Câble électrique muni d'un marquage externe et procédé de sertissage d'un
fût d'un contact sur un câble électrique muni d'un marquage externe L'invention concerne un câble électrique muni d'un marquage externe permettant de procéder à un contrôle de la position du câble dans un fût devant être serti sur ledit câble. L'invention concerne également un procédé de sertissage d'un fût sur un tel câble. Plus précisément, l'invention concerne un marquage visible à l'oeil nu, ménagé sur la gaine du câble, ledit marquage étant répétitif de manière à permettre, par un simple contrôle visuel, de s'assurer de la bonne position du câble dans le fût avant de sertir le fût sur le câble et garantir ainsi une continuité électrique entre le câble et le fût.
Un but de l'invention est de garantir un bon sertissage d'un fût d'un contact sur un câble électrique afin d'assurer une continuité électrique entre le câble et le dispositif électronique relié au câble par le contact.
Actuellement, pour relier l'âme d'un câble à un fût d'un contact, il est connu d'utiliser un fût muni d'un trou de visite. Le trou de visite, ménagé traversant dans une paroi du fût, débouche dans la cavité du fût. Le trou de visite permet notamment de vérifier la position du câble dans le fût avant de sertir le fût sur ledit câble. Ainsi, on peut s'assurer de la position du câble avant le sertissage et donc de la continuité électrique entre le câble et le contact. Pour cela, il suffit de vérifier à travers le trou de visite que l'âme du câble est correctement positionnée à l'intérieur du fût.
Toutefois, il est parfois nécessaire d'utiliser un contact dont le fût est dépourvu de trou de visite ou dont le trou de visite est obstrué. Un tel contact est notamment adéquat lors de l'utilisation d'un câble comportant une âme conductrice en aluminium. En effet, dans ce cas il est préférable d'éviter l'exposition à l'air de cette âme conductrice afin de réduire ses risques d'oxydation qui pourraient avoir pour conséquence une moins bonne continuité électrique entre ladite âme conductrice et ledit contact. L'utilisation d'un contact dont le fût est dépourvu de trou de visite ou dont le trou de visite est obstrué contribue à éviter le passage de l'air dans le fût de ce contact, lorsque ce dernier est serti, contribuant ainsi à réduire les risques d'oxydation de l'âme conductrice du câble. Mais il n'est alors plus possible de vérifier la position du câble dans le fût du contact avant le sertissage puisque le fût est dépourvu de trou de visite ou que le trou de visite est obstrué. Il en résulte que les risques de sertissages défaillants sont accrus.
Un mauvais sertissage du fût sur le câble peut notamment entraîner des risques de contact défaillant de manière intermittente, ou un échauffement du câble, un vieillissement accéléré de la connexion entre le câble et le contact, ou une perte de fonction du système électronique muni de cette connexion défaillante.
Un but de l'invention est de fournir un moyen de vérification de la position du câble dans un fût d'un contact avant sertissage de manière à garantir une bonne position du câble dans le fût et une continuité électrique correcte le long du câble et du contact. Un autre but de l'invention est de fournir un procédé permettant un sertissage électrique fiable d'un fût sur un câble, quelle que soit la nature de l'âme conductrice du câble.
Pour arriver à ce résultat, l'invention propose de ménager des moyens de contrôle visuel non pas sur le fût destiné à être serti sur le câble, mais sur le câble lui-même. Le câble selon l'invention est muni dans sa longueur d'un marquage externe répétitif. Le marquage externe consiste en un ensemble de deux motifs consécutifs dans la longueur du câble, répétés au moins deux fois dans la longueur du câble. Le marquage permet de connaître la position du câble dans le fût du contact avant de sertir ledit fût sur le contact. Selon l'invention, on utilise ce moyen de contrôle visuel pour sectionner précisément le câble, afin de former une extrémité de connexion. L'extrémité de connexion est alors dénudée pour libérer l'âme du câble qui sera introduite dans le fût du contact. Une fois le câble introduit dans le fût de contact, on utilise le moyen de contrôle visuel, formé par le marquage, afin de s'assurer du bon positionnement du câble dans le fût. Ensuite, on sertit le fût sur le câble, le sertissage électrique étant garanti. Le moyen de contrôle visuel selon l'invention est donc utile au moment de la coupe du câble, au moment de l'insertion du câble dans le fût du contact et au moment du sertissage du fût sur le câble. En respectant ces étapes, il est possible d'obtenir de manière sûre un bon sertissage du fût sur le câble. Le pas entre deux ensembles consécutifs de deux motifs, ainsi que la distance séparant deux motifs d'un même ensemble est fonction notamment de la section du câble. Pour une section de câble donnée, à laquelle correspond une dimension de fût de contact, on réalise un marquage externe spécifique, avec un pas et une distance fixes, qui garantissent par la suite un contrôle visuel sûr et donc un sertissage électrique sûr du fût sur le contact, sans qu'il soit besoin d'autre contrôle, tel qu'un contrôle visuel à travers un trou de visite sur le fût. Un tel marquage selon l'invention peut être réalisé sur les câbles actuels. En effet, le marquage selon l'invention peut être apposé sur la gaine de tous les câbles et peut même être cumulé à un autre marquage ayant une autre fonction, telle que permettre l'identification du câble. Ce marquage peut être réalisé de manière aisée par un laser.
L'invention a donc pour objet un câble électrique muni d'une gaine comportant un marquage externe, caractérisé en ce que le marquage est formé d'un bloc de deux motifs, les deux motifs étant consécutifs dans une longueur du câble, ledit bloc étant répété au moins deux fois dans la longueur du câble à partir d'une extrémité libre du câble.
Selon des exemples de réalisation différents de l'invention, il est possible de munir le câble de tout ou partie des caractéristiques complémentaires suivantes: - le marquage est répété au moins aux deux extrémités du câble; - le marquage est répété sur toute la longueur du câble; - une distance entre deux blocs de motifs adjacents est constante pour une section de câble donnée; - les deux motifs consécutifs d'un bloc de motifs sont séparés l'un de l'autre par une zone non marquée; - les motifs sont des carrés ou des rectangles; - l'âme du câble est en aluminium.
L'invention a également pour objet un procédé de sertissage d'un fût d'un contact sur un câble caractérisé en ce qu'il comporte l'étape consistant à: - marquer la gaine du câble, avant le sertissage, avec un marquage externe répétitif dans la longueur du câble, de manière à pouvoir contrôler une position du câble dans le fût.
Par exemple, le marquage externe consiste en un bloc de deux motifs, les deux motifs étant consécutifs dans une longueur du câble, ledit bloc de motifs étant répété au moins deux fois dans la longueur du câble à partir de l'extrémité libre du câble. Dans un exemple préféré de réalisation de l'invention, une distance entre deux motifs adjacents appartenant à deux blocs de motifs différents est sensiblement égale à la profondeur du fût du contact devant être sertis sur ledit câble.
Le procédé selon l'invention peut comporter tout ou partie des étapes supplémentaires suivantes consistant à : - sectionner le câble entre deux motifs d'un même bloc, puis introduire le câble dans le fût, et vérifier que l'extrémité ouverte du fût du contact est située, par rapport au marquage, dans une zone d'acceptation indiquant une position de sertissage correcte et sertir le fût du contact sur le câble. Tant que le câble n'est pas correctement inséré dans le fût on continue de l'y insérer. Ainsi, après l'étape de vérification, on est susceptible de revenir à l'étape d'introduction du câble dans le fût. Ce n'est qu'une fois que l'extrémité ouverte du fût du contact est correctement positionnée dans la zone d'acceptation qu'on procède au sertissage.
Dans un exemple particulier de mise en oeuvre du procédé selon l'invention, la position de sertissage correcte est obtenue lorsque l'extrémité ouverte du fût du contact entoure partiellement un des deux motifs du bloc de motifs qui est partiellement logé dans le fût.
Dans un mode préféré de réalisation, le câble est dénudé avant d'être introduit dans le fût du contact.
Selon les besoins, il est possible de réaliser un sertissage électrique en sertissant le fût du contact sur l'âme du câble et/ou un sertissage d'étanchéité en sertissant le fût du contact sur la gaine du câble.
Préférentiellement le marquage externe de la gaine est réalisé au laser de manière à obtenir une précision importante notamment aux niveaux des distances entre deux motifs et du pas entre deux blocs de motifs.
Il est également possible de réaliser un marquage manuel, au moyen, par exemple, d'un gabarit de marquage.
L'invention sera mieux comprise à la lecture de la description qui suit et à l'examen des figures qui l'accompagnent. Celles-ci sont présentées à titre indicatif et nullement limitatif de l'invention. Les figurent représentent: - Figures 1A à 1 D: Un exemple de mise en oeuvre du procédé de sertissage selon l'invention; - Figures 2A et 2B: Deux exemples de bon positionnement du câble dans le fût d'un contact avant sertissage; Figures 3A et 3B: Deux exemples de mauvais positionnement d'un câble dans un fût d'un contact; - Figure 4: Une représentation schématique d'un câble selon un exemple de réalisation de l'invention; -Figure 5: Une représentation schématique d'un câble selon un autre exemple de réalisation de l'invention.
Sur la figure 1A est représenté un exemple de câble muni d'un marquage externe selon l'invention.
Le câble 1 comporte une gaine externe isolante 2. Le marquage consiste en un bloc 3 de deux motifs 4, 5 consécutifs séparés l'un de l'autre par une zone non marquée 6. Les deux motifs consécutifs 4, 5 du bloc 3 de motifs sont consécutifs dans la longueur du câble 1. Par longueur du câble 1, on entend la plus grande dimension du câble 1, parallèle à l'axe longitudinal dudit câble 1. Le bloc 3 de motifs est répété plusieurs fois le long du câble 1.
Dans l'exemple représenté à la figure 1A, les motifs 4, 5 sont des anneaux entourant le câble 1 dans son diamètre. Les motifs 4, 5 sont donc continus sur toute la section du câble 1. Dans d'autres exemples de réalisation, il est possible de réaliser un marquage externe avec des motifs différents.
Sur la figure 4, les motifs 4, 5 des blocs 3 de motifs sont des carrés. Il est possible de ne réaliser qu'un seul carré dans une section du câble 1 considérée. Bien entendu, il est également possible de réaliser plusieurs carrés dans ladite section afin d'entourer la section de câble 1 considérée de motifs 4, 5. Le marquage externe selon l'invention est alors visible quelle que soit la position du câble 1 par rapport à un utilisateur.
Sur la figure 5 est représenté un autre exemple de réalisation d'un câble 1 selon l'invention, dans lequel les motifs 4, 5 des blocs 3 de motifs sont des ronds. Les ronds 4, 5 sont répétés plusieurs fois dans la section du câble, de manière à former des anneaux discontinus autour du câble 1. Ainsi, quelle que soit la position du câble 1, ou l'endroit où il est disposé, le marquage externe est visible. Par exemple, si le sertissage est réalisé dans un dispositif de sertissage, une personne peut procéder au contrôle de la position du câble 1 dans un fût d'un contact sans avoir à se contorsionner ou à bouger le câble 1 dans le dispositif de sertissage pour accéder au marquage.
La distance D, ou pas, séparant deux blocs 3 de motifs est constante le long du câble 1. Le pas D peut notamment être fonction du diamètre du câble 1, et/ou de la profondeur du fût du contact dans lequel le câble est destiné à être introduit.
La distance d séparant deux motifs consécutifs 4 et 5 d'un même bloc 3 de motifs, et qui forme la zone non marquée 6, peut également varier en fonction de la section du câble 1.
Un autre paramètre qui peut être pris en compte pour réaliser le marquage externe adéquat sur le câble 1 est la largeur I des motifs 4, 5. Par largeur I, on entend la dimension du motif 4, 5 parallèlement à l'axe du câble 1. Ainsi, dans l'exemple représenté à la figure 5, où les motifs sont des cercles, la largeur I correspond au diamètre des cercles. Dans l'exemple représenté à la figure 4, où les motifs 4, 5 sont des carrés, la largeur I correspond à la longueur d'un côté d'un carré.
Pour un câble de taille 10, correspondant à une section de 5 mm2, le pas D séparant deux blocs 3 adjacents est de 19 mm (+/- 0,1 mm), la distance d séparant deux motifs 4, 5 d'un même bloc est de 2 mm (+/- 0,1 mm) et la largeur I des motifs 4, 5 est de 0,5 mm (+/- 0,1 mm).
Ainsi, il est possible d'adapter spécifiquement le marquage au diamètre du câble 1, ou section de câble, et augmenter en conséquence la fiabilité du moyen de contrôle visuel selon l'invention.
Selon le procédé de sertissage de l'invention, le marquage externe du câble est utilisé lors de différentes étapes.
Premièrement, avant d'introduire le câble 1 dans un fût d'un contact, on sectionne ledit câble 1 au niveau de la zone 6 non marquée, c'est-à-dire entre deux motifs consécutifs 4, 5 d'un même bloc 3 de motifs (Figure 1 B) .
Puis on dénude ledit câble 1 sur une distance donnée, afin de libérer l'âme 8 du câble 1 sur une longueur donnée, ou longueur de sertissage (Figure 1 C). C'est cette partie du câble 1, formée par l'âme 8 du câble 1, que le fût 9 d'un contact 7 doit sertir.
On introduit alors une extrémité libre 12 du câble 1 dans la cavité 10 du fût 9 (figure 1 D). La partie dénudée du câble 1 forme l'extrémité libre 12 dudit câble 1. Par extrémité libre 12, on entend d'une manière générale l'extrémité du câble 1 destinée à être introduite dans le contact 7.
Une fois que l'extrémité libre du câble 1 est introduite dans la cavité 10 du fût 9, on procède à la vérification du bon positionnement du câble 1 dans le fût 9. Pour cela, on vérifie la position d'une extrémité ouverte 11 du fût 9 par rapport au marquage externe sur le câble 1. Par extrémité ouverte 11 du fût 9, on entend l'extrémité du fût 9 débouchant vers l'extérieur, et par laquelle est introduite l'extrémité libre 12 du câble 1.
Une fois qu'on a vérifié que la position de l'extrémité ouverte 11 du fût 9 autour du câble 1 correspond à la position attendue, on procède au sertissage électrique du fût 9 sur l'âme 8 du câble 1. Il est également possible de procéder à un sertissage d'étanchéité du fût 9 sur la gaine2 du câble 1. Grâce au sertissage d'étanchéité, on augmente l'étanchéité de la connexion entre le câble 1 et le contact 7, et on diminue ainsi les risques d'oxydation, notamment lorsque l'âme 8 du câble 1 est en aluminium.
Sur les figures 2A et 2B, sont représentés deux exemples de bon positionnement du câble 1 dans le fût 9 du contact 7. Le bloc 3 de motifs pris en considération pour le contrôle visuel de la position du câble 1 dans le fût 9 est le bloc 3 immédiatement visible au sortir du câble 1 hors du fût 9.
Sur la figure 2A, l'extrémité ouverte 11 du fût 9 entoure partiellement le premier motif 4 du bloc 3 de motifs qui est partiellement logé dans le fût 9. Le deuxième motif 5 dudit bloc 3 est entièrement logé dans ledit fût 9.
Dans le deuxième exemple, représenté à la figure 2B, le premier motif 4 du bloc 3 est entièrement à l'extérieur dudit fût 9, tandis que le deuxième motif 5 dudit bloc 3 est partiellement logé dans le fût 9.
Les figures 2A et 2B représentent respectivement les bornes de l'intervalle d'acceptation z dans lequel l'utilisateur est assuré que le câble 1 est correctement positionné dans le fût. L'intervalle d'acceptation z est ici compris entre les deux motifs 4, 5 d'un même bloc 3, ledit bloc 3 concerné étant partiellement logé dans le fût 9. Ainsi, pour s'assurer de la bonne position avant sertissage du câble 1 dans le fût 9, il faut que le bloc 3 considéré pour le contrôle visuel soit au moins partiellement externe audit fût 9. Plus précisément, il faut que l'extrémité 11 du fût 9 entoure le câble 1 dans l'intervalle d'acceptation z. Sur les figures 3A et 3B sont représentés deux positionnements incorrects du câble 1 dans le fût 9. Là encore, le bloc 3 de motifs pris en considération pour le contrôle visuel de la position du câble 1 dans le fût 9 est le bloc 3 immédiatement visible au sortir du câble 1 hors du fût 9.
Dans l'exemple représenté à la figure 3A, les deux motifs 4, 5 du bloc 3 sont entièrement extérieurs au fût 9, de sorte que l'extrémité ouverte 11 du fût 9 n'entoure pas le câble 1 dans l'intervalle d'acceptation z, mais dans une zone située en amont de l'intervalle d'acceptation z. Ainsi, l'âme du câble 1 n'est pas située correctement dans le fût 9 pour garantir que lors du sertissage du fût 9 sur le câble 1, il y a bien contact entre le fût 9 et l'âme du câble 1.
Dans l'exemple représenté à la figure 3B, le bloc 3 de motifs est entièrement logé dans le fût 9, de sorte que l'extrémité ouverte 11 du fût 9 n'entoure pas le câble 1 dans l'intervalle d'acceptation z mais dans une zone en aval de l'intervalle d'acceptation z. Ainsi, l'âme du câble 1 se trouve introduite trop profondément dans le fût 9 pour que le sertissage du fût 9 sur le câble 1 se produise au niveau de l'âme, et aura plus certainement lieu au niveau de la gaine.
Dans les deux cas représentés sur les figures 3A et 3B, le sertissage ne correspondra pas au sertissage attendu, et l'utilisateur peut en être informé par un simple coup d'oeil avant même de sertir le fût 9 sur le câble 1.
Pour garantir un bon sertissage, il suffit de vérifier que l'extrémité ouverte du fût 9 est située dans l'intervalle d'acceptation z de sertissage, formé entre les deux motifs 4, 5 consécutifs du bloc 3 qui est partiellement logé dans le fût 9.
D'une manière générale, il suffit que le câble 1 soit muni d'un ensemble de deux blocs 3 de motifs, lesdits blocs 3 de motifs étant considérés depuis l'extrémité libre du câble 1. En effet, dans le procédé selon l'invention, l'utilisateur n'a besoin que de deux blocs 3 de motifs. Le premier bloc 3 de motifs, ou bloc 3 situé au niveau de l'extrémité libre 12 du câble 1, sert de repère pour couper le câble 1 et former une nouvelle extrémité libre 12. Le deuxième bloc 3 de motifs forme le moyen visuel permettant de connaître la position du câble 1 dans le fût 9.
Bien entendu, il est possible de répéter le bloc 3 de motifs 4, 5 plus de deux fois dans la longueur du câble 1, et notamment tout le long du câble 1. Une telle répétition du marquage tout le long du câble 1 permet de sectionner ledit câble 1 au niveau de n'importe quelle zone 6 non marquée d'un bloc 3 de motifs, et ainsi former à partir d'un seul câble 1 plusieurs câbles secondaires pouvant chacun servir à une connexion avec un contact 7.
Le marquage selon l'invention peut être réalisé au moyen d'un laser, qui permet d'exécuter ledit marquage avec la une précision requise. Dans d'autres exemples de réalisation, il est possible de réaliser un marquage externe par application de couleurs sur la gaine 2 ou un marquage à chaud par application locale de chaleur sur ladite gaine 2.
Le marquage selon l'invention peut également être réalisé manuellement, en utilisant par exemple un gabarit de marquage afin de faciliter le dessin des motifs 4, 5. Le marquage manuel peut être fait au moyen d'un crayon, de projection d'encre ou de peinture, etc. ir