art keywords
elevator
brake
machine according
carriage
sub
Prior art date
Application number
Other languages
English (en)
Inventor
Company Mergenthaler Linotype
Original Assignee
Mergenthaler Linotype Gmbh
Priority date (The priority date is an assumption and is not a legal conclusion. Google has not performed a legal analysis and makes no representation as to the accuracy of the date listed.)
Filing date
Publication date
Application filed by Mergenthaler Linotype Gmbh filed Critical Mergenthaler Linotype Gmbh
Publication of CH306074A publication Critical patent/CH306074A/fr

Links

Classifications

    • BPERFORMING OPERATIONS; TRANSPORTING
    • B41PRINTING; LINING MACHINES; TYPEWRITERS; STAMPS
    • B41BMACHINES OR ACCESSORIES FOR MAKING, SETTING, OR DISTRIBUTING TYPE; TYPE; PHOTOGRAPHIC OR PHOTOELECTRIC COMPOSING DEVICES
    • B41B11/00Details of, or accessories for, machines for mechanical composition using matrices for individual characters which are selected and assembled for type casting or moulding
    • B41B11/18Devices or arrangements for assembling matrices and space bands

Landscapes

  • Braking Arrangements (AREA)

Description


      Machine    à composer'     typographique.       La présente invention a pour objet une  machine à composer typographique. On con  naît des machines à composer dans     lesquelles     des matrices et des espaces-bandes circulantes  sont sélectivement composées dans un éléva  teur assembleur     sous    la commande d'un cla  vier, l'élévateur soulevé     jusqu'à    une position  (le transfert d'où la ligne composée est trans  férée sur la face d'un moule en vue du mou  lage d'une barre à caractères, les matrices et  les     espaces-bandes    étant. ensuite séparées et  ramenées à leurs magasins respectifs en vue  d'être réutilisées.  



  Dans ces machines à grande vitesse, les  matrices et. les     espaces-bandes    sont assemblées  clans l'élévateur par une roue en étoile rota  tive, contre un doigt élastique de butée de  ligne qui sert à supporter la     ligne    en bout.  Le doigt est monté à l'extrémité d'un chariot       assembleur    sur lequel agit un frein de fric  tion et qui, bien que le chariot soit constam  ment sons la tension d'un ressort, le déplace  sous l'influence des matrices et espaces-bandes  composées, tout, en empêchant, son mouvement  de     retour    sous l'influence du ressort.

   Lorsque  la ligne a été composée et soulevée par l'élé  vateur, le frein du chariot est desserré et le  chariot, et le doigt sont ramenés par le res  sort vers une position de réception d'une  ligne, préalablement à la composition de la  ligne suivante.  



  A     son        extrémité        réceptrice,        l'élévateur          assembleur    est muni d'une paire de loquets de    retenue     sollicitée    par des ressorts et qui  s'accrochent derrière la dernière matrice com  posée, sans gêner le passage dans l'élévateur  d'autres matrices ou     .espaces-bandes.    Pendant  la composition rapide, il arrive parfois cepen  dant     que    les matrices et     espaces-bandes    arri  vantes forcent le     doigt    de butée de ligne à  céder sur une distance supérieure à celle       qu'elles    nécessitent,

   de sorte que la ligne com  posée se desserre.     Etant    donné que la roue  en étoile agit contre la partie inférieure des  matrices et que les loquets de retenue serrent  la partie supérieure de ces dernières, il arrive  parfois que l'extrémité inférieure d'une ma  trice arrivante pénètre dans la ligne en cours  de composition trop loin pour permettre à  ladite roue de faire pivoter     !'l'extrémité    supé  rieure au-delà des loquets de retenue.

   Habi  tuellement, la matrice ou espace-bande     suivant          immédiatement    force la matrice précédente  dans     l'élévateur    et     rattrappe    le jeu de la ligne,  à moins naturellement que la. matrice compo  sée de faon défectueuse soit la dernière à  être composée, auquel cas elle peut être dé  logée au cours du mouvement de montée de  l'élévateur, ou même coincer ou empêcher ce  mouvement et, par suite, endommager la ma  trice et des pièces de la, machine.

   Lorsque  la machine fonctionne à la -main, ce défaut  est généralement     constaté    et corrigé par le  conducteur de la machine qui évite ainsi tout,  dommage, mais lorsque la machine fonctionne  automatiquement sous la commande     d'un    en-      semble à ruban de commande et. en particulier  lorsqu'elle fonctionne à     grande    vitesse, les  risques d'avance sont plus élevés.

   A titre de  dispositif de sécurité pour ces ensembles à  ruban de commande, la     puissance    nécessaire à  la levée est. transmise à l'élévateur avec inter  position d'une connexion élastique qui cède  lorsqu'il se produit un obstacle anormal au  mouvement de l'élévateur; néanmoins, il  subsiste encore un risque d'avarie et, en outre,  une perte de temps précieux jusqu'à ce que  la     cause    de dérangement soit. écartée et la  connexion de transmission de puissance réta  blie.  



  La. machine selon l'invention comprend un  élévateur assembleur susceptible de se mou  voir verticalement. dans lequel des matrices  et des     espaces-bandes    sont. composés en     ligne,     une roue en étoile étant destinée à tourner  constamment pour faire avancer les matrices  et les     espaces-bandes    dans l'élévateur, un cha  riot assembleur sollicité     élastiquement,    une  butée de ligne montée sur ledit. chariot. et des  tinée à     supporter    la     ligne    composée à son  bout, un frein de chariot pour l'empêcher de  revenir en     arrière,    et un arbre à came com  mandé par une source de puissance pour sou  lever l'élévateur.

   Cette machine est caracté  risée en ce qu'elle comprend des moyens com  mandés par l'arbre à came pour relâcher le  frein du chariot avant que l'élévateur soit.  soulevé, de façon à solliciter le chariot vers  la butée de     ligne    afin de presser élastique  ment la.     ligne    composée contre la roue en  étoile.  



  Les moyens pour relâcher le frein peuvent  être synchronisés de façon à n'agir que mo  mentanément, avant.     le    mouvement de montée  de l'élévateur. Le dispositif de desserrage du  frein peut comprendre un électro-aimant et  son circuit d'excitation et un interrupteur à  commande par came en vue de la fermeture  dudit circuit.  



  Le dessin annexé représente, à titre  d'exemple, une forme d'exécution de la ma  chine selon l'invention.    La     fig.    1 est une vue en élévation d'un  mécanisme de composition que     eomprend    la  dite forme d'exécution.  



  La     fig.    2 est une vue en perspective d'une  partie du clavier muni d'un ensemble à. ru  ban de commande, tel qu'un ensemble du  genre à composition     télétvpe    que comprend  également ladite forme d'exécution.  



  La     fig.    3 .est un circuit de     eâblage    d'un  mécanisme auxiliaire de     desserrage    du frein  du chariot.  



  La     fig.    4 est une vue en élévation par  tielle     dudit    mécanisme de la     fig.    3.  



  La fi-. 5 est une coupe suivant la ligne  5-5 de     la'fig.    4.  



  Les     fig.    6 et 7 sont des vues de face d'un  élévateur, montrant le fonctionnement.     dudit     mécanisme de la     fig.    3.  



  La     fig.    8 est une coupe     transversale        cl'un     loquet de retenue de l'élévateur.  



  La fil-. 9 est une vue en plan de l'éléva  teur, montrant une ligne de matrices en cours  de composition.  



  La. fil-. 10 est une     vue    de côté d'une partie  de la timonerie de     commande        du    desserrage  du frein.  



  La fi-. 11 est une vue de côté du méca  nisme de commande du mouvement de montée  de l'élévateur.  



  La     fig.    12 est une vue de face     d'une.    came  de commande et d'un interrupteur destiné au       desserrage    du frein, et  la     fig.    13 est une vue, à très grande  échelle, d'une partie de l'interrupteur de la       fig.    12.  



  Dans la forme d'exécution (le la machine  représentée au     dessin,    les matrices sont indi  viduellement et sélectivement libérées d'un  magasin non représenté par le fonctionne  ment automatique d'un clavier A (     fig.    2)  et tombent par gravité dans     une    entrée  d'assembleur disposée verticalement et com  prenant, d'une façon connue, une plaque  postérieure 1     (fig.    1), une     plaque    antérieure  non représentée articulée à charnière et des  plaques 2 formant des cloisons intermédiaires  et délimitant des canaux     verticaux    destinés à  guider les matrices dans leur chute.

   L'entrée      de l'assembleur, ainsi que d'autres pièces qui  seront. décrites ultérieurement, sont suppor  tées sur     tin    bâti     articulé    à charnière et sur  lequel; la plaque 1 et une plaque inférieure  de montage P sont fixées.

   Lorsque les ma  trices sortent des canaux de l'entrée, elles  passent sur le brin supérieur d'une courroie 3       inclinée,    animée d'un mouvement continu et  qui     s'enroule    autour d'une poulie 4 inférieure  de commande et d'une poulie 5 supérieure de  renvoi, après quoi elles sont dirigées le long       d'une        goullbtte    formée par des rails inférieurs       itielinés    6 et par un doigt supérieur 7, pour  être évacués en avant. d'une roue en étoile  rotative 8 qui les empile une par une et en  ligne dans un élévateur assembleur B, contre  un doigt élastique de butée 9.

   La goulotte  et la, roue en étoile (fi-. 6) sont enfermées  derrière un couvercle pivotant de protection       ('.    Par ailleurs, l'es espaces-bandes sont ame  nées par une goulotte S et composées de façon  analogue par la roue en étoile. Lorsque la  ligne (les matrices composées est terminée,       l'assembleur    B est automatiquement soulevé  et la ligne composée transférée vers la posi  tion de moulage.  



  Le     doigt    de butée 9 est. porté à l'extrémité  d'un long chariot 10 qui comporte, de façon  connue, une butée réglable 11 portant une  vis de     réglage        11v    à. pas très progressif et  qui peut être réglée selon une graduation  portée par le chariot en vue de régler la lon  gueur de la ligne à composer. Cette vis est       destinée    à venir buter contre le côté d'un.  levier 12 articulé sur un guide 13 de support  du chariot assembleur. Le levier 12 présente       une    poignée     12v.    au moyen de laquelle on  peut. le déplacer hors du trajet de la. vis de  réglage afin de faciliter l'enlèvement. de ma  trices hors d'une ligne  surchargée .  



  Le chariot est monté de     fac,on    à pouvoir  se déplacer librement vers la gauche sous l'in  fluence des matrices et espaces-bandes arri  vantes et à l'encontre du doigt. élastique de  butée, bien que son mouvement élastique soit  en tout temps sous la commande d'un ressort.       eii    spiral 14.

   Le mouvement de retour du cha  riot vers la     droite    sous la tension du spiral    14 est freiné par un frein pivotant 15 pré  sentant des surfaces parallèles de friction qui  serrent les bords supérieur et inférieur du  chariot.     Lorsque        @1'e    frein 15 est vertical, les       surfaces    parallèles ne sont pas au contact du  chariot et, par suite, le spiral 14 peut dépla  cer le doigt de butée complètement vers la  droite, tout. au moins dans la mesure où les  matrices et     espaces-bandes    composées le per  mettent.

   Toutefois, un ressort de tension 16  agit     normalement    sur l'extrémité inférieure  du frein, ledit ressort étant fixé au guide  fixe 13 et servant à faire pivoter le frein de  sa position verticale vers une position incli  née de blocage     (fig.    1).  



  A mesure que les matrices sont assemblées  par la roue en étoile contre le doigt 9, le  chariot. se déplace, attendu que les surfaces  de friction du frein s'écartent légèrement, en.  permettant au chariot de se déplacer vers la  gauche.  



  Les     matrices    et les     espaces-bandes    sont  assemblées dans l'élévateur B par la roue en  étoile 8 dont. les dents les poussent. en avant  l'une après     Fautre,    de faon à les composer  côte à côte en une ligne.

   Les faces de mou  lage des matrices présentent fréquemment des  caractères supérieurs et     inférieurs    (par exem  ple, la même matrice peut.     présenter    une  lettre en caractère romain et une lettre en  italique), de     sorte    que les matrices assemblées  sont supportées, de façon connue, dans l'éléva  teur par leur extrémité inférieure, à l'un ou  l'autre de .deux niveaux, par des rails prin  cipaux     Bi        (fig.    1) ou par des rails auxiliaires       B2        (fig.    6 et 7) et entre une plaque posté  rieure 17 et un volet. antérieur pivotant 18       (fig.    6 à 9).  



  D'autre part, les espaces-bandes sont sup  portées dans l'élévateur par des pattes supé  rieures en saillie susceptibles de glisser contre  les sommets de la. plaque postérieure 17 et du  volet antérieur 18. Un organe 18, de forme  allongée et pivotant, est destiné à amortir la  chute des     espaces-bandes        (fig.    6) lors de la  composition et à servir de support lorsque le  volet 18 est.     ouvert.         Lorsqu'elles sont correctement assemblées,  les extrémités inférieures des matrices doivent  reposer sur les rails de support, c'est-à-dire à  la. gauche de petites plaques de retenue 32       (fig.    6) situées aux extrémités de droite de  ces rails, leurs extrémités supérieures étant.

    empêchées de se déplacer vers la. droite par  une paire de loquets de verrouillage 20     (fig.    8  et 9) sollicités par des ressorts. Ces loquets,  qui sont disposés en regard l'un de l'autre  et portés par la plaque postérieure 17 et le  volet antérieur 18, sont destinés à céder afin  de permettre le passage dans l'élévateur des  matrices et des espaces-bandes assemblées.  puis, après que la     ligne    composée est terminée  et l'élévateur soulevé, à fonctionner de façon  à maintenir de Tacon sûre à l'intérieur de  l'élévateur la dernière matrice à assembler.

      Lorsqu'on fait fonctionner la. machine à la  main, on soulève. et abaisse l'élévateur B au  moyen d'une manivelle 21     (fig.    2) qui lui est  reliée par un arbre oscillant horizontal  allongé 22, un bras oscillant 23 monté à  l'extrémité de gauche de cet. arbre et. par une  bielle     verticale    24 articulée sur l'élévateur.  Toutefois, lorsque la machine fonctionne auto  matiquement, la. manivelle 21 est. actionnée  par une source de puissance telle qu'un en  semble automatique de commande à ruban       télétype,    indiqué de façon générale par la  lettre de référence D sur la     fig.    2.

   Cet ensem  ble reçoit sa puissance à partir d'un arbre  intermédiaire de la machine et la transmet à  un arbre 25     (fig.    11) animé d'un mouvement.  constant de rotation et qui, par l'intermédiaire  d'une transmission hélicoïdale 26 et d'un em  brayage automatique 27, actionne périodique  ment un arbre 28 en vue de soulever l'éléva  teur. L'arbre 28 porte une came de levée 29  disposée de manière à actionner la. manivelle  21 par l'intermédiaire d'un bras élastique 30  et d'un galet de came 31. Le bras 30 est  destiné à, céder     élastiquement    lorsque le mou  vement de l'élévateur rencontre un obstacle  anormal..  



  Il est. essentiel que la dernière matrice  d'une ligne composée soit poussée au-delà des    loquets de- verrouillage 20 et dans l'élévateur  afin d'éviter un fort.     coincement.    lors chi mou  vement de montée de l'élévateur.     Etant    donné  que la. roue en étoile peut parfois faillir à  cette tâche, on utilise le     desserrage    du frein  15 préalablement au     soulèvement    de l'éléva  teur B, en vue d'obtenir ce résultat et ceci  en libérant. le chariot. 10 sollicité par un res  sort et en poussant. la ligne composée contre  la roue en étoile 8, de faon que cette der  nière puisse redresser la dernière matrice de  la ligne et en faire pivoter l'extrémité supé  rieure entre les loquets de retenue.  



  On peut faire basculer le frein     7.5    vers  sa position de desserrage du chariot indiquée  en pointillés sur la.     fig.    1 au moyen d'un  levier pivotant 33 à. partir ,duquel part une  longue- barre horizontale     33cc    portant un gou  jon vertical     33b    à son extrémité de droite. Le  levier 33 de desserrage du frein est actionné  par un électro-aimant rotatif 34 du ruban  monté sur l'avant de la plaque P et présen  tant un bras rotatif 35. Le levier 33 et sa  barre horizontale     33a    sont     soigneusement    équi  librés afin de permettre au     ressort    16 de  maintenir le frein 15 en position de blocage  du chariot.

   Toutefois,     lorsque    l'électro-aimant  34 est. excité, son bras 35 s'abaisse en décri  vant un trajet circulaire pour venir porter  contre le goujon 33b, ce qui provoque le des  serrage du frein et. permet. au spiral     1q    de  tasser la ligne par l'intermédiaire du cha  riot 10 et du     doigt    9.

   La force exercée par  ce     doigt    sur la. ligne déplace, ainsi     qu'on    l'a  expliqué ci-dessus, l'extrémité inférieure des  matrices vers et. contre les plaques de retenue  32 fixées sur les extrémités des rails de sup  port     B1    et B2, en rattrapant ainsi le jeu       existant    éventuellement dans la ligne et en  permettant à. la. roue en étoile rotative de  pousser une dernière matrice mal engagée  au-delà des loquets 20 et dans l'élévateur B.  



  L'opération synchronisée de l'électro  aimant 31 est commandée par l'ensemble auto  matique de commande à ruban et, plus parti  culièrement, à partir de l'arbre 28 dudit en  semble qui est destiné à soulever l'élévateur.  Ainsi, l'extrémité postérieure de cet arbre      porte une     came    40     (fig.    2, 3, 11 et 12) qui,  par l'intermédiaire d'un axe 41 verticalement  mobile, commande     l'ouverture    et la fermeture  de contacts     42a    et 42b d'une lame de ressort,       désignée    de faon générale par 42. L'axe 41  et     L'interrupteur    constitué par la lame 42  sont supportés par un bâti 42 en forme de     L     renversé.

   La lame inférieure de contact 42a.       (fig.    13) est séparée par une matière isolante  (lu bâti 43 et, de la lame supérieure 42b, les  deux contacts étant. maintenus sur le bâti par  au moins une vis 43a. isolée     électriquement.     



  L'ouverture et la fermeture de l'interrup  teur 42 commandent le fonctionnement. de  l'électro-aimant. On peut voir sur la     fig.    12  la disposition mutuelle de la came 29 de levée  de l'élévateur et de la came 40 de commande  de l'interrupteur. Normalement, les contacts  (le l'interrupteur 42 sont maintenus ouverts  par l'axe 41 et la came 40. En réponse à un  signal donné par le ruban de commande,  l'arbre 28 effectue un tour complet, la saillie  29c de la came 29 assurant le mouvement. de  montée de l'élévateur B.

   Toutefois, au com  mencement du cycle et avant. qu'un mouve  ment effectif soit communiqué à l'élévateur,  un creux     40a    de la came 40 permet à l'axe       -11    de descendre en vue de fermer l'interrup  teur 42 pour     assurer    le fonctionnement mo  mentané de l'électro-aimant 34. Ensuite, la  saillie 40b de la came 40 ouvre de nouveau       l'interrupteur    42, en permettant à l'électro  aimant de revenir automatiquement à sa posi  tion de non-fonctionnement, l'ensemble de       l'opéra.tion    ayant lieu avant que l'élévateur  ne commence son mouvement de montée.  



  La     fig.    3 représente l'ensemble du circuit  électrique. Un transformateur E abaisse la ten  sion d'alimentation de 110-220 volts à     2.1    volts,  en courant alternatif; un redresseur     R    au sélé  nium transforme le courant alternatif en cou  rant continu et sert de source de tension du  circuit, le courant s'écoulant vers l'électro  aimant lorsque l'interrupteur 42 est fermé,  comme représenté.  



  Après le desserrage initial momentané du  frein, qui redresse la, dernière matrice de la  ligne et assure sa mise en position dans l'élé-         vateur        B,    l'élévateur est soulevé, par le dispo  sitif décrit     .ci-dessus,    de façon à transporter  la ligne composée vers sa position de trans  fert     (fig.    7) et le frein 15 est de nouveau  desserré, en permettant au spiral 14 de rame  ner le chariot et le doigt. de butée vers la  roue en étoile, en vue de la composition de la  ligne suivante, après le retour de l'élévateur.  Ce     dernier    s'élève entre des glissières verti  cales 44 formées dans la. plaque fixe antérieure  P du bâti de la machine.

   Lorsque l'élévateur  B s'approche de la position de     transfert,    une  petite saillie 45 dudit élévateur     (fig.    7) fait  basculer un levier pivotant en forme de chape  46, lequel fait osciller une bielle 47     articulée     en son centre contre un galet     48a    d'un levier  48, de façon à faire pivoter ce dernier dans  le sens     dextrorsum    autour d'un pivot 49 et  à permettre à un talon 48b dudit levier de  desserrer le frein 15. Le levier 46 est suscep  tible de pivoter autour d'un point situé à peu  près en son milieu et i1 est monté sur la pla  que     fixe    P.

   La. bielle 47, d'autre part, qui  est susceptible d'osciller dans un sens ou dans  l'autre sous l'action des bras de la chape, est  montée     sur    la plaque P du bâti articulé sur  charnière qui, comme on l'a dit plus haut,  est, dans une     variante,        ouvert    pour donner  accès aux pièces intérieures du mécanisme.  



  Cette disposition de leviers permet de  faire osciller le levier 47 à l'écart de et en  contact de fonctionnement avec la. chape du  levier 46; et les saillies 46a de forme conique  que portent les bras de la chape, de même  que les bords biseautés de la bielle 47, faci  litent la mise en contact, ou la nouvelle mise  en position de ladite bielle entre les bras de  la chape du levier 46. Lorsque l'élévateur B  descend, le levier 46 est ramené à sa position  normale par une saillie 50     (fig.    7) située au  sommet de     l'ëlévateuT    B, de sorte que le     frein     est de nouveau desserré de façon à pouvoir  coopérer ultérieurement avec le chariot 10.  



  Dans une variante, au     lieu    d'actionner  électriquement le levier 33, on pourrait utili  ser une timonerie mécanique commandée à  partir de la came 40 de l'ensemble de com  mande à ruban télétype.

Claims (1)

  1. REVENDICATIOiÏ: Machine à composer typographique dit type comprenant. un élévateur assembleur susceptible de se mouvoir verticalement, dans lequel des matrices et des espa,ces-bandes sont, composées en ligne, une roue en étoile étant destinée à tourner constamment pour faire avancer les matrices et. les espaces-bandes dans l'élévateur, un chariot assembleur sollicité élas- tiquement,une butée de ligne montée sur ledit chariot et destinée à supporter la ligne compo sée à son bout, un frein de chariot.
    pour l'empê cher de revenir en arrière et un arbre à came commandé par une source de puissance pour soulever l'élévateur, caractérisée en ce qu'elle comprend des moyens commandés par l'arbre à came. pour relâcher le frein du chariot avant que l'élévateur soit soulevé, de façon à solliciter le chariot vers la butée de ligne afin de presser élastiquement la ligne composée contre la roue en étoile. SOUS-REVENDICATIONS: 1. Machine selon la revendication, caracté risée en ce que les moyens pour relâcher le frein sont synchronisés de façon à n'opérer que momentanément avant le mouvement de montée de l'élévateur. 2.
    Machine selon la. sous-revendication 1, caractérisée en ce que les moyens pour relâ cher le frein comprennent un électro-aimant. 3. Machine selon la. sous-revendication 2, caractérisée en ce qu'elle comprend Lui cir cuit électrique pour actionner ledit électro aimant et un interrupteur commandé par came pour fermer ledit circuit. 4. Machine selon la sous-revendication<B>à,</B> dans laquelle l'arbre à came est commandé par un ruban, caractérisée par des moyens commandés parla, rotation initiale de l'arbre à came pour actionner ledit électro-aimant. 5.
    Machine selon la. sous-revendication 4, caractérisée par des moyens commandés par le mouvement ascendant. de l'élévateur pour desserrer le frein, afin de ramener ce dernier dans sa. position de réception d'une ligne. 6. Machine selon la. revendication, cara.e- térisée en ce qu'un moyen, commandé par le mouvement de descente de l'élévateur, ramène le frein à sa, position de bloea;-e du chariot. 7. Machine selon la sous-revendication 6, caractérisée en ce que le moyen de desserrage du frein, commandé par le mouvement de montée (le ].'élévateur, comprend une timo nerie.
    <B>8.</B> Machine selon la revendication, caracté risée en ce qu'elle comprend un mécanisme d'assembleur articulé sur charnière, les moyens pour relâcher le frein du chariot comprenant une bielle montée de façon à pouvoir pivoter sur ledit mécanisme et sus ceptible d'être actionnée en vue de desserrer le frein et une bielle montée de façon à pou voir pivoter sur un bâti fixe que présente la machine et commandée par ].'élévateur assembleur, lesdites bielles étant reliées, mais ladite liaison pouvant. être interrompue auto- niatiquement lorsque ledit mécanisme est bas culé vers sa position de fonctionnement. 9.
    Machine selon la. sous-revendication 8, caractérisée en ce qu'elle est agencée de façon que la liaison par bielles est automatiquement rétablie lorsque ledit mécanisme est basculé vers sa. position de fonctionnement.. 10. Machine selon la revendication, carac térisée en ce que l'ensemble à ruban de com mande comprend une came qui assure le mou vement de montée de l'élévateur et une deuxième came qui effectue le desserrage momentané du frein du chariot, avant que ].'élévateur ne commence son mouvement de montée. 11.
    Machine selon la sous-revendication <B>10,</B> caractérisée en ce que les deux cames sont montées sur un arbre moteur commun.
CH306074D 1951-09-20 1952-09-11 Machine à composer typographique. CH306074A (fr)

Applications Claiming Priority (1)

Application Number Priority Date Filing Date Title
US306074XA 1951-09-20 1951-09-20

Publications (1)

Publication Number Publication Date
CH306074A true CH306074A (fr) 1955-03-31

Family

ID=21855023

Family Applications (1)

Application Number Title Priority Date Filing Date
CH306074D CH306074A (fr) 1951-09-20 1952-09-11 Machine à composer typographique.

Country Status (1)

Country Link
CH (1) CH306074A (fr)

Similar Documents

Publication Publication Date Title
CH667262A5 (de) Verfahren und vorrichtung zum zufuehren eines dosierten gemisches aus spleissluft und fluessigkeit in die spleisskammer einer druckluft-fadenspleissvorrichtung.
CH306074A (fr) Machine à composer typographique.
BE514146A (fr)
CH306073A (fr) Machine à composer et à imprimer.
CH314661A (fr) Machine à composer typographique
BE520250A (fr)
CH341339A (fr) Machine comptable
CH311820A (fr) Machine à composer typographique.
CH335869A (fr) Machine parlante
CH311239A (fr) Machine à mouler typographique.
BE521149A (fr)
BE512227A (fr)
CH310518A (fr) Machine à fondre et à composer munie d&#39;un mécanisme de commande destiné à fonctionner au moyen de signaux enregistrés.
CH298522A (fr) Machine pour fondre les lignes-blocs typographiques.
CH317309A (fr) Machine de transmission en fac-similé
CH172419A (fr) Phonographe à changement automatique de disque.
BE362064A (fr)
CH84653A (de) Machine parlante automatique
BE529835A (fr)
BE505502A (fr)
BE370854A (fr)
BE404648A (fr)
CH298907A (fr) Dispositif de commande d&#39;une machine à mouler des lignes-blocs et à composer.
CH350854A (fr) Dispositif de ravitaillement pour tour automatique
BE561811A (fr)