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EMI1.1
BELL TELEPHONE 1.qANUFACTUBING Company
L'invention se rapporte à des systèmes pour la transmission de signaux d'alerte et de fin d'alerte, et particulièrement pour contrôler à distance des signaux de ce genre pouvant être modifiés pour donner des indications locales. Dans le cas où des endroits distants doivent être avisés par une organisation centrale qu'un danger existe par suite de raids aériens, les signaux sont donnés au moyen de moteurs actionnant des sirènes. Deux signaux peuvent être prévus, un constitué par un son oontinu et l'autre par un son modulé. Deux tons différents peuvent aussi. être utilisés dans le même but, l'un PERFECTIONNEMENTS AUX SYSTEMES ELECTRIQUES
POUR LA TRANSMISSION DE SIGNAUX
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étant aigu et l'autre grave.
Le système est arrangé pour fonctionner à travers un réseau téléphonique, utilisant des conducteurs de réserve prévus dans les câbles interurbains, ou bien utilisant des lignes interurbaines qui sont normalement employées pour des communications téléphoniques.
L'équipement prévoit la facilité de déconnecter ces lignes des oonnexions dans lesquelles elles peuvent être utilisées, pour le temps nécessaire à la transmission des signaux, réalisant un chemin métal -lique direct pour ces dits signaux.
Le système peut fonctionner à travers un type quelconque de lignes téléphoniques telles qu'un câble téléphonique non pupinisé ou un circuit aérien, ou bien encore un câble pupinisé. Dans tous les cas, si du courant continu peut être appliqué à la ligne, l'équipement fonctionne sur cette base aveo, par exemple, un courant de 4 milliampères appliqué à la ligne, un certain nombre de relais sensibles étant connectés à cette ligne.
Les signaux peuvent être transmis, sait en envoyant de longues impulsions de courant à travers la ligne, soit en inversant la polarité de manière à prévoir les deux signaux mentionnés oi-dessus. quand du oourant oontinu ne peut être appliqué, comme cela est le oas pour certaines lignes interurbaines, et plus particulièrement pour des câbles pupinisés, du courant alternatif de 50 oles peut servir, actionnant un certain nombre de relais branohés sur la ligne. Quand aucun conducteur de réserve n'est prévu, et que l'on doit utiliser les lignes interurbaines normalement employées pour un service téléphonique, un équipement est prévu aux deux extrémités de la ligne pour déconnecter le bureau central pendant'que les impulsions sont envoyées, donnant ainsi la priorité aux signaux d'alarme.
Cependant, les conditions sont telles que la conversation téléphonique exis -tante n'est pas rompue, les conducteurs de ligne étant seulement ouverts, puis de nouveau fermés immédiatementaprès que les signaux d'alarme ont été transmis.
Des hurleurs ou sirènes actionnées par moteur servent de
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préférence dans les buts envisagés. Ils sont contrôlés par un petit train de relais commandés au moyen d'une énergie locale, celle-ci peut être dérivée d'une source oonvenable queloonque et plus spéoiale -ment de réseaux d'énergie à travers un reotifioateur, de sorte qu'au -oune pile sèche ni aucune batterie d'accumulateurs n'est néoessaire.
Dans une des formes de réalisation de l'invention montrée.. sur les dessins ci-joints, les signaux sont respectivement du type oontinu et modulé, la modulation étant obtenue au moyen de relais à fonotionnement lent, oombinés aveo des condensateurs éleotrolytiques de haute oapaoité. Le battement ainsi obtenu est d'environ deux se- oondes. La durée pendant laquelle les signaux sont actionnés est indépendante de la station oentrale et est obtenue au moyen d'un inter -rupteur commandé par un petit moteur qui peut être tel qu'une durée quelconque de signalisation oomprise entre environ 1 minute et 15 minutes peut être obtenue. Un ajustement convenable est une signalisation de deux minutes.
Tout oet équipement fonctionne dans chaque cas direotement du réseau d'énergie et répond donc quand du courant est fourni pour aotionner le moteur commandant les signaux d'alarme.
L'équipement à la station oentrale de contrôle contient en plus des relais pilotes, des clés d'envoi qui peuvent être du type ttdespatohing" aveo une came spéciale de oommande. Par ce moyen il est possible, en tournant les manettes correspondantes, d'envoyer à volon -té le signal d'alerte et le signal de fin d'alerte. Le circuit prévoit, en plus, une lampe pilote qui reste allumée aussi longtemps que le signal d'alerte est envoyé et qui ne s'éteint que lors d'un signal de fin d'alerte, Cette lampe, qui joue le rôle de lampe témoin pour le préposé à la station oentrale, indique continuellement pendant l'a -lerte, dans quelle direction les signaux ont été envoyés.
La source d'énergie pour la station centrale de contrôle peut être indépendante d'une source extérieure quelconque, ou bien un embranohement convena -ble peut être prévu. L'envoi de signaux à des localités distantes ne peut être influencé par le fait d'une rupture de la fourniture d'électricité à la station centrale.
Bien qu'il soit possible d'atteindre aveo l'équipement décrit
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des distances très longues, et de desservir un certain nombre de localités situées entre deux stations répétitrices, il doit être possible aveo une seule opération d'atteindre un nombre queloonque de localités, pour cette raison des équipements retransmetteurs sont inclus à oertains points ou d'autres branchements de lignes se con- -nectent au circuit principal. Cette retransmission d'impulsions peut avoir lieu un nombre queloonque de fois. Les impulsions sont suffisamment longues pour être indépendantes d'un phénomène momentané quelconque, et cela accroît considérablement la possibilité de retransmission, le système n'étant pas affecté par des impulsions déformées .
L'équipement décrit ci-dessus oouvre seulement la transmission de signaux d'une localité à une autre aveo la possibilité d'aotionner un dispositif hurleur ou une sirène à chaque localité. Quand plus d'un signal d'alarme doit être actionné simultanément, les oon- taoteurs de ces signaux peuvent être connectés en parallèle ou bien, quand ils sont assez distants, ils peuvent être commandés au moyen de relais individuels connectés à une botte de contrôle de la localité à travers les lignes d'abonnés téléphoniques ordinaires, Les bof tes de relais auxiliaires utilisées dans ce but oontiennent des relais à oon -tacts de meroure de capacité convenable pour actionner le contaoteur du moteur commandant le hurleur ou sirène.
Un équipement semblable peut être appliqué à des usines ou à. des bâtiments importants dits "buildings". Dans ce cas les signaux d'alerte et de fin d'alerte pour le dispositif oontinu ou modulé sont donnés à la main au moyen de boutons poussoirs.
Sur les dessins ci-joints :
La figure 1 montre un équipement utilisé à une station de con -tr8le pour la transmission de signaux d'alarme à travers une ligne réservée dans ce but ;
La figure 2 montre un équipement pour la transmission de signaux d'alarme à travers une ligne servant aussi à des buts téléphoniques ;
La figure 3 montre un équipement pour déconneoter une ligne
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téléphonique d'un équipement pour bureau central et pour connecter cette ligne à un équipement desservant des signaux d'alarme;
La figure 4 montre un équipement répéteur pour la commande et le contrôle de dispositifs hurleurs ou sirènes, oet équipement répondant à du oourant alternatif ;
La figure 5 montre un équipement répéteur de signalisation et de contrôle pour dispositifs hurleurs ou sirènes, cet équipement répondant à du oourant continu;
La figure 6 montre un circuit de contrôle du dispositif de signalisation utilisant des boutons poussoirs, ces circuits pouvant être utilisés, par exemple, dans une usine.
Suivant la figure 1, la transmission de signaux d'alerte et de signaux de fin d'alerte se fait au moyen de clés.de despatching CIA et CIF. La olé CIF est agencée pour transmettre une impulsion, tandis que la olé CIA est agencée pour transmettre deux impulsions.
La olé CIA est commandée en faisant tourner un bouton. considérons comme temps initial l'instant où on relâche la clé. Celle-ci connecte le pôle positif de la batterie à son ressort de gauche seulement pen- dant la rotation de la oame à impulsions de 5 à 45 . Un circuit est fermé à travers le pôle positif de la batterie, la olé CIA. l'enrou- lement du relais RSA, le contact de repos de RSF, et le pôle négatif de la batterie. Le relais RSA attire son armature et ferme le circuit du relais RT. Celui-ci, à son tour, attire son armature et se bloque sur le contact de RSF, allumant la lampe témoin d'alerte LT. De 50 à 90 , les deux lames de ressort de la clé CIA ferment un circuit pour les relais RSA et RTA en parallèle.
Le relais RTA, en attirant son armature, met la ligne téléphonique AB en liaison directe avec la sour -ce de courant oontinu ou alternatif, La transmission de la première @ impulsion a donc lieu pendant la rotation de la clé correspondant à un angle de 40 , La deuxième impulsion est transmise de la même mani- ère pendant la rotation de la olé d'un angle correspondant de 150 à 190 . Les impulsions peuvent être transmises par oourant oontinu à travers l'enroulement du relais pilote BP, ou par du courant alternatif
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au moyen du relais RPI et du condensateur associé en parallèle. Dans les deux cas, la lampe pilote d'impulsions LP s'allume pendant l'envoi des impulsions sur la ligne AB.
De 1900 à 355 la came de la clé CIA oonneote le pale positif de la batterie seulement au relais RSA. De 355 à 360 , qui oorrespond à la position de repos de la olé, le relais RSA abandonne son armature. Pour une rotation complète de la came de la clé, deux impulsions sont donc envoyées sur la ligne AB pour fournir le signal d' alarme. La lampe pilote d'impulsions a été allumée deux fois et la lampe témoin d'alerte reste allumée.
Une seule impulsion est envoyée au moyen de la clé CIF fonctionnant d'une manière semblable à la olé CIA. De 5 à 50 , le relais RSF est actionné à travers le contact de repos de RSA, ce qui libère le relais RT. La lampe témoin d'alerte LT s'éteint. De 50 à 90 , une impulsion de oourant est envoyée dans la ligne AB par l'intermédiaire du relais RTF, et la lampe pilote d'impulsions LP s'allume une fois pendant la rotation de la came. De 90 à 355 , le relais RSF reste seul excité. De 355 à 360 la clé reprend sa position initia -le et le relais RSF se neutralise.
Ces signaux passent à l'équipement de contrôle du hurleur ou sirène montré sur les figures 4 ou 5 et connecté à la même ligne que l'équipement transmetteur de la figure 1. Cet équipement de con -%rôle est décrit par la suite.
Les figures 2, 3 et 4 montrent des circuits pour la signalisation à travers une ligne interurbaine, qui peut être utilisée pour des buts téléphoniques. Une impulsion simple préliminaire est envoyée sur la ligne pour déconnecter la connexion de oonversation au point recevant le signal. Le signal d'alarme est alors envoyé, après quoi une impulsion simple finale reforme la connexion de conver- sation. Les circuits de oontr6le sont montrés sur la figure 2, les circuits de commutation des lignes sur la figure 3, et les circuits pour le oontr61e du hurleur ou de la sirène sur la figure 4.
Quand la clé à came CIA est actionnée de 0 à la , auoun changement n'a lieu. De 10 à 60 le relais RSA est actionné et
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celui-ci à son tour ferme le circuit du relais RT qui se bloque,provoquant l'allumage de la lampe témoin d'alerte LT. De 60 à 90 les contacts '0' sont fermés par CIA de sorte que le relais RTB s'excite, connectant un signal simple à courant alternatif de 120 Volts à la ligne interurbaine : terre, rtb2, source à courant alternatif de 120 Volts, rtbl, point central de RP en dérivation. Au point réoepteur (figure 3) cette impulsion passe à travers le pont IRP, condensateur IC, résistance IR et relais RLB, lequel fonctionne suivi par le s relais RB. et RBC. Le relais RBC se bloque à travers les contacts rbc2 et rbol.
Le pôle positif appliqué au contact rbol provoque l'excita -tion du relais DP pour déconnecter le circuit de oonversation FE, et pour connecter la ligne interurbaine AB aux lignes IJ et GH en paral -lèle. A la fin de l'impulsion, les relais RLB et RBA se neutralisent,
Au-delà de 900 de la olé CIA, les contacts 'O' sont ouverts et les contacts 'b' sont fermés de manière à compléter le circuit de ROP (figure 2) et à oonneoter la source de oourant alternatif de 120 Volts en circuit avec la ligne AB. Le relais RP est aussi excité pour allumer la lampe pilote d'impulsions LP. L'impulsion de ligne passe vers des circuits tels que ceux montrés figure 4, et commande le relais RL.
Le fonctionnement du circuit du signal ou hurleur sera décrit par la suite,
Les contacts 'b' de CIA sont fermés pour deux périodes distinctes afin d'envoyer aeux impulsions sur la ligne et produire le fonctionnement du signal d'alarme annonçant un raid aérien. Après que la deuxième impulsion a eu lieu, les contacts 'b' sont ouverts et les oontaots tOt sont de nouveau fermés. Le relais RTB est encore excité pour envoyer une simple impulsion à courant alternatif sur la ligne, Cette impulsion actionne le relais RLB de la figure 3 qui, à son tour, ferme le circuit du relais RBD à travers les contacts rba3, rbo3 et rlbl.
Le relais RBE est aussi excité, neutralisant le relais REC de sorte que le oirouit revient à sa condition normale quand l'im -pulsion esse, et la ligne AB est déconnectée de GH et IJ pour être connectée à. nouveau à FE.
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Si la olé CIF de la figure 2 est aotionnée, le relais RSF fonctionne d'abord pour ramener au repos RSA, et RTB est d'abord excité via les oontaots '0' afin d'envoyer une simple impulsion.Alors les oontaots 'b' sont fermés une fois pour envoyer une impulsion de ligne, et finalement les oontaots '0' sont de nouveau fermés pour le signal de ,fin d'alerte. A l'extrémité de réception, figure 3, la première impulsion, comme précédemment, déoonneote la ligne AB de la ligne FE, et la oonneote à IJ et à GH, tandis que la deuxième impulsion simple rétablit les connexions normales.
Le oirouit de contrôle de la sirène ou hurleur, figure 4, fonctionne de la manière suivante: La première impulsion envoyée par l'équipement central de contrôle est reçue sur le relais à courant alternatif RL, qui ferme le circuit du relais RCF. Ce relais ferme, par ses oontaots de gauche, le oirouit de démarrage du commutateur temporisé TS qui est à interruption automatique. Le relais RAA fonc -tionne et ferme le circuit du relais RAF qui reste bloqué au contaot à mercure tsl du commutateur temporisé. Le fonctionnement de RCF ferme aussi le circuit du relais RBF, qui se bloque au contact tsl.
Le relais RC fonotionne à travers le contact de travail rbf2 et le contact de repos rba2. Ce relais RC reste excité aussi longtemps que le commutateur temporisé maintient ses contacts fermés. Le hurleur ou sirène à moteur, dont le oontacteur a été actionné par le contact à mercure du relais RC, fonotionne. L'impulsion qui a excité le train de relais, est retransmise à une autre ligne KL au moyen du relais RRF dont le circuit est fermé par les armatures du relais RCF. Du courait alternatif ou du courant continu est envoyé sur la dite ligne.
A la fin de la première impulsion, les relais RAA et RCF se neutralisent. La deuxième impulsion reçue par le relais RL ferme le circuit de RCA et de RBA. Le circuit du relais RC à travers le oontact de travail de RBF et le contact de repos de RBA est maintenant ouvert et la vitesse du moteur diminue. Cependant, le relais RBA ferme le circuit de RM. Ce dernier relais a deux enroulements dont l'un est en série aveo un oondensateur de 400 MF et une résistance
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RESl.
Les enroulements du relais sont différentiels, et RM est à excitation lente étant retardé jusqu'à ce que le condensateur de 400 MF soit chargé.En même temps la vitesse du moteur a diminué considérablement, Le relais RM fonctionne maintenant, fermant le circuit du relais auxiliaire RAM qui, à son tour, ouvre le circuit de RM et ferme le circuit de RC.' Le oourant est permuté de nouveau sur le moteur, qui accroît sa vitesse. Le courant de décharge du condensateur de 400 MF amène le rétablissement lent de RM. Quand le relais RM est neutralisé, le oirouit de RAM est ouvert, ce qui rompt le oirouit du relais RC, ralentissant ainsi de nouveau la vitesse du moteur. De cette manière, le moteur commandant la sirène ou hurleur est accéléré et retardé sans s'arrêter réellement, produisant ainsi un son modulé.
Avec le relais et le condensateur appliqués dans le oirouit, cette modulation est d'environ deux secondes. La retrans -mission de la deuxième impulsion pour le signal d'alarme est obtenue par le fonctionnement du relais RRA envoyant une deuxième impulsion sur la ligne KL. Donc une simple impulsion est reçue et la sirène produit une note invariable continue. Dans les deux cas les hurleurs ou sirènes sont déconnectées quand les oontaots tsl libèrent les relais RBF et RBA.
Dans le cas de oourant continu pour cette dernière ligne, les deux impulsions successives sont de polarités inversées, ce qui actionne le oirouit à oourant continu, montré figure 5,
Quand la première impulsion négative est appliquée au relais RL, l'armature de celui-ci ferme le contact supérieur et complète le circuit du relais RAA. Le commutateur temporisé TS est actionné et le relais RBA est bloqué en position d'opération au contact tsl. Les relais RM, RAM et RC, avec le condensateur de 400 MF et la résistance RESl, provoquent l'émission du son par le haut-parleur ou sirène,qui sera modulé comme décrit ci-dessus. Lors de la deuxième impulsion négative, le relais RRA fonotionne aveo le relais RAA, amenant la ré -pétition de la seconde impulsion à travers la ligne KL.
Quand aucun circuit à courant alternatif ne doit être connecté au relais de retransmission d'un circuit à oourant oontinu, il
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est suffisant d'envoyer une impulsion négative pour actionner le signal d'alerte. Puisque le circuit de contrôle pour le courant oontinu émet deux impulsions négatives successives,la retransmission sur le circuit à courant alternatif est assurée.
Quand une impulsion positive de fin d'alerte est reçue par le relais RL oonneoté en série avec le oirouit de ligne, le contact inférieur est fermé, ce qui complète le circuit du relais RAF. cela met en marche le commutateur temporisé TS et bloque le relais RBF.
Le relais RC fonctionne à son tour et la sirène est mise en marche.
Le relais RRF est actionné en même temps que RAF et retransmet l'impulsion à la ligne KL.
Les circuits sont ainsi disposés qu'il est possible à tout moment d'envoyer le signal d'alerte si aucun signal de fin d'alerte n'est donné, et même pendant l'envoi d'un signal de fin d'alerte, tandia'qu'il n'est pas possible d'envoyer un signal de fin d'alerte quand le signal d'alerte est donné.
Cela empêche quelques erreurs possibles ou quelque fausse opération de la part du préposé devant donner le signal d'alarme.
Le circuit de la sirène ou hurleur local, figure 6, pour, par exemple, une signalisation dans une usine, ressemble fortement aux oiroui ts oi-dessus décrits, et il est actionné pour transmettre des signaux d'alerte et des signaux de fin d'alerte au moyen des boutons poussoirs AL et FAL. Puisque cet équipement doit être utilisé dans des usines, il a été trouvé préférable de prévoir un bouton supplémen -taire AR pour arrêter les signaux d'envoi quand ils ne sont plus né- cessaires. Le oirouit est de forme simple et il est inutile d'en donner une explication.