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La présente invention concerne un mécanisme destiné à étirer les tubes et plus particulièrement un mécanisme pour étirer des tubes relativement longs à parois minces, tels que ceux utilisés pour fabriquer des soufflets.
Les différents dispositifs d'étirage de tubes, qui ont été proposés jusqu'a, présent pour fabriquer des cylindres a parois minces, fonctionnent en étirant successivement le tube a travers une matrice tout. en imprimant un mouvement alternatif a un poinon plac a l'intérieur du tube. Ces dispositifs d'étirage étaient connus de telle manière qu'ils étaient fixés sur un mécanisme d'avance se déplaçant avec la même vitesse et la même amplitude que le poinçon pendant l'opération d'étirage. Les vitesses de fonctionnement du poinçon et du mécanisme d'étirage étaient relativement faibles, tandis que leur course avait une amplitude relativement
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grande.
Parmi les dispositifs de ce genre, on peut citer celui décrit et représenté dans le brevet des Etats-Unis d'Amérique n 1.925.035 du 29 août 1833.
Quand on étire ainsi un tube, un certain nombre de ner- ' vures minces apparaîssent sur sa surface extérieure; ces nervures sont espacées d'une aistance égale a la course du poin- çon et du mécanisme d'étirage. Cette inégalité de la surface du tube est la conséquence directe du mouvement intermittent exécuté par le mécanisme d'étirage pendant que le tube est tiré a travers la matrice.
Les soufflets formés avec ces tubes sont par conséquent irréguliers, en proportion de ces nervures, et les plis du soufflet, qui comprennent ces dernières, causent un manque de précision dans la dilatation et la contraction du souiflet. Il est extrêmement difficile, sinon impossible, de commanaer un taux régulier de dilatation et de contraction d'un tel soufflet, qui ne peut-convenir par conséquent quand on lui demande un fonctionnement précis.
La présente invention a donc pour but de réaliser un mécanisme d'étirage, dans lequel un tube est tiré d''un mouvement continu a travers une matrice avec une vitesse uniforme, de manière à éliminer toute inégalité dans les parois du tube obtenu. L'invention a aussi pour.but de commander les vitesses d'un poinçon et d'un mécanisme d'étirage de manière a obtenir des parois cylindriques précises.
L'invention se propose également de simplifier le mécanisme d'étirage en utilisant un nombre minimum d'éléments relativement robustes et de réaliser des mécanismes de ce genre qui puissent fonctionner avec sécurité a une vitesse relativement grande.
Dans un mode de réalisation préféré de l'invention, un poinçon hydraulique est introduit dans un tube à étirer et est animé d'un mouvement alternatif sous l'action d'une
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force hydraulique, avec une vitesse relativement élevée, pendant que le tube est tiré d'un mouvement continu à travers une matrice par un mécanisme d'étirage. La vitesse de ce mouvement alternatif est choisie de manière à atteindre une très grande valeur, et le poinçon peut aller et venir sur une distance relativement courte, de l'ordre par exemple de 1, mm a 20 mm. On prévoit un mécanisme exerçant sur le tube une traction continue, avec une force qui ne peut tirer le tube entre la matrice et le poinçon, que lorsque celui-ci est animé d'un mouvement alternatif.
D'autres buts et avantages de l'invention apparaîtront au cours de la description suivante, qui se réfère au dessin annexé, sur lequel : La fig. 1 est une vue en élévation d'un dispositif d'étirage du tube, conforme à l'invention; La fig. 2 est une vue en plan d'une partie de ce dispositif et comprend une vue schématique du système hydrau lique utilisé; La fig. 3 est une coupe partielle suivant la ligne III-III de la fig. 1; La fig. 4 est une coupe partielle suivant la ligne IV-IV de la fig. 1; Les fig. 5, 6 et 7 sont des coupes de détails; La fig. 8 représente schématiquement un système de commande destiné au dispositif représenté sur les fig.l et 2.
Si l'on se réfère plus particulièremént au dessin, on voit que le dispositif représenté comprend un bâti 10, sur lequel sont montées les différentes parties du mécanisme et qui repose sur des pieds 12. A une extrémité du bâti 10 est monté un châssis rectangulaire 14, qui porte un chariot coulissant 16 destiné à guider un mécanisme de poinçon que l'on décrira plus loin.
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Comme on le voit sur la fige 3, le chariot 16 comporte deux paires ae surfaces d'appui en biseau 18, qui coopèrent avec des rainures complémentaires 20 formées dans le châssis 14. Le chariot 16 peut coulisser d'un mouvement alternatif sur le châssis 14; les surfaces 18 et les rainures 20 empê- enent de déplacer latéralement ce chariot par inadvertance.
Plusieurs bras ae support 22 sont fixés sur le chariot 16, par exemple,par soudure, et s'étendent vers le haut à partir de celui-ci; un seul de ces bras est représenté sur le dessin; une roulette d'appui 24 est montée tournante à une extrémité de l'un ces bras. Un bloc 26 est monté rigide- ment entre les bras 22 et porte un tendeur 28 constitué par un goujon fileté 30, une tige de piston 32 filetée et un écrou 34. La tig.e de piston 32 est fixée sur un piston 36 à double action, qui peut coulisser dans un cylindre 38 fixé par un moyen approprié quelconque sur le bâti 10.
Des conduites hydrauliques souples 40, 42 relient les deux extrémités du cylinare 38 a un système d'alimentation que l'on décrira plus loin.
Le piston 36 peut recevoir son mouvement alternatif d'une source hydraulique quelconque, mais il est représenté ici comme entraîné par un moteur électrique 44 et par une pompe hydraulique 46 entraînée ,par ce moteur. Les conduites souples 40 et 42 sont reliées . une valve 48 a quatre voies et à solénoïdes. Deux solénoïdes 50, 52 sont disposés dans la valve 48 pour commander l'écoulement du fluide respecti- vement par les conduites 40, 42 jusqu'au cylindre 38.
On'suppose que le solénide 50 est excité; le fluide sous pression est fourni par,un- réservoir 54, passe dans une conauite souple 56 à travers la valve 48, puis dans la conduite souple 40 pour arriver sur la face de gauche du piston 36, comme on le voi sur la fig. 1. Le fluide se
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treavant sur la lace de droite du piston est évacué en dehors ca cylindre 38 par la confite 42, la valve 48, et une conduite 58 pour arriver dans un réservoir 60 qui peut être analogue au réservoir 54.
Quand le solénolde 52 est excité, le fluide sous pression est refoulé a travers la conduite 56, la valve 58 et la conduite 42 jusque la face de droite du piston 36; le fluide se trouvant ae 1'autre côté du piston est éjecté en dehors du cylinare 38 par la conauite 40, la valve 48, la conduite 58 et arrive dans le réservoir 60.
Comme on le voit, le mouvement alternatif du piston 36 sert a entraîner d' un mouvement correspondant le chariot 16 et le bloc 26. Tendant le mouvement, alternatif du bloc 26, la roulette 24 peut actionner deux interrupteurs 25, 27, montés sur le bâti 10, dens un but qui sera expliqué plus loin. Comme on le voit sur- la fig. 8, l'interrupteur 25 comporte deux contacts 25a, 25b, qui sont actionnés alternativement pendant que la roulette 24 se déplace entre les limites de sa course. L'interrupteur 27 comporte un bras de contact pivotant 27a, qui peut former pont alternativement sur deux paire, de contacts 27b, 27c. Une came 21 est montée sur le bloc 26 de manière à se déplacer avec celui-ci elle peut buter contre un interrupteur 23 et le fermer quand le bloc 26 se trouve dE.ns sa position la plus avancée.
Un renvoi de sonnette 64, monté pivotant en 62 sur le bloc 26, comporte une roulette 66 à une extrémité et une tige-poinçon 68 a son autre extrémité. La roulette 66 peut se déplacer sur une plaque 70 fixée sur un bras 72 monté pivotant sur le bâti 10.
Un dispositif est prévu pour déplacer verticalement la slaque 70 et par conséquent la roulette 66 ; ce dispositif consiste en un vérin hydrauliqe àdoubl action désigné dans son ensemble par le nombre de référence 74. Une tige
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76 actionnée par le vérin 74 est reliée a une extremite du bras 72, de manière a faire pivoter celui-ci dans un plan vertical. Cn comprend que le mouvement de la plaque 70 et le pivotement correspondent du renvoi de sonnette 34 font tourner IL tige-poinçon 68 dans un plan vertical.
Le mouvement du vérin 74, jusqu'a sa position hv.ute et jusqu'a sa position basse, est commandé par un système hydraulique et par une valve a quatre voies 75, qui est commandée par deux solénoïdes 77, 79 Un interrupteur 81 monté sur le bâti 10 peut être fermé, quand le vérin a abaissé la tige 72 jusqu'a une position représentée en pointillé sur la fig. 1, et cet interrupteur reste fermé quand le poinçon 68 et la plaque 70 se trouvent dans cette position basse.
Une traverse 82 est montée dans la partie centrale du bâti 10; elle sert a supporter une matrice désignée dans con ensemble par le nombre de référence 84; cette matrice peut être construite d'une manière appropriée quelconque et possède des dimensions correspondant au diamètre au tube a étirer. Comme on le voit sur la fig. 5, la matrice 84 est montée sur la traverse 82 par un moyen approprié quelconque, par exemple au moyen d'une plaque de retenue 86, de boulons 88 et d'un bloc rectiligne 90 fixé sur le bras 82.
Entre la traverse 82 et une traverse analogue 92, sont montés deux cylindres 94, 96, dans chacun desquels peut coulisser un piston a double action. On voit en pointillé sur la fig. 2 un tel piston 98, qui est relié a une tige de piston 100, s'étendant à travers le bras transversal 82 et au-delà de celui-ci. Une tige analogue 102 sort du cylindre 94; les deux tiges 100, 102 sont réunies a leurs extrémités par une plaque de tête d'étirage 104. Une conduite hydraulique souple 106 relie les extrémités de gauche des cylindres 94. 96 a un côté d'une valve 108 a solénoldes et a quatre voies, tandis
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qu'une condaite souple 110 relie les extrémités de droite des cylindres 94, 93, a l'autre côté de la valve 108.
Le système hydraulique d'alimentation des cylindres 94, 96 est identique a celui du cylindre 38; il comprend un mo- teur électrique 112, une pompe hydraulique 114 eL des condui- tes 116, 116 reliant la valve 108 de la manière habituelle au réservoir d'alimentation et au réservoir de récupération 120. Deux solénoîdes 122, 124 actionnent la valve à quatre voles 108 pour communiquer un mouvement alternatif aux tiges de piston 100, 102 et à la plaque 104.
La plaque 104 est fixée sur une tête d'étirage 126, qui comprend deux plaques 128, dont l'une est représentée sur la fig. 1, des galets 130 tourillonnant entre les plaques @ et enfin un dispositif de serrage à mâchoires destiné à serrer le tube et désigné dans son ensemble par le nombre de référence 132. Les galets 130 peuvent rouler sur deux. rails 133 s'étendant suivant la longueur du bâti 10, de ma- nière à supporter et a guider la tête d'étirage 126 pendant l'étirage d'un tube. Une plaque à came 134 est fixée sur la partie supérieure de la plaque 104 et s'applique sur un galet 136 monté sur le bâti 10. Ce galet 136 actionne un interrupteur 138, quand il se déplace sur la partie haute de la came 134, dans un but qui sera défini plus loin.
Un interrupteur analogue 140, monté sur le bâti 10, est action- né par le mouvement d'un galet 142 susceptible de se dépla- cer sur une came 143 (fig.6) faisant partie du dispositif 132 ae serrage du tube.
Le dispositif 132 de serrage au tube peut être cons- truit d'une manière appropriée quelconque; ici, (fig. 6), il comprend un mandrin 144, dans lequel se trouvent plusieurs leviers articules 146 comportant'des extrémités arrondies 148; ces extrémités sont engagées dans des orifices formés
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dans plusieurs mâchoires de serrage 150, qui peuvent ellesmêmes aller et venir dans des orifices appropriés du mandrir.
144. les mâchoires de serrage 155 penvent serrer la tige 152 d'une tête de poinçon 154 susceptible d'être introduite de la manière habituelle dans l'extrémité de la tigepoinçon 68.
Les leviers 146 sont montés pivotants sur un support 156 s'étendant à partir de la tête d'étirage 126. Un axe 160 traversant le mandrin 144 passe dans une fente 162 formée longitudinalement dans le support 156. Celui-ci comporte également un alésage axial 164, dans lequel peut coulisser une tige de piston 166 fixée sur l'axe 160, comme on le voit sur la fig. 6. L'extrémité arrière de la tige de piston 166 est fixée sur un piston 168 susceptible d'aller et venir dans un cylindre 170, qui est monté sur la tête d'étirage 126 et peut se déplacer avec celle-ci. pour actionner les leviers 146, et communiquer un mouvement alternatif aux mâchoires de serrage 150, chaque levier 146 comporte vers l'intérieur un prolongement incliné 172 coopérant avec plusieurs cames 174 formées dans le mandrin 144.
Les cames 174 peuvent se aéplacer sur les parties horizontales des leviers 146, quand la tige de piston 166 est entraînée vers la gauche (en regardant la fig. 6), de manière a faire passer les mâchoires 150 à une position de serrage; ces cames 174 se déplacent sur les surfaces inclinées des prolongements 172, quand la tige
166 est entraînée vers la droite, de manière à faire pivoter les leviers 146 et a éloigner les mâchoires de serrage 150 de la tête de poinçon 154.
On comprend que la tête d'étirage 126 et le dispositif de serrage 132 peuvent être déplacés le long du bâti 10 de manière à étirer un tube à travers la matrice fixe 84.
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@@me on l'a indiqué précédemment, la plaque 104 de la tête ''étirage est reliée aux tiges de piston 100 et 102 et le @ouvement des pistons 98 entraîne d'une manière correspondante la plaque 104 et la tête d'étirage 126 de manière à étirer un tube a travers la matrice 84.
Pour compléter le système hydraulique du mécanisme d'étirage, deux conduites souples hydrauliques 180 sont branchées a l'intérieur du cylindre 170, ae chaque côté du piston 168, et serveur a diriger le fluide sous pression pour ouvrir de la manière habituelle le dispositif de serrage 132.
Les conduites 180 sont reçues sur une bobine 182 fixée sur le bâti 10 et sont reliées à un système hydraulique (non représenté) analogue à celui du cylindre 38. Ce système hydraulique est commandé par une valve 184 solénoides et à quatre voies; cette valve comporte deux solénoïdes 186, 188 servant a commander le sens du mouvement du piston 168.
Comme on l'a déjà indiqué, les mâchoires150 de serrage du tube peuvent serrer la tète de poinçon 154, qui consiste en un bouchon amovible introduit dans l'extrémité de la tigepoinçon 68. Une cavité conique 190 formée dans l'extrémité de la tige 68 reçoit en son centre l'extrémité conique 192 de la tête 154. Le tube 200 a étirer comporte une lèvre rabattue 202; on le fait glisser par dessus la tige-poinçon 68 et la tête 154, comme on le sur la fig. 5.
Pendant l'opération d'étirage, la tête 154 s'applique contre la lèvre 202 et tire le tube 200 suivant son axe à partir de la tige-poingon 68.
Le mouvement de la tête d'étirage 126.vers l'arrière est commandé par un interrupteur 204, monté sur le bâti 10, près de la bobine 182 comme on le voit sur la fig. 1.
Le bras de cet interrupteur porte un galet 206, sur lequel peut s'appliquer l'extrémité d'une tige 208 montée coulis-
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sante sur le bâti 10 par un moyen app@@prié quelconque; cette tige est sollicitée vers la gauche par un ressort 210, qui est maintenu en tension entre l'extrémité de la tige 206 et le bâti 10. Une butée 212, fixée sur la tête d'étirage 126 et mobile avec celle-ci,peut rencontrer une butée réglable 214 de la tige 208, pendant le déplacement de la tête d'étirage 126 vers l'avant. Quand cette rencontre se produit la tige 208 est entraînée par la butée 212, jusqu'a ce que son extrémité vienne s'appliquer contre le galet 206 ; ace moment, un circuit, que l'on définira plus loin, perd son excitation et met fin au mouvement de la tête d'étirage 126 vers l'avant.
La tige-poinçon 68 peut être construite d'une manière désirée quelconque; elle peut comporter un dispositif de graissage ppur lubrifier son contact avec la surface interne du tube adirer; cette tige est cependant de préférence du type décrit dans le brevet des Etats-Unis d'Amérique n 1.925.035 précité .
Le dispositif de commande de la tige-poinçon 68, que l'on va décrire ci-après, est conçu pour communiquer a cette tige un mouvement alternatif relativement rapide, mais pour maintenir ce mouvement sur une distance relativement rédui- te, de l'ordre par exemple de lcm. D'autre part, le mécanis- me d'étirage est conçu pour tirer d'un mouvement continu le tube a travers la matrice 84, à une vitesse constante, avec une certaine force, qui est insuffisante pour faire passer le tube entre la matrice 84 et la tige-poinçon 68 quand celle-ci est immobile. Les vitesses relatives du poinçon 68 et du mécanisme d'étirage sont telles que le poinçon va et vient un grand nombre de fois entre les limi- tes de sa course, avant que le mécanisme d'étirage puisse se déplacer d'une distance correspondant à la longueur de la course du poinçon.
Sur la fig. 5, la tête 69 de la tige-poinçon 68
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est représentée dans sa position la plus avancée par rapport a la matrice 84, et il faut remarquer que la surface arrière 220 de la tête 69 se trouve légèrement à gauche de l'axe X-X de la matrice 84. On a représenté sur la fig. 7 la position opposée de la tête-69, c'est à dire sa position arrière extrême. On voit d'après ceci que la tête 69 peut aller et venir sur une distance inférieure à sa longueur.
On suppose que la tête de poinçon 69 et le tube 200 se trouvent dans la matrice 84 et que les mécanismes respectifs de commande sont en fonctionnement; la tête de poinçon 69 se trouve donc entraînée vers l'avant, c'est à dire vers la droite (en regardant les fig. 5 et 7), en produisant ainsi un amincissement des parois du tube 200 pendant que celui-ci est étiré à travers la matrice 84. Quand la tête 69 atteint sa position avant, elle est entraînée immédiatement dans le sens inverse avec une vitesse voulue pour empêcher l'arrêt ou le ralentissement du mécanisme d'étirage; elle est ainsiremise en position pour exécuter un autre cycle.
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Pour comprendre le fonctionnement du dispositif d'étirage conforme à l'invention;, on se référera à la fig. 8, qui montre un circuit complet de commande des différents systèmes hydrauliques et des différents interrupteurs décrits plus haut.
Un panneau de commande 230 comprend les différents
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interrupteurs de comrwnde oerr2ttant d'alimenter en énergie électrique les circuits et les moteurs que l'on va décrire maintenant.
Le panneau 230 comporte un interrupteur principal 232, qui sert a alimenter les autres parties du panneau 230 a partir d'une source de courant électrique Ll, L2.
Un interrupteur 234 du panneau 230 sert a exciter la valve
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L'interrupteur 234 de la tige-poinçon est de préférence du type rotatif; il comporte un bouton rotatif 234a à deux
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positions et deux boutons-poussoirs 2xb et 23':".Q.; ces der- niers sont accouplés mécaniquement de manière que, quand l'un a'eux est abaissé pour fermer un circuit, l'autre est relevé pour ouvrir un autre circuit. Le bouton,rotatif
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23ztp. se trouvant dans la position représentée sur fig. dy le courant électrique peut passer a travers ce bouton et
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les deux boutons-poussoirs 234bu 234ç sont ouverts.
Si on fait tourner le bouton 234a dans le sens inverse de celui des aiguilles d'une montre,jusqu'a la position représentée en pointillé, le circuit passant par ce bouton s'ouvre, tandis que les boutons-poussoirs 234b, 234c restent ouverts. Les interrupteurs 236, 238 sont d'une construction identique a celle de l'interrupteur 234 et fonctionnent comme celui-ci; ils comprennent respectivement
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des boutons rotatifs 23a¯y 238a, des boutons-poussoirs 236b, 236c et 23b¯y 233ç .
Si l'on suppose que les éléments principaux de commande occupent les positions représentées sur la fig. 8,
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a lexcention de la tige-poinçon 68 qui se trouve dans sa position la plus basse,on ferme l'interrupteur principal
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232 et des circuits (non représentés) excitent Icu u 4.4irs 44 et 112. On appuie sur l'interrupteur 240 pour exciter le solénoide 77 de la valve .75 a quatre voies, en vue de
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soulever la tige-poinçon 68 6 jusq.w'à a position.Haute.
Le circuit intervenant dans ce fonctionnement passe par Ll, l'interrupteur'232, la ligne-d'alimentation 250, la ligne:
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252, l'interrupteur z0, les lignes 254 et 256, 1.'eintei,i,Lip-teur de relais àÀ58 normalement fermé, la ligne 260, le so16no!de 77, la ligne commune 262, la ligne 264, le bouton rotatif interrupteur 234a et la ligne d'alimenta.,ion 266.. La tige-poinçon 68 se trouvant dans sa position haute
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on fait glisser le tube 200 par-dessus ette tige de la manière habituelle. On place l'interrupteur 240 en positio d'ouverture et l'interrupteur 242 en position de- fermeture, comme on le voit sur la fig. 8, de manière à abaisser le poinçon 68.
Le circuit intervenant dans ce fonctionnement passe par la line d'alimentation 266, l'interrupteur 234a, la ligne 264, la ligne commune 262, le solénoïde 79, la ligne 268, l'interrupteur 242, la ligne 270, l'interrupteur
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usa, la ligne 272, les contacts 27n, la ligne 27, les contacts zo4à, les lignes 276, 278, et enfin la lgne d'a- limentation 250. Ce circuit fermé produit l'excitation du solénoide 79, qui admet du fluide sous pression dans le vérin 74 pour abaisser le poinçon 68. Quand celui-ci descend, la plaque 70 ferme l'interrupteur 81, de manière
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à appliquer un potentiel a un interrupteur de dé:m.arrage de cycle 280, en connectant celui-ci en parallèle avec un circuit pe.-isant par le soléno1de 50, l'interrupteur 27 et les lignes d'alimentation 250, 266.
On ferme alcrs l'interrupteur 280 de démarrage de cycle et on appuie sur l'interrupteur 234b de manière a le fermer et a ouvrir l'interrupteur 234c pour exciter
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le solénoide 50 par l'intermédiaire d'un circuit passant par la ligne d'alimentation 266, l'interrupteur 234a, la ligne 264, le solénoïde 50, les lignes 282 et 284, l'inter- rupteur 234b et la ligne d'alimentation 250.
L'excitation du solénoïde 50 permet au fluide sous pression ae s'écouler dans le cylindre 38, sur la face de gauche au piston 36, et d'entrainer celui-ci vers la droite (en regardant la fig. 8); puisque le poinçon 68 est actionné directement par. le piston 36, ce poinçon et le tube 200 sont entraînés dans la matrice 84.
Quand le poinçon 68 commence a se déplacer vers l'avant, la roulette 24 se dégage de l'interrupteur 25a, en ouvrant ainsi un circuit passant par l'interrupteur 242 a'abaissement du poinçon, tandis qu'elle s'applique sur l'interrupteur 25b, pour le fermer, la fermeture de l'interrupteur 25bexcite le relais 250b, qui ouvie le circuit de l'interrupteur 240 de soulèvement du poinçon, pour empêcher le poinçon 68 d'être soulevé pendant qu'il se trouve dans sa position avant
Pendant que la tête de poinçon 65 et l'extrémité avant du tube 200 se déplacent a @ravers la matrice 84, la roulette 24 agit sur l'interruptear 27 pour compléter un circuit, par l'intermédiaire de l'interrupteur 138 normalement ouvert, et pour exciter le solénoide 186 de la valve 184.
Ce circuit passe par la ligne d'alimentation 266, l'interrupteur de mandrin 238a, la ligne 285, la valve a solénoides 184, la ligne 283, l'interrupteur 138 normalement ouvert, la ligne 288, les contacts 27c, la ligne 290, la ligne 276, la ligne 278, et enfin la ligne d'alimentation 250. L'excitation au solénoide 186 permet au fluide sous pression de s'écouler dans le cylindre 170 pour pousser le piston 168 vers la gauche, en fermant ains le dispositif de serrage 132 sur la tête de poinçon 154.
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Fendant une-' opération des serrage des mâchoires le mandnin 144 se déplace vers- la gauche (en regardant les fig. 6 et 8) et fait passer l'interrupteur 140 en position de fermeture pour fournir de l'énergie électrique au solénol- de 122 de la valve 108, en vue d'actionner le mécanisme d'étirage; le circuit correspondant passe par la ligne d'alimentation 266, l'interrupteur 236a de la tête d'étirage, la ligne 292, le solénoïde 122, les lignes 294 et 296, l'interrupteur 140, la ligne 288, l'interrupteur 27c, les lignes 290, 276 et 278, et enfin la ligne d'alimentation 250.
L'excitation du solénoïde 122 permet au fluide sous pression de pénétrer dans l'extrémité de gauche des cylindres 94, 96 et de pousser vers la droite les tiges de piston 100, 102, de manière a entraîner vers la droite la tête d'étirage 126. De cette manière, le tube 200 est étiré lentement à travers la matrice 84, comme on l'a expliqué précédemment.
En même temps, le solénoïde "inverse" 52 de la valve 48 de commande au poinçon est excité par l'action de la roulette 24 sur l'interrupteur 27. Le circuit d'excitation passe par la ligne d'alimentation 266, l'interrupteur de poinon 23a, les lignes 264, 298, le solénoïde 52, les lignes 300, 302, l'interrupteur 27c, les lignes 290, 276, 278, et-enfin la ligne d'alimentation 250. L'excitation du solénoïde 52 inverse le mouvement du piston 36, qui inverse lui-même le sens du mouvement du poinçon 68. Quand celui-ci commence sa coures vers l'arrière, l'interrupteur 27 est actionné de nouveau pour fermer le contact 27b, qui excite le solénolde 50 en vue de communiquer au poinçon 68 un mouvent vers l'avant.
On comprend que le poingon 68 continue a. osciller automatiquement, entre sa position avant et sa position arrière, sous le contrôle de l'interrupteur 27 et dela
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roulette 24. La course du poinçon 68 est égaie a la distance maxime entre la roulette 24 et l'interrupteur 27; en modifiant cette distance, on peut donc régler la course du poinçon. pendant que le poinçon 68 oscille, la tête d'étirage 126 continue a étirer le tube à travers la matrice et la tête 69.
A la fin de l'opération d'étirage, quand la tête' d'étirage 126 se rapproche de'avant du bâti 10, la butée 212 s'applique contre la butée réglable 214, de manière a entraîner celle-ci avec elle jusqu'à ce que l'extrémité de la tige 208 vienne ouvrir l'interrupteur 204. L'interrupteur 204 passant ainsi dans la position inverse, les contacts 204a s'ouvrent et les contacts 204b se ferment; simultanément, l'ouverture des contacts 27b et du circuit passant par le solénoide "inverse" 52 provoquent l'inversion du mouvement du poinçon 68 et du bloc 26, qui se déplacent vers l'arrière, c'est à dire vers la gauche en regardant la fig. 8.
Quand le bloc 26 se trouve dans cette position arrière, la came 21 est dégagée de l'interrupteur 23 et le circuit du solénoïde 50 est ouvert. En même temps, la fermeture des contacts 204b ferme le circuit du solénolde 188 de la valve
184, de manière à exciter celui-ci et à ouvrir le mécanisme de serrage 132 pour libérer le tube 200, que l'on peut alors retirer du dispositif. Simultanément le solénolde 124 de la valve 108 de la tête d'étirage est excité pour ramener la tête d'étirage 126 a sa position de départ.
Pendant sa course de retour, la butée 212 quitte la butée 214 et l'interrupteur 204 passe de nouveau en position inverse 'pour fermer les contacts 204a et ouvrir les contacts 204b,
Pendant la course arrière au poinçon 68, la roulette 24 au bloc 26 ouvre l'interrupteur 25b de manière à couper
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>,c e' 1"t' ,,;,. n' 1" b .0 10 n cle . 1" , ,. l i<-:=ai <,,e izà , -cirCLut b:bin \;; 0.0;;, relc.3p 25c.. enrnl:..e fÈl""-étLÎI'± û.4 circuit du &olénotae 7? (le soulèv.2UlCDL dl'p0inon; on excise ce Eol:n01a.c en feront, l'interrupteur 2A=5, eé le t.7.C,?JC ? tÎT' est ainsi prêt ce nouve8U pvur une utr8 0rtiGn c1'ltiraic .
Le fonctionnent cex-i t Ci-C.8SSUS est cùr:nna autoinatiq1<=;ic<=i, :7:.&,i8 il est bien entendu, que chacune des opération. styles précédente, peut être E'Xc:C,li,-t a ll main; le fonctionnement tout entier oeuf m?>IT8 être c0::JEandé mani. e l 1 er<=e nt . Ccflnn;e on l'a e J<:p 1 1 q a-# prr-ct;c1 r:-:'cnt, chacun des boutons rotatifs 234a. 236ê. et 26gJà comporte de1==< boutonspon.soir. a,ccouplés rn'#c.ni:;,ueWvnt. leu bOL1tODf -pOUf soirs [-"ont diEl'0:S8f ie r..anirc qi..\e 1';.bi,-issement ce l'un Ci'eL1X :fGT':: -G' an cirenit, en rP.1"W 1=es:,>s .jac le NJü.r.±:VCIt?t,11- de l'a.ll-tre ouvre con c:1.icaiL co.rendnt.
'poUI' comnuoncer 1 nà 1. v 1. a , .e 1 1 e;n e nt, a 1. in les di1"férents zoléno1oef, il suÍli t û-'2IJyer cL<1> le b,.ukan-nc-unsojr Cùx'rc¯,-r;mà^.nt ;:.U circuit d4.r;' i.:que:1 ; re trouve le 8ùlf.nû1c8 défi 1';. lé r exemple, l' 9 nter:'up l,! ûi' 2.4 du poinçon com:1I'end le oouton l'otf..tÍ.1. 2;"'-:. ,ycnt4¯rt-courr le buùtùn-pOLtU30ir "a.V: nt" 2,.:>--;12 po "oÙ" d' rWr cE le poison ï.u ver, 1...V: Â.t.y et le b:Jllton-pOUER0ir lIin7E::C'f',?fI ?Il.4c POU1' CO.M==,l tei> lE cirent 0";' fol{noÍo.e "inverse" 52 et pour r!";ener le ¯ùân5:n 61 a cC;, fJ0f¯Í ",LYs -J.-iere. our i' l, y. c - . l' 1.. -i 1..oion ,;*= t- iéz v 4: !, - i V Tl #.vi,nt, on ..pi. 2.....J: 1-= .Di-î1-n-p<-,:iiwir ..;j.2, sn. excluant u.inbi le 201!::',ül:C';' ,..Jv 13,:, ""n 2J.;'0.1.'i;:"::',:1ï:, 1> ==zciE.z.Livn ,:,;1 Lo16no'ld(; 51.
Dé -e.-e, y 1- 7 i Tß' .. ï..;.' . i., , n i : .,... '..J1..J r ¯ c 1. ;u. zie .. . L O i' ir. , e e t 1 . ' ' ....r>¯ ±- ,'1= ,-5Tin c=-;;a#".mni#1+, -r::: t % 7.V'---'-çp-: .....J -L 1hJ¯'- --.-#--"----" - -'.J'J:/'*'V ..... bo..##po2oirs =.. o.iu: ,-,-,'. U 2?g±b, ....Gld.., à<## .;O"lJOnS- 'iu 'C'-ù1"'. 1t:'n'tj-.-.-:--tJ "---:n .-3f' --.1 --- .rOa ":¯ J t. ;iß w: s r L ù : :. C i. -r 0 ,.It. , 1-i-,,, ,=a,.
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±<s#:u un l'e. 1 n::.'.....'su i'tsCc..c¯: ¯G.'14y les irn.r-ut.urs du .oiénoîccc ou bJ:;lqns 1.<=.t.iLif'z 3-ls,, 2CJ o#1 2,5,la or ±1>fIÇC-É2 aux . F.?'2t.:,: ;r.'âI . :'21.w..",:,.:.Jl Ll, L2 u-.nu ils -je trc.L.- -4n;, dans la position 1.=,pié ,ntéc &ui' 1& '.. . n faisant tourner ces inerrptÈr d=-;1- le wn: inVsx'e oec celui des 8i#i-ilLes <' aDe n!,r, on Junre .e circuit correspondant aboatisePt, cL la source d.'Jnerg'ie'; de manière empêcher la coi==1anàeàariic<lière ainsi affectée.
Fo'jr coi!naac.er la main le poinçon 63 ver? :'a.v.r.ty on doit laisser T'inter-
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rupteur rotatif dans la position indiquée et on doit tourner dans le sens inverse ce- celui des aiguilles d'une
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montre les bombons rotatifs 236a et 23ai de manière ouvrir respectivement les circuits des valves lûr3 et 1Fy avant ' d ' a ! p uô< e 1 sur le b o ato n-p o a x s o 1 1". s 2-',,b. On opère d'une manière analogue quand on veut comniander la valve 103.
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Dans ce cas, on appuie sur le bouton-poussoir désire et on
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fait tourner les bouLons rotatifs 234a. et 23Sa, dans le sens inverse ce celui des aiguilles d'une montre.
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on a décrit en détail un mode.de réalisation particu-
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lier représenté sur le dessin, mais il est bien entendu que l'invention n'es.t pas limitée a ce mode de réalisationet la'on peut réaliser celui-ci sous un grand notnbre de iozmes inécaniqueE; d'autres moes de réalisation inclus
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dans le domaine de l'invention viendront d'autre part faci-
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leinent a l'esprit c.es tecaniciens.
R E V E NI D 1 C 13, i 1 0 lui S
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1. Un dispositif d'étirage de tubes comprenant en
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cocibinaison une matrice,, un poingon animé d'un mouvement alternatif et capable de pouceer le tube a étirer- à travers la matrice, un dispositif d'entraîner'ient alternatif pour
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faire aller et venir le poinçon a des intervalles de
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':'¯...,':'" .!.'C:c;<.11i8rE', ;t un canÜ..le d'étirage e , a s (-- e p i, ib 1 cJtx.w relié a l'extrémité avant c.u -LLibç ct, e tiiei ce. ai--ci d'.1n mouvement continu z. travers 1 ari, c, .
2. Un dispositif d'étirage selon la revendication 1, caractérisé par lé fait que le mécanisme d'étirage peut tirer continuellement le tube a travers la matrice pendant le mouvement alternatif du poinçon.
3. Un dispositif' d'étirage selon la revendication 1. ou 2, caractérisé par le fait que le poinçon peut être introduit dans le tube a étirer et que le dispositif d'entraînement
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alternatif compi-eno un =a.=uier moyens pour déplacer le poin- çon dans l'un ou l'autre sens, et un deuxième moyen pour exciter périodiquement le premier moyen en vue de faire aller et venir le poingon a des @@tervalles de temps réguliers.
4. Un dispositif d'étirage selon la revendication 3, caractérisé par le fait que le poingon peut être entraîné dans un premier sens en vue de pousser le tube à travers la matrice,et que le mécanisme d'étirage peut être actionné dans ce même sens pour tirer le tube à travers la matrice quand le poinon est entraîné dans ce sens, ce mécanisme tirant encore le tube a travers la matrice quand le poinçon est entraîné dans l'autre sens.
5. Un dispositifd'étirage selon la revendication 4, caractérisé par le fait que le second moyen du dispositif d'entraînement alternatif du poinçon comprend un interrupteur, et qu'un dispositif est prévu ,pour entraîner le méca- nisme d'étirage dans le dit sens d'étirage du tube, un interrupteur excitant le dit dispositif d'entraînement du mécanisme d'étirage quanc le poinçon s'est déplacé dans le dit sens.
6. Un dispositif d'étirage selon la revendication 5,
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cracL,sri,-12-- par le fait qu'un interrupteur est prévu pour supprimer l'excitation du dispositif d'entraînement du
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mécanisme d'étirage, quand ce dispositif a terminé une opération d'étirage.
7. Un dispositif' pour étirer un tube sensiblement comme on l'a expliqué et comme le montre le dessin annexé.