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Rideau de faible encombrement pour la fermeture de passages.
L'invention s'applique à l'obturation de passages dans lesquels se pose notamment un problème de gabarit.
L'installation d'un rideau d'obturation qui soit résistant, étanche et anti-feu est souvent impossible dans des cas, tels que car-ferry ou parking, où toute saillie sur toute la largeur du plafond ou sur les parois latérales réduit le gabarit de passage des véhicules sur, toute la surface d'utilisation. La présente invention a pour objet de remédier à cet inconvénient et elle propose à cet effet un rideau d'obturation qui, tout en étant d'une grande résistance à la pression hydrostatique et aux chocs et pouvant assurer une excellente étanchéité, ne tient en position ouverte qu'un minimum de place.
Selon l'invention, le rideau comprend une succession d'éléments en tôle mince de forte inertie constitués chacun par un profilé comprenant une large âme centrale et au moins à une extrémité un renfort faisant un angle avec ladite âme, les profilés présentant des liaisons articulées et étant conçus en position d'ouverture du rideau pour s'emboîter les uns dans les autres avec un encombrement minimal et se placer dans un logement d'une paroi du local et, en position de
ermeture, pour se déployer en travers du passage, lesdits profilés pouvant être équipés d'organes d'étanchéité assurant automatiquement l'étanchéité entre eux dans la position déployée du rideau, et des moyens d'étanchéité pouvant être prévus pour assurer l'étanchéité du rideau sur les côtés de celui-ci, alors que des organes d'actionnement assurent la manoeuvre du rideau pour passer de sa position d'ouverture à sa position de fermeture et inversement. Les profilés constituant le rideau selon l'invention peuvent avoir un profil en L, la partie de renfort étant pratiquement perpendiculaire à l'âme du profilé, et une charnière est disposée dans l'angle du profilé en étant reliée à l'extrémité de l'âme centrale du profilé précédent. Selon d'autres formes d'exécution chaque profilé peut présenter aux extrémités de l'âme centrale deux renforts sensiblement perpendiculaires à cette âme et dirigés soit dans le même sens (profilé en U), soit en sens inverses (profilés .en Z), une charnière reliant ensemble les renforts adjacents de deux éléments successifs.
Pour sa fermeture, le rideau se déplace de haut en bas, ce qui permet une manoeuvre d'urgence par son propre poids, et ses éléments présentent des dimensions décroissantes de façon que les éléments inférieurs, exposés à la pression hydrostatique ou aux chocs (de véhicules par exemple), soient plus résistants.
Le dispositif utilise avantageusement deux parois latérales inclinées, avec des supports inclinés qui servent de verrous. L'étanchéité est assurée par la pression du rideau sur les joints portés par les parois latérales, due à l'inclinaison des joints par rapport au déplacement du rideau. Cette étanchéité peut être complétée par un dispositif d'application du joint, par gonglage ou par déplacement de la paroi support. Ce déplacement de la paroi peut avoir une amplitude suffisante pour la ramener à la verticale afin de disposer du passage maximum.
Pour bien faire comprendre le rideau selon l'invention on en décrira ci-après, à titre d'exemples sans caractère limitatif, plusieurs formes d'exécution préférées en référence au dessin schématique annexé dans lequel : la figure 1 est une vue en coupe verticale d'une première forme d'exécution d'un rideau selon l'invention, constitué d'une succession de profilés à section en L et dont le mouvement d'ouverture ou de fermeture s'effectue verticalement ; la figure 2 est, à plus grande échelle, une coupe verticale prise selon la ligne II-II de la figure 1 et montrant le système de verrouillage au sol du dernier élément du rideau ; la figure 3 est une vue de détail montrant la réalisation de l'étanchéité entre deux éléments successifs du rideau de la figure 1 ; la figure 4 représente, en variante, un dispositif de paroi latérale à déplacement transversal assurant l'étanchéité latérale du rideau ; la figure 5 est une autre variante, montrant un système de positionnement automatique des éléments du rideau au cours de la descente ; la figure 6 est une coupe horizontale prise selon la ligne VI-VI de la figure 5 ; la figure 7 est une autre variante montrant un dispositif reprenant les efforts horizontaux appliqués perpendiculairement au rideau ; la figure 8 est une coupe horizontale prise selon la ligne VIII-VIII de la figure 7 ; la figure 9 est une autre variante d'un système de reprise des efforts appliqués à un rideau constitué de profilés à section en L ; la figure 10 est une vue en coupe verticale d'une seconde forme d'exécution du rideau selon l'invention, constitué d'une succession de profilés à section en U ; la figure 11 est une vue de détail montrant la
réalisation de l'étanchéité entre deux éléments successifs du rideau de la figure 10, dans la position déployée de ce rideau ; la figure 12 est une vue en coupe verticale d'une troisième forme d'exécution du rideau selon l'invention, constitué d'une succession de profilés à section en Z ; la figure 13 est une vue en coupe verticale, avec arrachement partiel, d'un rideau déployé entre des appuis latéraux obliques ; la figure 14 est une coupe verticale prise selon la ligne XIV-XIV de la figure 13 ; et la figure 15 est une vue en plan des figures 13 et 14 . Le rideau d'obturation représenté à la figure 1 est suspendu au plafond 1 du passage à obturer et il est conçu de façon, en position ouverte, à n'occuper qu'un encombrement minimum en se logeant entièrement entre deux poutres 2 du plafond. Ce rideau est constitué d'une succession d'éléments métalliques profilés en tôle mince de forte inertie à section en L comprenant une large âme centrale 3 et, à une extrémité, un renfort constitué par une semelle 4 pratiquement perpendiculaire à l'âme 3. Les éléments successifs sont reliés entre eux par une charnière 5 disposée dans l'angle .du profilé et qui coopère avec, 1'extrémité de l'âme 3 du profilé précédent. La suspension du rideau au plafond 1 est obtenue au moyen d'un panneau vertical fixe 6 disposé entre les poutres 2 et parallèlement à celles-ci, et à la base ce panneau fixe 6 est articulé par une charnière 7 le bord supérieur d'un volet pivotant 8 dont la base s'articule sur la charnière 5 équipant le premier élément du rideau. On comprend que, en position de fermeture, les éléments successifs se déploient sous l'action de leur poids jusqu'à ce que le dernier élément 11 engage le plancher 12 du local (position en trait plein de la figure 1) . En position
d'ouverture (représentée en trait pointillé en haut de la figure 1) les éléments du rideau s'emboîtent en occupant un minimum de place. Les éléments du rideau sont de dimensions décroissantes, les éléments inférieurs (exposés à la pression hydrostatique et aux chocs) étant de plus grandes dimensions donc plus résistants.
Comme on le voit " aux figures 1 et 2, l'étanchéité du dernier élément 11 du rideau avec le plancher 12 est obtenue par un joint à compression 13 fixé au moyen d'un fer plat 14 à la base de la face extérieure de la semelle 4 de ce dernier élément. Le serrage du joint 13 sur toute la largeur de l'élément 11 s'effectue par un système analogue au système connu de prise des coins de conteneurs, comprenant des verrous tournants 15 portés par l'élément 11 et s ' engageant dans des. pots 16 encastrés de place en place dans le plancher 12. Chaque verrou 15 est équipé d'un ressort 15' le maintenant en position verrouillée, alors qu'ils sont reliés ensemble par une tringle 17, elle-même reliée à un organe de manoeuvre (non représenté) dont 1 ' actionnement amène simultanément les verrous 15 dans leur position de déverrouillage. Pour une bonne compréhension du fonctionnement on a représenté, à la figure 2, le verrou de gauche en position verrouillée et le verrou de droite en position ouverte. On comprend que le serrage de l'élément inférieur du rideau contre le plancher et le verrouillage de cet élément dans cette position pourraient être obtenus par d'autres moyens appropriés, par exemple des crochets pivotants. L'étanchéité entre deux éléments successifs du rideau est obtenue, comme représenté à la figure 3, au moyen d'un joint à compression 18 fixé au moyen d'un fer plat 19 à la face interne de la semelle 4 de chaque élément, au niveau de la charnière 5. Dans la position déployée de l'élément, position en trait plein de la figure 3, le joint 18 est comprimé par l'âme centrale 3 de l'élément précédent du rideau, e n assurant
l'étanchéité sur toute la largeur de la liaison entre les deux éléments. A la partie haute la liaison entre le premier élément 9 du rideau et le volet 8. comprend le même type de joint. En position fermée, l'étanchéité verticale sur les côtés du rideau (voir figure 1) est obtenue au moyen d'un joint gonfable 20 disposé, de chaque côté, dans un logement 21 de la paroi verticale 22 et épousant tous les contours des profilés constituant le rideau. Sans sortir du cadre de l'invention on pourrait, au lieu d'un joint gonflable, utiliser un joint compressible qui, au repos, ferait saillie sur le chemin des bords d rideau.
En variante, pour éviter l'usure de ce joint compressible, on a prévu à la figure 4 un élément de paroi verticale 23 portant le joint d'étanchéité 18'. L'élément de paroi 23 peut se déplacer, à l'aide d'une ou de deux charnières, pour venir dans la position représentée en trait pointillé où le joint 18' est dégagé. Ce léger déplacement est effectué par un vérin 24 agissant sur un jeu de biellettes 25, 26 procurant un auto-verrouillage (position fermée).
La manoeuvre de relevage du rideau s'effectue, à chaque extrémité latérale du rideau, par deux chaînes 31,
32 dont la première est reliée à la partie basse du dernier élément 11 du rideau, dans la position de fermeture de celui-ci et dont la seconde est reliée à la partie haute dudit dernier élément. Les chaînes 31,32 sont tractées par des tambours, respectivement 33,34, qui sont logés dans l'espace déterminé entre les poutres 2 et qui sont entraînés en rotation par un moto-réducteur 35. Au début de la manoeuvre de relevage, le tambour 33 amène le dernier élément 11 dans sa position horizontale représentée en trait pointillé en A à la figure 1. Sur le tambour 34 la chaîne 32 a une longueur et un point d'attache tels qu'elle ne commence à agir que lorsque le dernier élément 11 est à l'horizontale. L'action des deux tambours assure alors l'élévation en position horizontale dudit dernier élément puis l'emboîtement successif des
éléments en position horizontale jusqu'à la position d'ouverture représentée à la partie supérieure de cette figure. Le guidage des éléments du rideau, au cours de la manoeuvre de relevage ou de descente, est assuré par des glissières 36, 37 portées par les parois latérales 22 et avec lesquelles coopèrent des galets, respectivement 38, 39, portés à ses deux extrémités par le dernier élément 11 du rideau. Ce guidage permet de limiter l'encombrement dû aux oscillations du rideau en cours de manoeuvre. On remarquera que la chaîne 31 reliée au dernier élément 11 du rideau peut, au début de la traction qui lui est appliquée par le treuil 33, provoquer le déverrouillage des verrous pivotants 15 en étant reliée, par l'intermédiaire d'une biellette pivotante 40, à la tringle 17 (voir figure 2).
Au cours de la descente du rideau, les éléments du rideau se positionnent par 1'arc-boutement des semelles 4 sur les âmes 3 de chaque élément. Toutefois, pour éviter que cet arc-boutement fatigue anormalement les charnières 5, on utilise des chaînes de calage 41 reliant ensemble des taquets 42 portés par les semelles superposées de deux éléments de rideau (voir figure 1).
Aux figures 5 et 6 on a représenté une variante du dispositif assurant, au cours de la descente, un bon positionnement des éléments de rideau ainsi qu'un soulagement des efforts sur les charnières 5 des éléments. A cet effet on installe, sur la paroi latérale fixe 22, des supports 43 sur lesquels des taquets 44 portés par les semelles 4 des éléments de rideau viennent prendre appui lors de l'opération de fermeture. A chaque support 43 est associé un élément saillant 45, également porté par la paroi 22, qui agit sur le taquet 44 pour lui impartir un mouvement de rotation et l'obliger à venir s'appliquer exactement sur le support 43. Sur les figures 5 et 6 est représentée la paroi latérale pivotante 46, articulée en 47 et qui porte un joint de compression 48 (représenté en trait plein en position d'étanchéité à la figure 6) dont la largeur correspond à l'encombrement latéral du rideau.
Si les efforts horizontaux perpendiculaires au rideau sont très importants ils peuvent être repris, comme représenté en variante aux figures 7 et 8, par deux panneaux complémentaires en dents de scie 49,50 articulés par des charnières 51 à la paroi latérale verticale 52. Les panneaux 49, 50 sont disposés de part et d'autre du rideau, dans sa position ermée, de façon à servir d'appui aux parties articulées de celui-ci. Les panneaux articulés 49,50 s'ouvrent en cours de manoeuvre, en venant dans la position du panneau 49 représentée .à la partie de gauche de la figure 8, et ces panneaux se referment (position représentée à la figure 7 et à la partie de gauche de la figure 8) lorsque le rideau est ouvert ou fermé, manoeuvre effectué par un dispositif à bielle 55 et vérin 56. A la figure 8 on a représenté l'élément de paroi latérale pivotant 54 portant le joint d'étanchéité 53, celui-ci étant d'une largeur correspondant à celle d'un élément dé panneau. Le joint 53 est représenté en position d'étanchéité à la partie de droite de la figure et en position dégagée la partie de gauche de cette figure, la manoeuvre s'effectuant par un dispositif à une seule charnière du type décrit à la figure 4.
En variante, comme on l'a représenté à la figure 9, la reprise des efforts horizontaux perpendiculaires au rideau est réalisée en plaçant aux extrémités latérales des éléments du rideau des décrochements 57 qui sont de dimensions croissantes pour ne pas gêner l'emboîtement des éléments du rideau lors de l'ouverture. Les décrochements 57 correspondent à des butées 58 ou à des logements 59 portés par la paroi latérale fixe 60. Sur cette figure le rideau est représenté en cours de relevage et, pour la clarté du dessin, on n'a pas représenté le système à chaînes et treuils assurant ce relevage.
En référence à la figure 10, on a représenté une seconde forme d'exécution d'un rideau selon l'invention constitué d'une succession de profilés à section en U comprenant une âme centrale 3' terminée à chaque extrémité par une semelle 4' formant renfort orientée à 90°. La semelle 4' d'un élément du rideau et celle de l'élément
suivant sont reliées par une charnière 5' leur permettant de se déployer en position fermée (position représentée en trait plein à la figure 10). L'âme centrale 3' et les semelles 4' des éléments du rideau sont de longueur croissante en allant du premier au dernier élément, pour permettre, en position d'ouverture, l'emboîtement des éléments*avec un encombrement minimal (position en trait pointillé de cette figure). Comme représenté sur la vue de détail de la figure 11, l'étanchéité entre deux éléments
•10 successifs du rideau est obtenue par une bande souple 61 fixée, au moyen de fers plats 62, sur les faces en regard des semelles adjacentes 4' de deux éléments de rideau successifs, de part et d'autre de la charnière 5' reliant ces deux éléments. Sur la figure 11 on a représenté en
15 trait pointillé les deux éléments de rideau dans leur position d'emboîtement.
A la figure 10 on n'a pas représenté, pour la clarté du dessin, les systèmes d'étanchéité au sol du dernier élément, mais ceux-ci peuvent être identiques à
20 ceux décrits en relation avec la forme d'exécution de la figure 1. Le dernier élément du rideau porte à chaque extrémité, par l'intermédiaire d'un gousset 63, deux galets 64,65 écartés l'un de l'autre, situés en porte-à-faux vers l'extérieur et qui sont alignés dans une
25 direction perpendiculaire à l'âme centrale 3' de ce dernier élément. Dans la position de fermeture du rideau représentée à la figure 10, le galet supérieur 64 est engagé dans la partie rectiligne d'un rail de guidage vertical 67 alors que le galet inférieur 65 coopère avec
30 l'extrémité inférieure coudée 68 du rail 67. Un câble 69 relie le dernier élément du rideau à un treuil 70. Lors du relevage du rideau, le début du déplacement du galet 64 dans le rail vertical 67, sous l'effet de traction du câble 69 provoque un pivotement du dernier élément dans le
-zc sens horaire jusqu'à ce que le galet inférieur 65 s'engage à son tour dans la partie rectiligne du rail, ce qui correspond à une position horizontale de l'âme centrale 3' du dernier élément. La continuation du relevage provoque alors la montée du dernier élément en position horizontale
et le repliage successif des éléments suivants à l'intérieur de celui-ci, jusqu'à la position totale d'ouverture représentée en trait pointillé.
A la figure 12 on a représenté une autre forme d'exécution du rideau selon l'invention, dont chaque élément est constitué par un profilé à section en Z dont l'âme centrale 3" se poursuit à ses deux extrémités par deux semelles de renfort 4" qui lui sont pratiquement perpendiculaires et orientées en sens inverses. La semelle
-j0 4" d'un élément est reliée à la semelle adjacente 4" de l'élément suivant par une charnière 5". Sur cette figure on a représenté en trait pointillé la position relevée du rideau dans laquelle les éléments emboîtés présentent une inclinaison permettant un encombrement minimum. Pour la
*t simplification de la figure, ^es moyens d'étanchéité n'ont pas été représentés, mais ils pourraient être ceux représentés à la figure 3 ou à la figure 11.
Aux figures 13 à 15 on a représenté le cas où le rideau présente une forme trapézoïdale pour réaliser
20 l'obturation entre deux appuis latéraux obliques fixes permettant de réduire l'usure des joints à compression lors de la fermeture du rideau. Pour permettre la reprise des efforts et le positionnement vertical du rideau, chaque appui latéral oblique 76 est alors pourvu de
25 supports 77 disposés en marches d'escalier inclinées et
- comportant chacun un logement 78 destiné à accueillir un plot 79 porté par la ace extérieur de 1'âme centrale 3 de l'élément de rideau destiné à venir en appui. Lors de la descente du rideau, le premier élément relié au plafond
30 viendra obligatoirement à sa position correcte, la liaison articulée 80 au second élément venant en appui sur la seconde marche 77 et le plot 79 s'engageant dans le logement 78 de la première marche. Par rotation autour de la liaison articulée 80 ainsi immobilisée, la partie de
35 liaison 81 entre le second et le troisième éléments vient également obligatoirement dans sa position correcte et s'immobilise sur la troisième marche 77 par le plot 79 venant dans son logement 78 de la seconde marche, et ainsi de suite jusqu'à la descente complète du rideau. Le joint
élastique 82 porté par l'appui oblique, pour une meilleure représentation duquel on a figuré des éléments de rideau partiellement arrachés sur les figures 13 et 14, suit la forme des profilés constituant les éléments du rideau et des plots 79.
On comprendra que, pour une meilleure compréhension de la figure 15, le rideau d'une part et l'appui à éléments de support obliques d'autre part ont été représentés écartés l'un de l'autre mais que, en réalité, ces deux éléments se trouvent superposés.
On comprendra que la description ci-dessus a été donnée à simple titre d'exemple, sans caractère limitatif, et que des adjonctions ou des modifications constructives pourraient y être apportées sans sortir du cadre de l'invention définie par les revendications qui suivent.