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" Dispositif Téléphonique"
La présente invention est relative à des dispositifs télé- phoniques et plus particulièrement à des dispositifs à inter- rupteurs chercheurs du type dit à service préférentiel. Dans les dispositifs de ce genre, les interrupteurs chercheurs sont divisés en un certain nombre de groupes qui ont tous accès au même groupe de lignes, mais dans lesquels les lignes apparais- sent dans des parties différentes du banc dans les différents groupes. Normalement,-un appel est acheminé par un chercheur du groupé dans lequel on rencontre la ligne appelante avec le minimum de mouvement, mais si tous les chercheurs de ce groupe sont occupés l'appel est acheminé par un chercheur d'ungreupe qui doit effectuer un mouvement un peu plus grand.
Le but de
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la présente invention est de perfectionner le fonctionnements des dipositifs de ce type par la supression d'une condition qui, dans certaines circonstances, peut provoquer des incidents de fonctionnement et entraîner le risque de doubles branchements.
Conformément à la présente invention, dans un dispositif téléphonique dans lequel un groupe de lignes est divise en deux sous-groupes et est desservi par deux groupes d'interrupteurs chercheurs dans les bancs desquels les sous-groupes de lignes apparaissent dans l'ordre inverse de celui des deux groupes de chercheurs, chaque interrupteur ayant accès à toutes es lignes des deux sous-groupes, mais -',tant normalement mis en marche par le fait qu'un ligne du sous-groupe apparaissant dans la première moitié de son banc est en état d'appel,
on prévoit des disposi- tifs de blocage ou de verrouillage pour éviter à un chercheur dans l'un et l'autre groupe de sortir de la première moitié de son banc tant qu'il y a des chercheurs inoccupés disponibles dans l'autre groupe,
La présente invention va ressortir d'une façon plus claire de la description suivante d'un procédé de mise en oeuvre repré- senté sur les fig. 1 et 8 des dessins joints.
Si on se reporte aux dessins joints, le dispositif télépho- nique qui y est représenté comprend un poste central terminant un certain nombre de lignes d'abonnés, notamment les lignes 101 et 230, et comprenant un certain nombre de dispositifs de jonction de connecteurs chercheurs, comme par exemple les dispositifs 60 et 70, pour 3'établissement de connexions entre les diverses li- gnes. Le poste central a une capacité maximum de 200 lignes dis- posées suivant deux groupes de 100 lignes chacun, et chaque dis- positif de jonction comprend un chercheur à 200 contacts et un connecteur à 200 contacts .
Les dispositifs de jonction sont dis- posés suivant deux groupes , dont chacun est muni d'un distribu- teur individuel pour affecter les dispositifs de jonction dans le groupe à l'utilisation des lignes appelantes. Le nombre .des
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dispositifs de jonction prévu dans chaque groupe est, d'une manière appropriée, égal à 10 par exemple. Le premier et le second groupe de lignes sont associés respectivement aux dis- tributeurs 300 et 312, ce qui permet aux lignes appelantes du premier groupe d'être affectées normalement à des dispositifs de jonction du premier groupe, et à des lignes appelantes du second groupe d'être normalement affectées à des dispositifs de jonction du second groupe, ce qui permet de transmettre un appel commencé sur une ligne à chacun des deux groupes de li- gnes simultanément .
Toutefois, les distributeurs 300 et 312 sont disposés de façon qu'un appel venant d'une ligne du pre- mier groupe soit affecté à l'utilisation d'un dispositif de jonc- tion inoccupé du second groupe si tous les dispositifs de jonc,- tion du premier groupe sont occupés. D'une façon semblable, un appel provenant d'une ligne du second groupe est affecté à l'uti- lisation d'un dispositif de jonction inutilisé du premier groupe si tous les dispositifs de jonction du second groupe sont occupés,
Comme le montrent les dessins joints, on a supposé que chacun des chercheurs est constitué par un interrupteur verti- cal et rotatif à 200 contacts, d'un type bien connu, muni de deux jeux de balais, et que les connecteurs associés sont du même type.
Les distributeurs sont des interrupteurs du type ro- tatif bien connu, disposés suivant le principe de commande in- verse, de telle sorte qu'ils déplacent leurs balais lors de la chute de l'électro-aimant de commande. Ces distributeurs sont disposés de façon à assurer une présélection, de telle sorte qu'ils sélectionnent le dispositif de jonction inoccupé suivant, de façon à être prêts à faire partir un nouvel appel. De plus, si tous les dispositifs de jonction de l'un des groupes sont occupés, le circuit de démarrage de ce groupe est transféré au distributeur de l'autre groupe, et on utilise un dispositif de jonction présélectionné dudit autre groupe pour transmettre un appel d'une ligne du premier groupe qui est normalement desservi par des chercheurs du premier groupe.
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Si on envisage maintenant le fonctionnement détaillé pour l'établissement d'un appel depuis l'abonné A jusqu'à l'abonné B, on voit que lorsque l'abonné en A décroche son écouteur, un pont s'établit en travers des conducteurs 102 et 103 de la ligne 100, et le relais 120 dans le circuit de ligne 100 se trouve par conséquent actionné.
Le relais 120 met à la terre en 122 le conducteur 105 qui va aux connecteurs, pour indiquer que la ligne est coupée à l'égard des appels entrants, et en 121 ce relais branche la batterie , au moyen du rela.is 110, sur le conducteur de test 104, de manière à indiquer que la ligne sert à un appel dans les bancs des chercheurs, tandis qu'en 125 le relais précité applique le potentiel de la terre sur le conduc- teur 190 où il sert à marquer le contact 148 dans les bancs ver- tica.ux des chercheurs, et où il se propage, au moyen de la résis- tance associée de séparation et du conducteur 216, de manière à actionner le relais 345 dans le distributeur.
Ensuite, en 346, le relais 345 complète un circuit pour le relais 350, ce circuit allant de la terre par 330, 365, 346, le relais 350, 343, 308, 1'électro-aimant 301 et à la batterie. L'électro-aimant 308 ne fonctionne pas dans ce circuit, mais le relais 350 fonctionne, si on suppose que le distributeur 300 a déjà sélectionné le chercheur vide suivant, et en 358 il complète un circuit de main- tien pour le relais 340 qui est normalement actionné et reste dans cette position tant que l'un quelconque des chercheurs du premier groupe est inoccupé. On remarquera que le circuit nor- mal du relais 340 est un circuit multiple qui s'étend à partir des différents chercheurs, et qu'en ce qui concerne le cher- cheur 130 il s'étend de la terre par 144, 186, 187, 178, 177, conducteur 221, 235, 236, 393, pour revenir au relais 340.
En conséquence, le relais 340 reste excité aussi longtemps qu'il y a un chercheur inoccupé quelconque dans le premier groupe, et le
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circuit ,de blocage dont il vient d'être question sert à maintenir ce relais excité jusqu'à ce que le réglage du dernier chercheur qui doit être mis en service soit achevé. Le relais 350 , de même, excite, en 351, le relais 140 au moyen d'un balai 303 et du conducteur 218, tandis qu'en 352 il prépare un circuit pour l'électro-aimant 301, que sur 359 il prépare un cir- cuit de verrouillage pour lui-même, que sur 356 il excite le re- lais 375 et que sur 357 il prépare un circuit pour le relais 360.
Le relais 375 fonctionne et excite le relais 380 qui assure le verrouillage en 386, tandis qu'en 385 il excite le relais 330 qui, à son tour, assure un verrouillage par l'intermédiaire de son en- roulement inférieur par une mise à la tere en 351. Le relais 140 complète, en 141, un pont qui passe par la résistance 127 montée en dérivation sur les conducteurs de conversation qui s'étendent jusqu'au connecteur 215, tandis qu'en 144 il applique la terre sur le conducteur de test 118 qui aboutit au connecteur, de telle sorte que cet interrupteur est préparé pour le fonctionnement de la manière usuelle.
Le relais 140 prépare également, en 142, le circuit de test par l'intermédiaire du jeu inférieur de balais, tandis qu'en 144 il retire l'une des connections de terre du conducteur 221, qu'en 147 il prépare un circuit pour 1'électro- aimant de rotation 171, et qu'en 148 il complète le circuit pour l'électro aimant vertical 170. Par conséquent, l'électro-aimant 170 a pour effet de faire monter les balais 141 à 146 d'un pas, et, surf les contacts 174, de mettre à la terre le conducteur 219, en actionnant par ce moyen le relais 370.
En 221. ce relais ouvre le circuit pour 1'électro-aimant vertical qui, par consé- quent, se désexcite et ouvre, en 174, le circuit du relais 370 qui par conséquent se désexcite et ferme de nouveau le circuit de l'électro-aimant . Par conséquent, l'électro-aimant 170 et le relais 370 agissent par interaction pour faire avancer les ba- lais du chercheur pas à pas dans le sens vertical jusqu'à ce que le balai vertical 147' arrive sur le contact, qui, dans ce cas,
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est le second du banc vertical, et qui a été mis à la terre au moyen du conducteur 190.
Lorsque ceci se produit, un circuit se trouve complété par l'intermédiaire du conducteur 217, des balais 302 et 366,de l'enroulement inférieur du relais 360 de
357, de l'enroulement du relais 370 et de la batterie, de telle sorte que le relais 370 est maintenu dans sa position de fonc- tionnement et que le relais 360 est actionné en surie avec lui.
En fonctionnant, le relais 360 ouvre en 361 un autre point du circuit de l'électro-aimant vertical 170 et complète un cir-
326, cuit passant par 521/224, 165, 157 et 147 pour l'électro-ai- mant 171 de rotation. Le relais 360 complète également, en 369, un circuit de verrouillage pour lui-même par l'intermédiaire de son enroulement supérieur, tandis,qu'en 366,il ouvre son circuit initial d'excitation en faisant tomber par ce moyen le relais 370.
L'électro-aimant 171 fonctionne alors pour faire avancer les balais d'un pas dans le sens de la rotation, et com- me, sur les contacts 173, il branche le potentiel de la terre sur le conducteur 219, il exerce un effet d'interaction avec le relais 370 de la manière ci-dessus décrite pour l'électro- aimant 170, de telle sorte que le fonctionnement pas à pas se conserve. Comme, telle qu'elle est représentée, la ligne 101 apparaît dans le banc du jeu supérieur de balais 141' - 143'du chercheur 130, et si on suppose qu'aucune autre ligne ,ne procède à un appel à cet instant, la tension de la batterie est appliquée au conducteur 104, et le fonctionnement du cher- cheur continue jusqu'à ce que le contact associé subisse l'en- trée en prise du balai 143'.
Lorsque ceci se produit, la ten- sion de cette batterie se trouve appliquée par l'intermédiaire du conducteur 217, du balai 302, de 366, de 1' onroulement du relais 320, du redresseur 547,de 337 et de la terre. Le relais 320 entre en action dans ce cirduit et ouvre, en 321. un autre point du circuit de l'électro-aimant de rotation, et prépare un,circuit qui passe par le balai 306 et le conducteur 223
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pour le relais 160 associé au jeu supérieur de balais. Ce cir- cuit se .complète lorsque le relais 370 tombe et que le relais 160 fonctionne ensuite.
En 161 et 162, il branche les balais 141' et 142' sur les conducteurs de conversation qui s'étendent jus- qu'au connecteur 215 en 163 il applique la terre depuis 144 sur le balai 143' où il effectue la manoeuvre du relais 110, tandis que sur 169 il ouvre un point du circuit du relais 150, qu'en 164 il complète un circuit de verrouillage pour lui-même, qu'en 185 il ouvre un autre point du circuit de 1'électro-aimant de rotation, et qu'en 166 il.ouvre un point du circuit de l'aimant de chute 172 et prépare un circuit pour la lampe de contrôle' 128.
En fonctionnant, le relais 110 du circuit de ligne 100 complète, en 113, un circuit de verrouillage pour lui-même, et débranche, en 111 et 112, le relais 120 de la ligne. Lors de'la chute de ce relais, la terre qui maintient le relais 110 est appliquée par l'intermédiaire de 122 pour maintenir l'indication d'ocaupa- tion dans le banc du conne@teur et elle est retirée du conducteur 190 et ensuite du conducteur de .démarrage 216 à moins qu'une autre ligne quelconque du groupe envoie un appel à cet instant.
Le fonctionnement du relais 160 a également pour effet, sur 169, d'appliquer le potentiel de la terre depuis 181, et par l'intermédiaire de 185 et 184, au conducteur 222 à partir duquel il s'étend par l'intermêliaire des balais 305 et 333 à l'élec- tro-aimant 301 du distributeur. Ce potentiel de terre a pour effet de manoeuvrer l'électro-aimant et de court-circuiter le relais 350 et également, étant donné que l'électro-aimant ouvre ses contacts d'interrupteur 308, d'ouvrir le circuit d'excitation du relais Par conséquent, à ce moment, il se désexcite et fait tomber en 351 le relais 140 et ouvre, en 353, le circuit de l'électro-aimant 301, qui par conséquent, fait avancer les balais du distributeur d'un pas de telle sorte qu'ils assurent le branchement avec le chercheur suivant.
Si ce chercheur est occupé, le balai 305 rencontre le potentiel de la terre, et il se complète un circuit pour l'électro-aimant, de telle sorte que les balais font un pas de plus.
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Ce processus se renouvelle jusqu'à ce que la balai 305 arrive sur un contact qui n'est pas à terre, à la suite de quoi se produit la présélection du chercheur inoccupé suivant, pour au'il soit prêt à l'utilisation lors de l'acheminement de l'appel sui- vant. La chute du relais 350 fait également tomber les relais 360 et 330, et ce dernier complète de nouveau, en 331, un cir- cuit pour le relais 350 dans le cas où 1 relais 345 est encore excité du fait d'un autre appel demandant à être acheminé.
Si tous les chercheurs du premier groupe désservi par le distributeur 300 veinent à être occupés, toutes les connexions à la terre avec le conducteur 221 sont supprimées, par conséquent le relais 340 cesse d'être excité. Ensuite, en 343, il ouvre le circuit de l'électro-aimant 301 pour éviter un rappel inutile du distributeur dans sa position de repos, tandis qu'en 342 il ou- vre un point d'un circuit qui commande le second groupe de cher- cheurs qui,sera décrit d'une façon plus complète plus loin, et qu'en 341 il fait passer le conducteur de démarrage 216 du relais 345 sur le conducteur 327 qui aboutit au relais semblable au re- lais 345 dans le distributeur 312. On voit que le conducteur 327 qui aboutit au distributeur 312 est branché d'une façon semblable sur un contact arrière du relais 340'.
de telle sorte que, si tous les chercheurs du second groupe viennent à être occupés, la terre appliquée pour faire démarrer le conducteur 215 est ramenée par l'intermédiaire du conducteur 328 pour actionner le relais 345, en admettant qu'il y ait encore d'autres chercheurs inoccu- pés dans le premier groupe. On voit par les connexions avec les bancs verticaux, indiquées d'une façon générale par 191, que les lignes sont inversées en ce qui concerne le premier et le second groupe de chercheurs, c'est-à-dire que les lignes qui ap- paraissent au niveau 10 de l'un des groupes apparaissent au niveau 1 de l'autre et que, d'une façon semblable, les niveaux 9 et 2,8 et 3, 7 et 4, et 6 et 5 se correspondant.
En consé- quence, un chercheur assurant un branchement avec une ligne du
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groupe qu'il dessert normalement n'aura jamais à faire plus de cinq pas verticaux et ne pénètre dans la partie supérieure de son banc , qui comprend les niveaux 6 à 10, que lorsqu'il assu- re l'acheminement d'un appel provenant d'une ligne de l'autre groupe du fait que tous les chercheurs normalement associés à ce groupe sont occupés,
Ainsi que cela a déjà été dit ci-dessus, les chercheurs sont du type à 200 contacts comportant deux jeux de balais, et un examen rapide va être fait maintenant du fonctionnements dans le cas où une ligne apparaissant dans le banc inférieur transmet un appel, Dans ce cas, le balai 146' rencontre la tension de la batterie plutôt que le balai 143',
et cette tension de la bat- terie se propage par l'intermédiaire de 138'142' 226, du relais 325, du redresseur 348 et de la terre jusqu'en 338.
Par conséquent, le relais 325 entre en action et ouvre en 327, un point du circuit de l'électro-aimant de rotation et applique le potentiel de la terre par l'intermédiaire du balai 307, du conducteur 225 et de 169 pour actionner le relais 150.
Oe relais exécute alors des manoeuvres qui correspondent à tous les points de vue à celles qui sont accomplies par le relais 160, sauf que c'est maintenant le. jeu inférieur de balais qui est branchée arriver arriver
Il peut/qu'il se produise des appels simultanés arrivant par dez lignes qui occupent la même position dans les bancs supérieurs et inférieurs, de telle sorte que l'un et l'autre des balais 143' et 146' rencontrent; le potentiel de la batterie. Dans ce cas, les deux relais 320 et 325 s'exiteraient mais un circuit ne serait complété oue pour le relais 160, étant donné que le circuit du relais 130 serait ouvert en 321 par le relais 320.
Par conséquente dans ces circonstances, le jeu supérieur de balais aurait la pré- férence, et l'appel venant par la' ligne qui se trouve dans une position correspondante dans le banc inférieur serait acheminé par le chercheur suivant.
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On peut faire ressortir que les contacts rencontres
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par les ba1aif' 143' et il46' seront inopér'32"11B si la ligne r.' at pas LI'i7 iSE, mas s si la 1 i est L'7.1i WJe, ils sont branchds ::111' la terre, ou bien, ilr peuvent être tre nCh'2S sur li batte- rie de st1T17j)ltage pour, une courte période de temps P()lV1::J.FI; la- quelle s}$(Jcomplit le comptage.
Bien entendu, il est inpn.at.int qu'un C.¯.^.r'r'1.c?t1Z' n'assure 1")[,8 un branchement avec 11uG li511e âàjli ctilisde d;..,nq uro oonucxior par suite de ] 'apparition de la batterie de survoltag'e sur le cant'"et de 1;est, et on ,)vite ce fonctionnement défectueux au moyen des redresseurs 347 et 348 qui ont pour effet que les relais associes 320 et J 15 ne peuvent t de excitas que par un courant circulant dans un seal
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sens donn 03.1' le repérage par Ip batterie, rep"rs7c, qui indi- que la ligne par laquelle arrive un appel.
Il est évident que lorsque les balais 143' ou 146' rencontrent un contact de test branche à la terre, il n'y aucune tendance, de la part des relair ,?0 ou 325, d'entrer en action, puisqu'ils sont court- cirucités.
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Dans ce qui a 6t.$ exposé ci-depsus, or, a sU!J1)os: zizi le chercheur fonctionne normalement, mais il est avantageux de
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prévoir d7's moyens pour 6viter le branchement de l'equipemenc dans le cas où un défaut quelconque se produit. On obtient ce branchement au meuer d'un groupe de relais, prévus dans le dis-
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tributeur, dont l3 l'onctionneoient n'a été ,é1Jcrit jusqu'ici que brièvement. On peut se rappeler que, lors du fonctionnement du relaie 350, un circuit se complète en 356 pour le relaie 379, Ce relais est d'un type muni d'une armature chargée d'un poids et qui continue de vibrer pendant quelques secondes après que
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le courant d'excitation P. été cou'Jé.
Toutefois, r:u5n le relais a été excite, le ressort 376 est maintenti dans une position extrème dans laquelle il entre en contact avec des reports 378 et 379, de telle sorte que le relais 380, qui un léger retard au fonctionnement est excité et assure en 386 un ver- rouillage indépendamment du ressort 379, En 381, il fournit
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un potentiel de terre de maintien pour le reluis 350, tandis qu'en 382 il prépare le circuit de verrouillage du relais 360, qu'en 385 il excite le relais 330 et nuten 387 il applique le potentiel de la:., terre sur le conducteur 204 dans un but qui va ressortir plus loin.
Le relais 330 assure son verrouillage en 336, en 331. il fournit un potentiel de terre supplémentaire pour le maintien du relais 350, en 333 Il fait 'tomber le relais 375, et prépare un circuit pour le raidis 390, et en 337 et 338 il prépare des circuits pour les relais 320 et 325. Le ressort 376 commandé par le relais 375 entre alors en vibration, ce qui a pour Effet que le relais 380 est maintenu excité pendant quel- ques secondes pendent lesquelles le chercheur achève nordalement son fonctionnemert et pendant lesquelles le distributeur tombe de la manière ci-dessus décrite. S'il se produit toutefois un incident quelconque, le relais 380 se désexcite avant que le distributeur soit tombé, et un circuit est alors complété de- puis la terre et par 356, 333,382 , 1'enroulement supérieur du relais 390 et la batterie.
Ensuite, le relais 390 se verrouil le en 392 par l'intermédiaire de son enroulement inférieur, et il allume la lampe de contrôle 309 au moyen du potentiel de la terre fourni par le distributeur 312 par 1'intermédiaire du conducteur 324 qui correspond au conducteur 329 qui relie le distributeur 300 au distributeur 312.
On voit que le potentiel de la terre est par conséquent maintenu sur ce conducteur, à moins due tous les chercheurs de l'autre groupe soient occupés ou due l'autre distributeur produise un incidentLe relais 390 provoque de même en 393 la chute du relais 340, en 394 il retire le potentiel de la terre du conducteur 329, et en 391 il branche le potentiel de la terre à partir de 330 pour actionner l'élec- tro-aimant 301 et pour court-circuiter le relais 350. En con- séquence, ce relais tombe, à la suite de quoi le circuit de 1'électro-aimant s'ouvre en 353 et les balais du distributeur
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avancent d'un pas.
La chute du relais 350 provoque alors la chute du distributeur de la manière ordinaire, mais comme le relais 340 est maintenant désexcite, le potentiel de la terre du conducteur de démarrage 216 est appliqué sur le distributeur 312, de telle sorte que c'est un chercheur de l'autre groupe qui achemine l'appel. L'allumage de la lampe 309 signale à l'opératrice qu'un incident s'est produit dans l'équipement, et aprèsque cet incident a été supprimé, elle actionne momentanément la clef 324 en faisant ainsi tomber le relais 390, et en permettant, lors du rappel de la clef, au relais 340 d'entrer en action à nouveau s'il y a dans le groupe au moins un chercheur inoccupé.
Toutefois, on voit que si tous les chercheurs uu second groupe viennent être occupés, la terre cesse d'être appliquée sur le conducteur 324, par conséquent le relais 390 tombe et remet en servic'e le premier groupe de chercheurs, Il peut alors arriver que le défaut ait disparu de lui-même, auquel cas l'équipement continue à fonctionner normalement, ou bien, de toute façon, le service peut être assuré par les chercheurs qui sont en bon état, et ce n'estpas l'ensemble du système qui est mis hors service.
Si un chercheur ne trouve pas de ligne appelante, par exemple par suite de l'abandon de l'appel après que l'inter- rupteur achevé son mouvement vertical, les balais sont entraînés dans un mouvementde rotation de onze pas, à la suit- de quoi les ressorts 174 se ferment. Ceci a pour effet de provoquer l'application, par l'intermédiaire de LES et 184, du potentiel de la terre sur le cnnducteur 222, ce qai provoque à son tour l'avancement pas à pas du distributeur et la chute des relais actionnés de la manière habituelle.
Si l'appel devait être abandonné avant que l'interrupteur ait achevé son mouvement vertical, il provoque, suivant les circonstances, son intervenLion soit sur le niveau 5, par suite de la présence du potentiel de la terre sur le conducteur 204, soit sur le niveau 10, dont le contact 148' est mis à la terre d'une
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façon permanente. L'interrupteur tourne ensuite jusque dans la onzième position, et la chute se produit de la manière ci-dessus décrite.
Chaque chercheur est muni d'un interrupteur 183 manoeuvrable à la main pour débrancher et mettre hors service le chercheur lorsque cela est nécessaire pour une raison queluonque, On voit que, lorsqu'on actionne cet interrupteur, les ressorts'186 et 187 se séparent, et , de même, les ressorts 184 et185 d'une part et les ressorts 186 et 184 d'autre part entrent en contact. Ceci a pour effet de retirer les conducteurs de terre du conducteur 221 et d'appliquer un potentiel de la terre permanent sur le conduc- teur 222 de manière à marquer le chercheur occupé dans le banc du distributeur et à éviter ainsi qu'il soit désigné pour être utilisé.
Si le chercheur dont il s'agit devait avoir déjà fait l'objet d'une présélection, la manoeuvre de la clef 183 a pour effet de faire avancer le distributeur en vue de sélectionner le chercheur inoccupé suivant.
On voit que le fonctionnement du distributeur 312 est identique en ce qui concerne le second groupe de lignes à celui du distributeur 300 en ce qui concerne le premier groupe de lignes, et qu'il sert à affecter des dispositifs de connexion comme la connexion 70 de la même façon.
Le fait que les différents niveaux soient branchés dans l'ordre inverse dans les chercheurs des deux groupes a déjà été signalé et est indiqué par les croisements des conducteurs 191 assurant le branchement des bancs verticaux.
Ci-après va être décrit le dispositif qui empêche les chercheurs d'avancer au delà du cinquième niveau dans les cas. où cela n'est d'aucune utilisé et pourrait provoquer une fausse manoeuvre. On voit qu'en l'absence de tout dispo- sitifspécial, si un appel, qui déclanche le mouvement d'un chercheur dans le premier groupe, est abandonné avant que l'interrupteur ait achevé son mouvement vertical, l'inter- rupteur avance jusqu'au dixième niveau avant l'intervention
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étant donné qu'il n'y a de marquage sur aucun des contacts précédents du banc vertical.
si, au même instant, un appel commence dans le second groupe de façon à mettreen marche un chercheur dans ce dernier, il peut arriver que le cher- cheur du second groupe atteigne par exemple le niveau ) en même temps que le chercheur du premier groupe atteint le niveau correspondant 8 etqu'ils assurentl'un etl'autre le branchement avec la ligne appelante. On évite cette coïncidence au moyen du dispositif qui comprend les conduc- teurs 203 et 204 qui, on le voit, assurent le branchement avec les cinquièmes contacts des bancs verticaux dans les groupes respectifs et servent à éviter que les chercheurs associés dépassent ces niveaux s'ils n'ont aucune fonction à accomplir daiis la moitié supérieure du banc.
On voit qu'aussi longtemps qu'il y a des chercheurs inoccupés dans le second groupe, le relais 340', qui correspond au relais 340, est actionné etprovoque en 343' le branchement du con- ducteur 204 sur 387 qui est mis à la terre par suite de la manoeuvre du relais 380 pendant qu'un chercheur du premier groupe revient dans sa position de repos. En conséquence, quand un chercheur du premier groupe démarre dans ces consi- tions, le potentiel de la terre est appliqué sur le conducteur 204, de sorte que si le balai 147 ne rencontre, dans le banc vertical, pas de marque due à une ligne appelante, il prélève le potentiel de la terre sur le cinquième contact du banc vertical, ce qui empêche l'interrupteur de dépasser ce niveau.
Comme, du faitque le relais 340' est actionné, il fautqu'il y aitau moins un chercheur inoccupé dans le second groupe, ce chercheur est disponible pour l'achemine- ment de n'importe quels appels dans ce groupe. Toutefois, aussitôt que tous les chercheurs du second groupe sont occu- pés, il ost évidemment nécessaire que les chercheurs du premier groupe puissent opérer une recherche dans le second groupe de lignes, branchées aux niveaux 6 à 10, pour achemi- ner les appels venus par des lignes de ce groupe.
On voit que
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le dispositif est entièrement symétrique et que des consi- dérations semblables s'appliquent au fonctionnement des chercheurs du second groupe qui sont normalement arrêtés lorsqu'ils atteignent le niveau 5, parce que le conducteur 203 est mis à la terre s'il y a des chercheurs inoccupés dans le premier groupe. Aussitôt que tous les chercheurs du prenier groupe sont occupés, la terre est toutefois retirée du conducteur 203 en 343 par la chute du relais 340, et la moitié supérieure du banc est par conséquent rendue disponible pour les chercheurs du second groupe pour l'ache- minement des appels provenant des lignes du premier groupe.
En ce qui concerne l'accomplissement du branchement qu'on a supposé amorcé par l'abonné A, et qui va être briève- ment décrit ci-après, on voit que, lorsque le chercheur utilisé a accompli son fonctionnement, la connexion atteint l'interrupteur connecteur 215 qui renvoie alors la tonalité de sélection pour-;indiquer que le correspondant demandeur peut commencer la sélection du numéro. Il sélectionne alors les contacts ou numéros appropriés pour assurer le réglage du connecteur de la manière habituelle, et, si la ligne désirée est inoccupée, la sonnerie d'appel exerce son action dans cette ligne et l'abonné demandeur perçoit la tonalité de la sonnerie.
Si la ligne est occupée, il reçoit la tonalité d'occupation, et en raccrochant son écouteur il provoque la coupure de la communication, Lorsque le correspondant demandeur raccroche, soit à la fin de la conversation, soit parce qu'il a trouvé la ligne désirée occupée, le potentiel de la terre est retiré, dans le connecteur, du conducteur 118, par conséquent le relais 110 ainsi que le relais 150 ou le relais 160, qui ont été maintenus par ce potentiel de terre, tombent à ce moment. La chute du relais 110 rétablit les conditions normales dans le circuit deligne, et la ligne est alors marquée comme libre dans les bancs des connecteurs.
Dans le cas où. c'est le jeu inférieur de balais qui a été utilisé, la chute du relais 150
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complète un circuit en 158 pour l'électro-aimant de chute 172 qui ensuite ramène l'interrupteur dans sa position normale. En 178, le potentiel de la terre est alors appliqué sur le conducteur 221, pour réaliser l'une des multiples connexions nécessaires à l'excitation du relais340. D'une façon semblable, si c'est le jeu supérieur de balais qu'on a utilisé, c'est le relais 160 qui a été actionné, et, lors de sa chute, c'esten 166 que le circuit de l'électro-aimant de chute 172 a été complété.
Revendications
1. Dispositif téléphonique comportant un groupe de lignes divisé en deux sous-groupes et desservi par deux groupes de chercheurs dans les bancs desquels les sous-groupes de lignes apparaissent dans un ordre inverse de celui des deux groupes de chercheurs, chaque interrupteur ayant accès à toutes les lignes des deux sous-groupes, mais n'étant mis en action que par un appel provenant d'une ligne du sous-groupe apparaissant dans la première moitié de son banc, caractérisé en ce qu'on pré@oit des dispositifs de verrouillage évitant à un chercheur de l'un ou de l'autre groupe de sortir de la première moitié de son banc tant qu'il y a des chercheurs inoccupés disponibles dans l'autre groupe.