BE473125A - - Google Patents

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BE473125A
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Publication of BE473125A publication Critical patent/BE473125A/fr

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    • BPERFORMING OPERATIONS; TRANSPORTING
    • B21MECHANICAL METAL-WORKING WITHOUT ESSENTIALLY REMOVING MATERIAL; PUNCHING METAL
    • B21DWORKING OR PROCESSING OF SHEET METAL OR METAL TUBES, RODS OR PROFILES WITHOUT ESSENTIALLY REMOVING MATERIAL; PUNCHING METAL
    • B21D53/00Making other particular articles
    • B21D53/46Making other particular articles haberdashery, e.g. buckles, combs; pronged fasteners, e.g. staples
    • B21D53/50Making other particular articles haberdashery, e.g. buckles, combs; pronged fasteners, e.g. staples metal slide-fastener parts

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  • Engineering & Computer Science (AREA)
  • Mechanical Engineering (AREA)
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Description


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  Procédé et appareil pour fabriquer des fermetures instantanées à curseur. 



   Cette invention concerne un procédé pour fabri- quer des fermetures instantanées à curseur, un appareil pour la mise en oeuvre de ce procédé et le produit résul- tant   cdu@@   procédé. 



   Dans la fabrication des fermetures,à curseur, un ..des produits intermédiaires est généralement une bande de fermeture, c'est-à-dire une pièce allongée qui peut affec- ter la forme d'un ruban,,sur l'une des tranches duquel sont disposés des éléments qui seront appelés l'éléments d'agra- fage ou agrafes" dans la description ci-après. Dans la fabrication des bandes de fermeture, des progrès d'une impor- tance capitale ont été réalisés par des modifications du, mode de fabrication, grâce auxquelles on a obtenu des avan- tages importants pour le fonctionnement et la valeur du produit, à la fois au point de vue économique et au point de vue mécanique. 



   Dans tous les cas on a cherché à obtenir une bande de fermeture dont les agrafes s'accrochent solidement les unes aux autres et n'aient aucune tendance à se séparer 

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 les unes des autres sous l'action d'un effort latéral. Il est également souhaitable que les agrafes forment à l'état de fermeture un ensemble permettant un déplacement rapide et un montage bien ajusté du curseur faisant office de came d'accrochage et de décrochage des agrafes, et permettant également l'emploi d'un curseur de constitution simple. 



   Un autre résultat recherché est la réalisation d'un appareil de construction simple, se prêtant à l'intro- duction d'une bande métallique en un point et un ruhan- support en un autre point, et qui fournisse une bande de fermeture terminée sortant en un troisième point. Il est souhaitable que cet appareil soit d'une construction assez simple, qu'il n'exige que peu ou même aucune attention, et peu ou aucune réparation pour le bon fonctionnement. Un point'important pour le prix de revient d'un produit tel qu'une fermeture instantanée à curseur est la durée pendant laquelle l'appareil est arrêté pour subir des réparations, et ne produit pas.

   En effet, la réduction de la durée des arrêts nécessaires de cet appareil, pour le remplacement des organes usés, abstraction faite des réparations par suite de ruptures, abaisse le prix de revient de la fermeture à curseur produite par l'appareil. 



   Un but de l'invention est de simplifier le fonction- nement des appareils pour fabriquer les fermetures à cur- seur de telle manière qu'il n'exige du mécanicien aucune expérience particulière pour les réparations ou le   rempla-   cement d'organes. Ces appareils comportent des organes se déplaçant à grande vitesse, introduisant dans l'ensemble des vibrations qui, entre autres facteurs, réduisent la durée de fonctionnement de l'appareil. Un but de l'inven- tion consiste également à construire un appareil de ce type de telle manière que les vibrations soient réduites au 

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 minimum.. 



   L'appareil qui sera décrit ci-après reçoit une simple bande de métal, forme et sépare une agrafe de ferme- ture de cette bande et la fixe sur un ruban. Cet appareil est construit pour exécuter ces opérations avec une vitesse telle qu'un ruban continu, dont la tranche est garnie d'agrafes'de fermeture, semble défiler hors de l'appareil. 



  Un seul organe animé de mouvements de va-et-vient forme, découpe et fixe les agrafes sur le ruban à chaque mouvement de va-et-vient. 



   Les organes de l'appareil sont disposés de telle. manière, que tous les organes d'entraînement soient alignés avec l'arbre principal pour qu'il en résulte une transmis- sion excentrée sensiblement réduite, ou même nulle, et que la transmission des efforts ait lieu sensiblement dans une direction verticale et vers le socle de l'appareil. 



   La réduction résultante des oscillations latérales au cours du fonctionnement de l'appareil limite les vibra- tions presque exclusivement à celles provenant du choc verti- cal du poinçon sur la bande métallique. Etant donné que presque tous les organes de commande de l'appareil, qui se déplacent dans un sens au moment du choc, sont ainsi équi- librés dans une large mesure, les efforts qui ont normale- ment tendance à produire des .vibrations très violentes pendant le fonctionnement d'un   appareil   de ce genre sont ainsi éliminées. 



   Dans la production des bandes de fermeture à cur- seur, le problème des déchets est d'une grande importance. 



  Pour réaliser une économie, on doit éviter les pertes de métal. De nombreux appareils dits "sans déchets"'sont impropre- ment désignés de cette manière. En effet, dans presque tous les cas, les appareils\produisent des déchets. Il a été 

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 constaté que, dans certains cas où certains éléments étaient indiqués, aucun procédé ne pouvait être garanti pour la pro- duction de ces éléments. Dans un autre cas, on a proposé la fabrication d'agrafes de fermeture par incision du métal et repliement du métal à l'aide d'un dispositif d'écarte- ment mécanique.Pour un fil métallique de très faible gros- seur, ce procédé est pratiquement inapplicable. Un poinçon d'écartement détruirait le métal plutôt que d'y pratiquer une incision. 



   Un but de l'invention est de fabriquer des bandes de fermeture à curseur en confectionnant une agrafe de fer- meture et en la fixant sur un ruban, cette opération fai- sant partie d'un cycle continu, tandis qu'une bande de métal est conformée en agrafes qui sont ensuite fixées sur le ruban en un cycle continu d'opérations ne produisant aucun déchet, utilisant la totalité du métal de la bande métallique pour la confection des agrafes et n'exigeant aucune incision de la bande pour la confection de ces agrafes. 



   Les déchets produits par les appareils dits "sans déchets" ont une action Importante sur l'efficacité du fonc- tionnement. Le produit est un élément très fin, similaire à un objet de joaillerie. Les déchets provenant de la fabri- cation de ces agrafes sont donc très petits, et ont tendance à adhérer aux organes mobiles de l'appareil quel que soit le mode de leur évacuation imaginé par le constructeur de l'appareil. Les organes mobiles qui produisent les agrafes sont à leur tour très petits et, par suite de leurs faibles dimensions, ils sont exposés à être endommagés par des chocs imprévus occasionnés par ces petits déchets.

   Etant donné que les organes se déplacent à grande vitesse, il est néces- saire de résoudre le problème de l'élimination des déchets car, autrement, l'appareil est exposé à des périodes d'arrêt, 

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 par suite de ruptures ou de détériorations d'organes sous l'action des déchets, ces organes devant-être remplacés ou réparés. 



   Un autre but de l'invention est d'éviter complè- tement la formation de déchets dans la fabrication des agrafes de fermeture et lors de leur fixation sur le ruban en vue de la confection de bandes de fermeture à curseur. 



   Un autre but de l'invention est de créer une presse rendant inutile le renversement de l'appareil pour la réparation ou le remplacement des poinçons ou matrices. 



   Dans les dessins annexés:- 
La fig.l est une vue en élévation latérale de l'appareil possédant certaines caractéristiques de l'inven- tion, le socle, le bâti et la bobine de fil métallique étant partiellement arrachés, de même qu'un réservoir à huile, pour permettre la description d'autres organes de l'appareil. 



   La fig. la est une vue en plan d'une portion d'une bande de fermeture à curseur telle qu'elle est produite par l'appareil que montre la fig. 1. 



   La fig. 2 est une vue en élévation de l'appareil d'après la fig.l prise par le c8té droit de la fig.l, le bâti, la bobine de fil métallique, ce fil lui-même et une partie du socle étant supposés enlevés, tandis que la cour- roie   d'entraînement   est partiellement arrachée et représen- tée en coupe. 



   La fig.3 est une vue en élévation à plus grande échelle de certaines parties des dispositifs   d'entraînement   du fil et du ruban d'après la fig.l. 



   La fig. 4 est une vue en élévation latérale d'un détail des dispositifs que montre la fig. 3, la bielle d'accouplement étant montrée en coupe, tandis que d'autres organes de l'appareil ne sont pas représentés. Pour plus de 

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 clarté, l'ensemble formé par la came et l'excentrique est également représenté en coupe. 



   La fig.5 est une vue détaillée en élévation de face de l'ensemble du bélier, de son guide et de la traverse de tête avec le socle. 



   La fig. 6 est une vue en plan de l'appareil d'après la fig.5, le socle étant supposé enlevé. 



   La fig. 7 est une vue en élévation à plus grande échelle des dispositifs d'entraînement et de mise sous tension du ruban, prise par le c8té droit de la fig.l, le guide du bélier et d'autres éléments de l'appareil étant supposés arrachés. 



   La fig.7a est une vue plus grande échelle   d'une   partie de la roue d'entraînement du ruban, cette figure mon- trant de quelle manière la bande de fermeture coopère avec la roue d'entraînement. 



   La   fig.8   est une vue en élévation latérale d'un détail de l'appareil d'après la fig.7, et montre le support portant le dispositif d'entraînement du ruban ainsi que les organes associés coopérant avec la roue d'entraînement du ruban, la bande de fermeture étant représentée en traits mixtes. 



   La fig. 9 est une vue en coupe verticale longitu- dinale à plus grande échelle du carter principal, certaines parties du socle étant arrachées et d'autres parties de l'appareil étant supposées enlevées, tandis que le guide du bélier et les organes associés sont représentés en traits mixtes. Le volant et la poulie sont représentés en coupe partielle, de même que l'arbre principal et les bielles d'accouplement. 



   La fig. 10 est une vue en élévation, avec certai- nes parties représentées en coupe, de la bielle d'accouple- 

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 ment assemblée avec l'arbre de commande'et l'axe de transmis- sion d'après la fig.9. 



   La fig.ll est une vue en élévation à plus grande échelle, avec certaines parties représentées en coupe, du dispositif d'entraînement du fil métallique que montre la fig. 2. 



   La fig. 12 est une vue en bout de l'appareil d'après la fig. 11, montrant la combinaison de cet appareil avec des dispositifs de guidage du fil et la bâti. 



   La fig. 13 est une vue en élévation d'une partie des organes de freinage du dispositif d'entraînement du fil, l'arbre étant représenté en coupe, tendis que le bâti est indiqué en traits mixtes. 



   La fig. 14 est une vue en élévation de face de l'appareil que montre la fig. 13. 



   La fig. 15 est une vue similaire à la fig. 13 du dispositif de freinage associé avec le dispositif d'entraî- nement du ruban. 



   La fig. 16 est une vue en élévation de face du dispositif que montre la fig. 13. 



   La fig. 17 est une vue en plan d'une bande de métal telle qu'elle'se présente lorsque son extrémité a été conformée et découpée par le dispositif conformateur des agrafes. La bande métallique est interrompue   et la   figure montre une partie du ruban., 
La fig. 18 est une vue en plan d'une agrafe que produirait l'appareil représenté, si cet appareil fonction- nait sans fixer l'agrafe directement sur le ruban. 



   La fig. 19 est une vue en plan d'une agrafe fixée sur le ruban en une phase intermédiaire de l'opération de fixation de l'agrafe sur le ruban qui est représenté en coupe. 

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   La fig. 20 est une vue en plan d'une agrafe fixée sur le ruban après la dernière phase de la fixation des agrafes suivant le procédé, le ruban étant représenté en coupe. 



   La fig. 20a est une vue en coupe verticale trans- versale d'une agrafe telle que la montre la fig. 20, mais sans le ruban-porteur. 



   La fig. 21 est une vue en élévation de face de l'ensemble du bâti, du bloc porte-matrices, des platines de serrage et du bloc porte-poinçons, les organes de ser- rage du bloc porte-matrices, des supports des platines de serrage et du guide des poinçons n'étant pas représentés, de même que les organes de fixation du bloc porte-poinçons sur le bélier. 



   La fig. 22 est une vue en élévation latérale de l'appareil que montre la fig.21, le socle étant représenté en coupe pour montrer le bloc porte-matrices et le support des platines de serrage, ces dernières étant elles-mêmes représentées en coupe tandis que le bélier est indiqué en traits mixtes . 



   La fig.   23   est une vue sur la face inférieure d'un bloc porte-matrices suivant l'invention. 



   La   fig.24   est une vue en élévation latérale du bloc représenté par la fig.23, la plaquette de retenue du bloc étant représentée en traits mixtes. 



   La fig. 25 est une vue en bout du bloc porte- matrices que montre la fig.23. 



   La fig. 26 est une vue sur le dessus de l'ensemble du bloc porte-matrices et de l'organe de retenue du fil que montre la fig. 23. 



   La fig. 27 est une vue du bloc porte-matrices prise dans un plan indiqué par la ligne   27-27   de la figure 26. 

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   La fig. 28 est une vue en élévation de l'organe de retenue du fil. transversale 
La fig. 28 a est une vue en coupe verticale d'une partie de l'organe de retenue du fil, prise dans un plan indiqué par la ligne 28a-28a de la fig.28. 



   La fig. 29 est une vue en plan de l'organe repré- senté par la fig. 28. 



   La fig. 30 est une vue en élévation de la platine de serrage ou du plieur pour la fermeture des éléments d'agrafage sur le ruban. 



   La   f ig.   31 est une vue en coupe verticale trans- versale de la plaque de serrage, suivant la ligne 31-31 de la fig. 30. 



   La fig. 32 est une vue partielle en bout à plus grande échelle, montrant le fonctionnement des organes de pliage ou de serrage. 



   La fig. 33 est une vue en élévation du bloc porte- poinçons montrant l'organe amovible de retenue des poinçons et ces poinçons en position d'assemblage avec cet organe de retenue, les éléments de serrage des poinçons étant indiqués en traits mixtes. 



   La fig. 34 est une vue en plan du bloc porte- poinçons de la fig. 33, l'élément de retenue des poinçons étant représenté dans sa position d'emploi. 



   La fig. 35 est une vue en plan du bloc porte- matrices, la position de l'un des guide-fil étant indiquée en traits mixtes. 



   La fig. 36 est une vue en bout du bloc de la fig.35, prise par le côté gauche de cette fig. 35. 



   La fig.   37   est une vue en élévation du support des platines de serrage; 
La fig. 38 est une vue en coupe transversale 

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 suivant la ligne 38-38 de la fig. 37. 



   La fig. 39 est une vue en élévation d'une platine de serrage ou organe de pliage coopérant avec le support que montre la fig. 37. 



   La fig. 40 est une vue en bout de la platine de serrage que montre la fig. 39, prise du côté gauche de la   f ig.   39. 



   La fig. 41 est une vue en élévation d'un verrou pour le support de platine de serrage. 



   La fig. 42 est une vue en plan du verrou repré- senté par la fig. 41. 



   La fig. 43 est une vue en élévation d'un élément à came à assembler avec le bloc porte-poinçons pour action- ner la platine de serrage ou l'organe de pliage. 



   La fig. 44 est une vue en bout de l'élément à came que montre la fig. 43. 



   La fig. 45 est une vue en plan d'un élément à came pour le débrayage du dispositif d'entraînement du ruban. 



   La fig. 46 est une vue en bout de l'élément que représente la fig. 45. 



   La fig. 47,est une vue en plan de l'élément des- tiné à coopérer avec l'élément à came représenté par la fig. 45. 



   La fig. 48 est une vue en bout de l'élément repré- senté par la fig. 47. 



   La fig. 49 est une vue en plan d'une partie du dispositif de guidage du fil. 



   La fig.50 est une vue en bout de la partie que montre la fig. 49. 



   La fig. 51 est une vue en plan d'une partie coopé- rant avec la partie représentée par la fig. 49. 

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   La fig.   52   est une vue en bout de la partie repré- sentée par la fig. 51. 



   La fig. 53 est une-vue d'ensemble, montrant la disposition sur le socle de l'appareil des parties que représentent les figs. 42 à 52. 



   La fig. 54 est une vue en plan d'un détail du dispositif tendeur du ruban. 



   La fig. 55 est une vue en élévation latérale du dispositif que montre la fig. 54. 



   La fig. 56 est une vue en coupe transversale suivant la ligne 56-56, de l'ensemble du bloc porte-poinçons, de l'organe de retenue des poinçons et des poinçons, re- présenté par la fig. 33. 



   La fig. 57 est une vue sur la face inférieure des deux poinçons, dans leur position d'assemblage. 



   La fig. 58 est une vue en élévation de l'un des poinçons représenté par la fig. 57., une extrémité de ce poinçon étant représentée en coupe partielle. 



   La fig. 58a est une vue en plan du poinçon que montre la fig. 58. 



   La fig. 59 est une vue en bout de l'un des poinçons représentés par la fig. 57. 



   La fig.60 est une vue en élévation du poinçon représenté par la fig.59. 



   La fig. 61 est une vue en élévation latérale du poinçon que montre la fig. 60, une partie de ce poinçon étant représentée en coupe. 



   La fig. 62 montre les détails d'une variante d'exé- cution du   dispositif.d'entraînement   du ruban et du fil, les organes associés de l'appareil étant représentés en traits mixtes, tandis que les organes de l'appareil destinés à produire une interruption dans la bande de fermeture sont 

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 représentés en traits pleins. 



   La fig. 63 est une vue en bout de l'appareil représenté par la fig. 62. 



   La fig. 64 est une vue en coupe verticale trans- versale montrant l'assemblage du bloc porte-poinçons, de l'organe de retenue des poinçons et des poinçons, avec le socle, le bloc porte-matrices, l'organe de retenue des matrices et les différentes matrices, ainsi que le bélier. 



   La fig. 65 est une vue en plan d'une partie du socle montrant la disposition relative du bloc porte-matrices, de l'organe de retenue des matrices, des organes de serrage, des plaquettes de retenue et des éléments associés de l'ap- pareil. 



   Les figs. 66, 67, 68 et 69 montrent les détails de l'entraînement et de la conformation du fil par rapport au bord du ruban, ce dernier étant représenté en coupe transversale. 



   L'appareil M (Figs.l et 2) que montre le dessin et qui est destiné è la fabrication de bandes de fermeture 10 (Fig.la) peut comporter un support tel que le socle B sur lequel peut être disposé un carter H. Sur ce socle B peut être fixé latéralement un support F destiné à recevoir une bobine R de fil métallique 12 qui est guidée vers l'in- térieur de l'appareil d'une manière décrite ci-après, pour la confection de bandes de fermeture. 



   Le carter H peut porter presque tous les dispo- sitifs nécessaires à la fabrication des bandes de fermeture à agrafes 10, en partant du fil métallique 12. Ces dispo- sitifs peuvent se composer d'un dispositif   d'entraînement   du fil métallique   W, d'un   dispositif d'entraînement du ruban T et d'un dispositif E pour la conformation et la fixation des agrafes. Le carter H peut être prévu sous la 

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 forme d'une pièce de fonderie creuse 14 qui peut être fixée sur le socle B d'une manière convenable quelconque. La ca- vité 16 (Fig. 9) de la pièce creuse '14 peut former le réser- voir pour l'huile de graissage. A cet effet, un voyant 18 (Fig.l) peut être prévu qui communique avec la cavité 16 pour indiquer le niveau de l'huile dans le réservoir. 



   Dans'l'exemple représenté, le socle B peut être muni de plusieurs pieds 20. Une tablette (non représen- tée) peut être intercalée entre les pieds 20 pour recevoir un   moteur.(non   représenté) fixé sur cette tablette d'une manière convénable quelconque. La force motrice est transmise du moteur par une courroie 26 à une poulie 28 calée sur un arbre principal 30 monté à rotation dans les parois laté- rales 32 de la pièce 14. La poulie 28 peut faire corps avec un volant 34. 



   Des paliers 36 peuvent être prévus sur les parois latérales 32 et 40 pour recevoir l'arbre 30 et ces paliers peuvent être garnis de coussinets 38 alignés axialement. 



  L'arbre 30 se prolonge au delà de la face extérieure de la paroi 40 et porte en ce point une came 42 et un maneton excentré réglable 44. La came (Fige.3 et 4) comporte un collier 43, fixé sur l'extrémité.de l'arbre 30 qui fait saillie par rapport à la paroi 40. Ce collier 43 est fendu diamétralement en 45, pour former une rainure 47 en forme de T. Ce collier 43 porte une came annulaire 49 qui en est rendue solidaire en rotation par un dispositif de fixation convenable quelconque. Un maneton 51 est engagé et coulisse dans la fente 45, et ce maneton est muni d'un carré 53 en prise avec la rainure 47. Un manchon 55 monté sur le maneton 51 fait office de coussinet pour l'ensemble formant un ex- centrique réglable 44.

   Les écrous 57 sont employés pour ,bloquer le maneton 51 et le manchon 55 dans toutes les posi- 

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 tions de réglage par rapport à la fente 45 et à la rainure 47, en vue de faire varier l'excentration de l'excentrique 44. Un capot protecteur 59 est fixé sur la face 48 de la paroi 40 en vue de la protection de ces organes. 



   A l'aide d'une plaque 46, fixée sur la face 48, un tourillon 50 est disposé pour faire office d'axe de pivotement pour un levier 52. Le levier 52 est échancré en 54 et un tourillon 56 est placé dans l'intervalle des deux branches dans lesquelles il est immobilisé..Un galet 58 est monté à rotation sur le tourillon 56 et disposé de façon qu'il vienne s'appliquer sur la came annulaire 49. Un pous- soir de came 60 coulisse dans un alésage 62 et il est rappelé en direction de la came par un ressort 66. L'alésage est formé dans un bossage 64 qui fait corps avec la plaque 46. 



  Le ressort est intercalé entre le fond de cet alésage et le poussoir de came 60, et ce ressort agit en sorte que le bras 52 presse le galet 58 sur la came annulaire 49. La tension du ressort 66 est réglée à l'aide d'une butée mobile 68 prolongée par une tige filetée et prévue au fond de l'alésage 62. 



   La section transversale d'une extrémité du levier 52 est réduite et cette extrémité porte un tourillon 70 formant l'axe d'oscillation d'une fourchette prévue à l'ex- trémité d'un cliquet   72.   Un ressort   74,   accroché par une extrémité sur un prolongement 76 du bras 52, est accroché par son autre extrémité sur le cliquet   72   et le maintient en prise avec les dents d'un rochet 78 du dispositif d'en- traînement   @   du fil. Une chape 80 solidaire de la paroi 82 de la pièce 14 contient un coussinet 84 pour un arbre 86 sur lequel est fixé le rochet 78. L'arbre 86 est parallèle à la paroi 82 et il est monté à rotation dans deux coussinets 88 ( Figs.2, 11 et 12 ) encastrés dans les parois 90 d'un 

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 bottier 92.

   Une roue moletée 94, solidaire en rotation de l'arbre 86, est intercalée entre les parois 90. 



   Au-dessus de la roue 94, entre les parois 90, est disposée une autre roue moletée 96, solidaire d'un axe 98 qui est monté è rotation dans des coussinets 100 encastrés dans des blocs rectangulaires 102 qui peuvent coulisser librement dans deux ouvertures 104. Ces ouvertures 104 sont pratiquées dans les parois 90 au-dessus des coussinets 88. 



  Deux pignons dentés 106 sont fixés ou font corps avec les roues 94 et 96. Ces pignons sont presque toujours en prise l'un avec l'autre pour l'entraînement simultané des deux roues à l'aide de l'arbre 86. 



   Un fil métallique plat 12 est inséré entre les roues 94 et 96. Mais, tout d'abord, il doit passer dans un guide formé par une rainure 108. Cette rainure 108 est pra- tiquée dans la face supérieure d'une glissière 110, fixée sur le bottier 92 en avant de la position des roues moletées 94 et 96. La rainure 108 est disposée aussi près que possible du niveau du sommet de la roue 94 et elle est destinée à guider convenablement le fil 12 par rapport au dispositif de conformation et de fixation E. Une plaquette 112, fixée sur la face supérieure de la glissière 110, ferme la rainure 108 et maintient le fil 12 à l'intérieur de la rainure pen- dant l'entraînement. 



   Des ressorts 114, disposés dans des logements 116 pratiqués dans les parois 20, exercent une pression sur la face supérieure des blocs 102. La longueur des ouvertures 104 permet le déplacement des blocs 102 de telle manière que les roues moletées 94 et 96 soient écartées l'une de l'autre suffisamment pour serrer positivement le fil 12 ayant l'épaisseur nécessaire au bon   fonctionnement   de l'ap- pareil. En même temps, le déplacement des blocs 102 ne doit 

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 pas contrarier   l'engrenèrent   convenable des pignons 106 destinés à l'entraînement des   roue'*'   moletées. Des butées de compression 118 sont disposées d'une manière réglable par rapport aux logements 116 pour faire varier la pression exercée sur les blocs 102. 



   Un support 120 (Figs. 2, 13 et 14) peut être fixé sur la paroi   8%?. Sur   ce support 120 sont fixées les extré- mités 122 de deux lames 124, incurvées en arc de cercle en 126 et disposées pour entourer une bague 128 fixée sur l'arbre 86. Les lames 124 sont conformées de telle manière que les extrémités 122, même après leur fixation sur le support   120,   ou les extrémités opposées 150 soient espacées l'une de l'autre. Un boulon 132 traversant les extrémités la 0 porte un ressort 134 destiné3 donner aux lames l'élas- ticité nécessaire pour appliquer une garniture de freinage 136 en cuir ou une autre matière convenable.contre la surface périphérique de la bague 128. De cette façon, l'action de l'arbre 86 tournant par fractions de tour de rotation ne s'exerce essentiellement que dans un seul sens. 



   Deux tourillons 140 sont ajustés dans des évide- ments circulaires 141 pratiqués dans les parois 90, et on peut les faire tourner   9 l'aide   d'une manette 142. A cet effet, des trous 143 sont percés dans les tourillons 140, et les extrémités de la manette 142 pliée en U sont encas- trées dans les trous et bloquées à l'aide de vis d'arrêt, par exemple. Les tourillons sont munis de méplats 144 qui coopèrent avec la face inférieure 146 des blocs 102. Lorsque la manette   12   est:abaissée, les blocs 102 sont soulevés et il en est de même pour l'axe   98   et la roue moletée 96 et le pignon qu'il porte.

   De cette façon, le dispositif d'en- traînement, formé par les roues moletées, peut être ouvert lorsqu'il s'agit d'introduire le fil dans l'appareil, et il 

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 peut être refermé pour saisir le fil à entraîner vers l'intérieur de l'appareil. 



   Le coussinet 55 du maneton excentré 44 sur l'arbre 30 (Figs. 1 à 4) porte une chape 148 qui, par l'intermé- diaire d'une bielle d'accouplement 150, transmet le mouve- ment à un levier 152. Celui-ci est muni d'un moyeu 154 dans l'alésage duquel s'engage librement un arbre 156. Cet arbre 156 est monté à rotation dans des paliers 158   (Figs.7   et 8) prévus sur un support 160 fixé sur la face 162 de la paroi 164. Un pignon à chaîne 166 peut être fixé sur une extré- mité de l'arbre 156, au delà du moyeu 154. Ce pignon 166 peut servir d'élément d'écartement pour maintenir l'arbre dans une position convenable par rapport aux paliers 158, et aussi pour d'autres buts qui seront indiqués plus loin. 



   Une roue   d'entraînement   168 pour le ruban est fixée sur l'autre extrémité de l'arbre 156 et, en coopération avec le pignon 166, cette roue maintient l'arbre contre tout déplacement axial. La roue 168 est moletée sur sa tranche périphérique, en 170   (Fig.2)   et sur cette tranche vient se placer pour l'entraînement un ruban 172 (Figs. 7a   et8   dont un bord est conformé en bourrelet 174. La roue est périphériquement évidée sur un côté du pourtour moleté, pour présenter une gorge 176 dans laquelle viennent se placer certaines parties des agrafes 178, fixées sur le bourrelet 174. 



   Le levier 152 porte une broche 180   (Figs.l   et 3) sur laquelle est articulé un cliquet 182. Un ressort de traction 184 intercalé entre le cliquet 182 et le levier 152 maintient le bec 186 du cliquet 182 en prise avec les dents d'un rochet 188 monté sur l'arbre 156 entre le moyeu 154 et l'un des paliers 158. 



   En un point entre les paliers 158, le support 160 

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 est échancré (Figs. 7, 15 et 16). En ce point, l'arbre 156 porte une bague 189 qui en est solidaire en rotation. Deux lames métalliques 190 sont fixées par leurs extrémités 192 sur une face 194 du support 160 et elles sont munies de parties incurvées en arc de cercle 196 qui entourent la bague 189. Une garniture de friction 200 en cuir ou en une matière similaire est fixée sur la face intérieure des par- ties incurvées 196 pour coopérer avec la surface périphé- rique de la bague 189, en vue d'exercer une action de frei- nage sur l'arbre   156.   Les lames 190 se terminent extérieu- rememt par des pattes 202 traversées par un boulon 204.

   Un ressort 206 est intercalé entre une patte 202 et des écrous de butée vissés sur le boulon 204 pour produire un serrage élastique et réglable du dispositif de freinage. Ce dispo- sitif de freina.ge empêche l'inversion du mouvement de rota- tion de l'arbre   156   lorsque le bec 186 est rappelé vers sa position de départ sur le rochet 188 après l'avoir fait tourner dans le sens de l'entraînement. 



   Pour assurer un entraînement positif du ruban- porteur des agrafes, un sabot de freinage ?08   (Figs.   1, 7 et 8) est poussé élastiquement en direction de la périphérie moletée   170.   La surface de friction 210 du sabot 208 est conformée pour épouser la surface périphérique de la roue 168. Mais cette surface de friction 210 est lisse. Une tige 212, articulée en 214 sur le sabot 208, coulisse dans une ouverture 216 pratiquée dans un bras-support 218. Ce bras 218 est fixé sur un autre bras 220 partant vers le haut du support 160. Un ressort 222 est intercalé sur la tige 212 ,entre le bras 218 et le sabot 208 pour appliquer celui-ci avec la pression   désirée   sur le ruban, qui passe entre les surfaces 170 et 210. 



   Une broche 224, solidaire de la tige 212 et en 

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 prise avec une encoche 226 pratiquée sur le bras 218 empêche toute rotation de la tige 212. Une bague 228 (Figs. 



  8, 45 à 48) est fixée sur le prolongement extérieur de la tige 212, au delà du bras 218, et elle est munie d'une sur- face 230 présentant une nervure diamétrale 232 en forme de came. Cette nervure 232 est conformée pour venir en prise avec une rainure 234 pratiquée dans une bague 236. Cette dernière est montée librement sur la tige 212 et elle est munie d'une surface plane 238 destinée à venir buter contre le bras 218, sur lequel elle est appliquée.par l'action du ressort 222. Un levier de manoeuvre 240, solidaire de la bague 236, permet de faire tourner celui-ci autour de la tige 212, pour dégager la nervure en forme de came 232 de la rainure 234.

   La tige 212 est ainsi déplacée à l'encontre de l'action du ressort 222, pour écarter le sabot de freinage 208 de la roue 168, lorsqu'on.désire placer le ruban sur la roue, ou introduire un nouveau ruban dans l'apparèil. 



   Le dispositif de conformation et de fixation E est construit pour permettre le démontage facile et rapide de l'ensemble, ou pour la séparation d'un ou de plusieurs éléments, en vue de la réparation ou du remplacement faciles sans qu'il soit nécessaire de déranger les autres organes de l'appareil. La paroi supérieure 242 (Figs. 7, 9,21, 22, 35 et 36) de la pièce 14 est munie d'un évidement 244 des- tiné à recevoir un bloc 246:' Sur le côté du bottier 92 à proximité du bloc 246 (Figs. 12 et 53) le fil est entraîné en direction des poinçons et des matrices par les roues 94 et 96 directement sur la face supérieure 248 du bloc 246. 



  En cet endroit, une plaque 250 est fixée sur la face 248 et dans la face inférieure de cette plaque est pratiquée une rainure 252. La plaque 250 se prolonge en direction des roues 94 et 96 en partant du bloc 246. Au-dessous du 

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 prolongement 256 ainsi constitué est fixée une plaquette 258 destinée à fermer la rainure 252. Les 'rainures 108 et 252 se trouvent dans le prolongement l'une de l'autre et leur but est de maintenir le fil convenablement dans sa po- sition   d'entraînement.   



   Au delà de la plaque 250 sont prévues deux pla- quettes de retenue 260 qui sont fixées sur la face supé- rieure 248 par des éléments permettant un faible réglage. 



  Ces plaquettes 260 sont fixées sur le bloc 246 par des vis à tête 262 passant dans des trous 264 des plaquettes 260 qui sont un peu plus grands que le diamètre des vis 262. 



  De cette manière les bords 266 des plaquettes peuvent être légèrement réglés l'un par rapport à l'autre. Chaque bord forme un gradin 268 et ces gradins sont juxtaposés lorsque les plaquettes sont fixées dans leur position d'emploi, et forment une rainure   270   qui se trouve dans le prolongement des rainures 108 et 252, pour recevoir le fil au cours de son entraînement vers l'emplacement des poinçons et des matrices. 



   Un bélier 272 (Fig.22) porté par une traverse   274     (Figs.   5,6 et 9) peut se déplacer en un mouvement de va-et- vient vertical par rapport au bloc 246. Ce bélier 272 coulisse dans des glissières 276 qui sont prévues dans un châssis 278. Les glissières 276 sont constituées par des éléments séparés qui sont fixés par des organes de fixation convenables dans des angles opposas du châssis 278. Dans ces glissières sont pratiquées des rainures 280 ayant une section transversale en forme de V pour recevoir les côtés latéraux 282, également en forme de V du bélier   272.   La largeur du châssis 278 est telle qu'il puisse être placé en travers de l'échancrure 244 et que ses pieds 284 puis- sent être fixés convenablement sur la face supérieure 242 

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 de la pièce 14. 



   Le bélier 272 est fixé sur la traverse 274 par des organes de fixation convenables. Les extrémités de la traverse 274 sont élargies en 286 et percées d'évidements circulaires 288 dans lesquels sont encastrés des tourillons 
290. Ces tourillons 290 sont munis d'une tête 292 et sont   d'autre part engagés dans la chape 294 (Fig.9) prévue à   l'extrémité des bielles d'accouplement 296. Des vis d'arrêt 
298 bloquent les tourillons 290 axialement et maintiennent ainsi les chapes 294 dans une position convenable sur les tourillons pour produire le mouvement de va-et-vient du bélier.

   Les bielles d'accouplement 296 partent vers le bas et plongent à l'intérieur du carter 14 à travers des ouver- tures 300 pratiquées dans le dessus 242, où elles aboutis- sent aux chapes d'excentriques 302 (Figs. 9 et 10) qui sont montées sur les excentriques 304 de l'arbre 30. Des plaques de recouvrement 305 sont posées.sur les ouvertures 
300 pour empêcher la pénétration de corps étrangers dans le carter. Une rondelle flexible 307 peut être fixée sur chaque bielle d'accouplement 296 pour suivre le léger mouvement de cette bielle et former joint étanche avec l'ouverture 300. 



   On voit qu'une bielle d'accouplement 296 est pré- vue à chaque extrémité de la traverse 274. Celle-ci reçoit ainsi des efforts équilibrés. D'autre part, l'excentration des excentriques 44 et 304 est faible, car elle doit simple- ment suffire à produire le léger mouvement de va-et-vient nécessaire au fonctionnement des organes respectifs. Etant donné qu'on emploie un fil ou une bande d'une épaisseur relativement faible'pour les opérations à exécuter, une course effective très faible du bélier suffit. Il est donc possible de faire fonctionner l'appareil sans manivelles . lourdes à grande course, et d'employer au contraire de 

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 petits excentriques produisant une course également très petite. D'autre part, l'axe des tourillons 290 se trouve verticalement au-dessus de l'axe de l'arbre 30.

   De même, l'excentrique 44 et la bielle d'accouplement 150 actionnée par cet excentrique partent de cet arbre 30 dans une direc- tion essentiellement verticale. Il en résulte que les réac- tions latérales sont presque nulles pendant le fonctionne- ment de l'appareil. Presque tous les efforts produits sont orientés sensiblement dans un même plan et les couples ainsi que les vibrations sont réduits à un minimum. Le bélier 272 et la bielle d'accouplement 150 se déplacent presque en même temps verticalement et avec une même ampli- tude, et ils oscillent sensiblement dans un même plan qui est également le plan passant par l'axe du volant 54 ayant tendance à absorber toutes les vibrations produites par les mouvements latéraux de très faible amplitude. 



   Le corps principal 306 du bélier 272 a la forme d'un bloc muni de bords latéraux 282 en forme de V   (Fies.   5 et 6). Sur ce corps 306 est fixé un bloc de bélier 308   Figs.   



  22 et 23). Un évidement 310 (Figs. 21, 33, 34, et 56) est pratiqué au centre de la face avant 312 du bloc 308 pour recevoir un bloc porte-poinçons 314 ajusté et serré par un dispositif qui sera décrit plus loin. Sur le dessus du bloc 308 est fixée une plaque 316. Le bloc 314 est déplacé positivement de bas en haut contre la face inférieure de la plaque 316 pendant le fonctionnement de l'appareil. 



   Le dispositif d'assemblage du bloc porte-poinçons 314 et du bloc de bélier 308, ainsi que la manière de l'assem- blage et du réglage de l'assemblage des poinçons 318 avec le bloc 314, sont applicables à l'appareil tel qu'il est décrit dans le présent exemple pour la fabrication des ferme- tures à curseur, mais on peut également les appliquer en 

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 général aux presses de poinçonnage. Grâce à la disposition qui sera décrite ci-après, il est possible de changer les poinçons et les matrices sans démonter préalablement l'ensemble de l'appareil. 



   Dans le bloc 314 est pratiqué un évidement 320. 



  Dans cet évidement l'ensemble des poinçons 318 est bien ajusté. Dans l'exemple représenté, cet ensemble 318 (Figs. 



  56 à 61) est composé de deux poinçons séparés 322 et 324. 



  Le poinçon 324 est disposé dans la partie inférieure de l'évidement 320 et le poinçon 322 vient buter contre lui. 



  Deux plaquettes de serrage 326, fixées sur la face 312 du bloc 314, maintiennent les deux poinçons pour les empêcher 
Dans ce bloc 314 de se séparer du bloc 314. (Figs. 21, 33 et 34) sont prati- quées deux fentes 330, orientées transversalement et qui débouchent dans un évidement 320. Dans les fentes 336 et dans la partie supérieure de l'évidement 320 est logée une pièce 332 en forme de T et faite en un métal trempé. Dans la branche 334 de la pièce 352 sont vissées deux vis 336 et 338 qui s'appliquent respectivement contre les extrémi- tés des poinçons 322 et 324. Ces vis sont destinées à déter- miner les niveaux auxquels les poinçons 322 et 324 coopèrent avec le bloc de matrice 340. Une échancrure 342 est prati- quée dans la plaque 316 pour permettre l'accès aux vis 336 et 338 en vue du réglage. 



   L'action exercée par les poinçons 322 et 324 contre la pièce à. traiter, de même que l'action de serrage produite par les plaques de serrage 326, servent au centrage vertical des poinçons par rapport au bélier. De plus, une fente 344 pratiquée dans une face latérale du bloc 314 peut être amenée en regard d'une fente 346 pratiquée dans le bloc 308 pour recevoir une clavette 348. De cette manière, les blocs 308 et 314 sont maintenus contre tout déplacement vertical 

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 l'un par rapport à l'autre. Deux plaquettes de serrage 350 sont munies de brides coopérant avec les plaquettes de, serrage 326.,et elles sont elles-mêmes fixées sur le bloc 308 par des vis à tête 351. De cette manière le bloc 314 est solidement maintenu en place.

   Mais, par un simple des- serrage des vis 351, l'ensemble du bloc 314 avec les deux poinçons 322, 324 peut être enlevé du bloc de bélier 308, et on peut le remplacer par un ensemble neuf. De même, il est possible de régler la position des poinçons 322 et 324 dans un rapport déterminé avec la position du bloc 314, donc également par rapport au bloc 308, ce qui est obtenu par le blocage de la clavette 348 dans les fentes 344 et 346, sans qu'il soit nécessaire d'assembler d'abord ces éléments avec le bélier. De cette manière, le temps néces- saire au remplacement des poinçons pour une raison quel- conque est sans importance et la nécessité du démontage de l'ensemble du bélier est complètement évitée. 



   Le poinçon 322 (Figs. 59 à 61) est muni d'une rainure 352. D'autre part, à une extrémité, une certaine partie du métal est enlevée à la meule pour la formation de deux branches de guidage 354. Ces branches de guidage sont destinées s'ajuster dans une échancrure 356   (Figs.   



  26, 64, et 65), pratiquée dans le bloc des matrices 340 pour le guidage et centrage des poinçons. La forme de la rainure 352 est exactement la même que celle de l'arête 358, qui est l'arête de coupe de l'un des poinçons. Lorsque l'arête 358 s'use pendant les opérations de poinçonnage, le poinçon 322 peut donc être affûté entre les pièces de guidage 354 pour recevoir une nouvelle arête sur une cer-   taine   longueur. L'évacuation pour l'arête   358   est assurée par le fait que le poinçon   322   est biseauté à la meule de la manière indiquée .en 359. 

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   Le poinçon 324 est muni d'un carré d'extrémité 360 qui vient s'ajuster dans un évidement 362 du bloc 240. 



  Un autre évidement 364 est pratiqué dans l'extrémité 360, pour coopérer avec une saillie 366 prévue sur le bloc des matrices 340. Le niveau de l'extrémité 360 par rapport à la saillie 366 est déterminé par la position de la vis 338. 



  L'extrémité 360 ne sectionne pas,, mais ne fait qu'emboutir le métal pour former le bec 368 et le creux 370 d'un élément d'agrafage 178 (Fig. 20a) de la manière qui sera décrite plus loin. Les extrémités du poinçon 324 (Fig. 58) sont d'une conformation sensiblement identique. En conséquence, lorsqu'une extrémité est usée, les plaquettes de serrage 326 sont desserrées, les poinçons sont enlevés de leur loge- ment 320, le poinçon 324 est retourné et on se.sert de l'autre extrémité. La vis 338 règle la position du poinçon 324 par rapport à la position du poinçon 322, pour la coopération avec la saillie 366. L'élément 32 doit entièrement traverser l'épaisseur du métal pour découper un élément d'agrafage de la bande. Le poinçon 324 ne fait qu'exercer une pression suffisante pour former le bec 368 de l'élément d'agrafage. 



  Il est donc nécessaire que ces deux poinçons interviennent à des moments différents. La synchronisation est réglée à l'aide des vis 336 et 338. 



   Pour maintenir le ruban 172 convenablement tendu au fur et à mesure qu'il avance en direction du dispositif E sous l'action de la traction exercée par la roue 168, un dispositif tendeur 372 (Fig.7) est fixé sur la face 162 dans une rainure 374 taillée dans la face 162. Deux blocs 376 et 378 sont fixés dans la rainure 374 par des dispositifs con- venables. Les dimensions du bloc 378 sont telles que sa face supérieure se trouve tout juste au-dessous d'un rebord 380 de l'évidement 244. Le bloc 378 est constitué par un élément 

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 allongé 382 ajusté dans la reinure 374. Une plaquette 384 est fixée sur la face extérieure de l'élément 382. Cette plaquette 384 ainsi que l'élément 382 sont fixés l'un sur l'autre et sur le carter 14, par des dispositifs de fixation convenables.

   Dans l'intervalle 386 ménagé entre la plaquette 384 et la rainure 374 est logé un bloc 388, maintenu libre- ment dans l'intervalle 386, mais poussé par un ressort 390   Intercalé   entre un poussoir 392 et le bloc 388. Le poussoir 392 est porté par une vis 398, vissée dans un trou fileté 400 de l'élément 382 pour le réglage de la pression appli- quée par le bloc 388 sur le bourrelet du ruban   enformé   entre les extrémités 402 des blocs 376 et 388. Une broche latérale 401 peut être prévue sur le bloc 388 pour être manoeuvrée par l'opérateur en vue de faire cesser l'action du bloc contre le bord du ruban. 



   Les extrémités 402 sont sensiblement identiques   (Figs.   54 et 55). Le bloc 376 est maintenu en place par rapport à la rainure 374 par un dispositif convenable. Le bloc 388 coulisse à l'encontre de l'action d'un ressort 390. 



  L'action produite par les extrémités 402 est donc la même que si les deux extrémités étaient mobiles l'une par rapport   % l'autre   pour faire varier leur écartement en vue de l'obten- tion d'une tension désirée du ruban au cours de son   entral-   nement par la roue   d'entraînement.   Dans les deux extrémités 402 sont pratiquées des rainures 404 ayant une section transversale demi-circulaire, et qui sont destinées à rece- voir le bourrelet 174. Ces extrémités sont également munies d'une face plane qui doit venir s'appliquer sur le ruban proprement dit. Par le réglage de la vis 398, on peut augmenter ou réduire le frottement du ruban et obtenir ainsi la tension désirée. 



   Dans le bloc 246 est pratiqué un évidement 406 

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 directement au-dessous de l'ensemble 318 des poinçons (Figs. 



  21, 35, 64 et 65). Le bloc des matrices 340 est logé dans cet évidement 406 et il est maintenu en place par des pièces de serrage 408 qui sont centrées et bloquées par des vis 410, par exemple, sur la face avant du bloc 246. Dans ce cas, les pièces de serrage 408 s'appliquent sur la face avant du bloc 340 et le maintiennent solidement serré dans l'évidement 406. Ce bloc 340 repose d'autre part sur une surface plane 414 prévue à cet effet sur le carter 14. 



   Le bloc des matrices se compose d'éléments sensi- blement identiques 416 ; qui sont maintenus assemblés par un dispositif de serrage convenable quelconque, par exemple      à l'aide d'une vis 418. Ce bloc des matrices est évidé en 420. Deux épaulements 422, pratiqués dans la face supérieure des éléments 416 à proximité des surfaces de contact forment une rainure 424, disposée dans le prolongement des rainures 108, 252, et 270. Une plaquette de retenue 426 est fixée sur la face supérieure 428 du bloc 340 pour fermer la rainure 424, et cette plaquette 426 se prolonge jusqu'au bord de l'évidement 420. 



   Cet évidement 420 reçoit des pièces exactement ajustées l'une sur l'autre et faites en un métal trempé, et il les maintient solidement dans la position convenable par rapport à l'ensemble 318 des poinçons. Ces pièces sont engagées de telle manière l'une sur l'autre que le serrage des éléments 416 à l'aide de la vis 418 ait pour effet de les centrer convenablement et de les fixer'rigidement. 



  L'une, 440, de ces pièces a une forme en T et elle est ajustée dans une partie de l'évidement pour être bloquée con- tre tout déplacement. Elle est munie d'une face 442 qui se trouve au même niveau que le fond de la rainure 424. Elle est conformée à une extrémité pour former avec d'autres 

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 pièces l'évidement 356 avec lequel coopèrent les branches de guidage 354. A une très faible distance de l'extrémité 444 de la face 442 est prévue la saillie 366. Cette saillie coopère avec l'évidement 364 de façon que, lorsque le bélier s'abaisse pour les rapprocher, la saillie et l'évidement forment le creux   370   et le bec 368 sur le fil. 



   Des rainures 446 sont pratiquées dans les faces inférieures 448 des plaquettes ?60 et elles se prolongent au-dessousde la plaquette 426. Ces rainures 446 sont orien- tées de telle manière qu'un courant d'air provenant d'une conduite à air 450 raccordée sur l'entrée du canal formé par les rainures 446, soit dirigé exactement vers le point où a lieu cette opération d'emboutissage. A cet effet, l'air sous pression peut être introduit en permanence dans l'appa- reil pendant toute la durée du fonctionnement, et le courant d'air a pour effet de refroidir les organes d'emboutissage pendant le fonctionnement. 



   Les faces avant des éléments 416 sont conformées de telle manière que, lorsqu'elles sont ajustées l'une sur l'autre, elles forment une rainure 452 ayant une section transversale en forme de V et débouchant dans une fente très étroite 454. Si le bloc des matrices est convenablement assemblé, cette rainure et la fente se prolongent récipro- quement pour coopérer avec la rainure entre les extrémités 402. La matrice 456 est maintenue solidement dans l'évide- ment 420, directement à l'extrémité de la fente 454. Une àrête incurvée 458 prévue sur cette pièce assure le section- nement avec l'arête 358.

   La pièce de matrice 456 est munie d'une rainure cylindrique 460 disposée directement à l'ar- rière de la fente 454, pour recevoir le bourrelet du ruban pendant le fonctionnement de l'appareil et pour centrer positivement ce bourrelet par rapport au fil entraîné. 

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  Une saillie de centrage 462, ayant sensiblement la forme de la saillie 366, est prévue sur la face 464 de la pièce 456. Cette saillie de. centrage 462 est destinée à centrer l'extrémité du fil au cours de l'opération de conformation et de découpage d'une agrafe. 



   La face 464 se trouve à un niveau au-dessus de la face 442,. De cette manière, le découpage d'une agrafe sur l'arête 458, c'est-à-dire le cisaillement du métal, a com- mencé et est même terminé avant le début de la conformation du bec 368 et du creux 370, ce qui assure entre autres une réduction de la force motrice nécessaire au bélier 272 et   à,   la traverse 274. Le fil est entraîné vers la position ,de la saillie d'emboutissage 366. Entre la saillie 366 et l'évi- dement 364 a lieu la formation du bec 368 et du creux 370 du fil. Ce fil est ensuite entraîné pas à pas vers une posi- tion, où son premier creux se trouve en regard de la saillie de centrage 462 et vient coiffer celle-ci. Dans cette posi- tion, l'extrémité du fil a la forme que montrent les figs. 



  17 et 66, et une agrafe précédente a été séparée par la coopération des poinçons et des matrices sur les arêtes 358 et 458. On voit que l'extrémité du fil se prolonge par deux mâchoires 466 qui, sous l'action du dispositif d'entraîne- ment, se placent à cheval sur le bourrelet 174 du ruban. 



  La distance entre la saillie d'emboutissage 366 et la saillie de centrage 462 est juste suffisante pour tenir compte de l'épaisseur du métal nécessaire pour les poinçons 322 et 324. 



  Il a été trouvé que la distance séparant trois becs succes- sifs 368 est bien suffisante à cet effet. Bien entendu, si on emploie un métal plus résistant pour les outils de coupe, on peut réduire cet intervalle. 



   Ainsi que le.montrent les figs. 17 et 18, la forme du poinçon 322 à l'endroit de l'arête de coupe 358, et de 

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 l'arête de coupe correspondante 458 est telle que les mâchoi- res 466 forment une partie incurvée 467 et se terminent pa.r des arêtes rectilignes 469 qui sont sensiblement perpendi- culaires aux arêtes latérales 471 qui sont constituées par les arêtes de la bande 12. Une petite arête oblique 473 peut former le raccord entre les arêtes 467 et 469, ceci pour éviter les ruptures des poinçons et des matrices. Il en résulte bien entendu une arête incurvée 475 pour l'extré- mité portant le bec de l'agrafe 178, arête prolongée par des arêtes rectilignes 477, qui se raccordent sur les arêtes latérales 471. Les arêtes 475 et 477 sont raccordées entre elles par une arête d'angle oblique 479. 



   Pour terminer la conformation de l'agrafe et sa fixation sur le ruban, les poinçons descendent et l'arête 
358 coopère avec l'arête 458. Lorsque l'arête 358 vient en contact avec le fil pour le sectionner, l'extrémité cisail- lée du fil doit s'abaisser, en laissant l'agrafe sectionnée 
178 sur la face qui porte la saillie de centrage 462. Lorsque les poinçons remontent et se séparent des matrices, le fil doit également remonter au niveau convenable de telle manière qu'au prochain mouvement des roues d'entraînement 94 et 96, le fil avance vers la position, dans laquelle il vient coiffer la saillie de centrage 462. A cet effet, un organe de rappel 
468 du fil est prévu pour se déplacer verticalement dans l'évidement 356.

   Cet organe 468 est d'une forme sensiblement identique à celle de l'ouverture de l'évidement 356, même en ce qui concerne la forme de l'arête 458. L'organe 468 ' comporte une colonne 470 munie d'une rainure 472 qui s'ajuste à la partie de la pièce 456 qui produit l'arête 458. La colonne est taillée pour former deux épaulements 474 qui coopèrent avec les parois de l'évidement pour recevoir les branches de guidage 354. La partie de la colonne 470 qui se 

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 prolonge au delà des épaulements 474 est munie d'une face plane 476 devant   colincider   avec la face 464, et d'une face inclinée   478:   Lorsque l'organe 468 se trouve dans sa posi- tion supérieure, cette face 478 présente un.e rampe de cane allant du niveau de la face 442 au niveau de la face 464. 



   Lorsque les   poinçons   sont assemblés, les branches de guidage 354 s'engagent dans l'évidement 356 de part et d'autre de la colonne 470 exactement au-dessus des épaule- ments 474. Le fil a été décalé dans une opération précédente. 



  L'extrémité, qui est entraînée vers l'avant, est soulevée le long de la face 478 jusqu'à, ce que l'échancrure d'extré- mité 370 coïncide avec la saillie de centrage 462. Les poinçons s'abaissent, sectionnant un élément d'agrafe entre les arêtes 358 et 458.   Mais   l'extrémité du fil s'abaisse et exerce une pression sur la face 476 pour abaisser l'organe 468. C'est alors que les poinçons remontent. 



   Il est ensuite nécessaire que l'organe 468 retourne vers sa position de départ , avec la face 476 au niveau de la face 464. A cet effet, la colonne 470 est munie d'un talon 480 à son extrémité inférieure. Une butée 482 munie d'une tête 484 est disposée pour coopérer avec le talon 480. 



  La butée 482 pénètre vers le bas à travers une pièce 486 dans une cavité 488 prévue sur le carter 14. Ùn ressort 490 est logé dans cette cavité 488 et il s'appuie par une extré- mité contre la tête 484, tandis que l'autre extrémité prend appui sur le fond de la cavité 488, de sorte qu'il a ten- dance de déplacer de bas en haut la butée 482 et l'organe 468. Le déplacement de la butée 482 est limité par le fait que la tête 484 vient s'appliquer contre la face inférieure de l'élément 486. Celui-ci est muni d'un pas de vis sur sa périphérie et se visse dans un filetage pratiqué dans la paroi de la cavité 488. De cette manière, il est possible de 

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 régler la limite en hauteur pour le déplacement de la butée 488 et, par conséquent, de l'organe 468. 



   L'opération du découpage peut être terminée avant le serrage des mâchoires 466 sur le bourrelet du ruban, mais elle peut également avoir lieu en même temps. Il a été trouvé préférable de terminer l'opération du serrage des mâchoires 466 sur le bord du ruban avant le découpage. De cette manière il n'est plus nécessaire, après le serrage des mâchoires de l'élément d'agrafage sur le bord du ruban, de   commander   cet élément en le maintenant par un organe quelconque d.e l'appareil pendant l'opération du découpage, étant donné que cet élément est alors solidement attaché au ruban. 



   A cet effet, le bloc 308 est muni de deux évide- ments 494 proximité des bords latéraux   (Fig.21).   Dans chacun de ces évidements est encastrée une plaquette à came 498 dans laquelle est pratiquée une fente 500 à travers laquelle on fait passer des vis de serrage 502 qui sont vissées dans le bloc 308. Les plaquettes 408 peuvent ainsi être réglées par rapport au bloc 308. A leur extrémité inférieure, les plaquettes 498 sont munies d'une rampe trempée 504   (Figs.   43 et   44). A   l'extrémité supérieure, des vis 506 vissées dans la plaque 316 exercent une pression sur chacune des plaquettes 498 et les maintiennent dans la position de réglage. 



   Deux encoches 508 sont pratiquées dans le bloc 246 pour coopérer avec les parois latérales de l'évidement 244. Un guide 510 pour la plaquette à came est maintenu par rapport à chaque plaquette à came 498 par coopération avec un rebord 512   (Figs.   21, 22, 37 et 58) prolongeant la partie inférieure d'un support 514 de la plaquette à came. De cette façon le support 514 est maintenu contre tout déplacement 

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 par rapport au bloc 246 et au carter 14. Un bloc 516 est ajusté sur le bloc 246 par deux doigts 518 en serrant le support 514. Un organe de fixation convenable maintient le bloc 516 sur le bloc 246 et empêche'le bloc 514 de se sépa- rer du bloc 246. 



   Dans le support 514 est pratiquée une rainure 520 dans laquelle coulisse la branche 522 d'une plaquette de serrage 524 (Figs. 39 et 40) dont une partie a une section transversale en forme de T. La barre transversale 526 de la plaquette est disposée entre les faces 528 des plaquettes de retenue 260 et les ailes,530 du support 514, de part et d'autre de la rainure 520. Un ergot 532 part latéralement de la plaquette et s'engage dans une fente 534. Un ressort 536 est logé dans la fente 534, entre l'ergot 532 et la paroi 538 de la fente 534, et il est retenu dans l'inter- valle entre le bloc 516 et la branche 522, pour pousser la plaquette 524 vers sa position de repos, dans laquelle les parties coopérantes 540 des plaquettes'sont écartées l'une de l'autre et de la position dans laquelle elles peuvent serrer un élément d'agrafage sur le ruban. 



   Lorsque les poinçons s'abaissent pour le découpage d'un élément d'agrafage, les pièces de guidage 354 se trou- vent engagées dans l'évidement 356. L'arête 358 coopère avec l'arête 458 pour effectuer le découpage. L'évidement 364 coopère   de   la manière indiquée avec la saillie 366 pour produire le creux 370 et le bec 368 sur le fil. Mais, juste avant l'exécution de ces opérations, les rampes 504 agissent sur les rampes 542 des plaquettes à came 524. Cette phase du fonctionnement sert à approcher les plaquettes d'entraînement 524 l'une de l'autre et des mâchoires 466 du fil, pour les serrer autour du bourrelet 174. 



   Ainsi que le montrent les figs. 30 à 32, les 

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 extrémités 540 des plaquettes de serrage 524 comportent deux sections de serrage 546 et   548.   Ces sections sont séparées par un intervalle 550. Comme le montre la fig.32, les sections de serrage 546 sont disposées pour agir sur les mâchoires 466 lorsqu'elles sont encore écartées l'une de l'autre autour du ruban et, de préférence, avant la sépa- ration de l'élément d'agrafage du fil. La conformation des sections 546 à cet effet est représentée par la   fig.31.   



   Une face profilée 552 est prévue pour effectuer le premier pliage du métal. Le profil peut être modifié suivant l'élasticité ou le degré de dureté du métal. Le profil particulier représenté est destiné à une bande ou un fil en acier d'une faible élasticité. Pour des métaux tels que le laiton ou le cuivre, les angles doivent être rectifiés suivant le comportement du métal pendant l'opéra- tion du serrage. Dans le cas particulier représenté, seule la portion de la section 546 formée par la face 552 agit sur les mâchoires 466. Cette face 552 plie le métal de la mâchoire de la manière indiquée par les figs. 19 et 67. En même temps, la face 556 vient frapper la mâchoire et forme un léger redent pendant le serrage des mâchoires sur le ruban.

   En définitive, l'action de la section 548 laisse sur l'élément d'agrafage une dent 554 lors du pliage de cette dent en partant de la forme primitive. Etant donné que la partie   556   de la face 552 fait un angle d'environ 15  avec la perpendiculaire par rapport à la face d'extrémité de la plaquette 524, et qu'elle agit sur l'extrémité des mâchoires 466, on obtient une fermeture ou un pliage très doux de l'élément d'agrafage   jusqu'.µ   ce que la mâchoire lentement repliée soit frappée par la partie 558. 



   Dans cette phase du fonctionnement, l'action des plaquettes, telle qu'elle est représentée par les figs. 18, 

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 19 et 32, est destinée au pliage des mâchoires pour leur donner la forme que montrent les figs. 19 et 67, sans qu'il en résulte une réduction sensible de la section transversale du métal dans la partie 568. La dent 554, qui est formée à l'endroit de l'angle 562 de la fig. 18, est laissée en saillie, lorsque l'élément d'agrafage est sectionné du fil ou de la bande continu à bords latéraux parallèles sans qu'il en résulte un déchet. La face 560 de la section 548 s'étend au delà de la partie 558. Elle exerce une action supplémentaire de fermeture pour donner aux mâchoires leur forme définitive et pour refouler le métal des dents 554 vers l'intérieur des mâchoires.

   Mais, d'abord, la section 322 termine le découpage de l'élément d'agrafage. Le résul- tat de cette opération est représenté par la fig. 68. 



   Pour l'opération suivante, le fil est avancé d'un ou de plusieurs pas', de préférence de deux pas, après l'intervention des sections 546, et les éléments d'agrafage 178 ne subissent alors aucune action des plaquettes 524, ce qui est assuré par l'intervalle 550. Ensuite, les faces 560 viennent frapper l'élément d'agrafage sur les dents 554. Le résultat est la concentration du métal des dents 554 pour la formation de faces sensiblement planes 564, mais la den- sité du métal des mâchoires 466 est ainsi augmentée par suite de l'apport fourni par les dents. En même temps, les mâchoires sont allongées dans le sens de la largeur du ruban. 



  L'ouverture 566 de la fig. 20 est rétrécie et les mâchoires 466 serrent alors vigoureusement le bourrelet du ruban, et elles sont également fortement serrées sur le corps du ruban. 



  Un élément d'agrafage confectionné de cette manière permet la fabrication d'une fermeture à curseur d'une grande soli- dité, dont les agrafes ne peuvent pas être arrachées. D'autre part, l'élément d'agrafage a une forme qui convient à un 

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 fonctionnement convenable d'un curseur de forme normale glissant sur les agrafes. Ces agrafes facilitent le fonction- nement du curseur en ce sens que celui-ci glisse sur des éléments arrondis de la fermeture- 
Il est parfois souhaitable de prévoir des inter- ruptions sur les bandes de fermeture 10 pour la mise en place convenable du curseur, et des butées pour la sépara- tion de bandes de fermeture de longueur déterminée. A cet effet, l'appareil peut être équipé du dispositif G que montrent les figs. 62.et 63. Le pignon à chaîne 166 fait partie de ce dispositif.

   Ce pignon porte une chaîne 568. 



  Un des maillons 570 de cette chaîne porte une saillie laté- rale 572. La longueur de la chaîne 568 est telle que, dans une position déterminée par la rotation de l'arbre 156, nécessaire à l'entraînement d'une longueur déterminée du ruban 172, la saillie 5'72 coopère avec une plaquette à came 574. Lorsque l'appareil est employé pour la fabrication de fermeture à curseur de longueurs variables, on peut placer sur le pignon à chaîne   156   des chaînes de longueurs diffé- rentes. Lorsque l'appareil est destiné à faire avancer à l'aide du rochet 188 et de la roue d'entraînement 168 une longueur déterminée de ruban à chaque tour de rotation de l'arbre 156, et si cette longueur est celle que doit rece- voir la fermeture à curseur en cours de fabrication, la saillie 572 peut être fixée directement sur le pignon à chaîne 166. 



   Dans tous les cas, la plaquette   à came     574   est fixée à l'extrémité d'un bras 576 articulé en 578 sur un support 580 fixé sur le support 160. Un ressort 582 est tendu entre un prolongement du bras 576 et le support 580 pour pousser la plaquette à came 574 vers le pignon chaîne 166. Une butée 584 de forme convenable peut être prévue 

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 sur le support 580 pour limiter le déplacement du bras 576 sous l'action du ressort 582. Lorsque la saillie 572 agit sur la plaquette 574, le bras 576 est écarté du pignon à chaîne et ferme un contacteur 586. 



   Le bras 576 porte un ressort à lame 588, dont la position peut être réglée à l'aide d'une vis 590 par rapport au bras 576 et un bouton 592 destiné à la commande du con- tacteur 586. Tant que la saillie 572 agit sur la plaquette   à came   574, le bouton 592 est enfoncé et ferme,le circuit du contacteur 586. Ce circuit, comprenant une source de courant 594, contient également un électro-aimant 596 qui est monté sur la paroi 48 du carter 14. L'armature 598 de l'électro-aimant est guidée convenablement pour être atti- rée par les pièces polaires de cet aimant 596.

   Par l'inter- médiaire d'une liaison convenable 600, qui peut se composer d'une tige ou d'un autre organe articulé ou fixé par un élément flexible sur 1!armature 598 et par un axe 602 porté par un prolongement.604 du bras 52, l'électro-aimant une 'fois excité fait pivoter le bras 52 autour d'un axe 50 et soulève le galet 58 de la came annulaire 49. L'entraînement du fil 12 est ainsi   interrompu.   Mais   l'entraînement   du ruban 172 continue. Le bélier continue également son'mouve- ment de va-et-vient mais, étant donné qu'aucun métal n'est introduit dans l'appareil, celui-ci ne fabrique aucun élément d'agrafage, et aucun élément n'est fixé sur le ruban. 



  On obtient de cette manière des interruptions à des inter- valles réguliers. 



   De nombreuses autres modifications peuvent être imaginées pour l'appareil et le produit, de même que pour le procédé décrit sans que l'on s'écarte du principe de l'invention. Le mode de réalisation décrit et représenté ne constitue qu'un exemple destiné à l'explication du prin- 

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 cipe de l'invention. 



    REVENDICATIONS   
1 - Procédé pour la fabrication de bandes de fer- meture pour fermetures instantanées à curseur en partant d'un ruban et d'un fil plat continu métallique de section transversale sensiblement constante, dans lequel la totalité du métal du fil est utilisée sans aucun déchet, caractérise en ce qu'on fait avancer le ruban vers une position prédéter- minée, on fait avancer le fil métallique en direction de cette position prédéterminée, on emboutit ce fil pour la formation d'un bec d'agrafage sur une face et d'un creux d'agrafage sur la face opposée, on coupe l'extrémité du fil en un point très rapproché de la saillie et du creux d'agrafage en vue de la formation de deux mâchoires partant de l'élément d'agrafage, on déplace cet élément pour amener les mâchoires dans une position prédéterminée,

   à cheval sur un bord du ruban, on ferme les mâchoires autour du bord du ruban, on sectionne l'élément d'agrafage fixé sur le ruban pour former à l'extrémité du fil deux autres mâchoires et on répète les opérations d'emboutissage, d'entraînement du ruban et du fil métallique pour amener les nouvelles   mâchoi-   res du fil à cheval sur le bord du ruban en un autre point de ce ruban, enfin on ferme les mâchoires autour du bord du ruban et on sectionne l'élément pour laisser sur le ruban un élément d'agrafage suivant et pour former deux nouvelles mâchoires prolongeant le fil.

Claims (1)

  1. 2.- Appareil pour la fabrication de bandes de fermetures instantanées curseur d'après le procédé de la revendication 1, caractérisé par un dispositif pour l'entraînement dunruban, un dispositif pour l'entraînement d'un fil plat métallique en direction du bord du ruban, et un dispositif pour transformer le fil métallique en éléments <Desc/Clms Page number 39> d'agrafage pour fermetures à curseur, et pour fixer ces éléments sur le bord du ruban, le dispositif de conformation comportant un socle, un seul bélier animé d'un mouvement d.e va-et-vient et des dispositifs coopérants entièrement dispo- sés sur le bélier et le socle pour la conformation, le sec- tionnement et la fixation des éléments d'agrafage sur le bord du ruban.
    3.- Bande de fermeture pour fermetures instantanées à curseur produits par le procédé suivant la revendication 1, caractérisée par un ruban et une rangée d'éléments d'agrafage fixés sur un bord du ruban, chacun de ces éléments d'agrafage comportant une partie servant à l'agrafage et des mâchoires serrées sur le ruban, ces mâchoires étant disposées à cheval sur le bord du ruban et serrées par compression, la partie servant à l'agrafage étant conformée pour avoir sensiblement le même contour que l'échancrure entre deux mâchoires d'un même élément d'agrafage avant leur rapprochement et leur compression sur le bord du ruban, ces mâchoires ayant après leur fermeture une section trans- versale et une densité variable,
    la partie des mâchoires directement voisine du point d'appui sur le bord du ruban ayant une section transversale et une densité plus grandes que les autres parties.
    4. - Procédé suivant la revendication 1, caracté- risé en ce que la saillie et le creux d'agrafage sont prati- qués sur une partie du fil' plat qui n'est pas encore arri- vée à la position prédéterminée.
    5.- Procédé suivant 'la revendication 1, caracté- risé en ce que l'extrémité du fil plat est sectionnée de telle manière que l'arête des mâchoires formées soit incur- vée et se termine par une arête rectiligne orientée vers l'extérieur en direction des bords du fil, lés mâchoires <Desc/Clms Page number 40> étant fermées autour du bord du ruban par le fait que les arêtes incurvées et rectilignes sont appliquées contre le ruban.
    6.- Procédé suivant les revendications 1 et 5, caractérisé en ce qu'après le sectionnement du fil plat pour laisser un élément d'agrafage fixé sur le ruban, le bord extérieur des mâchoires de l'élément d'agrafage fixé sur le ruban est maté par le fait que le bord extérieur des mâchoires est aplati en vue de leur renforcement et pour le blocage de l'élément dans sa position sur le ruban.
    7.- Procédé suivant les revendications 1 et 4, caractérisé en ce que la saillie et le creux d'agrafage sont formés immédiatement. après le sectionnement de l'extré- mité du fil plat pour laisser sur le ruban un élément d'agra- fage fixé sur ce ruban.
    8.- Procédé suivant les revendications 1 et 4, caractérisé en ce que la saillie et le creux d'agrafage sont formés sur le fil plat à une distance de son extrémité égale à un multiple du pas d'avancement du fil plat.
    9.- Procédé suivant les revendications 1 .et 5, caractérisé en ce que les mâchoires sont formées par décou- page d'une échancrure sensiblement circulaire se terminant par deux arêtes sensiblement rectilignes orientées vers l'extérieur et sensiblement perpendiculaires au bord du fil plat, l'élément ainsi formé présentant à l'extrémité de ses mâchoires deux angles sensiblement droits.
    10. - Procédé suivant les revendications l, 6 et 9, caractérisé en ce que les parties métalliques saillantes des angles sont matées et aplaties en vue du renforcement des mâchoires et pour le blocage de l'élément d'agrafage dans sa position' de fixation sur le ruban.
    Il.- Procédé suivant les revendications 1 et 6, <Desc/Clms Page number 41> caractérisé en ce que le bord extérieur de l'élément d'agra- fage avancé fixé sur le bord du ruban est maté pendant que les mâchoires d'un élément d'agrafage précédent sont pliées autour du bord du ruban.
    12. - Appareil suivant la revendication 2, paracté- risé par un arbre monté à rotation dans le socle, deux excentriques à faible excentration montés avec un certain espacement sur l'arbre, et des bielles d'accouplement par- tant des excentriques vers chaque c8té du bélier.
    13.- Appareil suivant les revendications 2 et 12, caractérisé en ce que les bielles d'accouplement partent à peu près verticalement des excentriques vers chaque côté du bélier et n'exécutent que de faibles mouvements latéraux au cours de leurs mouvements de va-et-vient produits par les excentriques.
    14. - Appareil suivant les revendications 2 et 13, caractérisé par un troisième excentrique et une bielle d'accouplement partant à peu près verticalement de cet excentrique pour la commande du dispositif d'entraînement.
    15. - Appareil suivant les revendications 2 et 12, caractérisé en ce que .l'arbre est logé dans un réservoir à lubrifiant prévu dans le socle; la position par rapport au lubrifiant étant choisie telle que les portées de l'arbre soient automatiquement lubrifiées.
    16. - Appareil suivant les revendications 2 et 13, caractérisé par une traverse portant lé bélier et sur les extrémités de laquelle sont articulées les bielles d'accou- plement pour le déplacement en va-et-vient du bélier.
    17. - Appareil suivant la revendication 2, carac- térisé par un bloc porte-poingons solidaire du bélier et dans lequel est pratiqué un évidement, un porte-poinçons ajusté dans cet évidement et muni lui-même d'un évidement <Desc/Clms Page number 42> et un ou plusieurs poinçons encastrés dans l'évidement du porte-poinçon.
    18. - Appareil suivant les revendications 2 et 17, caractérisé en ce que dans le socle est pratiqué un évide- ment destiné à recevoir un bloc porte-matrices dans lequel est pratiqué un autre évidement directement au-dessous de l'évidement du bloc porte-poinçons, et un organe de retenue des matrices muni d'éléments d'ajustement par rapport aux poinçons et qui est ajusté dans l'évidement du bloc porte- matrices.
    19. - Appareil suivant les revendications 2 et 18, caractérisé en ce que le porte-poinçons est serré dans l'évi- dement du bloc porte-poinçons pour placer les poinçons à des distances différentes de l'évidenent du bloc porte-matri- ces, tandis que lorgane de retenue des matrices est serré dans l'évidement du bloc, le porte-poinçons et l'organe de retenue des matrices pouvant ainsi être démontés de la presse sans changer la position relative entre le bélier et le socle, ni la position relative entre le bloc porte- matrices et le socle.
    20.- Appareil suivant les revendications 2 et 18, caractérisé en ce que l'évidement du bloc porte-poinçons et l'évidement du bloc porte-matrices débouchent sur les faces avant de ces blocs, le porte-poinçons et l'organe de retenue des matrices étant glissés en place par l'ouverture de l'évidement respectif et serrés ensuite dans cet évide- ment.
    21. - Appareil suivant les revendications 2 et 19, caractérisé en ce qu'une paroi est prévue à l'extrémité supérieure de l'évidement et se prolonge verticalement vers l'intérieur du bloc porte-poinçons et qu'un dispositif est, prévu pour régler la position en hauteur du ou des poinçons. <Desc/Clms Page number 43>
    22.- Appareil suivant les revendications 2 et 13, caractérisé en ce que l'arbre est disposé transversalement dans le socle et qu'un guide de bélier est monté verticale- ment sur le socle, le bélier se déplaçant à l'intérieur du guide et les bielles d'accouplement passant à l'intérieur. de ce guide.
    23.- Appareil suivant la revendication 2, carac- térisé par des organes coulissant sur le socle et disposés de part et d'autre du ruban pour serrer les éléments d'agrafage sur le bord du ruban, en combinaison avec des organes prévus sur le bélier pour coopérer directement avec les organes coulissants et .pour les pousser contre l'élément d'agrafage en vue de sa fermeture sur le bord du ruban.
    24. - Appareil suivant les revendications 2 et 23, caractérisé en ce que les organes coulissants forment deux mâchoires et que les organes prévus sur le bélier forment des cames coopérant avec les mâchoires lors de l'abaissement du bélier.
    25. - Appareil suivant la revendication 2, carac- térisé par un dispositif commandé par le dispositif d'en- traînement du ruban pour débrayer le dispositif d'entraîne- ment du fil plat pendant des intervalles de temps déterminés au cours de l'entraînement du ruban.
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