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" Machine à composer photographique actionnée par un enregistrement ".
La présente invention est relative à des perfectionnements aux appareils servant à composer photographiquement des lignes justifiées de texte destinées à être employées pour faire des clichés ou plaques pour presses offset, presses à caractères, presses photo-lithographiques et autres types de presses ou d' impression.
Plus particulièrement, l'appareil ou machine selon la pré- sente invention est conçue pour être actionnée automatiquement
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par une bande ou ruban d'enregistrement contenant des signes ou signaux convenus représentant le texte et des éléments de commande tels que ceux qui sont produits par la machine décrite et revendiquée dans la demande de brevet belge N P. V. 376.884 déposée le 3 septembre 1948. La machine selon la présente inven- tion peut employer des bandes d'enregistrement qui diffèrent quelque peu de celle qui est révélée dans cette demande.
Bien qu'un certain nombre de machines différentes du type en question aient été proposées, on n'a pas connaissance qu'au- cune d'elles ait obtenu une situation utile ou commerciale.
Certaines des difficultés que présentent les machines pro- posées antérieurement sont les frais de fabrication élevés, des dispositions mécaniques complexes et l'incapacité de justifier et de déterminer les largeurs des caractères avec précision.
Les brevets auxquels il est fait allusion plus haut décrivent les buts et traits généraux de machines à composer photographi- quement du type en question, et le brevet le plus récent cite certains désavantages par rapport aux machines proposées anté- rieurement.
Un certain nombre de problèmes sont impliqués par la fa- brication et l'emploi de machines de ce type. L'un d'eux con- siste à fournir des moyens ou dispositifs automatiques satis- faisants pour la traduction du signal de justification d'une bande d'enregistrement et son mesurage précis pendant l'opéra- tion de photocomposition. Un autre problème consiste à fournir un mécanisme qui soit suffisamment rapide, souple et précis pour déterminer les valeurs d'espace des caractères, des signes- de ponctuation et des autres éléments employés comme texte.
Pour qu'une machine soit satisfaisante, elle doit donner des résultats proches de celui qui est obtenu par des compositeurs habiles.
Le trait principal de la présente invention consiste à fournir une machine à photocomposer automatique qui puisse être
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actionnée par une bande d'enregistrement, qui soit rapide et précise et qui puisse être fabriquée à un prix permettant 1' usage commercial de l'appareil.
En conséquence, le nouvel appareil perfectionné comprend une combinaison de mécanismes entièrement automatique actionnée électriquement, qui comprend un support mobile ou table mobile pour tenir une feuille sensibilisée sur laquelle les éléments pour la composition typographique sont projetés photographique- ment, un mécanisme pour mouvoir le support latéralement de 1' espace exact pour chaque caractère ou élément de composition sous l'influence de signaux reçus d'une bande d'enregistrement portée à travers l'appareil et manipulée par lui, un mécanisme automatique séparé pour déplacer ledit support latéralement sous l'influence d'un signal d'espace, un mécanisme sensible à une représentation de longueur d'espace sur le ruban pour régler la largeur des espaces,
et un mécanisme photographique comprenant une plaque à caractères pour projeter des images d'éléments de composition typographique sur la feuille photo- sensible reposant sur le support de feuille ou table.
Un trait important de l'invention comprend un mécanisme électronique pour déterminer d'après le signal de longueur d' espace justifiée sur le ruban d'enregistrement le réglage du mécanisme d'espacement en actionnant le support pour la feuille sensibili sée. Le mécanisme de commande des espaces renferme des moyens pour utiliser une source lumineuse pour prendre le mesurage des espaces du ruban d'enregistrement.
L'appareil comprend un mécanisme électrique de lecture pour les signaux des éléments de composition typographique por- tés par le ruban d'enregistrement et pour provoquer, à son tour, l'actionnement des divers éléments de l'appareil en question, y compris le choix de l'élément typographique à photographier, le fonctionnement de l'appareil photographique ou chambre noire, et la mise en position du support pour la feuille sensibilisée ,
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sur laquelle les éléments de composition typographiques sont projetés.
L'appareil selon l'invention est conçu pour manipuler le ruban d'enregistrement et produire la. composition photographi- que à une allure très rapide. Il présente comme avantages de pouvoir être employé pour divers types d'impression, ce qui fait que l'on peut employer des photographies de la composition par des méthodes bien connues dans les types d'impression dont il est fait mention plus haut. Puisqu'il n'est pas nécessaire de manipuler ou d'employer des caractères, les photographies ou les clichés qui en sont faits seront très commodes à manipuler et à mettre en réserve. En fait, l'enregistrement photographique complet pour un livre, par exemple, peut être gardé dans un es- pace de mise en réserve extrêmement petit, en comparaison du poids et de l'espace impliqués par la. conservation des clichés à caractères classiques pour le même livre.
La machine perfectionnée selon l'invention comprend d'au- tres particularités et avantages qui seront décrits plus en dé- tail ci-après en liaison avec les dessins ci-annexés, qui font partie de la présente demande.
Sur les dessins :
La figure 1 est une vue en élévation de face, après bri- sure, d'une partie d'une machine à composer photographique cons- truite conformément à la présente invention, dans laquelle de nombreux éléments de la machine sont représentés schématiquement.
La figure 2 est une vue en bout en élévation, après bri- sure, montrant la partie supérieure de l'appareil de la figure 1, obtenue en regardant de gauche à droite.
La figure 2a est une vue agrandie de l'insertion ou pièce rapportée de caractère pour la lettre " F ".
La figure 3 est une vue partielle en élévation en bout prise de la gauche de l'appareil représenté à la figure 1 et illustrant plus particulièrement le mécanisme pour mesurer la
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largeur des éléments typographiques et pour actionner le sup- port pour la feuille sensible.
La figure 4 est une vue de détail, à plus grande échelle, prise suivant la ligne 4 - 4 de la figure 1, illustrant un des éléments de lecture des signes qui agit sur la bande d'enregis- trement.
La figure 5 est un schéma de circuit montrant une forme préférée de circuit avec certains des mécanismes qui s'y rappor- tent, construite et disposée conformément aux particularités de l'invention.
Dans un appareil de ce type, on comprendra que des modi- fications peuvent être apportées dans les détails de construc- tion. Toutefois, en général, l'appareil tel qu'il est désigné plus haut, et tel qu'il est représenté à titre explicatif sur les dessins, comprend un mécanisme pour produire une composition photographique à partir d'une bande d'enregistrement préparée antérieurement contenant des signaux représentant les divers éléments de la composition, les espaces, et les commandes espa- cées de largeur et les autres commandes. L'appareil est complè- tement automatique et est actionné électriquement par une dis- position électrique relativement simple comprenant le circuit, des types de relais classiques et des mécanismes d'actionnement.
Bien que tous les mécanismes d'actionnement fonctionnent en corrélation et en synchronisme les uns par rapport aux autres, la plupart des éléments d'appareil de chacun d'eux peuvent être commodément décrits séparément et ensuite en rapport avec un exemple illustratif.
MECANISME DE MANIPULATION DE LA BANDE D'ENREGISTREMENT.
Sur la figure 1 des dessins, on voit une bande d'enregis- trement 10 préparée antérieurement et contenant des signes ou signaux représentant les caractères et/les espaces et d'autres signaux, qui est déplacée le long d'une glissière 11 ouverte vers l'avant et ayant un dos en métal. La bande présente les
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habituelles fentes ou trous marginaux: par lesquels son déplace- ment est effectué par un rouleau 12 qui est actionné par un moteur 13. Une barre 14 de matière isolante montée sur le de- vant du bâti de l'appareil porte une série verticale de contacts ou unités de lecture de signaux, numérotés de 1 à 9 de haut en bas.
Comme cela est montré sur la figure 4, chacun de ces con- tacts comprend une vis connectant un fil conducteur à un res- sort métallique 15 porté par un bloc en métal de la manière re- présentée. Le ressort 15 repose sur la bande d'enregistrement 10 et pénètre dans la perforation de signal pratiquée dans cette bande pour venir en contact avec le dos métallique, mis à la terre, de la glissière 11 pour compléter un circuit électrique.
La bande d'enregistrement 10, telle qu'elle est représen- tée et telle qu'elle est employée, comprend avantageusement une pellicule ou bande cellulosique transparente et, comme elle est représentée, elle est perforée dans sa partie supérieure pour les signaux représentant les caractères. Par exemple, la rangée pour verticale de perforations 16 représente le signala' A ", 4¯ et 5; la rangée 17, le signal pour " N ",1 et 5; et la rangée 18, le signal pour Il D ",3 et 5. Le signal pour chaque caractère com- prend aussi une fente plus longue actionnant le contact de signal 8. Le signal suivant à la gauche de " D " à la figure 1 est destiné à " l'espace " 2,3 et 4.
Le signal 19 est un signal de justification .et la longueur de la ligne noire 20 à droite représente la mesure de l'espace justifiée pour la ligne de re- présentationstypographiques se succédant vers la gauche à com- mencer par A ".
La bande d'enregistrement 10 se déplace vers la droite à la figure 1, de sorte que pour toute ligne donnée de composition à photographier,les premiers signaux sur lesquels on doit agir sont la ligne noire de longueur d'espace 20 et le signal de justification 19. La perforation de signal 19 permet l'excita- tion du contact 9 tandis que la ligne noire 20 est portée par
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le ruban à travers un mécanisme de commande d'espace justifiée comprenant une paire de tubes électroniques sensibles à la lu- mière SI, dont un est représenté en avant du ruban d'enregistre- ment à la figure 1. Cet appareil de commande est représenté complètement à la figure 5 et sera décrit en détail par la suite.
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'i, CiUJISM4 DE MESURE DES CA..1:tACT.GRES OU 17: MISE EN POSITION.
Le bâti de l'appareil tel qu'il est représenté à la figu- re 1 comprend une paire de panneaux latéraux espacés 22 et 23 raccordés par un panneau de bâti transversal 24 à la partie su- périeure, par une barre ou panneau 25 dans le bas et par une glissière 26 en une position intermédiaire. Cette dernière barre est montée en avant d'une vis sans fin 27 qui est portée par les panneaux latéraux 22 et 23 et est montée dans ceux-ci pour tourner. Une table ou support 28 pour la feuille sensible est supporté et actionné par la vis sans fin 27 au moyen d'un étrier ou chape taraudée 29 qui est vissée sur la vis sans fin. La ta- ble 28 est aussi supportée par un rouleau 30 qui roule sur la glissière ou traverse horizontale 26.
La table peut être sup- portée d'une autre manière par un ou plusieurs rouleaux supplé- mentaires, non représentés, qui reposent sur une traverse sem- blable à la traverse 26. Un guide 30a porté par la table 28 est également en prise avec la traverse 26.
La table 28 est déplacée latéralement sous l'appareil photographique par rotation de la vis sans fin 27, et la table porte un porte-papier mobile 31 qui peut être avancé à mesure que la composition progresse. La disposition est appropriée à la production d'une photographie positive, puisque, à mesure que les éléments typographiques sont imprimés sur la feuille sensible en une ligne donnée, la table 28 se déplace vers la droite.
Lorsque la ligne est finie, la table 28 est rentrée pour la photographie de la ligne suivante, et donc ramenée en arrière jusqu'à un point proche du panneau latéral 22 du bâti, où une cheville réglable 32 entre en contact avec une cheville
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d'encliquetage 33 pour actionner un pignon 34 porté par la ta- ble et une crémaillère 35 sur la face inférieure du porte-papier 31 pour le faire avancer d'une ligne. La table est amenée à une position d'arrêt prédéterminée par une butée ou arrêt 36 porté par le panneau 22. La pièce 32 est, avantageusement, réglable de manière à commander ou régler la course du cliquet 33 et par conséquent l'espacement des lignes de la composition.
La butée 36 est également réglable.
La vis sans fin 27 est actionnée pour déplacer la table 28 vers la droite, pas à pas, selon la largeur des éléments typo- graphiques de la composition, par un mécanisme d'avancement pas à pas actionné électromagnétiquement, qui est monté sur la face extérieure du panneau 22. Un type similaire de déplacement pour les largeurs d'espaces justifiées de la composition est effec- tué par un mécanisme quelque peu similaire monté sur la face extérieure du panneau 23, étant entendu évidemment, que la vis sans fin 27 est retenue en position fixe dans le sens axial de sorte que la table 28 est déplacée par l'étrier taraudé placé sur la vis sans fin.
Les deux mécanismes d'actionnement de la vis sans fin ont des éléments d'embrayage électromagnétique actionnés par un moteur 37 fixé au bâti et disposé pour comman- der un arbre horizontal 38 à l'extrémité de droite duquel est fixé un disque d'embrayage 39, et à l'extrémité de gauche du- quel est fixé un disque d'embrayage similaire 40.
Le dispositif destiné à faire tourner la vis sans fin 27 pour rentrer la table 28 jusqu'à sa position d'arrêt comprend un ressort d'horlogerie ou ressort spiral classique 41 fixé à l'extrémité prolongea de gauche de l'arbre de la vis sans fin et monté dans une boîte 42 fixée sur la face extérieure du pan- neau 22. Lorsque la vis sans fin est actionnée dans un sens tel que la table est déplacée vers la droite, le ressort spiral est bandé de façon que lorsque la vis sans fin est libérée il fait tourner la vis de manière à déplacer la table vers la
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gauche. Normalement, la rotation de la vis sans fin sous l'ac- tion du ressort spiral est empêchée par un levier de frein 43 actionné par un ressort et s'appuyant sur un tambour de frein 44 fixé à l'arbre de la vis sans fin.
Le frein est desserré par un électro-aimant 45 lorsqu'une ligne est achevée et que la table 28 doit être ramenée en arrière.
Certains de ces éléments sont représentés plus complète- ment à la figure 3 des dessins en liaison avec un autre méca- nisme coopérant au fonctionnement de la vis sans fin 27.
Le tambour de frein 44 qui est fixé à l'arbre de la vis sans fin sert de disque d'embrayage d'un embrayage électromagné- tique associé à l'arbre et qui comprend un moyen d'embrayage 46, qui, lorsqu'il est mis en rotation par un bras 47 y fixé, fait tourner le tambour 44 en surmontant l'action du bras de frein 43 et du ressort 41, pour faire tourner la vis sans fin 27 qui, à son tour, déplace la table 28 pas à. pas. Le levier 47 est pourvu d'une tête semblable à une enclume ayant une pointe 48 dont il est fait usage en combinaison avec le bord opposé du levier pour mesurer la distance dont la table 28 est déplacée en un Pas, distance qui correspond au caractère ou élément typo- graphique particulier imprimé sur la feuille sensible.
La pointe 48 du levier est destinée à venir en contact avec une cheville de caractère sur un cylindre 49, portant des rangées verticales et horizontales de chevilles de caractère 50.
Lorsque le signal représentant un élément typographique particulier met l'appareil en action, le cylindre à chevilles 49 est actionné pour présenter la cheville correcte 50 en re- gard de la pointe 48. Le cylindre à chevilles 49 est monté axi- alement et claveté sur un arbre 51 pour pouvoir être déplacé verticalement sur lui et tourner avec lui. L'arbre 51 est en- traîné par un moteur 52, qui est un moteur de mise en position destiné à mettre la rangée verticale de chevilles correcte en regard de la pointe 48 du levier 47. Le cylindre à chevilles
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49 est déplacé verticalement sur l'arbre 51 par un bras 53 porté par une crémaillère mobile verticalement 54 pouvant coulisser verticalement sur le panneau 22, comme cela est montré plus com- plètement sur la figure 1.
Cette crémaillère est actionnée par un pignon 55 fixé à l'abred'un moteur de mise en position 56 qui est destiné à mettre le cylindre à chevilles 49 en position telle qu'il présente la rangée horizontale de chevilles correc- te en regard de la pointe 48 du levier.
Le levier 47 est normalement placé contre un arrêt ou bu- tée réglable 57 et est maintenu dans cette position par un élec- tro-aimant 58. Le mouvement du levier 47 entre la butée 57 et l'une de chevilles 50 constitue une mesure de la largeur de la lettre ou caractère particulier représenté par la cheville, et le déplacement du levier à partir de la cheville jusqu'à la bu- tée fait tourner la vis sans fin 27 sur la distance convenable pour mettre la table 28 exactement au-dessous de l'appareil photographique.
L'actionnement du levier 47 est effectué par le moteur 37 et le disque d'embrayage 40 y associé lors de l'excitation d'un embrayage magnétique 59 monté près du disque 40 et associé à celui-ci. L'embrayage 59 porte un bras 60 qui peut tourner dans le sens des aiguilles d'une montre ( sens dextrorsum ) avec l'embrayage pour venir en contact avec le levier 47 et le déplacer de manière que la pointe 48 vienne en contact avec la cheville 50 choisie du cylindre à chevilles 49. Ce mouvement actionne un bouton-poussoir 61 d'un interrupteur 62 pour fermer celui-ci. Un deuxième interrupteur 63 est monté sur le bras 60 et est normalement maintenu fermé par l'action d'une butée 64 et d'un ressort 65 qui tire le bras 60 dans le sens senestrorsum.
La butée 57 représentée sur la figure 3 peut être réglée par un moteur 66, qui est un moteur de mise en position, norma- lement connecté à un dispositif à signaux de commande de la lar- geur ou du genre ou style des types, non représenté.
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La butée 57 peut évidemment être réglée par une poignée ou bouton à main 66a selon le genre et la largeur de types dé- sirés. D'une manière similaire, différents cylindres à chevil- les 49 peuvent être employés pour des genres de types différents ou pour des fontes de types de largeurs relatives très diffé- rentes.
L'interrupteur 63 porté par le bras 60 commande l'électro- aimant 58 et est donc normalement fermé. Lorsque le bras 60 com- mence à se déplacer et que l'interrupteur 63 s'ouvre, l'aimant 58 cesse d'être excité, de sorte que le bras 47 peut être dé- placé facilement pour entrer en contact avec la cheville cor- recte 50, l'embrayage 46 cessant lui aussi d'être excité.
Lorsque l'embrayage 59 cesse d'être excité et que l'in- terrupteur 63 est fermé, l'aimant 58 tire le bras 47 en arrière pour faire tourner la vis sans fin 27.
On comprendra que le pas de la vis sans fin 27 est en cor- rélation avec la course du bras 47 de manière que la table 28 soit déplacée sur la distance convenable correspondant à la largeur du caractère imprimé sur la feuille sensible. L'opéra- tion est décrite plus complètement à propos de la figure 5.
Les différentes chevilles 50 du cylindre 49 représentent, avantageusement, les différentes lettres de l'alphabet, les chiffres, les signes de ponctuation et d'autres caractères.
Ces chevilles peuvent être toutes de longueurs différentes et une cheville peut servir à mesurer deux caractères ou davantage si ces caractères ont la même largeur. Les chevilles 50 n'ont pas la longueur exacte des caractères particuliers qu'elles mesurent, mais elles saillent de telle sorte que la différence entre les largeurs de deux chevilles quelconques représente la différence entre les largeurs des caractères particuliers. Il ressortira clairement de la nature de l'opération de mesure effectuée par le levier 47 et la vis sans fin 27 que plus la cheville sera courte plus le mouvement de ces éléments sera
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ample.
LE MECANISME D' ESPACEMENT.
Dans la production photographique d'un texte, il est né- cessaire que les espaces entre les mots ou les caractères sépa- rés soient égaux dans n'importe quelle ligne donnée. En consé- quence, l'appareil renferme des moyens ou dispositifs pour ac- tionner la vis sans fin 27 sous l'influence d'un signal d'espa- ce par des contacts 2, 3 et 4 sur le ruban 10. Ce mécanisme est associé à l'extrémité de droite de la vis sans fin 27 et com- prend un disque d'embrayage 67 fixé à l'arbre de la vis sans fin, un embrayage électromagnétique 68, semblable à l'embrayage 46- auquel est fixé un bras 69 dirigé vers le bas .
L'embrayage 68 est disposé par rapport au prolongement de l'arbre de la vis sans fin 27 et au disque d'embrayage 67 de façon telle que lors- qu'il est mis en rotation après avoir été excité, il fait tour- ner aussi le disque d'embrayage 67 et la vis sans fin 27 pour déplacer la table 28 d'un pas vers la droite.
Le bras 69 est déplacé par un bras 70 attaché à un em- brayage électromagnétique 71 monté pour tourner sur l'arbre 38 à proximité du disque d'embrayage 39. Lorsque l'embrayage 71 est excité, il est mis en rotation dans le sens de la flèche marqué sur le disque d'embrayage 39.
Bien que les bras 69 et 70 soient tous deux représentés sur la figure 1 des dessins, leurs rapports et leur mode de fonctionnement sont montrés plus complètement dans le coin gau- che inférieur de la figure 5 des dessins, sur laquelle les bras et d'autres éléments y associés sont représentés tels qu'on les voit en regardant de la gauche à la figure 1.
Le bras 70 porte un interrupteur 72 à bouton-poussoir maintenu normalement fermé contre une butée 73 par un ressort comme cela est montré. Le bras 70 porte aussi un interrupteur 74 à bouton-poussoir, dont le bouton vient en contact avec l'extrémité inférieure du bras 69 de sorte que lorsque le bras
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.70 agit sur le bras 69, l'interrupteur 74 est fermé.
Le bras 69 est normalement maintenu en position fixe contre une butée 75 par un électro-aimant 76 contrôlé par l'interrupteur 72 de sorte que lorsque le bras 70 commence à se déplacer vers l'a- vant à la figure 1, ou vers la droite à la figure 5, l'inter- rupteur 72 est ouvert, l'électro-aimant 76 cesse d'être excité, et le bras 69 peut se déplacer dans le sens senestrorsum.
Toutefois, ce mouvement est limité à une amplitude prédétermi- née par un bras 77 attaché au bras 69 ou à l'embrayage 68 et entrant en contact avec une butée réglable 78, dont la position est réglée par la barre de justification 20 portée par la bande d'enregistrement, d'une manière décrite ci-après.
Après que le bras 77 est entré en contact avec la butée 78, l'embrayage 68 est excité de manière à être accouplé avec le disque d'embrayage 67 et, par conséquent, à faire tourner la vis sans fin 27 lorsque le bras revient contre la butée 75, et à déplacer la table 28 vers la droite de la largeur de l'espace justifiée.
:lE MECANISME PHOTOGRAPHIQUE.
Le mécanisme pour mettre les caractères en position et les photographier est représenté sur les figures 1 et 2. Sur la figure 1, un panneau ou pièce en forme de bras 79 s'étendant vers le haut et espacée, vers l'arrière, de la traverse 24, porte un panneau horizontal 80, figure 2, sur lequel est monté une chambre lumineuse 81 destinée à contenir la source lumineuse destinée à la projection d'éléments typographiques. Directement au-dessous du panneau ou table 80 est monté un arbre 82 à rota- tion axiale d'un moteur 83. Une plaque principale arquée à ca- ractères 84, est portée par un châssis 85 attaché à un manchon à crémaillère 86 monté pour coulisser sur l'arbre 82. Le man- chon à crémaillère 86 est actionné par un moteur 87 et un pignon 88.
Le châssis 85 porte aussi une plaque principale perforée de mise en position 89 immédiatement à gauche de la plaque
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principale à caractères 84.
La plaque 84 est percée de plusieurs rangées, dans des sens opposés, d'ouvertures carrées dans lesquelles des pièces rapportées 90 en matière transparente sont montées, chaque pièce rapportée étant noircie à l'exception de la représenta- tion de caractère qui y est formée. Par exemple, la pièce rap- portée à caractère supérieure de droite 90 montrée sur la fi- gure 2 peut être la lettre minuscule " a " et toutes les fenê- tres situées en dessous le long de la plaque arquée peuvent être des minuscules. La rangée suivante peut être composée des lettres majuscules correspondantes ; la troisième rangée, de chiffres et d'autres éléments typographiques tels que des signes de ponctuation, etc..
La plaque porte avantageusement un( autre jeu ou ensemble de trois rangées de pjLèoes rapportées à carac- tères italiques. Par exemple, la quatrième rangée de la plaque peut être composée de minuscules italiques; la cinquième ram- ou rangée gée , de majuscules italiques; et la dernière rangée/de gauche de la plaque 84 peut être composée de chiffres ou d'autres ca- ractères italiques.
La plaque de mise en position 89 est une plaque métal- lique d'une dimension correspondant approximativement à celle de la plaque 84 et présente un ensemble de trous de mise en position qui correspondent exactement aux différentes images de caractères ou pièces rapportées 90 de la plaque principale à caractères 84. Lorsque les moteurs 83 et 87 mettent le châs- sis 85 en position en concordance avec un signal à partir de la bande d'enregistrement, un électro-aimant 91 est ensuite excité pour presser une cheville à pointe conique 92 dans le trou approprié de la plaque 89 et de ce fait établir un régla- ge final dans la mise en position de la plaque principale à caractères 84. Le mécanisme associé à l'électro-aimant 91 et à la cheville 92 renferme un interrupteur 93 monté sur le le- vier actionné par l'éleotro-aimant 91.
Cet interrupteur est
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normalement ouvert, et après que le bout de la cheville 92 a mis la plaque 89 en position, la continuation de l'application de force par l'aimant 91 comprime un ressort 94 pour fermer l'interrupteur 93, qui excite un électro-aimant 94 disposé pour actionner l'obturateur de l'appareil photographique pour imprimer le caractère choisi sur la feuille sensible ( voir les figures 1 et 5 ).
Le châssis 85 et la plaque principale 84 portée par lui fonctionnent sous une chambre lumineuse 96 abritant une lentille condensatrice à travers laquelle la lumière passe de la chambre 81 pour projeter l'image lumineuse de l'élément typographique choisi à travers une fermeture 97 à soufflet extensible, un ob- turateur et un logement d'objectif der projection,98, comme cela est montré sur la figure 1, On remarquera que le logement de l'objectif et de l'obturateur est placé directement au-dessus d'une partie du support 31 sur lequel la feuille photosensible est maintenue.
Le logement 98 de l'objectif de projection et de l'obtu- rateur est porté par une plaque 99 fixée à la partie inférieure d'une paire de crémaillères 100 placées dans des tubes de gui- dage 101 fixés à la face inférieure de la traverse 24. Les cré- maillères 100 sont actionnées par des pignons 100a montés sur un arbre de moteur actionné par un moteur 102 ou une poignée ou bouton à main 102a. Le déplacement de l'objectif de projec- tion et de l'obturateur dans le logement 98 vers le haut ou vers le bas change la dimension de la représentation de carac- tère obtenue sur le papier photographique, comme cela est bien compris par les spécialistes de cette technique.
Certains des éléments de l'appareil photographique tels que le système d'ob- jectif et le mécanisme de l'obturateur ne sont pas représentés, puisque ces structures sont classiques même dans un appareil de ce type général.
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MECANISME DE COMMANDE DE JUSTIFICATION.
Le mécanisme pour mettre en position la butée 78 est représenté schématiquement au-dessus du mécanisme destiné à actionner la vis sans fin 27 lorsqu'un signal d'espace de la bande d'enregistrement actionne l'appareil. Cette représenta- tion est schématique et n'est pas disposée nécessairement com- me elle le serait sur la figure 1 des dessins.
A la figure 5, la bande d'enregistrement 10 est représen- tée dans la position qu'elle occupe lorsque la marque de justi- fication 20 est réglée pour l'actionnement des commandes qui règlent la position de la butée 78 pour mesurer les espaces pour une ligne justifiée de texte. La butée 78 est montée pour un mouvement vertical sur une pièce coulissante comprenant une feuille ou barre transparente 103 sur laquelle est imprimée une barre ou ligne noire 104, la barre 103 étant fixée à un man- chon taraudé 105 comprenant une partie de la pièce coulissante et agissant sur un arbre fileté 106 d'un type spécial de mo- teur à coupe d'entraînement 107. La pièce coulissante comprend des nervures ou languettes opposées 108 qui coulissent dans des fentes verticales du bâti,
mais peut aussi comprendre d'au- tres types de moyens de guidage.
Une lampe électrique est montée dans un logement 109 im- médiatement entre la bande d'enregistrement et la feuille 103, à l'extérieur de chacune desquelles est monté un tube photosen- sible à remplissage gazeux 81 de type connu, par exemple RCA N 923. Le logement 109 de la source lumineuse et les tubes 21 sont pourvus d'abat-jour 110 pour le passage de la lumière de manière que la lumière soit envoyée du logement 109 par des fentes verticales, dans des fentes correspondantes des abat- jour des tubes 21.
Comme la lumière pour les deux tubes 21 vient de la même lampe électrique contenue dans le logement 109, une comparaison très précise peut être obtenue entre la barre de longueur de justification 20 et la barre ou ligne de
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comparaison 104.
Les tubes 21 sont connectés dans un système de circuit électronique comprenant une paire de tubes thyratrons 111, un transformateur 112, un condensateur 113 et des résistances ré- glables 114 et 115. Ces résistances sont employées pour équi- librer les tubes 21, qui sont connectés aux thyratrons 111 cor- respondants, comme cela est indiqué. Les tubes 21 sont tous deux intercalés dans le circuit du transformateur 112, du con- densateur 113 et d'un des conducteurs 116 de distribution de courant. Du courant alternatif est fourni au système de comman- de par les canalisations 116, desquelles du courant de phase un passe directement au moteur 107.
Toutefois, ce moteur est commandé par du courant de phase deux. du transformateur 112, dont une canalisation comprend un condensateur 117 qui déphase de 90 degrés le courant arrivant au moteur 107; le courant ve- nant du transformateur 112 est monophasé mais est déphasé de 90 degrés.
Lorsque le ruban d'enregistrement se déplace à travers la machine et que la barre de justification 20 passe entre les fentes à lumière du logement de la lampe 109, et le tube 21 vers la droite, la quantité de lumière passant par la fente au- dessus de la barre est enregistrée dans le tube photosensible 21, qui agit sur le thyratron 111 inférieur pour actionner le moteur 107, qui, à son tour, amène la barre noire 104 à la même hauteur que la barre 20, ou la déplace jusqu'à ce qu'il passe au-dessus de la barre 104 la même lumière qu'au-dessus de la barre 20. Lorsque la lumière est égale et que le moteur 107 s'arrête, le réglage est complet et la butée 78 occupe une po- sition telle qu'elle règle la largeur d'espace pour la ligne de texte qui suit sur le ruban 10.
EMI17.1
SCIU.U, DES COl\ll\fE"1#ONS ET MODE DE CICTIyïT DE L'APPAREIL.
Le schéma des connexions montré sur la figure 5 a été
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@ disposé pour montrer la disposition des circuits et pour il- lustrer le fonctionnement de l'appareil d'une manière aussi simple que possible. En conséquence, au lieu de représenter un certain nombre de fils connectés à une source de courant continu, des signes plus sont employés en divers points du schéma des connexions pour indiquer le fait que du courant con- tinu est fourni en ces points particuliers. De nombreux symbo- les de mise à la terre sont également représentés dans l'ensem- ble du schéma.
Lorsque l'interrupteur principal, non représenté, est fermé, du courant continu est fourni à l'appareil, et la mo- teur 13 destiné à actionner la bande d'enregistrement 10 com- mence à faire avancer la bande à travers l'appareil comme cela est montré sur la figure 1. A la figure 5, la bande d'enregis- trement 10 est avancée à partir de la face du papier jusqu'à ce que la barre noire 20 arrive entre la chambre lumineuse 109 et le tube photosensible 21 de droite, et le signe de justifi- cation 19 prend le connecteur de signal 9 pour fermer un cir- cuit. Le moteur 13 est mis à la terre et, en conséquence, du courant est fourni à partir du côté droit d'un relais polarisé 120 dès que l'interrupteur principal est fermé.
Le circuit fer- mé par le contact de signal 9 envoie du courant par un fil 121 à la terre en passant par la plaque 11, un interrupteur 122 et un fil 123, un électro-aimant 124, qui, avec l'aide d'un ressort 125,actionne un interrupteur de changement de circuit à encliquetage 126. Cet interrupteur 126, comme cela est montré, maintient le relais polarisé 120 pour fournir du courant au moteur 13 jusqu'à ce que l'électro-aimant 124 soit excité, et alors l'interrupteur 126 est changé pour connecter le relais polarisé 120 de sorte que du courant est fourni à partir du côté opposé, en passant par un fil 127, à un moteur 128 qui actionne une came et ouvre l'interrupteur 122.
La rotation de la came par le moteur 128 ouvre l'interrupteur 122 et ferme
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l'interrupteur situé directement en dessous pour fournir du courant par un fil 129 pour allumer une lampe dans le logement
109.
On notera que le changement du relais polarisé 120 arrête le moteur 13 et que celui-ci reste arrêté pendant que le moteur
128 achève un tour et referme l'interrupteur 122, réexcitant ainsi l'aimant 124 et déplaçant l'interrupteur 126 et le relais
120, de sorte que du courant est de nouveau fourni au moteur 13. Cette opération éteint la lampe dans le logement 109.
Pendant le temps où la lampe est allumée dans le logement
109, le mécanisme électronique décrit plus haut règle la posi- tion de la barre noire 104 de façon qu'elle corresponde à la barre de justification ou de mesure d'espace 20 portée par la bande d'enregistrement 10, fixant ainsi la position de la butée
78. Lorsque la lumière s'éteint dans le logement 109, le méca- nisme photosensible reste inactif et le moteur 107 reste arrê- té, de sorte que le filet de vis 106 maintient la butée 78 en position fixe pendant qu'une ligne de texte est composée. On comprendra que dans la composition de pareille ligne, plu- sieurs espaces entre des mots peuvent être mesurés à partir de la position dans laquelle la butée 78 a été ajustée.
Le moteur 128 est réglé de façon qutun tour permette le déplacement maximum de la barre 104. Le mécanisme électronique et les tubes photosensibles sont appropriés et disposés pour égaliser les bandes lumineuses projetées au-dessus des barres
20 et 104. Toute différence entre ces bandes lumineuses fait fonctionner le moteur 107 pour rendre égales les bandes lumi- neuses dirigées vers les tubes 21.
Pendant l'opération de mesurage de la lumière, le moteur
13 est arrêté et la bande d'enregistrement 10 n'est pas dépla- cée.
En plus de ce qui précède, le signal de justification 19 excite 1' électro-aimant 45 pour desserrer le frein à levier 43,
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et désexciter l'embrayage 46, de sorte que le ressort spiral 41 fait tourner la vis sans fin 27 pour déplacer la table 28 vers la gauche à la figure 1 de façon qu'une nouvelle ligne de composition puisse être commencée.
L'électro-aimant 45 est connecté au fil 121 et à une sour- ce d'alimentation en courant comme cela est montré. Du courant est normalement fourni à l'embrayage 46 afin d'empêcher la vis sans fin de tourner, sauf quand sa rotation est désirée. Toute- fois, le courant fourni à l'embrayage 46 est coupé par excita- tion d'un électro-aimant 130 connecté à une source d'alimenta- tion en courant et au fil 121 par un fil de connexion 131.
Lorsque l'électro-aimant 130 est excité, il ouvre un interrup- teur 132 intercalé dans un fil d'alimentation en courant 133 qui conduit à un relais polarisé 134 ayant des connexions avec les deux embrayages 46 et 68 d'actionnement de la vis sans fin.
Lorsque le relais polarisé 120 est ramené à la position montrée sur la figure 5 après que la butée a été mise en posi- tion, la bande d'enregistrement continue de nouveau à se dépla- cer jusqu'à ce que le signal" A " atteigne les contacts de signal. A la droite de, la barre 14 portant les contacts de signal numérotés de 1 à 9 inclusivement, des fils conducteurs établissent des connexions avec divers électro-aimants de com- mande d'interrupteurs comme suit :
Le contact de signal 1 est connecté à un électro-aimant la qui commande un relais 135 ayant un élément d'interrup- teur mobile et deux contacts.
Le contact de signal 2 est connecté à un électro-aimant
2a qui actionne un relais 136 ayant deux interrupteurs qui sont connectés aux contacts du relais 135. Chacun des inter- rupteurs a deux contacts.
Le contact de signal 3 est connecté à un électro-aimant
3a qui commande un relais 137 ayant quatre interrupteurs numérotés de 1 à 4 et chacun de ceux-ci a deux contacts, les
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interrupteurs étant respectivement connectés aux contacts du relais 136.
Le contact de signal 4 est connecté à un électro-aimant
4a qui actionne un relais 138 ayant des interrupteurs numé- rotés de 1 à 8 connectés aux contacts du relais 137.
Le contact de signal 5 est connecté à des électro-aimants
5a et 5b qui fonctionnent en parallèle. L'éleotro-aimant 5a commande un relais 139 ayant des interrupteurs numérotés de
1 à 8 qui sont connectés aux sorties des interrupteurs numé- rotés de 1 à 4 du relais 138. L'électro-aimant 5b commande un relais 140 ayant des interrupteurs numérotés de 1 à 8 qui sont connectés respectivement aux contacts des interrupteurs numérotés de 5 à 8 du relais 138. La disposition pour le contact de signal 5 serait la même si l'on employait un seul électro-aimant et si 16 interrupteurs étaient connectés aux
16 contacts des 8 interrupteurs du relais 138.
Le contact de signal 8 actionne un électro-aimant Sa.
Le contact de signal 6 est connecté à un électro-aimant
6a, et lorsqu'il est excité par un signal de suppression porté par le ruban d'enregistrement il excite l'aimant 6a pour interrompre l'alimentation en courant des électro- aimants la à 5b inclusivement et 8a.
Le contact de signal 7 est connecté par un fil 141 à un côté d'un relais polarisé de changement de polarité 142.
Lorsque le ruban d'enregistrement porte un signal pour le contact de signal 7, le relais 142 change la polarité des moteurs 56 et 87 de 180 degrés, faisant ainsi passer des italiques au petit caractère standard sur le cylindre à che- villes et la plaque à caractères.
A la figure 5, tous les interrupteurs et relais sont mon- trés dans leurs positions normales, les éléments d'interrupteur mobiles étant inclinés dans ces positions par des moyens clas- siques. Par exemple, on remarquera que dans les relais 135 à
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140, les éléments d'interrupteur mobiles sont représentés en contact avec une des bornes ou contacts d'une paire de bornes ou contacts y associés et ces éléments sont mobiles vers les contacts opposés lorsque les relais sont excités. Dans les re- lais 135 et 137, les éléments d'interrupteur peuvent évidemment être écartés des électro-aimants par des systèmes de levier convenables, non représentés, lorsque ces relais sont excités.
On n'a pas tenté de montrer le montage complet des connexions pour tous les signaux qui peuvent être émis par l'entremise des relais 135 à 140, mais, à des fins d'explication, les connexions sont montrées pour les signaux des lettres " a ", " n " et " d ".
Puisque chaque signal de caractère porté par le ruban 10 comprend un long signal perforé, l'appareil actionné par ce signal va d'abord être décrit avant que soient décrits le cir- cuit et l'appareil actionné par le reste du signal du caractère " a ". Le contact de signal 8, comme cela est représenté, ex- cite l'électro-aimant 8a d'un relais 143 ayant des contacts 1, 2 et 3, pour déplacer l'élément d'interrupteur de ce relais de façon que du courant soit fourni, par les fils de connexion re- présentés, aux contacts 1 et 2. Le courant passant par le con- tact 1 du relais 143 actionne un relais polarisé 144 pour ou- vrir l'interrupteur 1 et fermer l'interrupteur 2, de ce relais.
En même temps, du courant est fourni par l'entremise du contact 2 du relais 143 et par l'entremise d'un fil 145 et actionne le relais polarisé 134 pour faire passer son élément d'interrup- teur du contact 1 au contact 2. Ceci crée une source d'alimen- tation en courant pour l'embrayage électromagnétique 46.
Après que le ruban 10 s'est déplacé et que le circuit passant par le contact de signal 8 a été interrompu, l'élément d'interrupteur du relais 143 retourne à sa position normale, montrée sur la figure 5, pour exciter le contact 3 et envoyer du courant à travers l'interrupteur 2¯ du relais 144 pour exciter l'embrayage magnétique 59, ce qui provoque le mouvement dextror-
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sum de son bras 60. Le mouvement de ce bras ouvre l'interrup- teur 63 , ce qui. désexcite l'électro-aimant 58, ferme l'inter- rupteur 62 et change la position du relais 144 de sorte que son interrupteur 2 est ouvert et son interrupteur 1 est fermé.
Cette opération déplace le bras 47 pour le mettre en contact avec la cheville 50 correspondant à " a ", désexcite l'embrayage 59 et excite l'embrayage 46 par du courant fourni par l'entre- mise du relais 144, des fils 146 et 147, du relais 134, du con- tact 2, du fil d'alimentation en courant 133 et de l'interrup- teur 132.
Lorsque l'embrayage 59 est désexcité, le ressort relié à son bras ramène le bras à sa position normale, fermant ainsi l'interrupteur 63, qui excite l'électro-aimant 58, lequel agit sur le bras 47 de l'embrayage 46 pour faire tourner la vis sans fin 27 dans la mesure désirée pour le caractère " a " qui a été imprimé sur la feuille sensible portée par la table 28.
Le signal pour ' a" comprend des contacts de signal 4 et 5 qui seront excités/avec le contact 8. Par conséquent, pendant que les opérations précitées sont en cours pour le contact de signal 8, les électro-aimants 4a, 5a et 5b sont excités et dé- placent les interrupteurs des relais 138, 139 et 140. Du courant est donc fourni par le conducteur d'amenée de courant à l'inter- rupteur du relais 135, par l'entremise des interrupteurs de con- nexion fermés des relais 135, 136 et 137, par l'entremise du relais 138, de l'interrupteur 3, du relais 139, de l'interrup- teur 5 , et par l'entremise d'un fil 148, aux moteurs de mise en position 52 et 83,
qui font respectivement tourner le cylin- dre à chevilles 49 et la plaque à caractères 84 pour présenter la cheville " a " et le " a " sur la plaque à caractères dans la position correcte pour le mesurage et la photographie. Ces opérations sont évidemment achevées et les contacts de signal 4 et 5 sont déconnectés avant que le contact de signal 8 soit déconnecté pour obtenir la succession convenable de pas comme
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cela est décrit relativement aux figures 1 à 4.
On comprendra que les moteurs 56 et 87 qui commandent les rangées de caractères employées, seront actionnés par les signaux pour les types minuscules ordinaires, lestypes majus- cules ordinaires, les chiffres de type ordinaire, les types italiques minuscules, les types italiques majuscules et les chiffres de type italique. Par conséquent, aussi longtemps que la rangée de caractères minuscules de type ordinaire sont em- ployés, les moteurs 56 et 87 ne seront pas actionnés.
Les rangées horizontales de chevilles du cylindre à che- villes 49 de bas en haut correspondent, avantageusement, aux six rangées de caractères ou de pièces rapportées à caractère de la Plaque-84 de droite à gauche. Les moteurs de mise en po- sition 56 et 87 sont disposés, pour cette raison, de manière que lorsqu'ils sont mis dans une position par le relais 142 ils mettent en position les trois premières rangées et que lorsqu'ils sont décalés de 180 degrés par le relais 142, ils mettent en position le cylindre à chevilles/et la plaque à ca- ractères pour les trois rangées suivantes.
On notera que le relais 142 est, disposé pour envoyer du courant dans l'une ou l'autre de deux directions par l'entre- mise des moteurs 56 et 87 par connexion des contacts 1 et 2 alternativement soit à la source de courant soit à la terre comme cela est indiqué, chacun de ces contacts étant connecté aux moteurs 56 et 87 comme cela est représenté. Dans une posi- tion,du courant passe par le contact 1 vers les moteurs 56 et 87 et revient par le contact 2 à la terre.
Lorsque des caractè- res italiques arrivent sur le ruban 10, celui-ci porte un signal d'italiques pour les signaux de contact 2, 4 et 5 qui enverront du courant de l'interrupteur 1 du relais 139 et par un fil 149, pour changer la position du relais polarisé à inversion de po- larité 142, de sorte que les moteurs 56 et 87 agiront sur les rangées des italiques du cylindre à chevilles et de la plaque
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caractères.
La figure 5 montre les connexions pour les diverses ran- gées de chevilles et de caractères choisies par les moteurs de mise en position 56 et 87. Si l'on suppose que le relais 142 est placé pour agir sur les trois premières rangées de carac- tères, c'est-à-dire les types ordinaires, un signal de minus- cules 2 et 4 envoie le courant à travers des relais appropriés, non représentés, et une canalisation 150 connectant les bornes centrales inférieures des moteurs 56 et 87 à l'interrupteur 1 du relais 139. Si, maintenant, un signal des majuscules 1, 3 et 5, arrive sur le ruban, du courant est envoyé à travers les re- lais appropriés et une canalisation 151 de l'interrupteur 7 du relais 140 aux moteurs 56 et 87.
Le signal des majuscules agit soit sur la rangée de types ordinaires soit sur la rangée de majuscules italiques, c'est-à-dire avec les moteurs dans l'une ou l'autre position.
Quand des chiffres doivent être imprimés,, un signal des chiffres 1, 4 et 5, apparaît en avance sur le ruban et du cou- rant est envoyé à travers les relais appropriés comprenant l'in- terrupteur 5 du relais 140 et un fil 152 aux moteurs 56 et 87, de sorte que la rangée des chiffres du cylindre à chevilles et celle de la plaque à caractères sont choisies. On comprendra que le signal des minuscules, le signal des majuscules et le signal des chiffres s'appliquent aux deux positions des moteurs 56 et 87 tels qu'ils sont réglés par le relais 142.
Chaque fois que le signal d'espace, 2, 3 et 4, apparaît sur le ruban 10, les contacts de signal correspondants sont ex- cités et du courant est envoyé à travers les interrupteurs ap- propriés des relais 135 à 140 pour fournir du courant, par l'en- tremise du troisième interrupteur du relais 139 et d'un fil 153 à un électro-aimant 154 commandant une paire d'éléments d'inter- rupteur connectés à une source de courant, comme cela est montré.
Un fil de branchement 155 relie le fil 153 au moteur 83 pour
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le décaler sur un blanc ou blocage typographique. N'importe quelle rangée de caractères de la plaque à caractères 84 peut renfermer un blanc de sorte qu'il ne sera Pas photographié de caractère.
Lorsque l'électro-aimant 154 est excité, les interrup- teurs 1 et 2 sont déplacés pour fournir du courant à partir de l'interrupteur 2 Par un fil 156 au relais polarisé 134 et le décaler de façon que l'embrayage 46 cesse d'être excité afin de libérer la vis sans fin 27 et d'établir un circuit allant du fil d'amenée de courant 133 jusqu'à ].'interrupteur 1 d'un re- lais polarisé 157. En même temps, du courant est fourni à par- tir de l'interrupteur . du relais 154 au relais polarisé 157 pour fermer son interrupteur 2 et établir un circuit pour l'em- brayage 71.
Après que le ruban 10 s'est remis en mouvement et que les contacts de signal d'espace sont ouverts, l'électro-aimant 154 cesse d'être excité et du courant est alors fourni à partir de ce relais par un fil 158, l'interrupteur 2¯ du relais 157 et le fil 159, pour exciter l'embrayage 71,, qui commence immédiate- ment à faire tourner son bras 70 dans le sens dextrorsum pour ouvrir l'interrupteur 72 et désexciter l'électro-aimant 76 et déplacer les bras 69 et 77 dans le sens senestrorsum jusqu'à ce que le bras 77 rencontre la butée 78. Ce mouvement ferme 1' interrupteur 74 porté par le bras 70 qui prend du courant du relais 154 par un fil 160 et le fournit par un fil 161 pour changer la position du relais polarisé 157 et fermer l'inter- rupteur 1 de celui-ci.
Ceci a pour effet d'exciter l'embrayage 68 par du courant venant de la canalisation 133 et que le relais 134 a envoyé par un fil 162, de sorte que la vis sans fin 27 peut être mise en rotation. L'opération suivante comprend 1' ouverture de l'interrupteur 74 et la fermeture de l'interrup- teur 72, lorsque le bras 70 est ramené en arrière par le res- sort. La fermeture de l'interrupteur 72 excite 1' électro-aimant
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76, qui tire le levier 69 en arrière contre l'arrêt 75 de sorte que la vis sans fin 27 est mise en rotation pour déplacer la table 28 de la largeur de l'espace justifiée.
L'appareil actionné sous l'influence du signal " a " a été décrit plus haut. Lorsque le signal " n ", 1 et 5, arrive sur le ruban, ses contacts correspondants sont connectés à la plaque 11 à la terre, de sorte que du courant est fourni par l'entremise des interrupteurs des relais 155 à 140 et est en- voyé de l'interrupteur 6 du relais 140 par un fil 163 aux mo- teurs de mise en position 52 et 83 pour mettre le cylindre à chevilles et la plaque à caractères en position pour la lettre " n ". Puisque le signal " n " comprend la longue fente, les autres parties de l'appareil seront actionnées de la manière décrite plus haut pour la lettre Il a ".
Lorsque le signal d ", 3 et 5, apparaît sur le ruban, les contacts de signal correspondants sont excités pour envoyer du courant par l'entremise des interrupteurs appropriés des re- lais 135 à 140 et pour fournir du courant à partir de l'inter- rupteur 8 du relais 139 par un fil 164 conduisant aux moteurs 52 et 83, de sorte que le cylindre à chevilles et la plaque à caractères sont actionnés pour présenter la cheville et l'image de caractère correspondant à la lettre " d ".
L'obturateur de l'appareil photographique est actionné chaque fois que l'un quelconque des aimants de signal la/à 5 b est excité, puisque, on le notera, l'interrupteur 6 du relais 139, figure 5, est normalement connecté par un fil 165 à l'élec- tro-aimant 91 pour le maintenir normalement excité. Lorsqu'une combinaison de contacts de signal 1 à 5 sont actionnés, l'élec-
91 tro-aimant/est désexcité pour libérer la plaque à caractères de sorte qu'elle peut être tournée jusqu'à la position choisie.
Après l'interruption du signal, l'électro-aimant 91 est de nou- veau excité de sorte que la cheville 92 met la plaque à carac- tères en position et l'interrupteur 93 est fermé pour actionner
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,l'aimant 95 de l'obturateur et photographier le caractère choisi.
Dans la photographie d'une ligne de texte, on comprendra que la ligne sera commencée exactement à la marge de la colonne de texte sur la feuille photosensible. par conséquent, la par- tie de projection 98 de l'appareil photographique, les éléments à caractère 90 et le support 31, ou la table 28, sont placés les uns par rapport aux autres de façon telle que le bord exté- rieur du premier caractère d'une ligne de texte coïncide avec la ligne marginale de la colonne, qui serait à droite, comme on le voit à la figure 1.
Pour la facilité, chaque caractère est considéré comme comprenant le caractère proprement dit et un petit espace sur chaque bord, comme dans le cas du type. les caractères élémen- taires 90 sont donc placés dans la plaque 84, et les trous de mise en position pratiqués dans la plaque 89 sont disposés de manière que le bord de tout caractère y compris son espace mar- ginal est mis au point ou au foyer de manière qu'il coïncide avec la marge de la colonne ou avec le bord d'un caractère pho- tographié précédemment. Après que le premier caractère d'une ligne de texte a été photographié ou projeté sur la feuille sensible, la table 28 est déplacée de la largeur exacte de ce caractère de façon que le bord du caractère suivant photogra- phié sur la feuille arrive directement au bord du caractère photographié antérieurement, et ainsi de suite.
Les caractères élémentaires 90 illustrés par Il F " à la nent figure 2a, compren/ une image transparente du caractère, de sorte que la lumière projetée par le mécanisme de l'appareil photographique passe à travers le caractère pour arriver sur le papier photosensible lorsque l'obturateur est actionné. Les caractères élémentaires peuvent être réalisés selon d'autres méthodes connues que celle qui est montrée sur la figure 2a, et au lieu de faire une photographie positive du texte porté
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par la bande d'enregistrement, on peut faire une photographie négative.
La dimension des lettres photographiées sur la feuille sensible est de préférence réglée de manière à correspondre à un format standard de types pour la plupart des travaux, mais on peut modifier la dimension de la manière décrite en réglant le foyer de l'appareil photographique à l'aide du moteur 102 ou de la poignée 102a, et la longueur de la course du bras de mesurage 47 à l'aide du noteur 66 ou de la poignée 66a. Pour la manoeuvre à la main, les crémaillères 100 peuvent porter une échelle comme cela est représenté sur la figure 1 et une graduation correspondante peut être prévue pour l'arrêt 57.
Dans le cas où l'on désire que la dimension des types soit com- mandée automatiquement par la bande d'enregistrement, cette bande portera une barre de dimension des types et un signal semblables/à ceux employés pour l'espace justifiée, et un méca- nisme photosensible semblable à celui qui est employé pour la barre d'espace sera employé pour mettre en position les moteurs 66 et 102 commandant la dimension des types.
Bien que l'appareil selon la présente invention ait., été décrit à propos de l'emploi d'un ruban ou bande d'enregistrement présentant des perforations en forme de fentes pour divers signaux convenus, on comprendra qu'un ruban portant des signaux imprimés ou d'autres types de signaux peuvent être employés.
Les signaux ou signes imprimés portés par une bande transparen- te ou translucide peuvent être employés commodément, ou bien les signaux ou signes peuvent être imprimés ou appliqués d'une autre manière avec des matières conductrices du courant. Des barres telles que la barre 20 peuvent également être faites de diverses manières et être mesurées par un type de mécanisme de comparaison différent de celui qui est représenté. Elle peut être une fente verticale ou horizontale pratiquée dans la bande d'enregistrement et cette dernière peut, en pareil cas, être
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opaque, dans le cas où/la fente est mesurée ou comparée par des dispositifs photosensibles. La barre 20 et les signaux similai- res peuvent avoir la longueur exacte de l'espace mesurée ou être dans un certain rapport connu avec elle.
La longueur de la bar- re 20 est mesurée à partir du bord inférieur du ruban.
On comprendra que la bande d'enregistrement 10 portera d'autres signaux en dehors des signaux correspondant aux espa- ces et aux caractères représentés. Par exemple, elle portera un signal de lingot ou de ligne-bloc qui actionnera l'appareil de façon à déplacer la table 28, mais qui ne provoquera pas de photographie, comme dans le cas d'une/espace décrite/plus haut.
Une cheville 50 de largeur de lingot peut être portée par cha- coin des rangées horizontales du cylindre à chevilles 49 ou par n'importe lequel des deux jeux ou ensembles de trois rangées.
L'espace de lingot a la largeur d'une m et la cheville 50 de la lettre " M " peut être employée pour mesurer le mouvement de la table 28.
Il a été fait allusion au signal de suppression à propos du contact de signal 6. Dans la préparation du ruban d'enregis- trement, ce signal 6 est, avantageusement, appliqué directement au-dessous de la rangée verticale de perforations/représentant le caractère à supprimer. Par conséquent, lorsque les contacts de signal viennent en contact avec un signal de ce genre et qu' il comprend une perforation pour le contact de signal 6, l'é- lectro-aimant 6a de la figure 5 est excité pour interrompre la fourniture de courant, de sorte que l'appareil de photogra- phie et de mesure des caractères ne sera pas actionné.
La fente pour le signal 6 peut être plus longue que les fentes normales
1 à 5, et s'étendre légèrement en avant ou en arrière des fen- tes de signal de caractère situées au-dessus, de façon que 1'; électro-aimant 6a soit excité un peu avant et reste excité un peu après que les fentes de signal situées au-dessus reçoivent les ressorts des contacts de signal correspondants.
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Etant donné que, comme cela a été expliqué plus haut, les rangées horizontales de chevilles 50 du cylindre à chevilles 49 de bas en haut correspondent aux rangées de caractères de la plaque à caractères 84 de droite à gauche à la figure 2, il est évident que les moteurs 52 et 83 sont des moteurs de mise en position ayant autant de positions qu'il y a de chevilles ou de caractères dans une rangée, qui doivent être au moins éga- les à l'alphabet complet, bien que, sur la figure 5 des dessins, seules quelques positions soient indiquées à titre d'exemple.
On remarquera, d'après la description qui précède, que le mécanisme actionné électriquement pour faire tourner la vis sans fin 27 pas à pas sous l'influence d'un signal de caractère est très semblable à celui qui est actionné sous l'influence d'un signal d'espace justifiée. Dans la photographie des caractères d'un mot, l'embrayage 46 reste normalement excité entre les opérations pour aider à tenir la vis sans fin 27 en position pendant que les autres opérations s'accomplissent comme cela a été décrit plus haut. Toutefois, lorsque le relais 134 est mis dans la position représentée sur la figure 5, l'embrayage 68 retient normalement la vis sans fin, c'est-à-dire immédiate- ment après qu'un signal d'espace justifiée a actionné l'appa- reil pour faire tourner la vis sans fin 27.
Des moyens convenables connus peuvent être prévus pour maintenir une feuille photographique photosensible sur le sup- port 31 de manière qu'elle reste en position fixe pendant le fonctionnement de l'appareil. En fait, des moyens peuvent être prévus pour changer de feuille quand une feuille est remplie et pour ramener le support 31 à la position qu'il occupe lors- qu'on commence une page de texte. On comprendra en outre, d'a- près la pratique connue antérieurement, qu'au lieu de prévoir un support mobile 31, des moyens peuvent être prévus pour em- ployer un rouleau de papier photosensible qui soit déplacé pas à pas d'un rouleau à un autre à mesure que les lignes de texte
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sont appliquées sur ledit papier.
De la description qui précède, il ressort clairement que l'on peut apporter d'autres modifications et changements à di- verses parties de l'appareil sans se départir de l'esprit et de la portée de l'invention telle qu'elle est définie par les revendications ci-jointes.
REVENDICATIONS.
1.) Dans un appareil pour composer photographiquement des lignes justifiées de texte sous l'influence de signaux ou signes de commande portés par une bande d'enregistrement du texte, com- prenant des moyens pour déplacer la bande d'enregistrement à travers l'appareil, un mécanisme de projection de lumière, une plaque principale à caractères qui est de position réglable par rapport au mécanisme de projection de lumière, et un support pour une feuille photosensible sur laquelle des projections des caractères choisis de la plaque à caractères sont destinées à être imprimées par le mécanisme de projection de lumière,
le perfectionnement qui comprend un mécanisme actionné électrique- ment qui peut être commandé et influencé par un signal de carac- tère porté par la bande d'enregistrement pour mettre d'abord la plaque à caractères en position pour présenter le caractère du signal pour la photographie, pour imprimer ensuite le carac- tère par l'action de la lumière sur la feuille photosensible reposant sur le support, et pour déplacer après cela le support sur une distance égale à la largeur du caractère imprimé.