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à Budapest (Hongrie) (hongroie) "Procédé de préparation de produits antispasmodiques à fixer sur la peau, en particulier pour le spasme des muscles"
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- : - : - : - : - : - : - : - : - : - : - : - : - : - : - : - : - : C. I. : Demande de brevet hongrois no 2312/82 déposée le 16 juillet 1982 etu-v. 0b t-z ob tilr -.
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La présente invention concerne un procédé de préparation de produits antispasmodiques à fixer sur la peau, en particulier pour le spasme des muscles.
Il est bien connu que les principes de fonctionnement de créatures vivantes, par exemple du corps humain, sont contrôlés par plusieurs phénomènes en relation avec l'électricité, l'électrochimie et la chimie ; ces groupes comprennent les courants d'éléments cérébraux et nerveux, les courants électrolytiques et osmotiques, la diffusion et d'autres processus biologiques qui n'ont jusqu'à maintenant pas été complètement expliqués et qui se déroulent entre les cellules (cf. l'acupuncture).
Il est bien connu que plusieurs maladies sont causées par l'absence d'éléments chimiques ou d'oligo-élêments ci-après designes"éléments en traces". La science médicale assure l'introduction desdits éléments manquants dans le corps humain en utilisant différentes méthodes mais cependant on n'a pas appliqué de méthodes uniformes ; pour la majorité desdites méthodes, le patient est obligé de s'aliter ou bien des traitements thérapeutiques de longue durée sont impératifs, en nécessitant tous la présence et le contrôle du médecin.
L'invention concerne un dispositif simple approprié pour un traitement qui peut être effectué par le patient proprement dit.
En correspondance, l'invention concerne un procédé à l'aide duquel un ou plusieurs métaux ou substances métalliques et/ou des éléments manquants et/ou en traces sont appliqués sur un support à fixer sur la peau ou bien qui sont mélangés avec de la boue, lesdits éléments, lorsqu'ils sont placés sur la surface de la peau, produisant, à l'aide de la sueur formée en dessous de l'emplâtre-comme avec un électrolyte-un courant très faible et des ions de la substance utilisée, ledit courant et lesdits ions pénétrant au cours de l'application à une certaine profondeur dans l'organisme humain au travers de la surface de la peau - par l'intermédiaire de ses pores-de façon à arrêter le spasme des muscles en un temps court,
lesdits éléments manquants et/ou en traces devant promouvoir la récupération
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pendant des périodes plus ou moins courtes.
La substance à appliquer sur le support peut être une matière solide, un liquide ou un gaz ; dans le cas où on utilise une matière liquide ou gazeuse, elle doit être placée dans un récipient comportant une paroi perméable, par exemple dans un sac.
Conformément à l'invention, le produit peut être fabriqué de façon continua par exemple sous la forme d'une bande, et il peut être découpé ultérieurement en éléments de dimensions requises, ou bien il peut être préparé suivant toute configuration appropriée, sous forme d'éléments individuels.
De cette manière, en utilisant le procédé conforme à l'invention, on fabrique un produit thérapeutique à placer sur la surface de la peau, il est possible d'augmenter l'action thérapeutique du produit ou bien d'accélérer sa pénétration ou celle des éléments manquants et/ou en traces, ou bien dans un cas donné d'améliorer l'effet de l'ingrédient actif d'un médicament connu, de sorte qu'il est possible d'amplifier les processus électrochimiques mentionnés ci-dessus et de contrôler les processus biologiques du corps d'une manière naturelle ou bien de les promouvoir par une substance métallique conformément à l'invention. Dans un cas où on utilise seulement une ou plusieurs substances métalliques, l'effet antispasmodique est obtenu à l'aide des micro-courants engendrés par les éléments métalliques qui ont été fixés.
Sous l'angle de la présente invention, tous les éléments, leurs mélanges, des alliages ou des composés desdits éléments sont pris en considération, de même que des substances métalliques qui sont capables de réagir électrolytiquement avec la sueur formée sur la surface de la peau et qui ne sont pas toxiques pour l'organisme humain. Les éléments ayant un grand potentiel électrolytique sont les plus avantageux, comme par exemple des métaux, notamment des métaux nobles, du cuivre, de l'étain et leurs alliages ; en outre du zinc, du manganèse, du cobalt, du fer, de l'arsenic, du bismuth, du radium, du sélénium, etc.,
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naturellement en quantités tolérables par l'organisme humain.
Les substances peuvent être utilisées sous forme de poudres, les dimensions des particules n'ayant pas d'influence sur le processus et le seul impératif consistant en ce que les particules n'altèrent pas la surface de la peau ; on peut aussi utiliser des plaques métalliques, des fils métalliques (répartis suivant toute configuration géométrique appropriée), des fibres métalliques, une toile métallique et des feuilles. En particulier pour des métaux nobles, il semble avantageux de ne pas utiliser une poudre puisqu'autrement il est possible de récupérer le métal et de l'utiliser de façon répétée.
Comme éléments manquants et/ou en traces, on peut citer de préférence le soufre ou bien une substance contenant des ions-soufre, de l'iode ou d'autres éléments manquants, c'est-à-dire parmi tous les métaux énumérés ci-dessus certains éléments manquants et/ou en traces appelés des vitamines minérales.
Comme gaz, on peut utiliser par exemple de l'oxyde de carbone ou du gaz carbonique, de l'anhydride sulfureux ou un mélange desdits gaz.
Pour obtenir les meilleures performances avec le procédé conforme à l'invention, on applique les substances sur le support de manière à laisser subsister des bandes marginales librement adhérentes et ensuite la partie du support portant la substance métallique et/ou les éléments manquants et/ou en traces est recouverte d'une mince couche protectrice (par exemple un mince papier imperméable à la graisse), qui sera enlevée au moyen des bandes marginales adhésives en cours d'utilisation.
A partir de la littérature technique concernant la sécurité dans les travaux électriques, il est bien connu que, sous l'influence d'un courant alternatif, les muscles du corps humain sont affectés par des spasmes aux endroits qui ont été soumis à l'influence du courant et la personne affectée par l'accident-en fonction de sa sensibilité individuelle et des circonstances externes-est incapable de contrôler de façon consciente ses mouvements au-dessus
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d'une intensité de courant de 5 mA. On peut trouver dans la littérature technique plusieurs descriptions d'expériences et les résultats correspondants.
A partir de la littérature technique concernant la prévention des accidents, il devient évident que, lors d'accidents qui ont été provoqués par un courant continu, les muscles de la personne accidentée deviennent complètement relâchés. Lors de l'application du produit fabriqué par le procédé conforme à l'invention, ce dernier effet a été utilisé.
Au cours des expériences, on a pu démontrer que même les courants les plus faibles engendrés sur la surface de la peau par les substances métalliques appliquées sur le support sont capables de supprimer le spasme des muscles et d'introduire les éléments manquants et/ou en traces.
En conséquence l'invention est basée sur le fait que, lorsqu'on dépose à l'endroit où se produit un spasme d'un muscle, une substance métallique sur la surface de la peau, il se produit sur la surface de contact entre la substance métallique qui vient d'être appliquée et la peau, sous l'influence de la sueur se formant de façon continue, un courant continu électrolytique assez faible qui est engendré autour des grains de la substance métallique, qui pénètre en dessous de la peau et ensuite à l'intérieur des muscles. Cet effet peut être augmenté en utilisant une base ou un acide faible.
Les bio-courants naturels qui ont été engendrés dans ce processus électrolytique exercent différentes influences.
La sueur produite sur la surface de la peau - et fonctionnant comme un électrolyte entre les grains de ladite substance métallique-engendre un courant électrolytique (sous l'effet de la réaction acide ou basique de la sueur, celle-ci se comporte comme un électrolyte) qui pénètre sous la surface de la peau ou dans les muscles situés en dessous de celle-ci et qui a une influence sur les voies nerveuses en provoquant, en fonction de la conductivité du corps, d'une manière analogue à l'influence du
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courant continu, une relaxation des muscles placés en dessous de l'emplâtre adhésif.
De préférence un emplâtre adhésif est utilisé comme support, puisque la sueur ne s'évapore pas aisément à partir de la surface de peau recouverte et qu'il est ainsi possible d'augmenter le rendement. Si nécessaire, on peut augmenter l'électrolyse au moyen d'une base ou d'un acide faible de manière que cette base ou cet acide soit déposé sur le support avant l'application de la substance métallique sur la surface de la peau. Il est inutile de préciser qu'on ne peut utiliser dans ce but que des bases et acides faibles n'irritant ou n'endommageant pas la peau.
On a vérifié dans plusieurs occasions que le spasme du muscle était diminué déjà au moment de l'application du produit et qu'il pouvait être essentiellement arrêté au bout de quelques minutes.
On peut supposer que, d'une façon semblable à l'acupuncture, du fait que des métaux ayant un effet connu ou bien les métaux précités sont placés en des endroits connus d'après l'acupuncture, sur les centres de potentiels élevés se trouvant sur la surface de la peau, ou bien à l'endroit où se manifeste la douleur, et puisqu'on utilise de préférence un emplâtre adhésif, on peut obtenir un effet semblable à celui de l'acupuncture mais cependant dans ce cas le traitement est exempt de douleur et ni la surface de la peau ni des couches plus profondes ne sont altérées.
Egalement dans le cas de l'acupuncture, les aiguilles métalliques implantées dans la peau engendrent un potentiel électrolytique avec les fluides des cellules, du sang et d'autres fluides de sorte que le courant passe dans les voies nerveuses (probablement la génération d'un courant est dans ce cas plus efficace, du fait qu'il existe plus d'électrolyte) ; cependant le traitement peut être effectué seulement en présence du médecin alors que, lorsqu'on utilise le produit conforme à l'invention-bien que la force du courant électrolytique soit inférieure à ce qui se produit dans l'acupuncture-le produit peut être laissé sur la peau pendant une plus longue période, même
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pendant des semaines, sans altérer la peau.
De cette manière, on peut augmenter l'effet obtenu de plusieurs fois par rapport à l'effet atteint avec l'acupuncture.
Dans les différents points du corps, on peut simultanément appliquer plusieurs substances métalliques différentes les unes des autres et/ou des éléments manquants et/ou en traces et il en résulte qu'on peut obtenir conformément à la présente invention différents effets.
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On peut supposer que-d'une façon semblable au processus se déroulant dans l'acupuncture-en conséquence du processus électrolytique, certains ions de la substance métallique ou des éléments manquants et/ou en traces ayant été déposés sur la surface de la peau pénètrent dans certains endroits"cibles"du corps sous l'effet des microcourants et des potentiels et font varier partiellement et à un certain degré les bio-courants, c'est-à-dire que des éléments traceurs ou bien leurs ions arrivent à certains endroits. De cette manière, on peut attribuer une guérison dans les deux cas à l'introduction d'éléments manquants et/ou en traces.
Avec le dispositif réalisé conformément à l'invention, on peut obtenir essentiellement trois effets : a) Les matières (poudre, liquide ou gaz) ayant été déposées sur la surface de la peau sont capables de pénétrer dans les cellules, par diffusion, au travers de la surface de la peau, c'est-à-dire par ses pores, au moyen de l'emplâtre adhésif. b) Sur la surface pourvue de l'emplâtre, la peau n'est pas exposée à l'air et en conséquence de la sueur se forme et elle engendre une pression osmotique-en coopération avec la substance appliquée avec les fluides des cellu- les.
c) Il est assez évident que, même au cours de l'osmose se déroulant entre la membrane (la paroi de cellule) et les deux fluides différents (la sueur, les substances de cette dernière et les fluides des cellules), il s'é- tablit une forte différence de potentiel qui favorise l'échange ionique entre les deux liquides au travers de
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la paroi d cellule.
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Il est probable que ces courants exercent à un certain degré une influence sur les courants affectant excessivement lés voies nerveuses et favorisent le transfert des particules de matières dans les tissus plus profonds.
Dans le cas d'éléments manquants et/ou en traces (ou bien pour les ingrédients actifs de médicaments connus), leur influence peut être augmentée si la poudre, le liquide ou le gaz ou bien le médicament à introduire sous la surface de la peau et à appliquer sur le support sont utilisés en combinaison avec des particules métalliques qui sont capables de produire une différence de potentiel plus élevée en coopération avec la sueur, et d'accélérer de cette manière l'introduction de la substance sous la peau. Simultanément, sous l'influence du courant électrolytique engendré, l'effet de relaxation du spasme musculaire mentionné précédemment se produit également et il en résulte que, en addition à l'introduction des éléments manquants et/ou en traces, il devient possible de supprimer la douleur.
Naturellement on ne peut appliquer que des substances qui sont compatibles avec les substances ou le médicament à introduire et qui ne forment pas de composés toxiques avec ces substances ou ce médicament.
Il est inutile de préciser que l'efficacité du traitement effectué en utilisant le produit préparé par le procédé selon l'invention est influencée par la grandeur des surfaces de contact, la pression de contact, la durée de contact, la température, les propriétés et les quantités des matières appliquées ainsi que la quantité de la sueur formée.
Le produit peut être appliqué dans des cas où la maladie est causée par l'absence de certains éléments chimiques et/ou l'absence de certains éléments manquants/ et ou en traces, ainsi que dans des cas où il se produit des spasmes des muscles (par exemple des rhumatismes, de la tendovaginite, des désordres locomoteurs, des spasmes musculaires résultant d'une phlébite, d'une discopathie, d'une spondylose, d'un lumbago, d'une périarthrite huméroscapulaire, d'une contusion, d'une sciatique, dans le cas de douleurs ayant trait à la scoliose, à l'arthrose généralisée,
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à la coxarthrose, à la myalgie, à la maladie de Bechterew, à la fièvre, au torticolis, à une réduction des alvéoles des muqueuses après une tendovaginite, une neuralgie trigéminale, etc. ) ;
par l'utilisation correcte du produit, il est également possible de remplacer l'acupuncture (Johannes Bischko,"Einfùhrung in die Akupunktur", Haug Verlag, 4ème édition, Heidelberg (1970)).
Les produits conformes à l'invention peuvent également être appliqués contre le mal de tête, la migraine, les maladies de la gorge, du nez et des oreilles, la rhinite, la neuralgie trigéminale, la neuralgie géniculée, les vertiges, la thérapie des yeux, des maladies psychiques, les perturbations sexuelles, l'instabilité psychique, les insomnies, les maladies spasmodiques, les perturbations métaboliques, les maladies allergiques, les maux de dents, la neuralgie intercostale, etc. (cf. pages 51 à 75 du document précité).
Dans de nombreux cas, l'efficacité du produit selon l'invention pourrait être améliorée lorsque l'emplâtre - contenant les substances précitées, les éléments manquants et/ou en traces ou bien leurs mélanges-a été fixé aux endroits indiqués pour l'acupuncture. On a observé par exemple les effets suivants : - Quand l'emplâtre est placé dans le creux existant inté- rieurement en dessous de la cheville, on peut être assuré d'un sommeil complet au bout d'environ 20 minutes. En même temps-au bout de 10 minutes-la cadence des pulsa- tions est diminuée de 4 à 6. Cet effet peut être utilisé par exemple pour remédier à une tachycardie.
Dans le cas d'une colique biliaire, la littérature préci- tée indique de nombreux endroits. Pendant les expériences, on a établi que, pour obtenir l'effet désiré, l'emplâtre doit être fixé en dessous de la seconde côte de droite (un emplâtre de quelques centimètres carrés est déjà suffisant). Dans ce cas, au bout de 24 heures au maximum, la bile est évacuée et les fonctions se déroulent norma- lement.
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- On a également indiqué de nombreux endroits en ce qui concerne les soins de la rhinite. Parmi ces endroits, les articulations de la main, notamment du pouce sur le côté de la paume, et la partie supérieure de la main se sont avérées efficaces (quelques centimètres carrés). Pendant l'épidémie de rhinite se produisant en automne, l'évolu- tion de la maladie a été arrêtée et la dernière phase déplaisante de sécrétion de mucosités jaunes a pu être éliminée par l'utilisation du produit conforme à l'inven- tion.
- Lorsque l'emplâtre a été fixé sur le vaisseau sanguin placé sur le côté intérieur de l'articulation, la pression sanguine a été augmentée de 10 à 30 mmHg.
Les effets indiqués dans la littérature technique se sont produits lors de l'utilisation plus ou moins intensive des 358 points d'acupuncture.
Pour les spasmes musculaires, on a confirmé les résultats attendus, c'est-à-dire que le produit conforme à l'invention a été efficace non seulement sur les muscles striés du squelette mais il a également arrêté les spasmes des muscles lisses, par exemple la colique biliaire mentionnée pour l'acupuncture, ainsi que les spasmes de l'estomac, de l'intestin, des spasmes menstruels et qu'il a été probablement efficace dans le cas de spasmes myocardiaques et asthmatiques.
En fonction de ce qui a été décrit ci-dessus, le produit conforme à l'invention retarde les spasmes causés par une séparation lorsque cela est nécessaire, par exemple du fait d'un transport ou d'autres raisons. Après enlèvement de l'emplâtre, les spasmes se produisent à nouveau.
Dans le cas d'opération sur des veines, la douleur-à l'endroit de la douleur et du gonflement-peut être arrêtée et le gonflement peut être réduit au bout de 3 à 4 heures après fixation du produit conforme à l'invention.
Lors de l'utilisation des produits conformes à l'invention, de nombreuses substances, qui ne peuvent pas
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être administrées ou qui peuvent seulement l'être de façon difficile par l'intermédiaire du système alimentaire ou sous la forme d'injections, peuvent être administrées sans effets secondaires contraires. Ainsi par exemple il est possible d'administrer du fer dans le cas d'une anémie, du sélénium pour empêcher un infarctus cardiaque ainsi que les cinq vitamines métalliques, sans ou en la présence de petites quantités desquelles de nombreuses maladies se déclarent.
Sans les vitamines métalliques, l'organisme ne peut pas produire les substances prophylactiques puisque les vitamines métalliques précitées sont des catalyseurs permettant de les obtenir (anticorps, vitamines, hormones, etc.). L'utilisation des produits conformes à l'invention rend possible la prophylaxie et la guérison de nombreuses maladies par utilisation d'un grand nombre de substances et de leurs combinaisons.
Des expériences ont été effectuées pour traiter des rhumatismes et des spasmes musculaires.
Les emplâtres ont été mesurés dans la condition vide et lors d'un traitement avec la substance active. Sur le bord des emplâtres, des bandes de 5 mm ont été laissées libres, de manière que seulement une bande de 10 cm x 5 cm, c'est-à-dire de 0,5 dm2, soit pourvue de la substance active par pulvérisation. On a indiqué dans la dernière colonne du tableau suivant la quantité de substance active par dm2.
La quantité de l'ingrédient actif n'est pas importante et elle peut être de 0,01 à 5,0 g/dm2, de préférence de 0,05 à 0,6 g/dm2, et dans la plupart des cas de préférence de 0,01 à 0,1 g/dm2.
L'emplâtre pour rhumatisme est appliqué sur la peau pendant environ 30 secondes après avoir été fixé sur celle-ci.
Les résultats sont résumés dans le tableau suivant :
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Emplâtre pour rhumatisme
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<tb>
<tb> N Echan-Poids <SEP> Poids <SEP> Poids <SEP> d'ingrédient <SEP> actif <SEP> (Cu+S)
<tb> tillon <SEP> à <SEP> vide <SEP> brut <SEP> g <SEP> g/dm2
<tb> 1 <SEP> 1,86 <SEP> 1,95 <SEP> 0,09 <SEP> 0,18
<tb> 2 <SEP> 1,86 <SEP> 1,98 <SEP> 0,12 <SEP> 0,24
<tb> 3 <SEP> 1,88 <SEP> 2,00 <SEP> 0,12 <SEP> 0,24
<tb> 4 <SEP> 1,89 <SEP> 2, <SEP> 02 <SEP> 0,13 <SEP> 0,26
<tb> 5 <SEP> 1,85 <SEP> 1,98 <SEP> 0,13 <SEP> 0,26
<tb> 6 <SEP> 1,95 <SEP> 2,09 <SEP> 0,14 <SEP> 0,28
<tb> 7 <SEP> 1,93 <SEP> 2,10 <SEP> 0,17 <SEP> 0,34
<tb> 8 <SEP> 1,91 <SEP> 2,11 <SEP> 0,20 <SEP> 0,40
<tb> 9 <SEP> 1,81 <SEP> 2,02 <SEP> 0,21 <SEP> 0,42
<tb> 10 <SEP> 1,89 <SEP> 2,18 <SEP> 0,29 <SEP> 0,
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<tb>
Emplâtre pour arrêter un spasme musculaire
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<tb>
<tb> N Echan-Poids <SEP> Poids <SEP> Poids <SEP> d'ingrédient <SEP> actif <SEP> (Cu)
<tb> tillon <SEP> à <SEP> vide <SEP> brut <SEP> g <SEP> g/dm2
<tb> 1 <SEP> 1,88 <SEP> 1,885 <SEP> 0,005 <SEP> 0,01
<tb> 2 <SEP> 1,90 <SEP> 1,91 <SEP> 0,01 <SEP> 0,02
<tb> 3 <SEP> 1,88 <SEP> 1,90 <SEP> 0,02 <SEP> 0,04
<tb> 4 <SEP> 1,87 <SEP> 1,90 <SEP> 0,03 <SEP> 0,06
<tb> 5 <SEP> 1,89 <SEP> 1,92 <SEP> 0,03 <SEP> 0,06
<tb> 6 <SEP> 1,85 <SEP> 1,88 <SEP> 0,03 <SEP> 0,06
<tb> 7 <SEP> 1,88 <SEP> 1,91 <SEP> 0,03 <SEP> 0,06
<tb> 8 <SEP> 1,82 <SEP> 1,85 <SEP> 0,03 <SEP> 0, <SEP> 06
<tb> 9 <SEP> 1,90 <SEP> 1,94 <SEP> 0,04 <SEP> 0,08
<tb> 10 <SEP> 1,81 <SEP> 1,82 <SEP> 0,07 <SEP> 0,14
<tb>
Après les traitements effectués comme décrit cidessus, la douleur peut réapparaître.
Dans ce cas il suffit de placer un emplâtre de 0,5 x 0,5 cm ou un de 1 cm2 sur le point endolori et la douleur est éliminée.
Les tableaux suivants donnent les résultats des examens cliniques. En utilisant d'autres types d'emplâtres, les effets secondaires indiqués ne sont pas apparus. (Les affections ont été définies par leur désignation en latin).
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Expériences faites avec des emplâtres pour arrêter les spasmes musculaies
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<tb>
<tb> Diagnostic <SEP> Nombre <SEP> Affections <SEP> Temps <SEP> d'appa-Effet
<tb> de <SEP> cas <SEP> Inchangées <SEP> atténuées <SEP> Arrêtées <SEP> rition <SEP> de <SEP> secondaire
<tb> l'effet
<tb> Myalgia <SEP> 24 <SEP> 3 <SEP> 7 <SEP> 14 <SEP> 10 <SEP> min. <SEP> à <SEP> 3 <SEP> jours <SEP> 4 <SEP> Dermatitis
<tb> Discopathia <SEP> 4 <SEP> 2 <SEP> 1 <SEP> 1 <SEP> au <SEP> bout <SEP> de <SEP> 7 <SEP> jours <SEP> 1 <SEP> Dermatitis
<tb> Spondylosis
<tb> cervicalis <SEP> 8 <SEP> 2 <SEP> 4 <SEP> 2 <SEP> 30 <SEP> mn.
<SEP> à <SEP> 4 <SEP> jours <SEP> 3 <SEP> Dermatitis
<tb> 1 <SEP> Démangeaison
<tb> Lumbago <SEP> 5-3 <SEP> 2 <SEP> 6 <SEP> à <SEP> 24 <SEP> heures
<tb> à <SEP> 9 <SEP> jours
<tb> Periarthritis
<tb> humero <SEP> scapularis <SEP> 4 <SEP> 1 <SEP> 2 <SEP> 1 <SEP> 24 <SEP> heures <SEP> à <SEP> 8 <SEP> jours <SEP> l <SEP> Dermatitis
<tb> Tendovaginitis <SEP> 3-1 <SEP> 2 <SEP> 4 <SEP> heures <SEP> à <SEP> 6 <SEP> jours <SEP> 1 <SEP> Dermatitis
<tb> Ischialgia <SEP> 3 <SEP> 1 <SEP> 1 <SEP> 1 <SEP> 2 <SEP> heures <SEP> à <SEP> 5 <SEP> jours
<tb> Contusio <SEP> 3-2 <SEP> 1 <SEP> 30-60 <SEP> min. <SEP>
<tb>
Scoliosis <SEP> 2-1 <SEP> 1 <SEP> au <SEP> bout <SEP> de <SEP> 7 <SEP> jours
<tb> Arthrosis <SEP> gen. <SEP> 1 <SEP> - <SEP> 1 <SEP> - <SEP> - <SEP> TOTAL <SEP> 57 <SEP> 9 <SEP> 23 <SEP> 25 <SEP> 11
<tb> % <SEP> 100 <SEP> 15,8 <SEP> 40,3 <SEP> 43,9 <SEP> 19,3
<tb> 84,2
<tb>
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Expériences faites avec des emplâtres pour rhumatismes
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<tb>
<tb> Diagnostic <SEP> Nombre <SEP> de <SEP> Affections <SEP> Temps <SEP> d'appacas <SEP> Inchangées <SEP> atténuées <SEP> Arrêtées <SEP> rition <SEP> de <SEP> Effet
<tb> l'effet <SEP> secondaire
<tb> Myalgia <SEP> 10 <SEP> 2 <SEP> 2 <SEP> 6 <SEP> 24 <SEP> heures <SEP> - <SEP> 7 <SEP> jours <SEP> 4 <SEP> Dermatitis
<tb> Arthrosis <SEP> gen.
<SEP> 1 <SEP> 1
<tb> Tendovaginitis <SEP> 2-2 <SEP> à <SEP> partir <SEP> de <SEP> 6 <SEP> jours <SEP> 1 <SEP> Dermatitis
<tb> Coxarthrosis <SEP> 1-1-24 <SEP> heures <SEP>
<tb> Contusio <SEP> 1 <SEP> - <SEP> 1 <SEP> - <SEP> 3 <SEP> jours <SEP> 1 <SEP> Dermatitis
<tb> Discopathia <SEP> 2 <SEP> 1 <SEP> 1 <SEP> - <SEP> 24 <SEP> heures <SEP> 1 <SEP> Dermatitis
<tb> Lumbago <SEP> 2 <SEP> 1-1 <SEP> 9 <SEP> jours
<tb> Periarthritis
<tb> humeroscapularis <SEP> 2 <SEP> 1 <SEP> 1-24 <SEP> heures <SEP> l <SEP> Dermatitis
<tb> Spondilosis
<tb> cervicalis <SEP> 3 <SEP> 1 <SEP> 1 <SEP> 1 <SEP> à <SEP> partir <SEP> de <SEP> 8 <SEP> jours <SEP> 1 <SEP> Dermatitis
<tb> Autres <SEP> 2 <SEP> - <SEP> 2 <SEP> - <SEP> 3 <SEP> à <SEP> 5 <SEP> jours <SEP> 1 <SEP> Dermatitis
<tb> TATAL <SEP> 26 <SEP> 7 <SEP> 11 <SEP> 8 <SEP> 10 <SEP> Dermatitis
<tb> % <SEP> 100 <SEP> 26,9 <SEP> 42,3 <SEP> 30,8 <SEP> 38,
5
<tb> 73,1
<tb>