FR3137028A1 - Siège suspendu - Google Patents

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FR3137028A1
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Sébastien Seille
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Faurecia Sieges dAutomobile SAS
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Faurecia Sieges dAutomobile SAS
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    • B60N2/50Seat suspension devices
    • B60N2/502Seat suspension devices attached to the base of the seat
    • BPERFORMING OPERATIONS; TRANSPORTING
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Abstract

La présente divulgation est relative à un siège suspendu (1) pour véhicule comprenant :- une assise (2) comprenant un châssis d’assise (20),- un système de suspension (5) destiné à être intercalé entre le châssis d’assise (2) et un plancher d’un véhicule, ledit système comportant un châssis supérieur (50) et un châssis inférieur (51) entre lesquels est interposé un mécanisme comportant un organe de suspension élastique (52-)- un système de limitation du débattement de l’assise par rapport au plancher comportant au moins un lien souple (6, 7), reliant le châssis supérieur (50) au châssis inférieur(51) configuré pour se tendre lors d’un basculement du châssis d’assise (20) par rapport au plancher, et ainsi du châssis supérieur (50) par rapport au châssis inférieur (51), en limitant l’amplitude du basculement lors d’un crash et déterminant la fin de course haute du siège, avec amortissement par un organe élastomère (OE). Figure de l’abrégé : Figure 3

Description

Siège suspendu
La présente divulgation est relative à un siège suspendu, et concerne encore un procédé de fabrication d’un tel siège.
Dans la présente divulgation, et de manière connue un siège de véhicule peut comporter typiquement :
- une assise, qui s’étend suivant une direction X, depuis un bord avant et jusqu’à un bord arrière, et s’étend transversalement suivant une direction Y, depuis un premier bord latéral jusqu’à un deuxième bord latéral,
- un dossier qui s’étend en hauteur depuis le bord arrière de l’assise, suivant une direction Z, verticale, ou inclinée typiquement vers arrière, depuis un bord inférieur jusqu’à un bord supérieur du dossier, et s’étend transversalement suivant une direction Y, depuis un premier bord latéral, jusqu’à un deuxième bord latéral.
Le dossier peut être inclinable par rapport à l’assise, typiquement par un axe de pivot entre l’armature de dossier et l’armature d’assise, s’étendant suivant la direction transversale Y.
La position du siège dans le véhicule peut être typiquement réglée, suivant la direction X, par l’intermédiaire d’un système de glissière, typiquement avec une première glissière et une deuxième glissière reliant en parallèle l’assise au plancher du véhicule.
Ainsi, la ou chacune des deux glissières comporte deux parties de glissières avec une première partie de glissière solidaire du plancher et une partie de glissière solidaire de l’assise du siège, configurées pour coulisser l’une par rapport à l’autre suivant la direction X.
La présente divulgation s’intéresse toutefois plus particulièrement aux sièges suspendus, à savoir un siège qui comprend un système de suspension intercalé entre les glissières et le châssis d’assise, et tel qu’enseigné par exemple par US 3.957.304 B1 ou encore US 10,155,461 B2.
Un tel système de suspension comprend un châssis supérieur solidarisé au châssis d’assise et un châssis inférieur, typiquement solidarisé aux glissières, et un mécanisme comportant un organe de suspension élastique, par exemple un système de bras en ciseaux et un ressort métallique comme illustrés dans US 3.957.304 B1 ou encore du type pneumatique, assurant l’amortissement de la partie suspendue, solidaire du châssis supérieur par rapport à la partie non suspendue solidaire du châssis inférieur ancrée au plancher.
Un système de réhausse, autorisant le réglage de la hauteur du siège, peut être prévu entre le châssis d’assise, et le châssis supérieur du système de suspension. Comme visible aux figures de US 3.957.304 B1, le système de réhausse peut comprendre des biellettes reliant le châssis supérieur et le châssis d’assise. Les biellettes sont d’inclinaison réglage par rapport au châssis supérieur, pour permettre divers écartements entre le châssis d’assise et le châssis supérieur.
Le système de suspension du siège est avantageusement un équipement de confort qui permet de filtrer les irrégularités de la route en permettant un débattement de l’assise par rapport au plancher du véhicule, en particulier suivant une direction verticale.
Le mécanisme du système de suspension est toutefois à l’origine d’un basculement de l’assise par rapport aux glissières, par exemple à l’origine d’un brusque basculement de l’assise vers l’avant en cas d’une forte décélération. En cas de choc frontal, la brusque décélération peut être à l’origine d’une casse du mécanisme du système de suspension, voire à l’origine d’un risque de sous- marinage de l’occupant, à savoir que l’occupant peut glisser sous la portion pelvienne de la ceinture de sécurité lors du choc, en raison du basculement.
Il est connu par exemple du document US 3.957304 un tel siège suspendu qui comporte deux liens souples, disposés respectivement des deux côtés du siège, reliant le châssis inférieur par une première extrémité du câble, au châssis d’assise, voire le châssis supérieur par une deuxième extrémité du câble solidaire d’un point d’ancrage de la ceinture de sécurité.
En position de repos du siège, en particulier lorsque le siège est non chargé, ces liens souples, tels que des câbles, présentent un état non tendu. Dans le cas d’un basculement de l’assise, tel que rencontré lors d’un choc frontal, les câbles se tendent en limitant le basculement du siège vers l’avant. Les efforts du choc transitent par ces câbles, directement depuis les points d’ancrage de la ceinture de sécurité, de chaque côté du siège jusqu’au châssis inférieur, en soulageant le mécanisme de la suspension, évitant la casse du système de suspension.
Selon les constatations de la présente Demanderesse, un tel état de la technique peut encore être amélioré, en particulier s’agissant de la limitation des risques de sous-marinage de l’occupant du siège.
Résumé
La présente divulgation vient améliorer la situation.
Il est proposé un siège suspendu pour véhicule comprenant :
- une assise comprenant un châssis d’assise ,
- un système de suspension destiné à être intercalé entre le châssis d’assise et un plancher d’un véhicule, ledit système comportant un châssis supérieur et un châssis inférieur entre lesquels est interposé un mécanisme comportant un organe de suspension élastique , ledit système de suspension étant destiné à être fixé par son châssis inférieur au plancher, ledit système de suspension étant configuré pour autoriser un déplacement vertical du châssis supérieur par rapport au châssis inférieur, une force de rappel de organe de suspension élastique étant configurée pour déplacer le châssis supérieur par rapport au châssis inférieur jusqu’à une position haute du châssis supérieur, dans une position de repos du siège,
- un système de limitation du débattement de l’assise par rapport au plancher comportant au moins un lien souple, reliant le châssis supérieur au châssis inférieur configuré pour se tendre lors d’un basculement du châssis d’assise par rapport au plancher, et ainsi du châssis supérieur par rapport au châssis inférieur , en limitant l’amplitude du basculement lors d’un crash.
Selon la présente divulgation, ledit au moins un lien souple est dimensionné et configuré pour se tendre dans la position de repos du siège pour assurer un arrêt du châssis supérieur par rapport au châssis inférieur, lorsque la force de rappel de l’organe de suspension élastique déplace le châssis supérieur par rapport au châssis inférieur vers le haut, ledit au moins un lien souple étant couplé à un organe élastomère configuré pour assurer un amortissement en une fin de course haute du châssis supérieur par rapport au châssis inférieur, ladite fin de course haute déterminée par ledit mise en tension dudit lien souple.
Les caractéristiques exposées dans les paragraphes suivants peuvent, optionnellement, être mises en œuvre. Elles peuvent être mises en œuvre indépendamment les unes des autres ou en combinaison les unes avec les autres :
Selon un mode de réalisation, ledit au moins un lien souple est configuré pour être mis en tension lors du basculement et/ou lors de l’arrêt du châssis supérieur en ladite fin de course haute, avec mise en tension de deux brins dudit au moins un lien souple comprenant au moins un premier brin et au moins un deuxième brin, respectivement agencés en parallèle entre le châssis supérieur et le châssis inférieur.
Selon un mode de réalisation, ledit au moins un lien souple comprend une portion intermédiaire dudit au moins lien souple entre ledit au moins premier brin et ledit au moins un deuxième brin, et dans lequel, ledit organe élastomère est intercalé entre le châssis supérieur et la portion intermédiaire dudit au moins un lien souple selon une première possibilité, ou encore intercalé entre le châssis inférieur ou une partie solidaire du châssis inférieur et la portion intermédiaire dudit au moins un lien souple, selon une seconde possibilité.
Ledit organe élastomère peut alors être configuré de sorte à être comprimé entre ladite portion intermédiaire et châssis supérieur selon la première possibilité, ou encore de sorte que ledit organe élastomère est comprimé entre la portion intermédiaire et le châssis inférieur, selon une seconde possibilité, lors de la mise en tension dudit au moins un lien souple.
Selon un mode de réalisation, ledit organe élastomère est un anneau élastomère qui est comprimé lors de la mise en tension dudit au moins un lien souple en particulier intercalé entre le châssis supérieur et la portion intermédiaire dudit au moins un lien souple, selon la première possibilité.
Selon un autre mode de réalisation, l’organe élastomère est un anneau élastomère qui est traversé par ledit au moins lien souple en particulier intercalé entre le châssis inférieur ou une partie solidaire du châssis inférieur et la portion intermédiaire dudit au moins un lien souple, selon la seconde possibilité,
Selon un mode de réalisation, ledit au moins un lien souple est une boucle souple, qui est fixée par insertion de la boucle souple dans un anneau rigide, solidaire du châssis inférieur, selon une première possibilité, puis par repliage de deux portions de la boucle autour de l’anneau rigide, et accrochage des deux portions de la boucle repliées sur le châssis supérieur, ou encore alternativement par insertion la boucle souple dans un anneau rigide, solidaire du châssis supérieur selon la seconde possibilité, puis par repliage de deux portions de la boucle repliées autour de l’anneau rigide, et accrochage des deux portions de boucle repliées sur un support fixé au châssis inférieur.
Selon un mode de réalisation, la boucle souple est une boucle élastique comportant une âme élastique et une gaine recevant ladite âme élastique pour laquelle dans une position de repos de la boucle, la gaine est plissée par l’action de l’âme élastique et lorsque la boucle est étirée, ladite âme élastique s’allonge jusqu’à la mise en tension de la gaine, qui limite l’allongement.
Selon un mode de réalisation, ledit au moins lien souple comporte un premier bracelet et un deuxième bracelet, et une portion de liaison souple, joignant le premier bracelet et le deuxième bracelet, et dans lequel ledit au moins un lien souple est fixé par insertion du lien souple dans un anneau rigide, solidaire du châssis inférieur, puis par repliage de la portion de liaison autour de l’anneau rigide, et accrochage du premier bracelet et du deuxième bracelet sur le châssis supérieur.
Selon un mode de réalisation, le lien souple et ledit organe élastomère forment un ensemble lié, et dans lequel le lien souple est configuré pour être mise en place par insertion du lien souple au travers d’un anneau rigide solidaire du châssis inférieur, ledit organe élastomère de dimension supérieur à l’anneau rigide pour venir en butée sur l’anneau rigide, et accrochage du châssis supérieur par le lien souple selon une première possibilité, ou encore le lien souple est configuré pour être mise en place par insertion du lien souple au travers d’un anneau rigide solidaire du châssis supérieur, ledit organe élastomère de dimension supérieur à l’anneau rigide pour venir en butée sur l’anneau rigide et accrochage du châssis inférieur par le lien souple selon une seconde possibilité
Selon un mode de réalisation, le mécanisme du système de suspension reliant le châssis supérieur au châssis inférieur comprend un système de bras en ciseaux, comprenant un premier bras et un deuxième bras, articulés l’un à l’autre suivant un axe d’articulation, s’étendant suivant une direction Y, transversale au siège et dans lequel le premier bras est articulé à une extrémité supérieure à un axe d’articulation du châssis supérieur fixe et présente à une extrémité inférieure un organe de roulement supérieur, monté roulant le long d’un chemin de roulement du châssis inférieur, et dans lequel le deuxième bras est articulé à une extrémité inférieure à un axe d’articulation du châssis inférieur, fixe, et présente à une extrémité supérieure un organe de roulement, inférieur, monté roulant le long d’un chemin de roulement du châssis supérieur.
Selon la présente divulgation, ledit au moins un lien souple est dimensionné et configuré pour se tendre dans la position de repos du siège pour assurer un arrêt du châssis supérieur par rapport au châssis inférieur en la position haute du châssis supérieur, dans une position du mécanisme pour laquelle ledit organe de roulement supérieur cheminant dans le chemin de roulement du châssis supérieur et ledit organe de roulement cheminant dans le chemin de roulement du châssis inférieur ne sont pas en butée dans les chemins de roulement des châssis inférieur et supérieur, et selon une première option préférée.
Alternativement et selon une seconde option moins préférée, ledit au moins lien souple est dimensionné et configuré pour se tendre dans la position de repos du siège pour assurer un arrêt du châssis supérieur par rapport au châssis inférieur en la position haute du châssis supérieur, dans une position du mécanisme pour laquelle l’organe de roulement arrive simultanément en butée contre un tampon élastomère interne au mécanisme. Dans la première option, préférée, le mécanisme de la suspension peut être dépourvu d’un tel tampon élastomère, en particulier interne au chemin de roulement assurant un amortissement en fin de course haute de la suspension.
Selon un mode de réalisation, le siège suspendu peut comporter un système de glissière présentant au moins une glissière comportant une première partie, fixe, destinée à être ancrée au plancher du véhicule et une deuxième partie, mobile, coulissante rapport à la première partie sur laquelle est solidarisé ledit châssis inférieur, et dans lequel ledit au moins un lien souple est lié à sa partie basse au châssis inférieur, ou encore lié à sa partie basse à la deuxième partie mobile de la glissière.
Selon un mode de réalisation, ledit châssis supérieur comprend une extension latérale s’étendant suivant un direction transversale du siège comportant un orifice d’ancrage pour une ceinture de sécurité, en particulier un orifice d’ancrage pour le pédoncule d’une ceinture de sécurité et dans lequel ledit au moins un lien souple est accroché sur ladite extension latérale, ledit au moins un premier brin, et ledit au moins un deuxième brin, par exemple décalés suivant la direction longitudinale X, de part et d’autre de ladite extension latérale
Selon un mode de réalisation, le système de suspension comprend un soufflet, tubulaire protégeant le mécanisme comportant l’organe de suspension reçu intérieurement au soufflet, le soufflet reliant le châssis inférieur et le châssis supérieur, le dit moins lien souple étant en prise avec le châssis supérieur, de ladite extension latérale du châssis supérieure, saillante latéralement selon une direction Y, ladite au moins une extension latérale venant en porte à faux du soufflet, en s’étendant au-dessus de ladite au moins une glissière, du côté de ladite au moins une glissière.
Selon un mode de réalisation, ledit organe élastomère est intercalé entre l’extension latérale et la portion intermédiaire dudit au moins un lien souple, ledit organe élastomère comprimé entre la portion intermédiaire dudit au moins un lien souple et ladite extension latérale dudit châssis supérieur lors de la mise en tension dudit au moins un lien souple.
Selon un second aspect, la présente divulgation concerne un procédé de fabrication d’un siège selon la présente divulgation comprennent les étapes suivantes :
- une fourniture d’un siège présentant une assise comprenant un châssis d’assise et un système de suspension destiné à être intercalé entre le châssis d’assise et le plancher d’un véhicule, comportant un châssis supérieur et un châssis inférieur entre lesquels est interposé un mécanisme comportant un organe de suspension élastique, ledit système de suspension étant destiné à être fixé par son châssis inférieur au plancher, ledit système de suspension étant configuré pour autoriser un déplacement vertical du châssis supérieur par rapport au châssis inférieur, une force de rappel de organe de suspension élastique étant configurée pour déplacer le châssis supérieur par rapport au châssis inférieur et selon une fin de course supérieure déterminée par le mécanisme du système de suspension,
- la mise en place d’un système de limitation du débattement de l’assise par rapport au plancher comportant au moins un lien souple reliant le châssis supérieur au châssis inférieur configuré pour se tendre lors d’un basculement du châssis d’assise par rapport au plancher, et ainsi du châssis supérieur par rapport au châssis inférieur, en limitant l’amplitude du basculement lors d’un crash, et la mise en place dudit au moins lien souple configuré pour se tendre dans une position de repos du siège pour assurer un arrêt du châssis supérieur par rapport au châssis inférieur en une position haute du châssis supérieur, lorsque la force de rappel de l’organe de suspension élastique déplace le châssis supérieur par rapport au châssis inférieur, ledit au moins un lien souple étant couplé à un organe élastomère configuré pour assurer un amortissement en une fin de course haute du châssis supérieur par rapport au châssis inférieur, ladite fin de couse haute déterminée par ledit au moins lien souple précédant la fin de course haute déterminée par le mécanisme du système de suspension.
D’autres caractéristiques, détails et avantages apparaîtront à la lecture de la description détaillée ci-après, et à l’analyse des dessins annexés, sur lesquels :
Fig. 1
est une vue en perspective d’un siège suspendu qui ne fait pas partie de la présente divulgation revendiquée, et qui comprend un système de suspension comprenant un châssis supérieur et un châssis inférieur entre lesquels est agencé un mécanisme comportent un organe de suspension élastique, recouvert par un soufflet, le châssis inférieur solidaire d’un première glissière et d’une deuxième glissière, orientées suivant une direction longitudinale X, le châssis supérieur solidaire d’un châssis d’assise par l’intermédiaire de deux biellettes avant, et de deux biellettes arrières, configurées pour permettre une réglage de la hauteur de l’assise par rapport au châssis supérieur, le châssis d’assise s’étendant en longueur depuis un bord arrière jusqu’à un bord avant suivant la direction longitudinale X, et en largeur suivant la direction transversale Y, un châssis de dossier étant articulé sur une partie arrière du châssis d’assise, ledit siège suspendu comprenant de manière notable un système de limitation du débattement de l’assise par rapport au plancher comportant au moins un lien souple reliant le châssis supérieur au châssis inférieur, et en particulier un premier lien souple et une deuxième lien souple, de chaque côté du siège qui, à l’instar de l’état de la technique connu, est à l’état non tendu dans une position de repos du siège lorsque l’organe de suspension élastique contraint le châssis supérieur du siège suspendu dans une position haute par rapport au châssis supérieur, ledit au moins un lien souple étant configuré pour se tendre lors d’un basculement du châssis d’assise par rapport au plancher, et ainsi du châssis supérieur par rapport au châssis inférieur, en limitant l’amplitude du basculement lors d’un crash.
Fig. 2
montre est une vue de coupe selon un plan vertical parallèle au plan XZ du mécanisme du système de suspension de la reliant le châssis supérieur au châssis inférieur et qui comprend un système de bras en ciseaux, comprenant un premier bras et un deuxième bras, articulés l’un à l’autre suivant un axe d’articulation, s’étendant suivant une direction Y, transversale au siège et dans lequel le premier bras est articulé à une extrémité supérieure à un axe d’articulation du châssis supérieur fixe et présente à une extrémité inférieure un organe de roulement supérieur, monté roulant le long d’un chemin de roulement du châssis inférieur, et dans lequel le deuxième bras, est articulé à une extrémité inférieure à un axe d’articulation du châssis inférieur , fixe, et présente à une extrémité supérieure un organe de roulement, inférieur, monté roulant le long d’un chemin de roulement du châssis supérieur,
et dans ledit mécanisme est notable en qu’il comporte au niveau du chemin inférieur une butée élastomère (de forme conique) formée par un premier tampon élastomère configurée pour amortir le mécanisme lorsque le châssis supérieur arrive en fin de course basse par rapport au châssis inférieur, et une buté élastomère formée par un deuxième tampon élastomère dans le chemin de roulement du châssis supérieur configurée pour venir en contact avec le l’organe de roulement lorsque le châssis supérieur arrive en fin de course haute en amortissant la fin de course haute provoquée lors du déplacement vertical du châssis supérieur vers le haut par la force de rappel des ressorts en extension du mécanisme de suspension.
Fig. 3
est une vue arrière d’un siège selon la présente divulgation, lesdits liens souples, droite et gauche, du système de limitation du débattement de l’assise par rapport au plancher étant notables en ce qu’ils sont dimensionnés et configurés pour être tendus dans la position de repos du siège, lorsque la force de rappel des ressorts en extension déplace le châssis supérieur vers le haut suivant la direction verticale, en déterminant la fin de course haute du siège, chaque lien souple, droite et gauche, reliant un anneau rigide, solidaire du châssis inférieur à une extension latérale s’étendant transversalement du châssis supérieur, avec une mise en tension de deux brins dudit au moins un lien souple, comprenant au moins un premier brin et au moins un deuxième brin, respectivement agencés en parallèle entre le châssis supérieur et le châssis inférieur, une portion intermédiaire dudit au moins lien souple entre ledit au moins premier brin et ledit au moins un deuxième brin passant au-dessus de l’extension latérale pour l’accrocher, ledit organe élastomère étant intercalé entre le châssis supérieur et la portion intermédiaire dudit au moins un lien souple, ledit organe élastomère configuré pour être comprimé pour amortir la fin de course haute.
Fig. 4
est une vue de détails de l’arrière du siège selon la , illustrant les lien souples (premier et deuxième), droite et gauche, venant en prise respectivement avec des extension latérales, droite et gauche, les extensions latérales du châssis supérieur servant de points d’accroche pour la sangle ventrale de la ceinture de sécurité.
Fig. 5
est une vue de détail du lien souple, gauche, reliant l’anneau rigide solidaire du châssis inférieur et qui forme une boucle comprenant deux premiers brins et deux deuxièmes brins et une partie intermédiaire venant à cheval sur l’extension latérale, au-dessus de l’organe élastomère intercalé entre l’extension latérale et la portion intermédiaire dudit lien.
Fig. 6
est une vue de détail de l’organe élastomère sous forme d’un anneau élastomère fixé à l’extension latérale, par un organe de fixation tel qu’une vis.
Fig. 7a
est une vue schématique d’un second mode de réalisation de la présente divulgation pour lequel ledit au moins lien souple comprend une boucle élastique qui comprend une gaine typiquement en textile aramide, et une âme élastique typiquement élastomère, la boucle élastique avantageusement configurée pour accompagner le déplacement du châssis supérieur en évitant les risques de décrochages intempestifs.
Fig. 7b
est une vue schématique de différentes variantes comprenant à titre exemple, à gauche, un premier ensemble lié comprenant un lien souple sous forme d’une boucle, enchevêtrée à un organe élastomère sous forme d’un anneau, tel deux maillons d’une chaîne, et à droite, à titre de deuxième exemple ; un deuxième ensemble lié comprenant un lien souple formé de deux bracelets liés par une portion de liaison souple ; la portion de liaison traversant un anneau élastomère formant l’organe élastomère.
Fig. 7c
est une vue schématique de différentes variantes comprenant à titre troisième exemple, à gauche, un premier ensemble lié comprenant un lien souple sous forme d’une boucle et un organe élastomère, la boucle, traversant l’organe élastomère sous forme d’un anneau élastomère et un anneau rigide solidaire du châssis inférieur, les deux portions de boucle traversant simultanément l’anneau élastomère et ledit anneau rigide étant repliées autour de l’anneau rigide et accrochées sur la châssis supérieur , et à droite, à titre de quatrième exemple ; un deuxième ensemble lié comprenant d’une part, un lien souple formé de deux bracelets liés par une portion de liaison souple et d’autre part, un organe élastomère sous forme d’un anneau élastomère; la portion de liaison traversant l’anneau élastomère, ainsi qu’un anneau rigide solidaire du châssis inférieur, la portion de liaison repliée autour de l’anneau rigide avec accrochage des deux bracelets sur le châssis supérieur.
Les dessins et la description ci-après contiennent, pour l’essentiel, des éléments de caractère certain. Ils pourront donc non seulement servir à mieux faire comprendre la présente divulgation, mais aussi contribuer à sa définition, le cas échéant.
Aussi, et comme illustré aux figures, la présente divulgation est relative à un siège suspendu 1 pour véhicule comprenant :
- une assise 2 comprenant un châssis d’assise 20
- le cas échéant un système de glissière présentant au moins une glissière 3, 4 comportant une première partie 30,40, fixe, destinée à être ancrée au plancher du véhicule et une deuxième partie 31,41, mobile, coulissante rapport à la première partie,
- un système de suspension 5 intercalé entre le châssis d’assise 2 et plancher du véhicule, le cas échéant entre le châssis d’assise et au moins une glissière 3 ;4.
Ladite au moins une glissière 3, 4 du système de glissière peut comprendre une première glissière 3 et une deuxième glissière 4, orientées parallèlement longitudinalement suivant la direction X, reparties transversalement, suivant une direction Y, de part, et d’autre, du système de suspension.
Chaque glissière 3 ou 4 comprend la première partie 30 ou 40, fixe, qui peut être formée par un profilé inférieur PFinf et la deuxième partie 31 ou 41 qui peut être formée par un profilé supérieur PFsup. Le système de suspension comporte un châssis supérieur 50 et un châssis inférieur 51 entre lesquels est interposé un mécanisme comportant un organe de suspension élastique 52, ledit système de suspension étant fixé par son châssis inférieur 51 à la deuxième partie 31, 41, mobile, de ladite au moins une glissière 3, 4, ledit système de suspension étant configuré pour autoriser un déplacement du châssis supérieur 50 par rapport au châssis inférieur 51.
Le châssis inférieur 51 est fixé par des portions de fixation à la deuxième partie 31, 41, par des organes de fixation, tel que des système vis/écrou.
Le mécanisme reliant le châssis supérieur 50 au châssis inférieur 51 comportant ledit organe de suspension élastique 52 est illustré, selon un mode de réalisation non limitatif à la . Un soufflet 53 tubulaire relie typiquement le châssis supérieur 50 au châssis inférieur 51 et reçoit le mécanisme. Ce soufflet 53 protège des risques de pincement avec le mécanisme.
Le mécanisme peut comprendre un système de bras en ciseaux, comprenant un premier bras 54 et un deuxième bras 55, articulés l’un à l’autre suivant un axe d’articulation 56, s’étendant suivant la direction Y.
Le premier bras 54, est articulé à son extrémité supérieure à un axe d’articulation 58 du châssis supérieur 50 fixe, par exemple en position arrière (suivant la direction X) sur le châssis supérieur, et présente à son extrémité inférieure un organe de roulement 57 tel qu’un galet, monté roulant le long d’un chemin de roulement du châssis inférieur 51
Le deuxième bras 55, est articulé à son extrémité inférieur à un axe d’articulation 59 du châssis inférieur 51, fixe, par exemple en position arrière (suivant la direction X) sur le châssis supérieur, et présente à son extrémité supérieure un organe de roulement 57 tel qu’un galet, monté roulant le long d’un chemin de roulement du châssis supérieur 50. Le mécanisme comprend typiquement un double ciseau avec deux couples de bras en parallèle.
Dans tel mécanisme, et lors d’un débattement vertical de l’assise vers le bas, le mécanisme guide le rapprochement du châssis supérieur 50 par rapport au châssis inférieur, les galets 57 des bras (54 ou 55) s’éloignant des axes d’articulation 58, 59. Les bras 54, 55 s’écartent ainsi, rappelés par la force de rappel de rappel de l’organe de suspension élastique 52, constitués ici par un ou plusieurs ressorts montés en extension entre les deux bras 54,55.
De manière notable, et selon l’état de la technique connue de la présente Demanderesse, les fins courses haute et basse du châssis supérieur 50 par rapport au châssis inférieur se doivent d’être amorties. A cet effet, le mécanisme de la suspension comprend typiquement des tampons élastomères TP1, TP2, internes au mécanisme de suspension.
Un premier tampon TP1 assure typiquement l’amortissement du châssis supérieur 50 par rapport au châssis inférieur 51, lorsque ledit châssis supérieur est en fin de course basse. Un deuxième tampon TP2 assure l’amortissement du châssis supérieur 50 par au châssis inférieur 51 lorsque le châssis supérieur est déplacé par les ressorts jusqu’en position haute. A la , le tampon TP2 est pincé entre le galet 57 dans le chemin de roulement du châssis supérieur et la partie sur laquelle est articulée l’extrémité supérieure du bras 54 suivant l’axe d’articulation 58.
Le siège suspendu peut encore comprendre un système de réhausse interposé entre le châssis d’assise 20 et le châssis supérieur 50 comportant des biellettes 8 reliant en articulation des flasques 21 du châssis d’assise 20 au châssis supérieur 50. Deux biellettes 8 sont articulées, d’une part, à leur extrémité inférieure au châssis supérieur 50, et d’autre part à leur extrémité supérieure au châssis d’assise 20, suivant deux axes articulation parallèles à la direction Y sur l’arrière de l’assise, et deux autre biellettes 8, sont articulées, d’une part à leur extrémité inférieure au châssis supérieur 50, et d’autre part à leur extrémité supérieure au châssis d’assise 20, suivant deux axes d’articulation parallèles à la direction Y sur l’avant du châssis. L’inclinaison des biellettes, (et ainsi l’écartement entre le châssis d’assise 20 et le châssis supérieur 50) peut être réglée par pompage manuel sur un mécanisme de réglage irréversible, voire de manière motorisée, un pignon de sortie du mécanisme de réglage irréversible (ou d’un moteur) engrenant avec une denture d’une biellette ou encore avec une crémaillère.
En cas de crash, par exemple en cas de crash frontal (suivant la direction X) l’occupant du siège est retenu par la ceinture de sécurité, la brusque décélération du crash à l’origine d’une force qui tend à faire basculer l’assise, selon le sens S de la flèche illustré à la
Le siège suspendu 1 comporte alors un système de limitation du débattement de l’assise par rapport plancher du véhicule en particulier au système de glissière comportant au moins un lien souple 6, 7, présentant un état non tendu en position de repos du système de suspension, à savoir lorsque le siège et son occupant ne sont pas soumis à une accélération. Ledit au moins lien souple 6, 7 est alors configuré pour se tendre lors d’un basculement du châssis d’assise 2 par rapport au système de glissière en particulier dans le sens S, en limitant l’amplitude du basculement de l’assise lors d’un crash, à savoir lorsque l’assise 2 du siège bascule vers l’avant. Un tel système de limitation avec lien souple limite les risques de sous marinage de l’occupant.
Ainsi, ledit au moins au moins un lien souple peut comprendre :
- un premier lien souple 6 reliant la première glissière 3 au châssis supérieur 50 du côté de la première glissière 3
- un deuxième lien souple 7 reliant la deuxième glissière 4 au châssis supérieur 50, du côté de la deuxième glissière 4.
Selon l’état de la technique connu de la Demanderesse et selon les constatations des inventeurs, il fait partie des connaissances générale de la personne du métier de dimensionner le ou les lien souples de sorte qu’il n’entrave pas le débattement de la suspension lorsque le châssis (non basculé) est déplacé sensiblement verticalement par les ressorts jusqu’à la fin de course haute et de sorte à toujours bénéficier de l’amortissement du deuxième tampon TP2 en fin de course haute du châssis supérieur 50.
Ainsi et dans la position de repos du siège, et lorsque le siège est non occupé (non chargé), on peut constater que liens souples des sièges suspendus connus de l’état de la technique sont dans un état non tendu, en fin de course haute du châssis supérieur, et comme visible par exemple des illustrations de US 3.957.304 B1, autrement lâche. Lors de la fabrication d’un tel siège avec système de limitation du basculement, une attention particulière est portée pour les liens souples soient toujours lâches en position de repos, et de sorte que la fin de course haute du châssis supérieur soit amortie par le deuxième tampon élastomère TP2 interne au mécanisme de la suspension.
La présente divulgation vise à améliorer cet état de la technique en proposant un siège suspendu comportant un système de limitation du débattement de l’assise par rapport plancher du véhicule de performance améliorée, assurant une meilleure limitation du basculement en cas de crash, en particulier selon la direction longitudinale X, notamment lors d’un choc arrière ou un choc avant.
Aussi, la présente divulgation est relative à un siège suspendu 1 pour véhicule comprenant :
- une assise 2 comprenant un châssis d’assise 20,
- un système de suspension destiné à être intercalé entre le châssis d’assise 2 et un plancher d’un véhicule, ledit système comportant un châssis supérieur 50 et un châssis inférieur 51 entre lesquels est interposé un mécanisme comportant un organe de suspension élastique 52, ledit système de suspension étant destiné à être fixé par son châssis inférieur 51 au plancher, ledit système de suspension étant configuré pour autoriser un déplacement vertical du châssis supérieur 50 par rapport au châssis inférieur 51, une force de rappel de organe de suspension élastique 52 étant configurée pour déplacer le châssis supérieur 50 par rapport au châssis inférieur 51 jusqu’à une position haute du châssis supérieur, dans une position de repos du siège,
- un système de limitation du débattement de l’assise par rapport au plancher comportant au moins un lien souple 6, 7, reliant le châssis supérieur 50 au châssis inférieur51 configuré pour se tendre lors d’un basculement du châssis d’assise 20 par rapport au plancher, et ainsi du châssis supérieur 50 par rapport au châssis inférieur 51, en limitant l’amplitude du basculement lors d’un crash.
Il peut notamment s’agir du siège tel que précédemment décrit, avec ses glissières 3, 4, le système de réhausse avec biellettes 8, et le mécanisme de suspension avec ciseaux 54 et 56.
Toutefois et contrairement à l’état de la technique connu du demandeur, ledit au moins un lien souple 6, 7 est dimensionné et configuré et pour se tendre dans la position de repos du siège pour assurer un arrêt du châssis supérieur 50 par rapport au châssis inférieur 51, lorsque la force de rappel de l’organe de suspension élastique 52 déplace le châssis supérieur 50 par rapport au châssis inférieur 51 vers le haut, sensiblement suivant la direction verticale Z.
De manière notable également, ledit au moins un lien souple est couplé à un organe élastomère OE configuré pour assurer un amortissement en une fin de course haute du châssis supérieur 50 par rapport au châssis inférieur 51, ladite fin de course haute déterminée par ledit mise en tension dudit au moins un lien souple 6, 7.
Selon la présente divulgation, ledit au moins un lien souple 6, 7 présente une double fonction à savoir :
- une fonction première comme dispositif de sécurité en cas de crash pour limiter l’amplitude du basculement du siège suspendu, et en particulier le basculement du châssis supérieur 50 par rapport au châssis inférieur 51, mais encore et à la différence de l’état de la technique connu,
- une deuxième fonction pour déterminer la fin de course supérieur du châssis supérieur 50 de la suspension lorsque celui-ci est déployée à la verticale par l’organe élastique 52 de la suspension en garantissant toujours un amortissement de la fin course supérieur grâce à l’organe élastomère OE.
Ledit au moins un lien souple 6, 7 est typiquement dans une matière peu élastique, et par exemple un textile comprenant des fibres d’aramide et donc inadapté pour assurer en soi un amortissement du siège en la fin de course haute. L’organe élastomère OE est couplé en série avec ledit au moins un lien souple pour assurer cette fonction d’amortissement.
L’organe élastomère OE peut à cet effet être d’une dimension ou d’une dureté assurant un amortissement en fin de course. L’organe élastomère peut être un tampon élastomère de volume (au repos) compris entre 3 cm3et 40 cm3.
L’élastomère de l’organe élastomère OE peut être typiquement choisi parmi ceux présentant une dureté du type élastomère « mou » (typiquement comprenant une dureté shore A ou A0).
Par comparaison à la divulgation selon la ou encore selon US 3.957.304 B1 qui enseigne de dimensionner le lien souple pour qu’il soit non tendu, autrement dit « lâche », dans une position de repos du siège, en fin de course haute du châssis supérieur du système de suspension, la présente divulgation permet au contraire de dimensionner le lien souple reliant le châssis supérieur au châssis inférieur le plus court possible.
En cas de crash, un tel dimensionnement « court » permet d’assurer sa fonction première de dispositif de sécurité en limitant autant que possible l’amplitude du basculement du siège suspendu, et en particulier le basculement du châssis supérieur 50 par rapport au châssis inférieur 51.
La mise en tension dudit au moins un lien souple 6, 7 intervient selon la présente divulgation, suivant une amplitude du basculement avantageusement inférieure à l’amplitude du basculement pour laquelle les liens souples des systèmes de limitation de l’état de la technique se tendent. On obtient ainsi une meilleure stabilité en cas de crash, et une meilleure performance du système de limitation de débattement vis-à-vis des risques de sous-marinage par comparaison à l’état de la technique. L’organe élastique OE assure encore avantageusement un amortissement lors de la mise en tension dudit au moins un lien élastique pour retenir le basculement du siège lors d’un crash.
Le système de limitation peut typiquement comprend deux liens souples 6,7, avec :
- un premier lien souple 6 reliant le châssis supérieur 50 au plancher notamment châssis inférieur d’un premier côté, du siège, et en particulier agencé à l’aplomb de la première glissière 3,
- un deuxième lien souple 7 reliant le châssis supérieur 50 au plancher notamment au châssis inférieur un deuxième côté du siège, en en particulier agencé à l’aplomb de la deuxième glissière 4
Selon un mode de réalisation, ledit au moins un lien souple 6, 7, (et en particulier chacun des premier et deuxième lien) est configuré pour être mis en tension lors du basculement et/ou lors de l’arrêt du châssis supérieur 50 en ladite fin de course haute, avec mise en tension de deux brins dudit au moins un lien souple 6,7, comprenant au moins un premier brin B1 et au moins un deuxième brin B2, respectivement agencés en parallèle entre le châssis supérieur 50 et le châssis inférieur 51.
De manière générale, les deux brins B1 et B2 de chaque lien 6 ou 7 peuvent être décalés suivant l’axe longitudinale X, en particulier le long des glissières et telle qu’illustré à titre d’exemple à la .
Les deux brins B1, B2 peuvent encore être décalés, suivant la direction transversale Y, en particulier lorsque le lien comporte deux bracelets Br1, Br2 et comme enseigné par la demande FR 2105463 de la présente Demanderesse.
Selon un mode de réalisation, ledit au moins un lien souple 6, 7 peut comprendre une portion intermédiaire Pint dudit au moins lien souple 6, 7 entre ledit au moins premier brin B1 et ledit au moins un deuxième brin B2,
Selon un mode de réalisation, ledit organe élastomère OE est intercalé entre le châssis supérieur 50 et la portion intermédiaire Pint dudit au moins un lien souple 6,7 selon une première possibilité illustrée à titre d’exemple aux figures 3 à 5.
Selon une deuxième possibilité, inversé, ledit organe élastomère OE peut être intercalé entre le châssis inférieur 51 ou une partie solidaire du châssis inférieur (tel qu’un anneau rigide 9 qui est défini par la suite) et la portion intermédiaire Pint dudit au moins un lien souple 6,7 et tel qu’illustrée à la .
Ledit organe élastomère OE peut être configuré de sorte à être comprimé entre ladite portion intermédiaire Pint et châssis supérieur 50 selon la première possibilité, ou encore de sorte que ledit organe élastomère est comprimé entre la portion intermédiaire Pint et le châssis inférieur 5, selon une seconde possibilité, lors de la mise en tension dudit au moins un lien souple 6,7.
De manière générale, ledit organe élastomère OE peut être un anneau élastomère qui qui est comprimé, lors de la mise en tension dudit au moins un lien souple 6,7. Par exemple un tel anneau élastomère, en raison du vide interne, procure un amortissement plus souple comparativement à un organe élastomère plein. Selon un mode de réalisation l’organe élastomère peut être fixé par un organe de fixation tel qu’une vis, un rivet (ou autre) au châssis supérieur 50 (voir ) ou au châssis inférieur51 (non illustré), et alors que la portion intermédiaire Pint vient à cheval sur l’anneau élastomère. Dans un tel cas le lien souple 6,7 peut ne pas traverser l’anneau élastomère, et comme visible à la .
L’organe élastomère OE peut encore être un anneau élastomère qui est traversé par ledit au moins lien souple 6, 7, et qui est notamment configuré pour être comprimé entre ledit au moins un lien souple 6,7, d’une part, et le châssis inférieur 51 ou la partie solidaire du châssis inférieur telle que l’anneau rigide 9, d’autre part, et comme visible à la .
Selon un mode de réalisation illustré à titre indicatif des figures 3 à 5, ledit au moins un lien souple 6,7 est une boucle souple Bcl qui est fixée par insertion de la boucle souple Bcl dans un anneau rigide 9, solidaire du châssis inférieure 51, selon une première possibilité illustrée, puis par repliage de deux portions de la boucle autour de l’anneau rigide 9, et accrochage des deux portions de la boucle repliées sur le châssis supérieur 50. Les deux portions de la bouche repliées sur le châssis supérieur peuvent former la portion intermédiaire Pint venant à cheval sur l’organe élastomère OE, afin de la comprimer et notamment selon la première possibilité des figures 3 à 5 pour laquelle l’organe élastomère OE est comprimé entre le châssis supérieur 50 et le lien souple 6,7 venant à cheval sur l’organe élastomère en particulier l’anneau élastomère. L’organe élastomère OE peut encore être comprimé entre l’anneau rigide 9 et le lien souple 6,7 selon la seconde possibilité illustrée à titre d’exemple à la en particulier lorsque le lien souple 6,7 traverse l’anneau élastomère.
Ainsi, et comme illustré à gauche à la , à gauche, le système de limitation du débattement angulaire peut comprendre un premier ensemble lié comprend au moins un lien souple 6,7 sous forme d’une boucle Bcl et l’organe élastomère, la boucle Bcl traversant simultanément l’ organe élastomère OE sous forme d’un anneau élastomère et un anneau rigide 9 solidaire du châssis inférieur, les deux portions de boucle s’étendant, de part et d’autre de l’anneau élastomère et du anneau rigide étant repliées autour de l’anneau rigide 9 et accrochées sur le châssis supérieur 50. L’anneau élastomère alors est comprimé entre l’anneau rigide 9 et la boucle souple Bcl, lors de la mise en tension dudit lien souple.
Encore et comme illustré à droite à la , le système de limitation du débattement angulaire peut comprendre un deuxième ensemble lié comprenant un lien souple formé de deux bracelets Br1 Br2 liés par une portion de liaison souple et l’organe élastomère sous forme d’un anneau; la portion de liaison traversant l’ anneau élastomère, ainsi qu’un anneau rigide 9 solidaire du châssis inférieur, la portion de liaison étant repliée sur l’anneau rigide avec accrochage des deux bracelets sur le châssis supérieur 50. L’anneau élastomère est alors comprimé entre l’anneau rigide 9 et la portion de liaison souple, lors de la mise en tension dudit lien souple.
Selon une variante non illustrée, l’une des deux portions de la boucle repliée sur l’anneau peut être enfilée, dans l’autre portion puis accrochée sur le châssis supérieur 50, en particulier en venant à cheval sur l’organe élastomère OE
Aussi et de manière générale, ledit au moins un lien souple 6,7 peut être une boucle souple Bcl qui est fixée par insertion la boucle souple dans un anneau rigide 9, solidaire du châssis supérieur 50 selon une seconde possibilité, puis par repliage de deux portions de la boucle repliées autour de l’anneau rigide, et accrochage des deux portions de boucle repliées sur le châssis inférieur 51.
Selon une variante non illustrée, l’une des deux portions de la boucle repliée sur l’anneau peut être enfilée, dans l’autre portion puis accrochée sur le châssis inférieur 51, en particulier en venant à cheval sur l’organe élastomère OE.
Selon un mode de réalisation illustré à la , la boucle souple peut être une boucle élastique comportant une âme élastique El et une gaine Ga recevant ladite âme élastique El pour laquelle dans une position de repos de la boucle, la gaine GA est plissée par l’action de l’âme élastique El et lorsque la boucle est étirée, ladite âme élastique El s’allonge jusqu’à la mise en tension de la gaine Ga, qui limite l’allongement.
La gaine GA est typiquement dans un matériau peu élastique, comparativement à ladite âme élastique EI. Par exemple la gaine peut être typiquement un textile comportant des fibres en aramide, alors que ladite âme élastique est typiquement un élastomère.
Aussi et de manière générale ledit au moins un lien souple 6, 7 formant notamment les deux brins B1, B2 peut comporter une gaine GA recevant une âme élastique. Dans la position de repos du lien, la gaine est plissée par l’action de l’âme élastique. Lorsque le au moins un lien est étiré l’âme élastique s’allonge jusqu’à la mise en tension de la gaine qui limite l’allongement du lien.
Un tel lien élastique permet avantageusement de s’adapter en longueur en accompagnant les mouvements du châssis supérieur en particulier lorsque le siège est chargé d’un occupant et que le châssis supérieur 50 se déplace verticalement par rapport au châssis inférieur 51, selon l’amplitude verticale permise par la suspension.
Lorsque ledit au moins lien souple est accroché typiquement en simple appui sur une partie en crochet du châssis supérieur 50 (ou du châssis inférieur), ledit lien souple peut être ainsi dans un tel matériau élastique, au moins en partie, afin d’accompagner la partie en crochet supérieur lors des débattements permis par le système de suspension. On évite avantageusement les décrochements non souhaités dudit au moins un lien souple 6,7.
Selon un mode de réalisation, enseigné par la demande FR 2105463 de la présente Demanderesse, ledit au moins lien souple 6, 7 comporte un premier bracelet Br1, et un deuxième bracelet Br2, et une portion de liaison souple L12, joignant le premier bracelet Br1 et le deuxième bracelet Br2.
Ledit au moins un lien souple 6, 7 peut être est fixé par insertion du lien souple dans un anneau rigide 9, solidaire de la deuxième partie de glissière selon la première possibilité, puis par repliage de la portion de liaison autour de l’anneau rigide, et accrochage du premier bracelet Br1 et du deuxième bracelet Br2 sur le châssis supérieur 50, ou encore alternativement, par insertion de ladite liaison souple dans un anneau rigide, solidaire du châssis supérieur selon la seconde possibilité, puis par repliage de la portion de liaison autour de l’anneau rigide, et accrochage du premier bracelet et du deuxième bracelet sur un support fixé au châssis inférieur. Les bracelets Br1, BR2 peuvent alors venir en appui et à cheval sur l’organe élastomère OE, qui peut être fixé sur le châssis supérieur 50 suivant la première possibilité, ou sur le châssis inférieur 51 suivant la seconde possibilité.
Selon un mode de réalisation, illustré à titre d’exemple selon plusieurs variantes à la , ledit au moins un lien souple 6, 7 et ledit organe élastomère peuvent former un ensemble lié EL. Le lien souple 6 est alors configuré pour être mise en place par insertion du lien souple 6,7 au travers d’un anneau rigide 9 solidaire du châssis inférieur (ou du châssis supérieur).
Ledit organe élastomère OE de dimension supérieure à l’anneau rigide 9 pour venir en butée sur l’anneau rigide 9 et sans pouvoir le traverser. Le lien souple ayant traversé l’anneau est accroché du châssis supérieur selon une première possibilité et comme illustré à gauche sur la .
Selon une autre possibilité, le lien souple 6,7 est configuré pour être mise en place par insertion du lien souple 6,7 au travers d’un anneau rigide solidaire du châssis supérieur, ledit organe élastomère OE de dimension supérieure à l’anneau rigide pour venir en butée sur l’anneau rigide 9 et accrochage du châssis inférieur par le lien souple 6,7 selon une autre possibilité non illustrée.
Un ensemble lié peut ainsi comprendre un organe élastomère EO sous forme d’un anneau, qui est lui-même traversé par le lien souple 6, 7 sous forme d’une boucle Cl. L’anneau élastomère et la boucle (typiquement formé par un textile à fibre d’aramide) peuvent être enchevêtrés l’un dans l’autre, et ne peuvent donc être séparés sans ouvrir la boucle. Un tel exemple est illustré à gauche à la .
Un ensemble lié peut encore comporter un lien souple comportant un premier bracelet Br1, et un deuxième bracelet Br2, et une portion de liaison souple L12, joignant le premier bracelet Br1 et le deuxième bracelet Br2, et comme visible à droite à la .
Le lien souple 6, 7est enfilé au travers de l’anneau élastomère de l’organe élastomère OE, comme visible sur à droite sur la . L’organe élastomère en butée sur l’anneau 9 rigide. Les deux bracelets ayant traversés l’anneau rigide 9 sont accrochés sur le châssis supérieur 50 si l’anneau est fixé sur le châssis inférieur 51, les positions pouvant toutefois être inversées.
Selon un mode de réalisation, ledit mécanisme du système de suspension reliant le châssis supérieur 50 au châssis inférieur 51 peut comprendre le système de bras en ciseaux, comprenant le premier bras 54 et le deuxième bras 55, articulés l’un à l’autre suivant un axe d’articulation 6, s’étendant suivant la direction Y, transversale au siège.
Le premier bras 54, est articulé à une extrémité supérieure à un axe d’articulation 58 du châssis supérieur 50 fixe et présente à une extrémité inférieure un organe de roulement supérieur, monté roulant le long d’un chemin de roulement du châssis inférieur 50.Le deuxième bras 55 est articulé à l’extrémité inférieure à un axe d’articulation 59 du châssis inférieur 51, fixe, et présente à une extrémité supérieure un organe de roulement, 57 inférieur, monté roulant le long d’un chemin de roulement du châssis supérieur 50.
Selon un mode de réalisation, ledit lien souple 6, 7 est dimensionné et configuré pour se tendre dans la position de repos du siège pour assurer un arrêt du châssis supérieur 50 par rapport au châssis inférieur 51 en la position haute du châssis supérieur, dans une position du mécanisme pour laquelle ledit organe de roulement supérieur cheminant dans le chemin de roulement du châssis supérieur et ledit organe de roulement cheminant dans le chemin de roulement du châssis inférieur ne sont pas en butée dans les chemins de roulement des châssis inférieur et supérieur, selon une première option préférée
Alternativement et selon une seconde option, ledit au moins un lien souple 6, 7 est dimensionné pour se tendre dans une position dans laquelle l’organe de roulement arrive simultanément en butée contre un tampon élastomère TP2. Selon la première option préférée, le mécanisme est de préférence dépourvu d’un tel tampon élastomère TP2.
Selon un mode de réalisation ledit châssis supérieur 50 comprend une extension latérale 500, 501 s’étendant suivant une direction transversale Y du siège comportant un orifice d’ancrage Ac pour une ceinture de sécurité, en particulier un orifice d’ancrage pour le pédoncule d’une ceinture de sécurité.
En particulier, le premier lien souple 6 peut être accroché sur une première extension latérale 500 du châssis supérieur 50, et le second lien souple peut être accroché sur une deuxième extension latérale 501 du châssis supérieur.
Ledit au moins un lien souple 6,7 peut être accroché sur ladite extension latérale. Selon un mode de réalisation, ledit au moins un premier brin et ledit au moins un deuxième brin B2, et ledit au moins un deuxième brin B2, décalés suivant la direction longitudinale X, de part et d’autre de ladite extension latérale (i.e ), ou encore décalés suivant la direction transversale Y
Selon un mode de réalisation, le système de suspension 5 comprend le soufflet 53, tubulaire protégeant le mécanisme comportant l’organe de suspension 52 reçu intérieurement au soufflet, le soufflet reliant le châssis inférieur 51 et le châssis supérieur 50. Le dit moins lien souple 6, 7 peut être en prise avec ladite extension latérale 500, 501 du châssis supérieur 50, saillante latéralement selon une direction Y, ladite au moins une extension latérale 500, 501 venant en porte à faux du soufflet, en s’étendant au-dessus de ladite au moins une glissière3, 4, du côté de ladite au moins une glissière 3, 4.
De manière générale, ledit organe élastomère OE peut être intercalé entre l’extension latérale 500 ;501 et le au moins un lien souple 6,7, en particulier la portion intermédiaire Pint dudit comprimé entre ledit au moins un lien souple 6,7 et ladite extension latérale 500, 501 dudit châssis supérieur 50 lors de la mise en tension dudit au moins un lien souple 6,7.
La présente divulgation concerne encore un procédé de fabrication d’un siège comprenant les étapes suivantes :
- une fourniture d’un siège 1 comprenant une assise 2 présentant un châssis d’assise 20 et un système de suspension 5 destiné à être intercalé entre le châssis d’assise 2 et le plancher d’un véhicule, comportant un châssis supérieur 50 et un châssis inférieur 51 entre lesquels est interposé un mécanisme comportant un organe de suspension élastique 52, ledit système de suspension étant destiné à être fixé par son châssis inférieur au plancher, ledit système de suspension étant configuré pour autoriser un déplacement vertical du châssis supérieur 50 par rapport au châssis inférieur 51, une force de rappel de organe de suspension élastique 52 étant configurée pour déplacer le châssis supérieur 50 par rapport au châssis inférieur 51, et selon une fin de course supérieure déterminée par le mécanisme du système de suspension,
- la mise en place d’un système de limitation du débattement de l’assise par rapport au plancher comportant au moins un lien souple 6, 7, reliant le châssis supérieur 50 au châssis inférieur 51 configuré pour se tendre lors d’un basculement du châssis d’assise 20 par rapport au plancher, et ainsi du châssis supérieur 50 par rapport au châssis inférieur 51, en limitant l’amplitude du basculement lors d’un crash, et la mise en place dudit au moins lien souple configuré pour se tendre dans une position de repos du siège pour assurer un arrêt du châssis supérieur 50 par rapport au châssis inférieur 51 en une position haute du châssis supérieur, lorsque la force de rappel de l’organe de suspension élastique 52 déplace le châssis supérieur 50 par rapport au châssis inférieur 51, ledit au moins un lien souple étant couplé à un organe élastomère OE configuré pour assurer un amortissement en une fin de course haute du châssis supérieur 50 par rapport au châssis inférieur 51 déterminée par ledit au moins lien souple 6,7.
Un fois ledit au moins un lien souple 6, 7 du système de limitation en place, l’arrêt vertical du châssis supérieur 50 lors du déplacement vers le haut du châssis supérieur est assuré par la mise en tension des lien souple 6,7 donc selon une fin de course haute déterminée par ledit lien souple 6, 7, qui précède typiquement la fin de course haute déterminée par le mécanisme du système de suspension. Cette fin de course haute déterminée par le mécanisme de la suspension n’est donc jamais atteinte selon une première alternative préférée. Dans un tel cas, le mécanisme de suspension peut en soi être dépourvu d’un tampon élastomère (par exemple le deuxième tampon TP2 de la ) assurant un amortissement de la fin de course haute déterminée par le mécanisme, puisque l’amortissement en fin de course haute est assuré par l’organe élastomère OE lorsque ledit lien souple se tend en fin de course haute du châssis supérieur.
A tout le moins, et selon une deuxième alternative moins préférée, la fin de course haute déterminée par la mise en tension dudit lien souple 6,7 est au plus tard simultanée avec la fin de course déterminée par le mécanisme du système de suspension. L’amortissement en fin de course haute est alors assuré simultanément par le tampon interne au mécanisme de suspension et le ou les organes élastomères OE associés audit au moins un lien souple 6,7. Cette deuxième alternative est moins avantageuse que la première alternative, en ce qu’elle nécessite un réglage fin pour synchroniser les deux fins de course haute, déterminés par le mécanisme de la suspension d’une part, et ledit au moins un line souple 6, 7 du système de limitation du basculement.

Claims (15)

  1. Siège suspendu (1) pour véhicule comprenant :
    - une assise (2) comprenant un châssis d’assise (20),
    - un système de suspension (5) destiné à être intercalé entre le châssis d’assise (2) et un plancher d’un véhicule, ledit système comportant un châssis supérieur (50) et un châssis inférieur (51) entre lesquels est interposé un mécanisme comportant un organe de suspension élastique (52), ledit système de suspension étant destiné à être fixé par son châssis inférieur au plancher, ledit système de suspension étant configuré pour autoriser un déplacement vertical du châssis supérieur (50) par rapport au châssis inférieur (51), une force de rappel de organe de suspension élastique (52) étant configurée pour déplacer le châssis supérieur (50) par rapport au châssis inférieur (51) jusqu’à une position haute du châssis supérieur, dans une position de repos du siège,
    - un système de limitation du débattement de l’assise par rapport au plancher comportant au moins un lien souple (6, 7), reliant le châssis supérieur (50) au châssis inférieur(51) configuré pour se tendre lors d’un basculement du châssis d’assise (20) par rapport au plancher, et ainsi du châssis supérieur (50) par rapport au châssis inférieur (51), en limitant l’amplitude du basculement lors d’un crash,
    caractérisé en ce que ledit au moins un lien souple (6, 7) est dimensionné et configuré et pour se tendre dans la position de repos du siège pour assurer un arrêt du châssis supérieur (50) par rapport au châssis inférieur (51), lorsque la force de rappel de l’organe de suspension élastique (52) déplace le châssis supérieur (50) par rapport au châssis inférieur (51) vers le haut, ledit au moins un lien souple étant couplé à un organe élastomère (OE) configuré pour assurer un amortissement en une fin de course haute du châssis supérieur par rapport au châssis inférieur, ladite fin de course haute déterminée par ledit mise en tension dudit lien souple.
  2. Siège selon la revendication 1, dans lequel ledit au moins un lien souple (6, 7) est configuré pour être mis en tension lors du basculement et/ou lors de l’arrêt du châssis supérieur (50) en ladite fin de course haute, avec mise en tension de deux brins dudit au moins un lien souple (6,7), comprenant au moins un premier brin (B1) et au moins un deuxième brin (B2), respectivement agencés en parallèle entre le châssis supérieur (50) et le châssis inférieur (51).
  3. Siège selon la revendication 2, dans lequel ledit au moins un lien souple (6, 7) comprend une portion intermédiaire (Pint) dudit au moins lien souple (6, 7) entre ledit au moins premier brin (B1) et ledit au moins un deuxième brin (B2), et dans lequel, ledit organe élastomère (OE) est intercalé entre le châssis supérieur (50) et la portion intermédiaire (Pint) dudit au moins un lien souple (6,7 ) selon une première possibilité, ou encore intercalé entre le châssis inférieur ou une partie solidaire du châssis inférieur et la portion intermédiaire dudit au moins un lien souple, selon une seconde possibilité,
    et dans lequel ledit organe élastomère (OE) est configuré de sorte à être comprimé entre ladite portion intermédiaire (Pint) et châssis supérieur (50) selon la première possibilité, ou encore de sorte que ledit organe élastomère (OE) est comprimé entre la portion intermédiaire (Pint) et le châssis inférieur (51), selon une seconde possibilité, lors de la mise en tension dudit au moins un lien souple (6,7).
  4. Siège selon la revendication, 3, dans lequel ledit organe élastomère (OE) est un anneau élastomère qui est comprimé, lors de la mise en tension dudit au moins un lien souple (6,7) en particulier intercalé entre le châssis supérieur (50) et la portion intermédiaire (Pint) dudit au moins un lien souple (6,7 ) selon la première possibilité.
  5. Siège selon la revendication 3, dans lequel l’organe élastomère (OE) est un anneau élastomère qui est traversé par ledit au moins lien souple (6,7) en particulier intercalé entre le châssis inférieur ou une partie solidaire du châssis inférieur et la portion intermédiaire dudit au moins un lien souple, selon la seconde possibilité,
  6. Siège selon l’une des revendications 2 à 5, dans lequel ledit au moins un lien souple (6,7) est une boucle souple (Bcl), qui est fixée par insertion de la boucle souple (Bcl) dans un anneau rigide (9), solidaire du châssis inférieure (51), selon une première possibilité, puis par repliage de deux portions de la boucle autour de l’anneau rigide (9), et accrochage des deux portions de la boucle repliées sur le châssis supérieur (50), ou encore alternativement par insertion la boucle souple dans un anneau rigide (9), solidaire du châssis supérieur (50) selon la seconde possibilité, puis par repliage de deux portions de la boucle repliées autour de l’anneau rigide, et accrochage des deux portions de boucle repliées sur le châssis inférieur.
  7. Siège selon la revendication 6 dans lequel la boucle souple est une boucle élastique comportant une âme élastique (El) et une gaine (GA) recevant ladite âme élastique (El) pour laquelle dans une position de repos de la boucle, la gaine (GA) est plissée par l’action de l’âme élastique (El) et lorsque la boucle est étirée, ladite âme élastique (El) s’allonge jusqu’à la mise en tension de la gaine (GA), qui limite l’allongement.
  8. Siège selon l’une des revendications 2 à 5, dans lequel ledit au moins lien souple (6, 7) comporte un premier bracelet (Br1), et un deuxième bracelet (Br2), et une portion de liaison souple (L12), joignant le premier bracelet (Br1) et le deuxième bracelet (Br2), et dans lequel ledit au moins un lien souple (6, 7) est fixé par insertion du lien souple dans un anneau rigide (9), solidaire du châssis inférieur (51), puis par repliage de la portion de liaison autour de l’anneau rigide, et accrochage du premier bracelet (Br1) et du deuxième bracelet (Br2) sur le châssis supérieur (50), .
  9. Siège selon l’une des revendications 1 à 8, dans lequel le mécanisme du système de suspension reliant le châssis supérieur (50) au châssis inférieur (51) comprend un système de bras en ciseaux, comprenant un premier bras (54) et un deuxième bras (55), articulés l’un à l’autre suivant un axe d’articulation (56), s’étendant suivant une direction Y, transversale au siège et dans lequel le premier bras (54), est articulé à une extrémité supérieure à un axe d’articulation (58) du châssis supérieur (50) fixe et présente à une extrémité inférieure un organe de roulement supérieur, monté roulant le long d’un chemin de roulement du châssis inférieur (51), et dans lequel le deuxième bras (55), est articulé à une extrémité inférieure à un axe d’articulation (59) du châssis inférieur (51), fixe, et présente à une extrémité supérieure un organe de roulement, inférieur, monté roulant le long d’un chemin de roulement du châssis supérieur (50)
    et dans lequel ledit lien souple (6, 7) est dimensionné et configuré pour se tendre dans la position de repos du siège pour assurer un arrêt du châssis supérieur (50) par rapport au châssis inférieur( 51) en la position haute du châssis supérieur, dans une position du mécanisme pour laquelle ledit organe de roulement supérieur cheminant dans le chemin de roulement du châssis supérieur et ledit organe de roulement cheminant dans le chemin de roulement du châssis inférieur ne sont pas en butée dans les chemins de roulement des châssis inférieur et supérieur selon une première option, ou encore dans une position où dans laquelle l’organe de roulement arrive simultanément en butée contre une tampon élastomère (TP2) selon une seconde option.
  10. Siège selon la revendication 9, selon la première option pour laquelle mécanisme du système de suspension est dépourvu de tampon élastomère, en particulier interne à un chemin de roulement assurant un amortissement en fin de course haute de la suspension.
  11. Siège de véhicule selon l’une des revendications 1 à 10, comportant un système de glissière présentant au moins une glissière (3, 4) comportant une première partie (30,40), fixe, destinée à être ancrée au plancher du véhicule et une deuxième partie (31,41), mobile, coulissante rapport à la première partie sur laquelle est solidarisé ledit châssis inférieure (51), et dans lequel ledit au moins un lien souple (6,7) est lié à sa partie basse au châssis inférieur, ou encore lié à sa partie basse à la deuxième partie mobile de la glissière.
  12. Siège selon l’une des revendications 1 à 11 dans lequel ledit châssis supérieur (50) comprend une extension latérale s’étendant suivant un direction transversale (Y) du siège comportant un orifice d’ancrage (Ac) pour une ceinture de sécurité, en particulier un orifice d’ancrage pour le pédoncule d’une ceinture de sécurité et dans lequel ledit au moins un lien souple (6,7) est accroché sur ladite extension latérale, ledit au moins un premier brin (B1) et ledit au moins un deuxième brin (B2), par exemple décalés suivant la direction longitudinale X, de part et d’autre de ladite extension latérale (500, 501).
  13. Siège selon les revendications 11 et 12 dans lequel le système de suspension (5) comprend un soufflet (53), tubulaire protégeant le mécanisme comportant l’organe de suspension (52) reçu intérieurement au soufflet, le soufflet reliant le châssis inférieur (51) et le châssis supérieur (50), ledit au moins lien souple (6, 7) étant en prise avec ladite extension latérale (500, 501) du châssis supérieur, saillante latéralement selon une direction Y, ladite au moins une extension latérale (500, 501) venant en porte à faux du soufflet, en s’étendant au-dessus de ladite au moins une glissière (3, 4), du côté de ladite au moins une glissière (3, 4).
  14. Siège selon les revendications 3 ou 4 et 12 ou 13, dans lequel ledit organe élastomère (OE) est intercalé entre l’extension latérale (500 ;501) et la portion intermédiaire (Pint) dudit au moins un lien souple (6,7), comprimé entre la portion intermédiaire (Pint) dudit au moins un lien souple (6,7) et ladite extension latérale (500, 501) dudit châssis supérieur (500) lors de la mise en tension dudit au moins un lien souple (6,7).
  15. Procédé de fabrication d’un siège selon l’une quelconque des revendication 1 à 14 comprenant les étapes suivantes :
    - une fourniture d’un siège (1) comprenant une assise (2) comprenant un châssis d’assise (20) et un système de suspension (5) destiné à être intercalé entre le châssis d’assise (2) le plancher d’un véhicule, comportant un châssis supérieur (50) et un châssis inférieur (51) entre lesquels est interposé un mécanisme comportant un organe de suspension élastique (52), ledit système de suspension étant destiné à être fixé par son châssis inférieur au plancher, ledit système de suspension étant configuré pour autoriser un déplacement vertical du châssis supérieur (50) par rapport au châssis inférieur (51), une force de rappel de organe de suspension élastique (52) étant configurée pour déplacer le châssis supérieur (50) par rapport au châssis inférieur (51), et selon une fin de course supérieure déterminée par le mécanisme du système de suspension,
    - la mise en place d’un système de limitation du débattement de l’assise par rapport au plancher comportant au moins un lien souple (6, 7), reliant le châssis supérieur (50) au châssis inférieur(51) configuré pour se tendre lors d’un basculement du châssis d’assise (20) par rapport au plancher, et ainsi du châssis supérieur (50) par rapport au châssis inférieur (51), en limitant l’amplitude du basculement lors d’un crash, et la mise en place dudit au moins lien souple configuré pour se tendre dans une position de repos du siège pour assurer un arrêt du châssis supérieur (50) par rapport au châssis inférieur( 51) en une position haute du châssis supérieur, lorsque la force de rappel de l’organe de suspension élastique (52) déplace le châssis supérieur (50) par rapport au châssis inférieur (51), ledit au moins un lien souple étant couplé à un organe élastomère (OE) configuré pour assurer un amortissement en une fin de course haute du châssis supérieur (50) par rapport au châssis inférieur (51) déterminée par ledit au moins lien souple (6,7) qui précède la fin de course haute déterminée par le mécanisme du système de suspension.
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