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"Dispositif interrogateur électrique destiné à des compteurs comportant plusieurs roulettes accouplées qui viennent occuper des positions successives".
On connaît déjà un compteur comportant plu- sieurs roulettes accouplées qui viennent occuper des positions successives, avec des cames fixées sur les roulettes, ainsi que des tiges palpeuses coulissantes, qui, pour la transmission des positions du compteur sont repoussées contre les cames, leur déplacement étant fonction des parties en saillie des cames tiges qui sont maintenues dans la position prise au moyen de crans d' arrêt.
Dans le dispositif de transfert des positions du compteur, le déplacement des tiges palpeuses se fait en venant appuyer un système mobile qui relève les positions du compteur et les fait passer sous une forme codifiée sur une bande
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perforée Au moyen du système mobile, pour relever lea positions du compteur, on procède successivement de temps à autre au relevé des compteurs de l'installation, de sorte que les valeurs enregistrées sur les compteurs, pendant les périe- des de mesure, sont emmagasinées sur les bandes perforées pour exploitation ultérieure.
@
Dans ce système décentralisé de collecte des informations, bien que l'opération de collecte proprement dite soit mécanisée, dans les installations comportant de nom- breux compteurs à relever, qui peuvent être très éloignés les uns des autres, il subsiste l'inconvénient, qu'il faut aller rechercher les différents compteurs, l'un après l'autre, pour y appuyer le système mobile. Si l'installation ne comporte que peu de compteurs à relever, il peut encore être justifié, au point de vue du temps nécessaire, d'aller relever les différents appareils.
Cependant, avec l'extension de ce genre d'installation, il est souvent désirable, de faire passer, au moyen d'un système électrique, les valeurs enregistrées méca- niquement en décades sur le compteur, sous une forme codifiée dans le système binaire, pour les traiter ensuite dans un cal- culateur. L'invention propose donc, de munir les compteurs du type décrit, qui comportent des tiges palpeuses coulissantes servant à la transmission des positions du compteur, de dispo- sitifs interrogateurs électriques.
Suivant l'invention, on associe à chacune des tiges palpeuses plusieurs leviers détecteurs, qui viennent se poser, en glissant, sur les épaulements et dans les encoches des tiges palpeuses, en fonction du schéma du codage adopté, les leviers détecteurs étant munis d'aimants permanents, qui servent à actionner des contacts placés dans des tubes de protection fixes, de sorte qu'à chaque déplacement d'une des tiges palpeuses, correspond une combinaison des positions des contacts.
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Si le dispositif interrogateur électrique doit être utilisé dans une installation dont les compteurs sont déjà installés, alors les parties des tiges palpeuses qui portent les épaulements et les encoches, ainsi que les leviers détecteurs qui actionnent, au moyen d'aimants, les contacts placés dans des tubes de protection, sont réunis pour former un bloc, qui est alors fixé sur le dispositif de transmission,, pour permettre l'interrogation du compteur par le système électrique, et les parties séparées des tiges palpeuses sont maintenues dans la position prise au moyen de ressorts,.
Les dessins représentent des exemples de réa- lisation du dispositif interrogateur électrique suivant l'in- vention, La figure 1 montre un dispositif interrogateur électrique qui est déjà prévu avec un dispositif de transmission lors de la construction du compteur, tandis que la figure 2, représente un dispositif interrogateur électrique, qui est réalisé sous forme d'un bloc, pour être appliqué ultérieurement au dispositif de transmission.
Sur la figure 1, 1 désigne le moteur d'en- tratnement, qui porte sur son arbre un pignon 2. Une roue pour réduire la vitesse, engrène avec le pignon 2 et entrât- ne une roue dentée 4. Sur l'axe de la roue dentée 4 peut tourner un pignon 6, qui est relié à la roue 4 au moyen d'un ressort de torsion 5. Avec le pignon 6 engrène une roue dentée 7, montée sur le même axe qu'une autre roue den'- tée 9, qui est en prise avec le pignon de commande 10 du mécanisme d'un compteur. Le compteur comporte quatre roulettes à décades, munies des disques à cames 11 - 14. Ces disques à cames sont constitués par des secteurs ayant chacun un dia- mètre différent, chaque secteur correspondant à un chiffre de la décade.
Le compteur est équipé d'un dispositif de retour
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à aéra du type habituel, les cliquets de blocage -placés entre les roulettes et non visibles sur le dessin- venant engrener dans les rainures de l'axe 18 du compteur.
Dans le secteur de rotation de la broche 8, fixée sur la roue dentée 7, se trouve deux butées d'arrêt 15 et 16. Ces butées 15 et 16 sont montées sur une armature 17, qui est maintenue par un ressort dans la posi- tion dessinée, mais qui peut être attirée par un électro-' aimant 15.
En face des cames Il - 14 du compteur, se trouvent les tiges palpeuses 21 - 24 disposées de telle ma- nière, que les extrémités des tiges palpeuses peuvent venir mesurer les rayons des différents secteurs. Les tiges palpeu- ses sont montées pour coulisser dans un étrier 20, et sont tirées vers la droite, au moyen des ressorts de traotiôn 45,
46, (les ressorts de tiges palpeuses 23, 24 ne sont pas! visibles) de sorte que les crans d'arrêt, en forme de dents de scie, des tiges palpeuses viennent, dans la position dès- sinée, se placer contre un cliquet de blocage 43.
Ce cliquet de blocage 43 peut au moyen 'un levier 38, pivoter autour d'une broche 39, fixée sur l'étrier 20, Bans le levier 38 se trouve un cliquet d'arrêt qui peut pivoter autour d'une broche 41. Le levier 38, est tiré vers le bas au moyen d'un ressort 44, de sorte que le levier d'encliquetage 42, qui sort par une ouverture prévue dans le levier 3, vient reposer sur une tige fixe 40. L'étrier 20 peut coulisser sur les tiges de guidage, dont une 19 est visible sur le dessin. Une tige de manivelle 36 est, d'une part fixée sur une broche 35 de l'étrier 20, et d'autre part à une brocha .
34, montée sur la roue dentée 33. Cette roue denrée 33 est entraînée par l'intermédiaire d'une roue de changement de
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vitesse 32 et d'un pignon 31, monté sur l'axe d'un moteur 30. Sur la roue dentée 33 est en outre fixé un disque à cames 51, qui commande un contact 52, 53. Sur l'étrier
20 se trouve une vis de réglage 50, qui permet d'ajuster la position d'une crémaillère 47, guidée sur deux boulons
48, 49, crémaillère qui vient engrener avec la denture de l'axe 18 du compteur.
Pour effectuer une interrogation par un système électrique, les tiges palpeuses 21 - 24 sont pour- vues, de ce c8té-ci de la ligne de référence AB, sur leur face supérieure et leur face inférieure, d'encoches, sur les- quelles viennent se poser en glissant, les leviers détecteurs
110 - 113, 210 - 213, 310 - 313, 410 - 413. Les encoches désignées par 100 - 103 sur la tige palpeuse 21, sont disposées de telle manière, qu'elles peuvent représenter, sous forme binaire, les dix positions possibles correspondant aux déplacements de la tige palpeuse par rapport à l'étrier
20. Pour le codage dans un code purement binaire, les encoches
100 servent à représenter la valeur 2 , les encoches 101 à représenter la valeur 21, les encoches 102 à représenter la valeur 22, et les encoches 103 à représenter la valeur
23.
Pour chaque position binaire (bit) d'une décade, on prévoit un levier détecteur, c'est ainsi que pour les quatre positions binaires de la décade des unités de la tige palpeuse
21, on a prévu les leviers détecteurs 110 - 113. Les leviers détecteurs des mêmes positions binaires, pour le codage des quatre décades du compteur, sont chaque fois alignés sur un des axes 60 - 63, Sur l'axe 60 se trouvent tous les leviers correspondant à la valeur 2 , sur l'axe 61 tous les le- viers correspondant à la valeur 21, sur l'axe 62 tous les leviers correspondant à la valeur 22 et sur l'axe 63 tous les leviers correspondant à la valeur 23. Tous les leviers
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détecteurs sont repousses aur les tiges palpeuses au moyen de ressorts de traction..
Pour procéder à une interrogation, @ par un système électrique, des positions des leviers, on fixe' ' sur chaque levier un aimant permanent, qui fait fonctionner un contact situé dans son voisinage immédiat et placé dans un tube de protection. Si par exemple, les leviers détecteurs
110, 112 et 113 se trouvent sur les parties en saillie de la tige palpeuse, les aimants 120, 122, 123 sont écar- tés des contacts 130, 132,133, placés dans les tubes de protection, de sorte que ces contacts sont ouverts. Si au contraire, l'extrémité du levier coudé 111 se trouve dans une encoche, l'aimant 121 a basculé et ferme le contact
131, enfermé dans son tube de protection.
Le comptage des valeurs mesurées dans le compteurs et la transmission de la position du compteur au moyen du déplacement des tiges palpeuses vont être brièvement décrits, pour permettre de comprendre le fonctionnement de l'ensemble du , système. Le moteur 1 est raccordé en permanence à une source d'alimentation. Quand la roue dentée 7 est maintenue immo- bile, le pignon 2 du moteur d'entraînement fait tourner le ressort de torsion 5, par l'intermédiaire de la roue 3 et de la roue 4. A la roue dentée 7, est appliqué un couple de rotation en sens inverse des aiguilles d'un montre ; cette roue est immobilisée au moyen d'une broche 8 placée derrière la butée 15.
Au moment de l'arrivée d'une impulsion de mesure, l'armature 17 est attirée par l'électroaimant 15, de sorte que la broche 8 vient se placer en dessous de la butée 15.
Quand la roue dentée 7 a effectué un tour, la broche vient de nouveau buter contre la face arrière de la butée 15. Quand l'impulsion a une durée plus longue, c'est-à-dire si l'armature n'est pas encore retombée quand la roue dentée 7 a effectué un tour, la broche 8 est tout d'abord arrêtée par la butée 16,
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puis quand l'impulsion cesse et que l'armature retombe, la broche 8 est amenée contre la butée 15.
Par conséquent, indépendamment de la durée de l'impulsion, la roue dentée ne peut effectuer qu'une seule rotation à chaque impulsion, Le ressort de torsion 5, placé entre la roue dentée 4 et le pignon 6, sert à freiner doucement le moteur d'entraîne- ment 1, quand la broche 8 vient contre une des butée 15, 16, et quand la butée s'efface, à accélérer la roue dentée 7, par suite de la torsion du ressort. La rotation de la roue dentée 7 est transmise, par l'intermédiaire de la roue 9 et du pignon d'entraînement 10, au mécanisme du compteur, qui porte les cames 11 - 14.
Quand une péri@@e de mesure est terminée, les valeurs enregistrées par le compteur sont transférées au moyen du dispositif de transmission, car les valeurs des rayons des différents secteurs des cames, qui ont effectué une certaine rotation, ont été mesurées et enregistrées au moyen des tiges palpeuses coulissantes.
A ce moment, par la fermeture d'un interrupteur, monté en parallèle sur le contact 52, 53, le moteur 30 est mis en marche, Par l'intermédiaire du pignon 31, de la roue de changement de vitesse 32 et de la roue dentée 33 qui porte la came 51, le moteur 30 maintient le contact 52, 53 fermé, jusqu'au moment où, après une opéra- tion de transfert, la came 51 revient de nouveau dans sa position de départ.
Le mouvement de rotation de la roue dentée
32 est transmis, par l'intermédiaire de la Manivelle 36, à l'étrier 20, de sorte que ce dernier est tout d'abord tiré vers la droite, contre les cames du compteur Peu avant que l'étrier n'arrive dans sa,position finale à droite, le levier d'encliquetage 42 est repoussé, au moyen de la broche fixe
40, contre le.levier 38, de sorte que ce dernier est soulevé, en surmontant l'effort dû au ressort 44, ce qui momentanément
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libère les tiges palpeu@es 21 - 24.
A ce moment, les tiges palpeuses sont poussées par les ressorts de traction contre les cames 11 - 14 et @e déplacent par rapport à l'étrier 20, suivant les rayons des odeurs des cames qu'elles rencontrent.
Au cours de la phase suivante de l'opération, l'étrier 20, avec les tiges palpeuse, est écarté des cames. Le levier d'encliquetage glisse alors au-dessus de la broche 40. Le levier d'encliquetage est donc soulevé, pendant que le levier 38 reste maintenu par le ressort de traction 44. Le cliquet de blocage tombe ainsi dans les crans en forme de dents de scie des tiges palpeuses, et se maintient pendant les déplacements qu'elles effectuent, par rapport à l'étrier. En même temps que se produit le mouvement de retour de l'étrier 20, le compteur est ramené à zero, au moyen de la crémaillère 47.
Pendant le mouvement de retour de l'étrier 20, les tiges palpeuses 21 - 24, avec leurs encoches, glissent en dessous des leviers détecteurs. Quand l'étrier avec les tiges palpeur ses sont arrivés dans leur position finale à gauche, l'opération de transfert est terminée, et la position du compteur qui a été enregistrée, est prête à subir une interrogation au moyen d'un système électrique. Chacun des quatre leviers détecteurs, associés à une tige palpeuse, occupe maintenant une position, qui correspond à la traduction en code binaire de la valeur .e la décade du compteur qui a été analysée.
Les aimants perma- nents, fixés sur les leviers, ferment par conséquent les co@- tacts voulus placés dans leur tube de protection, contacts 'lui sont intercalés dans des circuits, qui permettent la collège centralisée des informations et ultérieurement leur traitement,
Quand c'est après leur installation que le@ compteurs doivent être équipés du dispositif d'interrogatior par voie électrique, on prévoit le système de la figure 2.
Dans ce dispositif, tous les éléments et le@ parties des tiges palpeuses, qui sur la figure 1 se trouver
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devant la ligne AB, sont réunis en un ensemble. Le cadre de cet ensemble se compose de deux plaques 70, 71, qui sont reliées par des boulons-une partie du boulon 72 est visible sur la figure-. Dans les plaques peuvent coulisser quatre tronçons 61 - 64 des tiges palpeuses, avec leurs encoches, Comme dans le dispositif de la figure 1, sur les tiges palpeuses portant des encoches, viennent glisser des leviers détecteurs, qui peuvent pivoter sur les axes 60 - 63.
Les leviers détecteurs sont également munis d'aimants perma- nents, qui permettent d'actionner les contacts, placés dans les tubes de protection.
Le dispositif d'interrogation par voie élec- trique forme un ensemble, qui est fixé sur le compteur cor- respondant de telle manière, que les extrémités des tronçons interrompus des tiges palpeuses, viennent se toucher, le long de la ligne de référence CD de la figure 2. Au moyen de ressorts de traction, par exemple ceux indiqués en 73, 74, entre la plaque 71 et les tronçons des tiges palpeuses 61 64, on réalise ainsi des liaisons rigides entre les parties des tiges qui ont été séparées. Le bloc d'éléments qui est raccordé de cette manière au compteur, peut effectuer les interrogations par voie électrique, fonctionne en combinaison avec le compteur de la même manière que le dispositif interro- gateur électrique décrit d'après la figure 1.
Au moyen du dispositif interrogateur électrique suivant l'invention, ne mettant en oeuvre que des moyens rela- tivement simples, les valeurs enregistrées mécaniquement sous forme de décades dans plusieurs compteurs, peuvent être trans- férées électriquement sous forme d'un code binaire, dans un appareil central de collecte des données, pour permettre leur traitement et leur enregistrement.
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"Electrical interrogator device intended for meters comprising several coupled rollers which come to occupy successive positions".
A counter is already known comprising several coupled rollers which come to occupy successive positions, with cams fixed on the rollers, as well as sliding feeler rods, which, for the transmission of the positions of the counter are pushed against the cams, their displacement. depending on the protruding parts of the cam rods which are held in the position taken by means of detents.
In the counter position transfer device, the safety rods are moved by supporting a mobile system which records the counter positions and passes them in a codified form on a strip
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perforated By means of the mobile system, to read the counter positions, the installation's meters are read in succession from time to time, so that the values recorded on the meters, during the measurement periods, are stored on the perforated bands for later use.
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In this decentralized information collection system, although the actual collection operation is mechanized, in installations comprising many meters to be read, which may be very far from each other, there remains the drawback, that 'you have to go and find the different meters, one after the other, to support the mobile system. If the installation has only a few meters to read, it may still be justified, from the point of view of the time required, to go and read the various devices.
However, with the expansion of this type of installation, it is often desirable to pass, by means of an electrical system, the values recorded mechanically in decades on the meter, in a codified form in the binary system. , to then process them in a computer. The invention therefore proposes to provide meters of the type described, which include sliding feeler rods serving for the transmission of the positions of the meter, with electrical interrogation devices.
According to the invention, several sensor levers are associated with each of the feeler rods, which come to rest, by sliding, on the shoulders and in the notches of the feeler rods, according to the coding scheme adopted, the detector levers being provided with Permanent magnets, which serve to actuate contacts placed in fixed protection tubes, so that each movement of one of the feeler rods corresponds to a combination of the positions of the contacts.
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If the electrical interrogator device is to be used in an installation where meters are already installed, then the parts of the safety rods which carry the shoulders and the notches, as well as the detector levers which actuate, by means of magnets, the contacts placed in protective tubes, are joined to form a block, which is then fixed on the transmission device ,, to allow interrogation of the meter by the electrical system, and the separate parts of the safety rods are maintained in the position taken by means of springs ,.
The drawings show exemplary embodiments of the electrical interrogator device according to the invention, Figure 1 shows an electrical interrogator device which is already provided with a transmission device during the construction of the meter, while Figure 2, shows an electrical interrogator device, which is produced in the form of a block, to be subsequently applied to the transmission device.
In figure 1, 1 designates the drive motor, which carries a pinion 2 on its shaft. A wheel to reduce the speed, meshes with pinion 2 and engages a toothed wheel 4. On the shaft of the toothed wheel 4 can turn a pinion 6, which is connected to the wheel 4 by means of a torsion spring 5. With the pinion 6 engages a toothed wheel 7, mounted on the same axis as another wheel of'- tee 9, which is engaged with the control pinion 10 of the mechanism of a counter. The counter has four decade rollers, fitted with cam disks 11-14. These cam disks are formed by sectors each having a different diameter, each sector corresponding to a digit of the decade.
The meter is equipped with a feedback device
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with ventilation of the usual type, the locking pawls -placed between the rollers and not visible in the drawing- engaging in the grooves of the axis 18 of the meter.
In the sector of rotation of the spindle 8, fixed to the toothed wheel 7, there are two stops 15 and 16. These stops 15 and 16 are mounted on a frame 17, which is held by a spring in the position. tion drawn, but which can be attracted by an electromagnet 15.
Opposite the cams II - 14 of the counter, are the safety rods 21 - 24 arranged in such a way that the ends of the safety rods can come and measure the radii of the different sectors. The feeler rods are mounted to slide in a caliper 20, and are pulled to the right, by means of the trailing springs 45,
46, (the springs of the feeler rods 23, 24 are not! Visible) so that the notches, in the form of saw teeth, of the safety rods come, in the position shown, to be placed against a pawl lock 43.
This locking pawl 43 can by means of a lever 38, pivot around a pin 39, fixed on the yoke 20, In the lever 38 is a stop pawl which can pivot around a pin 41. The lever 38, is pulled down by means of a spring 44, so that the latching lever 42, which comes out through an opening provided in the lever 3, comes to rest on a fixed rod 40. The bracket 20 can slide on the guide rods, one of which 19 is visible in the drawing. A crank rod 36 is, on the one hand, fixed to a pin 35 of the caliper 20, and on the other hand to a pin.
34, mounted on the toothed wheel 33. This commodity wheel 33 is driven by means of a change wheel.
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speed 32 and a pinion 31, mounted on the axis of a motor 30. On the toothed wheel 33 is also fixed a cam disc 51, which controls a contact 52, 53. On the caliper
20 is an adjusting screw 50, which allows to adjust the position of a rack 47, guided on two bolts
48, 49, rack which meshes with the teeth of the axis 18 of the counter.
To carry out an interrogation by an electrical system, the safety rods 21 - 24 are provided, on this side of the reference line AB, on their upper face and their lower face, with notches, on which come to land by sliding, the sensor levers
110 - 113, 210 - 213, 310 - 313, 410 - 413. The notches designated by 100 - 103 on the safety edge 21, are arranged in such a way that they can represent, in binary form, the ten possible positions corresponding the displacements of the safety rod relative to the caliper
20. For coding in a purely binary code, the notches
100 are used to represent the value 2, the notches 101 to represent the value 21, the notches 102 to represent the value 22, and the notches 103 to represent the value
23.
For each binary position (bit) of a decade, a detector lever is provided, for example, for the four binary positions of the decade, the safety rod units
21, the detector levers 110 - 113 are provided. The detector levers of the same binary positions, for the coding of the four decades of the counter, are each time aligned on one of the axes 60 - 63, On the axis 60 are all the levers corresponding to value 2, on axis 61 all levers corresponding to value 21, on axis 62 all levers corresponding to value 22 and on axis 63 all levers corresponding to value 23 . All levers
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detectors are pushed back onto the feelers by means of tension springs.
To interrogate the positions of the levers by an electrical system, a permanent magnet is fixed '' on each lever, which operates a contact located in its immediate vicinity and placed in a protective tube. If, for example, the detector levers
110, 112 and 113 are on the protruding parts of the feeler rod, the magnets 120, 122, 123 are spaced from the contacts 130, 132, 133, placed in the protection tubes, so that these contacts are open. If, on the contrary, the end of the angled lever 111 is in a notch, the magnet 121 has tilted and closes the contact
131, enclosed in its protective tube.
The counting of the values measured in the counters and the transmission of the position of the counter by means of the movement of the feeler rods will be briefly described, to allow an understanding of the operation of the whole system. Motor 1 is permanently connected to a power source. When the toothed wheel 7 is held stationary, the pinion 2 of the drive motor turns the torsion spring 5, through the intermediary of the wheel 3 and the wheel 4. To the toothed wheel 7 is applied a counterclockwise torque; this wheel is immobilized by means of a pin 8 placed behind the stop 15.
At the time of the arrival of a measurement pulse, the armature 17 is attracted by the electromagnet 15, so that the pin 8 comes to be placed below the stop 15.
When the toothed wheel 7 has made one revolution, the spindle again abuts against the rear face of the stop 15. When the pulse has a longer duration, that is to say if the armature is not again when the toothed wheel 7 has made one revolution, the spindle 8 is first of all stopped by the stop 16,
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then when the impulse ceases and the armature falls, the pin 8 is brought against the stop 15.
Therefore, regardless of the duration of the pulse, the toothed wheel can only perform one rotation at each pulse, The torsion spring 5, placed between the toothed wheel 4 and the pinion 6, serves to gently brake the motor drive 1, when the spindle 8 comes against one of the stops 15, 16, and when the stop disappears, to accelerate the toothed wheel 7, as a result of the torsion of the spring. The rotation of the toothed wheel 7 is transmitted, via the wheel 9 and the drive pinion 10, to the counter mechanism, which carries the cams 11 - 14.
When a measurement period is completed, the values recorded by the counter are transferred by means of the transmission device, since the values of the radii of the different sectors of the cams, which have made a certain rotation, have been measured and recorded at by means of sliding feeler rods.
At this time, by closing a switch, mounted in parallel on the contact 52, 53, the motor 30 is started, via the pinion 31, the gear change wheel 32 and the wheel toothed 33 which carries the cam 51, the motor 30 maintains the contact 52, 53 closed, until the moment when, after a transfer operation, the cam 51 returns again to its starting position.
The rotational movement of the toothed wheel
32 is transmitted, via the crank 36, to the caliper 20, so that the latter is first pulled to the right, against the cams of the speedometer Shortly before the caliper reaches its position. , end position to the right, the locking lever 42 is pushed back by means of the fixed spindle
40, against the lever 38, so that the latter is raised, overcoming the force due to the spring 44, which momentarily
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frees the feeler rods 21 - 24.
At this moment, the feeler rods are pushed by the tension springs against the cams 11 - 14 and @e move relative to the caliper 20, depending on the rays of the odors of the cams they encounter.
During the next phase of the operation, the caliper 20, with the safety rods, is moved away from the cams. The ratchet lever then slides over the pin 40. The ratchet lever is therefore raised, while the lever 38 remains held by the tension spring 44. The locking pawl thus falls into the notches in the form of a saw teeth of the feeler rods, and is maintained during the movements they perform, relative to the caliper. At the same time as the return movement of the caliper 20 occurs, the counter is brought back to zero, by means of the rack 47.
During the return movement of the caliper 20, the feeler rods 21 - 24, with their notches, slide below the sensor levers. When the caliper with its feeler rods have reached their final left position, the transfer operation is complete, and the recorded counter position is ready to be interrogated by means of an electrical system. Each of the four detector levers, associated with a safety rod, now occupies a position, which corresponds to the translation into binary code of the value .e the decade of the counter which has been analyzed.
The permanent magnets, fixed on the levers, therefore close the desired contacts placed in their protection tube, contacts' are inserted in circuits, which allow the centralized collection of information and their subsequent processing,
When it is after their installation that the @ meters must be equipped with the interrogation device by electrical means, the system of figure 2 is provided.
In this device, all the elements and the @ parts of the safety rods, which in figure 1 are found
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in front of line AB, are united in a set. The frame of this assembly consists of two plates 70, 71, which are connected by bolts - part of the bolt 72 is visible in the figure -. In the plates can slide four sections 61 - 64 of the safety rods, with their notches, As in the device of figure 1, on the safety rods bearing notches, come to slide detector levers, which can pivot on the axes 60 - 63 .
The detector levers are also fitted with permanent magnets, which activate the contacts, placed in the protective tubes.
The electrically interrogating device forms an assembly, which is fixed to the corresponding meter in such a way that the ends of the interrupted sections of the safety rods come into contact, along the reference line CD of FIG. 2. By means of tension springs, for example those indicated at 73, 74, between the plate 71 and the sections of the feeler rods 61 64, rigid connections are thus made between the parts of the rods which have been separated. The block of elements which is connected in this way to the meter, can carry out the interrogations electrically, works in combination with the meter in the same way as the electrical interrogator device described according to figure 1.
By means of the electrical interrogator device according to the invention, using only relatively simple means, the values recorded mechanically in the form of decades in several counters can be transferred electrically in the form of a binary code, in a central data collection device, to enable their processing and recording.