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"Proc6d, et appareil pour l'cmpilaje <1e nat6piaun en fquilles, par exemple des peaux",
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sur base du brevet dépose an Q6publ,1.cuc 1C4^! 7?S.Cic'..n le 15 noveribre nS5 et accorde le 31 août lf!C6 sous le z1 65/6150, ainsi que du brevet dépose -aux Etats-Unis d'.An6riquc le 11 septembre 1037 sous le Sériai ;To G7,37 et .accorde le 23 juillet 19C9 sous le !0 3,'*,113,908; ledit brevet américain a 6t6 dépose au non de T:Oûfd1" IJeii3.5 ?.rf'FI1!, dont la Sociale dite: S:1IFT E, c#1PAHY est l'ayant droit.
--:-....
La présente invention concerne un procède et un appareil
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pour l'cnpilase de feuilles, par 'c'eI'1ple des peaux sur ¯ un chevalet ou tréteau. Dans ce procède, les feuilles sont d6posées par un transporteur aboutissant . un point au-dessus du sonnet du chevalet.
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On connaît d6j des '-appareils pour empiler des Mt6riaux en feuilles de la nanicrc r6citée, mais ces anarêils sont 1
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=<1<ti.J==,*=t conriiqucs, encombrants, coûteux, et leur mode dr; fonctionnencnt est relativement lent. j)i"'.:1c. l'un de ces appareils connus, tel qu'il a été
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décrit par les brevets délivres aux Etats-Unis sous les
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:3 2. '7.1'?': dépose 1'3 10 d6ccT"Jn'Q 1356, ? 2.855.089 déposé le 3 juillet 1355 et :! 3.02,?1 déposé le 2" octobre 1960 chaque peau transpO'!:t(:c est suspendue à un rouleau, qui est 7u-^(::c transporte par des chaînes sans fin vers un point où la peau eit 10::'01..\160 par un mouvement de rotation du rouleau, Dans un autre aT'':la:\.'''il, tel que le montrent par exemple. ici brevet:-. rv',7 7,Vr ;:: au:;
r-tatr,-Uni8 sous les 1T 2.737.330 déposé le 12 '3Ctl3r?.^t,.' l'51- et 11 gii4.t,. d6)'056 le 1.8 février 1953 le? peau': 7:ont '"Cg''c;, ',^rJ'!''té':z'.; pai% uno courroie sans fin en diras-*
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tison <:1' \.!::l': harrc oscillante.) animas d'un mOUVCr1Em.t de va-st-vient Qn variant d'un eCt'''' u oh'''Vc'.lct vers le cütê oppose pendant le pnrr#czc de la poau. Un appareil éiinsi connu impose J.iL!tilisution d'un transporteur nIa.ti'Gncnt complique de rli2.me. que la en oeuvre <:'"un mécani!::r1c dl cntr.'2J:ncmcnt synchronisa très co>;j],iqi;îl, "?.:'.r l# 1.iite<trl;lrliaiirv duquel les mouvements de va-ot*" vient cl'3 la barre doivent Ctx'e onicndré%s ai; rlom*n t apppappiu.
Par ailiGurp, ;1<;ns tous les appareils connus jusqu'jci, 1,1 est 1=1dispe;;#.nbie "u'3 le;a peaux oc feuilJ.< s similaires soient tpc*nzm. portées et déposées avec des intervalles d'espacement.
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Le but de la présente invention est de créer un procédé
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du tyrs pr4cit& , mais :;:>c:."r..cttù.nt un empiiag# des feuilles plu5anue les appareils connus jusqu'ici.
3c!c.n l'invention, chaque feuille apportée par le transporteur est soutenu" de façon fl.u 1 un pan antérieur soit projet6 au-delà de i 'e;:tr%à=i11,tà do ce transporteur pour retomber ensuite sur unc facc, du c1cv<llc-L, tandis que le pan postérieur do la feuille, reposant encore sur le transporteur, est rabattu vers l'arriére pour ro.tc'nhsr sur la face postérieure du chevalet lorsque la feuille occupe la position dôsiràe par
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rapport à ce chevalet.
Une autre particularité de l'invention consiste en un appareil caractérisé par le fait qu'il comprend des moyens prévus a proximité de l'extrémité postérieure du transporteur pour engendrer un jet d'air en nappe destiné à soutenir chaque feuille de façon que son pan antérieur flotte dans une position sensiblement horizontale au-delà du transporteur, tandis qu'un dispositif de rabattement est monte à proximité de 1'extrémité postérieure du transporteur, et agence pour pouvoir se déplacer entre une position de repos au-dessus du transporteur et une position de travail au-dessous de celui-ci.
Il est possible également d'inverser des peaux en utilisant une variante de l'invention qui consiste en ce quo le pan antérieur d'une peau peut tout d'abord être amené sur la face antérieure d'un chevalet et en ce que le pan postérieur est ensuite projeté sur la face postérieure de ce chevalet, ce qui parmet l'inversion de la peau, Ceci peut être effectue' sur des peau:; successives au lieu de la séquence précédemment décrite consistant à projeter en premier'lieu le pan antérieur sur la face postérieure du chevalet et à amener ensuite le pan postérieur de la peau sur la face antérieure de ce chevalet. Les deux séquences peuvent être alternées pour des peaux successives.
Ainsi, dans ses aspects les plus larges, le procède fondamental conforme a la présente invention consiste à empiler des peaux successives ou autres en les transportant le long d'une rampe inclinée verticalement jusqu'à un point situé au-dessus du sommet de la pile et dès que ce point est atteint, à projeter le pan antérieur de la peau sur une face de la pile. Des qu'une longueur de peau prédéterminée est passée sur ce point, le pan postérieur restant de celle-ci est cmpêché de tomber sur la face opposée de la pile et la hauteur relative entre la point et le sommet de la pile est déterminée; le point est ensuite péglé ver- ticalement pour maintenir un espacement en substance constant.
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Grâce à cette invention, il devient possible de simplifier considérablement l'ensemble de l'appareil par rapport au:: appareils connus jusqu'ici.
D'autres buts et avantages de la présente ressortiront ' mieux de la suite de cette description en regard du dessin annexé, sur lequel: la figure 1 est une vue en élévation latérale d'un mode de réalisation préfér6 de l'appareil conçu selon l'invention; la figure 2 est une vue en élévation de face de l'appareil que montre la figure 1; ' la figure 3 est une vue schématique du mode de réalisa.. ; tion préféré en position de repos; la figure 4est une vue schématique de ce mode de réalisation préfénd déposant le pan antérieur d'une peau sur un chevalet d'empliage;
la figure 5 est unevue schématique du mode de réalisa- 'tien préfère déposant le pan postérieur d'une peau sur un chevalet d'empilage; la figura 6 est un schéma des circuits électriques du node de réalisation préféré de l'appareil que montrent les fiures 1 et 2; la figure 7 est une vue en élévation latérale d'une variante de réalisation de l'appareil selon l'invention; la figure 8 est une vue en élévation d'un troisième rode de réalisation de l'appareil conçu selon l'invention;
la figure 9 est une représentation schématique de l'appareil de la figure 3 amenant le pan antérieur d'une peau à inverser sur un chevalet d'empilage; et la figure 10 est une représentation schématique de la figura 8 projetant le pan postérieur d'une peau à inverser sur un chevalet d'empilage,
En ce qui concerne les détails de l'invention, le pro-
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cédé consiste à recueillir les peau:; consécutives et 1 les élever le long d'une rampe inclinée vers un point final audessus d'un chevalet d'empilage, dont l'ensemble est désigné par le nombre de référence 10 sur les figures 3 à 5.
De préfé- rence, les peaux sont élevées à une vitesse supérieure à celle de leur arrivée, de façon qu'elles soient efficacement espacées les unes des autres, Avant d'atteindre le sommet de la rampe inclinée, le bord antérieur de chaque peau est "palpé" ou détecte et un jet d'air ou de:
fluide similaire est dirige vers l'avant ou partant d'un point exactement au-dessous du sommet, de façon à faire flotter le pan antérieur de la peau vers l'avant au fur et à mesure qu'elle passe au-delà du sommet pour retomber sur la face antérieure du chevalet, La détection de l'arrivée du bord antérieur de la peau au sommet de la rampe déclenche également l'entrée en action d'un mécanisme compteur de temps, qui intervient pour mesurer la période nécessaire pendant laquelle la partie désirée de la peau passe au-delà ju sommet ou point final.
Normalement, cette période est suffisante pour permettre le passage de la moitié environ d'une peau, de préférence de la moitié du poids de cette peau, qui représente également la moitié de la surface. A la fin de cette période, le mouvement de flottement de la peau vers l'avant est arrête, et le pan postérieur de celle-ci est quelque peu rabattu vers l'arrière de façon à retomber sur la face postérieure du chevalet. De préférence, la peau est bloquée au sommet de l'empilage au cours de la période pendant laquelle le pan postérieur est rabattu vers l'arrière.
Ceci offre un avantage particulier lorsque la peau est lisse et risque de quitter l'empilage en glissant. Sensiblement au même moment a lieu la mesure de la distance entre le sommet de l'empilage des peaux et le point final au sommet de la rampe inclinée, et ce point final est au besoin réglé en hauteur de façon que la distance précitée soit maintenue sensiblement con-
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stante,
Les figures 1 à 5 du dessin annexé représentent un mode de réalisation préféré de l'appareil destiné à la mise en oeuvre du procède. Dans cet exemple, l'appareil destin6 à l'empilage dépose les peaux ou pièces similaires "à cheval" sur la barre supérieure d'un chevalet 10, généralement monte sur des rouleaux 11 pour faciliter les manoeuvres.
Le chevalet usuel se présente sensiblement sous une forme triangulaire, et il est place au-dessous de l'appareil destiné à l'empilage de façon à pré- senter une face antérieure'12 et une face postérieure 13 par rapport au sommet de l'appareil précité. Il peut être également avantageux d'utiliser un chevalet 10 comprenant des tablettes 14 descendant le long des deux faces précitées, ce qui permet alors de transformer le chevalet en une table à plateau horizontal ou surface de travail dès qu'il a été suffisamment chargé.
L'appareil utilise pour l'empilage comprend lui-même un cadre incliné 17 qui s'élève en partant de l'extrémité postérieure d'un transporteur horizontal 18. Deux béquilles élévatrices 19, 20, descendent de part et d'autre de la partie supérieure du cadre incliné 17, et sont actionnées par un mécanisme élévateur dont l'ensemble est désigne par le nombre de référence 21, et qui sera décrit en détail plus loin,
Le transporteur d'empilage comprend plusieurs courroies espacées 24, tendues entre une poulie de renvoi 25 montée à rotation libre sur un arbre 25, et une poulie d'entraînement 27 solidaire en rotation d'un arbre entraîneur 28.
Un pignon à chaîne 29 est également fixé à cet arbre, et entraîne en rotation par un moteur électrique 30 de façon que la volée supérieure des courroies 24 se déplace en montant, Le moteur 30 est relie cinématiquement au pignon 29 par une chaîne de transmission 31. Il est bien entendu que les courroies 24 peuvent être également entraînées par une liaison cinématique appropriée entre
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l'arbre entraîneur 28 et le transporteur 18, amenant les peaux .au bas de la rampe.
On voit également que l'arbre entraîneur 28 remplit la fonction d'une articulation pour l'ensemble du cadre incliné 17. Il est donc monté à rotation dans des paliers appropriés, faisant partie aussi bien du cadre 17 que du bâti du transporteur 18.
Les peaux ou pièces similaires, amenées par le transporteur 18 passent sur le transporteur élévateur en glissant le long de plusieurs broches de guidage 32, qui peuvent être espacées les unes des autres pour être intercalées entre les courroies du transporteur 18, et pour faire passer les peaux sur les courroies 24 du transporteur élévateur. De préférence, les courroies 24 avancent à une vitesse supérieure a celle du transporteur 18, afin que les peaux consécutives soient convenablement espacées les unes des autres.
Un premier détecteur occupe une position telle qu'il détecte la présence d'une peau lorsque celle-ci s'approche de la poulie de renvoi 25, De préférence, le détecteur en question se présente sous la forme de plusieurs cellules photo-électriques 36 représentées sur la figure 2, et intercalées entre les courroies 24. Ces cellules peuvent répondre à la lumière émise fixée par une lampe 37, qui peut être au/plafond du local à l'intérieur duquel est logé l'appareil.
Lorsque le bord antérieur d'une peau passe entre les cellules photo-électriques 36 et la lampe 37, un circuit électrique, qui sera décrit en détail plus loin, est établi pour déclencher l'entrée en action d'un obturateur électromagnétique 40 au monent où le bord antérieur passe sur la poulie 25.
Cet obturateur fait alors passer de l'air comprimé d'une source non représentée dans un conduit distributeur 41, monté junte audessous de la poulie 25 et orienté parallèlement à celle-ci. Le
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conduit distributeur 41 présente une ranges de trous 42 orientés de façon à diriger de puissants jets d'air vers l'avant sous la fome d'une nappe sensiblement horizontale par rapport à la poulie de renvoi 25, Le pan antérieur d'une peau est porte par cette nappe d'air et flotte ainsi au-delà et en travers de la face an- térieure 12 du chevalet 10.
Au moment où les cellules photo-électriques 36 sont masquées, un mécanisme compteur de temps entre en action et intervient à son tour après une période prédéterminée pour actionner un dispositif rabatteur, qui dirige le pan postérieur de la peau vers la face postérieure 13 du chevalet 10.A ce moment, le ci - cuit de l'obturateur électromagnétique 40 peut être ouvert pour arrêter l'arrivée de l'air comprimé dans le conduit distributeur 41. Le dispositif rabatteur comprend de préférence plusieurs rouleaux espaces 46 garnissur le pourtour d'un revêtement tendre et souple, et qui sont montés à rotation libre sur un arbre 47 porte par un support pivotant.
Cet arbre 47 est rendu solidaire de bras 48,49 fixes respectivement à gauche et à droite de l'arbre de renvoi 26 du transporteur montant, Un pignon à chaîne 50 est également rendu solidaire d'une extrémité de l'arbre 26, et fait partie d'un train de transmissions grâce auquel l'arbre 17 est animé d'un mouvement de pivotement pour déplacer lesrouleaux déflecteurs46 entre deux positions, respectivement de repes et de travail au-dessus et au-dessous de la poulie de renvoi 25.
Un pignon à chaîne correspondant 51 est monté à rotation sur un pivot 52 fixe au même côté du cadre incliné 17, et agence pour pouvoir être déplace en va-et-vient, Le pivot 52 est également dote d'un boulon de serrais ou d'un organe similaire, peremettant de relier la tension de la chaîne de transmission 53 passant surles deux pignons précités 50 et 51.
Les deux extré- mités de la chaîne 53 sont respectivement accouplées à deux tiges
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de commande opposées 54, 55, solidaires du niston d'un vérin pneumatique à double effet 56, Un distributeur électromagnétique à quatre voies 58 est intercaléentre le vêrin pneumatique 56 et une source d'air comprime non représentée, pour actionner le vérin'dans l'un ou dans l'autre sens au moment de la fermeture d'un circuit de commande décrit en détail plus loin.
En ce point de la description, il devient possible de faire comprendra le principe du fonctionnement de l'appareil représenté sur les figures 3 à 5. Initialement, c'est-à-dire au moment où le bord antérieur d'une peau atteint le, sommet du trans- porteur montant, les jets d'air en nappe 42 projettent efficace- ment le pan antérieur de la peau au-delà du chevalet pour la faire retomber sur la face antérieure 12 de celui-ci. Apres une période prédéterminée, les rouleaux rabatteurs 46 pivotent en passant d'une position supérieure de repos vers une position in- férieure de travail que montre la figure 5 et obligent ainsi le pan postérieur de la peau à retomber sur la face postérieure 13 du chevalet 10.
De préférence, chaque peau est bloquée au sommet de l'empilage pendant que le pan postérieur est rabattu sur, le chevalet. De plus, pour permettre la superposition convenable d'un grand nombre de peaux consécutives, il est nécessaire de recti- fier constamment la position en hauteur de la poulie de renvoi 25 du transporteur montant. On prévoit donc des moyens de blocage et de réglage destinés à coopérer avec chaque peau, et à recti- fier au besoin la position en hauteur de l'appareil après la mise en place de chacune des peaux consécutives.
Un mode de réalisation préfère des moyens prévus pour la rectification de la position en hauteur du transporteur élé- vateur comprend à la fois un deuxième dispositif "palpeur" ou détecteur 35, et le mécanisme élévateur 21. Dans ce mode de réa- lisation préféré, le deuxième dispositif détecteur est équipe d'un doigt flexible 62, s'étendant vers l'avant en partant d'une chape de.montage 63 rendue solidaire de l'arbre 47 portant les
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rouleaux rabatteurs. Ce doigt remplit écaleraient la fonction d'or-: zone de retenue des peau::. Un contact rionorolaire 64 est monté sur la chape 63, et fait partie du dispositif détecteur pour Stre actionne par une logcre flexion du doigt 62.
Chaque fois que les rouleaux rabatteurs sont déplaces vers la position de travail, il résulte de cet agencement que le doigt flexible 62 est appliqué sur la peau mise en place, et la retient au sommet
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de 1'empilaz? pour 1'empôcheP de glisser dans un sens ou dans l'autre. En mc^rie terips, le doigt 62 peut exécuter un mouvement de flexion suffisant rour rarroler le contact 64 de façon ,¯'errler d#ux plots lc contact pendant une courte période, pour déclencher l'entrée en action du mécanisme élévateur 21 jusqu'à
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ce que le doi-t 62 soit écarté des demc plots de contact pour leur ouverture ,
Le mécanisme élévateur peut être actionné par voie mécanique, hydraulique ou pneumatique.
Un mode de réalisation , préféré, est représente sur les figures 1 et 2, Il comprend un support vertical 68 portant entre deux montants un arbre 69.
Un pignon à chaîne 70 est rendu solidaire de cet arbre entre
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les montants du support l1, et ce pignon est relie cinnma6tique- ! ment par une chaîne de transmission 71 à un réducteur de vitesse
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à engrenages 72, a son tour relie cincmatiquement à un moteur électrique 73.
Ainsi qu'il ressortira plus clairement de la suite de cette description, le moteur'électrique 73 est alimente indi-
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recterlcnt par le contact 64 prccito, Deux pignons à chaîne 76 sont rendus solidaires de
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l'arbre C9 a l'extérieur du support 6T, 'Deur chaînes 78, 79 sont 1 respectivement accrochées a la partie supérieure des pignons 76
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et portent 3, l'extrémité inférieure des contre-poids 12, 11, ainsi! que les e::trér1.ités des béquilles élévatrices 3, 20.
Les contrepoids 90, 81 sont suffisamment lourds pour équilibrer une partie de l'appareil d'empilage porte par les
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béquilles 18 et 20, on peut ainsi utiliser un moteur 73 de faible puissance pour relier la position en hauteur de l'appareil par un mouvement de rotation de l'arbre 69 et des pignons 76,
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Des contacts-limiteurs ltk, 15 et des cames correspond- dantes 86, 87,
sont respectivement montés sur le support 68
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et sur l'arbre 6 pour détorminer les limites supérieure et in- férieure du mouvement d'élévation. La distance entre ces deux li-
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mites est normalement inférieure au pcrimctre des pignons 7G
Un autre mode de réalisation de l'appareil conçu selon l'invention est représente sur la figure 7. Ce dernier mode de réalisation comprend de nombreux éléments manifestement similaires à ceux du mode de réalisation préfère. Il comprend un bâti in-
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férieur 10 et un cadre supérieur '''1, relie cincmatiqucmcnt au brti par une articulation à ;enaui 1 lère f 2.
Cette articulation est disposée sensiblement au milieu du cadre supérieur 91 de façon que la partie postérieure de celui-ci équilibre en partie la partie antérieure, sur laquelle passe le transporteur courroie.
Un dispositif générateur de jets d'air (non représenté.), iden-
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tique a celui qui a été précédemment décrit, est prévu à l'extrc- mite antérieure du cadre supérieur 91. Un dispositif rabatteur
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monté à pivotement, et comprenant une rang6e de rouleau:: 1:t est é3aleT'lent prévu et actionné d'une manicre similaire a celle qui a été précédemment d'écrite.
Par contre, le dispositif destiné à la rectification de la position en hauteur et à la retenue des peaux, dont l'ensemble est désigne par le nombre de référence !Se est d'une conception différente et comprend un vérin pneumatique 26, dont le
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piston est prolonge par une tige 17, et qui est monte a l'extrémité libre du cadre supérieur Il par l'inter,-itdia4-.-o l'un pral16losramme articule, dont l'ensemble est d4ninn6 par le nombre de référence 33, et qui comprend le cadre proprement dit 21 et un élément porteur t:I") sol14,aire du h ti inférieur z, xwcc cc
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pal1élo3rar.c articulé. le vcrin pneumatique 05 ainsi que sa tmije de piston â 7 peuvent Stra naintenus dans une position verticale, Lorsque les rouleau::
rabatteurs 4 sont actionnes pour fa:t7."c yGlonber la peau sur 1." r0.CC pS'tC.'4 ':1.'L.1.. 'Co' d'un chevalet, ir: vr"rin '?0 est 1;, son. tour actionna de façon que la tige de "'piston 17 sort'1 : C:.'1n'! r 'l-'ctv',S2' pour serrer 1", peau sur le sonnet de .e. P Lo::..J..f'7.4V'3 'Le v{-rin Ir) est monté de far.'on que le nouvenent de sortie de la tige de piston soulevé chaque fois l'e>itr6mit& libre du cadre supérieur cl jusqu'à la hauteur désirée au-dessus
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de :1. 1 Ci'\!:>i1ar::c des peau::.
La tije de piston 21. é?t esca,nnot6c chaque foi= quc les rouleaux rabatteurs lJ!f sont rappelés a la position
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de repos,
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Au notent où le cadre supérieur 91 atteint la position en :.auteur précitée;, il est bloque contre tout mouvement de retour
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lorsque la t4-,e de piston n7 7 est escanotec, et ce par l'interncdiaire d'une chaîna 111 reliant 1' e:ctrc.r.t postérieure du cadre supérieur 31 a un contrepoids 102, Cette chaîne 101 passe Fur un pignon 10â solidaire en rotation d'une roue ' dents d'enr.a..nuetave, ensuite sur un pignon 10 mont('-, à rotation libre, Les deu:: pignons prccitcs sont portes par une partie du b8ti inférieur '0. Lorsque l'extrcnite libre du cadre supérieur 91 s'cluvc, la chaîne ICI descend et fait tourner le pignon 103 danp le sens anti-horaire selon la figure 7.
Le pignon bzz est
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agence pour pouvoir tourner librement dans ce sens . Cependant, un
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r.:wani srje a cliquet 105 contrarie la rotation de ce pignon dans le nens horaire, ce qui enpochc. donc à son tour efficacement ilab2isscr,c,nt du cadre supérieur 1 âpres son élévation, Le fonctionnenent du rode de réalisation préfère de l'appareil selon l'invention, que nontrcnt les figures 1 à 5 du dessin, corr:and Ç par un ensemble clé circuits électriques représentes sur la figure G. Un enscnble pinilaira, a :sis quelque peu modifié, peut 4t=c utilise pour la cor.,nande du node de rualisation que
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montre la figure 7.
En se reportant à la figure 6, on voit que les différentes parties du bloc de commande sont alimentées par une source de courant alternatif de 120 volts, tandis que le moteur 73, de préférence du type réversible, peut être avantageusement alimente par une source de courant triphasé de 220 volts.
Le courant de 120 volts arrive par deux conducteurs principaux 108, la?, La lampe électrique 37, destinée à éclai- rer les cellules photo-électriques 3G, est connectée entre les conducteurs principaux 108, la?, Les cellules photo-électriques 36 sont connectées en série avec les contacts correspondants d'un relais photo-électrique, dont l'ensemble est désigne par le nombre de référence 110, et qui est choisi parmi les dispo- sitifs livrés au commerce, tel que le modèle DE-3 de la Parmer Electric Company.
Similairement, un relais à action différée dont l'ensemble est désigne par le nombre de référence 111, et qui est du type réglable, permettant la modification de la pério- 'de de repense entre deux limites largement espacées par un opé- rateur, Il peut être l'un d'un certain nombre de dispositifs livres au commerce, tel que le nodule 120 de la Farmer Electrie Company.
Un contact 112 du relais photo-élestrique 110 est également connecté entre le conducteur 109 et le relais à action différée 111,et ce contact est ferme lorsque l'une des cellules photo-électriques 36 (ou plusieurs de celles-ci) est masquée.
De préférence, deux jeu:; de cellules photo-électriques 36 et 36a sont connectes en' série, et disposé s à des distances différen. tes de la poulie de renvoi 25. Lorsqu'une peau s'avance vers la poulie, une ou plusieurs cellules du premier jeu 36 sont masquées et déclenchent la fermeture du contact 112. Ce contact 112 reste ,ensuite fermé jusqu'à ce que toutes les cellules photo- électriques 36, 36a des deux jeux soient démasquées, ce qui déclenche la réouverture du contact 112. A son tour, le contact 112
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actionne le relais à action différée Ill. Celui-ci comprend dcu:: contacts 113, 114, qui sont normalement ouverts tant que le relais à action différée 111 reste inactif.
Cependant, lorsque
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celui-ci est actionna par la fermeture du contact 112 du relais
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photo-clectrique, le premier contact 113 se ferme immédiatement pendant une période !)r.déterriiii6e. A la fin de cette période, le contact 113 s'ouvre tandis que le deuxième contacta se ferme,et reste fcmu jusqu'cs qlacbrelais il action différée 111 soit rappelé, ce qui n'a jùn6ralenent lieu que par l'ouverture du contact 112 du relais photo-clectrique.
Les deux contacts 113 et .14 sont connectes entre le distributeur ulectromasnctique à quatre voies 58 et le conduo- tour principal .Q9, L'obturateur 61catromagnç'ltique à d1uxVoios
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'iJ, contmandant le générateur de jet d'air 42, est esalenent connech t6 au projnier contact 113 en série avec un contact 115 normale-
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ment ouvert, et en parallèle avec un premier enroulement 116
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du relais 59.
Sin-tilairement, le mécanisme élévateur 21 est connecta au dcuxic:r.c contact 1111 en parallèle avec le deuxième enrouleTa:'.83' J du dipts'ibuteup g:.'4,3'2:'O!Ici,,nt.t.t.' e Apres la nisc en circuit du relais à action différée 111, la contact 113 ort formé, pour faire passer le courant dans le prenicr enroulement 11 du distributeur 6lectronas.nëtique 8, qui fait son tour passer l'air conprine dans une extr6mit6 du vcrin nneur.-,at4-que 56., de sorte que l'arbre '47 portant les rouleaux rabatteur';
L6, le doist z et le contact detocteur 61 pivote dans le sens anti-horaire vers la position de repos, Lorsque le vearin pneumatique 5G engendre ce mouvement, la tije 54 ferme le contact 115 et fait passer le courant dans l'obturateur 61ectronasnctique 40, qui permet ainsi le passage de l'air comprime dans les trous L12 pendant que le necanisne déflecteur et de rate-
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nue occupe la position de repos.
Cette position des organes est maintenue jusqu'à la
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fin de la période prédéterminée après laquelle le contact l13
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du relais à action différée est à nouveau ouvert, arrêtant ainsi le passade du courant dans l'obturateur électromagnétique 40 et l'entrée de l'air comprimé dans le conduit distributeur 41, en ouvrant simultanément le circuit de l'enroulement 116 du distributeur électromagnétique 58, Au même moment, le contact 114 est ferme et fait passer le courant dans un enroulement opposé 117 du distributeur 58, ce qui fait passer l'air comprimé dans l'autre extrémité du vérin pneumatique 56, qui ouvre par conséquent le contact 115 et fait pivoter l'arbre 47 dans le sens horaire,
de sorte que les rouleaux rabatteurs 46 ainsi que le doigt 62 passent à la position de travail.
Au début d'une opération d'empilage, l'opérateur manoeuvre le mécanisme de réglage en hauteur de façon que l'extrémité libre du transporteur élévateur occupe une position appropriée au-dessus d'un chevalet vide. Au fur et à mesure que les peaux consécutives sont empilées, l'appareil fonctionne automatiquement de la manière précédemment décrite, et actionne complémentairement le mécanisme de réglage en hauteur de façon que la poulie de renvoi 25 soit automatiquement maintenue à la position en hauteur désirée au-dessus de la dernière peau déposée sur l'empilage. Le fonctionnement du mécanisme de réglage' en hauteur est essentiellement commande par le contact 64 et par un commutateur bipolaire à bouton-poussoir 120, comprenant deux contacts 119 et 121.
En se reportant à la figure 6, on voit que le contact monopolaire à double effet 64 est normalement sollicita pour établir une connexion entre le conducteur principal 109 et les contacts normalement ouverts 119 et 121 du commutatour à boutonpoussoir 120. Le contact 119 est 'égale-lent connecta par un conducteur 118 à l'extrémité postérieure de l'enroulement 117 du distributeur électromagnétique 58, tandis que le contact 121 est connecté à travers le contaet-limiteur 25, normalement fermé, à un électro-aimant d'abaissement 122 faisant partie d'un relaie
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123, qui commande à son tour le moteur réversible 73.
La poulie 25 est donc abaissée par la fermeture temporaire des contacts 119, 121 mettant en circuit 1'électro-aimant 122 , qui fait passer; le courant dans le moteur 73 faisant tourner les pignons à chaîner
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¯70 dans le sens de l'abaissement des béquilles 19, 2¯0, Un con- tact de maintien 124 normalement ouvert, intercalé entre les contacts 64 et 85 en parallèle avec le commutateur à bouton- poussoir 120, est fermé par l'électro-aimant 122 pour maintenir celui-ci en circuit jusqu'il ce que le moteur 73 ait suffisamment abaisse l'appareil pour ouvrir le contact-limiteur 85, ou jusqu'à ce que la position de repos du contact 64 soit rétablie, Crâce à ce circuit, le contact 64 est amené à toucher un cheva- let, ou le sonnet de l'empilage,
par la mise en circuit tempo- raire de l'enroulement 117 du distributeur électromagnétique 58 par l'intermédiaire du conducteur 118, au moment où le contact 118 est ferme par le commutateur à bouton-poussoir 120,
Ensuite, et au fur et à mesure que chaque peau se rappro-
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chie de la poulie de renvoi 25 sur les courroies transporteuses211, ) le doigt 62 et le contact 64 pivotent entre les positions de
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travail et de repos alec les rouleaux rabatteurs 46, en fonction des positions occupées par les contacts 113 et 114 du relais à
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nctio.n diff6n6e 111 Ainsi qu'il 6t6 indiqué '" ... "'d action différée 111. Ainsi qu'il a été indique prcoe eTflJ'nent, le doigt 62 est rabattu pour toucher et pour retenir chacune des
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!"CD.UX cans°cut.vvc déposées et "drapées" de part et d'autre du chevalet.
Lorsque laîtauteur de l'empilage des peaux est suffi- sante zout que le doit 62 referme le contact 64, celui-ci établit une connexion entre le conducteur principal z098 et;, à travers le coniZict-l:i.mitcur 34 normalement ouvert, avec un électro-aimant '10v1.tcur 1?5 faisant partie du relais 123 destiné à la commande eu .otCt1>:'. #.=n4s cette riisc en circuit de l'électro-aimant 125, le moteur 73 fait donc tourner le pignon à chaîne 70 dans le sens
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Or(1:;;, c'c;
t-. -c'..rc dans le sens de l'élévation des béquilles lg,
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20, jusqu'à ce que le doigt 62 soit suffisaient libéré pour permettre le retour du contact 64 à la position d'ouverture,
Il en résulte que le courant cesse de circuler dans 1'électro- aimant 125, donc également dans le moteur 73.
L'appareil continue de s'élever par intermittence au fur et à mesure que les peaux consécutives sont déposées sur le chevalet, jusqu'à. ce que le contact-limiteur 84 soit ouvert par la came 86. A ce Moment, l'opérateur intervient pour arrêter temporaircment les opérations d'empilage et pour remplacer le chevalet chargé par un chevalet vide. Ilamorce ensuite un nouveau cycle d'opérations, qui sont mises en oeuvre de la manière précédemment décrite.
Un interrupteur à bouton-poussoir 126, normalement ouvert, est également connect6 en parallèle avec le contact 64 entre le conducteur principal 109 et le contact-limiteur 84, ce qui permet à l'opérateur d'intervenir pendant la commande automatique pour augmenter à volonté la hauteur d'élévation de l'appareil.
Le procédé conforme à la présente invention peut aussi être mis en oeuvre comme décrit précédemment, en tenant compte du fait qu'avant d'atteindre le point final de la rampe inclinée, le pan antérieur de chaque peau est palpé ou détecte et un jet d'air ou de fluide similaire est ensuite dirigé vers l'avant à partir de l'endroit situé juste au-dessous du point final, en vue do projeter et de déplacer le pan antérieur de la peau vers l'avant lorsqu'il passe au-delà de ce point, de façon qu'il tombe sur la face postérieure du chevalet ou vers le bas à partir du point final, afin que le pan antérieur de la peau se fixe sur le chevalet et tombe sur la face antérieure de celui-ci.
Dès la fin de cettepériode opératoire, le jet d'air initial est coupé en vue d'arrêter la projection de la peau vers l'avant, grâce à quoi le pan postérieur de celle-ci est ramené quelque peu vers l'arrière pour tomber sur la face antérieure du
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chevalet, ou encore pour arrêter la pose du pan antérieur, de façon que le pan postérieur soit projeté sur la face postérieurede la pile en inversant ainsi la peau.
De préférence, le pan antérieur de la peau est tout d'abord projeté vers l'avant sur la face antérieure d'une pile et le pan postérieur est ensuite ramena vers l'arrière sur la face antérieure du chevalet, tout en maintenant simultanément et physiquement la peau contre le sommet de la pile, de telle sorte que la face orientée vers le haut le soit également sur cette pile.
Toutefois, la séquence pcut être modifiée pour inverser les peaux en appliquant tout d'abord le pan antérieur sur la face antérieure de la pile, de façon que la face orientée vers le haut soit dirigée vers le bas, et en projetant ensuite le pan postérieur sur la face postérieure du chevalet, tout en maintenant le pan antérieur contre la face de la pile, La séquence mentionnée ci-dessus peut également être alternée, de manière à mettre face face des paires de peaux, c'est-à-dire à nlacer sur la pile une peau dont la face est orientée vers le haut et à poser ensuite sur cette même pile une peau subséquente dont la face est orientée vers le bas, etc,
Le mode de réalisation de l'invention représenté aux figures 8 à 10 est une variante de l'appareil préféré,
conçue pour inverser les peaux, en ce sens qu'elle comprend des pièces de l'appareil préféré, ces pièces étant désignées par des références identiques/portant l'exposant prime,
Comme représenté aux figures 8 à 10, l'appareil est conçu pour déposer des peaux sur un chevalet 10' monte sur des rouleau,: 11' et comprend un cadre inclin6 17' partant d'un transporteur horizontal 18'. Plusieurs courroies 24' sont commandées par une poulie de renvoi 25' montée sur un arbre 26' à l'extré- mité supérieure du cadre 17' et par une poulie d'entraînement 27' montée sur un arbre 28' adjacent au transporteur 18'.
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Des broches de guidage 32' sont prévues pour faciliter l'acheminement des peaux du transporteur 18' jusqu'aux courroies 24' qui amènent vers le haut la même face de la peau que celle fournie par le transporteur 18'. L'appareil comprend également un premier organe de détection, par exemple des cellules photo- électriques 36', situées entre les courroies 24', de façon à être normalement exposé à la lumière d'une lampe surélevée 37'.
Similairement, un second organe de détection 35' dot6 d'une broche 62' et d'un micro-contact 64', ainsi que d'un mécanisme élévateur 21', constituent une partie de l'appareil et fonctionnent, de la même façon que dans le mode de réalisation préféré pour régler la position de levage de l'extrémité finale du cadre 17' au-dessus d'une pile de peaux posée sur le chevalet 10' et pour maintenir les peaux en place sur celui-ci lorsqu' elles sont amenées vers l'avant sans être inversées. Toutefois, le second organe de détection 35' est autosoutcnu entre deux supports.48' montés d'une manière pivotante sur l'arbre final 26' (dans cette variante de l'appareil, l'organe d'écartement est éliminé de ces éléments).
Le second organe de détection 35' est contraint de se déplacer, entre des positions espacées au-dessus de la pile de peaux, par un cylindre pneumatique 56' à double action. Une tige d'extension 130 est reliée entre un bras 131 du support 48' et une tige de mise en action 55' s'étendant vers l'avant du cylindre pneumatique 56', Ainsi, lorsque l'air sous pression est dirigé vers 1'extrémité avant (à la droite de la figure 8) du cylindre 56', l'organe de détection 35' pivote dans le sens des aiguilles d'une montre et entre en contact avec la pile de peaux.
Lorsque l'air est dirige vers 1'extrémité arrière du cylindre 56', l'organe de détection 35' est exempt de tout contact avec -les peaux.
Dans ce node de réalisation, le mécanisme de placement des-
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peaux comprend une seconde série d'injecteurs d'air 134 prévus le long d'une tube à air 135 fixe dans une position légèrement supérieure et au-delà de la poulie finale 25', ainsi que parallè- lement à celle-ci, sur un sous-cadre 136 situé à l'extrémité du cadre 17'. Les injecteurs 134 sont dirigés vers le bas et vers l'arrière entre le cadre 17' et le chevalet 10'.
Comme dans l'appareil préfère, cette variante com- prend également un organe saillant vers l'avant, comprenant des jets d'air prévus par un collecteur 41' raccordé à une source d'air sous pression et dote de plusieurs ouvertures 42' dirigées vers l'avant à partir du dessous de la poulie 25', transversalement au sommet du chevalet 10'.
Par conséquent, cet organe peut être mis en action en substance conformément au mode de réalisation préfère pour projeter en premier lieu le pan antérieur d'une peau, à l'aide d'un flux d'air provenant du collecteur 41', sur la face postérieure du chevalet 10' et pour rabattre ensuite le pan postérieur de la peau en rediri- geant l'air du collecteur 41' vers le tube 135 a peu près en même temps que le second organe de détection 35' entre en con- tact avec la pile. Cette opération peut être effectuée par un circuit de commande similaire à celui représente à la figure 6.
Toutefois, l'avantage le plus important de l'appareil représenté au:: figures 8 à 10 est obtenu lorsque l'on souhaite inverser chacune des peaux à partir de la position dans laquelle elles sont fournies par le transporteur 18', Dans ce but, une règle de retenue 138 s'engage sur le pan antérieur des peaux posées sur la face antérieure du chevalet 10'. La règle 138 pivote entre des éléments verticaux 139 provenant du cadre 17'.
Un ressort de tension 140 est monte entre les extrémités infé- rieures des éléments 138 et une cornière fixe 141 pour maintenir la position de la règle 138 lorsqu'elle est élevée avec le cadre 17' au fur et à mesure que la pile augmente en hauteur.
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La règle 138 est forcée contre le chevalet 10' au moyen d'un ressort de tension 142 raccordé à un corps de mani- velle 143 et a un bras fixe 144 monte sur un élément 139. La règle 138 s'éloigne par pivotement du chevalet 10' au moyen d'un cylindre pneumatique 145 prévu également sur l'élément 139. Une tige de piston 146, logée dans le cylindre pneumatique 145, est extensible vers le corps de manivelle 144, de façon à provoquer sa rotation en sens inverse des aiguilles d'une montre lorsque de l'air sous pression est introduit dans le cylindre 145.
Pour la mise en action de l'appareil de la figure 8, en vue d'inverser une peau sur le chevalet 10 ',le circuit de la figure 6 est modifié de façon que les éléments de l'appareil fonctionnent selon la séquence décrite ci-après, cette modifica- tion étant évidemment bien connue des hommes de métier spécialises dans cette technique.
Lorsque le pan antérieur d'une peau se rapproche des cellules photoélectriques 36' prévues sur les courroies 24', l'appareil occupe la position représentée à la figure 8, Dès que la peau interrompt l'arrivée de lumière aux cellules photoélectriques 36', l'air sous pression est dirigé (1) vers l'extrémité avant du cylindre de mise en action 56', en provoquant l'entrée en contact de l'organe de détection 35' avec le sommet de la pile de peau:,(2) vers le cylindre 145, de façon 3 faire pivoter la règle de retenue 138 et à l'éloigner du chevalet 10', et (3) .vers le tube à air supérieur 135, en provoquant l'arrivée dun courant d'air entre le cadre 17' et le chevalet 10'.
Par conséquent, la position en hauteur de la poulie finale 25' est réglée et lorsque le pan antérieur de la peau s'étend au-delà de la poulie finale, il est rabattu vers l'arriére, comme représent6 à la figure 9, entre la règle 138 et le chevalet 10'. L'interruption de l'amenée de lumière aux cellules photo- électriques 36' commence, comme décrit précédemment, au moment où approximativement une moitié de peau est passée sur la poulie
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25'.
A la fin de ce moment, le circuit de commande actionne l'appareil pour qu'il occupe la position représentée à la figure
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10, en vue (1) de rediriser de l'air sous pression à 1'arrière ,1 du cylindre 56' de façon à ramener vers le haut par pivotement l'organe de détection 35', (2) à rediriger également de l'air sous pression vers le collecteur 41'à partir du tube 135, de façon à projeter un flux d'air vers l'avant contre la peau dans une direction transversale à celle du chevalet 10', et (3) à couper l'arrivée d'air au cylindre 145 en permettant à la règle 138 de presser ainsi les pans antérieurs de'la peau contre la face antérieure d'une pile de peaux posée sur le chevalet 10'.
Ainsi le pan postérieur de la peau est rabattu sur le cheva-j let 10', tandis que le pan antérieur est empêche de tout déplace- ment . Comme décrit précédemment, le rétablissement de l'arrivée
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de lumière aux cellules photoélectl"iques 3 G' âpres le passage du pan postérieur rétablit le circuit de commande pour la pro- chaîne peau.
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clininq peatl,
Il est bien entendu que l'invention n'est nullement limitée au:: modes de mise en oeuvre qui viennent d'être décrits à titre ! d'exemple en regard du dessin annexe,et qu'on peut au contraire ) imaginer d'autres variantes et des modifications de détail sans s'écarter du principe. ;
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:rVi.'ZJ2CATTn:IS.
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