CH194467A - Machine pour la fabrication, à partir de matière en feuilles, de corps creux ouverts à deux extrémités. - Google Patents

Machine pour la fabrication, à partir de matière en feuilles, de corps creux ouverts à deux extrémités.

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CH194467A
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  • Folding Of Thin Sheet-Like Materials, Special Discharging Devices, And Others (AREA)

Description


  Machine pour la fabrication, à partir de matière en feuilles, de corps  creux ouverts à deux extrémités.    La présente invention a pour objet une  machine pour la fabrication, à partir de ma  tière en feuilles, de corps creux ouverts à  deux extrémités, ces corps pouvant, par exem  ple, être tubulaires, c'est-à-dire cylindriques.  



  Les feuilles employées peuvent, par  exemple, présenter une ou plusieurs couches,  et la section transversale des corps creux fa  briqués pourrait être, par exemple, polygo  nale, circulaire ou elliptique. Les corps  creux fabriqués par la machine, objet de la  présente invention, pourraient être utilisés  tels quels ou ils pourraient être munis après  leur formation dans cette machine d'un fond  et d'un couvercle, ou de l'une de ces deux  parties seulement. de manière à pouvoir ser  vir de récipient.  



  Dans la machine selon l'invention, les       corps    creux sont     fabriqués    en appliquant cha  que feuille sur un noyau de façon à faire re  joindre deux de ses bords opposés, ces bords       étant        ensuite    assemblés.

   Cette machine est         caractérisée    en ce qu'elle comprend au moins  un porte-noyau présentant au moins un  noyau venant se loger dans un évidement  ménagé dans au moins un plateau faisant       partie    d'un appareil de formation, ledit pla  teau étant doué d'un mouvement alternatif       vertical    et comprenant en outre des organes  venant     entourer    au moins partiellement le  noyau lorsqu'il est logé dans l'évidement du  plateau, de façon à incurver et à appliquer la  feuilles sur le noyau,

   un dispositif d'assem  blage étant prévu pour appliquer .et figer  une bande serre-joint sur les bords à assem  bler de la feuille et un dispositif d'estam  page étant     prévu    pour aplatir le joint formé  par le dispositif d'assemblage, des moyens  étant prévus pour     actionner    les différentes       parties    de la machine en synchronisme.  



  Le dessin annexé représente, à titre  d'exemple, une     forme    d'exécution de la ma  chine selon l'invention, ainsi que des     détails     de construction de     cette    machine et des va  riantes -de ces détails.

        La fig. 1 est une vue perspective de l'ap  pareil de formation de cette machine;  La fig. 2 est une élévation en bout, par  tiellement en coupe, de l'appareil de la fig. 1;  La fig. 3 est une élévation en bout, par  tiellement en coupe, de la moitié d'une va  riante de cet appareil;  La fig. 4 est un plan de l'appareil de la  fig. 1, certaines parties étant arrachées;  Les fig. 5a à 5e sont des schémas mon  trant les opérations effectuées par cet appa  reil de formation;  La fig. 6 est une vue latérale de la forme  d'exécution de la machine;  La fig. 7 est une vue en bout d'une par  tie de cette machine;  La fig. 8 est une vue perspective du dis  positif à revolver de la machine de la fig. 6:  La fig. 9 est un plan montrant les moyens  d'actionnement de ce dispositif à revolver;  La fig. 10 est une vue frontale à grande  échelle d'un support de noyau;

    Les fig. 11 et 12 sont respectivement une  élévation latérale et une élévation frontale  d'un des noyaux, muni d'un dispositif pour  relâcher le corps formé;  La fig. 13 est une coupe longitudinale  et la fig. 14 un plan. avec certaines parties  arrachées d'une variante de la disposition  des coulisseaux du plateau;  La fig. 15 est une vue frontale du dispo  sitif d'assemblage;  La fig. 16 est une vue en perspective  partiellement en coupe du dispositif d'assem  blage représenté à la fig. 15;  La fig. 17 est une vue latérale de ce  même dispositif tel qu'on le voit de la gau  che de la fig. 15, et  la fig. 18 est un plan par-dessous du  dispositif de la fig. 15.  



  La machine représentée comporte deux  appareils de formation identiques. Chaque  appareil de formation qui est indiqué d'une  manière générale par le chiffre de référence  10 (fig. 1, 2 et 4) présente une base fixe  11 de laquelle fait saillie un bâti en forme  de parallélipipède rectangle constituant- un  pilier creux 12 de guidage présentant quatre    faces verticales. La jambe 18 d'un plateau  14 est montée de manière à pouvoir coulis  ser verticalement dans une cavité d'axe ver  tical formant chemin de guidage du pilier 12  de guidage et axialement par rapport à ce  pilier. Le plateau 14 et la jambe 13 forment  un tout qui sera désigné ci-après comme la  table. Cette table a pratiquement en coupe  verticale la forme d'un<B>T,</B> comme on le voit  à la     fig.    2.

   Le plateau présente un évidement  15 ménagé sur sa     face    opposée à celle     qui     porte la jambe 13.     L'évidement    15 est creusé  dans une chemise 15a du plateau, mais il  pourrait     aussi    être creusé directement dans  la face du plateau.

   La surface effective de  cet évidement a une section transversale qui  correspond û     peu    près à la moitié     d11    contour  du corps tubulaire à former, qui est cylin  drique, cette section étant donc un     demi-          cercle.    Cet évidement s'étend sur toute la lon  gueur du plateau 14, il reçoit un noyau 17  plus long qu'elle et dont le rayon est égal à  celui de l'évidement moins l'épaisseur de la  matière en feuille avec laquelle le corps     doit     être formé.  



  Deux     coulisseaux    complémentaires 18 et  18a sont montés sur le     plateau    de chaque côté  de l'évidement 15 et ces     coulisseaux    sont dis  posés de façon à s'approcher et s'éloigner       mutuellement    l'un de l'autre, dans     une    direc  tion transversale perpendiculaire par rapport  à     .l'axe    de !cet évidement.

   Le coulisseau 18       comporte    un châssis 19 dans lequel un sa  bot rabatteur 20 est     monté    de manière à pou  voir coulisser, ce sabot présentant une face       active    21 qui est dirigée vers l'évidement 15  et qui présente une configuration qui, en sec  tion transversale, est géométriquement sem  blable à     celle    de la partie du noyau avec la  quelle     cette    face coopère. Le coulisseau     18a     est construit d'une façon semblable, ayant  un bâti     19a,    un sabot     20a    et une face active  21a.

   Les organes     symétriques    sont désignés  respectivement par un signe de référence  seul et par ce signe suivi de l'index "a". De  cette manière, l'évidement 15 et les deux sa  bots 20 forment, lorsque ces derniers sont       dans    leur position active, une matrice     dont         la section transversale correspond au contour  externe du corps que l'on désire former,     c'est-          à-dire    au contour du noyau 17 lorsque ce der  nier est recouvert de la feuille.

   La longueur  circonférentielle de la section transversale  des     surfaces    internes de la matrice composée  comme décrit, n'est pas exactement égale au  périmètre externe de la section du corps, car  pour appliquer la bande serre-joint, il est né  cessaire qu'un espace suffisant existe pour       permettre    de placer ladite bande serre-joint  alors que la matière en feuille est encore  fermement maintenue par les coulisseaux 18.  Le     corps    tubulaire fabriqué par la machine  décrite a une forme telle que les bords de la  feuille qui se rejoignent ont leurs faces inter  nes en contact et sont dirigés vers l'extérieur  dans une direction radiale, de manière à pou  voir recevoir la bande serre-joint.

   Pour cette  raison, la longueur périphérique de la section  des surfaces internes de la matrice compo  sée est égale au périmètre externe de la sec  tion du corps moins deux fois l'épaisseur de  la matière en feuille.  



  Aussitôt que la feuille enveloppe le noyau  17 et jusqu'à ce que la bande serre-joint soit  appliquée, les bords de la feuille qui se re  joignent sont pressés ensemble et maintenus  dans une position adéquate pour recevoir  cette bande, par .les bords internes 22 des pa  rois supérieures 23 des     châssis    19, lesdites pa  rois supérieures étant     celles    qui sont éloignées  du plateau 14.  



  Outre la paroi supérieure 23, chaque  châssis 19 comporte une     base    24 faisant face  à la paroi 23 et en contact avec le plateau  14, ainsi qu'une paroi latérale 25 qui relie  la paroi 23 et la. base 24., de telle sorte que  chaque châssis présente une section transver  sale de la forme d'un     l1    couché dont la bran  che qui est la plus éloignée du plateau 14 est  plus longue que l'autre 24 et dont l'ouverture  est dirigée vers l'évidement 15. La base 24  est munie de queues d'aronde 26 coulissant  dans les rainures 27 entaillées dans la surface  du plateau 14.  



  Les sabots 20 sont montés de manière       à,    pouvoir coulisser à l'intérieur des châssis    19. Ils sont normalement maintenus dans une  position dans laquelle la partie supérieure du  sabot fait légèrement saillie du bord 22 du  châssis respectif, par les ressorts 28 placés  entre la face     interne    29 de la paroi latérale  25 et la face latérale 30 du sabot, c'est-à-dire  la face éloignée de la surface active 21. Pour  maintenir     les        ressorts    à leur place, des tiges  31 de guidage sont prévues.

   Les extrémités  de     ces    tiges éloignées des sabots sont libres  de coulisser dans des ouvertures ménagées  dan la paroi latérale 25 du châssis 19, alors  que leurs autres extrémités sont vissées dans  les sabots     (fig.    2).  



  Les     sabots    comportent chacun une     partie     se terminant par la face latérale 30, et d'une  épaisseur telle qu'elle s'ajuste dans l'espace  entre la paroi supérieure 23 et .la base 24 du       châssis.    Pour s'assurer que le     ehâssis    et le  sabot prennent toujours les mêmes positions  relatives lorsque les ressorts 28 sont déten  dus et pour limiter le mouvement relatif du  sabot et du châssis, des saillies 32 sont pré  vues formées sur la face supérieure 33 du  sabot, c'est-à-dire la face qui fait contact  avec la face     interne    de la paroi supérieure  23 -du châssis,     cette    face interne présentant  des rainures 34 entaillées en elle,

   dans les  quelles lesdites saillies se     déplacent.    Pour li  miter le rapprochement de ces parties l'une  de l'autre, on fait usage de l'épaulement 35  formé entre la partie du sabot adjacente de  la surface active 21 et la partie qui comprend  la face latérale 30, la partie mentionnée en  premier lieu étant d'épaisseur suffisante pour  faire contact avec le plateau 14 et étant mu  nie de queues d'aronde qui     coulissent    dans  les mêmes rainures 27 que mentionné ci  dessus.

   La distance entre la face latérale 30  et l'épaulement 35 est telle que le sabot, lors  qu'il se trouve dans sa position normale       (c'est-à-dire    les ressorts 28 sont détendus) a  sa partie qui se termine par la face 30 s'éten  dant légèrement à     l'intérieur    de l'espace com  pris entre la paroi supérieure 23 et la base  24 du     châssis,    la     distance    entre le bord libre  de la face 24 et     l'épaulement    35 étant de  préférence égale à la distance entre le bord      22 et le bord supérieur de la surface  active 21.  



  Les coulisseaux 18 sont munis de guides  36 montés sur les faces externes des parois  supérieures 23. Ces guides sont destinés à con  duire les feuilles 37 à leur position correcte  par rapport à l'évidement 15.  



  L'appareil de formation 10 est complété  par les moyens d'actionnement de la table et  des coulisseaux 18, qui sont associés avec  des moyens d'actionnement pour les autres       parties    de la machine, de façon à assurer un  fonctionnement synchronisé, comme il sera  expliqué plus loin.  



  Ces moyens d'actionnement pour la table  et les coulisseaux comprennent un arbre en  traîné 38 qui passe à travers le pilier creux  12 et la jambe 13 dans une direction paral  lèle au plateau 14 et perpendiculairement à  l'évidement 15. Les parois latérales 39 du pi  lier creux 12 sont perforées de manière à re  cevoir ledit arbre 38 et à former deux paliers  40 (fig. 2).  



  La jambe 13, comme on le voit le mieux  à la fig. 2, est creuse pour être légère et pré  sente une     rainure    allongée 42 ménagée dans  chacune de ces parois latérales 41, cette rai  nure 42 laisse passage à l'arbre 38 tout en       permettant    le mouvement ascendant et des  cendant de la table. L'arbre 38 porte une  came 43 près de chaque     face    latérale du pi  lier creux 12 et à l'extérieur de celui-ci; cha  que came présente une surface de came 44  excentrique par rapport à l'arbre 38, et le  bord 45 de cette came éloigné du pilier 12  constitue également un chemin de came.  



  Le plateau 14 qui s'étend latéralement  au delà du pilier 12, porte deux rouleaux 46  de came partiellement logés dans la face de  la plaque opposée à celle présentant l'évide  ment 15, et montés sur des chevilles 47. Ces  rouleaux     restent        constamment    en     contact     avec les     surfaces    de came 44 des cames 43  en reposant sur ces surfaces 44.

   Pour cette  raison, lorsque l'arbre 38 tourne, les cames  43 qui tournent avec l'arbre, soulèvent en  premier lieu la table à une vitesse qui dé-    pend naturellement de la forme des surfaces  44, et ensuite permettent à la table de tom  ber par son poids une fois que les rouleaux  ont dépassé les parties de ces     surfaces    44  qui sont les plus éloignées de l'arbre 38. Dans  une variante, un deuxième rouleau 46b       (fig.    3) peut être monté de chaque côté sur  une prolongation 50' d'une     cheville    50 qui  s'étend parallèlement à l'arbre 38 et du     côté     diamétralement opposé au rouleau 46, de telle  sorte que ce deuxième rouleau 46b repose  contre la surface 44 en un point inférieur.

      La cheville 50 est fixée à l'extrémité infé  rieure de la jambe 13 et monte et descend  avec celle-ci. Ses prolongements 50' traver  sent chacun une rainure allongée 42' ména  gée dans la paroi latérale correspondante du  pilier 12. On comprendra que, grâce à cette  construction, la table sera effectivement  abaissée pendant son mouvement descendant.  Pour diminuer le frottement, un contrepoids  48 est prévu porté par l'extrémité libre d'un  levier 49 de contrepoids qui passe à travers  l'une     des    parois du pilier 12 qui sont paral  lèles à l'arbre 38, ainsi qu'également à tra  vers la paroi correspondante de la jambe 13.

    Pour plus de clarté, la paroi du pilier et de  la jambe à travers lesquelles passe ainsi le  levier du contrepoids, seront .désignées     ci-          après    comme les     parois    postérieures, et l'ex  trémité de l'appareil qui comprend l'une ou  l'autre de ces parois, sera appelée l'extrémité       postérieure.    L'extrémité opposée sera appelée  l'extrémité antérieure et les parois latérales  ainsi que les extrémités latérales seront in  diquées ci-après comme droites et gauches,  lorsque l'on regarde directement vers l'ex  trémité frontale. Ainsi, dans la     fig.    1, la pa  roi latérale visible 39 est la paroi latérale  droite et l'extrémité visible est l'extrémité  antérieure.

      L'extrémité antérieure du levier 49 du  contrepoids est articulée à .la jambe 13 au  moyen d'une cheville 50 qui passe à travers  l'extrémité de la     jambre    13, éloignée du pla  teau en un point au-dessous des rainures 42.  La cheville 50 traverse une ouverture allon-      gée du levier 49 dans laquelle elle coulisse  en effectuant son mouvement rectiligne. Le  point d'appui du levier 49 est constitué par  une tige 51 parallèle à la base 11 et solidaire  de ce levier.

   La tige 51 est supportée de ma  nière à pouvoir pivoter dans deux paliers 52  (fig. 4) qui s'étendent vers l'extérieur à par  tir du pilier 12 sur chaque côté de l'ouverture  allongée 53 formée dans la paroi postérieure  54 du pilier et coïncidant pratiquement avec  l'ouverture 55 également allongée, ménagée  dans la paroi postérieure 56 de la jambe 13.  Ces ouvertures 53 et 54 donnent au levier 49  le jeu nécessaire pendant les mouvements as  cendants et descendants de la table.  



  Les coulisseaux 18 sont égalements mus  par les cames 43 par l'intermédiaire d'une  paire de secteurs 57, 58 pour chaque     coulis-          seau    18. Ces secteurs présentent des dents à  leurs bords incurvés et sont articulés à leurs  extrémité éloignées de ces bords, sur des tas  seaux 59 faisant saillie latéralement vers l'ex  térieur des parois latérales 25 des châssis 19.  Cette articulation présente un jeu suffisant  pour permettre les     déplacements    de ces or  ganes. Les bords dentés des     secteurs    restent  continuellement en prise. Les secteurs anté  rieurs 57 portent chacun un arbre 60 se pro  longeant verticalement vers le bas et qui  leur est solidaire en un point intermédiaire.

    Cet arbre est monté dans un palier 61 saillant  de la face latérale du plateau 14 et s'étend  approximativement jusqu'au niveau du     point     du chemin de came 45 le plus près des rou  leaux 46. L'extrémité libre de l'arbre 60  porte fixé à elle un bras radial 62 qui se ter  mine par une fourche 63 dans laquelle un pe  tit rouleau 64 est monté de manière à pouvoir       tourner    et pour être constamment en contact  avec le chemin de came 45. Pour que le rou  leau 64 puisse être maintenu en contact avec  le chemin de came 45, il est prévu un ressort  spiral ou à boudin     (non-représenté)    qui peut  être fixé entre l'arbre 60 et un point fixe  tel que, par exemple, ,le palier 61 et qui peut  être logé à l'intérieur de     ce    dernier.

   L'autre  secteur 58 de chaque paire porte fixé sur lui,  en un point     intermédiaire,    une cheville de         support    65 montée de manière à pouvoir tour  ner dans un palier 66 saillant de la face laté  rale du plateau 14. Pour maintenir la feuille  37 contre le noyau 17, alors que la table est  soulevée, une plaque de support 67 est prévue  d'une longueur plus petite que celle du pla  teau 14, ladite plaque s'étendant perpendi  culairement à la     surface    supérieure plane du  plateau 14,à travers une rainure longitudi  nale 68 entaillée dans la partie inférieure de  l'évidement 15.

   L'extrémité libre de la pla  que 67, parallèle au plateau 14, présente la  même configuration que la partie de la sur  face active de l'évidement 15 qui a été rem  placée par la rainure 68. Le bord opposé de  la plaque repose librement sur une came 69  formée ou montée sur l'arbre 38 au-dessous  de la rainure 68. La largeur de la plaque 67,  mesurée dans le sens de la hauteur du pi  lier 12,     est    telle que, lorsque le noyau 17 est  dans sa position active, le bord libre de la  plaque 67 sera normalement à une distance  de la surface du noyau, égale à l'épaisseur  de la feuille.

   La came 69 est pratiquement  circulaire, mais elle     présente        une    légère dé  pression pour permettre à la plaque -67 de  support d'être abaissée sur une petite distance  alors qu'une nouvelle feuille est amenée dans  l'appareil. Lorsque la nouvelle feuille a été       correctement    placée et que le noyau 17 se  trouve dans sa     position    active, la plaque 67  s'élève à sa position normale, de manière à       maintenir    de nouveau la feuille fermement       contre    le noyau et à l'empêcher ainsi de se  déplacer, alors que le plateau 14 se soulève.  



  Pour la     clarté    du mémoire, le fonctionne  ment de l'appareil de formation dont les dé  tails viennent d'être donnés, sera expliqué       maintenant    avant de décrire la machine com  plète. La matière en feuille peut être fournie  à la main ou à l'aide de n'importe quel dis  positif d'alimentation automatique.  



  L'arbre 38 est accouplé par l'intermé  diaire d'engrenages à un moteur électrique  91     (fig.    6). La     commande    pourrait aussi se  faire par     l'intermédiaire    d'un embrayage,  de poulies d'entraînement et folles, ou d'un  dispositif de     commande    électrique ou autre      dispositif analogue. Aux fig. 1, 2 et 5a, l'ap  pareil de formation est représenté avec ses  parties dans les positions correspondant au  point initial du cycle des opérations de for  mation.  



  Dans ces conditions, la plaque de support  67 est dans sa position normale et les cames  43 sont en contact avec les rouleaux 46 à  la partie de la surface 44 qui est la plus près  de l'arbre 38. Le chemin de came 45 est dis  posé de telle sorte par rapport à la surface  de came 44, qu'au point initial du cycle des  opérations de formation, le rouleau 64 est  en contact avec une partie d'un tronçon sans  effet du chemin de roulement 45, ce tronçon  étant dans un plan     perpendiculaire    à l'arbre  38 et à une distance minimum de la paroi  latérale correspondante du pilier 12.  



  Immédiatement après que l'arbre 38 a  commencé de tourner, la dépression de la  came 69 se déplace au-dessous de la plaque  de support 67 qui tombe par son poids pour  permettre la mise en place de la feuille 37.  Lorsque ceci a été effectué, la plaque 67 re  tourne à sa position normale, comme déjà ex  pliqué.  



  Les parties, comprenant maintenant la  feuille 37, sont à ce moment dans la position  représentée à la fig. 5a. Comme l'arbre 38  continue à tourner, il entraine avec lui les  cames 43 qui soulèvent régulièrement le pla  teau 14 vers le noyau 17, La feuille 37 qui  repose alors sur le bord intérieur des parois  supérieures des     châssis    19 entre les guides  36 commence à être repliée par suite du mou  vement montant de la table,     cette    opération  est représentée à la     fig.    5b.

   Entre temps, les  rouleaux 64 sont restés en     contact    avec la  partie sans effet du chemin de     came    45, de  telle sorte que les coulisseaux 18 restent en  core dans leurs positions     initiales    par rap  port au plateau 14.A     un    moment approprié,  par exemple un peu avant la position repré  sentée à la     fig.    5b, les parties actives -des  chemins de came 45 arrivant en contact avec  les rouleaux 64.  



  Cette     partie        active    se trouve généralement  dans un plan incliné par     rapport    à l'arbre 38,    de telle sorte qu'à partir de son origine à       n'importe    quelle extrémité de la partie sans  effet, la partie active du chemin s'éloigne       progressivement    de la paroi latérale corres  pondante du pilier 12. Ainsi, la partie active       pousse    les bras 62 vers     l'extérieur    à. partir  du pilier 12 d'abord graduellement et ensuite  plus rapidement, pendant un court     intervalle     de temps.

   Le mouvement vers l'extérieur des  bras 62 oblige les arbres 65 à tourner dans  leurs paliers 61, en direction opposée, et de  manière à éloigner les bords dentés des sec  teurs 57 fixés aux arbres 60 du plateau 14.  Comme ces bords sont en prise avec les bords  dentés des secteurs 58, les bords dentés de  ces derniers sont également obligés de se dé  placer ver l'extérieur, les secteurs 58 tour  nant sur leurs     chevilles    65, dans un sens op  posé à     celui    des secteurs correspondants 57.

    Comme les extrémités des secteurs éloignées de  leurs bords dentés sont accouplées aux châssis  19 des     coulisseaux    18, ces derniers sont pous  sés vers le centre du     plateau    14. c'est-à-dire  vers l'évidement 15 et, par conséquent, vers  la position active qui sera prise par le noyau  17.     Cette        position    est représentée à la     fig.    5c,  dans laquelle les coulisseaux 18 sont repré  sentés peu après le début de leur rapproche  ment l'un de l'autre.  



  Comme l'arbre 38     continue    à tourner, la  table continue à s'élever jusqu'à ce que toute  la. surface active de l'évidement 15 fasse con  tact avec la feuille 37 qui est ainsi pressée  contre le noyau 17 par-dessous par cette sur  face et sur les côtés par les sabots 20 des       coulisseaux    qui, lorsque la table arrive à la  fin de sa course ascendante, ont     atteint    la  limite de leur mouvement vers     l'intérieur,          comme    représenté à la     fig.    5d.  



  La     partie    de la surface de came 44 qui,  lorsque les différents organes sont dans la  position représentée à la     fig.    5d, est en con  tact avec le rouleau 46, est concentrique à  l'arbre 38, de telle sorte que la table est       maintenue    dans sa position pendant un court  intervalle de temps. D'autre part, la partie       correspondante    du chemin de came 45 pré  sente une inclinaison plus prononcée de ma-           niêre    à provoquer une rotation plus rapide  des arbres 60.

   Les sabots 20 étant fortement  maintenus contre le noyau, la feuille 37 étant  interposée entre ces parties et presque com  plètement repliée autour dudit noyau, ne  peuvent plus se déplacer vers l'intérieur par  rapport au plateau 14, de telle sorte que sous  l'effet de l'augmentation de l'effort des sec  teurs du fait de ladite modification du che  min de came 45, les châssis 19 sont obligés de  se déplacer sur les sabots 20 contre l'action  des ressorts 28 et emboîtent ainsi les     bords     longitudinaux de la feuille 37 entre leurs  bords 22, comme représenté à la fig. 5e.  Cette position représente la fin du cycle de  formation en ce qui concerne l'appareil de  formation.

   Les sections de la surface de came  44 et du chemin de came 45 qui, à ce mo  ment, sont en contact avec le rouleau 46 et le  petit rouleau 64, sont constituées de manière  à maintenir la table et les sabots avec leurs  châssis, pendant un petit moment, dans leurs  positions d'extrémité respectives, pendant  qu'un dispositif d'assemblage, indiqué en 70  à la fig. 5e, est amené dans sa position active  pour la mise en     place    et la fixation de la  bande serre-joint.  



  Au moment où le dispositif d'assemblage  70 est sut le point d'arriver au niveau de la  surface externe de la paroi supérieure des  châssis 19, le cycle de retour des organes de  formation de l'appareil 10 commence, les  châssis 19 s'éloignent en premier lieu du  noyau pour permettre au dispositif d'assem  blage de s'abaisser sur une courte distance  pour appliquer et fixer la bande serre-joint  (indiquée par le chiffre de référence 71 à la       fig.    5e) aux bords jointifs 72 de la feuille  37. Une fois que la bande 71 est en place, le  dispositif d'assemblage 70 alors fonctionne  pour fixer cette bande et ensuite pour la li  bérer et se retirer du noyau 17. La manière  dont ces mouvements sont effectués sera ex  pliquée ci-après lors de la description du dis  positif d'assemblage.

   Entre temps, les sabots  se sont retirés rapidement du noyau et la ta  ble a été également abaissée à sa position  initiale.    Une fois que le dispositif d'assemblage 70  s'est retiré du noyau, ce dernier est déplacé  de sa position active et remplacé par un au  tre noyau.  



  La feuille servant à la formation du corps  peut être simple ou composée de plusieurs  couches solidaires les unes des autres, de  telle sorte que l'on peut obtenir un corps  tubulaire présentant une ou plusieurs cou  ches. Si la     formation    du corps est exécutée  comme on vient de .le .décrire et que le corps  présente plusieurs couches, celles-ci peuvent  être figées ensemble, de manière à ne pas  pouvoir se déplacer les unes par rapport aux  autres. En dépit de ceci, il est possible de       former    avec une variante de la machine dé  crite des corps tubulaires ayant plus .d'une  couche, dans lesquels les différentes couches       forment    des tubes individuels télescopant les  uns dans les autres. Cette construction sera  désignée par corps à couches indépendantes.

    Alternativement, les différentes épaisseurs  peuvent être figées les unes aux autres seule  ment le long du joint longitudinal et au  moyen de la même bande serre-joint.     Ce    type  sera appelé un corps à couches     semi-indépen-          dantes,    tandis que le     type    obtenu à partir  d'une feuille     composite    sera appelé corps à  couches     figes.       Les corps à couches     semi-indépendantes     pourraient être fabriqués, par exemple, dans  une forme d'exécution de la machine com  portant au moins deux appareils de forma  tion, de manière qu'avec un appareil la cou  che interne (soit simple, soit composée)

    puisse être formée sur un noyau et que le  même noyau, recouvert de la couche ainsi  formée, puisse être transporté à, l'autre appa  reil, de manière à recevoir la couche externe.    La machine     décrite,    qui est représentée en  élévation latérale à la     fig.    6, est destinée à  la fabrication de corps tubulaires en deux  couches     semi-indépendantes,    mais comme on  le verra, elle peut être facilement adaptée  pour la fabrication de deux ou même de  trois corps à couche unique (simple ou compo  site) fabriqués en même temps.

        Cette machine (fig. 6, 7 et 8) comporte  deux appareils de formation 10 et 10' dispo  sés perpendiculairement l'un à l'autre autour  d'un dispositif à revolver 73 comportant un  porte-noyau 78, monté de manière à pouvoir  tourner sur un pilier cylindrique creux 74  dans la paroi cylindrique duquel une ouver  ture allongée 75 est formée en face de cha  que appareil 10 et 10' et s'étendant en direc  tion axiale par rapport au pilier. Ces ouver  tures offrent un passage pour les leviers de  contrepoids 49, les contrepoids 48 étant logés  à l'intérieur du pilier. L'extrémité supérieure  de ce     dernier    présente une bride 76 au     centre     de laquelle un moyeu cylindre 7 7 fait saillie.  Ce moyeu agit comme un tourillon sur lequel  le parte-noyau 78 du dispositif à revolver  peut tourner.

   Huit bossages radiaux 79 font  saillie de ce porte-noyau et ils sont perforés  axialement comme indiqué en 80 pour rece  voir les extrémités des noyaux 17, éloignées  des appareils 10 et 10'. La longueur axiale  du moyeu 77 est légèrement plus grande que  l'épaisseur du porte-noyau 78, de telle sorte que  le noyau se prolonge au delà de ce dernier,  de manière à servir de support intermédiaire  pour le     bras    allongé 81 du bâti de la ma  chine, dont l'extrémité 81' éloignée de l'ap  pareil 10' repose sur un support 82. Ce bras  81 porte le dispositif d'assemblage 70 et un  dispositif d'estampage 83. L'extrémité 81' du  bras allongé 81 et le support 82 forment en  semble une paroi de support pour les engre  nages par lesquels la force est transmise aux  différents organes mobiles de la machine.

   Le  jeu d'engrenages monté sur cette paroi sur le  côté de celle-ci opposé au bras allongé 81,  comprend un pignon     principal    84, un engre  nage d'actionnement 85 pour le dispositif 83,  relié au pignon par l'intermédiaire d'un en  grenage fou 86 et un engrenage 87 de réduc  tion et d'entraînement pour l'arbre auxiliaire  88. Le pignon 84, l'engrenage de réduction 86  et     l'engrenage    d'entraînement 85 ont leurs  arbres alignés sur la ligne centrale de l'ex  trémité 81' du bras allongé 81, mais l'engre  nage de réduction et d'entraînement 87 a son  arbre déplacé latéralement par rapport à cette    ligne et vers l'appareil 10 par rapport à la  machine en général. Pour permettre cela, le  support 82 est élargi, comme représenté à la  fig. 7.  



  L'extrémité de l'arbre d'entraînement prin  cipal 89 qui porte le pignon 84 est supportée  par un palier 90 faisant partie du support  82. L'autre extrémité de cet arbre d'entraîne  ment principal forme une partie de l'arbre du  moteur électrique 91, ou bien elle peut être  directement ou indirectement accouplée à un  tel moteur.  



  L'engrenage fou 86 est calé sur un arbre  92 qui     tourne    dans un palier 93 prévu près du  bord inférieur de l'extrémité 81' du bras al  longé 81. L'arbre supérieur 94 pour l'engre  nage d'actionnement 85 s'étend jusqu'à l'ex  trémité opposée du     bras    allongé et passe à  travers un palier 95 près de l'engrenage 85,  un palier intermédiaire 96 monté sur le bras  allongé 81 ou faisant partie de ce bras et un  palier d'extrémité 97 monté sur ledit bras  81 près de     l'extrémité    éloignée de l'extrémité  81'.

   L'extrémité de l'arbre 94 qui fait saillie  du palier 97 est reliée au dispositif d'estam  page 83 au moyen d'un     excentrique    98 qui a  pour but de soulever et d'abaisser le repous  soir 99 du dispositif 83 en vue d'aplatir le  joint.  



  L'arbre     auxiliaire    88 de l'engrenage 87  de     réduction    et d'entraînement passe à tra  vers un palier allongé 100 prévu dans la par  tie élargie du support 82, et son extrémité  éloignée de la roue 87 est supportée de ma  nière à pouvoir tourner dans un palier 101       prévu    dans la partie prolongée 102 d'une  plaque 103 qui fait saillie -de la bride 76 du  pilier 74 et qui est dirigée vers le support 82.  Entre ce dernier et le palier 101 et près de  ce palier, l'arbre auxiliaire 88 porte un en  grenage de     transmission    104 qui est sembla  ble à l'engrenage 87 de réduction et d'entraî  nement et qui engrène avec un engrenage en  traîné 105 monté sur l'arbre 38 qui entraîne  l'appareil 10.

   Pour bien supporter l'extré  mité de l'arbre 38 qui porte l'engrenage 105,  deux paliers 106 et 106' à socle sont prévus,       un,    de chaque côté dudit engrenage 105. L'ex-      trémité opposée de l'arbre 38 qui se prolonge  au delà de l'appareil 10 du côté éloigné du  support 82, porte un engrenage conique 107  engrenant avec un engrenage semblable 107'  fixé sur l'extrémité d'un arbre 38' de l'ap  pareil 10'.  



  Pour que les noyaux 17 du porte-noyau  78 puissent être présentés     successivement    aux  appareils de formation 10 et 10', des moyens  d'actionnement intermittents sont prévus  dont les mouvements sont coordonnés avec  ceux de ces appareils. Les moyens d'entraîne  ment     intermittents    pourraient comprendre  une croix de Malte, par exemple.

   Pans la  machine décrite, ces moyens consistent (fig. 8  et 9) en une barre 109 coulissant dans une  rainure de la plaque 103 et recevant un mou  vement alternatif à partir de l'arbre 38 et  munie d'un cliquet 108 pivoté sur elle en  122, dont l'extrémité libre s'engage successi  vement avec des dents 117 prévues sur la  face du porte-noyau 78 contiguë à la bride  76, de telle sorte que pour chaque course com  plète de la barre 109, le porte-noyau 78 se  déplacera d'un angle déterminé à l'avance   dans le sens des aiguilles d'une montre sur  les fig. 8 et 9. Pour bloquer le porte-noyau  en place pendant que le corps est formé sur  l'un ou l'autre des noyaux, des moyens de  blocage sont prévus qui coopèrent avec la  face desdites dents opposée à la face avec la  quelle le cliquet est en contact.

   Ces moyens  de blocage sont constitués par un organe de  blocage 119 monté sur un pivot 120 fixé en  un point de la face de la plaque 103 qui porte  la barre 109. Cet organe présente un bras  121 dirigé vers l'extrémité de la barre coulis  sante 109 la plus éloignée de l'arbre 38, lors  que ladite barre est au début de sa course  active (position représentée à la fig. 9). Ledit  bras 121 présente sur son côté, face à la barre  109, un bord de came 123 qui est en contact  avec une cheville 118 prévue en un point de  ladite barre 109.  



  Le bord de came 123 se termine à son ex  trémité la plus éloignée du cliquet par un  enfoncement arqué 124 qui est ménagé dans  un épaulement droit 125. Une languette 126    fait saillie d'un point de l'organe 119 pres  que diamétralement opposé au bras 121 ;  cette     languette    est pratiquement rectangu  laire vue en plan et forme avec l'épaulement  125 et la cheville 118 les moyens de blocage  effectifs, comme on le verra de la     description     du fonctionnement.

   La barre coulissante 109  qui se trouve disposée transversalement à  l'arbre 38, reçoit un mouvement alternatif  dans la rainure 110 (fig. 8) entaillée dans la  surface de la plaque 103 parallèle au plan du  porte-noyau 78, au moyen d'une tige réglable  111 dont une extrémité est fixée à l'extrémité  de la barre 109 la plus proche de l'arbre 38,  tandis que l'autre extrémité est articulée à  l'extrémité supérieure d'un levier oscillant  112 dont l'autre extrémité est montée     rotati-          vement    sur une     tige    113     supportée    entre les  socles des paliers 106 et 106'.

   Le levier 112  porte en un point intermédiaire un petit rou  leau 114 monté de manière à pouvoir tour  ner,     qui    est pressé par un ressort 115 contre  le bord     d'une    came     d'actionnement    116 for  mée sur la     face    de l'engrenage d'entraîne  ment 105 la plus proche de l'appareil 10, ou  appliquée sur     cette    face, de telle sorte que  lorsque l'arbre 38 tourne, le levier oscillant  112 est alternativement approché et éloigné  de la plaque 103 en donnant un mouvement  de va-et-vient à la barre coulissante 109 dans  sa rainure 110.

   En commençant au point  dans lequel les organes sont prêts à commencer  leur course active (position représentée à la       fig.    9), l'extrémité libre du cliquet 108 est  en contact avec la face 117b d'une certaine       dent    117, le     cliquet    étant dévié vers le     porte-          noyau    78 au moyen d'un ressort 127 porté  par la barre 109 qui présente également un       arrêt    128 pour limiter le mouvement vers  l'extérieur du cliquet, de telle sorte que ce       dernier,    lorsque la barre 109 est mue vers  l'arbre 38 (en descendant à la     fig.    9),

   com  munique une poussée positive au     porte-noyau     78 qui est ainsi tourné d'un certain angle  (dans le cas     représenté    d'un angle de 45  ),  de manière à amener le nouveau noyau en  regard de l'appareil 10 et à     porter    le noyau  sur lequel un corps tubulaire     vient    d'être           formé,    en une position intermédiaire entre les  deux appareils 10 et 10'.  



  Lorsque la barre s'approche de l'arbre 38,  la cheville 118 se déplace vers et dans l'en  foncement arqué 124. En ce point de son par  cours, ladite cheville est dans une position  telle, par rapport au pivot 120 de l'organe de  blocage 119 que lors du mouvement ultérieur  de la cheville 118 vers l'arbre 38, elle oblige  cet organe de blocage de tourner (dans le sens  des aiguilles d'une montre aux fig. 8 et 9)  et la languette 126 de s'introduire dans     l'es-          pave    entre deux dents 117 au moment où la  dent considérée est arrivée à une position telle  que sa face 117e peut venir en contact avec  le bord 129 de la languette 126.

   Lorsque l'or  gane de blocage 119 tourne sur son pivot 120,  l'enfoncement 124 est déplacé hors du pas  sage de la cheville 118 qui, en arrivant à la  fin de sa course active, est en contact avec  l'épaulement rectiligne 125 et ainsi, pendant  que la barre 109 est dans sa position la plus  près de l'arbre 38, empêche l'organe de blo  cage 119 de tourner en sens inverse pour re  venir vers la position représentée à la fig. 9.  



  La came d'actionnement 116 a une forme  telle qu'elle maintient la barre 109 dans sa  position la plus rapprochée de l'arbre 38  pendant le cycle des opérations de formation  des appareils 10 ou 10' et jusqu'à ce que les  tables respectives soient     retombées    sur une  distance suffisante pour que les noyaux  puissent passer librement au-dessus d'elles.  A ce moment, la came 116 oblige les parties  commandées par elle, à revenir à leur posi  tion originale représentée aux fig. 8 et 9.

         Pendant    le mouvement de retour, le     cliquet     108 frappe contre la dent 117 directement  derrière la dent qu'il vient de quitter mais,  par suite de la flexibilité du ressort 127, le  cliquet pivotera autour de l'articulation 122  (fig. 9) et, après avoir passé la dent en ques  tion,     retournera        automatiquement    à la posi  tion normale sous la poussée dudit ressort.

    En même temps, la cheville 118 coulisse le  long de l'épaulement 125 et s'écarte de l'ar  bre 38,     jusqu'à    ce qu'elle frappe le bord de  came 123 du bras 121 qui s'efface sous la    poussée de     cette    cheville et oblige ainsi l'or  gane de blocage 119 à tourner sur son pivot  en sens inverse des aiguilles d'une montre,  pour revenir à sa position originale et pour  retirer la languette 126 d'entre les dents 117,  en laissant ainsi le porte-noyau 78 libre de  tourner lorsque la course de retour (active)  a commencé, ce qui se produit immédiate  ment pour que les noyaux puissent être ame  nés dans leurs nouvelles positions approxima  tivement au moment où les tables     atteignent     les points les plus bas de leurs courses.  



  Lorsque le dispositif d'estampage agit sur  le joint pour l'aplatir, le noyau est soumis à  un effort brusque combiné de flexion et de  cisaillement qui peut provoquer une rupture.  Pour éviter ce danger, il a été prévu un sup  port pour l'extrémité libre du noyau, support  qui doit pouvoir s'écarter du passage des  noyaux lorsque ces derniers sont en mouve  ment.  



  Ce support est représenté aux fig. 6 et 10,  les organes d'actionnement de ce support  étant représentés aux fig. 1, 2, 4 et 6, alors  que dans les     fig.    11 et 12, on a indiqué la  forme spéciale de l'extrémité libre des noyaux  pour que cette extrémité puisse coopérer  avec ledit support. Le support pour le noyau       consiste    en une tige-support 130 supportée li  brement, -de manière à pouvoir tourner, et per  pendiculairement à la base 11 de l'appareil de       formation    10, au moyen d'un bossage per  foré     axia'lement    131     formé    ou fixé sur     ladite     base 11.

   La partie supérieure du bossage 131  comporte une partie 132, de diamètre moin  dre, de manière à recevoir la moitié annulaire  inférieure 133 d'un accouplement à     dents     dont l'autre moitié 134 est calée sur la     tige-          support    130. Les dents 133' de cet accouple  ment     sont    formées de telle sorte que si la     tige-          support    130 est empêchée de tourner, elle  sera alternativement soulevée et abaissée  lorsque la moitié annulaire 133 tourne sur la  partie 132.

   Un bras 135 est solidaire     latérâ-          lement    de     cette    moitié annulaire 133 et l'ex  trémité libre de ce bras est articulée avec jeu  à l'extrémité d'une tige     d'actionnement    136       (fig.    1, 2, 4 et 6) qui coulisse dans un     guide         de support 137 vissé à la face latérale droite  du pilier 12 et dont l'autre extrémité est  articulée avec jeu à l'un des bras d'un levier  coudé 138 tournant sur un pivot 139 qui fait  saillie latéralement de ladite face du pilier  12.

   L'autre bras du levier 138 est articulée  avec jeu à l'extrémité libre d'un bras     d'ac-          tionnement    140 calé sur l'extrémité libre de  la tige 51 qui sert de point d'appui pour la  barre 49 du contrepoids, et à laquelle elle est  fixée.  



  La tige-support 130 (fig. 10) porte à son  extrémité libre éloignée du bossage 131, une  tête 141 parallélipipédique qui présente sur  sa face supérieure une ouverture rectangu  laire 142 destinée à recevoir une partie de  forme appropriée de l'extrémité libre des  noyaux. Lorsque la tige-support est placée  sur le bossage 131, la tête 141 se trouvera en  tre deux tasseaux 143 qui font saillie à une  hauteur appropriée de la face frontale du  plateau 14 (fig. 4) et empêchent la rotation  de la tige-support et l'obligent à s'élever et à  descendre avec les     oscillations    de la moitié  annulaire de l'accomplement à denture.

   Ces  oscillations sont provoquées par le mouvement  d'oscillation de la tige 51 qui, à son tour, est  provoqué par les mouvements d'oscillation  de la barre du contrepoids,     comme    on le verra  facilement. Ces organes de commande de la  tige-support 130 sont proportionnés de telle  sorte que les mouvements angulaires du bras  135 sont d'amplitude suffisante pour que les  dents de la moitié annulaire 133 soient reti  rées des espaces dans lesquels elles reposent  normalement et soient     amenées    au-dessous des  dents de l'autre moitié, en soulevant ainsi la  tige-support, pour que le fond de l'ouverture  rectangulaire 142 puisse venir en contact  avec la partie inférieure de l'extrémité libre  du noyau     correspondant.     



  Comme on l'a déjà indiqué, les extrémités  libres     des    noyaux ont une     configuration    spé  ciale qui leur permet de pénétrer dans l'ou  verture 142. Cette configuration est repré  sentée aux fis. 11 et 12 sur lesquelles on voit  que la moitié     inférieure    des noyaux est for  mée de manière à présenter une partie 144    pratiquement rectangulaire d'une largeur  égale à celle de l'ouverture 142 et se trouvant  à une hauteur telle que     lorsque    la     tige-          support    130 est soulevée le plus haut possi  ble, la face inférieure plane 145 de la partie  144 sera au même niveau que le fond de l'ou  verture 142.

   La partie spécialement formée est  également utilisée pour assurer le centrage  parfait du noyau par rapport à l'évidement  15,     une    partie 14b     permettant    le centrage       (fig.    1)     convenablement    entaillée en 14e pour  s'ajuster étroitement avec l'extrémité façon  née des noyaux, étant prévue sur la face fron  tale du plateau 14. La     tige-support    de l'ap  pareil de     formation    10 n'est pas     représentée     à la     fig.    6.  



  Les mouvements de la tige-support 130 et       des    organes qui l'actionnent sont coordonnés  avec     ceux    de la,     machine,    de telle sorte que  la     tige-support        parvienne    à sa position la plus  élevée une fois qu'un noyau recouvert d'un       corps    tubulaire venant d'être formé et muni  de sa bande serre-joint mais pas encore ter  miné, a été placé au-dessus de la table de       l'appareil    de formation à laquelle il subit  l'action du dispositif d'estampage aplatissant  son     joint    et avant que ce dispositif ne soit  actionné,

   ce qui fait que le noyau sera sup  porté à son extrémité libre au moment où  le dispositif d'estampage est actionné.  



  Du fait que la feuille est appliquée étroi  tement autour du noyau et se trouve sous  tension pendant     toute    l'opération de forma  tion -du corps, ce dernier, une fois terminé,  sera -ajusté relativement étroitement sur le  noyau, de telle sorte qu'il     est    difficile, spécia  lement dans les cas de corps à couches     semi-          indépendantes,    dont la couche interne est  très     mince    ou est en feuille     métallique,    de  retirer le corps du noyau sans le     détériorer:

        Pour     .cette    raison, il est préférable de prévoir  des     moyens    de relâchement     grâce    auxquels  un     certain,    jeu, si     petit        soit-il,    peut être       obtenu    entre la     couche    interne du     corps    ter  miné et la     surface    du noyau.

   Comme on le  voit aux fis. 11 et 12, lesdits     moyens    de re  lâchement     consistent,    dans les noyaux de la  machine représentée, en un     coin    allongé 146      monté de manière à pouvoir coulisser dans  une rainure inclinée 147 qui s'étend le long  du noyau. La profondeur de la rainure 147  diminue en allant vers l'extrémité libre du  noyau et le coin 146 présente des brides laté  rales 148 qui se déplacent dans des rainures  de guidage appropriées     ménagées    dans les pa  rois latérales de la rainure 147; ces brides  supportent ainsi le coin en même temps       qu'elles    lui     permettent    d'être retiré de ladite  extrémité libre.

   Ce coin est muni, près de l'ex  trémité postérieure du noyau, d'une cheville  149 qui fait saillie latéralement et qui passe  à travers une ouverture légèrement allongée  150 ménagée dans l'épaisseur du noyau près  de son extrémité postérieure. Cette cheville  149 est articulée à une extrémité d'un levier  151 de relâchement, monté sur un pivot 152  prévu à la surface du noyau et maintenu nor  malement de telle façon que le coin 146 sera  maintenu dans une position antérieure par le  ressort 153 qui s'étend entre le levier 151 et  un point du porte-noyau 78.

   L'extrémité li  bre du levier porte un rouleau 154 destiné à  coopérer avec une saillie (non-représentée)  prévue sur le pied intermédiaire 155 du bras  allongé 81 (fig. 6) pour déplacer automati  quement le levier 151 de sa position normale  dans une position dans laquelle l'extrémité       inférieure    du levier déplacera le coin en  l'éloignant de l'extrémité libre du noyau.

    Par conséquent, la surface longitudinale ex  terne du     coin    qui prolonge celle du noyau  rainuré lorsque le coin est complètement  poussé en avant, vient en retrait par rapport  à la     surface    du noyau et par conséquent dimi  nue un peu le périmètre effectif du noyau  en diminuant ainsi la tension sur le corps ter  miné qui peut alors être séparé du noyau à  l'aide de n'importe quel dispositif approprié,  sans risquer d'abîmer les couches du corps.  



  Pour certains types de joints du corps tu  bulaire, il est très désirable que les bords       jointifs    de la feuille repliée autour du noyau  soient présentés au dispositif     d'assemblage     appliquant et fixant la bande serre-joint dans  une position inclinée par rapport au plan nor  mal qui comprend la- ligne du joint. Dans ces    cas, on emploiera une variante de la machine  décrite comportant     les        coulisseaux    représentés  aux fig. 13 et 14.

   Dans cette variante, la  partie de la paroi supérieure 23' du châssis  19' du coulisseau qui, dans la forme d'exé  cution décrite précédemment reposait sur la  surface supérieure du sabot 20', est en re  trait par rapport à ce dernier pour permettre  l'interposition d'une pièce auxiliaire 156 mu  nie, à l'extrémité éloignée de l'évidement 15,  d'un arrêt 157 qui fait saillie à la surface  supérieure de     cette    pièce et qui coulisse dans  une rainure 158 en cul-de-sac formée dans la  face interne de la paroi supérieure 23'.

   La  pièce auxiliaire est normalement maintenue  dans une position retirée, c'est-à-dire en  ayant l'arrêt 157 à la partie de la rainure  158,     éloignée    de l'évidement 15, ceci étant  obtenu au moyen d'un ressort de traction  159 qui s'étend entre     l'extrémité    postérieure  de la     pièce    156 et un point fixe à l'intérieur  du châssis 19'.

   La pièce 156 présente une rai  nure 160 sur sa     face    inférieure,     c'est-à-dire     la face opposée à. celle qui porte l'arrêt<B>157;</B>       cette    rainure 160 coopère avec une détente  161 montée -de manière à pouvoir osciller  dans un     creux    162 formé dans la partie     su-          périeure    du sabot 20', afin de maintenir la  pièce 156 dans une     position    avancée par rap  port à l'évidement 15, pendant que le châs  sis 19' est retiré à la fin du cycle des     opé-          rations    de     formation    du corps,

       comme    on le  verra ci-après. Pour que les bords de la       feuille        repliée    puissent être guidées dans la       position    inclinée dont on a parlé, le bord in  terne 22' de la paroi supérieure 23' du châs  sis 19' est     incliné    comme représenté à la       fig.    13 et on comprendra que le bord corres  pondant de l'autre châssis est incliné dans  une direction parallèle à celle du bord 22'.  Le bord correspondant 163 de la pièce auxi  liaire 156 a la même inclinaison que le bord       respectif    22', et la pièce 156 est normalement  en arrière, de sorte que le bord 163 forme  une     continuation    du bord 22'.

    



  La     tige    164 sur laquelle la détente 161  est     fixée,    passe à travers le sabot 20' dans  toute sa longueur et peut tourner dans celui-      ci, elle fait saillie aux extrémités frontale et  postérieure de ce dernier, où ladite tige porte  un petit levier 165 (fig. 14) calé sur elle,  qui, lorsqu'on l'abaisse, oblige la tige 164 à  tourner pour retirer la détente 161 de la  rainure 160. Pour que les petits leviers 165  de chaque tige 164 puissent être abaissés au  moment voulu, il est prévu un organe de  poussée 166. Celui-ci est monté, par exemple,  comme indiqué en traits interrompus à la  fig. 15, sur l'extrémité antérieure (et égale  ment à l'extrémité postérieure si on le désire)  du dispositif d'assemblage.  



  La variante des coulisseaux qui vient  d'être décrite est actionnée au moyen des  mêmes organes d'actionnement que décrit  ci-dessus pour les coulïsseaux de la machine  décrite. Les mouvements des coulisseaux des  fig. 18 et 14 se font pendant les premières  parties du cycle des opérations de formation,  comme indiqué précédemment, 1'effort d'a-.

    vancement étant transmis directement aux  châssis de la manière indiquée ci-dessus et au  moyen des ressorts 28, aux sabots, de telle  sorte que les organes qui, au début du mou  vement vers l'évidement 15, sont dans les po  sitions relatives représentées à la fig. 13, peu  vent garder ces     positions        relatives    et     avancer     ensemble comme un     tout.    Lorsque 'le     sabot     
EMI0013.0006     
  
    20' <SEP> est <SEP> arrêté <SEP> par <SEP> le <SEP> noyau <SEP> recouvert <SEP> de <SEP> la
<tb>  feuille, <SEP> le <SEP> châssis <SEP> A' <SEP> continue <SEP> à <SEP> se <SEP> Tappro  cher <SEP> de <SEP> la <SEP> cavité <SEP> 15, <SEP> en <SEP> ,

  comprimant <SEP> les
<tb>  28 <SEP> et <SEP> en <SEP> -entrainant <SEP> avec <SEP> lui <SEP> la <SEP> x <SEP> i.
<tb>  auxiliaire <SEP> dans <SEP> la, <SEP> position <SEP> .relative <SEP> reprësen
<tb>  tée <SEP> au <SEP> dessin. <SEP> Pendant <SEP> que <SEP> la <SEP> pièce <SEP> 1<B>-M</B> <SEP> est
<tb>  ainsi <SEP> déplacée <SEP> ,en <SEP> avant, <SEP> -elle <SEP> -abasse <SEP> m <SEP> pre  mier <SEP> lieu. <SEP> la <SEP> détente <SEP> ï61 <SEP> qvï <SEP> :n:

  - <SEP> retourne <SEP> à <SEP> sa
<tb>  position <SEP> normale <SEP> que <SEP> lorsque <SEP> la <SEP> rainure <SEP> 160
<tb>  est <SEP> venue <SEP> -en <SEP> -regard <SEP> d'elle. <SEP> Ceci <SEP> se <SEP> produit
<tb>  lorsque <SEP> le <SEP> châssis <SEP> et <SEP> la <SEP> pièce <SEP> auxiliaire <SEP> IM
<tb>  sont <SEP> arrivés <SEP> à, <SEP> la <SEP> fin <SEP> de <SEP> leur <SEP> mouvement <SEP> -vers
<tb>  l'Avidement <SEP> 15, <SEP> 1a <SEP> pièce <SEP> 156 <SEP> étant <SEP> ainsi <SEP> main  tenue <SEP> effectivement <SEP> en <SEP> position <SEP> active <SEP> par
<tb>  rafVert <SEP> aux <SEP> bords <SEP> de <SEP> la <SEP> tr#îlàle <SEP> repliée, <SEP> tan
<tb>  dis <SEP> " <SEP> l:

   <SEP> thâssis <SEP> 1Y <SEP> peut <SEP> être <SEP> retiré <SEP> idé  pmdamment. <SEP> se <SEP> p <SEP> .ocluit <SEP> lorsqM <SEP> le <SEP> dis  positif <SEP> d'assemblage <SEP> est <SEP> sur <SEP> le <SEP> point <SEP> zle <SEP> faire
<tb>  glieser <SEP> la <SEP> bam4e <SEP> eerpe-joint <SEP> sur <SEP> les <SEP> bonds <SEP> de     
EMI0013.0007     
  
    la <SEP> feuille <SEP> repliée. <SEP> 11. <SEP> -ce <SEP> moment, <SEP> le <SEP> châssis
<tb>  l'9' <SEP> :

  est <SEP> poussé <SEP> en <SEP> arrière <SEP> par <SEP> rapport <SEP> à <SEP> la
<tb>  c <SEP> avi <SEP> ità <SEP> <B>15,</B> <SEP> par <SEP> les <SEP> ressorts <SEP> <B>'28</B> <SEP> et <SEP> en <SEP> même
<tb>  temps <SEP> i1 <SEP> est <SEP> tiré <SEP> .ans <SEP> la <SEP> même <SEP> direction <SEP> par
<tb>  les <SEP>  seeteurs <SEP> actionnés <SEP> par <SEP> le <SEP> chemin <SEP> de <SEP> came,
<tb>  comme <SEP> déerit <SEP> précédemment, <SEP> .ce <SEP> .qui <SEP> permet <SEP> au
<tb>  dispositif <SEP> d'assemblage <SEP> ide <SEP> faire <SEP> caulsser
<tb>  femlouchum <SEP> de <SEP> la <SEP> bande <SEP> serre-joint <SEP> sur <SEP>  < une
<tb>  partie <SEP> :des <SEP> bords <SEP> jointifs. <SEP> de <SEP> la <SEP> feuille <SEP> :

  qui <SEP> sont
<tb>  alors <SEP> partiellement <SEP> maintenues <SEP> -entre <SEP> les <SEP> bords
<tb>  l..63 <SEP> des <SEP> pièces <SEP> 15.6 <SEP> et <SEP> partiellement <SEP> entre <SEP> les
<tb>  côtés <SEP> de <SEP> la <SEP> bande <SEP> serre-joint. <SEP> Lorsque <SEP> le
<tb>  ehâssis <SEP> 19' <SEP> est <SEP> retiré, <SEP> les <SEP> ressorts <SEP> 15'9 <SEP> .de <SEP> la
<tb>  piéce <SEP> 156 <SEP> sont <SEP> tendus <SEP> ,de <SEP> tell <SEP> sorte <SEP> qu'un <SEP> ef  fort <SEP> est <SEP> exercé <SEP> sur <SEP> cette <SEP> pièce, <SEP> effort <SEP> .qui <SEP> ten  dra <SEP> à, <SEP> la <SEP> faire <SEP> reculer.

   <SEP> An <SEP> moment <SEP> où <SEP> le <SEP> -dis  positif <SEP> d'assemblage <SEP> a <SEP> glissé <SEP> l'embouchure <SEP> de
<tb>  la <SEP> bande <SEP> serre-joint <SEP> sur <SEP> les <SEP> bords <SEP> jointifs <SEP> de
<tb>  la <SEP> feuille <SEP> repliée, <SEP> l'organe <SEP> de <SEP> poussée <SEP> 1-66
<tb>  vient <SEP> en <SEP> contact <SEP> avec <SEP> les <SEP> leviers <SEP> 1-65 <SEP> @et. <SEP> les
<tb>  baisse, <SEP> en <SEP> .retirant <SEP> ainsi <SEP> la <SEP> détente <SEP> 1;61 <SEP> de
<tb>  la, <SEP> rainure <SEP> 1.6:0 <SEP> et <SEP> en <SEP> lsbéran@ <SEP> les <SEP> pièces <SEP> 156
<tb>  qua, <SEP> sous <SEP> l'effort <SEP> des <SEP> ressorts <SEP> 1,5.9, <SEP> .ont <SEP> rapi  dem:ent <SEP> retirées <SEP> pour <SEP> revenir <SEP> à <SEP> leurs <SEP> p°sitions
<tb>  originales <SEP> par <SEP> rapport <SEP> :a=ux <SEP> ;

  châssis. <SEP> Le <SEP> d'ispo  sild <SEP> d'assemblage <SEP> poux <SEP> appliquer <SEP> :et <SEP> fixer <SEP> la
<tb>  bande <SEP> serre-joints <SEP> peut <SEP> alors <SEP> abaisser <SEP> cette
<tb>  bazde, <SEP> de <SEP> telle <SEP> serte <SEP> :qu'elle <SEP> embresse <SEP> eom  p1étement <SEP> les <SEP> bords <SEP> jointifs <SEP> de <SEP> le <SEP> feuille.
<tb>  :Les <SEP> mouvements <SEP> restant <SEP> à <SEP> effectu.ex <SEP> paf <SEP> les
<tb>  eúlsseaug <SEP> sont <SEP> alors <SEP> les <SEP> mêmes <SEP> ique <SEP> #izx <SEP> dÉ  c-rits <SEP> pour <SEP> la <SEP> forme <SEP> d@ezéeuticn <SEP> aécxite <SEP> .de <SEP> la
<tb>  machine.
<tb>  La <SEP> imachke <SEP> :décrite <SEP> parle <SEP> pmur <SEP> l';app<B>Ji</B>  ca,tiffn <SEP> et <SEP> la <SEP> fixation <SEP> de <SEP> cette <SEP> ,lwn;

  -de <SEP> eerre  juhimt <SEP> le <SEP> dispgsitif <SEP> d'assemblafge <SEP> Tepr-#aent#6
<tb>  =g <SEP> fig. <SEP> 15 <SEP> à <SEP> 18. <SEP> Dam. <SEP> une <SEP> rre-J#RZ1te, <SEP> la- <SEP> xra  c<B>bk</B>e <SEP> pourrait <SEP> aussi <SEP> nparter <SEP> ten <SEP> outre <SEP> chu
<tb>  diap#itif <SEP> d'afssem!bc\La@ge <SEP> pour <SEP> appliquer <SEP> et
<tb>  fixer <SEP> la <SEP> bande <SEP> :serre-joint <SEP> un <SEP> rclspnsitd <SEP> ,d'as  aemblage <SEP> agencé <SEP> lmux <SEP> fermer <SEP> un <SEP> jon.@t <SEP> par
<tb>  smdage, <SEP> par <SEP> #ll:a < ge <SEP> son <SEP> emre <SEP> en <SEP> neemt <SEP> les
<tb>  bords <SEP> jointifs <SEP> de <SEP> la <SEP> feuille <SEP> l'gm <SEP> -,ux <SEP> l'autre.
<tb>  Comme <SEP> on <SEP> le <SEP> voit <SEP> sur <SEP> les <SEP> fin. <SEP> 25, <SEP> 17 <SEP> =et <SEP> i:

  8,
<tb>  ce <SEP> 4spositif=d'assemjbIage, <SEP> pour <SEP> appliquer <SEP> :et
<tb>  fixer <SEP> la <SEP> bande <SEP> -serre-joint, <SEP> comporte <SEP> une <SEP> base
<tb>  ca=mée <SEP> 167 <SEP> qixï <SEP> est <SEP> figée <SEP> par <SEP> :des <SEP> boulons <SEP> 11!68
<tb>  sur <SEP> le <SEP> =brans <SEP> lirin-dipa,1 <SEP> ;81=de <SEP> la <SEP> machine <SEP> ,(fin. <SEP> c6         et qui porte     un    corps 169 dont la section  transversale est pratiquement rectangulaire  et présente un coin biseauté.

   Les diagonales  de ce corps sont décalées d'environ 45  par  rapport à celles de la base, de telle sorte que  lorsque cette dernière est montée sur le bras  allongé 81 en ayant deux bords parallèles à  la surface du plateau 14, mais en travers de  l'évidement 15, la ligne 170 perpendiculaire  à la base rejoignant les deux faces verticales  du     corps    et diagonalement opposée au coin  biseauté, s'étend parallèlement à l'axe de l'é  videment 15.

   Cette ligne sera appelée ci-après       #le    bord inférieur 170 du corps 169", les  faces du corps qui forment le bord inférieur  étant désignées respectivement:     #face    infé  rieure droite 171" et ,,face inférieure     gau-          chc    172" lorsqu'on les regarde à partir de  l'extrémité libre de ce corps. La surface 173  formée par le biseau du coin supérieur du  corps sera appelée     #la    surface biseautée".  



  Un organe de support 174 est monté sur  la face inférieure gauche 172, et une mâ  choire oscillante 175 est montée sur la face  de l'organe 174 éloignée de la face 172 et  parallèle à cette dernière, de manière à pou  voir pivoter, tandis que la face inférieure de  l'organe de support 174, c'est-à-dire la face  de cet organe perpendiculaire à la face 172  porte une mâchoire coulissante 176.

   L'organe  de support et la mâchoire coulissante sont  tous deux fixés à leurs faces respectives, de  telle sorte qu'ils ne peuvent s'éloigner de ces  faces     perpendiculairement    à celles-ci, mais ils  peuvent seulement coulisser sur ces faces, de       telle    sorte que l'organe de support ne peut  que     s'approcher    et s'éloigner en coulissant du  bord inférieur 170, tandis que la mâchoire  coulissante 176 peut effectuer les mêmes  mouvements par rapport au bord profilé in  férieur 177 de l'organe de support, éloigné  du corps 169 et parallèle au bord inférieur  170 de ce corps.

   La liaison entre l'organe de  support et le corps 169 et entre l'organe de  support et la mâchoire coulissante est réali  sée au moyen de queues d'aronde 178 et 179  respectivement (fig. 16) qui coulissent dans  des rainures entaillées dans les surfacés res-    pectives. L'organe de support 174 qui a une       section    transversale pratiquement de la  forme d'un L inversé, est muni d'arrêts ré  glables 180 pour limiter son mouvement     d'ap-          p    roc he ment du bord inférieur 170, ces ar  rêts faisant contact avec la face supérieure  gauche du corps.

   Les parties sont disposées  pour que l'organe de support ait tendance à  tomber par son propre poids vers le bord     in-          fériéur    170 et en plus des moyens sont pré  vus pour donner à cet organe une poussée ef  fective qui vient assister l'effet de son pro  pre poids.

   Ces moyens consistent en- des res  sorts de compression 181 qui appuient à. une       extrémité    contre la surface externe<B>189-</B> du  bras     court    de l'organe de support et à l'autre       extrémité    contre un     disque    188 porté par une  tige 184     qui    est entourée par le ressort 181  et qui passe     librement    à travers ledit bras       court,

      une     extrémité    de la tige étant fixée au  corps 169 et l'autre     extrémité    étant munie  d'un écrou 185 et d'un contre-écrou 186 qui       permettent    de régler la pression du     ressort     181. Pour diminuer la charge sur les organes  actifs du     dispositif,    l'organe de support est  muni d'un contrepoids 187 porté par un bras  188 articulé audit organe au mayen d'une  cheville 189 montée sur ce dernier et qui  prend     appui    sur un tasseau 190 faisant saillie  sur le     corps    169.

     La mâchoire oscillante<B>175</B> est montée de  manière à pouvoir     tourner    sur un arbre 191  qui passe à travers une protubérance incur  vée 192 formée à la     surface    de la mâchoire       voisine    de l'organe de support, et est sup  porté par des bossages 193 formés sur la par  tie inférieure de la face 194 de l'organe de  support, éloignée de la face 172. Les surfaces  de la mâchoire oscillante et de l'organe de  support qui sont en regard l'une de l'autre,  présentent des enfoncements     disposés    pour se  conformer aux protubérances et     aux    bossages,  comme     représenté    à la     fig.    16.

   L'arbre 191  passe à travers la mâchoire oscillante longi  tudinalement au voisinage de     l'extrémité    in  férieure de     cette    dernière, dont la partie supé  rieure est plus large, comme représenté en  l9.5, de     telle_sorte    que la mâchoire     oscillante         175 tend normalement à tourner par son pro  pre poids dans le sens inverse des aiguilles  d'une montre aux fig. 15 et 16, de manière  à amener son extrémité inférieure active en  contact avec le bord inférieur 177 de l'organe  de support.

   Pour contrebalancer cette ten  dance, des ressorts de traction 197 sont pré  vus entre des tasseaux 198 fixés à la mâ  choire 175 et des tasseaux semblables 199  fixés à l'organe de support, de telle sorte  qu'il existe normalement un certain jeu en  tre le bord inférieur 196 de la. mâchoire os  cillante et le bord 177 de l'organe de support,  jeu dont la valeur peut être réglée au moyen  de vis de réglage 200 qui passent à travers la  dite mâchoire près de son extrémité supé  rieure.  



  Le dispositif d'assemblage pour l'appli  cation et la fixation de la bande serre-joint  sera décrit maintenant en se référant spécia  lement à la fig. 16 qui ne montre qu'un jeu  des organes de commande de ce dispositif.  Comme on peut le voir aux fig. 17 et 18, le  dispositif comprend deux jeux d'organes de  commande.  



  Un arbre 201 est prévu comme organe  principal d'entraînement; cet arbre passe à  travers le corps 169 perpendiculairement à la  base 167 et il porte près de son extrémité voi  sine de cette base un levier de commande 202  calé sur lui et qui est accouplé à une tige de  connexion 203 (fig. 6) articulée à un levier  coudé 204 pivoté sur le pivot 205 qui fait  saillie latéralement du bras allongé 81 por  tant l'engrenage d'actionnement 85. Le le  vier 204 reçoit un mouvement d'oscillation  dans le plan de la tige 203 et du levier de  commande 202, au moyen d'une came 206  montée ou formée sur la face de la roue d'en  traînement 85 adjacente au bras allongé 81,  et avec laquelle un rouleau 208 porté par le  deuxième bras 207 du levier 204, est maintenu  en contact au moyen de ressorts non-repré  sentés.

   Le levier 202 est éloigné de l'organe  de support 174 (vers la droite des fig. 15 et  16), dans sa position normale ou libre, et il       n'effectue    qu'un mouvement angulaire rela  tivement petit limité par la grandeur     d'une       rainure 209 transversale du corps 169 à tra  vers laquelle ledit levier s'étend vers l'ex  térieur.  



  Un     bras    de soulèvement 210 est monté li  brement sur l'arbre 201 et     présente    un trou  par lequel passe cet arbre. Le bord de ce trou  présente -deux encoches diamétralement op  posées .de     manière    à     constituer    deux     cuver-          turcs    211 pratiquement en forme de     secteur,     dont les extrémités forment des épaulements  où viennent buter deux ergots 212 en forme  de     secteur,

      d'une seule     pièce    avec l'arbre 201  et d'une longueur     circonférentielle    plus     petite     que     celle    des ouvertures 211. L'arbre ports  également un bras de came 213 et un bras de  traction 214.

       Ce    dernier     présente    des ouver  tures 215 en forme de secteur semblables à  celles du bras de soulèvement 210, dans les  quelles des ergots 216 semblables aux er  gots 212     pénètrent.    Le bras de came 213 pré  sente également des ouvertures en     forme    de  secteur, mais les ergots correspondants 217  les remplissent complètement, de telle sorte  que le bras de came est solidaire de l'arbre  et     obligé    de tourner avec ce dernier.  



  Les cames et les bras ,de soulèvement sont  placés dans l'épaisseur du corps 169 dans la  quelle des cavités 218 sont prévues pour re  cevoir lesdits bras et pour en permettre le  mouvement. Le bras de traction 214 frontal  est     placé    du côté externe du corps, tandis que  le bras de traction postérieur 214' s'étend à  travers un passage<B>21.9</B> formé dans l'épais  seur du corps.  



  L'extrémité du bras 210, éloignée de  l'arbre 201, est reliée à l'organe de support  au moyen d'une bielle 220 et d'un bloc 221,  fixée à l'organe de support par des vis 222  et muni     @à        ses    extrémités de     tourillons    223  qui reçoivent les extrémités des bielles 220  éloignées des bras 210.  



  L'extrémité libre du bras de came 213 est       configurée    de manière à     présenter    un bord 224  pratiquement concentrique à l'arbre 201,     mais          présentant    une     partie    225 surélevée près de  l'extrémité supérieure. Le bord 224 coopère  avec un rouleau de came 224' porté par une  fourche 227 qui     est    vissée de manière réglable      à la face interne de la mâchoire oscillante 175,  c'est-à-dire à la face voisine de l'organe de  support 174, au moyen de la vis 228 qui passe  à travers l'épaisseur de cette mâchoire et qui  est munie d'un écrou de blocage 229 pour per  mettre le réglage de la fourche 227 de l'ex  térieur.

    
EMI0016.0001     
  
    Le <SEP> bras <SEP> de <SEP> traction <SEP> 214 <SEP> qui <SEP> s'étend <SEP> uur  malement <SEP> dans <SEP> une <SEP> #direction <SEP> perpendiculaire
<tb>  à <SEP> la <SEP> face <SEP> droite <SEP> inférieure <SEP> 171 <SEP> du <SEP> .corps <SEP> 169
<tb>  du <SEP> dispositif, <SEP> est <SEP> .relié, <SEP> é, <SEP> son <SEP> extrémité <SEP> éloi  gnée <SEP> de <SEP> l'arbre <SEP> 201, <SEP> à <SEP> la <SEP> mâchoire <SEP> coulissante
<tb>  176 <SEP> au <SEP> moyen <SEP> .d'un <SEP> Forgane <SEP> de <SEP> connexion <SEP> 230
<tb>  sur <SEP> lequel <SEP> une <SEP> -détente <SEP> 231 <SEP> actionnable <SEP> à, <SEP> la
<tb>  main, <SEP> normalement <SEP> sollicitée <SEP> par <SEP> un <SEP> ressort
<tb>  2â2 <SEP> -dans <SEP> le <SEP> sens <SEP> ascendant, <SEP> est <SEP> montée <SEP> de
<tb>  manière <SEP> à <SEP> pouvoir <SEP> pivoter.

   <SEP> Lorsque <SEP> le <SEP> levier
<tb>  2:02 <SEP> :de <SEP> !commande <SEP> est <SEP> .dans <SEP> sa <SEP> position <SEP> de
<tb>  repos, <SEP> le <SEP> bout <SEP> de <SEP> la <SEP> détente <SEP> 281 <SEP> repose <SEP> sur
<tb>  une <SEP> prolongation <SEP> latérale <SEP> 233 <SEP> du <SEP> bras <SEP> allongé
<tb>  de <SEP> l'organe <SEP> 174 <SEP> (fig. <SEP> 17 <SEP> et <SEP> 18).

   <SEP> Le <SEP> bras <SEP> de
<tb>  traction <SEP> 214 <SEP> est <SEP> dévié <SEP> vers <SEP> une <SEP> position <SEP> dans
<tb>  laquelle <SEP> la <SEP> mâchoire <SEP> coulissante <SEP> 17i6 <SEP> est <SEP> la
<tb>  plus <SEP> près <SEP> du <SEP> bord <SEP> profilé <SEP> inférieur <SEP> 1\7''7 <SEP> de
<tb>  l'organe <SEP> de <SEP> support <SEP> 174, <SEP> au <SEP> moyen <SEP> <B>d'un</B> <SEP> res  sort <SEP> de <SEP> traction <SEP> 234 <SEP> qui <SEP> s'étend <SEP> rentre <SEP> dès
<tb>  boutons <SEP> 235 <SEP> et <SEP> 286 <SEP> montés <SEP> respee\tiwemen't
<tb>  sur <SEP> le <SEP> bras <SEP> de <SEP> tmetion <SEP> 214 <SEP> et <SEP> sur <SEP> l'organe
<tb>  de <SEP> support. <SEP> Le <SEP> même <SEP> bord <SEP> inférieur <SEP> 177 <SEP> de
<tb>  l'organe <SEP> de <SEP> support <SEP> sert <SEP> de <SEP> limite <SEP> @au.

   <SEP> mouve  ment <SEP> d'avanceme3it <SEP> du. <SEP> bras <SEP> @de <SEP> traction, <SEP> vu
<tb>  qu'il <SEP> -se <SEP> prolonge <SEP> sous <SEP> forme <SEP> d'une <SEP> nervure,
<tb>  de <SEP> 1 <SEP> ieg%rëmité <SEP> du <SEP> bras <SEP> allongé <SEP> 4ndit <SEP> organe,
<tb>  et <SEP> sert <SEP> ainsi <SEP> comme <SEP> arrêt <SEP> pour <SEP> le <SEP> corps <SEP> @<B>de-</B> <SEP> la
<tb>  mâchoire <SEP> coulissante;

   <SEP> un <SEP> appui <SEP> 237 <SEP> est=égale  ment <SEP> constitué <SEP> pour <SEP> le <SEP> bout <SEP> de <SEP> la <SEP> détente <SEP> <B>\</B>231,
<tb>  dont <SEP> le <SEP> but <SEP> sera <SEP> expliqué <SEP> ci-@aprés <SEP> et <SEP>  < qui <SEP> u
<tb>  la <SEP> forme <SEP> d'une <SEP> pièce <SEP> eu <SEP> L <SEP> 238 <SEP> vissée <SEP> <B>--:à</B> <SEP> l'a
<tb>  face <SEP> frontale <SEP> -du <SEP> -corps <SEP> 3:

  G9. <SEP> Pour <SEP> le <SEP> bras <SEP> de
<tb>  traction <SEP> 214', <SEP> placé <SEP> près <SEP> d <SEP> e <SEP> 1-a <SEP> base <SEP> 1.G7
<tb>  (fig. <SEP> 17 <SEP> et <SEP> 18), <SEP> il <SEP> n'est <SEP> pas <SEP> nécessai-re <SEP> de <SEP> -pré  voir <SEP> la <SEP> pièce <SEP> 238, <SEP> vu <SEP> que <SEP> la <SEP> face <SEP> 'unféreure
<tb>  droite <SEP> 171 <SEP> du <SEP> corps <SEP> 169 <SEP> serf <SEP> d'appui, <SEP> ceomme
<tb>  on <SEP> le <SEP> verra <SEP> tu <SEP> cours <SEP> .1e <SEP> la <SEP> :description <SEP> :du
<tb>  fonctionnement <SEP> ;.du <SEP> .dispositif.
<tb>  Lorsque <SEP> le <SEP> levier <SEP> de <SEP> commande <SEP> 2'02 <SEP> ;est
<tb>  dans <SEP> sa <SEP> position <SEP> -de <SEP> repos, <SEP> la <SEP> par:

  tïe <SEP> feoncentTi  queu <SEP> d-. <SEP> bord <SEP> 2\24 <SEP> -du <SEP> bras <SEP> de <SEP> came <SEP> 213 <SEP> est <SEP> .en       contant avec le rouleau 224r, le telle sorte  que ce dernier et par conséquent la partie  supérieune de la mâchoire oscillante 175, sont  dans leur position la plus rapprochée de l'ar  bre 201 pour un réglage donné de la vis 228,  le rouleau 224' étant effectivement poussé  contre ledit bord 224 par les ressorts 197.

    Par conséquent, le bord inférieur 196 de la  mâchoire oscillante 175 est maintenue éloi  gnée du bord inférieur 177 de l'organe de  support, de telle sorte que 18 canal de la  bande serre-joint que l'on va appliquer sur  les lards jointifs de la feuille du corps tubu  laire, peut être introduit dans l'espace ainsi  prévu, une bride de cette bande s'étendant  alors vers l'extérieur et reposant contre le  bord inférieur 196 de la mâchoire oscil  lante 175.  



  Le bras de soulèvement 210 est alors dans  une position angulaire dans Laquelle l'extré  mité articulée de la bielle 220 se trouve au  point le plus élevé de sa course, l'organe de  support est donc soulevé par rapport au corps  H9, de telle sorte que les arrets réglables  180 sont distants de la surface supérieure  gauche dudit corps et les ressorts 181 sont  comprimés.

   Ceci est dû au fait que les ergots  212 de l'arbre 201 sont à la fin de leur mou  vement dans le sens des aiguilles d'une mon  tre et, par conséquent, sont en contact avec  les     @épauIements        des        .extrémités        odes    ,ouver  tures     2a11,    de     tell,        sorte        qu'ils        empêchent        l'a-          baissemenit    de     l'organe    de support.

    
EMI0016.0014     
  
    ;Comme <SEP> la <SEP> mâeh@oire <SEP> coulissante <SEP> i17:6 <SEP>  < est
<tb>  figée <SEP> à <SEP> l'organede <SEP> support, <SEP> :elle <SEP> suivra <SEP> ee
<tb>  dernier <SEP> ,dans <SEP> ses <SEP> mouvements <SEP> descendants <SEP> @et
<tb>  ascendants, <SEP> et <SEP> :

  dans <SEP> les <SEP> conditions <SEP> indiquées,
<tb>  elle <SEP> sera <SEP> flans <SEP> sa <SEP> position <SEP> la <SEP> plus <SEP> élevée, <SEP> @e'.est
<tb>  à-dire <SEP> la <SEP> plus <SEP> près <SEP> de <SEP> la <SEP> face <SEP> ïnfé <SEP> -mure
<tb>  droite <SEP> 171 <SEP> -du <SEP> lcorps <SEP> 169.

   <SEP> Les <SEP> parties <SEP> sun-t
<tb>  proportionnées <SEP> de <SEP> telle <SEP> @sor%e <SEP> qu'à,ce <SEP> moment,
<tb>  la <SEP> surface <SEP> 4@appuï <SEP> ,de <SEP> la <SEP> prolongwtivn <SEP> lattérule
<tb>  23'3 <SEP> -du <SEP> bras <SEP> allongé <SEP> .de <SEP> l'organe <SEP> de <SEP> support
<tb>  174, <SEP> sur <SEP> laquelle <SEP> repose <SEP> le <SEP> bout <SEP> de <SEP> la <SEP> détente
<tb>  2'81, <SEP> ne <SEP> se <SEP> prolongera <SEP> pas <SEP> ïau <SEP> aelà <SEP> de <SEP> la <SEP> face
<tb>  inférieure <SEP> de <SEP> l'appui <SEP> 237, <SEP> et <SEP> =cette <SEP> surfaue <SEP> est
<tb>  de <SEP> préférence <SEP> -de <SEP> niveau <SEP> -avec <SEP> la <SEP> face <SEP> inf@é  rieure <SEP> de <SEP> -cet <SEP> .appui.

   <SEP> On <SEP> comprendra <SEP> facile-         ment que les épaulements des extrémités des  ouvertures 211 du bras de soulèvement 210  qui, à ce moment, sont en contact avec les  ergots 212, exercent une pression sur ces der  nières du fait du poids de l'organe de sup  port et de l'effort des ressorts comprimés 181.  Cette pression est dirigée de telle sorte que  si le bras de soulèvement n'était pas retenu  par les ergots 212, il tournerait en sens in  verse des aiguilles d'une montre en permet  tant ainsi à l'organe de support 174 d'être  abaissé jusqu'à ce que les arrêts 180 vien  nent en contact avec la surface     supérieure     gauche du corps 169.

   Par conséquent, lorsque  l'arbre 201 tourne en sens inverse des ai  guilles d'une montre, le bras de soulèvement  le suit en maintenant lesdits épaulements des  extrémités des ouvertures 211 en contact avec  les ergots 212, de telle sorte qu'un espace  libre sera créé en avant des ergots dans la di  rection de leur rotation, et ainsi, lorsque l'or  gane de support 174 est arrêté dans son mou  vement descendant par les arrêts 180, l'arbre  201 peut continuer à tourner jusqu'à ce que  les ergots 212 viennent en contact avec les  épaulements de l'autre extrémité des ouver  tures 211.  



  Pendant que le levier de commande est  dans sa position de repos, le bras de traction  214 est maintenu à la fin de sa course près  de l'organe de support sous l'effort des res  sorts 234 qui sont presque complètement con  tractés, la mâchoire coulissante 176 et la dé  tente 231 étant dans les positions décrites  précédemment. Dans ces conditions, il existe  un jeu entre le bord inférieur 177 de l'or  gane de support 174 et la lèvre saillante 239  de la mâchoire coulissante, jeu dans lequel la  deuxième bride de la bande serre-joint peut  être placé de manière à être supporté par la  dite lèvre.  



  On remarquera que les ressorts 234 ten  dent à provoquer la rotation du levier de  traction dans le sens des aiguilles d'une mon  tre, de telle sorte que les épaulements des ex  trémités des ouvertures 215 correspondant à  ceux des ouvertures 211 qui sont en contact  effectif avec les ergots 212, tendent à s'éloi-    gner des ergots 216.

   Les ouvertures et les  ergots sont proportionnées de telle sorte que  lorsque les organes sont dans les positions in  diquées, ainsi que dans le cas des ouvertures  215 du bras de traction 214, un espace se  produira en avant des ergots 216 dans la  même direction que pour les ergots 212, de  telle sorte que lorsque l'arbre 201 tourne en  sens contraire des aiguilles d'une montre, le  bras de traction 214 ne se déplacera pas jus  qu'à ce que les ergots 216 aient atteint les  épaulements des extrémités des ouvertures  215 qui limitent ledit espace. A ce moment  seulement, l'arbre 201 peut commencer effec  tivement à faire tourner le bras de traction  214 contre l'action des ressorts 234 qui sont  bandés et maintiennent ainsi lesdits épau  lements en contact effectif avec les er  gots 216.  



  La relation entre les ouvertures 211 et  215 et leurs ergots correspondants 212 et 216  est telle que les espaces libres des ouvertures  211 ont une .longueur     circonférentîelle@    un  peu plus grande que celle des espaces libres  des     ouvertures    215, de telle sorte que lorsque  les ergots 216 ont atteint leur     position    active  par rapport au bras de traction 214, les er  gots 212 pourront encore se déplacer en dépit  du fait que l'organe de support 174 est à ce  moment empêché de continuer son mouve  ment vers le bas. Ainsi l'arbre 201 peut con  tinuer à tourner de façon à déplacer-le bras  de traction 214 vers sa position éloignée de  l'organe de support 174.  



  Lorsque le levier de commande 202 est  déplacé en sens inverse des aiguilles d'une  montre (course     d'actionnement)    sous la pous  sée de la came 206, transmise par la tige  de     connexion    203, le bras de came 213     tourne     avec l'arbre 201, mais comme à ce moment  la partie concentrique du bord 224 est en con  tact avec le rouleau 224', aucun effort n'est  exercée sur la mâchoire     oscillante    175.

   L'or  gane de support 174 tombe par son propre  poids aidé par les ressorts 181,     ce    qui oblige  le bras de soulèvement 210 à suivre les er  gots 212, tandis que     ces    derniers sont     éloi-          gés    de     ,leur    position     initiale.        Entre-temps,         les ergots 216 tournent librement dans les  ouvertures 215 vers leur position active par  rapport au bras de traction 214.  



  Lorsque l'organe de support est suffisam  ment tombé pour que les arrêts 180 viennent  en contact avec la     surface    supérieure gauche  du corps 169, position dans laquelle la bande  serre-joint aura été appliquée aux bords join  tifs de la feuille et dans laquelle le bord 196  de la mâchoire oscillante, aussi bien que la  lèvre 239 de la mâchoire coulissante, sont le  plus     près    du noyau, la partie soulevée 225 du  bord 224 du bras de came 213 commence à  pousser le rouleau 224' en poussant ainsi l'ex  trémité supérieure de la mâchoire oscillante  vers l'extérieur contre la tension des ressorts  197, ce qui oblige le bord inférieur 196 de  ladite mâchoire à se déplacer vers le bord  177,

   de manière à comprimer le canal de la  bande serre-joint fermement contre les bords  de la feuille qui se trouvent dans ce canal  et ainsi à fixer la bande sur le corps tubu  laire.  



  Comme à ce moment la lèvre 239 de la  mâchoire coulissante se trouve encore     au-          dessous    de la deuxième     bride    de la bande  serre-joint en position pour supporter cette  bande, il s'ensuit que l'organe de support ne  peut pas s'élever dans ces conditions sans  écarter du corps la bande qui y est appliquée.  Par conséquent, sitôt que la bande a été fixée  comme on vient de le décrire, les ergots 216       commencent    à entrer en jeu pour provoquer  la rotation de la barre de traction 214 en  sens inverse des aiguilles d'une montre, en  retirant ainsi la mâchoire coulissant 176 du  bord 177.  



  On verra de ce qui précède qu'à ce mo  ment le bord inférieur du bras allongé de  l'organe de support avec la prolongation 233  duquel le bout de la détente 231 a continué  d'être en contact fait alors saillie au delà de  la face inférieure droite 171 du corps 169,  de     telle    sorte que lorsque la mâchoire coulis  sante 176 est retirée du bord 177, la     détente     qui est amenée dans la même direction par  l'organe de connexion 230 et qui n'est plus  retenue par le prolongement 233 du bras al-    longé, tourne dans le sens des aiguilles d'une  montre sous     l'action    du ressort 232 pour obli  ger son     bout    à s'approcher ainsi du niveau  de la     face    inférieure droite 171 qui, à ce mo  ment,

   peut être considérée comme étant plus  haute que la surface d'appui du prolongement  233. Le bout de la détente 231 se trouve alors  contre l'appui 237 qui est également à un  niveau plus élevé que cette surface d'appui.  A ce moment, l'espace libre de l'ouverture  211 apparaît derrière les ergots 212.  



  Le levier     d'actionnement    202 commence  alors sa course de retour et tourne dans le  sens des aiguilles d'une montre en obligeant  les ergots 216 de s'éloigner de leur position  active par rapport à l'ouverture 215 du bras  de traction 214 qui, sous la poussée des res  sorts 234,     tourne    dans la même direction que  l'arbre 201 pour revenir à sa position initiale.  Par suite de la différence de niveau entre la  surface     d'appui    du prolongement 233 du  bras allongé de l'organe de support et l'ap  pui 237, la détente 231 en revenant à sa po  sition initiale, est arrêtée par ce prolonge  ment 233, de telle sorte que ni le bras de  traction 214, ni la détente 231 ne peuvent re  tourner à leur position initiale jusqu'à ce que  l'organe de support se soit élevé.

   La dispo  sition des organes est telle que la     détente    est  ainsi maintenue dans une position     dans    la  quelle la lèvre 239 de la mâchoire coulissante  est maintenue suffisamment éloignée du bord  de l'organe de support 174 pour laisser la  bride     correspondante    de la bande serre-joint  complètement libre et pour permettre ainsi  à     .l'organe    de support de s'élever sans endom  mager     cette    bande ou le corps tubulaire.  



  Lorsque l'arbre 201 commence à     tourner     dans son mouvement de retour, la partie re  levée 225 du bord 224 du bras de came 213  s'éloigne du     rouleaù    224' en     permettant    ainsi  à la mâchoire oscillante de revenir à sa posi  tion     initiale    sous     lVffort    des ressorts 197  et de libérer le canal aplati de la bande     serre-          joint.    A ce moment, les ergots 212 viennent  de nouveau en contact avec les épaulements  -des     ouvertures    211 et     communiquent    ainsi un  mouvement dans le sens des aiguilles     d'une         montre au bras de soulèvement,

   de manière à  élever d'organe de support vers sa position  initiale, en retirant ainsi le bord inférieur  177 et la mâchoire oscillante 175 du corps  tubulaire auquel la bande serre-joint vient  d'être appliquée et fixée. L'organe de sup  port, en s'élevant, entraîne avec lui la mâ  choire coulissante 176 qui est encore partiel  lement retenue. Lorsque la surface d'appui  du prolongement 233 du bras allongé de l'or  gane de support vient au niveau de la sur  face d'appui 237, en supprimant ainsi toute  entrave à un nouveau mouvement de la dé  tente 231, le bras de traction 214 est de nou  veau déplacé dans le sens des aiguilles d'une  montre sous la poussée du ressort 234 pour  amener la mâchoire     coulissante    dans sa posi  tion initiale.

   Lorsque ceci a été effectué,  toutes les parties seront de nouveau dans  leurs positions initiales et le dispositif pour  l'application et la fixation de la bande     serre-          joint    sera prêt à recommencer un autre cycle  d'opérations.  



  On comprendra naturellement que le bord  inférieur 177 de l'organe de support, aussi  bien que la lèvre 239 de la mâchoire coulis  sante 175 et le bord inférieur 196 de la mâ  choire oscillante, ont une longueur au moins  aussi grande que les bords jointifs de la  feuille et peuvent, si on le désire, se prolon  ger au delà de ces derniers à l'une ou aux  deux extrémités.  



  La bande serre-joint appliquée et fixée  au     corps    tubulaire, le noyau tourne et amène  le joint sous le dispositif d'estampage 83  dont l'organe 99 animé d'un mouvement de  va-et-vient au moyen de l'excentrique 98  s'abaisse sur le joint formé par le dispositif  d'assemblage pour aplatir ce joint.  



  Dans une variante de la machine décrite,  le     dispositif    d'assemblage pourrait en outre  comporter des organes de formation du corps  tubulaire coopérant avec ceux de l'appareil  de formation pour parfaire la formation du       corps        tubulaire.     



  On remarquera que les sabots des coulis  seaux de l'appareil de formation peuvent, en  particulier lors de la fabrication de corps à    contours polygonaux, être composés de pré  férence de deux ou d'un plus grand     nombre     de parties, la séparation entre celles-ci     étant     le long de plans longitudinaux de préférence  parallèles à la surface du plateau.  



  La machine décrite ci-dessus est capable  de fabriquer des corps tubulaires finis, en  une matière en feuille et d'une manière     ef-          ficace    et rapide et peut être utilisée pour la  production en masse de ces corps. D'après       des        essais    pratiques, on a constaté qu'une ma  chine de ce     type        est        capable    de fabriquer des  corps     tubulaires    complètement finis, à rai  son de 3000 à 3600     pièces    à l'heure.

Claims (1)

  1. REVENDICATION Machine pour la fabrication à. partir de matière en feuilles de corps creux ouverts à deux extrémités, chaque feuille étant appli quée sur un noyau de façon à faire rejoindre deux de ses bords opposés, ces bords étant en suite assemblés, caractérisée en ce qu'elle comprend au moins un porte-noyau présen tant au moins un noyau venant se loger dans un évidement ménagé dans un plateau fai sant partie d'un appareil de formation,
    ledit plateau étant doué d'un mouvement alterna tif vertical et comprenant en outre des or ganes venant entourer au moins partielle ment le noyau lorsqu'il se trouve logé dans l'évidement du plateau, de façon à incurver et appliquer la feuille sur le noyau, un dis positif d'assemblage étant prévu pour ap pliquer et fixer une bande serre-joint sur les bords à assembler de la feuille et un disposi tif d'estampage étant prévu pour aplatir le joint formé par le dispositif d'assemblage,
    des moyens étant prévus pour actionner les différentes parties de la machine en synchro nisme. SOUS-REVENDICATIONS 1 Machine selon la. revendication, caracté risée en ce que le porte-noyau est rotatif et comprend plusieurs alvéoles dans cha cune desquelles se loge un noyau par une de ses extrémités, ce porte-noyau étant monté de manière à.
    tourner autour d'un moyeu faisant saillie d'un pilier de sup port, des moyens étant prévus pour faire tourner ledit porte-noyau en syclironisme avec le mouvement des autres parties de la machine. 2 Machine selon la revendication et la sous-revendication 1, caractérisée en ce que les moyens prévus pour faire tourner le porte-noyau comprennent une barre montée de manière à pouvoir coulisser dans une glissière ménagée dans une pla que faisant saillie du pilier de support du porte-noyau, ladite barre portant à une extrémité un cliquet venant en prise avec des dents présentées par le porte-noyau, l'autre extrémité étant reliée à un méca nisme à came actionné par un arbre rota tif et communiquant un mouvement alter natif à la barre,
    un organe de blocage pour limiter le mouvement de rotation du porte-noyau étant fixé sur ladite plaque. 3 Machine selon la revendication et la sous- revendication 1, caractérisée en ce que l'extrémité libre de chaque noyau est sup portée, lorsque ce noyau est au-dessus de l'évidement du plateau de l'appareil de formation par une tige-support présentant à une de ses extrémités une tête sur la quelle 'repose le noyau et à son autre ex trémité,
    .la moitié d'un accouplement à dents venant en prise avec une deuxième moitié annulaire munie d'un bras latéral et montée de manière à pouvoir tourner sur une partie amincie d'un bossage fixé sur une base de l'appareil de formation et perforé pour recevoir l'extrémité libre de ladite tige-support, des moyens d'arrêt faisant saillie de la face du plateau ad jacente à la tige étant prévus pour empê cher ,la rotation de cette tige.
    4 Machine selon la revendication et les sous- revendications 1 et 3, caractérisée en ce que le bras latéral de la moitié annulaire de l'accouplement est relié au moyen .d'une tringle à un mécanisme auquel est transmis le mouvement alternatif du pla teau de manière à soulever et à abaisser la tige supportant l'extrémité libre du noyau en synchronisme avec les mouve ments du plateau.
    5 Machine selon la revendication, caracté- risée en ce que l'appareil de formation comprend un bâti en forme de paralléli- pipède rectangle présentant quatre faces verticales, une des faces horizontales étant sur la base de l'appareil, l'autre étant du côté du plateau, ledit bâti pré sentant à l'intérieur une cavité d'axe ver tical dans laquelle coulisse une jambe so lidaire du plateau,
    un arbre d'entraîne ment traversant les deux faces latérales du bâti et portant de chaque côté une came pour la commande du mouvement alternatif du plateau agissant sur des rouleaux rotatifs portés par la face du plateau opposée à celle présentant l'évi dement, la jambe solidaire du plateau étant évidée de manière à laisser passer l'arbre d'entraînement, d'une part, et une barre de contrepoids, d'autre part, dont une extrémité est articulée sur ladite jambe, -et l'autre porte un contrepoids,. cette barre se prolongeant à l'extérieur du bâti de l'appareil de formation, une face transversale du bâti présentant une ou verture allongée permettant le passage de ladite barre,
    et deux paliers dans lesquels tourne une tige solidaire de la barre, cette tige servant de point d'appui à la barre et transmettant le mouvement du plateau à un mécanisme de commande d'une tige- support supportant l'extrémité libre du noyau lorsqu'il se trouve au-dessus de l'évidement du plateau.
    6 Machine selon la revendication, caracté risée en ce que les organes destinés à en tourer au moins partiellement le noyau consistent en deux coulisseaux disposés de part et d'autre de l'évidement du plateau de l'appareil de formation, coulissant sur ce plateau perpendiculairement à l'axe de l'évidement et animés d'un mouvement al ternatif, ces,
    coulisseaux étant guidés au moyen de rainures ménagées dans ledit plateau et dans lesquelles glissent des parties des coulisseaux, -des moyens étant prévus pour actionner les coulisseaux en synchronisme avec le mouvement du pla teau.
    7 Machine selon la revendication et la sous- revendication 6, caractérisée en ce que chaque coulisseau comprend un châssis en forme de<B>U</B> monté de manière à coulisser sur son côté sur le plateau de l'appareil de formation en ayant son ouverture dirigée vers l'évidement du plateau, le bras du<B>U</B> sur le plateau étant plus court que l'autre bras parallèle venant au-dessus dudit pla teau, un sabot monté de manière à coulis ser entre lesdits bras du<B>U</B> et présentant une partie en contact avec le plateau pourvue de queues d'aronde venant cou lisser dans les rainures ménagées dans le plateau,
    ledit sabot étant poussé vers l'é videment au moyen de ressorts logés en tre le sabot et la paroi du châssis qui réunit les deux bras du<B>U</B> et présentant du côté de ladite cavité un profil corres pondant à une fraction du pourtour du noyau et sur son côté éloigné du plateau, des arrêts saillants se déplaçant dans des rainures ménagées dans la face interne du long bras du châssis en vue de limiter le mouvement du sabot vers l'évidement.
    8 Machine selon la revendication et la sous- revendication 6, caractérisée en ce que les moyens prévus pour actionner les cou lisseaux en synchronisme avec le mouve ment du plateau, consistent en deux sec teurs présentant des bords arqués et den tés, montés avec jeu sur chaque coulis- seau, -de manière à pivoter, autour de leurs extrémités opposées auxdits bords, sur des tasseaux saillant latéralement des coulisseaux,
    ces secteurs présentant égale ment un pivot fixé en un point intermé diaire de chaque secteur et tournant dans un palier prévu sur la face latérale du plateau de l'appareil de formation, les bords dentés des secteurs étant constam ment en prise, le pivot porté par l'un de chaque paire de secteurs s'étendant à tra vers son palier de support jusque vers une came de commande du mouvement du pla- teau, et présentant à son extrémité un bras radial se terminant en une fourche dans laquelle un rouleau est monté de manière à pouvoir tourner et de manière à venir en contact avec un chemin de came de ladite came,
    le tout étant disposé (le telle sorte que lorsque le plateau ar rive au bout de sa course vers le haut, les coulisseaux se déplacent vers l'évidement, de façon à entourer au moins partielle ment le noyau. 9 Machine selon la revendication, caracté risée en ce qu'elle comporte un moteur et un bâti supportant, d'une part, des or ganes servant à, transmettre le mouvement (le rotation du moteur aux appareils et dispositifs de la machine, et, d'autre part, le dispositif d'assemblage.
    1f) Machine selon la revendication, caracté risée en ce que le dispositif d'assemblage comprend une base fixée à un bâti de la machine et solidaire d'un corps à faces planes présentant un organe de support fixé de manière à pouvoir coulisser sur une des faces dudit corps, cet organe comportant à une extrémité un bord pro filé et une mâchoire oscillante montée de manière .à pouvoir pivoter sur ledit organe, une autre mâchoire étant montée sur l'or gane de support à.
    l'extrémité de celui-ci présentant le bord profilé de manière à coulisser dans une direction perpendicu laire à la face sur laquelle coulisse l'or gane de support, l'extrémité de chaque mâchoire constituant un bord actif, un ressort s'étendant entre la mâchoire os cillante et l'organe de support pour main tenir le bord actif de ladite mâchoire éloi gné :
    du bord profilé de l'organe de sup port, le dispositif comprenant en outre un arbre passant axialement à travers le corps du dispositif et présentant un levier de commande relié à .des moyens de com mande et calé sur son extrémité la plus près de la base, un bras de soulèvement monte librement sur cet arbre et -relié au moyen d'une bielle à l'organe de support de manière à faire coulisser celui-ci, un bras de traction monté librement sur le dit arbre et relié par un organe de con nexion à la mâchoire coulissante,
    un res sort s'étendant entre l'organe de support et le bras de traction tendant à maintenir ladite mâchoire près du bord profilé de l'organe de support, des accouplements à mouvement perdu étant prévus entre le bras de soulèvement et l'arbre et entre ce dernier et le bras de traction pour per mettre un mouvement relatif limité entre l'arbre et chacun de ces bras, ledit arbre présentant en outre une came calée sur lui et commandant un rouleau fixé de ma nière réglable à la mâchoire oscillante, un arrêt réglable étant prévu pour limiter le mouvement de l'organe de support,
    une détente étant prévue pour retenir pendant une partie du mouvement de l'organe de support la mâchoire coulissante dans une position éloignée du bord profilé de l'or gane de support. 11 Machine selon la revendication et la sous- revendication 10, caractérisée en ce que les moyens de commande du dispositif d'assemblage consistent en une came soli daire d'une roue d'entraînement et agis sent sur une tige reliée au levier de com mande dudit dispositif par l'intermédiaire d'un galet fixé sur un levier coudé.
    12 Machine selon la revendication et la sous-revendication 10, caractérisée en ce que l'organe de support présente une sec tion transversale en forme de # inversé dont le bras court s'étend au-dessus de l'une des faces du corps du dispositif d'assemblage, un arbre portant la mâ choire oscillante étant porté par le bras le plus long qui est évidé de manière à re cevoir une protubérance incurvée dans la quelle passe ledit arbre, cette protubé rance étant formée sur la face de ladite mâchoire, voisine de l'organe de support.
    13 Machine selon la revendication et les sous-revendications 10 et 12, caractérisée en ce que la face du corps sur laquelle coulisse l'organe de support est perpendi culaire à la face sur laquelle s'étend le bras court, l'organe de support étant guidé sur la face sur laquelle il coulisse au moyen de guides en queue d'aronde qui se déplacent dans des rainures ménagées dans cette dite face, et en ce que la mâ choire coulissante est montée sur une face de l'organe de support perpendiculaire à la face du corps sur laquelle coulisse cet.
    organe ,de support également au moyen de queues d'aronde se déplaçant .dans des rai nures de cette face qui est présentée par l'extrémité du bras allongé, cette même extrémité du bras allongé présentant le bord profilé de l'organe de support.
    14 Machine selon la revendication et les sous-revendications 10, 12 et 13, caracté risée en ce que la détente de retenue de la mâchoire coulissante a la forme d'un doigt pivoté sur l'organe de connexion et qu'un ressort tend à déplacer vers le corps, ledit doigt étant disposé de telle sorte que lors que la mâchoire coulissante est rappro chée du bord profilé de l'organe de sup port, le bout du doigt repose sur une pro longation latérale de l'organe de support,
    un appui étant prévu sur une face du corps pour recevoir et supporter le bout du doigt de la détente lorsque la mâchoire coulissante est éloignée du bord profilé de ,l'organe .de support.
    15 Machine selon la revendication et les sous-revendications 6 et 7, caractérisée en ce que chaque couJi.sseau présente une pièce auxiliaire disposée entre la face su périeure de la partie du sabot la plus près de l'évidement et la surface interne du bras le plus long du châssis et qu'un res sort de traction disposé entre cette pièce et le châssis tend à maintenir par rapport au châssis dans une position retirée dans laquelle le bord de cette pièce auxiliaire le plus près de l'évidement forme la suite du bord correspondant du bras le plus
    long du châssis, ladite pièce présentant, sur sa face, tournée vers le bras le plus long du châssis, à son extrémité éloignée de l'évidement, un arrêt saillant se dé- plaçant dans une rainure de la surface interne du bras le plus long et sur l'au tre face une rainure destinée à recevoir la pointe d'une détente oscillante fixée sur une tige s'étendant parallèlement à l'évi dement et tournant dans le sabot qu'elle traverse et portant à ses extrémités fai sant saillie hors du sabot un petit levier calé sur cette tige,
    des moyens élastiques étant prévus pour pousser la pointe de la détente vers la face interne du bras le plus long du châssis, le bord du bras le plus long du châssis le plus près de l'é videment étant incliné par rapport à la surface du plateau dans lequel l'évide ment est ménagé.
    16 Machine selon la revendication, caracté risée en ce que le dispositif d'estampage comprend un organe disposé de manière à venir aplatir le joint du corps creux, des moyens étant prévus pour donner au dit organe un mouvement alternatif. 17 Machine selon la revendication,
    caracté risée en ce qu'elle comporte un moteur sur l'arbre duquel est monté un pignon entraînant des engrenages disposés sur une partie d'un bâti de la. machine et transmettant leur mouvement à des arbres entraînant ,les différents appareils et dis positifs de la machine en synchronisme.
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* Cited by examiner, † Cited by third party
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EP0011551A1 (fr) * 1978-11-10 1980-05-28 Embadac Procédé et machine pour fabriquer un élément tubulaire notamment pour la formation de boîtes

Cited By (2)

* Cited by examiner, † Cited by third party
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EP0011551A1 (fr) * 1978-11-10 1980-05-28 Embadac Procédé et machine pour fabriquer un élément tubulaire notamment pour la formation de boîtes
FR2440827A1 (fr) * 1978-11-10 1980-06-06 Embadac Procede et machine pour fabriquer un element tubulaire notamment pour la formation de boites

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