EP1941122B1

EP1941122B1 - Porte rapide a rideau souple

Info

Publication number: EP1941122B1
Application number: EP06842201.3A
Authority: EP
Inventors: Bernard Kraeutler
Original assignee: Nergeco SA
Current assignee: Nergeco SA
Priority date: 2005-10-28
Filing date: 2006-10-30
Publication date: 2014-05-21
Anticipated expiration: 2026-10-30
Also published as: WO2007057735A2; JP5452927B2; EP1941122A2; WO2007057735A3; FR2892759B1; US7918263B2; US20080257503A1; FR2892759A1; JP2009519385A

Description

La présente invention concerne une porte du type porte rapide comportant un rideau susceptible d'être déplacé par des moyens électromécaniques d'entraînement entre une position d'ouverture et une position de fermeture.
FR 2842243 divulgue une porte selon le préambule de la revendication 1.
L'invention se rapporte plus particulièrement à une porte à rideau souple à repliement ou à enroulement destiné à obturer ou dégager rapidement l'accès à une baie formée dans une paroi séparant deux locaux.
Dans de nombreux domaines d'application, il importe d'obtenir une bonne étanchéité entre les deux locaux que la porte sépare.
De manière classique, une porte rapide présente deux parties latérales sensiblement verticales qui sont disposées de part et d'autre de la baie ; ces deux parties latérales supportent un arbre transversal ainsi que, éventuellement, des moyens électromécaniques d'entraînement de cet arbre.
Cette disposition générale se retrouve quel que soit le type de porté ; une porte rapide peut, en effet, être soit du type à enroulement, c'est-à-dire qu'elle possède un arbre sur lequel s'enroule un rideau souple ou soit du type à repliement, c'est-à-dire qu'elle possède un rideau souple dont la remontée est assurée par des sangles qui sont, d'une part, reliées à l'arbre et d'autre part sont reliées à la partie basse du rideau.
L'étanchéité entre les bords latéraux du rideau et chacune des parties latérales est réalisée de manière relativement satisfaisante puisque les parties latérales de la porte sont généralement pourvues de glissières dans lesquelles s'engage chacun des bords latéraux du rideau.
En revanche, au niveau transversal supérieur de la porte, il s'avère que l'étanchéité n'est pas totalement satisfaisante.
En effet, de manière classique, on prévoit généralement un capot transversal qui vient rejoindre les extrémités supérieures de chacune des parties latérales formant la porte.
La figure 1 illustre de manière schématique une porte de ce type. Sur cette figure, il apparaît que des échanges d'air schématisés par des flèches peuvent se produire entre les deux locaux séparés par la porte.
En même temps que des échanges d'air, il peut donc également se produire des passages de poussières ainsi que des échanges phoniques entre ces deux locaux.
Par ailleurs, le capot transversal qui recouvre et protège l'arbre de la porte est une pièce qui peut être de grande longueur et qui, donc, présente un coût qui peut être important.
L'invention a pour but de remédier à ces inconvénients et a plus particulièrement pour but de proposer une porte dont l'étanchéité supérieure soit efficace.
Un autre but de l'invention est de proposer une porte dont la protection de la partie supérieure soit d'un coût modéré.
L'invention à pour objet une porte rapide selon la revendication 1 destinée à obturer une baie, pratiquée dans une paroi, délimitée par un linteau et par deux bords verticaux, la porte comprenant :

deux parties latérales sensiblement verticales pouvant être disposées contre chacun des bords verticaux de la baie ;
un arbre positionné au niveau du linteau de la baie, entraîné en rotation par des moyens électromécaniques ;
un rideau en matériau souple ayant une première face et une deuxième face relié à l'arbre, la rotation de l'arbre pouvant faire passer le rideau entre une position fermée, dans laquelle le rideau obture la baie, et une position ouverte, dans laquelle le rideau dégage la baie.

Selon l'invention, la porte présente des moyens souples de protection de l'arbre qui s'étendent entre les deux parties latérales et qui sont susceptibles de venir en applique contre le linteau, les moyens de protection possédant, en outre, des premiers moyens d'étanchéité transversaux pouvant venir en appui transversal contre la première face du rideau lorsque celui-ci est en position fermée.
L'invention prévoit donc de réaliser les moyens de protection de l'arbre d'entraînement du rideau dans un matériau souple et d'intégrer aux moyens de protection de l'arbre, des premiers moyens d'étanchéité qui pourront venir en appui contre le rideau lorsque celui-ci est en position de fermée.
Il est également prévu que la porte présente, en outre, des seconds moyens d'étanchéité pouvant être en applique sur le linteau et pouvant venir en appui transversal contre une deuxième face du rideau lorsque celui-ci est en position fermée.
L'invention prévoit ainsi de traiter la problématique de l'étanchéité sur les deux faces du rideau en dotant la porte de seconds moyens d'étanchéité qui agissent sur la deuxième face du rideau.
Toujours dans la problématique de la gestion de l'étanchéité, il est; envisagé que le rideau présente sur, au moins l'une de ses deux faces, une surépaisseur venant en contact des premiers ou deuxièmes moyens d'étanchéité, lorsque le rideau est en position fermée.
Cette disposition s'avère tout à fait utile pour assurer un contre appui à l'un des moyens d'étanchéité ou éventuellement aux premiers et deuxièmes moyens d'étanchéité dans le cas de figure où chacune des faces du rideau est dotée d'une surépaisseur.
Selon l'invention, il est prévu les moyens de protection comprennent une bâche transversale recouvrant l'arbre, maintenue par des moyens de support transversaux parallèles à l'arbre et disposés autour de celui-ci, la bâche transversale étant fixée sur le linteau: de la baie et présentant des moyens d'étanchéité transversaux pouvant venir en appui contre le rideau.
Cette disposition tout à fait avantageuse permet de réaliser une protection de la partie supérieure de la porte à moindre coût et en utilisant la technologie de fabrication du rideau lui-même. Par ailleurs, la bâche peut embarquer et réaliser l'étanchéité de la partie supérieure de la porte.
Selon une possibilité, la bâche transversale peut comprendre plusieurs laizes, dont au moins deux d'entre elles sont reliées par un fourreau dans lequel peut être engagé un moyen de support transversal.
Il peut également être envisagé que la bâche soit constituée d'une pièce rectangulaire de matériau souple sur laquelle est rapportée au moins une bande pour former un fourreau.
Dans une forme de réalisation, chaque partie latérale de la porte comprend un montrant vertical surmonté d'une console supportant une extrémité de l'arbre et dans laquelle est ancrée une extrémité d'un moyen de support de la bâche.
Pour assurer la tenue de la bâche, la porte selon l'invention présente au moins deux barres transversales de support sur laquelle la bâche est tendue.
Selon une possibilité, au moins une barre transversale est engagée dans un fourreau de la bâche.
Dans une autre forme de réalisation, il est envisagé que les moyens de protection soient constitués d'une partie rigide et d'une partie de bâche souple.
Pour assurer l'étanchéité vis-à-vis du rideau, les premiers moyens d'étanchéité peuvent être constitués d'une bavette souple qui prolonge les moyens souples de protection de l'arbre et vient en contact du rideau lorsqu'il est en position fermée.
Il peut être envisagé que la bavette soit formée par une bande de matériau souple rabattue sur elle-même.
Il peut également être envisagé que les premiers moyens d'étanchéité soient constitués d'un bourrelet qui prolonge les moyens de protection et vient en contact du rideau lorsqu'il est en position fermée.
Pour renforcer l'étanchéité, le bourrelet peut être rempli d'une mousse alvéolaire.
Pour réaliser un contact entre la bâche et le rideau, le bord transversal libre de la bâche peut être muni d'un fourreau dans lequel est engagé un élément élastique dont chaque extrémité est reliée à une partie latérale.
Selon une possibilité, les deuxièmes moyens d'étanchéité comprennent un profilé pouvant être fixé sur le linteau auquel est adjoint un bourrelet ou une bavette souple pouvant venir plaquer contre la deuxième face du rideau.
La porte peut être du type à enroulement ; dans ce cas, le rideau est fixé sur l'arbre et s'enroule et se déroule sur celui-ci pour ouvrir et fermer la porte.
La porte peut être du type à repliement ; dans ce cas, la porte comprend au moins une sangle reliée d'une part à l'arbre et d'autre part au rideau de sorte qu'une rotation de l'arbre entraîne un repliement du rideau au niveau du linteau de la porte.
Pour sa bonne compréhension, l'invention est décrite en référence au dessin ci annexé représentant, à titre d'exemple non limitatif, plusieurs formes de réalisation des portes selon l'invention.

Figure 1 montre, en coupe transversale, un capot transversal selon l'art antérieur,
Figure 2 montre, en perspective, une porte selon l'invention,
Figure 3 est une vue en coupe selon III-III de figure 2,
Figures 4 et 5 montrent, en coupe, plusieurs formes d'exécution de la porte selon l'invention.

Par simplification, les éléments qui se retrouvent sur les différentes formes de réalisation portent les mêmes références.
En se référant tout d'abord à la figure 2, il apparaît que dans sa forme de réalisation représentée, la porte 1 comprend deux parties latérales 2 et 3 qui viennent en appui sur une paroi 4 le long des bords latéraux d'une baie pratiquée dans la paroi 4.
Dans l'exemple représenté, chacune des parties latérales 2 et 3 est constituée d'un montant vertical 5 qui est surmonté d'une console 6. Entre ces deux parties latérales 2, 3, est disposé un rideau 7 en matière souple ; cette manière souple peut être, par exemple, du PVC. Le rideau 7 présente une première face 7a et une deuxième face 7b.
On note que, dans l'exemple représenté, le rideau 7 est pourvu de plusieurs barres de raidissement transversales 8 qui peuvent être réalisées dans un matériau présentant une souplesse d'ensemble.
Comme cela apparaît sur la figure 2, les bords verticaux du rideau 7, lorsque la porte est en position fermée, sont engagés dans des glissières pratiquées dans les montants 5.
On voit également que le bord transversal inférieur du rideau 7 vient en contact du sol si bien que l'étanchéité latérale verticale et l'étanchéité transversale inférieure sont réalisées de manière relativement satisfaisante.
En pratique, des fuites entre les deux locaux que la porte est sensée isoler, peuvent se produire au niveau de la partie transversale supérieure de la porte.
Le passage entre les deux locaux ou entre le milieu extérieur et un local est illustré à la figure 1 qui montre une porte selon l'art antérieur.
Dans l'exemple illustré sur la figure 2, la porte est une porte dite à enroulement, c'est-à-dire qu'un arbre 12 d'enroulement s'étend entre chacune des consoles 6. L'arbre 12 d'enroulement peut être entraîné par un moteur électrique avec éventuellement un réducteur interposé entre le moteur électrique et l'arbre 12.
Comme cela apparaît sur la figure 2, une armoire de commande 9 permet de contrôler l'action des moyens électromécaniques.
Si on se réfère maintenant à la figure 3 qui montre, en coupe transversale, la partie supérieure de la porte, on peut voir que, de manière tout à fait spécifique à l'invention, celle-ci présente une bâche de protection 10 qui vient recouvrir l'arbre d'enroulement 12 et assure l'étanchéité de la partie supérieure de la porte.
Compte tenu de l'absence de tenue mécanique des matériaux constituant la bâche de, protection 10, celle-ci est tendue sur des moyens de support transversaux.
Dans l'exemple illustré à la figure 3, les moyens de support transversaux sont constitués de barres 13 de section tubulaire qui sont supportées, à chacune de leur extrémité, par les consoles 6. Ces barres peuvent être au nombre de quatre pour entourer l'arbre 12 sur environ 210°.
Comme on peut le voir sur la figure 3, les quatre barres 13 de support transversal sont parallèles à l'axe de l'arbre 12 et sont disposées parallèlement autour de celui-ci. La distance entre l'arbre 12 et la barre 13 la plus proche est sensiblement égale mais légèrement supérieure au rayon de l'arbre 12 lorsque la totalité du rideau 7 est enroulé sur ce dernier, c'est-à-dire lorsque la porte est ouverte.
Dans le cas d'une porte de grande dimension, il peut être envisagé que les moyens de support transversaux soient constitués de lattes par exemple en matériau composite de façon à éviter que des poches ne se forment dans la bâche de protection 10.
On note que la bâche de protection 10 transversale peut être équipée de fourreaux 16 qui permettent de recevoir des barres 13. On note, toutefois, qu'il n'est pas nécessaire que chacune des barres de renfort soit engagée dans un fourreau 16. Ainsi, comme cela apparaît sur la figure 3, la troisième barre dans le sens horaire et par rapport à la barre 13 supérieure est simplement en contact contre la bâche de protection 10 et permet à la bâche de protection 10 de venir se tendre contre cette dernière.
Un point important de la bâche de protection 10 transversale qui vient donc masquer et protéger l'arbre 12 d'enroulement est que celle-ci est prolongée à son extrémité libre d'une bavette 18 qui vient en appui contre le rideau 7.
Il apparaît ainsi qu'une étanchéité extrêmement poussée est réalisée entre la bâche de protection 10 transversale et la bavette 18 puisqu'un contact au moins linéique et, en pratique, surfacique est réalisé entre la bâche de protection 10 et le rideau 7.
A son autre extrémité, la bâche de protection 10 peut être fixée directement sur le linteau pour qu'aucun passage d'air ou de poussière ne soit possible à ce niveau là. La fixation de la bâche de protection 10 sur le linteau de la baie peut se faire en venant prendre en sandwich cette dernière entre le linteau et une barre au travers dé laquelle seront passés, par exemple, des rivets ou vis.
Outre le fait de réaliser une étanchéité très satisfaisante au niveau supérieur de la porte, la bâche de protection 10 transversale selon l'invention est d'un coût très inférieur à celui d'un capot transversal rigide mécanosoudé ou extrudé.
On note également que, de par sa nature, la bâche de protection 10 est donc souple et permet un découplage vibratoire entre chacune des parties latérales formant la porte. La porte équipée d'une bâche de protection 10 transversale de protection supérieure selon l'invention est donc d'un fonctionnement moins bruyant qu'une porte comportant un capot transversal rigide.
En outre, il est possible de parfaitement harmoniser la partie supérieure de la porte avec le rideau 7 puisque la bâche de protection 10 et le rideau 7 peuvent, en pratique, être réalisés dans le même matériau; ceci n'était évidemment pas le cas avec les capots transversaux des portes de l'art antérieur.
Les figures 4 et 5 montrent en coupe deux autres formes de réalisation des moyens de protection de l'arbre 12.
Il peut être envisagé, comme cela est représenté à la figure 4, de disposer un capot mixte combinant une partie de capot rigide 14 et une partie de bâche de protection 10 souple. Dans l'exemple contré, la bâche de protection 10 permet d'éviter que des vibrations ou des ondes sonores se propagent au capot rigide 14. On note que le capot rigide 14 supporte la bavette 18 d'étanchéité tandis que la bâche de protection 10 est tendue sur des barres transversales 13.
Dans la gestion de l'étanchéité en partie transversale haute, la porte représentée à la figure 5 apporte un degré supplémentaire d'étanchéité.
En effet, la porte illustrée sur cette figure est dotée de seconds moyens d'étanchéité qui viennent en appui sur la deuxième face 7b du rideau 7 lorsque celui-ci est en position fermée.
Il est prévu qu'un profilé 19, en occurrence une cornière en L, soit mis en place sur le linteau de la baie, ce profilé 19 supporte une bavette 18 de matière souple ou éventuellement un bourrelet souple contenant une mousse alvéolaire.
Ainsi, la porte présente en partie haute transversale des premiers et seconds moyens d'étanchéité qui viennent en appui sur chacune des faces du rideau 7 et procurent un excellent barrage contre la propagation de courants d'air.
De façon à augmenter l'étanchéité, il peut être prévu de disposer sur l'une ou sur les deux faces 7a,7b du rideau 7 une surépaisseur 20 qui vient s'appuyer sur la bavette 18 ou sur le bourrelet. La surépaisseur 20 est disposée sur le rideau 7 pour être en regard de la bavette 18 ou du bourrelet lorsque le rideau 7 est descendu et est en position de fermeture.
De façon pratique, la surépaisseur 20 peut comprendre une gaine remplie de mousse qui est par exemple collée par un adhésif ou soudée par ultrasons sur une face du rideau 7. La surépaisseur 20 présente, de préférence, une configuration relativement plane pour ne pas gêner l'enroulement du rideau 7 sur l'arbre 12.
Dans le cas où le rideau 7 est doté de deux surépaisseurs 20, il peut être envisagé de les décaler pour que l'enroulement du rideau 7 se fasse sans inconvénient.
Bien entendu, l'invention n'est pas limitée à la forme de réalisation décrite sur les figures à titre d'exemple non limitatif.
Bien entendu, une bâche de protection 10 transversale telle qu'elle vient d'être définie peut parfaitement équiper une porte à repliement. On peut également envisager d'utiliser, à la place des barres transversales sur lesquelles la bâche de protection 10 est tendue, d'autres moyens de support. Il peut s'agir, par exemple, de câbles tendus entre chacune des consoles.
En ce qui concerne la réalisation de l'étanchéité entre la bâche de protection 10 et, d'une part, le rideau 7 et, d'autre part, le linteau de la baie, de nombreuses solutions sont envisageables. Il est possible par exemple d'équiper la bâche de protection 10, à chacun de ses bords transversaux, de bourrelets, éventuellement remplis de mousse alvéolaire ; on peut également utiliser des bourrelets gonflées d'air ou encore d'engager un fil élastique du type tendeur dans un gousset pratiqué à l'extrémité de la bâche de protection 10.

Claims

Porte rapide destinée à obturer une baie pratiquée dans une paroi (4), délimitée par un linteau et par deux bords verticaux, la porte comprenant :
- deux parties latérales sensiblement verticales pour être disposées contre chacun des bords verticaux de la baie ;

- un arbre (12) pour être positionné au niveau du linteau de la baie, entraîné en rotation par des moyens électromécaniques ;

- un rideau (7) en matériau souple ayant une première face (7a) et une deuxième face (7b), relié à l'arbre (12), la rotation de l'arbre (12) pouvant faire passer le rideau (7) entre une position fermée, dans laquelle le rideau (7) obture la baie, et une position ouverte, dans laquelle le rideau (7) dégage la baie,
la porte présentant des moyens souples de protection de l'arbre (12) qui s'étendent entre les deux parties latérales (2) et (3) et qui sont susceptibles de venir en applique contre le linteau, les moyens souples de protection possédant, en outre, des premiers moyens d'étanchéité transversaux pouvant venir en appui transversal contre la première face (7a) du rideau (7) lorsque celui-ci est en position fermée,
caractérisée en ce que les moyens souples de protection comprennent une bâche de protection (10) transversale recouvrant l'arbre (12), maintenue par des moyens de support transversaux parallèles à l'arbre (12) et disposés autour de celui-ci, la bâche de protection (10) transversale étant destinée à être fixée sur le linteau de la baie et présentant lesdits premiers moyens d'étanchéité transversaux pouvant venir en appui contre le rideau (7),
en ce que les moyens de support présentent au moins deux barres (13) de support transversales sur laquelle la bâche de protection (10) est tendue.
Porte rapide selon la revendication 1 , caractérisée en ce que la porte présente, en outre, des seconds moyens d'étanchéité pouvant être en applique sur le linteau et pouvant venir en appui transversal contre une deuxième face (7b) du rideau (7) lorsque celui-ci est en position fermée.
Porte rapide selon la revendication 2, caractérisée en ce le rideau (7) présente, sur au moins l'une de ses première et deuxième face (7a,7b), une surépaisseur (20) contre laquelle peut venir en appui au moins l'un des premiers ou seconds moyens d'étanchéité.
Porte rapide selon l'une des revendications 1 à 3, caractérisée en ce que la bâche de protection (10) transversale comprend plusieurs laizes, dont au moins deux d'entre elles sont reliées par un fourreau dans lequel peut être engagé un moyen de support transversal.
Porte rapide selon la revendication 4, caractérisée en ce que la bâche de protection (10) est constituée d'une pièce rectangulaire de matériau souple sur laquelle est rapportée au moins une bande pour former un fourreau.
Porte rapide selon l'une des revendications 1 à 5, caractérisée en ce que chaque partie latérale (2, 3) de la porte comprend un montant vertical surmonté d'une console supportant une extrémité de l'arbre (12) et dans laquelle est ancrée une extrémité d'un moyen de support de la bâche de protection (10).
Porte rapide selon l'une des revendications 1 à 6, caractérisée en ce que au moins une barre transversale est engagée dans un fourreau de la bâche de protection (10).
Porte rapide selon l'une des revendications 1 à 7, caractérisée en ce que le bord transversal libre de la bâche de protection (10) est muni d'un fourreau dans lequel est engagé un élément élastique dont chaque extrémité est reliée à une partie latérale (2,3).
Porte rapide selon l'une des revendications 1 à 8, caractérisée en ce que les moyens souples de protection de l'arbre comprennent une partie rigide.
Porte rapide selon l'une des revendications 1 à 9, caractérisée en ce que les premiers moyens d'étanchéité sont constitués d'une bavette (18) souple qui prolonge les moyens de protection de l'arbre (12) et vient en contact du rideau (7) lorsqu'il est en position fermée.
Porte rapide selon la revendication 10, caractérisée en ce que la bavette (18) est formée par une bande de matériau souple rabattue sur elle-même.
Porte rapide selon l'une des revendications 1 à 10, caractérisée en ce que les premiers moyens d'étanchéité sont constitués d'un bourrelet qui prolonge les moyens de protection et vient en contact du rideau (7) lorsqu'il est en position fermée.
Porte rapide selon la revendication 12, caractérisée en ce que le bourrelet est rempli d'une mousse alvéolaire.
Porte rapide selon l'une des revendications 2 à 13, caractérisée en ce que les deuxièmes moyens d'étanchéité comprennent un profilé (19) pouvant être fixé sur le linteau auquel est adjoint un bourrelet ou une bavette (18) souple pouvant venir plaquer contre la deuxième face (7b) du rideau (7).
Porte rapide selon l'une des revendications 1 à 14, caractérisée en ce que le rideau (7) est fixé sur l'arbre (12) et s'enroule et se déroule sur celui-ci pour ouvrir et fermer la porte.
Porte rapide selon l'une des revendications 1 à 14, caractérisée en ce que la porte comprend au moins une sangle reliée d'un part à l'arbre (12) et d'autre part au rideau (7) de sorte qu'une rotation de l'arbre (12) entraîne un repliement du rideau (7) au niveau du linteau de la porte.