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Perfectionnements aux engins pour la pêche au fond..
L'invention est relative aux engins pour la pèche au fond, en particulier aux engins du type V.D. c'est-à-dire comprenant un filet ballonnant en hauteur dont les ailes sont reliées par des bras traînants de grande longueur à des panneaux assurant l'ouverture du filet en largeur.
Dans les engins V.D. antérieurs.de même que dans tous les filets de pêche en général, le bourrelet du filet, fortement lesté et tendu en travers de la direction de mar- che, et le ventre du filet, bordé par le bourrelet, râcle le fond de la mer. lorsque le fond est rugueux ou rocheux, le bourrelet et le ventre s'accrochent aux obstacles, dé- forment le filet, diminuent le rendement de la pêche, et risquent de produire des détériorations, tandis que le ventre s'use rapidement.
Lorsque le fond est semé de pierres, caillou, ou. lorsqu'il est boueux ou couvert de végétation, le bourrelet recueille ces corps étrangers
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qui passent sar le ventre dont ils augmentent l'usure et vont s'accumuler dans le cul et l'alourdissent, en augmen- tant par suite la résistance à l'avancement, la consomma- tion de combustible à bord du chalutier$ les risques d'a- varies; ceci provoque en outre une traction supplémentaire sur toutes les mailles du filet et,les empêche de rester bien ouvertes, en rendant aussi plus difficile l'évacuation de l'eau, des cailloux, des petits poissons, etc...
L'invention a pour but de remédier à ces inconvénients et, dans ce but, on supprime le ventre du filet ; toutefois, cette suppression désirable du ventre ne peut être pratiquée
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gazez: condition d'assurer la stabilité du filet et d'établir sur les cotés da filet, entre eelu1-oi'et le fond de la mer, une sorte de joint s'opposant à la faite du poisson
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et jouant ainsi le r8le da bourrelet sans en présenter les Inconvénients;
oe résultat est obtenu en l1m1tBnt lt ftitt de chaque coté, par an câble àe bordure latérale on câble leste qui peut être aonfonda aveo le prolongement du bras de traction da nul on "hauban de oul" mais qui, de préfé- renoe, est disposé de façon à n'être soumis à aucun effet de traction et, en obéissant à son lestage, à épouser ainsi constamment le contour du fond de la mer; de cette façon, d'une part le câble de traction du cul ( qu'il soit libre
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ou fasse en mgme temps fonction de bordure latérale da fi- let ) est toujours fortement tendn dans le prolongement du bras, et assure la stabilité parfaite du filet sur le fond;
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à'autoee part, le câble de bordure latérale du filet ( qu'il soit libre oa confonde, aveo le câble de traction du cal ) fonctionne sur le fond et s'oppose à la faite du poisson.
De préférence, les haubans de oul-seront complètement indépendants da corps da filet, sauf en deux points d'atta? che, oa davantage, l'au à l'extrémité des ailes et l'autre
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à la naissance du cul, ce qui permettra au filet de bal- lonner latéralement, grâce au mou du faux-bourrelet. Ce ballonnement est très favorable à 1 ouverture oonvenable des mailles du filet et, par suite, à l'évacuation facile de l'eau, du petit poisson, des détritus, etc..;il limite
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aussi lea d4fafMa<)tt)MM rht r'1b aana la 0R d'an ohonuremenb do 41voGblQn siu httboou MM <t'Ha ,roaaroch6tstr u(M LI ièwflam trot1on du filet.
Un antre inconvénient des filets ordinaires est le suivant : au début de la pèche, lorsque le cul du filet est vide et n'exerce pas une résistance très grande à l'avancement, les mailles du filet sont bien ouvertes, ce
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q1 pormot l'6vaoaation normale de l'eau, da sable, de la vase, des petits poissons, etc..: mais, à mesure que le oul du filet se charge de poissons et de détritus , il exerce sur le corps du filet une traction de plus en plus
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grando gui tend à formor les ma1llei d filet.
Li ohalut présente donc une résistance progressivement oroissante à l'avanoemant, du fait que l'eau alévaane plus diffioile- ment et, d'autre part, il recueille en quantité de plus en plus grande la vase et les détritus, ainsi que les petits poissons qui sont ainsi détroits en pure perte.
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Cette aoonmnlation de détritus a aussi pour effet d' aug- muter le poids des parties arrières du filet, et, par
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suite, le frottement sur le sol et l'us#a, ce qui se traduit finalement par une dépense importante de combusti ble et de matériel et une destruotion des fonds de pèche, dabd jtlo.f don jjeftoo do potHaeHS %ut 9v9happeDt par les déchirures.
Pour obtenir constamment l'ouverture des mailles du corps du filet, une caractéristique de l'invention consis- te à munir le cul du filet d'une armature rigide assurant son ouverture et reliée directement à des câbles de trac- tion appropriés, de façon que le cul n'exerce aucun effort
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sur le corps du filet et que les mailles de ce dernier, complètement soulagées des efforts de traction, restent toujours ouvertes et conservent une forme correcte, même lorsque les mailles du cul se ferment, sous l'effet de l'accumulation de poissons et de détritus.
Un antre inconvénient des filets de pèche existants réside en ce que la poche arrière on cul du filet, qui traîne sur le fond, est soumise à un frottement très élevé et subit une usure rapide, une grande partie des avaries qui surviennent au. filet étant localisées à cet endroit.
Une caractéristique de la présente invention est de permettre le remplacement facile des parties du filet qui sont sujettes à une usure plus rapide que le rente du fi- let et, à cet effet, la poche arrière on cul da filet est formée d'une partie amovible et interchangeable reliée de façon détachable au corps du filet,
Bien entenda, il est avantageux de combiner les di- verses caractéristiques ci-dessus en supprimant le ventre et en rendant le cul à la fois indépendant du corps du filet pour éviter la fermeture des mailles de ce dernier, et détachable pour permettre son remplacement facile en cas d'avarie.
D'autres caractéristiques de l'invention apparaîtront d'ailleurs dans la description qui va suivre, en se réfé- rant au dessin annexé qui montre, à titre d'exemple, di- vers modes de réalisation de l'invention et dans lequel la figure 1 montre on,perspective un engin suivant l'invention; la figure 2 est une vue analogue, montrant une va- riante de l'invention; la figure 3 en est une vue on plan ; les figures 4 et 5 montrent des'variantes de la fi- gure 2; la figure 6 montre un détail de construction d'une
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armature pour le cul du filât:
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les tige, 7 et 8 sont des vues analogues à la fig. 2 montrant d'autres variantes; "A.fîe.9 montre un détail de construction du cul du filet; la. fige 10 montre en perspective un autre exemple de réalisation d'un filet suivant ltiuventÎOn;
la flgê 11 montre une aile de filet munie dareaus; la fig. 18 montre en coupe horizontale une aile da filet l' . munie d'empohes; . la figé 13 montre un filet suivant l'invention muni d'un dispositif pour rabattre le poisson vers le cul du filet;
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la figé 14 montre une variante da la fig.f, at les fige. 15 4 18 montrent dee dt11u la 11attaoho dan pantoires d'ailes aux haubans de cul.
L'engin représenté à la figure 1 est un engin du type V.D. comprenant un filet 1, ballonnant en hauteur, et remor- que par des funes 3, 3 et des bras traînants 5,5 de grande
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longueur, s'attachant à des panneaux 6, 6 assurant ltouver-
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ture du filet en 1ur.
L'invention consiste assentîellemant, comme représenta au dessinai supprimer le ventre habituel du filet, et à limiter le filet 1 de chaque côté par un câble de bordure lesté 8, 8. Comme on lia expliqué ci-dessus, cette cliappel- tion permet d'éviter les inconvénients du bourrelet et du
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ventre habituels. Elle peut suffire pour empêchaI' la fuite du poisson sous les aôtés du filet dans le cas de fonds unis.
Mais, en général, surtout sur des fonds irréguliers, il sera préférable d'employer l'engin de la figure 2, où les câbles 8 se dédoublent chacun en deux câbles distincts
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9 et 11. Comme représenta, l'un de ces câbles ou ogble de bordure 9 etattache par exemple â l'arrière en 1.0 â loutre câble'ou hauban de cul servant à transmettre la traction au oul du filet, en constituant par exemple le prolongement des
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bras 5. A l'avant, chaque câble de bordure 9 peut a 1 at ta. r 1 base du, gu.1nd1.neau habituel 13. relié Par une
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patte d'oie 13 et un filin 14 en un point 15 du bras 5.
De préférence, un émerillon ( non représente ) sera dispose srzr chacun des bras 5 en avant du point de jonction 15 ou du guindineau 12. La distance 10-15, ou longueur du câble 11 est inférieure à la longueur du câble de bordure 9, de la patte d'oie 13 et da filin 14, de sorte que tonte la trac- tion exercée par le cul est supportée par les câbles ou haubans de cul 11, tandis que les câbles de bordure ont assez de mou pour obéir à leur lestage, épouser le contour du fond de la mer et s'opposer à la fuite du poissson sous les estes du filet.
De plus, grâce à cette disposition, xion seulement le câbles 9,9 acquièrent du moa qui leur permet de suivre les dénivellations du sol et d'empêcher les poissons de s'é- chapper, mais encore on obtient les avantages suivants : l .- lorsque les câbles de bordure 9,9 sont indépen- dants du câble de traction 11, comma représenté à la figure 2, le filet peut prendre un ballonnement latéral, semblable à. celui des ahalats ordinaires, ballonnement latéral qui est utile pour permettre l'évacuation de l'eau, des petite poissons et des menas détritus absorbés par la gueule du filet ;
de plus, ces câbles de bordure permettent de res- treindre les déformations que pourrait sabir le filet, soit dans les changements de direction du bateau, soit pour le cas accidentel où l'un des bras ou. l'une des fanas de l'en- gin serait plus courte que l'autre.
2 - En libérant les câbles de bordure 9,9 de toute traction et de tout effort, on évite de nombreuses avaries résultant soit de l'accrochage des obstaoles du fond, soit du ramassage des rochers, cailloux, etc... Comme on l'a expliqué, en effet, lorsque le bourrelet intervient comme organe de traction du cul, n'étant pas¯indépendant, il s'ac- croche plus facilement aux obstacles du. fond et ramasse dans les parties latérales du filet une partie des cailloux
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et détritus rencontres, ce qui cause des déchirures du fi- let et la perte de la pèche.
Avec le dispositif suivant l'invention, au contraire, le câble 11 étant uniquement destiné à la traction et étant indépendant du filet, il se dérobe plus facilement aux obstacles et ne risque jamais de ramasser les cailloux et autres matières du fond pour les amener dans le filet. Il peut d'ailleurs être surélevé au-dessus des obstacles du fond par des bobines de bois.
D'autre part, lorsque les câbles de bordure 9,9, rencon- trant un obstacle ou des matières du fond, ces câbles étant libres fr81ent en quelque sorte le fond sans apporter au- oune résistance et passent sur ces obstacles sans s'y ac- crocher et sans les ramasser dans le filet. Il est facile de se rendre compte de l'avantage considérable d'un pareil engin qui retient le poisson, mais laisse filtrer en quel- que sorte toutes les matières de fond.
Ce résultat est obtenu d'au-tant mieux que l'engin possède un équilibre parfait.
Lors de la remontée à bord, le cul peut 8tre hissé au moyen de ces haubans, ce qui évite le travail pénible qui. dans les filets antérieurs, consistait à remonter le eul du filet à la main, maille par maille.
On notera gae le dessous du cul 4 comporte un câble 18 analogue au bourrelet habituel, mais qui ne présente pas les inconvénients de ce dernier. Ce câble est en effet très court et simplement de la largeur du cul ( alors que le bourrelet habituel a généralement de 30 à 40 mètres), de sorte que la quantité de détritus qu'il ramasse est in- signifiante. De plus, n'ayant pratiquement aucune charge à remorquer, il est moins susceptible de causer des avaries) paf accrochage. Enfin, il peut facilement être muni de rouleaux ou bobines qui, vu son orientation,, fonctionnent parfaitement et passent par-dessus les etstacise.
Le filet ainsi constitue est moins volumineux et
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sa manoeuvre est considérablement facilitée.
Le cul étant le seul organe traînant sur le fond, il peut être muni d'un tablier de cuir ou filet protecteur con- tre l'usure, ce qui était pratiquement impossible pour tout le dessous des anciens filets.
Le corps du filet n'a d'autre fonction que de consti- tuer un voile pour empêcher le poisson de s'échapper; la partie supérieure, tenue ballonnante par les flotteurs ou autres moyens de sustentation de la corde de dos 16 et par les flotteurs ou antres qui, au surplus, peuvent être dispo- sés sur le des du filet, constitue une sorte de dame sous lequel le poisson s'engouffre.
Pour pécher sur des fonds irréguliers et comportant des trous, le câble de 'bordure 9 peut être muni à sa partie in- férieure d'une bande de filet 17 (figure 8) pendant verti- calement et qui, lestée à la partie Inférieure par des chat- nettes par exemple, complotera l'action des câbles 9.
On notera qrze le câble 11 étant indépendant du filet, il peut être amené à bord sur le treuil jusqu'au cul du filet, ce qui facilite considérablement la manoeuvre de l'engin.
L'engin qui vient d'être décrit peut être perfectionné par l'adjonction d'une armature rigide ou semi-rigide reliée à la partie avant du cul et aux câbles 11-11. Cette armature pont notamment se composer d'une perche horizontale porté par deux patins, l'ensemble du cul, de la perche et des pa- tins constituant une sorte de petit filet à perche.
Grâce à l'armature rigide formée par la perche 21 et les patins 22, tout le poida du cul 20 est intégralement transmis auxcâbles 11 et la partie 23 n'est soumise à au- cune traction, ce qui lui permet de ballonner au maximum.
On remarquera qu'en raison de 1'absence d'efforts de traction et de frottements susceptibles d'amener l'usure da corps de filet. celui-ci peut être constitué en fil très
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mince, ce qui diminue sa résistance à l'avancement et faci- lite encore le ballonnement.
Comme dans les filets habituels, la nappe (le filet for- mant le cul peut constituer le prolongement de la nappe de filet formant le corps 1 ou être formée par un pièce de fi- ' let distinote, fixée au oorps 1 à demeure. Toutefois, comme le cul est la partie du 'filet qui s'use le plus vite, il est préférable de relier ces deux pièces de filet de façon déta- clable. pour rendre le oul facilement intorchangable.En pratique, on aura donc avantage à relier de façon détachable le bord postérieur du corps 1 à l'armature 21,22 du cul.
On est ainsi amené à constituer le oul par un petit fi- let à perohe 20 du type habituel et le corps 1 par une sorte de demi-entonnoir, fixé aux câbles 11.
Grâce à ce dispositif, toute avarie résultant du frotte- ment sur le sol ou d'accrochage sur les obstacles est looali- sée au petit chalut à perche, ce qui rend les réparations beaucoup plus faciles, rapides et économiques.
Au lieu de constituer le cul par un filet à perche, on peut évidemment utiliser une poche quelconque dont l'ouver- tare est mnnie d'un cadre rigide. Lorsqu'on utilise un filet à perohe, on peut modifier sa forme et ses dimensions en vue de sa nouvelle destination; on pourrait aussi utiliser un filet à perche de forme et de dimensions courantes.
On peut aussi adopter le dispositif suivant (figure 5) :
Les haubans de cul 11 et les câbles de bordure 9 sont fixés, de chaque coté, à l'extrémité alun poids de fonte 30 en forme d'olive ou de patin ou de toute autre forme appro- priée, à l'autre extrémité duquel sont fixées les extrémités du bourrelet 18 du cul, comme sont fixés les divers câbles à la base du patin dans le mode de réalisation précédent.
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ces deux masses de fonte 30, dont le poids est appro- prié à la taille de l'engin. ont pour tendance de s'écarter l'une de l'autre d'une façon très puissante, du fait que leur propre poids tend à les faire fonctionner au même éoar- tement que le point d'attache des guindineaux, et qu'ils avancent sur le fond de la mer d'une façon oblique, la ré- sistance qu'ils trouvent sur le sol ayant ainsi tendance à les écarter l'un de l'autre.
Afin d'assurer l'ouverture complète des mailles du cul, une sorte d'arceau rigide 31 en fer, bois ou toute autre matière, peut être fixé au centre de ces deux masses de fonte 30, les mailles du filet étant lacées sur cet arceau dont la dimension est calculée de façon que les mailles soient ouvertes 0.'une façon normale.
Afin d'assurer la stabilité dudit arceau 31 sa partie supérieure peut être reliée aux haubans de cul 11 par des pantoires 32. 32.
Afin de donner à l'ensemble une certaine souplesse, et faciliter ainsi la manoeuvre du cul, on pourrait remplacer cet aroeau complètement rigide par une sorte de chapelet on collier constitué par des olives de bois 34 (figure 6) en- filées sur un filin ordinaire 35 ou un filin d'acier.
Les olives qui oomposent cet arceau s'intercalent dans les mailles du filet, chaque olive correspondant à une on plu- sieurs mailles, de façon à conserver ainsi à ces dernières leur ouverture normale, tout en leur permettant un certain jeu d'avant en arrière si l'utilité s'en fait sentir. pour assurer d'une façon plus complète l'ouverture normale des mailles du cul et compléter la stabilité de ce dernier, on pourrait également le munir, un peu en arrière de son bourrelet 18, d'une ou. plusieurs armatures rigides 33 ou de chapelets d'olives construits comme ci-dessus.
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Dans les figures précédentes, les câbles de traction
11 sont attaches au oul du filet par une patte-d'oie dis- posée de telle sorte que ces bras frottent sur le sol sar toute leur longueur. Ils portent aux points 15 un anneau auquel est attaché le filin 14 ou la patte-d'oie 13 du gain- dineau 12 du filet.
Ce mode de réalisation de l'engin est celui qui sera préféré dans les fonds réguliers où les risques d'accrocha- ge sont restreints.
Le mode de réalisation indiqué à la figure 7 sera em- ployé de préférence sur les fonds hérissés d'obstacles.Dans ce mode d'exécution, le câble 11 est quelque eau surélevé au-dessus du fond et par conséquent sera moins susceptible de s'accrocher à ses aspérités; dans ce but, il est attaché au patin 22 du oul à perche et au guindineau la du filet par deux patte-d'oie à branches égales 40,41, le guindineau 12 étant relié par la patte-d'oie 13 au bras 5. Les haubans 11 peuvent être munis de bobines de bois pour les surélever au-dessus des obstacles du fond.
Tout antre mode de réalisation de l'engin pourra être utilisé sans s'écarter de la présente invention. En particu- lier, lorsque le cul est de grande dimension, celui-ci peut être tiré directement à, partir du bateau (figure 7) au moyen d'une patte d'oie 56 et d'une aussière 57, ce qui donne aux bras 5 un certain "mou" leur permettant d'épouser plus inti- mement les dénivellations du sol et de réduire les dimensions des panneaux, ces derniers étant libérés de l'effort de traction du filet.
Les fumes 3 peuvent alors s'attacher sar l'aussière 57, ou passer dans un anneau fixé sur l'aussière. etc.**
La forme du corps du filet peut être quelconque et no- tamment oelle représentée, 1 avant étant échancré de façon à former des ailes 73, 74. Ce corps peut être en plusieurs pièces et ses dimensions peuvent être quelconques.
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Bien entendu, 11 est indispensable que ce oorps de filet se raccorde à la partie arrière sur le cadre rigide du col, de façon à empêcher le poisson de s'échapper, tout en laissant cependant les mailles da oorps de filet indé- pendantes du cul,
L'espace 60 compris dans les patins 22 de l'entrée du cul (fig.9) peut être obturé par un treillage en fil de fer ou toute autre matière, treillage rigide, de grandeur de mailles appropriée pour laisser filtrer les petits poissons et les détritus. les parties du filet fixées à la perche ayant à sup- porter un travail particulièrement pénible, pourront être avantageusement constituées en mailles doubles.
Dans la pêche de la sole et du poisson plat, qui a pour habitude de se terrer dans le sable, on pourra avanta- geusement fixer entre les points 15,15 des bras 5 on entre les deux guindineaux 12, une petite chaîne ( non représen- tée ) qui, en remuant le sable, fera soulever tout le poisson plat qui sera recueilli dans le filet.
L'emploi de cette petite chaîne fouilleuse sera de préférence évité, au contraire, pour la pêche du poisson rond, car ce poisson, plus agile, pourrait être effrayé par cet organe et fuir en dehors du file%.
8n peut apporter à ce dispositif général les perfec- tionnements suivants :
Pour éviter la fuite du poisson capturé, l'entrée du cul sera, de préférence, manié d'un ou plusieurs voiles, arêtes ou empêches. Les patins 22 peuvent âtre en forme de traîneaux pour faciliter le glissement sur le fond. Si la perche SI est de faible longueur, ces patins peuvent s'é- carter à la base pour assurer une meilleure stabilité.
La partie supérieure du cul peut être munie de flot- teurs, de façon à le faire ballonner et à empêcher l'écra- sèment do. poisson ou la fuite du poisson encore vivant. les
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patins 22 et le ventre du petit filet 20 peuvent au besoin être lestés pour assurer constamment le contact du cul aveo le sol.
Four assurer le contact parfait des divers câbles traî- nants (5,8,9,11) avec le sol, oes sables peuvent être munis sur toute on partie de leur longueur d'organes de lestage, noyés dans une garniture en vieux cordages, vieux morceaux de filet, etc, afin de ne pas créer des vides entre deux plombs oonséoutifs. Ce lestage peut être combina à ( ou remplacé par ) des festons de chaîne pendantes ou tous aa- tres organes équivalents destinés à labourer le sol et à empêcher le poisson de s'échapper sous les haubans de cul on les câbles de bordure lorsque ceux-ci passent au-dessus de trous ou dépressions du fond.
On peut également assurer le contact aveo le sol en construisant le corps de filet de façon que les parties ballonnantes du filet, à l'extérieur des câbles de bordure, puissent venir au contact du sol par suite de la pression de l'eau qui s'échappe par les mailles, et concourir ainsi à empêcher le filet de décoller au fond et à obtarer effioa- cement tout passage entre les câbles de bordure et le sol.
Ce ballonnement latéral peut être facilité en disposant de place en place des arceaux en bois 75 ou autres formant cintres ( fig.ll).
Les parties débordantes du corps du filet qui sont destinées à frotter sur le sol peuvent être renforcées par plusieurs rangs de $ailles doubles, augmentant la solidité et la résistance au passage de l'eau, de façon à amplifier la pression exercée par l'eau de haut en bas sur ces parties débordantes.
Ce ballonnement latéral du corps du filet facilite la capture des poissons plats qui, déterrés de la vase par les câbles de bordure 9,9, sont canalisés à l'intérieur de cette
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sorte de gorge jusqu'au cul. Dans ce cas particulier de la pèche an poisson plat, on peut disposer dans la gorge ainsi formée par les parties débordantes du corps du filet, des nappes de filet verticales ou empêches 26 (fig.12) desti- nées à canaliser le poisson à l'intérieur de cette gorge latérale et éviter qu'il ne se terre à nouveau dans la vase vers la partie médiane du filet.
La capture du poisson plat peut être faoilitée encore en tendant entre les bras 5, un on plusieurs câbles on chaînettes, pourvus au besoin d'organes appropriés pour fouiller le sol en avant da oal et déterrer le poisson plat, ces câbles ou chaînettes, lé- gers et très souples, seront de préférence manis de bosses cassantes permettant une rupture facile en cas de rencon- tre d'un obstacle. Ils seront de préférenoe supprimés dans la pêche au poisson rond, plus agile.
Comme représenté à la figure 10, le corps 1 du filet peut se prolonger par des ailes 60, 61 très larges, dont l'extrémité supérieure est reliée soit au bras 5,5 à une distance assez grande du filet, soit au panneau 6,6 cor- respondant, par un bras supérieur 63,63. Dans ce cas, le corps 1 du filet peut, comme dans les filets habituels,étre muni d'ailières 65.
Dans le cas où l'extrémité de la corde de dos est re- liée au bras 5, il sera disposé aux points de liaison des émerillons, comme décrit ci-dessus. De plus, afin d'empê- cher les entortillements des bras supérieure 63,63 avec les bras 5,5, ces bras supérieurs seront constituée par des câbles dont les torons ont un enroulement en sono contraire de celui des bras inférieurs 5.
Au lieu d'éloigner les panneaux du filet, on peat, comme dans les engins du type ottertrawl, attacher direc- tement ces panneaux aux extrémités des ailes. On pourrait aussi disposer aux extrémités des ailes de petits panneaux d'ailes servant à augmenter l'ouverture en largeur du filet
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lui-même. pour augmenter l'efficacité de capture du pois- son plat, l'aotion de ces panneaux étant cependant insuf- fisante pour tendre la corda de dos en largeur et diminuer le ballonnement du filet. Les deux grands panneaux d'écar- tement de l'engin, situés à une distance relativement gran- de du filet, servent alors à donner aux bras 5 une direc- tion convergente vers le filet, pour qu'ils puissent jouer le tôle de rabatteurs du poisson.
Certains possons. particulièrement alertes, peuvent, après s'être engagés dans le filet, rester à la partie su- périeure au lieu de pénétrer dans le cul. La partie supé- rieur se trouvant en eau claire , ce poisson risque de s'échapper. Pour éviter cet inconvénient et rabattre le poisson vers l'arrière dans la zone où l'eau est troublée par les nuages de vase soulevés par les bras et les pan- neaux, - c'est-à-dire dans une région où. le poisson est aveuglé et ne peut plus s'échapper, - on pourxa disposer avantageusement vers l'entrée du filet un voile ou empêche 70 (figure 13).
Ce voile, plus ou moins incliné vers l'ar- rière, de façon à jouer son rôle de rabatteur da poisson dans les meilleures conditions possibles, est établi de fa- çon que son bord inférieur se trouve approximativement à la limite supérieure de la zone où l'eau est troublée. Ce voile peut d'ailleurs être remplacé par tout autre dispo- sitif analogie.
Dans l'application particulière de ces organes au filet suivant la présente invention, on obtient un avantage spécial du fait que le filet est dépourvu de ventre, ou qué le ventre est de dimension réduitede sorte que le poisson qui, au dernier moment de la pèche, s'est engagé sous la nappe de recouvrement et n'a pas encore pénétré dans le calopeut s'échapper plus facilement, lors de la remontée du filet à bord, qu'avec les filets pourvus d'un ventre de grande dimension.
Inexpérience a montré que,par mauvais temps,l'engin
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suivant l'invention a quelquefois difficulté à prendre sa position sur le fond d'une façon oonvenable et que, notam- ment, il lui arriva parfois de culbuter lors de la mise à l'eau.. Dans les filets ordinaires qui constituent un véri- table entonnoir, en effet, l'eau, s'engouffre d'une façon à peu près égale dans tout le filet, lors de la mise à l'eau.
Le filet est bien gonflé et arrive donc facilement sur le fond en bonne position. Au contraire, avec le présent appa- reil, l'absence de ventre cause à l'appareil un certain déséquilibrage. Pour y remédier ( fig.8 ) il est bon de lui adjoindre un dispositif équilibreur oompoaé, par exemple, de la façon suivante :
A la partie inférieure des patins 22, placés à l'entrée du oal 4, sont attachés deux câbles de longueurs égales 50, 51 reliés à leur extrémité inférieure à un câble 52 portant à sa partie inférieure un poids 53, Ce câble 52 pourra être remplacé par une chaîne ou tout antre dispositif remplissant le même rôle.
A la partie supérieure des patins sont dispo- sés des flotteurs 54, soit directement, soit de la même ma- nière que le poids 53. S'il y a lieu, des poids 55 peu/vont être disposés aux points 15 des bras 5.
¯----Cet appareil, en coopérant avec les flotteurs de la
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oorde7dos et le lestage des câbles 9, assure une stabilité parfaite du filet à la mise à l'eau et évite font culbutage.
Ce dispositif ne gène pas pour la p8ohe, car il se borne à frotter sur le sol sone le cul du filet ; pour évi- ter cependant que les câbles 50,51.52 ne s'accrochent aux aspérités du fond et ne créent des avaries, on peut les constituer avec du fil de petite résistance, de façon qu'ils puissent casser au moindre obstacle.
Le lest 53 peut être constitué par une pierre, un vieux barreau de grille, ou autre objet sans valeur. n -
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Dans les engins qui viennent d'être décrits.
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il est avantageux de remplacer les guindineaux par des panneaux d'ailes, comme représenté à la fige 14, où 101 assigne un filet comprenant une poche
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arrière ou oul 108, remorqua airoototaant poe dOC haubans de cul 108, dans le prolongement de bras tratnante 104, relira a des p aux 10Ô, tirdo par des fanes 106.
En 107 s'attachent des pantoi..
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ros 108, relises à des panneaux d'ailes 109 ettachée aux ailes (l'une nappa de r$eoa.V3?emet 110, reliée à l'arrière au cul 102 et dont les bords inférieurs 111, soustraits à la traction du oul, frôlent le fond. sans risquer de s'y accrocher ou de ramassa%' dans le cul à les pierres ou autres ma- tières.
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Les panneaux 104 remplacent avsntagonaement les gaindineaux de la tige 2 En effet, ces panneaux'soumis à la réaction
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de l'eau, résistent mieux que les gu1nd1noQu l'effort exercé par la corde de dos 135 qui tend à faire pivoter les guindineaux vers 1 'int4rie et vers l'arrière autour de leur base. De ,plus en
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tirant les ailes latéralement, ils 8'09POSOn%, ' la formation de poches, en avant;
du cul 102, sous l'action de l'eau qui s'engouffre dans le filet et tend à tirer la nappe supérieure 110 vers lier- rière; ils évitent en même temps la réduction d'ouverture en largeur résultant de cette trac- tion vers l'arrière avec formation de poches.
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Vautre part, ces panneaux d'aileS fonction- nent beaucoup plus efficacement dans cet engin que dans les engins V.D. antérieurs pourvus de panneaux d'ailes.
Ils ont ici un fonctionnement parfait pàroe qu'ils sont tirés par des pantoires
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108 allant"do l'extérieur vers itintêrîeur, comme
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les panneaux ordinaires, alors'que les panneaux d'ailes employés jusqu'à cejaur dans les systèmes V.D. on similaires, ne pouvaient pas fonctionner d'une façon tout à fait correcte,, du fait qu'ils étaient tirés par des câbles allant de l'intérieur vers l'extérieur et ne donnaient donc pas un angle d'attaque suffisant pour un écartement convenable desdits panneaux.
Ces panneaux peuvent être du type habituel, ou bien ils peuvent être du type indiqua dans la demande de brevet déposée en France par le même in- venteur, le 23 Juillet 1928 et intitulée "Dispositif perfectionna d'attache des panneaux et guindineaux aux ailes des fileta de pêohe".
Il sera préférable de reporter les braguets de cas panneaux aussi bas que possible , pour augmen- ter leur stabilité, compenser la traction de la cor- de de dos et empêcher que la pantoire 108 n'ait ten- danoe à soulever les haubans 103, qui en frottant sur le sol, facilitent la capture du poisson plat.
Si le relief et la nature du sol l'exigeaient, le hauban 3 et le bras 4 pourraient être cependant maintenus au-dessus du fond par clos rouleaux ou or- ganes équivalents.
Une autre caractéristique importante de l'invention consiste dans le dispositif de liaison, placé en107, entre les pantoires 118. les haubans 103 et les bras 104. Ce dispositif comprend un élément de filin d'acier 111, s'attachant à deux émerillons 112, 113, reliés eux-mêmes b, des cosses 114, 115 aux extrémités des câbles 103, 104. Sur le filin 111 est enfilée une bague 116, formant butée, et pouvant se prolonger par une douille 11?, aux la- quelle peut tourner un manchon 118 muni d'une oreille 119, reliée par une manille détachable
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1¯$Q4,et un emerillon 181 à la. aosse 122 du sable 108.
L'ensemble ainsi constitue est assez souple pour s'enrouler facilement sur le treuil et passer sur les diverses poulies du bateau, après que la
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manille laO cl été a.<!ta.9h4Q. D a aut r p.rt , 6ràoo au pivot 117, 118, qui sera, convenablement graissé, les câbles 107 et 108 ne risquent pas de s'entro- tiller l'un autour de l'autre, et par suite, de di- minuer l'ouverture en largeur du filet, de coucher
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las panneaux 109 ou les guindinea.ux (figure 8) sur le sol, de surélever le hauban 103 au-dessus du sol (ce qui nuirait à la pêche du poisson plat), etc...
Lors de la mise à l'eau de l'engin, les hau- bans 103 sont maintenus tondus par le poids du cul et son lestage; d'autre part la pantoire 108, main- tenue écartée de ces haubane par la pièce 118, 119, est sollicitée par le poids des panneaux 109 ou
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des guindineaux (fig. 8) et pend à l'extérieur des haubana 103, do sorte que 10cànoemblo vient ce J}ol1JlJr oorreotement sur le fond de la mer.
A la remonta du filet à bord, on attache
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morillon 121 â un crochet de la potence., dès que cet émerillon se présente devant la poulie de cette dernière, on détache la manille 120 et on continue d'enrouler le hauban sur le treuil jusqu'à ce que
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le oui 102 soit à bord, les ailes restant accrochdea aux potences.
Si le manchon 118 étai) trop volumineux et risquait de gêner le passage des câbles sur les poulies ou leur enroulement sur la treuil, on pour- rait le constituer par un organe amovible (figures.
16 et 17). Par exemple, le manohon 118 peut être formé de deux moitiés 123, 124. articles par une
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charnière 186 et reliées parr une broche 125 travar sent des trous alignés des pitiés 123. 124. Avec ce
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dispositif, la manoeuvre est semblabie à celle indi- quée ci-dessus. sauf quon ouvre le manchon 13, 124 au lieu de détacher la manille 110. qui 1.1'a peut âtre supprimée dans ce cas.
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Afin d *4Vi ter d'une façon- encore plus complote l'entortillement de la pantoire 108 sur le hauban 103, on pourra constituer la pantoire 108 en filin neutro, an chaîne ou en filin câble de façon inverse de celle des câbles constituant le bras 104 et le hau- ban 103.
De plus, le filin de jonction 111 du bras 104 et du hauban 103 pourra être constitué en filin neutre ou en chaîne.
Au dispositif décrit ci-dessus, on peut adjoin- dre ou substituer une entretoise 130 (figures 15 et
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18) comportent par exemple une traverse 131 et deu chapeau 132, relies de façon amovible à la tra 1erse 131 par rainures et languettes et boulons 133 ; la tra-
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verso et les chapeaux edsontent des encoches comi- circulaires se complétant pour former des ouverture. traversées par les câbles 103 et 108, et assez larges pour permettre la libre rotation de ces câbles sur
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euz-m8mes;
l'extr6mitô de l'entretoise 130 correspon- dant au câble 108 pourrait être lestée pour faciliter la mise à leau, en faisant pendre le câble 108 vers le sol, de façon à amener les ailes du filet sur le far avant les haubans 103.
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L'entretoise pourrait fttre :O.:l6e à demeure sur le câble 108 et reliée de façon détachable au hauban 103 seulement. remploi des panneaux d'ailes 109 (Fig. 14)
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contribue avec les dispositifs prQ4dents â Militer l' 4 oe.:rtement entre les câbles 105 et 108.
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Bien entendu, les différents dispositifs déorits ne sont que des exemples de réalisation de l'invention et pourraient être employés soit simultanément, soit séparé- ment, sans sortir de la présente invention. Il va de soi que l'invention s'applique également à l'ottertrawl ainsi qu'à la pêche aux boeufs, dans laquelle les funes de remorque du filet sont tirées par deux bateaux.
REVENDICATIONS
1 .- un engin pour la pèche au fond, comprenant un fi- let relié par des bras traînants de grande longueur à deux panneaux on deux bateaux assurant l'ouverture du filet en largeur, caractérisé en ce que le filet ne Comporte ni ventre ni bourrelet et est bordé de chaque côté par un cible lesté ou Câble de bordure latérale qui peut en même temps suppor- ter la traction du cul mais qui, de préférence, est disposé de façon à n'être soumis à aucun effort de traction et à épouser ainsi constamment le contour da fond de la mer pour empêcher la faite du poisson sous les cotés du filet.
2 .- Un engin suivant 1 caractérisa en ce que le filet comporte des haubans de oul indépendants du oorps du filet et servant à la traction du cul dans le prolongement des bras, lesdits câbles lestée oa câbles de brodure sattaohant sur lesdits câbles de traction en des points séparas par une distance inférieure à la longueur des dits câbles lestés, de faon à permettre au filet de ballonner latéralement.
3 .- Un engin suivant 1 ou 2 , caractérisé en ce que des bandes de filet lestées formant rideaux sont suspendues aux dits câbles lestés ou câbles de bordure.
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