FR2812599A1 - Structure de poignee pour vehicules, en particulier pour l'eclairage de la plaque posterieure sur les automobiles - Google Patents

Abstract

L'invention concerne une structure de poignée pour véhicules, remarquable en ce qu'elle comprend un fascicule technique intégré (2), composé de corps (21, 22), développés longitudinalement, unis solidement le long du périmètre pour obtenir une chambre imperméabilisée de logement d'au moins un dispositif d'éclairage (5), desquels :- un premier corps (21), comprend une demi-coque, avec lintrados galbé qui accueille au moins un dispositif, d'éclairage (5), connecté avec des moyens conducteurs (31, 7, 9) aux organes de contrôle extérieurs;- au moins un second corps, constitué d'un couvercle (22), contre-galbé, pourvu, en logique coïncidence avec au moins un dispositif d'éclairage (5), d'une ouverture (222) laquelle est intéressée par des moyens (223, 10) pour la protection du dispositif et la diffusion de la lumière; et encore où, la chambre ainsi obtenue à l'intérieur du fascicule technique intégré (2), prévoit une seule embouchure (212, 213) qui communique avec l'extérieur, par laquelle passent les câbles de liaison (7) et le connecteur (9), la soi-disant embouchure (212), en prévoyant extérieurement, un joint (213). Applications : Domaine automobile.

Description

STRUCTURE DE POIGNÉE POUR VÉHICULES, EN PARTICULIER POUR

L'ÉCLAIRAGE DE LA PLAQUE POSTÉRIEURE SUR LES AUTOMOBILES

DESCRIPTION

La présente invention a pour objet une structure de poignée pour véhicules, particulièrement pour l'éclairage

de la plaque postérieure sur les automobiles.

L'invention, trouve particulièrement même si pas exclusive l'application dans le domaine des composants

finis pour l'industrie automobile.

PREMISSE

Les véhicules sont connus, comme par exemple les automobiles. Elles, prévoient pour chacune, des éléments d'identification, lesquels consistent dans les courantes plaques alphanumériques, respectivement antérieure et

postérieure.

Celle antérieure, comme on le sait, est privée d'éclairage, alors que celle postérieure est bien éclairée, comme le prescrivent les normatives de chaque pays, en vue

de permettre aisément la lecture, surtout de nuit.

Toujours avec le but d'en faciliter la lecture, la plaque postérieure, est aussi placée dans des endroits normalement bien visibles, dont un de ceux-ci est pour certains modèles d'automobile, la porte postérieure du

coffre à bagages.

Vu qu'il s'agit d'une porte arrière, articulée au revêtement du véhicule, il est également évident, que cette porte arrière, doit aussi être ouverte et soulevée de toutes façons, pour accéder à l'ouverture du coffre à bagages. D'o la nécessité, pour les entreprises du domaine, de disposer d'un unique composé qui accomplit plusieurs fonctions. Cela est possible, si on prévoit une poignée, qui en même temps, outre à permettre la prise par les doigts d'une main, intègre, d'un côté la fonction d'ouverture du coffre avec le relatif interrupteur de commande, de l'autre, la fonction de groupe d'éclairage de

la plaque postérieure.

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ETAT DE LA TECHNIQUE

Cette poignée, traduction de l'allemand du terme couramment connu techniquement comme -griffleist-, trouve désormais, dans une multitude de solutions plus ou moins semblables, une très large diffusion, cette circonstance, qui n'a certes pas favorisé l'innovation, en créant toute une série d'inconvénients, au jour d'aujourd'hui non tolérables. De façon traditionnelle, une poignée, est composée de deux parties essentielles, un premier élément de revêtement ou support esthétique, à développement longitudinal, galbé avec un profil esthétiquement agréable, connu même techniquement comme -blende-, et un deuxième élément ou support technique, qui uni, au premier du côté sous-jacent, permet la contenance de l'installation nécessaire à l'acquisition et de l'éclairage de la plaque et, là o elle

est prévue, de l'ouverture du coffre à bagages.

Dans les solutions principalement courantes, le support technique, est normalement imprimé en une unique pièce en matière plastique, et est pourvu de deux différents logements, placés aux côtés d'un siège de prise centrale pour la prise par les doigts d'une main. Chacun des soi-disant logements, est structuré pour allouer le relatif dispositif d'éclairage, composé d'ampoule, de porte-ampoule, de calotte et autre, le tout pour être refermé, par un petit verre de protection qui, de façon périmétrale, s'appuie le long d'un siège, obtenu en rabaissant localement la zone en proximité des ouvertures qui accèdent aux soi-disant logements. Viceversa, le côté externe du soi-disant support technique, se configure comme essentiellement plat, le côté interne prévoit une série de cloisons et sièges de nature différente pour le câblage des dispositifs d'éclairage, et pour l'ancrage de celui-ci à la porte arrière de la voiture. En définitive en se présentant comme un corps, qui du côté interne, ne permet pas aux

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diverses parties de communiquer entre elles. Une fois uni, le support technique au support esthétique après plusieurs points de collage, de la surface qui doit être adossée à la surface métallique de la porte arrière du coffre à bagages, les parties postérieures des composants, assemblés précédemment au soi-disant support technique dépassent. Ces parties, par exemple, peuvent consister dans les boîtes des dispositifs d'éclairage, alors que de façon centrale le dispositif électromécanique d'ouverture de la porte arrière du coffre, avec le relatif connecteur de prise, qui ensuite

se collègue au distributeur.

Pour faire en sorte qu'entre la poignée et la porte il y ait adhérence, le long de cette dernière, on a obtenu par élimination de matériel, des trous, par lesquels s'insèrent les parties saillantes du dos de la poignée ainsi assemblée. Finalement, ayant pour but d'éviter que l'eau filtre par les points d'union les soi-disant deux parties, la surface de la poignée, intéressée par le contact avec la surface de la porte arrière du coffre à bagages, prévoit l'application à toute zone d'un joint moelleux à cellules fermées. Une seconde solution, adoptée par d'autres maisons automobiles, intéressées à résoudre quelques inconvénients qu'ensuite nous verrons rapportables à la première, prévoit qu'au support esthétique, soient unis des modules, en guise de boites qui servent au premier emboîtement. Selon le cas, ces modules peuvent être constitués chacun par un dispositif d'éclairage, ou alternativement par un dispositif électromécanique d'ouverture. Même dans ce cas, évidemment, du côté d'accouplement de la poignée à la carrosserie de la porte arrière du coffre à bagages un

joint du même genre que le précédent est prévu.

Une énième solution, enfin, a été récemment adoptée par une troisième maison automobile. Elle compte toujours un support esthétique ou blende, auquel est uni un fascicule pseudo-technique. La caractéristique du soidisant - 4 -

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fascicule technique, est celle de prévoir, un unique support, lequel intègre exclusivement les deux dispositifs d'éclairage latérale de la plaque. Le soi-disant support, est constitué d'un unique élément, développé longitudinalement mis en couple au support esthétique sans points de collage, mais avec le dos qui est intéressé par la byette longitudinale isolante de soutien aux extrémités des porte-ampoules. La soi-disant byette est à son tour, de côté non intéressée par le circuit imprimé, revêtue avec un joint, en matériel non rigide, lequel, en phase de fixage de la poignée à la porte arrière, s'adapte à toute surface au contact de cette dernière. Dans le soi-disant fascicule, enfin, aucune coopération du dispositif électromécanique

d'ouverture du coffre à bagages n'est prévue.

Finalement un bref regard aux membranes, qui sollicitées par une pression, agissent sur l'interrupteur de commande d'ouverture de la porte arrière du coffre à bagages postérieur. Comme on a observé précédemment, dans une position intermédiaire, dans d'autres termes, entre les deux lumières latérales qui éclairent la plaque, la poignée, normalement, est pourvue d'un siège convenablement galbé destiné à favoriser l'introduction des doigts d'une main, à permettre, avec la pression des extrémités, le déblocage de l'ouverture de la porte arrière du coffre et par conséquent le soulèvement de cette dernière. Plus en détail, les doigts insistent en correspondance d'une surface qui comprend une membrane, obtenue sur le fond de ce logement central. Cette membrane-ci, est au moins constituée par un anneau périmétral malléable et souple, intéressé de façon centrale et du côté interne par une portion rectiligne de matériel rigide et là reporte. Du côté interne, du soi-disant support technique, la légère déformation de la membrane, au cas o sollicitée, met en marche un levier à bond, qui une fois parti, presse sur le

switch ou micro-interrupteur d'ouverture.

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INCONVÉNIENTS

Dans les solutions non courantes on retrouve des

inconvénients communs.

Par exemple, toutes sont caractérisées par une multitude de composants, qui en tant que tels, doivent être convenablement gérés à magasin. Cet excessif emploi de composants en une poignée, demande par la suite un assemblage long et laborieux, qui nécessite de la main d'ouvre, ce que en définitive, grave en mesure substantielle sur les coûts de production, avec d'évidents reflets négatifs sur le marché. Pour d'autres raisons, une des conséquences plus immédiates d'emploi d'innombrables composants, de façon unie au défaut d'une certaine standardisation pour l'élément de support destiné à contenir ceux-ci, est le fait de résulter peu flexible, pas très fiable à cause de la complexité constructive et essentiellement non innovatif, tout ceci, toutes les facettes des aspects qu'aujourd'hui ne se justifient pas comme coûts de production élevés, en se conciliant mal

avec les exigences d'une entreprise dynamique.

Avec une particulière référence à la première typologie de poignée audessus de l'illustration, un des inconvénients qui se répète est, par exemple, le fait que la prédisposition d'une pluralité des ouvertures, le long de la porte arrière du coffre à bagages en correspondance de la surface d'union de la poignée, pour accueillir l'installation du support technique, rend la zone particulièrement sujette au développement de phénomènes qui génèrent l'oxydation, et encore qu'il y ait un joint, lequel sous certains aspects peut aussi en favoriser l'origine et la migration. Un deuxième et pas négligeable aspect, concerne le fait que les dispositifs d'éclairage, comme l'éventuel switch d'ouverture, ne sont pas placés en milieux parfaitement isolés, étanches, de sorte que très souvent ils sont intéressés par la formation d'humidité, un phénomène qui peut causer tout au moins l'interruption

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de l'alimentation. Encore un inconvénient est rapportable à l'assemblage, lequel dans la proposition d'examen, est long et laborieux, ceci car plusieurs points de collage sont nécessaires, ils participent à alourdir, avec toute évidence, les déjà élevés coûts de production. Un ultérieur aspect négatif, enfin, est rapportable au fait que le switch de commande ouverture de la porte arrière, est sollicité indirectement par la membrane, ce que comporte une excessive complexité et surdimensionnement du

dispositif.

Dans la seconde solution prise en examen, quelques problèmes semblent dépassés, avec ladoption des modules, tout de même, il reste une certaine complexité d'exécution, et dans tous les cas, réside l'obligation de prévoir un joint, en matériel souple, ceci pour garantir

un minimum d'imperméabilité au milieu technique sous-

jacent, qui doit être appliqué à toute surface, le long du dos du support technique. Considéré tout cela, il apparaît évident que même pour cette solution, les inconvénients restent relatifs à l'imperméabilité, par ailleurs pas complètement garantie, alors que du point de vue exécutif, persiste une certaine complexité de réalisation, ce qui

demandent du temps et de la y main d'oeuvre.

Finalement, même la troisième solution semble ne pas résoudre convenablement les problèmes tout à l'heure mis en évidence, par ailleurs, en y créant des autres. En bref, même pour cette-ci on prévoit, ainsi comme dans les cas précédents, l'emploi d'un joint, appliqué à la poignée, à toute la surface le long du dos d'accouplement de la carrosserie. Cette caractéristique, peut sans aucun doute être source de mauvais fonctionnement, vu que si il est vrai qu'on peut aussi entraver la migration d'eau à l'intérieur du support, il est aussi vrai qu'elle recouvre des composants qui intègrent des corps conducteurs, dans certains cas même la byette, avec la conséquence que plus ou moins localement des phénomènes qui génèrent l'oxydation peuvent s'amorcer facilement Pour cette et d'autres raisons, les entreprises, particulièrement, du secteur des fournitures pour automobiles, ont la nécessité d'individualiser des propositions alternatives et en même temps de les améliorer par rapport aux techniques jusqu'à présent existantes.

BRÈVE DESCRIPTION DE L'INVENTION

Ce but et d'autres sont atteints avec la présente invention en résolvant les problèmes exposés avec une structure de poignée pour véhicules, particulièrement pour l'éclairage de la plaque postérieure sur les automobiles et pour l'ouverture de la porte arrière du coffre à bagages, du type composé d'un support esthétique, monolithique, et d'un support technique introduit à l'intérieur du premier, qui prévoit des dispositifs préassemblés d'éclairage de la plaque avec, en position intermédiaire, un éventuel dispositif pour l'ouverture commandée de la porte arrière du coffre à bagages, o, le soi-disant support est constitué d'un fascicule technique intégré, composé de deux corps développés longitudinalement, couplés de façon périmétrale étanches, desquels: - un premier corps, comprend une demi-coque, avec lintrados galbé qui accueille une byette de support d'au moins un dispositif d'éclairage, et éventuellement, un dispositif pour l'ouverture commandée de la porte arrière; cette byette en étant du type coopérant avec les moyens conducteurs, en prévoyant, le long d'un côté de celle-ci au moins un circuit imprimé pour connecter chacun des dispositifs aux respectifs organes extérieurs de contrôle;

- un second corps, constitué par un couvercle, contre-

galbé, pourvu, en logique coïncidence avec au moins un dispositif d'éclairage, d'une ouverture laquelle est -8 - intéressée par des moyens pour la protection du dispositif et la diffusion de la lumière, et encore o le couvercle, prévoit une éventuelle membrane, malléable à pression en insistant en correspondance du dispositif pour l'ouverture commandée de la porte arrière du coffre à bagages; et encore o, à l'intérieur de ce fascicule technique intégré, est obtenue une chambre commune, au moins de logement des dispositifs d'éclairage, ce fascicule, en étant intéressé d'un côté, par une seule ouverture qui communique avec l'extérieur, par lequel passent les câbles de liaison des dispositifs et le connecteur,la soi-disant ouverture, en prévoyant extérieurement, un joint

préalablement moulé, obtenu en matériel non rigide.

AVANTAGES

De cette manière, par le notable apport créatif dont l'effet constitue un progrès technique immédiat, de

différents et dimportants objectifs sont remportés.

En premier lieu, il est possible d'obtenir un fascicule technique, intégré, pourvu d'une notable compacité, essentiellement imperméabilisé, à l'intérieur duquel se réduit de manière considérable la possibilité que de l'eau nentre ou même seulement de l'humidité. Au cas o cela arrive, à cause d'événements exceptionnels, la particulière conformation de la chambre avec linteraction de la cheminée d'évacuation, permet, d'abattre la température moyenne présente dans le système et l'élimination de toutes ces conditions qui favorisent la formation d'humidité. En même temps, en conditions normales, toujours la particulière conformation de la chambre avec l'emploi de la cheminée dévacuation, ont la fonction découler la chaleur générée par les dispositifs d éclairage, en évitant toute une série de problématiques complexes. De l'autre côté, la raisonnable simplification constructive en unifiant les composants, avec une simultanée réduction de ces derniers permet une importante

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réduction du nombre de codes de gestion, rendent le produit fiable, presque sans entretien, particulièrement flexible et pour cela appréciable et de grand intérêt, autant pour

le sujet producteur que pour 1 acquéreur.

De façon structurale, le long du dos de l'accouplement, la poignée-porte arrière du coffre à bagages, ces insidieuses saillies et autre ont été éliminées, excepté le connecteur, qui obligeaient, précédemment, le constructeur du véhicule, à exécuter une

série sans discrimination d'ouvertures dans la carrosserie.

Cette circonstance, a reporté dans les limites acceptables, même si pas essentiellement éliminée, la possibilité d'amorcer, localement, des phénomènes qui génèrent l'oxydation. Le problème, est aisément dépassé grâce aussi à l'élimination en bonne partie de la surface, de la couche du joint moelleux, qui garnit la poignée originale, en contribuant avec cela à réaliser une structure, à l'intérieur de laquelle, l'eau, une fois entrée entre le support esthétique et le fascicule technique, peut aussi

librement sortir.

En conclusion, ces avantages, ont la qualité non négligeable, d'obtenir un produit à un prix plus contenu par rapport aux précédents, sans pour cela même interférer de façon qualitative, ou sous certains angles en améliorant

les aspects, avec un élevé contenu technologique.

Ceux-ci et d'autres avantages apparaîtront dans la

successive description détaillée comme une solution

préférentielle de réalisation à l'aide des dessins schématiques annexés avec les détails d'exécution ne doivent pas être considérés limitatifs mais seulement et

exclusivement exemplificatifs.

DESCRIPTION DES DESSINS

La Figure 1., représente une vue d'ensemble et du côté inférieur d'une poignée pour automobile, pourvue de dispositifs d éclairage de la plaque postérieure, et dans une position intermédiaire, d'un dispositif pour louverture

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commandée de la porte arrière porte de l'ouverture du

coffre à bagages.

La Figure 2., est une vue fragmentée de la poignée

pour automobile qu'on trouve dans la Figure précédente.

La Figure 3., représente une vue partielle en section longitudinale, prise le long de l'axe A-A, de la poignée

qu'on trouve dans la Figure 1.

La Figure 4., est une vue en section transversale, du dispositif qu'on trouve dans la Figure 1., prise le long de

l'axe B-B.

Enfin la Figure 5., est une vue en section sur plan

transversal C-C du poignée qu'on trouve dans la Figure 1.

DESCRIPTION D'UNE POSSIBLE EXECUTION DE L'INVENTION

La présente solution, se réfère à une structure de poignée (A) pour véhicules, particulièrement pour l'éclairage de la plaque postérieure sur les automobiles et pour l'ouverture commandée de la porte arrière (B) d'accès

au coffre à bagages.

Plus particulièrement, la poignée (A), se compose en premier lieu d'un support esthétique (1), du type obtenu en matière plastique, donné par un corps monolithique, développé longitudinalement, ouvert essentiellement d'un côté, et étant donné que le côté supérieur (11), arrondi et en vue, et le côté inférieur (12) sont unis

longitudinalement,le long d'une extrémité commune.

Le long du bord (111) du côté supérieur, on relève des languettes, (112) étendues vers le bas, pourvues d'ouvertures (113), essentiellement rectangulaires, et destinées à engager le fascicule technique intégré (2), qu'on peut introduire à l'intérieur du soi-disant support

esthétique (1).

Le côté inférieur (12), raccordé au côté (11), intéresse exclusivement les deux extrémités opposées et symétriques de la poignée (A), en détectant dans la partie centrale et sur un certain segment, l'absence de celui-ci, de telle - i - 2812599 façon à réaliser un logement (C), destiné à accueillir le soi-disant support technique intégré (2). De cette manière, les extrémités de la poignée (A), présentent une conformation essentiellement diminuée, et partiellement fermée en guise de demi-coque. Le long du restant côté inférieur (12), qui intéresse chacune des extrémités du support esthétique, des sièges émergents (121) qui permettent l'ancrage, d'extrémité, de l'ensemble de la poignée (A) à la porte arrière de l'automobile. (B). Une bandelette de renfort (122), pour chacune des extrémités, qui raidit localement les deux surfaces (11, 12), ainsi qu'une petite bande (123) qui définit vers l'intérieur, l'interruption de la portion sur le côté (12) sont

également présentes.

Au support esthétique (1) dans le relatif logement (c) ainsi défini est uni un support technique constitué d'un

fascicule technique du genre intégré.

Celui-ci, se compose essentiellement de deux parties, (21) et (22), dont, la première (21), est une demi-coque qui se referme, en permanence, par un couvercle (22) et soudé de

façon périmétrale le long des points de contact.

Dans la demi-coque (21) préventivement, des dispositifs d'éclairage (5) peuvent être introduits, respectivement deux, ainsi que des moyens pour la connexion de ceux-ci aux

organes extérieurs de contrôle.

Éventuellement, un dispositif d'ouverture (6) de la porte

arrière (B), qui consiste pour le moins en un micro-

interrupteur, placé dans les premiers peut concourir avec

les soi-disant dispositifs d'éclairage.

Relativement à la demi-coque (21), on observe qu'il est donné d'un corps monolithique, à développement longitudinal, essentiellement avec une section trapézoïdale, galbé de telle façon à prévoir au moins un côté (211) qui, en étant plat, en phase d'association, est adossé à la surface correspondante interne et plate de côté

(11), du support esthétique (1).

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Dans la demi-coque (21), le long de la surface interne du côté (211), est introduit et ici retenu avec encastrement, un support isolant (3) en guise de byette,

lequel supérieurement, encore, aux extrémités, des porte-

ampoules (4). L'alimentation de ceux-ci (4), pour assurer l'allumage des respectives ampoules (5), est assurée par un circuit, imprimé le long de la byette (3) du côté inférieur (31), opposé au supérieur d'ancrage des soi-disant porte-ampoules

(4).

Une ultérieure et possible fonction de la byette (3), est aussi celle de supporter en position intermédiaire et du même côté d'ancrage des porteampoules (4), un couple de micro-interrupteur, (6) pour louverture de la porte arrière

(B).

Ces micro-interrupteurs, (6), sont eux aussi connectés à un relatif circuit, imprimé le long de la byette (3) du côté inférieur (31), de telle façon à ne pas faire rester à l'intérieur de la demi-coque (21) des câbles volants

quoique rejetés.

De cette manière, les seuls câbles (7) à l'intérieur d'une gaine commune (8), qui relient les respectifs circuits, sont recueillis et reliés en une seule position, sur le côté inférieur de la byette (3), pour ensuite, être

connectés de l'autre côté à un connecteur commun (9).

Pour porter à l'extérieur du fascicule technique intégré (2), les câbles (7) avec le connecteur (9), on a prévu sur le fond de la demi-coque (21), la réalisation d'une

généreuse embouchure (212).

Encore plus particulièrement, du côté externe, en correspondance de la soi-disant embouchure (212), est imprimé un joint en matériel thermoplastique (213), lequel

se prolonge vers l'extérieur en guise de flacon tubulaire.

Ainsi une fonction de la soi-disant embouchure (212) avec le relatif flacon (213), est aussi celle de favoriser la ventilation à l'intérieur du fascicule technique intégré

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(2), d'un côté, en facilitant l'écoulement de la chaleur générée dans la chambre commune qui contient les dispositifs (5, 6), de l'autre en évitant la formation d'humidité. Pour ultérieurement faciliter une telle circulation d'air, la cheminée (212, 213) peut aussi être obtenue à partir d'une cloison qui sépare longitudinalement, et essentiellement, partage et facilite les deux sens de circulation, respectivement d'entrée et de sortie du flux

d'air.

Dans une seconde et possible réalisation de la cheminée (212, 213), on prévoit que celle-ci peut jouir de deux canaux tubulaires, même avec des sections de différent diamètre, pour la circulation de l'air, dont un premier externe, coaxialement auquel passe l'ensemble des câbles (7), la gaine (8), le connecteur (9), et un second interne au soi-disant premier, lequel se prolonge, à l'intérieur de la soi-disant chambre commune. Alternativement, comme par exemple pour une solution qui comprend des canaux concentriques, la position de l'ensemble des câbles (7), la gaine (8),le connecteur (9), résulte essentiellement

intervertie, ces derniers passent par le canal central.

Une troisième et dernière prévision de cheminée (212, 213), consiste à configurer l'élément tubulaire, comme une structure essentiellement à coude, même avec des sections

de différent diamètre.

Dans le cas d'espèce, on prévoit un segment essentiellement perpendiculaire par rapport à la chambre, auquel suit un bref segment orthogonal, suivi d'un second segment encore perpendiculaire. Le long d'un côté du segment orthogonal, en coïncidence avec la base de la deuxième portion

perpendiculaire, un trou est prévu.

De telle façon un effet Venturi est amorcé, lequel a

l'avantage de favoriser la circulation de l'air.

Enfin, un couvercle (22), contre-galbé, est uni à la demi-

coque (21) et soudé de façon périmétrale à celui-ci.

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Dans le cas d'espèce, le soi-disant couvercle (22) comprend aux extrémité des ouvertures (222), intéressées de façon périmétrale par un joint (223), en vue de permettre

l'accouplement à tenue d'un petit verre transparent (10).

Toujours le couvercle (22), en correspondance de la zone

logiquement qui coïncide avec les sous-jacents micro-

interrupteurs (6), contenus dans la demi-coque (21), prévoit une surface (225) malléable, destinée à être pressée de telle façon à solliciter uniformément les deux soi-disant micro-interrupteurs (6). Encore plus particulièrement, la soi-disant surface (225) comprend une petite portion en matériel plastique rigide (224) qui s'étend d'un côté à l'autre de la zone, sur laquelle en logique coïncidence, est imprimé une couche de matériel

souple (225).

Ce dernier, à l'aide du segment d'interruption périmétrale qui intéresse la portion en matériel plastique rigide (224), par mérite de ses propriétés élastiques, fait fonction de membrane, en conférant le nécessaire retour

pour obtenir la délivrance des micro-interrupteurs (6).

Une fois assemblé, le fascicule technique intégré (2, ce

dernier peut servir au support esthétique (1).

L'opération, vraiment simple, est effectuée avec

encastrement à déclenchement.

Pour faire cela, on a prévu le long du côté externe de la demi-coque (21), une dent longitudinale saillante (214) laquelle s'insinue dans un siège correspondant (114) obtenu le long du côté inférieur, vers l'intérieur, du support

esthétique (1).

Le blocage définitif, est obtenu de l'autre côté, avec des dents émergentes (215), malléables avec souplesse, lesquelles coïncident exactement avec la position des languettes (112) prévues le long du support esthétique (1)

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Claims (16)

REVENDICATIONS

1. Structure de poignée pour véhicules, caractérisée par le fait de comprendre un fascicule technique intégré (2), composé de corps (21, 22), développés longitudinalement, unis solidement le long du périmètre pour obtenir une chambre imperméabilisée de logement d'au moins un dispositif d'éclairage (5), desquels: - un premier corps (21), comprend une demicoque, avec lintrados galbé quI accueille au moins un dispositif, d'éclairage (5), connecté avec des moyens conducteurs (31, 7, 9) aux organes de contrôle extérieurs; - au moins un second corps, constitué d'un couvercle (22), contre-galbé, pourvu, en logique coïncidence avec au moins un dispositif d'éclairage (5), d'une ouverture (222) laquelle est intéressée par des moyens (223, 10) pour la protection du dispositif et la diffusion de la lumière; et encore o, la chambre ainsi obtenue à l'intérieur du fascicule technique intégré (2), prévoit une seule embouchure (212, 213) qui communique avec l'extérieur, par laquelle passent les câbles de liaison (7) et le connecteur (9),la soi-disant embouchure (212), en prévoyant

extérieurement, un joint (213).

2. Structure de poignée pour véhicules, selon la revendication 1., caractérisée par le fait que le fascicule technique intégré (2), du côté d'union à la porte arrière (B), prévoit extérieurement un joint imprimé (213), obtenu en correspondance de la soi-disant embouchure (212),

laquelle a été développée en guise de flacon tubulaire.

3. Structure de poignée pour automobiles, composée d'un support esthétique, monolithique (1), et d'un support technique introduit à l'intérieur du premier (1), lequel prévoit des dispositifs préassemblés d'éclairage de la plaque (5) avec, en position intermédiaire, un dispositif

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(6) pour l'ouverture commandée de la porte arrière (B) du

coffre, selon les revendications précédentes, caractérisée

par le fait que, le soi-disant support est constitué par un fascicule technique intégré (2), et composé de deux corps (21, 22) développés longitudinalement, couplés de façon périmétrale et étanches, desquels: un premier corps, comprend une demi-coque (21), avec 1 intrados galbé qu'accueille une byette (3) de support de dispositifs d'éclairage (5), et un dispositif (6) pour l'ouverture commandée de la porte arrière (B); - un second corps, constitué par un couvercle (22), contre-galbé, uni de manière permanente A la demi-coque (21) pourvu, en logique coïncidence avec chaque dispositif d'éclairage (5), d'une ouverture (222) laquelle est intéressée par des moyens pour la protection du dispositif et la diffusion de la lumière (223, 10), le soi-disant couvercle (22), en prévoyant également une membrane (224, 225), malléable à pression en insistant en correspondance du dispositif (6) pour l'ouverture commandée de la porte arrière (B); et encore o, à l'intérieur du soi-disant fascicule technique intégré (2), est obtenue une chambre commune, de logement des dispositifs d'éclairage (5) et du dispositif (6) pour l'ouverture commandée de la porte arrière (B), le soi-disant fascicule (2) , en étant intéressé par un côté, par une seule ouverture (212) qui communique avec l'extérieur, par laquelle passent les câbles (7) de liaison des dispositifs (5, 6) et le connecteur (9), la soi-disant ouverture (212), en prévoyant extérieurement, un joint (213) moulé, obtenu en matériel

non rigide.

4. Structure de poignée pour véhicules, selon les

revendications précédentes, caractérisée par le fait qui

prévoit un support esthétique (1), du type obtenu en matière plastique, donnée d'un corps monolithique, développé longitudinalement, ouvert par un côté, et en

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prévoyant, dans la partie centrale, un logement (), destiné à accueillir le soi-disant support technique

intégré (2).

5. Structure de poignée pour véhicules, selon les

revendications précédentes, caractérisée par le fait que le

support esthétique (1) prévoit des moyens de retenue du fascicule technique intégré (2), qui consistent en: - le long du bord (111) du côté supérieur, des languettes, (112) étendues vers le bas, pourvues d'ouvertures (113); - un siège correspondant (114) obtenu le long du côté

inférieur, vers l'intérieur, du support esthétique (1).

6. Structure de poignée pour véhicules, selon les

revendications précédentes, caractérisée par le fait que le

fascicule technique intégré (2), est obtenu, en soudant de façon périmétrale la demi-coque (21) au couvercle (22), le long des points de contact, pour contenir des dispositifs d'éclairage (5), respectivement deux, ainsi que des moyens (7, 9) pour la connexion de ceux-ci aux organes extérieurs de contrôle, ainsi qu'un dispositif d'ouverture (6) de la

porte arrière (B), celle-ci en consistant en deux micro-

interrupteurs (6), placés entre les deux dispositifs d'éclairage (5) 7 Structure de poignée pour véhicules, selon les

revendications précédentes, caractérisée par le fait que le

support technique intégré (2), prévoit intérieurement, le long du côté (211), retenu avec encastrement, un support isolant (3) en guise de byette, lequel supérieurement,

encore, aux extrémités, des porte-ampoules (4).

8. Structure de poignée pour véhicules, selon les

revendications précédentes, caractérisée par le fait que

l'alimentation des ampoules (5) grâce aux portes-ampoules (4) est assurée par un circuit imprimé le long de la byette

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(3) du côté inférieur(3) opposé au supérieur dancragede

ces soi-disant porte-ampoules.

9. Structure de poignée pour véhicules, selon les

revendications précédentes, caractérisée par le fait que

la byette (3) supporte en position intermédiaire et du même côté d'ancrage des porte-ampoules (4), un couple de micro-interrupteurs, (6) pour l'ouverture de la porte arrière (B) connectés à un relatif circuit, imprimé le

long de la byette (3) du côté inférieur (31).

10. Structure de poignée pour véhicules, selon les

revendications précédentes, caractérisée par le fait que

les seuls câbles (7) à l'intérieur d'une commune gaine (8), qui relient les respectifs circuits, sont recueillis et reliés en une seule position, sur la byette (3), pour ensuite être connecter de l'autre côté à un commun

connecteur (9), en passant par l'embouchure (212, 213).

11. Structure de poignée pour véhicules, selon les

revendications précédentes, caractérisée par le fait que

le couvercle (22), en correspondance de la zone logiquement coïncidente avec les micro-interrupteurs (6), contenus dans la demi-coque (21), prévoit une surface (225) malléable, composée par une petite portion en matériel plastique rigide (224) qui s'étend d'un côté à l'autre de la zone, au-dessus de laquelle en logique coïncidence, est imprimé une couche de matériel souple

(225), ce dernier, élastique, comme la membrane.

12. Structure de poignée pour véhicules, selon les

revendications précédentes, caractérisée par le fait que

la demi-coque (21), est donné d'un corps monolithique, à développement longitudinal, essentiellement avec une section trapézoïdale, galbé de telle façon à prévoir au moins d'un côté (211) qui, en phase d'association, est

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adossé à la correspondante surface interne du côté (11), du

support esthétique (1).

13. Structure de poignée pour véhicules, selon les

revendications précédentes, caractérisée par le fait que le

couvercle (22), contre-galbé, comprend aux extrémités, des ouvertures (222), intéressées de façon périmétrale par un joint (223), en couplant à tenue une dalle transparente (10). 14. Structure de poignée pour véhicules, selon les

revendications 1., et 2., caractérisée par le fait que la

cheminée (212, 213) est obtenue avec une cloison.

15. Structure de poignée pour véhicules, selon les

revendications 1., et 2., caractérisée par le fait que la

cheminée (212, 213) comprend au moins deux canaux tubulaires, même avec des sections de différent diamètre, pour la circulation de l'air, dont un premier externe, coaxialement auquel passe l'ensemble des câbles (7), la

gaine (8), le connecteur (9), et un second interne au soi-

disant premier, lequel se prolonge, à l'intérieur de la

soi-disant chambre commune.

16. Structure de poignée pour véhicules, selon les

revendications 1., et 2., caractérisée par le fait que la

cheminée (212, 213) comprend au moins deux canaux concentriques, même avec des sections de différent diamètre, o l'ensemble des câbles (7), la gaine (8), le

connecteur (9), passe par le canal centrale.

17. Structure de poignée pour véhicules, selon les

revendications 1., et 2., caractérisée par le fait que la

cheminée (212, 213), est configurée comme une structure à coude, même avec des sections de différent diamètre, un segment étant prévu essentiellement perpendiculaire par

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rapport à la chambre, auquel suit un bref segment orthogonal, suivi d'un second segment encore perpendiculaire; et encore o le long d'un côté du soi-disant segment orthogonal, en coïncidence avec l'origine de la seconde

portion perpendiculaire, est prévu un trou.

18. Structure de poignée pour véhicules, selon les

revendications précédentes, caractérisée par le fait que

le fascicule technique intégré (2) peut s'unir au support esthétique (1), en prévoyant le long du côté externe de la demi-coque (21): - une dent longitudinale saillante (214) qui s'insinue dans le correspondant siège (114) obtenu le long du côté inférieur, vers l'intérieur, du support esthétique (1) - des dents émergentes (215), malléables avec souplesse, lesquelles coïncident exactement avec la position des languettes (112) prévues le long du support esthétique (1). 19. Structure de poignée pour véhicules, selon les

revendications précédentes, caractérisée par le fait que

la partie du fascicule technique intégré (2), du côté d'union à la porte arrière (B), qui saille par rapport au support esthétique (1), est donnée par le joint (213) 20. Structure de poignée pour véhicules, selon les

revendications précédentes, caractérisée par le fait que

le joint (213) en guise de flacon tubulaire, revêt localement la zone environnante plus près de l'embouchure (212), en réalisant de façon périmétrale des lèvres d'étanchéité.