BE482244A - - Google Patents

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BE482244A
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    • DTEXTILES; PAPER
    • D03WEAVING
    • D03DWOVEN FABRICS; METHODS OF WEAVING; LOOMS
    • D03D37/00Circular looms

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  • Engineering & Computer Science (AREA)
  • Textile Engineering (AREA)
  • Looms (AREA)

Description


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  " Métier à tisser circulaire " 
L'invention a pour objet un métier à tisser, circulaire, permettant le tissage de fils textiles naturels ou synthétiques aussi bien que de fils métalliques,caractérisés par le fait que: a) les fils de chaine sont disposés suivant les génératri- ces d'un cylindre vertical et alimentés par des bobines pla- cées à une extrémité (par exemple en haut) du métier, en nombre égal à celui des fils ; b) la ou les navettes sont animées d'un mouvement de rota- tion uniforme sur un chemin de roulement circulaire, sont char- gées d'une grande quantité de fil de trame et sont commandées par un moteur électrique individuel, par un électro-aimant ex- térieur ou par   iiianège;   

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 c) l'ouverture de la foule est commandée par harnais ou par la navette;

   d) le produit fini est obtenu sous forme d'un cylindre qu'on aplatit, qu'on fend suivant deux génératrices diamètra- lement opposées ou suivant trois ou plusieurs génératrices, et dont chaque nappe s'enroule sur un ensouple. 



   Le métier à tisser conforme à l'invention présente sur les métiers connus les avantages suivants : 
D'abord, la largeur du tissu étant égale   à # D   (où D est le diamètre du cylindre), on voit que, pour un encombrement donné du métier, on peut tisser une largeur environ triple de l'encombrement. 



   Ensuite, la rapidité du tissage est augmentée du fait du mouvement continu do la navette, remplaçant le mouvement rectiligne de va-et-vient habituel, ainsi qu'en raison du fait que le nombre des navettes n'est limité que par des conditions de construction pratique (on peut, par exemple, en prévoir quatre ou   six).   



   En outre, les navettes peuvent porter une grande quan- tité de fil de trame, ce qui permet un fonctionnement prolongé sans changement de la canette, puisque leur poids n'est pas limité comme dans les métiers ordinaires, étant donné qu'elles se déplacent sur un chemin de roulement au lieu d'être lancées dans l'espace. D'ailleurs, l'invention a également pour objet un dispositif accessoire permettant l'alimentation continue des navettes par le moyen d'un barillet actionné automatique- ment et portant des galets chargés et les galets vides. 



   Enfin, le métier est alimenté directement par des bobines correspondant chacune à un fil de chaine, placées au sommet ou au bas du métier et, éventuellement, sur plu- sieurs étages, ce qui supprime l'ourdissage. 



   Sur les dessins annexés, on a représenté 

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 schématiquement,   à   titre d'exemple, un mode de réalisation pratique de l'invention. 



   La figure 1 est une perspective montrant le principe de   l'invention.   



   La figure   3 montre   en coupe un montage de la navette sur son chemin de roulement, et la figure 3 est une vue latérale correspondante. 



   La figure 4 représente schématiquement un mode de commande de la navette. 



   La figure 5 représente en coupe et la figure 6 en plan 1*ouverture de la foule par un premier système de harnais 
La figure 7 montre, dans un second système de harnais, dne lisse en position normale, le point raié à la came ou à l'excentrique étant le plus éloigné du centre du métier et le fil de chaîne étant à l'exéérieur de la navette. 



   La figure 8 est analogue mais le fil de chaîne est ramené vers le centre du métier. 



   La figure 9 est analogue à la figure 8. mais le point relié   à   l'exentrique est le plus voisin du centre, 
La figure 10 est une vue analogue à la figure 9, mais correspond à l'ouverture normale de la foule. 



   La   figurell   est une coupe montrant la fixation des ressorts intérieurs. 



   La figure 12 est une élévation du mécanisme de rappel des fils de chaîne en eoupe par XII-XII de la figure 13. 



   La figure 13 est une vue de dessus corespon dante avec enlèvement d'une partie des organes supérieurs du mécanisme. 



   La figure 14 montre 3'ouverture de la foule par la navette, 

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La figure 15 indique schématiquement comment se fait l'enroulement du tissu terminé sur deux ensouples. 



   La figure 16 montre en perspective le barillet permet- tant l'alimentation continue des navettes. 



   Sur ces dessins, on voit que le métier à tisser forme un cylindre vertical 1 sur lequel sont disposés les fils de chaine 2,2' provenant des bobines ou galets 3,3' en nombre égal à celui des fils de chaine et disposées de manière convenable au- dessus du cylindre 1. Chaque fil 2 est tendu grâce à la résis- tance opposée à la rotation du galet par un ressort spiral logé à 1'intérieur de celui-ci et non représenté. 



   Les fils   2, 2'   traversent de manière connue des fentes 4 du peigne circulaire (figures 1, 2 et 16), et ils passent de chaque côté de la navotte b. 



   Sur les figures 1 et 4, on a représenté deux navottes 6 et 6' diamétralement opposées. 



   Dans ce mode de réalisation, chaque navette est en- trainée par l'attraction magnétique d'un électro-aimant, 7 ou 7', monté sur un bras 8 porté par l'arbre vertical 9 placé dans l'axe du cylindre 1. Cette disposition,symétrique pré- sente les avantages d'équilibrer les forces centrifuges et de doubler la production, puisqu'il se produit ainsi deux duites par rotation. Le nombre des navettes peut d'ailleurs être augmenté autant que le permettent les dimensions du métier à tisser, et être par exemple de   quatre,ou   de six. Le mouvement de chaque navette est uniforme. 



   Chaque navette 6 est suspendue à quatre galets 10 munis de deux chenilles 11 en caoutchouc, par exemple du type " TEXROPE " qui roulent sur deux rails 12 fixés sous le peigne 5 (figures 2, 3 et 16). Ces rails sont eux- mêmes formés d'éléments de longueur égale à celle des la- melles du peigne,   c'est-à-dire   à l'intervalle séparant les 

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 deux fentes 4, et les chenilles 11 évitent les chocs dus à ces discontinuités. La navette 6 porte une bobine ou galet 13 chargée de fil de trame. Le peigne 5 peut être légèrement incliné vers l'intérieur pour compenser los effets de la force centrifuge. 



   Dans une variante non représentée, la navette roule directement sur le peigne et non sur un chemin de roulement spécial fixé au-dessous de celui-ci. Dans ce cas, les orga- nes de roulement comportent des galets (quatre de préférence) qui roulent sur le peigne, et d'autres galets, placés laté- ralement de chaque côté de la navette, et qui roulent sur des tôles circulaires, empêchent toute déviation accidentelle de la navette. 



   Ces divers galets peuvent être montés sur roulements à billes et sont, de préférence, garnis de bandages en caout- chouc qui ont pour but d'éviter les chocs dus au roulement sur les lamelles du peigne et sur les fils. 



   D'autre part, un dispositif accessoire de sécurité,      par exemple du type général appelé "casse-trame" dans la 
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 demande de brevet belge déposée par les mêmes inventeurs 3 N . 5 S' f le avril 1948,sous .3'l.'';r "Dispositif de sécurité -(1 le 30 avril 1948,sous le n  pour "Dispositif de sécurité pour métier à tisser" est de préférence associé à la navette pour assurer le freinage automatique de celle-ci en cas d' avarie dans le fonctionnement, par exemple casse de fil. 



   L'ouverture de la foule peut être obtenue de diverses manières. Dans un premier   moclo   de réalisation, elle est assurée par des harnais commandés   de   l'intérieur du cylindre (figures 5 et   6).   Ces harnais sont constitués par des tiges 14 en nombre égal à celui des fils de chaine. Chaque tige est percée d'un oeil 15 pour le passage du fil 2 et coulisse dans deux couronnes concentriques 16,16'. Deux excentriques 17,17' calés à 180 , leur communiquent le mouvement de va-et-vient 
A 

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 dont l'amplitude détermine la grandeur de l'ouverture de la foule. 



   Si le nombre en est important, les tiges 14 peuvent être réparties sur deux ou plusieurs étages et disposées angulairement de manière à venir s'intercaler les unes par rapport aux autres. 



   Dans un second mode de réalisation, la commande de ces harnais se fait par cames et non plus directement par excentriques. 



   Dans ce cas, les harnais sont constitués par des lis- ses en nombre égal à celui des fils de chaîne, et dont cha- cune est reliée, par l'intermédiaire de ressorts, d'une part à l'organe opérant le va-et-vient (à l'intérieur) et, d'autre part, à un point, fixe normalement, mais que l'on peut dé- placer à volonté (à l'extérieur du métier), le ressort exté- rieur étant plus puissant que le ressort intérieur, et une disposition spéciale des lisses permettant d'amener tous les fils de chaîne d'un même côté de la navette, de façon à déga- ger cette dernière, en particulier pour permettre'le change- ment du galet porté par la navette. 



   Cette réalisation est représentée   survies   fig. 7 à 13.' 
Sur les figures 7 à 10, on voit que chaque lisse   A-B   est attachée en   A   à un ressort intérieur 31 et en B à un ressort extérieur 32. X-X est l'axe du peigne et Y-Y l'axe de rotation de l'appareil auquel est relié en   0 1'-organe   (non représenté) produisant 10 mouvement de va-et-vient des harnais. 2 est le fil de chaine. 



   Le ressort 31 est fixé en D à l'organe transmet- tant le mouvement de va-et-vient. Le ressort 32 est fixé en C à un point   "semi-fixe",   c'est-à-dire que l'on peut considérer normalement comme fixe maie que   l'on   peut, en cas de besoin, déplacer à volonté au moyen d'un mécanisme 

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 de commande approprié représenté schématiquement par un câble 34 passant sur une poulie de renvoi 35. 



   Le ressort 32 est prépondérant sur le ressort 31, si bien qu'en   fonctionnement   normal ce dernier est tendu jusqu'à un maximum autorisé par un limiteur de tension 36 (câble par exemple) permettant un déplacement E,E' égal à l'ouverture de la foule. 



   On voit donc que, en fonctionnement normal, le ressort 31 se comporte comme une liaison rigide, le ressort 32 absor- bant la course totale des lissos, en particulier quand le point E est dans la position E' symétrique par rapport à l'axe X-X du peigne. 



   Vu leur nombre important, les lisses peuvent être grou- pées en un certain nombre entre chacun des ressorts 31 et 32, ceux-ci pouvant eux-mêmes être répartis sur plusieurs étages comme le montre la figure   IL.   



     En   pratique, les ressorts 31 sont en général logés dans les alésages des pièces 37 faisant partie de l'organe transmetteur de mouvement (figure 11) et sont fixés en D au fond de ces alésages. 



   Les pièces 37 peuvent être constituées simplement par des tubes coulissant dans des logements disposés suivant les rayons d'une pièce circulaire 38. 



   Les coulisseaux 37 reçoivent leur mouvement de va-et- vient d'un galet 39 qui roule sur le chemin intérieur d'un excentrique 40. Un second excentrique 40a décalé de 1802 par rapport au premier est disposé sous la pièce 38 (figure 11). 



  Il agit sur un galet 39a symétrique du galet 39. 



   On voit donc que l'on peut disposer dans la pièce 38 les coulisseaux 37 suivant plusieurs étages. On voit sur la figure 11 deux étages de coulisseaux 37,37' et 37a,37'a. Les coulisseaux   37,37'   et leurs ressorts 31,31' correspondent à un premier groupe de fils et les 

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 coulisseaux 37 a, 37 , a et leurs ressorts 31 a, 31' a à un second groupe de fils. Lee coulisseaux 37, 37'd'une part et 37 a,   371 1 de   l'autre sont solidarisée respective- ment par des taquets 52 et 52 a. 



   La disposition des ressorte 31 à l'intérieur des coulisseaux 37 est nécessaire dans le cas d' un métier de petit diamètre ;dans le cas d'un métier de   plus   grand diamètre, les ressorts 31 peuvent être extérieure aux   @   lisseaux. 



   Partant de ce principe de fonctionnement, il cet possible d'envisager   l'arrêt   temporaire de l'un quelconque 
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 des différente étages de coulisseaux, et par conséquent d#en* 1/ IdeW virtager le %1;oagees armures dffférentes, On peut en effet prévoir un mécanisme qui arrt cers, par exemple, alternativement un étage sur deux ou qui arrêtera successviement les divers étages dans un ordre déterminé à   l'avance,   automatiquement, suivant la nature de 1'armure recherchée. 



   Par exemple, dans le cas de la figure Il, le coulisseau 37 ou 37 µ,peut contineur à fonctionner, les coullisseaux 37' et 37' à étant immobilisa dans la position Intérieure(  celle,   du coulisseau 37' a dans la figure Il ). 



  Un système de verrous   approprié,   analogue à celui dont il sera parlé plus loin   à;propos   du dispositif de rappel des fils de chaîne, peut être utilisé pour immobiliser les cou-   lisseaux   37' et 37' a. 



   Si l'on suppose maintenant que l'on veuille, pour une raison quelconque et en particulier au moment du rechargement de la navette, ramener tous les fils de chaîne vers le centre, ce qui a pour effet de faire sortir la navette de sa cage de fils en la plaçant à l'extérieur de tous les fils, il faut amener en E' les fils qui ee trouvent normalement en E à ce moment, c'est-à-4ire pour ces file 

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 amener B en B', et pour cela amener C en C' (figures 7 et 8), ce'qui se fait par la commande 34,35. 



   Le déplacement de B (figure 7) en   B'   (figure 8) est   , égal   au déplacement de C en C' et à celui de E en E'. 



   Deux cas s'e présentent:   1#-   Le point de fixation du ressort 31 est dans la position D la plus éloignée du centre 0 : le ressort 31 qui n'est plus .soumis à l'action du res- sort 32 se contracte en entrainant A en A' et par suite E en E' (figure   8).   



     2#-   Le point de fixation du ressort 31 est dans la position D' la plus rapprochée du centre 0 : le ressort 32 se détend, le point E qui était déjà en E' ne bouge pas, et le ressort 31 reste tendu (figure 9). 



   On remarquera que, lorsque C est amené en C', seul le ressort 31 suit, entre les points D et D', le mouvement de 1' excentrique de commande du va-et-vient, le reste de la lisse ne bougeant pas. 



   Si, maintenant, on veut rétablir le processus normal d'ouverture de la foule, il suffira de ramener le point C' en C. La figure 10 illustre ce cas en supposant que le sys- tème était resté dans la position de la figure 9 (point de fixation du ressort 31 à l'excentrique en D'). 



   De ce qui précède, il résulte que l'on peut stopper le mouvement de va-et-vient des fils de chaine en ramenant ceux- ci vers le bord intérieur du peigne, sans que pour cela la rotation des excentriques soit modifiée. On peut aussi, si nécessaire, effectuer ce mouvement sur le bord extérieur par un système identique. 



   Le rappel du point C en C', c'est-à-dire le   pappel   des fils de chaîne vers le bord intérieur du peigne,s'effectue en pratique au moyen du mécanisme représenté sur les figures 12 et 13. 

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   Chaque ressort 32 de tension des lianes est accroché par son extrémité C ( figures 10) à un câble 
42 ( figure 12 ) passant sur une poulie de renvoi non repré- sentée puis sur une poulie 43 et attachée enfin en unpoint fixe 44au bâti du métier ( figure 12 ). 



   Les poulies 43 sont montées aux extrémités de coulisseaux ( par exemple dix-huit) 45 et 46 disposés par moitié en deux étages de part et d'autre de l'axe   Z-Z   (fi- gure 13). 



   Ces coulisseaux portent des galets 47 pouvant   @   venir en contact avec les chemins intérieur d'une came profil symétrique 48. 



   En fonctionnement normal, les coulisseaux 
45 et 46 sont maintenus au moyen de verrous 49 ( figure 12) dans la position de la figure 13. 



   Dans ces conditions, la came   48,   tournant avec l'arbre vertical 50, est sans effet sur les galets 47. 



   Si maintenant l'on veut ramener tous les fils de chaîne vers la centre, par exemple pour dégager la navet. te afin d'en permettre le rechargement, un jeu de com- mutateurs tournants établit un courant d'excitation dans deux électro-aimants 51,   à.   l'instant ou les bosses symé- triques de la came 48 passent par l'axe Z-Z (figure 13). 



   Ces électro-aimants font sortir delà jante de la came 48 deux doigts non représentés disposés à hauteur convenable de telle sorte que, dans leur mouvement de rotation avec la came, ils viennent heurter successivement les verrous 49 qui, en basculante lieèrent les coulisseaux 45 et 46. Le dévérouillage s'effectuant juste   à   l'instant ou la bosse de la came 48 passe sous le galet correspondante cette opé ration a lieu sans choc, puisque dans ce cas le coulisseau 

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 se trouve retenu par son galet et la bosse dans la posi- tion où le maintenait précédemment le verrou. 



   Les coulisseaux libérés, les   galets   descendent    symétriquement le long de chacune des deux bosses au fur   et à mesure de la rotation de la came 48. 



   On voit donc qu'au bout d'un demi-tour de la came 
48 tous les coulisseaux sont dans leur position extérieure, ainsi, par suite, que les poulies 43,   d'où   détente des   cibles   42 retenant les ressorts 32 et déplacement vers le centre, en C', des extrémités C de ces ressorts. 



   On a réalisé ainsi le mouvement schématise par   les .   figures 7 à 10. 



   A partir de ce moment, le courant d'excitation des électro-aimants 51 est coupé, la came 48 continuant sa   rota   tion, les galets   47   se trouvent sollicités par la deuxième partie des rampes de la came. Ils reviennent alors au centre; ramenant les coulisseaux et leurs poulies 43, et, en tirant sur les câbles 42, remettent sous tension les ressorts 32. 



   Les verrous 49 s'engagent dans leurs logements, et l'ensemble reprend sa position primitive. 



   Le dispositif qui vient dêtre décrit permet donc .de ramener vers le centre tous les fils de chaîne, de façon à dégager la navette. 



   Il est   à   noter que la commande des lisses par cames permettant ( comme on l'a vu plus haut ) d'immoblilser au centre un groupe quelconque de coulissaux, il est pos-   sible d'arreter tous les groupes et par quite d'immobiliser tous les fils vers la partie intérieure du peigne sans avoir   à recourir au mécanisme'auxiliaire décrit ci-dessus, en supprimant du même coup tous les   ressorts   de rappel extérieurs (figurerà   10 )  Le verrouillage et de déverrouillage des coulisseaux sont alors réalisés par tout moyen mécanique   ou   électriques. 

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   Un sutresystème d'ouverture de la foul est   représenté   sur la figure 14. Dans ce cas, c'est la navette elle-même qui provoque cette ouverture. Pour obtenir ce résultat, la navette   porte à   l'avant une antenne 18 pivo- tée en 19 au corps de la navette. L'antenne 18 est, par un mécanisme convenable, animé d'un mouvement oscillant qui lui fait prendre alternativement les fils 2 et 2' et les fait glisser à droite et à gauche du corps de la navette qui$ dans ce but, reçoit une form aérodynamique, appropriée /Dans ce ces toutefois. on doit prévoir un nombre impair de file de chaine, de manière à obtenir le croisement à chaque tour. 



   Lorsque le tissu est termine, il se présente sous la forme d'un cylindre. Ce cylindre est aplati, fendu verticalement suivant des génératrices ( par exemple deux génératrices diamétralement opposées ) et enroule ensuite sur des eneouples de la manière représentée shcématiquement en perspective sur la figure 1 dans le cas ou le tissu est fendu suivant deux génératrices diamétralement opposées. 



   Dans ce cas, schématiquement chaque nappe 25, 
25' du tissu passe entre deux cylindres en acier, garnis, par exemple, de caoutchouc dur, 20 et 21 ( figures I et 15) 
Le cylindre   20   est monté dans des paliers solidaires du bâti et reçoit la commande d'enroulementLe cylindre 21 est monté fou dans des paliers qui peuvent coulisser hori- zontalement dans deux glissières ( non représentées), de telle aorte cue ce cylindre soit constamment apllqué sur le cylindre 20, avec une pression donnée, sous l'action d'un   contre-poids   22.

   Pour permettre d'engager la toile entre les   eylindres   l'action du contre-poids peut   lire   supprimée par le levier 23 et la came 34.A la sortie de ces cylindres, chaque nappe   25,,   25' s'enroule sur un   ensou-   ple 26, 26'. 

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   La rotation du cylindre 20 est assurée de façon continue en synchronisme avec le déplacementde la navette à partir de l'arbre 9, par exemple par un train d'engre- nages ( non représenté) donnant une avance en rapport avec le numéro de la toile en fabrication. 



   Les ensouples 26p26' peuvent, à leur   tour,être     /entratnés à   partir du cylindre 20 par exemple par des courroies 
27, 274, mais on pourrait aussi utiliser au autre mode de transmission ou mime prévoir pour chaque ensouple un moteur synchronisé commandé de façon appropriée. La vitesse de rotation des ensouples doit être légèrement supérieure au débit de la toile par des cylindres 20, 21 en particulier au départ quand le diamètre d'enroulement est minimum. On doit également prévoir la possibilité   d*enw   lever un ensouple sans arrêter le métier par exemple en débrayant la transmission par les courroies 27, 27'. 



   Enfin, un compteur ( non représenté) de type connu, monté sur chaque   ensouple   permet de mesurer à chaque instant la longueur de toile tissée. 



   Le processus décrit ci-dessus n'est que schéma- tique, et, en pratique, on opère de façon différente le développement du cylindre suivant qu'il s'agit   d'un   tissu textile ou métalique. 



   Dans le premier   eau,   avant de fendre le tissu on procède à l'encollage   d'un   certain nombre de bandes de tissu convenablement   placées au   moyen d'un produit dont /le séchage rapide ( par exemple par polymérisation à froid ou à chaud) forme une sorte de lisière suffisamment due pour permettre une tenue du tissu analogue à celle que donnerait une lisière ordinaire. Le produit pour l'encollage est distribué sous pression ou par gravité, suivant la position des lignes de coupe du tissu.

   On fend alors le tissu suivant l'axe de chacune des bandes   d'encollage   ainsi      

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 formées, par un moyen approprié, et les nappes   ;passant   entre deux cylindres et s'enroulent sur des ensouples comme on l'a décrit précédemment. 



   Dans le cas d'une toile métallique, on opère sur le cylindre de tissu, et suivant n génératrices diamétralement opposées deux à deux, une soudure électrique, continue des fils de trarne et des fils de chaine. Cette soudure intéres- sant au moins quatre fils de chaine, on fend verticalement le cylindre suivant les axes de ces n zones de soudure. 



     Les n   portions de cylindre ainsi obtenues sont   redres-   sées et ramenéos à une figure plane au moyen de n surfaces gauches dont le profil est déterminé pour éviter des distor- sions locales par différence de longueur des fils, 
Chacune de ces n nappes du tissu passe ensuite entre deux cylindres en acier garnis par exemple de caoutchouc dur et analogues aux cylindres 21 mais de préférence disposés l'un au-dessus de l'autre. Le cylindre inférieur est monté dans des paliers solidaires du bâti et reçoit la commande de roulement. 



   Le cylindre supérieur est monté fou dans des paliers qui peuvent coulisser verticalement dans deux glissières, de telle sorte que ce cylindre soit constamment appliqué sur le cylindre inférieur avec une pression donnée sous l'action, par exemple, do deux vérins hydrauliques. 



   A la sortie de ces cylindres, chaque nappe s'enroule sur un ensouple, comme en 26,26'. 



   Dans le mode de réalisation décrit ci-dessus le peigne 5 est continu et le cylindre fermé. Il est donc , nécessaire, lorsque la provision de fil de la navette est épuisée, d'arrêter le m6tier pour placer une nouvelle bo- bine chargéo. On peut éviter cet arrêt et réaliser un fonc- tionnement continu en utilisant le dispositif représenté 

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 sur   la   figure 16. 



   Dans ce cas, le peigne 5 est interrompu sur une longueur un peu supérieure à celle de la navette. et en intercale un barillet 28 qui porte les galets chargés et les galets vides, au moyen de supports 29 qui, lorsqu'ils sont en position, prolongent les chemins de roulement 12 et assurent la rotation continue de la navette. 



   Le fonctionnement du dispositif est le   suïvant :   
Lorsqu'un galet placé eur de navette va être vide, un dispositif de sécurité dit "navette-vide", qui ne fait pas partie de l'invention, provoque la rotation du barillet 28 et la présentation d'un galet chargé 13. Dans sa course$ la navette accroche alors au passage le galet chargé et laisse derrière elle le galet vide, puis le barillet 28 tourne   à   nouveau de manière à présenter un chemin libre au passage suivant de la navette, en même temps que s'effectue la coupure du fil de la duite précédente et de la navette. Ce dispositif présente toutefois l'inconvénient de perdre une certaine quantité de fil de trame, puisqu'il n'existe pas de fils de chaîne a l'endroit de la coupure ou se loge le barillet.

   Cette perte est de   l'ordre   de 2%, partiellement récupérable. 



     Enfin,   on peut prévoir pour ce métier des dis- positifs de sécurité avertissant dans le cas de rupture du fil de chaîne ou du fil de   trame,   et lorsque la navette est   vide ;  ces dispositifs ne font toutefois pas partie de l'invention. 



   11 doit être entendu que les détails de résli- cation décrits et représentés ne l'ont été qu'à titre   d'exem-   plot et peuvent subir des modifications sans sortir de l'esprit de l'invention.   En   particulier, la commande des 

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 navettes par électro-aimant peut être remplacée par un moteur électrique monté   sur   chaque navette et   entraînant   les chenilles. Dans ce cas, les mouvements du metier sont réxgés en synchronisme avec le déplacement angulaire de la navette par   l'intermédiaire   d*une cellule puoto-élec trique qui pointe chaque passage de la navette et envoie au moteur principal des "tops" de synchronisation.

   Dans le gas général, la commande du métier se réduit à la   rota'-.   tion de l'arbre vertical 9 à partir duquel sont commandés tous ,les autres mouvements ( entraînement des navettes 6, ouverture de la foule et rotation des ensouples 26, 26' ). 



   Dans une autre variante de commande de la na- vette, celle-ci peut être suspendue à une   tige à   peu près verticale, et son mouvement est alors celui d'un /Manège. Dans ce cas, l'ouverture de la foule doit   être     assuréesur   toute la hauteur du métier et les bobines de chaîne doivent suivre ce mouvement d'ouverture. IL est alors possible d'alimenter les navettes au moyen de bobines-canettes disposera la partie supérieure du métier. 



   Enfin, le mouvement de la navette, sur son chemin de ' roulement peut être réalisé par roulement à bil- les à aiguilles. etc...ou même par crémaillère en ttili- sant les dents-du peigne. 



   D'autre part, ail doit être bien entendu que la disposition décrite peut être inversée, les bobinée 
3 de fil de chaîne se trouvant à la partie inférieure du métier et les ensouples   26,   26' en nautiles ensouples chargés pouvant, dans ce cas, être enlevés par un trans". porteur approprié. Les bobines 3 pourraient meême être placée latéralement. 



   On pourrait aussi, pour éviter les chances de 

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 rupture des fils de chaine, assurer l'ouverture de façon permanente par l'emploi d'un contre-harnais par exemple sem- blable à celui des figures 5 et 6, placé au-dessus (ou au- dessous, suivant que les bobines sont en haut ou en bas) du harnais principal, à une hauteur convenable pour donner 1' écartement voulu tout en maintenant au fil une tension cons- tante. Ce contre-harnais serait animé d'un mouvement oscillant déplacé de   90#   par rapport au mouvement du premier harnais : de cette manière, la longueur totale du fil resterait constan- te, et l'on risquerait moins de provoquer une rupture, en soumettant le fil à. des efforts répétés, 
Ce dispositif peut s'appliquer aussi dans le cas où la navette est commandée par manège. 



   Enfin, dans le cas où l'on divise la toile tissée en trois ou plusieurs nappes, il doit être entendu que'l'on pré- voit pour chaque nappe les deux cylindres 20 et 21 et un ensouple 26, chaque nappe étant conduite aux cylindres 20 et 21 par un dispositif approprié au nombre de nappes. 



   A titre d'exemple de rondement d'un métier de ce type, de 1 mètre de diamètre, si l'arbre 9 tourne à   250     tour s/minute,   en utilisant deux navettes et un fil de 16/10, ce qui   repré-   sente 500 duites à la minute, on tissera 1,6 X 500 = 800 mm ou 0,80mde toile à la minute, en deux bandes   de   mètre =   1,6   m environ de large.

Claims (1)

  1. RESUME L'invention a pour objet : 1#- Un métier à tisser circulaire pour fils textiles ou métalliques, caractérisé par le fait que : a) les fils de chaine sont disposés suivant les génératrices d'un cylindre vertical et alimentés par des bobines placées à une extrémité, par exemple en haut, du métier, en nombre égal à celui des fils; <Desc/Clms Page number 18> b) la ou les navettessont animées d'un mou- vement de rotation uniforme sur un chemin de roulé-ment cir- culaire, sont chargées d'une grande quantité 40 fil de trame et sont commandées par un moteur électrique indivis duel, par un électro-aimant extérieur ou par manè ge. c) l'ouverture de la foule est commandée par harnais ou par la navette ;
    d) le produit fini est obtenu sous forme d'un cylindre qu'on aplatit qu'on fend suivant deux ou plu- séurs génératrices, et dont chaque nappe s'enroule sur un ensouple.
    2 - Divers détails de réalisation de ce métier d'après lesquels : a) chaque navette est montée sur un chemin de roulement suspendu sous le peigne circulaire par exemple par le moyen de galets et de chenilles en caoutchouc, ce chemin de roulement étant légèrement incliné vers l'intz- rieur pour compenser les forces centrifuges ; b) chaque navette roule sur le poigne et sur deux tôles circulaires latérale par l'intérmédisire de galets placée les uns sous la navette et les autres sur ses cotée, montés sur roulements à billes e de préférence garnis de bandages amortisseurs; c) un arbre tournant vetitical axial porte un certain Nombre de bras horizontaux aux extrémités des- quels sont des électro-aimants qui entraînent par attrac tion magnétiques les navettes correspondantes :
    de prêtés rence, ce dispositif est symétrique et correspond à deux, quatre ou six navettes ; d) l'ouverture de la foule est commandée par deux excentriques calés à 120 et communiquant un mouvez Ment de va-et-vient à des tiges percées d'un oeil pour le passage des fils de chaîne et coulissant dans deux cou- <Desc/Clms Page number 19> ronnes concentriques;
    e) l'ouverture de la foule est assurée par* des harnais constitués par des lisses en nombre égal à lui des fils de chaine et dont chacune est reliée, par l'intermédiaire de ressorts, d'une part, à l'intérieur du métier, à l'organe assurant le va-et-vient et, d'autre part, à l'extérieur du métier, à un point "semi-fixe, c'est-à-dire fixe normalement mais que l'on peut déplacer à volonté, le ressort extérieur étant plus puissant que le ressort intérieur, et le déplace- ment du point "semi-fixe" permettant d'amener tous les fils de chaine d'un même côté de la navette, de façon à dégager cette dernière, en particulier pour en permettre le rechar- gement; f) la tension des fils de chaine est assurée par un ressort spiral logé dans chaque bobine de fil;
    g) dans le cas d'un tissu métallique, on transforme le tissu obtenu sous forme do cylindre en nappes planes en réalisant une soudure électrique continue de plusieurs fils de chaine et de trame le long de n génératrices verticales, après quoi on fend le cylindre suivant l'axe de ces lignes de soudure; h) dans le cas d'un tissage textile, on encolle un certain nombre de bandes de tissu convenablement placées au moyen d'un produit à séchage rapide donnant une sorte de lisière suffisamment dure, après quoi on fend le tissu sui- vant chaque ligne d'encollage;
    i) chaque nappe de toile tissée passe entre deux cylindres et s'enroule sur un ensouple, l'écartement des cylindres étant réglable suivant l'épaisseur du -tissu en- roulé de façon que ces cylindres se trouvent en contact avec une pression suffisante pour assurer un entrainement correct du tissu, un des cylindres étant entrainé à partir <Desc/Clms Page number 20> de l'arbre central de commande visé ci-dessus en c) et entrai- nant à son tour les ensouples, par exemple par courroie, 32- Un premier mode de commande des navettes dans le- quel chaque navette est munie d'un moteur électrique action- nant directement les galets de roulement;
    dans ce cas, les autres mouvements sont effectués en synchronisme grâce à une cellule photo-électrique pointant chaque passage de la navette et envoyant des "tops" de synchronisation aux organes de com- mande des autres moteurs.
    4#- Un second mode de commande des navettes dans le- quel les navettes sont suspendues à des tiges à peu près verticales, et commandées par un manège situé à la partie su- périeure du métier, l'ouverture de la foule se faisant dans ce cas sur toute la hauteur du métier et les bobines de fil de chaine suivant le mouvement d'ouverture de la foule.
    5#- Divers détails de réalisation du système de harnais visé en 2#, d'après lesquels : a) plusieurs lisses sont reliées à un mêma ressort et les ressorts sont disposés sur plusieurs étages; b) à l'intérieur du métier, chaque ressort est fixé à un coulisseau qui se déplace dans une partie de l'organe transmetteur de mouvement sous l'action d'un galet qui roule sur le chemin intérieur d'un excentrique formant came; c) les coulisseaux superposés sont normalement / solidarisas par des taquets, mais un système de verrous basculants à commanda électro-magnétique permet d'immobili- ser certains étages de coulisseaux pour le tissage suivant des armures différentes.
    6#- Dans le cas du système de harnais visé en 2# e), un mécanisme pour déplacer le point "semi-fixe" présentant les caractéristiques suivantes : <Desc/Clms Page number 21> a) un câble est relié, d' une part,à un point fixe du bâti du métier avec interposition de deux poulies de renvoi, l'une fixe et l'autre mobile, et, d'autre part, au point "semi-fixe"; b) la poulie mobile est montée à l'extrémité d'un coulisseau, et l'ensemble de ces coulisseaux est réparti par moitié sur deux étages, de part et d'autre d'un axe horizontal; c) chaque coulisseau porte un-galet qui peut venir en contact avec les chemins intérieurs d'une came à profil symétrique montée sur l'arbre vertical de commande du méca- nisme;
    d) normalement, les coulisseaux sont écartés de la came par des verrous; e) deux électro-aimants excités au moment voulu font sortir de la jante de la came deux doigts qui, en tournant, font successivement basculer les verrous précités et libèrent ainsi les coulisseaux.
    7#- Une variante du mode d'ouverture de la foule dans laquelle celle-ci est produite par la navette qui, à cet effet, porte à l'avant une antenne animée d'un mouvement oscillant de façon à faire glisser alternativement un fil de chaque côté du corps "aérodynamique" de la navette.
    8#- Une autre variante du mode d'ouverture de la foule, dans laquelle la longueur totale du fil de chaine est maintenue constante grâce à un contre-harnais déphasé de 90# par rapport au harnais principal, placé au-dessus de lui à une hauteur convenable, ce qui évite les efforts de traction risquant d'amener une rupture du fil; cette variante peut s'appliquer à la commande de la navette par manège. <Desc/Clms Page number 22>
    9#- Un dispositif accessoire d'alimentation ,.des navettes constitué par un barillet placé dans une coupure du peigne circulaire, portant des galets vides et des galets chargés, dont la rotation est commandée automatique- ment lorsque la navette est sur le point d'être vidéo, de façon que la navette, dans sa course, prenne un .galet chargé et laisse un galet vide, le barillet tournant aloss pour laisser le passage à la course suivante de la navette.
    10#- Un autre dispositif d'alimentation des navettes dans lequel les "bobines-canettes" sont disposées à la partie supérieure du métier, la commande desnavettes se faisant par manège comme indiqué en 4#
    BRUXELLES.- ' Monsieur leDirecteur, Demande de brevet belge au nom de la société : DUNOD & Cie, déposée le 30 avril 1948 sous le n 374. 834 N/réf; B.15.608 Nous vous signalons à toutes fins utiles qu'une erreur s'est glissée dans le nom de la Société demanderesse.
    Cette Société porte la dénomination suivante : QUALITEX SOCIETE DUNOD ET Cie Nous vous remettons sous ce pli Le Quotidien Juri- dique du 29 mars 1947, sur lequel sont mentionnés (page 9) la forme et le nom exacts de la Société déposante.
    Veuillez avoir l'obligeance de nous renvoyer dû- ment certifiée la copie timbrée ci-annexée de la présente.
    Nous vous saurions gré de bien vouloir verser la présente au dossier de la demande et d'en délivrer une copie aux personnes qui vous demanderaient une copie du brevet.
    Nous vous remettons ci-joint un timbre fiscal de 15 francs en paiement de la taxe due pour les régularisations de l'espèce. EMI23.1
    Veuillez agréer, Mensieur le Direc o lu- tations distinguées. " É8"* " é 'l'
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