CA2582606A1 - Raquette a neige equipee d'un tamis a correction angulaire - Google Patents
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Abstract
L raquette à neige selon l'invention comporte un tamis 2 ayant une partie périphérique en forme de cadre 4 , et une partie centrale agencée selon une plate-forme de support 3 pour la réception d'une fixation montée à pivotemen t autour d'un axe 11 transversal. La plate-forme de support 3 est reliée au cadre 4 par des éléments élastiquement déformables 14 autorisant le basculement latéral de la plate-forme centrale 3 par rapport au cadre 4 du tamis . Des moyens de rappel assurent le retour de la plate-forme 3 en position neutre dès que le tamis n'est plus chargé.
Description
Raquette à neige équipée d'un tamis à correction angulaire Domaine technique de l'invention L'invention est relative à une raquette à neige comportant un tamis ayant :
- une partie périphérique en forme de cadre comportant à l'avant une partie relevée vers le haut en guise de spatule se prolongeant vers l'arrière dans la direction longitudinale par des bras latéraux, - une partie centrale agencée selon une plate-forme de support pour la réception de moyens de fixation d'une chaussure constituée d'une plaque montée pivotante par rapport à la plate-forme support autour d'un axe transversal, i5 - une pluralité de crampons d'ancrage répartis sous la face inférieure du tamis , - et des moyens d'articulation souple autorisant un mouvement relatif d'inclinaison latérale de la plate-forme de support par rapport au cadre sur un terrain en dévers.
État de la technique Le document EP 613703 décrit une raquette à neige comprenant un tamis portant une fixation à plaque pouvant pivoter autour d'un premier axe transversal lors de la marche. La fixation à plaque est de plus reliée au tamis par une liaison mécanique autorisant un pivotement latéral autour d'un deuxième axe longitudinal. L'ensemble se comporte comme un fléau de balance qui reste en équilibre sur ses axes de pivotement lorsque la charge appliquée verticalement s'exerce perpendiculairement et est bien répartie.
Dans une pente en dévers, se produit un mouvement relatif de pivotement autour du deuxième axe pour que la fixation à plaque reste sensiblement dans une position horizontale. Le rétablissement vers la position normale d'équilibre
- une partie périphérique en forme de cadre comportant à l'avant une partie relevée vers le haut en guise de spatule se prolongeant vers l'arrière dans la direction longitudinale par des bras latéraux, - une partie centrale agencée selon une plate-forme de support pour la réception de moyens de fixation d'une chaussure constituée d'une plaque montée pivotante par rapport à la plate-forme support autour d'un axe transversal, i5 - une pluralité de crampons d'ancrage répartis sous la face inférieure du tamis , - et des moyens d'articulation souple autorisant un mouvement relatif d'inclinaison latérale de la plate-forme de support par rapport au cadre sur un terrain en dévers.
État de la technique Le document EP 613703 décrit une raquette à neige comprenant un tamis portant une fixation à plaque pouvant pivoter autour d'un premier axe transversal lors de la marche. La fixation à plaque est de plus reliée au tamis par une liaison mécanique autorisant un pivotement latéral autour d'un deuxième axe longitudinal. L'ensemble se comporte comme un fléau de balance qui reste en équilibre sur ses axes de pivotement lorsque la charge appliquée verticalement s'exerce perpendiculairement et est bien répartie.
Dans une pente en dévers, se produit un mouvement relatif de pivotement autour du deuxième axe pour que la fixation à plaque reste sensiblement dans une position horizontale. Le rétablissement vers la position normale d'équilibre
2 d'un tel mécanisme est néanmoins difficile à réaliser et très précaire compte tenu du caractère instable du support constitué par la neige .
Le document EP 882478 se rapporte à une raquette à neige, dans laquelle l'avant de la pièce de soutien de la fixation est relié transversalement à
deux zones opposées de retenue du cadre par des moyens d'attache constitués par une liaison mécanique ayant un axe relié au cadre par des biellettes, ou des éléments élastiques. Toute la charge exercée par le pied sur le tamis est d'abord supportée par les moyens d'attache au niveau des deux zones de retenue de sections réduites, au détriment de la tenue transversale lorsque l'utilisateur se trouve sur un terrain en dévers.
Objet de l'invention i5 La raquette à neige selon l'invention a pour objectif de remédier à ces inconvénients grâce à une conception permettant une marche naturelle et sans fatigue en dévers sans avoir à incliner transversalement la cheville comme l'exigent les raquettes rigides actuelles.
Un autre objectif visé par l'invention est de transférer le maximum de poids sur la partie amont de la raquette pour optimiser l'accrochage latéral de la raquette par effet de carre lors des traversées en dévers.
Un troisième objectif est de disposer de moyens assurant à chaque pas le rappel automatique de la raquette dans sa configuration horizontale neutre aussitôt que le tamis n'est plus en appui sur le sol.
Préalablement aux explications qui suivent , il est stipulé que les références d'horizontalité et de verticalité mentionnées dans le présent document s'entendent par rapport à une raquette reposant par sa face d'appui sur un sol horizontal et que, par ailleurs , le plan désigné sous le terme de plan longitudinal vertical moyen ou de plan vertical moyen, est le plan vertical qui passe par l'axe moyen tibia-péroné, ledit plan étant par ailleurs disposé
parallèlement à l'axe de la marche le long duquel se déplace le raquettiste .
Il est également précisé que les notions d'extérieur et d'intérieur se définissent
Le document EP 882478 se rapporte à une raquette à neige, dans laquelle l'avant de la pièce de soutien de la fixation est relié transversalement à
deux zones opposées de retenue du cadre par des moyens d'attache constitués par une liaison mécanique ayant un axe relié au cadre par des biellettes, ou des éléments élastiques. Toute la charge exercée par le pied sur le tamis est d'abord supportée par les moyens d'attache au niveau des deux zones de retenue de sections réduites, au détriment de la tenue transversale lorsque l'utilisateur se trouve sur un terrain en dévers.
Objet de l'invention i5 La raquette à neige selon l'invention a pour objectif de remédier à ces inconvénients grâce à une conception permettant une marche naturelle et sans fatigue en dévers sans avoir à incliner transversalement la cheville comme l'exigent les raquettes rigides actuelles.
Un autre objectif visé par l'invention est de transférer le maximum de poids sur la partie amont de la raquette pour optimiser l'accrochage latéral de la raquette par effet de carre lors des traversées en dévers.
Un troisième objectif est de disposer de moyens assurant à chaque pas le rappel automatique de la raquette dans sa configuration horizontale neutre aussitôt que le tamis n'est plus en appui sur le sol.
Préalablement aux explications qui suivent , il est stipulé que les références d'horizontalité et de verticalité mentionnées dans le présent document s'entendent par rapport à une raquette reposant par sa face d'appui sur un sol horizontal et que, par ailleurs , le plan désigné sous le terme de plan longitudinal vertical moyen ou de plan vertical moyen, est le plan vertical qui passe par l'axe moyen tibia-péroné, ledit plan étant par ailleurs disposé
parallèlement à l'axe de la marche le long duquel se déplace le raquettiste .
Il est également précisé que les notions d'extérieur et d'intérieur se définissent
3 par rapport audit plan vertical longitudinal moyen , le coté intérieur étant le coté
s'étendant latéralement à partir dudit plan en direction de l'autre raquette tandis que le coté extérieur est le coté s'étendant latéralement à partir de l'autre face du plan moyen et dans le sens opposé au précédent . Quant à la notion de position neutre de la plate-forme par rapport au tamis de la raquette celle-ci correspond à la position horizontale qu'occupe ladite plate-forme lorsque la raquette repose sur un sol horizontal .
Ceci défini, pour atteindre les objectifs susmentionnés, selon un premier mode de réalisation, le tamis de la raquette selon l'invention est constitué de deux éléments , une plate-forme centrale dont la sous-face est en contact direct avec la neige et un cadre périphérique dont la sous-face est, elle aussi, en contact direct avec la neige, ledit cadre comportant une partie avant relevée pour servir de spatule , lesdits plate-forme et cadre périphérique étant reliés entre eux par au moins une articulation élastique .
La plate-forme centrale du tamis , dont la largeur est inférieure à la largeur du tamis , s'étend dans le sens longitudinal de la raquette à partir de l'extrémité
arrière de la fenêtre au travers de laquelle bascule l'avant pied lors de la marche , jusqu'à l'extrémité arrière du tamis .
La fixation de la raquette est constituée par une plaque pivotante comportant des moyens d'immobilisation de la chaussure , ladite plaque pivotante étant articulée par rapport à la plate-forme centrale autour d'un axe transversal disposé au niveau de l'extrémité avant de la plateforme centrale et au voisinage de l'extrémité arrière de la fenêtre aménagée dans la spatule.
Dans sa partie arrière la plate-forme centrale supporte un dispositif, habituellement désigné sous le terme de cale de montée-bloqueur, permettant, lorsqu'il est en position active, soit d'immobiliser en rotation la plaque de fixation en la maintenant plaquée contre la plateforme centrale soit au contraire de constituer une butée basse sur laquelle vient se reposer l'extrémité
arrière
s'étendant latéralement à partir dudit plan en direction de l'autre raquette tandis que le coté extérieur est le coté s'étendant latéralement à partir de l'autre face du plan moyen et dans le sens opposé au précédent . Quant à la notion de position neutre de la plate-forme par rapport au tamis de la raquette celle-ci correspond à la position horizontale qu'occupe ladite plate-forme lorsque la raquette repose sur un sol horizontal .
Ceci défini, pour atteindre les objectifs susmentionnés, selon un premier mode de réalisation, le tamis de la raquette selon l'invention est constitué de deux éléments , une plate-forme centrale dont la sous-face est en contact direct avec la neige et un cadre périphérique dont la sous-face est, elle aussi, en contact direct avec la neige, ledit cadre comportant une partie avant relevée pour servir de spatule , lesdits plate-forme et cadre périphérique étant reliés entre eux par au moins une articulation élastique .
La plate-forme centrale du tamis , dont la largeur est inférieure à la largeur du tamis , s'étend dans le sens longitudinal de la raquette à partir de l'extrémité
arrière de la fenêtre au travers de laquelle bascule l'avant pied lors de la marche , jusqu'à l'extrémité arrière du tamis .
La fixation de la raquette est constituée par une plaque pivotante comportant des moyens d'immobilisation de la chaussure , ladite plaque pivotante étant articulée par rapport à la plate-forme centrale autour d'un axe transversal disposé au niveau de l'extrémité avant de la plateforme centrale et au voisinage de l'extrémité arrière de la fenêtre aménagée dans la spatule.
Dans sa partie arrière la plate-forme centrale supporte un dispositif, habituellement désigné sous le terme de cale de montée-bloqueur, permettant, lorsqu'il est en position active, soit d'immobiliser en rotation la plaque de fixation en la maintenant plaquée contre la plateforme centrale soit au contraire de constituer une butée basse sur laquelle vient se reposer l'extrémité
arrière
4 de la plaque de fixation pour rendre plus aisée la marche dans les fortes montées.
La cale de montée - bloqueur habituellement positionnée en arrière de l'extrémité arrière de la plaque pivotante de la fixation peut être avantageusement remplacée par un dispositif assurant cette fonction de cale de montée et/ou de bloqueur qui soit positionné latéralement par rapport à
ladite plaque de fixation. Ce dispositif latéral, alors positionné
avantageusement coté extérieur du tamis, étant alors implanté entre le bord latéral de la plaque pivotante de la fixation et le bord latéral extrême correspondant du tamis .
Selon un premier mode de réalisation, ce dispositif latéral est rotatif et il est relié à la plate-forme centrale du tamis ou directement au tamis par un axe ,vertical ou par un axe sensiblement horizontal autour duquel il peut pivoter pour passer d'une position inactive désengagée à une position active engagée dans laquelle une partie de l'élément ro~atif se trouve soit engagée dans l'épaisseur de la plaque pivotante ou entre la face supérieure de la plaque pivotante et la semelle de la chaussure pour immobiliser en rotation la plaque pivotante de la fixation , soit engagé entre la face inférieure de la plaque pivotante de la fixation et la face supérieure de la plate-forme centrale pour servir de butée inférieure d'appui constituant ainsi une cale de montée .
Selon un autre mode de réalisation , le dispositif cale de montée - bloqueur latéral est monté coulissant par rapport au tamis pour pouvoir passer par translation d'une position inactive désengagée à une position active engagée dans laquelle une partie de l'élément coulissant se retrouve soit engagée dans l'épaisseur de la plaque pivotante ou entre la face supérieure de la plaque pivotante et la semelle de la chaussure pour immobiliser en rotation ladite plaque pivotante de la fixation , soit engagé entre la face inférieure de la plaque pivotante de la fixation et la face supérieure de la plate-forme centrale pour servir de butée inférieure d'appui et constituer ainsi une cale de montée.
Cette implantation sensiblement centrale du dispositif cale de montée -bloqueur offre par rapport à la disposition arrière classique l'avantage de solliciter beaucoup moins durement en flexion la plaque pivotante de la fixation en position cale de montée tout en pouvant disposer par ailleurs d'une cale de montée offrant un calage angulaire plus important pour une hauteur de cale identique au départ et ce en raison de la position plus avancée de ladite cale
La cale de montée - bloqueur habituellement positionnée en arrière de l'extrémité arrière de la plaque pivotante de la fixation peut être avantageusement remplacée par un dispositif assurant cette fonction de cale de montée et/ou de bloqueur qui soit positionné latéralement par rapport à
ladite plaque de fixation. Ce dispositif latéral, alors positionné
avantageusement coté extérieur du tamis, étant alors implanté entre le bord latéral de la plaque pivotante de la fixation et le bord latéral extrême correspondant du tamis .
Selon un premier mode de réalisation, ce dispositif latéral est rotatif et il est relié à la plate-forme centrale du tamis ou directement au tamis par un axe ,vertical ou par un axe sensiblement horizontal autour duquel il peut pivoter pour passer d'une position inactive désengagée à une position active engagée dans laquelle une partie de l'élément ro~atif se trouve soit engagée dans l'épaisseur de la plaque pivotante ou entre la face supérieure de la plaque pivotante et la semelle de la chaussure pour immobiliser en rotation la plaque pivotante de la fixation , soit engagé entre la face inférieure de la plaque pivotante de la fixation et la face supérieure de la plate-forme centrale pour servir de butée inférieure d'appui constituant ainsi une cale de montée .
Selon un autre mode de réalisation , le dispositif cale de montée - bloqueur latéral est monté coulissant par rapport au tamis pour pouvoir passer par translation d'une position inactive désengagée à une position active engagée dans laquelle une partie de l'élément coulissant se retrouve soit engagée dans l'épaisseur de la plaque pivotante ou entre la face supérieure de la plaque pivotante et la semelle de la chaussure pour immobiliser en rotation ladite plaque pivotante de la fixation , soit engagé entre la face inférieure de la plaque pivotante de la fixation et la face supérieure de la plate-forme centrale pour servir de butée inférieure d'appui et constituer ainsi une cale de montée.
Cette implantation sensiblement centrale du dispositif cale de montée -bloqueur offre par rapport à la disposition arrière classique l'avantage de solliciter beaucoup moins durement en flexion la plaque pivotante de la fixation en position cale de montée tout en pouvant disposer par ailleurs d'une cale de montée offrant un calage angulaire plus important pour une hauteur de cale identique au départ et ce en raison de la position plus avancée de ladite cale
5 qui se retrouve positionnée plus près de l'axe de pivotement de la plaque de fixation.
Selon une autre caractéristique, l'élément constituant le cadre périphérique du tamis comprend au moins deux bras latéraux s'étendant dans le sens longitudinal sur une partie au moins de la longueur de la raquette . Les deux bras latéraux sont solidarisés par leur extrémité avant à la partie relevée du tamis constituant la spatule de la raquette .
Dans le sens transversal du tamis, les deux bras latéraux sont reliés entre eux par au moins une plaque ou une poutre de liaison transversale .
Selon un mode préférentiel de réalisation les deux bras sont reliés entre eux par au moins deux poutres transversales , une poutre transversale avant se rattachant auxdits bras latéraux dans une zone positionnée dans leur demi-longueur avant et au moins une poutre transversale arrière se rattachant auxdits bras latéraux dans une zone positionnée dans leur demi-longueur arrière.
Selon un mode préférentiel de réalisation, la poutre transversale avant susmentionnée est positionnée en arrière et à proximité immédiate de l'axe de pivotement reliant la plaque de fixation, supportant la chaussure, à la plate-forme centrale du tamis.
Selon un premier mode de réalisation, la poutre transversale arrière est solidarisée aux bras latéraux au niveau de leur extrémité arrière de telle sorte que le cadre du tamis est ainsi fermé vers l'arrière.
Selon un autre mode de réalisation la poutre transversale arrière est solidarisée aux bras latéraux dans une zone située en avant de leur extrémité
Selon une autre caractéristique, l'élément constituant le cadre périphérique du tamis comprend au moins deux bras latéraux s'étendant dans le sens longitudinal sur une partie au moins de la longueur de la raquette . Les deux bras latéraux sont solidarisés par leur extrémité avant à la partie relevée du tamis constituant la spatule de la raquette .
Dans le sens transversal du tamis, les deux bras latéraux sont reliés entre eux par au moins une plaque ou une poutre de liaison transversale .
Selon un mode préférentiel de réalisation les deux bras sont reliés entre eux par au moins deux poutres transversales , une poutre transversale avant se rattachant auxdits bras latéraux dans une zone positionnée dans leur demi-longueur avant et au moins une poutre transversale arrière se rattachant auxdits bras latéraux dans une zone positionnée dans leur demi-longueur arrière.
Selon un mode préférentiel de réalisation, la poutre transversale avant susmentionnée est positionnée en arrière et à proximité immédiate de l'axe de pivotement reliant la plaque de fixation, supportant la chaussure, à la plate-forme centrale du tamis.
Selon un premier mode de réalisation, la poutre transversale arrière est solidarisée aux bras latéraux au niveau de leur extrémité arrière de telle sorte que le cadre du tamis est ainsi fermé vers l'arrière.
Selon un autre mode de réalisation la poutre transversale arrière est solidarisée aux bras latéraux dans une zone située en avant de leur extrémité
6 arrière de telle sorte que, lorsqu'il est observé en vue de dessus, le cadre du tamis est alors conformé en forme de U ouvert vers l'arrière.
Selon une autre caractéristique, la face avant des poutres transversales susmentionnées est avantageusement inclinée pour permettre au tamis de mieux remonter à la surface de la neige lorsque , au moment du pas, la raquette arrière est ramenée vers l'avant .
Selon un premier mode de réalisation, la plate-forme centrale qui est rigide est reliée au cadre du tamis , via la ou les poutres transversales, par des moyens élastiquement déformables permettant à ladite plate-forme de s'incliner latéralement de part et d'autre de sa position neutre dans laquelle elle est automatiquement rappelée dès que le tamis n'est plus chargé c'est-à-dire lorsqu'il n'est plus en appui sur le sol .
Selon un autre mode de réalisation, la plate-forme centrale est reliée à l'une des poutres transversales, avant ou arrière, par des moyens élastiquement déformable et à l'autre poutre transversale , arrière ou avant, par une rotule autorisant un mouvement de rotation autour des trois axes orthogonaux ou par un cardan autorisant un pivotement autour d'au moins un axe horizontal disposé longitudinalement par rapport à la raquette et d'au moins un axe horizontal disposé transversalement par rapport à la raquette.
Selon un autre mode de réalisation , la plate-forme centrale est reliée aux poutres transversales du tamis soit par un axe longitudinal avantageusement disposé au dessous de la face inférieure de ladite plate-forme centrale, soit par deux cardans ou par deux rotules associés à des moyens assurant le rappel automatique de la plate-forme dans sa position neutre lorsque le tamis n'est plus en appui sur le sol.
Selon un autre mode de réalisation, la plate-forme centrale est reliée aux bras latéraux du tamis etfou aux poutres transversales par au moins deux biellettes avant et deux biellettes arrières , chacune desdites biellettes étant reliée à
un
Selon une autre caractéristique, la face avant des poutres transversales susmentionnées est avantageusement inclinée pour permettre au tamis de mieux remonter à la surface de la neige lorsque , au moment du pas, la raquette arrière est ramenée vers l'avant .
Selon un premier mode de réalisation, la plate-forme centrale qui est rigide est reliée au cadre du tamis , via la ou les poutres transversales, par des moyens élastiquement déformables permettant à ladite plate-forme de s'incliner latéralement de part et d'autre de sa position neutre dans laquelle elle est automatiquement rappelée dès que le tamis n'est plus chargé c'est-à-dire lorsqu'il n'est plus en appui sur le sol .
Selon un autre mode de réalisation, la plate-forme centrale est reliée à l'une des poutres transversales, avant ou arrière, par des moyens élastiquement déformable et à l'autre poutre transversale , arrière ou avant, par une rotule autorisant un mouvement de rotation autour des trois axes orthogonaux ou par un cardan autorisant un pivotement autour d'au moins un axe horizontal disposé longitudinalement par rapport à la raquette et d'au moins un axe horizontal disposé transversalement par rapport à la raquette.
Selon un autre mode de réalisation , la plate-forme centrale est reliée aux poutres transversales du tamis soit par un axe longitudinal avantageusement disposé au dessous de la face inférieure de ladite plate-forme centrale, soit par deux cardans ou par deux rotules associés à des moyens assurant le rappel automatique de la plate-forme dans sa position neutre lorsque le tamis n'est plus en appui sur le sol.
Selon un autre mode de réalisation, la plate-forme centrale est reliée aux bras latéraux du tamis etfou aux poutres transversales par au moins deux biellettes avant et deux biellettes arrières , chacune desdites biellettes étant reliée à
un
7 bras latéral du tamis ou à l'une des poutres transversales par l'une de ses extrémités tandis que son autre extrémité est reliée à la plate-forme centrale , des moyens élastiques assurant comme dans les montages précédents le rappel automatique de la plate-forme dans sa position neutre lorsque le tamis n'est plus en contact avec le sol.
Il est important d'insister sur l'intérêt capital dudit rappel automatique de la plateforme en position neutre dès que le tamis n'est plus chargé car tous les dispositifs de l'art antérieurs qui autorisent un mouvement relatif d'inclinaison latérale de la chaussure par rapport au tamis mais qui ne comportent pas de moyens de rappel en position neutre se révèlent très rapidement inconfortables, fatigants et surtout dangereux pour les chevilles car difficiles à
contrôler. En effet, lors du soulèvement du pied, le pivotement de la plaque de fixation autour de son axe resté incliné se traduit par le déplacement vers l'extérieur de l'extrémité arrière du tamis de la raquette amont et vers l'intérieur de l'extrémité arrière du tamis de la raquette aval et de ce fait les raquettes ne restent donc pas dans le sillage creusé dans la neige profonde par leur spatule ce qui freine considérablement la marche et la rend beaucoup plus pénible . Par ailleurs l'absence de moyens de rappel au neutre de la plateforme centrale associée au fait que la configuration des tamis de l'art antérieur ne permet pas d'assurer une répartition uniforme de la pression sur toute la surface du tamis, ce qui constitue pourtant une condition incontournable pour garantir le positionnement horizontal de la raquette en neige profonde, font que les raquettes de l'art antérieur se mettent très facilement en position inclinée sur le coté ce qui tout à la fois diminue la surface portante de la raquette et entraîne par ailleurs très fréquemment un versement sur le coté
intempestif et brutal de la raquette avec tous les risques de traumatismes articulaires au niveau de la cheville que cela entraîne .
Selon un premier mode de réalisation, Les moyens élastiquement déformables assurant la liaison entre la plate-forme centrale et le cadre du tamis sont constitués par un élément de liaison élastique présentant une bonne résistance à la déformation dans le sens longitudinal de la raquette mais qui est par contre facilement élastiquement déformable en flexion dans le sens
Il est important d'insister sur l'intérêt capital dudit rappel automatique de la plateforme en position neutre dès que le tamis n'est plus chargé car tous les dispositifs de l'art antérieurs qui autorisent un mouvement relatif d'inclinaison latérale de la chaussure par rapport au tamis mais qui ne comportent pas de moyens de rappel en position neutre se révèlent très rapidement inconfortables, fatigants et surtout dangereux pour les chevilles car difficiles à
contrôler. En effet, lors du soulèvement du pied, le pivotement de la plaque de fixation autour de son axe resté incliné se traduit par le déplacement vers l'extérieur de l'extrémité arrière du tamis de la raquette amont et vers l'intérieur de l'extrémité arrière du tamis de la raquette aval et de ce fait les raquettes ne restent donc pas dans le sillage creusé dans la neige profonde par leur spatule ce qui freine considérablement la marche et la rend beaucoup plus pénible . Par ailleurs l'absence de moyens de rappel au neutre de la plateforme centrale associée au fait que la configuration des tamis de l'art antérieur ne permet pas d'assurer une répartition uniforme de la pression sur toute la surface du tamis, ce qui constitue pourtant une condition incontournable pour garantir le positionnement horizontal de la raquette en neige profonde, font que les raquettes de l'art antérieur se mettent très facilement en position inclinée sur le coté ce qui tout à la fois diminue la surface portante de la raquette et entraîne par ailleurs très fréquemment un versement sur le coté
intempestif et brutal de la raquette avec tous les risques de traumatismes articulaires au niveau de la cheville que cela entraîne .
Selon un premier mode de réalisation, Les moyens élastiquement déformables assurant la liaison entre la plate-forme centrale et le cadre du tamis sont constitués par un élément de liaison élastique présentant une bonne résistance à la déformation dans le sens longitudinal de la raquette mais qui est par contre facilement élastiquement déformable en flexion dans le sens
8 transversal de la raquette . Cet élément de liaison élastique est avantageusement configuré en forme générale d'un X qui s'étend dans le sens transversal du tamis et dont l'axe vertical est disposé dans l'axe longitudinal médian de la raquette.
Les deux branches supérieures de l'élément de liaison-flexion élastique en X
sont solidaires de la plateforme centrale tandis que les deux branches inférieures dudit élément de liaison sont solidaires de la poutre transversale avant ou arrière correspondante . Pour chacun des deux cotés dudit élément de liaison-flexion en X une membrane plus ou moins épaisse ayant un coefficient d'élasticité supérieur à celui de la poutre transversale et de la plate-forme de support et donc réalisée dans une matière présentant de grandes capacités élastiques telle que notamment des caoutchoucs naturels ou synthétiques, relie une branche inférieure de l'élément de flexion en X à la branche supérieure correspondante dudit élément en X.
On comprend dès lors que toute sollicitation en inclinaison latérale de la plate-forme centrale par rapport au cadre du tamis tendant à rapprocher une branche supérieure de l'élément de flexion en X de la branche inférieure correspondante du X se traduit par la mise en tension de la membrane opposée située entre les deux autres branches du X, laquelle tension rappelle automatiquement la plate-forme centrale dans sa position horizontale neutre aussitôt que cesse la contrainte d'inclinaison exercée par l'appui du pied sur ladite plate-forme via la plaque de fixation .
La plate-forme de support peut être avantageusement reliée à la partie arrière du cadre par un axe de liaison additionnel, lequel s'étend longitudinalement sensiblement dans le plan vertical longitudinal moyen du tamis. Tout risque de déplacement en vrillage de la plate-forme par rapport au cadre périphérique est ainsi évité dans les dévers.
De tels dispositifs dont les moyens de flexion et de rappel sont constitués d'éléments élastiquement déformables tels que décrits ci avant offre par rapport à une articulation autour d'axes ou de biellette l'immense avantage d'être facile à réaliser , économique, fiable, sans usure, donc sans jeu ,
Les deux branches supérieures de l'élément de liaison-flexion élastique en X
sont solidaires de la plateforme centrale tandis que les deux branches inférieures dudit élément de liaison sont solidaires de la poutre transversale avant ou arrière correspondante . Pour chacun des deux cotés dudit élément de liaison-flexion en X une membrane plus ou moins épaisse ayant un coefficient d'élasticité supérieur à celui de la poutre transversale et de la plate-forme de support et donc réalisée dans une matière présentant de grandes capacités élastiques telle que notamment des caoutchoucs naturels ou synthétiques, relie une branche inférieure de l'élément de flexion en X à la branche supérieure correspondante dudit élément en X.
On comprend dès lors que toute sollicitation en inclinaison latérale de la plate-forme centrale par rapport au cadre du tamis tendant à rapprocher une branche supérieure de l'élément de flexion en X de la branche inférieure correspondante du X se traduit par la mise en tension de la membrane opposée située entre les deux autres branches du X, laquelle tension rappelle automatiquement la plate-forme centrale dans sa position horizontale neutre aussitôt que cesse la contrainte d'inclinaison exercée par l'appui du pied sur ladite plate-forme via la plaque de fixation .
La plate-forme de support peut être avantageusement reliée à la partie arrière du cadre par un axe de liaison additionnel, lequel s'étend longitudinalement sensiblement dans le plan vertical longitudinal moyen du tamis. Tout risque de déplacement en vrillage de la plate-forme par rapport au cadre périphérique est ainsi évité dans les dévers.
De tels dispositifs dont les moyens de flexion et de rappel sont constitués d'éléments élastiquement déformables tels que décrits ci avant offre par rapport à une articulation autour d'axes ou de biellette l'immense avantage d'être facile à réaliser , économique, fiable, sans usure, donc sans jeu ,
9 silencieux, et son fonctionnement ne peut être perturbé par le gel . A
contrario, pour ne pas être rendues très rapidement inopérantes par les infiltrations de neige et par le gel les dispositifs de l'art antérieur faisant appel à des articulations par des axes ou des biellettes exigent des moyens d'étanchéité
très efficaces très difficiles à réaliser, coûteux et très vulnérables contre les pierres ou les blocs de glace .
Selon une autre caractéristique, la dureté, et/ou l'élasticité, et/ou la forme et/ou l'épaisseur, et/ou les dimensions des moyens élastiques assurant le rappel en position neutre de la plate-forme qui sont disposés du coté
intérieur de la raquette , et qui sont donc situés entre les deux plans longitudinaux verticaux moyens des deux raquettes disposés dans leur configuration de marche , sont différents des moyens élastiques correspondants disposés du coté extérieur de la raquette donc à l'extérieur des deux plans longitudinaux verticaux moyens des deux raquettes disposés dans leur configuration de marche . Cette conception asymétrique des moyens de rappel se traduit par une asymétrie des forces de rappel développées par lesdits moyens , ainsi lorsque ces moyens de rappel travaillent en traction, la force de rappel développée par les moyens de rappel disposés coté intérieur des raquettes est avantageusement plus faible que celle développée par les moyens de rappel disposés coté extérieur des raquettes et ce pour permettre une inclinaison plus facile et si possible une inclinaison plus importante de la raquette amont, toujours plus difficile à contrôler du fait de sa position surélevée, que pour la raquette aval Bien sûr , dans le cas où les moyens de rappel travaillent en compression et non en traction , les impératifs seront alors diamétralement opposés, la force de rappel développée par les moyens de rappel disposés coté intérieur des raquettes étant alors avantageusement plus forte que celle développée par les moyens de rappel disposés coté extérieur des raquettes.
On peut aussi concevoir que les moyens de rappel sont constitués d'éléments élastiquement déformables dont certains au moins sont conçus pour travailler à
la fois en traction et en compression ainsi les forces de rappel sont constituées à la fois par la force de traction développée par l'élément sollicité en traction tandis que l'élément opposé du même élément de liaison en X qui, lui, est donc sollicité en compression développe une force de poussée contribuant grandement au rappel en position neutre de la plate-forme centrale par rapport 5 au tamis.
Selon une autre caractéristique , les moyens de rappel peuvent être proposés dans différentes versions développant chacune des forces de rappel spécifiques et ce pour permettre à l'utilisateur de choisir la force de rappel la
contrario, pour ne pas être rendues très rapidement inopérantes par les infiltrations de neige et par le gel les dispositifs de l'art antérieur faisant appel à des articulations par des axes ou des biellettes exigent des moyens d'étanchéité
très efficaces très difficiles à réaliser, coûteux et très vulnérables contre les pierres ou les blocs de glace .
Selon une autre caractéristique, la dureté, et/ou l'élasticité, et/ou la forme et/ou l'épaisseur, et/ou les dimensions des moyens élastiques assurant le rappel en position neutre de la plate-forme qui sont disposés du coté
intérieur de la raquette , et qui sont donc situés entre les deux plans longitudinaux verticaux moyens des deux raquettes disposés dans leur configuration de marche , sont différents des moyens élastiques correspondants disposés du coté extérieur de la raquette donc à l'extérieur des deux plans longitudinaux verticaux moyens des deux raquettes disposés dans leur configuration de marche . Cette conception asymétrique des moyens de rappel se traduit par une asymétrie des forces de rappel développées par lesdits moyens , ainsi lorsque ces moyens de rappel travaillent en traction, la force de rappel développée par les moyens de rappel disposés coté intérieur des raquettes est avantageusement plus faible que celle développée par les moyens de rappel disposés coté extérieur des raquettes et ce pour permettre une inclinaison plus facile et si possible une inclinaison plus importante de la raquette amont, toujours plus difficile à contrôler du fait de sa position surélevée, que pour la raquette aval Bien sûr , dans le cas où les moyens de rappel travaillent en compression et non en traction , les impératifs seront alors diamétralement opposés, la force de rappel développée par les moyens de rappel disposés coté intérieur des raquettes étant alors avantageusement plus forte que celle développée par les moyens de rappel disposés coté extérieur des raquettes.
On peut aussi concevoir que les moyens de rappel sont constitués d'éléments élastiquement déformables dont certains au moins sont conçus pour travailler à
la fois en traction et en compression ainsi les forces de rappel sont constituées à la fois par la force de traction développée par l'élément sollicité en traction tandis que l'élément opposé du même élément de liaison en X qui, lui, est donc sollicité en compression développe une force de poussée contribuant grandement au rappel en position neutre de la plate-forme centrale par rapport 5 au tamis.
Selon une autre caractéristique , les moyens de rappel peuvent être proposés dans différentes versions développant chacune des forces de rappel spécifiques et ce pour permettre à l'utilisateur de choisir la force de rappel la
10 mieux adaptée à son poids, à sa façon de marcher et au profil du parcours emprunté , lesdites différentes versions de raquettes étant avantageusement repérées par des couleurs spécifiques des éléments de liaison en X et/ou des éléments élastiques que comportent ces éléments de liaison .
is Selon une autre caractéristique, les moyens de flexion et de rappel susmentionnés sont conçus de manière à permettre une inclinaison latérale de la plateforme centrale par rapport au cadre du tamis qui soit plus importante dans un sens, soit vers l'extérieur ou soit vers l'intérieur, que dans l'autre donc respectivement vers l'intérieur ou vers l'extérieur et en particulier une inclinaison latérale pour la plate-forme centrale de la raquette amont plus importante que pour la raquette aval et ce dans le but d'une part de favoriser la prise de carre de la raquette aval et d'autre part de minimiser au mieux le décalage vertical entre la raquette amont et la raquette aval .
Selon une autre caractéristiques, les moyens de flexion et de rappel susmentionnés peuvent être associés à des butées latérales limitant leur débattement angulaire d'un coté et /ou de l'autre en limitant ainsi l'inclinaison possible d'un coté et/ou de l'autre de la plate-forme centrale par rapport au cadre du tamis. Selon un mode de réalisation préférentiel , la limitation des débattements angulaires est assurée par la venue en contact de la plate-forme avec les zones correspondantes d'au moins l'une des poutres transversales.
Selon un premier mode de réalisation, chacun des éléments de liaison -flexion élastiques susmentionnés constitue une pièce rapportée et interchangeable
is Selon une autre caractéristique, les moyens de flexion et de rappel susmentionnés sont conçus de manière à permettre une inclinaison latérale de la plateforme centrale par rapport au cadre du tamis qui soit plus importante dans un sens, soit vers l'extérieur ou soit vers l'intérieur, que dans l'autre donc respectivement vers l'intérieur ou vers l'extérieur et en particulier une inclinaison latérale pour la plate-forme centrale de la raquette amont plus importante que pour la raquette aval et ce dans le but d'une part de favoriser la prise de carre de la raquette aval et d'autre part de minimiser au mieux le décalage vertical entre la raquette amont et la raquette aval .
Selon une autre caractéristiques, les moyens de flexion et de rappel susmentionnés peuvent être associés à des butées latérales limitant leur débattement angulaire d'un coté et /ou de l'autre en limitant ainsi l'inclinaison possible d'un coté et/ou de l'autre de la plate-forme centrale par rapport au cadre du tamis. Selon un mode de réalisation préférentiel , la limitation des débattements angulaires est assurée par la venue en contact de la plate-forme avec les zones correspondantes d'au moins l'une des poutres transversales.
Selon un premier mode de réalisation, chacun des éléments de liaison -flexion élastiques susmentionnés constitue une pièce rapportée et interchangeable
11 solidarisée à la fois à la plateforme centrale et à la poutre transversale concernée par clipsage , par collage , par rivetage, par soudure haute fréquence ou par tout autre moyen adapté.
Selon une autre caractéristique, l'élément de liaison-flexion en X , à
l'exception des membranes élastiquement déformables assurant le rappel , peut constituer un ensemble Monolithique avec la plateforme centrale et/ou avec la poutre transversale à laquelle il est associé .
Selon un mode de réalisation particulier la plate-forme centrale et les poutres transversales sont moulées en une seule opération et les branches supérieures du X peuvent alors être avantageusement constituées purement et simplement par la sous face de la plate-forme centrale tandis que les branches inférieures dudit élément de flexion sont constituées par la face supérieure correspondante de la poutre transversale concernée , la plate-forme centrale étant alors reliée à la poutre transversale par au moins une lame de liaison solidaire de la plate-forme et de la poutre transversale concernée .
La lame de liaison susmentionnée est disposée verticalement et positionnée ou non dans le plan vertical longitudinal médian du tamis et elle s'étend avantageusement dans le sens longitudinal de la raquette tout en étant par ailleurs suffisamment mince et/ou suffisamment souple pour pouvoir se déformer dans le sens latéral de part et d'autre en constituant ainsi une charnière souple sans axe . La lame de liaison susmentionnées peut être suffisamment robuste et élastique pour assurer à la fois la flexion et le rappel élastique en position neutre de la plate-forme centrale par rapport au tamis .
Dans le cas où la lame de liaison ci avant mentionnée n'est pas conçue pour assurer le rappel en position neutre de la plate-forme centrale , ce rappel est alors assuré par des lames élastiques reliées par l'une de leur extrémité à la plate-forme centrale et par leur autre extrémité soit à la poutre transversale correspondante soit directement au bras latéral correspondant du tamis .
La paroi médiane mince de liaison ci-avant mentionnée peut être complétée ou même remplacée par deux lames de liaison disposées de part et d'autre du plan longitudinal médian, lesdites lames étant alors configurées en soufflets
Selon une autre caractéristique, l'élément de liaison-flexion en X , à
l'exception des membranes élastiquement déformables assurant le rappel , peut constituer un ensemble Monolithique avec la plateforme centrale et/ou avec la poutre transversale à laquelle il est associé .
Selon un mode de réalisation particulier la plate-forme centrale et les poutres transversales sont moulées en une seule opération et les branches supérieures du X peuvent alors être avantageusement constituées purement et simplement par la sous face de la plate-forme centrale tandis que les branches inférieures dudit élément de flexion sont constituées par la face supérieure correspondante de la poutre transversale concernée , la plate-forme centrale étant alors reliée à la poutre transversale par au moins une lame de liaison solidaire de la plate-forme et de la poutre transversale concernée .
La lame de liaison susmentionnée est disposée verticalement et positionnée ou non dans le plan vertical longitudinal médian du tamis et elle s'étend avantageusement dans le sens longitudinal de la raquette tout en étant par ailleurs suffisamment mince et/ou suffisamment souple pour pouvoir se déformer dans le sens latéral de part et d'autre en constituant ainsi une charnière souple sans axe . La lame de liaison susmentionnées peut être suffisamment robuste et élastique pour assurer à la fois la flexion et le rappel élastique en position neutre de la plate-forme centrale par rapport au tamis .
Dans le cas où la lame de liaison ci avant mentionnée n'est pas conçue pour assurer le rappel en position neutre de la plate-forme centrale , ce rappel est alors assuré par des lames élastiques reliées par l'une de leur extrémité à la plate-forme centrale et par leur autre extrémité soit à la poutre transversale correspondante soit directement au bras latéral correspondant du tamis .
La paroi médiane mince de liaison ci-avant mentionnée peut être complétée ou même remplacée par deux lames de liaison disposées de part et d'autre du plan longitudinal médian, lesdites lames étant alors configurées en soufflets
12 d'accordéon ou dans toute autre forme autorisant leur élongation pour permettre l'inclinaison de la plateforme centrale par rapport au cadre du tamis .
Ces lames de liaisons peuvent avoir comme seule fonction d'assurer le maintien en position de la plateforme par rapport au cadre du tamis , le rappel en position neutre de la plateforme centrale étant alors assuré par des moyens de rappel indépendants desdites lames de liaison ou au contraire ces lames de liaison disposées de part et d'autre du plan médian du tamis sont réalisées dans une matières suffisamment élastiques pour permettre l'inclinaison de la plate-forme centrale et pour assurer ensuite le rappel automatique de ladite plateforme en position neutre .
Selon un autre mode de réalisation de la raquette selon l'invention, une poutre longitudinale dont l'axe longitudinal est sensiblement contenu dans le plan longitudinal médian du tamis relie la poutre transversale avant à la poutre transversale arrière et les moyens de liaison , de flexion latérale et de rappel de la plate-forme centrale par rapport au cadre du tamis sont constitués par une lame, flexible dans le sens transversal, disposée de champ et s'étendant longitudinalement entre la face supérieure de la poutre longitudinale médiane et la face inférieure de la plate-forme centrale . Ladite lame de flexion , solidarisée à la plate-forme centrale par sa face supérieure et à la poutre longitudinale par sa face inférieure , étant réalisée dans la même matière que celle de la plate-forme centrale et/ou que celle de la poutre longitudinale et/ou dans une matière présentant les qualités requises de flexibilité et de tenue dans le temps aux flexions alternées.
Selon une autre caractéristique , au niveau du plan longitudinal médian du tamis , la face supérieure de la poutre transversale arrière est avantageusement plus éloignée en altitude par rapport au plan horizontal sur lequel repose la raquette que ne l'est la face supérieure de la poutre transversale avant de telle sorte que la plate-forme centrale est légèrement inclinée dans le sens longitudinal de la raquette selon une direction s'étendant de l'avant vers le bas à l'arrière vers le haut . Lors du basculement latéral vers l'amont de la plate-forme centrale, une telle disposition offre l'avantage de
Ces lames de liaisons peuvent avoir comme seule fonction d'assurer le maintien en position de la plateforme par rapport au cadre du tamis , le rappel en position neutre de la plateforme centrale étant alors assuré par des moyens de rappel indépendants desdites lames de liaison ou au contraire ces lames de liaison disposées de part et d'autre du plan médian du tamis sont réalisées dans une matières suffisamment élastiques pour permettre l'inclinaison de la plate-forme centrale et pour assurer ensuite le rappel automatique de ladite plateforme en position neutre .
Selon un autre mode de réalisation de la raquette selon l'invention, une poutre longitudinale dont l'axe longitudinal est sensiblement contenu dans le plan longitudinal médian du tamis relie la poutre transversale avant à la poutre transversale arrière et les moyens de liaison , de flexion latérale et de rappel de la plate-forme centrale par rapport au cadre du tamis sont constitués par une lame, flexible dans le sens transversal, disposée de champ et s'étendant longitudinalement entre la face supérieure de la poutre longitudinale médiane et la face inférieure de la plate-forme centrale . Ladite lame de flexion , solidarisée à la plate-forme centrale par sa face supérieure et à la poutre longitudinale par sa face inférieure , étant réalisée dans la même matière que celle de la plate-forme centrale et/ou que celle de la poutre longitudinale et/ou dans une matière présentant les qualités requises de flexibilité et de tenue dans le temps aux flexions alternées.
Selon une autre caractéristique , au niveau du plan longitudinal médian du tamis , la face supérieure de la poutre transversale arrière est avantageusement plus éloignée en altitude par rapport au plan horizontal sur lequel repose la raquette que ne l'est la face supérieure de la poutre transversale avant de telle sorte que la plate-forme centrale est légèrement inclinée dans le sens longitudinal de la raquette selon une direction s'étendant de l'avant vers le bas à l'arrière vers le haut . Lors du basculement latéral vers l'amont de la plate-forme centrale, une telle disposition offre l'avantage de
13 déplacer davantage encore vers l'amont la partie arrière de la fixation qui supporte la charge importante transmise dans le prolongement vertical de l'axe tibia-péroné ce qui contribue à rendre plus efficace la prise de carre amont tant pour la raquette amont que pour la raquette aval .
Dans tous les cas ou les moyens de rappel sont constitués par des éléments en matériaux souples élastiquement déformable travaillant en traction , ces moyens peuvent être solidarisés au support sur lequel ils exercent leur traction par un arrimage mécanique, ou par collage ou mieux encore par liaison chimique grâce à la technologie de l'injection plastique bi matière .
Selon une autre caractéristique d'un mode de réalisation différent des précédents, les moyens de rappel sont constitués par des éléments longs flexibles ayant la forme de lames ou de fils disposés transversalement ou au contraire longitudinalement par rapport au tamis ou encore par des ressorts de forme hélicoïdale ou de toute autre forme, réalisés en métal , en matériaux composites ou en matière thermoplastique ou dans toute autre matière présentant les caractéristiques idoines.
Selon une autre caractéristique, des crampons, constitués de pointes métalliques destinés à garantir un bon accrochage sur les neiges gelées, sont implantés sous la plate-forme centrale dont ils sont solidaires tandis que d'autres crampons sont éventuellement solidarisés au cadre périphérique du tamis et/ou aux poutres transversales et/ou , le cas échéant , à la poutre longitudinale centrale qui peut être avantageusement prolongée vers le bas pour servir de quille centrale au tamis et servir de lame de retenue transversale dans les dévers .
Selon une autre caractéristiques, les pointes des crampons solidaires de la plate-forme centrale se prolongent vers le bas jusqu'à un niveau inférieur à
celui des bords inférieurs des bras latéraux et des poutres transversales de telle sorte que sur terrain dur la charge appliquée sur la plate-forme centrale est entièrement reportée directement sur le sol via les crampons sans faire appel à l'appui du cadre du tamis sur le sol ce qui permet ainsi d'éviter de
Dans tous les cas ou les moyens de rappel sont constitués par des éléments en matériaux souples élastiquement déformable travaillant en traction , ces moyens peuvent être solidarisés au support sur lequel ils exercent leur traction par un arrimage mécanique, ou par collage ou mieux encore par liaison chimique grâce à la technologie de l'injection plastique bi matière .
Selon une autre caractéristique d'un mode de réalisation différent des précédents, les moyens de rappel sont constitués par des éléments longs flexibles ayant la forme de lames ou de fils disposés transversalement ou au contraire longitudinalement par rapport au tamis ou encore par des ressorts de forme hélicoïdale ou de toute autre forme, réalisés en métal , en matériaux composites ou en matière thermoplastique ou dans toute autre matière présentant les caractéristiques idoines.
Selon une autre caractéristique, des crampons, constitués de pointes métalliques destinés à garantir un bon accrochage sur les neiges gelées, sont implantés sous la plate-forme centrale dont ils sont solidaires tandis que d'autres crampons sont éventuellement solidarisés au cadre périphérique du tamis et/ou aux poutres transversales et/ou , le cas échéant , à la poutre longitudinale centrale qui peut être avantageusement prolongée vers le bas pour servir de quille centrale au tamis et servir de lame de retenue transversale dans les dévers .
Selon une autre caractéristiques, les pointes des crampons solidaires de la plate-forme centrale se prolongent vers le bas jusqu'à un niveau inférieur à
celui des bords inférieurs des bras latéraux et des poutres transversales de telle sorte que sur terrain dur la charge appliquée sur la plate-forme centrale est entièrement reportée directement sur le sol via les crampons sans faire appel à l'appui du cadre du tamis sur le sol ce qui permet ainsi d'éviter de
14 solliciter les moyens de flexion et de rappel susmentionnés tout en garantissant par ailleurs la parfaite stabilité dans le sens transversal de la plate-forme puisque celle-ci repose directement sur le soi par l'intermédiaire de ses seuls crampons . Cette disposition permet par ailleurs de bénéficier d'une pénétration importante des crampons dans les devers compte tenu de leur proéminence par rapport au reste des éléments constitutifs du tamis .
Selon une autre caractéristique, les crampons disposés dans la partie de la sous face de la plate-forme située du coté intérieur par rapport au plan longitudinal médian du tamis sont plus nombreux et/ou plus grands et/ou plus larges que les crampons disposés dans la partie de la sous face de la plate-forme située du coté extérieur par rapport au plan longitudinal médian et cette configuration asymétrique desdits crampons et/ou de leur répartition est en relation directe avec le fait que la partie intérieure de ladite plate - forme est plus chargée que ne l'est la partie extérieure et qu'il est donc logique et nécessaire de tenir compte de cette asymétrie des charges pour obtenir une pénétration homogène de l'ensemble des crampons dans le sol . En outre cette disposition asymétrique des crampons permet, dans les dévers , de bénéficier d'un effet de cramponnage très efficace de la raquette aval , qui est la plus importante pour la stabilité en devers , grâce aux crampons importants et nombreux implantés dans la partie amont de sa plate -forme centrale tout en bénéficiant par ailleurs pour la raquette amont d'une pénétration facile, malgré
une charge moins élevée, des crampons plus petits et/ou moins nombreux implantés dans la partie amont de la plate-forme de la raquette amont toujours plus difficile à contrôler que la raquette aval .
Selon une autre caractéristique certains au moins des bords inférieurs des poutres transversales sont dentelés pour améliorer l'accrochage de la raquette dans les dévers sur les neiges dures .
Selon une autre caractéristique et selon un mode particulier de réalisation, le tamis de la raquette est avantageusement asymétrique de sorte que la partie du tamis située d'un coté du plan longitudinal vertical moyen dudit tamis est différente de la partie située de l'autre coté dudit plan vertical longitudinal moyen .
selon un premier mode de réalisation la plateforme centrale ainsi que le cas 5 échéant la spatule du tamis sont symétriques par rapport audit plan longitudinal moyen tandis que le cadre périphérique et/ou la spatule et/ou l'un ou l'autre des élément transversaux de liaison sont asymétriques .
Selon un autre mode de réalisation , l'asymétrie concerne à la fois la 10 plateforme centrale , la spatule et le cadre périphérique du tamis.
Dans tous les cas évoqués ci avant , le tamis de la raquette de gauche reste symétrique au tamis de la raquette de droite par rapport à l'axe de la marche lorsque les deux tamis sont posés cote à cote sur le sol.
L'asymétrie du tamis se justifie pleinement par l'asymétrie du pied lui-même et
Selon une autre caractéristique, les crampons disposés dans la partie de la sous face de la plate-forme située du coté intérieur par rapport au plan longitudinal médian du tamis sont plus nombreux et/ou plus grands et/ou plus larges que les crampons disposés dans la partie de la sous face de la plate-forme située du coté extérieur par rapport au plan longitudinal médian et cette configuration asymétrique desdits crampons et/ou de leur répartition est en relation directe avec le fait que la partie intérieure de ladite plate - forme est plus chargée que ne l'est la partie extérieure et qu'il est donc logique et nécessaire de tenir compte de cette asymétrie des charges pour obtenir une pénétration homogène de l'ensemble des crampons dans le sol . En outre cette disposition asymétrique des crampons permet, dans les dévers , de bénéficier d'un effet de cramponnage très efficace de la raquette aval , qui est la plus importante pour la stabilité en devers , grâce aux crampons importants et nombreux implantés dans la partie amont de sa plate -forme centrale tout en bénéficiant par ailleurs pour la raquette amont d'une pénétration facile, malgré
une charge moins élevée, des crampons plus petits et/ou moins nombreux implantés dans la partie amont de la plate-forme de la raquette amont toujours plus difficile à contrôler que la raquette aval .
Selon une autre caractéristique certains au moins des bords inférieurs des poutres transversales sont dentelés pour améliorer l'accrochage de la raquette dans les dévers sur les neiges dures .
Selon une autre caractéristique et selon un mode particulier de réalisation, le tamis de la raquette est avantageusement asymétrique de sorte que la partie du tamis située d'un coté du plan longitudinal vertical moyen dudit tamis est différente de la partie située de l'autre coté dudit plan vertical longitudinal moyen .
selon un premier mode de réalisation la plateforme centrale ainsi que le cas 5 échéant la spatule du tamis sont symétriques par rapport audit plan longitudinal moyen tandis que le cadre périphérique et/ou la spatule et/ou l'un ou l'autre des élément transversaux de liaison sont asymétriques .
Selon un autre mode de réalisation , l'asymétrie concerne à la fois la 10 plateforme centrale , la spatule et le cadre périphérique du tamis.
Dans tous les cas évoqués ci avant , le tamis de la raquette de gauche reste symétrique au tamis de la raquette de droite par rapport à l'axe de la marche lorsque les deux tamis sont posés cote à cote sur le sol.
L'asymétrie du tamis se justifie pleinement par l'asymétrie du pied lui-même et
15 par la répartition asymétrique du poids de l'utilisateur et de sa charge en trois zones particulière : une première zone située au niveau du talon , dans l'axe tibia-péroné , supporte environ quarante cinq pour cent ( 45 % ) du poids total, une seconde zone positionnée sensiblement au niveau de la tête du métatarse du gros orteil supporte environ quarante pour cent ( 40 % ) du poids total tandis qu'une troisième zone située sensiblement au niveau de la tête du métatarse du petit doigt de pied supporte, elle, seulement quinze pour cent ( 15 % ) du poids total .
Or, pour que la raquette reste sensiblement horizontale lorsque l'utilisateur se déplace en neige profonde il est impératif que la pression d'appui soit homogène et sensiblement identique sous toute la surface du tamis , il s'ensuit que la surface d'appui du tamis située du coté intérieur , par rapport au plan longitudinal vertical moyen du tamis passant par l'axe tibia péroné , est la plus chargée et qu'en conséquence elle doit être plus grande que ne l'est la surface d'appui du tamis située du coté extérieur par rapport audit plan vertical longitudinal moyen du tamis.
A l'opposé, il est par ailleurs important que la partie intérieure des tamis gauche et droite, située l'une et l'autre donc entre les deux plans longitudinaux verticaux moyens des deux raquettes, soient les plus étroites possible pour
Or, pour que la raquette reste sensiblement horizontale lorsque l'utilisateur se déplace en neige profonde il est impératif que la pression d'appui soit homogène et sensiblement identique sous toute la surface du tamis , il s'ensuit que la surface d'appui du tamis située du coté intérieur , par rapport au plan longitudinal vertical moyen du tamis passant par l'axe tibia péroné , est la plus chargée et qu'en conséquence elle doit être plus grande que ne l'est la surface d'appui du tamis située du coté extérieur par rapport audit plan vertical longitudinal moyen du tamis.
A l'opposé, il est par ailleurs important que la partie intérieure des tamis gauche et droite, située l'une et l'autre donc entre les deux plans longitudinaux verticaux moyens des deux raquettes, soient les plus étroites possible pour
16 que les raquettes ne se touchent pas lors de la marche et pour ne pas imposer de marcher les jambes écartées .
La prise en compte de ces différentes contraintes opposées font que selon une caractéristique importante de la raquette selon l'invention, la partie du tamis située du coté intérieur, par rapport au plan longitudinal vertical moyen du tamis passant par l'axe tibia péroné , est plus longue vers l'arrière et/ou vers l'avant que ne l'est la partie du tamis située du coté extérieur par rapport audit plan vertical longitudinal moyen du tamis.
Selon un mode préférentiel de réalisation, pour la raison évoquée ci avant, lorsque la raquette est observée en vue de dessus, l'extrémité arrière du bras latéral intérieur est située plus en arrière que l'extrémité arrière du bras latéral extérieur .
Selon une autre caractéristique, lorsque le tamis est observé en vue de dessus, le bord latéral coté intérieur du tamis s'étendant longitudinalement entre l'axe de pivotement de la fixation et l'extrémité arrière du tamis est avantageusement curviligne concave dans le sens longitudinal de la raquette tandis que le bords latéral extérieur correspondant est , lui avantageusement curviligne convexe dans le sens longitudinal de la raquette . Une telle disposition s'avère très intéressante dans les traversées en dévers puisqu'elle permet à la raquette aval de bénéficier d'une très bonne stabilité
longitudinale grâce aux deux points d'ancrage de l'arête amont situés pour l'un au voisinage de l'axe de pivotement de la fixation et pour l'autre au voisinage de l'extrémité
arrière du tamis . Dans le même temps, la raquette amont, dont la partie amont du tamis est moins chargée que la partie amont du tamis de la raquette aval , peut néanmoins bénéficier d'une prise de carre intéressante du fait de la concentration de l'appui sur la carre amont limité à une seule zone de ladite arête amont disposée entre l'axe de la fixation et l'extrémité arrière Selon une autre caractéristique, pour que la partie extérieure du tamis de la raquette nécessaire pour assurer la portance ne constitue pas un handicap dans les traversées en dévers en empêchant à la l'arête extérieure amont de pénétrer dans la neige , lorsque la raquette est posée sur un sol horizontal, le
La prise en compte de ces différentes contraintes opposées font que selon une caractéristique importante de la raquette selon l'invention, la partie du tamis située du coté intérieur, par rapport au plan longitudinal vertical moyen du tamis passant par l'axe tibia péroné , est plus longue vers l'arrière et/ou vers l'avant que ne l'est la partie du tamis située du coté extérieur par rapport audit plan vertical longitudinal moyen du tamis.
Selon un mode préférentiel de réalisation, pour la raison évoquée ci avant, lorsque la raquette est observée en vue de dessus, l'extrémité arrière du bras latéral intérieur est située plus en arrière que l'extrémité arrière du bras latéral extérieur .
Selon une autre caractéristique, lorsque le tamis est observé en vue de dessus, le bord latéral coté intérieur du tamis s'étendant longitudinalement entre l'axe de pivotement de la fixation et l'extrémité arrière du tamis est avantageusement curviligne concave dans le sens longitudinal de la raquette tandis que le bords latéral extérieur correspondant est , lui avantageusement curviligne convexe dans le sens longitudinal de la raquette . Une telle disposition s'avère très intéressante dans les traversées en dévers puisqu'elle permet à la raquette aval de bénéficier d'une très bonne stabilité
longitudinale grâce aux deux points d'ancrage de l'arête amont situés pour l'un au voisinage de l'axe de pivotement de la fixation et pour l'autre au voisinage de l'extrémité
arrière du tamis . Dans le même temps, la raquette amont, dont la partie amont du tamis est moins chargée que la partie amont du tamis de la raquette aval , peut néanmoins bénéficier d'une prise de carre intéressante du fait de la concentration de l'appui sur la carre amont limité à une seule zone de ladite arête amont disposée entre l'axe de la fixation et l'extrémité arrière Selon une autre caractéristique, pour que la partie extérieure du tamis de la raquette nécessaire pour assurer la portance ne constitue pas un handicap dans les traversées en dévers en empêchant à la l'arête extérieure amont de pénétrer dans la neige , lorsque la raquette est posée sur un sol horizontal, le
17 bord inférieur longitudinal du bras extérieur du tamis est avantageusement plus éloigné du sol que ne l'est le bord inférieur longitudinal du bras intérieur ce qui offre par ailleurs l'avantage d'éviter le dérapage latéral vers l'aval de la raquette aval grâce à une prise de carre plus efficace assurée par la hauteur plus importante de la lame disposée sensiblement verticalement qui constitue le bord extrême latéral intérieur dudit tamis .
Lors d'une marche en dévers toutes les caractéristiques évoquées permettent à l'ensemble constitué par la chaussure, la fixation à plaque et la plate-forme 1o centrale, de rester sensiblement disposées horizontalement tout en autorisant l'inclinaison du reste du tamis dans le sens transversal pour venir en appui sur la surface inclinée de la pente de neige. On évite ainsi l'angulation latérale des chevilles de l'utilisateur, tout en améliorant par ailleurs la tenue et l'ancrage dans la pente.
Dans les traversées en dévers, grâce à son articulation par charnières souples permettant, lors de l'inclinaison, un déplacement vers l'amont de l'ensemble constitué par la plateforme centrale, la fixation et la chaussure, le dispositif proposé permet en outre de déplacer vers l'amont la zone d'appui du pied lors de l'inclinaison de ladite plateforme ce qui permet de charger d'avantage la partie amont du tamis en allégeant ainsi la partie aval du tamis . Ce transfert d'appui vers l'amont permet d'assurer une excellente prise de carre tout en évitant par ailleurs le basculement intempestif de la raquette vers l'aval par pivotement autour de son bord latéral aval avec tous les risques que cela entraîne d'accidents articulaires au niveau de la chevilie comme cela est fréquent avec les systèmes pendulaires de l'art antérieur dont l'axe de pivotement est disposé au dessus du tamis et dont l'inclinaison latérale de la fixation se traduit alors par un transfert d'appui vers l'aval qui facilite énormément le déversement intempestif de la raquette vers l'aval .
Selon une autre caractéristique, lorsque la raquette est observée en vue de dessus ,(e basculement latéral de la plate-forme centrale peut s'opérer par rapport à une zone de pivotement s'étendant longitudinalement par rapport au tamis tout en étant disposée sensiblement symétriquement par rapport au plan
Lors d'une marche en dévers toutes les caractéristiques évoquées permettent à l'ensemble constitué par la chaussure, la fixation à plaque et la plate-forme 1o centrale, de rester sensiblement disposées horizontalement tout en autorisant l'inclinaison du reste du tamis dans le sens transversal pour venir en appui sur la surface inclinée de la pente de neige. On évite ainsi l'angulation latérale des chevilles de l'utilisateur, tout en améliorant par ailleurs la tenue et l'ancrage dans la pente.
Dans les traversées en dévers, grâce à son articulation par charnières souples permettant, lors de l'inclinaison, un déplacement vers l'amont de l'ensemble constitué par la plateforme centrale, la fixation et la chaussure, le dispositif proposé permet en outre de déplacer vers l'amont la zone d'appui du pied lors de l'inclinaison de ladite plateforme ce qui permet de charger d'avantage la partie amont du tamis en allégeant ainsi la partie aval du tamis . Ce transfert d'appui vers l'amont permet d'assurer une excellente prise de carre tout en évitant par ailleurs le basculement intempestif de la raquette vers l'aval par pivotement autour de son bord latéral aval avec tous les risques que cela entraîne d'accidents articulaires au niveau de la chevilie comme cela est fréquent avec les systèmes pendulaires de l'art antérieur dont l'axe de pivotement est disposé au dessus du tamis et dont l'inclinaison latérale de la fixation se traduit alors par un transfert d'appui vers l'aval qui facilite énormément le déversement intempestif de la raquette vers l'aval .
Selon une autre caractéristique, lorsque la raquette est observée en vue de dessus ,(e basculement latéral de la plate-forme centrale peut s'opérer par rapport à une zone de pivotement s'étendant longitudinalement par rapport au tamis tout en étant disposée sensiblement symétriquement par rapport au plan
18 longitudinal moyen du tamis mais cette zone de pivotement peut aussi avantageusement s'étendre longitudinalement selon une direction disposée obliquement et qui est concourante avec le plan axial de la marche en une position située en avant de la raquette ou au contraire en arrière de la raquette.
Selon une autre caractéristique d'un mode particulier de réalisation, lorsque la raquette est observée en vue latérale le basculement latéral de la plate-forme centrale s'effectue selon une zone de pivotement s'étendant obliquement par rapport à un sol horizontal selon une direction générale s'étendant de l'arrière vers le haut à l'avant vers le bas.
Selon une autre caractéristique, le tamis comporte au moins une ouverture permettant le passage de la main pour constituer une poignée de portage, ladite poignée étant avantageusement disposée entre les deux poutres transversales avant et arrière Selon une autre caractéristique selon un premier mode de réalisation, l'axe de pivotement reliant la plaque de fixation à la plate-forme centrale est disposé
perpendiculairement au plan axial de la marche et donc perpendiculairement au plan longitudinal moyen du tamis.
Selon une variante de réalisation lorsque la raquette est observée en vue de dessus, cet axe de pivotement est disposé légèrement obliquement , donc selon un angle inférieur à quatre vingt dix degrés, par rapport audit plan axial de la marche de telle manière que cet axe de pivotement forme, avec le plan axial de la marche , un angle , avantageusement compris entre 750 et 89 , de préférence compris entre 80 et 88 , et en particulier compris entre 82 et 87 , ledit angle étant ouvert vers l'arrière et ce de façon à respecter ergonomiquement la position naturelle des pieds qui lors de la marche se retrouvent légèrement ouverts vers l'extérieur, en position valga .
Selon une autre caractéristique d'un mode particulier de réalisation, pour éviter que le raquettiste pris dans une coulée de neige ne soit entraîné au fond de la
Selon une autre caractéristique d'un mode particulier de réalisation, lorsque la raquette est observée en vue latérale le basculement latéral de la plate-forme centrale s'effectue selon une zone de pivotement s'étendant obliquement par rapport à un sol horizontal selon une direction générale s'étendant de l'arrière vers le haut à l'avant vers le bas.
Selon une autre caractéristique, le tamis comporte au moins une ouverture permettant le passage de la main pour constituer une poignée de portage, ladite poignée étant avantageusement disposée entre les deux poutres transversales avant et arrière Selon une autre caractéristique selon un premier mode de réalisation, l'axe de pivotement reliant la plaque de fixation à la plate-forme centrale est disposé
perpendiculairement au plan axial de la marche et donc perpendiculairement au plan longitudinal moyen du tamis.
Selon une variante de réalisation lorsque la raquette est observée en vue de dessus, cet axe de pivotement est disposé légèrement obliquement , donc selon un angle inférieur à quatre vingt dix degrés, par rapport audit plan axial de la marche de telle manière que cet axe de pivotement forme, avec le plan axial de la marche , un angle , avantageusement compris entre 750 et 89 , de préférence compris entre 80 et 88 , et en particulier compris entre 82 et 87 , ledit angle étant ouvert vers l'arrière et ce de façon à respecter ergonomiquement la position naturelle des pieds qui lors de la marche se retrouvent légèrement ouverts vers l'extérieur, en position valga .
Selon une autre caractéristique d'un mode particulier de réalisation, pour éviter que le raquettiste pris dans une coulée de neige ne soit entraîné au fond de la
19 coulée par les forces s'exerçant sur les tamis de ses raquettes, les moyens permettant la solidarisation de la chaussure à la raquettes à neige comportent des aménagements permettant la désolidarisation de la chaussure par rapport à la raquette pour entraîner la libération automatique de ladite chaussure lorsque celle -ci exerce sur le tamis un effort de traction vers le haut et/ou vers l'arrière dépassant une valeur de seuil préétablie . Cette libération de la chaussure est réalisée par rupture, facilitée par un affaiblissement localisé
réalisé à cet effet, de l'un au moins des moyens assurant la solidarisation de ladite chaussure à la raquette . Ainsi la désolidarisation de la chaussure par rapport à la raquette peut se faire soit par rupture de l'un des composants qui constituent la bride de cou de pied et/ou par rupture ou déclipsage de l'un des ancrages des extrémités de ladite bride de cou de pied et/ou par désolidarisation de la talonnière de la plaque pivotante de la fixation, et/ou par rupture de ladite plaque pivotante de fixation et/ou par désolidarisation de la plaque de fixation par rapport au tamis de la raquette au niveau de son axe de rotation .
Selon une autre caractéristique, pour faciliter la recherche d'un raquettiste englouti sous une coulée de neige des moyens , facilitant la réflexion des ondes émises par les dispositifs de recherche mis en veuvre par les secouristes peuvent être avantageusement fixés sur l'une au moins des deux raquettes à neige.
Description sommaire des dessins D'autres avantages et caractéristiques ressortiront plus clairement de la description qui va suivre de modes particuliers de réalisation de l'invention donnés à titre d'exemples non limitatifs et représentés aux dessins annexés, dans lesquels :
- la figure 1 est une vue en plan du cadre du tamis de la raquette à neige selon l'invention ;
- la figure 2 montre une vue en plan de la plate-forme centrale - la figure 3 représente une vue en plan du cadre du tamis montré sur la figure 1 sur lequel est montée la plate-forme centrale montrée sur la figure - la figure 4 est une vue en plan montrant une paire de raquettes à neige s selon l'invention posée sur le sol dans leur position d'utilisation.
- la figure 5 est une vue en plan montrant la répartition et les valeurs respectives des contraintes d'appui transmises par le pied au tamis de la raquette.
- Les figures 6 et 7 montrent respectivement en vue en plan et en coupe 10 axiale longitudinale une raquette à neige selon l'invention équipée de sa plaque de fixation pivotante.
- Les figures 8 et 9 sont des coupes axiales longitudinales montrant le dispositif cale de montée-bloqueur engagé dans sa position bloqueur sur la figure 8 et dans sa position cale de montée sur la figure 9.
15 - La figure 8 bis est un agrandissement de la zone correspondante repérée sur la figure 8 .
- La figure 10 montre, en coupe transversale selon les repères AA ou BB
des figures 6 et 7, une paire de raquettes à neige selon l'invention en position d'utilisation sur un sol horizontal , les plateforme centrales occupant
réalisé à cet effet, de l'un au moins des moyens assurant la solidarisation de ladite chaussure à la raquette . Ainsi la désolidarisation de la chaussure par rapport à la raquette peut se faire soit par rupture de l'un des composants qui constituent la bride de cou de pied et/ou par rupture ou déclipsage de l'un des ancrages des extrémités de ladite bride de cou de pied et/ou par désolidarisation de la talonnière de la plaque pivotante de la fixation, et/ou par rupture de ladite plaque pivotante de fixation et/ou par désolidarisation de la plaque de fixation par rapport au tamis de la raquette au niveau de son axe de rotation .
Selon une autre caractéristique, pour faciliter la recherche d'un raquettiste englouti sous une coulée de neige des moyens , facilitant la réflexion des ondes émises par les dispositifs de recherche mis en veuvre par les secouristes peuvent être avantageusement fixés sur l'une au moins des deux raquettes à neige.
Description sommaire des dessins D'autres avantages et caractéristiques ressortiront plus clairement de la description qui va suivre de modes particuliers de réalisation de l'invention donnés à titre d'exemples non limitatifs et représentés aux dessins annexés, dans lesquels :
- la figure 1 est une vue en plan du cadre du tamis de la raquette à neige selon l'invention ;
- la figure 2 montre une vue en plan de la plate-forme centrale - la figure 3 représente une vue en plan du cadre du tamis montré sur la figure 1 sur lequel est montée la plate-forme centrale montrée sur la figure - la figure 4 est une vue en plan montrant une paire de raquettes à neige s selon l'invention posée sur le sol dans leur position d'utilisation.
- la figure 5 est une vue en plan montrant la répartition et les valeurs respectives des contraintes d'appui transmises par le pied au tamis de la raquette.
- Les figures 6 et 7 montrent respectivement en vue en plan et en coupe 10 axiale longitudinale une raquette à neige selon l'invention équipée de sa plaque de fixation pivotante.
- Les figures 8 et 9 sont des coupes axiales longitudinales montrant le dispositif cale de montée-bloqueur engagé dans sa position bloqueur sur la figure 8 et dans sa position cale de montée sur la figure 9.
15 - La figure 8 bis est un agrandissement de la zone correspondante repérée sur la figure 8 .
- La figure 10 montre, en coupe transversale selon les repères AA ou BB
des figures 6 et 7, une paire de raquettes à neige selon l'invention en position d'utilisation sur un sol horizontal , les plateforme centrales occupant
20 alors leur position neutre horizontale par rapport aux tamis.
- La figure 10 bis est un agrandissement de la zone correspondante repérée sur la figure 10 .
- La figure 11 montre, en coupe transversale selon les repères AA ou BB
des figures 6 et 7, une paire de raquettes à neige selon l'invention en position d'utiiisation dans une traversée en dévers.
Description de modes particuliers de réalisation la raquette à neige 1 selon l'invention comporte un tamis 2 constitué d'une plate-forme centrale 3 et d'un cadre périphérique 4. Le cadre périphérique 4 en forme de U ouvert vers l'arrière tel que le montre la figure 1, est constitué
de deux bras latéraux 5 et 6 s'étendant dans le sens longitudinal de la raquette
- La figure 10 bis est un agrandissement de la zone correspondante repérée sur la figure 10 .
- La figure 11 montre, en coupe transversale selon les repères AA ou BB
des figures 6 et 7, une paire de raquettes à neige selon l'invention en position d'utiiisation dans une traversée en dévers.
Description de modes particuliers de réalisation la raquette à neige 1 selon l'invention comporte un tamis 2 constitué d'une plate-forme centrale 3 et d'un cadre périphérique 4. Le cadre périphérique 4 en forme de U ouvert vers l'arrière tel que le montre la figure 1, est constitué
de deux bras latéraux 5 et 6 s'étendant dans le sens longitudinal de la raquette
21 reliés par leur extrémité avant à une partie avant relevée vers le haut pour servir de spatule 7 . Dans le sens transversal de la raquette, les deux bras longitudinaux 5 et 6 sont reliés entre eux par une poutre transversale avant 8 et une poutre transversale arrière 9.
La plate-forme centrale 3 s'étend du voisinage de l'extrémité arrière de la fenêtre 70 aménagée dans la spatule 7, au travers de laquelle bascule l'avant pied lors de la marche , jusqu'à l'extrémité arrière du tamis 2.
La fixation de la raquette est constituée par une plaque pivotante 10 comportant des moyens d'immobilisation de la chaussure , ladite plaque pivotante 10 étant articulée par rapport à la plate-forme centrale 3 autour d'un axe transversal 11 disposé au niveau de l'extrémité avant de la plate-forme centrale 3 et au voisinage de l'extrémité arrière de la fenêtre 70 .
Une ouverture est aménagée entre le bras longitudinal extérieur 6 et la plate-forme centrale 3 pour constituer une poignée latérale de portage .
Un dispositf rotatif 13 est monté sur la face supérieure de la partie arrière de la plate-forme centrale 3 . Ce dispositif, monté rotatif autour d'un axe vertical, peut occuper trois positions caractéristiques :
- une position inactive , désengagée, tel que le montre la figure 7, dans laquelle il laisse à la piaque 10 de la fixation la possibilité de se déplacer sur la totalité de son débattement angulaire .
- une première position active , engagée, en guise de bloqueur, représentée sur la figure 8, dans laquelle , après une rotation de 180 par rapport à la position qu'il occupait sur la figure 7 , il immobilise en rotation la plaque de la fixation de telle sorte que le tamis 2 accompagne alors tous les mouvements de la chaussure pour permettre le franchissement de passages difficiles ou très escarpés.
- Une seconde position active, engagée, en guise de cale de montée, représentée sur la figure 9, dans laquelle il sert de butée inférieure pour l'extrémité arrière de la plaque 10 de la fixation dont il limite ainsi le
La plate-forme centrale 3 s'étend du voisinage de l'extrémité arrière de la fenêtre 70 aménagée dans la spatule 7, au travers de laquelle bascule l'avant pied lors de la marche , jusqu'à l'extrémité arrière du tamis 2.
La fixation de la raquette est constituée par une plaque pivotante 10 comportant des moyens d'immobilisation de la chaussure , ladite plaque pivotante 10 étant articulée par rapport à la plate-forme centrale 3 autour d'un axe transversal 11 disposé au niveau de l'extrémité avant de la plate-forme centrale 3 et au voisinage de l'extrémité arrière de la fenêtre 70 .
Une ouverture est aménagée entre le bras longitudinal extérieur 6 et la plate-forme centrale 3 pour constituer une poignée latérale de portage .
Un dispositf rotatif 13 est monté sur la face supérieure de la partie arrière de la plate-forme centrale 3 . Ce dispositif, monté rotatif autour d'un axe vertical, peut occuper trois positions caractéristiques :
- une position inactive , désengagée, tel que le montre la figure 7, dans laquelle il laisse à la piaque 10 de la fixation la possibilité de se déplacer sur la totalité de son débattement angulaire .
- une première position active , engagée, en guise de bloqueur, représentée sur la figure 8, dans laquelle , après une rotation de 180 par rapport à la position qu'il occupait sur la figure 7 , il immobilise en rotation la plaque de la fixation de telle sorte que le tamis 2 accompagne alors tous les mouvements de la chaussure pour permettre le franchissement de passages difficiles ou très escarpés.
- Une seconde position active, engagée, en guise de cale de montée, représentée sur la figure 9, dans laquelle il sert de butée inférieure pour l'extrémité arrière de la plaque 10 de la fixation dont il limite ainsi le
22 débattement angulaire vers le bas pour un plus grand confort dans les montées .
L'ensemble constitué par la plate-forme centrale 3, le dispositif rotatif 13 ci-avant décrit servant de cale de montée et de bloqueur , et toute la fixation constituée de la plaque articulée 10 et des moyens de fixation de la chaussure , est relié au cadre du tamis par l'intermédiaire de deux éléments de liaison ,14 et 14 , interposés pour l'un entre la sous face de ladite plate-forme centrale 3 et la face supérieure de la poutre transversale avant 8 et pour l'autre entre la sous face de la plate-forme centrale 3 et la face supérieure de la poutre transversale arrière 9 .
Ces deux éléments de liaison souple et élastique 14 permettent un mouvement relatif d'inclinaison latérale vers l'extérieur et vers l'intérieur de la plateforme centrale 3, et de tout ce qu'elle supporte, par rapport au cadre périphérique du tamis 4, ledit mouvement relatif pouvant être considéré aussi bien comme une inclinaison latérale de la plate-forme 3 et de tout ce qu'elle supporte par rapport au cadre 4 du tamis que comme une inclinaison latérale vers l'extérieur et vers l'intérieur du cadre du tamis 4 par rapport à la plateforme 3 qui reste dans sa position horizontale ce qui est bien évidemment l'objectif prioritaire visé par l'invention. .
Dans les dessins annexés, les axes de symétrie des deux éléments de liaison élastique 14 sont positionnés sensiblement dans le plan longitudinal vertical moyen Px passant d'une part par l'axe du talon , considéré comme étant sensiblement l'axe du tibia - péroné , et d'autre part par le milieu de l'avant-pied de telle sorte que ledit plan Px est disposé sensiblement parallèlement à
l'axe X X' de marche sur lequel se déplace le raquettiste.
Chacun des deux éléments de liaison 14 comporte une âme configurée en forme de X réalisée dans une matière semi-flexible présentant une grande résistance à la fatigue aux flexions alternées . Les deux branches supérieures, 141 et 142, de l'âme en X sont solidarisées par leur face supérieure à la sous face de la plate-forme centrale 3 et les deux branches
L'ensemble constitué par la plate-forme centrale 3, le dispositif rotatif 13 ci-avant décrit servant de cale de montée et de bloqueur , et toute la fixation constituée de la plaque articulée 10 et des moyens de fixation de la chaussure , est relié au cadre du tamis par l'intermédiaire de deux éléments de liaison ,14 et 14 , interposés pour l'un entre la sous face de ladite plate-forme centrale 3 et la face supérieure de la poutre transversale avant 8 et pour l'autre entre la sous face de la plate-forme centrale 3 et la face supérieure de la poutre transversale arrière 9 .
Ces deux éléments de liaison souple et élastique 14 permettent un mouvement relatif d'inclinaison latérale vers l'extérieur et vers l'intérieur de la plateforme centrale 3, et de tout ce qu'elle supporte, par rapport au cadre périphérique du tamis 4, ledit mouvement relatif pouvant être considéré aussi bien comme une inclinaison latérale de la plate-forme 3 et de tout ce qu'elle supporte par rapport au cadre 4 du tamis que comme une inclinaison latérale vers l'extérieur et vers l'intérieur du cadre du tamis 4 par rapport à la plateforme 3 qui reste dans sa position horizontale ce qui est bien évidemment l'objectif prioritaire visé par l'invention. .
Dans les dessins annexés, les axes de symétrie des deux éléments de liaison élastique 14 sont positionnés sensiblement dans le plan longitudinal vertical moyen Px passant d'une part par l'axe du talon , considéré comme étant sensiblement l'axe du tibia - péroné , et d'autre part par le milieu de l'avant-pied de telle sorte que ledit plan Px est disposé sensiblement parallèlement à
l'axe X X' de marche sur lequel se déplace le raquettiste.
Chacun des deux éléments de liaison 14 comporte une âme configurée en forme de X réalisée dans une matière semi-flexible présentant une grande résistance à la fatigue aux flexions alternées . Les deux branches supérieures, 141 et 142, de l'âme en X sont solidarisées par leur face supérieure à la sous face de la plate-forme centrale 3 et les deux branches
23 inférieures , 143 et 144, de l'âme en X sont solidarisées par leur face inférieure à la face supérieure de la poutre transversale concernée, 8 ou 9.
Des éléments élastiques constituant les moyens de rappel , 145 et 146, de forme globalement triangulaire réalisés dans une matière ayant une excellente mémoire élastique sont interposés entre les deux faces latérales des branches supérieures , 141 et 142, et des branches inférieures, 143 et 144, de l'âme en X auxquelles ils sont solidarisés par collage ou par liaison chimique par injection bi-matière de manière à pouvoir travailler l'un et l'autre en compression ou en traction en développant une force antagoniste de rappel en traction lorsqu'il sont sollicités en élongation et une force antagoniste de rappel en repoussement lorsqu'ils sont sollicités en compression .
Ainsi, lors d'une sollicitation en flexion vers l'amont du tamis de la raquette aval, les éléments élastiques aval, donc extérieurs, des éléments de liaison avant et arrière qui sont sollicités en traction tendront à rappeler le cadre 4 du tamis dans sa position neutre par une réaction de traction tandis que les éléments élastiques amont, donc intérieur, des éléments de liaison avant et arrière qui eux sont sollicités en compression tendront à rappeler le cadre 4 du tamis dans sa position neutre par une réaction de repoussement . Pour chacun des deux éléments de liaison, la conjugaison de cette force de traction et de la force de repoussement constituent un couple de rappel au neutre de réaction progressive proportionnelle à la valeur de l'angle de basculement latéral effectué , les propriétés visco-élastiques de la matière employée offrant en outre un freinage quasi instantané des oscillations transversales du cadre du tamis de telle sorte que dès que le tamis est soulevé du sol il est ramené
quasi instantanément sans bruit et en douceur à sa position neutre et déjà
prêt pour s'adapter instantanément à l'inclinaison correspondante du terrain sur lequel il prendra appui au pas suivant.
Comme l'indiquent les figures 10 et 11 , les éléments élastiques , 145 et 146, sont réalisés dans des matières différentes et / ou ils sont d'épaisseurs différentes de manière à permettre un basculement latéral vers l'extérieur selon l'angle 0( par rapport au plan longitudinal moyen Px, qui soit plus souple et plus important en valeur angulaire que ne l'est le basculement latéral vers l'intérieur plus ferme et plus réduit de valeur angulaire maximale p . Cette
Des éléments élastiques constituant les moyens de rappel , 145 et 146, de forme globalement triangulaire réalisés dans une matière ayant une excellente mémoire élastique sont interposés entre les deux faces latérales des branches supérieures , 141 et 142, et des branches inférieures, 143 et 144, de l'âme en X auxquelles ils sont solidarisés par collage ou par liaison chimique par injection bi-matière de manière à pouvoir travailler l'un et l'autre en compression ou en traction en développant une force antagoniste de rappel en traction lorsqu'il sont sollicités en élongation et une force antagoniste de rappel en repoussement lorsqu'ils sont sollicités en compression .
Ainsi, lors d'une sollicitation en flexion vers l'amont du tamis de la raquette aval, les éléments élastiques aval, donc extérieurs, des éléments de liaison avant et arrière qui sont sollicités en traction tendront à rappeler le cadre 4 du tamis dans sa position neutre par une réaction de traction tandis que les éléments élastiques amont, donc intérieur, des éléments de liaison avant et arrière qui eux sont sollicités en compression tendront à rappeler le cadre 4 du tamis dans sa position neutre par une réaction de repoussement . Pour chacun des deux éléments de liaison, la conjugaison de cette force de traction et de la force de repoussement constituent un couple de rappel au neutre de réaction progressive proportionnelle à la valeur de l'angle de basculement latéral effectué , les propriétés visco-élastiques de la matière employée offrant en outre un freinage quasi instantané des oscillations transversales du cadre du tamis de telle sorte que dès que le tamis est soulevé du sol il est ramené
quasi instantanément sans bruit et en douceur à sa position neutre et déjà
prêt pour s'adapter instantanément à l'inclinaison correspondante du terrain sur lequel il prendra appui au pas suivant.
Comme l'indiquent les figures 10 et 11 , les éléments élastiques , 145 et 146, sont réalisés dans des matières différentes et / ou ils sont d'épaisseurs différentes de manière à permettre un basculement latéral vers l'extérieur selon l'angle 0( par rapport au plan longitudinal moyen Px, qui soit plus souple et plus important en valeur angulaire que ne l'est le basculement latéral vers l'intérieur plus ferme et plus réduit de valeur angulaire maximale p . Cette
24 disposition asymétrique permet dans les traversées en dévers d'assurer un amortissement plus long et plus progressif de la prise d'appui de la raquette aval qui prend d'abord contact avec le soi par son arête amont puis s'incline progressivement latéralement lors de l'appui du pied .
La raquette amont quant à elle bénéficie d'un débattement angulaire vers l'amont plus réduit mais plus ferme qui permet d'exercer un effort d'appui important au niveau de l'arête amont en assurant ainsi une pénétration efficace dans la neige du bord extérieur de la raquette constituant une lame de retenue très appréciable en dévers , cette lame coté extérieur étant volontairement moins haute que ne l'est celle , coté intérieur, qui constitue le bord aval de cette même raquette et ce pour éviter d'avoir à trop lever le pied amont pour passer au dessus de la pente lors de la marche. La hauteur plus importante de la lame aval de cette même raquette permet par ailleurs d'assurer sur sol gelé
une correction angulaire latérale partielle qui facilite la mise en position horizontale de la plate-forme centrale toujours plus difficile à contrôler pour la raquette amont que pour la raquette aval.
Bien sûr en fonction de ses préférences on peut également parfaitement envisager d'inverser les différences de fermeté et/ou de débattements angulaires en privilégiant un débattement angulaire vers l'amont de la raquette aval plus faible et/ou plus ferme que pour la raquette amont.
Dans le cas particulier où les moyens de rappel développent des forces de rappel asymétriques tel que décrit ci-avant et que le tamis et la fixation de la raquette sont, eux, parfaitement symétriques le raquettiste peut envisager de permuter à loisir les raquettes gauche et droite pour bénéficier à son choix d'une plus grande fermeté en inclinaison soit pour la raquette amont soit pour la raquette aval en fonction du type de neige rencontré ou de ses préférences personnelles .
Les éléments de liaison et les moyens de rappel qui leur sont associés peuvent aussi parfaitement être totalement symétriques pour offrir des débattements angulaires identiques et de la même fermeté pour les deux raquettes et ce aussi bien pour le basculement latéral vers l'intérieur que vers l'extérieur.
Comme le montrent les figures 8 et 8 bis, les faces avant 81 et 91 des poutres 5 transversales 8 et 9 sont avantageusement inclinées vers le bas pour ne pas faire remonter la neige sous le tamis lorsque la raquette avance en raclant la surface de la neige . Des dents 82 destinées à améliorer la retenue latérale du tamis en devers sont avantageusement aménagées dans l'arête inférieure des poutres transversales 8 et 9.
La figure 5 montre la répartition des contraintes d'appui qui s'appliquent en trois zones principales :-- une première zone située au niveau du talon , dans le prolongement de l'axe tibia-péroné , supporte environ quarante cinq pour cent ( 45 % ) du poids total, - une seconde zone positionnée sensiblement au niveau de la tête du métatarse du gros orteil supporte environ quarante pour cent ( 40 %) du poids total - une troisième zone située sensiblement au niveau de la tête du métatarse du petit doigt de pied supporte, elle, seulement quinze pour cent ( 15 /a ) du poids total .
Cette répartition asymétrique du poids de l'utilisateur et de sa charge qui n'est que le reflet de l'asymétrie du pied lui-même impose l'asymétrie du tamis pour que la pression d'appui soit homogène et sensiblement identique sous toute la surface du tamis afin que la raquette puisse rester sensiblement horizontale lorsque l'utilisateur se déplace en neige profonde.
En effet ont peut considérer que la surface d'appui de la totalité du tamis, surface de la spatule comprise, se subdivise en deux surfaces d'appui délimitées par le plan longitudinal moyen Px . La surface disposée du coté
intérieur par rapport à Px supporte la moitié de la charge appliquée au talon et la totalité de la charge appliquée au niveau de la tête de métatarse du gros orteil soit en théorie 67,5 % , soit donc les 2/3 environ de la charge totale alors que la surface extérieure du tamis ne supporte que le 1/3 restant de la charge. Les surfaces d'appuis intérieur et extérieure du tamis doivent donc tendre vers des proportions correspondantes ce qui justifie que le bras latéral intérieur 5 soit plus large et plus long vers l'arrière que le bras latéral extérieur 6.
De même la spatule est avantageusement asymétrique et la partie de sa surface située coté intérieur par rapport à Px est plus large que la partie extérieure de la surface et elle s'étend plus loin vers l'avant que ne le fait la partie extérieure. Enfin, la largeur L1 de la partie intérieure de la raquette mesurée à son niveau le plus large par rapport au plan longitudinal moyen Px, qui est par ailleurs ici confondu avec le plan longitudinal moyen de la plaque pivotante 10 de la fixation, est supérieure à la largeur L2 de la partie extérieure de la raquette mesurée au même niveau par rapport à Px.
Comme le montrent les figures 7, 8, 9 et 10, Les crampons principaux , 15 et 16, que comporte la raquette , constitués ici de lames métalliques, sont solidarisés directement à la plate-forme centrale 3 et leur pointes se situent dans un plan P1 disposé à un niveau inférieur au plan P2 passant par le bord inférieur du cadre du tamis de telle sorte que sur terrain gelé ou sur glace , la charge repose directement sur le sol via la fixation et la plate-forme centrale sans solliciter ni le cadre du tamis ni les moyens de flexion qui le relient à
la plate-forme centrale 3 . En outre cette disposition des crampons 15 et 16 solidarisés directement à la plate-forme centrale 3 garantit leur contrôle précis et ferme pour un ancrage optimal en devers.
Les crampons 16 situés au voisinage de l'extrémité avant de la plate-forme centrale 3 sont constitués d'une lame métallique disposée perpendiculairement au plan Px tandis que les autres crampons 15 sont constitués d'une lame métallique disposée parallèlement à Px.
II est très important de préciser que l'on peut aussi considérer que ce n'est pas la plate-forme centrale 3 et tout ce qu'elle supporte qui bascule par rapport au cadre 4 du tamis mais que c'est au contraire le cadre du tamis 4 qui s'incline pour venir se plaquer contre la pente tandis que la plate-forme 3, elle, reste sensiblement horizontale aussi bien sur un sol horizontal que sur un sof en dévers. Dans ce cas il faut considéré que tous les moyens de rappel présentés comme des moyens rappelant la plate-forme centrale 3 dans sa position horizontale neutre par rapport au cadre 4 du tamis sont en fait des moyens de rappel assurant le retour automatique du cadre du tamis 4 dans sa position neutre par rapport à la plate-forme centrale 3 aussitôt qu'il n'est plus chargé et qu'il quitte le sol.
Bien sûr, l'invention ne se limite pas aux modes de réalisations décrits et illustrés dans les figures, mais elle comprend aussi tous les équivalents techniques ainsi que leur combinaisons.
La raquette amont quant à elle bénéficie d'un débattement angulaire vers l'amont plus réduit mais plus ferme qui permet d'exercer un effort d'appui important au niveau de l'arête amont en assurant ainsi une pénétration efficace dans la neige du bord extérieur de la raquette constituant une lame de retenue très appréciable en dévers , cette lame coté extérieur étant volontairement moins haute que ne l'est celle , coté intérieur, qui constitue le bord aval de cette même raquette et ce pour éviter d'avoir à trop lever le pied amont pour passer au dessus de la pente lors de la marche. La hauteur plus importante de la lame aval de cette même raquette permet par ailleurs d'assurer sur sol gelé
une correction angulaire latérale partielle qui facilite la mise en position horizontale de la plate-forme centrale toujours plus difficile à contrôler pour la raquette amont que pour la raquette aval.
Bien sûr en fonction de ses préférences on peut également parfaitement envisager d'inverser les différences de fermeté et/ou de débattements angulaires en privilégiant un débattement angulaire vers l'amont de la raquette aval plus faible et/ou plus ferme que pour la raquette amont.
Dans le cas particulier où les moyens de rappel développent des forces de rappel asymétriques tel que décrit ci-avant et que le tamis et la fixation de la raquette sont, eux, parfaitement symétriques le raquettiste peut envisager de permuter à loisir les raquettes gauche et droite pour bénéficier à son choix d'une plus grande fermeté en inclinaison soit pour la raquette amont soit pour la raquette aval en fonction du type de neige rencontré ou de ses préférences personnelles .
Les éléments de liaison et les moyens de rappel qui leur sont associés peuvent aussi parfaitement être totalement symétriques pour offrir des débattements angulaires identiques et de la même fermeté pour les deux raquettes et ce aussi bien pour le basculement latéral vers l'intérieur que vers l'extérieur.
Comme le montrent les figures 8 et 8 bis, les faces avant 81 et 91 des poutres 5 transversales 8 et 9 sont avantageusement inclinées vers le bas pour ne pas faire remonter la neige sous le tamis lorsque la raquette avance en raclant la surface de la neige . Des dents 82 destinées à améliorer la retenue latérale du tamis en devers sont avantageusement aménagées dans l'arête inférieure des poutres transversales 8 et 9.
La figure 5 montre la répartition des contraintes d'appui qui s'appliquent en trois zones principales :-- une première zone située au niveau du talon , dans le prolongement de l'axe tibia-péroné , supporte environ quarante cinq pour cent ( 45 % ) du poids total, - une seconde zone positionnée sensiblement au niveau de la tête du métatarse du gros orteil supporte environ quarante pour cent ( 40 %) du poids total - une troisième zone située sensiblement au niveau de la tête du métatarse du petit doigt de pied supporte, elle, seulement quinze pour cent ( 15 /a ) du poids total .
Cette répartition asymétrique du poids de l'utilisateur et de sa charge qui n'est que le reflet de l'asymétrie du pied lui-même impose l'asymétrie du tamis pour que la pression d'appui soit homogène et sensiblement identique sous toute la surface du tamis afin que la raquette puisse rester sensiblement horizontale lorsque l'utilisateur se déplace en neige profonde.
En effet ont peut considérer que la surface d'appui de la totalité du tamis, surface de la spatule comprise, se subdivise en deux surfaces d'appui délimitées par le plan longitudinal moyen Px . La surface disposée du coté
intérieur par rapport à Px supporte la moitié de la charge appliquée au talon et la totalité de la charge appliquée au niveau de la tête de métatarse du gros orteil soit en théorie 67,5 % , soit donc les 2/3 environ de la charge totale alors que la surface extérieure du tamis ne supporte que le 1/3 restant de la charge. Les surfaces d'appuis intérieur et extérieure du tamis doivent donc tendre vers des proportions correspondantes ce qui justifie que le bras latéral intérieur 5 soit plus large et plus long vers l'arrière que le bras latéral extérieur 6.
De même la spatule est avantageusement asymétrique et la partie de sa surface située coté intérieur par rapport à Px est plus large que la partie extérieure de la surface et elle s'étend plus loin vers l'avant que ne le fait la partie extérieure. Enfin, la largeur L1 de la partie intérieure de la raquette mesurée à son niveau le plus large par rapport au plan longitudinal moyen Px, qui est par ailleurs ici confondu avec le plan longitudinal moyen de la plaque pivotante 10 de la fixation, est supérieure à la largeur L2 de la partie extérieure de la raquette mesurée au même niveau par rapport à Px.
Comme le montrent les figures 7, 8, 9 et 10, Les crampons principaux , 15 et 16, que comporte la raquette , constitués ici de lames métalliques, sont solidarisés directement à la plate-forme centrale 3 et leur pointes se situent dans un plan P1 disposé à un niveau inférieur au plan P2 passant par le bord inférieur du cadre du tamis de telle sorte que sur terrain gelé ou sur glace , la charge repose directement sur le sol via la fixation et la plate-forme centrale sans solliciter ni le cadre du tamis ni les moyens de flexion qui le relient à
la plate-forme centrale 3 . En outre cette disposition des crampons 15 et 16 solidarisés directement à la plate-forme centrale 3 garantit leur contrôle précis et ferme pour un ancrage optimal en devers.
Les crampons 16 situés au voisinage de l'extrémité avant de la plate-forme centrale 3 sont constitués d'une lame métallique disposée perpendiculairement au plan Px tandis que les autres crampons 15 sont constitués d'une lame métallique disposée parallèlement à Px.
II est très important de préciser que l'on peut aussi considérer que ce n'est pas la plate-forme centrale 3 et tout ce qu'elle supporte qui bascule par rapport au cadre 4 du tamis mais que c'est au contraire le cadre du tamis 4 qui s'incline pour venir se plaquer contre la pente tandis que la plate-forme 3, elle, reste sensiblement horizontale aussi bien sur un sol horizontal que sur un sof en dévers. Dans ce cas il faut considéré que tous les moyens de rappel présentés comme des moyens rappelant la plate-forme centrale 3 dans sa position horizontale neutre par rapport au cadre 4 du tamis sont en fait des moyens de rappel assurant le retour automatique du cadre du tamis 4 dans sa position neutre par rapport à la plate-forme centrale 3 aussitôt qu'il n'est plus chargé et qu'il quitte le sol.
Bien sûr, l'invention ne se limite pas aux modes de réalisations décrits et illustrés dans les figures, mais elle comprend aussi tous les équivalents techniques ainsi que leur combinaisons.
Claims (13)
1 - Raquette à neige comportant un tamis constitué de deux éléments :
- Un cadre périphérique dont la partie avant est relevée vers le haut pour servir de spatule (7) ledit cadre étant constitué de deux bras latéraux ( 5 , 6 ) s'étendant dans le sens longitudinal de la raquette, reliés entre eux par au moins une plaque ou une poutre transversale ( 8, 9) - une plate-forme centrale à laquelle est reliée , par un axe transversal, une plaque pivotante (10) comportant des moyens d'immobilisation d'une chaussure, ladite plate-forme centrale (3) supportant sur sa partie arrière un dispositif de cale de montée - bloqueur (13) et comportant par ailleurs sous sa face inférieure des crampons d'accrochage ( 15, 16 ) , caractérisée en ce que :
- le cadre (4) du tamis est reliée à la plate-forme de support (3) par des moyens de liaison ( 14 ) permettant un mouvement relatif d'inclinaison latérale vers l'extérieur et vers l'intérieur dudit cadre du tamis (4) par rapport à la plate-forme centrale (3) - des moyens de rappel ( 14 ) assurent le retour automatique du cadre (4) du tamis dans sa position neutre par rapport à la plate-forme centrale ( 3 ) aussitôt qu'il n'est qu'il n'est plus en appui sur le sol .
- Un cadre périphérique dont la partie avant est relevée vers le haut pour servir de spatule (7) ledit cadre étant constitué de deux bras latéraux ( 5 , 6 ) s'étendant dans le sens longitudinal de la raquette, reliés entre eux par au moins une plaque ou une poutre transversale ( 8, 9) - une plate-forme centrale à laquelle est reliée , par un axe transversal, une plaque pivotante (10) comportant des moyens d'immobilisation d'une chaussure, ladite plate-forme centrale (3) supportant sur sa partie arrière un dispositif de cale de montée - bloqueur (13) et comportant par ailleurs sous sa face inférieure des crampons d'accrochage ( 15, 16 ) , caractérisée en ce que :
- le cadre (4) du tamis est reliée à la plate-forme de support (3) par des moyens de liaison ( 14 ) permettant un mouvement relatif d'inclinaison latérale vers l'extérieur et vers l'intérieur dudit cadre du tamis (4) par rapport à la plate-forme centrale (3) - des moyens de rappel ( 14 ) assurent le retour automatique du cadre (4) du tamis dans sa position neutre par rapport à la plate-forme centrale ( 3 ) aussitôt qu'il n'est qu'il n'est plus en appui sur le sol .
2 - Raquette à neige selon la revendication 1, caractérisée en ce que les deux bras latéraux ( 5,6 ) sont reliés entre eux par au moins une poutre transversale avant ( 8 ) et une poutre transversale arrière ( 9 ) et en ce que la plate-forme centrale (3) est reliée au cadre (4) du tamis par l'intermédiaire de ces poutres transversales avant ( 8 ) et arrière (9 ).
3 - Raquette à neige selon la revendication 2 , caractérisée en ce que la plate-forme centrale (3) est reliée à l'une des poutres transversales, avant ( 8) ou arrière ( 9), par des moyens élastiquement déformable ( 14 ) et à
l'autre poutre transversale , arrière ( 9 ) ou avant ( 8 ) , par une rotule autorisant un mouvement de rotation autour des trois axes orthogonaux ou par un cardan autorisant un pivotement autour d'au moins un axe horizontal disposé longitudinalement par rapport à la raquette et d'au moins un axe horizontal disposé transversalement par rapport à la raquette.
l'autre poutre transversale , arrière ( 9 ) ou avant ( 8 ) , par une rotule autorisant un mouvement de rotation autour des trois axes orthogonaux ou par un cardan autorisant un pivotement autour d'au moins un axe horizontal disposé longitudinalement par rapport à la raquette et d'au moins un axe horizontal disposé transversalement par rapport à la raquette.
4 - Raquette à neige selon les revendications 1 ou 2 , caractérisée en ce que les moyens assurant la liaison entre la plate-forme centrale (3) et le cadre (4) du tamis comportent au moins un axe longitudinal de pivotement.
- Raquette à neige selon l'une quelconque des revendications précédentes 1 à 4 , caractérisée en ce que les moyens de liaison et de rappel sont constitués par au moins un élément ( 14 ) comportant une âme configurée en forme de X réalisée dans une matière semi-flexible et dont les deux branches supérieures (141 et 142) sont solidarisées par leur face supérieure à la sous face de la plate-forme centrale ( 3 ) tandis que les deux branches inférieures , ( 143 et 144 ) sont solidarisées par leur face inférieure à la face supérieure de la poutre transversale concernée (8 ou 9) et en ce que des éléments élastiques ( 145 et 146 ), constituant les moyens de rappel, réalisés dans une matière ayant une excellente mémoire élastique, sont interposés entre les deux faces latérales des branches supérieures ( 141 et 142 ) et des branches inférieures, (143 et 144 ) de l'âme en X auxquelles ils sont solidarisés .
6 - Raquette à neige selon l'une quelconque des revendications précédentes 1 à 5 , caractérisée en ce qu'une poutre longitudinale dont l'axe longitudinal est sensiblement contenu dans le plan longitudinal médian Px du tamis relie la poutre transversale avant (8) à la poutre transversale arrière (9) et les moyens de liaison , de flexion latérale et de rappel au neutre de la plate-forme centrale (3) par rapport au cadre du tamis sont constitués par une lame, flexible dans le sens transversal, disposée de champ et s'étendant longitudinalement entre la face supérieure de la poutre longitudinale médiane et la face inférieure de la plate-forme centrale (3) , et en ce que ladite lame flexible est solidarisée à la plate-forme centrale (3) par sa face supérieure et à la poutre longitudinale par sa face inférieure .
7 - Raquette à neige selon l'une quelconque des revendications précédentes 1 à 5 , caractérisée en ce que la plate-forme centrale est reliée aux bras latéraux du tamis et/ou aux poutres transversales par au moins deux biellettes avant et deux biellettes arrières , chacune desdites biellettes étant reliée à un bras latéral du tamis ou à l'une des poutres transversales par l'une de ses extrémités tandis que son autre extrémité est reliée à la plate-forme centrale .
8 - Raquette à neige selon l'une des revendications précédentes caractérisée en ce que le débattement angulaire maximum (.alpha., .alpha.) et / ou la souplesse de l'inclinaison latérale vers l'extérieur du cadre ( 4 ) du tamis par rapport à la plate-forme centrale ( 3 ) sont différents du débattement angulaire maximum (.beta.,.beta.) et / ou de la souplesse de l'inclinaison latérale vers l'intérieur dudit cadre ( 4 ) du tamis par rapport à la plate-forme centrale ( 3 ) .
9 - Raquette à neige selon l'une des revendications précédentes caractérisée en ce que le cadre de son tamis est en forme d'un U ouvert vers l'arrière .
- Raquette à neige selon l'une des revendications précédentes, caractérisée en ce que les crampons principaux ( 15,16 ) que comporte la raquette sont solidarisés directement à la plate-forme centrale ( 3 ) et en ce que leur pointe se situent dans un plan ( P1 ) disposé à un niveau inférieur au plan ( P2 ) passant par le bord inférieur du cadre du tamis .
- Raquette à neige selon l'une des revendications précédentes, caractérisée en ce que les crampons principaux ( 15,16 ) que comporte la raquette sont solidarisés directement à la plate-forme centrale ( 3 ) et en ce que leur pointe se situent dans un plan ( P1 ) disposé à un niveau inférieur au plan ( P2 ) passant par le bord inférieur du cadre du tamis .
31
11 - Raquette à neige selon l'une des revendications précédentes, caractérisée en ce que le tamis de la raquette est asymétrique par rapport au plan longitudinal vertical moyen Px passant par l'axe tibia péroné et en ce que le bras latéral intérieur ( 5 ) est plus long que le bras latéral extérieur ( 6 ) et il s'étend plus loin vers l'arrière que ne le fait le bras latéral extérieur ( 6 ) .
12 - Raquette à neige selon l'une des revendications précédentes, caractérisée en ce que le bord latéral coté intérieur du tamis s'étendant longitudinalement entre l'axe de pivotement de la fixation et l'extrémité
arrière du tamis est curviligne concave dans le sens longitudinal de la raquette tandis que le bords latéral extérieur correspondant est curviligne convexe dans le sens longitudinal de la raquette.
arrière du tamis est curviligne concave dans le sens longitudinal de la raquette tandis que le bords latéral extérieur correspondant est curviligne convexe dans le sens longitudinal de la raquette.
13 - Raquette à neige selon l'une des revendications précédentes, caractérisée en ce que les moyens permettant la solidarisation de la chaussure à la raquettes à neige comportent des aménagements permettant la désolidarisation automatique de ladite chaussure par rapport à la raquette lorsque cette chaussure exerce sur le tamis un effort de traction vers le haut et/ou vers l'arrière dépassant une valeur de seuil préétablie.
Priority Applications (1)
Application Number | Priority Date | Filing Date | Title |
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CA 2582606 CA2582606A1 (fr) | 2007-03-20 | 2007-03-20 | Raquette a neige equipee d'un tamis a correction angulaire |
Applications Claiming Priority (1)
Application Number | Priority Date | Filing Date | Title |
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CA 2582606 CA2582606A1 (fr) | 2007-03-20 | 2007-03-20 | Raquette a neige equipee d'un tamis a correction angulaire |
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CA2582606A1 true CA2582606A1 (fr) | 2008-09-20 |
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Family Applications (1)
Application Number | Title | Priority Date | Filing Date |
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CA 2582606 Abandoned CA2582606A1 (fr) | 2007-03-20 | 2007-03-20 | Raquette a neige equipee d'un tamis a correction angulaire |
Country Status (1)
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CA (1) | CA2582606A1 (fr) |
-
2007
- 2007-03-20 CA CA 2582606 patent/CA2582606A1/fr not_active Abandoned
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