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Coffrages pour la fabrication de plafonds nervures en béton et procédé de montage de ces coffrages.
On connaît des procédés de fabrication de plafonds nervures en béton, dans lesquels on utilise des éléments de ' . coffrages cintrés"en tôle faisant ressort élastiquement, qui sont appliqués, par leurs extrémités sur les pieds des poutres terminées ou sur le coffrage de la partie inférieure des nervures* Dans une forme de réalisation d'éléments de cof- frage de ce genre tels que cités, par exemple, dans les brevets allemands No.
862.496, déposé le 28 Octobre 1950 et 894.618, déposé le 9 Juin 1951 , les ressorts sont prévue de façon qu'àf l'état de repos, les extrémités aient leur éloignement maximum l'une de l'autre et qu'elles puissent être rapprochées en surmontant la force de ressort, pour pouvoir
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Ce procédé exige toutefois de vaincre une force élastique importante, ce qui est d'autant plus difficile qu'on n'a presque pas de points d'appuis pour exeroer une force capable de surmonter cette force élastique. Pour cela., on est oblige, pour y parvenir, d'agencer spécialement la tle de coffrage et d'employer des outils spéciaux.
Pour éviter cela, conformément à l'invent ion, on prévoit que dans des coffrages du type mentionné, les tles de coffrage présentent, à l'état détendu une forme qui doit pour la pose sur les appuis être élargie contre la force élastique à l'aide d'un élément extenseur formant entretoise à introduire entre les extrémités, de sorte que, par .simple enlèvement de l'élément extenseur, la tôle de coffrage revient élastiquement à sa forme au repos et tombe de l'espace intermédiaire existant entre les poutres.
Par conséquent les extrémités des tôles de coffrage cintrées présentent au repos leur plus courte distance l'une de l'autre.
Il est nécessaire, pour les amener à leur état d'utilisation, d'exercer un effort d'extension surmontant leur force élastique. Si on utilise à cette fin une membrure de conformation en bois ou en une autre matière analogue, dent le profil est le même que celui de l'espace libre ménagé par les éléments de coffrage cintrés, .quand ils sont amenés dans leur position d'utilisation,on peut réaliser cette extension d'une façon simple, en amenant d'abord la membrure de conformation dans l'espace libre selon une position parallèle à la direction longitudinale des tôles de coffrage, Puis en l'y faisant tourner dans la position transversale, Ensuite la rangée des tôles de coffrage cintrées,
dont la distance entre le. extrémités est au départ plus petit, que la longueur totale des membrures, eet enfilée sur les membrure, de conformation par un écartement
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élactique obtenu en pressant de haut et hab
Pour enlever de nouveau les éléments du coffrage, il suffit de sortir les membrures de conformation, en donnant quelques coupa, de marteau, à la suite de quoi l'élément de coffrage cintré se recourbe sur lui même à nouveau élastiquement et tombe entre les poutres par suite de cette diminution de sa largeur totale.
Une forme de réalisation de l'objet de l'invention est représentée, à titre d'exemple non limitatif, au dessin annexé.
La 'fige l est une perspective des pièces oonsti. tutives d'un coffrage avant leur montage.
La fig. 2 est une vue des mêmes pièces montrant la membrure dans sa position finale, la tôle n'étant cependant pas encore mise en place.
La fige 3 est une vue du coffrage monté.
1 désigne les pieds des poutres préfabriquées, qui sont mises en place à la distance prédéterminée convenable.
Elles comportent, d'une façon connue, des armatures tendues ou comprimées non représentées au dessin,
Ces poutres supportent un plafond nervuré qui les relie, tel que celui représenté à titre d'exemple dans les deux brevets allemands déjà cités. Ce plafond nervuré, qui, d'une façon connue, constitue en même temps une partie des poutres, est fabriqué au moyen de tôles de coffrage 2, qui se distinguent de celles utilisées antérieurement en ce qu'elles présentent à l'état de repos des extrémités d'appui 3, orientées vers l'intérieur, qui doivent ête écartées élastiquement pour être appliquées sur des appuis, Pour y parvenir, on introduit par-en dessous entre deux poutres 1 plusieurs membrures en bois 5 d'abord dans une position sensiblement parallèle à la longueur des poutres 1, puis on les fait tourner dans un plan horizontal,
d'environ 900 (voir flèche A de la fig. 1).
Des olameaux 7,ayant la forme d'un ? et fixés à chaque extrémité inférieure du cadre 3, viennent s'emboîter sur le
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-= "t r'!' {,"l: 1..1:1 A . t.. <.. '; pi# i:c ...ilc.J:<3 la tle de a5:,,rà j- '';'!' ",-;- et on presse de haut en bas (,àg- 2) . Pendant a,tte -z>l,-4ratîor± les extrémités inférieures des tôles 2 du coffrage, s'écar- tent, de sorte qu'elles peuvent venir se loger dans les fentes
6 ménagées entre les poutres 1 et les membrures 5.
Quand le montage est terminé (fig. 3), les tôles 2 de coffrage sont appliquées etroitement contre les membrures en bois 5 et les extrémités 3 de ces tôles reposent le cas échéant sur les rebords 4 des pieds 1 des poutres.
Quand le plafond a été bétonné et quand la prise du béton est terminée, on fait pivoter les membrures de la façon inverse, grâce à quoi les tôles 2 de coffrage peuvent céder à leur tension élastique et se détacher d'elles-mêmes des re- bords 4 par leurs extrémités.
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Formwork for the production of concrete rib ceilings and method of mounting such formwork.
There are known methods of manufacturing rib ceilings in concrete, in which elements of 'are used. bent formwork "made of resiliently springing sheet metal, which are applied, by their ends to the feet of the finished beams or to the formwork of the lower part of the ribs * In one embodiment of such formwork elements such as cited, for example, in German Patents No.
862,496, filed October 28, 1950 and 894,618, filed June 9, 1951, the springs are provided so that in the rest state, the ends have their maximum distance from each other and they can be brought together by overcoming the spring force, in order to
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However, this method requires overcoming a large elastic force, which is all the more difficult since there is almost no support points to exert a force capable of overcoming this elastic force. For this, it is necessary, to achieve this, to arrange the formwork sheet specifically and to use special tools.
In order to avoid this, in accordance with the invention, it is provided that in shutterings of the type mentioned, the shuttering sheets have, in the relaxed state, a shape which must, for laying on the supports, be widened against the elastic force at the end. 'using an expander member forming a spacer to be inserted between the ends, so that, by simple removal of the expander member, the shuttering sheet resiliently returns to its shape at rest and falls from the intermediate space existing between the beams.
Consequently, the ends of the curved shuttering sheets have their shortest distance from each other at rest.
To bring them to their state of use, it is necessary to exert an extension force overcoming their elastic force. If a structural member of wood or other similar material is used for this purpose, the profile is the same as that of the free space provided by the curved formwork elements, when they are brought into their position of. use, this extension can be achieved in a simple way, by first bringing the shaping member in the free space in a position parallel to the longitudinal direction of the shuttering sheets, then by rotating it there in the position transverse, Then the row of curved formwork sheets,
whose distance between the. ends is initially smaller than the total length of the frames, and threaded on the frames, conformation by a spacing
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elactic obtained by pressing up and hab
To remove the formwork elements again, it suffices to take out the conformation members, giving a few cuts, with a hammer, following which the arched formwork element bends back on itself again elastically and falls between the beams. as a result of this reduction in its total width.
One embodiment of the subject of the invention is shown, by way of non-limiting example, in the accompanying drawing.
The 'fige l is a perspective of the oonsti pieces. tutives of a formwork before their assembly.
Fig. 2 is a view of the same parts showing the chord in its final position, the sheet not being however yet in place.
Figure 3 is a view of the assembled formwork.
1 designates the feet of the prefabricated beams, which are placed at the suitable predetermined distance.
They comprise, in a known manner, stretched or compressed reinforcements not shown in the drawing,
These beams support a ribbed ceiling which connects them, such as that shown by way of example in the two German patents already cited. This ribbed ceiling, which, in a known manner, at the same time constitutes a part of the beams, is manufactured by means of shuttering sheets 2, which differ from those used previously in that they present in the rest state support ends 3, facing inward, which must be elastically separated to be applied to supports, To achieve this, we introduce from below between two beams 1 several wooden members 5 first in a position substantially parallel to the length of the beams 1, then they are rotated in a horizontal plane,
approximately 900 (see arrow A in fig. 1).
Oils 7, having the shape of a? and fixed to each lower end of the frame 3, come to fit on the
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- = "t r '!' {, "l: 1..1: 1 A. t .. <.. '; pi # i: c ... ilc.J: <3 the tle of a5: ,, rà j- ''; '!' ", -; - and we press from top to bottom (, àg- 2). During a, head -z> l, -4ratîor ± the lower ends of the sheets 2 of the formwork, move apart, so that ' they can get lodged in the cracks
6 formed between the beams 1 and the frames 5.
When the assembly is finished (fig. 3), the shuttering sheets 2 are pressed tightly against the wooden frames 5 and the ends 3 of these sheets rest, if necessary, on the edges 4 of the feet 1 of the beams.
When the ceiling has been concreted and the setting of the concrete is complete, the members are rotated in the opposite way, whereby the shuttering sheets 2 can yield to their elastic tension and detach themselves from the re- edges 4 by their ends.