La présente invention concerne de manière générale le domaine de la bijouterie et la fabrication des bijoux. Plus particulièrement, l'invention concerne des bijoux ayant une ou plusieurs pierres montées sur ceux-ci de manière discrète. Ainsi, les buts généraux de l'invention sont de fournir des appareils nouveaux et améliorés de ce type.
L'usage de pierres comme éléments décoratifs de bijoux est très répandu et remonte à des milliers d'années. Parmi les pierres précieuses et semi-précieuses les plus populaires qui sont utilisées dans de tels bijoux, il y a les diamants, les émeraudes, les rubis, les opales et les saphirs. De telles pierres précieuses sont en général serties dans des bagues, des bracelets, des colliers, des boucles d'oreilles etc. qui sont principalement fabriqués avec des métaux tels que l'or, l'argent, le platine, etc. De tels objets de bijouterie utilisent des sertissures pour monter les pierres sur la partie de support du bijou et seront désignés dans la suite comme des bijoux "à pierres serties".
En plus des considérations de fabrication que l'on trouve dans tous les domaines de production de masse, les créateurs et les fabricants de bijoux accordent beaucoup d'importance à l'aspect esthétique d'ensemble d'un objet de bijouterie. Ainsi, les créateurs de bijoux se sont efforcés de créer des Öuvres les plus séduisantes possible à un coût minimal. Dans une large mesure, la beauté d'ensemble d'un bijou à pierres serties dépend de la qualité et de la brillance des pierres qui sont utilisées. Puisque la manière par laquelle une pierre est sertie dans un bijou est un facteur majeur dans la détermination de la qualité du travail, la pierre utilisée dans un bijou doit être retenue sur celui-ci d'une manière qui fait ressortir la brillance de la pierre.
Ainsi, les fabricants de bijoux se sont efforcés depuis longtemps à développer des méthodes pour maintenir des pierres dans des bijoux de la manière la plus discrète possible.
Malheureusement, le sertissage de pierres utilisé dans les bijoux conventionnels interfère toujours avec l'apparence visuelle des pierres elles-mêmes. Ceci est vrai indépendamment du fait que de tels bijoux aient un sertissage à griffes, à canal ou à chaton. Par exemple, les bijoux à sertissage à griffes utilisent typiquement quatre griffes qui s'étendent de la partie du bijou supportant la pierre par dessus la pierre pour retenir la pierre contre tout mouvement. Dans des termes plus conventionnels, dans les bijoux à sertissage par griffes, les pierres sont retenues sur le bijou par l'utilisation de griffes qui partent d'en dessous du pavillon de la pierre, s'étendent par dessus le feuilletis et se terminent sur la table de la pierre.
Cette manière de fixer les pierres sur les bijoux cause nécessairement une dégradation au moins partielle de la brillance de la pierre en raison du fait qu'au moins une partie de la pierre est couverte par les griffes. Ainsi, afin d'obtenir un niveau donné de brillance, une pierre de meilleure qualité doit être utilisée pour compenser la présence des griffes. Naturellement, cela entraîne une augmentation des coûts. Finalement, le fait que la méthode conventionnelle de sertissage des pierres dans des bijoux s'effectue sur une base individuelle augmente également les coûts par rapport à une méthode dans laquelle des sertissages multiples peuvent être effectués simultanément.
Ainsi, un objet de la présente invention est de fournir des bijoux du type ayant des pierres maintenues dans un élément de support dans lequel le moyen de maintien n'est pas visible lorsque le bijou est vu depuis le dessus.
Un autre objet de la présente invention est fournir des bijoux du type ayant des groupes de pierres serties sur un élément de support dans lequel la sertissure de chaque pierre dans chaque groupe est effectuée de manière simultanée.
Un autre objet de la présente invention est de fournir des bijoux du type ayant des pierres serties dans un élément de support, les pierres pouvant être serties dans le bijou en même temps que le reste de l'article de bijouterie est coulé.
Un autre objet de la présente invention est de fournir des bijoux qui permettent la création d'articles de bijouterie qui n'était pas possible jusqu'à ce jour par les techniques de fabrication conventionnelles.
Un autre objet de la présente invention est de fournir des bijoux utilisant des pierres précieuses et semi-précieuses dans lesquels les pierres apparaissent de meilleure qualité que des pierres de valeur comparable lorsqu'elles sont serties dans des bijoux conventionnels.
Ces objets et avantages, et d'autres encore, de la présente invention sont réalisés dans un mode d'exécution en fournissant des bijoux avec des pierres serties dans lesquels au moins une rainure de fixation est formée dans la pierre destinée à être sertie. La pierre devrait avoir une partie supérieure et une partie inférieure, celle-ci étant au moins substantiellement entièrement cachée de la vue lorsque l'on regarde la partie supérieure de la pierre. La rainure de fixation devrait être formée dans la partie inférieure de la pierre de telle manière qu'elle aussi est cachée de la vue quand on regarde la partie supérieure de la pierre. La méthode inventive comprend en outre la déposition de la matière servant pour la sertissure dans la rainure de fixation en appliquant l'une des nombreuses méthodes conventionnelles de moulage comme le moulage à cire perdue.
Finalement, toute la matière pour la sertissure déposée en excès peut être enlevée et la pierre fixée à l'article de bijouterie au moyen de la matière de servant à la sertissure de telle sorte que la matière servant à la sertissure d'un article de bijouterie fini n'est pas visible quand l'on regarde la partie supérieure de la pierre.
Dans un mode d'exécution préféré de la présente invention, la méthode de coulée à cire perdue est utilisée pour déposer la matière pour la sertissure (de préférence le même métal que celui utilisé pour former l'élément de support du bijou et plus particulièrement de l'or) à l'intérieur de la rainure de fixation de la pierre.
Cette méthode de coulée comprend de préférence les étapes suivantes: préparation d'un modèle en cire pour recevoir la pierre de telle manière que la cire occupe au moins une partie de la rainure de fixation; formation d'un moule autour du modèle en cire et des pierres; évacuation de la cire du moule par application de chaleur;
remplacement de la cire enlevée du moule par de la matière pour sertissure de telle sorte que cette matière occupe au moins une partie de la rainure de fixation; et suppression du moule de la pierre et de matière servant à la sertissure.
Des variations du mode d'exécution préféré de la présente invention précisent différentes manières de former une rainure de fixation dans une pierre destinée à être sertie dans un article de bijouterie. Par exemple, une méthode pour former la rainure de fixation consiste à découper la rainure dans une pierre en utilisant une lame qui est avancée en direction et à l'intérieur du pavillon de la pierre selon un angle de 90 DEG et ensuite de procéder à une rotation relative entre la pierre et la lame de manière à former une rainure de forme généralement annulaire dans la pierre.
Il est aussi possible de former une première et une deuxième rainure linéaire de fixation dans la pierre de manière à fixer la pierre dans un article de bijouterie en deux endroits. La rainure de fixation peut être définie entre deux parois substantiellement symétriques et adjacentes. Dans certaines circonstances, la rainure de fixation peut aussi être définie entre deux parois latérales opposées et une paroi inférieure adjacente.
De nombreux autres avantages et caractéristiques de la présente invention deviendront apparents aux personnes normalement qualifiées dans ce domaine à partir de la description détaillée de l'invention, à partir des revendications et des dessins qui les accompagnent.
Le mode d'exécution préféré de la présente invention est décrit ci-dessous en référence aux dessins annexés dans lesquels les références identiques désignent les mêmes structures et dans lesquels:
la fig. 1 est une représentation schématique d'une pierre ayant deux rainures de fixation préférées formées dans celle-ci;
la fig. 2 est une représentation schématique d'une autre pierre ayant deux rainures de fixation alternatives formées dans celle-ci;
la fig. 3 est un modèle en argent utilisé dans le procédé de moulage à cire perdue utilisé dans la présente invention;
la fig. 4 illustre le modèle en argent de la fig. 3 avec un groupe de pierres fixé dans celui-ci;
la fig. 5 illustre le modèle en argent et les pierres de la fig. 4 quand ils sont placés dans un moule en caoutchouc;
la fig. 6 illustre l'enlèvement du modèle en argent et des pierres du moule en caoutchouc nouvellement formé;
la fig. 7 montre le moule en caoutchouc de la fig. 6 avec le groupe de pierres placé dans celui-ci et prêt à recevoir de la cire liquide;
la fig. 8 montre le groupe de pierres placé dans de la cire solidifiée;
la fig. 9 montre une pluralité de groupes de pierres placé dans un arbre de cire solide;
la fig. 10 illustre l'arbre de cire solide de la fig. 9 placé dans un moule;
la fig. 11 illustre l'étape de chauffage du moule pour enlever la cire de celui-ci;
la fig. 12 représente l'étape dans laquelle on verse de la matière liquide pour la sertissure dans le moule;
la fig. 13 montre un arbre de matière de sertissure solidifiée avec une pluralité de groupes de pierres disposés sur celui-ci une fois que le moule a été enlevé;
les fig. 14a et 14b montrent l'étape d'enlèvement de l'excès de matière pour le sertissage des groupes de pierres;
les fig. 15 à 17 illustrent une méthode alternative de moulage à cire perdue qui peut être utilisée dans la présente invention; et
les fig. 18 à 23 illustrent différents exemples d'articles de bijouterie terminés et produits au moyen de la présente invention.
Un premier mode d'exécution préféré de la méthode pour former un bijou selon la présente invention est décrit ci-dessous en référence aux fig. 1 à 14b. Comme montré dans la fig. 1, une première étape de la méthode comprend la formation des rainures de fixation 15 dans la partie de pavillon inférieure 16 d'une pierre 10. Comme illustré, la pierre 10 comprend en outre une partie supérieure de la table 12 et un feuilletis élargi 14 placé entre la table 12 et le pavillon 16 de telle sorte que le pavillon 16 est caché de la vue quand la pierre 10 est vue depuis dessus. De manière similaire, des rainures 15, qui sont chacune définies entre une paire de parois 17, sont cachées à la vue dans de telles conditions.
Dans un mode d'exécution préféré, les rainures 15 sont chacune définies entre des parois symétrique adjacentes 17 qui sont de préférence formées par une lame de coupe 18. Comme montré, la lame de coupe 18 peut être utilisée pour former des rainures 15 en faisant tourner la lame 18 et la déplaçant le long de l'axe A jusqu'à ce qu'elle contacte le pavillon 16. Puisque l'axe A est orienté perpendiculairement à la surface du pavillon 16, la lame 18 forme les parois symétriques 17 des rainures 15. Alors que la fig. 1 représente une paire de rainures de fixation linéaires 15 ayant été découpées dans la pierre 10, une unique rainure de fixation peut être formée dans le pavillon inférieur de la pierre 10.
Ceci est de préférence effectué en déplaçant la lame 18 dans la pierre 10 et en effectuant une rotation relative entre la lame 18 et la pierre 10 jusqu'à ce qu'une rainure 15 généralement annulaire soit formée.
Indépendamment du nombre de rainures 15, il est toutefois préférable de former des rainures symétriques dans le pavillon 16 de la pierre 10 parce que cela demande un effort minimum. De plus, en formant une ou plusieurs rainures symétriques 15, on assure une brillance maximale de la pierre parce que la sertissure qui doit être placée dans celles-ci est aussi petite que possible tandis que la pierre elle-même reste aussi grande que possible. Naturellement, cela réduit aussi les coûts en minimalisant la quantité de matière nécessaire pour former la sertissure désirée, c'est-à-dire pour sertir la pierre dans un bijou.
La fig. 2 illustre une pierre 10¾ de même nature générale que celle de la fig. 1. Les rainures de fixation 15¾ sont néanmoins légèrement différentes des rainures 15 de la fig. 1. En particulier, il est à noter que les parois de rainure 17¾ qui définissent les rainures de fixation 15¾ ne sont pas symétriques et, de ce fait, n'ont pas une hauteur égale. Il est à noter que les rainures 15¾ ont été formées en déplaçant la lame de coupe 18¾ le long d'un axe A¾ qui n'est pas perpendiculaire à la surface du pavillon convergeant 16¾. Il faut aussi noter que bien que les rainures de fixation 15¾ sont des éléments effectifs de la présente invention, les rainures 15 de la fig. 1 sont préférées aux rainures 15¾ de la fig. 2.
Cela est principalement dû au fait que la longueur d'une paroi de rainure 17¾ produit une réduction concomitante de la brillance de la pierre 10¾. De plus, la fabrication de rainures asymétriques 15¾ exige la suppression de matière additionnelle de la pierre 10¾ et plus de matière pour la sertissure que la quantité minimale pour remplir les rainures 15¾. Pour toutes ces raisons, les rainures 15 de la fig. 1 sont préférées aux rainures 15¾ de la fig. 2.
Comme montré dans les fig. 3 à 14b, la présente invention, en partie, utilise de préférence une première variation de la méthode de moulage à cire perdue de manière à former des sertissures de pierres qui peuvent être utilisées pour fixer une pierre dans un bijou. L'on peut noter que la méthode de production de telles sertissures décrite ci-dessous est très efficace, en partie en raison du fait que les sertissures de pierres peuvent être formées par groupes plutôt qu'individuellement. Il faut aussi noter qu'une deuxième variation de la méthode de moulage à cire perdue, qui donne aussi des produits finis acceptables, est aussi compatible avec la présente invention et sera décrite ci-dessous en référence aux fig. 15 à 17.
Dans la première variation de la méthode de moulage à cire perdue, un modèle en argent 20 est fourni pour recevoir un groupe de pierres qui ont été prédécoupées comme décrit ci-dessus. Chaque modèle en argent est de préférence formé de manière à pouvoir recevoir une pluralité de pierres prédécoupées dans des régions 22 de telle sorte que lèvres 24 s'étendent dans les rainures de fixation des pierres. Chaque modèle en argent 20 comprend également une partie en forme de branche 26 qui remplit plusieurs fonctions comme décrit ci-dessous. Pour des personnes ayant des connaissances normales, il est évident que chaque modèle en argent pourrait être formé de manière à recevoir soit une seule pierre, soit un groupe entier de pierres selon les désirs.
Une deuxième étape de la méthode de moulage à cire perdue comprend l'étape de placer les pierres 30 à l'intérieur des emplacements de réception respectifs du modèle en argent 20 comme montré dans la fig. 4.
Une étape additionnelle est de placer le modèle en argent, avec les pierres fixées sur celui-ci, dans un moule 32 en deux parties en caoutchouc comme montré dans la fig. 5. Une fois que l'empreinte désirée du modèle en argent 20 et des pierres 30 est formée dans le moule 32, le moule 32 peut être séparé et le modèle en argent retiré de celui-ci. Cela est illustré dans la fig. 6. Une fois que le modèle en argent 20 est enlevé du moule 32 en caoutchouc, les pierres 30 sont de préférence retirées du modèle en argent et replacées dans les logements respectifs du moule 32. L'on peut noter que, à ce point, la partie de branche 26 du modèle en argent 20 a formé un passage de l'une des extrémités du moule 32 en direction et dans les régions entourant les pierres 30.
Comme montré à la fig. 7, ce passage peut être utilisé pour introduire de la cire fondue dans le moule 32 de manière à créer une branche de cire solide 34 ayant la même forme que le modèle en argent 20 (voir fig. 8).
Une fois qu'une pluralité de branches de cire 34 et 34¾ ont été fabriquées, elles sont fixées l'une avec l'autre pour former un arbre de cire solide 36, comme montré à la fig. 9. Ensuite, l'arbre de cire 36 est entouré par un moule 38 résistant à la chaleur comme montré à la fig. 10. Avec l'arbre de cire et le moule 38 en position verticale, le moule peut être chauffé jusqu'à ce que la cire fonde et s'écoule hors du moule 38 laissant les pierres derrière elle (voir fig. 11). Le moule 38 peut alors être renversé et de la matière liquide destinée à la sertissure peut être introduite dans la cavité occupée précédemment par l'arbre de cire. Cela est illustré dans la fig. 12.
L'on peut noter que la matière préférée pour la sertissure est le même métal que celui utilisé pour la partie de support du bijou sur laquelle les pierres sont destinées à être fixées.
Comme montré à la fig. 13, une fois que la matière destinée à la sertissure est solidifiée, le moule 38 peut être supprimé laissant derrière lui un arbre de matière destinée à la sertissure avec des pierres 30 fixées sur celui-ci. A ce point, chaque branche 40¾, avec le groupe de pierres 30 peut être enlevé (voir fig. 14a) et la partie de branche peut être séparée des pierres 30 (voir fig. 14b) par découpe, par ébarbage ou en utilisant l'une des nombreuses méthodes connues. A ce moment, les sertissures ou les éléments de montage des pierres pour fixer les pierres 30 sur l'élément de support du bijou ont été entièrement formé et le groupe de pierres 30 peut être fixé au bijou par l'une des nombreuses méthodes connues, comme le soudage.
Naturellement, des pierres individuelles 30 peuvent aussi être fixées à des bijoux par des sertissures individuelles moulées avec les méthodes décrites ci-dessus.
Selon une variante particulièrement avantageuse de la méthode de moulage à cire perdue utilisée pour la présente invention, un pierre devant être sertie dans un bijou est prédécoupée comme décrit ci-dessus en référence à la fig. 1. Ensuite, un modèle en argent 20¾ (voir fig. 15), qui est identique au modèle en argent 20 de la fig. 4, est placé entre les deux parties d'un moule en caoutchouc 32¾ pour créer l'empreinte du modèle en argent 20¾ dans celui-ci. Comme montré à la fig. 16, une fois qu'une empreinte appropriée a été formée dans le moule 32¾, le modèle en argent 20¾ peut être retiré du moule en caoutchouc.
Comme montré à la fig. 17, ce procédé résulte dans la fabrication d'un modèle en cire 34¾ dans lequel les pierres 30 peuvent être serties. Ce modèle en cire avec les pierres peut ensuite être utilisé pour former un arbre de cire comme celui décrit ci-dessus en référence à la fig. 9. Le reste de ce second procédé de moulage est identique à la première variante décrite ci-dessus et résulte dans la production soit de groupes de pierres ou de pierres individuelles avec les sertissages désirés.
L'on peut noter que l'invention est particulièrement bien adaptée aux pierres qui ont été formées auparavant dans la forme générale représentée, par exemple, dans la fig. 1 (c'est-à-dire une pierre ayant une partie supérieure en forme de table, une partie inférieure convergente en forme de pavillon et un feuilletis élargi entre les deux). Néanmoins, l'invention est aussi également applicable aux pierres ayant de nombreuses formes différentes.
L'on peut également noter que l'invention est entièrement applicable à une grande variété de pierres précieuses et semi-précieuses et que l'invention donne lieu à des résultats particulièrement étonnants quand elle est appliquée à des pierres précieuses transparentes ou pratiquement transparentes comme des diamants.
Finalement, l'on peut noter que la présente invention permet la fabrication de bijoux selon les méthodes montrées et décrites. Différents exemples de tels bijoux sont représentés dans les fig. 18 à 23.
Bien que la présente invention a été décrite en relation avec les modes d'exécution qui sont considérés comme les plus pratiques et les préférés, il faut comprendre que l'invention n'est pas limitée aux modes d'exécution décrits, et qu'elle couvre les différentes modifications et arrangements équivalents compris dans l'esprit et la portée des revendications annexées.