BE547362A - - Google Patents

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BE547362A
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    • DTEXTILES; PAPER
    • D02YARNS; MECHANICAL FINISHING OF YARNS OR ROPES; WARPING OR BEAMING
    • D02GCRIMPING OR CURLING FIBRES, FILAMENTS, THREADS, OR YARNS; YARNS OR THREADS
    • D02G1/00Producing crimped or curled fibres, filaments, yarns, or threads, giving them latent characteristics
    • D02G1/02Producing crimped or curled fibres, filaments, yarns, or threads, giving them latent characteristics by twisting, fixing the twist and backtwisting, i.e. by imparting false twist

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  • Engineering & Computer Science (AREA)
  • Mechanical Engineering (AREA)
  • Textile Engineering (AREA)
  • Yarns And Mechanical Finishing Of Yarns Or Ropes (AREA)

Description


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   L'invention est relative à un procédé servant à crêper'les fils ou faisceaux de fils entièrement synthétiques ou les filés obtenus par filage d'une fibre en longueurs d'une mèche et synthétique, qui peut être mélan- gée de fibres naturelles. 



   *Le but des procédés de ce genre consiste à communiquer aux fils individuels, de préférence aux fils en polyamide, un crêpage d'une intensité qui permette, en étirant les fils, de leur donner une longueur comprise en- tre le double et plusieurs fois la longueur naturelle qu'ils ont quand ils ne sont pas sous tension, leur communiquant un caractère volumineux exception- nel qui augmente souvent de plusieurs fois le volume de la section d'un fil. 



   Il est déjà connu de fabriquer des fils de ce genre analogues à de la laine en dévidant des fils de soie artificielle, ayant reçu ou non de la torsion, en leur faisant subir une torsion supérieure d'au moins quatre fois à la torsion normale, en les humectant sur la bobine à température éle- vée, et en les séchant et ensuite en les détordant au delà de l'annulation de la torsion. Mais ce procédé se compose d'au moins trois opérations et est par conséquent très couteux. Pour le retordage ainsi que pour le détordage du filé, il faut en outre deux retordeuses séparées.En outre, on ne peut pas se dispenser d'une opération de traitement par la vapeur faisant suite au détordage du filé. 



   Pour pouvoir crêper les fils ou filés en une opération continue, on a toujours utilisé jusqu'à présent ce qu'on appelle des métiers donnant une fausse torsion.'Dans un dispositif à fausse torsion, un petit tube de rotation, disposé entre deux   mécanismes , fournisseurs   composés chacun d'un cy- lindre fournisseur et d'un cylindre de pression, communique à un fil qui pas- se au travers d'une manière ininterrompue une torsion qui correspond à ce qu'on appelle la fausse torsion connue, c'est-à-dire que le fil qui arrive sur le petit tube de rotation est maintenu à une vitesse de rotation cons- tante qui est fonction de la vitesse de traversée du fil et de la vitesse de rotation du petit tube. Dans cette région, on dispose devant le petit tube rotatif des éléments chauffants, pour le fixage du fil.

   Aux vitesses de rotation très élevées nécessaires pour les procédés de ce genre, il se produit toutefois un lancement du fil, ce qui est la raison pour laquelle un galet de guidage pivote librement autour de son axe qui est perpendicu- laire à celui d'une douille dans laquelle de galet est disposé, laditè douil- le tournant autour de son axe disposé suivant la droite de jonction de deux points fixes du fil ou filé qui passe au travers, de telle sorte que ce ga- let de guidage soit presque tangent à la deoite de jonction suivant laquelle circule le filé.

   Comme, pour obtenir un crêpage efficace, on est obligé de toute façon de faire tourner les fils de 450 deniers par exemple à raison d'environ 1000 à 1500 tours à la minute, on voit facilement que pour obtenir une vitesse de passage du fil relativement grande, il faut une vitesse de rotation élevée correspondante de la tête communiquant la fausse torsion. 



  Pour obtenir une production économique, il est nécessaire d'utiliser un dis- pôsitif à fausse torsion tournant à.la vitesse très élevée de 60 à 90.000 tours à la minute. Dans un dispositif connu, la tête donnant la fausse torsion est disposée à cet éffet'à l'une des extrémités de l'arbre perforé d'un moteur à courant alternatif de 500 à 2000 périodes par seconde, ce qui représente naturellement la mise en oeuvre de moyens importants.

   Une autre difficulté dans l'obtention d'effets de crêpe dans des   dispositifs,à   fausse torsion consiste en ce que, à des vitesses de travail relativement modérées, les trajets et périodes nécessaires de fixage ne sont disponibles que par un allongement correspondant de l'ensemble de 1'appareillage, On ne peut oh- tenir une amélioration de ce dispositif qu'en prévoyant pour la fausse tor- sion deux dispositifs de torsion tournant obligatoirement dans des sens con-    traires et entre lesquels est disposé à titre d'appareil de fixage un système chauffé et tournant de transport du fil.   

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   Les   inconvénients   et difficultés précités du dispositif donnant la fausse torsion sont supprimés par la présente 'invention qui concerne un pro- cédé de crêpage de fils ou faisceaux de fils entièrement synthétiques ou de filés obtenus par filage de fibres synthétiques de la longueur d'une mèche, et pouvant être mélangés de fibres nautrelles par le fait que, selon l'inven- tion , on introduit le fil en une opération continue dans un dispositif dou- ble de retordage, tout en le faisant tourner à vitesse élevée, en le fixant dans le dispositif double de retordage et en le faisant sortir de ce dernier, immédiatement à la suite, en faisant apparaître la torsion communiquée.

   Selon une autre caractéristique de la présente invention, le fixage du fil ayant subi une forte, torsion peut se faire en le faisant passer plusieurs fois au- tour d'un tambour de séchage. Dans une forme spéciale d'exécution du procédé selon l'invention, on fixe le fil en le soumettant à une tension supplémen- taire. Avec le procédé selon l'invention, on peut, en adoptant des vitesses de rotation égales, réduire considérablement, comme dans les procédés connus, le temps nécessaire à chaque emplacement de retordage. Néanmoins, on obtient les mêmes effets de retordage et des fils crêpés parfaits, qui sont équiva- lents aux fils fabriqués par le procédé connu. 



   Il est vrai que l'on connaît en eux-mêmes des dispositifs de retor- dage à double torsion, mais, dans l'un des procédés à double torsion, on re- tire le fil d'une bobine fournisseuse existant sur le dispositif de retorda- ge à double torsion, on le fait passer à travers une broche creuse de retor- dage qui tourne rapidement en le faisant tourner rapidement autour de la bobi- ne fixe du ballon et en le dirigeant finalement vers la bobine à renvider, ou bien on retire le fil par le milieu de la bobine fournisseuse, 'on le diri- ge en le faisant passer autour de la bobine immobilevers un petit tube de retordage monté dans l'axe creux du dispositif d'entraînement, ce petit tube étant muni d'un bras qui s'en écarte,   d'où.le   fil est dirigé vers la bobine de renvidage.

   Ni l'un ni l'autre des procédés connus de retordage à double torsion ne convient toutefoispour le crêpage des fils ou faisceaux de fils en- tièrement synthétiques. Ce n'est que par la présente invention que les procé- dés et dispositifs connus de retordage à double torsion ont été perfectionnés d'une manière telle que, tout en conservant les avantages du principe du re- tordage à double torsion, ils conviennent pour le crépage des fils ou fais- ceaux de fils' ou filés entièrement synthétiques.

   Il ne suffisait pas, pour cela, de soumettre simplement le fil à deux reprises à une opération de retor- dage à double torsion, il fallait au contraire réaliser également un nouveau système de guidage du fil, ainsi qu'un nouveau dispositif de retordage à dou- ble torsion, pour qu'on puisse assurer à l'aide d'un dispositif unique et en un travail continu   aussi.bien   le retordage que la détorsion du fil suivant le principe de la double torsion. 



   , Un dispositif avantageux pour la mise en oeuvre du procédé selon la présente invention est remarquable, par le fait que les fils sans fin sont conduits, par l'intermédiaire d'une embase, fixée sur le fût creux de la bro- cher à l'intérieur de cette dernière, et sont conduits ensuite en passant par un alésage central ménagé dans la partie supérieure d'une pièce médiane cylin- drique, maintenue magnétiquement dans sa position, dans une pièce tête pouvant tourner sur la pièce médiane précitée, les fils étant ramenés à l'extérieur par cette pièce de tête par un trou oblique et étant conduits vers le bas, le long de cette pièce de tête, dans l'alésage d'un enrouleur en forme de doigt, et étant enroulés par ce dernier autour de l'organe récepteur, à la suite de quoi un dérouleur enforme de doigt exécuté de façon correspondante,

   décalé de 1800 par rapport à cet organe récepteur sur la pièce de tête, procède à un déroulement des fils pris sur l'organe récepteur, étant donné que les fils sont conduits vers le haut en direction de là pointe de la pièce de tête à travers un trou décalé dans le sens vertical par rapport au trou de l'organe enrouleur, à la suite de quoi les fils sont conduits vers le bas à partir de 

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 ladite pointe en passant par un trou oblique sortant au centre   de, ,la   pointe, èt étant sortis à nouveau'par l'embase et à travers l'intérieur du fût de la'broche, mais en direction du bas.

   Selon une forme de réalisation particu- lière de la présente invention, on peut prévoir sur la pièce de tête un col- let de guidage qui est muni, pour le guidage du fil à l'aller et au retour de l'organe récepteur, d'un trou,disposé diamétralement. D'autre part, selon la présente invention, la pièce d'embase peut être exécutée en forme de pot, et sur son côté extérieur on peut disposer des aimants pour maintenir la piè- ce médiane diamétralement par rapport à l'axe du dispositif. 



   L'invention concerne en outre un autre perfectionnement et une au- tre simplification du dispositif qui vient d'être décrit et qui sert à la fabrication continue d'un fil crêpé et en particulier de fils synthétiques sans fin, ce dispositif se composant d'une embase fixe sur un fût creux de broche, avec des trous débouchant dans le fût de la broche pour guider le fil d'une pièce médiane maintenue magnétiquement dans sa position et qonte- nant un corps de chauffe monté sur le fût de la broche, ainsi que   d'une   piè- ce de tête munie de trous de guidage pour faire sortir le fil du fût de la broche, ce dispositif étant caractérisé selon l'invention, par le fait que la pièce de tête est disposée de façon fixe et directement au-dessus de la pièce médiane et réalise le point fixe médian pour la'circulation du   fil.   



   Dans une réalisation particulièrement,avantageuse de l'invention, la pièce de tête est exécutée sous la forme d'une baguette ou barre qui présente un alésage axial continu et, dans sa partie médiane, un évidement longitudinal dans lequel est disposé un petit galet placé de façon à se mouvoir librement. 



   Selon une réalisation particulière de l'invention, le dispositif peut être caractérisé par une exécution raccourcie de la pièce d'embase qui se compose uniquement d'une partie inférieure avec quatre trous,et d'une bague de gui- dage en ballon. Par la présente invention, on réalise par conséquent une sim- plification considérable du dispositif et du cheminement du fil, sans que la durée du crêpage soit réduite de ce fait. De plus, on peut exécuter avec une moindre hauteur le dispositif selon l'invention, ce qui réduit la longueur du ballon et la tension du fil, et permet par conséquent une augmentation de la vitesse de rotation. 



   Selon une autre réalisation de l'invention, on monte en avant,' pour humecter le   fil,.un   récipient rempli d'un liquide. Avant l'entrée dans la broche de crêpage, on peut avoir fait passer le fil à travers un bain de li- quide, plus spécialement, de préférence, avant le mécanisme fournisseur. Se- lon une autre forme, d'exécution, un cylindre du mécanisme fournisseur est . disposé de façon à plonger en partie dans un bain liquide, de telle sorte qu'il se produise une   humeotation   indirecte du fil également par le cylindre de pression.

   L'humectation du fil avant l'entrée dans le dispositif de crê- , page conduit à une amélioration considérable de l'intensité du crêpage et de son élasticité, 
D'autres caractéristiques de l'invention vont ressortir de   la-des-     cription   suivante du procédé selon l'invention, description qui va être fai- te à l'aide de différentes formes d'exécution du dispositif de retordage à double torsion selon l'invention. 



   Le dispositif de retordage à double torsion selon la figure 1 se compose tout d'abrod d'une enveloppe 1 de support qui prend appui dans le banc à broches qui n'est pas représenté, ainsi que de l'âme ou du fût 2 de la bro- che, qui est percé dans toute sa longueur et qui est guidé dans l'enveloppe à l'extrémité supérieure et à l'extrémité inférieure par des roulements 3 et 4. Sur le fût sont disposés la noix 5 ainsi que l'organe 6 qui donne la tor- sion. L'organe qui donne la torsion porte sur son prolongement cylindrique inférieur les bagues de frottement 7 et 8 qui sont reliées d'une manière connue, par l'intermédiaire de balais en charbon, à des bornes de branchement 

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   --du   courant électrique.

   La partie supérieure de l'organe qui donne la torsion présente deux trous 9   et- 10   qui débouchent'- dans l'âme ou le fût de la broche. 



   Au-dessus de l'organe donnant la torsion est disposé sur le fût, au moyen d'un autre -'roulement 11, un organe 12 de support. L'organe de sup- port est muni de deux secteurs 13 et 14 en fer doux sur lesquels   agissent,   les aimants immobiles 15 et 16. L'organe de support présent en outre un dis- positif de maintien 17 et 18 pour un tambour 19 de chauffage, ainsi qu'un dispositif 20 de maintien-du fil. 



   Le chauffage du tambour peut se faire soit au moyen d'une batterie, soit, comme   le. montre   le dessin, par des conducteurs électriques 23 et 24 al- lant, par des rainures longitudinales extérieures 21 et 22, des bagues 7 et 8à un contact de frottement 25 disposé sur la broche au-dessus ..de l'organe 
12 de support. A ce contact sont branchés d'autres conducteurs électriques 
26 et 27 par l'intermédiaire desquels le courant électrique amené chauffe le tambour 19 de chauffage. 



   Le fil est amené du mécanisme fournisseur, qui se compose du cy- lindre fournisseur 28 et du cylindre de pression 29, et par l'intermédiaire de la queue de cochon fixe 30, au dispositif de retordage à double torsion. 



   Il pénètre dans le trou 9 de l'organe 6 donnant la torsion et est dirigé de ce point, à travers l'âme ou le fût 2, vers le haut, c'est-à-dire vers le tambour 19 de chauffage, tout en étant soumis à une double torsion. Le fil qu'on retord de cette manière passe en une ou plusieurs boucles autour du tambour   19   de chauffage et est fixé par ce moyen dans le dispositif même de retordage à double torsion. Il va de soi que, par ce moyen, on a la possi- bilité de régler à volonté la durée du fixage par la circulation du fil en boucles autour ou par-dessus le tambour de chauffage.

   Le fil fixé est intro- duit par un second mécanisme fournisseur, qui se compose de nouveau d'un cy- lindre fournisseur 31 et d'un cylindre de pression 32, et par l'intermédiaire du dispositif 20 de maintien du fil, dans le trou 10 et dans le dispositif de retordage à double torsion, puis il ,est ramené à l'extérieur vers le bas et hors du dispositif de retordage à double torsion, en passant à travers le fût 2 et tout en étant détordu en sens contraire de la torsion communiquée. 



   L'entraînement du dispositif de retordage à double torsion   s'effeo-   tue par l'intermédiaire de la noix 5, de la manière connue par les broches de filature et de retordage. 



   La tension du fil retordu qu'il fait fixer peut être amenée, par une exécution en cône ou en gradins du cylindre, à une valeur déterminée qui peut être telle qu'il se produise un étirage supplémentaire du fil. L'entrai- nement du tambour de chauffage peut se faire soit par le fil même, en raison de son frottement sur ce dernier, ou bien d'une autre manière. 



   D'après l'exemple d'exécution selon la figure 2, le boîtier 34 de support prend appui sur le banc à broches 33. A son extrémité inférieure et à son extrémité supérieure, il comprend les roulements 35 et 36. Dans ces derniers passe l'âme ou le fût 37 de la broche, qui est percé dans toute sa longueur. 



   Sur le fût 37 de la broche sont disposées de façon fixe la noix 
38 ainsi que l'embase 39 en forme de pot. L'embase 39 porte sur son prolonge- ment cylindrique inférieur les bagues 40 et 41 qui sont reliées par des ba- lais en charbon 42 et 43 aux bornes 44 et 45. Des conducteurs électriques 
46 et 47 disposés dans des rainures longitudinales extérieures du fût 37 vont des bagues 40 et   41   au corps de chauffe 48 également disposé de façon fixe sur le fût 37 et qui est chauffé par le courant électrique amené. 



   Sur l'extrémité supérieure libre du fût 37 est monté le roulement 
49. Sa bague extérieure est reliée à l'organe récepteur 50 en cylindre creux 

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 qui est chauffé par le corps de chauffe 48. L'extrémité supérieure libre de l'organe récepteur 50 porte la partie supérieure 52, munie d'un trou central 
51, de la partie médiane du dispositif. L'extrémité inférieure libre de l'or- gane récepteur 50 porte le boîtier 53 pour le roulement 54. Sur le boîtier 
53 ont été fixés, à l'aide de vis 55 et 56, des segments 57 et 58 en fer doux. Sur ces segments agissent les aimants fixes 59 et 60. 



   Le prolongement tubulaire 61, muni du perçage central 51, de la partie supérieure 52 porte les roulements 62 et 63. Sur ces derniers prend appui la pièce de tête 64 qui porte les trous obliques 65 et 66 et, à partir de son collet 67 de guidage,l'enrouleur 68 en forme de doigt ainsi que le dérouleur 69 également en forme de doigt. Ces organes en forme. de doigts sont munis de trous 70 et 71 à leur extrémité inférieure. Des deux êôtés des par- ties vissées des doigts 68 et 69 qui se trouvent dans le collet de guidage 
67, il a été prévu chaque fois un trou pour le guidage du fil qui sera dé- crit en détail plus loin et qu'on ne voit pas sur le dessin. 



   Par la queue de cochon 72 qui est fixe, on fait arriver par exemple au moins deux fils synthétiques du mécanisme fournisseur au dispositif. Par le collet de guidage 67 de la tête 64, la première partie de ces fils se bombe en ballon et se maintient à une certaine distance des doigts enrpuleurs 
68 et 69.

   La partie a des fils débouche dans le trou oblique 73 de l'embase 
39, elle se   continue,   à l'intérieur de cette embase par une partie b jusqu'à la sortie du trou oblique 74 de l'embase 39 et en sort sous la forme d'une   partie o.   Cette partie des fils parvient alors par le trou 75 de l'embase 39 à l'intérieur du fût 37 et est dirigée dans ce dernier sous la forme d'une partie d, par le trou central   5le   dans la partie supérieure 52 dela pièce médiane cylindrique, maintenue magnétiquement dans sa position dans la pièce de tête 64 qui peut tourner sur la partie médiane, et cela dans 'son trou obli- que 65.

   Sous la forme d'une partie e, les fils sortent en ce point, puis par- viennent par l'un des trous précités des deux côtés de la partie filetée du doigt 68 dans le collet de guidage   67 -   et se continuent sous la forme d'une section! parallèlement à l'enrouleur 68 en forme de doigt jusqu'à son trou 
70. En ce point, se produisent son enroulement sur le récepteur 50 chauffé faisant partie de la portion médiane et son déroulement par le doigt dérou- leur 69, par le fait que les fils sont conduits plus loin sous la forme   d'une   partie g.

   Ils débouchent ensuite dans l'un des deux trous, qu'on-ne voit pas sur le dessin, des deux côtés de la partie vissée des doigts du doigt dérou- leur 69 dans le collet de guidage 67, et se continuent sous la forme d'une partie h jusqu'à l'entrée dans l'alésage oblique 66 à la pointe de la pièce de   tête 64.   Ce trou se termine sur le dessus de la pièce de tête 64 en son milieu. A partir de ce point, les fils se continuent par la partie i jusqu'à l'entrée dans le trou oblique 76 dans la partie supérieure, formant collet, de l'embase 39. Le trou 76 est disposé diamétralement par rapport au trou 
73 déjà cité. Les fils passent ensuite à l'intérieur de l'embase 39 et sous la forme d'une- partie k jusqu'à la sortie de l'embase par le trou oblique 
77.

   La partie   1   des fils sur le côté extérieur de l'embase 39 pénètre alors encore une fois, par le trou oblique 78, à l'intérieur de l'embase 39, à la suite de quoi la partie des fils est ramenée à l'extérieur par le   bas '' en   passant par l'intérieur du fût 37. ' 
Par l'intermédiaire de la noix 38 se fait l'entraînement du dispo- sitif, d'une manière connue par les broches de filature et de retordage. Les fils qui doivent être crêpés ont été enfilés au préalable de telle sorte que les   parties ¯a   à m sont déjà formées. Ainsi que cela a déjà été dit ci-dessus, la partie médiane du dispositif est maintenue fixe dans sa position par les aimants 59 et 60, et en particulier l'organe récepteur 50 qui en représente une partie.

   Par conséquent, en dehors de l'embase 39, seule la pièce de tête 64 tourne encore, mais à une vitesse considérablement plus faible que   l'em-   base 39. Elle est déterminée par la vitesse de déroulement des fils qui 

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 traversent. 



   Dans l'exemple d'exécution selon la figure 3, le boîtier de support 80 prend appui dans le banc à broches 79. A son extrémité inférieure et à son extrémité supérieure, ce boîtier contient les 'roulements 81 et 82. Dans ces derniers tourne l'âme ou le fût 83 de la broche qui est percé dans toute sa longueur. 



   Sur le fût 83 sont fixées la noix 84 ainsi que l'embase 85 en for- me de pot. L'embase 85 porte sur son prolongement cylindrique inférieur les bagues 86 et 87 qui sont reliées, par l'intermédiaire des charbons 88 et 89, aux bornes 90 et 91. Des conducteurs électriques qui sont disposée dans des rainures longitudinales extérieures, ménagées dans le fût 83 mais non visi- bles sur le dessin, vont des bagues 86 et 87 au corps de chauffe 92 égale- ment disposé de façon fixe sur le fût 83 et chauffé par le courant électri- que amené. 



   Sur l'extrémité libre supérieure du fût 83 est monté le roulement 93. Sa bague extérieure est reliée à la pièce médiane 94 en forme de cylin- dre creux. Le corps de chauffe 92 réchauffe ainsi aussi bien le fût 83 que la pièce médiane 94. L'extrémité libre supérieure de la pièce médiane 94 porte la partie supérieure 96, munie du trou central 95, du dispositif. L'ex- trémité inférieure libre du récepteur 94 porte le boîtier 97 du roulement 98. Sur le boîtier 97 sont disposés à l'aide de vis 99 et 100 des segments 101 et 102 en fer doux, Sur ces segments agissent les aimants immobiles 103 et 104. Jusqu'ici, l'agencement du dispositif selon la présente invention con- corde avec celui qui a été déprit ci-dessus. 



   Dans la partie supérieure 96 du dispositif, on a encastré la pièce de tête qui est exécutée sous la forme d'une barre 105 munie   d'une   pointe'co- nique renforcée 106, et percée axialement au moins en partie. Dans la partie inférieure, la barre présente un trou radial 107 pour la sortie du fil du . fût 83. Dans la pointe 106 de la barre, il est prévu, parallèlement à la sur- face extérieure du cône, un trou 108 qui sert à faire .passer le fil. 



   Au moyen de la queue de cochon fixe 109, on fait arriver un ou plu- sieurs fils synthétiques du mécanisme fournisseur sur le dispositif. La pre- mière partie a de ces fils débouche en se bombant à la façon d'un ballon dans le trou oblique 110 ménagé dans l'embase 85, elle se continue ensuite à l'in- térieur de cette embase par une partie   b   jusqu'à la sortie du trou oblique 111 de l'embase 85, pour sortir de cette dernière sous laforme de c. Cette par- tie des fils parvient   alors pai   le trou 112 de l'embase 85 à l'intérieur du fût 83 et y est maintenue sous la forme de la partie d et par le trou central 95 dans la partie supérieure 96 de la pièce médiane cylindrique 94 maintenue ma- gnétiquement dans sa position, pour être introduite dans la pièce de tête 105, 106 montée de façon fixe sur ladite pièce médiane.

   Par l'alésage radial 107, on fait sortir les fils de cette pièce de tête, et après les avoir fait passer en une ou deux boucles autour de la barre   105,   ce qui fournit le troi- sième point fixe, on les fait passer à travers le trou 108 qui, dans la pointe 106, est disposé parallèlement à la surface extérieure du cône. A par- tie de cette pointe du dispositif, une partie i des fils se bombe de nouveau en ballon et pénètre dans le trou oblique 113 ménagé dans la partie supérieu- re, en forme de collet, de l'embase 85. Le trou 113 est disposé diamétrale- ment par rapport au trou 110 précité. Les fils passent ensuite de nouveau à l'intérieur de l'embase 85 et cela sous la forme d'une partiel, jusqu'à la sortie de l'embase par le trou oblique 114 qui est de nouveau disposé diamé- tralement par rapport au trou 111 précité.

   La partie   1   des fils qui se trou- ve sur le côté extérieur de l'embase 85 rentre finalement encore une fois, par l'intermédiaire du trou oblique 115, à l'intérieur de l'embase 85, à la suite de quoi la partie m des fils est ramenée par l'intérieur du fût 83 vers le bas et hors de ce fût. 

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   C'est par l'intermédiaire de la noix 84 que s'effectue de la maniè- re connue pour les broches de filature et de retordage, la commande du dispo- sitifAu préalable, on enfile les fils à crêper de   façon   à leur faire cons- tituer déjà les parties de a à m. Ainsi que cela a déjà été dit ci-dessus, la partie médiane 94 du dispositif est maintenue dans sa position par les ai- mants 103 et 104. En dehors de l'embase 85, il n'y a donc plus que le fût 83 qui tourne avec le corps de chauffe 92 ainsi que la noix   84.   



   L'exemple d'exécution, représenté dans la figure   4,   pour une pièce de tête du dispositif selon la présente invention ne diffère de l'exécution selon la figure 3 que par le fait que la barre 105 présente un trou axial tournant 117 ainsi que deux trous radiaux 107 et 107'. Le trou radial 107' remplace en l'espèce le trou 108 qui, 'dans la pointe 106,   était.parallèle   à la surface du cône. Le fil sort du fût 83 par le trou 95 et l'alésage 107 on le fait passer en boucle une ou plusieurs fois autour de la barre 105 et on l'introduit à nouveau par le trou 107' dans l'alésage axial 117 d'où il sort au sommet de la barre, à partir duquel on le conduit de la manière déjà décrite vers l'embase 85. 



   Dans l'exemple d'exécution reproduit dans la figure 5 l'a pièce de tête 116 d'un dispositif   èelon   l'invention'est également exécutée sous la forme d'une barre. Elle présente toutefois un trou axial continu 117 ainsi qu'un évidement longitudinal 118 dans la partie moyenne. Dans ce dernier pi- vote librement sur un arbre 119 un petit   galet-120. Dans   cette forme d'exécu- tion, le petit galet 120 constitue le point fixe du milieu. Les fils qui sor- tent du fût 83 sont guidés par la première partie du trou axial 117 ménagé dans la pièce de tête 116 en forme de barre, on les fait passer en boucle une ou plusieurs fois autour du petit galet 120, et ensuite on les conduit, de la manière déjà décrite en regard des figures 4 et 3, par la seconde partie du trou axial 117, vers la pointe du dispositif, et ensuite vers le bas.

   Le petit galet 120 ne tourne que lentement à la vitesse de déroulement du fil, tandis que tous les autres organes tournent à la même vitesse, par exemple une vitesse de 12.000 tours à la minute. 



   Dans la figure 6, on a représenté le parcours du fil dans un dis- positif selon la frome d'exécution représentée dans la figure 5, avec ses différentes parties a, b, c, d, i, k, l, et m. Eventuellement, il peut éga- lement se produire, d'une manière connue, un rétrécissement du ballon de fil formé dans la région a et i, au moyen d'un guide, comme cela est en usage dans les métiers de retordage ou de filature, ce qui détermine une réduction de la tension du fil. Cela peut être avantageux avec certains fils synthétiques. 



   L'exemple d'exécution selon la figure 7 du dispositif conforme à la présente invention concorde de nouveau avec celui de la figure 5 sauf l'exécution raccourcie de l'embase 85. L'embase se compose uniquement de la partie inférieure 85' avec les trous 111, 112, 114 et 115 déjà décrits dans l'exemple d'exécution selon la figure 3. Les trous sont en même temps dis- posés dans des éléments rapportés qui peuvent être remplacés. A la place de la partie supérieure de l'embase 85, on a disposé une bague 121 de guidage du ballon qui, en entourant le bottier 97', est fixée aux aimants 103 et 104. Entre le diamètre intérieur de la bague et le diamètre extérieur du boîtier, on réalise ainsi une fente annulaire à travers laquelle on fait pas- ser le fil.

   Le boîtier 97' est exécuté sous la forme d'un cylindre clos dans   la,région   du passage du fil. Il est exécuté sous la forme d'une pièce de fonderie, par exemple en métal léger coulé en coquille. Les segments en fer doux 101' et 102' sont immergés directement à la coulée lors de la   fabrica-   tion, ce qui supprime la fixation supplémentaire par les vis 99 et 100 de la figure 3. Par le raccourcissement de l'embase, la fabrication de cette der- nière se simplifie considérablement, en particulier parce qu'il n'y a plus la paroi très mince'nécessaire, dans la région b du fil, selon la figure 3. 

 <Desc/Clms Page number 8> 

 



  L'embase peut être obtenue en matière synthétique moulée par injection. 



   Dans la figure 8, on a reproduit la disposition des mécanismes fournisseurs. Le mécanisme fournisseur qui sert à faire arriver le fil au dispositif de crêpage se compose d'un cylindre fournisseur 122 muni d'un cy- lindre de pression 123. Le mécanisme fournisseur pour retirer le fil du dispositif de crêpage se compose du cylindre fournisseur 122' et du cylindre de pression 123'. Entre les mécanismes fournisseurs et le dispositif de crê- page sont disposés la queue de cochon 109 et le guide-fil   124.   On voit en- core sur le dessin le tambour de commande 125 qui entraîne la masse de fil 126,qui se forme. Un autre guide-fil à changement 127 détermine en coopéra- tion avec la tambour d'entraînement 125 la formation d'une masse connue quelconque de fil à la façon d'une bobine croisée.

   En dessous du cylindre fournisseur 122 est disposé un récipient 128,appelé à recevoir un liquide d'humectation. Le liquide est transporté par ce cylindre fournisseur.d'une part directement au fil, et d'autre part simultanément au cylindre de pres- sion 123, de sorte que le fil qui passe est humecté de.toutes parts. 



   Dans la figure 9 est représenté un autre agencement du dispositif d'humectation. Le récipient 128   d'humectation   est disposé de façon que le fil soit humecté d'une manière connue avant de pénétrer dans le mécanisme fournisseur. 



   REVENDICATIONS. 

**ATTENTION** fin du champ DESC peut contenir debut de CLMS **.

Claims (1)

  1. L'invention concerne : 1 Un procédé de crêpage de fils ou faisceaux de fils entièrement synthétiques ou d'un filé obtenu par filage de fibres synthétiques de la lon- gueur d'une mèche, et pouvant être mélangées de fibres naturelles, ce procédé étant caractérisé par les points suivants, 'pris isolément ou en combinaison : a) on introduit le fil d'une manière continue dans un dispositif de retordage àdouble torsion dans lequel on le soumet à une torsion, on le fixe dans le dispositif de retordage à double torsion, et ensuite on fait sor- tir le fil, tout en ouvrant par rotation la torsion communiquée, du disposi- tif de retordage à double torsion ; b) le fixage du fil fortement tordu s'effectue par passage plusieurs fois autour d'un tambour de chauffage ; c) Qn fixe le fil tout en le soumettant à une tension supplémentai- re ;
    d) on fixe le fil sous une tension inférieure à la tension normale ; 2 Un dispositif pour la -mise. en oeuvre du procédé selon 1 , dans lequel il se produit, entre deux. retordages consécutifs à double torsion, une accumulation de courte durée du fil sur un organe récepteur chauffé, ce dispo- sitif étant caractérisé par les points suivants, pris isolément ou en combi- naison :
    a) on introduit les fils sans fin, par l'intermédiaire d'une emba- se fixée sur un fût creux de'broche, à l'intérieur de ce fût, et on conduit ensuite les fils, par l'intermédiaire d'un trou central ménagé dans la partie supérieure d'une pièce médiane cylindrique maitnue magnétiquement dans sa position, dans une pièce de tête pouvant tourner sur cette pièce médiane, et à travers laquelle on ramène les fils au moyen d'un trou oblique à l'exté- rieur, en les conduisant, le long de la pièce de tête, vers le bas et dans le trou d'un enrouleur en forme de baguette qui les enroule sur l'organe récep- teur, à la suite de quoi un dérouleur en forme de doigt, d'une exécution cor- respondante, décalé de 180 par rapport au récepteur sur la pièce de tête, assure un déroulement des fils se trouvant sur le récepteur,
    par le fait que <Desc/Clms Page number 9> les fils sont conduits à travers un trou, décalé dans le sens vertical par rapport au trou de l'enrouleur, vers le haut et la pointe de la pièce de tête, puis de cette dernière, par un trou oblique qui sort au centre de la pointe, vers le bas ainsi que de nouveau à travers l'embase pour sortie en- suite après avoir été introduits à l'intérieur du fût de la broche, mais en direction du bas. b) Sur la pièce de tête est prévu un collet de guidage qui est mu- ni d'un trou diamétral pour diriger le fil vers l'organe récepteur et en pro- venance de ce dernier ; c) l'embase est en forme de pot ; d) les aimants qui provoquent le maintien fixe de la pièce médiane sont disposés diamétralement à l'extérieur du pot de l'embase ; e) l'organe récepteur est muni d'un dispositif de chauffage élec- trique par résistance ;
    f) on fait arriver le courant par des bagues disposées au-dessus de la noix ; g) la pièce de tête est disposée de façon fixe directement au-des- sus de la pièce médiane et constitue le point fixe du milieu pour le par- cours du fil ; h) la pièce de tête est exécutée sous la forme d'une barre percée axialement au moins en partie et munie d'une pointe conique renforcée qui présente dans la partie inférieure un trou'radial pour la sortie du fil, et dans la pointe un trou parallèle à la surface du cône et servant à faire pas- ser le fil; i) la barre présente un trou axial continu ainsi que deux trous radiaux ; j) la barre présente un trou axial continu et, dans sa partie mé- diane un évidement longitudinal, dans lequel un petit galet est disposé de façon à se mouvoir librement;
    k) l'embase est raccourcie et ne se compose que d'une partie infé- rieure munie de trous ainsi que d'une bague de guidage du ballon ; 1) les segments en fer doux ont été noyés à la fonderie dans un boîtier cylindrique ; m) entre le diamètre extérieur, du boîtier et le diamètre inté- rieur de la bague se trouve une fente annulaire ; n) pour humecteur le fil, un récipient rempli d'un liquide est dis- posé avant l'appareil selon l'invention ; o) on fait passer le fil à travers un bain de liquide avant sa pénétration dans la broche de crêpage, et de préférence avant même sa pénétra- tion dans le mécanisme fournisseur ; p) un cylindre ou rouleau du mécanisme fournisseur est disposé de façon à se trouver dans une position abaissée, de manière à plonger partiel- lement dans un bain liquide.
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