FR2542099A1 - Monture de lunettes a charnieres elastiques - Google Patents

Abstract

CETTE MONTURE DE LUNETTES COMPREND DEUX PARTIES (PAR EXEMPLE LA FACE ET L'UNE DES BRANCHES, OU LES DEUX PARTIES DU PONT DE LA FACE OU LES DEUX PARTIES D'UNE MEME BRANCHE DANS LE CAS D'UNE MONTURE PLIANTE) RELIEES DE MANIERE A POUVOIR TOURNER L'UNE PAR RAPPORT A L'AUTRE ENTRE UNE POSITION REPLIEE OU DE FERMETURE ET UNE POSITION D'OUVERTURE, PAR UN MECANISME A CHARNIERE ELASTIQUE COMPRENANT UN ORGANE DE ROULEMENT 46 QUI COOPERE SOUS L'ACTION DE MOYENS DE RAPPEL ELASTIQUES 42B ASSOCIES A UNE PARTIE 12 DE LA MONTURE, AVEC UN ORGANE FORMANT CAME 14 ASSOCIE A L'AUTRE PARTIE 10 DE LA MONTURE POUR PERMETTRE DES DEPLACEMENTS ANGULAIRES LIMITES ET DEFINIS DES DEUX PARTIES 10 ET 12 DE LA MONTURE RELATIVEMENT A UNE POSITION D'OUVERTURE STABLE, LES MOYENS DE RAPPEL ELASTIQUES COMPRENNENT AU MOINS UN RESSORT DE FLEXION 42B ANCRE A LA PARTIE CORRESPONDANTE 12 DE LA MONTURE ET QUI DELIMITE UN LOGEMENT DE RETENUE LATERAL ET DE CENTRAGE DE L'ORGANE DE ROULEMENT 46.

Description

La présente invention se rapporte d'une façon gé-

nérale aux montures de lunettes munies de parties replia-

bles reliées entre elles au moyen de charnières élasti-

ques Ces parties repliables peuvent être constituées par les branches et la face de la monture ou bien, dans le cas de montures pliantes, par les deux parties articulées de

la face ou encore par les deux parties articulées de cha-

que branche.

Il est connu que l'on entend par l'expression "charnière élastique" un dispositif d'articulation capable

de développer une réaction élastique qui s'oppose à la ro-

tation d'ouverture relative entre les deux parties de la monture, ou bien qui facilite la rotation de fermeture de

ces parties et qui détermine une position d'ouverture sta-

ble, par rapport à laquelle les deux parties de la monture

peuvent décrire des déplacements angulaires relatifs limi-

tés en surmontant ladite réaction élastique Ces déplace-

ments angulaires supplémentaires peuvent s'effectuer dans le sens d'un agrandissement de l'ouverture entre les deux parties de la monture et/ou dans la première partie de

leur course de fermeture.

L'utilisation de charnières élastiques, particu-

lièrement pour l'articulation des branches sur la Lace de la monture, permet d'améliorer l'efficacité fonctionnelle et la commodité d'emploi de la monture, en rendant cette dernière plus facile à chausser pour l'utilisateur, même d'une seule main et, en même temps, plus confortable et plus stable et aussi plus facile à adapter aux différentes

conformations crâniennesdes utilisateurs.

Dans une monture connue du type défini plus haut, qui est décrite et illustrée dans le brevet italien N O 759

650, les charnons dé charnière d'une des deux parties arti-

culées de la monture (la branche) sont directement formés

sur un coulisseau soumis à l'action d'un ressort de com-

pression hélicoïdal Les charnons de l'autre partie articu-

lée de la monture (le côté extérieur de la face) sont con-

formés avec un profil de came frontale qui produit la réac-

tion élastique voulue en coopérant avec l'extrémité de la branche qui lui fait face Le frottement qui se développe entre les zones de contact des deux parties articulées est donc du type à glissement, ce qui comporte de graves incon-

vénients qui sont essentiellement dûs à l'usure en fonc-

tionnement, laquelle provoque précocement des pertes de

stabilité et de caractéristiques fonctionnelles de la mon-

ture. Il a déjà-été également proposé, entre autres,

dans le brevet italien n' 511 547, dans la demande de bre-

vet italienne 11 864-A/69 du 22 Janvier 1969, au nom de Meccanottica Leonardo S p A. dans les modèles d'utilité italiens N O 134 731 et 114 732 du 22 Janvier 1969, N O 161 398 du 30 Mai 1973 et dans le

brevet italien N O 995 606, des charnières élastiques con-

formées de manière à remplacer le frottement de glissement par un frottement tournant Le mécanisme de ces solutions consiste en un ressort hélicoidal cylindrique logé dans un logement axial de la branche et sur laquelle s'appuie une

bille Les charnons de la face présentent un profil de ca-

me qui coopère avec la bille, laquelle est poussée en con-

tact de roulement par l'action du ressort de compression.

De cette façon, on réalise entre les deux parties articu-

lées un frottement de roulement qui, à égalité d'effort,

devrait être théoriquement notablement inférieur au frotte-

ment de glissement de la solution décrite précédemment.

En réalité, le frottement qui se développe entre la bille et les profils de came est également grand dans

ces mécanismes et on a constaté que ceci est da en prati-

que au fait que, pendant les déplacements relatifs entre ces deux parties articulées, le mouvement de la bille n'est pas purement de roulement, mais comporte également un glissement, de sorte que le frottement qui se développe

est du type mixte.

Pour ces raisons, il a déjà été proposé des modi-

fications à apporter à ce mécanisme, par exemple dans le

brevet suisse no 622 623, dans lequel un organe interné-

diaire de roulement (normalemient Lune bille auxiliaire) est

interposé entre la bille et Le ressort de compression.

Cette solution, pas plus que les solutions précé- dentes, n'a donné de résultats satisfaisants, en ce sens que l'usure en fonctionnement est également très grande, en entraînant des pertes de stabilité et de fonctionnalité

de la monture dans le temps.

En outre, tous les mécanismes décrits plus haut

sont réalisés en pratique avec des tolérances de fabrica-

tion qui donnent lieu à des jeux, faibles mais non négli-

geables, entre leurs divers éléments constitutifs En con-

séquence, même si les surfaces de cames contre lesquelles s'applique la force élastique de rappel sont régulières,

la force qui se développe en réalité'dans le voisinage im-

médiat des positions d'équilibre de ces profils de cames

peut être relativement basse tandis que, lorsqu'on s'éloi-

gne de ces positions, cette force atteint les valeurs pré-

établies par un saut brusque Ces défauts de fonctionne-

ment engendrent des anomalies fonctionnelles très graves en ce sens que, lorsqu'on chausse la monture,, la-position relative correcte entre la face et les branches peut être instable et par conséquent indéfinie parce que les forces

exercées au moment o l'on chausse les lunettes et' les for-

ces de frottement qui se développent entre la monture et la tête de l'utilisateur peuvent excéder la capacité de

rappel élastique des branches.

Un autre inconvénient que -l'on observe dans les

mécanismes décrits plus haut réside dans le fait que la fa-

ce est difficilement 'centrée sur les axes optiques des

yeux de l'utilisateur, ce qui crée des difficultés de vi-

sion pour les porteurs de lunettes de vue En effet, il

peut facilement se produire un centrage incorrect de la fa-

ce en raison des jeux internes du mécanisme et des frotte-

ments produits à l'intérieur du mécanisme et à l'extérieur

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(entre les branches et la tête de l'utslisateur), et parce

que la réaction des ressorts n'est pas suffisante Ceci si-

gnifie en pratique qu'on obtient ainsi des lunettes dont

les verres correcteurs sont comolètement désaxés par rap-

port aux axes optiques de l'utilisateur, ce qui est évidemn-

ment inacceptable.

Le but de la présente invention est d'éviter les

inconvénients précités en réalisant une monture du type dé-

fini plus haut, munie de charnières élastiques dont les mé-

canismes soient le plus possible exempts de jeu et soient

capables de lui assurer efficacement une grande longévité.

Pour atteindre ce but, la présente invention a

pour objet une monture de lunettes du type défini ci-des-

sus, c'est-à-dire comprenant deux parties reliées l'une à

l'autre de manière à pouvoir tourner entre une position re-

pliée ou de fermeture relative, et une position d'ouvertu-

re relative, au moyen d'un mécanisme de charnière élasti-

que qui comprend un organe de roulement qui coopère sous l'action de moyens de rappel élastiques associés à l'une

des deux parties de la monture, avec un organe formant ca-

me associé à l'autre desdites parties de la monture et qui

définit une position d'ouverture stable par rapport à la-

quelle ces deux parties, placées en position d'ouverture

relative, peuvent décrire des déplacements angulaires rela-

tifs limités et définissables à l'encontre de l'action des-

dits moyens de rappel élastiques, dont la caractéristique principale réside dans le fait que les moyens de rappel élastiques comprennent un dispositif à ressort de flexion

ancré sur la partie correspondante de la monture et qui dé-

limite un logement de retenu e latérale et de centrage de l'organe de roulement

L'action de retenue de l'organe de roulement assu-

rée par le dispositif à ressort de flexion, combinée à une

géométrie qui garantit l'auto-centrage élastique de cet or-

gane de roulement, assure un contact continu et correct en-

tre les divers éléments constitutifs du mécanisme de char-

2542099 "

nière sans qu'il ne puisse exister de zones dans lesquel-

les les réactions élastiques sont influencées par la réali-

sation pratique des éléments constitutifs.

Cette idée de solution permet donc d'éliminer ef-

ficacement tout jeu, en maintenant l'organe de roulement centré et en assurant une réaction élastique parfaitement

contrôlée et qui est déterminée par le dispositif élasti-

que à ressort de flexion.

Un autre avantage important de l'invention, compa-

rativement aux solutions connues décrites précédemment, ré-

side dans le fait que, avec un profil identique de l'orga-

ne formant came, l'accroissement de la force de réaction

du dispositif élastique est beaucoup plus rapide, lors-

qu'on s'éloigne de la position stable d'ouverture Ce fait

dérive de la différence de caractéristique de réaction en-

tre le ressort de flexion et les ressorts de compression

hélicoïdaux En effet, alors que, dans ces derniers res-

sorts, la force de réaction est fonction linéaire de la compression subie, dans le cas du ressort de flexion, la force de réaction est supérieure et, en tout cas, fonction

de la longueur libre du ressort qui est en porte-à-faux.

En définitive, l'invention est en mesure d'assu-

rer un positionnement relatif correct et stable des deux

parties articulées de la monture aussi bien dans la posi-

tion d'ouverture normale que dans la position d'ouverture

excédentaire élastique, ce qui est particulièrement impor-

tant dans le cas o les parties en question de la monture sont constituées par les branches et par la face, puisque,

dans un tel cas, on obtient un positionnement et un centra-

ge stables de la face par rapport aux axes optiques de l'u-

tilisateur.

Le dispositif à ressort de flexion peut être réa-

lisé de différentes façons et, naturellement, sous diffé-

rentes formes et en différentes matières En général, ce dispositif à ressort de flexion est constitué par au moins un et de préférence deux bras élastiquement fléchissants

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formant lames de ressorts qui font saillie en porte-à-faux

sur la partie correspondante de la monture Ces bras peu-

vent être du type lame plate ou du type fil rond et ils sont normalement disposés pour agir des deux côtés sur l'organe de roulement, en définissant le logement de rete-

nue latérale et de centrage de cet organe.

Selon une forme préférée de réalisation de l'in-

vention, les deux ressorts de flexion sont disposés selon

une configuration en Y, dont la tige est ancrée sur la par-

tie correspondante de la monture et dont les branches oppo-

sées élastiques s'ouvrent vers ledit organe formant came.

Selon une autre caractéristique de l'invention, il est prévu des moyens de réglage pour faire varier la charge du ressort de flexion ou de chaque ressort de flexion, par une modification de la valeur de la longueur libre en porte-à-faux, ou de la poussée de ces ressorts

contre l'organe de roulement.

L'organe de roulement est de préférence un rou-

leau cylindrique, parce que cette forme garantit un plus grand appui, et, par conséquent, une plus faible usure de

la surface de l'organe formant came.

En variante, l'organe de roulement peut présenter

une forme sphérique, ovaloide ou ellipsoïde.

Dans chaque cas, dans la monture selon l'inven-

tion, les charnières élastiques peuvent être réalisées sous des dimensions extrêmement réduites, ce qui constitue

un avantage très important pour un produit tel que les lu-

nettes, dans lequel -le facteur esthétique et la légèreté

exercent un rôle de plus en plus décisif.

Ces charnières élastiques sont constituées par un

nombre réduit d'éléments constitutifs qui peuvent être fa-

briqués et assemblés facilement, ce qui contribue à limi-

ter le prix de revient de fabrication de la monture.

D'autres caractéristiques et avantages de l'inven-

tion seront mieux compris à la lecture de la description

qui va suivre de plusieurs exemples de réalisation et en se référant aux dessins'annexés sur lesquels,

la figure 1 est une vue en perspective et en cou-

pe d'une monture de lunettes munie d'une charnière élasti-

que selon l'invention; la figure 2 représente une variante de la figure 1; la figure 3 est une vue en perspective éclatée d'une partie de la charnière;

les figures 4 à 7 sont quatre vues en plan de des-

sus qui représentent schématiquement la charnière de la fi-

gure 1 ou celle de la figure 2 pendant son fonctionnement la figure 8 est une vue analogue aux figures 4 à

7, qui montre un exemple de réglage de la charge du dispo-

sitif élastique de la charnière

la figure 9 est une vue en perspective d'un dé-

tail de la charnière; les figures 10 et 11 représentent deux variantes de la figure 9;

la figure 12 est une vue en perspective d'une va-

riante d'un autre détail de la charnière élastique; et les figures 13 à 17 montrent cinq variantes de la figure 12 La figure 1 représente une partie d'une monture

de lunettes et, en particulier, la zone d'articulation en-

tre la face 10 et une des branches 12 de la monture, arti-

culation qui est réalisée au moyen d'un mécanisme de char-

nière élastique désigné dans son ensemble par 14.

Dans l'exemple représenté, la monture est en mati-

ère plastique, par exemple en cellulo Td, en acétate ou

analogue, mais, bien entendu, la monture pourrait égale-

ment être métallique ou faite de n'importe quelle autre ma-

tière Dans le cas de l'exemple, la branche 12 comprend d'une façon connue une âme raidisseuse 16 constituée par

un plat ou un fil métallique central disposé longitudinale-

ment.

Le mécanisme de charnière élastique 14 comprend

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un élément métallique 18 fixé rigidement à une patte laté-

rale supérieure ou à un tenon 20 de la face 10 et qui for-

me un charnon 22, et un corps métallique 24 fixé à l'extré-

mité de la branche 12 et qui définit une paire de char-

nons, non représentés, qui sont reliés au charnon 22, avec possibilité de rotation, au moyen d' un axe de charnière Le charnon 22 présente en position;,frontale un profil de came qui, comme on peut mieux le voir sur les figures 3 à 8, présente une forme curviligne définissant un creux qui est délimité par deux bosses respectivement intérieure 28 et extérieure 30, qui se raccordent, la première à un flanc intérieur de forme concave 32 et la seconde à un

flanc extérieur incliné 34 Naturellement, le profil de ca-

me pourrait être différent de celui illustré dans cet exem-

ple,'en particulier en ce qui concerne la forme des flancs

32 et 34.

Le corps métallique 24 fixa à la branche 12 com-

prend une patte formant une plaquette latérale extérieure 36 qui constitue un organe d'arrêt capable de coopérer de

la façon expliquée dans la suite avec le flanc incliné ex-

térieur 34 du charnon 22 Le corps 24 forme à sa partie avant une botte 27 dans la paroi frontale de laquelle est

formée une cavité frontale 38 disposée dans le prolonge-

ment de l'âme 16 et dans laquelle est ancré un organe de

rappel élastique désigné dans son ensemble par 40.

Selon l'invention', l'organe de rappel élastique est constitue par un dispositif -à ressort de flexion qui, dans l'exemple de la figure 1, est formé par une paire de lames métalliques 42 disposées selon une configuration en Y Les deux'lames 42 présentent respectivement des parties

d'implantation 42 a appliquées l'une contre liautre et enga-

gée S dans la cavité 38, et des-branches élastiquement flé-

-chissante-s à lame de ressort 42 b, qui forment un angle ob-

tus avec leurs parties d'implantation 42 a et divergent en

porte-à-faux en se dirigeant vers le charnon 22 Les extré-

mités libres des branches élastiques 42 b sont situées à

distance du charnon 22 et définissent un logement de rete-

nue latérale et de centrage 44 dans lequel est inséré un organe de roulement 46 pressé élastiquement par l'action des branches élastiques 42 b contre la surface de came du charnon 22 Dans l'exemple de la figure 1, l'organe de rou-

lement 46 est constitué par un rouleau cylindrique, repré-

senté avec plus de détails sur la figure 9, dont l'axe est

dirigé parallèlement à l'axe géométrique de l'axe de char-

nière 25 Ce rouleau 46 est de préférence métallique mais

il peut être réalisé en n'importe quelle autre matière ap-

propriée.

Le mécanisme de charnière élastique 14 décrit ci-

dessus permet à la branche 12 d'effectuer les nécessaires

rotations d'ouverture et de fermeture par rapport à la fa-

ce 10, en donnant en outre la possibilité de déplacements angulaires élastiques limités et définissables de part et

d'autre d'une position stable d'ouverture stable représen-

tée aux figures 1 et 6, dans laquelle la branche 12 et la face 10 forment un angle sensiblement droit En effet, si l'on suppose que l'on part de la position de fermeture de

la branche 12, dans laquelle cette branche est repliée pa-

rallèlement à la face 10 (figure 4), le déplacement angu-

laire de la branche vers la position d'ouverture provoque

le roulement du rouleau 46 le long du flanc intérieur con-

cave 32 du charnon 22 A l'extrémité libre du flanc 32, le

rouleau 46 rencontre la bosse intérieure 28, et la fran-

chit grâce à l'écartement élastique des branches 42 b du ressort de flexion 40 (figure 5) Sous l'effet du retour de ces branches 42 b, le rouleau 46 s'engage ensuite dans

le creux frontal 26, en provoquant de cette façon un mouve-

ment brusque de la branche 22, qui est retenue élastique-

ment dans la position d'ouverture stable (figure 6) A par-

tir de cette position, la branche 12 est en mesure de dé-

crire des déplacements angulaires dirigés respectivement vers la bosse intérieure 28 et vers la bosse extérieure 30 (figures 5 et 7), à l'encontre de l'action du ressort 40

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qui, sous l'effet de la déformation des branches élasti-

ques 42 b, tend à ramener la branche à sa position stable

d'ouverture normale Si le déplacement angulaire se pro-

duit dans le sens de la fermeture de la branche 12, dès que le rouleau 46 franchit la bosse 28, la branche 12 se referme brusquement contre la face 10 sous l'effet de la

* réaction élastique du ressort 40 Si, au contraire, le dé-

placement angulaire se produit dans le sens opposé, c'est-

à-dire dans le sens de l'ouverture, le rouleau 46 est en mesure de tourner au maximum jusqu'à proximité du sommet de la bosse extérieure 30, après quoi le déplacement de la branche 12 est bloqué par l'effet de butée réalisé entre la lame latérale d'arrêt 36 et le flanc extérieur incliné

34 du charnon 22 Si l'on abandonne la branche 12 dans cet-

te position, la réaction du ressort 40 ramène la branche

dans la position d'ouverture stable dans laquelle le rou-

leau 46 est en prise avec le creux 26.

Le blocage du déplacement élastique dans le sens de l'ouverture de la branche 12 peut être obtenu par des modalités différentes de celles décrites plus haut et, par

exemple, en pratiquant un dégagement dans l'élément 18 (fi-

gure 1) ou directement dans la matière de la face 10 (figu-

re 2) qui définit un plan incliné 66 délimité par une par-

tie de butée 68 destinée à coopérer avec l'extrémité libre de la lame d'arrêt 36 Cette solution présente l'avantage consistant en ce que, dans la position stable d'ouverture

de la branche 12, l'extrémité libre de la lame 36 est dis-

posée dans une position immédiatement adjacente à la par-

tie correspondante de la face 10 pratiquement sans solu-

tion de continuité entre les surfaces extérieures de cette

lame et de la face, ce qui permet d'obtenir un aspect es-

thétique agréable.

Une autre solution pour obtenir le blocage du dé-

placement élastique d'ouverture de la branche 12 pourrait consister à donner à la paroi latérale de la botte 27 qui fait face à la branche élastique 42 b extérieure une forme

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capable d'empêcher la déformation élastique de cette bran-

che au-delà d'une limite pré-établie qui correspond à l'ex-

cursion angulaire maximum désirée pour la branche 12 de la monture. La conformation particulière du mécahisme de char nière élastique 14 et, en particulier, celle de l'organe élastique 40, est en mesure d'assurer le contact continu

et correct entre les divers éléments constitutifs du dispo-

sitif, en éliminant en pratique l'apparition de jeux et en réduisant au minimum les frottements intérieurs Ceci se traduit par une plus grande stabilité et une plus grande

longévité dé la monture et par un positionnement constam-

ment correct de la face, c'est-à-dire un positionnement dans lequel les verres montés sur cette face sont centrés

parfaitement sur les axes optiques de l'utilisateur pen-

dant l'utilisation de la monture.

Naturellement, la conformation du mécanisme de

charnière élastique 14 est susceptible de multiples modifi-

cations et variantes de construction, dont certaines se-

ront décrites dans la suite.

La variante de la figure 2 est de façon générale analogue à la forme de réalisation représentée à la figure 1 et seules les différences seront décrites en détails, et on utilisera les mêmes numéros de référence pour désigner les éléments identiques ou analogues Dans cette variante, la cavité 38 qui reçoit les parties d'implantation 42 a des lames 42 est déportée par rapport à l'âme 16 de la branche 12, vers le côté intérieur de cette branche En variante,

cette cavité 38 pourrait être déportée vers le côté exté-

rieur de la branche 12.

Dans ce cas, l'élément métallique 18 monté suer la patte 20 présente une partie de fixation à la face 10 qui possède une forme différente de celle utilisée à la figure 1.

L'ancrage du ressort de flexion 40 au corps métal-

lique 24 peut être réalisé, comme dans le cas précédent, de façon fixe, par exemple par soudage, brasage, rivetage,

fixation à vis ou un mode équivale t, ou encore dans un mo-

de coulissant, en vue de permettre de faire varier la char-

ge en fonction des exigences de l'utilisation Un exemple d'un dispositif de réglage possible est représenté dans la

variante de la figure 8, dans laquelle les parties d'im-

plantation 42 a des lames 42 sont montées de façon coulis-

sante dans la cavité 38 Une vis ou un grain de réglage 48, vissé dans un trou fileté 50 du corps métallique 24,

bute contre les extrémités libres des branches 42 a et per-

met évidemment de faire varier la longueur libre en porte-

à-faux des branches élastiques 42 b, en modifiant en consé-

quence la réaction élastique de ces branches Un grain la-

téral d'arrêt 52, vissé dans un trou latéral 54 du corps

24 permet de bloquer rigidement le ressort 40 dans la posi-

tion de réglage choisie au préalable.

Un autre mode de réglage possible pourrait consis-

ter, non pas à faire varier la longueur libre en porte-à-

faux des branches élastiques 42 b, mais à modifier la pous-

sée de l'ensemble du ressort 40 contre l'organe de roule-

ment 46, par exemple au moyen d'une vis analogue à la vis

48 et qui permettrait de régler l'amplitude de l'écarte-

ment des branches élastiques 42 b -

Les caractéristiques d'élasticité du ressort 40 peuvent également être modifiées par d'autres moyens, par exemple par une configuration appropriée du profil de came du charnon 22, ou encore grâce à une géométrie appropriée

des parois du corps métallique 24.

Les figures 12 à 17 illustrent diverses possibili-

tés de variantes du ressort de flexion 40.

Dans le cas de la figure 12, ce ressort de

flexion 40 est formé, non pas par deux lames 42 distinc-

tes, mais par une lame 56 unique, mise à la forme d'un Y,

dont la partie d'implantation 56 a est formée par deux bran-

ches de la lame 56 qui sont appliquées l'une contre l'au-

tre. Dans le cas de la-figure 13, le ressort 40 est également formé d'une lame remliée 58 unique, mais, dans ce cas, le repliage est réalisé au niveau des branches élastiques 58 b tandis que les parties d'implantation 58 a sont formées par les extrémités de la lame 58 qui sont ap-

pliquées l'une contre l'autre.

Dans le cas de la figure 14, le ressort 40 est en-

core formé d'une lame 60 unique présentant une extrémité

bifurquée qui en définit les deux branches élastiques.

Dans toutes les formes de réalisation décrites ci-

dessus, le ressort 40 présente la configuration d'une lame

plate Toutefois, ce ressort pourrait également être cons-

titué par un simple fil plié selon des formes correspon-

dant à celles précitées, comme dans le cas de la figure

16, ou bien par deux fils accouplés selon une configura-

tion en Y, comme dans le cas de la figure 15 Ces configu-

rations définissent en pratique des surfaces -de contact

avec l'organe de roulement 46 qui possèdent une forme ar-

rondie, en apportant l'avantage d'assurer un frottement

certainement inférieur à celui qui se produit entre l'orga-

ne de roulement 46 et le profil de came du charnon 22, et en garantissant de cette façon le roulement correct de cet organe. Une autre configuration possible du ressort de

flexion 40 est illustrée à la figure 17-qui consiste à uti-

liser un petit tube 62 qui présente à une extrémité une

couronne de doigts élastiques 64 disposés selon une surfa-

ce conique et qui définissent le logement de retenue et de centrage de l'organe de roulement Dans ce cas, comme dans les formes de réalisation du ressort de flexion 40 qui ont

été décrites plus haut, l'organe de roulement 46 peut pren-

dre des formes différentes de celles d'un rouleau cylindri-

que et il peut être constitué, par exemple, par un rouleau

en tonneau (figure 10), par une bille (figure 11) ou enco-

re par un corps de forme ovaloide ou ellipsoïde.

Naturellement, les divers éléments constitutifs

de la charnière élastique 14 et, en particulier, le res-

sort de flexion 40 et l'organe de roulement 46 peuvent

être extrêmement divers; par exemple, ils peuvent être mé- talliques, ou faits d'une matière plastique ou d'autres ma-

tériaux pourvu qu'ils permettent d'obtenir le fonctionne-

ment désiré.

Il convient de remarquer que, bien que l'inven-

tion ait été décrite à propos de l'articulation entre l'une des branches 12 et la face 10 de la monture, elle

peut s'appliquer de façon tout aussi avantageuse à d'au-

tres parties articulées de la monture En particulier, grâ-

ce aux dimensions d'encombrement extrêmement réduites de

ses éléments constitutifs, lacharnière 18 peut être utili-

sée sur des montures repliables, soit pour l'assemblage de

deux parties articulées du pont qui relient les deux cer-

cles de la face, soit pour la liaison entre les deux par-

ties respectivement initiale et terminale des branches pli-

antes. L'utilisation de la charnière élastique décrite

dans ce qui précède n'est évidemment pas limitée aux montu-

res en matière plastique mais elle peut tout aussi bien

être avantageusement étendue aux montures faites d'une ma-

tière différente, par exemple en métal, pour lesquelles

les dimensions limitées du mécanisme de charnière permet-

tent des réalisations particulièrement intéressantes du

point de vue esthétique et fonctionnel.

Il convient de remarquer que, quel que soit le ty-

pe d'application du mécanisme de charnière élastique 14 sur la monture, la configuration générale du ressort de flexion 40 pourrait être très différente de ce qui a été décrit et représenté, sans pour cela sortir du domaine de l'invention En particulier, cette configuration pourrait être limitée à un unique bras élastique à lame qui fait

saillie en porte-à-faux sur la partie support correspondan-

te de la monture, et disposé de manière à assurer unique-

ment soit la fermeture brusque, soit l'ouverture élastique excédentaire de cette partie par'rapport à la partie de la monture qui y est articulée Naturellement, dans ce cas, le corps de support du bras élastique doit être conformé de manière à définir, avec le bras élastique, le logement de retenue et'de centrage 44 de l'organe de roulement 46.

Il convient finalement de remarquer que les bran-

ches 42 b du ressort 40 pourraient être remplacées par des lames sensiblement rigides et rendues élastiques par des éléments élastiques additionnels, de support ou d'appui, insérés dans la botte 27 et constitués, par exemple par

des tampons en matière élastomère ou éléments équivalents -

Bien entendu, -différentes autres modifications

pourront être apportées par l'homme de 'l'art aux disposi-

tifs qui viennent d'être décrits uniquement à titre d'exem-

ples non limitatifs sans pour cela sortir du cadre de l'in-

vention.

Claims (24)

R E V E N D I C A T I O N S

1 Monture de lunettes comprenant deux parties reliées l'une à l'autre de manière à pouvoir tourner entre

une position repliée ou de fermeture relative et une posi-

tion d'ouverture relative, au moyen d'un mécanisme de char-

nière élastique qui comprend un organe de roulement qui co-

opère-, sous l'action de moyens de 'rappel élastiques asso-

ciés à l'une des deux parties de la monture, avec un orga-

ne formant came associé à l'autre desdites parties de mon-

ture et qui définit une position stable d'ouverture par rapport à laquelle ces deux parties, placées en position

d'ouverture relative, peuvent décrire des déplacements an-

gulaires relatifs limités et définissables à l'encontre l'action desdits moyens de rappel élastiques, caractérisée en ce que les moyens de rappel élastiques comprennent un

ressort de flexion ('40) ancré sur la partie ( 12) correspon-

dante de la monture et qui délimite un logement de retenue latérale et de centrage ( 44) de l'organe de roulement ( 46)

2 Monture selon la revendication 1, caractéri-

sée en ce que le dispositif à ressort de flexion ( 40) com-

prend au moins un bras élastiquement fléchissant, formant lame de ressort ( 42 b), qui fait saillie en porte-à-faux

sur la partie correspondante ( 12) de la monture.

3 Monture selon la -revendication 2, caractéri-

sée en ce que le bras élastiquement fléchissant ou chaque

bras élastiquement fléchissant ( 42 b) est formé par une la-

me plane ( 42).

4 Monture selon la revendication 2, caractéri-

sée en ce que le bras élastiquement fléchissant ou chaque bras élastiquement fléchissant est formé par un corps de

révolution à surface convexe.

Monture selon l'une quelconque des revendica- tions 1 à 4, caractérisée en ce que les moyens élastiques antagonistes comprennent une paire de ressorts de flexion ( 42) qui agissent sur l'organe de roulement ( 46) par ies

deux côtés opposés et définissent ledit logement de r*te-

nue et de centrage ( 44) de cet organe.

6 Monture selon la revendication 5, caractéri-

sée en ce que les deux ressorts de flexion ( 42) sont dispo-

sés selon une configuration en Y dont la tige ( 42 a) est an-

crée sur la oartie correspondante ( 12) de la monture et dont les branches ( 42 b) qui sont à l'opposé de la tige ( 42 a) s'ouvrent vers ledit organe formant came ( 22) en constituant une paire de bras Plastiquement fléchissants

qui peuvent s'écarter élastiquement.

7 Monture selon l'une des revendications 5 et

6, caractérisée en ce que les deux ressorts de flexion ( 42) sont formés par deux pièces distinctes, dont chacune comprend une partie d'implantation ( 42 a) qui est appliquée contre la partie d'implantation ( 42 a) de l'autre pièce

( 42) et une partie fléchissante ( 42 b) formant qn angle ob-

tus avec ladite partie d'implantation ( 42 a).

8 Monture selon l'une des revendications 5 et

6, caractérisée en ce que les deux ressorts de flexion

sont formés par une seule pièce pliée ( 56, 58, 60).

9 Monture selon l'une quelconque des revendica-

tions 1 à 4, caractérisée en ce que les moyens de rappel élastiques comprennent une couronne de ressorts de flexion ( 64) disposés selon une surface sensiblement conique et qui définissent ledit logement de retenue et de centrage

( 44) de l'organe de roulement ( 46).

Monture selon l'une quelconque des revendica-

tions 2 à 9, caractérisée en ce qu'il est prévu des moyens de réglage ( 48) permettant de faire varier la charge du

bras élastiquement fléchissant ou de chaque bras élastique-

ment fléchissant ( 42 b) du dispositif à ressort de flexion

( 40).

11 Monture selon la revendication 10, caractéri-

sée en ce que le bras élastiquement fléchissant ou chaque

bras élastiquement fléchissant ( 42 b) du dispositif à res-

sort de flexion ( 40) est supporté selon un mode coulissant par la partie correspondante ( 12) de la monture et en ce que les moyens de réglage comprennent une vis de réglage ( 48) permettant de faire varier la saillie de ce bras en porte-à-faux par rapport à ladite partie ( 12) de la monture, et un organe d'arrêt ( 52) servant à bloquer le ressort

de flexion ( 40) dans la position de réglage.

12 Monture selon la revendication 10, caractéri-

-sée en ce que lesdits moyens de réglage agissent de maniè-

re à faire varier la valeur de la poussée du dispositif à

ressort de flexion ( 40) exercée contre l'organe de roule-

ment ( 46).

13 Monture selon l'une quelconque des revendica-

tions précédentes, caractérisée en ce que l'organe de rou-

lement est réalisé sous la forme d'un rouleau cylindrique

( 46).

14 Monture selon l'une quelconque des revendica-

tions 1 à 12, caractérisée en ce que l'organe de roulement

( 46) est de forme sphérique.

15 Monture selon l'une quelconque des revendica-

tions 1 à 12, caractérisée en ce que l'organe de roulement

( 46) présente la forme d'un rouleau en tonneau ovaloide.

16 Monture selon l'une quelconque des revendica-

tions 1 à 12, caractérisée en ce que l'organe de roulement

( 46) est de forme ellipsoïde.

17 Monture selon l'une quelconque des revendica-

tions 1 à 16, caractérisée en ce qu'elle comprend en outre

des moyens d'arrêt ( 34, 36) destinés à limiter le déplace-

ment angulaire d'ouverture supplémentaire des deux parties

( 10, 12) de la monture à partir de ladite position d'ouver-

ture stable.

18 Monture selon l'une quelconque des revendica-

tions 1 à 17, comprenant une face ( 10) et deux branches ( 12) articulées à charnière aux côtés de la face ( 10) au

niveau de pattes ou tenons ( 20) de cette face, caractàri-

sée en ce que lesdites parties de la monture reliées par

ledit mécanisme de charnière élastique ( 14) sont consti-

tuées par les branches ( 12) et par les tenons correspon-

dants ( 20) de la face ( 10).

19 Monture selon la revendication 17, caractéri-

sée en ce que le dispositif à ressort de flexion ( 40) est porté par chacune des branches ( 12) et en ce que chacune des branches est munie d'une patte latérale présente la

forme d'une lame ( 36) et destinée à coopérer avec une par-

tie d'arrêt ( 34; 68) de la face ( 10) pour limiter le dé-

placement angulaire d'ouverture excédentaire de la branche

( 12) à partir de ladite position d'ouverture stable.

- 20 Monture selon la revendication 19, caractéri-

sée en ce que ladite partie d'arrêt est constituée par le

flanc intérieur ( 34) de l'organe formant came ( 22).

21 Monture selon la revendication 19, c aractéri-

sée en ce que ladite partie d'arrêt, ( 68) est définie par

un dégagement ménagé latéralement audit organe formant ca-

me ( 22), dans le corps ( 18) de cet organe ou directement

dans le tenon ( 20) de la face ( 10).

22 Monture selon la revendication 18, caractéri-

sée en ce que la branche ( 12) est munie d'une botte ( 27) destinée à contenir le dispositif à ressort de flexion ( 40), qui est muni de parties d arrêt destinées à limiter la déformation élastique dudit dispositif à ressort de

flexion ( 40) dans le sens correspondant au-déplacement an-

gulaire d'ouverture excédentaire de la branche ( 12), à par-

tir de ladite position d'ouverture stable.

23 Monture selon l'une quelconque des revendica-

tions 18 à 22, dans laquelle chaque branche ( 12) est muni E d'une âme centrale de renforcement ( 16), caractérisée et ce que le dispositif à ressort de flexion ( 40) est dispos,

sur le prolongement de cette âme ( 16).

24 Monture selon l'une quelconque des revendica-

tions 18 à 22, dans laqueile chaque branche ( 12) est munie d'une âme centrale de renforcement ( 16), caractérisée es ce -que la dispositif à ressort de flexion ( 40) est décal,

latéralement par rapport tadite &me ( 16.

Monture selon l'une quelconque des revendica-

tions précédentes, comprenant une face ( 10) formée par deux cercles reliés par un pont pliant; caractérisée en ce que lesdites deux parties de la monture reliées par le mé- canisme de charnière élastique ( 14) sont constituées par

les parties repliables du pont.

26 Monture selon l'une quelconque des revendica-

tions précédentes, dans laquelle chacune des branches ( 12,

comprend une partie initiale reliée à la face et une par-

tie terminale repliable par rapport à la partie initiale,

caractérisée en ce que les deux parties de la monture re-

liées par l'intermédiaire du mécanisme de charnière élasti-

que (I 4) sont constituées par lesdites parties initiale et terminale de chaque branche ( 12)o

27 Monture selon l'une quelconque des revendica-

tions 1 à 26, caractérisée en ce que le dispositif à res-

sort de flexion ( 40), l'organe de roulement ( 46) et l'orga-

ne formnant came sont métalliques ou faits d'une autre mati-

ère appropriée quelconque.

28 Mohture selon la revendication 1, caractéri-

sée en ce que le dispositif à ressort de flexion comprend

au moins une -paire de lames sensiblement rigides et ren-

dues capables de fléchir élastiquement à l'aide de moyens élastiques additionnels de support ou d'appui constitués,

par exemple, par des tampons en matière élastomère ou équi-

valents.