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>f Dispositif de freinage automatique de sécurité commandé par le pare-ehoes pour automobiles et autres véhisules." La présente invention a pour ob jet des dispositifs de sé-
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aurifé provoquant automatiquement l'application des freins dans les automobiles et autres véhicules en toute sirsonstanae anor- 'mâle ou dangereuse, de manière à éviter, dans la mesure du poissible, les-acoidents oi à en limiter les aonséquel2ex,
Suivant la présente invention, l'application automatique des freins dans des voitures automobiles, autobus, motos, tram-
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ways e#o , est réalisée soit sous la eommande du pare-choos à la rencontre d'un obstacle, passant, objet sur la route ou au-
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tret soit sous l'aation d'une commande de secours placée à portée des passagers.
Dans le premier -as, l'application des freins est accompagnée automatiquement de l'interruption du courant dans tous les oirwuits de la voiture, y compris ceux de la ma- gnéto, des bougies, etc,, et de l'allumage d'un signal auxiliai-
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re de position, de manière à éliminer tout risque d'incendie
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du chef des iru1ts électriques de la voiture, tout en main- tenant un signal pour prévenir les collisions par des voitures survenant à l'arrière.
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Suivant l'invention le Pare-cho-.s est mobile sur ses supè ports et peut être facilement repoussé par un obstacle. Dans ce mouvement il provoque le clêolenahement d'un dispositif sapable de mettre les freins en a3tion, indépendamment de la commande du 30ndul1teur. Un tel dispositif eonsiste par exemple en un ressort normalement tendu et dont le dëelenshement pro- voque le déverrouillage et la détente. Les organes ainsi mis
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en mouvement actionnent un interrupteur gèlerai du etrouît é- letrique, y compris celui d'allumage du moteur, et le eontaeteur d'allumage du ou des signaux auxiliaires de position.
Un dispositif de déclenchement semblable et agissant de
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la a3ne manière est plasé sous la dépendance d'une commande de se=ours mise à portée des passagers,, Dtailleurs, l'invention sera désrite en¯dé'3T. ci-dessous avea référence aux figures du dessin annexer lesquelles représentent sehémati qu ement et à titre d'exemple non limitatif, une forme de réalisation de l'invention.* f iga re lui vue latérale des dispositifs de dé elen ehement dépendant du pare-ehots; figure 2: vue latérale et coupe partielle des organes de manoeuvre des freins et d'interruption des aira'nits,,
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figure 4: vue de dessous des organes de comman.de automatique.
Lfappli3ation Envisagée se réfère à une voiture munie dun frein du type hydratllique; .'est-à-dire dans lequel 17a*tion de la pédale de commande 1 est transmis e à. un piston ! dans un cylindre 3 plein d'un liquide dont la pression est transmise aux différents freins des roues ou au frein sur un élément de la transmission par des Banalisations 4, Suivant la présente in..
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veut ion, la liaison entre te pédale 1 et le pis ton 2 est rendue 3ndireet.
, eet effet la tige 5 du piston est façonnée dans une .ou1isse (> et présente un prolongement 7 terminé par
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un butoir 8, Le contre-levier 9 de la pédale 1, convenablement
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profilé, s'engage dans la coulisse 6 à l' extrémité de laquelle
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il prend appui, de sorte que l'action normale du conducteur sur
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la pédale se transmet directement, par la tige 5, au piston s.
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Toutefois on se rend compte immédiatement qu'une action exer-
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ode sur le butoir 8 peut de la m'orne manière provoquer l'enfoncement du piston a dans le cylindre 3 et l'application des freins, sans que eependant la pédale soit déplacée.
Le butoir 8 est disposé de manière à pouvoir re-aevoir l'action de deux
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tiges de poussée, l'une mise sous la dépendance du pare-chocs. l'autre sous la dépendance de la commande de se.-ours. il doit d'ailleurs 'être bien Entendu que l'invention ne comporte pas néeessairement la simultanéité des deux dispositifs d'application automatique des freins, mais que l'on peut, à volonté, disposer séparément du déclenchement automatique par le pare.
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ehocz, du cléolenehement automatique par la #omraande de secours,
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ou des deux simultanément,
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on déduira aisément de la des c1:
iption ci-dessous, relative â, .a simultanéité de ees dispositifs, les dispositions d'un frein automatique à une seule de ses deux commandes, ch82'une des tiges de poussée 12. 1, capables à'agir sur le butoir 8* est guidée dans les fonds 11 d'enveloppes eylînclriques 18.
Ses enveloppes cylindriques la* qui peuvent d' ail1 eurs être ré-
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alisées de toute manière appropriée, et présenter toute forme
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ou tout mode de construction onvm.able pour 1.fapplication envïsagde.sont rigidement êcintées sur le eligesis de la voiture et contiennent ehaeune un ressort 13% agissant sur un 2011et, un plateau ou un épaulement 14$ ealé sur la tige de poussée 1,, La puissanoe du ressort 7,3, est naturellement déterminée
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de manière à pouvoir réaliser l'applieation des freins dans
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les meilleures aonditions clreffiaatité, On peut en outre intersaler en un point convenable un ressort, un dashpot ou un
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autre amortisseur pour éviter une action brutale.
Normalement les ressorts 13 sont maintenus comprimes et les tiges de pous
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-sée enelenahées dans la position 8orrespondante.. Dans ces
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conditions, les mouvements normaux du frein sont totalement indépendants des dispositifs de manoeuvre automatique. La tige de poussée dépendant du pare-ehoas, est maintenue enclenchée
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par un levier à croahet 15 articulé dans un point fixe du châssis et qui est relié par tm sable ou une shalne ou un lien équivalent 16. convenablement guidé, par exemple par un tube l ou des poulies de renvoi ou des dispositifs équivalents, Le même dispositif est appliqué à ehaeun des supports du pare-ehors et est organisé pour que le déelenthemetrt de l'un seul drentre
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eux suffise à provoquer Inapplication des freins.
Le levier 15
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porte latéralement un crothet la qui est normalement engagé dans le rebord annulaire 19 présenté par un eollet 0, solidaire du pare-ehots; par exemple, le eollet 30 est formé à l'ex... trêmité clrun manehon cylindrique 1 guidé sur les supports cy.. lindriques 88 du pare-ehocs et supportant les lames' du parecho--s proprement dit 23. Le manehon al est normalement repoussé vers l'avant par un ressort de rappel 34: ou par un tampon en saoutshous, et2.e prenant appui sur la tige de support 22. ce
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ressort sera suffisamment léger pour que le déclenchement du
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frein puisse se faire méme à la rencontre âTun obstacle peu r6sistant: enfant, animal, objet relativement léger sur la route, et3..
Un peut également, suivant les nésessitésde l'appli- 3ation, remplacer le levier 15 par un dispositif qui en augmen-
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te la puissance; par exemple, on amènera le sable 16 à s'enrou-
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ler sur un tarnsour solidaire d'une roue à ro3he. maintenue par un aliquet et actionnée par un levier suivant un mouvement de
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ra0cagnac .Le déclenchement/agit sur le eliquet pour libérer
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le tambour d'enroulement du sable et la remise en tension du
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ressort 1 et ea2ilitêe par le méeanisme de rassagnac.
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L'examen de la figure montre immédiatement que lorsque
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le pare-ohoes *a est repoussé, le rebord 19 se dégage du -ro-
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chet 18 et libère le levier 15.
comme le point d'attache du
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câble 16 sur ee levier est disposé suffisamment excentriquement au point 4'articulation de 0elui...ei. et étant donnée la tension du ressort 16, le déplacement de la tige de POUSSde 10 peut avoir lieu instantanément dès que le levier est cléarochê et â,te.rrin,er lrapp1ication des freins. Le desserrage des freins ne peut être exéeuté qu'yen agissant sur le levier 15 et en le ramenant dans sa position d'enslenehement. Par ioniséquent. le Qond:t1eteur d'un vêhio-ale qui a renversé ou accroché une personne, doit nécessairement sfarrmer par suite de
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1'application automatique des freins et il ne peut repartir
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qu'après avoir éventuellement porté secours â, l'aecidenté et
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avoir dégage ses freins en agissant sur le levier 15 à l'avant de sa voiture.
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En outre, pour prévenir tout risque. d-1 ine enclie d.11' à une détérioration des eireuits éleetr-tques de la voiture, par exem .*ple en cas de collision, ainsi que pour profiter du fait qu'un
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moteur d'automobile usu el dont l'allumage est interrompu freine énergiquement, on peut faire commander par le dispositif auto.. matique un interrupteur général disposé au voisinage des son'-
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dueteu rs de sortie du générateur de courant, batterie, magnéto,, dynamo, eta.
, Un tel interrupteur peut par exemple comporter une pièce &5 solidaire de la tige .de poussée 1D et qui, dans
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sa position normale ou enclenchée, maintient au contact les
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pièces métalliques ài6 dun interrupteur interoalé dans les son-
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dueteurs de départ de la batterie, Toutefois, eomme cette in-
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terruption générale provoque instantanément l'extination des appareils à i é a la irag e, s'ils sont 61e a triqu es , on prévoit un
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de se--ours signal e position ou d'arrêt 28, alimenta par une petite bat- terie d'accumulateur ou une pile de secours :indépendante 29 et allumé par la fermeture d'un interrupteur 27.
L'interrup- teur 27 comporte une pièce lastique ou rappelée élastiquement
30, présentant une rampe oblique; un galet ou une pièe équi- valente 31 est monté sur un support 32 solidaire de la tige de poussée 10 et est capable d!agir sur la rampe inclinée de la pièce 30, pour provoquer la fermeture du eireuit du signal de position ou d'arrêt 28, lorsque la tige 5 est déplacée par l'applieation des freins.
On prévoit avec avantage non seule- ment un signal arrière avertissant les véhicules suivants, mais aussi une lanterne clavent capable d'éclairer, le cas échéante le lieu de l'accident,
D'autre part, une deuxième tige de poussée 10' est placée sous la dépendance d'un ressort 13' semblable au ressort 13 et disposé dans le deuxième logement 12.
Cette tige est norma- lement enclenchée par un dispositif tel que celui représenté au dessine Un sable 33,ou un lien équivalent, est attaché à l'extrémité de la tige 10' et est conduit, par des renvois appropriés, jusqu'au dispositif de déclenchement proprement dit, Celui-ei eomporte une boite fixe 34, dont le bord est rabattu en forme de bride et présente une série de'logements ou de trous convenablement espaeés. Dans la boite cylindrique 34 est montée une bobine ou un tambour 35 sur laquelle le cible.
33, qui pénètre dans la botte par une tubulure 36, peut s'en- rouler, ce tambour est solidaire du couvercle de la 'boite ou d'un bras mobile ou d'un organe analogue, et peut être mis en rotation au moyen d'une manivelle venant se placer sur l'extrémité carrée de l'axe du tambour 35.
De la sorte il suffit d'agir, au moyen de eette manivelle,sur le tambour 35 pour y enrouler le càble 33 et tendre le ressort 13'. Lorsque .la position normale est atteinte, une cheville 37 est insérée dans deux trous correspondants, du couvercle et du bord de la botte
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34. ou devant le bras mobile. de manière à empêcher le retour en arrière du tambour, cette cheville est munie d'une poignée ou d'un dispositif de prise en main quelconque$ de manière à pouvoir *être aisément arrachée par le passager qui veut
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aationner le frein. ee qui libère évidemment le tambour et per- met la détente du ressort 13.
Dans des autobus et autres véhicules de transport en commun, on'peut prévoir une commande telle que chaîne ou autre, disposée à portée de tous les passagers
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et permettant à'arragher la cheville 37. L'a--tion de ceux-ci sur cette poignée a dona pour effet de déclencher la tige Mi et de provoquer l'applioation des freins tout en 20ppant l'al- lumage du moteur, Cette disposition est avantageuse notait
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pour permettre à des passagers qui uonstatent à un moment donné que le conducteur conduit le véhicule d'une manière dangéreuse, ou dont l'un se trouve indisposé, d'a rrêter le véhieule indé-
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pendamment de la volonté de ce ond1)cteur.
Dans la forme préférée de réalisation de l'invention, le dispositif automatique d'application des freins par la commande de secours des passagers, ne provoque pas 1. interruption gêné- rale des circuits de la voiture, mais seulement celle de l'allumage du moteur et peut cependant provoquer l'allumage du si- gnal de position ou d'arrêt 28.
Les dispositions ei-dessus décrites de l'invention ne con- stitu ent évidemment qu'un exemple concret destiné à fixer les idées, mais ne sont nullement exclusives des autres modifica-
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tions dérivant de la méme idée inventive. On se rend imméd3a- tement compte par exemple que e ell e-e i n'est pas altère si l'on fait travailler les ressorts 13 à traction au lieu de compression ou si l'on fait travailler les tiges de commande 10
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par trayon ou par eompres Sion. Ces variantes seront essentiellement çlètermïnëes Par les ai t'00nstanees de 1 Tappliati0n sur un véhicule donn.
De r'me, le déclarent tel qU'il a 4tê dê#rit peut titre remplaeé par d'autres formes de déclenche-
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ment telles que le dthlm&1iement au moyen d'un éleetro-aimant auquel le courant est admis lors de la fermeture d'un <tirsuit eomprenant des --ontaets commandés par le pare-ehoes. Ce courant est ensuite interrompu par l'interruption générale
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des circuits effectuée par l'interrupteur 86, D'sutres agents de transmission, tels qutun fluide comprimé, air, eau, huile etc., peuvent également''être utilisés pour provoquer le dé-
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alenshement.
Par exemple, le pare-ehoes peut refouler un piston dans un cylindre contenant de l'huile dont la pression se transmet à un organe de clé2lenthement approprié. cette cas nalisation peut en m'eme temps @tre reliée à la canalisation: générale d'un frein hycLraulique,cLe telle sorte gutun tho2 ou un effort exercé sur le butoir 23 ne provoque pas seulement le déclenchement des organes de poussée 13 et 10, mais crée simultanément,ou légèrement avant, une mise en pression des canalisations du frein et l'application instantanée des segments ou des sabots, Dans ce cas il est utile de prévoir un crochet de retenue ou un organe équivalent main.tenant le butoir dans la position déprimée qu'il a acquise par le choo, de façon que le surpression ainsi créée se maintienne pen- clant l'application des freins.
Des dispositions équivalentes peuvent être adoptées pour l'utilisation de l'air ou d'un gaz comprimé.
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Les nouvelles dispositions fournissent aux véhi ules automobiles et autres, une sécurité qui n'avait pas encore été réalisée actuellement et se aaraC!té.r1sent par leur simplicité de sonstru'3tion ainsi que par la facilité avec laquelle elles sont adaptables sur des véhicules existants et à des systèmes de freinage de toute nature. de sécurité
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Le frein automatiqu ensuivant la présente invention est également susceptible dfffriter de nombreux accidents dûs éventuellement à un manque de sang-froid du conducteur non seul lement en permettant l'intervention opportune d'un passager,
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mais encore par son aation d3reete lors de la ren:3ontre drun obstacle et du butoir. En m'orne temps la aértitucle de son fonctionnement est de nature à augmenter la sûreté de ma-
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noeuvre du eonducteur.
Le nouveau frein automatique peut aussi trouver une application avantageusedans les wagonnets de mines et autres qui sont fréquemment appelés à être lancés sur des plans in-
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elinés sans étre aoeompagnés d'un sondusteur et dont on peut obtenir l'arrêt en disposant par exemple une butée à un endroit déterminé de la volet butée dont la rencontre détermine
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l'a'ppliaat1on des freins et qui. <Bede ensuite élastiquement par le passage de la rame,, R e V end i 0 a t ion s.
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