CH634973A5 - Boite a dejeuner pour enfants. - Google Patents

Description

La présente invention est relative à une boîte à déjeuner pour enfants.

Les boîtes à déjeuner pour enfants sont habituellement faites en métal et présentent une forme traditionnelle de boîte avec une poi-25 gnêe d'un côté et des charnières du côté opposé. En outre, ces boîtes comportent normalement un dispositif de fermeture mécanique quelconque, prévu sur la partie avant de la boîte pour maintenir celle-ci fermée. Ces types de boîtes à déjeuner sont non seulement relativement coûteux à fabriquer mais en outre, en raison de l'utilisation 30 d'un métal, elles sont relativement lourdes, tendent à rouiller lors d'une utilisation prolongée, peuvent être dangereuses pour les enfants en raison de leurs coins pointus et se bossellent facilement ou s'abîment d'une autre manière lorsqu'on les laisse tomber.

Une variante au type précédent de boîtes à déjeuner consiste à 35 emballer simplement le déjeuner de l'enfant dans un récipient du type en matière plastique avec couvercle. Bien qu'un tel agencement permette de conserver la nourriture dans un état relativement frais, le récipient lui-même n'est pas facile à porter pour l'enfant et le couvercle peut facilement se perdre lorsqu'on le sépare du récipient. En raison 40 de ces derniers problèmes, il n'est évidemment pas rare d'emballer simplement le déjeuner de l'enfant dans un sac en papier brun et d'identifier convenablement le déjeuner en identifiant le nom de l'enfant sur le sac. Cette solution présente toutefois l'inconvénient qu'aucun emballage étanche approprié du contenu n'est possible avec un 45 tel sac simple et en outre il ne s'agit pas d'un type de récipient pouvant agir comme plateau de service lorsque l'enfant doit manger.

En tenant compte des diverses considérations précédentes, on a prévu, suivant l'invention, une boîte à déjeuner nettement améliorée pour enfants, en évitant les divers problèmes associés aux boîtes à dé-50 jeûner antérieures.

La boîte à déjeuner faisant l'objet de l'invention est définie dans la revendication 1.

Le récipient de base et le couvercle peuvent être formés d'une seule pièce en une même matière plastique polymère de sorte qu'ils 55 sont légers, faciles à nettoyer et forment une boîte à déjeuner qui est étanche lorsqu'elle est en position fermée. Le récipient et le couvercle sont en outre d'une conception et de dimensions telles que, lorsque le couvercle est basculé de 180° autour de la patte de charnière flexible vers une position ouverte, la face supérieure du couvercle sera alors 60 dans le même plan que la base du récipient. Le récipient et le couvercle peuvent ainsi se déposer sur une surface plane et agir en tant que plateaux de service pour les aliments se trouvant dans la boîte.

Comme toutes les parties de la boîte à déjeuner sont en matière plastique, les problèmes associés à la rouille et autres problèmes de ce 65 genre sont totalement évités. De plus, l'ensemble de la boîte à déjeuner est léger, il ne s'endommagera pas si on le laisse tomber, et on peut le fabriquer à un coût minimal comparativement à des réalisations en métal.

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On peut prévoir un système d'identification simple, de manière que le nom de l'enfant puisse être facilement fixé dans la boîte en position visible, tout en étant protégé pratiquement pendant la durée totale d'utilisation de la boîte à déjeuner.

L'invention, ses caractéristiques et ses avantages seront mieux compris grâce à la description suivante donnée, à titre d'exemple avec référence aux dessins annexés.

La fig. 1 est une vue en perspective oblique de la boîte à déjeuner suivant l'invention, en position fermée.

La fig. 2 est une vue en élévation latérale de la boîte à déjeuner en position verticale.

La fig. 3 est une vue en coupe partielle prise suivant les flèches 3-3 de la fig. 1.

La fig. 4 est une vue en perspective développée partielle d'une partie de la poignée de la boîte à déjeuner, partie qui est entourée par la flèche circulaire 4 sur la fig. 1.

La fig. 5 est une vue en perspective de la boîte à déjeuner de la fig. 1 en position pleinement ouverte.

La fig. 6 est une vue en coupe prise suivant les flèches 6-6 de la fig. 5.

La fig. 7 est une vue en perspective développée partielle, fortement agrandie, de la charnière de la boîte à déjeuner de la fig. 5.

La fig. 8 est une autre vue en perspective développée partielle, agrandie, de l'une des charnières, en regardant dans le sens de la flèche 8 sur la fig. 7.

La fig. 9 est une vue semblable à la fig. 8, mais montrant la charnière en position assemblée.

La fig. 10 est une vue en coupe partielle de la charnière, prise dans le sens des flèches 10-10 de la fig. 1.

La fig. 11 est une autre vue en coupe partielle de la charnière,

prise suivant le sens des flèches 11-11 de la fig. 5.

La boîte à déjeuner suivant l'invention comprend un récipient de base 10 avec lequel une poignée 11 est formée d'une pièce en s'étendant vers l'avant depuis un côté de ce récipient. Le côté opposé ou arrière du récipient comporte à son tour au moins une, mais de préférence deux pattes de charnière 12 et 13 formées d'une pièce avec le récipient au voisinage des coins arrière.

Un couvercle 14 est prévu pour fermer l'ouverture supérieure du récipient 10, ce couvercle comprenant au moins un, mais de préférence deux blocs de charnière 15 et 16 formés d'une pièce avec ce couvercle du côté arrière de celui-ci. Chacun de ces blocs présente une fente destinée à recevoir une patte de charnière pour permettre ainsi le montage articulé du couvercle 14 sur le récipient 10, de la manière qui sera plus complètement expliquée ci-après.

Une structure formant rebord 17, formée d'une pièce avec le récipient, s'étend vers l'extérieur depuis le côté arrière de ce récipient en se situant à un niveau inférieur à celui des pattes de charnière. Ce rebord coopère avec les blocs de charnière 15 et 16 lorsque le couvercle 14 est fermé par-dessus le récipient 10 pour permettre la stabilisation de la boîte à déjeuner lorsqu'elle repose en position verticale. Cela peut être constaté en particulier sur la fig. 2, où on notera que l'extrémité prolongée du rebord 17 se trouve dans le même plan que le bloc de charnière 16, de sorte que ce rebord et ce bloc reposent de manière uniforme sur une surface plane désignée par la ligne LI. La boîte est ainsi stabilisée lorsqu'elle se trouve dans une position verticale telle qu'illustrée par la fig. 2, la poignée 11 s'étendant vers le haut.

Si on se reporte à la vue en coupe partielle de la fig. 3, on peut noter que le récipient de base 10 présente une ouverture supérieure formée par une lèvre périphérique 18 s'étendant vers le haut et vers l'extérieur et formée d'une pièce avec ce récipient. Le couvercle 14 comporte à son tour une ouverture inférieure formée par un épaulement périphérique 19 et une paroi extérieure 20 s'étendant vers le bas et légèrement vers l'intérieur depuis cet épaulement. L'épaulement et la surface intérieure de la paroi sont de dimensions leur permettant de coopérer avec l'extrémité supérieure et la surface extérieure de la lèvre 18 suivant un montage étanche à compression, et ce sur la totalité du périmètre de ces ouvertures, c'est-à-dire sur 360 , de sorte qu'il en résulte une structure tout à fait étanche, le couvercle étant maintenu à frottement dans sa position fermée sur le récipient, tout en pouvant être facilement retiré à la main.

Le récipient 10 et le couvercle 14 comportent des rebords extérieurs périphériques, tels que le rebord 18' pour le récipient 10 et le rebord 20' sur la portion de paroi 20 du couvercle 14. Comme on peut le voir sur la fig. 3, le petit espace existant entre ces rebords lorsque l'épaulement 19 est pleinement appuyé sur la surface supérieure de la lèvre 18 crée une zone appropriée dans laquelle on peut insérer les doigts pour faire basculer le couvercle 14 à l'écart du récipient 10 en vue de l'ouverture de celui-ci.

Suivant la forme de réalisation particulière illustrée, des moyens permettant l'identification du propriétaire de la boîte à déjeuner peuvent être formés durant les procédés de moulage assurant le formage du récipient et du couvercle.

Si on se reporte plus particulièrement à la vue en perspective développée et partielle de la fig. 4, on peut voir que la poignée 11 comporte une zone en forme de cavité 21. Cette cavité 21 peut recevoir une carte d'identification, désignée par ID, pouvant comporter le nom de l'enfant, par exemple Nancy. Un élément coopérant de maintien 22, qui peut présenter une surface transparente ou translucide, est à son tour conçu de manière à pouvoir s'adapter par pression pardessus la carte ID lorsque celle-ci a été mise en place dans la cavité 21. L'élément de maintien 22 est moulé au départ sous la forme d'une partie du couvercle 14 et il est simplement déchiré ou séparé à la main à partir de ce couvercle après l'opération de moulage. Si on se reporte à nouveau à la fig. 1, on peut voir en 22', entre les blocs de charnière 15 et 16, le reste de l'élément de maintien 22 après séparation de celui-ci à partir du couvercle 14 avec lequel cet élément 22 a été moulé.

Le type précédent de dispositif d'identification pouvant être déchiré ou séparé du couvercle permet de maintenir le système simple, en évitant l'utilisation de tout type quelconque de pièce métallique ou l'emploi de plus de deux éléments essentiels moulés chacun en une seule pièce, à savoir le récipient et le couvercle.

Si on se reporte à la fig. 5, on peut y voir d'autres caractéristiques de la boîte à déjeuner suivant la présente invention.

Sur cette fig. 5, le couvercle 14 a été représenté comme ayant basculé de 180e vers sa position de pleine ouverture. La profondeur à la fois du récipient 10 et du couvercle 14 est telle que la surface supérieure du couvercle se situera dans le même plan que la base du récipient, dans cette position de pleine ouverture de la fig. 5.

Sur cette fig. 5, on notera également que, dans la forme de réalisation préférée de l'invention, le récipient et le couvercle sont tous deux essentiellement de forme carrée à coins arrondis.

La caractéristique suivant laquelle la surface supérieure du couvercle et la base du récipient se situent dans le même plan lors de la position de pleine ouverture du couvercle est plus clairement illustrée encore par la fig. 6, les surfaces en question reposant sur une surface plane L2.

Dans la position d'ouverture de la boîte à déjeuner, telle qu'illustrée par les fig. 5 et 6, il sera évident que le récipient et le couvercle agissent tous deux comme plateaux à servir pour le contenu de la boîte, lorsque ce récipient et ce couvercle reposent sur une surface plane.

Sur la fig. 5, on peut voir le périmètre complet de l'ouverture supérieure du récipient 10, formant la lèvre 18. De même, le périmètre complet de l'épaulement 19 et de la paroi extérieure 20 du couvercle 14 est visible.

En considérant la fig. 6, on peut voir la disposition de la lèvre 18, orientée vers le haut et vers l'extérieur et qui permet un montage à compression et étanche lorsque cette lèvre 18 est recouverte par la portion de paroi correspondante 20. L'angle que fait la lèvre 18 par rapport à la verticale est désigné par A et peut être, par exemple, d'environ 8 , avec une inclinaison correspondante, vers l'intérieur, de 8 pour la face interne de la paroi 20 du couvercle 14. En prévoyant de telles inclinaisons par rapport à la verticale, on obtient le montage étanche et à compression que l'on désire, ainsi que le maintien à frottement du couvercle sur le récipient, le tout comme illustré par la fig. 3.

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Si on se reporte à la vue en perspective développée et à plus grande échelle de la fig. 7, on peut y voir d'autres détails des pattes et des blocs de charnière suivant la présente invention. C'est ainsi que les fentes formées dans les blocs de charnière 15 et 16 y sont désignées respectivement par 23 et 24. On peut également voir sur cette fig. 7 les talons en saillie 23' et 24' s'étendant depuis des bords longitudinaux des ouvertures d'entrée de ces fentes 23 et 24 et orientés vers les bords opposés de ces fentes. Ces talons coopèrent avec des rainures correspondantes formées dans l'une des faces des pattes de charnière 12 et 13, comme illustré par exemple en 12' sur la fig. 8. Les talons 23' et 24' constituent, avec les rainures correspondantes, telles que 12', des moyens qui coopèrent pour retenir les pattes de charnière dans les fentes des blocs de charnière, lorsque l'assemblage a été réalisé. Les vues en perspective partielles et agrandies des fig. 8 et 9 illustrent mieux encore cet assemblage. C'est ainsi que, sur la fig. 8, on peut voir la rainure longitudinale 12' existant sur la face inférieure de la patte de charnière 12. Lorsque la patte de charnière 12 est introduite dans la fente 23 du bloc de charnière 13, le talon 23' tel qu'illustré par la fig. 7 sera amené à fléchir au départ mais, lorsque la patte 12 aura été entièrement introduite de la manière illustrée par la fig. 9, ce talon reprendra sa position normale et s'adaptera dans la rainure 12', en maintenant ainsi fermement la patte de charnière dans le bloc 15. Toutefois, en exerçant une force manuelle suffisante, la patte de charnière pourra facilement être retirée du bloc lorsqu'on le désire, pour réaliser la séparation complète du récipient et de son couvercle.

Si on se reporte à nouveau à la vue en perspective de la fig. 7, on peut voir que chacune des pattes de charnière 12 et 13 présente une encoche centrale N. Cette encoche permet d'exercer une action de serrage sur les bords latéraux des pattes de charnière pour rétrécir l'encoche au point même de la fermer, en diminuant ainsi de façon efficace la largeur des pattes pour faciliter leur introduction dans les fentes 23 et 24 des blocs de charnière. Ce système facilitant l'introduction est avantageux lors de l'assemblage du couvercle sur le récipient, un léger basculement étant désirable de manière qu'une première patte de charnière, telle que 12, puisse être introduite dans la fente 23, la seconde patte de charnière 13 étant ensuite introduite dans la seconde fente 24. Les encoches N assurent ainsi une souplesse suffisante pour permettre un remontage à la main du couvercle sur le récipient, sans pour autant devoir fléchir l'une quelconque des pièces constitutives au-delà d'une somme raisonnable.

Si on se reporte aux vues en coupe des fig. 10 et 12, on y a illustré la fixation des pattes de charnière dans les blocs de charnière grâce aux moyens coopérants constitués notamment par le talon 23' et la rainure correspondante 12'. Dans la position fermée de la boîte, telle 5 qu'illustrée par la fig. Ì 0, on peut voir que la patte de charnière 12 s'élève essentiellement verticalement à travers la fente 23 du bloc 15, le talon 23' s'étant adapté de manière élastique dans la rainure correspondante.

Dans l'illustration de la fig. 11, suivant laquelle le couvercle a été io soulevé à l'écart du sommet du récipient et basculé de 180°, la patte de charnière 15, le talon 23' se trouvant toujours dans la rainure de la patte de charnière.

Sur les fig. 10 et 11, on notera plus particulièrement que la patte de charnière présente une partie amincie 25 au voisinage de sa liaison 15 au récipient, cette partie amincie constituant l'axe de flexion pour le pivotement de la patte.

En considérant la description précédente, on a donc pu voir que la présente invention prévoit une boîte à déjeuner nettement améliorée pour les enfants. Cette boîte ne consiste qu'en deux éléments qui peuvent être moulés séparément, mais chacun d'une pièce, pour être ensuite amenés à être articulés l'un sur l'autre grâce à la simple introduction manuelle des pattes de charnière formées d'une pièce avec le récipient 10, dans les fentes des blocs de charnière formés d'une pièce avec le couvercle 14.

L'ensemble de la structure est léger et permet un emballage hermétique des aliments, il n'est pas sujet à rouiller ou à se bosseler ou s'endommager d'une autre manière lors d'une chute, et il est d'une fabrication économique. En outre, comme on l'a déjà mentionné, la conception est telle que la boîte à déjeuner suivant l'invention reposera facilement en position verticale d'une manière stable, lorsqu'elle est fermée et que, lorsque cette boîte est ouverte, la surface supérieure du couvercle et la base du récipient se trouvent dans un même plan pour assurer la stabilité, en se présentant en outre sous forme de plateaux à servir.

Finalement, les moyens particuliers permettant une identification permanente de l'enfant et prévus sur la poignée de la boîte elle-même évitent la nécessité de prévoir une étiquette séparée.

Bien que la matière de construction préférée à la fois pour le récipient et pour le couvercle soit d'une matière polymère de haute densité, par exemple du polyéthylène, on peut utiliser d'autres matières plastiques avec autant d'efficacité.

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3 feuilles dessins

Claims (7)

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1. Boîte à déjeuner pour enfants, caractérisée en ce qu'elle comprend un récipient de base présentant une ouverture supérieure, une poignée formée d'une pièce avec ce récipient et s'étendant depuis un côté de celui-ci, en dessous de l'ouverture supérieure, au moins une patte de charnière formée d'une pièce avec le récipient et s'étendant depuis le côté opposé de celui-ci, en dessous de l'ouverture supérieure, un couvercle destiné à s'appliquer sur l'ouverture supérieure du récipient, au moins un bloc de charnière formé d'une pièce sur un côté du couvercle et présentant une fente destinée à recevoir la patte de charnière du récipient, cette patte de charnière présentant une partie amincie au voisinage de sa liaison faite d'une pièce avec le récipient, et ce de manière que cette patte puisse fléchir, et des moyens coopérants, formés d'une pièce avec la patte de charnière et le bloc de charnière pour retenir cette patte dans la fente lors de mouvements normaux de pivotement se produisant lors de l'ouverture et de la fermeture de la boîte à déjeuner, ces moyens coopérants pouvant être soumis à une déformation élastique à la main de manière à permettre l'enlèvement de la patte de charnière hors de la fente correspondante, lorsqu'on désire séparer physiquement le couvercle et le récipient.

2. Boîte à déjeuner suivant la revendication 1, caractérisée en ce que le côté opposé du récipient, depuis lequel s'étend la patte de charnière, comprend un rebord formé d'une pièce avec le récipient et s'étendant vers l'extérieur, à un niveau inférieur à la patte de charnière, de manière que, lorsque cette patte de charnière est montée dans le bloc et que le couvercle est appliqué sur le récipient, ce rebord et le bloc entrent simultanément en contact avec une surface plane sur laquelle est placée la boîte à déjeuner dans une position verticale dans laquelle la poignée s'étend vers le haut.

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REVENDICATIONS

3. Boîte à déjeuner suivant l'une des revendications 1 ou 2, caractérisée en ce que l'ouverture supérieure du récipient est délimitée par une lèvre périphérique formée d'une pièce avec ce récipient et s'étendant vers le haut et vers l'extérieur, tandis que le couvercle présente une ouverture inférieure formée par un épaulement périphérique et une paroi extérieure s'étendant vers le bas et vers l'intérieur depuis cet épaulement, ce dernier et la surface intérieure de la paroi ayant des dimensions leur permettant de coopérer avec l'extrémité supérieure et la face extérieure de la lèvre suivant un montage à pression lorsque l'épaulement est appuyé pleinement sur la surface supérieure de la lèvre, de sorte que le couvercle est ainsi maintenu à frottement en position fermée et étanche sur le récipient, tout en pouvant encore être basculé à la main par rapport à ce récipient pour ouvrir la boîte.

4. Boîte à déjeuner suivant l'une des revendications 1 à 3, caractérisée en ce que la poignée comprend une cavité destinée à recevoir une carte ou autre moyen d'identification, un élément de maintien moulé étant adapté dans la cavité et maintenu à frottement afin de retenir la carte d'identification en place.

5. Boîte à déjeuner suivant l'une des revendications 1 à 4, caractérisée en ce que les profondeurs du couvercle et du récipient sont telles que la surface supérieure du couvercle se dispose dans le même plan que la base du récipient lorsque le couvercle est amené à basculer de 180 depuis sa position fermée, de sorte que ce couvercle et ce récipient entreront en contact avec une surface plane dans une position stable pour exposer le contenu de la boîte à déjeuner et agir comme plateaux à servir.

6. Boîte à déjeuner suivant l'une des revendications 1 à 5, caractérisée en ce que les moyens coopérants, destinés à retenir la patte de charnière dans la fente correspondante du bloc de charnière comprennent un talon en saillie, s'étendant depuis un bord de l'ouverture d'entrée de cette fente en direction du bord opposé, la patte de charnière présentant d'un côté une rainure ayant des dimensions lui permettant de recevoir le talon flexible de sorte qu'il peut se courber lorsque la patte est introduite dans la fente, tandis que le talon s'adapte ensuite de manière élastique dans la rainure lorsque la patte a été pleinement introduite, et ce de manière à retenir ainsi cette patte dans la fente correspondante.

7. Boîte à déjeuner suivant l'une des revendications 1 à 6, caractérisée en ce que le récipient et le couvercle sont d'une forme générale carrée à coins arrondis et sont moulés chacun d'une pièce au départ d'une matière polymère identique, une patte de charnière étant pré-5 vue au voisinage de chaque coin du côté arrière du récipient, le couvercle présentant deux blocs de charnière correspondants, destinés à recevoir ces deux pattes, le rebord du récipient se présentant à un niveau inférieur à celui des pattes de charnière, dans la zone centrale se situant entre les coins arrière du récipient, chaque patte de charnière io destinée à s'adapter dans la fente d'un bloc de charnière étant fendue de manière que sa largeur puisse être diminuée en serrant cette patte de manière qu'elle puisse s'adapter entre les extrémités opposées de la fente destinée à la recevoir, lors de l'assemblage des pattes de charnière dans la fente des blocs de charnière, de sorte que la séparation 15 et l'assemblage du couvercle et du récipient sont ainsi facilités.