LU83836A1 - Procede et appareil d'emballage - Google Patents

Description

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La présente invention concerne un proeéia et ün appareil pour réaliser ces emballages.

Il est connu, dans le dcrr.aine de 1! a.rbal-2 âge d'objets dans ces pellicules de ratière plasti-5 que flexibles, de faire le vide à l'intérieur de 1'emballage pour améliorer la curée de conservation du produit emballé et pour conférer un bel aspect à : 1'emballage. Il est égalèrent connu d'améliorer l'aspect de l'emballage scellé et, à cet effet, on * 10 utilise une pellicule therniorétrécissable (c'est-à- dire orientée) comse enveloppe pour 1'emballage et. on soumet 1'emballage scellé et vide d'air, dans un bain d'eau chaude ou dans un tunnel à air chaud, après scellement, à une opération ce rétréci sseisent f 5 cil C CUrS C 3 Z r-OCeZ-Z 3 Ί H OO J Z CU Γ 3 O ~ ΓΓ 3 V Z 3 d3. 5c- ^ __ _ c - . V. -! J- . . _ - . / ^ v _ 1 _ ?. _ _ T ~ "! z - c n c “ Ξ c * p ·. ~j rn 20 combinés dans lequel un récipient flexible chargé est place dans une chambre à vide dont l'air est alors évacué pour abaisser sa pression résiduelle dans le ôe l'ordre de 4 Torr, après quoi 15 err.bclleçe est 25 scellé et la chambre subit une évacuation plus pou s — - r-roduit à s'écarter par h a 11 : ns as an t du produit et a venir en contact avec dis plagues chauffons es ccn-ducmces qui enauxxent sa peu 3 eu ce s uns x saper s-

La c er. an de ce brevet anglais ne B.C23.465 de la Demanderesse décrit un cycle au cours duquel l'extraction de l'air de l'intérieur d'une chambre à vice se déroule tandis eue le col d'ur; récipient ro iï3iI a 1 une ratiere memorerrecissme ou a auto-soudage) est resserré de manière à ne permettre ^, 1 .. 0 ..f _ _ _ ____ s- ^ - j _ r -s j- „ r ^ 2 ï - - -- ' r 2 1 ' emballaae, ce oui a cour effet d ' a: an ar la ratière du récipient à s'écarter par ballonnèrent eu produit, ce ballonnement étant ensuite maintenu pendant une phase ce chauffage eu récipient lorsque l'air rési-5 duel présent dans la charbre est rais en circulation au moyen d'un ventilateur et d'élérents chauffants à l'intérieur de la charbre. Ces procédés connus ont - l'inconvénient, en particulier lorsqu'ils sont appli qués à de la viande rouge fraîche, eue la réduction 10 de la pression à l’intérieur du récipient pendant les premiers stades extrait ce 1'humidité des régions superficielles du produit sous la forme d'un brouillard et, par conséquent, lorsque le sac s'écarte par bal ! ornement de la surface du produit, l'intérieur 15 du récipient acquiert un aspect embué qui ne disparaît pas lorsque le récipient est affaissé sur le L'invention a pour but de procurer un procédé et un appareil d'erballage permettant c'élimi-20 ner le risque d1 emprisonnement de gaz dans 1'erballage et d * améliorer 1'aspect de 1'emballege terminé.

l’invention, pour err-si! er un procuit, en r«l s ce ce produit cens un récipient flexible contenant un gaz 25 qui entoure le produit, on applique de la chaleur au récipient flexible tout en s'opposant à 1'échapperaent du gaz de ce récipient, on évacue le gaz de 1'inté-» rieur du récipient flexible et on provoque 1'affais sèrent du récipient en contact avec le produit, puis : 3Ö on scelle le récipient flexible.

Le ç=z présent auteur ce 1’erballage est normalement de l'air aeresphérïque, rais n'irporte quel autre çsz approprié peut être utilisé erra on 35 Suivant un deuxième aspect de l'invention, un appareil servant à erballer un produit comprend /> : 9 i chambre, un support pour un sac chargé -Sans la ehnm-; bre, un dispositif pour faire circuler de l'air chaud I autour de l'intérieur de la charbre, un dispositif pour ferrer le col du sac dans la charbre et pour | 5 ouvrir le sac ultérieurement, un dispositif pour sceller le sac après que le dispositif de fermeture et d'ouverture ait fonctionné et un dispositif prc-! “· grarmateur pour assurer le fonctionnèrent du dispose- ; tif de circulation de l'air chaud avant l'évacuation 10 ce l'air ce la chambre, et poux- assurer que le dispo- ! sitif de fermeture du sac raintrenne le sac ferre f perdant le fonctionnèrent du dispositif de circulais tion d'air et fonctionne pour ouvrir le sac avant eue i ; le cisposi tix d‘évacuation de l'air de la c.h arbre î. 15 n ' intervi eηr».

i ; L'invention procure aussi un emballage [: réalisé par le procédé ou au r-eyen de 1 * appareil p ! vu1Z il:w cp ί - " b* u · ! * 20 lernent cemprise, elle sera décrite ci-après, à titre d'exemple uniquement, avec référence aux dessins an-j mes dons résous!si la Fig. 1 est une vue schématique d'un ap-I oareii servant à réaliser un emballage rétréci scel- ii ; 25 lé sous vide comprenant une enveloppe en pellicule j; . ^ . _ î^· _______ _ _ ^ ___ __ ^ __ la Fie. IL est une nue ce détail du cisoc- !. * [i . si tif οε retenue ce 1 * anvel ouoe j ; la Fig. 23 est une -ue en élévation du dis- ·; dans le sens de la flèche Ξ de la Fig. 2A; la Fig. 3 est une vus en plan ce la parti tie inférieure de la chambre, et 35 réduction ce la pression d ' air résiduelle dans la chambre ce rétrécissement en fonction du temps.

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Fig. 1 comprend une chambra à vide comprenant une partie inférieure 2 et une partie supérieure ou couvercle 3.

Fans ce cas, ceux emballages sont intro-5 duits dans la chambre 1 et ont la forme de réel pi .-.vis chargés, mais non scellés, dans le cas présent de sacs thermorétrécissables 4. Sn soulevant le couver-* cle 3 de la chancre, on peut placer ch agira sac 4 sur une grille de support 5 où l’emballage est dégagé 10 des parois latérales de la chambre 1 et l'opération ce rétrecisserent peut alors être effectuée.

L'appareil représenté sur la Fig. 1 comprend, en outre, un therr.oconple détecteur de terré- * · ^ ^ * m - ! ‘ ’ ** * .

r *1 -J * - . · % m r J - S.

:Γ-Γ Vcîîi 3 recler I b. iû.: Düravur s _ ; .„air -i i ' -i.es— 20 ri sur da la chambre 1.

T_,3 chirr'"HS ΟΟΰ-ΙΓΙΓίΰ 3\?£S i -JH O J3 't ëC t. -llél Ce -e. ~ ^ ~s ^ ^ ___ —^ ^ } j _ c f ς prévus, si on le souhaite.

En dessous de la partie inférieure ôe la chambre se trouve une pompe à vice 10 oui est nécessaire pour que l'on puisse réduire la pression du 5 gaz restant dans la chambre à vide 1 jusqu'à une valeur de l'ordre de 5 Torr ou moins aux fins décrites plus loin.

v Les divers éléments chauffants électriques a résistance 16 disposés autour ces ventilateurs IC sent places de telle façon que le flux d'air qui quitte les ventilateurs et oui est sur le point ce balayer les emballages présents dans la chambre soit aussi chauffé par les éléments chauffants 16. Le thermocouple 6 (Fig. 3) surveille 1b Température du tenir sa température à la valeur requise pour le rétrécissement de la matière des sacs.

Bien c: s la Fig. 1 ne 1e rentre pas, cas sacs chargés peuvent être transportés en une succes-20 si on continue vers la chambre à vide 1 au reyen d'un transporteur d'alimentation et peuvent égale-

ib0Π Έ c: Li‘3 p v cCu'ÎS GG J 3 C.. o.'.Jl 3 ~ \ _ï G vb -i. c; il ΓΓιip \ GH

d'un transporteur d'évacuation.

La chambre représentée sur la Fig. 1 est OC n ' «·- 1 m . .

ZD COnCUe CG ΓΓ·3Π3_β2ΓΟ 3 5£?1ίΓδΓ CUG, 1 OITSCUG 1 GS V3fj II- lateurs 5 sent en fonctionnement, le flux d’air suive un trajet de recyclage qui amène 1’air directement au-cessus des divers éléments chauffants 16, puis au-dessus de la surface ces sacs 4 -m armés peur revotes Fig. 2k et 2B illustrent le dispositif de retenue élastique 30 peur un sac er les dispositifs de chauffées 13 et 14 cour le cef -m'un sec uti— -» C jf __ ^ -g _ ^ ; __ r_____- ^ ^ ___ _ r. ___. f _ T| _ 35 Fig. 1.

Comme le montre la Fig. 2k, le dispositif 6 supérieur 31 faisant corps avec le couvercle 3 de la Chambre et par un support inférieur 32 faisant corps avec la partie inférieure 2 de la chambre. Lorsque le couvercle 3 se ferme sur la partie inferieure 2 5 de la chambre, le support supérieur 31 descend vers le support inférieur 32 dans la disposition représentée sur la Fig. 2A.

“ - Une lame de retenue élastique 33 pour un sac, en une matière caoutchouteuse appropriée, est 10 supportée par le support supérieur 31 et y est fixée par ces vis 34. Le long de son bord inférieur, la lame élastique 33 vient en contact avec un organe de contrepartie 35 supporté par le support inférieur • 32. L’organe de contrepartie peut, en variante, 15 être une lame semblable à la lame 33. Lorsque le col d'un sac en matière plastique a été placé sur l'organe de contrepartie 35 rendant que le couvercle 3 de la chambre était en position relevée, 1'abaissement du couvercle 3 pour amener les suooorts sure-20 rieur et inférieur· 31 et 32 dans 1s disposition représentée sur la Fia. 2A provoque automat5euerent la retenue du col du sac sur 1'organe de contrepartie 35, de sorte que route pression d'air ciffé--rentielle accumulée dans le sac et supérieure à une certaine vs-25 leur peut être évacuée par le déplacement de la lame 33. Le retrait du col eu sac vers 1 a ceu ch e entre le lame 33 et l'organe de ccr.irepertie 35 est contrecarré par ces plongeurs à ressort,dont l’un 36 est représenté sur la Fig.2A, qui pressent le col du sec 30 fermement sur 1'organe de coru reperd : e 31.

L'angle d*inclinaison de la lare élastique 33 est tel que de l'air stumi s à une pression dif-f érSDÎI 6ΐ1θ Sbf f' Sür-vLur tè S X. HL .3 S Σ s Cf- c- ΧΓ-ί- r* Qg 35 l'embouchure entre ces picroeurs 36 successifs.

Le scellement du col du sac, d'une manière telle qu'un espace d'air minimum, soit obtenu à l'in- I 7 térieur du sac autour du col, est réalisé au oc yen j de sources de chaleur supérieure et i;;férieure 37 j et 38, respectivement, qui ont la Corre de lampes allongées qui rayonnent 'de la et a l eur irfr arc-uge 5 d'une longueur d'onde assurant une absorption optimum de la chaleur par la composition de matière plastique des sacs 4 à l'intérieur de la chambre.

| La longueur d'onde ce la lumière émise par I les lampes 37 et 38 est avantageusement choisie ce 10 manière à coïncider avec la longueur d'once 1s plus : facilement absorbée par la matière du sac. La lon gueur d'onde en question se situe avantageusement cens l'intervalle de 3 à 4 microns pour la plupart ! ces Del lieu! es ce matières p_a sur rues, v corneras ces 35 rellicules nulticouches et ces stratifiés, comme un suratifié cricouche thermorétrécissabie (c!est-à-‘ dire orienté) d·éthylène-acétate de vinyle, de chlo- rure de polyvinylidsne et c!ithy!èna-acétate de I 20 Une brève exposition ce la région eu col ! eu sac au rayonnement des émeri surs de chaleur 37 et ; point de ramollissement, de sorte eue lorsque les 1 panneaux de matière ce sac sent pressés l'un contre 25 1 autre,iis se soudent l'un à 1:autre dans les ! régions ce 1’embouchure et du col.

; Le contact de la matière du sac avec les ! ' sources ce chaleur supérieure et inférieure 37 et 38 est évité a 1 * aide ce treilles r.rtma 1:vu a et 40 30 sumoortés par des paires super:erre et inférieure | correspondantes de plaques de support 41 et 42 pivc- 6 I tant sur des pivots 41s, 42j3. Chaque plaque de ~^ — i——— * i /"*? —'q '- —, ~ ' ci * " "c u v v~.

i. *s ~ , — U ·~τ± — —'C Lia - "ir qui coopère à coulissement avec un argot ce came 43 35 ou 44 correspondant &onté à l’extrémité associée d’une barre de pinçage supérieure ou inférieure 45 lc, ? z'z * 1 a d-~s i e -e~s vart i c = l La barre de * c rAnçaje inferieure 46 eoexrend un cores Drincioal comportant "une mâchoire 4 5_a sollicitée élestiquement et reliée au corps au moyen de ressorts de compression hélicoïdaux 46b qui assurent que lorsque les 5 deux barres de pression c-u ce pinçage 45 et 46 viennent en contact l’une avec l’autre, la mâchoire 46_a cède élastiquèrent.

* - Le dispositif de retenue 20 comprend, en outre, un fil métallique conformé 48 qui est supporté 10 par 1’crosne ce contrepartie 35 et qui, selon la configuration eu dispositif ce retenue illustrée sur la Fig. 2A, vient en contact avec le col du sac ballonné. Lorsqu’il est excité au moyen c ’une impulsion de courant, le fil rcn.pt le col eu sac afin ce 15 permettre 1 ’ éen armèrent du car ί r. ar-5 tueliement de l’air} contenu dans le col bailmué avant scellement. Le fil.48 peut, par exerp] e, avoir une forme en cents de scie ou une ferre erdulde si ruseïdale.

A mesure que 3 = barre ce pinçage supéri-20 eure 45 descend, ses ergots de came 43 glissent vers le bas dans les boutonnières 41b et font pivoter les sens contraire a celui des aiguilles ce la montre pour écarter la source ce chaleur 37 et son treillis 25 39 vers la droite eu traget suivi par la barre de

De même, à mesure que le barre de pinçage inférieure 46 monte, ses erg ors de came 44 coopèrent avec les c ou t on nier as 41b ces -umrorts i r. dé r i enrs 42 écarter la source ce chaleur i.nf ér i eure 33 et son treillis 40 du trajet suivi par la barre de pin- 35 gs 45 et 46. En même temps, une lame 47 sur-portée par la partie principale de la barre de pinçage

J

9 à rassort 4 6a_ à 1'intervention des ressorts de compression 46b et est à meme de sectionner la matière en surplus du col du sac pendant le scellement.

La Fig. 2B illustre le mécanisme ά'enûrai-5 neiTient grâce auquel la barre de ping ace supérieure 45 est entraînée dans son déplacement vertical.

Comme le montre la Fig. 2B, la barre de , pinçage supérieure 45 est en deux parties distinctes supportées par une chape centrale 49 sur une broche 10 de guidage 'verticale 50 afin ce permettre un coulissement vertical des ceux parties de la barre de pinçage supérieure 45.

Les deux parties de la barre de pinçage sont reliées aux extrémités inférieures de biellettes lo 0 3 pressée respecrryss rl conu les axcraimss sups— • y \ ^ .

BS SCH’C, c: 31ϊΙΓ T C u 2Γ t ci 13-Cu j.t;3S S. Q0S T ΘΠ V OU S

de sonnette correspondants 52, 52' dont l'un 52 apparaît sur la Fig. 2A.

20 porte un pivot fixe 53 cens un coin, un pivot 54 cars un autre coin qui l'articule à la bi eilette de pous-

COi-Π Olil JL ' g. 1 Il C .b β B J Γ. 3 0 X 0 2Γ 3- ΓΓ. J. ~C 0 Q ' J. ïs 3 5Tj llëlOîSS

d'entraîner en! secondaire 56.

25 L1 au are extrem ire ce 11 amrsioisa q * entrai nement secondaire 55 est articulée en 5 7 à un coin correspondant du renvoi ce sonnette de droite 52' qui comporte également des pivots de contrepartie 53' et 54' correspondant aux rivets 53 et 54 décrits 30 plus haut.

Une en tretoi.se d ' entrait er· ent principale 5S est montée entre la tige ce piston 53 d'un vérin 60 et un autre pivot d'articulation 61 sur le renvoi de scnr.atte droit 52'. L'extension et le retrait ce la 35 tige de piston 59 font pivoter les renvois 52, 52', respectivement, dans le sens contraire à celui des ΐ ( ί 10 de la montre et font, par conséquent, monter et descendre les barres de pinçage 45.

Une liaison mécanique d'entraînement sem-bable avec vérin est prévue pour entraîner la partie 5 principale de la barre de pinçage inférieure 45 vers le haut et vers le bas.

Comme le montre également la Fig. 2E, la barre de pinçage supérieure 45 comporte une garde 52 qui y est fixée par vissage et qui sert à délimiter 10 un intervalle dans lequel la lame 47 peut pénétrer lorsque les barres ce rinçage supérieure et inférieure 45 et 56 se rejoignent.

Le dispositif de retenue 30 des Fig. 2A et 2B fonctionne à divers stades pendant le cycle de 15 la r. a chine entière, coure décrit plus loin.

Lorsqu on utilise ces sacs 4 faits d'une matière pelli cul aire therniGrétrécisssble, c'est-à-dire orientée, l'appareil représenté sur la Fig. 1 20 Un sac chargé, mais non scellé 4, fait d'une oellicule <5 * eïr.bsllaqe tbermorétréci s sable, est clacé cens la chambre à vide 1 et le couvercle 3 ce 3a chambre est déplacé vers le bas pour ferrer la chambre et permettre son scellement eu niveau ce son 25 bord 20.

Une forme d'une oellicule tharrorét:écis-sable (c * est-à-cire orientée) utilisée peur la sac 4 peut être un stratifié tri couche c’éthylène-acétate brevet ces Etats-Unis d'Amérique n° 2.741.253 et vendu par la Demanderesse sous la marque de fabrieue 11 —2Γ 3 G y~ Ξ" ü- G 11 „ %->*; -, ηΊ -.-.¾. ’Γι-,,ι J t ---- -* c c --- fpvj 35 couvercle 3 ce la ch arbre fait descendre la lare élastique 33 contre le col du sac, afin ce maintenir le col solidement sur la surface supéri eure de i [ 1 i1 i ~ ; l'organe de contrepartie 35. A ce stade, les : de pinçage supérieure et inférieure 45 et 45 ε: rétractées et les sources de chaleur 37 et 38 : dans la configuration représentée sur la Fig. - 5 De la chaleur de rétrécissaient est quée à la surface externe du sac avant toute é tion d'air substantielle de 11 intérieur ce la bre et la chaleur appliquée fait c ibuter 1er i sement ce la matière du sac. L'air enfermé c i XO sac ci r ce t i verr.snt scelle ( ~ amie nu ρ-ar rs 1 ar ! tique 33) résiste au'rétrécissement et maint: i matière du sac écartée par "hillciiarent" de 1 face du produit (par exemple un morceau de v: : rouge fraîche) contenu dans le sac. Tandis - • 15 sac est ainsi maintenu dégagé ce la surface î Γ : cuit, 1s car eu larron <3 ' cir chsua cütour ce - ! rieur de la matière ballonnée du sac applicr ’ supplément ce chaleur à la r.at: ère du sac e: l'opération de tharrorétréci sse- ant ;:our r | ^ £} ii.5Tiere peliicu^ aire uouu cc-nvre __ a sure ace I Qurt. ο£Γ'0Γ)Ο3πϊ 18 id : : 1ΓΘ Gu s Sure er i; ^ ' r un laps de temps suffisent pour permettre e ; fert de chaleur adéquat à la pellicule bail 1 25 qui n'est pas à ir.êms de fournir une quantir ci able quelconque ce chaleur au produit 21 [ porter la pellicule à sa température de rér ί · ment, de sorte qu’une proportion·très éleva Γ , , / / . / . . .

i 1 * G: Γ; £ Γg 2 Θ C9 T 9 91“θ C 9 £ S 9 ~ — Π *C 9 9U 9 -9 V. 1' 9 Γ i> C : | et 38 sont soit désexcitées, soit, de préf é r î tées à un niveau ce chsuffsce faible cui ne I permet pas de chauffer la matière pelliculr b | 35 une fusion.

k ? L'étranglement de l'embouchure eu lorsqu'elle est attaquée par le dispositif 12 nue élastique 30 assure que, à resure que l'application d'une chaleur par convection à la surface externe du sac progresse, tonte pression différentielle excessive accumulée b l'intérieur du sac ouïsse 5 être maîtrisée par évacuation ce gaz {habituellement de l'air) de l'intérieur du sac 4 dans une mesure telle que 1b matière gu sec sort encore msmuenue ecartee • par ballonnement de la surface du produit 21 y con tenu. Comme l'effet de ballonnement dépend de fac-10 teurs communs à un lot particulier de produits 21 (par exemple, la température superficieilé, 3a quantité d'air contenue dans le produit, et la nature de la surface, par exemple 1’adhésivité du produit), il peut être avantageux de déterminer, par observation, 15 le moment où le ballon"eoent se produira probablement , puis de minuter le processus de telle sorte que 11 évacuation de l'air débute au même moment pour tous les produits d'un lot et soit mesurée par une minuterie adéquate. Cn peut utiliser n'i.rt orra quel 20 autre dispositif de commande, comme on l e s euhalte.

Etant donné que, rendant la phare de d'air peut se poursuivre de l'intérieur du sac 25 car son col dans le ces rru “retable où une oression ciîiÇÎcnt] eile excessive serait exaa-cee sur r a matière du sac, tandis que le reste du sec se plaque per rétrécissement sur la surface eu produit 21 ce manière à fournir une surface en suit star, ce sens c-li ; 20 cui couvre le mroduit 21 et a réenrrins leiseer le col du sac à même de subir un sevrage lorsque les barres de pinçage 45 et 45 se ferment l'une contre 1'autre.

35 avant d'entamer 1!évacuation de l'air du sac, on excite brièvement le fil conformé 48 pour rompre le 13 L'évacuation de 1’atmosphère da la chambre (et ou sac 4 maintenant rompu) progresse jusqu'à ce que le vide souhaité soit atteint. Au terre de la phase d'évacuation de l'air eu g eu avant 5 celui-ci, on peut activer les larges 37 et 33 au r.5>:;.r.--um pour qu'elles émettent de la chaleur rayonnante à la longueur d'onde souhaitée pour une absor-- pticn ce chaleur optimum par la ratière pal 1 iculaira et ainsi pour qu'elles chauffent le col du sac percé 10 jusou's sa température de fusion.

Les vérins 50 sont alors actionnés pour amener les barres de pinçage supérieure et inférieure 45 et 46 l'une contre l'autre et écarter simultanément par pivotement les sources 37 et 38 et leurs 15 treillis associés 31 et 40.

Des eue 3c barre de pinçage supérieure 45 est entrée en contact avec la mâchoire de pinçage à ressort 45a, l'action ces vérins 5 0 arène la lame 47 à sectionner le col du sac pour en détacher la 20 matière en surplus. Las mâchoires de pinçage 45 et 46 retiennent ferrement le col le long de le lame 47 peur effectuer le s eue ace. fernere toute cette ope- % , û ration, 1'embouchure du sac est encore pinces antre '$ la lace élastique 33 et 1'organe de contrepartie 35 ·& 25 es sorte que le sac est encore solidement maintenu % cens le dis ne si tif de retenue 10.

Le retrait des barres ce pinçage supérieure et inférieure 45 et 46 rarene les s eurees ce b- chaleur 37 et 33 et leurs treillis 53 at 40, respae-30 tirèrent, dans 2 a conf: rueati:n de la Frç. 2 A.

; L'évacuation de l'air de la er astre s'effaatue après ce retrait des barres de rinçage 45, 46, de sorte eue tout air résiduel veut s'écharrar sans entrava du sac.

35 Lorsque la chambre a vice est remise sous fgji pression, lors de l'ouverture, les parties chauffées 2¾ 1 4 çags 45 et 46 sont pressées l'une contre l'entre pour réaliser un sondage par fusion et pour réduire la girmension de la catière du sac éventuellement en surplus autour de la zone ce' scelièrent pour donner un 5 aspect net à 1‘emballage terminé.

La matière du sac en surplus sectionnée par la lame 47 est encore maintenue entre la lame élasti-4 que 3 3 et l'organe de contrepartie 35 et peut être enlevée pendant ou après l'enlèvement de l'emballage 10 ce la chambre ouverte.

Le processus décrit plus haut est particulièrement commode avec ces produits humides tels que de la viande rouge fraîche dans des sacs tharr.oré-trécisssbles, parce que 1'augmontaticn ce la pres- 1'errer ce s ?. . cu.ru 0-. 01 eu sac, rare a osmxenxr 1’humidité dans le produit et à éviter la formation ce buée sur la surface interne eu sac lorsqu'il est 20 de 1'sir emprisonné 1ers eu percement eu sac permet a la matière eu sac d’entrer en contact avec le proest p= ticulierement agréable cens le cas de produits 25 humides, corme ce la viande rcuçe fraîche.

dans le cas ce tous les rroduits emballés par ce procédé, la nature exempte ce pli du produit est améliorée par l'adoption d'une phase de rétré- sieue du scellement secs vide suivie eu rétrécissement ) .

L'emballage terminé ernferre à 11 invention 35 emballages ajustés par rétrécissement, dans lesquels un bain de rétréci ss ment aqueux est utilisé pour atténuer les erre·'s d 2 "dissipation thermique" eu 15 produit relativement froid et à capacité thermique élevée, parce que le rétrécissement de la pellicule en contact avec de l'air permet un taux de récupération plus élevé de l'énergie de rétrécissement et, j 5 par conséquent, une plus forte augmentation d'épais-.

seur, avec pour résultat que les propriétés de barrière du sac (importantes pour maintenir le scelle-s ment hermétique du produit et sa fraîcheur jusqu'au moment de sa consommation) sont plus efficaces. De ! 10 plus, la résistance d'un tel sac aux déprédations est améliorée en raison de l'épaisseur accrue.

Etant donné que la poche d'air emprisonné dans le sac pendant la phase de rétrécissement précédant le chauffage résiste à l'affaissement du sac i 15 et postpose le contact du sac avec le produit froid, cet effet d'augmentation de l'épaisseur est encore plus sensible et il en est de même pour l'aspect exempt de pli du sac qui dépend à nouveau du degré de récupération de l'énergie de rétrécissement 20 latente dans la matière pelliculaire. De plus, comme le rétrécissement est provoqué par des courants d'air qui se déplacent autour de la totalité du produit, le rétrécissement du sac est uniforme autour du produit, ce qui élimine le risque d'emprisonne-25 ment de poches d'air derrière "l'équateur" du produit (c'est-à-dire la zone de plus grande section dans un’ plan perpendiculaire à l'axe longitudinal du sac).

De plus, la caractéristique précitée selon laquelle il n'y a que peu ou pas de vapeur d’eau 30 dans l'air présent entre le produit et le sac qui rétrécit (ce qui est dû à l'amorçage du rétrécissement avant toute réduction de pression et même avec une faible augmentation de pression, comme le montre la Fig. 4) assure que la quantité de chaleur de 35 rétrécissement requise soit moins élevée, parce que l'air sec présent sur la surface interne du sac absorbe moins de chaleur que n'en absorberait de , ? ; 16 lrair chargé d’humidité.

Etant donné que les supports inférieur et supérieur 31 et 32 du dispositif de retenue élastique 30 sont supportés par la partie inférieure 2 et « * 5 par le couvercle 3 de la chambre, respectivement, ils se juxtaposent automatiquement en contact l'un avec l'autre lorsque la chambre est fermée et il suffit ? au préposé de faire en sorte que le col du sac 4 soit ; placé sur l'organe de contrepartie 35 avant la fer-10 meture de la chambre.

Si on le souhaite, lorsque les sacs chargés sont introduits par un transporteur dans la cham- -bre 1, le transporteur peut être du type qui assure que, lorsque le sac 4 est arrêté, son col soit correc-15 tement placé en vue d'un pinçage d'étranglement sans exiger un positionnement soigneux par un préposé.

Un autre mécanisme de retenue et de fermeture du sac peut être prévu si on le souhaite. Par exemple, le col du sac peut être resserré étroite-20 ment dans la chambre lorsque celle-ci est fermée, dans une mesure compatible avec le souhait d'écarter le sac par ballonnement du produit pendant les tous Dremiers stades de l'évacuation de l'air de la cham-bre, et une agrafe peut alors être posée sur le col 25 du sac au terme de l’évacuation de l'air et du rétrécissement. Un tel dispositif de pose d'agrafes instal-; lé dans la chambre est, par exemple, décrit dans le brevet anglais de la Demanderesse n° 1.353.157.

Le proaurt est supporte sur aes rouleaux : s 30 qui délimitent la grille perméable à l'air 5 destinés à supporter l'objet tout en permettant néanmoins à de l'air de thermorétrécissement de circuler tout autour de la surface de l'objet.

Dans n'importe quel procédé de retrécisse-35 ment de postscellement classique, le degré de récu-! pération du rétrécissement disponible dans la pel licule (c'est-à-dire la mesure selon laquelle la / y 17 I pellicule est à même de revenir à sa configuration initiale précédant l’étirage d'orientation) est limité par la chute de température de la pellicule lorsqu'elle entre en contact avec le produit. En ! % * | 5 faisant en sorte que, dans la présente invention, la phase de chauffage se produise pendant gue la pelli-j cule thermorétrécissable est dans un état ballonné et tandis que le pression d'air dans la chambre est i en substance égale à la pression atmosphérique pen- 10 dant la circulation de l'air de thermorétrécissement, il est possible de récupérer une fraction beaucoup · plus importante du rétrécissement disponible dans la pellicule uniquement pendant une phase de chauffage I de très courte durée.

15 Dans la forme d'exécution préférée, comme décrit plus haut, le procédé permet d'évacuer de l'air de l'intérieur de la chambre et de l'air de l'intérieur de l'emballage. On comprendra évidemment qu'un autre çaz peut être utilisé, si on le 20 souhaite. En tout cas, certains produits peuvent abandonner du gaz, comme le dioxyde de carbone qui est extrait pendant la phase d'évacuation, ou bien le produit peut être balayé à l'aide d'un gaz inerte, même si l'air est le constituant gazeux principal 25 dans la chambre et/ou dans le sac.

Pendant toute la description de la forme J d'exécution préférée du procédé, on a mentionné | ; l'utilisation de ventilateurs de circulation d1 air 9 destinés à améliorer un transfert de chaleur par con- , 30 vectïon. Cependant, il est évidemment possible d'appliquer la chaleur à la pellicule d'emballage i par convection sans utiliser de circulation assistée '· par ventilateur ou par un autre mécanisme, par exem- ! pie par un rayonnement thermique avec ou sans une i 35 certaine forme de circulation d'air, par exemple une ! circulation forcée par les ventilateurs 9. Le pro- i cédé conforme à l'invention se rapporte à la phase * r > , 18 : . jusqu'à présent inconnue qui consiste à appliquer ί de la chaleur de rétrécissement avant toute évacua- | tion substantielle de l'air de la chambre, et le j. mécanisme précis par lequel la chaleur est appliquée i 5 à la pellicule d'emballage peut, par conséquent, ! * être modifié sans pour autant que l'on sorte du ! cadre de l'invention.

! ’ . Si on le souhaite, les dispositifs de | chauffage 13 et 14 et le dispositif de retenue élas- · | ’ 10 tique 30 peuvent n'être prévus qu'à une seule extré mité de la chambre ou le long de l'un ou des deux ; côtés ou aux deux extrémités et le long d'un côté j pour permettre au préposé de modifier le positionne ment du ou des sacs 4 à sceller. Le fait de disposer ! 15 les éléments chauffants 13, 14 et le dispositif de retenue élastique le long d'un côté de la chambre assure que plusieurs sacs courts puissent être placés côté à côte le long de la chambre.

L'effet de ballonnement pendant l'opération i 20 de chauffage assure que la matière plastique de l'en veloppe se dégage rapidement du produit relativement froid 21 y contenu et soit, par conséquent, beaucoup mieux apte à subir le rétrécissement parce que la j chaleur transférée à la matière du sac a partir du I 25 flux d'air chaud n'est pas transférée immédiatement au produit 21 par conduction.

1 L'application de la chaleur de rétrécisse- ; ment dure une brève période, par exemple de 2' à 8 secondes, de préférence de 3 à 4 secondes, et 11éva-: 30 cuation proprement dite de l’air débute alors dès ; que la zone ballonnée est revenue en contact avec la I surface du produit 21 sous l'effet du rétrécissement | de la pellicule et/ou de 1'égalisation des pressions i à l'intérieur du sac et autour de celui-ci.

, 35 L'évacuation de l'air de la chambre s'ef- | fectue alors à l'intervention de la pompe à vide 10 i jusqu'à ce que la pression résiduelle dans la chambre 4 ! / 9 19 à vide 1 soit tombée à une valeur finale de, par exemple, 5% de masse d'air résiduelle.

, Dans la forme d'exécution du procédé dans | laquelle le gaz contenu dans la chambre subit une 5 circulation assistée par ventilateur, pendant cette évacuation de l'air de la chambre qui se poursuit, les ventilateurs 9 peuvent, si on le souhaite, être * constamment en fonctionnement, de sorte que, à mesure que la densité de l’air restant dans la cham-10 bre 1 diminue progressivement, cet air est encore à même de provoquer un certain rétrécissement supplémentaire de la matière du sac sur les contours exté-! rieurs du produit 21.

I Au terme de la phase d?évacuation de l'air, 15 le col du sac est scellé, dans ce cas à l'intervention des éléments chauffants de soudage 37, 38, ou sinon de n'importe quel autre dispositif de soudage adéquat comprenant, par exemple, des barres à souder classiques.

20 La valve 14 est ensuite ouverte pour per mettre la remise sous pression de la chambre 1. Le couvercle 3 de la chambre est ensuite relevé pour permettre l’enlèvement de l'emballage rétréci et scellé résultant de la chambre à vide 1.

25 Les éléments chauffants 16 qui se trouvent dans la chambre servent a maintenir la température de l'air autour de l'emballage à une valeur suffi-' . . santé pour assurer les échanges thermiques nécessai res au profit de la matière du sac ballonné pour 30 réaliser le rétrécissement. Cependant, lorsqu'on utilise une circulation d’air dans la chambre assistée par des ventilateurs, les éléments chauffants 17 ; ne doivent pas être continuellement en fonctionne ment, pourvu que, au moment où le sac 4 est écarté 35 par ballonnement du produit 21, la température de l'air dans la chambre 1 soit à une valeur adéquate pour le rétrécissement de l'emballage.

20 ! · Des températures de 90°C a 140°C lors du ballonnement peuvent être nécessaires pour réaliser un rétrécissement dans le cas d'une pellicule rétré-; cissable orientée biaxialement. La valeur précise ! ‘ 5 de la température dépend de facteurs tels que la nature de la pellicule ou le degré d'orientation.

Une version entièrement automatique de * l'appareil peut être envisagée et, dans ce cas, les i divers paramètres du procédé sont réglés et 1'appa- 10 reil est synchronisé de manière à fonctionner automatiquement à partir de l'introduction d'un sac chargé dans la chambre jusqu'à la sortie de l'emballage scellé automatiquement de la chambre.

; La durée précise de la phase de chauffage 15 peut varier entre certaines limites.

Par exemple, la Fig. 4 illustre une graphique indiquant la pression dans la chambre en regard du temps. Au moment tQ, la chambre se ferme et le moment t-^ indique le moment où, après rétré-20 cissement du sac, débute l'évacuation de l'air de la 1 chambre. Au moment t^, le fil conformé 48 est excité pour rompre le col du sac avant qu'un vide complet soit atteint au moment Au moment t^, les lampes 1 37 et 38 sont excitées et les barres de pinçage 45, 25 46 sont ensuite juxtaposées pour sceller le col et rogner la matière en excès. Au moment t^, la chambre est remise sous pression.

, La ligne pointillée 101 du la Fig. 4 indi- 1 que la pression à l'intérieur du sac et montre que : . 30 cette pression s'élève au-dessus de la valeur de la pression atmosphérique de départ de la ligne 100 indiquant la pression de la chambre. C'est cette augmentation de pression, provoquée par l'application | de la chaleur de rétrécissement à l'extérieur de la 35 chambre qui provoque le ballonnement du sac.

; Pour un lot de produit donné quelconque, ; l’effet d'étranglement du dispositif de retenue / !: 21 élastique 30 sur le col du sac doit être tel que le sac subisse un ballonnement propre à assurer que la chaleur transférée à la matière ballonnée par contact avec le flux d'air chaud ne soit pas immédiate-5 ment perdue par conduction au profit du produit relativement froid contenu dans le sac.

Comme l'application de la chaleur est basée sur une circulation d'air chaud sur la pellicule j d'emballage ballonnée, le fait que la surface externe i 10 du sac est en substance à la pression atmosphérique assure que la capacité thermique de l'air dans la ! chambre 1 pendant l'opération de rétrécissement à cette pression intermédiaire soit- aussi élevée que i possible pour garantir un transfert de chaleur effi- 15 cace.

Comme indiqué plus haut, la température du produit, la nature de la pellicule d'emballage (par exemple le sac 4) et le volume de gaz contenu dans le produit, affectent également le ballonnement.

20 D'une manière générale, l'appareil est réglable pour tenir compte de différentes valeurs ce la durée de la période de chauffage de rétrécissement afin d’assurer que le sac ait toujours subi un ballonnement suivi d'un affaissement adéquat au βίοι 25 ment ou débute la phase d'évacuation d'air prin cipale.

Si on le souhaite, par exemple lorsqu'on I * emballe des produits particulièrement souples, ! comme des fromages blancs, i’utilisation d'un j - 30 emballage "souple sous dépression" peut avoir pour | résultat que la phase d'évacuation de l'air est i abrégée très tôt après la reprise de la chute de | pression en dessous de la valeur de "pression inter médiaire".

j 35 On peut, si on le souhaite, faire en sorte ; que de l'air chaud soit introduit dans la chambre 1 ! (par des moyens non reorésenrés) pendant que le cou- ? 22 i · vercle 3 s'abaisse et jusque et y compris le moment où le couvercle 3 se ferme sur la partie infé-; rieure 2 de la chambre pour assurer un scellement au | niveau du bord 20. Ceci fournit la meilleure ali- ! * * 5 mentation d'air chaud possible dans la chambre 1 au ! début de l'opération de thermorétrécissement.

! Si on le souhaite, l'emballage peut conte- ! * nir plusieurs objets enfermés dans une seule enve- ! . loppe (par exemple dans un sac 4).

j 10 II peut être souhaitable de modifier le ! procédé en vue de l’utiliser avec des pellicules ! dites à autosoudage, mentionnées dans la demande de ; brevet anglais n° 8.023.465 de la Demanderesse.

15 /L1 .

| 20 ΐ 25 30 35

Claims (15)

1. Procédé pour emballer un produit, sui vant lequel on place le produit (21) dans un récipient flexible (4) de telle sorte qu'un gaz entoure le produit, 1 * * 5 on évacue le gaz de l'intérieur du récipient flexi- I * ble de manière à amener le récipient à s'affaisser en contact avec le produit et on scelle le récipient - flexible, caractérisé en ce qu'avant d'évacuer le gaz de l’intérieur du récipient, on applique de la : 10 chaleur au récipient flexible et on empêche le gaz de s'en échapper, et on relâche ensuite le gaz de l'intérieur du récipient flexible pour permettre au récipient (4) de s'affaisser en contact avec le produit ( 21 ) . 15 2.- Procédé suivant la revendication 1, caractérisé^en ce qu1 après l'échappement du gaz de l'intérieur du récipient flexible (4), on évacue le gaz de l'intérieur et de l'extérieur du récipient flexible, après quoi on scelle le récipient (4) pour 20 enfermer le produit (21) sous vide.

3. Procédé suivant la revendication 1 ou 2, caractérisé en ce que le récipient flexible (4) présente une embouchure et on empêche le gaz de s'échapper de l'intérieur du récipient en pinçant le 25 récipient suivant son embouchure pendant la phase de chauffage. 4. — Procédé suivant la revendication 1 ou 2, caractérisé en ce que le récipient flexible (4) présente une embouchure qui est pincée élastiquement '30 pour limiter l'échappement du gaz pendant le chauffage dans une mesure qui provoque le ballonnement du récipient pour l'écarter de la surface du produit (21) pendant la phase de chauffage.

5. Procédé suivant la revendication 3 ou 35 4, caractérisé en ce qu'on libère le gaz de l'inté rieur du récipient en incisant le récipient le long de son embouchure pincée, afin de permettre au gaz /} 24 I de s'échapper sans entrave et on scelle ensuite le récipient incisé du côté de la région incisée gui est ; | plus proche du produit en vue de rétablir le scelle- M ment du récipient.

6. Procédé suivant l'une quelconque des % 1 revendications précédentes, caractérisé en ce qu'on applique de la chaleur dans une chambre à vide (2, 3) avant: de créer un vide quelconque dans la chambre. ;l 7.- Procédé suivant l'une quelconque des ; ! 10 revendications précédentes, caractérisé en ce qu'on N applique de la chaleur par convection forcée d'air __ ' ; chaud sur la surface externe du récipient flexible.

8. Procédé suivant l'une quelconque des ! revendications précédentes, caractérisé en ce qu'on 15 scelle le récipient flexible par 1'application d'une ; chaleur de ramollissement à la région du col, suivie de la fermeture de la région ramollie du col pour j provoquer un soudage par fusion.

9. Procédé suivant l'une quelconque des 20 revendications précédentes, caractérisé en ce que le 1 récipient flexible (4) est fait d'une pellicule de | matière plastique thermoretrécissable et l'applica- !f tion de la chaleur au récioient provoque le rétré- ! 1. cissement de la pellicule, plaçant le récipient sous ;j 25 tension autour du gaz emprisonné, de sorte que cette ' tension n'est relâchée que lorsque le gaz est lui- i même libéré. ; . 10.- Appareil pour emballer un produit com- !i prenant une chambre à vide (2, 3), un dispositif (10) I! - 30 pour faire le vice dans la chambre, un support (5) J ;j pour un sac chargé (4) dans la chambre, un dispositif il (9, 16) pour faire circuler de l'air chaud autour de I; l'intérieur de la chambre, et un dispostiif (13, 14, ;· 45, 45) pour sceller un sac dans la chambre, carac- ! b’ ' . ! jj 35 térisé par des dispositifs (30) pour fermer le col I du sac dans la'chambre et oour ouvrir ultérieurement ; | ' le sac et un dispositif proorarmateur pour assurer i / I ί( 25 le fonctionnement du dispositif de circulation d'air chaud (9, 16) avant qu'un vide soit établi dans la chambre (2, 3) et pour assurer que les dispositifs | de fermeture (30) maintiennent le sac fermé pendant I * * ! 5 que le dispositif de circulation d'air (9, 16) fonc tionne et interviennent pour ouvrir le sac (4) avant ! que le dispositif d’évacuation de l'air (10) de la chambre n'entre en jeu, et pour actionner le dispo-! sitif de scellement (13, 14, 45, 46) afin de sceller ! 10 le sac après que les dispositifs de fermeture et d'ouverture (30) aient fonctionnes.

11.- Appareil suivant la revendication 10, caractérisé en ce que les dispositifs de fermeture | et d'ouverture (30) du sac comprennent un dispositif j 15 (33, 35) pour maintenir l'embouchure d'un sac fermée I pendant que le dispositif de circulation d'air chaud (9, 16) fonctionne et un dispositif (48) pour rom-| pre un sac du côté du dispositif de fermeture (30) qui est plus proche du support (5) du sac dans la 20 chambre.

12. Appareil suivant la revendication 11, caractérisé en ce que le dispositif de retenue com-! prend un organe de retenue élastique (33) et un organe de contrepartie (35) contre lequel l'organe | 25 de retenue élastique (33) presse le col d'un sac (4) ! et le dispositif de rupture comprend un dispositif de chauffage électrique (48) placé entre le disposi-. > tif de retenue (33, 35) et le dispositif de scelle- ! ment (13, 14, 45, 46) et pouvant être excité pour 30 rompre à chaud le col d'un sac (4) maintenu par le ; dispositif de retenue (33, 35).

13.- Appareil suivant la revendication 11 i ou 12, caractérisé en ce que le dispositif de scel- ! lement (13, 14, 45, 46) comprend un dispositif pour 35 sceller le col d'un sac du côté du dispositif de rupture (48) proche du support (5) du sac dans la chambre. 9 i 26

14. Appareil suivant la revendiez- ,r ;q 12 ou 13, caractérisé en ce que le dispositif scellement comprend des sources de chaleur r.;,. ,.3n_ te pour appliquer de la chaleur rayonnante - ' 5 région du col d'un récipient flexible.

15. Appareil suivant les revendiez ·, ,.ns 12 et 14 considérées ensemble, caractérisé en cr ,j>Je les sources de chaleur sont des lampes à rayi,ljfi infrarouges allongées (13, 14) disposées l'ui(ti f^n 10 face de l'autre de part et d'autre d'une P-tion » prévue pour la matière du col d'un sac, le d.* ^p0si_ i tif de scellement comprenant, en outre, des \'$uanes pinçage qui sont des barres de pinçage espac,,^ parallèles (45,46) comportant une position <3„. j-ep0s ;[ 15 dans laquelle les lampes (13, 14) sont dispo^^^g | entre les deux barres (45, 46), et une posit . ^ J active dans laquelle les barres (45, 46) son »-uxte - j posées l'une contre l'autre pour occuper le* | tions occupées par les lampes allongées (13. 2. dans la position de repos des barres de pin;· :: î (45, 46) et des moyens de sectionnement (47 ___- ‘ • ·. - «c. G-- *- ; supportés par une des barres de pinçage (46 χ- sectionner la matière en surplus du col d'ur

16. Appareil suivant la revendiez,. ... ». ! 25 caractérisé en ce que les moyens de section: ..... i comprennent une lame de couteau (47) suppor\ i la première barre de pinçage (46) et cette -. ....i- I . barre de pinçage comprend une partie de pin·. ...... j. i supportée élastiquement et permettant un dé- t . 30 supplémentaire de la lame de couteau (47) a.. . la partie de pinçage élastique (46_a) soit e. I contact avec l'autre barre de pinçage (45).

17. Appareil suivant la revendre-. __ ou 16, caractérisé en ce que les lampes ail. :j 35 (13, 14) sont supportées par des supports t. (41) et des moyens (41, 43) sont prévus et - ___ actionnés par des barres de pinçage (45, 4b i 7 ί; 27 déplacer les lampes (13, 14) latéralement pendant la fermeture des barres de pinçage ( 45, 46) -l'une contre l'autre. 18. - .Appareil suivant l'une quelconque des 5 revendications 11 à 17, caractérisé en ce que les moyens de circulation d'air chaud comprennent deux ventilateurs centrifuges (9) comportant des éléments -; - chauffants (16) disposés à leurs sorties d'air.

19. Appareil suivant la revendication 18, , 10 caractérisé en ce que les éléments chauffants (16) sont disposés en des couronnes concentriques aux ventilateurs respectifs.

20. Appareil suivant l'une quelconque des : revendications 11 à 19, caractérisé, en outre, en ce 15 qu'il comprend un dispositif à temps pour retarder le fonctionnement du dispositif d'évacuation de l'air ! (10, 22) pendant un intervalle de temps prédéterminé après la fermeture de la chambre (2, 3) et apres l'amorçage du fonctionnement des moyens de ciiculation 20 d’air chaud (9, 16). ; AAXJUâ)