FR3047227A1 - Support universel de bateau ou ber avec deux bras a angle d'inclinaison reglable pour la reception de divers profils de coque de bateau - Google Patents

Abstract

L'invention concerne un support (1) universel de bateau ou ber comprenant une base (2) supportant deux bras (3) dont l'inclinaison par rapport à la base (2) est réglable, les bras (3) formant un V étant destinés à recevoir entre eux une coque d'un bateau, chaque bras (3) étant associé à deux biellettes (4) reliées d'une part au bras (3) et d'autre part à la base (2). La base (2) porte quatre séries de crans (5) dont deux pour chaque bras (3) et les deux biellettes (4) associées à chaque bras (3) portent chacune un organe d'indexage (6) pénétrant dans un des crans (5) d'une série respective pour le réglage et le maintien en position de chaque bras (3) par rapport à la base (2).

Description

DOMAINE TECHNIQUE DE L’INVENTION L’invention concerne le domaine des navires ou yachts, notamment des navires embarquant un ou des bateaux auxiliaires sur un ponton à leur bord. Plus précisément l’invention concerne un support universel de bateau, aussi appelé ber, qui est donc réglable pour recevoir la plupart des coques de bateau en son intérieur. En alternative, le support universel de bateau peut se trouver sur la terre ferme et recevoir un bateau en cale sèche. L’invention trouve pour application particulièrement avantageuse le domaine de la navigation de plaisance.

ÉTAT DE LA TECHNIQUE

Il existe plusieurs supports de coque de bateau pouvant être embarqués sur un navire ou se trouver à terre.

Par exemple le document US-A-8 061 932 décrit dans un ensemble de soulèvement hydraulique d’un bateau retenu dans l’ensemble par sa coque, cet ensemble présentant un support adaptable à différents profils de coque de bateau.

Le support comprend une base recevant deux bras dont l’inclinaison par rapport à la base est réglable. La base du support est reliée par une branche hydraulique à un appareil de levage du bateau. Les bras forment un V en recevant entre eux la coque d’un bateau. Chaque bras est associé à au moins une biellette reliée d’une part au bras et d’autre part à la base.

Pour ce faire, la base et le bras présentent une série d’alésages consécutifs dans la longueur de la base et du bras. A un alésage du bras correspond un alésage de la base, les deux alésages formant une paire, la biellette étant fixée d’un côté au bras par un organe de fixation traversant un alésage du bras et à la base par un autre organe de fixation traversant un alésage de la base.

La biellette présente donc un alésage à chacune de ses extrémités, un des alésages étant aligné avec un alésage de la série d’alésages portés par le bras, l’autre alésage de la biellette étant être aligné avec un alésage de la série d’alésages portés par la base pour la solidarisation de la biellette.

Comme la biellette présente la même longueur, l’utilisation d’une paire d’alésages du bras et de la base placés les plus internes au support utilisés pour la fixation de la biellette fait que le bras associé à la biellette est plus incliné par rapport à l’horizontal que pour une paire d’alésages se trouvant plus à l’extérieur du support. Il est ainsi déterminé l’inclinaison des branches du V formées par les deux bras.

Ce mode d’ajustement de la position des bras par rapport à une coque de bateau présente de nombreux désavantages.

Le premier désavantage est que deux opérations de solidarisation de la ou de chaque biellette avec d’une part le bras et d’autre part la base sont requises, ce qui prend du temps.

Le deuxième désavantage est que pour la fixation de la biellette avec le bras, ce bras doit être maintenu avec l’inclinaison requise lors de l’introduction du moyen de fixation dans l’alésage, ce qui est mal aisé compte tenu du poids du bras. De plus, l’alignement d’un alésage de la biellette avec un alésage du bras tout en maintenant le bras en position inclinée est une opération très difficile à réaliser par un seul opérateur.

Le troisième désavantage est que la liaison procurée par l’élément de fixation peut être déficiente, par exemple dû à un desserrage de l’élément de fixation ou une usure de l’élément de fixation subissant le poids du bateau et soumis à une action de cisaillement provoquée par le bras.

Un objet de la présente invention est donc de proposer un support universel pour bateau adaptable à différentes coques de bateau qui soit facile d’adaptation tout en étant résistant en tant que support.

RÉSUMÉ DE L'INVENTION

Pour atteindre cet objectif, un aspect de la présente invention concerne un support universel de bateau, comprenant une base supportant deux bras dont l’inclinaison par rapport à la base est réglable, les bras formant un V et étant destinés à recevoir entre eux une coque d’un bateau, la liaison entre d’une part chacun des deux bras et d’autre part à la base étant réalisée au moyen de deux biellettes, caractérisé en ce que l’un parmi la base ou les bras porte au moins quatre séries de crans, chaque série de crans étant associée à une, différente, des biellettes. Avantageusement les biellettes sont montées pivotantes à une première de leurs extrémités à l’autre parmi la base ou l’un des bras et portent chacune à une deuxième extrémité un organe d’indexage pénétrant dans un des crans d’une série respective pour le réglage et le maintien en position de chaque bras par rapport à la base. L’effet technique obtenu est un montage facilité des bras sur le support. Il n’y a plus besoin d’utiliser des organes de fixation entre les biellettes et la base, la fixation étant simplement réalisée par introduction d’un organe d’indexage porté par chaque biellette dans un cran porté par la base. Le temps de montage en est réduit et le nombre de pièces à utiliser pour le montage est diminué.

Un alignement précis préalable de la biellette avec la base n’est alors plus requis, l’organe d’indexage étant guidé par les bords du cran dans la position de solidarisation adéquate.

Un autre aspect de la présente invention concerne un ensemble d’un support universel de bateau et d’une surface solide sur lequel repose le bateau par l’intermédiaire du support, caractérisé en ce que le support est tel que précédemment décrit.

La surface solide sur laquelle repose le support peut être la terre ferme, un ponton ou une structure embarquée sur un bateau ou une plate-forme, par exemple une plate-forme de levage.

Un tel ensemble cumule les avantages d’un support tel que précédemment revendiqué avec une possibilité de déplacement facilité d’un tel support. Le support peut alors présenter des organes de roulement par rapport à la surface solide pour son déplacement sur et hors de la surface solide.

Un autre aspect de l’invention concerne un navire apte à porter un bateau auxiliaire sur au moins un ponton, caractérisé en ce qu’il comprend un support universel tel que décrit précédemment.

Un dernier aspect de l’invention concerne un procédé de support d’un bateau par l’intermédiaire d’un support universel tel que décrit précédemment, le bateau présentant une coque destinée à être supportée par deux bras inclinés portés par une base en formant un V, le maintien des bras en position de V étant effectué par au moins deux biellettes reliées de manière pivotante à chaque bras, caractérisé en ce qu’il comprend les étapes suivantes : - détermination d’une forme de V appropriée à la coque du bateau à supporter, - réglage et maintien de l’inclinaison des bras selon la forme du V déterminé par insertion d’un organe d’insertion porté par chaque biellette dans un cran porté par la base, - coulissement du bateau entre les bras en direction transversale de la base.

BRÈVE DESCRIPTION DES FIGURES

Les buts, objets, ainsi que les caractéristiques et avantages de l’invention ressortiront mieux de la description détaillée d’un mode de réalisation de cette dernière qui est illustré par les dessins d’accompagnement suivants dans lesquels : - la figure 1 est une représentation schématique d’une vue en perspective d’un mode de réalisation d’une base d’un support universel selon la présente invention, la base étant montrée séparée du reste du support universel à cette figure, la figure 2 est une représentation schématique d’une vue longitudinale du même mode de réalisation de la base d’un support universel selon la présente invention, la base étant montrée séparée du reste du support universel à cette figure, - la figure 3 est une représentation schématique d’une vue longitudinale agrandie de la lumière portée par une portion longitudinale repliée de la base d’un support universel selon la présente invention, - la figure 4 est une représentation schématique d’une vue de dessus en perspective d’un mode de réalisation d’un des deux bras d’un support universel selon la présente invention, le bras étant montré séparé du reste du support universel à cette figure, - la figure 5 est une représentation schématique d’une vue longitudinale du même mode de réalisation d’un des deux bras d’un support universel selon la présente invention, le bras étant montré séparé du reste du support universel à cette figure, - la figure 6 est une représentation schématique d’une vue en perspective du même mode de réalisation d’un des deux bras d’un support universel selon la présente invention, la face supérieure portant un rouleau de support pour une partie de coque de bateau, le bras étant montré séparé du reste du support universel à cette figure, la figure 7 est une représentation schématique d’une vue longitudinale de deux bras montés sur la base d’un mode de réalisation d’un support universel selon la présente invention, le support étant montré complet à cette figure, la figure 8 est une représentation schématique d’une vue en perspective de deux biellettes associées à un même bras portant chacun un doigt comme mode de réalisation d’un organe d’indexage avec la base d’un support universel selon la présente invention, - la figure 9 est une représentation schématique d’une vue longitudinale d’un mode de réalisation d’une des deux biellettes associées à un bras d’un support universel selon la présente invention, - la figure 10 est une représentation schématique d’une vue latérale du support universel selon la présente invention, montrant une extrémité munie d’un mode de réalisation d’un dispositif de verrouillage du support par rapport à une surface solide sur laquelle le support est destiné à coulisser, la figure 11 est une représentation schématique d’une vue partielle agrandie en perspective d’un mode de réalisation du dispositif de verrouillage montré à la figure 10 et la figure 11a est une représentation schématique d’une vue latérale d’une came faisant partie du dispositif de verrouillage montré aux figures 10 et 11, la figure 12 est une représentation schématique d’une vue en perspective d’un mode de réalisation d’un ensemble selon la présente invention formé d’un support universel et d’un rail pour le coulissement d’au moins un organe de roulement porté par la base du support universel, la figure 13 est une représentation schématique d’une vue en perspective d’un mode de réalisation d’un support universel selon la présente invention en position de réception d’une coque de bateau destinée à être supportée par le support. la figure 14 est une représentation schématique d’une réalisation alternative d’un support universel selon la présente invention. - la figure 15 est une vue isométrique d’une réalisation alternative d’un support universel selon la présente invention. - la figure 16a est un vue d’une réalisation alternative d’un bras ; - la figure 16b est un vue d’une réalisation alternative d’un bras ; - la figure 17 est une vue isométrique d’une autre réalisation du support dans lequel le rouleau de support additionnel est surélevé. - la figure 18 montre la pièce de support 25.

Les dessins sont donnés à titre d'exemples et ne sont pas limitatifs de l’invention. Ils constituent des représentations schématiques de principe destinées à faciliter la compréhension de l’invention et ne sont pas nécessairement à l'échelle des applications pratiques. En particulier les dimensions des différentes pièces ne sont pas représentatives de la réalité.

DESCRIPTION DÉTAILLÉE DE L'INVENTION

Avant d’entamer une revue détaillée de modes de réalisation de l’invention, sont énoncées ci-après des caractéristiques optionnelles qui peuvent éventuellement être utilisées en association ou alternativement : - celui, parmi la base et les bras qui porte les quatre séries de crans, comprend deux portions longitudinales, les portions longitudinales de la base portant chacune deux lumières associées à un bras respectif et présentant chacune une des quatre séries de cran, chaque lumière présentant en plus de la série de crans un passage de sélection d’un cran. La base forme ainsi un ensemble formé sur ses côtés longitudinaux par les portions longitudinales repliées ce qui permet de protéger le fond de la base contre des entrées d’eau, notamment d’eau de mer salée. Les crans font partie d’une lumière, ce qui procure un espace de cloisonnement pour l’organe d’indexage associé. La lumière empêche une sortie intempestive d’un organe d’indexage d’un cran, par exemple lors d’un balancement du support, ce qui aurait pu se produire quand le support est embarqué sur un navire lors du roulage et du tangage. Dans ce cas, avec une lumière selon un mode avantageux de la présente invention, l’organe d’indexage bute alors contre une paroi du passage de sélection et peut être repoussé en réaction dans son cran. - les séries de crans sont portées par la base et chaque cran s’étend d’un débouché dans le passage de sélection vers une extrémité de cran fermée en étant incliné vers le fond et une portion longitudinale médiane de la base par rapport à l’horizontal d’un angle spécifique (α1, α2, α3, a4) définissant l’angle d’une branche du V formée par le bras associé. - lequel le passage de sélection de chacune des lumières s’étend dans la longueur de chaque portion longitudinale repliée de la base. - l’organe d’indexage de chaque biellette comprend un doigt apte à coopérer en coulissement avec chaque cran et le passage de sélection. - chaque bras est monté pivotant par rapport à la base en s’étendant au dessus, les deux bras étant disposés symétriquement par rapport au plan médian transversal à mi- longueur de la base. - le pivotement de chaque bras s’effectuant autour d’un axe respectif transversal à la base dans une zone médiane longitudinale de la base. Ceci permet d’obtenir une forme en V des bras qui est la plus résistante en maintien de la coque. - chaque bras comprend un rouleau de support configuré pour être en contact avec une coque du bateau à supporter, ledit rouleau étant monté pivotant autour d’un axe s’étendant dans la longueur du bras (3). chaque bras présente deux portions longitudinales repliées à 90° vers la base. Ainsi le U renversé de chaque bras fait face au U de la base et les deux U inversés formés par les bras peuvent s’emboîter au moins partiellement dans le U formé par la base en position la plus ouverte du V formé par les deux bras. la base ou l’un des bras comporte un alésage de pivot de chacune des biellettes. les deux biellettes associées à l’un parmi la base ou les bras sont de forme allongée en présentant deux extrémités longitudinales, les premières extrémités des deux biellettes présentant chacune l’organe d’indexage, tandis que les deuxièmes extrémités des deux biellettes sont reliées à un même axe de pivotement de biellette traversant ledit au moins un deuxième alésage de la deuxième extrémité longitudinale des portions longitudinales repliées du bras. les deux portions longitudinales repliées de chaque bras présentent une largeur décroissante en se rapprochant de la zone médiane longitudinale de la base. Comme les portions longitudinales des bras les plus proches de la zone longitudinale médiane de la base sont les plus enfoncées dans la base en position escamotée des bras, ces portions les plus proches n’ont pas besoin d’être aussi larges que les portions longitudinales distales des bras. Ceci permet en outre une diminution du poids des bras. - une surface solide sur lequel repose la base, et dans lequel la base comprend au moins un organe de fixation du support par rapport à la surface solide. la surface solide présente au moins un rail recevant en coulissement en son intérieur la base. - la base comporte un fond, le support comprenant au moins un organe de roulement de la face inférieure du fond sur le support. - l’organe de fixation est configuré pour traverser la base en présentant un téton s’introduisant dans un évidement pratiqué dans la surface solide (20) pour le maintien en position du support par rapport à la surface solide. - un dispositif de verrouillage intégré à l’organe de fixation comporte un axe de verrouillage transversal à la base et porte au moins une came s’étendant selon la longueur de la base et montée pivotante sous force de rappel autour de l’axe de verrouillage, la came comportant un canal d’insertion recevant une deuxième portion de l’organe de fixation, le dispositif de verrouillage étant rappelé en position d’insertion de la première portion sous forme d’un téton de l’organe de fixation dans un évidement du rail à travers la base du support. - le support est porté par ledit au moins un ponton ou le support, ledit ponton formant au moins en partie la surface solide. - chaque bras comprend deux rouleaux de support. - le bras comprend un rouleau additionnel configuré pour être en contact avec une portion inférieure de la coque du bateau à supporter, ledit rouleau additionnel étant monté pivotant autour d’un axe s’étendant perpendiculairement à la longueur du bras.

Dans ce qui va suivre, il est fait référence à toutes les figures prises en combinaison. Quand il est fait référence à une ou des figures spécifiques, ces figures sont à prendre en combinaison avec les autres figures pour les références numériques désignées. De même, les termes haut, bas inférieur et supérieur sont pris en regard d’un support 1 universel de bateau en position montée, le support étant disposé sur une surface solide sensiblement horizontale.

Le terme bateau présent dans la description ci-dessous s’entend de toute construction humaine capable de flotter sur l'eau et de s'y déplacer. Ainsi le terme bateau regroupe notamment les embarcations à coque rigide, pneumatique ou semi-pneumatique, mais aussi les motos des mers.

En se référant à toutes les figures, et plus particulièrement aux figures 7, 12 et 13 pour une vue d’ensemble du support 1 universel de bateau, la présente invention concerne un support 1 comprenant une base 2 supportant deux bras 3 dont l’inclinaison par rapport à la base 2 est réglable. Les bras 3, forment avantageusement un V, dont l’angle entre les branches dudit V varie. Cette configuration avantageuse permet aux bras 3 de recevoir entre eux une coque d’un bateau. Avantageusement, l’angle formé par le V est compris entre 10° et 175°. Chaque bras 3 est associé à deux biellettes 4 reliées d’une part au bras 3 et d’autre part à la base 2. Le support 1 est dit universel car s’adaptant à la plupart des coques de bateau. Il peut exister différentes tailles de support 1 s’adaptant par exemple respectivement à de grandes, moyennes et petites tailles de coque.

Selon l’invention, et dans la réalisation préférée de l’invention au moins quatre séries de crans 5 dont deux pour chaque bras 3 sont portés parmi l’un des éléments suivants : la base 2 ou les bras 3. Dans une réalisation alternative, tel que visible à la figure 17, les séries de crans sont divisées en deux sous-séries de crans. Cela permet notamment d’avoir une plus grande variété d’angles possible entre le bras 3 et la base 2. Avantageusement, dans cette dernière réalisation, l’organe d’indexage 6 est de préférence escamotable afin de pouvoir passer d’un cran à un autre. Avantageusement dans la réalisation préférée de l’invention la base 2 porte au moins quatre séries de crans 5 dont deux pour chaque bras 3. Selon une réalisation alternative de l’invention, les deux séries de crans 5 sont portés par chacun des bras 3. Les deux biellettes 4 associées à chaque bras 3 portent chacune un organe d’indexage 6 pénétrant dans un des crans 5 d’une série respective pour le réglage et le maintien en position de chaque bras 3 par rapport à la base 2. Aux figures 1, 2, 7 et 13, pour simplification, un seul cran d’une série de crans 5 est référencé mais ce qui est énoncé pour le cran référencé 5 est valable pour tous les crans.

Toutes ou au moins certaines solidarisations du support 1, par exemple entre la base 2 et les bras 3 ou entre les bras 3 et les biellettes 4, peuvent être avantageusement amovibles pour un démontage facilité de tous les éléments du support 1 universel les uns par rapport aux autres. Cela est toujours le cas pour la solidarisation de chaque biellette 4 avec la base 2. Dans la réalisation alternative dans laquelle les crans 5 sont portés par les bras 3, la solidarisation de chaque biellette 4 avec les bras 3 est toujours amovible.

La base 2 est sous forme d’un U avec des portions de chaque bord longitudinal de la base 2 repliées avantageusement à angle droit par rapport à un fond 2b de la base 2. Les portions longitudinales 2a repliées de la base 2 pointent vers le haut du support 1, c’est-à-dire vers les bras 3. Les deux portions longitudinales 2a repliées de la base 2 sont symétriques l’une par rapport à l’autre en présentant la même forme et les mêmes éléments.

Les portions longitudinales 2a repliées de la base 2 peuvent avantageusement porter chacune deux lumières 8 associées à un bras 3 respectif. Ce sont ces lumières 8 qui présentent la série de crans 5. Il est précisé que le terme lumière renvoi pour la bonne compréhension de l’invention à un élément à contour fermé. Chaque lumière 8 présente en plus de la série de crans 5 un passage de sélection 9 d’un cran, chaque cran 5 s’étendant d’un débouché dans le passage de sélection 9 vers une extrémité de cran 5 fermée. Chaque cran 5 est avantageusement incliné vers le fond 2b et une portion longitudinale médiane de la base 2 par rapport à l’horizontal d’un angle spécifique α1, α2, α3, a4 définissant l’angle d’une branche du V formée par le bras 3 associé. Bien entendu on peut rajouter ou diminuer le nombre de crans à loisir. Plus l’on rajoutera de crans 5, plus on augmentera le nombre d’angles spécifiques disponible. Inversement, plus on diminue le nombre de crans 5 moins d’angles spécifiques sont disponibles. Dans la réalisation préférée de l’invention, quatre crans 5 sont présent dans chacune des lumières 8. Mais ce nombre n’est pas limitatif.

Ainsi, par exemple, a la figure 3, chaque lumière 8 porte quatre crans 5 formant des angles spécifiques compris entre 40° et 50° et de préférence de 48° par rapport à l’horizontal, ce qui n’est en aucun cas limitatif.

De plus, cette inclinaison spécifique permet aux crans d’être rentrant vers les axes de rotations des bras 3 ou vers la zone médiane longitudinale de la base 2.

Le passage de sélection 9 de chacune des deux lumières 8 pour l’organe d’indexage 6 peut s’étendre dans la longueur de chaque portion longitudinale 2a repliée de la base 2 et l’organe d’indexage 6 de chaque biellette 4 peut être sous la forme d’un doigt 6. Les dimensions du doigt 6 sont adaptées à celles de chaque cran 5 et du passage de sélection 9 en permettant le coulissement du doigt 6 dans chaque cran 5 ainsi que dans le passage de sélection 9.

Chaque lumière 8 peut être avantageusement plus proche d’une extrémité longitudinale de chaque portion longitudinale 2a repliée de la base 2 que du milieu longitudinal de ladite portion repliée 2a. Chaque lumière 8 s’étend sensiblement sur environ le 1/6 de la longueur de la lumière 8 avec deux lumières 8 par portion longitudinale 2a repliée de la base 2.

La zone médiane de chacune des portions 2a longitudinales repliées à angle droit de la base 2 peut présenter deux premiers alésages 7. Un premier alésage 7 d’une portion longitudinale 2a repliée de la base 2 est aligné transversalement à la base 2 avec un premier alésage 7 de l’autre portion longitudinale 2a repliée de la base 2 en formant une paire de premiers alésages 7 alignés transversalement à la base 2.

Sur chaque portion longitudinale 2a repliée de la base 2, les deux premiers alésages 7 sont disposés symétriquement par rapport au milieu de la portion longitudinale 2a repliée de la base 2. Les paires de premiers alésages 7 alignés l’un avec l’autre servent au passage d’un axe de pivotement d’un bras 3 respectif, l’axe de pivotement passant aussi par une paire de premiers alésages 7a portés par le bras, visibles notamment aux figures 4 et 5.

Comme visible notamment aux figures 1, 2, 12 et 13, la zone médiane des deux portions longitudinales 2a repliées de la base 2 peut présenter avantageusement aussi un évasement 2c inséré entre deux premiers alésages 7 consécutifs d’une même portion longitudinal 2a repliée. Cet évasement 2c permet de dégager dans la zone médiane de la base 2 de la place car cette zone médiane est destinée à être en vis-à-vis de la partie inférieure de la coque du bateau à fixer sur le support 1 de bateau et pourrait interférer avec l’extrémité inférieure de la coque si non évasée.

Aux extrémités longitudinales les plus externes à la base 2, c’est-à-dire les extrémités opposées aux premières extrémités des deux portions longitudinales 2a repliées de la base 2, il est aussi prévu avantageusement au moins un deuxième alésage 16a sur l’une des extrémité et plus précisément un alésage 16a par extrémité. A chaque extrémité longitudinale, le deuxième alésage 16a ou au moins un des deuxièmes alésages 16a sert au passage d’un axe de verrouillage 16 destiné à verrouiller le support 1 par rapport à une surface solide le portant. Ceci sera ultérieurement plus précisément détaillé.

En partant d’une extrémité longitudinale de la base 2, et notamment environ au 1/6 et au 5/6 de la longueur de chaque portion longitudinale 2a repliée de la base 2, il peut être aussi prévu un alésage 19b pour un axe de rotation d’un organe de roulement 19. Cet alésage 19b pour l’organe de roulement 19, visibles notamment aux figures 1 et 2, sert avantageusement au passage d’un axe destiné à un organe de roulement 19 disposé en dessous de la base 2 et servant au déplacement du support 1 de bateau par rapport à une surface solide le portant. Un tel exemple de coulissement d’un support 1 dans un rail 20 est montré notamment à la figure 12 sans que l’alésage 19b soit visible car intégré dans l’intérieur du rail 20.

Dans ce cas, le fond 2b de la base 2 comporte une face inférieure qui porte au moins un organe de roulement 19 sur chaque moitié longitudinale de la base 2. Avantageusement l’organe de roulement 19 peut être sous la forme d’un cylindre rouleau s’étendant dans toute la largeur de la moitié longitudinale de la base 2 associée, donc entre les portions longitudinales 2a repliées de la base 2. L’organe de roulement 19 est avantageusement porté en étant plus proche d’une extrémité longitudinale de la base 2 que du milieu longitudinal de la base 2. Comme il sera vu ultérieurement, l’organe de roulement 19 peut être logé dans une découpe 19a pratiquée dans le fond 2b de la base 2.

Il va maintenant être détaillé les caractéristiques des bras 3 du support 1 universel, notamment en regard des figures 4 à 7, 12, 13.

Avantageusement le support 1 de bateau selon l’invention comprend deux bras 3 pour une base 2. Chaque bras 3 présente notamment une longueur un peu plus courte que la moitié de la longueur de la base 2. Chaque bras 3 présente avantageusement une forme de U retourné avec des portions longitudinales 3a repliées avantageusement à 90° du bras 3 pointant vers la base 2 et principalement vers le fond 2b du U formé par la base 2.

Dans une réalisation alternative (visible en figure 16a) de l’invention les bras 3 n’ont pas une forme de U. Dans cette réalisation alternative, les portions longitudinales 3a des bras 3 comprennent avantageusement deux portions rectilignes parallèles entre-elles. Une troisième portion est configurée pour relier entre-elles les portions longitudinales 3a. De manière préférentielle, dans ce mode de réalisation, chacune des portions longitudinale 3a comprend au moins un 1er alésage de bras 7 permettant le pivotement du bras vis-à-vis de la base 2 et au moins un 2eme alésage de bras 7a permettant de préférence la fixation du bras 3 aux biellettes 4 et son pivotement vis-à-vis desdites biellettes 4. De préférence les alésages de bras 7 et 7a de chacune des portions longitudinales 3a sont en regard les uns par rapport aux autres. Ainsi, ils sont symétriquement positionnés sur les portions longitudinales 3a selon un axe de symétrie s’étendant parallèlement à la longueur du bras et positionné entre les deux portions longitudinales 3a. De préférence, le bras 3 comprend plusieurs 2eme alésages de bras 7a. Cette configuration avantageuse permet notamment de pouvoir régler la fixation des biellettes 4 à différents endroits du bras 3 et donc de modifier l’angle dudit bras 3 relativement à la base 2. La figure 16b est une réalisation alternative dans laquelle, l’une des extrémités du bras 3 n’est pas rectiligne mais comprend une portion angulaire 24. Avantageusement, cette portion angulaire 24 permet de rajouter un alésage supplémentaire 7b de bras permettant notamment la fixation d’un rouleau additionnel 23.

Chaque bras 3 peut être monté pivotant par rapport à la base 2 en s’étendant au-dessus de la base 2, c’est-à-dire au-dessus d’une moitié longitudinale respective de la base 2. Les deux bras 3 peuvent être disposés symétriquement par rapport au plan médian transversal à mi-longueur de la base 2. Le pivotement de chaque bras 3 peut s’effectuer avantageusement autour d’un axe de pivotement du bras 3 respectif transversal à la base 2 dans une zone médiane longitudinale de la base 2. Cet axe de pivotement du bras 3 passe par la paire de premiers alésages 7 alignés des deux portions longitudinales repliées 2a de la base 2 associés au bras 3 dans la zone médiane longitudinale de la base 2.

Avantageusement chaque bras 3 peut présenter une surface supérieure destinée à être en vis-à-vis d’une coque du bateau à supporter. Cette surface supérieure peut présenter un creux 10 s’étendant dans la longueur du bras 3 et servant de logement à un rouleau de support 11 pour le bateau, le rouleau pouvant être logé partiellement dans le creux 10. Il existe donc avantageusement au moins deux rouleaux 11 par support 1 universel, un rouleau de support 11 étant associé à chaque bras 3, c’est-à-dire à chaque branche du V formé par un des deux bras 3.

Avantageusement le rouleau de support 11 peut être monté pivotant autour d’un axe s’étendant dans la longueur du bras 3. L’axe peut s’étendre entre deux collerettes 13 faisant saillie à angle droit de la surface supérieure du bras 3. Chaque collerette 13 peut présenter une forme arrondie et un alésage 12a pour le passage d’un l’axe 12 du rouleau de support 11, l’axe étant référencé à la figure 6. Les collerettes 13 et le creux 10 faisant office de logement servent respectivement à la fixation et à la réception du rouleau de support 11. Le rouleau de support 11 peut être fixé aux deux collerettes 13 par des organes de fixation passant par l’alésage 12a de chaque collerette 13. Le creux 10 faisant office de logement reçoit au moins partiellement le de support 11 en son intérieur, par exemple un tiers ou moins du volume total du rouleau de support 11.

Dans la réalisation alternative de l’invention précédemment décrite, chaque bras 3 peut comprendre au moins deux rouleaux 11. Cette réalisation est notamment visible aux figures 14, 15 et 17. Dans cette réalisation, les rouleaux de support 11 sont indépendamment pivotants autour de l’axe 12 de rouleau.

Avantageusement, l’axe 12 de rouleau est porté par une pièce de support 25 (visible notamment en figure 18) et s’étend dans un plan de préférence verticale et parallèle à la longueur du bras 3. Avantageusement, la pièce de support 25 comprend deux ergots. Lesdits ergots sont avantageusement configurés pour coopérer avec les au moins 2eme alésages du bras 7a. Dans une autre réalisation de l’invention, la pièce de support 25 comprend sur sa base au moins deux alésages permettant la coopération entre ladite pièce de support 25 et l’axe de pivotement 15 des biellettes 4. Dans cette configuration, la pièce de support 25 est intercalée entre l’axe de l’axe de pivotement 15 et les 2eme alésages des bras 7a. Ainsi, la pièce de support 25 peut être montée en rotation relativement au bras 3 et autour de l’axe de pivotement 15.

La pièce de support 25 porte avantageusement le ou les au moins deux rouleaux de supports 11. Dans la réalisation de l’invention comprenant plusieurs rouleaux de support 11, lesdits rouleaux de support 11 ont une longueur réduite par rapport à la réalisation possédant un seul rouleau de support 11 par bras 3. De préférence, les deux rouleaux de support 11 sont espacés entre deux de leurs extrémités d’une distance comprise entre 1 centimètre (cm) et 10 cm et de préférence entre 3cm et 5 cm.

Dans la réalisation avec plusieurs rouleaux de support 11 par bras 3, la longueur de chacun desdits rouleaux est inférieure à la longueur totale du bras 3, et de préférence, les longueurs additionnées de l’ensemble des rouleaux de support 11 est inférieure à la longueur du bras 3. Ainsi avantageusement, la longueur d’un rouleau de support 11 dans cette réalisation est comprise entre 30 cm et 5 cm, et de préférence entre 20 et 10 cm. La multiplication des rouleaux de support 11, ainsi que la présence d’un espace séparant lesdits rouleaux de support 11 permet notamment d’améliorer le contact entre le support 1 universel et la coque du navire à porter. En effet, cela multiplie les points de contacts et permet notamment de répartir le poids du navire sur plusieurs points. De plus, cela limite le risque que le navire soit porté uniquement par un redan de la coque.

Avantageusement, dans une réalisation alternative, et compatible avec la réalisation précédemment décrite, la base 2 comprend au moins un rouleau de support additionnel 23 et de préférence un rouleau additionnel 23 par bras, soit deux rouleaux additionnels 23.

Avantageusement, le au moins un rouleau additionnel 23 est configuré pour être en contact avec une portion inférieure de la coque du bateau à supporter. Ledit rouleau additionnel 23 étant monté pivotant autour d!un axe s’étendant perpendiculairement à la longueur du bras. Avantageusement le rouleau additionnel 23 est monté pivotant autour de l’axe de rotation du bras et donc en coopérant avec les 1er alésages du bras 7. Cette configuration avantageuse permet notamment de faciliter le réglage de l’assiette du bateau supporté et ainsi de le conserver plus facilement horizontalement.

Dans une réalisation alternative de l’invention, nous avons précisé que le bras (3) possédait à l’une de ces extrémités une portion angulaire 24 (notamment à la figure 16b et 17). L’alésage supplémentaire 7b de cette réalisation est légèrement décalé par rapport au 1er alésage de bras 7. L’alésage supplémentaire 7b permet notamment de fixer le rouleau de support additionnel 23. Ainsi ce dernier est légèrement surélevé par rapport à la base 2.

Dans un mode préférentiel de réalisation des bras 3 du support 1 universel de bateau, chaque bras 3 peut présenter deux portions longitudinales repliées à 90° vers la base 2. Les deux portions longitudinales 3a repliées de chaque bras 3 peuvent présenter un premier alésage 7a du bras 3 vers une première extrémité longitudinale et au moins un deuxième alésage 16a du bras 3 vers une deuxième extrémité longitudinale, les deuxièmes extrémités longitudinales étant les plus externes au support 1. Les premiers alésages 7a de chaque portion longitudinale 3a repliée d’un bras 3 sont alignés avec les premiers alésages 7 des portions longitudinales 2a repliées de la base 2.

Les deux portions longitudinales 3a repliées de chaque bras 3 peuvent avantageusement présenter une largeur décroissante plus ces portions longitudinale 3a repliées se rapprochent de la zone médiane longitudinale de la base 2. Les deux portions longitudinales 3a repliées de chaque bras 3 peuvent être munies d’ouvertures en forme d’ailettes 14. Ces ailettes peuvent être purement à but décoratif mais aussi servir à la ventilation de l’intérieur de la base du support, notamment quand de l’eau a pénétré dans l’intérieur du U formé par la base et que les bras 3 ont été redescendus en étant logés au moins partiellement dans la base 2.

Une partie de la série d’ailettes 14 peut se trouver avantageusement au niveau de la série de crans 5 portée par la base 2 sur le même bord longitudinal du support 1. La partie restante de la série d’ailettes 14 peut se trouver en étant plus interne au support 1 de bateau que la série de crans 5 quand les bras 3 sont au moins partiellement logés à l’intérieur de la base 2 dans la position la plus ouverte du V formé par les bras 3.

Avantageusement les dimensions d’un bras 3 sont telles que le bras 3 peut être logé dans une moitié en longueur dans l’ouverture du U formée par les portions longitudinales 2a repliées de la base 2 et le fond 2b de la base 2. Chaque bras 3 présente donc une largeur entre ses portions longitudinales 3a repliées du bras 3 légèrement inférieure à la largeur interne entre les portions longitudinales 2a repliées de la base 2. La longueur d’un bras 3 peut être aussi inférieure à la demi-longueur de la base 2, avantageusement légèrement inférieure.

Comme précédemment mentionné, les portions longitudinales 3a repliées du bras 3 ne présentent pas une largeur constante. La zone de plus grande largeur des portions longitudinales 3a repliées du bras 3 est destinée à se trouver la plus externe à la base 2. L’extrémité de plus petite largeur de chaque portion longitudinale repliée 3a du bras 3, destinée à être la plus interne à la base 2, présente le premier alésage 7a tandis que l’extrémité de plus grande largeur de chaque portion longitudinale 2a repliée d’un bord longitudinal présente au moins un deuxième alésage 15a.

Chaque bras 3 peut donc être solidarisé avec la base 2 tout en conservant une liberté de pivotement par rapport à la base 2. Ceci est fait en alignant les premiers alésages 7a des bras 3 avec les premiers alésages 7 de la base 2 et en introduisant un axe de pivotement du bras 3 à travers la base 2 et le bras 3 par ces premiers alésages 7 et 7a. Les extrémités longitudinales des portions longitudinales 3a repliées de chaque bras 3 les plus internes au support 1 se trouvent à l’intérieur du U formé par la base 2.

Avantageusement deux deuxièmes alésages 15a sont montrés aux figures 4 à 6. Ceci n’est pas limitatif et il peut n’y avoir qu’un seul deuxième alésage 15a étant le seul qui est référencé 15a des deux deuxièmes alésages. Chaque deuxième alésage 15a peut se trouver à une extrémité des portions longitudinales 3a repliées du bras 3 les plus externes à la base 2. Une paire de deuxièmes alésages 15a en vis-à-vis sur les portions longitudinales 3a repliées d’un même bras 3 sur cette extrémité du bras 3 la plus externe au support 1 servent au passage d’un axe de pivotement 15 destiné à être associé à deux biellettes 4 dont chacune se trouve à l’intérieur du bras 3 en étant articulée à une portion longitudinale 3a repliée du bras 3 respective. Les deuxièmes alésages 15a permettent de modifier l’inclinaison des bras 3. En effet, on comprend aisément qu’en fonction du point d’accroche de la biellette 4 au bras 3, l’angle final du bras 3 avec la base 2 change. Ainsi, ces deuxièmes alésages 15a permettent un réglage supplémentaire de l’inclinaison des bras 3

Chaque bras 3, pour chacune de ses deux portions longitudinales 3a repliées du bras 3 peut comprendre de préférence une partie rentrée formant un grugeage 21 dans le contour de la portion longitudinale 2a repliée tournée vers la base 2 en position montée du bras 3. Le grugeage 21 peut être plus proche de l’extrémité longitudinale à plus grande largeur que de l’extrémité longitudinale à plus petite largeur de la portion longitudinale 3a repliée du bras 3.

Avantageusement chaque bras 3 peut être associé à deux biellettes 4. Le support 1 universel peut comprendre donc quatre biellettes 4. Les biellettes 4 aident à maintenir les bras 3 en position surélevée par rapport à la base 2 pour recevoir un bateau et supporter sa coque entre les bras 3 inclinés. Chaque biellette 4 peut être de forme allongée rectiligne.

Les biellettes 4 sont avantageusement organisées par paires. Chaque paire étant avantageusement un ensemble solidaire, par exemple mécanosoudé ou assemblé autrement. Chacune des paires de biellettes peut donc être d’un seul tenant, c’est-à-dire formée d’une pièce monolithique.

Comme il est visible notamment aux figures 1, 8, 9, 11 et 12, une première extrémité de chaque biellette 4 peut porter un doigt 6 faisant saillie vers l’extérieur du support 1 de bateau une fois la biellette 4 montée sur le bras 3 et le bras 3 sur la base 2. Ce doigt 6 forme l’organe d’indexage et s’insère dans un cran 5 de la série de crans portée par la lumière 8 associée sur une portion longitudinale 2a repliée de la base 2.

Une deuxième extrémité de chaque biellette 4 peut porter un deuxième alésage 15b qui est destiné à être aligné avec le deuxième alésage 15a sur le bras 3 le plus haut. Cette deuxième extrémité de la biellette 4 est alors montée pivotante autour d’un axe de pivotement 15 de biellette 4 passant par ces alésages 15b et ceux du bras 15a.

Les deux biellettes 4 associées à chaque bras 3 permettent donc de maintenir en position le bras 3 de manière inclinée par rapport à la base 2, les deux bras 3 associés à la base 2 formant un V plus ou moins ouvert selon le cran 5 sélectionné. De manière préférentielle, l’ouverture du V, c’est-à-dire les deux branche du V forme un angle variable comprit entre 10° et 175°. Chaque biellette 4 peut se trouver à l’intérieur de son bras 3 associé et de la base 2.

Avantageusement, nous avons dit que l’extrémité de la biellette portant l’organe d’indexage 6 était en contact avec les crans 5 et donc la base 2. Dans cette réalisation préférée, l’axe de pivotement 15 de la biellette 4 est porté par le bras. Bien entendu, dans une réalisation alternative de l’invention ces éléments sont inversés et l’axe de rotation 15 peut être porté par la base 2 et l’organe d’indexage 6 en coopération avec les crans 5 portés par le bras 3. Néanmoins, dans chacune de ces réalisations, l’extrémité des biellettes 4 au contact du bras 3 (première extrémité) est toujours à l’extrémité distale du bras 3. C’est-à-dire à l’extrémité du bras 3 la plus éloignée zone médiane longitudinale de la base 2. Inversement l’extrémité des biellettes 4 en contact avec la base 2 (deuxième extrémité) est plus proche de la zone médiane longitudinale de la base 2 que la première extrémité. Cette configuration avantageuse permise par le fait que les crans 5 sont positionnés rentrant vers la zone médiane longitudinale de la base 2, permet aux biellettes 4 d’être inclinée vers la zone médiane longitudinale de la base 2.

Avantageusement comme les deux biellettes 4 associées à un même bras 3 s’étendent parallèlement à distance l’une de l’autre avec les deuxièmes alésages 15b des biellettes 4 sur une extrémité de chaque biellette 4 reliés à l’axe de pivotement de la biellette 4, les extrémités opposées de la biellette 4 et portant chacune l’organe d’indexage 6, les organes d’indexage 6 des deux biellettes 4 parallèles peuvent former un arbre d’indexage 6b commun passant par la paire de premiers alésages 6a alignés des deux biellettes 4.

Avantageusement, chaque biellette 4 comporte un grugeage 21, portant son grugeage 21 en vis-à-vis de l’intérieur du support 1. Un tel support 1 universel de bateau peut faire partie d’un ensemble comprenant un support 1 universel de bateau et une surface solide sur lequel repose le bateau par l’intermédiaire du support 1.

Dans un mode de réalisation optionnelle et préférentielle, la face inférieure du fond 2b de la base 2 du support 1 porte au moins deux organes de roulement 19, comme il est particulièrement visible à la figure 7. Il est en effet très avantageux que le support 1 universel de bateau ou ber soit déplaçable sur la surface solide qui le reçoit.

Dans ce cas, la surface solide, par exemple le sol, un ponton ou une plateforme quelconque peut présenter au moins un rail 20 recevant en coulissement ledit au moins un organe de roulement, avantageusement sous la forme d’un rouleau, sur chaque moitié longitudinale de la base 2. Ceci est montré à la figure 12. Le rail 20 peut être en forme de U, les rebords 20b des extrémités libres du U c’est-à-dire les extrémités les plus hautes du U, étant rabattus à 90° vers l’intérieur du U en direction l’une de l’autre. Ceci permet de garantir que le support 1 ne puisse pas sortir par le haut du rail 20. L’organe de roulement 19 est entièrement logé dans le rail 20.

Le fond 2b de la base 2, c’est-à-dire la barre horizontale du U que la base 2 délimite avec les portions longitudinales repliées 2a de la base 2 formant les branches du U, présente à sa face inférieure au moins un organe de roulement 19 sur chaque moitié longitudinale de la base 2.

Dans tous les cas d’un support universel mobile ou même dans le cas où le support universel n’est pas muni d’au moins un organe de roulement, par exemple dans le cas où le support universel de bateau est embarqué au bord d’un plus grand navire et soumis au tangage, il convient de fixer le support universel par rapport à la surface solide le supportant.

Ceci peut être fait par un ou des organes de fixation classique comme par exemple une ou des vis vissées dans un alésage taraudé respectif prévu dans la surface solide. A la figure 12, c’est par exemple le rail 20 qui présente un évidement 20 de réception d’un tel organe de fixation. Ceci est très avantageux quand la base 2 comporte un fond 2b dont la face inférieure porte au moins un organe de roulement 19, ceci sur chaque moitié longitudinale de la base 2 ou non.

Dans le cas de la présence d’au moins un organe de roulement 19 sur la base 2, du support, il peut être avantageux de prévoir des moyens de fixation qui puissent automatiquement être efficients quand le support universel 1 se trouve dans une des positions adéquates par rapport à la surface solide. Ceci va être maintenant détaillé en regard des figures 10, 11, 11a et 12.

Ainsi, la base 2 peut comprendre un organe de verrouillage 16, 17, 22 du support 1 universel de bateau par rapport à la surface solide, avantageusement mais pas forcément un rail 20. Cet organe de verrouillage 16, 17, 22 traverse la base 2 et présente un téton 22a s’introduisant dans un évidement 20a pratiqué dans la surface solide pour le maintien en position du support 1 par rapport à la surface solide.

Comme précédemment mentionné il est avantageux que le verrouillage du support 1 se fasse de manière automatique dès que le support 1 arrive dans une des positions prédéterminées qu’il peut prendre. Ces positions peuvent, pour un support 1 embarqué sur un navire, être la position de chargement d’un bateau auxiliaire donc à proximité d’un bord du navire et la position de rangement du bateau auxiliaire, avantageusement à distance du bord du navire.

Pour la description de ce mode préférentiel de réalisation d’un dispositif de verrouillage 16, 17, 22 du support universel 1 sur une surface solide il va être pris l’exemple d’un support coulissant sur un rail 19 et illustré à la figures 12, ce qui n’est pas limitatif. Dans ce mode, la base 2 comprend au moins un organe de fixation 22 du support 1 par rapport à la surface solide 20, aux figures un rail.

La base 2 peut comprendre au moins un dispositif de verrouillage 16, 17, 22 comportant un axe de verrouillage 16 transversal à la base 2, cet axe 16 traversant deux alésages 16a portés par une portion longitudinale 2a respective de la base 2 et visibles notamment aux figures 1 et 2. Le dispositif de verrouillage 16, 17, 22 peut porter au moins une came 17, avantageusement deux cames 17 pour une meilleure répartition d’effort sur un organe de verrouillage 22. La ou les cames 17 s’étendent parallèlement l’une à l’autre selon la longueur de la base 2 et sont montées pivotantes sous force de rappel autour de l’axe de verrouillage 16, l’axe de verrouillage passant par un alésage 17a à travers la ou chaque came 17. La force de rappel tend à abaisser l’extrémité libre des cames 17 vers la base 2.

La ou chaque came 17 peut comporter un canal d’insertion 18 recevant une première portion 22b d’un organe de fixation 22. Cette première portion peut être formée par la tête de l’organe de fixation 22. Cette première portion 22b peut être sous la forme d’un anneau brisé pénétrant au moins partiellement dans le canal d’insertion ou chacun des canaux d’insertion 18 des cames 17.

Le dispositif de verrouillage 16, 17, 22 est rappelé en position d’insertion d’une deuxième portion 22a de l’organe de fixation 22 dans un évidement 20a du rail 20 à travers la base 2 du support 1. Cette deuxième portion ou extrémité libre de l’organe de fixation peut être sous la forme d’un téton 22a traversant le fond de la base 2 par un alésage 22c, visible à la figure 1 tandis que le téton 22a est aussi visible à la figure 7. Il peut n’y avoir qu’un seul dispositif de verrouillage 16, 17, 22 par support 1 comme montré à la figure 7 ou plusieurs dispositifs de verrouillage 16, 17, 22.

Quand le support 1 est déplacé sur la surface solide, par exemple le rail 20, il peut ne pas être en face d’un évidement 20a pratiqué dans cette surface solide. Dans ce cas, le téton 22a est en butée contre la surface solide, avantageusement le fond du rail 20, en étant pressé contre le fond du rail 20 par la force de rappel. Cette force de rappel est créée avantageusement par un ressort non montré aux figures, par exemple un ressort de rappel enroulé autour de l’axe de verrouillage 16 et poussant en pivotement l’axe 16 dans le sens d’une saillie du téton 22a de la face inférieure du fond 2c de la base 2 du support 1. Dès que le téton 22a est aligné avec un évidement 20a de la surface solide, le téton pénètre dans l’évidement 20a sous l’action de rappel du ressort en position de saillie. Le verrouillage du support 1 sur la surface solide, avantageusement dans un rail 20, est ainsi réalisé. L’organe de roulement 19 peut être avantageusement sous la forme d’un cylindre rouleau s’étendant dans toute la largeur pour chaque moitié de fond 2b de la base 2. Avantageusement, le cylindre rouleau est porté par le fond 2b de la base 2 en étant plus proche d’une extrémité longitudinale que du milieu longitudinal de la base 2.

Il est alors avantageusement prévu une découpe 19a rectangulaire pour chaque moitié longitudinale de fond 2b le plus grand côté de la découpe 19a s’étendant sensiblement presque dans toute la largeur du fond 2b. Le moyen de roulement 19 est alors monté tournant autour d’un axe transversal à la base 2 traversant les deux portions longitudinales repliées 2a de la base 2 par un alésage respectif 19b. L’invention concerne aussi un yacht ou un navire portant avantageusement un bateau auxiliaire de plus petite taille sur au moins un ponton et avantageusement sur la plage arrière. Le bateau auxiliaire, qui peut être par exemple et sans que cela soit limitatif un canot de sauvetage ou une embarcation pouvant faire la navette entre le yacht ou le navire et la terre ferme peut être porté par l’intermédiaire d’un support 1 universel tel que décrit précédemment, le support 1 étant porté par ledit au moins un ponton.

En alternative, le support 1 du bateau et ledit au moins un ponton peuvent former un ensemble tel que décrit précédemment, le ponton formant la surface solide de l’ensemble.

Il va maintenant être détaillé un procédé de support 1 d’un bateau par l’intermédiaire d’un support 1 universel tel que décrit précédemment. Dans ce procédé selon l’invention, le bateau peut présenter une coque destinée à être supportée par deux bras 3 inclinés portés par une base 2 en formant un V. Le maintien des bras 3 en position de V est effectué par au moins deux biellettes 4 reliées de manière pivotante à chaque bras 3.

Le procédé comprend avantageusement une étape de détermination d’une forme de V appropriée à la coque du bateau à supporter. Le procédé comprend ensuite une étape de réglage et de maintien de l’inclinaison des bras 3 selon la forme du V déterminé. Ceci est fait par insertion d’un organe d’insertion 6 porté par chaque biellette 4 dans un cran 5 porté par la base 2 du support 1 universel.

Il est ensuite effectué un positionnement du bateau au niveau du support 1, la coque du bateau se trouvant alignée avec l’espace entre les bras 3 afin de ne pas interférer avec la base 2. Enfin, il est procédé au coulissement du bateau entre les bras 3 en direction transversale de la base 2, ce coulissement étant aidé par les rouleaux de support 11 tournant portés chacun sur une face supérieure de chaque bras 3. L’invention n’est pas limitée aux modes de réalisations précédemment décrits et s’étend à tous les modes de réalisation couverts par les revendications.

REFERENCES 1. Support 2. Base 2a. Portion longitudinale 2b. Fond 2c. Evasement 3. Bras 3a. Portion longitudinale 3b. Surface supérieure 4. Biellette 5. Cran 6. Organe d’indexage 6a. 1er alésage de biellette 6b. Arbre d’indexage 7. 1er alésage de la base 7a. 1er alésage de bras 7b. Alésage supplémentaire 8. Lumière 9. Passage de sélection 10. Creux 11. Rouleau de support 12. Axe 12a. Alésage 13. Collerette 14. Ailette 15. Axe de pivotement 15a. 2eme alésage de bras 15b. 2eme Alésage de biellette 16. Axe de verrouillage 16a. 2eme alésage de la base 17. Came 17a. Alésage 18. Canal d’insertion 19. Organe de roulement 19a. Découpe 19b. Alésage 20. Rail 20a. Evidement 21. Grugeage 22. Organe de fixation 22a. Téton 22b. Tête 22c. Alésage α1, α2, α3, a4. Angles 23. rouleau additionnel 24. portion angulaire 25. pièce de support

Claims (15)

1. REVENDICATIONS

   1. Support (1) universel de bateau, comprenant une base (2) supportant deux bras (3) dont l’inclinaison par rapport à la base (2) est réglable, les bras (3) formant un V et étant destinés à recevoir entre eux une coque d’un bateau, la liaison entre d’une part chacun des deux bras (3) et d’autre part à la base (2) étant réalisée au moyen de deux biellettes (4), caractérisé en ce que l’un parmi la base (2) ou les bras (3) porte quatre séries de crans (5), chaque série de crans (5) étant associée à une, différente, des biellettes (4) et que les biellettes (4) sont montées pivotantes à une première de leurs extrémités à l’autre parmi la base (2) ou l’un des bras (3) et portent chacune à une deuxième extrémité un organe d’indexage (6) pénétrant dans un des crans (5) d’une série respective pour le réglage et le maintien en position de chaque bras (3) par rapport à la base (2).
2. 2. Support (1) selon la revendication précédente, dans lequel celui, parmi la base (2) et les bras qui porte les quatre séries de crans (5), comprend deux portions longitudinales (2a), les portions longitudinales (2a) de la base (2) portant chacune deux lumières (8) associées à un bras (3) respectif et présentant chacune une des quatre séries de cran (5), et un passage de sélection (9) d’un cran (5).
3. 3. Support (1) selon la revendication précédente dans lequel les séries de crans (5) sont portées par la base (2) et chaque cran (5) s’étend d’un débouché dans le passage de sélection (9) vers une extrémité de cran (5) fermée en étant incliné vers le fond (2b) et une portion longitudinale médiane de la base (2) par rapport à l’horizontal d’un angle spécifique (α1, α2, α3, a4) définissant l’angle d’une branche du V formée par le bras (3) associé.
4. 4. Support (1) selon la revendication précédente, dans lequel le passage de sélection (9) de chacune des lumières (8) s’étend dans la longueur de chaque portion longitudinale (2a) repliée de la base (2) et l’organe d’indexage de chaque biellette (4) comprend un doigt (6) apte à coopérer en coulissement avec chaque cran (5) et le passage de sélection (9).
5. 5. Support (1) selon l’une des revendications précédentes, dans lequel chaque bras comprend au moins un rouleau de support (11) configuré pour être en contact avec une coque du bateau à supporter, ledit au moins un rouleau étant monté pivotant autour d’un axe s’étendant dans la longueur du bras (3).
6. 6. Support (1) selon la revendication précédente, dans lequel chaque bras comprend deux rouleaux de support (11 ).
7. 7. Support (1) selon l’une des revendications précédentes, dans lequel le bras (3) comprend un rouleau additionnel (23) configuré pour être en contact avec une portion inférieure de la coque du bateau à supporter, ledit rouleau additionnel (23) étant monté pivotant autour d’un axe s’étendant perpendiculairement à la longueur du bras.
8. 8. Support (1) selon l’une quelconque des revendications précédentes, dans lequel l’autre parmi la base (2) ou l’un des bras (3) comporte un alésage (15a) de pivot de chacune des bieilettes.
9. 9. Support (1) selon l’une quelconque des revendications précédentes comprenant une surface solide (20) sur lequel repose la base (2), et dans lequel la base (2) comprend au moins un organe de fixation (22) du support (1 ) par rapport à la surface solide (20).
10. 10. Support (1) selon la revendication précédente, dans lequel la surface solide présente au moins un rail (20) recevant en coulissement en son intérieur la base (2).
11. 11. Support (1) selon l’une quelconque des deux revendications précédentes, dans lequel la base (2) comporte un fond (2b), le support (1) comprenant au moins un organe de roulement (19) de la face inférieure du fond (2b) sur le support (1 ).
12. 12. Support (1) selon l’une des trois revendications précédentes, dans lequel l’organe de fixation est configuré pour traverser la base (2) en présentant un téton (22a) s’introduisant dans un évidement (20a) pratiqué dans la surface solide (20) pour le maintien en position du support (1) par rapport à la surface solide (20).
13. 13. Support (1) selon la revendication précédente, comprenant un dispositif de verrouillage (16, 17, 22) intégrant l’organe de fixation et comportant un axe de verrouillage (16) transversal à la base (2) et portant au moins une came (17) s’étendant selon la longueur de la base (2) et montée pivotante sous force de rappel autour de l’axe de verrouillage (16), la came (17) comportant un canal d’insertion (18) recevant une deuxième portion (22b) de l’organe de fixation (22), le dispositif de verrouillage (16, 17, 22) étant rappelé en position d’insertion de la première portion sous forme d’un téton (22a) de l’organe de fixation (22) dans un évidement (20a) du rail (20) à travers la base (2) du support (1).
14. 14. Navire apte à porter un bateau auxiliaire sur au moins un ponton, caractérisé en ce qu’il comprend un support (1) selon l’une quelconque des revendications 1 à 13.
15. 15. Procédé de support (1) d’un bateau par l’intermédiaire d’un support (1) universel selon l’une quelconque des revendications 1 à 13, le bateau présentant une coque destinée à être supportée par deux bras (3) inclinés portés par une base (2) en formant un V, le maintien des bras (3) en position de V étant effectué par au moins deux biellettes (4) reliées de manière pivotante à chaque bras (3), caractérisé en ce qu’il comprend les étapes suivantes : détermination d’une forme de V appropriée à la coque du bateau à supporter, réglage et maintien de l’inclinaison des bras (3) selon la forme du V déterminé par insertion d’un organe d’insertion (6) porté par chaque biellette (4) dans un cran (5) porté par la base (2), coulissement du bateau entre les bras (3) en direction transversale de la base (2).