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"Machine à composer un texte dans ou sur une bande ou un ruban d'enregistrement".
L'invention est relative au perfectionnement des machines à composer du texte dans ou sur une bande ou un ruban d'enregis- trement qui, à son tour, est destiné à 8tre employé pour action- ner un appareil composeur photographique qui compose automati- quement un texte formé de lignes-blocs justifiées préalablement à la confection de plaques d'impression convenant pour la litho- graphie en offset, l'impression en rotogravure ou d'autres ty- pes d'impression. Conformément à l'invention, les caractères, les signes de pnctuation et les autres représentations de com- mande sont produits sous forme de signes convenus sur le ruban.
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L'appareil selon l'invention peut' être actionné par n'importe quelle dactylographe expérimentée, sans connaissance de la con- position ou d'autres détails compliqués qu'implique généralement la composition de lignes de texte justifiées. '
On a déjà fait de nombreuses propositions de machines automa- tiques de ce type général, mais la plupart d'entre elles sont trop compliquées, trop coûteuses, trop lentes ou manquent de pré- cision dans la production de lignes de texte justifiées.
Un des principaux problèmes posés par la composition du texte pour la lithographie en offset, en dehors de la composition à la main, des procédés linotymique ou monotypique, consiste à prévoir des moyens automatiques satisfaisants pour effectuer la justification des lignes de texte. Il est généralement recon* nu que les méthodes de justification à la machine imaginées jusqu' à présent ne sont pas suffisamment précises et souples pour être employées commercialement. Pour qu'un texte soit satisfaisant, il doit être composé avec précision de lignes justifiées, mais autant que l'on sache, le seul système auquel on puisse se fier est l'emploi de.méthodes de composition à la main qui sont natu- rellement absolument trop lentes et trop coûteuses.
Un autre problème relatif à la composition d'un texte formé de lignes justifiées est celui qui consiste à fournir un mécanis- me qui soit suffisamment rapide, souple et précis pour détermi- ner et transférer les valeurs d'espace des caractères et des es- paces d'une ligne, et qui puisse approcher des résultats obtenus par les compositeurs manuels habiles.
Divers types de mécanismes ont été proposés pour trouver les valeurs d'espace et pour mesurer la largeur des caractères qu'im- plique une ligne justifiée de texte. Toutefois, les imperfections , et le codt connus de ces appareils sont indubitablement la rai- son pour laquelle ils n'ont pas été adoptés pour la composition commerciale. ¯
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Dans les machines proposées antérieurement, il paraît être généralement reconnu que l'on ne pouvait pas prévoir de moyen convenable pour annuler ou supprimer la représentation d'un ca- ractère employée par erreur dans une opération de composition.
Dans le passé, rien n'a été prévu pour faire les corrections immé- diatement. Ce n'est que dans la composition finale du texte pho- tographié qu'un mot ou une ligne-bloc de remplacement pouvait être substitué au mot ou à la ligne-bloc contenant l'erreur.
Conformément aux caractéristiques de l'invention, on a dé- couvert que des lignes correctes et justifiées de texte peuvent être produites rapidement et uniformément par un mécanisme rela- tivement peu coûteux, simple et compact qui n'implique pas la manipulation de types ou l'emploi d'éléments représentant des ca- ractères, ayant la largeur des caractères à reproduire. D'autre part, la machine selon la présente invention produit un enregis- trement sur ruban portant des représentations ou symboles de com- mande, qui est employé dans une machine ou appareil séparé comme moyen de commande pour produire automatiquement les lignes jus- tifiées de texte par des moyens photographiques.
Une autre particularité de l'invention consiste à prévoir un mécanisme fonctionnant rapidement pour trouver et mesurer exactement les valeurs d'espace non seulement des caractères à présenter dans les lignes justifiées du texte, mais aussi des espaces des lignes justifiées. Cette particularité de l'inven- tion est fondée sur le mesurage absolu et l'utilisation de l'es- pace ou distance entre deux points donnés ou butées fixes qui représentent les extrémités de la ligne de texte justifiée à composer.
Il est prévu un mécanisme pour assigner rapidement et exactement cette longueur de ligne aux diverses lettres ou au- tres caractères dont ce% ligne est composée, et l'espacement nécessaire entre les mots ou les groupes de caractères, indépen- damment du fait que tous les caractères différents ont des lar- geurs différentes ,dans la ligne.
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Une importante caractéristique de la machine selon l'inven- tion est la vitesse à laquelle des lignes de texte peuvent être composées, puisqu'il n'y a pas de types ou d'éléments équivalents à manipuler et que, par conséquent, il n'est pas nécessaire de prévoir un mécanisme pour manipuler ces éléments. On a constaté que le mécanisme de la machine selon l'invention, qui est action- né électriquement, est extrêmement rapide et que la composition s'effectue aussi vite qu'un opérateur se soucierait de la faire, c'est-à-dire plusieurs fois aussi vite que par n'importe la quel- ; le des méthodes employées actuellement.
Dans l'emploi d'un appa- reil combiné complet par lequel l'enregistrement sur ruban, les photographies et les clichés ou plaques des pages proposées de composition sont faits pour une presse offset, il sera évident qu'un très petit espace de conservation est nécessaire pour gar- der les négatifs photographiques, par exemple, d'un lire en- tier, en comparaison de l'espace de conservation et du poids qu'exige la conservation des clichés ordinaires pour le même livre.
D'une manière plus précise, la machine perfectionnée selon l'invention comprend un mécanisme automatique actionné par des touches, pour produire un enregistrement sur ruban sur lequel les caractères et espaces d'une ligne de texte sont représentés par des signes convenus, pour mesurer successivement sur une barre ou voie les largeurs des caractères et des espaces repré- sentés par les signes, pour mesurer séparément sur la même barre ou voie la largeur des espaces, et pour diviser la distan-, ce totale représentée par les espaces mesurées séparément et toute espace supplémentaire ou manque d'espace dans la ligne mesurée, des moyens pour diviser automatiquement la distance d'espace totale pour déterminer la largeur des espaces entre les mots pour'produire une ligne justifiée de texte,
et un mé- canisme pour enregistrer cette largeur d'espace sur le ruban en association avec les signes convenus pour la ligne de texte considérée.
Une autre particularité qui facilite l'écriture du texte et
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augmente la vitesse de l'opération de composition, consiste à prévoir des touches de mot sur le clavier pour les mots très communs tels que "and", "of", "on", "in", etc.
L'opérateur frappe simplement la touche correspondant à l'un de ces mots et les signes pour les lettres de ce mot sont mesurés successivement sur l'appareil et enregistrés sur le ruban.
La nouvelle machine perfectionnée comprend aussi un disposi- tif grâce auquel l'opérateur peut voir d'un coup d'oeil le ca- ractère qu'il a écrit. ûne des difficultés des machines proposées dans antérieurement est que/la composition de l'enregistrement d'un texte, l'opérateur ne pouvait ni voir s'il avait frappé la touche correcte ni faire de correction ou de suppression s'il avait l'impression ou savait qu'une mauvaise touche avait été frap- pée. La nouvelle machine perfectionnée comprend des moyens auto- matiques pour rendre le caractère de la touche frappée clairement visible pour l'opérateur, et une touche spéciale pour supprimer l'espace ou tout signe qui pourrait avoir été enregistré sur le ruban par erreur.
Ces particularités contribuent sensiblement à l'e xactitude du texte et à la vitesse de l'opérateur et aug- mente sa confiance dans la composition des lignes du texte.
En plus des touches de caractère ordinaires et des touches de mot associées spécialement à une touche de lettre pour la lettre initiale du met, le clavier renferme d'autres touches spé- une ciales comprenant une "touches des espaces",/"touche de suppres- sion ou d'annulation", une "touche des lettres de bas de casse" ou .touche des minuscules", une "touche des majuscules" ou "touche des capitales", une "touche des chiffres", une "touche des itali- ques", et une " touche de dégagement ou de libération".
Dans l'appareil selon l'invention, le mécanisme pour suppri- mer la représentation d'un caractère placée sur le ruban par er- reur comprend un dispositif rapide et d'une précision effective pour supprimer l'espace exact attribué à ce caractère, de sorte que lors de l'emploi final du ruban d'enregistrement pour pro-
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duire le texte effectif, la représentation du caractère placée sur le ruban par erreur et son espace seront complètement igno- rés et n'affecteront pas la composition finale.La nouvelle ma- chine perfectionnée pour faire un enregistrement sur ruban de lignes Justifiées de texte comprend un nouveau dispositif précis pour fournir des représentations donnant la longueur exacte'de la ligne individuelle ou des lignes individuelles de texte,
la di- mension du type à imprimer et l'espacement exact entre les mots ou les groupes de caractères de chaque ligne.
La machine perfectionnée selon l'invention comprend d'au- tres particularités importantes et d'autres objets et avantages qui seront mis en évidence en détail dans la description de la machine donnée ci-après en relation avec les dessins ci-annexés, qui montrent une forme d'exécution à titre d'exemple.
La figure 1 de ces dessins est une vue en élévation de face, après brisure, d'une partie d'une machine construite conformé- ment à l'invention, dont des parties ont été ôtées, omises ou enlevées par brisure, parce qu'elles ne sont pas nécessaires à une compréhension complète de la machine et de son fonctionnement.: Certaines parties sont représentées schématiquement. La figure 2 est une vue partielle en élévation d'extrémité de la gauche de l'appareil représenté à la figure 1. La figure 3 est une vue en élévation après brisure et coupe partielle suivant la ligne 3-3 de la figure 1 et montrant la partie de la machine servant à imprimer le signe de justification ou la longueur d'espace sur le ruban d'enregistrement.
La figure 4 est une vue, après brisure,' selon la ligne 4-4 de la figure 1, montrant un des interrupteurs à came et une came élévatrice dans la position opposée à celle ?; montrée sur la figure 1. La figure 5 est une vue en élévation, après brisure, pargiellement en coupe, montrant les éléments égalisateurs d'espaces de la figure 1 dans les positions qu'ils occupent dans la justification d'une ligne particulière de texte.
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La figure 6 est une vue de détail, partiellement en coupe, montrant la structure et la disposition d'un des éléments égali- sateurs d'espaces.
La figure 7 est une vue fragmentaire en perspective, illus- trant schématiquement une forme de clavier et d'éléments y asso- ciés destinés à produire les diverses représentations de carac- tères et de symboles sur le ruban d'enregistrement, y compris une partie des fils de connexion et des éléments y associés.
La figure 8 est une vue partiellement en coupe pratiquée à peu près suivant la ligne 8-8, obtenu$en regardant dans la direc- tion opposée à celle de la figure 2, et qui montre essentielle- ment les mêmes éléments de l'appareil.
La figure 9 est une vue prise suivant la ligne 9-9 de la fi- gure 1, montrant une partie du mécanisme d'actionnement pour me- surer les espaces d'une ligne de texte.
La figure 10 est un schéma des circuits montrant d'une ma- nière schématique une forme adoptée de préférence pour le cir- cuit et le mécanisme propre à actionner les touches pour les lettres "A","N","D", le mot "and", la touche des espaces, la tou- che de rappel d'espace ou de suppression, la touche des lettres s de bas de cae, la touche des majuscules, la touche des chiffres, la touche des italiques et la touche de dégagement.
La machine selon la présente invention est conçue principa- lement pour produire un enregistrement sur un ruban ou une ban- de, principalement en imprimant sur celui-et ou celle-ci des com- binaisons de points convenus représentants les caractères parti- culiers dont les lignes justifiées de texte sont composées. La machine imprime aussi sur le ruban des barres ou lignes séparées représentant la longueur de la ligne, la dimension des types et la longueur de l'espace entre les mots pour chaque ligne de tex- te, La machine détermine la longueur de chacune de ces barres.
La machine comprend-un mécanisme pour imprimer sur le ruban un
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signe de suppression pour toute représentation convenue d'un ca- ractère particulier qui pourrait avoir été placée sur le ruban par erreur,. Simultanément, la machine soustrait l'espace particulier pour la représentation de caractère erronée attribuée précédemment à la ligne.
La nouvelle machine perfectionnée comprend des moyens pour disposer une ligne de longueur donnée entre deux limites ou butées, et un dispositif est prévu pour mesurer suooes- mesure ' sivement des parties de cette longueur de ligne que les différentes représentations de caractères et d'espaces sont impri- mées sur le ruban, à partir d'un dispositif de mesurage représen- tant les différentes largeurs des divers caractères et espaces utilisés. Quand la touche des espaces est frappée, une longueur d'espace "normale" est mesurée comme partie de la longueur de ligne, comme, par exemple, la largeur de la majuscule "N", et un signe d'espace est imprimé sur le ruban de la même manière que pour un caractère quelconque.
Une ligne de texte est par consé- quent produite en code sur le ruban par actionnement de l'appa- reil jusqu'à ce que la longueur de ligne soit épuisée à concur- rence du ou des caractères en plus ou en moins que la longueur de ligne fixée.
Pendant cette opération de composition, un mécanisme prévu dans la machine et comprenant une partie du mécanisme de justification est actionné simultanément pour mesurer séparément pas à pas les espaces entre les mots employés dans la ligne de composition. Après que la ligne a été composée, la touche de justi- fication est actionnée sur le clavier pour mettre en mouvement , un mécanisme de justification automatique qui fait usage du groupe séparé d'espaces ou de dispositifs égalisateurs d'espaces.
Ce mécanisme divise l'espace total également entre le nombre d'espaces existant dans la ligne de texte et amène un mécanisme qui lui est assocté à enregistrer sur le ruban une barre ayant
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une longueur représentant l'espacement correct entre les mots de la ligne de texte particulière.
Si une touche est actionnée par erreur, la touche de sup- pression ou de rappel d'espace est actionnée ensuite et celle-ci actionne électriquement un mécanisme pour supprimer l'espace dans le dispositif mesureur de ligne pour ramener le ruban en arrière d'une espace, et pour appliquer un signe de suppression convenu à côté ou au-dessous du signe erroné. L'opération de composition continue ensuite comme avant.
Après que la ligne de texte a été oomposée et que la touche de justification a été actionnée, la touche de dégagement est actionnée,ce qui déplace le ruban suffisamment pour dégager ou libérer le mécanisme d'impression et rappeler les parties du mécanisme employées pour relever la longueur de ligne avec les espaces et les représentations de caractères. En même temps, le mécanisme de justification est ramené dans sa position initiale et l'appareil est alors prêt pour composer une nouvelle série de caractères et de signes de commande pour une nouvelle ligne de texte.
L'appareil représenté aux figures 1 à 9 peut être commodé- ment décrit à propos du fonctionnement de ses diverses parties en dehors des circuits électriques intervenant pour effectuer les opérations à partir du clavier.
L'appareil représenté aux figures 1 et 2 comprend des panneaux ou châssis latéraux 20 et 21 qui comprennent une partie de l'ensemble de l'appareil et sont normalement fixés au bâti r ou châssis de clavier monté à la figure 7. Ces panneaux latéraux sont montés à distance l'un de l'autre et portent une paire de glissières horizontales parallèles et espacées 22 et un chenal à ruban ou châssis d'impression 23 pour un ruban d'enregistrement 24.
Le châssis d'impression 23 porte six organes ou dispositifs imprimeurs 25 de signes ponctiformes. Ces organes imprimeurs,
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qui sont disposés verticalement et sont numérotés de 1 à 6 à par tir du haut, sont actionnés par des électro-aimants 26 pour impri- mer un point ou tache noire ou un groupe sélectionnée de points noirs en une rangée verticale sur le ruban 24, un poinçon impri-
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encréu.!C37 meur convenable et un ruban actionné d'une manière classi- que étant prévus pour cette opération d'impression. L'organe imprimeur de point inférieur 6 est destiné à imprimer un signe ponctiforme de suppression pour annuler les points situés au-des- , sus de lui.
Le ruban 24 peut Atre en papier transparent ou en pellicule cellulosique et présente sur ses bords les trous habitu- els dans lesquels s'engagent les dents pointues d'un tambour ou de mécanisme roues montées sur un arbre d'entraînement 28. Un d'encliquetage pour faire avancer le ruban 24 pas à pas est attaché à l'extrémité , inférieure de l'arbre 28 et est monté sur le panneau 20, tandis qu'un mécanisme similaire, monté sur le panneau 21, est prévu pour faire revenir le ruban en arrière pas à pas quand des signes représentant des caractères imprimés par erreur doivent être supprimés.
Le châssis d'impression 23 porte un moyen ou dispositif d'im- pression électromagnétique 29 actionné par un solénoïde 30, tous deux étant attachés à un coulisseau mobile verticalement comme cela est représenté, pour imprimer sur le ruban un signe en forme de barre représentant la dimension de type désirée. Ce signe est une ligne ou barre noire, dont la longueur sur le ruban à partir du haut est déterminée par un moteur de mise en position 31 du type "Selsyn", qui fait tourner un organe fileté relié au coulis- seau portant le dispositif imprimeur 29.
Un mécanisme d'impression similaire, oomprenant un électro- aimant 32 et un moteur 33, est employé pour imprimer un signe en forme de barre sur le ruban 24 à partir du haut, ledit signe représentant la longueur désirée de ligne justifiée de texte à produire finalement.
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Les moteurs de mise en position 31 et 33 sont actionnés de l'emplacement du clavier comme cela va être décrit ci-après. Ces dispositifs imprimeurs sont pourvus de rubans encreurs avec lesquels des poinçons convenables en forme de barre sont mis en contact quand les électro-aimants sont excités.
Le châssis d'impression 23 porte aussi un dispositif pour imprimer sur le ruban une ligne ou barre représentant la longueur de l'espace à employer pour justifier la ligne de caractères composée. Ce dispositif imprimeur est semblable aux dispositifs d'impression des signes en forme de barre décrits plus haut, sauf qu'il est actionné à partir du bord inférieur du ruban 24, de sorte que.la barre imprimée s'étend vers le haut à partir de la partie inférieure du ruban. Ce dispositif, qui est montré à la figure 1 à droite des autres dispositifs imprimeurs de
34 barres, et plus en détail à la figure 3, comprend un coulisseau/ mobile verticalement pour déterminer la position de la barre ou poinçon d'impression 34a qui-Lest monté au-dessous du coulisseau près du ruban 24 au delà d'un ruban encré, et est actionné par un électro-aimant 35.
A la barre 34a est attachée une broche 35 a qui traverse le coulisseau 34 et est actionnée par l'électro- aimant 35 et un levier comme cela est représenté. La broche 35a maintient la barre dans une position verticale fixe, et elle est avantageusement montée dans une rainure ou fente verticale du coulisseau de sorte qu'elle est maintenue exactement en position.
Un ressort monté sur la broche 35a tient la barre normale- ment écartée du ruban 24, sauf quand l'électro-aimant 35 est excité.
Un ruban encré de forme classique, comme cela est représenté, est prévu pour imprimer le signe en forme de barre sur le ruban 24.
Les dispositifs imprimeurs de longueur de ligne et de dimen- sion de type sont oonstruits comme le mécanisme imprimeur repré-
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senté à la figure 3. La position verticale du coulisseau 34 et du poinçon en forme de barre 34a est déterminée par une tige-pous- soir de justification 36 qui est amenée dans la position correcte avant que l'électro-aiman- 35 soit excité. Une butée 36a prévue sur la tige 36 et supportée par une des barres 22 fixe la limite inférieure de la tige 36.
Le dispositif destiné à mesurer pas à pas les largeurs dd divers caractères et signes de ponctuation et les espaces entre les mots, est porté par les barres transversales parallèles 22 et comprend un étrier 37, figure 1, qui est mû par étapes succes- sives vers la droite, selon la largeur des divers caractères, signes de ponctuation et espaces employés dans la composition d'une ligne, Il est prévu aussi sur les barres 22 un étrier 38 qui est déplacé vers la gauche d'un pas pour chaque espace entre les mots ou les groupes de caractères.
L'étrier 38 est actionné par une vis sans fin 39 et un mécanisme de déplacement pas à pas actionné électromagnétiquement monté sur le côté extérieur du panneau 21, tandis que l'étrier 37 est actionné par une vis sans fin 40 et un mécanisme de déplacement pas à pas qui est associé à celle-ci et est monté sur la face extérieu- re du panneau 20, les vis sans fin pouvant être mises en rotation dans des positions fixes.
Les barres parallèles 22 portent aussi, entre les étriers
37 et 38, une pluralité d'éléments égalisateurs d'espaces 41 représentés plus en détail aux figs. 5 et 6, et comprenant, en seraient nombre, plus que le nombre maximum d'espaces qui utilisés dans une ligne quelconque de texte justifiée.Les étriers 37 et ront 38 occupe/,, une position initiale fixe l'un par rapport à l'autre quand la vis sans fin 40 vient en contact avec les extrémités intérieures de l'étrier 37, et la partie élargie à épaulement ,
39a située à l'extrémité de la vis sans fin 39 se trouve contre l'étrier, comme cela est représenté, Les positions des étriers représenteraient la longueur de ligne maximum qui peut être obte
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nue avec la machine et, évidemment,
la machine peut être construite pour n'importe quelle longueur de ligne maximum.
La machine, comme cela est représenté, est pourvue d'un dis- positif pour régler la longueur de ligne, qui comprend une butée coulissante 42 actionnée par un moteur de mise en position 43 et une vis ou une vis sans fin, comme cela est représenté. L'étrier 37 est également pourvu d'une crémaillè- re 44 qui se déplace avec l'étrier et amène une génératrice de mise en position 45 à enregistrer le mouvement de l'étrier sur la face du clavier par des impulsions électriques arrivant à un mécanisme à moteur représenté à la figure 7 et dont il sera question ci-après.
Le dispositif destiné à actionner la vis sans fin 40 qui est fixera un arbre ou se prolonge sous la forme d'un arbre à travers le panneau 20 du châssis, comprend un ressort d'horloge classique attaché à l'arbre et monté dans une botte 46 pour faire tourner l'arbre 40 pour déplacer l'étrier 37 vers la gauche jusqu'à sa position d'arrêt lorsque l'arbre est libéré. Normalement, la rotation de l'arbre est empêchée par un levier de frein 47 à ressort agissant sur un tambour de frein 48 fixé à l'arbre de la vis sans fin. Le frein est desserré'et le ressort monté dans la botte 46 peut agir sur la vis sans fin par l'aotionnement d'un électro-aimant 49, comme on le comprendra plus claire- ment d'après ce qui est représenté à la figure 2 des dessins.
L'actionnement pas à pas de la vis sans fin 40 est effectué à l'encontre de l'aotion de retenue du levier de frein 47 au moyen d'un dispositif d'embrayage électromagnéti-
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que 50, qui, lorsqu'il est excité, fait tourner le tambour 48 et l'arbre de la vis sans fin 40, non seulement à l'en- de frein contre de l'action/du levier 47, mais aussi en antagonisme avec le ressort de la boite 46, pour déplacer l'étrier 37 vers la droite,. Ce mouvement se,fait pas à pas et est effeo- tué par le déplacement d'un organe mesureur 51 ayant la forme de bras prolongé par une sorte d'enclume et attaché à l'or-' gane d'embrayage 50.
L'organe 51 et son mouvement dans certaines limites prédéterminées mais réglables, est utilisé dans le mesurage de la distance sur laquelle l'étrier 37 est déplacé à chaque pas, laquelle est égale à la largeur d'un caractère particulier, plus l'espace nécessaire entre les caractères, ou d'une espace. La distance sur laquelle l'étrier 37 est déplacé à chaque pas est, par exemple, la largeur d'une lett tre d'un style de type existant. Il est entendu que les différents caractères dans les styles de type existant ont des largeurs différentes sans rapport entre elles. Dans le présent appareil,un dispositif est prévu pour mesurer avec précision la largeur de chaque caractère lorsque sa touche est frappée sur le clavier, de sorte que l'étrier 37 est déplacé sur une distance correspondant à la largeur du caractère.
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Ce mécanisme est représenté plus complètement à la figure 2 des dessins , puisqu'il est monté sur la face extérieure du châssis ou panneau 20. Lorsque la touche pour une lettre particulière, par exemple la lettre "a" (bas de caspe), est frappée sur le clavier, un interrupteur-sélecteur rotatif, représenté dans le schéma de montage, est actionné pour amener un moteur 52 à faire tourner un cylindre à chenilles 53 sur un arbre 52a de manière à l'amener dans une position telle que la rangée de chevilles 54 contenant s la cheville de la lettre de bas de case "a" se trouve en face de la pointe ou tête intérieure de droite du levier 51.
En même temps, un moteur de mise en position 55 actionne une crémaillère et un pignon 55a, la crémaillère portant le cylindre à chevilles 53 sur un bras 55b pour le faire monter ou descendre jusqu'à ce que la rangée de chevilles contenant la cheville de lettre "a" soit amenée en faoe de la tête 51a du levier 51.
La cheville "a" est maintenant dans une position où elle peut être frappée par le levier 51. embrayage
Quand la touche "a" du clavier est libérée,un magnéti- que 56 est excité et vient en prise avec l'arbre d'un moteur 57 fonctionnant d'une manière continue, faisant ainsi tourner un bras 58 attaché à l'embrayage 56 dans le sens des aiguilles d'une montre à l'encontre de l'action du ressort, comme cela est représenté,
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de sorte qu'un bouton-poussoir 59 d'un interrupteur 'V",..I..,...d'tJt!1st- 60 monté sur le bras 58 arrive contre la partie arrière inférieure du levier 51 pour l'amener de force en contact avec la cheville "a" du culindre 53.
Cette action ferme l'interrupteur 60 pour provoquer l'excitation de l'embrayage magnétique 50 et interrompre l'excitari tion du circuit aboutissant à l'embrayage 56, de sorte que le bras '58 est ramené rapidement en arrière dans le sens inverse de celui des aiguilles d'une montre par le ressort qui y est attaché, pour fermer un interrupteur 61 monté sur le bras, dont la partie infé- rieure vient en contact avec une butée, comme cela est représenté.
, La fermeture de l'interrupteur 61 excite un électro-aimant 62,
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qui tire le levier 51 dans le sens .des aiguilles d'une montre contre une butée réglable 63. Puisque l'embrayage 50 était excité avant le fonctionnement de 1'électro-aimant 62, le mouvement du levier 51 dans le sens des aiguilles d'une montre fait tourner la vis sans fin 40 et déplace ainsi l'étrier 37 vers la droite de la figure 1 sur une distance correspondant à la largeur du type de la lettre "a".
On comprendra que puisque le bras 58 est maintenu sous l'actig de son ressort, l'interrupteur 61 est normalement fermé, de sorte que l'électro-aimant 62 maintient aussi, normalement, le levier 51 contre la butée 63. Par conséquent, la première action qui a lieu après que l'embrayage 56 est excité, est l'ouverture de l'in-, terrupteur 61 pour désaimanter l'électro-aimant 62 et permettre le déplacement du levier 51 vers le cylindre à chevilles 53. Lors- qu'une pression suffisante est appliquée sur le bouton 59 de l'interrupteur 60 pendant ce mouvement, cet interrupteur se ferme pour remplir les fonctions décrites plus haut.
Le mécanisme représenté à la figure 2 comprend un moteur de mise en position 64 et une vis sans fin vissée à la butée 63, lé moteur étant actionné du clavier pour régler la course du levier 51 de manière que les mesurages obtenus à partir du cylindre à chevilles correspondent à une dimension de type choisie. Le pas de la vis sans fin 40 est en corrélation avec la course du levier 51, de sorte que la largeur du caractère mesurée par le levier 51 est transmise avec précision à l'étrier 37.
Les chevilles du cylindre 53 représentent les différentes lettres de l'alphabet, les chiffres, les signes de ponctuation et les autres caractères, ainsi que l'espace "normale" entre les mots (c'est-à-dire la largeur de la majuscule "N"). Ces cheviiles sont de largeurs différentes et une cheville peut servir à mesu- rer deux caractères ou davantage si les types de ces caractères sont de la même largeur. Le cylindre à ahe&illes peut avoir une
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chenille pour chaque caractère et, dans une construction avanta- geuse, avoir six rangées verticales de 26 ohemilles chacune, de manière qu'un commutateur-sélecteur ne soit pas nécessaire.
Les chenilles pouvant faire saillie sur des distances différentes à partir de l'axe du cylindre de manière que la différence de longueur de deux chenilles quelconques représente la différence entre les longueurs des caractères particuliers que ces chevilles représentent. Plus le caractère est large, plus la cheville sera courte.
Lorsque la touche des espaces du clavier est frappée, un signe convenu d'espace, soit imprimé soit perforé ou poinçonné, est formé sur le ruban 24, et l'étrier 37 est déplacé de l'espace du normale "N" vers la droite. En même temps, le mécanisme est ac- tionné pour déplacer l'étrier 38 vers la droite à la figure 1 par rotation de la vis sans fin 39. Cette vis s'étend entre les éléments parallèles 22 dans l'alignement axial de la vis sans fin 40 et est mis en rotation en position fixe à partir d'un arbre s'étendant vers la, droite, comme cela est représenté.
La vis sans fin 39 est actionnée dans un sens par un ressort d'horloge attaché à l'arbre et enfermé dans une botte
65 semblable à la boite 46. Le tambour de frein 66 est aussi attaché à l'arbre de la vis sans fin avec un embrayage électroma- gnétique 67.Un levier de frein pivotant 68 actionné par un ressort s'appuie normalement sur le tambour 66 identiquement de la même manière que le levier 47 sur le tambour 48. Le levier 68 est libéré dans certaines conditions par le fonctionnement d'un électro-aimant 69 correspondant à l'électro-aimant 49 et excité en même temps que ce dernier.
L'actionnement de,1'étrier 38 pas à pas vers la gauche est,effectué par un mécanisme montré plus complètement aux figures
9 et 10, dans lesquelles l'embrayage est représenté pourvu d'un ' bras 70 maintenu relevé contre une butée fixe par un ressort, comme cela est représenté. Le bras 70 s'étend au-dessus d'une
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butée réglable 71 actionnée par un moteur de mise en position 72 et une vis sans fin, comme cela est représenté.
Un électro-aimant 73 est prévu pour attirer le bras 70 vers le bas. Le moteur de mise en position 72 est actionné du clavier comme cela est représenté à la figure 7 pour ménager l'espace "N" normale pour le texte particulier à écrire. La butée 71 est mise en position pour le déplacement pas à pas de l'étri- er 38 sur la même distance et dans le même sens que l'étrier 37 lorsque la touche des espaces est actionnée.
Un certain nombre de parties de l'appareil sont action- nées par la touche des espaces, y compris l'excitation de l'em- brayage électromagnétique 67, de sorte qu'il vient en prise avec l'arbre de la vis sans fin 39. Immédiatement après que ceci est arrivé, l'électro-aimant 73 est excité pour attirer le bras 70 vers le bas, faisant ainsi tourner la vis sans fin 39 et mouvoir l'étrier 38 vers la droite sur les glissières 22.
Un autre mécanisme pour effectuer la justification de la ligne de texte est représenté aux figures 1, 5 et 6; il comprend les dispositifs égalisateurs d'espaces 41 intervenant dans l'opération et le mécanisme de justification. Chacun de ces dispositifs, comme cela est représenté, comprend un étrier 74 monté à coulisse entre et sur les barres 22, chaque étrier étant plein d'un côté entre les barres et fendu de l'autre pour recevoir un coin mobile verticalement 75 comprenant une partie formant un coulisseau 76 présentant des épaulements supérieurs qui, normalement, reposent sur l'étrier 74. Le coulisseau 76 se déplace librement dans une rainure verticale pratiquée dans l'étrier 74.
Tous les coins 75 et les doulisseaux 76, ainsi que les étriers 74 ont la même dimension et la même forme; et les coulisseaux et leurs coins, avec lesquels ils peuvent être faits' d'une pièce, sont, normalement, suspendus librement sur les é- i triers 74, de telle façon que les parties inférieures des coins
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sont au même niveau.
Le mécanisme servant à actionner la tige-poussoir de justification 36 et les coulisseaux des coins,renferme des moyens montés entre les panneaux latéraux 20 et 21 et sous les barres
22, lesquels comprennent un châssis transversal 77 mobile verti- calement et présentant des trous terminaux verticaux par lesquels passent des montants verticaux 78, les montants étant fixés aux barres 22 et à leurs parties inférieures par des moyens non repré- sentés. Une barre 79, ayant des trous terminaux, est aussi montée sur les montants 78 et repose sur des supports inférieurs fixes
80. Des ressorts 81, placés sur les montants 78, servent à main- tenir le châssis transversal 77 espacé de la barre 79. Un arbre horizontal rotatif 82 est monté dans des paliers placés dans les supports 80 et est actionné par un moteur 83.
Les extrémités de l'arbre 82, situées à l'extérieur du support 80, sont pourvues de cames similaires 84 fixes" qui viennent en contact avec des galets 85 montés sur les extrémités de la barre 79.
Le châssis transversal 77 est monté directement au-dessous de l'organe 36 et des coins suspendus 75, de sorte que ces organes se déplacent entre des épaulements formant glissières et légère- ment au-dessus du niveau d'une plaque 86 mobile horizontalement, pouvant coulisser longitudinalement dans le châssis transversal
77 et ayant une lèvre terminale 86a dirigée vers le haut.La plaque re
86 est pourvue d'une crémaillère, comme cela est/présenté, qui est actionnée par un pignon 87 monté sur l'arbre d'un moteur électrique 87a.
La plaque 86 est toujours au-dessous de l'organe 36, et son extrémité de droite est placée de telle manière que dans la composition d'une ligne de texte,le premier actionnement de la touche des espaces déplace la plaque 86 vers la droite au-dessous du premier coin 75. Ceci est accompli par excitation d'un électro- , aimant 88 qui actionne une roue à rochet fixée à l'arbre du pignon
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87, comme cela est montré plus en détail à la figure 10. A mesure que la composition de la ligne progresse, la plaque 86 vient se placer sous les coins successifs 75 chaque fois que la touche des espaces est frappée. La ligne composée peut renfermer un certain nombre d'espaces et lorsqu'elle est achevée,la plaque 86 aura été avancée vers la droite sous un nombre égal de coins 75.
Le mécanisme servant à actionner la plaque 86 comprend un électro-aimant 88a qui, comme cela est représenté à la figure 10, dégage un arrêt de retenue pour la roue à rochet,de sorte que le moteur 87a peut être actionné pour ramener la plaque dans sa position normale, c'est-à-dire celle où son extrémité de droite se trouve près du premier coin 75.
Lorsque la plaque 86 est déplacée pas à pas vers la droite, la lèvre 86a passe sous les coins 75.
La justification de la ligne est effectuée par la manoeuvre d'une touche de justification du olavier, qui excite le moteur 83 pour faire tourner l'arbre 82 et les cames 84 pour faire mon- ter le châssis transversal 77 aussi haut qu'il pourra aller en déplaçant les coins 75 dans leurs étriers respectifs. Lorsque les coins 75 sont mus vers le haut, ils tendent à écarter les étriers 74 vers la droite, et le dernier coin viendra en contact avec la lèvre 86a pour faire coulisser la plaque à mouvement libre 86 de sorte que la plaque sera maintenue sous les cons intervenant dans l'opération de justification.
L'élévation du châssis transversal 77 est arrêtée lorsque les coins séparent les étriers 74, jusqu'à ce que tout l'espace entre les étriers 37 et 38 soit occupé complètement.
Les cames 84 font un tour complet de sorte que, lorsqu'elles élèvent la barre 79 à la hauteur maximum,les ressorts 81 absorbent le mouvement qui ne peut pas lêtre par le châssis transversal 77.
A peu près au point maximum des cames 84, une came 89 montée sur l'arbre 82 actionne un interrupteur 90, qui, à son tour, fournit-
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du courant par l'entremise des électro-aimants 30, 32 et 35, mis à la terre, des dispositifs imprimeurs de barres, de la manière montrée à la figure 4, pour imprimer les barres correspondantes y compris la barre de justification sur le ruban 24. Lorsque les cames 84 retournent dans la position minimum représentée à la figure 1, l'organe 36 et les coins 75 retombent dans la position représentée.
Le moteur 83 monté sur l'arbre 82 est actionné pour faire faire un tour complet aux cames 84; grâce à ce qu'il est prévu un dispositif d'interrupteur de retenue ou de maintien pour le moteur, Ce dispositif comprend une came 89a concentrique à l'arbre 82 et présentant une encoche dans laquelle se trouve normalement le bouton d'un interrupteur de retenue 90a.
Le mécanisme de justification est actionné de la manière décrite plus haut par la manoeuvre de la touche de justification du clavier, laquelle est représentée schématiquement à la figure 1 par la touche 90b.
Lorsque cette touche est frappée, du courant est fourni par le circuit, comme cela est représenté, au moteur 83 qui commence à faire tourner l'arbre 82 et, avec lui, la came 89a, amenant ainsi le bouton de l'interrupteur 90a dans la position de ferme- ture, de sorte que lorsque la touche 90b est libérée par l'opé- rateur, du courant est fourni, par l'entreise de l'interrupteur 90a, au moteur 83 jusqu'à ce que les cames 89 et 9a passent un tour complet et que le bouton de l'interrupteur 90a rentre dans l'encoche de la oame 89a et coupe ainsi l'amenée de courant au moteur 83.
Pendant l'actionnement des coins 75, tel qu'il est décrit plus haut, on notera qu'un espacement a été laissé entre les mots; par conséquent, si, par exemple, la ligne avait 6 pouces de long et contenait onze espaces, et que la composition s'achèverait de telle sorte que la dernière lettre arriverait sur la ligne margi- nale, la barre ou,marque faite sur le ruban 24 par le solénoïde
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35 représenterait l'espace "N" normale assignée précédemment.
Si la dernière lettre allait au delà de la ligne marginale, les coins 75 ne s'élèveraient pas de l'espace "N" entier,mais les onze espaces ou les onze coins absorberaient une quantité égale de cette couverture et dans l'opération de justification le solénoide 35 imprimerait une barre représentant une espace légèrement plus oour- te que la largeur normale du "N".
Si la dernière lettre de la ligne composée était en deçà de la , ligne marginale, c'est-à-dire si l'étrier 37 n'était pas déplacé de toute la longueur de la ligne prévue, les coins 75 seraient élevés d'un peu plus que l'espaoe du "N" entier et les onze espaces mesurées par l'étrier 38, et l'espace supplémentaire serait! absorbé d'une manière égale par les onze coins,et dans l'opération de justification le solénolde 35 imprimerait sur le ruban une basas représentant une espace légèrement plus longue que la largeur normale du "N".
En général, les coins 75 sont construits par rapport aux au- tres éléments montés sur les glissières 22 de telle manière qu'ils sont élevés à peu près à mi-chemin pour une espace "N" normale, de sorte qu'il y aura une ample marge pour l'emploi d'une espace plus grande ou plus petite que la normale lorsque la ligne de texte est justifiée. On comprendra que dans la oomposition de n'importe quelle ligne de texte, certains des coins de droite ne seront pas employés, et qu'ils n'auront aucun effet sur la justification de la ligne parce que les étriers 74 chevauchent inactivement les barres 22 entre les étriers 37 et 38.
Apres qu'une ligne de texte a été composée et justifiée par l'appareil de la manière décrite plus haut, la touche de dégagement prévue dans le clavier et représentée à la figure 10, est actionnée afin de préparer l'appareil pour la ligne suivante. Les figures 1 et 10 montrent l'appareil dans cette position dégagée, mais après la oomposition d'une ligne de texte, les étriers 37 et 38
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seront pratiquement à droite.
La touche de dégagement, en consé- quence, actionne les électro-aimants 49 et 69 pour desserrer les freins, de sorte que les ressorts contenus dans les boites 46 et 65 ramènent rapidement les étriers correspondants dans leurs posi- tions initiales montrées à la figure 1, et actionnent un moteur 91 et un mécanisme d'embrayage 92 pour faire tourner l'arbre 28 afin de déplacer le ruban 24 vers la gauche sur la distance néces- saire pour commencer la ligne suivante.
On. notera que les organes 25 d'impression des signes agissent sur une certaine partie du ruban qui se déplace pas à pas jusqu'à ce que le signe du premier caractère imprimé dans une ligne puisse s'approcher de la position de l'organe imprimeur de justification.
La barre de justification, la barre de longueur de ligne, et la barre de dimension de type, apparaîtront par conséquent sur le ruban avant la ligne particulière à laquelle elles appliquent, comme cela est représenté sur l'extrémité gauche du ruban. Comme ces trois organes imprimeurs sont espacés, ils peuvent être action- nés simultanément, comme cela est mis en évidence plus haut.
Le ruban sera par conséquent déplacé par le moteur 91 sur une distance suffisante pour laisser l'espace nécessaire pour imprimer les barres de justification, de longueur de ligne et de dimension de type après que la ligne suivante elle-même est composée.
La rotation de l'arbre 28 pour déplacer le ruban 24 de la lon- gueur d'une ligne complète ou davantage est accomplie grâce à un dispositif servant à maintenir le oourant appliqué au moteur 91 jusqu'à ce qu'il fasse un tour complet. Des engrenages ou d'au- tres moyens peuvent être employés entre le moteur et l'arbre 28 de façon que la longueur de ruban correcte soit avancéspour un tour du moteur.
Le mécanisme tel qu'il est représenté dans la partie supérieu- re de droite à la figure 1, ainsi qu'à la figure 10, comprend ,une came 92a montée concentriquement sur l'arbre du moteur et
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portant un bossage qui ouvre un interrupteur pour mettre le moteur 91 hors circuit après qu'il a fait un tour.
Le courant appliqué à l'embrayage électro-magnétique 92 est aussi maintenu par cet interrupteur de sorte qu'ils cessent tous deux d'être excités lorsque le bossage de la came 92a revient en contact avec le bouton de l'interrupteur après un tour complet.
Comme cela a été exposé plus haut, le moteur 91 est mis en marche initialement par actionnement de la touche de dégagement. Celle-ci écarte le bossage de la came 92a de l'interrupteur de maintien. Le moteur 91 et la partie active supérieure de l'embrayage 92 sont entièrement déconnectés de l'arbre 28, sauf lorsque l'embrayage magnétique 92 est excité.
L'actionnement de la touche de dégagement excite aussi le moteur 87a pour ramener la plaque 86 dans sa position initiale, le moteur 87a étant connecté en par/allèle avec le moteur 91 et sur interrupteur,comme cela est décrit plus haut, de sorte qu'on dispo- se d'un temps amplement suffisant pour le rappel de la plaque 86.
En même temps que la touche de dégagement excite les électro-ai- mants 49 et 69, elle aimante l'électro-aimant 88a pour dégager l'arrêt de la roue à roohet montée sur l'arbre du pignon 87, de sorte que le moteur 87a peut rappeler la plaque 86.
Un clavier d'un genre classique pour les machines à écrire peut être employé pour aotionner le méoanisme suivant la présente invention, mais il comprendra évidemment certaines touches spéoia- les et d'autres dispositions particulières qui sont d'une importan- ce considérable. Autant qu'on sache, les appareils de oomposition proposés antérieurement ne sont pas pourvus d'un méoanisme tel qu'il soit possible à l'opérateur de voir ce qu'il a éorit, Par conséquent, le clavier selon la présente invention comprend comme particularité un mécanisme,et une disposition grâce auxquels l'opérateur peut voir d'un coup d'oeil exactement le caractère écrit par la dernière touche frappée,
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Sur la figure 7 des dessins,
on a représenté schématiquement la partie du clavier et des éléments y associés dans laquelle le mécanisme est monté dans et sur un châssis ou bâti 93 dans lequel des touches 94 sont utilement montées de la manière représentée, les touches de droite étant, de préférence, la touche de dégagement et d'autres touches spéciales, tandis que'les touches 95 et 96 représentent les différentes lettres de l'alphabet. Bien que la disposition normale des touches d'une machine à écrire soit suivie de préférence, le clavier proprement dit comprend avantageusement des touches de mot immédiatement en avant d'une touche de lettre séparée.
Par exemple, la touche 95 peut représenter la lettre "O", tandis que les trois touches de mot 97 immédiatement en avant, peuvent représenter les mots communs "on" "of" et "or", ou d'au- tres mots de trois lettres ou davantage. D'une manière similaire, les touches de mot 98 représentent différents mots communs com- mençant par la lettre de la touche 96. La barre d'espacement habituelle 99 est la touche des espaces et, naturellement, sa position correspond à celle de la barre d'espacement d'une machine à écrire. Les touches, comme cela a été exposé plus haut, y com- pris la touche ou barre 99, sont chacune simplement une partie d'interrupteurs électriques qui ferment des circuits pour accom- plir les opérations décrites plus haut.
Une poignée ou bouton à main 100 portant une aiguille ou index dirigé vers une échelle de nombres est prévu sur le côté du bâti 93 pour choisir la dimension de type désiré. Le bouton 100 est connecté mécaniquement par des moyens classiques non repré- sentés, à une génératrice de mise en position 101 du type Selsyn, montée sur le côté du bâti et connectée par un système à trois fils, comme cela est représenté, aux trois moteurs de mise en position 74, 72 et 31, représentés aux figures 1 et 2, pour remplir leurs fonctions comme cela est décrit plus haut.
Le bâti 93 porte aussi une génératrice Selsyn 102 pourvue-- d'un bouton comme cela est représenté pour actionner les moteuss
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43 et 33 pour régler la longueur de ligne de la manière décrite plus haut. Une aiguille 103 à l'avant du bâti pour le mécanisme 102 peut être amenée au point désiré de l'échelle, représentant la longueur de ligne désirée. L'échelle, telle qu'elle est montrée, comprend seulement les nombres ou numéros 4, 5, 6 et 7, représen- tant la longueur de ligne en pouces dans chaque cas. Il va de soi que l'échelle peut être plus longue et comprendre d'autres nombres ou d'autres échelles de mesurage. Le mécanisme 102 est co nedté par un système à trois fils, comme cela est représenté, aux moteurs 33 et 43.
Un mécanisme de mise en position de ce type et son fono- tionnement sont généralement compris par les spécialistes et n'ont pas besoin d'être décrits en détail.
D'autres types de mécanisme peuvent être employés pour régler les dispositifs de mesurage et d'impression de la longueur de ligne ainsi que les mécanismes déterminant la dimension des caractères.
La génératrice de mise en position 45, actionnée par crémail- lère, telle qu'elle est'décrite plus haut, est connectée par un système à trois fils, comme cela est représenté à la figure 7, à un moteur Selsyn de mise en position 104 qui actionne une crémaillère avec pignon 105 et un indicateur 105a, pour enregistrer sur la face avant du clavier la proportion de ligne de texte qui a été mesurée et enregistrée sur le ruban. Comme l'étrier 37 de la figure 1 est déplacé pas à pas, l'aiguille indicatrice la%se déplace à travers la faoe avant du bâti du clavier de la même manière que pour chaque signe de caractère ou d'espace enregistré sur le ruban.
Par conséquent, l'opérateur peut reconnaître d'un coup d'oeil quand il a fini la ligne de texte.
En même temps que cette opération s'effectue, un ressort de contact monté sur la crémaillère 105 vient successivement en prise avec une série de contacts fixes 106 représentant la position de chaque caractère et de chaque espace dans la ligne. Ces contacts sont connectés par fil à des roues à caractères individuelles 107
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montées folles les unes tout près des autres sur un arbre traver- sant le bâti de la machine à écrire et immédiatement derrière une fente 108 formant fenêtre. Le montage électrique est tel que lorsqu'un des contacts 106 est en prise avec le ressort de contact de la crémaillère 105, la roue à caractères 107 corres- pondante est actionnée de manière à faire apparaître le caractère ou l'espace considéré dans la fente 108, dans l'ordre convenable dans la ligne de texte que l'on compose.
Par conséquent, l'opérateur voit d'un coup d'oeil le caractère dont il a provoqué l'enregistrement sur le ruban, et si ce carac- tère est erroné il lui suffit d'actionner la touche de suppression qui peut, par exemple, être la touche 94 de droite du clavier - et la touche du caractère à supprimer, ce qui provoque les opéra- tions décrites plus haut à propos de l'annulation d'un caractère ou signe enregistré par erreur.
Les roues à caractères 107 ne sont représentées que schéma- tiquement, mais elles sont, de préférence, éclairées individuel- lement par une petite lampe électrique de façon que le caractère qui apparaît à la fente-fenêtre 108 soit facilement porté à l'attention de l'opérateur.
Après qu'une ligne de texte a été composée, l'opérateur peut, s'il le désire, lire la ligne entière par la fenêtre 108 avant d'actionner la touche de dégagement. Les roues à caractères comprennent de petits moteurs électriques conçus pour être actionnés par la manoeuvre des touches du clavier de manière à faire apparaître le caractère correct. Chaque roue 107 porte, sur sa périphérie, toutes les lettres de l'alphabet ainsi que d'autres caractères tels que des chiffres, des signes de pondtu- ation et des blancs pour les espaces.
Les roues à caractères peuvent comprendre chacune deux ou trois compartiments annulaires parallèles; la périphérie d'un de ceux-ci portera les lettres de l'alphabet; celle de l'autre, les chiffres et les signes de 'ponctuation; et, dans le cas d'une roue à trois compartiments,
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la périphérie du troisième, d'autres caractères, si c'est néces- saire. La périphérie du compartiment de la roue adjacent à la section portant des lettres aura, en regard de n'importe quelle donnée,le chiffre, le signe de ponctuation ou autre caractère se trouvant sur une touche particulière.
La disposition des connexions pour les roues à caractères 107 est montrée dans le schéma des connexions de la fig. 10.
Celle-ci n'est, nécessairement, qu'une représentation schémati- que, et l'on comprendra que les contacts 106 peuvent être con- nectés par fil à un interrupteur rotatif pour l'actionne- ment des différentes roues ou des différents compartiments de roue au lieu de l'être au dispositif à crémaillère 105. En tout cas,la disposition est avantageusement telle que la roue à caractères correcte soit toujours actionnée quelle que soit la largeur des lettres ou autres caractères employés pour compo- ser une ligne de texte.
La figure 10 représente un schéma des connexions illustrant un arrangement de circuits pour certaines touches de caractères et une touche de mot prises comme exemples, et un arrangement pour toutes les touches spéciales, telles que la touche des 1 espaces, la touche de suppression,etc. On comprendra que le schéma des connexions ne montre, en ordre principal, que les connexions par fil associées à des touches du clavier et non les connexions/pour certaines de l'autre mécanisme , et que certaines des touches de lettres, telles que 95 et 96, repré- sentées à la figure 7, comprennent d'autres caractères, tels que des chiffres et des signes de ponctuation, et que lorsque l'opérateur désire écrire un chiffre ,
il frappera d'abord une touche de chiffre spéciale et qu'il en est de même pour s écrire des majuscules, des lettres de bas de case et des italiques.
Tnutes les touches indiquées à la figure 10 sont
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disposées en une rangée verticale à la gauche de la figure, et lorsqu'une touche spéciale, telle qu'une touche de majuscule, est actionnée, le mécanisme d'impression décrit plus haut à propos des organes imprimeurs 25 imprimera sur le ruban ou bande un signe correspondant. Chacune des touohes disposées les unes au-dessus des autres à la figure 10 est désignée par son nom.
La figure 10 comprend aussi une représentation schématique de la plupart des moteurs et électro-aimants représentés aux figures 1 à 9 des dessins, tels qu'ils sont décrits plus haut, en particulier lorsque ces éléments sont actionnés par des tou- ches de clavier. Au centre du schéma des connexions se trouve un interrupteur-sélecteur rotatif 108, qui est d'un type de construction classique et est disposé pour établir de nombreuses connexions différentes. Il peut comprendre un rotor ou organe mobile central 109 ou interrupteur de composition qui est réglé s pour écrire les lettres de bas de ca se et les majuscules, les chiffres et les italiques. Les signes de ponctuation peuvent être compris avec le sélecteur des chiffres.
Il est important de prévoir un interrupteur-sélecteur dé ce genre, parce que les différents caractères ont des largeurs différentes et doivent, par conséquent, être mesurés sur des chevilles 54 différentes du cylindre à chevilles 53 représenté aux figures 1 et 8. L'interrupteur-sélecteur 108 est, pour cette raison, connecté par un système à trois fils, comme cela est représenté, aux moteurs de mise en position 52 et 55, qui sont tous deux mis à la terre, comme cela est représenté. Les six la aimants imprimeurs mis à la terre, 26, numérotés respectivement de 1 à 6, représentés à la figure 1, sont montrés dans le haut du schéma des connexions avec leurs fils conducteurs posés verticalement.
Le schéma de connexions représenté à la figure 10 peut être décrit commodément à propos d'un exemple particulier d'une opération de composition dans lequel la ligne particulière à
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composer commence par le mot "and" (et) en caractères normaux s de bas de case. Si l'on suppose que l'appareil a été dégagé et, qu'un signe "caractère normal" a été placé sur le ruban par un s circuit comme celui pour les italiques, la touche de bas de sa se ou des minuscules est actionnée par l'opérateur pour connecter deux circuits à un fil vertical d'amenée de courant 110 s'éten- dant verticalement à travers le schéma de connexions/Immédiatement à droite des touches.
Un de ces circuits est commun à la touche des majuscules, à la touche des chiffres et à la touche des itali- ques, et comprend un fil 111 connecté à un éleotro-aimant mis à la terre, 112, pour actionner un interrupteur 113 qui ouvre le circuit renfermant l'interrupteur 61, qui est normalement fermé et qui, comme on l'a fait ressortir plus haut, actionnerait 1'électro-aimant 62 et l'encliquetage pour faire avancer le ruban 24 pas à pas vers la gauche,
La manoeuvre de la touche des lettres de bas de ca se fait également passer du courant par un fil 114 pour exciter un éleo- tro-aimant 115(en haut à droite) qui ferme un relais à trois ' interrupteurs, comme cela est représenté ,
pour fournir du cou- rant simultanément à des aimants 26 d'impressions ( ou de poinçon- nage) de signes, numérotés 2, 4 et 5, ce qui est le signe des - lettres de bas de casse. Un fil 116 connecté à l'extrémité infé- rieure du fil 110 fournit du courant aux interrupteurs actionnés par l'aimant 115 .
Un fil 114' branché sur le fil 114 fournit du courant à l'organe 109 de l'interrupteur-sélecteur 108 pour mettre cet interrupteur dans une position telle que lorsqu'une touche de lettre est actionnée, il amènera les moteurs 52 et 55 à présenter la cheville convenable pour le mesurage de la lettre de bas de casse. s
Lorsque la touche de lettre de bas de ca se est lâchée, l'in- terrupteur 113 se ferme, de sorte que du courant est fourni à l'enoliquetage monté sur l'arbre 28 pour faire avancer le ruban d'un pas vers la gauche.
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La phase suivante de l'opération suggérée plus haut est la manoeuvre de la touche "A" qui est la touche supérieure à la figure 10. Quand elle est actionnée, du courant est fourni par le fil de courantprincipal 110 par l'entremise de l'interrupteur de touche à un électro-aimant 117 pour actionner un relais 118 à sept interrupteurs, les interrupteurs étant disposés en une rangée, pour fournir du courant positif par l'entremise du premier et du second interrupteur et d'une paire de fils 119, respective- ment aux électro-aimants 26 numérotés 4 et 5.
Les troisième et quatrième interrupteurs 118 fournissent du courant par des fils 120 à 1'interrupteur-sélecteur 108 qui est actionné pour fournir du courant par l'entremise des moteurs de mise en position 52 et 55, de sorte qu'ils choisissent la cheville de mesurage 54 s correspondant à la largeur de la lettre de bas de case "a". Le sixième interrupteur 118 fournit du courant par un fil 121 à la roue à caractères 107 qui est connectée par son contact 106 à la crémaillère mise à la terre, 105, de sorte que la lettre "A" apparaît dans la fente 108 de la figure 7.
Le cinquième interrupteur 118 fournit du courant par un 'fil 122 au côté gauche d'un relais polarisé 123 et à la terre, fermant ainsi un interrupteur 124 et établissant un circuit pour la fourniture et l'emploi de courant quand la touche "A" est libérée.
Le septième interrupteur de chacune des touches de lettre "A", "N" et "D", et un fil de connexion commun 7a, forment un circuit employé lorsque la touche de suppression et ensuite la touche du caractère à supprimer sont actionnées.
Aussit8t que la touche "A" est lâchée par l'opérateur, l'ai- mant 117 cesse d'être excité et les interrupteurs 118 viennent occuper leurs positions normales ; les quatrième et cinquième interrupteurs, comme cela est représenté, fournissent alors, par des fils 125 et 126, du courant venant du fil principal 110,
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le fil 125 aboutissant à l'interrupteur 60 normalement ouvert comme cela est également représenté à la figure 10.
Le courant passant par le fil 126 arrive, en passant par l'interrupteur . ,:: l fermé, à l'embrayage actionné électriquement 56 associé au' moteur 57, qui a des connexions et une marche séparées, aotion- nant ainsi le bras 58 représenté à la figure 2 pour amenerle levier 51 au contact de la cheville 54 correcte pour la lettre ',
EMI32.1
r .l.' "A".
Le déplacement du bras d'embrayage 58 a pour effet d'ouvrir l'interrupteur 61 et de fermer l'interrupteur 60, de sorte que du oourant est fourni, par le fil 125 et l'interrupteur 60, au , c8té droit du relais polarisé 123, provoquant ainsi le déplace- ' ment de ce relais jusqu'à sa position opposée et normalement fermée, pour ouvrir l'interrupteur 124 et fermer un interrup- teur 127, de sorte que du courant est fourni par le fil 110, un fil 128 et un interrupteur 129 fermé, par l'entremise des fils représentés, à l'embrayage 50 associé au moteur 46 montré aux figures 1 et 2.
L'ouverture de l'interrupteur 124 déclenche l'embrayage 56 de sorte que le ressort associé au bras 58 à la figure 2 rappelle ce bras et ferme l'interrupteur 61, lequel excite un électro-aimant 156 de l'enoliquetage fixé sur l'arbre 28, comme cela est représenté à la figure 10 et décrit plus loin, pour faire avancer le ruban 24 d'un pas vers la gauche.
Le courant passant par l'interrupteur 61 est également fourni à l'électro-aimant 62, qui tire le bras formant marteau 51 vers!La. gauche à la figure 2, tandis que l'embrayage 50 est enclenché, faisant ainsi tourner la vis sans fin 40 suffisam-; ment pour écarter l'étrier 37 de la butée 42 de la largeur de la lettre "a". Ce mouvement de l'étrier 37 est évidemment en corrélation avec l'action simultanée de la génératrice de mise en position 45 et l'actionnement de la roue à caractères 107 convenable pour faire apparaître la lettre "A" comme premier
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caractère de la ligne composée.
Du courant passant par l'interrupteur 127 est fourni à partir du fil principal de courant 110, par le fil 128 et l'interrupteur 129 normalement fermé, à l'interrupteur 127 pour actionner l'em- brayage 50. Le courant passant par l'interrupteur 127 comme cela a été expliqué plus haut, arrive à l'embrayage 50 situé immédiate- ment en dessous de lui et, par un fil 130, au côté fermé d'un interrupteur 131 et à l'interrupteur 61, maintenant fermé.
L'interrupteur 131 est normalement incliné dans la position de fermeture, comme cela est représenté, et les interrupteurs 61 et 113 sont aussi, normalement, dans les positions représentées de sorte que du courant est toujours maintenu par ces interrup- teurs,sauf pendant les interruptions momentanées produites par l'ouverture des interrupteurs 129, 127, 131, 61 et 113. Du cou- rant est par conséquent maintenu normalement sur l'embrayage 50 et sur 1'électro-aimant 62 pour maintenir le levier 51 au con- tact de la butée 63, et sur l'électro-aimant 156 pour maintenir abaissée la barre à cliquet 155 de l'encliquetage d'avancement du ruban pas à pas.
Lorsque la touche "N" est actionnée, un électro-aimant 132 actionne les sept interrupteurs adjacents 133 d'un relais, de la même manière que celle décrite plus haut à propos des interrup- teurs l18,la seule différence étant qu'un signe différent est imprimé sur le ruban. Dans ce cas, les deux premiers interrup- teurs envoient du courant par une paire de fils 134 pour exciter les aimants imprimeurs 26, numérotés 1 et 5, ce qui est le signe pour "N", ce signe étant imprimé sur le ruban de la manière décrite plus haut à propos de la manoeuvre de la touche "A".
Lorsque la touche "D" est frappée, un électro-aimant 135 est excité pour fermer les sept interrupteurs adjacents 136, pour réaliser les mêmes opérations que celles décrites pour les inter- rupteurs 118. Les deux premiers interrupteurs fournissent du
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courant à partir du fil 110, par une paire de fils 137, aux aimants imprimeurs 26, numérotés 3 et 5, ce qui est le signe pour "D".
Toutes les autres opérations et les fils de connexion sont les mêmes que ceux qui sont décrits plus haut à propos de la manoeuvre de la touche "A", il va de soi que la crémaillère 105 se déplace successivement de la roue à caractères exposant "A" à la roue à caractères suivante qui expose "N" et à la sui- vante qui expose "D".,
Après avoir fait fonctionner le mécanisme pour composer le mot "and", la phase suivante consiste à actionner la touche des espaces.
Lorsqu'elle est frappée, du courant est fourni à un électro- aimant 138, qui actionne un relais comprenant neuf interrupteurs adjaoents 139 pour fournir du courant venant du fil 110 aux ! diverses parties de l'appareil comme cela est représenté. Les premier, deuxième et-'troisième interrupteurs fournissent du courant par les trois fils connectés 140 aux aimants 26 d'im- pression des signes, numérotés 2, 3 et 4, ce qui est le signe "espace" imprimé sur le ruban.
Le quatrième des interrupteurs 139 envoie du oourant par un fil 141 à toutes les roues à caractères 107, de sorte que la roue suivante,qui est mise à la terre par la barre d'encliqueta- ge 105, expose un blanc pour représenter l'espaoe. Le cinquième interrupteur est connecté par un fil 142 au fil 122 et, par con- séquent, au relais polarisé 123 pour établir un circuit et acoom- plir les fonctions décrites plus haut relativement à ce relais.
Les quatrième et cinquième intèrrupteurs dans leurs positions normales, comme cela est représenté, lorsque la touche des espaces est libérée, sont connectés par des fils 143 et 144, respeotivement aux fils 125 et 126 pour fournir du oourant et effectuer les opérations décrites plus haut à propos de la libération de la touche "A". Ces opérations sont aussi décrites)
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en détail plus haut à propos des figures 1 à 3.
Le sixième interrupteur actionné par la manoeuvre de la tou- che des espaces fournit du courant par un fil 145 à l'électro- aimant 88 qui tire vers le bas une barre d'encliquetage 146 por- tant un cliquet 147 pour actionner une roue à rochet 148 fixée au pignon 87 ou à son arbre, qui déplace la plaque 86 représentée à la figure 1. Le cliquet 147 est normalement dégagé de la roue à roohet 148 mais est sollicité par un ressort de telle façon que lorsque la barre 146 est actionnée le cliquet vient en prise avec la roue en rochet. La barre pivotante 146 peut être amenée dans sa position normale contre une butée par un ressort, comme cela est représenté.
Le septième interrupteur actionné par la touche des espaces est connecté par un fil 149 à un relais polarisé 150, qui ferme un interrupteur 151 pour fournir du courant du fil 128 à l'em- brayage électromagnétique 67, lequel est excité pour actionner la vis sans fin 39 pour déplacer l'étrier espaceur 38 vers la droite. Pendant que le courant est maintenu sur cet embrayage 67 par le relais 150, après que la touche des espaces a été lâchée, du courant est fourni par les fils 144 et 126 et l'interrupteur 124 à l'électro-aimant 73, qui tire le bras 70 vers le bas, fai- sant ainsi tourner la vis sans fin 39 pour déplacer l'étrier 38 d'un; espace vers la droite.
On remarquera que l'embrayage 56 est connecté en parallèle aveo 1'électro-aimant 73 et qu'il sera excité pour provoquer les opérations décrites plus haut pour déplacer l'étrier 37 de l'es- pace "N" normale vers la droite. Lorsque l'interrupteur 60 est fermé par l'actionnement de l'embrayage 56, du courant est fourni par un fil de connexion 152 au côté opposé du relais polarisé ainsi 150 et à la terre, ouvrant l'interrupteur 151. Le relais 123 est également déplacé comme cela a été décrit plus haut.
Les huitième et neuvième interrupteurs 139 de la touche des espaces connectent au côté de l'interrupteur-sélecteur 108 pour
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commander le choix de la cheville d'espace correcte par actionne,,, ment des moteurs 52 et 55. Lorsque la touche des espaces est libérée, les interrupteurs 4 et 5 dans leur position normale excitent diverses parties de l'appareil de la manière décrite plus haut pour la touche "A".
Chaque fois qu'un signe punctiforme ou une oombinaison de points est imprimé sur le ruban 24,celui-ci est déplacé d'une espace vers la gauche par l'actionnement d'une roue dentée droi- te 154 fixée à l'extrémité inférieure de l'arbre 28, comme cela est représenté à la figure 1. La disposition est montrée plus complètement à la figure 10 dans laquelle un cliquet servant à actionner la roue à rochet 154 est articulé à une barre pivotan- te 155 en dessous de celle-oi et est tiré contre une butée par l'action d'un ressort monté sur lui. La barre 155 est aussi tirée contre une butée par un ressort et est actionnée par un électro-aimant 156 connecté en parallèle à l'électro-aimant 62 par l'entremise de l'interrupteur 113.
Du courant est normale- ment maintenu sur l'électro-aimant 156, de sorte que la barre 155 est maintenue abaissée dans la position montrée à la figure 10.
On remarquera que dans toutes les opérations qui impliquent le déplacement du ruban d'un pas vers la gauche, le circuit est d'abord interrompu par l'ouverture d'un ou plusieurs des inter- rupteurs conduisant au fil 128. L'arbre 28 n'est pas connecté directement à l'embrayage 92, mais l'extrémité de l'arbre porte un disque qui tourne librement avec l'arbre et est employé comme partie du mécanisme d'embrayage lorsque l'embrayage 92 est excité, comme cela va être expliqué plus loin.
(et)
Le mot "and"/peut être appliqué en code sur le ruban 24 par l'arrangement de connexions représenté à la figure 10 sans que les touches individuelles pour chaque lettre soient actionnées.
La touche "and" qui est représentée immédiatement au-dessous
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de la touche des espaces illustre le fonctionnement du mécanis- me dans l'écriture de divers mots communs. La touche "and" comprend un double interrupteur de sorte que, quand la touche est abaissée, du courant est fourni par un fil 157 à un électro- aimant 158 qui tire un bras isolé 159, à l'encontre de l'action d'un ressort attaché à ce bras,vers la gauche sur trois contacts, comme cela est représenté, qui sont connectés respectivement aux électro-aimants 117, 132 et 135 des touches "A", "N" et "D". Le bras 159 vient reposer sur le contact pour la touche "A", et aussitôt que la touche "and" est lâchée;
, du courant est fourni par un fil 160 et par le bras 159 à l'aimant de la touche "A", de sorte que toutes les opérations décrites plus haut à propos de l'aotionnement de la touche "A" s'accomplissent.
Lorsque l'électro-aimant 158 cesse d'être excité quand on lâche la touche "and", le bras 159 commence à se mouvoir vers la droite en passant sur les trois contacts successivement, mais sa vitesse est ralentie par un dash-pot 161 monté sur un pro- longement de l'arbre de l'électro-aimant 158. Les électro-ai- mants 117, 132 et 135 sont, par conséquent, successivement aimantés et désaimantés de sorte que les signes convenus pour les lettres "a", "n" et "d", sont appliqués successivement sur le ruban 24.
Les touches pour les majuscules, les chiffres et les itali- ques placées immédiatement au-dessus de la touche des lettres s de bas de ca se, actionnent des appareils analogues à celui s qui est actionné par la touche de bas de ca se. On peut prévoir des touches pour d'autres styles de types telles qu'une touche de type normal, dont la touche des italiques avec soncircuit s est un exemple. En conséquence, toutes ces touches sont connectée: au fil 111 afin d'actionner l'électro-aimant 112 pour ouvrir l'interrupteur 113 et libérer la barre d'encliquetage 155.
La manoeuvre dé la touche des majuscules fournit aussi du courant f par un fil 162 à un électro-aimant 163 qui ferme un relais de
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trois interrupteurs qui'lui sont associés, pour four- nir du courant du fil 116 aux aimants d'impression de signes 26, numérotés 1, 4 et 5, ce qui est le signe pour la touche des majus-' cules. Un fil 164 branché sur le fil 162 conduit au rotor 109 de'' l'interrupteur-sélecteur pour établir une mise en position pour les majuscules. La libération de la touche des capitales permet à l'interrupteur 113 de se fermer et d'actionner l'électro-aimant 156 pour déplacer le ruban d'un pas.
Lorsque la touche des chiffres est frappée, du courant est fourni par un fil 165 à un électro-aimant 166 qui ferme un relais de trois interrupteurs qui lui est associé, fournissant ainsi du courant du fil 116 aux aimants d'impression des signes 26, nu- mérotés 1, 3 et 4, ce qui est le signal amployé avant d'actionner une touche pour imprimer un signe de chiffre ou une série de de chiffres signes/sur le ruban. Le fil 165 est connecté par un fil d'embran- chement 167 au rotor 109 de l'interrupteur-sélecteur pour mettre l'interrupteur en position pour le mesurage des largeurs des chif- fres. La libération de la touche des chiffres permet à l'inter- rupteur 113 de se fermer de sorte que le ruban avance d'un pas.
Lorsque la touche des italiques est actionnée, du courant est fourni par un fil 168 à un électro-aimant 169 qui ferme deux interrupteurs y associés, pour fournir du courant du fil 116 aux aimants d'impression des signes 26, numérotés 2 et 4, ce qui est le signe ou signal pour les italiques. En même temps, un fil d'embranchement 170 fournit du courant du fil 168 au rotor 109 de l'interrupteur-sélecteur pour le mettre en position pour le mesurage des lettres italiques. La libération de la touche des italiques permet à l'interrupteur 113 de se fermer de sorte que le ruban est déplacé d'un pas vers la gauche.
La touche de suppression représentée immédiatement au-dessous de la touche "and" à la figure 10, est actionnée après que l'opé- rateur a frappé une touche de caractère par erreur. Alors que les fonctions de l'appareil représenté aux figures 1 à 3 ont été décrites plus haut à propos de la suppression d'un signe de carac-
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tère, les circuits intervenant sont montrés à la figure 10; il va de soi que pour supprimer le caractère d'une touche qui a été frappée par erreur, il sera nécessaire d'actionner de nouveau cette touche conjointement aveo la manoeuvre de la touche de suppression.
En général, la suppression d'un caractère est accomplie par renver- sement de l'ordre de succession dans lequel certains des mécanismes sont actionnés à partir de celui qui est employé dans le cas-de la manoeuvre normale de la touche de caractère particulière.
Si l'on suppose, par exemple, que la touche "A" a été actionnée par erreur et que le signe correspondant a été imprimé sur le ruban, exposé sur une des roues à caractères et mesuré par l'étrier 37, la touche de suppression est frappée pour envoyer du courant du fil 110, par un fil 171, pour exciter des électro-aimants 172 et 173, ce dernier déplaçant les éléments d'interrupteur de l'interrupteur 131 pour libérer la barre 155. L'électro-aimant 172 déplace cinq éléments d'interrupteur d'un relais vers la gauche. Le déplacement du cinquième élément ouvre l'interrupteur 129, coupant ainsi le courant fourni normalement du fil 128 par l'interrupteur 127.
Le premier et le deuxième éléments connectenles fils 141 et 7a, de sorte que du courant sera fourni aux roues à caractères 107 lors- que la touche "A" est frappée pour fournir du courant par le fil 7a. Le troisième et le quatrième éléments d'interrupteur connectent le fil 122 au côté gauche d'un relais polarisé 174, de sorte que, quand la touche "A" est frappée,du courant sera fourni non seule- ment au relais polarisé 123, afin de fermer l'interrupteur 124, mais aussi, par le même fil 122, au relais 174, afin de fermer un inter- rupteur 175.
Aussitôt que la touche de suppression a été frappée, et pendant qu'elle est maintenue, la touche "A" est actionnée pour fournir du courant au relais 123 et, par les éléments d'interrupteur 3 et 4 actionnés par l'aimant 172, au relais polarisé 174 pour fermer 1!interrupteur 175. Ce dernier interrupteur est connecté directement
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à la canalisation d'amenée de coupant 128 de sorte que du oourant est fourni immédiatement pour enclencher l'embrayage 50 et, par le fil 130, l'interrupteur 131 et un fil 176, à un électro-aimant 177 actionnant un encliquetage.
Le fonctionnement de cet aimant attire vers le bas une barre 178 portant un oliquet à ressort pour faire tourner une roue à rochet 179 d'un pas, Cette roue à rochet est fixée à un groupe arbre-roue dite à chaîne ou tambour denté représenté dans la partie supérieure de droite de la figure 1, pour déplacer le ruban pas à pas vers la droite. Le oliquet de la barre 178 est normalement dégagé de la roue à chaîne, de sorte que le ruban peut être déplacé faoilement en sens inverse par les moyens décrits plus haut.
Un interrupteur 180 est associé à la barre 178 de telle ma- nière qu'au moment où la barre a été tirée vers le bas en décri- vant approximativement sa course complète, elle amène l'élément d'interrupteur contre un contact connecté au fil 176, de sorte que du courant est fourni du fil 176, par un fil 181, à l'aimant d'application des signes, 26, numéroté 6, qui est mis séparément à la terre et appliqué un signe de suppression représenté par un seul point immédiatement au-dessous du signe à supprimer, c'est-à-dire le signe pour "A". Du oourant fourni au fil 176 est envoyé simultanément par un fil 181 aa un électro-aimant 181b qui ouvre un interrupteur normalement fermé intercalé dans le circuit à la terre des aimants d'application des signes, 26, numérotés de 1 à 5, de manière à ne pas réappliquer le signe du caractère que l'on supprime.
Après que la touche de suppression et la touche "A" ont été frappées et lâchées, le relais polarisé 174 maintient l'interrup- teur 175 fermé et l'embrayage 50 enclenché jusqu'après l'aotion- nement de l'embrayage 56, qui est excité à la libération de la touche "A".
Lorsque le bras de l'embrayage 56 déplace le levier 51 et l'étrier 37 d'un pas vers la gauche et ferme aussi l'interrupteur
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60, du courant sera fourni, par l'interrupteur 60 et un fil de connexion 182, au côté droit du relais polarisé 174 pour ouvrir par traction l'interrupteur 175 et débrayer ainsi l'embrayage 50.
Du courant venant du fil 125 par l'interrupteur 60 change ausii le relais 123 pour ouvrir l'interrupteur 124 et fermer l'interrup- teur 127 de sorte que les électro-aimants 62 et 156 seront excités.
Le ruban 124 est déplacé d'un pas vers la gauche.
Au cours de ces opérations, l'embrayage 50 est désaimanté avant que l'aimant 62 soit exalté pour tirer le levier 51 dans sa position normale. On comprendra que les moteurs 52 et 55 sont actionnés par la manoeuvre de la touche "A" de telle manière que le levier 51 vienne en contact avec la cheville correcte, ce qui est mesuré dans ce cas par le mouvement du leviér de sa butée jusqu'à la cheville. Dans ce cas particulier, le cylindre à che- villes ne sera pas mis en mouvement parce que le signe de carac- tère supprimé était le dernier signe enregistré sur le ruban.
La touche de dégagement est la touche représentée tout en bas de la figure 10, et, quand elle est frappée, du courant est fourni du fil 110, par un fil 183, au mécanisme représenté près du coin inférieur de droite de la figure. Le fil 183 est connecté à l'embrayage 92 et au moteur 91, également représenté à la figure 1 et employé pour faire avancer le ruban 24 suffisamment pour dégager l'appareil de la ligne composée sur le ruban en faisant tourner l'arbre 28. Toutefois, cette opération n'a pas lieu avant que l'arrivée de courant à l'électro-aimant 156 soit inter- rompue, de sorte que la barre d'enoliquetage 155 est libérée. Ceci est effectué par l'ouverture d'un interrupteur intercalé dans le fil,reliant les aimants 62 et 156, ouverture provoquée par un électro-aimant 184 connecté au fil 183 par un fil d'embranchement 183a.
Lorsque le moteur 91 commence un tour, le bossage de la came 92a permet à l'interrupteur 92b de se fermer, assurant ainsi l'application d'un courant de maintien au moteur 91 et 4 l'em-
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brayage 92.
Le fil 183 fournit aussi du courant par un fil de connexion 185 aux aimants 49 et 69 de desserrage de frein, représentés à la figure 1, déclenchant ainsi les ressorts d'horloge contenus dans les boites 46 et 65, de sorte que l'étrier 37 est amené rapidement au contact de la butée 42, et l'étrier 38 est déplacé rapidement jusqu'à ce qu'il arrive au contact de la tête 39a, comme cela est représenté à la figure 1. Le courant fourni par la canalisation 185 actionne aussi 1'électro-aimant 88a qui dégage, comme cela est représenté, un arrêt de la roue à rochet 148, de sorte que le moteur 87a, excité simultanément, peut faire tourner le pignon 87 et ramener la plaque 86 dans sa position de départ initiale.
Du courant est aussi fourni du fil 183 par un fil d'embranchement 183b à un électro-aimant 186, qui ferme un interrupteur y associé, pour fournir du courant du fil 128 au fil 141 conduisant aux roues à caractères 107, de sorte que toutes les roues sont amenées au blanc ou espace lorsque l'étrier 37 se déplace jusqu'à sa butée 42.
Après que la touche de dégagement a été lâchée, l'interrupteur de maintien 92b maintient du courant appliqué aux électro-aimants 49,69, 88a, 184 et 186, à l'embrayage 92 et aux moteurs 91 et 87a assez longtemps pour que la came 92a fasse un tour complet, et pour permettre l'actionnement de l'équipement nécessaire. Du cou- rant part du fil 116 et retourne par le fil 183 à l'embrayage 92 et les aimants 184 et 186 après que la touche de dégagement a été lâchée.
Lorsque la came ouvre l'interrupteur 92b, tous les électro- aimants et les moteurs qui viennent d'être mentionnés cessent d'être excités,
L'appareil est maintenant prêt à commencer la composition d'une nouvelle ligne de texte.
Dans le fonctionnement de l'appareil tel qu'il est décrit plus
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haut, il est évident que l'étrier 38 plus les dispositifs à coin assemblés contre lui marquent la marge de droite pour toute ligne à composer lorsque l'appareil est dans sa position dégagée, re- présentée à la figure 1. Si, dans la composition d'une ligne, l'é- trier n'était pas déplacé et si la ligne terminée avait juste la longueur voulue, l'étrier 37 viendrait juste au contact du premier dispositif à coin.Tout changement de la longueur de ligne est par conséquent effectué par la butée réglable située à gauche de l'étrier 37.
Lorsque l'on compose certaines lignes de texte, comme par ex- emple deux ou trois mots à la fin d'un paragraphe, une partie considérable de la ligne ne sera pas occupée par du texte. Cette partie sera remplie par un procédé analogue, dans une certaine mesure, à celui qui est employé actuellement, c'est-à-dire par l'emploi de lingots ou lignes-blocs de la largeur d'un m pour compléter la ligne. On effectue ceci, par exemple, en montant les connexions dé l'appareil de telle manière que la touche des chiffres soit actionnée, après quoi l'opérateur actionne la touche "M" pour mesurer les lingots. Lorsque la fin de la ligne est atteinte, la touche de justification est actionnée de la manière habituelle, de sorte que la partie composée de la ligne sera justifiée correctement.
L'appareil imprimeur imprimera naturel- lement un signe de "lingot" sur le ruban pour chaque "lingot".
Le ruban ou bande employée pour faire l'enregistrement peut être de toute largeur désirée et en fait il peut être relativement large.
Toutefois, il y a avantage à le constituer d'une matière plas- tique claire lavable de façon que les points ou autres signes imprimés puissent être enlevés facilement par lavage et que le ruban puisse être remployé. On peut employer du papier vélin, de la cellulose transparente,ou une autre matière en pellicule de fa- @ çon que dans l'appareil photographique une lumière puisse être-- projetée à travers la bande et que les divers signes et barres
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puissent être lus par l'appareil de lecture ou d'exploration des signes.
Les points ou les trous poinçonnés constituant les signes tels que ceux qui sont représentés sur le ruban à la figure 1 et employ- és pour les divers caractères peuvent correspondre à des systèmes de signes similaires employés antérieurement ou bien n'importe quel cede désiré ; peut être employée mais il va de soi que les signes en forme de barrer, dont certains, comme par exemple, la barre de justification ou d'espace, peuvent varier en longueur d'une ligne à l'autre, sont une mesure réelle de l'espace ou représentent cette mesure. Dans l'emploi du ruban d'enregistrement, le signe en forme de barre indiquant la dimension de type est employé pour actionner un mécanisme associé à l'appareil photogra- phique, de manière qu'il soit mis au point pour donner la dimen- sion de type désirée.
On comprendra que le ruban d'enregistrement i comprend un signe convenu pour chaque espace et que lorse ce signe actionne l'appareil de reproduction,l'espace est mesurée conformé- ment à la longueur de barre de justification pour cette ligne particulière de texte.
Bien que le signe de justification soit représenté sous la forme d'une barre, celle-ci peut avantageusement être accompagnée d'un point ou d'un signe poinçonné comme moyen de commande pour provoquer le fonctionnement du mécanisme de mesurage des espaces de l'appareil photographique.
Les électro-aimants 26 peuvent être employés pour poinçonner des signes dans le ruban ou bande d'enregistrement au lieu d'y imprimer des points, et l'on peut en employer un nombre plus grand que celui qui est représenté pour prendre soin des signes conte- nant plus de cinq points ou pour appliquer d'autres signes de commande au-dessous des signes de caractères normaux.
On considère que l'on peut employer jusqu'à neuf positions de signes de commande espacés verticalement. L'appareil a été décrit à propos de l'application d'un signe de longueur de ligne
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au ruban.
Ceci, toutefois, n'est pas nécessaire puisque la longueur de ligne est déterminée par la position de l'organe 42 qui déterm ne l'espace libre entre les étriers 37 et 38 dans leurs positions de départ.
Par conséquent, le clavier est réglé par cette longueur et l'appareil photographique reproduit la même longueur sans l'inter- vention d'un signe.
Le clavier peut être muni d'une sonnerie de signalisation en plus de l'organe 103 de façon que l'opérateur sache sans regarder lorsque la fin de la ligne approche. Toutefois, l'opéra- teur suivra habituellement les roues à caractères 103, qui sont de petits moteurs Selsyn à courant continu. L'appareil est dispo- sé pour être actionné par du courant continu, et la plupart des éléments et des mécanismes actionnés électriquement employés dans l'appareil peuvent être achetés sur le marché.
L'appareil photographique destiné à faire usage du ruban d'enregistrement préparé conformément' à la présente invention comprend certains mécanismes qui sont semblables à ceux qui sont décrits plus haut. Par exemple, le mécanisme de mesurage des caractères peut être le même dans l'essentiel, de sorte qu'un cylindre à chevilles et l'appareil y associé sont employés pour déplacer le négatif photographique de la largeur du caractère particulier à photographier.
La description qui précède permettra aux spécialistes du métier de comprendre faoilement que certaines modifications peuvent être apportées dans les dispositions de connexions illus- trées par les dessins et que la construction des mécanismes peut aussi être changée ou employée sous une forme différente.
Ces changements et ces modifications sont considérés comme entrant dans l'esprit et le cadre de l'invention telle qu'elle est définie par les revendications ci-annexées.