FR3095684A1 - Connecteur enfichable pour conduits de milieu - Google Patents

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FR2003971A
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Alexander Oberdörfer
Lukas Röhrig
Andreas Baensch
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Voss Automotive GmbH
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Voss Automotive GmbH
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    • F16ENGINEERING ELEMENTS AND UNITS; GENERAL MEASURES FOR PRODUCING AND MAINTAINING EFFECTIVE FUNCTIONING OF MACHINES OR INSTALLATIONS; THERMAL INSULATION IN GENERAL
    • F16LPIPES; JOINTS OR FITTINGS FOR PIPES; SUPPORTS FOR PIPES, CABLES OR PROTECTIVE TUBING; MEANS FOR THERMAL INSULATION IN GENERAL
    • F16L37/00Couplings of the quick-acting type
    • F16L37/08Couplings of the quick-acting type in which the connection between abutting or axially overlapping ends is maintained by locking members
    • F16L37/12Couplings of the quick-acting type in which the connection between abutting or axially overlapping ends is maintained by locking members using hooks, pawls or other movable or insertable locking members
    • F16L37/14Joints secured by inserting between mating surfaces an element, e.g. a piece of wire, a pin, a chain
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    • F16L37/084Couplings of the quick-acting type in which the connection between abutting or axially overlapping ends is maintained by locking members combined with automatic locking
    • F16L37/088Couplings of the quick-acting type in which the connection between abutting or axially overlapping ends is maintained by locking members combined with automatic locking by means of a split elastic ring
    • F16L37/0885Couplings of the quick-acting type in which the connection between abutting or axially overlapping ends is maintained by locking members combined with automatic locking by means of a split elastic ring with access to the split elastic ring from a radial or tangential opening in the coupling

Abstract

Connecteur enfichable pour des raccords de tuyau flexible et/ou de tube. L’invention concerne un connecteur enfichable pour raccorder un tuyau flexible ou un tube, comprenant une partie de couplage, dans laquelle une partie formant fiche peut être enfichée, et un étrier de retenue 3 présentant quatre bras d’enclenchement 15a, 15b, qui peut être prémonté au niveau de la partie de couplage par un enfilement radial selon une direction d’enfilement. L’étrier 3 est en forme de U dont les branches réalisent deux paires 15a/15b, 16a/16b de bras élastiques diamétralement opposés les uns aux autres, disposés les uns derrière les autres dans la direction axiale. Des faces inclinées 21a, 21b, divergeant dans le sens opposé à la direction d’introduction, se trouvent sur un côté, tourné vers la direction d’enfichage, de la première paire 15a/15b de bras. Les faces 21a, 21b sont disposées respectivement sur des dents 14a, 14b dirigées vers l’intérieur sous l’axe d’embrochage, les dents présentant entre elles une distance telle que les faces 21a, 21b sont écartées lors de l’introduction de la partie formant fiche par une section d’étanchéité se situant devant un collet de la partie formant fiche. Figure 2

Description

Connecteur enfichable pour des raccords de tuyau flexible et/ou de tube.
L’invention concerne un connecteur enfichable pour des raccordements de tuyau flexible et/ou de tube, comprenant
- une partie de couplage avec une ouverture de logement, dans laquelle une partie formant fiche peut être enfichée par une tige de fiche présentant un collet dans une direction d’enfichage le long d’un axe d’embrochage, et
- un étrier de retenue entaillé de manière radiale, au moins par endroits élastique à la manière d’un ressort, présentant quatre bras d’enclenchement, qui peut être prémonté au niveau de la partie de couplage par un enfilement radial dans une direction d’enfilement, et
  1. adopte dans une position de prémontage une position d’introduction pour la partie formant fiche, dans laquelle la partie formant fiche peut être introduite par l’étrier de retenue dans l’ouverture de logement, et
  2. adopte dans une position de montage après l’introduction de la partie formant fiche une position de retenue pour la partie formant fiche enfichée, dans laquelle la partie formant fiche peut être bloquée par complémentarité de forme pour empêcher tout retrait, dans lequel
  3. l’étrier de retenue est réalisé du point de vue de la forme de base – vue en direction de l’axe d’embrochage – en forme de U, et les branches du U réalisent deux paires de bras d’enclenchement diamétralement opposés l’un l’autre, qui sont disposés l’un derrière l’autre dans la direction axiale, sont séparés l’un de l’autre respectivement par une entaille et sont élastiques à la manière de ressort à la fois dans la direction radiale et dans la direction axiale, dans lequel
  4. se trouvent, sur un côté, tourné vers la direction d’enfichage de la partie formant fiche, de la première paire de bras d’enclenchement, qui se situe sur un côté, tourné vers la direction d’enfichage de la partie formant fiche, de l’étrier de retenue, respectivement des faces inclinées avant, qui divergent dans le sens opposé à la direction d’introduction de la partie formant fiche pour coopérer avec la partie formant fiche.
Un connecteur enfichable de ce type est connu par exemple d’après le document WO 2017/067950 A1, étant entendu que la solution technique décrite dans celui-ci fournit un connecteur enfichable, dans lequel à la fois l’opération de prémontage de l’étrier de retenue et l’opération de montage et de démontage de la partie formant fiche sont améliorées par rapport à l’état de la technique connu antérieurement. Dans ce cadre, l’étrier de retenue peut également en particulier être bloqué pour empêcher de le perdre. Les paires situées les unes derrière les autres axialement de bras de ressort remplissent ce faisant diverses fonctions. La première paire de bras d’enclenchement remplit une fonction principale, en ce qu’elle bloque la partie formant fiche par complémentarité de forme dans la position de retenue pour empêcher tout retrait, et la deuxième paire de bras d’enclenchement remplit une fonction secondaire en ce qu’elle retient de manière imperdable dans la partie de couplage l’étrier de retenue à la fois dans la position de prémontage et dans la position de montage. Dans le connecteur enfichable connu, en particulier la position de prémontage et la position de montage de l’étrier de retenue coïncident, en d’autres termes l’étrier de retenue est orienté dans les deux positions – la position de prémontage et la position de montage – de manière coaxiale par rapport à l’axe de la partie de couplage.
La première paire de bras d’enclenchement, laquelle bloque la partie formant fiche par complémentarité de forme dans la position de retenue pour empêcher tout retrait et qui se situe sur un côté, tourné vers la direction d’enfichage de la partie formant fiche, de l’étrier de retenue quand l’étrier de retenue se trouve dans la position d’introduction et dans la position de retenue dans la partie de couplage, présente en particulier sur un côté, tourné vers la direction d’enfichage de la partie formant fiche, des bras d’enclenchement respectivement des faces inclinées, qui divergent dans le sens opposé à la direction d’introduction de la partie formant fiche pour coopérer avec la partie formant fiche, à savoir avec son collet. Lesdites faces inclinées situées sur le côté tourné vers la direction d’enfichage de la partie formant fiche peuvent également être désignées en tant que « faces inclinées avant ». L’introduction de la partie formant fiche dans l’étrier de retenue aux fins du montage est simplifiée par lesdites faces inclinées avant, dans la mesure où elles agissent en tant que faces de guidage centrant la partie formant fiche.
Lors de l’embrochage de la partie formant fiche, le collet de partie formant fiche vient buter en premier lieu sur lesdites faces inclinées, formées de préférence à partir de zones chanfreinées, des bras de ressort de l’étrier de retenue, étant entendu qu’alors l’étrier de retenue est élargi radialement du fait d’un glissement du collet sur les faces inclinées – donc les bras de ressort d’une paire sont poussés l’un à l’encontre de l’autre vers l’extérieur, et la partie formant fiche peut s’enclencher derrière les bras de ressort avant, lesquels présentent les faces inclinées. Les bras de ressort reviennent alors à nouveau radialement vers l’intérieur et parviennent de cette manière dans leur position de départ.
Il est prévu en particulier dans le cas présent que les faces inclinées sont formées respectivement à partir d’au moins deux faces partielles, qui présentent différents angles de divergence dans le sens opposé à la direction d’introduction de la partie formant fiche. Respectivement une première face partielle, qui se trouve au niveau de l’extrémité libre du bras d’enclenchement respectif, présente avantageusement un angle de divergence inférieur à l’angle de divergence d’une deuxième face partielle, qui se trouve dans une zone centrale du bras d’enclenchement. La première face partielle rentre l’étrier de retenue avant son écartement, ce qui est important en particulier du point de vue selon lequel l’étrier de retenue peut présenter dans la position de prémontage de préférence un jeu pour un déplacement radial. La première face partielle respective doit à cet effet être agencée axialement en amont de la deuxième face partielle respective en direction de l’ouverture de couplage de telle manière que le collet de la partie formant fiche coopère lors de l’introduction de manière significative avec ladite première face partielle – et pas encore avec la deuxième face partielle -. Le collet de retenue de la partie formant fiche vient alors en contact en premier lieu avec la face inclinée partielle et reste toujours en contact, alors lors du déplacement vers l’avant de la partie formant fiche dans la direction d’embrochage, avec la deuxième face inclinée partielle. Cela peut être obtenu en particulier en ce que la première face partielle est placée selon un angle plus raide par rapport à l’axe médian que la deuxième face partielle se trouvant dans la zone centrale. La deuxième face partielle est efficace ainsi dans le prolongement de la première face partielle et écarte l’étrier de retenue radialement jusque dans sa position d’ouverture de sorte que le collet de la partie formant fiche peut passer axialement par la première paire de bras d’enclenchement. Puis, les bras d’enclenchement reviennent radialement à l’arrière du collet de la partie formant fiche et bloquent celle-ci pour empêcher tout retrait. Les faces inclinées partielles découpent donc avantageusement le déplacement intégral de bras d’enclenchement en déplacements individuels se suivant les uns les autres.
Le connecteur enfichable connu a fait ses preuves dans les faits et fait partie intégrante dans l’intervalle du « système d’enfichage VOSS 241N » de la demandeuse disponible sur le marché, lequel comprend différentes variantes de connecteurs enfichables droits et coudés et différentes réalisations de l’étrier de retenue. Dans toutes ces variantes, un raccordement est établi par emboîtement de la partie de couplage et de la partie formant fiche, en particulier d’une fiche mâle réalisée selon la norme SAE J 2044 après un enfichage de l’étrier de retenue dans la partie de couplage.
Une partie formant fiche de ce type, donc une fiche mâle réalisée selon la norme SAE J 2044, est décrite également de manière détaillée dans le document WO 2017/067950 A1. La partie formant fiche est réalisée en forme de cylindre creux. Elle présente une section d’enfichage, au niveau de la périphérie extérieure de laquelle est disposé un collet périphérique. Le collet divise la section d’enfichage en une section d’étanchéité et en une section de verrouillage, étant entendu que la section d’étanchéité est disposée axialement, donc sur l’axe longitudinal de la partie formant fiche, dans la direction d’enfichage devant la section de verrouillage. Dans l’état de montage, l’étrier de retenue s’engage derrière le collet réalisé dans le contour de fiche SAE. Une garniture d’étanchéité repose habituellement sur la section d’étanchéité après l’embrochage de la fiche.
Le système d’embrochage évoqué trouve application dans le secteur de l’automobile, à savoir en particulier dans des systèmes de carburant tout comme dans des systèmes SCR chauffés et non chauffés. SCR signifie dans ce cadre « Selective catalytic reduction [réduction catalytique sélective] » et désigne une technique servant à réduire des oxydes d’azote dans des gaz d’échappement. Dans la technique automobile, le procédé SCR est utilisé depuis son introduction en 2004 pour abaisser les émissions d’oxyde d’azote dans les véhicules diesel. Des véhicules utilitaires peuvent à l’aide de ladite technique respecter la norme Euro-5 et les véhicules de tourisme peuvent respecter la norme américaine BIN-5 très stricte ainsi que la norme Euro-6. Est guidée en règle générale dans les conduits des systèmes SCR une solution aqueuse d’urée, qui est désignée dans l’industrie par le terme AdBlue et dont la composition est régulée par la norme DIN 70070 ou ISO 22241-1. Cette solution aqueuse est injectée avant le catalyseur SCR dans le système de gaz d’échappement, par exemple au moyen d’une pompe de dosage ou d’un injecteur.
La présente invention vise au sens d’une flexibilisation du système d’embrochage connu à proposer un connecteur enfichable du type mentionné en introduction, qui peut être fabriqué avec peu de moyens tout en garantissant une fonctionnalité élevée et un montage et démontage simplifiés.
L’objectif est atteint selon l’invention par une connecteur enfichable pour des raccords de tuyau flexible et/ou de tube, comprenant :
- une partie de couplage avec une ouverture de logement, dans laquelle une partie formant fiche peut être enfichée par une tige de fiche présentant un collet dans une direction d’enfichage le long d’un axe d’embrochage ;
- un étrier de retenue entaillé de manière radiale, au moins par endroits élastique à la manière d’un ressort, présentant quatre bras d’enclenchement, qui peut être monté au préalable au niveau de la partie de couplage par un enfilement radial dans une direction d’enfilement ; et,
a) adopte dans une position de prémontage une position d’introduction pour la partie formant fiche, dans laquelle la partie formant fiche peut être introduite dans l’ouverture de logement par l’étrier de retenue, et
b) adopte dans une position de montage, après l’introduction de la partie formant fiche, une position de retenue pour la partie formant fiche enfichée, dans laquelle la partie formant fiche peut être bloquée par complémentarité de forme pour empêcher tout retrait dans l’ouverture de logement au moyen de l’étrier de retenue, dans lequel
c) l’étrier de retenue est réalisé du point de vue de la forme de base – vu en direction de l’axe d’embrochage – en forme de U et les branches du U réalisent deux paires de bras d’enclenchement diamétralement opposés l’un à l’autre, qui sont disposés l’un derrière l’autre dans la direction axiale, sont séparés l’un de l’autre respectivement par une entaille et sont élastiques à la manière d’un ressort dans la direction radiale et dans la direction axiale, dans lequel
d) se trouvent, sur un côté, tourné vers la direction d’enfichage de la partie formant fiche, de la première paire de bras d’enclenchement, qui se situe sur un côté, tourné vers la direction d’enfichage de la partie formant fiche, de l’étrier de retenue, respectivement des faces inclinées avant, qui divergent lors de la coopération avec la partie formant fiche dans le sens opposé à la direction d’introduction de la partie formant fiche,
caractérisé en ce que les faces inclinées avant sont disposées sous l’axe d’embrochage respectivement sur des dents, dirigées radialement vers l’intérieur – en direction de l’axe d’embrochage –, de la première paire de bras d’enclenchement – vues dans la direction d’enfilement de l’étrier de retenue, dans lequel les dents présentent les unes des autres une distance telle que les faces inclinées avant sont écartées lors de l’introduction de la partie formant fiche par une section d’étanchéité de la partie formant fiche, qui se situe dans la direction d’enfichage devant un collet de la partie formant fiche.
Par voie de conséquence, il est prévu que les faces inclinées avant sont disposées respectivement sur des dents, dirigées radialement vers l’intérieur – en direction de l’axe d’embrochage -, de la première paire de bras d’enclenchement – dans la direction d’enfilement de l’étrier de retenue – sous l’axe d’embrochage, étant entendu que les dents sont tenues à distance les unes des autres de telle manière que les faces inclinées avant sont écartées lors de l’introduction de la partie formant fiche par une section d’étanchéité de la partie formant fiche, qui se situe dans la direction d’enfichage devant un collet de la partie formant fiche.
Comme dans l’état de la technique, les paires situées les unes derrière les autres de bras de ressort remplissent selon l’invention différentes fonctions, étant entendu que toutefois l’art et la manière de remplir ladite fonction se distinguent dans le détail de l’état de la technique. La paire tournée vers la direction d’enfichage de la partie formant fiche sert à remplir la fonction principale de l’établissement du raccordement, donc pour enclencher de manière radiale la partie formant fiche, tandis que la paire opposée dans la direction axiale à la direction d’enfichage de la partie formant fiche sert à remplir des fonctions secondaires.
Du fait que les faces inclinées avant soient disposées selon l’invention sur les dents, dirigées radialement vers l’intérieur, de la première paire de bras d’enclenchement sous l’axe d’embrochage et que les dents sont réalisées de telle manière que leurs faces inclinées n’entrent pas en interaction, lors de l’introduction de la partie formant fiche d’abord – ainsi que cela est connu – avec le collet de la partie formant fiche, mais déjà avec sa section d’étanchéité, qui présente un diamètre extérieur plus petit que le collet, l’écartement des bras d’enclenchement commence avantageusement déjà à un stade antérieur du mouvement d’enfichage à celui du connecteur enfichable connu décrit plus haut. Une séparation des faces inclinées en respectivement au moins deux faces partielles, qui présentent des angles de divergence différents dans le sens opposé à la direction d’introduction de la partie formant fiche, n’est dans ce cadre pas nécessaire. Ainsi, l’invention réduit avantageusement les moyens de construction par rapport au connecteur enfichable connu d’après l’état de la technique.
D’autre part, la position de prémontage et la position de montage de l’étrier de retenue ne doivent pas non plus – ainsi que cela est connu – coïncider dans le connecteur enfichable selon l’invention, en d’autres termes l’étrier de retenue n’est pas orienté dans sa position de prémontage de manière coaxiale par rapport à l’axe de la partie de couplage, mais seulement dans sa position de montage. Lors de l’enfichage de la partie formant fiche, l’étrier de retenue n’exerce pas – ainsi que cela est connu – en première ligne une action de centrage sur la partie formant fiche, l’étrier de retenue est déplacé bien au contraire depuis sa position de prémontage excentrée et ainsi facilement identifiable visuellement avantageusement par la partie formant fiche radialement vers l’intérieur sur sa position de montage. Dans ce cadre, la partie avant de la fiche garantit un déplacement partiel sur la position de montage.
Dans une réalisation avantageuse de l’invention, il peut être prévu par ailleurs que se trouvent, sur un côté, opposé à la direction d’enfichage de la partie formant fiche, des dents de la première paire de bras d’enclenchement, respectivement des faces inclinées arrière, qui convergent dans le sens opposé à la direction d’introduction de la partie formant fiche pour coopérer avec le collet de la partie formant fiche. Les faces inclinées arrière, qui peuvent être réalisées tout comme les faces inclinées avant avantageusement en tant que chanfreins, servent à rendre possible que la partie formant fiche puisse être desserrée à nouveau aisément aux fins du démontage ou puisse être retirée hors de l’étrier. Elles entraînent lors d’un déplacement arrière de la partie formant fiche, donc lors d’un déplacement dans le sens opposé à la direction d’enfichage, un écartement de la première paire de bras de ressort.
Dans la mesure où les bras de ressort s’enclenchent ou les bras d’enclenchement reviennent, les termes « bras d’enclenchement » et « bras de ressort » sont utilisés conformément à la présente demande comme des synonymes.
Pour verrouiller l’étrier de retenue, des cames avec des pointes dirigées les unes à l’encontre des autres vers l’intérieur peuvent se trouver respectivement de manière préférée respectivement au niveau des bras de ressort de la deuxième paire de bras de ressort, qui est opposée, dans la position d’introduction et dans la position de retenue de l’étrier de retenue, à une paroi frontale, tournée vers la direction d’introduction de la partie formant fiche, de la partie de couplage, au niveau des extrémités libres des bras de ressort. Lors d’un enfilement radial, terminant le montage, de l’étrier de retenue dans la partie de couplage, lesdits bras de ressort peuvent être écartés et déviés radialement si loin par l’intermédiaire de préférence de faces inclinées se trouvant de préférence au niveau des cames des bras de ressort arrière qu’ils glissent de part et d’autre le long d’un élément de blocage de la partie de couplage et peuvent alors venir en prise par l’arrière ou par en dessous avec celui-ci après un retour vers l’intérieur radialement. Dans ce cadre une partie de verrouillage supplémentaire n’est pas nécessaire. L’élément de blocage de la partie de couplage peut présenter, pour coopérer avec les cames de la deuxième paire de bras de ressort, des contours de retenue complémentaires, qui peuvent être réalisés avantageusement également au niveau de l’élément de blocage, à savoir de part et d’autre, en tant que parties faisant saillie de retenue. Il peut être prévu en tant qu’autre fonction secondaire de la deuxième paire de bras de ressort d’empêcher que l’étrier ne puisse être verrouillé sans partie formant fiche, ce qui peut être entraîné par une réalisation spécifique des cames et est expliqué ci-après de manière plus détaillée dans le cadre de la description de l’exemple de réalisation préféré.
Pour coopérer avec le collet de la partie formant fiche, peuvent se trouver, au niveau des bras d’enclenchement de la paire de bras d’enclenchement, qui est opposée dans la position d’introduction et dans la position de maintien de l’étrier de retenue à une paroi frontale, tournée vers la direction d’introduction, de la partie formant fiche, de la partie de couplage, des bombements concaves dirigés radialement vers l’intérieur dans une zone centrale
L’ensemble de l’étrier de retenue peut être réalisé dans ce cadre d’un seul tenant, en particulier avantageusement en tant qu’une pièce moulée de coulée par injection constituée de matière plastique dans une réalisation simple sur le plan de la technique de production en ce qu’il est réalisé du point de vue de la forme de base – vu en direction de l’axe longitudinal, en particulier en forme de U. Dans ce cadre, les branches du U forment deux paires de bras de ressort diamétralement opposés l’un l’autre, en d’autres termes au total quatre bras de ressort. Les paires des bras de ressort sont ce faisant disposées l’une derrière l’autre dans une direction axiale, et les bras de ressort situés axialement les uns derrière les autres sont séparés respectivement par une entaille. Ainsi, les bras de ressort peuvent être comprimés lors du prémontage de l’étrier de retenue et également aux fins du démontage dans la direction axiale. Une zone rainurée destinée à s’engager manuellement en vue du démontage peut se trouver avantageusement au niveau du côté situé à l’extérieur radialement des branches du U.
La partie de couplage peut comprendre un corps de base, réalisé en particulier en tant que partie de manchon, et un corps de logement, en particulier annulaire du point de vue de la forme de base, pour l’étrier de retenue, qui peuvent être raccordés l’un à l’autre ou sont raccordés l’un à l’autre dans l’état de montage de préférence par l’intermédiaire d’un raccordement par liaison de matière, tel que par un soudage laser. Comme l’étrier de retenue, la partie de couplage peut être réalisée ou ses parties peuvent être réalisées en tant que pièces moulées de coulée par injection constituées de matière plastique dans une réalisation simple sur le plan de la technique de production.
la partie de couplage peut former pour l’étrier de retenue, en particulier par son corps de logement pour l’étrier de retenue, un boîtier cylindrique creux du point de vue de la forme de base, fermé respectivement au niveau des parois frontales respectives du cylindre creux, lequel présente sur deux côtés diamétralement opposés l’un l’autre, des ouvertures à circonférence correspondante, destinées à traverser l’étrier de retenue, en particulier une ouverture d’introduction et une ouverture de sortie.
Une garniture d’étanchéité peut être disposée dans la partie de couplage, en particulier dans son corps de base, laquelle comprend de préférence deux bagues d’étanchéité, en particulier des joints toriques élastomères et, de manière intercalée, une bague d’espacement.
Dans une réalisation préférée du connecteur enfichable selon l’invention, il peut être prévu que se trouvent, respectivement au niveau des bras de ressort ou d’enclenchement de la paire, qui est tournée, dans la position d’introduction et dans la position de retenue de l’étrier de retenue, vers une paroi frontale, tournée vers la direction d’introduction de la partie formant fiche, de la partie de couplage, en particulier dans une zone centrale des bras de ressort, des tenons de guidage destinés à venir en prise dans des entailles de guidage complémentaires de la partie de couplage. Grâce à ces tenons de guidage se trouvant dans le contour de guidage d’entaille de la partie de couplage, en particulier dans son logement d’étrier de retenue formé par le corps de logement, de l’étrier de retenue, l’étrier de retenue peut être guidé avantageusement pendant le déroulement du déplacement de montage dans le connecteur enfichable selon l’invention et être bloqué pour empêcher toute rotation autour de l’axe d’embrochage de partie formant fiche.
Peuvent se trouver, respectivement au niveau des bras d’enclenchement d’une paire de bras d’enclenchement, qui est opposée à une paroi frontale, tournée vers la direction d’introduction de la partie formant fiche, de la partie de couplage, des nervures de guidage longitudinal ou des patins de guidage longitudinal dirigés à la manière de sécantes par rapport à la partie de couplage, servant à coopérer avec au moins un guidage complémentaire dans une paroi frontale, opposée à la direction d’introduction de la partie formant fiche, de la partie de couplage. Les nervures de guidage longitudinal ou les patins de guidage longitudinal dirigés à la manière de sécantes par rapport à la partie de couplage peuvent être disposés de part et d’autre d’une/de la zone de raccordement ou dans une/la zone de raccordement, dans laquelle les bras d’enclenchement sont reliés les uns aux autres.
La paroi frontale tournée vers la direction d’introduction de la partie formant fiche peut être désignée par ailleurs également comme paroi frontale avant, et la paire de bras de ressort tournée vers ladite paroi frontale peut être désignée comme paire avant, alors que la paroi frontale, opposée à la direction d’introduction de la partie formant fiche, du corps de logement pour l’étrier de retenue est désignée par ailleurs également en tant que paroi frontale arrière et la paire de bras de ressort tournée vers ladite paroi frontale est désignée comme paire arrière.
Dans le système évoqué en introduction, dans lequel l’invention peut trouver application, des exigences élevées résultant des conditions de sollicitation sont imposées en particulier aux conduits de fluide pouvant être chauffés. Ces exigences concernent en particulier l’apparition possible de températures élevées, qui peuvent se situer, en certains emplacements du système ou des conduits, par exemple dans la plage de 140 °C à 180 °C, voire brièvement dans la plage allant jusqu’à 200 °C. Du reste, il faut s’attendre à l’apparition de pressions absolues élevées, qui se situent habituellement dans la plage de 5 bar à 10 bar, en partie également dans la plage allant jusqu’à 15 bar. Peuvent se former des pulsations de pression, qui doivent être compensées, ainsi que des variations de volume, qui sont liées par exemple à la congélation en présence de gel et à la décongélation du fluide. On parle ici, eu égard à la grandeur de contrainte, de ce qu’on appelle une résistance à la pression de la glace du conduit. Un connecteur enfichable selon l’invention est avantageusement à la hauteur de ces exigences.
D’autres configurations avantageuses de l’invention ressortent de la description des figures qui suit et des sous-revendications dépendantes.
On peut voir sur :
est une perspective tridimensionnelle partielle d’un connecteur enfichable selon l’invention, y compris une vue d’en haut d’une partie formant fiche conventionnelle ;
est une perspective tridimensionnelle d‘un mode de réalisation préféré d’un étrier de retenue d’un connecteur enfichable selon l’invention donnant sur le côté avant ;
est une perspective tridimensionnelle d‘un mode de réalisation préféré d’un étrier de retenue d’un connecteur enfichable selon l’invention donnant sur le côté arrière ;
est une vue frontale du connecteur enfichable selon l’invention dans l’état de prémontage ;
est une vue latérale, selon une échelle légèrement inférieure par rapport à la fig. 4, du connecteur enfichable selon l’invention représenté sur la fig. 4 ;
est une coupe transversale du connecteur enfichable selon l’invention dans le plan A-A selon la fig. 5 ;
est une autre coupe transversale du connecteur enfichable selon l’invention avec une position de la partie formant fiche lors de son introduction comme sur la fig. 8 ;
est une vue frontale du connecteur enfichable selon l’invention, similaire à celui de la fig. 4, toutefois lors de l’introduction de la partie formant fiche ;
est une coupe longitudinale du connecteur enfichable selon l’invention dans le plan de coupe A-A selon la fig. 8 ;
est une coupe transversale du connecteur enfichable selon l’invention dans le plan D-D selon la fig. 10 ;
est une vue latérale selon une échelle légèrement inférieure par rapport à la fig. 9 du connecteur enfichable selon l’invention représenté sur la fig. 9 ;
est une coupe transversale du connecteur enfichable selon l’invention dans le plan A-A selon la fig. 12 ;
est une vue latérale, selon une échelle légèrement inférieure par rapport à la fig. 11 ; du connecteur enfichable selon l’invention représenté sur la fig. 11 ;
est une coupe transversale du connecteur enfichable selon l’invention dans l’état de montage dans un plan, qui s’étend à travers la seconde paire de bras de ressort ;
est une vue frontale du connecteur enfichable selon l’invention, similaire à la fig. 4 et à la fig. 8, toutefois dans l’état de montage ; et
est une perspective tridimensionnelle du connecteur enfichable selon l’invention dans l’état de montage donnant sur le côté frontal ;
est une vue du dessous du connecteur enfichable selon l’invention dans un état de montage intermédiaire pour illustrer une autre variante du verrouillage sous pression de la partie formant fiche.
Des éléments identiques sont systématiquement dotés des mêmes numéros de référence sur les différentes figures et sont par voie de conséquence décrits en règle générale ci-après seulement une fois. Toutefois, dans un souci de clarté, tous les éléments sont désignés par leurs numéros de référence sur toutes les figures.
Concernant la description qui suit, il est revendiqué que l’invention ne se limite pas aux exemples de réalisation et, ce faisant, pas à toutes ou plusieurs caractéristiques de combinaisons de caractéristiques décrites. Bien au contraire, chaque caractéristique partielle individuelle de l’exemple/de chaque exemple de réalisation, même indépendamment de toutes les autres caractéristiques partielles décrites y afférentes est en soi et également en combinaison avec des caractéristiques quelconques d’un autre exemple de réalisation importante pour l’objet de l’invention.
La fig. 1 illustre une représentation partielle individuelle d’un mode de réalisation avantageux d’un connecteur enfichable 1 selon l’invention servant au raccordement d’une partie formant fiche S réalisée en tant que tubulure, en particulier d’une fiche mâle SAE J 2044. Une fiche S de ce type est également illustrée sur la fig. 1 – en parallèle du connecteur enfichable 1 selon l’invention -.
La partie formant fiche S présente une section d’enfichage S1, au niveau de la périphérie extérieure de laquelle est disposé un collet S2 périphérique avec un diamètre D2 agrandi par rapport au reste de la section d’enfichage S1 (diamètre de base S1). La partie formant fiche S est réalisée en forme de cylindre creux. Le collet S2 divise la section d’enfichage S1 en une section d’étanchéité S3 et une section de verrouillage S4, étant entendu que la section d’étanchéité S3 est disposée de manière axiale (axe longitudinal X-X) dans la direction d’enfichage SR devant la section de verrouillage S4. La section d’étanchéité S3 et la section de verrouillage S4 ont un diamètre quasiment identique – à l’exception d’une différence minimale prévue par la norme – (diamètre de base D1 de la section d’enfichage S1. Le diamètre dans la zone de S4 est selon la norme plus grand de manière minimale.) Une garniture d’étanchéité 11, ainsi qu’elle est illustrée à titre d’exemple également sur la fig. 1, repose sur la section d’étanchéité S3 après l’embrochage de la fiche S.
Le connecteur enfichable 1 comprend une partie de couplage 2 et un étrier de retenue 3 au moins par endroits élastique à la manière d’un ressort.
La partie de couplage 2 a un corps de base 4, réalisé en particulier en tant que partie de manchon, et un corps de logement 5, annulaire du point de vue de la forme de base, pour l’étrier de retenue 3, qui peuvent être reliés l’un à l’autre de préférence par l’intermédiaire d’un raccordement par liaison de matière, tel que par un soudage laser. À cette fin, un appendice de raccordement 6 est prévu sur le corps de logement 5. Le corps de base 4 et/ou le corps de logement 5 peuvent être réalisés avantageusement en tant que parties moulées de coulée par injection constituées de matière plastique.
La partie de couplage 2 peut être raccordée d’un côté en particulier à un conduit de fluide non représenté. À cette fin, une section de connexion 7 est réalisée au niveau du corps de base 4. Un conduit de milieu à connecter peut être réalisé en particulier en tant que tuyau flexible ou tube.
Le corps de base 4 de la partie de couplage 2 est réalisé dans ce cadre, pour permettre un chauffage, en tant que pièce de connecteur, dans le cas représenté en tant que pièce de connecteur coudée, qui présente la section de connexion 7 servant au raccordement par connexion du conduit de fluide, et une section de chauffage 8, dans laquelle des moyens de chauffage électriques non représentés peuvent être prévus selon un agencement entourant au moins en partie la partie de couplage 2. Les moyens de chauffage électriques, en particulier des conducteurs de chauffage, peuvent être installés dans ce cadre à l’extérieur sur la partie de couplage 2, des éléments de guidage 9, en particulier des éléments de guidage 9 de forme hélicoïdale étant disposés ou réalisés sur l’enveloppe dans la zone de la section de chauffage 8 de la partie de couplage 2. La totalité du système de couplage peut être naturellement également appliquée pour des conduits non chauffés.
La partie de couplage 2 présente, sur le côté opposé à la section de connexion 7 pour le conduit de milieu, une ouverture de logement 10 servant à enficher la partie formant fiche S.
Pour étanchéifier le raccordement par embrochage, une garniture d’étanchéité 11 est disposée dans la partie de couplage 2, à savoir dans son corps de base 4. La garniture d’étanchéité 11 comprend de préférence deux joints toriques 12 et une bague d’espacement 13 intercalée.
L’étrier de retenue 3 (représentation individuelle sur les fig. 2 et 3) est prémonté au niveau de la partie de couplage 2 et adopte, après une introduction dans la direction de montage M, la position de prémontage représentée sur la fig. 4 à la fig. 6, laquelle constitue la position d’introduction pour la partie formant fiche S. Sans introduction de la partie formant fiche S, l’étrier de retenue 3 ne peut être transféré dans la position de montage, laquelle est représentée sur la fig. 13 à la fig. 15.
Ainsi que les représentations partielles individuelles l’illustrent sur les fig. 2 et 3, l’étrier de retenue 3 peut être réalisé de préférence d’un seul tenant, en particulier en tant qu’une pièce moulée de coulée par injection constituée de matière plastique.
L’étrier de retenue 3 est dans ce cadre réalisé en particulier du point de vue de la forme de base – vu en direction de l’axe longitudinal X-X du connecteur enfichable 1 – en forme de U, étant entendu que les branches du U réalisent deux paires 15a/15b, 16a/16b de bras de ressort 15a, 15b, 16a, 16b diamétralement opposés. Les bras de ressort 15a, 15b, 16a, 16b forment des zones élastiques à la manière de ressort de l’étrier de retenue 3. Les branches du U sont séparées ce faisant par une entaille 17 radiale. On entend par « entaille 17 » ce faisant l’ensemble de l’espace intermédiaire formant l’intérieur du U, entourant l’axe d’embrochage X-X, situé entre les bras de ressort 15a et 15b et les bras de ressort 16a et 16b.
Les paires 15a/15b, 16a/16b des bras de ressort 15a, 15b, 16a, 16b sont disposées l’une derrière l’autre dans une direction axiale X-X et sont également séparées l’une de l’autre par une entaille 18, toutefois par une entaille 18 axiale. L’étrier de retenue 3 est ce faisant réalisé de manière symétrique eu égard à un axe longitudinal Y-Y s’étendant à travers celui-ci.
Grâce à la zone de raccordement 19 des branches du U, qui peut constituer une zone rigide de l’étrier de retenue 3 au moins par endroits élastique à la manière d’un ressort, une face d’actionnement 20 est réalisée pour l’étrier de retenue 3 sur le côté opposé aux extrémités libres des bras de ressort 15a, 15b, 16a, 16b, par l’intermédiaire de laquelle un enfilement radial manuel (flèche M) de l’étrier de retenue 3 dans la partie de couplage 2 peut être effectué.
La paire avant 15a/15b tournée dans la direction axiale X-X vers la direction d’enfichage SR de la partie formant fiche S sert majoritairement à remplir la fonction principale de l’établissement de raccordement, fournit donc les bras d’enclenchement 15a, 15b servant à enclencher de manière radiale la partie formant fiche S, tandis que la paire arrière 16a/16b opposée dans la direction axiale X-X à la direction d’enfichage SR de la partie formant fiche S, sert premièrement à remplir la fonction secondaire selon l’invention du verrouillage de l’étrier de retenue 3 dans sa position de retenue. Ledit verrouillage est illustré en particulier par la fig. 13 – ainsi que cela a déjà été mentionné.
Ainsi que le montre en particulier la fig. 2, se trouvent respectivement au niveau des bras de ressort 15a, 15b de la paire avant 15A/15b sur un coté tourné vers la direction d’enfichage SR de la partie formant fiche S, en particulier au moins dans une zone centrale des bras de ressort 15a, 15b, des faces inclinées 21a, 21b, qui divergent dans le sens opposé à la direction d’introduction SR de la partie formant fiche S pour coopérer avec le collet S2 de la partie formant fiche S.
Il est prévu selon l’invention que lesdites faces inclinées 21a, 21b avant sont disposées respectivement sur des dents 14a, 14b, dirigées radialement vers l’intérieur – en direction de l’axe d’embrochage X-X –, de la première paire 15a/15b de bras d’enclenchement 15a, 15b, 16a, 16b – vues dans la direction d’enfilement M de l’étrier de retenue 3 et ainsi que cela est représenté respectivement sur les figures, sous l’axe d’embrochage X-X, étant entendu que les dents 14a, 14b sont tenues à distance les unes des autres de telle manière (distance A sur la fig. 4) que les faces inclinées avant 21a, 21b sont écartées lors de l’introduction de la partie formant fiche S par une section d’étanchéité S3 de la partie formant fiche S, qui se situe dans la direction d’enfichage SR devant un collet S2 de la partie formant fiche S.
Par ailleurs, il est prévu de manière avantageuse que se trouvent, sur le côté, opposé à la direction d’enfichage SR de la partie formant fiche S, des dents 14a, 14b de la première paire 15a/15b de bras d’enclenchement 15a, 15b, 16a, 16b, respectivement des faces inclinées arrière 22a, 22b, qui convergent dans le sens opposé à la direction d’introduction SR de la partie formant fiche S pour coopérer avec le collet S2 de la partie formant fiche S. Ainsi, les bras d’enclenchement 15a, 15b sont écartés également lors d’un retrait de la partie formant fiche S (dans le sens opposé à la direction d’enfichage SR). Ces faces inclinées arrière 22a, 22b peuvent être réalisées simplement de manière complémentaire aux faces inclinées avant 21a, 21b, donc en symétrie au niveau des dents 14a, 14b ou présenter – comme on peut le voir en particulier sur la fig. 8a – un profil plus raide sur l’axe longitudinal X-X.
Il est prévu par ailleurs que se trouvent respectivement au niveau des bras de ressort 15a, 15b de la paire avant 15A/15b de bras de ressort 15a, 15b, en particulier dans une zone centrale des bras de ressort 15a, 15b, des tenons de guidage 23a, 23b destinés à venir en prise avec des entailles de guidage 24a, 24b complémentaires de la partie de couplage 2.
La coopération des tenons de guidage 23a, 23b avec les entailles de guidage 24a, 24b ressort clairement en particulier des fig. 4, 14 et 15. Ces entailles de guidage 24a, 24b agissant en tant que contours de commande lors de la prise des tenons de guidage 23a, 23b complémentaires se trouvant au niveau des bras de ressort avant 15a, 15b de l’étrier de retenue 3 se trouvent sur la paroi frontale 29, tournée vers la direction d’introduction SR de la partie formant fiche S, de la partie de couplage 2 dans la partie de couplage 2, en particulier dans son corps de logement 5 pour l’étrier de retenue 3. Les entailles de guidage 24a, 24b sont respectivement des trous oblongs avec deux angles d’inflexion K1, K2. Leur forme peut être caractérisée par la configuration d’un éclair stylisé. Les entailles de guidage 24a, 24b s’étendent, en raison de leurs deux points d’inflexion K1, K2 d’abord dans une première section radialement vers l’extérieur puis dans une deuxième section radialement vers l’intérieur et pour finir dans une troisième section à nouveau radialement vers l’extérieur.
Il ressort en particulier de la fig. 3 ainsi que des fig. 6, 7 et 11 que se trouvent, au niveau des bras de ressort 16a, 16b d’une paire arrière 16a/16b de bras de ressort 16a, 16b, en particulier de part et d’autre d’une zone de raccordement 19 ou encore dans la zone de raccordement 19, dans laquelle les bras de ressort 15a, 15b, 16a, 16b sont raccordés entre eux, des nervures de guidage longitudinal 25a, 25b dirigées à la manière de sécantes vers la partie de couplage 2, servant à coopérer avec un contour de guidage 26 complémentaire disposé au centre entre les nervures de guidage longitudinal 25a, 25b dans une paroi frontale, opposée à la direction d’introduction SR de la partie formant fiche S, de la partie de couplage 2.
Il est par ailleurs clair sur la base des fig. 2, 3, 6, 11 et 13 que sont réalisées, au niveau des bras de ressort 16a, 16b de la paire arrière 16a/16b de bras de ressort 15a, 15b, 16a, 16b, qui est opposée à la direction d’introduction de la partie formant fiche S, au niveau des extrémités libres, respectivement des cames 27a, 27b avec des pointes dirigées les unes à l’encontre des autres vers l’intérieur et une face de base GF, en particulier plane.
La partie de couplage 2 forme, en particulier par son corps de logement 5 pour l’étrier de retenue 2, un boîtier cylindrique creux du point de vue de la configuration principale, respectivement fermé au niveau des parois frontales 29, 30 respectives du cylindre creux ou une cage pour l’étrier de retenue 3 (voir fig. 1 et fig. 4 à 15). Dans ce cadre, elle présente sur deux côtés diamétralement opposés l’un par rapport à l’autre des ouvertures 31, 32 conformes à la périphérie servant à traverser l’étrier de retenue 3, en particulier une ouverture d’introduction 31 (sur les représentations figuratives respectivement en haut) et une ouverture de sortie 32 (sur les représentations figuratives respectivement en bas).
Par ailleurs, les fig. 1, 6, 11 et 13 montrent en particulier que se trouve dans la partie de couplage 2, en particulier au centre dans la zone de l’ouverture de sortie 32 du corps de logement 5 de la partie de couplage 2, un élément de blocage 33 avec respectivement un contre-contour 34a, 34b pour la butée des faces de base planes des cames 27a, 27b disposées côté extrémité au niveau des bras de ressort 16a, 16b (voir fig. 6). Les cames 27a, 27b et les contre-contours 34a, 34b représentent ce faisant – ainsi que cela a été mentionné – également des moyens de blocage amovibles des bras de ressort arrière 16a, 16b de l’étrier de retenue 3 dans la mesure où ils peuvent réaliser un raccordement à force et par complémentarité de forme entre l’étrier de retenue 3 et la partie de couplage 2, ainsi que cela est montré sur la fig. 13. Ainsi, les bras de ressort arrière 16a, 16b ont deux fonctions secondaires – une fois en tant que moyens de blocage et une fois en tant qu’écarteurs.
Aux fins du montage du connecteur enfichable 1 selon l’invention, la garniture d’étanchéité 11 puis le corps de logement 5 sont insérés en premier lieu (voir à ce sujet la fig. 1) dans le corps de base 4 de la partie de couplage 2. Puis, le corps de base 4 et le corps de logement 5 sont raccordés l’un à l’autre en particulier par liaison de matière – par exemple par soudage laser.
Puis, l’étrier de retenue 3 est inséré dans la partie de couplage 2 (respectivement flèche M sur les fig. 1 et 4) si bien que l’état de prémontage représenté sur les fig. 4 à 6 apparaît. L’étrier de retenue 3 est guidé en premier lieu de manière transversale par rapport à la direction d’enfichage SR de la partie formant fiche S à travers l’ouverture d’introduction 31, ce qui peut être facilité par des biseaux d’introduction présents en option (non désignés) au niveau du corps de logement 5 de la partie de couplage 2. Pour insérer l’étrier de retenue 3, ses paires de bras de ressort 15a/15b, 16a/16b sont pressées l’une contre l’autre axialement, ce qui est permis par l’entaille 18. On évite ainsi avantageusement de coincer ou de bloquer l’étrier de retenue 3 dans la partie de couplage 2 dans la mesure où les nervures de guidage longitudinal 25a, 25b glissent de part et d’autre le long du contour de guidage 26 complémentaire disposé entre elles de la partie de couplage 2.
L’étrier de retenue 3 peut être monté en principe mais également déjà avant le raccordement – effectué par exemple par soudage – du corps de base 4 et du corps de logement 5.
Puis, les paires de bras de ressort 15a/15b, 16a/16b sont relâchées si bien que les tenons de guidage 23a, 23b des bras de ressort avant 15a, 15b viennent en prise avec les entailles de guidage 24a, 24b complémentaires (fig. 4). Les tenons de guidage 23a, 23b des bras de ressort 15a, 15b viennent buter ce faisant dans les entailles de guidage 24a, 24b en haut côté extrémité si bien qu’un déplacement de retour de l’étrier de retenue 3 est bloqué. L’étrier de retenue 3 fait ce faisant saillie de la périphérie extérieure de la partie de couplage 2.
Ainsi que l’illustrent les fig. 4 à 6, lors de la tentative de pousser l’étrier de retenue 3 sans la partie formant fiche S embrochée (la partie formant fiche S n’est pas représentée en coupe sur les fig. 4 et 6), davantage dans la direction de montage M dans la partie de couplage 2, l’étrier de retenue 3, qui a certes un jeu pour un déplacement radial, peut ne pas être déplacé davantage jusqu’à un verrouillage, dans la mesure où il repose par ses bras arrière 16a, 16b au niveau de l’extrémité inférieure sur le contre-contour 34a, 34b respectif de l’élément de blocage 33 (marqué par un cercle à droite en bas sur la fig. 6). Ici, les bras de ressort arrière 16a, 16b remplissent leur fonction de l’écartement. Dans le même temps les tenons 23a, 23b guidés dans les entailles de guidage 24a, 24b de la partie de couplage 2, des bras avant 15a, 15b sont déviés lors de l’actionnement (flèche M) légèrement latéralement sur le premier point d’inflexion K1 (flèche L sur la fig. 4), ce qui garantit lors du relâchement de l’étrier de retenue 3 une force de rappel, en d’autres termes l’étrier de retenue 3 est ramené dans sa position de prémontage, dans laquelle son axe médian ne s’étend pas comme dans la position de montage de manière coaxiale (fig. 13), mais de manière excentrée par rapport à l’axe médian X-X de la partie de couplage 2 (et de la partie formant fiche S).
Donc aucun arrêt de l’étrier de retenue 3 n’est effectué dans la position de prémontage, toutefois celui-ci est suffisamment bloqué en vue d’une fixation imperdable en raison de la prise côté avant de ses tenons 23a, 23b avec les entailles de guidage 24a, 24b de la partie de couplage 2 ainsi que par la coopération côté arrière des nervures de guidage longitudinal 25a, 25b avec le contour de guidage 26 complémentaire, disposé au centre entre elles, de la partie de couplage 2.
La fig. 7 et les fig. 8 et fig. 8a illustrent ce qui se passe lors de l’opération d’enfichage de la partie formant fiche S. Dans le cas présent, l’étrier de retenue 3 est écarté, est élargi radialement puis rentré dans la partie de couplage 2 par l’interaction (flèche N) de la section d’étanchéité S3 de la partie formant fiche S avec les faces inclinées avant 21a, 21b des dents 14a, 14b de la première paire 15a/15b de bras d’enclenchement 15a, 15b, ce qui est illustré également par le déplacement des tenons 23a, 23b (flèche O sur la fig. 8). La partie formant fiche S est représentée sur la fig. 7 ce faisant dans la zone de la section d’étanchéité S3, sur la fig. 8 dans la zone de la section de verrouillage S4 et sur la fig. 8a en coupe dans la coupe longitudinale. Les figures représentent ce faisant un état « non bloqué », dans lequel le collet S2 de la partie formant fiche S se situe entre les paires de bras axiales 15a/15b, 16a/16b de l’étrier de retenue 3, donc dans l’entaille 18 axiale.
Lors de la poursuite de l’enfichage de la partie formant fiche S, le collet S2 de la partie formant fiche S vient en contact – néanmoins au-dessus des faces inclinées 21a, 21b – avec l’étrier de retenue 3 (flèche P sur la fig. 9). Le raccordement entre la partie formant fiche S et la partie formant connecteur 1 n’est ce faisant pas encore terminé après l’opération d’embrochage dans la mesure où la partie formant fiche S peut encore être retirée à nouveau de l’étrier de retenue 3.
Alors que les figures 7 à 10 concernent premièrement le rôle des bras d’enclenchement avant 15a, 15b lors du montage, les figures 11 à 13 illustrent en particulier le rôle que les bras d’enclenchement arrière 16a, 16b jouent lors du montage. La représentation en coupe sur la fig. 11 correspond ce faisant – selon un autre angle d’observation – à l’état de montage sur la fig. 7. La paire de bras d’enclenchement arrière 16a/16b de l’étrier de retenue 3 présente – ainsi que cela a déjà été expliqué en partie en haut lors de l’explication de la structure de construction – deux zones fonctionnelles. Une desdites zones fonctionnelles est formée par les cames 27a, 27b. Celles-ci viennent buter sans la partie formant fiche S embrochée – ainsi que cela a déjà été expliqué – par leur face de base GF respective contre le côté supérieur de l’élément de blocage 33 (fig. 6) et agissent dans l’état de montage en tant qu’arrêt en ce qu’elles viennent en prise sous l’élément de blocage 33, en particulier dans la zone de ses contre-contours 34a, 34b (fig. 13).
La deuxième zone fonctionnelle – non mentionnée jusqu’à présent – des bras d’enclenchement arrière 16a, 16b se trouve dans une zone centrale au-dessus des cames 27a, 27b et est formée par des bombements concaves 28a, 28b respectifs dirigés radialement vers l’intérieur, dont les pointes se trouvent dans la position de prémontage – quand aucune pression (comme selon la fig. 6) n’est exercée en direction de la direction d’enfichage M de l’étrier de retenue 3 au-dessus de l’axe d’embrochage X-X. Les pointes de bombements concaves 28a, 28b interagissent lors de l’enfichage de la partie formant fiche S avec le collet S2 de celle-ci si bien que les bras d’enclenchement arrière 16a, 16b également contribuent à l’élargissement de l’étrier de retenue 3 (flèche Q sur la fig. 11). L’étrier de retenue 3 est donc successivement élargi deux fois lors du montage – d’abord par la section d’étanchéité S3 de la partie formant fiche S au niveau des faces inclinées avant 21a, 21b des dents 14a, 14b des bras d’enclenchement avant 15a, 15b (fig. 7 et 8), puis par le collet S2 de la partie formant fiche S au niveau des bombements concaves 28a, 28b des bras d’enclenchement arrière 16a, 16b (fig. 11).
Pour finir le montage – ce qui peut être désigné également d’opération d’une « confirmation de montage » -, l’étrier de retenue 3 doit être glissé impérativement dans sa direction d’enfilement M davantage dans la partie de couplage 2 après l’élargissement par les bombements concaves 28a, 28b jusqu’à ce qu’il atteigne pour finir la position de montage définitive (fig. 13 ainsi que fig. 14 et 15 également). Cela peut être entraîné par une pression manuelle sur la face d’actionnement 20. Le raccordement enfichable est désormais opérationnel. Selon la position de tolérance, il peut éventuellement ne pas suffire d’enficher « seulement » totalement la partie formant fiche S, il faut alors légèrement surenficher si bien que le collet S2 de la partie formant fiche 1 écarte les extrémités libres, situées en dessous dans la direction d’enfilement M, de la paire de bras avant 15a/15b.
Dans la position de montage, l’étrier de retenue 3 termine en affleurement avec la périphérie extérieure 15 de la partie de couplage 2 quasiment sans débord. Cela permet ainsi d’illustrer que l’état de montage verrouillé est atteint. Par ailleurs, le fait d’atteindre l’état de montage verrouillé est également illustré en ce que les tenons de guidage 23a, 23b des bras de ressort 15a, 15b se trouvent dans les entailles de guidage 24a, 24b dans la zone du deuxième angle d’inflexion K2, ainsi que cela ressort des fig. 14 et 15. Les dents 14a, 14b des bras d’enclenchement avant 15a, 15b se trouvent ce faisant selon la fig. 14 sous la partie formant fiche S, en particulier sous son collet S2.
Pour empêcher une poursuite éventuelle de passage sous pression de l’étrier de retenue 3 dans la direction de montage M, il peut être prévu de manière avantageuse qu’est réalisé, sur le côté opposé aux extrémités libres des bras de ressort 15a, 15b, 16a, 16b de l’étrier de retenue 3, en particulier de part et d’autre et de préférence au niveau de tous les bras 15a, 15b, 16a, 16b, respectivement un appendice de butée 35a, 35b, qui vient en appui dans l’état de montage avec un côté inférieur des deux côtés de l’ouverture d’introduction 31 de la partie de couplage 2 au niveau de sa paroi (flèche R sur la fig. 15). L’étrier de retenue 3 prend appui ainsi dans l’état de montage contre le corps de logement 5 de la partie de couplage 2. La section située respectivement sous le deuxième point d’inflexion K2, des entailles de guidage 24a, 24b de la partie de couplage 2 devient ainsi non fonctionnelle.
Pour défaire le raccordement par embrochage 1/S, l’étrier de retenue 3 doit dans un premier temps être retiré légèrement dans le sens opposé à sa direction de montage M (flèche S sur la fig. 15) – à savoir dans sa position excentrique ou décalée radialement par rapport à l’axe médian X-X de la partie formant fiche S et de la partie formant connecteur, qui peut être désignée également en tant que position ouverte (fig. 7 à 10) – de la partie de couplage 2 avant que la partie formant fiche S ne puisse être retirée à nouveau hors de la partie formant connecteur 1. Ce retrait (flèche S) a lieu de préférence manuellement. L’étrier de retenue 3 peut présenter en plus avantageusement sur son côté opposé aux extrémités libres des bras de ressort 15a, 15b, 16a, 16b, en particulier de part et d’autre et de préférence au niveau de tous les bras 15a, 15b, 16a, 16b, une structure de préhension 36a, 36b avec un contour en particulier cannelé. Ladite structure de préhension 36a, 36b peut se trouver de préférence au niveau des appendices de butée 35a, 35b décrits plus haut.
L’invention ne se limite pas à l’exemple de réalisation représenté et décrit, mais comprend également au sens de l’invention des réalisations à action équivalente. On souligne également explicitement que l’exemple de réalisation ne se limite pas à toutes ses caractéristiques en combinaison, mais chaque caractéristique partielle individuelle même indépendante de toutes les autres caractéristiques partielles peut revêtir en soi une importance selon l’invention.
D’autres mesures techniques peuvent également être prévues sans quitter le cadre de l’invention.
Ainsi, les fig. 2 et fig. 3 illustrent par exemple que sont réalisées par les ou au niveau des faces inclinées avant 21a, 21b et des faces inclinées arrière 22a, 22b des faces de coin 37a, 37b. Celles-ci sont tournées vers la direction d’enfilement M de l’étrier de retenue 3 et coopèrent avec les sections de fiche S3 et S4, étant entendu qu’elles garantissent une possibilité de coulissement léger radial de l’étrier de retenue 3.
Du reste, les faces inclinées avant 21a, 21b et les faces inclinées arrière 22a, 22b peuvent s’étendre en tant que chanfreins non seulement au-delà de la zone des dents 14a, 14b mais également de surcroît jusqu’aux extrémités libres des bras d’enclenchement avant 15a, 15b, ainsi que cela est illustré également par les fig. 2 et 3. Ainsi, le montage et le démontage de la partie formant fiche S sont avantageusement favorisés.
Il ressort de la fig. 16 des détails d’une autre variante – possible en supplément aux fins du verrouillage au moyen de la paire de bras d’enclenchement arrière 16a/16b – servant au verrouillage sous pression de la partie formant fiche S – à savoir au moyen des bras d’enclenchement avant 15a, 15b de l’étrier de retenue 3 dans la partie de couplage 3. Il avait déjà été clair plus haut que – quand la partie formant fiche S est enfilée dans la partie de couplage 2 – les sections S3, S2 et S4 de la partie formant fiche S sont en contact les unes après les autres avec les dents 14a, 14b de l’étrier de retenue 3. Ainsi, l’étrier de retenue 3 est rentré de manière minime dans la direction d’enfichage M, et sa paire avant de bras d’enclenchement 15a, 15b est élargie radialement et est déplacée légèrement dans la direction d’embrochage SR. Par ce déplacement des bras d’enclenchement 15a, 15b, des cames de verrouillage 38a, 38b servant au verrouillage sous pression, situées sur un côté tourné vers la direction d’enfichage SR de la partie formant fiche S sont sorties de manière commandée hors des rainures 39a, 39b correspondantes de la partie de couplage 2. Si la partie formant fiche S est alors à nouveau retirée hors de la partie de couplage 2 dans le sens opposé à la direction d’embrochage SR, le collet S2 de la partie formant fiche S élargit à nouveau la paire de bras d’enclenchement 15a/15b par l’intermédiaire des faces inclinées arrière 22a, 22b des dents 14a, 14b. Cela est possible dans la mesure où les faces chanfreinées 22a, 22b s’étendent au-delà des dents 14a, 14b jusqu’aux cames de verrouillage 38, 38b servant au verrouillage sous pression. Alors seulement, quand l’étrier de retenue 3 est coulissé dans sa position de montage définitive, les cames de verrouillage 38a, 38b se situent à nouveau dans les rainures 39a, 39b correspondantes. Quand alors de la pression sur le système est ajoutée par le fluide dans l’état de travail, les cames de verrouillage 38a, 38b sont avantageusement pressées plus fortement dans les rainures 39a, 39b.
En outre, l’invention ne se limitait pas non plus jusqu’à présent à la combinaison de caractéristiques définie dans la revendication 1, peut également être définie par chaque autre combinaison quelconque de caractéristiques définies de toutes les caractéristiques individuelles divulguées au total. Cela signifie que pratiquement chaque caractéristique individuelle de la revendication 1 peut être en principe supprimée ou peut être remplacée par au moins une caractéristique individuelle divulguée à un autre emplacement de la demande.

Claims (16)

  1. Connecteur enfichable (1) pour des raccords de tuyau flexible et/ou de tube, comprenant
    - une partie de couplage (2) avec une ouverture de logement (10), dans laquelle une partie formant fiche (S) peut être enfichée par une tige de fiche (S1) présentant un collet (S2) dans une direction d’enfichage (SR) le long d’un axe d’embrochage (X-X), et
    - un étrier de retenue (3) entaillé (17) de manière radiale, au moins par endroits élastique à la manière d’un ressort, présentant quatre bras d’enclenchement (15a, 15b, 16a, 16b), qui peut être monté au préalable au niveau de la partie de couplage (2) par un enfilement radial dans une direction d’enfilement (M), et
    a) adopte dans une position de prémontage une position d’introduction pour la partie formant fiche (S), dans laquelle la partie formant fiche (S) peut être introduite dans l’ouverture de logement (10) par l’étrier de retenue (3), et
    b) adopte dans une position de montage, après l’introduction de la partie formant fiche (S), une position de retenue pour la partie formant fiche (S) enfichée, dans laquelle la partie formant fiche (S) peut être bloquée par complémentarité de forme pour empêcher tout retrait dans l’ouverture de logement (10) au moyen de l’étrier de retenue (3), dans lequel
    c) l’étrier de retenue (3) est réalisé du point de vue de la forme de base – vu en direction de l’axe d’embrochage (X-X) – en forme de U et les branches du U réalisent deux paires (15a/15b, 16a/16b) de bras d’enclenchement (15a, 15b, 16a, 16b) diamétralement opposés l’un à l’autre, qui sont disposés l’un derrière l’autre dans la direction axiale (X-X), sont séparés l’un de l’autre respectivement par une entaille (18) et sont élastiques à la manière d’un ressort dans la direction radiale et dans la direction axiale (X-X), dans lequel
    d) se trouvent, sur un côté, tourné vers la direction d’enfichage (SR) de la partie formant fiche (S), de la première paire (15a/15b) de bras d’enclenchement (15a, 15b), qui se situe sur un côté, tourné vers la direction d’enfichage (SR) de la partie formant fiche (S), de l’étrier de retenue (3), respectivement des faces inclinées avant (21a, 21b), qui divergent lors de la coopération avec la partie formant fiche (S) dans le sens opposé à la direction d’introduction (SR) de la partie formant fiche (S),
    caractérisé en ce queles faces inclinées avant (21a, 21b) sont disposées sous l’axe d’embrochage (X – X) respectivement sur des dents (14a, 14b), dirigées radialement vers l’intérieur – en direction de l’axe d’embrochage (X – X) –, de la première paire (15a/15b) de bras d’enclenchement (15a, 15b) – vues dans la direction d’enfilement (M) de l’étrier de retenue (3), dans lequel les dents (14a, 14b) présentent les unes des autres une distance (A) telle que les faces inclinées avant (21a, 21b) sont écartées lors de l’introduction de la partie formant fiche (S) par une section d’étanchéité (S3) de la partie formant fiche (S), qui se situe dans la direction d’enfichage (SR) devant un collet (S2) de la partie formant fiche (S).
  2. Connecteur enfichable (1) selon la revendication 1, caractérisé en ce que se trouvent sur un côté, opposé à la direction d’enfichage (SR) de la partie formant fiche (S), des dents (14a, 14b) de la première paire (15a/15b) de bras d’enclenchement (15a, 15b), respectivement des faces inclinées arrière (22a, 22b), qui convergent dans le sens opposé à la direction d’introduction (SR) de la partie formant fiche (S) pour coopérer avec le collet (S2) de la partie formant fiche (S).
  3. Connecteur enfichable (1) selon la revendication 1 ou 2, caractérisé en ce que la position de prémontage et la position de montage de l’étrier de retenue (3) sont orientées de manière décalée l’une par rapport à l’autre et par rapport à l’axe (X-X) de la partie de couplage (2), dans lequel l’étrier de retenue (3) présente dans la position de prémontage de préférence un jeu pour un déplacement radial.
  4. Connecteur enfichable (1) selon l’une quelconque des revendications 1 à 3, caractérisé en ce que l’étrier de retenue (3) est réalisé d’un seul tenant, en particulier en tant qu’une partie moulée coulée par injection constituée de matière plastique et de préférence de manière symétrique eu égard à un axe longitudinal (Y-Y) s’étendant à travers celui-ci.
  5. Connecteur enfichable (1) selon l’une quelconque des revendications 1 à 4, caractérisé en ce qu’une face d’actionnement (20) pour l’étrier de retenue (3) est réalisée dans l’étrier de retenue (3) réalisé en forme de U du point de vue de la forme de base – vue dans la direction de l’axe longitudinal (X-X) – par la zone de raccordement (19) des branches du U sur le côté opposé aux extrémités libres des bras d’enclenchement (15a, 15b, 16a, 16b).
  6. Connecteur enfichable (1) selon l’une quelconque des revendications 1 à 5, caractérisée en ce que se trouvent respectivement au niveau des bras d’enclenchement (15a, 15b) de la paire (15a/15b) de bras d’enclenchement (15a, 15b), qui est tournée, dans la position d’introduction et dans la position de retenue de l’étrier de retenue (3) vers une paroi frontale (29), tournée vers la direction d’introduction (SR) de la partie formant fiche (S), de la partie de couplage (2), en particulier dans une zone centrale des bras d’enclenchement (15a, 15b), des tenons de guidage (23a, 23b) destinés à venir en prise avec des entailles de guidage (24a, 24b) complémentaires de la partie de couplage (2).
  7. Connecteur enfichable (1) selon l’une quelconque des revendications 1 à 6, caractérisé en ce que se trouvent, respectivement au niveau des bras d’enclenchement (16a, 16b) d’une paire (16a/16b) de bras d’enclenchement (16a, 16b), qui est opposée à une paroi frontale (29), tournée vers la direction d’introduction (SR) de la partie formant fiche (S), de la partie de couplage (2), des nervures de guidage longitudinal (25a, 25b) ou des patins de guidage longitudinal dirigés à la manière de sécantes par rapport à la partie de couplage (2), servant à coopérer avec au moins un guidage (26) complémentaire dans une paroi frontale, opposée à la direction d’introduction (SR) de la partie formant fiche (S), de la partie de couplage (2).
  8. Connecteur enfichable (1) selon la revendication 7, caractérisé en ce que les nervures de guidage longitudinal (25a, 25b) ou les patins de guidage longitudinal dirigés à la manière de sécantes par rapport à la partie de couplage (2) sont disposés de part et d’autre d’une/de la zone de raccordement (19) ou dans une/la zone de raccordement (19), dans laquelle les bras d’enclenchement (15a, 15b, 16a, 16b) sont reliés les uns aux autres.
  9. Connecteur enfichable (1) selon l’une quelconque des revendications 1 à 8, caractérisé en ce que se trouvent, pour verrouiller l’étrier de retenue (3) respectivement au niveau des bras d’enclenchement (16a, 16b) de la paire (16a/16b) de bras d’enclenchement (16a, 16b), qui est opposée dans la position d’introduction et dans la position de retenue de l’étrier de retenue (3) à une paroi frontale (29), tournée vers la direction d’introduction (SR) de la partie formant fiche (S), de la partie de couplage (2), au niveau des extrémités libres des bras d’enclenchement (16a, 16b), respectivement des cames (27a, 27b) avec des pointes dirigées vers l’intérieur les unes à l’encontre des autres et une face de base, en particulier plane.
  10. Connecteur enfichable (1) selon l’une quelconque des revendications 1 à 9, caractérisé en ce que pour coopérer avec le collet (S2) de la partie formant fiche (S), se trouvent, au niveau des bras d’enclenchement (16a, 16b) de la paire (16a/16b) de bras d’enclenchement (16a, 16b), qui est opposée dans la position d’introduction et dans la position de maintien de l’étrier de retenue (3) à une paroi frontale (29), tournée vers la direction d’introduction (SR), de la partie formant fiche (S), de la partie de couplage (2), des bombements concaves (28a, 28b) dirigés radialement vers l’intérieur dans une zone centrale.
  11. Connecteur enfichable (1) selon l’une quelconque des revendications 1 à 10, caractérisé en ce que la partie de couplage (2) comprend un corps de base (4) réalisé en particulier en tant que partie de manchon et un corps de logement (5) annulaire en particulier du point de vue de la forme de base, pour l’étrier de retenue (3), de préférence, qui peuvent être raccordés l’un à l’autre ou sont raccordés l’un à l’autre dans l’état de montage de préférence par l’intermédiaire d’un raccordement par liaison de matière, tel que par un soudage laser, dans lequel en particulier le corps de base (4) et/ou le corps de logement (5) sont réalisés en tant que pièces moulées de coulée par injection constituées de matière plastique.
  12. Connecteur enfichable (1) selon l’une quelconque des revendications 1 à 11, caractérisé en ce que la partie de couplage (2) forme pour l’étrier de retenue (3), en particulier par son corps de logement (5) pour l’étrier de retenue (3), un boîtier cylindrique creux du point de vue de la forme de base, fermé respectivement au niveau des parois frontales (29, 30) respectives du cylindre creux, lequel présente sur deux côtés diamétralement opposés l’un l’autre, des ouvertures (31, 32) à circonférence correspondante, destinées à traverser l’étrier de retenue (3), en particulier une ouverture d’introduction (31) et une ouverture de sortie (32).
  13. Connecteur enfichable (1) selon l’une quelconque des revendications 1 à 12, caractérisé en ce que se trouve, dans la partie de couplage (2), en particulier au centre dans la zone de l’ouverture de sortie (32) du corps de logement (5) de la partie de couplage (2), un élément de blocage (33) avec respectivement un contre-contour (34a, 34b) pour la coopération avec des cames (27a, 27b) disposées côté extrémité au niveau des bras d’enclenchement (16a, 16b), dans lequel les contre-contours (34a, 34b) réalisent avec les cames (27a, 27b) dans la position de montage un raccordement à force et à complémentarité de forme entre l’étrier de retenue (3) et la partie de couplage (2) et l’élément de blocage (33) forme avec les contre-contours (34a, 34b) dans la position de prémontage une butée pour les cames (27a, 27b).
  14. Connecteur enfichable (1) selon l’une quelconque des revendications 1 à 13, caractérisé en ce qu‘est réalisé, sur le côté, opposé aux extrémités libres des bras d’enclenchement (15a, 15b, 16a, 16b), de l’étrier de retenue (3), en particulier de part et d’autre et de préférence au niveau de tous les bras d’enclenchement (15a, 15b, 16a, 16b), respectivement un appendice de butée (35a, 35b), qui vient en appui dans l’état de montage par son côté inférieur de part et d’autre d’une/de l’ouverture d’introduction (31) de la partie de couplage (2) au niveau de sa paroi.
  15. Connecteur enfichable (1) selon l’une quelconque des revendications 1 à 14, caractérisé en ce qu‘est réalisée, sur le côté, opposé aux extrémités libres des bras d’enclenchement (15a, 15b, 16a, 16b), de l’étrier de retenue (3), en particulier de part et d’autre et de préférence au niveau de tous les bras d’enclenchement (15a, 15b, 16a, 16b), respectivement une structure de préhension (36a, 36b) avec un contour en particulier rainuré pour un engagement manuel servant à retirer l’étrier de retenue (3) hors de sa position de montage.
  16. Connecteur enfichable (1) selon l’une quelconque des revendications 1 à 15, caractérisé en ce que sont réalisées au niveau des côtés, tournés vers la direction d’enfichage (SR) de la partie d’enfichage (S), de la première paire (15a/15b) de bras d’enclenchement (15a, 15b), des cames de verrouillage (38a, 38b) servant à un verrouillage sous pression, destinées à venir en prise avec des rainures (39a, 39b) correspondantes de la partie de couplage (2).
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