BE387138A - - Google Patents

Info

Publication number
BE387138A
BE387138A BE387138DA BE387138A BE 387138 A BE387138 A BE 387138A BE 387138D A BE387138D A BE 387138DA BE 387138 A BE387138 A BE 387138A
Authority
BE
Belgium
Prior art keywords
card
contact
cards
machine
see
Prior art date
Application number
Other languages
English (en)
Publication of BE387138A publication Critical patent/BE387138A/fr

Links

Classifications

    • GPHYSICS
    • G06COMPUTING; CALCULATING OR COUNTING
    • G06FELECTRIC DIGITAL DATA PROCESSING
    • G06F7/00Methods or arrangements for processing data by operating upon the order or content of the data handled
    • G06F7/38Methods or arrangements for performing computations using exclusively denominational number representation, e.g. using binary, ternary, decimal representation
    • G06F7/46Methods or arrangements for performing computations using exclusively denominational number representation, e.g. using binary, ternary, decimal representation using electromechanical counter-type accumulators
    • G06F7/462Multiplying; dividing
    • G06F7/467Multiplying; dividing by using preset multiples of the multiplicand or the divisor

Landscapes

  • Engineering & Computer Science (AREA)
  • Physics & Mathematics (AREA)
  • General Physics & Mathematics (AREA)
  • Theoretical Computer Science (AREA)
  • Computational Mathematics (AREA)
  • Computing Systems (AREA)
  • Mathematical Analysis (AREA)
  • Mathematical Optimization (AREA)
  • Pure & Applied Mathematics (AREA)
  • General Engineering & Computer Science (AREA)
  • Vending Machines For Individual Products (AREA)

Description


   <Desc/Clms Page number 1> 
 



  'Perfectionnements aux machines de comptabilité" 
La présente invention se rapporte à des perfectionnements apportés aux machines de comptabilité du type organisé pour relever les indications numériques que portent des cartes ou des feuilles d'enregistrement, pour multiplier les indications ainsi relevées et pour enregis- trer ensuite sur lesdites cartes ou feuilles le produit de la multiplication des indications primitives qu'elles portent. 

 <Desc/Clms Page number 2> 

 



   Jusque présent, ainsi   au' il   est dit dans la demande de brevet américain N  558.165 déposée le 1er Mare 1928 par   Monsieur     Bryce   et dans   la,   demande de brevet canadien   correspondante   
N  343.400 du 14 Novembre 1928on effectuait les opérations susvisées en faisant passer des cartes d'enregistrement perforées par une telle machine, de manière à obtenir de chaque   carte   une lecture simultanée des renseignements se ra- portant à plusieurs colonnes.

   Les indications ainsi relevées commandaient le fonctionnement des dispositifs multiplicateurs et des   disposi-   tifs/qui recueillaient le produit ded la machine et, finalement, une poinçonneuse pour plusieurs colonnes était mise en place, sous la commande des dispositifs qui recueillent le produit, pour per- forer, sur chacune des mêmes cartes, la représen- tation du produit de la multiplication susvisée. 



   La rapidité du fonctionnement expêks que la lec- ture des indications recueillies sur la carte soit effectuée, de préférence, par des disposi- tifs qui sont susceptibles de recueillir simul- tanément des renseignements dans   plusieurs   co-   lonnes.   L'opération qui consiste à représenter, sur la même carte, les produits de la multipli- cation susvisée est exécutée aussi avec une grande rapidité, lorsque les produits sont extrêmement grands, par l'utilisation de poinçons du type multiple qui sont préparés conjointement pour le percement subséquent des perforations se rappor- tant à plusieurs colonnes sur la carte, lesdites perforations s'effectuant   simultanément   Toute** fois,

   ces mécanismes perforateurs sont   relative-   

 <Desc/Clms Page number 3> 

 ment compliqués et coûteux et, pour certains tra- vaux, l'économie de temps réalisée par les opé- rations de perforation se rapportant au produit de la multiplication susvisée, opérations qui sont effectuées par l'utilisation de poinçons du type multiple, ne justifie pas la complication et les dépenses qui résultent de l'utilisation de ce type de poinçons.

   C'est le cas, en particulier, lorsque les représentations du produit de la multiplica- tion sont plus ou moins   limités en   ce qui concerne le nombre de colonnes 
La présente invention a pour objet une machine de canptabilité perfectionnée et simpli- fiée fonctionnant au moyen de cartes perforées, ladite machine étant organisée pour pouvoir re- cueillir concurremment des indications se rappor- tant à plusieurs colonnes de chacune des séries de cartes qu'on fait passer par la machine.

   La machine est, en outre, organisée pour multiplier les indications recueillies et pour enregistrer ensuite, sur la même carte, chacun des produits obtenus, cet enregistrement étant effectué par des organes appropriés qui fonctionnent par actions répétées et successives pour enregistrer successivement le   produite/plusieurs   colonnes sur la carte en question. 



   Conformément à l'invention, on a prévu un mécanisme destiné à déplacer les cartes et dis- posé de façon à recevoir lesdites cartes après qu'elles ont recueilli les indications qu'elles portentau moyen d'un mécanisme d'entrée du type à actions concurrentes, et à transférer, une à une 

 <Desc/Clms Page number 4> 

 ces indications   reçus     illies   à un dispositif per-   forateur   du type qui perce plusieurs colonnes successivement, la machine en question comportant des organes de coordination destinés à coordonner la   successmon   et (ou) la simultanéité des opéra- tions d'entrée, de calcul, de manipulation des cartes et d'enregistrement. 



   La machine de comptabilité objet de la présente invention présente des organes de com- mande nouveaux, afin de permettre et d'assurer la succession d'opérations nécessaires et dési-   rables   dans les machines de comptabilité fonction- nant au moyen de cartes perforées, machines dams lesquelles on effectue, dans un certain ordre, des perforations correspondant au produit   d'une   multiplication. 



   La. machine calculatrice fonctionnant au moyen de cartes perfroées est caractérisée, en outre, par le fait qu'on utilise des dispositifs perforateurs pour le produit de la multiplication, dispositifs du type à actions successives au   cujet   desquels on a pris des mesures pour réduire au minimum la durée du fonctionnement de la,   machine.   



  Cette réduction au minimum de la durée du temps est effectuée, d'une part, par une commande   conve--   nable d'une partie de la machine se rapportent aux calculs, de façon à éliminer les cycles de calculs inutiles, et, d'autre part, par une commande de la partie de la machine qui assure la manipula- tion de la carte et qui commande les organes per- forateurs, ceci afin d'éviter les opérations con- tinuellement interrompues du mécanisme perforateur. 



  Dans ladite machine on a prévu des moyens simples 

 <Desc/Clms Page number 5> 

 pour l'attribution des champs destinés à recevoir,sur les cartes perforées, les perforations correspon- dant au produit de la multiplication, dans un mé- canisme perforateur du type qui effectue   successi   vement les perforations d'un produit colonne par colonne, sous la commande d'un mécanisme calcula- teur. 



   Conformément à l'invention, on a organisé la machine de façon que la carte la traverse dans deux sens. Le déplacement de la carte dans l'un des sens est le plus avantageux pour recueillir les indications que porte la carte et le déplace- ment de la carte dans l'autre sens est le plus avantageux pour enregistrer, sur la même carte, le produit de la multiplication, au moyen du méca- nisme le plus simple. 



   Conformément à la présente   intention,   on a prévu une nouvelle disposition coordonnée de la machine calculatrice et du dispositif   perfo-   rateur lequel est du type à poinçonnages   succes-   sifs. 



   Dans la machine calculatrice, objet de la présente invention, pourvue de dispositif pour la perforation des cartes, on a prévu également une organisation permettant des entrées à la main sur les cartes qui reçoivent les perforations correspondant aux indications, 
D'autres buts et d'autres objets de la présente invention apparaîtront au cours de la description suivante et à l'examen du dessin annexé sur lequel on a représenté,, à titre   d'exem-   

 <Desc/Clms Page number 6> 

 ple ce que la demanderesse considère, à présenta   comme   le mode d'exécution   préféré de   la présente invention. 



   Sur ce dessin : 
Les figures 1 et   la   prises ensemble   constituent   un plan de la   machine;   
Les figures 2 et 2a prises ensemble constituent une coupe transversale de   la machine   suivant 2-2 des figures 1 et   la,   la   figure   2a   re-   présentant certaines pièces agissant sur les cartes, pièces qui se trouvent devant le plan de la coupe et qui sont représentées en traits pleins, afin de montrer la, disposition de ces pièces par rapport au reste de la machine;

   
Les figures 3 et 3a prises ensemble constituent sensiblement une élévation latérale de la partie de la machine réservée aux   opérations   de poinçonnage, la vue éta,nt prise sensiblement sui- vant 33 des figures 1 et la et étant   vue   dans la direction des flèches tandis que certaines pièces sont arrachées afin de faire voir certains détails qu'il n'est pas possible de représenter sur les figures Z et 2a; 
La, figure 4 montre la machina en bout;, à partir de la droite de la figure   la    et en   regar-   dant vers la gauche; 
La   figure   4a montre des détails de la   commande     intermittente:, par   engrenagespour le mécanisme de transfert des cartes;

   
La figure 5 est une coupe transversale à travers la partie de la machine qui transfère les cartes et relève les indications enregistrées, la 

 <Desc/Clms Page number 7> 

 coupe étant faite sensiblement   suivant   5-5 de la figure 1a et vue dans la direction des flèches; 
La figure 6 montre les détails , en coupe, de certains organes de commande, la coupe étant fai- te sensiblement suivant 6-6 de la figure la; 
La figure 7 est une coupe montrant cer- tains détails pris en partie au-dessous du socle de la machine et suivant 7-7 de la figure 1a, ladite coupe montrant l'embrayage principal de la machine ) pour la commande de l'alimentation en cartesà travers la partie de la machine destinée à relever les indications des cartes, et la   commande   pour la remise des différentes pièces à leur position ini- tiale;

   
La figure 8 est une coupe à travers un des dispositifs compteurs ou de réception de la ma- chine, la coupe étant prise sensiblement suivant 
8-8 de la figure 1 et transversalement à travers le dispositif compteur destiné à recevoir le mul tiplicande; 
La figure Sa montre les détails de cer- tains utiliseés dans le dispositif comp- teur affecté au   multiplicateurs   
La figure 9 est une coupe montrant cer- tains détails, coupe prise suivant 9-9 de la figure 
4 et vue dans la direction des flèches, certaines pièces étant enlevées; 
La figure 10 est une coupe montrant les détails de certaines pièces représentées sur la figure   2,   la coupe étant faite suivant la ligne   10-10   de la figure 2a;

   

 <Desc/Clms Page number 8> 

 
La figure 11 montre, en détail, cer-   taines   pièces représentées sur la figure 3a dont quelques unes occupent d'autres positions; 
Les figures 12 et 12a prises ensembles montrent en perspective certaines parties du méca- nisme perforateur et certaines pièces contactrices qui s'y rapportent; 
La figure 13 montre en coupe   l'un   des dispositifs émteeures, la coupe étant faite sensi- .ons   @     blement   suivant 13-13 de la   figure  1a; 
La figure 14 montre,   à   plus grande   échel-     le,   certaines pièces représentées   sur-   la   figure   2;

   
La, figure 15 montre, d'une part, le détail du dispositif qui soulève le cliquet de déplacement et, d'autre partp les pièces associées à ce   disposi-   tif ; 
La figure 16 est le   schéma,   de   régla.ge,   dans le temps, de la machine objet de l'invention; 
Les figures 17a, 17b 17c, 17d et 17c mises bout à bout montrent le schéma de connexions de la machine; 
La figure 18, enfin, est un schéma mon- trant le genre de calculs que peut e fecteur   la   machine objet de la présente invention, 
La machine est construite de façon   qu'elle   soit actionnée par un moteur à marche ininterrompue M (voir figure   4).   L'arbre moteur est pourvu de deux poulies 5o et 51 (voir figure 3a).

   La   premier   désignée par 50,commande, au moyen   d'une   courroie, un arbre 52 qui   actionne   le dispositif perforateur tandis que la poulie 51 commande, au moyen d'une 

 <Desc/Clms Page number 9> 

   courroie;;   un arbre 53 commandant la partie de la machine réservée à l'analyse des cartes et aux cal-, culs se rapportant aux cartes (voir figures 4 et 7). 



  L'arbre 53 s'étend transversalement au-dessous du socle de la machine et sur lui est fixée une roue à rochet 54 faisant partie d'un dispositif d'embrayage à un tour (voir figure 7), dispositif qui comporte un cliquet 55 que l'on peut libérer, de façon qu'il vienne en prise avec la roue à rochet 54, par suite de l'oscillation d'une armature 56. Le cliquet 55 est porté par une pièce 57 qui, à son tour, est fi- xée sur une roue dentée 58 et sur un secteur denté 59.

   Lorsque l'embrayage à un tour est mis en prise. la roue dentée 58 actionne, grâce à une roue dentée folle 60, une roue dentée 61 et fait tourner l'arbre   62.   Comme on le voit qur la figure   4   on a fixé sur l'arbre 62 une came 63 (voir également figure 9),qui coopère avec un levier 64 fixé sur un arbre 65 qui porte des bras 66 destinés à actionner le poussoir des cartes (voir figure 5). Il en   résul   te que, lorsque l'arbre 65 oscille, une carte est retirée du magasin 67 (voir figures 4 et 5), ladite carte étant poussée dans l'entrée d'une paire de rou- leaux   alimentent   en cartes   68.   Les rouleaux d'ali- mentation 68 sont reliés, par un train   d'engrenages,   à d'autres rouleaux 69 et tournent de la même façon que ceux-ci.

   Ce train de rouleaux d'alimentation est actionné de la façon suivante : 
Comme le montre la figure   4,   sur l'arbre 62 est fixée une roue dentée 70 qui, au moyen d'une roue dentée folle 71, action une roue dentée 72 représentée en pointillé et monté sur l'arbre 73. 

 <Desc/Clms Page number 10> 

 



  Sur ce même arbre est montée une roue   dent ce   74 fixée sur la roue   dentée   72, ladite   roue     dentée   74 commandant le train   d'engrenages   pour les ron- leaux   alimenteurs   68 et 69 déjà   mentionnes.   Sur l'arbre 30 on a monté   un   dispositif d'empilement 75 d'un type quelconque (voir figure 5) pourvu   d'une   paire de crochets 76. Le dispositif d'empilement est actionné par le train de   mécanismes   suivant (voir figures 4 et 4a).

   Sur l'arbre 62 est montée une roue 31 à secteur denté du type usuel, cette roue à secteur denté étant susceptible de   commander:,   pendant le dernier tiers de sa révolution, une rous dentée 32 qui, à son tour, au moyen d'une roue den- tée folle 33, commande une roue dentée 34 calée sur l'arbre 30 qui porte la roue 75 destinée à transfé- rer ou à empiler les cartes. Ce mécanisme de trans- fert des cartes ou tambour d'alimentation en cartes est analogue au dispositif d'empilement usuel utilisé dans les machines tabulatrices.

   Le disposi- tif d'empilement est réglé, dans le temps, de telle façon   qu'une   carte sortant des rouleaux 69 soit saisie par l'un des crochets 76 et déposée dans le réceptacle de la partie de machine réservée au poinconmage, Ce dispositif d'empilement est d'une forme bien connue et ne doit pas être décrit avec plus de détails.Les parties du dispositif d'emplie- ment 75 sont représentées   également   sur les figu- res la, 2a et 3s. 



   L'arbre 62 fait un tour pour chaque carte introduite dans la machine et la roue dentée 

 <Desc/Clms Page number 11> 

 31 fait, d'une façon correspondante, un tour com- plet et, pendant le dernier tiers de ce tour, le dispositif d'empilement 75 fait un démineur pour saisir une carte qui est sortie d'entre les rou- leaux alimenteurs 69, le dispositif d'empilement 
 EMI11.1 
 plaçant ladite carte dans le 1i1a partir de la partie de machine destinée aux opérations de perforation, 
Le mécanisme utilisé pour le transfert des cartes qui vient d'être décrit est organisé de façon qu'il fasse passer une carte devant une rangée de balais analyseurs 77, d'un type   quelcon-   quesusceptibles de relever conjointement les indications se rapportant à plusieurs colonnes; indications qui ont été perforées dans la carte. 



  Outre les balais analyseurs, cette partie de ma- chine destinée   à   relever les indications de la car- te est,pourvue d'un levier à cartes 78 (voir fi- gure 5) qui, lorsque la carte se trouve dans cette partie de machine, peut fermer le contact 80 du levier à cartes. Le contact 79 pour le levier à cartes est toujours fermé lorsqu'une ou plusieurs cartes restent dans le magasin à cartes (voir fi- gure 4) Les balais analyseurs 77 sont reliés, par les connexions ordinaires, aux douilles à fiches ordinaires d'un tableau représenté sur le schéma de connexions que l'on décrira , d'une fa- çon plus complète, dans ce qui suit. 
 EMI11.2 
 



  C01à!1k3D3 DE LA PARTIE DE i\ffACHINE DESTI,4 NÉE AUX CALCIIL3 
La figure 7 montre que le secteur den- té ou croix: de Malte 59 coopère avec une roue dentée 

 <Desc/Clms Page number 12> 

 81 et   commande,   au moyen d'une roue dentée folle 82, une roue dentée 83 calée sur un arbre 84 pour la remise à zéro. Il est bien entendu que -pendant nue tourne la roue dentée 59 dans le sens de le flèche (voir figure 7) le premier mouvement de la roue dentée 59 a pour effet de débloquer la roue dentée 81. Ensuite la roue dentée 59 actionne   la,   roue dentée 81 et imprime un mouvement de rotation à l'arbre 84 pour la remise à zéro.

   Ce dernier est représenté également en plan sur les figures 1 et la et,   comme   il est usuel dans les machine,- tabu- latrices, on a prévu des   commandes   et des   embraya"*   ges de remise à zéro individuels pour chacun des dispositifs   compteurs.   Ces dispositifs de remise à zéro sont du type représenté dans le brevet amé- ricain ?   1.600.414,   du 21 Septembre 1926 pris par Monsieur Lake. 



   COMMANDE DES ORGANES COLPTEURS 
L'arbre 53 passe par les roues dentées 58 et 59, ces roues pouvant tourner l'une par rapport à l'autre sur l'arbre mais chacune de ces roues étant fixée sur l'autre ainsi que sur la roue 57 de l'embrayage à un tour.La partie des arbres 53 qui est prolongée au-delà des roues den- tées 58 et 59 (voir figures 7 et 6) porte uen/dentée 85 (voir figure 6) fixée sur l'arbre; cette roue dentée engrène avec une roue dentée 86 qu'elle coin- mande. La roue dentée 86 est disposée sur l'arbre de commande 87 du dispositif compteur et est fixée sur ledit arbre. Un tour de la roue dentée 85 et de l'arbre 53 fait exécuter trois fouis à l'arbre 87 

 <Desc/Clms Page number 13> 

 de commande des dispositifs compteurs.

   Il est bien entendu que l'arbre de commande 87 des dispositifs compteurs s'étend à travers les différents   dispo   sitifs compteurs et (ou) récepteurs de la machine et les commande tous. En résumé on peut décrire ces dispositifs comme suit : 
On a représenté par MC, sur la figure 1, le dispositif destiné à recevoir le   multipli   cande et par MP le dispositif destiné à recevoir le multiplicateur. Par LH, on a désigné le   comp   teur destiné à accumuler les/composants de gau- che des produits partiels et par RH on a désigné le compteur pour l'accumulation des composants de droite des produits partiels, ledit compteur étant destiné également à recevoir les chiffres accumulés provenant du compteur LH pour donner le produit final. 



   COMMANDE DE l'ÉMETTEUR,OU DISTRIBUTEUR D'IM PULSIONS A côté de la roue dentée 86 (voir fi- gure 1a et 6) se trouve une autre roue dentée 88 qui engrène avec une roue dentée 89 fixée sur un arbre 90. Sur ce dernier est monté le balai qui agit sur les plots de l'émetteur 91 et ce balai tourne chaque fois que la roue dentée 89   tourne,,   Sur le même arbre 90 est fixé un élément   92   d'un embrayage à un tour. Cet élément d'embrayage est du type qui est pourvu d'un simple épaulement ou dent et susceptible de coopérer avec un cliquet 93 pour faire tourner un manchon 94 qui, à son tour, commande le balai de l'émetteur 95. Les détails de cet émetteur sont représentés sur la 

 <Desc/Clms Page number 14> 

 figure 13.

   Sur cette figure, on voit qu'on a dé- signé   par   96 le ba.lai rotatif et par 94a le support de balai lequel est fixé sur le manchon 94. 



   Il convient de noter ici que l'émet- teur 91 est construit de la même façon avec la seule différence qu'on a séparéle plot émetteur 97 qui estun peu écarté des autres et qui est prévu sur 
1 émetteur'95 et que le tilair émetteur de l'émet- teur 91 est actionne chaque fois que la roue den- tée 89   tourne.,   L'élément d'embrayage à un tour 92 pour l'émetteur 95 est d'un type et   d'une   forme qui permettent le dégagement du cliquet 93, à un moment quelconque du cycle, avant la mise en prise dudit cliquet avec l'épaulement. 



   Le cliquet est libéré a,u moyen   d'une   armature et   d'un bras   98 (voir figure   6).   



   COMTROLE DES CMLES CONTACTRICES 
Le manchon   94     de   l'émetteur 95 est en outre prolongé vers le droite de la figure   la,   et ce manchon porte, à son extrémité, la came   d'un   dispositif contacteur à came Tl qui sera décrit plus loin. 



  Sur l'arbre 87 decommande de   dispositifs   compteurs, à la droite du dispositif compteur RH (voir figure 6), se trouvent également des contacts de commu- tation désignés, d'une façon générale, par C et décrits individuellement dans ce qui   suit :   
D'autres contacts à came Cl sont dis- posés sur le même arbre 87, à la droite du compteur RH (voir figure   1a)   
Si l'on se reporte à la figure   9,   on voit que l'arbre 62'est pourvu de plusieurs cames 

 <Desc/Clms Page number 15> 

 pour certains contacts à cames désignés, d'une fa- çon   générale   par   F.   Ces contacts fonctionnent pendant le cycle d'alimentation en cartes et pen- dant que la carte passe par le poste d'explora- tion. 



   Sur les figures 1, la et 8, on a   repré-     senté   pour le compteur MC des multiplicandes, la construction usuelle employée dans les machines ta- bulatrices et pourvue d'embrayages commandés élec-   tromagnétiquement,   etc... Le mécanisme qui exprime les nombres, au lieu d'être du type ordinaire com- portant une came à crans, affecte toutefois la for me d'un type à commutateur.

   Ce commutateur du com- teur MC est double; il comporte une paire d'anneaux 
100, en matière isolante:, pourvus d'un nombre   conve.   nable de segments conducteurs 101 encastrés dans la masse.   A   l'intérieur de l'anneau, on a disposés de façon qu'il puisse tourner, un dispositif à deux balais désigné dans son ensemble par 102, ce dispo- sitif étant commandé par une roue dentée 103, à partir de la roue dentée que porte l'arbre de   l'em   brayage du compteur. L'ensemble des balais 102 reçoit le courant par un segment conducteur commun 104. Le courant entre par 104 et passe successive- ment par les deux balais puis sort pour se ren- dre à l'un des segments suivant la position   du comp"   teur.

   Pour commander les balais du deuxième commuta- teur qui sont désignés également par 102, on a prévu une roue dentée intermédiaire 105 ainsi qu'on l'a représenté. 



   Tous les différents compteurs, c'est-à- dire les compteurs MC,xx MP,   LH   et RH sont pourvus 

 <Desc/Clms Page number 16> 

 
 EMI16.1 
 des contacts/106 ordinaires BBXK iss anBtaEix sans   relais,   contacts qui s'ouvrent lors de l'excitation des   électron-aimants   des compteurs.  0 Le   compteur MP 
 EMI16.2 
 est construit de le, même façoii cllLC celui qu'on a. décrit pour lc compteur 1::C, sauf pour le. fait que le mécanisme du coùi=1utatew? qui exprime le? 110dJY08 n'est pas double, Lui seul jeu de segnenbs et un seul jeu. de balais étant employés.

   De même, é.a,n;, le comp- teur 1.P des multiplicateurs, on a prévu, outre les contacts 10:6 das: des contacts d'interrupteur   additionnels     désirés;,   dans leur en- semble, par S (voir figure 8a).Un de ces contacts est prévu pour chacune des colonnes Ces contacts S sont organises de façon   qu'ils   ouvrent conjoin- tement avec l'ouverture des contacts 106 et ils ont 
 EMI16.3 
 un but qui sera ejlicL?ë plus loin.. Les accumulateurs ru et EH sont construits de la .1gr:1e façon que le compteur MO des multiplicandes sauf que, de même que le compteur des raultipliateuz ils n'ont qu'un seul jeu de dispositifs coM-mtateurs pour ex- primer les chiffres. Les dispositifs RH pour cx- 
 EMI16.4 
 primer les chiffres sont pourvus de dix segaents 102 tandis que les autres n'en ont que   neuf .   



   Avant de passer à la description du mé- canisme perforateur ou de   l'opération   de perfora- tion des produits sur la carte on   expliquera     comment   on introduit   un   certain nombre dans la ma- chine ainsi que l'opération de calcul et sa commande. 



  Pour cette explication on se référera au schéma, de   connexions.   



   Si 1 ',on se reporte au schéma de connexions 
 EMI16.5 
 représente sur les fjg;.res 17@ à 17 inclusivement, 

 <Desc/Clms Page number 17> 

 on voit que l'arrivée principale du courant se fait par un conducteur marqué du signe plus (+) et dési- gné par 110. L'autre borne du circuit est mise à la. terre, ainsi qu'il est indiqué d'une façon conven- tionnelle. on a désigné par M le moteur qui actionne la machine et ce moteur est mis en marche par la fermeture de l'interrupteur 111 du moteur. Poux mettre   le.   machine en marche, dans le cas où il y a des cartes dans le magasin 67 (voir figure 5), on abaisse la touche de démarrage 112. L'abaissement de cette touche dedémarrage établit un circuit passant par 111, par les contacts de la touche de démarrage, par le relais 114 et par la terre.

   Le contact du relais 114 est alors fermé et le circuit passe par le contact 115, fermé à ce moment, par le contact 116, fermé également à ce moment, et par   l'électro-aimant   117 de l'embrayage pour l'a- menée de la carte et la remise à zéro pour aboutir finalement à la terre.   L'électro-aimant   117 est ce- lui qui est représenté sur la figure 7, c'est-à- dire ce lui qui commande l'embrayage à un tour, ledit embrayage mettant en marche l'alimentation en cartes et remettant à zéro les différents comp- teurs et les différents dispositifs de réception de la machine. 



   Il s'ensuit une   ali&entation   en cartes et une carte est saisie par le poussoir et avancée jusqu'à proximité du contact 80 du levier à cartes. 



  Le contact 79 est fermé chaque fois qu'il y a des cartes dans le magasin à   carteso   A un moment   appro.   prié du cycle, du courant est amené au contact 80, 

 <Desc/Clms Page number 18> 

 par les dispositifs de contact à cames 118 qui sont   ceulc   qu'on utilise habituellement dans les machines tabulatrices. La fermeture du. contact à came 118 et du contact 80 du levier à cartes amène le courant à la barre commune des balais qui explorent   la   car- te et celle-ci est alors analysée par les balais de la façon ordinaire; les indications relatives au multiplicande' etau multiplicateur sont alors introduites dans les dispositifs récepteurs   respec   tifs   é,1.é et   MP.

   Au même moment que le contact 80 se   ferme,   le contact   79   est   ternie   également, à con-   dition   qu'il y ait une ou plusieurs cartes dans le magasin et il en résulte un circuit de maintien pas-   sant par la touche de démarrage 112 laquelle peut t   maintenant   être   libérée. 



   Les ciuruits pour l'introduction des nombres dans les compteurs MP et MC passent, à par- tir des connexions par douilles désignées dans leur ensemble par 119, aux électro-aimants du.   comp   teur MPet par les contacts 106 mentionnes plus   haut   pour retourner à la terre, Pa,r l'opération d'intro- dhction de nombres indiquée ci-dessus un ou plusieurs des contacts S1, S2 et (ou) S3 ont été ouverts à condition qu'il y ait un chiffre significatif dans le multiplicateur.

   Si le multiplicateur   renferme   un   zéro.,   par exemple dans la position médiane;, S2 ne s'ouvre pas.L'opération susvisée a   disposé   les ba- lais désignés dans leur ensemble par 102 et   corres-   pondant au compteur MP et a, relié le balai corres- pondant à un plot choisi sur chacun des segments qui expriment les chiffres se rapportant aux diffé- ,rents ordres de grandeur.

     0 Dans,    l'exemple   représen- té "589" est le multiplicateur et ce nombre est 

 <Desc/Clms Page number 19> 

 disposé ou "composé" sur les trois/segments repré-   sentes.   L'introduction du multiplicande est   effec   tuée par les connexions par fiches 120 et par les fils ordinaires des électro-aimants du compteur- correspondant au multiplicande, le courant passant ensuite par les contacts 106 usuelespour revenir par la terre. La "composition" du nombre représentant le multiplicande, dans le cas présent "8. 493", est effectuée sur les quatre commu-   tateurs   supérieurs représentés et sur les quatre commutateurs inférieurs.

   Le groupe supérieur est indiqué par le nombre de référence 121 et le grou- pe inférieur par le nombre de référence   122   (voir figure 17c).Immédiatement avant qu'un chiffre   si      gnifioatif   soit introduit dans le compteur MP, le dispositif contacteur à came 123 (voir également figures 7 et 9) ferme momentanément, par un méca- nisme   appropriée   les contacts   'Ni,   N2 et N3. La fer- meture de ces contacts permets au courant de passer du conducteur 110, par les contacts N1, N2 et N3, par les bobines de relais T1'T2 et   T3'et   par les bobines Ul,   D2   et U3 pour passer ensuite par les contacts SI, S2 et S3 fermés à ce moment et pour revenir par la terre, Immédiatement aprèsles con- tacts N1.

   N2 et N3 s'ouvrent mais un circuit de   main-   tien s'établit à partir du conducteur 110, par une dérivation 124 et par les différents contacts   de.!   relais T1, T2 et T3 Ce circuit maintient excités les relais pourvu que le contact associé S n'ait, pas été ouvert par l'entrée d'un chiffre significa- tif dans le dispositif récepteur MP pour l'une   quel...   conque des colonnes Si un chiffre significatif a 

 <Desc/Clms Page number 20> 

 été introduit, par exemple dans là rangée des dizaines, le contact S2 s'ouvre et le relais T2' cesse d'être excité tandis qu'en   mené   temps le relais U2 cesse d'être excitée Les relais U1 à U3 inclusivement ont leurs contacts repectifs désignés par   U'l,

     U'2 et   U'3.   Si 'l'un quelconque des relais 
U cesse   d'ttre     excitée l'un   des contacts correspon- dants s'ouvre et l'autre se ferme. Lorsque les relais 
U sont excités leurs contacts sont déplacés et ame- nés à une   posa. tien   inverse de celle   qui   est repré- sentée et, lorsqu'ils cessent d'être excités, ils se trouvent dans la position représentée dans le schéma de connexions.

   Sur l'arbre de   commande   des compteurs de la machine, arbre qui fait un tour par cycle de carte, on a monté un certain nombre de commutateurs ou dispositifs pour le réglage de le durée du circuit CC1, CC2 et CC3 et un autre jeu de dispositifs analogues CX1, CX2 et Les dis- positifs CC1 à, CC3 inclusivement sont organisés pour qu'ils ferment les circuits dans un ordre dé- terminé. Par rapport auxcycles, ces dispositifs de réglage de la durée du contact sontécartes   l'un   par rapport à l'autre d'un point indicateur mais, en raison des circuits électriques, ils peuvent agir pour fermer réellement leurs circuits dans l'ordre suivant :CC1 ferme ses circuits pendant le premier cycle de calculs, il est suivi, un cycle plus tard, par les circuits qui se rendent à CC2 et un cycle plus tard encore par les circuits se rapportant à CC3.

   Les dispositifs de réglage CX1    GX3   inclusivement se ferment simultanément vers la fin de chaque cycle de calculs et après la fer-   meture   de CC1, comme on le voit clairement sur la 

 <Desc/Clms Page number 21> 

 figure 16. 



   Conformément aux figures 5 et 10, lors- qu'une carte est amenée par le dispositif d'empile- ment de cartes 75 dans le réceptacle de la partie de la machine réservée aux opérations de perfora- tion, le passage de la carte et son dépôt dans le réceptacle actionne un levier à cartes 126 (voir figure 10) qui ensuite est maintenu abaissa par un loquet 126a et cette action du levier à cartes sert à ouvrir le contact 115 fermé antérieurement et à fermer les contacts 125 et 221 qui étaient ouverts auparavant. L'effet de l'ouverture du contact 115 est d'interrompre le circuit passant par l'électro- aimant d'embrayage   117   et d'arrêter l'amenée de cartes à travers la partie de la machine réservée à l'analyse de la carte. 



   Le contact 125 sera appelé, dans ce qui suit, contact d'amorçage du calcul. Quand ce contact est fermép au moment approprié du cycle de fonc- tionnement de la machinée le contact à came F1 se ferme, le courant passe du conducteur 110 par le contact   Fl   par le contact 125, fermé à ce moment, par le contact du relais PC2 et, de là, par les contacts du relais U1 qui se trouvent dans la posi- tion représentée, Au moment convenable, un circuit est établi par le dispositif de réglage CX1 et par le relais CS1 pour revenir par la terre. L'exci- tation du relais CS1 ferme les contacts de relais V1 et établit un circuit de maintien passant par le conducteur 127 pour revenir par le contact à came Tl et le contact à came Cl au conducteur 110. 

 <Desc/Clms Page number 22> 

 



   Ce circuit maintient excité le relais C2 e', celui- ci,   lorsqu'il   est excité, ferme le contact   128   appartenant au dispositif MP qui sert à exprimer les chiffres; cette excitation ferme également un groupe de contacts 129 et 130 servant à la sélec- tion des colonnes (voir figure 17d). 



   On se rappelle que le balai 102 du dis- positif exprimant les unités compris dans le dis- positif qui reçoit le multiplicateur est arrêté sur le plot'9'. Par conséquent on établit un circuit passant par le conducteur 131 (voir figure 17a), par le contact 128, par le balai 102, par le neu-   vième   fil du   groupe   de fils ou connexions 132 pour se rendre au relais X9 (voir figure 17b).L'excita- tion du relais   X9   ferme deux groupes de contacts qui ont le même signe de référence sur la figure 
17b. L'émetteur   91   entre alors en action, le courant est amené du conducteur 110, par un embranchement 
133, au- balai de cet émetteur 91.

   Comme il en résulte le fonctionnement de l'émetteur, des im- pulsions, réglées à des intervalles de temps dif-   férents,   dont envoyées au groupe de conducteurs désignés, dans leur ensemble, par 134. Les relais X9 disposent les impulsions envoyées par les con-   ducteurs   134,suivant une   progression   dont la base est "9". et renvoient les impulsions ainsi disposées sur une série de conducteurs 135 et 136. Les   conduc-   teurs 135 détendent   jusqu'aux   dispositifs MC des- tinésà exprimer les chiffres et désignés par 121 tandis que les conducteurs 136 s'étendent jusque l'autre jeu de dispositifs MC qui servent à exprimer les chiffres et qui sont, désignés par 122.

   Les ba- lais des dispositifs servant à exprimer les chiffres 

 <Desc/Clms Page number 23> 

 et désignés par 121 et 122   étaient(disposés   préa- lablement suivant le nombre qui constitue le mul- tiplicande qu'on introduit dans la machine,   8.493   dans le cas présent; à partir des segments conduc- teurs communs de ces dispositifs 121 et 122 servant à exprimer les chiffres, des séries de conducteurs 
137 et 138 conduisent le courant, par les contacts 
130 et 129, pour le changement de colonne, jusqu' aux compteurs LE ET RH représentés sur la figure 17d. Après qu'elles ont passé par les électro-ai-   mants   de ces compteurs et par les contacts 106 des compteurs ordinaires, les impulsions vont à la terre ainsi qu'on l'a représenté.

   Par suite de cette opé- ration, les composants des produits partiels de la multiplication de 8. 493 par 9 correspondant au compteur   LH   sont introduits dans ce compteur et les composants correspondant au compteur RH sont introduits dans ledit compteur RH. Ceci achève la première multiplication du multiplicande par 9. 



   Dans le présent mémoire on n'indiquera pas le parcours détaillé des circuits sur le schéma réel à partir de l'émetteur 91, vers les compteurs LH et RH, ces détails étant décrits, d'une façon plus complète, dans la demande de brevet américain N  375.914 déposéele 5 Juillet 1929 et dans la demande de brevet canadien correspondante N  365. 708 déposée le 11 Juin 19300 
Pendant l'opération de calculs à l'en- trée que l'on vient de décrire, le commutateur CC1 se ferme vers la fin du cycle et interrompt   l'ex-   citation des relais U1 et T1', le contact Si étant ferme.

   L'excitation du relais U1 déplace le contact U'l à la position inverse de celle qui est repré- 

 <Desc/Clms Page number 24> 

 sentée sur le schéma de connexions, ce qui permet au courant de passer du conducteur 110, par le con- tact à came Fl, par le contact 125, pa.r le contact  du/-   PC2 et par le contact U'l, pour se rendre au con- tact U'2 lequel se trouve dans la position repré- sentée.

     A   la dernière partie du même cycle, le Com- mutateur CX2 se   ferme, ce   qui permet au   courant   de passer par le conta.ct V2   et   le relais CS2 pour se diriger vers la terre, Le circuit de maintien   pour   le contact V2 est établi   comme   auparavant, on peut toutefois indiquer que, avant que ledit circuit de maintien soit établi par le contact V2, on a coupé le couraalt passant par le conducteur 127, afin d'ouvrir le contact V1;

   ceci est effectué au moyen du contact à came C1, Par conséquent les relais CS2 fonctionnent pour fermer le contact 139 (voir figure   17)   et les contacts 140 et 141 se rappor- tant au changement de colonne,de façon que l'entrée suivante soit faite dans les compteurs LH et RH, dans la position correcte en ce qui concerne les colonnes, cette position étant celle qu'occupe le colonne voisine de gauche de celle dams laquelle l'entrée précédente a, été   faite.  L'entrée dans les compteurs LH et RP est faite de la façon indiquée plus haut sauf pour le fait que le dispositif MP pour la "composition" des chiffrée de l'ordre dec dizaines fonctionne maintenant pour exciter le re- lais X8.

   A la fin de la dernière opération d'en';' trée, le commutateur CC2 (voir figure 17a) se ferme et excite les relais T'2 et U2, afin d'amener le contact U'2 à la position inverse de celle qui a été représentée. Cette action établit un circuit passant par le commutateur CX3 pour se rendre au 

 <Desc/Clms Page number 25> 

 relais CS3 et au contact V3 qui maintient excité le relais CS3. 



   Ainsi que dans le cas expliqué   précédem'-   ment, avant oue le circuit de maintien soit établi par le contact V3, le circuit passant par le conduc- teur 127 et se rendant au contact V2 est interrompu par le contact à came C1 pour permettre l'interrup- tion de l'excitation du relais CS2 avant que le relais CS3 ne soit excitéo 
Le troisième cycle de calcul commence maintenant pour multiplier le multiplicande par 5 qui est le chiffre des centaines du multiplica- teuro Finalement, suivant le nombre de chiffres du multiplicateur, un circuit est établi à partir du contact PC2, par les contacts U'1, U'2 et U'3 et par d'autres contacts analogues, si le multipli- cateur comprend un nombre plus grande de chiffres, le circuit se rendant à un-électro-aimant   d'embraya-   ge 145 (voir figures 6 et 17a).

   L'excitation de l'é- lectro-aimant 145 fait fonctionner l'embrayage 92 à un tour (voir figure 6) et fait fonctionner l'émetteur 95 ainsi que le contact à came Tl (voir figure 1a). Le contact à came Tl s'ouvre maintenant (voir figure 17a) et cette ouverture de contact coupe le courant passant par le conducteur 127 et termine le fonctionnement du relais se rapportant à la sélection des colonnes successives et à la commande du cycle. 



   L'émetteur 95 entre en action, du courant étant amené à cet émetteur, à partir du conducteur   110,   par la dérivation 146 (voir figure 17c).L'é- metteur envoie une série d'impulsions réglées   dif-     féremment   dans le temps par un groupe de conducteurs 

 <Desc/Clms Page number 26> 

 
 EMI26.1 
 147 qui conduisent au dispositif exprimant les chiffres et correspondant au compteur Li qu'on l'a représenté sur la figure 1 'éd,. il l'autre borne de ce dispositif exprimaLl t les chiffresp une série 5 de conducteurs 148 sont reliés ,zuJn électro-ainv.nts des compteurs RHQ Par l'envoi d'impulsions à partir de l' émetteur 95, de la. façon q'-Ü vient d'êtro a.

   in-- diquée, la "coposition"qui se trouvait d'abord sur le compteur I,H est tral1sfrée et introduite 10 dans le compteur RIa Ceci terminG le calcul du pro- .duit" que ces circui ts de transfert ne puissent pas gêner les circuits d'addition du comptem LI-Ip pendant les opérations de multiplication, des coi- /de relais tacts Z5l1j"orrespondant à des ordres décimaux, con- tiples 15 tacts qui sont normalement ouverts, sont intercal és dans les conducteurs 148" Ces contacts sont [el1J1és par illl relais 252 en pal-allèle avec l'électro-ai- ùlallt 145 (voir figure 1-a) et sont fermés nar le dit relais uniquement pendant l'opération de trans.er ta .:

  0 balai Vers la fin du cycle de l'émetteur 95, le balai 96 établit .Lui contact avec le blot 97 et provoque l'établissement d'ali circuit se rendant, par le conducteur 149p à un groupe de relais de conraande comprenant les relais PU3 PCI et i U2o Le Z5 relais PC3 provoque la fo1tnatioll d'un circuit .de maintien, au moyen de l'interrupteur à CaLle F2 qui maintenant est fer#ép le circuit ainsi maintenu allant par les relais pol et PC2: à la terre, après que le balai a passé au delà du plot 97. L'excita- Au l'BIais han " re1a '.. is pez ("oir figure 17C) ouvre contact "'u l9 aie  ilf relais po,? (voir figure 170) > ?iiii le contact ---'  4, PC2- , (voir fîg2re 171) et interrompt l'excitation de . l' élec troaïma.,t 145 à un tour correspondant â l'emetteur 95, gra"ce à quèi il emptche que cet 

 <Desc/Clms Page number 27> 

 émetteur continue à tourner.

   Si on permettait à l'émetteur de continuer à tourner, il y aurait un transfert continuel et répété de quantités de RH à LH. L'excitation du relais PC1 ferme le con- tact correspondant qui (voir figure 17e), lorsqu'il est ouvert, empêche que le mécanisme de perforation de la machine fonctionne., 
Avant de décrire l'opération de transfert de quantités à partir du compteur RH à la carte perforées on décrira, dans ce qui suit, d'une fa- çon succinte, le mécanisme perforateur.

   D'une façon générale, ce mécanisme perforateur affecte la forme représentée par Lee et Phillips dans leur brevet américain NI 1.772.186 du 3 Juin 1925   corres-   pondant au brevet canadien ? 294.354 du   29   octobre 1929 ainsi que la forme représentée dans la demande de brevet américain de Lee et Daly N  391,874 cor- respondant à la demande de brevet canadien ?   3680143   du 18 octobre 1930.

   D'une façon générale le mécanisme perforateur est organisé de   manier   qu'il puisse recevoir une carte d'enregistrement dans le réceptacle représenté sur la figure 12a, R désignant la carte dans cette position   où   peut s'appliquer sur elle un poussoir 150 monté sur un support que porte une crémaillère 151 servant à l'amenée des cartes, Lorsque ladite crémaillère se déplace vers la gauche, à partir de sa position re- présentée sur la figure 12a, la carte R est trans- férée par le poussoir et par la crémaillère sus.

   visée à une position intermédiaire représentée en traits mixtes et désignée par R1 sur ladite figure 12a, Après que la carte a atteint la position   indi   quée par R1, son déplacement à travers le mécanisme 

 <Desc/Clms Page number 28> 

 perforateur de la machine est effectué par une crémaillère 152 du chariot transporteur do cartes, ladite crémaillère étant pourvue   d'un   poussoir ap- proprié désigné par 153 et fixé sur Lui   bra,s   que pro- te cette crémaillère 152 
Un mécanisme de lia.ison est prévu entre la crémaillère 151 servant à l'amenée des cartes et la crémaillère 152 du chariot à cartes, un autre mécanisme de commande étant prévu pour commander   la-   dite crémaillère 151, 
En se reportant à la figure 3a,

   on a indiqué que 52 était   un   arbre tournant d'une façon ininterompue; il tourne sans cesse lorsque le mo- tour fonctionne. Cet arbre   52,   au moyen d'une trans- mission à vis sans fin 154 (voir 'figure 12a, 5 et 2a) est organisé de façon qu'il puisse commander un arbre 155 à l'une des extrémités duquel :est fixé un organe d'embrayage 162, on forme de rochet (voir figure Il)0 Sur l'arbre 155 est montée libre- ment une roue dentée 163 engrenant avec des dent; disposées à la face inférieure de la crémaillère 151, un disque 164 étant fixé sur ladite roue dentée 163. 



   En 165 peut pivoter, sur le disque 164, un bras 166 présentant une dent d'embrayage 167. 



  L'extrémité libre du bras 166 est reliée à   une   pla- que de genouillère 168, au moyen d'une bielle 169. 



  L'extrémité de la plaque de genouillère 168 est articulée, en 171, à une certaine distance de son pivot 170, sur une tige   172.   Celle-ci est poussée par un ressort   173   et s'adapte dans une ouverture que présente une cheville 174, montée de façon qu'elle puisse tourner sur le disque   164.   Grâce 

 <Desc/Clms Page number 29> 

 à cette construction, xx la tige   172/ la   plaque 
168 comme une articulation à genouillère, un ressort 173 agissant pour maintenir la dent 
167 en prise ou hors de prise avec les dents de la roue à rochet 162. 



   Pour effectuer l'embrayage, on a prévu un électro-aimant 175 qui, lorsqu'il est excité9 attire son armature 176, de façon qu'un bras 177, en venant en prise avec un doigt 178 du bras 166, amène la dent 167, par oscillation, à s'engager dans la roue à rochet 162; ce mouvement déplace les crganes formant genouillère de la position représentée sur la figure 3a à celle qui est   repré-   sentée sur la figure 11. Le ressort 173 agit pour maintenir la dent d'embrayage en prise avec la roue à rochet 162. La roue 163 tourne alors dans le sens contraire à celui des aiguilles d'une montre et fait sensiblement un seul tour, grâce à quoi la cré- maillère 151 est déplacée vers la gauche. 



   A la fin de la rotation de la roue 163 dans le sens inverse des aiguilles d'une montre, l'extrémité 179 de la plaque 166 vient buter contre la saillie 180   d'une   plaque fixe 181 afin d'effectuer le dégagement de la dent 167 et de la roue à ro- chet 162, par un mouvement renversé, 
La crémaillère 151 (voir figure 12a) engrène avec un petit pignon 182 dont l'arbre s'étend dans un barillet 183 de construction ordi-   naireo   Ce barillet à ressort est analogue à celui qui est représenté sur la figure 30 du brevet de Lee et Phillips susvisé. 

 <Desc/Clms Page number 30> 

      



     ;.près   que l'embrayage à un tour mentienné plus haut s'est dégagé, la crémaillère 151 revient vers la droite par l'effet du ressort. Le mouvement de la crémaillère 151 vers la gaucho a amené une carte d'enregistrement de la position R à la rosi- tion R1, La, commande de la crémaillère 152 du chariot à cartes sera décrite   maintenant .  La cré- maillère 151 engrène avec une roue dentée 184, sup- portée de façon qu'elle puisse tourner et fixée sur un   orga#   d'embrayage 185 (voir figures 12a et 3a) présentant une seule dent dans le plan d'un cliquet 186 qui pivote sur une plaque 187 fixée sur un arbre   1880   A sonoutre extrémité, l'arbre 188 est pourvu   d'une   roue dentée 189 engrenant avec la crémaillère 152 du chariot à cartes. 



   Pour régler le fonctionnement au dispo- sitif d'embrayage (par exemple par l'action du cl i- quet 186 sur l'organe 185), on a prévu une came   190   pivotant en 191 sur le cadre de la, machine. 



  Cette came   190   coopère avec un doigt que porte l'extrémité du cliquet 186. Sur la crémaillère 151 est fixé, près de son extrémité de gauche, un bloc 192 susceptible de coopérer avec un doigt 193 que porte la came 190. Lorsque la, crémaillère 151 se trouve dans sa position extrême de droite (voir figures   3a   et   le,),  le cliquet 186 est   dégagé   de   l'organe   d'embrayage 185.

   Lorsque la crémaillère 151 se déplace vers la gauche, le bloc 192 libère la came 190 et permet au cliquet 186 de venir en prise, sous l'action d'un ressorts avec l'organe 185; un mouvement de rotation est imprimé ensuite à l'arbre 188 et. grâce à la roue dentée   189   la crémaillère 152 du chariot à cartes est amenée vers 

 <Desc/Clms Page number 31> 

 la droite.

   Le mécanisme qui vient d'être décrit amène la crémaillère 152 à sa position extrême de droite, ce qui permet au poussoir 153 de passer au- dessus d'une surface de la carte qui se trouve au- dessous de lui et de s'appliquer finalement derrière le bord arrière de la carte, dans la position Rl (voir figure   le).   Avec la crémaillère 152 est associé un barillet de commande à ressort désigné dans son ensemble par 1940 Ce barillet est décrit complètement dans le brevet Lee et Phillips susvisé et il est désigné sur la figure 9 du dessin   accom     pagnant   ledit brevet par le nombre de référence 83. 



  Avec la crémaillère 152 est associé un mécanisme d'échappement 195 pourvu d'un cliquet 195a (voir aussi figure 15). Ce mécanisme est du type représen- té dans le brevet américain N  1.426.323 délivré le 15 Août 1922 à   Schaaff   et ledit mécanisme à échap- pement est décrit également dans le brevet Lee et Phillips mentionné plus haut. Sur la crémaillère 152 du chariot à cartes est fixée, d'une façon amovible, une barre 196 destinée à faire sauter le cliquet 195a au-dessus de plusieurs dents de la crémaillère.

   Cette barre 196 est construite, d'une façon générale, corme celle qui est indiquée sur la figure 8 du brevet de Lee et Phillips susvisé,   la-   dite barre étant décrite avec tous les détails dans ce brevet, mais elle an diffère par le fait qu'elle présente une encoche   197   et, suivant la position et la longueur de cette encoche, un levier 198 destiné à soulever le cliquet 195a (voir figure 15) peut descendre ou rester dans la position élevée. Lors que le levier 198 tombe dans l'encoche   197   il per- met au cliquet 195a du mécanisme d'échappement de coopérer avec les dents supérieures de la cré- 

 <Desc/Clms Page number 32> 

 maillère 152. Cette chute du levier 198 peut aussi fermer le contact 399.

   Il est bien entendu que lors- que le levier 198 glisse sur la partie supérieure de la barre 196, l'échappement est mis hors de fonc- tion, de façon que la crémaillère du chariot   à   car- tes puisse se déplacer sans s'arrêter pour chaque colonne de la carte, jusqu'à ce qu'elle rencontre l'encoche 197, le chariot à cartes se déplaçant en- suite par intermittence sous l'action d'un ressort et ce déplacement est provoqué colonne par colonne, sous l'action du mécanisme   d'échappement,   jusqu'à ce que la barre 196 soit soulevé e de nouveau, en raison du fait que, à la, fin de l'encoche 197, elle glisse hors de ladite encoche.. 



   Il est bien entendu que des barres 196 d'une   foras   différente et comportant des encoches 197 de longueurs différentes peuvent être placées sur la crémaillère du chariot à cartes et, de cette façon, on peut provoquer un déplacement intermittent et le poinçonnage à des points   détermines   de la car- te suivant la conformation do la. barre 196. 



   Il est bien entendu   que,  avec la cons truc . tion décrite ci-dessus de la barre 196, après qu'une carte se trouve dans la position désignée par Rl (voir figure 12a) et après qu'elle est prise par le poussoir 153 de la crémaillère 152 du chariot a cartes, ladite carte se déplace immédiatement en- suite d'un mouvement continu vers la gauche, jus- qu'à ce que l'encoche 197 entre en action pour arrê- ter lechariot à cartes.La carte se trouve   aloi-,   dans une position où le poinconnage peut commencer, 

 <Desc/Clms Page number 33> 

 
Il n'est pas nécessaire de décrire com- plètement le mécanisme perforateur parce que   celui...   ci a été décrit, d'une façon complète, dans le bre- vet de Lee et Phillips mentionné ci-dessus.

     En   ré- sumé, il comprend une série de poinçons 200 (voir figure 2a) que l'on peut abaisser pour perforer la carte, par l'action d'organes interposés 2,01 et d'un étrier de commande 202. Les organes inter- posés 201 sont   poussés/en   avant au choix pour pro- voquer le poinçonnage, soit au moyen des touches 
203, soil par l'excitation d'électro-aimants 204 qui choisissent les poinçons. L'étrier de commande 
202 fonctionne magnétiquement grâce à un électro- aimant 205 qui commande le poinçonnage.Les conne- xions entre l'étrier de commande 202 et l'armature de l'électro-aimant de poinçonnage sont représentées sur la figure 3a et sont désignées, dans leur en- semble,, par 206.

   L'excitation de cet   électro-aimant   
205 est effectuée au moyen d'un étrier   207   (voir figure 3a) susceptible d'osciller lorsqu'une   quel..   conque des pièces interposées est poussée en avant. 



   L'oscillation de l'étrier 207 peut, grâce à une biellette 208, fermer le contact 209 et provoquer l'excitation de l'électro-aimant 205. Comme d'ha bitude dans ce genre de machines, le contact   209   s'ouvre   immédiatement   après que l'électro-aimant 205 a attiré son armature et provoqué le   poinçonnage.   



   Si l'on se reporte à la figure 12, on voit que le long de la crémaillère 152 du chariot à cartes se trouve une pièce   210 fixé   sur le bâti de la machine% une plaque de matière isolante 211. Dans cette plaque de matière isolante sont 

 <Desc/Clms Page number 34> 

 encastrés un certain nombre de plots 212, en matière conductrice et, le long de ces   plotsp   se trouve un ruban commun 213 en matière conductriceUne pièce contactrice (ou balai)214 est supportée   par   la   crémaillère   152 du chariot à cartes et, lorsque ladite crémaillère se déplace, la pièce 314 se dé- place également et établit   une   connexion à partir de la barre commune 213 jusqu'à l'un des plots 212,

   suivant la colonne à laquelle correspond la posi- tion de la crémaillère 152 du chariot à, cartes (voir aussi figure 17e), 
Si l'on se reporte au schéma de   connexions   représenté sur la, figure 17e, on voit que les plots individuels 212 sont connectés à des douilles, dési-   gnées   dans leur ensemble par 215,   et,   au moyen de connexions à fiches 216, des douilles déterminées 215 peuvent être reliées à des douilles 217.   Celles-   ci sont reliées à leur tour, par des conducteurs 218, à des dispositifs 219 servant à exprimer les nombres et appartenant au compteur RH (voir figure 17d).

   Les plots   conducteurs   des dispositifs 219 du compteur RH sont tous reliés, ainsi qu'on l'a, re- présentéà une série de conducteurs 220 qui con-   duisent     aux   électro-aimants 204 destinés à choisir les   poinçons.   



   On a expliqué plus haut comment une carte est amenée dans le réceptacle à cartes du mécanisme perforateur. Lorsque la carte se trouve dans ledi réceptacle du mécanisme perforateur, le levier à cartes 126 (voir   figure   10 et12a) a fermé le con- tact 125, ouvert le contact 115 et fermé le contact 221. Ces contacts sont maintenus dans cette   pos i;;,   

 <Desc/Clms Page number 35> 

    tion au moyen d'uh loquet 126a, ce loquet étant   relié,   par - ..   représenté sur la   figure   
12a, à une tige   222   qui s'étend jusqu'à l'extrémité de gauche de la crémaillère 152   du   chariot à cartes. 



   La tige 222 est reliée , à cet endroit,   à   une bran- che 223 d'un levier coudé qui s'étend vers l'inté- rieur, jusqu'à la partie postérieure de la   crémail   lère 152 du chariot à cartes. Ledit levier coudé présente un prolongement 224 qui coopère avec un ) contact 225 fermé lorsque la crémaillère 152 du chariot à cartes se trouve dans la position extrême de gauche, ledit contact 225 étant ouvert à tous au- tres moments Il est bien entendu que le loquet 
126a ne bloque pas le levier à cartes 126   jusqu'à   ce que la crémaillère 152 se soit déplacée vers la droite, de façon que la   brandhe   223 puisse se dé- placer vers la droite et suivre la crémaillère. 



  Aussitôt que cette action   alieu,   les contacts 115, 125 et 221 sont bloqués, le contact 125 et le con- tact 221 étant bloqués dans la position de fermeture et le contact 115 étant bloqué dans la position d'ouverture, Toutefois la présentation d'une carte dans le réceptacle de la partie de machine réser- vée au poinçonnage ferme les contacts 125 et 221 et ouvre le contact 115. Le contact à came F3 est disposé sur l'arbre 62 (voir figure 9) et il est organisé de façon qu'il se ferme immédiatement après qu'une carte est placée dans ledit réceptacle. 



  Lorsque la carte se trouve dans le réceptacle de la partie de machine réservée au poinçonnage, le con- tact 221 est fermé également, la fermeture de ce contact (voir le schéma de connexions de la figure 17a) excite l'électro-aimant 175 qui, on se le 

 <Desc/Clms Page number 36> 

 
 EMI36.1 
 rappelle:; est celui qui co.r:uande 1 "embrayage a lm tour représenté sur les fibres s" e 1, 11 ;

   d'autre partp lorsque se produit l'excitation de 17'!lc'c:-oo- , l' 'Il' 1'-1 1 7. e-' des C0-,J.er< an:E,nt 175, crémaillère 151 d'amende des cartes est déplacée vers la gauche et 18. cremnillcre 152 du chariot à cartes est déplacée vers la droite 
 EMI36.2 
 (voir figures 12. et 12c')a De cette façon la carte se déplace de la position R à la   position     ;il   (voir   figure   12) et estsaisiealors   par  le poussior 153 qui la conduit a la position   déterminée     par   la partie basse de la barre 196   L'ouverture   du con- tact 115 (voir figure 17a) empêche   une     nouvelle   
 EMI36.3 
 excitation de l'61ectro""oim811t 117 de l'embrayage <1'a,wenée des cartes et interrompt ladite :,;;;

  cn,1=> des cartes jusqu'â ce eue les perforations a,icni été achevées. La fonction du contact  125   a été   expliquée   plus   haut.   Il sert à   forcer     l'opération   du   calcul.   



   Il est bien entendu que la   crémaillère   151 pour l'amenée des cartes se déplace à sa posi- 
 EMI36.4 
 tion d'extrême gauche lorsque son Ólectro""[Ümant d'embrayagre à un tour est excité, Lorsque la cré- 
 EMI36.5 
 maillère 151 de l'amenée des car tes atteint sa. "00'"   sition   d'extrême gauche (voir la position de ladite crémaillère indiquée en traits mixtes   sur   la   figure   
 EMI36.6 
 bzz cettcr ÉrJailla pousse, vers la gauche, une autre crÉma.illère désignée par 230 en comprimant Ul1 ressort 231. Contre un épaulement cle 1. crémailè 1ère ::00 s'appuie Lme pièce 232 (lÜ fait fonctionner un contact. Lorsque la crémaillère 230 est déplacée vers la gauche,le contact 116 s'ouvre etle contact 234 se ferme.

   Le déplacement de la crémaillère 230, 

 <Desc/Clms Page number 37> 

 vers l'extrême gauche, provoque, grâce a une roue dentée intermédiaire 235, la rotation   d'un   arbre 
236 dans le sens des aiguilles d'une montre, afin d'amener une pince d'éjection ou éjecteur   237   de la position représentée sur les figures 12 et 3 à la position représentée sur la figure 14.   Lorsque   l'éjecteur 237 se déplace,   il/bloqués   dans la posi- tion qu'il   occupe:,   au moyen   d'un   cliquet 238. L'é- jecteur 237 étant ainsi bloqué, une certaine   quanti-   té d'énergie est accumulée dans le ressort 231 et ensuite la crémaillère 151 d'amenée des cartes peut revenir vers la position de droite représentée sur la figure 12a. 



   Dans ce qui précède, on a expliqué com- ment la carte est abaissée à une position où elle est prête à recevoir des perforations correspondant   à un produit .   



     A   la fin du transfert des quantités du compteur LH au compteur RH, le balai 96 de l'émet- teur 95 vient en contact avec le plot 97 et excite les relais PC3, PC1 et PC2. Lorsque le relais PC1 est excité, son contact (voir figure 17e) est fermé et, lorsque le contact 199 de la barre 196 est fermée le courant passe du conducteur 110 par le contact 199 fermé maintenant, par le contact du PCI fermé également pour se rendre à la barre conductrice commune 213. Le balai 214 a été amené préalablement de la position représentée sur la figure 17e à la position d'extrême droite et puis   il a   été-ramené, de façon à se placer en regard du plot 212 convenable qui est déterminé par la barre 

 <Desc/Clms Page number 38> 

 
196.

   Le courant passe maintenant de la, barre con- ductrice commune 213, par l'un des plots 212 et par la connexion à fiches 216 de droite, pour se rendre au conducteur du groupe 218 qui conduit au dispositif   2.19   destine à exprimer les chiffres de l'ordre décimal le plus élevé. Le courent passe alors par ce dispositif et par l'un des conducteur 
220 pour exciter un seul des   électro-aimants   204 pour la sélection du poinçon. De cette façon il se produit une perforation, du chiffre représentant l'ordre décimal le plus élevé du produit. 



   Immédiatement après le   poinçonnage   de cet ordre décimal le plus élevé, le mécanisme d'é- chappement du poinçon   fonctionne,   le balai 214 se déplace encore d'un plot vers la gauche (voir fi- gure 17e) et il se produit l'excitation de l'élec- tro-aimant sélecteur des poinçons sous la commande du mécanisme 219 qui exprime les chiffres apparte- nant à l'ordre décimal immédiatement inférieur du compteur PH, L'opération continue jusqu'à ce que le   poinçonnage   du produit complet soitterminé, 
Après le poinçonnage de   la,   quantité correspondant à l'ordre du chiffre du produit, le levier 198 est soulevé de nouveau, libère l'échappement et permet à la crémaillère 153 du chariot à cartes de Passer, grâce à la force de son ressort,

   à sa   posi--   tion d'extrême ga,uche (voir figure 12). 



   La cartequi vient d'être perforée entre alors dans les mâchoires de l'éjecteur (voir  figure     14),   R2 indiquant la carte dans cette position. 



  Le déplacement de la crémaillère 152 vers sa posi-   tion d'extrême gauche a refermé lo contact 225 qui était ouvert précédèrent, Le- fait que le contact   

 <Desc/Clms Page number 39> 

        : 5 se :referme   établit un circuit qui part (voir le schéma de connexions de la figure 17a) du conducteur 110 et passe successivement par le contact   234   fermé maintenant, par le contact 225 fermé également maintenant, par l'électro-aimant 240 qui commande le rejet des cartes, pour aboutir à la terre. 



  L'électro-aimant 240 (voir figure 2) a son armature reliée à une bielle 241 qui, lorsqu'elle est attirée vers la droite, à partir de la position représentée sur la figure 14, peut faire osciller le cliquet 238 dans le sens inverse des aiguilles d'une montre et libérer l'éjecteur 237 en permettant à l'arbre 236 de tourner dans le sens inverse des aiguilles d'une montre, sous l'action du ressort 231.   L'éjec-   teur   237   bascule ensuite pour venir occuper la posi- tion représentée sur la figure 2 et, juste au mo- ment où il atteint sa position extrême;, une butée 242 ouvre les   mâchoires   de l'éjecteur et permet à la carte qui vient d'être saisie par lui de tomber dans le réceptacle de déchargement 243.

   Le décharge- ment de la carte par l'éjecteur est facilité aussi par l'action des doigts 244 (voir figure 14) qui tournent dans le sens inverse des aiguilles d'une montre par suite de la suppression de l'excitation de l'électro-aimant 240 de l'éjecteuro Cette sup- pression de l'excitation de 1'électro-aimant 240 de l'éjecteur est amenée par l'ouverture du contact 234 qui, on se le rappelle, s'ouvre lorsque la cré- maillère 230 se déplace vers la droite à la suite de l'oscillation que fait l'éjecteur pour revenir à la position représentée sur la figure 2.

   En même temps que se ferme le contact 225, la branche de 

 <Desc/Clms Page number 40> 

   levier coudé 223 (voir figure 12) esg amenée à osciller par la crémaillère 152 du chariot à cartes   pour libérer le loquet 126a et pour   permettre   au con- tact 125 de se rouvrir, au contact 115 de se refer- mer et au contact 221 de se rouvrir. Le fait que le contact 115 se referme provoque une nouvelle exci- tation de   l'électro-*aimant     117   de l'embrayage d'ame- née des cartes. Cette nouvelle excitation' est empê- Chée cependant jusqu'à ce que le contact 116 se soit refermé, ce qui assure qu'une carte est rejetée par l'éjecteur et que ledit éjecteur est ramené à la position où il peut recevoir une nouvelle carte. 



  Un nouveau cycle de maniement de cartes et de cal- cul s'ensuit et l'opération continue jusqu'à ce que la réserve de cartes dans le magasin soit épuisée. 



    A   ce moment le contact 79 du magasin s'ouvre et interrompt le fonctionnement ultérieur de la machine La suspension du fonctionnement à un moment quelcon- 
 EMI40.1 
 que peat/#zz !X0J\ÂWA-k, être effectuée par l'ouver- ture du contact 250 de la touche   d'arrêt.   



   Cornue d'habitude dans ces machines, l'ou- verture du contact 79 ou l'ouverture du contact 250 de la touche d'arrêt n'arrête pas la machine avant que l'analyse de la carte, le calcul et le poinçon- nage aient été achevés sur la, carte qui se trouve à ce moment dans la machine. 
 EMI40.2 
 



  FOJCTlm\J1IlEMENT GENERAL ET REGLAGE DE LA iIACHI1IJ"'E 
DANS LE   TEMPS.   



   Si l'on se reporte à la ligure   16,   ou voit que sur le schéma de réglage dans le temps,, on a délimité sept cycles de compteurs. Ceci est 

 <Desc/Clms Page number 41> 

 le nombre minimum de cycles de compteurs pour une multiplication comportant trois chiffres signifi- catifs dans le multiplicateur. Pendant le premier cycle de compteurs qui est représenté par la zone du cycle de compteurs placé le plus à gauche sur le diagramme, les compteurs de la machine sont remis à zéro. Pendant ce même cycle, le poussoir fait avancer les cartes vers les rouleaux   alimenteurs   et, pendant le cycle de compteurs suivant, la carte est analysée par les balais, les quantités étant introduites dans les dispositifs compteurs ou récep- teurs MP et MC.

   Au cycle de compteurs suivant la car--4 te est retirée d'entre les rouleaux et transportée vers le réceptacle de la partie de machine destinée au poinçonnage. Après que la carte a atteint cette partie de machine réservée au poinçonnage, le groupe de contacts 115, 125 et   221   fonctionne. Ces contacts restent bloqués pendant tous les cycles suivants de calcul et pendant que la carte est perforée. 



     Au   cours du fonctionnement de la machine, l'amenée des cartes à la position de poinçonnage peut avoir lieu pendant que s'effectuent les opérations de calcul. En fait cette opération a lieu aux premiè- res phases du cycle de calcul. Ainsi qu'on le montre sur le diagramme de réglage dans le temps, on a uti- lisé trois cycles de compteurs pour la multiplica- tion et pour l'introduation des quantités du comp- teur LH dans le compteur RH. Le nombre de tels cycles que l'on utilisera dépend toutefois de la grandeur du multiplicateur et du nombre de chiffres signifiea- tifs dans le multiplicateur.

   Si le multiplicateur était   4.321,   on utiliserait quatre xx xxx xxxxx cycles de compteurs au lieu de trois; s'il s'agissait de 

 <Desc/Clms Page number 42> 

 multiplicateur plus grands, l'organisation de la, commande des cycles devrait être étendue d'une façon correspondante.

   On a représenté trois cycles de commande pour simplifier   le schéma,   de   connexions.,   Après le cycle de calcul, le cycle de   compteurs   suivant est utilisé pour le transfert de quantités du compteur   LH   au compteur RH. .Après cela le   poin-     çonnage   a, lieu dans la par tiede   machins   réservée au poinçonnage et, après que ce poinçonnage est effectué, la partie de machine qui   manie   la carte attend l'achèvement de l'opération de poinçonnage, Lorsque le   poinçonnage   est terminé et lorsque La carte perforée a été rejetée dans le réceptacle de déchargement 243, une nouvelle opération de   manie-*   ment des cartes commence. 



     On   remarquera que des barres 196 pourvues de plusieurs encoches 197 peuvent être prévues. Ces barres à encoches multiples sont bien connues dans l'industrie.Dans ces barres à encoches multiples,   l'une   des encoches peut être disposée pour le calcul et l'autre peut être organisée de façon à permettre à l'opérateur de faire- intervenir l'échappement pour arrêter la   crémaillère   du chariot à cartes et pour permettre à l'opérateur d'introduire des quan tités en agissant avec la main sur les touches 303. Il est bien entendu que cette opération peut se faire sans qu'il y ait aucune confusion d'entrée de pro- duits, en plaçant les connexions à   fiches 316   dans les colonnes convenables dans lesquelles on désire effectuer les perforations.

   Par constéquent, lorsque ces connexions à fiches sont placées d'une façon   con-   venable la fermeture du contact 199 de la barre 196 est rendue inopérante pour commencer le poinçonnage 

 <Desc/Clms Page number 43> 

 d'un produit. Il est clair que dans les barres 
196 on peut pratiquer un nombre d'encoches quelcon- que, de façon que le poinçonnage puisse s'effectuer en un ou plusieurs endroits de la carte. 



   REVENDICATIONS. 



   1.- Machine de comptabilité dans laquel- le les facteurs d'un calcul sont relevés et intro- duits à partir d'une carte d'enregistrement, machi- ne qui multiplie les facteurs introduits et réalise la composition d'un produit, ladite machine étant caractérisée par le fait qu'elle comporte des or- ganes qui exprimant le produit, colonne par co- lonne, à partir des organes qui composent le pro- duit et qu'elle comporte des organes pour enregis- trer le produit colonne par colonne.

Claims (1)

  1. 2. - Machine de comptabilité conforme à la revendication 1 et caractérisée par le fait que les organes pour l'enregistrement enregistrent le produit,colonne par colonne, sur la même carte d'enregistrement, dont on a relevé les facteurs.
    3. - Machine de comptabilité fonctionnant au moyen de cartes d'enregistrement, conforme à la revendication 1 et caractérisée par le fait que l'enregistrement du produit sur la feuille d'enre- gistrement s'effectue au moyen d'un mécanisme per- forateur qui marque des produits, par poinçonnage, par suite du fonctionnement successif du même jeu de poinçons.
    4.- Machine de comptabilité fonctionnant au moyen de cartes d'enregistrement, conforme à la revendication l,et caractérisée par le fait qu'elle comporte des organes manuels pour l'enregistrement <Desc/Clms Page number 44> d'indications supplémentaires suri la carte d'enre- gistrement qui reçoit le produit.
    5. - Machine de comptabilité fonctionnant au moyen de cartes d'enregistrement, conforme à la. revendication 1 et caractérisée par le fait qu'elle comporte, d'une part, un mécanisme destiné à faire passer successivement par la, machine des cartes d'enregistrement et, d'autre part, des organes pour relever et introduire dans la machine, à par- tir de chaque carte, par des opérations concurrantes d'exploration:, les organes de poinçonnage pour les produits effectuant, colonne par colonne, successi- vement et automatiquement, les perforations cor- respondant à des produits comportant plusieurs or- dres d'unités.
    RESUME SUCCINT.
    Machine de comptabilité comprenant des organes qui font passer successivement des cartes perforées sous des organes analyseurs, des organes qui multiplient le nombre relevé par un multiplica- teur arbitraire et des organes qui provoquent le poinçonnage de trous correspondant au produit de la multiplication sur la même carte dont le multi- plicande a été relevé par les organes analyseurs.
BE387138D BE387138A (fr)

Publications (1)

Publication Number Publication Date
BE387138A true BE387138A (fr)

Family

ID=55650

Family Applications (1)

Application Number Title Priority Date Filing Date
BE387138D BE387138A (fr)

Country Status (1)

Country Link
BE (1) BE387138A (fr)

Similar Documents

Publication Publication Date Title
EP0316280A1 (fr) Installation de stimulation électrique neuro-musculaire
CH341841A (fr) Machine à écrire à tête imprimante
EP1702305B1 (fr) Dispositif d&#39;affranchissement de colis et methode de mise en oeuvre d&#39;un tel dispositif
BE387138A (fr)
EP0014119A1 (fr) Positionnement de microcomposants, notamment pour les circuits à couches épaisses ou à couches minces
BE454865A (fr)
BE366507A (fr)
CH163707A (fr) Machine à calculer.
BE440778A (fr)
CH278639A (fr) Machine comptable.
BE404620A (fr)
BE343728A (fr)
CH330883A (fr) Machine comptable
CH228344A (fr) Machine pour la certification de pièces, notamment pour la certification de tickets, de factures et d&#39;autres pièces semblables.
CH332344A (fr) Machine destinée à enregistrer une durée
BE387885A (fr)
CH410485A (fr) Imprimeuse
CH272313A (fr) Machine de comptabilité.
CH95248A (fr) Machine automatique pour imprimer en tableaux et additionner des indications numériques contenues en des fiches perforées, pour travaux de statistique.
CH292255A (fr) Bloc de classement destiné à être utilisé dans une machine à imprimer.
CH285297A (fr) Machine pour poinçonner des fiches d&#39;enregistrement.
BE416167A (fr)
BE512365A (fr)
BE417326A (fr)
CH292848A (fr) Machine comptable.