Machine à écrire portable à éléments moulés La présente invention concerne une ma chine à écrire qui est particulièrement destinée à être utilisée comme jouet mais qui peut, éventuellement, étant donné ses dimensions réduites, servir comme machine portable bon marché dite machine populaire , pour pren dre des notes en un ou deux exemplaires.
Conformément à l'invention, la machine comporte un bâti en forme de caisson muni intérieurement de supports de leviers de com mande de barres à caractères et d'un élément en forme de cadre qui fait déplacer, à chaque impulsion qu'il reçoit des leviers de commande des barres à caractères, un cliquet en prise avec la denture d'une crémaillère formée au-dessous d'un chariot de support du cylindre, ce chariot pouvant être soulevé afin de présenter le cylin dre à l'une ou l'autre de séries de caractères portées par lesdites barres, au moyen d'un le vier commandant une came qui fait lever et baisser une table de support du chariot,
cette table portant également le cliquet en prise avec la crémaillère dudit chariot qui est assujetti à des organes élastiques tendant toujours à le faire avancer dans un même sens afin qu'il soit déplacé chaque fois que le cliquet est com mandé par l'élément en forme de cadre, dont le mouvement a, de plus, pour effet de faire tourner, par l'intermédiaire d'un encliquetage, au moins une bobine portant un ruban encreur qui est amené, à chaque touche, devant le cy lindre de la machine par un levier pivotant commandé par le déplacement du cliquet en prise avec la denture de -la crémaillère du chariot.
Une forme d'exécution de la machine. ob jet de l'invention est représentée, à titre d'exemple non limitatif, au dessin annexé.
La fig. 1 en est une vue de dessus.
La fig. 2 est une coupe prise suivant la ligne II-11 de la fig. 1.
La fig. 3 est une coupe suivant la ligne 111-III de la fig. 1.
La fig. 4 est une élévation vue suivant la ligne<I>IV-IV</I> de la fig. 1.
La fig. 5 est une vue en perspective par tielle d'une variante.
La fig. 6 est une élévation partielle, à plus grande échelle, de certains des organes de la machine.
La fig. 7 est une élévation partiellement en coupe correspondant à la fig. 6.
La fig. 8 est une coupe suivant la ligne VIII-VIII de la fig. <B>6.</B>
La machine à écrire représentée au .dessin comporte un bâti qui est constitué de deux demi-coquilles symétriques 1, 2, conformées de façon à constituer un carter enveloppant les différentes parties du mécanisme, dont seuls les organes de commande sont ainsi apparents. Les deux demi-coquilles 1 et 2 sont réunies entre elles au moyen de traverses 3, 4 (fig. 1, 3 et 4).
Un tablier 5, constitué par une plaque pré sentant, à sa partie supérieure, des rebords 6, 7, présente, à sa partie médiane, une encoche 8 permettant le centrage et le passage des ca ractères devant frapper le papier.
Le tablier 5 supporte, près de chacun de ses deux bords latéraux, des plaques 9 et 10 qui délimitent des rainures 11 dans lesquelles sont engagées et fixées les extrémités d'un cor don 12, par exemple fabriqué en corde à piano et conformé à la façon d'un arc de cercle dont le centre de courbure est situé sensiblement à la partie médiane de l'encoche 8 pratiquée dans le tablier 5.
Le cordon 12 constitue un axe sur lequel sont enfilés les moyeux 13 (fig. 2) de barres à caractères 14 dont les extrémités prennent appui, lorsque ces barres sont au repos, contre un jonc 15 (fig. 3) conformé en arc de cercle et porté par des pattes 16 et 17 (fig. 1 et 3) respectivement solidaires des demi-coquilles 1 et 2.
Les demi-coquilles 1, 2 servent également de support à des manchons 18 dans lesquels sont enfilés et fixés des axes 19. Ces derniers axes servent de support et de point d'applica tion à des leviers 20 comprenant des touches 21 à l'une de leurs extrémités et à des leviers 22 de support d'une barre d'espacement 23.
Les extrémités libres des leviers 20 servent de support à des biellettes 24 (fig. 3) qui re lient ces leviers respectivement à chacune des barres à caractères 14.
Comme cela est particulièrement visible aux fig. 3 et 5, les biellettes 24 sont fixées aux barres 14 de façon qu'elles tendent à faire pi voter ces dernières dans le sens de la flèche f <I>1</I> lorsqu'une force dans le sens de la flèche f2 est exercée sur les touches 21.
Des pattes 25 et 26 (fig. 3) solidaires des deux demi-coquilles 1, 2 supportent et guident les deux côtés latéraux 27 et 28 d'un cadre 29 qui comporte des traverses 30 disposées paral lèlement aux axes 19, de façon que les leviers 20 et 22 prennent appui contre elles.
La fonction du cadre 29 est expliquée en détail dans la suite de la présente description. A leur partie opposée à celle qui comprend les manchons 18, les côtés latéraux des demi- coquilles 1 et 2 comportent des glissières 31 et 31a servant à guider un support 32, consti tué par une plaque, d'une table 33 (fig. 3, 4 et 5).
Le support 32 a son bord inférieur qui prend appui sur une barre 34 supportée par des bras 35 qui sont articulés dans des paliers 36 formés par les demi-coquilles.
La barre 34 prend appui sur une came 37 montée folle sur la traverse 4. Comme cela est particulièrement visible aux fig. 3 et 5, la came 37 est reliée par une tige 38 à l'un des leviers 20, de façon qu'elle puisse être pivotée lors qu'on agit sur la touche 21 de ce levier afin d'amener la barre 34 dans une encoche 39 ou dans une encoche 39a de la came 37, ce qui a pour effet de faire soulever la barre 34 et, par suite, le support 32 de la table 33.
La table 33 est destinée à supporter et à servir de guide à un chariot 40 portant un guide déflecteur 41 à l'intérieur duquel est disposé un cylindre 42 monté sur des axes 43, 44 passés dans les côtés latéraux du guide dé flecteur 41.
Un bouton moleté 45 permet de faire tour ner le cylindre 42 qui est maintenu partielle= ment verrouillé dans des positions fixes- au moyen d'un doigt 46 (fig. 1, 2) dont l'extrémité entre dans des encoches ouvertes 47 pratiquées à l'une des extrémités du cylindre 42 qui est constamment poussé contre ledit doigt 46 par un ressort 48 interposé entre son autre extré mité et le côté latéral adjacent du guide déflec teur 41.
Une barre de pression 49, articulée par ses deux extrémités recourbées sur chacun des côtés latéraux du guide déflecteur 41, est pres sée sur le cylindre 42 par des ressorts 50 atta chés à des tétons, non représentés, formés ou rapportés auxdits côtés latéraux du guide dé flecteur. La plaque de support 32 de la table 33 forme, à sa partie médiane, un élément tubu laire 51 dans lequel est passé un ressort héli coïdal 52 (fig. 3, 6 à 8) qui est destiné à tra vailler à la traction et à la torsion.
Afin que ce ressort ne puisse pas tourner lorsqu'il est tendu il est fixé, à l'une de ses extrémités, à une baguette 53 ayant ses deux extrémités engagées dans des encoches 54 pratiquées à l'extrémité de l'élément tubulaire 51 et, à son autre extré mité, à une baguette 55 (fig. 3 et 8) engagée par ses extrémités dans des encoches formées à la partie antérieure d'un cliquet 56 qui est partiellement enfilé sur l'extrémité dépassante 51a (fig. 7 et 8) de l'élément 51.
Une butée 57, formée sur la plaque de sup port 32, empêche que le cliquet, qui est monté fou sur l'élément 51, puisse tourner librement dans un sens lorsque le ressort 52 est tendu.
A sa partie supérieure, le cliquet 56 pré sente deux dents .58 et 59. Ces dents sont, comme cela apparaît notamment à la fig. 7, décalées l'une de l'autre et séparées par un in tervalle dont la longueur est plus petite que la largeur des dents 60 d'une crémaillère 61 for mée de façon correspondante au-dessous du chariot 40.
L'espace séparant chacune des dents 60 de la crémaillère 61 est calculé de façon que cet espace corresponde à la distance qui doit sépa rer deux caractères.
Le bord inférieur du chariot 40 forme, à l'une de ses extrémités, un téton 62 (fig. 3 et 4) auquel est fixée l'extrémité d'un ressort 63 qui passe sur une poulie 64 portée par un axe 65 solidaire de la plaque de support 32, et qui est fixée à son extrémité libre à un téton 66 également solidaire de la plaque 32. De cette façon, le ressort 63 tend toujours à faire coulisser le chariot 40 dans le sens de la flèche f 3 (fig. 4 et 5) ce dernier n'étant retenu que par l'une des dents du cliquet 56.
Afin de faire déplacer successivement les dents du cliquet 56, le cadre 29 forme, à son extrémité située près de la partie arrière de la machine, une chape 67 dont les branches en tourent l'élément tubulaire 51, de façon que le cliquet 56, qui est tiré par le ressort 52, vienne s'appuyer contre ces branches. Par suite, lors qu'une pression est exercée sur l'une des tou ches 21, le levier correspondant pivote et pousse, dans le sens de la flèche f4 (fig. 3 et 5), le cadre 29 dont la chape 67 déplace dans le même sens le cliquet 56 qui coulisse sur l'élé ment tubulaire 51 en permettant à l'une des dents de la crémaillère de s'échapper du fait de la traction exercée sur le chariot 40 par le ressort 63.
Etant donné que l'espace séparant les ex trémités des dents 58 et 59 est plus petit que la largeur des dents 6.0 de la crémaillère, avant que la dent 58, par exemple, laisse échapper l'une des dents 60, la dent 59 est déjà placée dans l'entredent suivant en empêchant ainsi que plusieurs dents 60 puissent échapper si multanément.
Les demi-coquilles 1 et 2 supportent des bobines 68 et 69 dont l'un des côtés présente une denture 70 en prise avec l'un ou l'autre des cliquets 71 ou 72 articulés sur des axes 73 (fig. 3) portés par chacun des côtés<B>27,_28</B> du cadre 29. Ces bobines servent à relier un ruban, non représenté, qui passe dans des ou vertures 74 et 75 pratiquées dans le tablier 5 sur chacun de ses deux côtés, ce ruban étant engagé dans une fente 76 (fig. 3) d'un levier 77 articulé à son pied sur un axe 78 (fig..l, 2 et 4) -porté par la plaque de support 32.
Comme cela est particulièrement visible à la fig. 7, le levier 77 prend normalement ap pui, sous l'effet de son propre poids, contre une partie cylindrique 56a du cliquet 56 qui présente, immédiatement en arrière de cette partie, une partie tronconique 56b quia pour effet, lorsque le cliquet est déplacé dans le sens de la flèche f4, de faire pivoter la tige 77 et, par suite, de soulever le ruban pour l'amener derrière l'encoche 8 du tablier 5, c'est-à-dire pour l'interposer entre le papier à imprimer enroulé autour du rouleau 42 et les caractères portés par les barres 14.
Afin d'empêcher que les bobines 68 ou 69 puissent être dévidées accidentellement, des lames 79, fixées à l'extrémité de doigts 80 (fig. 3) solidaires des demi-coquilles 1 et 2, appuient constamment sur l'un de leurs bords.
A la fi-. 5, on a représenté une variante des bobines suivant laquelle ces dernières sont disposées horizontalement sur des axes 81 por tés par les demi-coquilles, ces bobines présen tant, à leur partie inférieure, une couronne dentée 82 avec la denture de laquelle des cli- quets 83 peuvent être mis alternativement en prise suivant le sens dans lequel le ruban porté par ces bobines est dévidé.
Le levier 77 présente une ouverture 84 dans laquelle passe le ruban qui est amené der rière l'encoche 8 de la même façon que décrit ci-dessus.
Afin que la machine à écrire décrite puisse être fabriquée de façon peu coûteuse, tous les éléments qui la constituent, à l'exception éven tuellement de certains axes et de ressorts, sont avantageusement fabriqués en matière plasti que. De même, les caractères désignés par la référence 85 à la fig. 5 sont directement venus de moulage avec les barres 14 qui sont identi ques les unes aux autres, à cette exception près que leur partie terminale qui porte les carac tères est plus ou moins inclinée. De plus, les leviers 20 sont également tous identiques au point de vue forme et dimension, ce qui per met de les fabriquer facilement avec un seul moule ou presse.
La machine décrite ci-dessus fonctionne de la façon suivante On introduit entre le cylindre 42 et le guide déflecteur 41 une feuille de papier qui est en suite maintenue immobile sur le cylindre par la barre de pression 49 qui permet l'entraîne ment de celle-ci.
Lorsqu'ensuite on agit sur l'une des touches 21, on fait pivoter le levier 20 correspondant, ce qui a pour effet de tirer une biellette 24 et de faire pivoter une barre à caractères 14 qui vient frapper le papier.
Simultanément, du fait du mouvement de pivotement du levier 20, le cadre 29 coulisse dans le sens de la flèche f4, ce qui a pour effet de déplacer, dans le même sens, le cliquet 56 en permettant au chariot d'être déplacé d'une distance correspondant à la longueur d'un des entredents de la crémaillère 61.
Le cliquet 56 étant maintenu contre la bu tée 57 par le ressort 52, qui travaille à la tor sion, ainsi que par le ressort 63 qui tend tou jours à faire coulisser le chariot dans le sens pour lequel le cliquet vient contre la butée, il est, par suite, impossible à ce chariot d'être déplacé pendant le temps que dure la frappe qui est ainsi effectuée dans les meilleures con ditions possibles.
Lorsqu'on cesse d'exercer une pression sur la touche 21 considérée, la barre à caractères 14 tend à venir réoccuper sa position initiale du fait de son poids, et, par suite, ramène cette tige également à sa position initiale. De plus, le ressort 52, qui a été tendu davantage, étant donné que la chape 67 le fait coulisser sur l'élément 51 pendant le déplacement du cadre 29, tend à se détendre, et, par suite, ramène le cliquet à sa position initiale ainsi que le cadre 29. Ceci facilite également le retour plus rapide des leviers 20.
Le mouvement du cadre 29 fait déplacer l'un ou l'autre des cliquets 72 ou 83 et, par suite, l'une ou l'autre des bobines 68 ou 69 qui enroulent une longueur de ruban correspon dant au déplacement desdits cliquets. Il est bien évident que la seconde bobine qui- n'est pas, à ce moment, en prise avec son cliquet de commande, tourne d'elle-même du fait de la tension du ruban. Lorsqu'on désire frapper une lettre majus cule, on agit sur la touche 21 commandant la tige 38, de sorte qu'on fait pivoter la came 37 qui soulève la barre 34, la plaque de support 32, la glissière 33, le chariot 40 et son cylin dre 42.
Lorsqu'une ligne complète a été tapée, on fait tourner le cylindre 42 en agissant sur le bouton 45, de façon à amener le doigt de ver rouillage 46 dans l'encoche 47 suivante, puis on repousse le chariot 40 dont les dents de la crémaillère 61 font pivoter le cliquet, mouve ment qui est rendu possible, étant donné que, dans ce cas, le cliquet pivote dans le sens pour lequel il n'est pas arrêté par la butée 57, le ressort 52 ramenant ensuite automatiquement ce cliquet contre ladite butée.
The present invention relates to a typewriter which is particularly intended for use as a toy but which can, possibly, given its reduced dimensions, serve as a cheap portable machine known as a popular machine, to take notes in one or two copies.
According to the invention, the machine comprises a frame in the form of a box provided internally with supports for control levers for character bars and a frame-shaped element which makes the levers move at each impulse that it receives. control of the character bars, a pawl engaged with the teeth of a rack formed below a carriage for supporting the cylinder, this carriage being able to be lifted in order to present the cylinder to one or the other series of characters carried by said bars, by means of a lever controlling a cam which raises and lowers a support table of the carriage,
this table also carrying the pawl in engagement with the rack of said carriage which is subject to elastic members always tending to advance it in the same direction so that it is moved each time the pawl is commanded by the shaped element frame, the movement of which has, moreover, the effect of rotating, by means of a snap-fit, at least one reel carrying an ink ribbon which is brought, at each key, in front of the cylinder of the machine by a pivoting lever controlled by the movement of the pawl in engagement with the teeth of the rack of the carriage.
An embodiment of the machine. object of the invention is shown, by way of non-limiting example, in the accompanying drawing.
Fig. 1 is a top view.
Fig. 2 is a section taken along line II-11 of FIG. 1.
Fig. 3 is a section taken along line 111-III of FIG. 1.
Fig. 4 is an elevation seen along the line <I> IV-IV </I> of FIG. 1.
Fig. 5 is a partial perspective view of a variant.
Fig. 6 is a partial elevation, on a larger scale, of some of the parts of the machine.
Fig. 7 is a partially sectional elevation corresponding to FIG. 6.
Fig. 8 is a section taken along line VIII-VIII of FIG. <B> 6. </B>
The typewriter shown in the drawing comprises a frame which consists of two symmetrical half-shells 1, 2, shaped so as to constitute a casing enveloping the various parts of the mechanism, of which only the control members are thus visible. The two half-shells 1 and 2 are joined together by means of crosspieces 3, 4 (fig. 1, 3 and 4).
An apron 5, consisting of a plate having, at its upper part, flanges 6, 7, has, at its middle part, a notch 8 allowing the centering and the passage of the characters having to strike the paper.
The apron 5 supports, near each of its two lateral edges, plates 9 and 10 which define grooves 11 in which are engaged and fixed the ends of a don horn 12, for example made of piano wire and conformed to the like an arc of a circle, the center of curvature of which is located substantially at the middle part of the notch 8 made in the apron 5.
The bead 12 constitutes an axis on which are threaded the hubs 13 (FIG. 2) of character bars 14, the ends of which bear, when these bars are at rest, against a ring 15 (FIG. 3) shaped as an arc of a circle. and carried by tabs 16 and 17 (fig. 1 and 3) respectively secured to the half-shells 1 and 2.
The half-shells 1, 2 also serve as a support for sleeves 18 in which are threaded and fixed pins 19. These latter pins serve as a support and point of application for levers 20 comprising keys 21 in one. their ends and to levers 22 for supporting a spacer bar 23.
The free ends of the levers 20 serve as a support for rods 24 (fig. 3) which connect these levers respectively to each of the character bars 14.
As is particularly visible in fig. 3 and 5, the rods 24 are fixed to the bars 14 so that they tend to cause the latter to vote in the direction of the arrow f <I> 1 </I> when a force in the direction of the arrow f2 is exerted on the keys 21.
Lugs 25 and 26 (Fig. 3) integral with the two half-shells 1, 2 support and guide the two lateral sides 27 and 28 of a frame 29 which comprises cross members 30 arranged parallel to the axes 19, so that the levers 20 and 22 are supported against them.
The function of the frame 29 is explained in detail in the remainder of the present description. At their part opposite to that which comprises the sleeves 18, the lateral sides of the half-shells 1 and 2 comprise slides 31 and 31a serving to guide a support 32, constituted by a plate, of a table 33 (fig. 3. , 4 and 5).
The support 32 has its lower edge which rests on a bar 34 supported by arms 35 which are articulated in bearings 36 formed by the half-shells.
The bar 34 is supported on a cam 37 mounted loose on the cross member 4. As is particularly visible in FIGS. 3 and 5, the cam 37 is connected by a rod 38 to one of the levers 20, so that it can be pivoted when the key 21 of this lever is acted on in order to bring the bar 34 into a notch 39 or in a notch 39a of the cam 37, which has the effect of raising the bar 34 and, consequently, the support 32 of the table 33.
The table 33 is intended to support and serve as a guide for a carriage 40 carrying a deflector guide 41 inside which is disposed a cylinder 42 mounted on pins 43, 44 passed in the lateral sides of the deflector guide 41.
A knurled knob 45 makes it possible to turn the cylinder 42 which is kept partially locked in fixed positions by means of a finger 46 (fig. 1, 2), the end of which enters open notches 47 made at one of the ends of the cylinder 42 which is constantly pushed against said finger 46 by a spring 48 interposed between its other end and the adjacent lateral side of the deflector guide 41.
A pressure bar 49, articulated by its two curved ends on each of the lateral sides of the deflector guide 41, is pressed on the cylinder 42 by springs 50 attached to pins, not shown, formed or related to said lateral sides of the guide. deflector. The support plate 32 of the table 33 forms, at its middle part, a tubular element 51 in which has passed a coil spring 52 (fig. 3, 6 to 8) which is intended to work in tension and in the twist.
So that this spring cannot rotate when it is stretched, it is fixed, at one of its ends, to a rod 53 having its two ends engaged in notches 54 made at the end of the tubular element 51 and , at its other end, to a rod 55 (fig. 3 and 8) engaged by its ends in notches formed at the front part of a pawl 56 which is partially threaded onto the projecting end 51a (fig. 7 and 8) of item 51.
A stopper 57, formed on the support plate 32, prevents the pawl, which is mounted loosely on the element 51, from turning freely in one direction when the spring 52 is tensioned.
At its upper part, the pawl 56 has two teeth 58 and 59. These teeth are, as appears in particular in FIG. 7, offset from each other and separated by an interval the length of which is smaller than the width of the teeth 60 of a rack 61 correspondingly formed below the carriage 40.
The space separating each of the teeth 60 of the rack 61 is calculated so that this space corresponds to the distance which must separate two characters.
The lower edge of the carriage 40 forms, at one of its ends, a stud 62 (fig. 3 and 4) to which is fixed the end of a spring 63 which passes over a pulley 64 carried by a pin 65 integral with the support plate 32, and which is fixed at its free end to a stud 66 also integral with the plate 32. In this way, the spring 63 always tends to slide the carriage 40 in the direction of arrow f 3 (fig. 4 and 5) the latter being retained only by one of the teeth of the pawl 56.
In order to successively move the teeth of the pawl 56, the frame 29 forms, at its end located near the rear part of the machine, a yoke 67, the branches of which turn the tubular element 51, so that the pawl 56, which is pulled by the spring 52, comes to rest against these branches. Consequently, when a pressure is exerted on one of the keys 21, the corresponding lever pivots and pushes, in the direction of the arrow f4 (fig. 3 and 5), the frame 29 whose yoke 67 moves in the same direction the pawl 56 which slides on the tubular element 51 allowing one of the teeth of the rack to escape due to the traction exerted on the carriage 40 by the spring 63.
Since the space between the ends of teeth 58 and 59 is smaller than the width of tooth 6.0 of the rack, before tooth 58, for example, lets out one of teeth 60, tooth 59 is already placed in the following entry, thus preventing several teeth 60 from escaping so multaneously.
The half-shells 1 and 2 support coils 68 and 69, one of the sides of which has teeth 70 engaged with one or the other of the pawls 71 or 72 articulated on pins 73 (FIG. 3) carried by each of the sides <B> 27, _28 </B> of the frame 29. These coils serve to connect a ribbon, not shown, which passes through or vertures 74 and 75 formed in the apron 5 on each of its two sides, this tape being engaged in a slot 76 (fig. 3) of a lever 77 articulated at its foot on an axis 78 (fig..l, 2 and 4) -ported by the support plate 32.
As is particularly visible in fig. 7, the lever 77 normally takes support, under the effect of its own weight, against a cylindrical part 56a of the pawl 56 which has, immediately behind this part, a frustoconical part 56b which has the effect, when the pawl is moved. in the direction of arrow f4, to pivot the rod 77 and, consequently, to lift the tape to bring it behind the notch 8 of the apron 5, that is to say to interpose it between the paper to be printed wrapped around the roll 42 and the characters carried by the bars 14.
In order to prevent the coils 68 or 69 from being unwound accidentally, blades 79, fixed to the end of fingers 80 (FIG. 3) integral with the half-shells 1 and 2, constantly press on one of their edges. .
At the fi-. 5, there is shown a variant of the coils according to which the latter are arranged horizontally on axes 81 carried by the half-shells, these coils having, at their lower part, a toothed ring 82 with the teeth of which cli- quets 83 can be alternately engaged depending on the direction in which the tape carried by these spools is unwound.
The lever 77 has an opening 84 through which passes the tape which is brought behind the notch 8 in the same way as described above.
So that the typewriter described can be manufactured inexpensively, all the elements which constitute it, with the possible exception of certain pins and springs, are advantageously made of plastic material. Likewise, the characters designated by the reference 85 in FIG. 5 are directly molded with the bars 14 which are identical to each other, with the exception that their end part which carries the characters is more or less inclined. In addition, the levers 20 are also all identical in shape and size, which allows them to be easily manufactured with a single mold or press.
The machine described above operates as follows: A sheet of paper is introduced between the cylinder 42 and the deflector guide 41, which is then held stationary on the cylinder by the pressure bar 49 which allows it to be driven. this.
When one of the keys 21 is then acted on, the corresponding lever 20 is rotated, which has the effect of pulling a rod 24 and of rotating a character bar 14 which strikes the paper.
Simultaneously, due to the pivoting movement of the lever 20, the frame 29 slides in the direction of the arrow f4, which has the effect of moving, in the same direction, the pawl 56 allowing the carriage to be moved by a distance corresponding to the length of one of the teeth of the rack 61.
The pawl 56 being held against the stopper 57 by the spring 52, which works in tor sion, as well as by the spring 63 which always tends to slide the carriage in the direction in which the pawl comes against the stopper, it is, therefore, impossible for this carriage to be moved during the time that the strike lasts which is thus carried out under the best possible conditions.
When one ceases to exert pressure on the key 21 in question, the character bar 14 tends to come and reoccupy its initial position owing to its weight, and, consequently, returns this rod also to its initial position. In addition, the spring 52, which has been tensioned more, since the yoke 67 slides it on the element 51 during the displacement of the frame 29, tends to relax, and, consequently, returns the pawl to its position. initial as well as frame 29. This also facilitates the faster return of the levers 20.
The movement of the frame 29 moves one or the other of the pawls 72 or 83 and, consequently, one or the other of the coils 68 or 69 which wind a length of tape corresponding to the displacement of said pawls. It is quite obvious that the second reel which is not, at this moment, engaged with its control pawl, turns of itself due to the tension of the ribbon. When you want to type a capital letter, you act on the key 21 controlling the rod 38, so that the cam 37 which lifts the bar 34, the support plate 32, the slide 33, the carriage 40 is pivoted. and its cylinder dre 42.
When a complete line has been typed, the cylinder 42 is rotated by acting on the button 45, so as to bring the rusting worm finger 46 into the next notch 47, then the carriage 40 whose teeth of the rack 61 rotate the pawl, a movement which is made possible, given that, in this case, the pawl pivots in the direction in which it is not stopped by the stop 57, the spring 52 then automatically returning this pawl against said stopper.