Caisse enregistreuse. L'indication du montant à payer, dans les caisses enregistreuses, s'opère de façons très différentes selon les systèmes. Les diffé rences proviennent surtout du mode de trans mission de la position des touches ou leviers à main aux indicateurs. Ces derniers sont constitués en général par des tambours ro tatifs ou des volets mobiles portés par des chariots.
Dans les machines à leviers manceuvrés à la main, ces derniers sont en général cou plés directement aux tambours des indican teurs par l'intermédiaire d'un secteur denté ou d'une crémaillère. Dans -ce cas, -les mou vements du levier et de l'organe -en prise avec le tambour indicateur sont donc simultanés et directement proportionnels.
Dans les machines comportant des touches au lieu des leviers, la transmission n'est en général pas directe et les indicateurs indi quent le dernier montant enregistré même lorsque les touches et autres organes de com mande sont revenus à leur position de zéro ou de repos.
Ces derniers systèmes ont, cependant, un grand inconvénient lorsque les indicateurs sont constitués par des tambours rota tifs. En effet, la durée d'une opération d'en registrement (ou cycle) est de l'ordre de gran deur d'une seconde.
Une partie importante de cette durée est en général absorbée par les compteurs pour l'opération des reports, ainsi que pour la "lecture" de la position des tou- ehes. de sorte que le temps disponible pour la rotation des- tambours des indications est très limité et souvent de; l'ordre de grandeur de 0,2 seconde.
En outre, dans la plupart des caisses, en particulier dans elles dont "l'organe tâteur" se meu tsous l'action d'un ressort, les indi cateurs retournent d'abord à leur position de zéro, pour occuper ensuite la nouvelle posi tion déterminée par les touches ou leviers à main.
Il y a donc succession rapide de deux mouvements en sens inverse, eux-mêmes très brefs. Ces mouvements ont lieu même lorsque les indicateurs ont à répéter le même chiffre.
Afin de limiter les efforts dus à l'inertie, les tambours doivent avoir un diamètre rela tivement petit et comporter fréquemment des ressorts amortisseurs.
Dans les machines dont lés indicateurs passent directement de l'ancien montant au nouveau, sans passer par zéro (en général in dicateurs à volets), les éléments de commande des indicateurs sont actionnés généralement en même temps que les organes tâteurs et par iceux-ci.
Dans ce -cas, le mouvement n'est pas pro voqué par la tension d'un ressort, l'effort de mandé pour l'actonnement des indicateurs pouvant être trop grand et présentant de ce fait une insécurité de fonctionnement.
Pour offrir la sécurité de fonctionnement nécessaire, des machines de te genre possè dent presque toujours un couplage rigide en tre l'arbre moteur .et l'organe tâteur. Ce sys tème de couplage est cependant relativement compliqué et onéreux, son emploi est en géné ral limité aux caisses à haut rendement et de prix élevé.
La présente invention -a pour objet une caisse enregistreuse dans laquelle les valeurs à introduire dans le mécanisme peuvent l'être soit à l'aide de rangées de touches formant un tableau, soit à l'aide de rangées de posi tions d'arrêt de leviers de man#uvre, soit à l'aide de rangées de dents formant chacune un pignon de compteur, et présentant, pour chaque rangée décimale, un mécanisme se ré pétant, dont la position d'arrêt est définie par un organe d'arrêt, ce dernier pouvant, par exemple,
être constitué par cliquet dans le cas de l'introduction des valeurs par l'in termédiaire des compteurs, et par des butées formées parles touches-dans le cas où les va leurs sont introduites par l'intermédiaire du tableau de touches.
Cette caisse se distingue des caisses de construction connue par le fait qu'elle com- porte, -d'une part, au moins un axe fige cons- tituant une butée et deux axes oscillants -com muns à tous lesdits mécanismes se répétant et, d'autre part, pour chacun desdits méca nismes;
-deux leviers articulés l'un sur l'autre et disposés entre ledit axe fige et l'un des- dits axes oscillants, chacun:
de ces leviers étant articulé par l'une de ses extrémités sur un organe mobile de .commande d'un organe d'enregistrement, au moins l'un de -ces arga- nes de commande étant, pendant le déplace ment dans un sens de déplacement de l'un des axes oscillants, déplacé dans un sens par Fac tion d'un ressort agissant sur un organe- tâ- teur, jusque dans une position définie par l'un desdits organes d'arrêt, l'autre axe oscil lant provoquant, lors de son oscillation,
un déplacement relatif des deux leviers dont au moins l'un entre en contact avec l'axe fige, de manière à les amener dans une position coïncidente, le déplacement relatif, ainsi pro voqué entre ces leviers:
provoquant l'actionne- ment des organes enregistreurs jusque dans une position à la valeur introduite dans la caisse - directement à partir de leurs ancien- nes positions, de manière à permettre un ac- tionnement à vitesse réduite desdits organes enregistreurs..
Le dessin- annexé représente, schématique ment et à titre d'exemples, quelques formes d'exécution de la caisse enregistreuse faisant l'objet de l'invention.
La fig. 1 montre une caisse enregistreuse à touches disposées en arc de cercle autour de l'axe central, dans-sa position de repos.
La fig. 2 montre une caisse enregistreuse à touches placées dans un même plan obli que par rapport à la base, dans sa position de repos.
La fig. 3 montre, à plus grande échelle, une variante de la forme d'exécution repré sentée à la fig. 1.
Les fig. 4, 5 et 6 montrent, à plus grande échelle, des variantes de détails de la forme d'exécution représentée à la fig. 2.
La caisse enregistreuse représentée à la fig. 1 fonctionne comme suit: L'enfoncement d'une touche, par exem ple de la septième d'une rangée, provoque la levée d'un cliquet 10 de retenue et de zéro de la rangée correspondante. Le mécanisme de la caisse est mis en mouvement par rota tion d'une manivelle extérieure ou par la mise sous tension d'un moteur électrique M.
Ceci entraîne: le déplacement d'un arbre oscillant 11 de la position représentée à la fig. 1, jusqu'à une position <B>Il'</B> et, sous l'ac tion d'un ressort 12 attribué à ladite rangée, la rotation d'un organe tâteur 13' en forme de segment et solidaire d'un bras 13. Ce seg ment tourne autour d'un axe central fige 14 jusqu'à ce que la touche enfoncée arrête un doigt 15 porté par le bras tâteur 13. Par contre, l'axe<B>Il</B> continue sa course jusqu'en 11'.
Pendant sa. rotation, le ,segment 13' en traîne un secteur denté 17 au moyen d'un nez 16. Dans les variantes d'exécution de la machine décrite dans lesquelles les touches sont disposées en arc de cercle, les éléments 13 et 13' forment une seule @et même pièce. Les éléments dentés 13' et 17 sont reliés par un ressort- de rappel 18 qui assure le contact du nez 16 sur le segment 13'.
Lorsque l'axe 11 a atteint sa position 11', un verrou 19 s'engage dans l'élément denté 17 et main tient ce dernier dans une position angulaire donnée. Simultanément, ce verrou 19 libère un élément denté 20 en forme de segment, monté sur l'axe fige 14. Ce segment 20 est en prise avec un pignon 27 solidaire d'un tam bour indicateur 26. A ce moment, un deuxième axe oscillant 21, portant un galet en vue de réduire les frottements à un mini mum, est déplacé en direction de l'axe fixe 14. Un levier. oscillant 24 est articulé sur l'élément denté 20. Un second levier oscil lant 23 est articulé sur l'élément denté 17.
L'extrémité libre du levier 23 porte un axe 25 coulissant dans une glissière prévue dans l'extrémité du levier 24.
Ces deux leviers 23 et 24 sont disposés entre l'axe central fixe 14 et l'axe oscil lant 21.
Lors de son déplacement, cet axe 21 en tre encontact avec l'un des leviers 23 et 24 (selon la position initiale de l'indicateur par rapport à la touche enfoncée) et tend à lame- ner dans une position .coïncidant avec celle de l'autre levier.
Cette position est atteinte lorsque l'axe 21 est arrivé à sa position 21'. La' mise en coïncidence des positions des leviers 23 et 24 a pour conséquence d'entraîner l'élément denté 20,et par lui le tambour indicateur 26 par l'intermédiaire de la roue dentée 27. La nouvelle position atteinte par l'indicateur 26 correspond donc à celle de la septième tou che enfoncée (fig. 1).
A ce moment, le verrou 19 vient bloquer l'élément denté 20 -et par lui l'indicateur 26; dans leurs nouvelles positions angulaires; et libère l'élément denté 17. L'axe os-cillant 21 quitte sa position 21' et retourne à sa posi tion de repos en libérant les leviers 23 et 24. Cela permet à l'élément denté 17 de, retour ner également à sa position de zéro sous l'effet du ressort de rappel 18.
Le bras tâ- teur 13 est ramené à la position de zéro, avant l'élément 17, par l'axe oscillant 11 et actionne pendant ce mouvement de retour les pignons 28 des compteurs.
La roue dentée 29 actionnant une roue à caractères d'imprimerie, par l'intermédiaire de l'un des tubes télescopique 30, est action née elle-même, en même temps que la roue dentée 27, par l'élément denté 20.
Comme on le voit de la description qui précède, les organes fonctionnant comme or ganes d'enregistrement peuvent être consti- tués soit par une roue dentée telle que 29 actionnant une roue à caractères, soit encore par une. roue d'indicateur telle que 27.
La variante d'exécution de la fig. 3 est simplifiée par rapport à celle de la fig. 1 en ce sens que le nez 16 est disposé à l'extré mité du segment 17 et vient en contact avec le doigt 15 du bras tâteur 13.
Le fonctionnement est identique à celui décrit.
Dans la forme d'exécution représentée à 1a fig. 2, tous les organes correspondant à ceux de la première forme d'exécution dé crite sont pourvus des mêmes chiffres de Téfé- rence. On voit que la seule différence réside dans le fait que les secteurs dentés 13', 17 et 20 sont remplacés par des, crémaillères.
Les chemins décrits par ces organes sont donc rectilignes au lieu d'être en arc de -cercle. Cette forme d'exécution comporte deux axes fixes, c'est-à-dire les axes 14 et 22.
Le fonctionnement est sous tous les rap ports identique à celui décrit, sauf en ce qui concerne le mouvement de l'axe oscillant 21, ce dernier se rapprochant de l'axe 22 et non de l'axe 14.
Dans les deux variantes. des fig. 4 et 5; seule la disposition des leviers 23 et 24 est différente, c'est-à-dire que sous l'action de la poussée exercée par l'axe 21, -ces leviers agissent à la manière de deux bras .de ciseaux. Dans le premier cas, ils sont articulés l'un sur l'autre en 25 et l'extrémité du bras 24 coulisse dans une glissière pratiquée dans la crémaillère 20. Dans le second cas, le bras 24 comporte dans sa partie médiane une glissière dans laquelle coulisse l'axe 25 du bras 23.
Dans _ la variante de la fig. 5, l'élément denté 17 se confond avec l'élément 13'., ce qui permet la suppression du nez 16 et du res sort de rappel 18, mais oblige, Cependant., l'élément tâteur 13 d'attendre, pour son re tour à zéro, que le verrou 19 ait bloqué l'élé ment denté 20 et libéré l'élément denté 17.
Ce système peut être employé dans les caisses dont les compteurs opèrent les reports après l'arrêt du moteur, aiï. moyen de ressorts. par exemple. - Dans.la variante de.la fig. 6 les deux le viers 23 et 24 sont articulés â l'une de leurs extrémités l'un sur l'autre en 25, tandis que l'autre extrémité, du levier 24 coulisse dans une glissière - pratiquée -dans la crémaillère 20.
Les deux leviers. présentent chacun une rainure dans laquelle. est engagée l'axe oscil lant 21 qui, lors<B>. dé</B> son déplacement dans la position 21" se rapproche de l'axe 22- pour amener les deux leviers dans une position coïncidente.
Il est évident que. la caisse selon fig. 1 peut être munie, en lieu et place de bancs de touches, de leviers de manaeuvre pouvant être déplacés à la main sur des rangées de positions correspondant à celles des touches.
Dans ce cas, le levier oscillant, qui est blo qué pendant l'opération d'enregistrement, compoite une butée sur laquelle vient s'arrê- ter-le-bras tâteur 13 pendant son exploration, et dont .la position -correspondrait à celte d'une touche enfoncée.
La - caisse enregistreuse décrite en réfé rence, à la fig: 1, par exemple, est aussi pré- vue pour<B>là,</B> lecture mécanique des compteurs. Lors de la lecture d'un des :compteurs, les pignons 28 de celui-ci sont engagés dans les parties. dentées 13' au début du fonctionne ment de la caisse, le cliquet de retenue 10 étant levé et toutes les touches 1 à 9 déga gées.
Lors du premier mouvement de l'axe oscillant 11, l'organe tâteur 13 se meut donc comme décrit ci-dessus, mais au lieu d'être arrêté dans sa course par une touche, il l'est par un pignon 28 de compteur, qui, en tour nant en arrière,. - est arrêté lui-même sur sa position de zéro par l'entrée en contact de sa dent longue avec une butée d'arrêt (non re- présentée) constituée par un cliquet. ;
Si, à ce moment-là, le pignon 28 du comp teur est découplé :de l'organe 13', le compteur se trouve remis à zéro alors que l'indicateur reproduit la position précédente du compteur. Si, par contre, l'engrènement subsiste jus qu'au retour ù sa position de zéro de l'organe tâteur 13, le compteur revient à sa -position précédente, position qui est reproduite par l'indicateur et les roues à caractères. Cette dernière opération représente la lecture d'un compteur sans remise à zéro.
La .caisse enregistreuse représentée en fig. 1 comporte, en outre, des pignons 31, ac tionnés -par des tubes télescopiques 32, et ser vant d'organes :de liaison avec une maehine à calculer ou une balance automatique. La lecture ,de la position angulaire de :ces pignons 31 se fait comme la lecture, avec remisse à zéro, dos compteurs.
Comme on le voit de la description qui précède; dans les caisses représentées et dé crites, l'organe tâteur est soumis à l'action d'un- ressort, au lieu de comporter un cou plage rigide. " .
Cette construction permet, . en outre, le passage de l'indicateur de .la position d'indi- cation ;précédente à la suivante sans passer par la position intermédiaire de zéro, ce qui réduit notablement l'usure. Lorsque l'indica teur doit répéter le même montant indiqué, il ne fait donc .aucun mouvement.
Un autre avantage des caisses décrites est qu'elles peuvent être munies d'un dispositif permettant d'amener l'indicateur dans sa nou velle position même lorsque ,l'organe tâteur est :en train d'effectuer son retour à zéro.
Ce retour a lieu en général très tôt pour per mettre les opérations de rapport d'addition des .compteurs. Le dispositif proposé permet d'allonger dans une grande mesure le temps nécessaire pour l'occupation de la nouvelle position de l'indicateur, donc une rotation plus lente des tambours permettant un agran dissement des diamètres et la suppression des ressorts amortisseurs.
Cash register. The indication of the amount to be paid, in cash registers, operates in very different ways depending on the system. The differences arise mainly from the mode of transmission of the position of the keys or hand levers to the indicators. The latter are generally constituted by rotating drums or movable shutters carried by carriages.
In machines with hand-operated levers, the latter are generally coupled directly to the indicator drums by means of a toothed sector or a rack. In this case, the movements of the lever and of the member engaged with the indicator drum are therefore simultaneous and directly proportional.
In machines with keys instead of levers, the transmission is generally not direct and the indicators show the last amount recorded even when the keys and other controls have returned to their zero or rest position.
These latter systems have, however, a great drawback when the indicators are constituted by rotating drums. Indeed, the duration of a recording operation (or cycle) is of the order of magnitude of one second.
A large part of this time is generally absorbed by the counters for the operation of the transfers, as well as for the "reading" of the position of the keys. so that the time available for the rotation of the indication drums is very limited and often of; the order of magnitude of 0.2 seconds.
In addition, in most cases, in particular in those where the "feeler member" moves under the action of a spring, the indicators first return to their zero position, to then occupy the new position. tion determined by keys or hand levers.
There is therefore a rapid succession of two movements in the opposite direction, themselves very brief. These movements take place even when the indicators have to repeat the same number.
In order to limit the forces due to inertia, the drums must have a relatively small diameter and frequently include damping springs.
In machines where the indicators pass directly from the old upright to the new one, without going through zero (generally shutter indicators), the control elements of the indicators are generally actuated at the same time as the feelers and by them. .
In this case, the movement is not caused by the tension of a spring, the force required for the actuation of the indicators can be too great and thus presenting an unsafe operation.
To provide the necessary operational safety, machines of this type almost always have a rigid coupling between the motor shaft and the feeler member. This coupling system is, however, relatively complicated and expensive, and its use is generally limited to high-efficiency and high-price boxes.
The present invention relates to a cash register in which the values to be introduced into the mechanism can be introduced either with the aid of rows of keys forming a table, or with the aid of rows of stop positions. operating levers, either by means of rows of teeth each forming a counter pinion, and having, for each decimal row, a repeating mechanism, the stop position of which is defined by a stop member , the latter being able, for example,
be constituted by a ratchet in the case of the introduction of the values by means of the counters, and by stops formed by the keys - in the case where the values are introduced by means of the table of keys.
This box differs from boxes of known construction by the fact that it comprises, - on the one hand, at least one fixed axis constituting a stop and two oscillating axes - common to all said repeating mechanisms and, on the other hand, for each of said mechanisms;
-two levers articulated one on the other and arranged between said fixed axis and one of said oscillating axes, each:
of these levers being articulated by one of its ends on a movable control member of a recording member, at least one of these control members being, during the movement in a direction of displacement of one of the oscillating axes, moved in one direction by the fact of a spring acting on a feeler member, to a position defined by one of said stopper members, the other oscillating axis causing, during its oscillation,
a relative displacement of the two levers, at least one of which comes into contact with the frozen axis, so as to bring them into a coincident position, the relative displacement, thus caused between these levers:
causing the recording devices to actuate into a position at the value entered in the cash register - directly from their old positions, so as to allow the said recording devices to be operated at reduced speed.
The accompanying drawing represents, schematically and by way of examples, some embodiments of the cash register forming the subject of the invention.
Fig. 1 shows a cash register with keys arranged in an arc of a circle around the central axis, in its rest position.
Fig. 2 shows a cash register with keys placed in the same oblique plane as relative to the base, in its rest position.
Fig. 3 shows, on a larger scale, a variant of the embodiment shown in FIG. 1.
Figs. 4, 5 and 6 show, on a larger scale, variant details of the embodiment shown in FIG. 2.
The cash register shown in fig. 1 operates as follows: The depression of a key, for example of the seventh of a row, causes the lifting of a retaining pawl 10 and zero of the corresponding row. The body mechanism is set in motion by rotation of an external crank or by energizing an electric motor M.
This results in: the displacement of an oscillating shaft 11 from the position shown in FIG. 1, up to a position <B> Il '</B> and, under the action of a spring 12 allocated to said row, the rotation of a feeling member 13' in the form of a segment and integral with an arm 13. This segment rotates around a fixed central axis 14 until the pressed key stops a finger 15 carried by the feeler arm 13. On the other hand, the axis <B> Il </B> continues its race up to 11 '.
During his. rotation, the segment 13 'drags a toothed sector 17 by means of a nose 16. In the embodiments of the machine described in which the keys are arranged in an arc of a circle, the elements 13 and 13' form a single @and same part. The toothed elements 13 'and 17 are connected by a return spring 18 which ensures contact of the nose 16 on the segment 13'.
When the pin 11 has reached its position 11 ', a latch 19 engages in the toothed element 17 and the hand holds the latter in a given angular position. Simultaneously, this lock 19 releases a toothed element 20 in the form of a segment, mounted on the pin 14. This segment 20 is engaged with a pinion 27 integral with an indicator drum 26. At this time, a second oscillating axis 21, carrying a roller in order to reduce friction to a minimum, is moved in the direction of the fixed axis 14. A lever. oscillating 24 is articulated on the toothed element 20. A second oscillating lever 23 is articulated on the toothed element 17.
The free end of the lever 23 carries an axis 25 sliding in a slide provided in the end of the lever 24.
These two levers 23 and 24 are arranged between the fixed central axis 14 and the oscillating axis 21.
During its movement, this axis 21 comes into contact with one of the levers 23 and 24 (depending on the initial position of the indicator with respect to the pressed button) and tends to slide into a position coinciding with that of the other lever.
This position is reached when the axis 21 has reached its position 21 '. The coincidence of the positions of the levers 23 and 24 has the consequence of driving the toothed element 20, and through it the indicator drum 26 by means of the toothed wheel 27. The new position reached by the indicator 26 therefore corresponds to that of the seventh key pressed (fig. 1).
At this time, the lock 19 comes to block the toothed element 20 - and through it the indicator 26; in their new angular positions; and releases the toothed element 17. The oscillating axis 21 leaves its position 21 'and returns to its rest position by releasing the levers 23 and 24. This allows the toothed element 17 to also return to its zero position under the effect of the return spring 18.
The feeler arm 13 is returned to the zero position, before the element 17, by the oscillating axis 11 and during this return movement actuates the pinions 28 of the counters.
The toothed wheel 29 actuating a printing type wheel, by means of one of the telescopic tubes 30, is itself initiated, at the same time as the toothed wheel 27, by the toothed element 20.
As can be seen from the foregoing description, the members functioning as recording means can be constituted either by a toothed wheel such as 29 actuating a character wheel, or else by one. indicator wheel such as 27.
The variant embodiment of FIG. 3 is simplified compared to that of FIG. 1 in that the nose 16 is disposed at the end of the segment 17 and comes into contact with the finger 15 of the feeler arm 13.
The operation is identical to that described.
In the embodiment shown in 1a fig. 2, all the components corresponding to those of the first embodiment described are provided with the same reference numbers. It can be seen that the only difference lies in the fact that the toothed sectors 13 ', 17 and 20 are replaced by racks.
The paths described by these members are therefore rectilinear instead of being in an arc of a circle. This embodiment has two fixed axes, that is to say the axes 14 and 22.
Operation is in all respects identical to that described, except with regard to the movement of the oscillating axis 21, the latter approaching the axis 22 and not the axis 14.
In both variants. of fig. 4 and 5; only the arrangement of the levers 23 and 24 is different, that is to say that under the action of the thrust exerted by the axis 21, these levers act in the manner of two arms .de scissors. In the first case, they are articulated one on the other at 25 and the end of the arm 24 slides in a slide made in the rack 20. In the second case, the arm 24 comprises in its middle part a slide in which slides the axis 25 of the arm 23.
In the variant of FIG. 5, the toothed element 17 merges with the element 13 '., Which allows the elimination of the nose 16 and the return spring 18, but obliges, However., The feeling element 13 to wait, for its return to zero, that the latch 19 has blocked the toothed element 20 and released the toothed element 17.
This system can be used in cash registers where the counters operate the reports after stopping the engine, aii. means of springs. for example. - In.the variant of.the fig. 6 the two viers 23 and 24 are articulated at one of their ends one on the other at 25, while the other end of the lever 24 slides in a slide - formed - in the rack 20.
The two levers. each have a groove in which. is engaged the oscillating axis 21 which, during <B>. de </B> its movement in position 21 "approaches the axis 22- to bring the two levers into a coincident position.
It's obvious that. the box according to fig. 1 can be provided, instead of banks of keys, with operating levers which can be moved by hand in rows of positions corresponding to those of the keys.
In this case, the oscillating lever, which is blocked during the recording operation, comprises a stop on which the feeler arm 13 stops during its exploration, and the position of which would correspond to that. with a key pressed.
The cash register described with reference, in fig: 1, for example, is also intended for <B> there, </B> mechanical reading of meters. When reading one of the counters, the pinions 28 thereof are engaged in the parts. toothed 13 'at the start of operation of the body, the retaining pawl 10 being lifted and all keys 1 to 9 released.
During the first movement of the oscillating axis 11, the feeler member 13 therefore moves as described above, but instead of being stopped in its course by a key, it is stopped by a counter pinion 28, which, turning backwards ,. - is itself stopped in its zero position by the coming into contact of its long tooth with a stopper (not shown) constituted by a pawl. ;
If, at this moment, the pinion 28 of the counter is decoupled: from the member 13 ', the counter is reset to zero while the indicator reproduces the previous position of the counter. If, on the other hand, the engagement remains until the return to its zero position of the feeler member 13, the counter returns to its previous position, a position which is reproduced by the indicator and the character wheels. This last operation represents the reading of a counter without resetting to zero.
The cash register shown in FIG. 1 further comprises pinions 31, ac tioned by telescopic tubes 32, and serving as members: for connection with a calculating machine or an automatic balance. The reading of the angular position of: these pinions 31 is done like the reading, with reset to zero, back counters.
As seen from the above description; in the cases shown and described, the feeler member is subjected to the action of a spring, instead of having a rigid beach neck. ".
This construction allows,. moreover, the passage of the indicator from the previous indication position to the next without passing through the intermediate zero position, which considerably reduces wear. When the indicator has to repeat the same amount indicated, it therefore makes no movement.
Another advantage of the boxes described is that they can be provided with a device enabling the indicator to be brought into its new position even when the feeler member is: in the process of returning to zero.
This return generally takes place very early in order to allow the addition report operations of the counters. The proposed device makes it possible to lengthen to a great extent the time necessary for the occupation of the new position of the indicator, therefore a slower rotation of the drums allowing an enlargement of the diameters and the elimination of the damping springs.