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DISPOSITIF D'ETIRAGE ET D'ALIMENTATION DE FIL INTEGRE
L'invention se rapporte à un mécanisme d'alimentation en fil, qui est destiné à envoyer de manière précise une longueur mesurée à une machine à forger et qui est apte à étirer le fil.
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ART ANTERIEUR
Généralement des mécanismes d'alimentation en matière pour des machines à forger ont utilisés des rouleaux d'alimentation pour alimenter en fil ou en barre la machine. La précision avec laquelle une longueur de fil est envoyée par une alimentation à galets peut être limitée par les états de surface du fil, ainsi que par d'autres facteurs variables Un genre amélioré de dispositifs d'alimentation par prise est décrit dans le brevet US-A-4 942 796 cédé au cessionnaire de la présente demande.
En général, le tirage de matériau de fil envoyé à une machine à forger est accompli par un dispositif qui est distinct du mécanisme d'alimentation en fil. Par conséquent, dans le passé, le dispositif d'étirage de fil venait s'ajouter en terme de coût à celui d'une installation de machine à forger en plus d'exiger un espace supplémentaire. Un équipement d'étirage de fil de l'art antérieur prend beaucoup de temps pour changer la dimension du fil lorsqu'un reste quelconque d'une bobine doit être enlevé et qu'une nouvelle extrémité de bobine doit être insérée dans le dispositif.
Ces travaux augmentent la durée totale requise pour effectuer le changement RESUME DE L'INVENTION
L'invention vise un dispositif d'alimentation en fil pour des machines à forger, qui utilise un ensemble coopérant d'organes de prise mobiles et fixes Le dispositif est agencé pour incorporer, à titre d'option de base, une étampe d'étirage pour dimensionner le fil d'alimentation L'organisation du trajet du fil, des organes de prise et des actionneurs qui s'y rapportent permettent à tout reste de matières ou parties non utilisées d'une bobine d'être éliminées du
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dispositif et à une nouvelle bobine ou barre d'être chargée en un temps réduit et avec moins de travail que dans les systèmes antérieurs, particulièrement lorsqu'un étirage du fil et une alimentation en fil sont effectués dans des dispositifs distincts.
Dans le dispositif décrit, les forces de prise sont appliquées par des actionneurs hydrauliques. L'ensemble fixe d'organes de prise est agencé pour maintenir les forces d'étirage lorsque cette option est choisie. Les forces de prise destinées à tirer sont appliquées par une paire d'actionneurs hydraulique en tandem. L'un des actionneurs, ayant une aire de section transversale relativement petite, serre et desserre le fil en un temps court pour obtenir une grande vitesse de fonctionnement. L'autre actionneur, ayant une section transversale relativement grande pour produire une grande force de serrage, fonctionne pendant une durée d'actionnement plus longue.
La relation en tandem des actionneurs hydrauliques, où le grand actionneur est monté à une extrémité de l'actionneur plus petit et fonctionne par celui-ci, simplifie la fabrication du dispositif d'alimentation en fil avec l'option d'une étampe d'étirage et permet des réductions des coûts de stockage et de fabrication.
Les organes de prise mobiles sont entraînées pour un déplacement en alimentation par une came qui est de préférence reliée à l'entraînement principal de la machine à forger associée. Le profil de la came a une zone en relief de sorte que, après une course opératoire de l'étampe d'étirage, la tension du fil est relâchée avant que l'organe de prise mobile ne vienne en contact avec le fil. Cette décharge ou relâchement du fil améliore la précision d'alimentation.
Le châssis du dispositif d'étirage et d'alimentation est ouvert sur le dessus et les organes de prise sont agencés de manière à s'ouvrir et se fermer dans un plan horizontal de sorte que de la matière peut-être rapidement et efficacement charger et décharger, c'est-à-dire latéralement par rapport à la direction d'alimentation, verticalement dans le dispositif et en en sortant.
DESCRIPTION SUCCINCTE DES DESSINS
La figure 1 est une vue en élévation latérale quelque peu schématique d'un dispositif d'étirage et d'alimentation en fil et d'une machine à forger associée,
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La figure 2 est une vue partiellement en coupe, vue dans la direction de l'alimentation en fil, du dispositif d'alimentation en fil et d'étirage
La figure 3 est une vue en plan du dispositif d'alimentation en fil et d'étirage ;
La figure 4 est une vue en plan d'un ensemble mobile d'organes de prise et d'une zone d'étampe d'étirage du dispositif ;
La figure 5 est une vue en coupe transversale suivant le plan 5-5 indiqué à la figure 4, de l'ensemble mobile d'organes de pnse et d'un actionneur hydraulique associé ;
La figure 6 est une vue en coupe transversale, suivant le plan 6-6 indiqué à la figure 4, de l'une des organes mobiles de prise ;
La figure 7 est une vue en coupe transversale suivant un plan horizontal d'un ensemble stationnaire d'organes de prises et d'actionneurs hydrauliques associés ;
La figure 8 est une vue similaire à la figure 7 lustrant un agencement où l'option d'étirage du fil n'est pas prévue ;
La figure 9 est une vue suivant le plan 9-9 indiqué à la figure 3, présentant un chariot d'étampe d'étirage.
DESCRIPTION DU MODE DE REALISATION PREFEREE
Une machine 10 à forger comporte un dispositif 11 d'alimentation en matière et un dispositif 12 d'étirage de fil en option, en un dispositif 13 combiné. Le dispositif 13 envoie de la matière qu'il reçoit sous forme de fil en une bobine ou de barres de longueur limitée. Le dispositif 13 envoie des longueurs incrémentées de la matière, désigné par la référence numérique 14, de la gauche vers la droite telle que vu à la figure 1, à un poste 16 de découpage ou de déchirement, connu de la technique, ou des longueurs de matière correspondant à la course d'alimentation du dispositif 13 sont découpées en pièce ou en ébauches. A partir de ce poste 16, les pièces de ce genre sont transférées à des postes successifs d'étampe ou ils sont progressivement mis à la forme souhaitée.
On pourra se référer au brevet US-A-4 910 993, dont la description est incorporée au présent mémoire pour une description d'autres détails de la machine à forger.
Le dispositif 11 d'alimentation en matière du dispositif 13 comporte un ensemble mobile de mâchoires 17 et un ensemble fixe de mâchoires 18. Les mâchoires 17 mobiles saisissent la matière 14 et ensuite la font avancer vers
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les mâchoires 18 fixes, qui saisissent la matière aux instants où elle n'est pas alimentée. Les mâchoires 17 mobiles sont montées sur un chariot 19 qui se déplace sur une paire de rails 21 parallèles fixés sur un châssis 22 du dispositif 13. Le chariot 19 est entraîné horizontalement en avant et en arrière sous les rails 21 par un levier 23 généralement vertical qui est articulé sur une broche 24 portée par le châssis 22.
L'extrémité supérieure du levier 23 est en forme de fourches doubles, une paire de fourches 26,27 (figure 2) formant des tourillons pour des arbres 28 coaxiaux individuels à distance les uns des autres des deux côtés de la matière 14. Un ensemble de rouleaux 29,30 est monté sur chacun des arbres 28, l'un des rouleau 29 étant légèrement plus grand que l'autre rouleau 30. Une extrémité inférieure du levier 23 est couplée par une broche à une tige 34 de connexion. L'autre extrémité de la tige 34 de connexion est couplée à un levier 36 d'entraînement par une broche 37 portée sur un bloc 38 Le bloc 38 est couplé au levier 36 d'entraînement par contact mutuel avec un coulisseau 39 sensiblement vertical formé sur le levier d'entraînement.
Un résolveur 41 de moteur fait fonctionner une vis 42 en contact avec le bloc 38 de telle manière que la rotation de la vis 42 impartie par le résolveur 41 déplace le bloc 38 portant la broche 37 jusqu'à un emplacement souhaité le long de la longueur du coulisseau 39. Le résolveur 41 est mis en fonctionnement par un dispositif de commande maître de la machine 10. La position du bloc 38 sur le coulisseau 39 règle la longueur de la course d'alimentation du chariot 19 et des mâchoires 17 mobiles.
Le levier 36 d'entraînement oscille en pivotant sous l'action d'un ensemble de culbuteurs 43,44 qui ont chacun un galet qui suit des profilés complémentaires d'une paire de cames 48,49 pouvant tourner avec un arbre à cames 51 d'alimentation. Dans le cas Illustré, la came 48 est une came d'alimentation produisant un déplacement du levier 36 qui entraîne un déplacement vers la droite du chariot 19 (Figure 1). L'autre came 49 produit un déplacement positif vers la gauche du chariot 19. Des ressorts 55 à compression sollicitent les divers éléments d'entraînement d'alimentation pour réduire les effets de tout jeu sur la précision de la course d'alimentation. L'arbre à cames 51 d'alimentation est entraîné positivement en synchronisme avec le cycle de fonctionnement de la machine 10 à forger par un train 52 d'engrenage.
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Les adjectifs descriptifs mobile et fixe appliqués à l'ensemble de mâchoires 17,18 se réfèrent à leur capacité de déplacement ou à leur absence de déplacement, respectivement, le long de la direction
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d'alimentation de la matière 14. Il va de soi cependant que, dans la description qui suit, chacun des ces ensembles de mâchoire 17,18 a au moins un élément de prise qui est mobile dans un plan horizontal dans une direction transversale à la direction d'alimentation pour une action de prise et de relâchement. L'ensemble mobile d'organes de prise 17 comporte une paire de blocs 56,57 oblongs opposés horizontalement.
Des faces de prise de matière opposées des blocs comportent des rainures 58 en forme de V s'étendant longitudinalement et destinées à venir en contact avec des surfaces de la matière 14 Le profilé des rainures 58 peut avoir une configuration autre que la forme d'un V, comme celle d'un segment circulaire ou de segments en arc convergents pour recevoir différentes matières ou matériaux de fil. Chacun des blocs 56,57 se trouvent entre une paire respective de galets 59 à rainures en forme de V Les galets 59 sont chacun sur des axes 61 verticaux montés dans des fentes 62 qui permettent un déplacement limité de ces axes et galets 59 suivant une direction horizontale.
Des ressorts de compression, présentés en ligne pointillé en 63, repoussent les galets 59 vers un plan central entre les blocs 56,57.
L'un des blocs 56 pouvant être déplacé est fixé par un bloc 64 de montage à un piston 66 d'un actionneur 67 à vérin hydraulique (figure 5). La pression hydraulique appliquée à une chambre ou alésage 69 par un orifice 68 force le piston 66 et le bloc ou l'organe de prise 56 mobile à aller vers le bloc 57 de prise opposé. Cette force de serrage hydraulique surmonte facilement les forces antagonistes des ressorts 63 sur les galets 59 et ont pour conséquence que les blocs 56 et 57 de prise viennent en contact avec la matière 14 et la tienne solidement. Lorsque l'orifice 68 est relié à un évent, tel qu'un réservoir, les ressorts 63 font que le bloc 56 pouvant être déplacé se retire légèrement de la matière et par conséquent la relâche.
Un ressort 71 disposé centralement dans le piston 66 et plus faible que les ressorts 63 empêche le piston et par conséquent le bloc 56 de se décaler de toute distance appréciable de la matière 14 Il va de soi que la matière 14 d'un diamètre différent peut être reçu par les blocs 56,57 illustrés, en raison de la capacité du piston 66 à fonctionner dans différentes positions axiales dans
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l'alésage 69, en fonction du diamètre de la matière. Il va de soi en outre cependant que pour serrer et desserrer un diamètre donné de matière, le piston 66 n'a besoin que de se déplacer d'une distance correspondant au jeu dans les fentes 62 avec les axes 61 verticaux. Un orifice 72 permet à la pression hydraulique d'être appliquée sélectivement à une chambre 73 annulaire.
Lorsque la pression hydraulique est appliquée dans cette chambre 73, et que la chambre 69 est mise à l'atmosphère, le piston 66 se retire d'une distance complète en déplaçant le bloc 56 bien loin du bloc 57 en vue de changer la matière.
La figure 7 illustre l'ensemble fixe de mâchoire 18 et les actionneurs hydrauliques associés pour le dispositif 13 combiné pour alimenter et étirer du fil. Les mâchoires 18 comportent un bloc 76 fixe s'étendant horizontalement et un bloc 77 opposé pouvant être déplacé. Les blocs 76,77, comme les blocs 56,57 peuvent avoir des rainures en forme de V sur leurs faces de travail opposées pour prendre la matière 14. Le bloc 77 de prise pouvant être déplacé est porté pour un déplacement de serrage et de desserrage sur un premier piston 78 de serrage relativement petit Le piston 78 de serrage se déplace axialement dans un alésage ou cylindre 79 dans un plan horizontal perpendiculaire à la ligne de déplacement de la matière 14 L'alésage 79 est situé dans un logement 81 associé monté sur le châssis 22.
Du fluide hydraulique à haute pression est appliqué à un orifice 83 et à une chambre 84 annulaire pour faire sortir le piston 78 du cylindre 79 pour déplacer le bloc 77 pouvant être déplacé vers le bloc 76 fixe. Des évents 86,87 sont reliés aux réservoirs ou cuves hydrauliques associés aux circuits hydrauliques (non représentés) qui comportent classiquement une pompe hydraulique. Le piston 78 est repoussé de manière continu en une position rétractée vers la droite à la figure 7 par une petite force hydraulique développée par la pression hydraulique régnant dans une chambre 88 annulaire par un orifice 89.
Une enveloppe 94 auxiliaire et une plaque 96 d'extrémité sont vissées au boîtier 81 par une pluralité de boulons 93. A l'intérieur de l'enveloppe 94 auxiliaire se trouve un alésage 97 coaxial à l'alésage 79 et coopérant avec un piston 98 relativement grand. Le piston 98 comporte un prolongement 99 d'une pièce adaptée pour venir en butée avec une face 101 arrière du piston 78 plus petit Une pression hydraulique à haute pression est appliquée à un
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orifice 103 pour entraîner le grand piston 98 vers une position de prise de matière vers la gauche à la figure 7. Lorsque l'orifice 103 est vidé, une alimentation constante en fluide hydraulique à haute pression appliquée à un orifice 104 et à une chambre 105 annulaire fait en sorte que le grand piston 98 se déplace vers la droite à la figure 7 pour desserrer la matière.
La position la plus à droite ou retirée du grand piston 98 peut être ajustée en fonction du diamètre de la matière 14 par l'action d'une broche 106 d'arrêt. La broche 106 d'arrêt à des filetages 107 extérieurs qui engrènent avec des taraudages complémentaires d'un alésage 109 axial de la plaque 96 d'extrémité. Un prolongement 111 de la broche 106 d'arrêt est calé ou claveté extérieurement pour être entraîné en rotation par une dent 112 tandis qu'un déplacement axial relatif entre ces éléments est possible.
La dent 112 est entraînée par une chaîne par une dent 113 plus petite fixée à l'arbre de sorte d'un carter d'engrenages 114 de moteur, qui fonctionne de manière sélective sous la commande d'un dispositif de commande maître de la machine Un dispositif de codage 116 électronique surveille la rotation du carter d'engrenage 114 au moteur et par conséquent comme il sera évident à l'homme du métier, la position axiale de la broche 106 d'arrêt
Une étampe d'étirage 126, bien connue de la technique, est portée dans une cassette 127 qui, à son tour est serrée dans un chariot 128 associé. Le chariot 128 a des douilles 125 qui coulissent sur les rails 21.
Comme représenté à la figure 3 par exemple, l'ensemble mobile d'organe de prise 17 et son chariot 19 associé se trouvent entre l'ensemble fixe d'organe de prise 18 et l'étampe 126 d'étirage et son chariot 128 associé. La cassette 127 d'étampe d'étirage a une face 129 de butée apte à venir en contact avec une face 130 arrière du chariot 19.
Un dispositif de poussée alimenté par puissance électrique, connu de la technique, (non représenté) peut être utilisé pour insérer l'extrémité d'attaque d'une pièce de matière 14 dans l'étampe 126 d'étirage et dans la zone de l'ensemble mobile d'organe de prise 17 Un dispositif de codage rotatif de structure connu, non représenté, est fixé au train d'entraînement et signale de manière continu au dispositif de commande maître de la machine l'angle du vilebrequin 141 de sorte que le dispositif de commande surveille la phase instantanée du cycle de machine qui est réalisée
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On décrit maintenant le fonctionnement de la machine 10. A chaque tour du vilebrequin 141, la machine 10 effectue un cycle de travail complet.
L'arbre à cames 51 d'alimentation tourne en synchronisme avec le villebrequin 141, ce qui fait que les cames 48,49 tournent en synchronisme avec le déplacement du coulisseau entraîné par le vilebrequin 141. La came 48 d'alimentation fait que le culbuteur 43 fait basculer le levier 36 d'entraînement et le levier 23 dans le sens des aiguilles d'une montre, tel que vu à la figure 1 A leur tour, les galets 30 obligent le chariot 19 à aller vers la droite de la figure 1. Comme décrit précédemment, la position verticale du bloc 38 sur le coulisseau 39 du levier 36 d'entraînement, sous la commande du dispositif de commande maître, détermine la longueur de la course d'alimentation du chariot 19.
Pendant la course d'alimentation du chariot 19, l'ensemble mobile d'organes de prise 17 est fermé de manière ferme contre la matière 14 par mise sous pression de l'orifice 68 de sorte que la matière 14 est déplacée à force par la course du chariot.
A la fin de la course d'alimentation du chariot 19, produit par la came 48 d'alimentation, le dispositif de commande maître actionne une vanne pour mettre sous pression le petit piston 78 de serrage de l'ensemble fixe d'organe de prise 18. Au même instant, le dispositif de commande actionne une vanne pour alimenter en fluide hydraulique à haute pression le cylindre du grand piston 98.
Le petit piston 78 de serrage sort de son cylindre en un temps relativement court, par exemple en 25 millisecondes, pour faire en sorte que son bloc 77 de prise associé presse la matière 14 contre le bloc 76 opposé pour établir une commande de la position de la matière Une fois que le petit piston 78 a fait en sorte que les blocs 76,77 de prise ont pris de manière adéquate la matière, le dispositif de commande maître fonctionne pour vider le vérin 67 hydraulique par l'orifice 68 et relâcher l'action de serrage du bloc 17 de prise mobile Le grand piston 98 est plus lent à agir que le petit piston 78 en raison du volume relativement grand d'huile à déplacer dans son cylindre. Par exemple, le grand piston 98 nécessitera un temps deux fois très grand, par exemple de 50 millisecondes, pour réagir et produire un chargement de serrage.
Le chargement de serrage forte produite par le grand piston 98 est appliqué par le prolongement 99 à la face 101 arrière du petit piston 78 et par le petit piston à la fin au bloc 77 de prise A cette égard, importance de la fonction de la broche 106 d'arrêt peut être comprise La
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broche 106 d'arrêt est ajustée axialement de sorte que lorsque les deux pistons 78 et 98 sont retirés vers la droite à la figure 7, un jeu suffisant existe entre les blocs 76,77 pour permettre le passage de la matière 14 entre eux.
Cependant, la broche 106 d'arrêt lorsqu'elle est ajustée par le dispositif de commande maître par le carter d'engrenage 114 du moteur et par le dispositif 116 de codage ne laisse pas ces pistons se retirer plus loin qu'il n'est nécessaire pour laisser un jeu d'alimentation à la matière. Par conséquent, le grand piston 98 n'a besoin de se déplacer que d'une distance relativement petite correspondant à celle qui est dictée par un jeu de travail pratique pour alimenter en matière pendant la course d'alimentation. Lorsque le grand piston 98 doit être entièrement retiré afin de changer de matière, par exemple, le dispositif de commande de machine fait en sorte que le carter d'engrenage 114 du moteur repousse la broche 106 d'arrêt jusqu'à une position entièrement rétractée.
De la description qui précède, il va de soi que l'agencement en tandem décrit du petit piston 78 de serrage et du grand piston 98 de serrage offre une réponse de serrage rapide, donnée par le petit piston en un temps relativement court et une grande force de serrage donnée par le grand piston pendant le laps de temps qui suit. La réponse de serrage initiale rapide du petit piston 78 permet d'obtenir une grande vitesse de fonctionnement de la machine 10 puisque l'ensemble 17 mobile d'organes de prise peut être relâché à un stade précoce, aussitôt que le petit piston 78 de l'ensemble 18 fixé d'organes de prise a pris la matière en chargement.
La came 49 d'étirage sur l'arbre à cames 51 d'alimentation a un profilé qui est adapté pour faire commencer le retour du chariot 19, vers la gauche de la figure 1, après que l'ensemble mobile d'organes de prise a été desserré.
Il va de soi que le chariot 128 de l'étampe d'étirage suivait précédemment le chariot d'organe de prise pendant la course d'alimentation précédents, parce que les forces d'interférence entre la matière 14 et l'étampe 126 d'étirage sont supérieures aux forces de frottement sur l'étampe d'étirage résistant au mouvement le long des rails 21 Lors du mouvement de retour du chariot 19 d'alimentation ou des organes de prise, la face 129 de butée vient en contact avec la face 130 arrière du chariot d'alimentation et le chariot 128 d'étampe d'étirage est entraîné positivement dans le sens opposé au sens d'alimentation en matière L'étampe 126 d'étirage est ainsi poussée
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sur la matière 14 fixe.
A cet instant, le grand piston 98 applique une grande force de serrage développée hydrauliquement sur la matière 14 à l'ensemble fixe d'organe de prise 18.
La came 49 d'étampe d'étirage a son profil qui est agencé de manière que immédiatement après que le chariot 19 et l'étampe 126 d'étirage ont atteint leurs positions rétractées ou la plus en arrière, ces éléments sont relâchés de sorte qu'il n'y a plus sensiblement de tension dans le tronçon de la matière entre les ensembles mobiles et fixes d'organe de prise 18,17 Ce relâchement, permis par le profil de came d'étirage et présenté par un déplacement légèrement vers l'avant du chariot 19 d'organes de prise suivant le sens d'alimentation élimine des sources potentiels d'erreur de longueur d'alimentation en éliminant des contraintes dont les divers leviers et autres éléments de machine peuvent subir ainsi qu'en éliminant le danger que les organes de prise 17,
18 puissent permettre à la matière de glisser lorsque ces éléments sont serrés ou déserrés et il pourrait y avoir sinon une grande chargement de traction dans la matière créée par le processus d'étirage L'ensemble 17 mobile d'organe de prise est desserré pendant cette phase de relâchement.
Après que les éléments du dispositif 13 sont relâchés par le profilé de la came 49 d'étirage comme décrit, le cylindre 67 d'étirage de l'organe de prise 17 mobile est mis sous pression par du fluide hydraulique, et simultanément, le grand cylindre de serrage ou alésage 97 est vidé par les vannes associées sous la commande du dispositif de commande maître Conformément à l'invention, lorsque le grand piston 98 de serrage des organes de prise 18 fixe commence à être relâché, la matière est maintenue de manière sûre par le petit cylindre 78 de serrage en tandem Ce n'est qu'après que le piston 66 de l'ensemble 17 d'organes de prise mobile a appliqué une force de serrage complète sur ces organes de prise que le petit piston 78 de l'ensemble 18 fixe d'organes de prise est relâché.
De ce qui précède, il va de soi que le petit piston 78 hydraulique de l'ensemble 18 fixe d'organes de prise maintient un serrage positif de la matière 14 pendant la période de temps ou le grand piston 98 est Initialement relâché Le relâchement en deux étapes des pistons 98 et 78 permet un fonctionnement de la machine à grande vitesse, car le grand piston 98, qui prend un temps relativement grand pour se vider peut être mis à l'atmosphère relativement tôt
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dans le cycle de desserrage, tandis que le petit piston 78 sert à serrer la matière et peut être rapidement vidé Ensuite, la chambre 69 d'actionnement de l'ensemble 17 d'organe de prise mobile étant activée pour serrer la matière, le dispositif est réglé pour commencer un nouveau cycle de course d'alimentation.
Les divers éléments décrits du dispositif 11 d'alimentation de matière et du dispositif 12 d'étirage du fil sont dimensionnés et configurés pour supporter les forces d'étirage développées alors que l'étampe 126 d'étirage est poussée à force sur la matière 14 lorsque le déplacement du chariot 19 est inversé. Cependant, le dispositif 12 d'alimentation peut être prévu sur la machine 10 à forger sans le dispositif 12 d'étirage du fil, qui est en option, pour réduire les coûts lorsque l'étirage de fil n'est pas nécessaire.
Lorsque l'option d'étirage de fil n'est pas prévue, le grand piston 98 et son matériel associé est omis La figure 8 illustre la configuration de la section fixe de prise fixe du dispositif d'alimentation de matière en ce cas Des références identiques sont utilisées à la figure 8 lorsque les pièces identifiées sont les mêmes que celle de la figure 7 Comme représenté, dans cette configuration, la plaque 96 d'extrémité est vissée au boîtier 81 avec une plaque 146 d'adaptation intermédiaire Outre l'omission du grand piston 98 de serrage, l'étampe 126 d'étirage et le maténel associé tel que le chariot 128 sont bien évidemment omis.
Les diverses pièces restantes fonctionnent sensiblement de la même manière qu'elle le font dans le dispositif 13 combiné décrit en relation avec les figures 1 à 7, à l'exception que l'action de relâchement de l'équivalent de la came de l'étampe d'étirage peut être omis
Le dispositif 13 d'étirage et d'alimentation en fil est organisé de telle manière que la zone au-dessus de la cassette 127 de l'étampe, l'ensemble 17 mobile d'organes de prise et l'ensemble 18 fixe d'organes de prise sont facilement accessibles.
En outre, la structure supportant ces éléments en position permet à la matière d'être rabaissée verticalement dans la zone des organes de prise 17,18 et d'être soulevée verticalement à partir de cette zone L'étampe 126 d'étirage et la cassette 127 peuvent accepter un déplacement de ce genre, une fois que la matière est insérée dans l'étampe d'étirage, en restant avec la matière et en glissant verticalement dans une poche 147 de réception sur le chariot 128 et en en sortant. Le chargement et le déchargement de matière verticalement entrant et sortant des organes de
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prise 17 et 18 peuvent entraîner dans certaines applications des économies notables en temps de changement.
L'invention décrite, en utilisant des pièces identiques dans un dispositif d'alimentation de matière avec ou sans un dispositif d'étirage de fil qui est en option, permet des économies notables de fabrication et de stockage.
Bien que l'invention ait été représentée et décrite sur un mode de réalisation particulier, ceci a été fait dans un but d'illustration et non de limitation, et des variations et modifications du mode de réalisation spécifique présenté ici et décrit apparaîtront au spécialiste, tout en restant dans l'étendue de protection de l'invention. Par conséquent, le brevet ne doit pas être limité en portée et en effet au mode de réalisation précis présenté et décrit ici, ni de tout autre manière qui ne serait pas en rapport avec la mesure dans laquelle l'invention a fait progresser la technique.