LU83837A1 - Procede et appareil pour former un emballage scelle - Google Patents

Description

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La présente invention concerne un procédé et un appareil permettant de former un emballage scellé, le scellement étant réalisé en particulier par soudage 1 par fusion de couches de matière pelliculaire (qui 5 peuvent être elles-mêmes des pellicules multicouches ?..

stratifiées). Un tel emballage peut, par exemple, être ? un emballage sous vide/ mais pourrait également contenir ΐ un gaz inerte contribuant à la conservation du contenu 4 de l'emballage, en particulier lorsque ce contenu est ^ 10 périssable.

c .

On connaît divers procédés pour le scellement de pellicules. Les procédés qui pour l'instant sont très répandus sont:- la pose d'agrafes en vue de fermer le col d'un sac fait de la matière pelliculaire, 15 le soudage à chaud par l'application simultanée de chaleur et de pression en vue de presser deux épaisseurs de la pellicule l'une contre l'autre en contact de fusion, et le scellement adhésif, par exemple par i enduction au moyen d'une composition adhésive de l'une : 20 0-11 des deux surfaces qui doivent venir en contact l'une : avec l'autre de telle sorte que les surfaces en contact ‘ assurent le scellement lorsqu'elles sont pressées l'une contre l'autre.

En plus du soudage à chaud que l'on réalise 25 en pressant des pellicules l’une contre l'autre au moyen de barres de pinçage mécaniques chauffées, les % » brevets des Etats-Unis d'Amérique n° 3.989.778 et i. 4.069.080 décrivent également des procédés permettant ' d'irradier des épaisseurs de pellicule pincées au 30 moyen d'énergie provenant d'un laser pour favoriser une fusion localisée des surfaces en contact l’une avec l'autre. Les brevets des Etats-Unis d'Amérique n° 3.477.194 et 3.247.041 décrivent également des procédés permettant d'irradier des épaisseurs de pellicu-35 le pincées à l'aide d'un rayonnement infrarouge provenant d'une source adjacente en vue de les faire adhérer l'une à l'autre.

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Ces brevets connus sont tous basés sur une application de chaleur à des parties des pellicules qui ! sont déjà pincées en position de soudage ou de scelle ment, de telle sorte que l'utilisation d'un tel système 5 exige un repérage soigné des parties de pellicule pin- » ! cées par rapport au trajet d'émission d'énergie de la î source de rayons infrarouges ou du laser, suivant le ; i * cas. De plus, en particulier en ce qui concerne l'uti- 1 lisation des rayons infrarouges, il est difficile ' “ 10 d'éviter, entre la ou les sources de rayons infrarouges et les parties de pellicule pincées, des distances -qui (pour ménager suffisamment de place pour la manipulation du produit emballé et de la matière qui l'entoure) sont si grandes que les pertes de rayonnement, qui va-15 rient d'une manière inversement proportionnelle au carré de la distance à partir de la source de chaleur, deviennent considérables.

! Pour éviter les inconvénients des systèmes I connus qui utilisent de la chaleur rayonnante pour I 20 souder une matière plastique, la présente invention ! procure un procédé pour former un emballage, suivant lequel on enveloppe des marchandises dans une pellicule de matière plastique présentant des parties de pellicule correspondantes qui sont amenées en contact l'une 25 avec l'autre pour sceller l'emballage, on maintient les parties de pellicule correspondantes hors de contact •fi l'une de . l'autre avant le soudage, on chauffe les j ^ parties de pellicule correspondantes au moyen d'un ' x rayonnement infrarouge, puis on amène les parties de 30 pellicule chauffées en contact l'une avec l'autre pour les souder l'une à l'autre par fusion lors du con-‘ tact.

! Suivant un autre aspect de l'invention, il est prévu un appareil destiné à former un emballage qui com-35 prend un support pour des marchandises et une pellicule de matière plastique d’enveloppement, au moins une source de rayons infrarouges placée de manière à irradier des

A

| * î · f 3 parties correspondantes d'une telle pellicule d loppement supportée, des moyens pour maintenir _ ' parties de pellicule correspondantes hors de c: l'une de l'autre pendant le fonctionnement de:-! 5 de rayons infrarouges et des moyens pour amener s rieurement les parties de pellicule correspond;, i contact l'une avec l'autre afin de fermer l'embs.

i 5 -- Quoique le procédé et l'appareil confc: ; ** l'invention puissent être utilisés dans divers t ; ^ ’ 10 d'emballages, ils conviennent en particulier per

X

; _ hallage sous vide de produits dans une chambre.

Cela étant, suivant un autre aspect de j vention, dans un procédé pour former un emballa: I vide, on enveloppe un produit dans une pellicul: I 15 matière plastique, on place le produit envelopr une chambre à vide, on évacue l'air de la chami-abaisser la pression dans la pellicule de marié, tique et autour de celle-ci et on soude des par; respondantes de la pellicule d'enveloppement pc 20 former un emballage sous vide, l'opération de s ! des parties de pellicule consistant à irradier · parties de pellicule correspondantes dans la ci : au moyen d'un rayonnement infrarouge et a amena: ! parties de pellicule chauffées en contact l'un·: 25 l'autre de manière à les souder par fusion au m: | du contact.

i Selon un quatrième aspect de 1'inventé: i ‘ appareil destiné à former un emballage sous vie: ; prend une chambre à vide, un support dans la ch: ; 30 pour un sac en matière plastique chargé, un dis;.

\ pour étrangler le col du sac à l'intérieur de 1: !. bre, un dispositif pour provoquer un ballonneme; i col d'un sac supporté sur le support et dont le ! étranglé par le dispositif d'étranglement, un ci 35 tif émetteur de rayons infrarouges dans la chan.l pouvant être excité pour irradier le col ballorr. sac en vue de chauffer la matière du col ballon*

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j 4 h«, ^ .positif pour libérer du gaz de l'intérieur du - ,,ji vue d'amener le col du sac à perdre sa confiçu-ï tj*‘u ballonn^e après chauffage du sac par le dispo-f-1émetteur de rayons infrarouges et en vue d'amener^ 5 \ , _ a ière du col ballonné et chauffé à entrer en con- . S ÏU* t ;c£ tiVec elle-même et à se souder au moment du contact. î L'invention procure également un emballage * .vé par l’un ou l'autre des procédés décrits plus ai h ^ ,»u à l'aide de l'un ou l’autre des appareils dé-10 \ . dIus haut.

3 T · >

Four que l'invention puisse être plus facile-li . i comprise, on la décrira ci-après, à titre d'exemple u '/Ment, avec référence aux dessins annexés dans les-\ « ..

15 la Fig. 1 est une vue en élévation de côté * u tique d'une forme de chambre à vide dans laouelle ** * = .. .«cédé' conforme a l'invention peut être exécuté; la Fig. 2A est une vue de détail en coupe du « ÎC;. *.sme de soudage incorporé a la chambre de la 20 i ‘ ç la Fig. 2B est une vue en élévation d'extré- .ou mécanisme de soudage de la Fig. 2a; la Fig. 3 est une vue en plan du dessus sché-. d'une variante de chambre à vide dans laquelle •a c '·* ” 25 : —cédé conforme à l'invention peut être exécuté; la Fig. 4 est une vue, semblable à la Fig. 3, fi - ,-ncore d'une autre variante de chambre à vide dans .·, : _ _ . .le le procédé peut être exécuté, et τ la Fig. 5 est un schéma électrique d'une forme 30 ; __ de système de commande pour les sources de cha- ' rayonnantes utilisées sur les Fig. 1 à 4.

La Fig. 1 illustre une chambre à vide 1 com- ___ une base 2 et un couvercle 3 qui sont fermés contre l'autre et qui sont en contact étanche tout 35 de leurs bords 20 pour former une enceinte étan- ns laquelle deux sacs en matière plastique 4 s dans ce cas'd’une matière thermorétrécissable} 5 enfermant des produits 21 peuvent être débarrassés de l’air qu'ils contiennent et scellés.

De la chaleur de rétrécissement est"appliquée :j à chaque sac 4 au moyen de deux ventilateurs 6 et 7 : 5 entraînés par des moteurs 8 et 9 respectifs et faisant ! circuler de l'air par l'intermédiaire d'éléments chauf- s fants circulaires 10 et 11 qui, bien qu'étant représen- - tés en élévation de côté sur la Fig. 1, sont identiques * 4 à la construction des éléments chauffants correspon- 10 dants lO -et 11 représentés en plan sur les Fig. 3 et 4.

' Le flux d'air dirigé radialement vers l'extérieur et i provenant des rotors 6 et 7 des ventilateurs centrifu- i ges passe sur les éléments chauffants 10 et 11 qui le ! chauffent et vient ensuite en contact avec les sacs 4 if 15 posés sur une grille de support 12 dans la chambre.

; ? Les sacs absorbent alors de la chaleur de l'air et | se contractent dans la mesure souhaitée qui dépend du \j degré d'orientation de la pellicule pendant la fabrica- tion.

fi 20 La chambre comprend en outre des dispositifs ; h f r de chauffage supérieur et inférieur 13 et 14 comprenant . ΐ'“ fi des lampes allongées émettant des rayons infrarouges ! i ' é (37 et 38 sur la Fig. 2A) qui rayonnent de la chaleur ij:' vers les parties de pellicule espacées des régions du 25 col des sacs 4 et qui chauffent les régions des cols ! -1 dans une mesure suffisante pour que, lorsque ces psr- i : « h] ; ties de pellicule entrent ultérieurement en contact ;;ï î l'une avec l'autre, par exemple pendant le rétablissa- | :‘ ε ment de la pression dans la chambre 1, elles se socfent l 30 automatiquement l'une à l'autre par fusion.

::1 La construction détaillée de ces dispositifs 1 . i de chauffage supérieur et inférieur 13 et 14 sera cé-crite ci-après avec référence aux dessins détaillés ; i des Fig. 2A et 2B..

35 La région d'embouchure de chaque sac est rincee ; I par un dispositif de retenue élastique comportant ces I organes supérieur et inférieur 33 et 35, éoalement re- f ·» 9 :· 6 présentés sur les Fig. 2A et 2B, d'une manière telle que de l'air puisse s'échapper de l'intérieur du sac 4 entre les dispositifs de chauffage supérieur et inférieur 13 et 14 et les organes supérieur et inférieur 33 i 5 et 35, mais qu'en raison de l'action de retenue élasti- ; que du sac, de l'air ne puisse pas rentrer dans le sac s par la région de son embouchure.

's .Le cycle d'évacuation de l'air utilisé dans la i - chambre de la Fig. 1 peut être un cycle de plusieurs · ” 10 formes différentes.

A titre de premier exemple, il est possible d'appliquer la chaleur de rétrécissement au sac 4, par activation des moteurs 8 et 9 des ventilateurs et des dispositifs de chauffage 10 et 11 avant l'évacuation 15 de l'air de la chambre 1. Ceci provoque le thermorétrécissement de la matière du sac. Ce thermorétrécissement tend à comprimer 11 air emprisonné entre le produit 21 et le sac 4 et l'air emprisonné maintient le sac "ballonné" hors de contact du produit relativement 20 froid pendant que la tension dans le sac 4 en cours de thermorétrécissement augmente.

L'air emprisonné dans le sac 4 est ensuite relâché lorsque sa pression surmonte la sollicitation de la lame élastique 33, ce qui permet à l'énergie de i 25 rétrécissement contenue dans le sac tendu de forcer le sac à s'appliquer sur le produit 21. La pompe à vide ; est alors mise en route et l'air est évacué de la cham bre 1. Après un délai approprié, le fil métallique con-1 î formé 48 est excité pour rompre le col du sac et per- 30 mettre une poursuite de l'évacuation de l'air du sac ; par son col. L'évacuation de l'air de la chambre 1 se poursuit afin d'extraire l'air restant de l'intérieur : du sac 4 et de permettre le scellement du sac. Un tel ; cycle est celui décrit avec référence aux Fig. 2A et 35 2B et est en tout cas décrit et revendiqué dans la demande de brevet anglais de la Demanderesse n°81 08 437.

Une variante du cycle de fonctionnement pour la , - , ' 1 7 chambre sur la Fig. 1 est un cycle dans lequel l'évacuation de 11 air de la chambre 1 débuté au moment de la mise sous tension des éléments chauffants 10 et 11 et des moteurs 8 et 9 des ventilateurs et progresse „ 5 d'une manière telle que l'étranglement de l'embouchure i » ; du sac par le dispositif de retenue élastique entraîne ; une extraction retardée de l'air de l'intérieur du sac ; - 4. Ceci a pour effet de ballonner le sac 4 qui s'écar te du produit 21y car la pression régnant dans la cham-yo bre autour du sac 4 tombe plus rapidement que la pression de l'air à l'intérieur du sac 4. Dès que le bal— [ lonnement du sac a atteint une valeur souhaitée (gui | peut être détectée soit au moyen d'une minuterie de ; cyclage qui est basée sur le fait qu'un lot de produit | 15 semblable emballé dans une pellicule de même nature et ! soumis a une évacuation de l'air dans la chambre a une ! même allure accuse des temps de ballonnement égaux, ou !; au moyen de détecteurs mécaniques réagissant au sac 4 ij en cours de ballonnement), l'évacuation de l'air de la : 20 chambre cesse, de sorte que l'état ballonné du sac est maintenu pendant la circulation de l'air restant dans la chambre 1 par l'intermédiaire des rotors 6 et 7 des ventilateurs. Cette circulation d'air chaud provogue un transfert de chaleur supplémentaire vers la matière 25 du sac 4 avec une récupération résultante de l'énergie de rétrécissement dans le sac 4 parce que le sac est encore maintenu hors de contact d'avec le produit 21-y î contenu. Des que ce chauffage du sac 4 a atteint un degré voulu, l'évacuation de l'air de la chambre re-30 prend et le col du sac est finalement scellé lorsque ; l’intérieur du sac a atteint une pression résiduelle suffisamment basse (vide poussé). Un tel procédé est décrit et revendiqué dans la demande de brevet anglais de la Demanderesse n° 8023465.

35 D'autres cycles de fonctionnement possibles i peuvent être envisagés, par exemple des cycles dans | lesquels l'évacuation de l'air et la circulation de / 9 β 8 l'air chaud débutent simultanément et se poursuivent sans interruption jusqu’à ce qu'une pression résiduelle suffisamment basse (vide poussé) soit obtenue, et le sac est ensuite scellé.

* * 5 Avec chacune des formes précitées de cycles de fonctionnement, la chambre de la Fig. 1 comprend de préférence les dispositifs de chauffage supérieur * et inférieur 13 et 14 représentés sur les Fig. 2A et 2B .

10 Comme le montre la Fig. 2A, le dispositif c= ; retenue élastique 30 est supporté par un support supé rieur 31 faisant partie du couvercle 3 de la chambre et par un support inférieur 32 faisant corps avec la partie inférieure 2 de la.chambre. Lorsque le couverts cle 3 se ferme sur la partie inférieure 2 de la chambre, le support supérieur 31 descend vers le support inférieur'32 dans la disposition représentée sur la Fig. 2A.

Une lame de retenue élastique 33 pour un sas, j -20 en une matière caoutchouteuse appropriée est supportée par le support supérieur 31 et y est fixée par des vis 34. Le long de son bord inférieur, la lame élastique 33 vient en contact avec un organe de contrepartie ΞΞ supporté par le support inférieur 32. L’organe de contre-25 partie peut en variante être une lame semblable à 1= lame 33. Lorsque le col d’un sac en matière plastique a été placé sur l’organe de contrepartie 35 pendare que i' ï le couvercle 3 de la chambre était en position re levée, l'abaissement du couvercle 3 pour amener les 30 supports supérieur et inférieur 31 et 32 dans la disposition représentée sur la Fig. 2A provoque automatiquement la retenue du col du sac sur l'organe te contrepartie 35 de sorte que toute pression d'air différentielle accumulée dans le sac et supérieure 35 à une certaine valeur peut être évacuée par le déplacement de la lame 33. Le retrait du col du sac vers la gauche entre la lame 33 et l'organe de ctn- /! i * · - 9 trepartie 35 est contrecarré par des plongeurs à | ressort dont l'un, 36, est représenté sur la Fig.2A, i ‘ qui pressent le col du sac fermement sur l'organe de contrepartie 35. ' '! 5 L'angle d'inclinaison de la lame élastique 33 est tel que de l'air sous une pression différentielle ! suffisante est à même de s'échapper de l'intérieur du i j . sac au moins dans les régions de l'embouchure entre ! S ^ des plongeurs 36 successifs.

« po Le scellement du col du sac d'une ma nière telle qu'un espace d'air minimum soit formé .

' dans le sac autour du col, est réalisé au moyen de sources de chaleur supérieure et inférieure 37 et 38 respectivement ayant la forme de lampes allongées qui 15 rayonnent de la chaleur infrarouge d'une longueur I d'onde assurant une absorption de chaleur optimum par ! la composition de matière plastique des sacs 4 à l'in térieur de la chambre.

La longueur d'onde de la lumière énûse par 20 les lampes 37 et 38 est avantageusement choisie de manière à coïncider avec la longueur d'onde que la i matière du sac absorbe le plus facilement.La longueur d’onde en question se situe avantageusement dans l'intervalle de ; 3 à 4 microns pour la plupart des pellicules de ma- 25 tière plastique, y compris des pellicules multicoucbes et des stratifiés comme un stratifié tricouche - ther-moretrécissable (c'est-à-dire orienté) d'éthylène-acétate de vinyle, de poly(chlorure de vinylidène) et d'éthylène-acétate de vinyle irradié.

!; 30 Une, brève exposition de la région du col du ! sac au rayonnement des émetteurs de chaleur : 37 et 38 est suffisante pour chauffer la matière du ; sac à son point de ramollissement de sorte que, : lorsque les panneaux de matière du sac sont pressés i 35 l'un contre l'autre, ils se soudent l'un à l’autre au niveau des régions de l'embouchure et du sac.

Le contact de la matière du sac avec les / j 10 '1 j| ί i sources de chaleur supérieure et inférieure 37 et 38 j est évité au moyen de treillis métalliques 39 et 40 jj supportés par des paires supérieure et inférieure j correspondantes de plaques de support 41 et 42 pivo- 5 tant sur des pivots 41j3, 42a^ Chaque plaque de I ‘ support 41, 42 présente une boutonnière 41b, 42b qui j coopère à coulissement avec un erqot de came 43 ou 44 j s correspondant monte a 11 extrémité associée d'une ! . barre de pinçage supérieure ou inférieure 45 ou 46 ! ? 10 mobile dans le sens vertical. La barre de pinçage inférieure 46 comprend un corps principal comportant | une mâchoire 46a_ sollicitée élastiquement et reliée i au corps au moyen de ressorts de compression hélicoï- | daux 46b qui assurent que, lorsque les deux barres j 15 de pinçage 45 et 46 viennent en contact l'une avec | l'autre, la mâchoire 46a_ cède élastiquement.

! Le dispositif de retenue 30 comprend, en ! outre, un fil métallique conformé 48 qui est supporté ; par l'organe de contrepartie 35 et qui, selon la 20 configuration du dispositif de retenue illustrée sur I la Fig. 2A,- vient en contact avec le col du sac ; ballonné. Lorsqu'il est excité au moyen d'une impul- : sion de courant, le fil rompt le col du sac afin de ; permettre l'échappement du gaz (habituellement de j 25 l'air) contenu dans le col ballonné avant scellement.

; Le fil 48 peut, par exemple, avoir une forme en dents s de scie ou une forme ondulée sinusoïdale.

A mesure que la barre de pinçage supérieure - 45 descend, ses ergots de came 43 glissent vers 30 le bas dans les boutonnières 41b et font pivoter les organes de support pivotants supérieurs 41 dans le sens contraire à celui des aiguilles de la montre pour écarter la source de chaleur 37 et son treillis 39 vers la droite du trajet suivi par la barre de | 35 pinçage supérieure 45 qui descend.

| De meme, à mesure que la barre de pinçage ! inférieure 46 monte, ses ergots de came 44 coopèrent . f 4 \ 11 avec les boutonnières 42b des supports inférieurs 42 pour faire pivoter ces supports latéralement et pour écarter la source de chaleur inférieure 38 et son treillis 40 du trajet suivi par la barre de pin-5 çage 46 qui monte. Ceci permet le pinçage de la matière pelliculaire entre les deux barres de pinça-; ge 45 et - 46. En même temps, une lame 47 supportée ' * par là partie principale de la barre de pinçage inférieure 46 est exposée au-dessus de la mâchoire 10 à ressort-46a^ à l'intervention des ressorts de compression 46b et est à même de sectionner la matière en surplus du col du sac pendant le scellement.

La Fig. 2B illustre le mécanisme d’entraînement grâce auquel la barre de pinçage supérieure 45 15 est entraînée dans son déplacement vertical.

Comme le montre la Fig. 2B, la barre de pinçage supérieure 45 est en deux parties distinctes supportées par une chape centrale 49 sur une broche de guidage verticale 50 afin de permettre un coulis-20 sement vertical des deux parties de la barre de pinçage supérieure 45.

Les deux parties de la barre de pinçage sont reliées aux extrémités inférieures de biellettes de poussée respectives 51 dont les extrémités supé-25 rieures sont, à leur tour, articulées à des renvois de sonnette correspondants 52, 52' dont l'un 52 * apparaît sur la Fig. 2A.

-s Le renvoi de sonnette de gauche 52 comporte un pivot fixe 53 dans un coin, un pivot 54 dans 30 un autre coin qui l'articule à la biellette de poussée 51 et un autre pivot encore 55 dans le troisième coin qui l'articule à une extrémité d'une entretoise d'entraînement secondaire 56.

L'autre extrémité de l'entretoise d'entr-aî-35 nement secondaire 56 est articulée en 57 à un coin correspondant du renvoi de sonnette de droite 52' qui comporte également des pivots de contrepartie 7 12 ! . 53' et 54' correspondant aux pivots 53 et 54 décrits plus haut.

Une entretoise d'entraînement principale 58 est montée entre la tige de piston 59 d'un vérin 50 5 et un autre pivot d'articulation 61 sur le renvoi de I sonnette droit 52'. L'extension et le retrait de la tige de piston 59 font pivoter les renvois 52, 52', respectivement, dans le sens contraire à celui des aiguilles de la montre et dans le sens des aiguilles 10 de la montre et font, par conséquent, monter et descendre les barres de pinçage 45.

; Une liaison mécanique d'entraînement sem blable avec vérin est prévue pour entraîner la partie i principale de la barre de pinçage inférieure 46 vers ; 15 le haut et vers le bas.

Comme le montre également la Fig. 2B, la barre de pinçage supérieure 45 comporte une garde 62 qui y est fixée par vissage et qui sert à délimiter un intervalle dans lequel la lame 47 peut pénétrer 20 lorsque les barres de pinçage supérieure et inférieure 45 et 46 se rejoignent.

Le dispositif de retenue 30 des Fig. 2A et 2B fonctionne à divers stades pendant le cycle de la machine entière, comme décrit plus loin.

25 Lorsqu'on utilise des sacs 4 faits d'une matière pelliculaire thermorétrécissable, c'est-à- dire orientée, l'appareil représenté sur la Fig. 1 fonctionne de la manière suivante: r Un sac chargé, mais non scellé 4, fait d'une 30 pellicule d'emballage thermorétrécissable, est placé dans la chambre à vide 1 et le couvercle 3 de la chambre est déplacé vers le bas pour fermer la chambre et permettre son scellement au niveau de son bord 20.

35 Une forme d'une pellicule thermorétrécis sable (c'est-à-dire orientée) utilisée pour le sac 4 peut être un stratifié tricouche d'éthylène-acétate ' / / 13 ff de vinyle, de polychlorure de vinylidène et d'éthy-. lène-acétate de vinyle irradié, comme décrit dans 1 brevet des Etats-Unis d'Amérique n° 3.741.253 et vendu par la Demanderesse sous la marque de fabriqr i . 5 “Barrier Bag" .

i Comme expliqué plus haut, l'abaissement du ! ' couvercle 3 de la chambre fait descendre la lame élastique 33 contre le col du sac, afin de mainten: : r le col solidement sur la surface supérieure de n 10 l'organe de contrepartie 35. A ce stade, les barri de pinçage supérieure et inférieure 45 et 46 sont | rétractées et les sources de chaleur 37 et 38 sont il ^ ^ I dans la configuratxon representee sur la Fig. 2A.

il De la chaleur de rétrécissement est appli- 15 quée à la surface externe du sac avant toute évacui tion d'air substantielle de l'intérieur de la chambre et la chaleur appliquée fait débuter le rétré-: sement de la matière du sac. L'air enfermé dans 1·; 1 sac effectivement scellé (maintenu car la lame éla: r ·* 20 tique 33) résiste au rétrécissement et maintient 1:: matière du sac écartée par "ballonnement" de la sur face du produit (par exemple un morceau de viande rouge fraîche) contenu dans le sac. Tandis que le sac est ainsi maintenu dégagé de la surface du pro-25 duit, la circulation d'air chaud autour de l'exté-j' * rieur de la matière ballonnée du sac applique un supplément de chaleur à la matière du sac et compl·. :| * l'opération de thermorétrécissement pour plaquer Ir matière pelliculaire tout contre la surface du prell 30 duit. Cependant, la matière du sac aura été écart' de la surface du produit par ballonnement pendant un laps de temps suffisant pour permettre un trans-| fert de chaleur adéquat à la pellicule ballonnée ; gui n'est pas à même de fournir une quantité appré | | 35 ciable quelconque de chaleur au produit 21 et pour i porter la pellicule à sa température de rétrécisse- | - ment, de sorte qu'une proportion très élevée de ! / f 1 * 14 l'énergie de rétrécissement peut être récupérée.

Pendant ce temps, les sources de chaleur 37 et 38 sont soit désexcitées ou, de préférence, excitées à un niveau de chauffage faible qui ne leur i -*· * 5 permet pas de chauffer la matière pelliculaire du , col du sac à une température suffisante pour réaliser une fusion.

! ’ L'étranglement de l'embouchure du sac ; ' lorsqu'elle est attaquée par le dispositif de rete- ! ¢.

; , 20 nue élâstïque 30 assuré que, à mesure que l'applica tion d'une chaleur par convection à la surface externe du sac progresse, toute pression différentiel-; le excessive accumulée à l’intérieur du sac puisse être maîtrisée par évacuation de gaz (habituellement de 25 l'air) de l'intérieur du sac 4 dans une mesure telle que la matière du sac soit encore maintenue écartée | par ballonnement de la surface du produit 21 y con tenu. Comme l'effet de ballonnement dépend de facteurs communs à un lot particulier de produits 21 20 (par exemple, la température superficielle, la quan- | tité d'air contenue dans le produit, et la nature de , la surface, par exemple l'adhésivité du produit), il ! peut être avantageux de déterminer, par observation, le moment où le ballonnement se produira probable-; 25 ment, puis de minuter le processus de telle sorte | ^ que l'évacuation de l'air débute au même moment pour tous les produits d'un lot et soit mesurée par une minuterie adéquate. On peut utiliser n'importe quel autre dispositif de commande, comme on le souhaite.

3Q Etant donné que, pendant la phase de thermorétrécissement, le sac est toujours maintenu j élastiquement au niveau de son col, l’échappement d'air peut se poursuivre de l'intérieur du sac par son col dans le cas peu probable où une pression dif— 35 férentielle excessive serait exercée sur la matière du sac, tandis que le reste du sac se plaque par rétrécissement sur la surface du produit 21 de / 9 - 15 manière à fournir une surface en substance sans pli qui couvre le produit 21 et à néanmoins laisser le col du sac à même de subir un soudage lorsque les barres de pinçage 45 et 46 se ferment l'une contre • 5 l'autre.

Au terme de la phase de ballonnement et avant d'entamer l'évacuation de l’air du sac, on excite brièvement le fil conformé 48 pour rompre le ; col du sac et évacuer le gaz emprisonné dans ce col.

' 10 L'évacuation de l'atmosphère de la chambre (et du sac 4 maintenant rompu) progresse jusqu’à ce que le vide souhaité soit atteint. Au terme de la phase d’évacuation de l'air ou peu avant celui-ci, on peut activer' les lampes 37 et 38 au 15 maximum pour qu'elles émettent de la chaleur rayonnante à la longueur d'onde souhaitée pour une absorption de chaleur optimum par la matière pelliculaire et ainsi pour qu'elles chauffent le col du sac percé jusqu'à sa température de fusion.

20 Les vérins 60 sont alors actionnés pour amener les barres de pinçage supérieure et inférieure ! 45 et 46 l'une contre l'autre et écarter simulta nément par pivotement les sources 37 et 38 et leurs treillis associés 39 et 40.

25 Dès que la barre de pinçage supérieure 45 est entrée en contact avec la mâchoire de pinçage à ;ί ressort 46a., l'action des vérins 60 amène la lame 47 à sectionner le col du sac pour en détacher la matière ji en surplus. Les mâchoires de pinçage 45 et 46 : 30 retiennent fermement le col le long ce la lame 47 ? pour effectuer le soudage. Pendenr tente cette opé- '1 ration, l'embouchure du sac est encore pincée entre 1 la lame élastique 33 et l'organe -de contrepartie 35 S. de sorte que le sac est encore solidement maintenu 35 dans le dispositif de retenue 30.

;ji Le retrait des barres de pinçage supérieure ! ii et inférieure 45 et 46 ramène les sources de chaleur 16 • 37 et 38 et leurs treillis 39 et 40, respectivement, dans la configuration de la Fig. 2A. L'évacuation : de l'air de la chambre s'effectue après ce retrait des barres de pinçage 45,’ 46, de sorte que tout air | 5 résiduel peut s'échapper sans entrave du sac.

Lorsque la chambre à vide est remise sous pression, lors de l'ouverture, les parties chauffées du col du sac situées à gauche des organes de pinçage 45 et 46 sont pressées l'une contre l'autre pour -, q réaliser un soudage par fusion et pour réduire la dimension de la matière du sac éventuellement en surplus autour de la zone de scellement pour donner un aspect net à l'emballage terminé.

La matière du sac en surplus sectionnée par : -j.5 la lame 47 est encore maintenue entre la lame élasti que 33 et l'organe de contrepartie 35 et peut être enlevée pendant ou après l'enlèvement de l'emballage I de la chambre ouverte.

; Le processus décrit plus haut est particu- 20 lièrement commode avec des produits humides tels que de la viande rouge fraîche dans des sacs thermoré-; trécissables, parce que l'augmentation de la pres sion exercée sur la surface de la viande, pendant l'effet de ballonnement du sac, tend à maintenir I 25 l'humidité dans le produit et à éviter la formation de buée sur la surface interne du sac lorsqu'il est dans l'état ballonné. De plus, l'évacuation rapide ; - de l'air emprisonné lors du percement ou sac permet \ ' à la matière du sac d'entrer en contact avec le pro- 30 duit rapidement et avant la formation d'une telle buée. Cela étant, l'aspect de l'emballage terminé est particulièrement agréable dans le cas de produits | humides, comme de la viande rouge fraîche.

Dans le cas de tous les produits emballés 35 par ce procédé, la nature exempte de pli du produit ; . est améliorée par l'adoption d'une phase de rétré- 1 cissement préliminaire suivie d'une évacuation de 17 ,· ί I l'air ultérieure (par opposition à la séquence clas sique âu scellement sous vide suivie du rétrécisse-| ment).

i L'emballage terminé conforme à l'invention 5 est, en outre, fortement amélioré par rapport aux emballages ajustés par rétrécissement, dans lesquels î un bain de rétrécissement aqueux est utilisé pour : - atténuer les effets de "dissipation thermique" du | * produit relativement froid et à capacité thermique 10 élevée, parce que le tétrécissement de la pellicule ! en contact avec de l'air permet un taux de récupéra tion plus élevé de l'énergie de rétrécissement et, !. par conséquent, une plus forte augmentation d'épais- ! seur, avec pour résultat que les propriétés de bar- 15 rière du sac (importantes pour maintenir le scelle-! ment hermétique du produit et sa fraîcheur jusqu'au moment de-sa consommation) sont plus efficaces- De plus, la résistance d'un tel sac aux déprédations est améliorée en raison de l'épaisseur accrue.

20 Etant donné que la poche d'air emprisonné ! dans le sac pendant la phase de rétrécissement pré- ; cédant le chauffage résiste à l'affaissement du sac | et postpose le contact du sac avec le produit froid, ! cet effet d'augmentation de l'épaisseur est encore 25 plus sensible et il en est de même pour 11 aspect exempt de pli du sac qui dépend à nouveau du degré de récupération de l’énergie de rétrécissement latente dans la matière pelliculaire. De plus, comme le rétrécissement est provoqué par des courants d'air ; 30 qui se déplacent autour de la totalité du produit, le rétrécissement du sac est uniforme autour du produit, ce qui élimine le risque d'emprisonnement ; de poches d'air derrière "l'équateur" du produit (c'est-à-dire la zone de plus grande section dans un I 35 plan perpendiculaire à l'axe longitudinal du sac), i De plus, la caractéristique précitée selon i laquelle il n'y a que peu ou pas de vapeur d'eau ! / 7 , . > f 3 8 dans l'air présent entre le produit et le sac qui rétrécit (ce qui est dû à l'amorçage du rétrécissement avant toute réduction de pression et même avec une faible augmentation de pression, comme le montre * · 5 la Fig. ’4) assure que la quantité de chaleur de * rétrécissement requise soit moins élevée parce que î l'air sec présent sur la surface interne du sac * absorbe moins de chaleur que n'en absorberait de * l'air chargé d'humidité.

10 Etant donné que les supports inférieur et supérieur 31 et 32 du dispositif de retenue élastique 30 sont supportés par la partie inférieure 2 et par le couvercle 3 de la chambre, respectivement, ils se juxtaposent automatiquement en contact l'un avec 15 l'autre lorsque la chambre est fermée et il suffit au préposé de faire en sorte que le col du sac 4 soit placé sur l'organe de contrepartie 35 avant la fermeture de la chambre.

Si or. le souhaite, lorsque les sacs chargés 20 sont introduits par un transporteur dans la chambre 1, le transporteur peut être du type qui assure que, lorsque le sac 4 est arrêté, son col soit correctement placé en vue d'un pinçage d'étranglement sans exiger un positionnement soigneux par un préposé.

25 Comme indiqué plus haut, d'autres mécanismes de fermeture de sac peuvent être prévus en vue d'être * utilisés avec les dispositifs de soudage à chaud par s rayonnement 13 et 14 décrits plus haut.

' Par exemple, on peut fermer le col du sac 30 par une barre de soudage et de rognage 70 classique (Fig. 3) qui sectionne l'excès de matière et soude l'embouchure du sac suivant la ligne de pression entre les barres de pinçage supérieure et inférieure (au moyen d'un élément chauffant par résistance).

35 L'apport de chaleur à la région du col entre le dispo sitif de rognage et de soudage 70 et le produit 21 a pour résultat que,lorsque la chambre 1 est remise

A

ί ! 19 ; * i ! sous pression, la matière du sac dans la région du col a été chauffée dans une mesure telle qu'elle se soude à elle-même en s'affaissant, formant une région de col plus nette pour l'emballage.

! i 5 En variante, le col du sac peut être placé dans un dispositif de resserrement 71 (Fig.4) de manière à être resserré dans une chambre à vide lorsque la chambre se ferme et il porte une agrafe 'S j j ^ posée par le dispositif 71a_ au terme des operations 10 d'évacuation de l'air et de rétrécissement. Un tel dispositif de pose d'agrafes dans la chambre ' est décrit dans le brevet anglais de la Demanderesse' n° 1.353.157.

Il est aussi possible de supprimer le dis— 15 positif de pose d'agrafes 71ja sur la Fig. 4 et d’effectuer le resserrement après que l'excitation des sources de chaleur inf raroi’ge ait chauffé le ; col du sac dans la région prêre à être resserrée.

Lorsque les régions de col ainsi chauffées et ramol-20 lies sont froncées à l'intervention du dispositif de resserrement 71 (qui peut être par exemple du type décrit et revendiqué dans les brevets anglais ,j n° 1.353.157, 1.361.142 et 1.496.740), le resserre- Ί ment est suffisant pour faire adhérer la matière du | 25 col à elle-même et pour amener le col à ressembler | : à un col agrafé mais dépourvu d'agrafe. Le simple i ramollissement à chaud de la région du col du sac I ä est suffisant pour provoquer un contact étroit et I un scellement de la région resserrée du col.

|s 30 Le dispositif de resserrement 71 représenté schématiquement peut par exemple opérer en deux stades, comme décrit dans le brevet anglais n° 1.353.157 en ce sens qu'il commence par resserrer l'embouchure du sac en une fente horizontale à mesure 35 que la chambre se ferme et qu'il réalise un étranglement de l'écoulement du gaz à partir de l’intérieur g du sac suffisant pour favoriser l'effet de bal- 11 >

•T

|| f 20 j lonnement souhaité avant l'excitation des sources de rayons infrarouges. Le second stade de resserrement réduit alors la longueur de cette fente pour froncer le col du sac en une configuration resserrée auto- rj % * : , 5 adhérente. En variante, un autre effet d'étrangle- i ment de l'embouchure du sac peut être produit et le | * dispositif de resserrement 71 peut alors être action né pour resserrer complètement le col du sac après ; ‘ l'effet de chauffage à ballonnement.

10 La description qui précède des divers cycles | de fonctionnement possibles avec la chambre 1 de la

Fig. 1 se rapporte à l'utilisation d'une pellicule thermorétrécissable. Cependant, il peut être possible d’utiliser le procédé conforme à l’invention 15 avec d’autres pellicules, par exemple avec des pellicules autosoudables qui sont ramollies à chaud et qui se soudent alors lorsqu'elles viennent en contact l'une avec l'autre.

i De même, on peut utiliser les variantes de 20 chambres représentées sur les Fig. 3 et 4 avec n’importe quelle pellicule adéquate, y compris une pellicule thermorétrécissable et une pellicule autosouda-ble.

, La Fig. 5 est une vue schématique d'un cir- 25 cuit de commande possible pour l'excitation des lampes i 37 et 38 qui émettent de la chaleur rayonnante. Un transformateur variable 72 est connecté aux bornes ! 3 d'entrée 73 et 74 et entre ces deux bornes 73 et 74 est connectée une ligne de dérivation comprenant un 30 micro-interrupteur 75 et un dispositif à temps 76.

! Une autre ligne de dérivation comprend un interrupteur 77 et un disjoncteur 78, le disjoncteur étant lui-même j connecté à des contacts d'interrupteurs 79 et 80 dans le circuit du secondaire du transformateur variable 72.

35 Les deux contacts d'interrupteurs 79 et 80 commandent donc l'excitation des lampes émettant des rayons infrarouges 37 et 38 qui sont connectées en parallèle /! • 9 4 21 dans le circuit du secondaire du transformateur varia-! ble 72.

1 Le transformateur variable est excité en permanence et le démarrage du cycle est enclenché » \ 5 par 1'actionnement du micro-interrupteur 75, en réponse i 4 ; au déplacement d'ion élément mécanique quelconque, par exem- » pie à la fermeture du couvercle 3 de la chambre. La ; * fermeture du micro-interrupteur 75 fait démarrer le cycle de minutage du dispositif à temps 76, de sorte ! 10 que l'interrupteur 77 se ferme immédiatement, excitant le disjoncteur 78 qui ferme les contacts 79 et 80 pour allumer les lampes 37 et 38.

| Après un délai déterminé par le dispositif I à temps 76, l'interrupteur 77 s'ouvre, ouvrant le 15 circuit du disjoncteur 78 qui ouvre alors les contacts 79 et 80 pour éteindre les lampes 37 et 38.

Dans une variante particulièrement avantageuse du circuit de la Fig. 5, ces moyens peuvent être prévus pour réduire la consommation des lampes à une 20 valeur d'attente (par exemple de 20% de leur puissance maximum) au lieu de les désactiver complètement lors-! que le disjoncteur 78 a déclenché. Ceci peut être réalisé, par exemple, au moyen d’un système de commu-! tation à deux directions au niveau des contacts 79 | 25 et 80 de telle sorte que, dans une position des con- ! tacts mobiles, un circuit "d'attente" est fermé pour allumer les lampes 37 et 38 à leur puissance d'attente j » et, dans l'autre position du contact mobile, le circuit principal représenté sur la Fig. 5 peut être activé, i 30 Ie réglage du transformateur variable 72 peut ! permettre la modification de la puissance des lampes i et, de la même manière, le dispositif à temps 76 peut i être réglé pour permettre un délai, par exemple de 2 à ! 6 secondes, pour le fonctionnement des lampes 37 et | 35 38.

! Un type préféré de lampe à utiliser pour j les lampes 37 et 38 est une lampe Philips 13195 X/98, 22 I · ?s t fournie par la Société Philips Electrical Company.

Les avantages de l'utilisation du système de soudage par fusion décrit et représenté plus haut comprennent le fait que l'inertie thermique des 5 lampes à rayons infrarouges 37 et 38 est très faible^ t de sorte qu'il est possible de ne les allumer que lorsqu'un soudage par fusion est requis. De plus, le . soudage par fusion a l'avantage qu'il n'y a pas de contact physique entre les lampes fournissant la chaleur et la matière plastique à souder.

Un avantage particulièrement important de l’invention est que la chaleur est appliquée par rayonnement aux pellicules avant qu'elles entrent en contact l'une avec l'autre, ce qui assure que le -^5 trajet d'énergie rayonnante le plus court possible des lampes aux pellicules pincées puisse être établi sans que lès lampes 37 et 38 doivent être placées l'une près de l'autre. Au contraire, les lampes peuvent être très largement espacées et la matière 20 âu C°1 ssc Peut être déformée par ballonnement au voisinage des lampes de manière a raccourcir la distance séparant la source de chaleur de la matière du sac. Ceci donne un appareil beaucoup moins encombrant du point de vue (a) du chargement du sac dans 25 la chambre, ou (b) d'une manière plus générale (lorsque le soudage par fusion d'une pellicule en vue de „ former un emballage est effectué sans l'aide d'une chambre à vide) du maintien de deux parties de pellicule quelconques à souder dans une position prépara-2o toire au chauffage jusqu'à fusion au moyen de l'appareil conforme à l'invention.

De plus, on peut rapidement et facilement régler la quantité d'énergie communiquée aux pellicules en modifiant la tension d'alimentation des 25 lampes, en modifiant le temps pendant lequel ces lampes sont excitées ou en réglant ces deux paramètres .

t j i ; 23 · i Si on le souhaite, la région du col du sac peut être recouverte par impression d'une matière présentant un coefficient d'absorption élevé de manière à garantir une absorption de chaleur loca-5 lisée encore plus intense.

Les valeurs envisagées pour le vide pour les pr: * cédés décrits plus haut sont de l'ordre de 5 Torrs..

Cependant, le vide peut être beaucoup moins poussé (pression résiduelle plus élevée) si on le souhaite ! . 10 (par exemple lorsqu'on emballe des produits comme des fromages dits à dégagement de gaz élevé qui j dégagent naturellement du gaz, par exemple du dioxyde de carbone/ et pour lesquels ce dégagement est beaucoup plus rapide s'ils sont emballés sous un vide 15 poussé) .

j Comme le montrent les Fig. 1, 3 et 4, les dispositifs servant à appliquer de la chaleur à la matière du sac comprennent des ventilateurs faisant circuler de l'air chaud. En variante, d'autres 20 moyens de chauffage du sac peuvent être utilisés en association avec les dispositifs de chauffage 13 et 14 émettant de la chaleur rayonnante.

! Des températures de 90 à 140°C sont néces saires dans la pellicule ballonnée afin de réaliser 25 un thermorétrécissement dans le cas d'une pellicule rétrécissable orientée biaxialement. Cependant, ’ des températures plus élevées peuvent être communiquées à la pellicule dans la » : région du col par les dispositifs de chauffage 13 30 et 14 émettant de la chaleur rayonnante en vue de favoriser un soudage par fusion.

La description qui précède se rapporte d'une manière générale à l'action sur un sac individuel 4 dans la chambre, bien qu'il soit évident que deux 35 sacs 4 distincts soient prévus sur la Fig. 1. Le procédé et l'appareil conformes à l'invention peuvent être conçus pour souder un emballage ou deux ou plus : / 24 * ; de deux emballages simultanément et cette souplesse ; d'emploi s'applique également aux trois formes d'exécution distinctes représentées sur les Fig. 1# I 3 et 4^31051 qu'à toute autre forme d'exécution ren- * · 5 trant dans le cadre de l'invention.

h * .U .

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Claims (16)

1. 3. Procédé suivant la revendication 1, 20 caractérisé en ce qu'on effectue le soudage à chaud dans une chambre à vide (2,3) dans laquelle le produit enveloppé est placé et on évacue l'air de la chambre pour abaisser la pression régnant dans la pellicule de matière plastique (4) et autour de celle-ci avant que 25 les parties correspondantes de la pellicule d'enveloppement soient soudées l'une à l'autre pour former un emballage sous vide.
2. 4. Procédé suivant la revendication 3, caractérisé en ce que la pellicule de matière plas- 30 tique a la forme d'un sac (4) maintenu alors que son col est étranglé de manière à retarder l'échappement du gaz de l'intérieur du sac (4) et soumis à un effet de ballonnement, et le rayonnement infrarouge est émis par des sources (13,14) placées tout près du col du sac pour chauffer 35 le col ballonné par l'échappement retardé du gaz de l'intérieur du sac (4) et le gaz peut ensuite s'échapper du sac (4) chauffé, les parties du col étant amenées en :: * ? s 26 i contact l'une avec l'autre afin de se souder lors du contact.
3. 5. Trocédé suivant la revendication 4, caractérisé en ce qu'on permet au gaz de s'échapper du 5 sac (4) en retenant élastiquement le col du sac pour restreindre l'échappement du gaz jusqu'à ce que la différence de pression entre l'intérieur et l'exté-. rieur du sac atteigne une valeur à laquelle le dispo- * sitif de retenue (30) du col du sac cède élastiquement 10 pour permettre au gaz de s'échapper par 1 ' embouchure-du sac.
4. 6. Procédé suivant la revendication 4 ou 5, caractérisé en ce qu’on provoque le ballonnement du col du sac en chauffant la matière du sac à l'aide 15 de moyens de chauffage supplémentaires (6, 7, 8, 9, 10, i 11 ) et on provoque l'échappement du gaz de l'intérieur du sac (4)' en rompant le col du sac ballonné pour permettre au gaz de s'échapper en substance sans entrave de l'intérieur du sac. 20 7 - Procédé suivant la revendication 6, caractérisé en ce que les moyens de chauffage supplémentaires cor.prennent des moyens de chauffage à convection forcée (6, 8, 10) et (7, 9, 11) qui font circuler de l’air chaud autour de l'extérieur du sac. 1 25 8 - Procédé suivant la revendication 6 ou 7, caractérisé en ce que la matière pelliculaire est une pellicule the rmorétrécissable.
5. 9. Procédé suivant l’une auelconoue des ·* -* revendications 4 a 8, caractérisé en ce qu'on provoque 30 le ballonnement du sac (4) en faisant subir un rétrécissement thermique à la matière du sac tandis que le col du sac est maintenu étranglé.
6. 10. Procédé suivant la revendication 4 ou 5, caractérisé en ce qu'on provoque le ballonnement du 35 col du sac en. évacuant de l'air de l'intérieur de la ! chambre (2,3- psur soumettre la matière pelliculaire du sac à une .différence de pression due au col du sac étranglé. / if il * · 9 4 ' · I 27
7. 11. Procédé suivant l'une quelconque des revendications précédentes, caractérisé en ce que la matière pelliculaire est une pellicule multicouche | comprenant au moins une' couche d'éthylène-acétate 5 de vinyle, une couche de poly(chlorure de vinylidène), j et une couche d'éthylène-acétate de vinyle irra-, > dié,' la longueur d’onde du rayonnement infrarouge a étant de 3 à 4 microns*
8. 12. Appareil pour former un emballage compre- lO nant un support (5) pour des marchandises et une pellicule de matière plastique d'enveloppement, une source de chaleur pour chauffer des parties correspondantes de ' la pellicule de matière plastique d'enveloppement et un dispositif pour amener ces parties correspondantes 15 de la pellicule de matière plastique d'enveloppement en contact l'une avec l'autre pour fermer l'emballage, caractérisé en ce que la source de chaleur comprend au moins une source de rayons infrarouges (13, 14) placée de manière à irradier ces parties de pellicule corres-20 pondantes d'une pellicule d’enveloppement supporté et des moyens (8, 10) et (9, 11) sont prévus pour maintenir les parties de pellicule correspondantes hors de contact l'une de l'autre pendant que les sources de rayons infrarouges fonctionnent. 25 13 - Appareil suivant la revendication 12, caractérisé en ce que la source de rayons infrarouges (13, 14) I ; et le support (5) sont disposés dans une chambre à vide (2, 3) et les moyens destinés a maintenir les parties de ! · pellicule correspondantes hors de contact l'une de ; 30 l'autre comprennent un moyen (30) pour étrangler le col ' du sac (4) dans la chambre et des moyens (6,8,10) et (7,9,11) pour ballonner le col du sac supporté sur le support (5) dont le col est étranglé par le moyen d 1 étrsnglerrent, et les I moyens destinés à amener ces parties de pellicule.. ; 35 correspondantes en contact l'une avec l'autre pour i fermer l'emballage comprennent des moyens pour évacuer : du gaz de l'intérieur (4) afin de supprimer la con- : /! ! V f 28 1 ' ! ' figuration ballonnée du col du sac après chauffage du sac par les moyens (13, 14) émettant des rayons infrarouges : de manière à amener la matière du col ballonné et ; chauffé à entrer en contact avec elle-même et à se I 5 souder lors de ce contact. f : t 1; 14 - Appareil suivant la revendication 13, ! = caractérisé en ce que les moyens d'étranglement du - j * col comprennent un dispositif de resserrement (71) du col j ’ du sac propre à étrangler le col du sac par resser- « ; 10 renient pour réaliser le soudage. i - 15 - Appareil suivant la revendication 14, ; caractérisé en ce que le dispositif de resserrement (71) | est programmé pour resserrer le col du sac après exci- | tation des moyens (13,14) émettant les rayons infrarouges, j 15 16 - Appareil suivant la revendication 14, caractérisé par un dispositif d'agrafage (71a) propre à 5 être mis eh oeuvre pour poser une agrafe destinée à fermer le col du sac après la suppression de sa confi-: guration ballonnée. i 20 17 - Appareil suivant l'une quelconque i des revendications 13 à 16, caractérisé en ce que ! les moyens destinés à supprimer la configuration ; ballonnée du col du sac comprennent des moyens (48) des- : tinés à rompre le col du sac ballonné, i 25 18 - Appareil suivant la revendication 17, j caractérisé en ce que les moyens destinés à suppri- ’ mer la configuration ballonnée du col du sac compren- !' - nent des mâchoires de retenue (45,46a) coopérantes placées ί ' près du moyen de rupture (48) du col du sac, du côté de ! 30 ce moyen de rupture (48) le plus proche du support 45) eu sac, i pour pincer le col du sac en vue de le refermer après I que le gaz s'est échappé par la partie rompue du col.
9. 19. Appareil suivant l'une quelconque ; des revendications 13 à 18, caractérisé en ce que i 35 les moyens émettant des rayons infrarouges compren- | nent deux lampes allongées (13,14) disposées parallèlement I l'une .à l’autre de part et d'autre de l'emplacement i / ! /; 29 - * prévu pour la matière du col ballonné du sac (4).
10. 20. Appareil suivant la revendication 1 caractérisé en ce que les moyens d'étranglement du col comprennent deux barres de pinçage (33,35) parallel 5 disposées près de l'espace séparant les lampes O 14. et à même de pincer le col du sac entre elles
11. 21. Appareil suivant la revendication 1 . caractérisé en ce qu'au moins une (33) des barres de çage peut exercer un effet de pinçage qui cède él s 10 tiquement de manière à permettre au gaz de s'écha de l'intérieur du sac (4) dans le cas d'une différenc de pression excessive agissant sur la matière pel culaire du sac.
12. 22. Appareil suivant la revendication 1 15 et l'une quelconque des revendications 19 à 21, : térisé en ce que les mâchoires de retenue (45,46a) se r -chent et's'écartent l'une de l'autre suivant un trajet d'action et les lampes allongées (13, 14) sono de manière à se déplacer entre une position acti' 20 dans laquelle elles sont disposées le long du tr^ entre des positions espacées des mâchoires de retenue (4: et une position inactive dans laquelle elles son·', dégagées eu trajet d'action pour permettre aux ms choires de retenue de se fermer l'une contre 1'au 25 23 - Appareil suivant la revendication 1 caractérisé en outre par des treillis (39,40) ass « * aux 1 airpes pour empêcher tout contact physique ce lampes (13,.14) avec la matière ballonnée du col sac pendant le chauffage. 30 24 - Appareil suivant l'une quelconque revendications 19 à 23, caractérisé en ce que le>; lampes allongées (13,14) comprennent des réflect-destinés à diriger tout le rayonnement émis par -[ lampe (13, 14) vers l'espace situé entre les den. 135 25 - Appareil suivant la revendication 1 caractérisé en ce que chaque réflecteur comprend ! revêtement réfléchissant apoliaué sur une oartie I A 1-- » 30 ; la surface de la lampe (13 ou 14) pour réfléchir le rayonnement qui ne serait pas dirigé naturellement vers l'espace situé entre les lampes (13 et 14).
13. 26. Appareil’ suivant l'une quelconque des l 5 revendications 19 à 25, caractérisé en ce qu'il comprend des moyens pour exciter les lampes allongées j (13,14) à un premier niveau auquel elles émettent un I. rayonnement infrarouge d'une intensité suffisante i , pour chauffer le col du sac ballonné et à un deuxième ! 5 10 niveau auquel elles fonctionnent dans un état d*at tente dans lequel elles consomment nettement moins de courant.
14. 27. Appareil suivant l'une quelconque des revendications 19 à 26, caractérisé en ce qu'il comprend 25 un dispositif à trir-?s (75) pour minuter la durée de l'émission du rayonnement infrarouge par les I lampes allongées (13, 24) et un dispositif pour régler l'in tensité avec laquelle elles émettent le rayonnement ; infrarouge de chauffage du sac. 20 28 - Appareil suivant l'une quelconque des revendications 13 à 27, caractérisé en ce que le moyen servant à ballonner le col d'un sac comprend au moins un ventilateur de circulation d'air (6,8) er (7,9) dans la chambre et un élément chauffant (10, 11) 25 pour chauffer l'air ainsi mis en circulation.
15. 29. Appareil suivant l'une quelconque des ; . revendications 1? à 28, caractérisé en ce qu'il coir.- i . prend un moven (4 « pour sectionner le surplus de matière j * du col du sac de l'emballage après le fonctionnement 30 des moyens émettant des rayons infrarouges (13, 14).
16. 30. Emballage formé par le procédé suivant i l'une quelconque des revendications 1 à 11 ou à l'aiae ! de l'appareil suivant l'une quelconque des revendica- ! tions 12 à 29. \UXJ31