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Appareil enregistreur et reproducteur de son.
La présente invention concerne un appareil enregis- treur et reproducteur de son, notamment un appareil utili sant un support d'enregistrement sous la forme d'une feuille rectangulaire incassable, pouvant être aisément classée,pliée, et postée sans risque de détérioration.
On a déjà proposé des machines enregistreuses et reproductrices de son dont les supports d'enregistrement présentaient ces caractéristiques ;'toutefois, ces machines se sont révélées non pratiques, tant parce qu'on ne dispo- sait pas de matières appropriées pour le support d'enregis-
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trement , que parce que les mécanismes proposés pour la manipulation de ces supports étaient compliqués et ineffi- caces, sinon incapables de fonctionner.
Les récents progrès scientifiques ont permis d'éta- blir une matière pour supports d'enregistrement sous la forme de minces feuilles flexibles en matière plastique, et en papier enduit ou imprégné, sur lesquelles on peut déterminer des pistes satisfaisantes d'enregistrement sonore Une de ces matières consiste en un agent de support d'en- registrement magnétique sous la forme d'une fouille de pa- pier dont une face porte un enduit magnétisable. De min- ces feuilles d'acétate de cellulose et matières plasti- ques analogues sont également disponibles actuellement pour cet usage.
L'invention vise à établir un mécanisme simple et pratique pour la manipulation de feuilles de support d'enregistrement rectangulaires et flexibles et à consti- tuer des machines enregistreuses et reproductrices de son comportant de tels mécanismes de manipulation.
L'invention vise on outro à établir un apparu:!! en- registreur-reproducteur deson du type "à dictée", utilisant une telle feuille d'enregistrement rectangulaire, incassa- ble, susceptible d'être classée , pliée et postée, cette utilisation se faisant avec la même facilité et un nombre aussi réduit de dispositifs de commande que celui qui carac- térise généralement ces dispositifs actuellement d'un usage très répandu dans les bureaux commerciaux , etc..
Ces buts et avantages évidents de l'invention, ainsi que d'autres, s'imposent d'une part eux-mêmes à l'es- prit et seront, d'autre part, mis en lumière ci -après.
Par conséquent, l'invention réside dans les carac- téristiques de construction, les combinaisons d'éléments, et l'agencement d'organes, comme il sera exposé à titre d'e-
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xemple dans la construction décrite ci-après et dont la portée sera déterminée par les revondications annexées.
Une des nombreuses variantes possibles de l'inven- tion est représentée dans les dessins annexés ,dans les- quels :
La figure 1 est une vue perspective d'une madhine à dicter englobant les inventions permettant d'utilser, à titre de support d'enregistrement magnétique, une feuille de papier rectangulaire à enduit magnétisable.
La figure 2 est une vue en plan de la machine selon la fi.gure 1, le couvercle étant enlevé.
La figure 3 est une élévation antérieure de la ma- chine selon la figure 1, l'enveloppe, le chariot d'enre- gistrement, la vis d'entraînement et les guides du chariot étant brisés afin de montrer plus clairement le mécanisme de manipulation du support d'enregistrement.
La figure 1+ est une vue en plan montrant la dis- position générale des extrémités d'une feuille d'enregis- trement rectangulaire destinée à la machine selon la fig.l.
La figure 5 est une élévation de l'extrémité de gauche de la machine selon la figure 1, le couvercle étant brisé pour montrer plus clairement les détails du mécanisme de commande.
La figure 6 est une coupe selon la ligne 6-6 de la figure 2, montrant les détails du mécanisme de commande de l'engrenage.
La figure 7 est une coupe selon la ligne 7-7 de la figure 6, montrant une autre vue du mécanisme d'embrayage.
La figure 8 est une élévation en coupe et à plus grande écholle selon les lignes 8-8 des figures 2 et 3, mon- trant des détails du mandrin ou rouleau portant lesupport d'enregistrement, du mode de montage du chariot enregistreur, et du dispositif indicateur de corrections.
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La figure 9 est une élévation antérieure du chariot enregistreur suivant la direction des flèches 9-9 des figures 2 et 8.
La figure 10 est une coupe du chariot selon la ligne 10-10 de lu figare 9;
La figure 11 est une autre coupe du mécanisme du cha- riot, selon la ligne 11-11 de la figure 9.
La figure 12 est une coupe transversale à plus gran- de échelle de la tête magnétique enregistreuse-reproduc- trice, selon la ligne 12-12 de la figure 10%
La figure 13 est une autre section de la tête magné- tique, selon la ligne 13-13 de la figure 10.
La figure 14 est une autre coupe transversale de la tête magnétique, selon la ligne 14-14 de la figure 12.
La figure 15 est encore une autre coupe transversale de la tête magnétique selon la ligne 15-15 de la fig.14.
La figure 16 est une vue partielle et à plus grande échelle du mécanisme de mise au point et de commande du man- drin d'enregistrement, vu de dessus selon les lignes 16-16 des figures 3 et 17 .
La figure 17 est une vue antérieure de cette partie du mécanisme de mise au point de commande du mandrin de support de la feuille d'enregistrement selon la ligne 17-17 de la figure 16.
La figure 18 est une coupe selon la ligne 18-18 de la fig. 16 montrant les détails du plongeur de chargement du support d'enregistrement.
La figure 19 est une coupe selon la ligne 19-19 de la figure 16 montrant des détails supplémentaires du mé- canisme de mise au point et de commande du mandrin de sup- pmrt.
La figure 20 est une autre coupe de ce mécanisme, selon la ligne 20-20 de la figure 16.
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La figure 21 est encore une autre coupe du méca- nisme de mise au point et de commande selon la ligne 21-21 de la figure 16.
La figure 22 est une autre coupe de ce mécanisme, selon la ligne 22-22 de la figure 21 .
Les figures 23 et 24 sont deux vues perspectives de la roue à rochet faisant partie du mécanisme de mise au point et de commande du mandrin.
La figure 25 est une coupe du mécanisme de mise en phase ou synchronisateur selon la ligne 25-25 de la fi- gure 2 et
La figure 26 montre schématiquement le circuit électrique de la machine.
La figure 1 est une vue perspective extérieure de la machine à dicter de bureau comportant la présente in- vention et appelée à utiliser un support d'enregistrement sous la forme d'une feuille de papier à enduit magnétisable approprié. Le support d'enregistrement destiné à cette mn- chine est une feuille de la matière précitée, d'une largeur de 8 1/2" et d'une longueur de 11", ces dimensions étant choisies parce qu'elles correspondent à celles du papier à lettres commercial standard généralement adopté. Lq fig.4 montre la partie supérieure d'une telle feuille de papier d'enregistrement 2, laquelle comporte des perforations rec- tangulaires de guidage ou d'entrainement 4 et 4' dont la sé- rie se prolonge vers le bas de chaque côté de la feuille.
Ces perforations coopèrent avec des pointes ou dents pré- vues sur le tambour d'enregistrement, comme il sera décrit ci-après, afin de maintenir la feuille d'enregistrement alignéee et de l'entraîner en regard de la tête enregistreuse- reproductrice .
La machine comporte une base 6 sur laquelle sont montés les divers éléments de la machine, lesquels sont
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convenablement abrités par une enveloppe 8 qui les entoure, cette machine étant munie de dispositifs pour effectuer tou- tes les commandes généralement prévues dans les machines à dicter de bureau normales. Sur la partie inférieure gauche de la paroi antérieure de l'enveloppe 8 est monté un inter- rupteur principal 10 destiné à mettre la machine en et hors circuit. A proximité de cet interrupteur se trouve une lampe témoin 12 destinée à indiquer que la machine est en condition de fonctionnement.
Immédiatement au-dessus de l'interrupteur 10 et de la lampe 12 se trouve un plongeur l'. d'"injection" ou de chargement .de feuille, lequel émerge à travers la pa- roi avant de 1'enveloppe 8. L'enfoncement de ce plongeur met en marche un dispositif de chargement automatique qui sera décrit ci-après et qui fait entrer une feuille d'en- registrement rectangulaire 2 dans la machine et l'enroule, pour l'amener dans une position convenable pour l'enregis- trement, autour du mandrin ou tambour de support ou porte- papier désigné généralement par 24. A cette fin, l'envelop- pe,8 présente un évidement désigné généralement par 16 et comportant une partie 18 en forme de rayon ou tablette ho- rizontale aboutissant à une fente désignée généralement par 20.
L'extrémité perforée d'une feuille 2 est placée sur la tablette 18 de façon que la première des perforations d'entrainement 4 s'engage sur la première dent 22 de la série des dents montées sur les bords du tambour 24, sur lequel la feuille s'enroule pendant le fonctionnement, le tout comme il sera décrit plus amplement dans la suite.
Lorsque le plongeur de chargement de feuille 14 est enfoncé pour amorcer le fonctionnement du mécanisme de chargement automatique, la feuille estattirée à travers la.fente 20 par les pointes 22 et est enroulée exactement autour du tambour 24 en vue de l'enregistrement. Un chariot, visible partiellement à travers une fente longitudinale 28 pratiquée dans la face avant de l'enveloppe 8, et désigné généralement
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par 26, est monté coulissant comme il sera expliqué ci- après, sur deux guides de chariot, dont un est visible en 30 dans la fig. 1 à travers la fente 28.
Ce chariot 26 as- sure la translation longitudinale d'une tête enregistreuse magnétique, non représentée dans la figure 1, le long de la face de la feuille 2, pour produire une piste sonore spirale sur cette dernière lors de l'enroulement de la feuille autour du tambour 24 sous la forme d'un cylindre.
Un levier de commande 32, prévu à l'avant de la machine, est appelé à conditionner celle-ci pour l'enregis- trement ou la reproduction, ou à la mettre au point neutre, à volonté. Ce levier est monté pivotant sur le chariot 26 et émerge vers l'avant à travers la fente 28 de la face avant de l'enveloppe 8. Lorsque le levier occupe la posi- tion de la fig. l, la machine est au point "neutre". Lors- qu'il est abaissé, la machine est conditionnée pour 1'l'en- registrement" ; lorsqu'il occupe uno position plus élevée que celle représentée, la machine est conditionnée pour la "reproduction". Un mécanisme indicateur de corredtions ou moniteur, désigné généralement par 34 est également fixé au chariot .26 par un bras 36 qui émerge à travers la fente 28 de la face avant de l'enveloppe 8.
Ce moniteur, lequel peut présenter une construction convenable.:quelconque du type conng. dans ce domaine, par exemple celle exposée dans le brevet américain 2.135.470 de J.E.Renholdt, coopère avec une fiche de correction 38 placée le long de la face in- férieure avant de la machine. Cette fiche 38 repose dans un casier à fiches 40 et est maintenue dans celui-ci par un mécanisme de serrage approprié (non montré), actionné par un levier 42 en forme de manivelle. Comme d'habitude , le moniteur 34 porte deux leviers pivotants 44 et 46 permettant de porter sur la fiche 38 des indications appropriées de "corrections" et de "longueur de lettre".
Le bras 36 porte
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également un "indicateur de progression d'enregistrement"
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désigne géi14rulomont par l18 ot qua, sera d6cr3; t c:i.-npr0s.
En plus des commandes de dictée habituelles, la machine comporte une commande de "mise en phase" actionnée par un bouton 47 faisant saillie sur la face de droite de l'enve- loppe 8, pour permettre la synchronisation des positions de la tête enregistreuse et de la piste sonore dans certaines circontances particulières, comme il sera décrit ci-après.
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Comme c'osb gGnpru7.omon: la cas dnns les machine;; à dicter de bureau, la machine selon l'invention est munie d'un dispositif de transmission du son (non montré), par exemple un combiné à main constitué par un microphone et un haut-parleur (micro-haut-parleur), ou ce même combiné monté sur un piédestal et destiné à être placé sur une ta- ble.
Elle comporte également des boutons de commande pour actionner un embrayage approprié, qui sera décrit ci-après, destiné à démarrer et à arrêter la rotation du mandrin porte papier 24 pendant l'enregistrement ou la reproduction. Dans le cas d'un micro-haut-parleur à main, ce bouton de com- mande peut présenter la forme d'un bouton manoeuvré au pouce et solidaire du combiné, comme indiqué dans le brevet amé- ricain 2.367.413, de J.M. Lucarelle, tandis que, dans le cas d'un micro-haut-parleur de table, on peut prévoir un interrupteur au pied, propre à actionner l'embrayage, par exemple l'interrupteur indiqué dans le brevet américain 2.374.561 de L. D. Norton et consorts.
En outre, conformé- ment à la pratique usuelle dans les machines de ce type, et afin d'économiser le courant lorsqu'il n'y a ni enregistre- ment ni reproduction, on prévoit un interrupteur destiné à mettre le moteur hors circuit en dehors de ces deux cas.
Cet interrupteur peut présenter la forme d'un interrupteur à crochet eu à fourche (comme indiqué schématiquement en 49 dans la figure 26) monté sur le côté gauche de la machine,
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et sur lequel le combiné peut être raccroché lorsqu'il n'est pas utilisé, ou la forme d'un interrupteur auxiliai- re intercalé dans le mécanisme de commande au pied, comme décrit dans le brevet américain précité 2.374.561. L'ali- mentation de la machine en courant électrique nécessaire à son actionnement est assurée par sa connexion, à l'aide d'un câble habituel (non montré) , à une source d'énergie appropriée, comrne montré schématiquement en 11 dans la fig.
26.
Afin de faciliter la compréhension des détails de construction de cette machine, il a paru avantageux d'éta - blir la description de son mode de fonctionnement de façon à faire ressortit les différentes opérations effectuées par l'action conjuguée de ses divers organes.
Lorsque l'interrupteur 10 ferme le circuit, la lampe témoin 12 s'allume pour indique que la machine est sous courant ; un amplificateur électronique monté dans la machine et décrit plus loin , est alors excité. Lorsqu'on place une feuille de papier d'enregistrement 2 sur la ta- blette 18 de l'avant de l'enveloppe 8, de façon que la première perforation 4 s'engage sur la première dent 22 du tambour 24, et que l'on abaisse le plongeur Il+, un mécanisme de chargement de feuille automatique intervient en actionnant l'embrayage ou accouplement de façon à re- lier le tambour 24 au moteur de comrnande. Il en résulte une rotation du tambour 24 de façon à attirer la feuille 2 dans l'intérieur de la machine et l'enrouler autour de ce tambour .
A ce moment, un mécanisme automatique de mise au point entre en action pour arrêter la rotation du tam- bour après qu'il aura tourné suffisamment pour enrouler la feuille complètement et à plat sur lui. Ensuite, lors de l'enregistrement du son, l'action d'enregistrement est dé-
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marrée et arrêtée en embrayant et en débrayant le méca- nisme intercalé entre le moteur et le tambour 24.
Si, à un moment quelconque lors de l'enregistre- ment, on désire faire l'audition,de la matière déjà énre- gistrée, on soulève le levier 32 jusqu'à la position neu- tre, on s'en sert pour ramener le chariot au point voulu, indiqué sur la fiche 38 et on le soulève jusqu'à sa posi- tion supérieure, en vue de la reproduction. Après avoir entendu la partie voulue, on abaisse le levier 32 dans sa position d'"enregistrement" et l'on continue l'enre- gistrement, Lorsque l'enregistrement est terminé ou que la feuille est complètement remplie, on amène le levier 32 dans la position neutre et l'on ramène le chariot 26 à la main dans sa position extrême de gauche. Après avoir at- teint.cette position, le chariot amorce un cycle automati- que,d'éjection et de mise au point.
Ceci est réalisé par un mécanisme de commande qui fait tourner le tambour 24 dans le sens opposé afin d'éjecter . la feullle à travers la fente ?0 pour la déposer sur la tablette 18, de façon que l'usager puisse la ramiasseret la remettre en vue de sa transcription par une dactylographe. En même temps, ce mécanisme amène le tambour 24 à continuer sa rotation en sens inverse au-delà du point où la feuille est complètement dégagée de la machine, jusqu'à une position de mise au point, où le tambour est verrouillé, de façon que les dents 22 oc- cupent une position convenable pour recevoir la feuille de papier d'enreglstrement suivante, de sorte que le cycle des opérations peut se reproduire.
Après avoir décrit sommairement les caractéristi- ques et fonctions générales de la machine selon l'inven- tion, on considérera en détail diverses parties de la ma- chine. Pour faciliter la compréhension de ces détails, la description ci-après, relativement à la construction et au fonctionnement.de la machine , sera divisée en plusieurs
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chapitres, chacun concernant une partie de la machine chargée d'une fonction capitale.
MECANISME DE COMMANDE,
La figure 2, laquelle est une vue en plan en regardant d'au-dessus la machine selon la figure 1, le couvercle 8 étant enlevé , montre un moteur de commande convenable 50 disposé dans le coin arrière gauche de la base 6. Ce moteur actionne un mécanisme de commande disposé le long du côté gauche de la machine et destiné à produire la rotation du mandrin porte- papier 24 disposé le long de la partie avant de la base 6, ainsi que la rotation d'une vis d'entraînement 25 parallèle au mandrin et qui entraine le chariot 26 longitudinalement par rapport à ce mandrin.
Les extrémités de gauche et de droite de la base6 sont pourvues de deux flasques de bâti verticaux, repspecti- vement 64 et 65, disposés perpendicalairement à la base et supportant diverses parties du mécanisme, dont l'arbre 80 du mandrin 24, la vis d'entrainement 25 et les guides du chariot, le tout comme il sera décrit ci-après. On prévoit en outre trois autres éléments de bâti ou "potences" 66,67 et 68, per- pendiculaires à la base 6 et disposés entre les flasques ex- trêmes 64 et 65, parallèlement à ceux-ci, pour favoriser la mise en place et le maintien de la feuille 2 lors de son en- roulement autour du tambour 24.
Les éléments principaux du mécanisme de commande sont montrés le plus clairement dans la figure 5, laquelle est une élévation du côté gauche de la machine, le couvercle étant enlevé. Le moteur 50 est fixé par des éléments de montage anti-vibration 52, fig.2, aux supports 54, fixés à leur tour à la base 6 . L'arbre 56 du moteur 50 porte une poulie de com- mande 58 qui entraine une poulie réductrice 60 par une courroie 62 . La poulie 60 estmontée à rotation sur le flasque extrême 64 à l'aide d'un arbre court 70. Pour tendre la courroie 62,
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on prévoit un galet fou 72 monté à rotation sur un bras 74 sollicité par un ressort et monté à pivotement sur un support 54.
Comme montré dans la figure 6, laquelle représente le côté opposé de ce mécanisme de commande, la poulie réductrice 60 comporte un moyeu cylindrique 76 faisant saillie sur le côté de cette poulie opposé au flasque extrême 64, moyeu qui, par l'intermédiaire d'une suite de rouleaux d'un embrayage qui sera décrit en détail plus loin, commande une autre poulie de grand diamètre 78 fixée à l'arbre 80 du mandrin 24, pour entraîner ce dernier à la vitesse d'enregistrement voulue. Comme montré dans la figure 5, l'arbre 80 porte, sur le cêté gauche du flasque 64, un pignon 82 qui, par l'intermédiaire d'un pignon 84 monté à rotation dans ce flasque 64 et d'un troisième pignon 86 fixé à l'extrémité de gauche 88 de la vis 25, entraîne le chariot le long du tambour 24.
Les diamètres des pignons 82, 84 et 86 du train d'engrenages interposé entre l'arbre 80 du tambour et l'arbre 88 de la vis d'entrainement sont choisis de façon à éta- blir le rapport voulentre le pas de la piste sonore spirale pro- duite sur la'feuille 2 et celui de la vis 25. Bien qu'on puisse appliquer n'importe quel rapport convenable dans ce mécanisme de commande, on a constaté qu'il était avantageux de prévoir un rapport de 1:1, de façon que la vis présente exactement le même pas que la piste sonore.
Toutefois, on peut éventuellement employer une vis d'entrainement avec un pas égal à un sous-mul- tiple du pas de la piste sonore.'Dans une telle construction, il n'est pas nécessaire d'ajuster la commande de mise en phase 47, sauf dans les cas très rares où les dimensions de la feuille subissent une modification, comme il aéra décrit ci-après.
Pour citer des chiffres concrets concernant ce système de commande et qui ont été trouvés comme étant de nature à pro- duire des enregistrements de qualité convenable, tout en per- mettant en même temps une économie adéquate de surface d'en- registrement, on indiquera que, avec un tambour porte-papier d'un
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diamètre approximatif de 3 1/2" tournant à la vitesse de 39 tours par minute, c'est à dire environ deux tiers de tour par seconde, on peut établir des enregistrements d'une qualité tout à fait satisfaisante pour les badins de la dictée au bureau ; d'autre part, une piste sonore au pas de 52 lignes par inch et une vis d'entrainement d'un pas identique permettent d'obtenir environ 10 mi- nutes d'enregistrement sur une feuille de 81/2" x 11".
EMBRAYAGE.
L'embfayage dostisé à relier lo moteur 50 au méco- nisme de commande qui vient d'être décrit est montré le plus clairement dans la figure 6. Il comporte deux par- ties de construction sensiblement identique, une pour entraîner le tambour porte-papier en avant en vue du chargement de la feuille sur celui-ci et de l'enregis- triment, et l'autre pour renverser la rotation de ce tambour lorsque la feuille doit être expulsée.
L'élément moteur de l'embrayage, qui détermine la rotation en avant (dans le sens horlogique , fig. 6), est un solénolde électro-magnétique, généralement désigné par 90. Lorsque l'électro 90 est excité, il attire une armature 92 ar- ticulée à une extrémité d'un bras oh d'un levier coudé 96 monté à pivotement par son sommet sur un arbre court 98 fixé au flasque extrême de gauche 64.L'autre extré- mité 100 du levier coudé 96 porte un élément transver- sal 102 à l'extrémité duquel est monté à pivotement un rouleau ou galet à friction 104 dans une position telle que, lorsque l'électro 90 est excité pour attirer l'ar- mature 92, le levier coudé 96 déplace le galet 104 pour le mettre en contact avec le moyeu moteur 76 de la poulie 60 et la périphérie de la poulie de commande 78 du man- drin.
De ce fait, la poulie 78, et donc aussi le tambour porte-papier, tournent dans un sens horlogique, vu que
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la poulie motrice 58 tourne dans le sens horlogique, comme montré dans la figure 6. L'embrayage pour renverser la rotation du tambour est sensiblement identique à celui qui vient d'être décrit. Il comprend un deuxième solénolde à électro désigné généralement par 106 et prévu pour atti- rer une autre'armature 108 fixée à l'extrémité 110 d'un second levier coudé 112 monté à pivotement sur le même arbre 98.
L'autre extrémité de ce levier coudé .112 porte un élément transversal 114 sur l'extrémité duquel sont mon- tés à rotation deux rouleaux ou galets à friction fous 116 et 118, disposés de telle façon que, lorsque l'élec- tro 106 est excité pour attirer l'armature 108, ces ga- lets 116 et 118 sont mis en contact entre eux, ainsi qu'a- vec le moyeu moteur 76 de la poulie 60 et avec la péri- phérie de la poulie de commande 78 du mandrin, d'une ma- nière sensiblement identique à celle dont le galet 104 est amené entre ces deux derniers organes pour provoquer la rotation en avant du mandrin.
Toutefois, dans le der- nier cas, l'interposition de deux rouleaux intermédiaires au lieu d'un seul a pour effet que la poulie 78 du man- drin, et donc aussi ce dernier, tournant dans la scns op- posé, dest à dire anti-horlogique, comme montré dans la figure 6. Dans les deux mécanismes, les rouleaux inter- médiaires 104, 116 et 118 sont montés sur des coussinets à jeu, de sorte qu'ils peuvent être aimément amenés dans la position de commande convenable entre les poulies 76 et 78 par les leviers coudés 96 et 112.
Pour maintenir l'embrayage normalement débrayé, de façon que le tambour porte-papier ne tourne pas,même lors- que le moteur 50 est excité, les rouleaux de commande à friction 104, 116 et 118 sont normalement maintenus dé- gagés du moyeu moteur 76 et de la périphérie de la poulie de commande 78 du mandrin à l'aide d'un ressort de rappel
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121 travaillant à la traction et tendu entre deux organes 95 et 111 partant vers le bas respectivement des extré- mités 94 et 110 des leviers coudés 96 et 112. Une chevil- lé d'arrêt 119 est pfévue entre les deux saillies 95 et 111 dirigées vers le bas pour déterminer les positions dégagées des rouleaux de friction 104, 116 et 118.
L'embrayage qui vient d'être décrit permet d'en- traîner le tambour 24 en avant afin de charger sur celui- ci une feuille d'enregistrement, ainsi que pour l'action d'enregistrement, ou bien , dans le sens opposé, pour éjecter la feuille, suivant que l'un ou l'autre des élec- tros 90 ou 106 est excité, tandis que, par l'interven- tion du train d'engrenages 82, 84, et 86, et de la vis de commande 25, le chariot 26 est entrainé en synchro- ni.sme avec cette rotation du tambour 24 comme décrit ci-dessus à propos de la fig.5.
CHARIOT.
La position du chariot 26 par rapport au tambour 24 pendant la translation du chariot le long de celui-ci à l'aide de la vis 26, est représentée le plus clairement dans la figure 8, laquelle est une coupe transversale de la machine selon les lignes 8-8 des figures 2 et 3. Le chariot 26 coulisse sur deux tiges de guidage 30 et 31 montées le long du front de la machine parallèlement à l'arbre 80 du tambour 24, entre les flasques extrêmes 64 et 65. Le chariot se déplace le long du rouleau lorsqu'un écrou d'avancement 120 est en prise avec la vis d'avancer ment 25, laquelle est également montée entre les flasques 64 et 65, parallèlement au tambour .24 et aux guidages 30 et 31.
L'écrou 120 est mis en et hors prise avec la vis 25 par le levier de commande d'enregistrement et de re- production 32 par l'intermédiaire d'une timonerie qui sera décrite ci-après.
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L'écrou est déagagé de la vis lorsqu'on amène le le- vier 32 dans sa position médiane ou "neutre"; il est mis en prise avec cette vis brsque le levier 32 est abaissé vers la position "enregistrement" ou relevé jusqu'à la po - sition "reproduction". La manoeuvre du levier 32 actionne en même temps d'autres mécanismes en vue de déplacer une tête magnétique enregistreuse-reproductrice, désignée gé- néralement par 122, de façon à l'engager ou la dégager d'avec la feuille enroulée autour du tambour 24.
Le mécanisme particulier permettant d'accomplir ces différentes fonctions est montré le mieux dans les figures 9, 10 et 11. La figure 9 est une élévation antérieure du chariot en regardant dans la direction des flèches 9-9 de la figure 2, tandis que les figures 10 et 11 sont des coupes du chariot selon les lignes 10-10 etll-11 res- pectivement , de la figure 9. Le chariot 26 comporte un cadre métallique 124 qpproximativement rectangulaire, sur lequel sont montés le levier de commande 32, l'écrou d'avancement 120 et la tête enregistreuse-reproductrice 122. Le guidage supérieur 30 traverse la partie supérieure du cadre 124 dans des doui.lles appropriées 126 et 126' prévues de part et d'autre du cadre.
Pour éviter les ten- sions dues au manque de parallélisme des guidages 30 et 31, le guidage inférieur 31 traverse à jeu les orifices 128 et 130 de chaque côté du cadre 124, l'alignement convenable étant assuré par le réglage d'une plaque de guidage 132 en U (voir également fig.8), fixée au,--côté droit du cadre 124 par des vis 134 traversant des fdntes horizontales de la plaque de guidage et se vissant dans le cadre du chariot.
Apres avoir règle convenanblement lu position, dans le sens avant et arrière, de la partie inférieure du chariot 26 en faisant glisser la plaque 132 jusqu'à la position convenable, on serrâmes vis 134 en vue de mainte - nir cet alignement (fig.8).
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Comme montré dans les figures 9 et 10, la tête ma- gnétique 122 est fixée d'une manière réglable, par des vis 136, à un levier 138 dont la partie inférieure est coudée en 140. Chacune des deux ailes de la partie cou- dée 140 reçoit des pivots à vis 142 destinés à coopérer avec des sièges à pivot 144 prévus dans chaque côté d'une extrémité montante 147 en U d'une patte 146 fixée à l'a- vant du cadre de chariot 124 par des vis 148. Des écrous de blocage 147 vissés sur les extrémités extérieures des pivots 142 bloquent ces derniers dans la position voulue.
Cette disposition constitue un montage à pivotement pour la tête enregistreuse 122 permettant le déplacement de celle-ci dans le sens du rapprochement et de l'éloigne- ment par rapport à la surface de la feuille 2 enroulée sur le tanbour 24, comme montré dans la fig. 10 , tout en limitant les mouvements de la tête dans toutes les autres directions, de sorte que la tête rencontre tou- jours la surface de la feuille dans un plan vertical qui occupe une position fixe par rapport à celle du chariot.
La tête 122 est toujours sollicitée vers la surface du tambour 24 par une lame de ressort de rappel 150 fixée à la surface supérieure avant du cadre de chariot 124 à l'aide d'une vis 152. Une bras 154 de mise en position est fixé rigidement à la patte de support 138 de la tête enregistreuse, entre les pivots 142 et la tête 122, de façon à émerger vers l'avant au-delà de la surface du cadre de chariot 124, fig.10. Une cheville 156 est fi- xée rigidement à l'extrémité avant du bras 154 perpen- diculairement à celui-ci, de sorte que le déplacement de cette cheville vers l'avant, c'est à dire vers la gauche dans la figure 10, a pour effet de relever la tête 122 de la surface de la feuille 2 enroulée sur le tambour 24, comme il sera décrit plusamplement ci-après.
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Comme montré dans les figures 9 et 11, l'écrou 120 a la forme d'une barre rectangulaire. L'extrémité 158 de la barre-écrou 120 présente des gorges destinées à s'en- gager sur la vis 25 lorsque l'écrou est mis en contact avec celle-ci. L'écrou 120 en forme de barre est monté à coulissement dans un orifice rectangulaire 160 traversant le corps du cadre de chariot 124. L'autre extrémité 161,
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do L'.jcroD. lU eut réuni 1,1 pivotement, pur uup.lvoL vis 162 monté à jeu, à un bras 164 dont l'autre extrémité est fixée par un deuxième pivot à vis 166 à unepotence en équerre 168, fixée elle-même à la face avant du ca- dre de chariot 124 par des vis 170.
Ainsi, et comme il ressort de la figure 11, l'écrou 120 peut être mis en et hors de prise avec la vis 2.? par rotation du bras 164 au- tour du pivot à vis 166, comme montté dans la figure 9, l'écrou 120 est sollicité vers la vis 25 (vers la droite dans la fig. Il) par un ressort de tension hélicoldal 182 enroulé autour du pivot à vis 1660
Comme indiqué plus haut, le levier de commande 32 est disposé de façon à soulever l'écrou 120 et la tête enregistreuse 122 de façon à les dégager respectivement d'avec la vis 25 et la feuille 2, lorsque ce levier est amené dans sa position intermédiaire ou "neutre". Ceci est effectué à l'aide du mécanisme selon la fig. 11. Le levier de manoeuvre 32 est :monté à rotation sur le guide supérieur 30.
Ce guide est monté à pivotement dans les flasques extrêmes 64 et 65', comme décrit plus haut, et présente une rainure de bout en bout. L'extrémité pi- votante du levier 32 présente une partie circulaire élargie 170 qui entoure le guide 30 et porte une clavette 172 faisant saillie vers l'intérieur et coopérant avec la rainure du guide. L'extrémité élargie 170 du levier de manoeuvre 32 est supportée dans une fente 174 (fig.9), du cadre de chariot 124, de sorte qu'elle peut tourner au -
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tour de l'axe du guide 30, tout en glissant sur ce der- nier pendant la translation du chariot le long du tam- bour 24.
Cette partie élargie 170 du levier 32 porte également un doigt 171 orienté vers le bas et vers l'ar- rière et auquel est articulé un petit levier coudé 176 à l'aide d'une vis à collier 175 qui traverse une fente prévue dans l'extrémité du doigt 171. Le sommet du le- vier coudé 176 est fixé à, pivotement au cadre de chariot 124 par une autre vis à collier 178, tandis que l'au- tre extrémité 180 du levier 176 est amincie et émerge à travers un trou divergent 182 prévu dans une plaque ver- ticale 184. Cette dernière est montée à coulissement vertical suf la face avant du cadre de chariot 124, au moyen de deux vis à collier 186 traversant une fente ver- ticale 188 de¯la plaque 184, fig.9 ; Cette plaque cou- lissante 184 porte deux cames triangulaires 190 et 192 faisant saillie sur la face avant de cette plaque.
Lorsque le levier 32 occupe sa position "neutre" , le sommet de la came 190 vient se placer sous la cheveille 156 faisant saillie sur le bras 154 fixé au bras de sup- port 138 de la tête, tandis que le sommet de la came 192 vient se placer sous un chapeau circulaire 163 porté par l'extrémité du pivot à vis 162 reliant l'écrou 120 à son levier de support 164, comme montré le plus clai- rement dans les figures 10 et 11. Ainsi, lorsque le le- vier 32 est amené dans sa position la plus basse ou d'"enregistrement" 32', ou dans sa position la plus élevée ou de "reproduction" 32", fig.
Il, sa partie élar- gie 170 tourne avec le guide 30 autour de son axe en faisant tourner le doigt 171, provoquant ainsi la rotation du petit levier coudé 176, qui, par l'intermédiaire de son extrémité amincie 180 et de la fente 182 de la pla- que coulissante 184, fait coulisser cette dernière vers
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le haut ou vers le bas, respectivement, de sorte que les cames 190 et 192 se dégagent de dessous de la cheville 156 et du pivot à vis 162, respectivement, de manière que la vis d'avancement 120 et la tête enregistreuse 122 sont déplacées vers la droite, pour engager respectivement la vis de commande 25 et le tambour porte-palier 24, sous l'action de leurs ressorts de rappel respectifs 172 et 15 .
Ainsi, le chariot 26 peut être déplacé librement lorsque le levier 32 occupe la position "neutre", mais sera en- traîné par la vis d'avancement 25 lorsque ce levier oc- cupe la position d'"enregistrement" ou celle de "repro- duction", de telle sorte que la tête enregistreuse 122 suit une piste sonore spirale sur la surface d'enregis- trement 2 sur le tambour 24.
Comme indiqué plus haut, le guide 30 présente une rainure et est monté à pivotement par ses extrémités dans les montants de bâti extrêmes 64 et 65, de sorte qu'il tourne d'un même angle que le levier de manoeuvre 32 lors- que ce dernier est déplacé d'une position vers une autre.
Comme il ressor-t du côté droit de la fig. 2, ce mouvement est utilisé pour faire tourner un bras de levier 194 fi- xé à l'extrémité de droite du guide 30 à rainure par l'in- termédiaire d'une bielle 198, pour faire tourner un le- vier d'interrupteur 196 destiné à commander un interrup- teur (non montré) monté dans l'amplificateur 51 afin d'inverser les connexions de celui-ci lorsque la machine passe de l'enregistrement à la reproduction, et vice-versa, comme montré par exemple dans le brevet américain ? 2.143.819 de L.D. Norton.
TETE ENREGISTREUSE ET REPRODUCTRICE.
Les détails de la tête enregistreuse-reproductrice magnétique 122 seront aisément compris à l'aide des J'igures
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12, 13, 14, et 15. Cette tête comporte en réalité un cir- cuit magnétique fermé dont les éléments actifs sont dési- gnés généralement par 200 dans la figure 14, cette tête comportant un entrefer étroit non magnétique 202 prévu sur un côté de la tête, ,ainsi que deux bobines 204 et 206 dont chacune entoure l'une des deux branches opposées de ce circuit.
Ce dernier est constitué par deux pièes po- laires symétriques,opposées, plates et jumelées 208 et 210, en forme de crosses de hockey, établies en une ma- tière à haute perméabilité magnétique et réunies magnéti- quement à une extrémité par une culasse 212 en U de matiè - re analogue, dont les branches latérales recouvrent les parties similaires et contigües des pièces polaires 208 et 210, lesquelles sont reliées mécaniquement à leurs au- tres extrémités par une feuille courbe 214 de matière non magnétique, de façon que ces dernières extrémités se trou- vent séparées magnétiquement par un entrefer étroit 202.
Comme montré dans la fig.15, les enroulements 204 et 206 sont enroulés sur deux bobines circulaires 216 et 218 présentant une fente longitudinale rectangu- laire destinée à recevoir les noyaux magnétiques plats 208,210 et 212 formant le circuit magnétique 200. Comme montré dans la figure 13, ces noyaux plats sont maintenus assemblés, à l'endroit où ils émergent des bobines 216 et 218, par des profilés de serrage 220 et 222 en matière non magnétique. Pour empêcher le décalage latéral de ces deux profilés 220 et 222 lors de l'assemblage, la pièce 222 (fig.15) présente à chaque extrémité une languette 224 qui s'adapte dans une mortaise rectangulaire 226 du pro- filé 220.
Pour maintenir les blocs 220 et 222 assemblés, on prévoit un goujon 228 vissé dans la partie médiane du bloc 220, fig. 15, et dont l'extrémité opposée est bloquée par un écrou 230. Cet ensemble est fixé aubras de support
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138, monté à pivotement, de la tête magnétique, fig.10, au moyen de deux vis 136 traversant des orifices 234 du bras 138 et se vissant dans le bloc de serrage 220, fig.
15 . Un des orifices 234 est élargi, afin de permettre l'ajustement de la position de la tête enregistreuse 122 par rapport au bras 138. Une moitié 236 d'un blindage en cuvette est interposée et serrée entre le bras de support 138 et le bloc de serrage 220. Ce demi-blindage 236 forme, avec le demi-blindage complémentaire 238, lequel est maintenu en place par un écrou 240, vissé sur l'extrémité extérieure du goujon 223, figs.12 et 15, un boitier ren- fermant complètement les enroulements et le noyau de la tête 122. Ce boltier,formé par les deux éléments 236 et 238, est de préférence établi en "permalloy" ou autre matière convenable aux caractéristiques magnétiques simi- laires , afin de faradiser les éléments du circuit vis à vis de champs magnétiques parasites.
Lorsque les deux bobines 204 et 206 de la tête' 122 sont connectées en série et qu'elles sont traversées par un courant de signal acoustique, on conçoit que, si une surface magnétisable 2 se déplace en regard de l'en- trefer 202, comme montré par exemple dans la fig.14, la matière magnétisable de cette surface tendra à se magné- t'iser proportionnellement au courant traversant les bo- bines, de la manière habituelle dans les enregistrements magnétiques:
et, inversement, lorsqu'une surface 2 à magnétisation variable passe en regard de l'entrefer 202, elle détermine un flux magnétique variable dans le circuit magnétique 200, lequel induira dans les enroulements 204 et 206 une tension qui sera fonction de cette magnétisa- tion et qui peut être amplifiée et traduite en sons de magnétique la manière usuelle dans la reproduction/du son.
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Afin d'éviter l'interférence entre sons enregistrés sur "sillons" sonores voisins, il est nécessaire que la largeur des pièces polaires magnétiques 208 et 210 au point où elles entrent on contact avec la surface de la feuille 2 soit inférieure à la distance entre "sillons" sonores adjacents, c'est à dire inférieure au pas de la piste so- nore spirale. Pour une machine présentant les caractéris- tiques citées plus haut à titre illustratif et dont la piste sonore présente un pas de 52 lignes par inch, de sorte que la distance entre sillons adjacents est d'en- viron 0,0193 inch, on a constaté que, pour assurer un fonc- tionnoment satisfaisant, il était nécessaire de prévoir ayant des pièces polaires/une largeur d'environ 0,016 inch.
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TIIIû OIJR PORTEtéPAPIER D' EIl'EGISTPLD2LTT .
Bien que le tambour porte-papier 24 autour duquel est enroulée une feuille 2 pour l'enregistrement et la re- production, puisse être d'une construction convenable quelconque, pourvu qu'il soit en matière non magnétique, on a constaté qu'il était avantageux de l'établir aussi léger que possible, réduisant ainsi l'inertie au minimum, afin d'assurer un démarrage et un arrêt aisés, un tel tambour réagissant rapidement à la manoeuvre de l'embrayage.
Ceci assure l'uniformité de la vitesse d'enregistrement et réduit les pertes de surface d'enregistrement par saito d'un déplacement supplémentaire dans l'intervalle entre le moment du débrayage du mécanisme de commande du tambour porte-papier et l'instant où ce tambour s'immobilise. Dans la machine selon l'invention, ceci a été réalisé, fig.8, en établissant le tambour sous la forme d'un moulage d'a- muminium creux présentant à chaque extrémité des rayons 27 et des moyeux 29 et fixé convenablement à l'arbre de com- mande 80 du mandrin.
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On a constaté en outre que, lorsque la surface du tambour 24 est en métal ou autre matière dure, de légè- res irrégularités et solutions de continuité de cette sur- face ou dans la feuille d'enregistrement 2 tendent à faire rebondir la tête enregistreuse 122 lors de son déplacement sur la surface du tambour. Un tel rebondissement tend à introduire un bruit de fond dans l'enregistrement. Afin d'éviter ce mouvement générateur de parasites de la tête 122 , la surface du tambour 24 sur laquelle se déplace la tête magnétique est recouverte d'une couche 33 de caoutchouc ou autre matière convenablement élastique, la- quelle tend à amortir de tels mouvements oscillatoires, de sorte que la tête.122 se déplace toujours à contact doux et intime sur la surface de la feuille 2.
MECANISME DE MANIPULATION DE LA FEUILLE D'ENREGISTREMENT.
Le mécanisme par lequel une feuille de papier rec- tangulaire 2 est attirée dans la machine, enroulée au- tour du tambour porte-papier 24, proprement alignée sur celui-ci, entrainée par rapport à la tête enregistreuse 122 lors de l'enregistrement et de la reproduction, et éjectée de la madhine au moment voulu, est représenté le plus clairement dans les fig. 2, 3 et 8. Comme décrit ci-dessus, dans cette machine, la feuille de papier rec- tangulaire 2 est attirée dans la machine à travers la fente 20 par les dents 22 du tambour enregistreur 24 et enroulée autour de celui-ci avec un léger recouvrement des bords.
Dans la suite, lors de l'enregistrement, la piste sonore est déterminée sur cette feuille sous la forme d'une spirale cylindrique grâce à la synchronisa- tion de la rotation du tambour 24 et de la translation du chariot 26 le long de celui-ci, de la manière habi- tuelle dans les machines enregistreuses à cylindre. Toute-
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fois,après qu'une feuille d'enregistrement a été enlevée de la machine, les "sillons" sonores prennent la forme d'une série de lignes parallèles tracées longitudinalement sur la feuille, déporte qu'elles apparaîtraient comme les lignes 5 de la fig.4, si elles étaient visibles.
Pour que cette machine puisse reproduire un tel enregistrement, il est nécessaire que, lorsque la feuille portant l'enregis- trement est placée dans la machine en vue de la reproduc- tion , les extrémités à recouvrement de cette feuille oc- cupent une position longitudinale identique à celle qu'el les occupaient lors de l'enregistrement, de telle sorte que les extrémités de chacun de ces sillons sonores pa- rallèles viennent se placer do façon à reformer la piste sonore initiale en spirale continue autour de la surface cylindrique formée par la feuille lorsqu'elle est en- roulée sur le tambour 24. Par conséquent, une fonction importante du mécanisme de manipulation de la feuille, faisant partie de cette machine,
consiste à placer une feuille d'enregistrement 2 sur le tambour 24 dans une position toujours exactement identique, quel que soit le nombre d'enlèvements et de remises de la feuille sur le tambour, cet effet étant réalisé d'une manière simple et efficace conformément à la présente invention. Comme indiqué plus haut et représenté dans la figure 8, le tambour 24 est muni de trois dents 22 alignées à chaque extrémité du tambour.
Ces dents présentent une section rectangulaire et leurs dimensions et positions sont exac- tement calculées ppur leur permettre de s'engager dans les perforations d'entrainement 4 et 4' prévues le long de chaque côté du papier d'enfegistrement 2, fig.4. On remarquera que, bien que les perforations 4 du côté gauche de la feuille 2 présentent exactement la même longueur que les perforations 4' du côté droit de la feuille, ces der-
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nières sont sensiblement plus larges que les premières.
Cette largeur supplémentaire a été prévue pour permettre un déplacement longitudinal d'une extrémité de la feuille, au cas où les dimensions de celle-ci viendraient à se mo- difier pour des raisons telles qu'un changement du degré d'humidité, et analogues, comme il sera exposé plus ample- ment dans la suite. Les dents 22 et les perforations 4 servent à saisir la feuille d'enregistrement d'une ma- nière toujours uniforme, de sorte que, lorsque la feuille est enroulée à plat autour du tambour 24, les extrémités superposées de cette feuille soient exactement alignées.
Afin d'assurer que l'enroulement des feuilles d'enregis- trement autour du tambour 24 se fasse bien à plat, les trois éléments en forme de potences 66,67 et 68, prévus entre les flasques de bâti extrêmes 64 et 6 et parallè- les à ceux-ci, embrassent le tambour 24 sur environ trois quarts de sa périphérie, fig.8. Les faces internes de ces éléments sont lisses et parallèles à la surface du tam- bour 24, dont elles sont séparées d'une distance légè- rement supérieure à l'épaisseur de la feuille même.
Ainsi lorsque le tambour 24 tourne dans le sens de la flèche 239, fig.8, pour recevoir une feuille d'enregistrement, ces potences tendent à presser fortement la feuille contre la périphérie du tambour 24 et à la maintenir au contact étroit de celle-ci pendant les opérations d'enregistre- ment et de reproduction. Cette action exercée par les potences 66,67 et 68 est reprise avec plus d'intensité sur l'avant du tambour 24 par une plaque de guidage cin- trée 241 s'étendant sur pratiquement toute la longueur du tambour et dont la courbure est sensiblement parallèle à la surface de ce dernier, tout comme les surfaces in- ternes des potences 66,67 et 68.
Le bord inférieur 242 de la plaque 241 est relevé de façon à s'écarter légère- ment de la surface du tambour, fig.8, pour assurer que le
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bord antérieur de la feuille d'enregistrement 2 ne vienne p as heurter le bord 242 lors du chargement de la feuille dans la machine. La plaque de guidage cintrée 241 est main- tenue en place le long de sa partie inférieure par des lan- guettes 244 faisant partie intégrante de cette plaque et redressées jusque dans le plan vertical, pour être fixées aux extrémités des potences 66,67et 68 par des vis 246.
Le bord supérieur de la plaque 241 est fixé à l'aide d'au- tres languettes 248 et de vis 250 qui s'engagent dans un guide longitudinale 252 qui s'étend sur toute la longueur du tambour 24, à la partie supérieure avant de celui-ci.
Ce guide 252 est supporté à une extrémité par le flasque de bâti de droite 65, et à l'autre extrémité par un support 254 fixé à la potence de gauche 66 et au flasque de gauche extrême 64. Le côté intérieur, voisin du tambour 24, de ce guide 252, est façonné de manière à être parallèle à la surface du tamhour 24, tout comme les surfaces internes des potences 66,67 et 68 et de la plaque de guidage 241 , et est muni aux deux extrémités d'entailles intérieures 253 pour permettre le passage des dents 22 du tambour 24, destinées à saisir la feuille. Ainsi, ces éléments forment un ensemble qui entoure complètement le tambour 24, de façon que toute feuille d'enregistrement enroulée autour de ce tambour soit maintenue à contact intime et à plat sur la surface de celui-ci.
Comme il ressort de la fig.3, la seule solution de continuité dans cet encerclement com- plet du tambour, en dehors de la fente 20 servant à l'in- sertion de la feuille à enrouler autour du tambour et à travers laquelle la feuille est éjectée après avoir été enlevée de celui-ci, est constitué par une fente 2,55 formée par le bord supérieur 236 de la plaque de guidage 241 et le bord inférieur 258 du guide supérieur 252. Cette fente a été prévue pour permettre à la tête enregistreuse 122 d'en-
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trer en contact avec toute la longueur de la surface de la feuille enroulée sur le tambour 24 à mesure que ce dernier tourne et que la tête enregistreuse est chariotée.
Afin d'empêcher l'éjection de la feuille à tra- vers la fente 255 lors de l'éjection d'une feuille d'enre- gistrement hors de la machine, on prévoit un mécanisme assu- rant la fermeture de cette fente lors de cette opération.
Comme montré dans les figures 2,3 et 8, ce mécanisme com- prend un arbre rotatif 260 monté à pivotement dans les flas- ques extrêmes 64 et 65 et logé dans une auge 262 prévue dans la face antérieure du guide supérieur 252. Quatre la- mes élastiques 264 formant ponts et fixées à l'arbre 260 s'étendent vers l'avant depuis celui-ci lorsque la madhine est en fonctionnement , fig. 2 et 8, de sorte que le chariot 26 peut se déplacer au-dessous de ce bras, sans être gêné, d'une extrémité à l'autre de la fente 255. L'arbre 260 portant les bras 264 est maintenu normalement dans cette position par l'action d'un ressort de rappel hélicoïdal 266 entourant l'extrémité de gauche de cet arbre.
Lorsque le chariot 26 arrive dans sa position extrême de gauche en vue d'actionner le mécanisme d'éjection de la feuille de la manière qui sera décrite plus loin, les bras 264 tournent dans le sens anti-horlogique, fig.8 ,à travers- des entailles 268 prévues dans le guide supérieur 252, jusqu'à ce qu'elles viennent toucher le 'bord supérieur 256 de la plaque de guidage inférieure 241, pour compléter l'encerclement du tambour 24 pendant les opérations de chargement et d'éjection de la feuille, de sorte que cette dernière peut quitter le tambour 24 uniquement en partant de la surface supérieure de celui-ci, à travers la fente 20 qui longe le bord arrière de la tablette 18 de l'en- veloppe 8.
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Cotte rotation des bras 264 est assurée à l'aide d'une came spirale 270 (fig.19), montée à proximité de l'extrémité de gauche de l'arbre 260 (fig.2 et 3) et d'un bossage 272 coopérant avec cette came et monté près du coin supérieur gauche de la partie arrière du cadre de chariot 124. Lors- que le chariot 26 arrive dans na position extrême de gau- che, le bossage 272 fait tourner la came 270, et donc l'ar- bre 260, de façon à abaisser les bras 264, lesquels enjam- alors la fente 255 pendant les opérations d'éjection amorcées par ce déplacement du chariot, ainsi que pendant les opérations de chargement de la feuille.
MECANISME DE CONTROLE ET DE MISE AU POINT DU TAMBOUR
PORTE-PAPIER,
Afin d'assurer l'exécution automatique des opérations précitées relatives à la manipulation de la feuille d'en- registrement, cette machine est munie d'un mécanisme de réglage ou de contrôle et de mise au point du tambour porte-papier, de façon que les dents 22 qui déplacent le papier occupent la position appropriée en vue du charge- ment d'une nouvelle feuille sur le tambour 24 après qu'une feuille a été éjectée , afin d'assurer que le tambour 24 effectue le nombre approprié de révolutions nécessaire pour terminer l'opération de chargement ou de déchargement d'une feuille dans ou de la machine et, ensuite, afin de remettre le mécanisme en état pour le cycle d'opérations suivant.
Ceci est réalisé à l'aide d'un mécanisme de contr8- le et de mise au point automatique, représenté générale- ment dans les figures 2 et 3 en 274, et logé dans le coin avant gauche de la machine. Le mécanisme de mise au point 274 est montré à plus grande échelle et d'une manière plus détaillée dans les figures 16 à 24. La figure 16
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est une coupe horizontale du mécanisme de contrôle et de mise au point selon la ligne 16-16 de la fig.3, légère- ment au-dessous de l'axe de l'arbre 80 du tambour porte- papier et de l'axe de la vis de chariotage 2, cette vue s'étendant du flasque extrême 64 jusqu'au bord de gauche du tambour porte-papier 24, et englobant le coin arrière gauche du chariot 26, lequel occupe ici sa position extrême de gauche.
Les fig. 17,18,19, 20 et 21 sont toutes des coupes verticales par la partie du mécanisme montrée dans la fig. 16. La fig.17 est une coupe verticale de ce méca- nisme suivant la ligne 17-17 de la fig.16, en regardant vers l'arrière depuis le cadre 124 du chariot. La fig.18 est une coupe verticale selon la ligne 18-18 de la fig.16, montrant la partie avant du flasque de bâti.vertical ex- trême 64 et comprenant l'ensemble du plongeur 14 de char-
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gement do La l'oullle et cartuliir dcn comuuuLuLuum: <"lac- triques qui effectuent une partie des opérations du fonc- tionnement automatique. La fig. 19 est une coupe verti- cale selon la ligne 19-19 de la fig.l6 montrant la poulie de commande 78 du tambour porte-papier, une coupe du cadre de chariot 124 et une partie du mécanisme de mise au point.
Les figures 20 et 21 sont des coupes verticales par la fig.
16 selon les lignes 20-20 et 21-21 , respectivement, tout
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en montrant ù11'J:Óruntejllcoucllo::!1I du 11l0CIllÜSI110 uuLomuLLquo 5 c.=¯1 st às .was<; ...: ;'"'l:..':':::. 1\s.':s t0L:t:? ce.? ''-l::?-S. le chariot est montré dans sa position extrême de gauche ou position d'"ejection de feuille", position située à gauche par rapport à celle dans laquelle l'enregistrement s'amorce le long du côté gauche de la feuille et à gauche par rapport à la position relative selon les fig. 1 et 2.
Lorsque l'enregistrement sur une feuille a été ter- miné, le chariot 26 doit être ramené vers cette position
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extrême de gauche ou d'"éjection de feuille" afin d'amor- cer une opération automatique d'éjection et pour mettre le mécanisme en état de charger une autre feuille d'enre- gistrement dans la machine par pression sur le plongeur de chargement 14,
Lorsque le chariot arrive dans sa position extrê - me de gauche, plusieurs opérations se déroulent automati- quement.
En premier lieu, comme montré dans la fig.19, l'organg "suiveur de came" 272; monté sur le côté supé- rieur gauche de la face postérieure du cadre de chariot 124, rencontre la surface de la came-spirale 270 et fait tourner l'arbre 260 de façon que les bras 264 formant ponts s'abaissent pour enjamber la fente 255 pour la tête enre-
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:lntrnI1f1Q. 1';n mOnlu tompn, ih ('0IT1J110 montra riant 1er', rlf:., 3 et 18, la rotation de l'arbre 260 provoque celle d'une came excentrique 276 fixée à l'extrémité de gauche de l'ambre 260.
La rotation de l'excentrique 276 à partir de sa position normale indiquée par le pointillé 279, fig. 18, jusqu'à sa nouvelle position indiquée en traits pleins a pour effet de pousser le bouton de manoeuvre 278 d'une commutateur inverseur et defin de course 280 muni de deux jeux de contacts , dont un 280' normalement fermé et l'autre 280 " normalement ouvert. Cette opération ouvre les contacts normalement fermés 280' , coupant ainsi le circuit du solnénoîde 90, fig.6, actionnant l'embrayage de marche avant, et ferme les contacts normalement ouverts 28011 du solénoïde 106 actionnant l'embrayage de marche arrière, de façon à renverser la rotation du tambour 24 dans le but d'enlever la feuille d'enregistrement enrou- lée sur lui.
Comme il ressort des fig. 17 et 18, l'arrivée du chariot 26 dans sa position extrême de gauche ou d'"é- jection de feuille" a en outre pour effet de déplacer une
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surface profilée 282 qui forme le bord supérieur n'une patte en équerre 284 montée sur l'extrémité de gauche du cadre de chariot 124 à l'aide des vis 286, de manière à soulever le verrou 288 de la plaque du plongeur (fig.18), verrou monté à pivotement à l'aide d'une vis à collier 290 sur l'extré- mité de gauche du flasque extrême 64. Ceci a pour effet de soulever un épaulement 292 du levier 288 de façon à l'écar- ter de devant d'une extrémité montante 294 d'un levier cou- dé en forme de plaque 296 du plongeur,
articulé par une vis à collier 298 sur le flasque de gauche 64 et réuni à l'ex- trémité inférieure 15 du plongeur de chargement de feuille 14 par une vis-pivot 295. Ceci a pour effet de déverrouiller un mécanisme associé avec le plongeur 14 de façon à permet- tre l'abaissement de celui-ci aussitôt que les opérations automatiques d'éjection de feuille et de mise au point ont été terminées. Le levier de verrouillage 288 présente éga- lement un autre épaulement 293 qui agit comme butée pour limiter la rotation horlogique du levier de plongeur 296 par arrêt de son bras montant 294 lors de l'enfoncement du plongeur 14.
Comme il ressort des.fig. 17,20 et 21, le déplacement du chariot 26 vers la gauche jusqu'à sa position extrême a également pour effet qu'une surface-came analogue 300 prévue sur une patte en équerre 302 fixée à la face inférieure de- la partie de gauche du cadre de chariot 124 par des vis 304 (fig.9) , agit pour abaisser l'extrémité avant pointue 306 d'un levier 308. Ce levier 308 est articulé en son milieu à l'aide d'une vis à collier 314 à une équerre 310 fixée à la base 6 par des vis 312. La partie arrière du levier 308 est coudée vers la droite et ensuite vers 1'arrière, de sorte que son autre extrémité 316 s'avance au-dessus d'un bras de verrouillage 318 de mise au polnt du mandrin, comme montré dans la figure 22, laquelle est une vue en coupe selon la ligne 22-22 de la figure 21.
Le bras
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de verrouillage de mandrin 313 est articulé, fig. 20, par une vis à collier 320, à une équerre 322 fixée à la base 6 par une vis 324 et s'avance vers la droite,fig.22, de sorte que son extrémité de droite est sollicitée élasti- quement contre la périphérie do l'extrémité de gauche du tambour 24, de telle manière qu'elle remonte pour pénéè trer dans un évidement rectangulaire 326 pratiqué dans le bord du tambour 24, sous l'action d'un ressort de rappel hélicoïdal 328, ce qui a pour effet d'arrêter et de main- tenir le tambour 24 dans une position de mise au point voulue, à la fin de l'opération d'éjection décrite ci-après.
Dans cette position de mise au point, les premières des dents d'entraînement 22 de la feuille se trouvent immé- diatement au-dessous de la fente 20 de l'enveloppe 8, fig.8.
Le mécanisme de réglage du tambour porte-papier fonctionne de la manière décrite ci-après en vue de faire tourner ce tambour dans le sens voulu et avec le nombre de tours requis en vue d'éjecter la feuille d'enregistrement'de celui-ci,après quoi le verrou de mise au point du mandrin 318 s'engage dans le creux 326 sous l'effet du ressort de rappel 328 lorsque le creux 326 se présente à nouveau en regard du verrou 318, arrêtant ainsi la rotation du tam- bour 24 dans la position de mise au point et maintenant celui-ci verrouillé dans cette position en vue du charge- ment de la feuille suivante. Le levier de libération de verrou 308 qui vient d'être décrit est normalement sol- licité à tourner dans le sens horlogique , fig. 20 et 21, par un ressort de rappel hélicoïdal 330 entourant le pivot à vis 314.
Ainsi, ce levier maintient normalement le ver- rou de mise au point de mandrin 318 abaissé, sauf lorsque le chariot 26 occupe sa position extrême de gauche ou d'"éjection", dans laquelle la surface-came 300 du chariot abaisse l'extrémité avant dulevier 308, pour libérer le verrou de mandrin --Il', lequel peut alors remonter dans l'en-
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coche 326 lorsque celle-ci est en face de lui et lorsque le restant du mécanisme de mise au point est convenablement con- ditionné pour permettre ce mouvement.
Comme montré dans les fig.16 et 21, l'arrivée du chariot dans sa position extrême de gauche amorce également le fonctionnement d'un ensemble constitué par une roue à rochet et des cames et désigné généralement par 353, lequel actionne un interrupteur de commande et d'autres mécanismes à levier, afin d'amener le tambour 24 à dépasser sa position de mise au point de deux révolutions complètes, avant que sa rotation ne soit arrêtée automatiquement dans sa posi- tion de mise au point.
Lors du chargement d'une feuille dans la machine, ces deux à trois révolutions du tambour assu- rent que la feuille est enroulée autour du tambour ferme- ment,complètement et bien à plat avant l'amorçage de l'en- registrement et, lors de l'enlèvement de la feuille de la machine, ces deux ou trois révolutions du tambour assurent un enlèvement complet de la feuille de la machine avant que le tambour ne soit verrouillé dans la position de mise au point et prêt à une nouvelle opération de chargement de feuille. Pour assurer ces fonctions, on prévoit une came mobile 331 articulée (fig.16) sur la face arrière du cadre de chariot 124, à proximité de la base de ce cadre, à l'aide d'une vis-pivot à collier 332.
Comme montré dans les figures 16,17 et 20, la came 331, laquelle est empêchée de tourner dans le sens anti-horlogique , comme il ressort de la figure 17, par un prolongement 333 et une cheville
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d'arrct 334 fo' UVI.111<,ant; ui, la face nrr:i.cro dn cndrn de chariot 124, présente le long de son bord inférieure une rampe 336 en forme de plan incliné. Comme montré dans la figure 20, lorsque le chariot 26 se déplace vers la gauche, l'extrémité avant 338 d'un levier 340 articulé en son milieu à la patte verticale 310 par une vis-pivot 342,s'engage sur
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la face supérieure du plan incliné 336 de la came 331.
Ceci a pour effet de tourner le levier 340 dans le sans horlogique, fig.20, contre l'action d'un ressort de rap- pel hélicoïdal 344" jusqu'à ce que son extrémité 338 attei - gne le sommet de la rampe 336 et retombe de l'extrémité de droite de celle-ci, de façon que le levier 340 repren- ne sa position normale, fig.20, sous l'influence de son ressort de rappel 344. Cette rotation horlogique du le- vier 340 a pour effet que son autre extrémité 346 , qui s'avance derrière la patte 310, se déplace vers le bas.
Un cliquet 348 est articulé à l'extrémité arrière 346 d'un lovior 340 et est normalement sollicité dans le sens anti-horlogique par un ressort à boudin 352, contre la périphérie d'une roue à rochet rotative 354 faisant partie de l'ensemble 353 constitué par cette roue et des cames. Les détails de la roue à rochet rotative 354 sont montrés le plus clairement dans les vues perspectives de droite et de gauche selon les figures 23 et 24 respec- tivement.
La roue 354 est en réalité divisée dans sa lon- gueur en deux parties dont celle de droite, vue de l'avant de la machine, figs. 22 et 23, présente deux encoches 364 de 60 , diamétralement opposées et est représentée le plus clairement dans la coupe de la fig.20, tandis que l'autre partie, celle de gauche, fig.24, présente six entailles 366 de 60 , comme montré le plus clairement dans la coupe de la figure 19, toutes ces encoches ayant des contours identiques à ceux des encoches 364, deux des encoches 366 coïncidant avec les deux encoches 364 de la partie de droite de la roue à rochet 354. Conformément à la fig.22, la roue 354 est montée à rotation sur un petit arbre 356 dont une extrémité est fixée par un filet 358 et un écrou 360 à l'équerre 364, fixée elle-même perpendiculairement à la base 6.
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En plus,de la roue à rochet rotative 354. l'arbre 356 porte également deux cames rotatives 368 et 370 calées sur une partie cylindrique 372 de la roue 354, de façon à tourner avec celle-ci. Ceq cames sont circulaires excepté deux encoches diamétralement opposées 374 de la came 368, et 376 de la came 370 , les encoches respectives de ces cames étant décalées de 90 les unes par rapport aux au- tres,fig.21, Le diamètre de la came 368 est légèrement supérieur à celui de la came 370, la première de ces ca- mes étant disposée directement au-dessus et ..transversale- ment par rapport au verrou de mandrin 318, de sorte que , lorsque cette came occupe une position quelconque au cours de sa rotation, sauf celle où ses encoches 374 coïncident avec ce verrou, cette came maintient ce dernier abaissé,
en l'empêchant de pénétrer dans l'encoche de mise au point 326 de l'extrémité du tambour 24. Lorsqu'une des encoches 378 de la came 368 est immédiatement au-dessus du verrou, figures 21 et 22 , l'extrémité de celui-ci peut pénétrer dans l'entaille 326 et verrouiller les tambours dans la position de mise au point.
Conformément à la figure 21, l'autre came 370, actionne deux mécanismes, à savoir: un suiveur de came 378 par sa face avant et un interrupteur à came rotative 380 par sa face opposée ou arrière. Le suiveur 378 est monté sur l'extrémité supérieure d'une lame élastique 382 dont l'extrémité inférieure est fixée à la base 6 par des vis 312, de sorte que le le suiveur 378 est sollicité con- ,tre la came 370.
L'interrupteur 380 à commande par came rotative, muni de deux contacts 380" normalement ouverts, est fixé au support vertical 362 par des vis 384 et est actionné par un poussoir 386, actionné lui-même par un suiveur de came 388 qui est en contact avec la péripéhérie de la came 370 et est fixé à l'extrémité supérieure d'une
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lame élastique 390, fixée elle-même à la base 6 par des vis 392., Ainsi, dans la position selon la figure 21, lors- que le verrou tie mandrin 318 remonte et pénètre dans l'en- coche 37- de la came 368, les suiveurs 378 et 388 s'enga- gent dans les encoches 376 de la came 370 sous l'action de leurs ressorts de rappel 382 et 390 respectivement,
pour dctionner dos parties du mécanisme automatique do contrôle de mise au pint qui sera décrit ci-après.
Pour assurer automatiquement deux ou trois révo- lutions successives du tambour 24 pendant chaque opération de chargement et d'éjection, la roue à rochet rotative 354 doit être munie, pour chacun de ces cycles d'opéra- tions, de trois encoches sur son extrémité de gauche et d'une encoche sur son extrémité de droite, tandis que les cames 368 et 370 doivent être munies d'une encoche pour chacun de leurs "suiveurs". Dans la construction repré- sentée, et afin de simplifier le dessin dumécanisme, on a pBévu un nombre double de ces entailles et encoches tant sur les deux parties de la roue 354 que sur les cames 368 et 370, de sorte que ce mécanisme tourne seulement d'une demi-révolution, c'est à dire de 180 , au cours de chaque cycle de mise au point automatique.
On peut évi- demment prévoir n'importe quel multiple requis d'entailles et d'encoches, l'ensemble roue à rochet-cames 353 tournant dans ce cas d'une quantité proportionnellement moindre pendant chacun de ces cycles de fonctionnement.
La rotation de l'ensemble 353, comprenant la roue à rochet 354 et les cames 368 et 370,de 120 pour chaque deux rotations du tambour 24, après sa rotation initiale do 60 provoquée par le déplacement du chariot 26 vers sa position extrême de gauche, est assurée par un mécanisme montré clairement dans la fig.19. La poulie de commande 78
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montée sur l'arbre de tambour 80 est munie d'une che- ville de commande de mise au point 394 partant du moyeu de cette poulie parallèlement à l'ambre 80, en direction du mécanisme 353, fig.16,17 et 22.
Cette cheville entre en contact avec une surface-came rectiligne 396 d'un levier oscillant de mise au point en forme de plaque 398 articulé par une extrémité, à l'aide d'une vis- pivot à collier 400, sur le support vertical. 362 et sollicité dans le sens horlogique , fig.19 en direction de la cheville 394 par un ressort de rappel hélicoïdal
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4û2.Unc viz (IL, ,;Ltldn.:o 1. collier l101 0::; fjcxx v:1;;1;,la dans l'extrémité supérieure gauche du support vertical 362, la tête de cette vis recouvrant légèrement le bord courbe du levier oscillant 398, pour assurer le dépla- cement de celui-ci dans un plan parallèle au support 362.
Le ressort 402 tend normalement à amener le levier de mise au point 398 dans une position telle qu'un épau- lement 403 prévu au-dessus de la fente 415 vienne porter contre le côté inférieur de la vis 401, comme montré par le pointillé 404, fig.19, à moins que cet épau- lement ne soit déplacé vers la position indiquée en plein dans la figure 19 sous l'action de la cheville 394 lors de la rotation de la poulie 78 dans l'un ou l'autre sens, ou qu'il ne soit:maintunu dans la position indiquée en trqits ploins, par l'action d'un verrou 412 décrit ci- après.
Un cliquet 406, articulé sur le côté inférieur du levier 398 par une vis à collier 408, est sollicité vers la position de contact avec la partie de gauche , c'est à dire à six encoches, de la roue à rochet 354, par unressort à boudin 410 entourant la vis-pivot 400.
Ainsi, lorsque le levier 398 est abaissé par la cheville 394, le cliquet 406 provoque la rotation de la roue 354
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dans le sens anti-horlogique, fig.19, d'une quantité égale à la largeur d'une de ses entailles, c'est à dire de 60 . On voit donc que, après une rotation initiale de 60 , ce mécanisme fait tourner la roue à rochet rotative 354 de 60 chaque fois que la cheville de commande de mise au point 394 attaquele levier 398, d'est à dire de 120 pour deux rotations de la poulie de commande 78 et donc du tambour 24.
EJECTION DE LA FEUILLE.
En considérant le fonctionnement du mécanisme qui vient d'être décrit, et aussitôt que le chariot 26 a atteint sa position extrême de gauche ou d'"éjection de
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rfJu.i1lo", do Façon quo l'oY-LrtJ1Il1Lú 338 du luvior 3Li-0 (flg.
20) est remontée le long de la rampe supérieure de la came 331, avec abaissement de l'autre extrémité 346 de ce levier de façon que le cliquet 348 monté sur ce levier s'engage dans une des entailles 364 de la partie de droite de la roue à rochet rotative 354, ce mouvement amène cette der- nière à tourner sous l'impulsion du cliquet 348 d'un an- gle de 60 , de façon à déplacer angulairement les cames 368 et 370 de la position selon la fig.2l,jusqu'à une posi- tion décalée à 60 par rapport à la première, dans le sens anti-horlogique. Ceci a pour effet d'abaisser le verrou 318 de mise au point du tambour , fig.22, et de le déga- ger de l'entaille 326 de l'extrémité du tambour, de façon que ce dernier puisse tourner librement en quittant sa posi.tion de mise au point.
De plus, le suiveur de came 388 coopérant avec l'interrupteur à came rotative 380quitte l'encoche 376 pour s'engager sur une partie en relief de la périphérie de la came 370, enfonçant ainsi le poussoir de commande 386 de l'interrupteur, avec fermeture des con- tacts 380", normalement ouverts, de cet interrupteur,
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d'où excitation du circuit électrique, qui sera décrit ci-après, du mécanisme automatique de contrôle et de mise au point. Simultanément, la came 276 montée sur l'arbre 260, fig.1ô, renverse le commutateur 280 en ouvrant ses contacts 280' normalement fermés et en fermant ses con- tacts 280'' normalement ouverts, comme décrit ci-dessus.
De ce fait, le circuit électrique de la machine agit de façon à désexciter le solénoide de marche avant 90, fig.6, et à exciter le solénoïde de marche arrière 106, de sorte que le tambour 24 tourne en arrière, voir flèche R, de telle manière que l'extrémité libre à recouvrement de la feuille enroulée autour du tambour 24 se rapproche de la fente 20 de l'enveloppe 8, fig.8, et traverse cette fonte pour arriver sur la tablette 18 en vue d'être éjectée do la machine après que le tambour a exécuté à peu près deux révolutions.
Ensuite, le tambour continue à tourner jusqu'à ce qu'il aura achevé ses deux ou trois révolu- tions, après quoi la roue à rochet rotative 354 et les cames 368 et 370 auront exécuté une rotation de 180 , de façon que le verrou 318 soit une fois de plus libre de remonter dans l'encoche 374 de la came 368, de telle sorte qu'il puisse pénétrer dans l'entaille 326 du tam- bour 24 la prochaine fois que le tambour atteindra sa- position de mise au point, dans laquelle l'encoche 326, qui se trouve en regard du verrou 318, fig.17, arrête et maintient le tambour dans cette position.
Simultané- ment, et comme montre: dans la figure 21, le suiveur de came 388 s'engage dans l'encoche 376 de la came 370 pour ouvrir l'interrupteur 380 et désexciter le solé- noïde de marche arrière afin d'arrêter la rotation en arrière du tambour 24.
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Afin de verrouiller le levier 398 dans la position de la figure 19, c'est à dire la position dans laquelle il est hors de contact d'avec la cheville 394 lors de l'enregistrement ou de la reproduction, donc , lorsque le mécanisme de contrôle et de mise au point automatique ne doit pas opérer, on prévoit un verrou 412 traversant une fente 413 du levier 398 en forme de plaque. Lors du fonctionnement normal de la machine, ce verrou repose dans une entaille 415.s'étendant vers la gauche à portir de la fente courbe 413. Toutefois, lorsque le méca- nisme àe mise au point est en action, le verrou 412 est dé- placé vers la droite, jusqu'à la position indiquée en poin- tillé 417, de façon à permettre à. la plaque 398 d'osciller verticalement de la manière décrite ci-dessus.
Comme montré plus clairement dans les figures 16 et 21, le verrou 412 est
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,nr; t;i 1;W pnr len-xtr(linit( do fnnohn (l'\1n levier coudé 4l4 monté pour osciller dans un plan horizontal et l'extrémité supérieure d'un support 310 autour d'une vis-pivot 416 et muni à son autre extrémité d'une partie descendante 418. Le levier 414 est normalement sollicité pour tourner dans le sens anti- horlogique, fig.16, par un ressort hélicoïdal 420 entourant la vis-pivot 416, de façon que l'extrémité de verrouillage 412 de ce levier soit engagée dans l'entaille latérale 415 du levier oscillant 398 .
Le levier 414 et le suiveur de came 378, fig.21, monté sur la lame élastique 382; occupent des posi- tions relatives telles que la surface antérieure convexe da ressort 382 du suiveur de came est en contact avec un doigt 422 s'avançant vers l'arrière sur le côté postérieur du levier coudé 414, de façon à faire tourner ce dernier dans le sens horlogique, fig.16, de façon à déloger l'extrémité de verrouil- lage 412 de ce levier, fig.19, de l'entaille de verrouillage 415 de la plaque 398 lorsque le suiveur de came 378 quitte l'en- coche 376 de la came 370 pour s'engager sur une partie convexe de sa périphérie,
pendant que l'ensemble 353 est décalé de 60 de la position selon la figure 21 lors du déplacement initiale
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du chariot 26 vers sa position extrême de gauche ou d'"é- jection" Ceci a pour effet de déverrouiller le levier 398 ce qui lui permet d'osciller verticalement et faire tourner la roue à rochet 354 par le cliquet 406 pendant que la poulie de commande 78 du mandrin: tourne pour en- trainer ce tambour et lui faire effectuer son cycle nor- mal de deux ou trois tours en vue de l'opération d'éjec- tion ou de chargement.
Afin d'empêcher l'enfoncement du plongeur de chargement pendant que le mécanisme automatique décrit ci-dessus opère pour éjecter une feuille de la machine et pour amener le tambour dans la position de mise au point, on prévoit un mécanisme d'enclenchement. Comme montré dans les figures 16 et 17, ce mécanisme présente la forme d'un levier horizontal 424 articulé en un point intermédiaire entre ces extrémités, par une vis-pivot 426, sur une partie 428 pliée angle droit du support verti- eal 362.
l'oxtrémité de droite 425 de ce levier éfant dis- posée devant l'extrémité pendante 418 du levier do ver- rouillage 414, tandis que son extrémité de gauche 423 se trouve immédiatement au-dessous du coin inférieur arrière 297, fig.18, de la plaque pivotante 296 du plongeur. Le levier d'enclenchement 424 est normalement sollicité¯ dans le sens anti-horlogique , vers la position de la figure 17, par un ressort de rappel à boudin 432 qui entoure la vis- pivot 426.
Ainsi, lorsque le mécanisme 353 à roue à rochet et à cames a tourné de 60 pour amorcer le cycle d'opé- rations automatiques, le suiveur de came 378 étant amené à quitter l'encoche 376 de la came 370 de façon à faire tour- ner le levier 414 dans le sens horlogique (fig.16), il en résulte un déplacement de l'extrémité avant 418 du levier de verrouillage 414 vers l'avant de façon à le placer au- dessus de l'extrémité de droite 425 du levier d'enclenche- ment 424, de sorte que ce dernier est empêché de remonter.
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Ceci empêche d'abaisser leplongeur de chargement 14, vu que le coin arrière 297 de la plaque 296 ne peut pas abaisser l'extrémité de gauche 423 du levier 424 , fig.18, grâce à cette action d'enclenchement.
CHARGEMENT DE LA FEUILLE.
Après qu'une feuille d'enregistrement a été rejetée de la machine par la rotation en arrière du tambour 24 pendant trois révolutions complètes, et que le tambour a été arrêté dans sa position de mise au point par un soulèvement (fig.22) de l'extrémité de droite du verrou de mise au point 318 et sa pénétration dans l'entaille 326 de l'extrémité de gauche du tambour grâce à l'action du mécanisme automatique de contrôle et de mise au pôint qui vient d'être décrit, la machine est conditionnée pour le chargement d'une autre feuille d'enre- gistrement.
A ce moment, le mécanisme de mise au point occupe la position selon les figures 16 à 22 inclus, le tambourc24 occupant la position selon la fig.8, de sorte que la première dent 22 se trouve immédiatement au-dessous de la fente 20 de l'enveloppe 8 et que le verrou 318 occupe la position de ver- rouillage dans l'encoche 328.
Dans ce cas, le plongeur de char- gement 14 peut être abaissé contre l'antagonisme d'un ressort de rappel à boudin 4-34, qui maintient normalement la plaque 296 dans sa position extrême dans le sens anti-horlogique, en contact avec une cheville d'arrêt 435, fig.18, vu que la plaque de verrouillage 288 du plongeur est maintenue dans sa position la plus élevée par la came 282 prévue sur le côté gauche du chariot et parce que l'extrémité de gauche du/Levier 424 peut être abaissée grâce au fait que le soulèvement de l'extrémité de droite 425 de ce levier (fig.21) n'est pas em- pêché par l'extrémité avancée 418 du verrou 414 , ce qui est dû au fait que le suiveur de came 378 reste dans l'encoche 376 de la came 370 .
Dans ces conditions, l'enfoncement du bouton
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poussoir de chargement 14 a pour effet que la plaque 296 du plongeur tourne autour de sa vis-pivot 298 jusqu'à ce que son mouvement soit arrêté, ce qui a lieu lorsque son bras montant 294 rencontre le deuxième 6paulement 293 du verrou 296, tandis que son coin postérieur 297 abaisse l'extrémité de gauche 423 du levier d'enclenchement 424.
Vu que cette extrémité 423 est munie d'une saillie mon- tante 436 pourvue d'une came 438 dirigée vers l'arrière, l'abaissement du plongeur 14 amène cette came à. glisser vers le bas le long de la surface d'un ressort cintré 440 monté sur la face antétieure d'un interrupteur 442 con- trôlant le chargement de la feuille et fixé au flasque extrême 64 par des vis 443.Cet abaissement de la came 438 a pour effet un déplacement du ressort 440 vers la droite, fig.18, avec enfoncement(du poussoir de commande 444 de l'interrupteur 442 en vue d'ouvrir ses contacts normale- ment fermés 442' et fermer ses contacts normalement ou- verts 442''.
Ces contacts contrôlent des connexions dans le circuit électrique décrit ci-après, lesquelles ouvrent les circuits du solénoîde d'embrayage de marche arrière 106 (fig.6) et ferment le circuit du solénoide de marche avant 90'. En outre, en considérant la fig.17, le même mouvement vers le bas de l'extrémité 423 du levier 424 a pour effet un relèvement de l'extrémité 425 de ce le- vier. Vu que la position normale de cette extrémité 425, fig.20, du levier 424 est située immédiatement au-dessous de 1'extrémité avancée 328 du levier 340 actionnant le
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nliquob, notto 1'r.111nn L(JO drplaco le levier 340 <1.ins le sens horlogique et amène son cliquet 348 à avancer la roue à rochet 354 d'une entaille, c'est à dire de 60 . Il se pro- duit maintenant le même cycle que dans le cas de l'éjec- tion de la feuille.
L'ensemble 353 comportant les rochets
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et les cames ayant été déplacé de 80 , le bfas de mise au point 318 du tambour s'abaisse, fig.22, en quittant l'entaille 326, par l'action de la came 568 , pour li- bérer le tambour 24. Simultanément; le suiveur de came 378, fig.21, vient en contact avec la surface extérieure de la came 370 et amène l'extrémité 412 du verrou -14 à quitter, fig.19, l'entqille de verrouillage 415 du le- vier de mise au point 398 en forme de plaque, de façon à libérer ce dernier et lui permettra d'osciller ensem ble avec la cheville 394 de la poulie de commande 78 du tambour , tandis que l'autre extrémité 418 du levier 414 se déplace vers l'avant,
au-dessous de l'extrémité de droite 425 du levier d'enclenchement 424. Il en résul- te un blocage de ce dernier dans cette position inclinée, contre l'antagonisme de son ressort de rappel à boudin 432, de manière à maintenir l'extrémité de gauche 423 de ce levier abaissée '-et à maintenir l'interrupteur 42 dans la position qui vient d'être décrite, dans le but de maintenir fermé le circuit du solénoïde 90 de marche avant et de maintenir fermé le circuit du solénoînde de marche arrière 106.
De plus, ce verrouillage du levier d'enclenchement ou d'accouplement 424 dans sa position inclinée rend le plongeur de chargement de feuille hors d'effet, l'empochant ainsi d'endommager un organe quel- conque de la machine au cas où il serait enfoncé par inad- vertance après l'amorçage du cycle de chargement auto- matique. Simultanément, le suiveur de came 388 vient en contact avec la surface externe de la came 370, fig.
21, en fermant l'interrupteur 380, de façon à fermer le circuit du solénolde de marche avant 90 de l'embrayage.
De ce fait, la poulie de commande 78 du mandrin entraine ce dernier dans le sens "avant" ou horlogique, voir flèche 239 , fig.8, de façon que les dents 22 attirent
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la feuille de papier d'enregistrement vers la machine et l'enroule autour du tambour.Afin de s'assurer que la feuille sera enroulée bien à plat autour du tambour 24 avant le début de l'renregistrement, ce mécanisme est établi de façon à faire exécuter au tambour deux ou trois révolutions complètes, tout comme dans le cas del' -opération d'éjec- tion .
Pendant ce temps, l'ensemble roue à rochet-cames 353 a tourné de 180 par suite du déplacement du plongeur 14 et de la cheville de commande de mise au point 394, ainsi que de la plaque oscillante 398, de sorte que le ver- rou 318 remonte à nouveau , fig.22, pour pénétrer dans l'encoche 374 de la came 368 et donc dans l'entaille de mise au point 326 du tambour 24, pour assurer la position de mise au point de ce dernier. En même temps, le sui- veur de came 378 ,fig.21, s'engage dans l'encoche 376 de la came 370, pour permettre à l'extrémité 412 du levier de mise au point 414 de s'engager dans l'entaille 15, fig.
19,de la plaque 398, pour maintenir celle-ci dans la position abaissée, . Le bord inférieur de l'entaille de verrouillage 415 présente un plan incliné 415' , de sorte que le bord de commande 396 de la plaque 398 peut être maintenu hors de contact d'avec la cheville d'entraine- ment 394 lorsque la plaque 398 est verrouillée dans cette position abaissée, pour empêcher le contact entre ces éléments lors des opérations normales d'enregistrement et de reproduction.
Simultanément, l'extrémité descen- dante 418 du levier 414 se dégage de dessoude l'extré- mité de droite 425 du levier d'enclenchement ou d'accou- plement 424, de façon à lui permettre de reprendre sa position normale, fig.17, sous l'effet de son ressort de rappel 432, en vue de déplacer le poussoir 444 ,de l'in- terrupteur 442 dans le sens de l'ouverture de ses contacts
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lt-42" et de la i'uruieturo do res cOtll.acts 1H1+'' , de lrlunJl:ro
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conditionner le circuit pour l'opération d'éjection suivante . Simultanément;
, le suiveur de came 388 s'engage dans l'autre encoche 376 de la came 370, fig.21, en ouvrant l'interrupteur 380, de façon à désexciter le solénoïde 90 de l'embrayage de marche avant et à arrêter la rotation du tambour 24.
ENREGISTREMENT.
Lorsque l'opération qui vient d'être décrite a été terminée, la feuille 2 est enroulée autour du tambour 24 et la machine est prête à l'enregistrement du son. Afin de préparer la machine en vue de l'enregistrement propre- ment dit, le chariot 26 doit d'abord être déplacé d'une faible distance vers la droite, fig.2, depuis sa position extrême de gauche ou position d'"éjection" jusqu'à ce que la tête enregistreuse 122 se trouve en face de la partie de la feuille située immédiatement à, droite des dents de gauche 22.
Ce mouvement du chariot déplace la came 282 de verrouillage de la plaque du plongeur, fig.l(8, de dessous du verrou 288, de sorte que ce dernier s'abaisse jusqu'à la position de verrouillage, tandis que son épaulement 292 s'engage derrière l'extrémité montante 294 de la plaque de
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1)1-nnrour ,296, de façon a empOcher 1.o plongeur 14 d'être enfoncé pendant l'enregistrement ou la reproduction.
Comme il ressort des figures 20 et 21, ce déplacement initial du chariot vers la droite déplace également la surface- came 300 de dessus de l'extrémité 306 du levier de blocage 308 du verrou de mise au point, de sorte que ce levier peut tourner librement dans le sens horlogique, comme mon- tré, sous l'action de son ressort de rappel 330, de telle façon que le verrou 318, fig. 22, s'abaisse et se dégage de l'entaille 326 du tambour, libérant ainsi ce dernier en vue de l'enregistrement.
En outre, ce déplacement initial du chariot vers la droite a pour effet que le suiveur de
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came 272, fig.19, quitte la surface de la came spirale 270, permettant ainsi à l'arbre 260 de tourner dans le sens horlogique sous l'action de son ressort de rap- pel hélicoïdal 266, de manière à éloigner les doigts 264, fig. 8 de la fente 255 qui longe la face du tambour 24, de sorte que la tête enregistreuse peut entrer en contact avec la surface de la feuille 2 montée sur ce tambour.
En même temps, et comme montré dans la fig.18, ce mouvement horlogique de l'ambre 260 déplace la came 276 prévue sur l'extrémité de gauche de cet arbre, de façon à l'éloigner du poussoir 278 de l'interrupteur de fin de course de gauche 280 et de l'amener dans la posi- tion montrée m pointillé 279, afin d'ouvrir le circuit du solénolde de marche arrière 106 et de fermer le circuit du solénolde de marche avant 90, de façon à conditionner les circuits de commande d'embfayage (-;Il vue do l'onrogistrement et de la reproduction.
Comme montré dans les figures 16 et 17, la came 331 est montée à pi- votement sur la face postérieure dù chariot 26, de sorte que, lors du mouvement initial de ce dernier vers la droite, cette came (fig. 20) ne peut pas être forcée contre l'extrémité 338 du levier 340 de commande du cli- quet, grâce à son pivotement dans un sens horlogique;
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i.':1 ; .7.7, (10 ro.rte qu'elle r:1.i.sse ur l'extrrSmjt6 338 du levier 340 , de façon à retomber dans sa position nor- male contre la cheville 'de butée 334, après avoir passé du côté droit de l'extrémité 338 du levier 340.
Lorsque ces opérations ont été terminées, la machine se trouve conditionnée pour l'enregistrement et la reproduction, Pour commencer l'enregistrement, on abaisse le levier d'enregistrement et de reproduction 32 dans la position d'"enregistrement" et, dans le cas d'un microphone à main,on enlève celui-ci de son crochet.
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Ceci a pour effet de fermer le circuit du moteur 50 et d'a- morcer sa rotation, en fermant le circuit du solénoïde d'em- brayage de marche avant 90, de sorte qu'il est prêt à fonc- tionner. Ensuite, une fois l'interrupteur poussoir du mi- crophone à main fermé, le solénoïde d'embrayage de marche avant est excité et la dictée peut commencer, le tambour tournant chaque fois qu'on ferme l'interrupteur du micropho- ne pendant une période, de dictée et s'arrêtant chaque fois qu'on ouvre cet interrupteur.
Pendant l'enregistrement, et afin d'assurer 1'.arrêt de la course du chariot, figure 2, avant que la tête enre- gistreuse 122 ne quitte le bord de droite de la feuille, on prévoit un interrupteur de fin de course 446 sur le flasque de droite 65. Cet interrupteur comporte un jeu de contacts normalement fermés, actionnés par un poussoir 447 en vue d'ouvrir les circuits d'excitation du solénoïde de marche avant 90, de façon à déconnecter le tambour d'avec le moteur lorsque le chariot atteint sa fin de course voulue du coté droit de la machine .
De plus, on peut également prévoir un signal visible eu audible pour indiquer à la personne qui dicte que cette position limite a été atteinte, de sorte que la feuille entièrement ,; utilisée de la machine petit être remplacée par une feuille fraîche. La position exacte du chariot à laquelle cette opération se produit est déterminée par le réglage d'une vis 448 se vissant dans le coté droit du chariot et munie d'un contre-écrou 450 pour la fixer fer- mement dans sa position de réglage.
PRODUCTION.
Lorsqu'on désire entendre une partie quelconque de l'enregistrement déjà effectué, on amène le levier de manoeu- vre 32 dans la position "neutre", en poussant le chariot vers
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la gauche jusqu'au point à reproduire, après quoi ce levier est relevé pour engager à nouveau la vis de chariotage et de remettre la tête électromagnétique 122 en contact avec la feuille 2. Ce relèvement du levier 32 renverse égale- ment les connexions 'de l'amplificateur 51, de sorte que, dans la suite, lorsque l'interrupteur poussoir du micropho- ne est fermé, ce dernier agit comme haut-parleur pour repro- duire la partie enregistrée.
Lorsqu'il est fait usage d'un microphone de table et d'un interrupteur au pied, la manoeu- vre est la même, sauf que l'interrupteur de fourche et l'in- terrupteur à main du microphone sont remplacés par des in- terrupteurs de la commande au pied, par exemple comme re- présenté dans le brevet N 2.374.561.
Cette machine peut éventuellement être munie du si- gnal usuel d'enclenchement qui produit toujours un ronfle- ment ou autre signal sonore, sauf lorsque le levier de ma- noeuvre 32 est abaissé en vue de conditionner la machine pour l'enregistrement, c'est-à-dire qui signale que le levier est dans sa position "neutre" ou qu'il est dans la position "reproduction", sans qu'il y ait reproduction proprement dite, par exemple selon le brevet américain N 1.989.783, de T. H.
Beard & Consorts.
DISP@CITIF DE MISE EN PHASE .
Lorsqu'un enregistrement établi depuis un certain temps déjà est remis sur la machine en vue de la reproduc- tion, ou lorsqu'un temps considérable s'est écoulé entre l'enregistrement et la reproduction d'une partie d'un en- registrement se trouvant déjà dans la machine , il arrive parfois que les dimensions de la feuille de papier d'enre- gistrement se modifient dans l'intervalle, généralement par suite d'unthangement du degré d'humidité de l'atmosphè-
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re. Une telle modification de la longueur de la feuille est négligeable, vu qu' elle modifie uniquement le point de re- couvrement où les deux extrémités de la feuille se rencon- trent, et cela d'une si faible quantité qu'il n'en résulte aucun changement perceptible dans la reproduction.
Toute- fois, une modification de la largeur de la feuille, c'est- ment à-dire longitudinale/par rapport au tambour peut provoquer un tel allongement ou raccourcissement de la piste sonore spirale par rapport à la gorge spirale de la vis de chario- tage, que la tête reproductrice sera dec@lée en avant ou en arrière par rapport à la piste sonore lors de son dépla- cement le long du tambour. Dans un cas extrême, ce décala- ge peut avoir une valeur comparable à l'écartement de sil- lons sonores voisins. Ainsi, au moment où la tête 122 s'ap- proche du côté droit de la machine, il peut se produire d'abord une atténuation du volume sonore du signal reproduit, suivie de la reproduction du signal du sillon voisin.
Finalement, si la tête continue à se déplacer, elle repro- duira uniquement le signal du sillon qui suit celui qui de- vrait être reproduit, à mesure qu'elle se met en phase avec lui.
Pour. pallier à cet inconvénient, on prévoit un ré- glage de mise en phase ou synchronisateur qui permet d'a- vancer ou de retarder le chariot, et donc la tte 122, par rapport au tambour, lorsque c'est nécessaire. Ceci permet de rétablir la position appropriée de la tête par rapport à la piste sonore en reproduction, lorsqu'un tel décalage se produit. Ce réglage précis de la position de la tête 122 par rapport au tambour, et donc à la feuille 2, est réalisé par le mécanisme selon la figure 25.
Ce mécanisme permet de déplacer en bloc la vis 25, et donc la tte 122, par rapport au bâti de la machine, et donc au tamhour 24, sans
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aucune modification ni interrruption dans le mécanisme de commande, uniquement par la manoeuvre du bouton de phase 47 prévu à l'extrémité de droite de l'enveloppe 8, figure 1.
Comme montré dans les figures 2, 3 et 25, l'extrémité de gauche 88 de la vis 25 est montée à coulissement dans une douille 454 prévue dans le flasque extrême 64, tandis que son extrémité de droite 89 est montée de même à coulissement dans une douille 456 prévue dans l'extrémité d'un support creux 458 faisant saillie vers l'intérieur depuis le flasque de droite 65 et fixé à celui-ci par des vis 460. La vis 25 est sollicitée vers la droite par un ressort en U 462 établi en une tôle appropriée, et qui présente une largeur suffisan- te pour enjamber le pignon de commande 86 de la vis 25 et qui est fixé au;flasque de gauche 64 par des vis 464.
Ce ressort porte un pivot en pointe 466 au milieu de sa face interne, lequel pivot s'engage dans une alvéole 468 prévue au centre de l'extrémité de gauche de la vis 25 et tend à refouler cette vis vers la droite. Pour neutraliser ce mouvement, la vis 25 peut tre déplacée vers la gauche, con- tre l'antagonisme du ressort 462, au moyen du bouton de pha- se 47 fixé à l'arbre 470 et vissé dans le flasque de droite 65. Cet arbre 470 présente à son autre extrémité une par- tie cylindrique lisse 472 qui traverse un bloc de guidage 474 disposé au centre du support creux 458, tandis que l'ex- trémité de gauche de cet arbre présente un siège conique 476 qui presse une bille de roulement 478 contre un siège coni- que similaire 480 prévu au centre de l'extrémité de droite 89 de la vis 25.
Grâce à cette disposition, la vis 25 peut être dépla- cée longitudinalement par rapport au tambour 24 de touze quantité voulue, par la simple rotation du bouton de phase 47. Ainsi, la position relative de la tête 122 et de la
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piste sonore 5 de la feuille d'enregistrement peut être ré- glée à volonté pendant que la machine effectue une repro- duction, cela au cas où les dimensions de la feuille subi- raient un chancelant pour une ruison quelconque, par exem- ple une modification du degré d'humidité, susceptible de rompre le synchronisme entre les spirales de la vis de cha- riotage 25 et celles de la piste sonore.
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92S!2ê¯!9ê.
Les connexions électriques du moteur 50, de l'ampli- ficateur 151, des solénoïdes d'embrayage 90 et 106, des di- vers interrupteurs 49, 280; 380, 442, 446 et452, ainsique d'autres éléments électriques de la machine qui accomplissent les différentes fonctions automatiques décrites c-dessus, sont montrées dans la figure 26. La manière dont elles coopèrent avec les éléments mécaniques de la machine décri- te ci-dessus ressortiront de cette figure. Lorsque l'in- terrupteur d'alimentation principal 10 est fermé, la lampe témoin 12 s'allume et l'amplificateur électronique 51 est excité.
Lorsque le chariot occupe sa position extrême de gauche ou position de chargement de feuille, et qu'une feuille 2 est placée sur la tablette 18, figure 8, de façon que ses premières perforations d'entraînement 4 et 4' s'en- gagent sur les premières dents 22 du tambour 24, et que l'on abaisse ensuite le plongeur de chargement 14, les con- tacts 442' normalement fermés de l'interrupteur de fin de course de gauche 442 du chariot s'ouvrent pour couper le circuit du solénoïde de marche arrière 106, tandis que les contacts 44211 normalement ouverts, de cet interrupteur, se ferment pour mettre en circuit le solénoïde de marche avant 90.
Simultanément, ce mouvement du plongeur 14 fait tourner l'ensemble roue à rochet-cames 353 de 60 pour amorcer la
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rotation automatique et l'opération, de mise au point décri- te plus haut. Ce mouvement a pour effet de faire tourner la came 370 dans le sens de la fermeture des contacts nor- malement ouverts 380" de l'interrupteur 380, pour établir le circuit depuis une branche de la ligne d'alimentation 11 par l'intermédiaire des contacts normalement fermés 446' de l'interrupteur de fin de course 446 de droite (fermé par- ce que le chariot 26 se trouve du côté gauche de la machine), par l'intermédiaire des contacts normalement ouverts 280" de l'interrupteur de commande 280 (fermé parce que la came 276 a été amenée à tourner par suite du déplacement vers l'extrême gauche, du chariot 26),
et par l'intermédiaire du solénoïde de marche avant 90, jusqu'à l'autre branche de la ligne 11. De ce fait, le moteur 50 entraîne le tambour 24 en avant pendant trois révolutions, comme décrit ci-des- sus, afin d'enrouler la feuille 2 bien uniformément sur le tambour et préparer la machine pour l'enregistrement. A la fin des trpis révolutions du tambour 24, la came 370 a tour- né de 1800 de façon à ouvrir les contacts 380' de l'inter- rupteur 380, ouvrant ainsi le circuit du solénoïde de mar- che avant 90 et interrompant la commande du tambour 24.
Lorsque le chariot 26 est ensuite amené à la main dans la position appropriée en vue d'amorcer l'enregistrement, les interrupteurs 280 et 442 retournent à leurs positions nor- males en ouvrant le circuit du solénoïde de marche avant 90 par les contacts 482" et en connectant, ce dernier par les .contacts 280' de l'interrupteur 280 au bouton 52 du micro- phone à main, de sorte que la machine est prête pour l'en- registrement.
Ainsi, en décrochant le microphone, on pro- voque la fermeture de l'interrupteur 49 du crochetdu micro- phone, de manière à démarrer le moteur 50. ensuite, le so- lénoïde de marche avant 90 est excité pour faire tourner le
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tambour 24 en vue de l'enregistrement, chaque fois que l'in- terrupteur à main 452 du microphone est fermé. L'enregis- trement peut alors se poursuivre jusqu'à ce que le chariot 26 ait atteint sa position extrme de droite. A ce moment, l'interrupteur de fin de course 446 s'ouvre, désexcitant ainsi le solénoïde de marche avant 90 et empêchant tout dé- placement ultérieur du chariot.
Dans la suite, si le cha- riot 26 est ramené dans sa position extrême de gauche en vue de l'éjection de la feuille, le ressort 280 est renversé par le mouvement de la came 276, de façon à fermer les contacts 280" tandis que la came rotative 370 se déplace de façon à fermer les contacts 380", de manière à établir un circuit par ces deux jeux de contacts et les contacts normalement fermés 442' de l'interrupteur 440 du plongeur, circuit comprenant le solénoïde de marche arrière 106, de telle sorte que le moteur entraîne le mandrin 24 dans un sens or¯posé en vue d'éjecter la feuille 2: de la machine, tout en plaçant les divers mécanismes dans la posdtion de mise au point qui prépare le chargement d'une nouvelle feuille dans la machine, de la manière décrite ci-dessus.
Vu que la machine ci-dessus est susceptible de nom- breuses variantes tout en restant dans le cadre de la pré- sente invention, il est bien entendu que toute la matière exposée ici ou représentée dans les dessins annexés doit être interprétée dans le sens illustratif et non limitatif.
REVENDICATIONS.
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