FR3048993A1 - Corps de coffre permettant un acces securise - Google Patents
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Abstract
La présente invention se rapporte à un corps de coffre (100) destiné à être implanté au-dessus d'une ouverture murale de réception d'un ouvrant dans une habitation pour contenir un occultant pour ledit ouvrant, comprenant une paroi de voûte (Pv) prolongée d'un bord par une première paroi de jambage (Pj 1) destinée à être tournée vers l'extérieur de ladite habitation, une seconde paroi de jambage (Pj2) disposée en vis-à-vis de la première paroi de jambage (Pjl) et destinée à être tournée vers l'intérieur de l'habitation, ces trois parois (Pv, Pjl, Pj2) délimitant un évidement (Ev) de réception pour ledit occultant. Selon l'invention, ladite seconde paroi de jambage (Pj2) est fixée, par l'intermédiaire de moyens de fixation (Mf), sur le bord latéral libre (Bl) de ladite paroi de voûte. Dès lors que le corps de coffre est posé, on peut accéder à l'évidement de réception de l'occultant, en démontant la seconde paroi de voûte. L'intervention est réalisée du côté intérieur de l'habitation, avec l'ouvrant fermé, c'est-à-dire la fenêtre, la porte, maintenue fermée. Le risque que l'intervenant chute à l'extérieur de l'habitation est supprimé.
Description
La présente invention concerne un corps de coffre destiné à être implanté au-dessus d’une ouverture murale de réception d’un ouvrant, tel qu’une fenêtre, une porte. Un occultant est monté dans le corps de coffre pour pouvoir être descendu devant la fenêtre, la porte. L’occultant peut comprendre un mécanisme de volet roulant, un store, une moustiquaire, etc.
Un tel corps de coffre présente généralement en section et dans sa position de pose, une géométrie en U retourné comprenant une paroi de voûte bordée par deux parois de jambage. L’évidement longitudinal ainsi délimité dans le corps de coffre permet de réceptionner l’occultant. Le corps de coffre est fabriqué d’un seul tenant dans un matériau relativement isolant d’un point de vue thermique, tel que du polystyrène expansé ou de la mousse alvéolaire à cellules fermées.
Une plaque de fermeture, communément appelée « sous face » est fixée sous le corps de coffre pour masquer l’évidement.
Pour réaliser la maintenance de cet occultant ou pour le remplacer, il convient de retirer cette plaque de fermeture pour accéder à celui-ci. Il faut ainsi ouvrir l’ouvrant et utiliser un escabeau pour réaliser cette opération. L’intervenant est alors globalement positionné dans l’encadrement de l’ouvrant. S’agissant d’une maison de plain-pied dans laquelle sont installés de tels coffres-tunnels, cette opération est relativement peu dangereuse. En revanche, de tels coffres-tunnels installés dans un immeuble posent des problèmes de sécurité, car l’hypothétique chute de l’intervenant hors de l’immeuble, d’une hauteur de plusieurs mètres, implique nécessairement de graves conséquences.
Par ailleurs, est présenté dans le brevet allemand DE3909245, un coffre-tunnel en deux parties. La première partie forme une paroi en L fabriquée en polystyrène, définissant la paroi de voûte et une première paroi de jambage, la seconde partie étant définie par une seconde paroi de jambage, fabriquée en béton léger, et qui est rapportée sur l’extrémité libre de ladite paroi de voûte. Des tirants sont surmoulés dans la seconde paroi de jambage et font saillie depuis son bord supérieur. On replie à 90° les bouts saillants des tirants et l’on place la seconde paroi de jambage dans un moule de fabrication du coffre-tunnel et dans lequel la première partie en L est moulée. Les bouts saillants sont surmoulés et procurent la liaison entre la seconde partie et la première partie du coffre-tunnel.
Aussi, connaissant cet état de l’art, le demandeur a cherché une solution pour concevoir un corps de coffre monobloc et dont l’accès vers l’évidement destiné à contenir un occultant est bien plus aisé et moins risqué que dans les coffres-tunnels connus. A cet effet, est proposé un corps de coffre destiné à être implanté au-dessus d’une ouverture murale de réception d’un ouvrant dans une habitation pour contenir un occultant pour ledit ouvrant, ledit corps de coffre comprenant une paroi de voûte prolongée d’un bord par une première paroi de jambage destinée à être tournée vers l’extérieur de ladite habitation, une seconde paroi de jambage disposée en vis-à-vis de la première paroi de jambage et destinée à être tournée vers l’intérieur de l’habitation, ces trois parois délimitant un évidement de réception pour ledit occultant ; selon l'invention, ladite seconde paroi de jambage est fixée, par l’intermédiaire de moyens de fixation, sur le bord latéral libre de ladite paroi de voûte. Dès lors que le corps de coffre est posé, on peut accéder à l’évidement de réception de l’occultant, en démontant la seconde paroi de jambage. L’intervention est réalisée du côté intérieur de l’habitation, avec l’ouvrant fermé, c'est-à-dire la fenêtre, la porte, maintenue fermée. Le risque que l’intervenant chute à l’extérieur de l’habitation est supprimé.
Selon une caractéristique additionnelle de l'invention, les moyens de fixation comprennent une pluralité de vis traversant la seconde paroi de jambage et prenant ancrage dans l’épaisseur de la paroi de voûte, depuis son bord latéral libre.
Les vis fixent la seconde paroi de jambage sur la paroi de voûte du corps de coffre.
Selon une caractéristique additionnelle de l'invention, chaque vis traverse un insert monté au travers de la paroi de la seconde paroi de jambage et son extrémité filetée est vissée dans un insert taraudé retenu dans l’épaisseur de la paroi de voûte, depuis son bord latéral libre.
Les inserts procurent une plus grande rigidité de la liaison entre la seconde paroi de jambage et la paroi de voûte du corps de coffre.
Selon une caractéristique additionnelle de l'invention, l'insert taraudé est prolongé par une plaque ou est relié à une plaque qui débouche au travers de la paroi de voûte et par le dessus, dans la position de pose dudit corps de coffre, afin de pouvoir être solidarisée avec un linteau en surplomb.
La paroi de voûte est rigidifiée à l'issue de l'installation du corps de coffre. Elle constitue alors un moyen de fixation rigidifié pour la seconde paroi de jambage.
Selon une caractéristique additionnelle de l'invention, l'insert monté au travers de la seconde paroi de jambage est prolongé par une plaque ou est relié à une plaque qui s'étend verticalement dans la seconde paroi de jambage pour renforcer la structure de ladite seconde paroi de jambage et la lier avec ledit insert.
Lorsque l'on fixe la seconde paroi de jambage sur la paroi de voûte, la rigidité de l'extrémité libre de ladite seconde paroi de jambage est accrue. On peut ainsi, avantageusement, y fixer la traverse haute d'un dormant qui est alors rigidifiée.
Selon une caractéristique additionnelle de l'invention, la partie haute de la paroi de voûte se prolonge au-delà de son bord latéral libre définissant ainsi un décrochement et dans lequel vient prendre place la partie haute de la seconde paroi de jambage.
La seconde paroi de jambage est calée par deux faces sur deux faces correspondantes de la paroi de voûte. Sa liaison mécanique avec l’autre partie du corps de coffre est accrue.
En variante de réalisation, les moyens de fixation comprennent un crochet supérieur monté à cheval entre la paroi de voûte et la seconde paroi de jambage, le crochet supérieur se présentant sous la forme d’un rail défini par une géométrie en C avec une aile centrale prolongée respectivement à ses deux extrémités par deux ailes latérales prenant ancrage dans deux rainures creusant respectivement la face supérieure de la paroi de voûte et la face supérieure de la seconde paroi de jambage.
La pose et le retrait de la seconde paroi de jambage sont obtenus par simple glissement vertical de celle-ci le long du bord latéral libre de la paroi de voûte.
Selon une caractéristique additionnelle de l'invention, le corps de coffre comprend un crochet inférieur conçu pour tenir la partie basse de la seconde paroi de jambage, le crochet inférieur se présentant sous la forme d’un rail défini par une géométrie en L avec une aile centrale prolongée à une extrémité par une aile latérale prenant ancrage dans une troisième rainure creusant la face inférieure de la seconde paroi de jambage, l’aile centrale du rail inférieur étant destinée à être fixée sur une traverse tenue dans l’ouverture murale.
La présence de ce crochet inférieur sert à relier mécaniquement la seconde paroi de jambage avec l’ouverture murale dans laquelle a été installé le corps de coffre.
Selon une caractéristique additionnelle de l'invention, une échancrure est formée dans la face supérieure de la seconde paroi de jambage, du côté de sa face intérieure et d’un bord de la seconde rainure, pour pouvoir faire remonter facilement d’un simple geste ladite seconde paroi de jambage.
Le montage et le démontage de la seconde paroi de jambage sont simplifiés. Selon une caractéristique additionnelle de l'invention, la première paroi de jambage est prolongée, depuis son bord inférieur, par une paroi inférieure qui s’étend parallèlement à la paroi de voûte sans toutefois atteindre la seconde paroi de jambage. L’espace ainsi délimité entre le bord latéral libre de la paroi de voûte et le bord latéral libre de paroi inférieure est utilisé comme passage pour l’occultant.
Les caractéristiques de l'invention mentionnées ci-dessus, ainsi que d'autres, apparaîtront plus clairement à la lecture de la description suivante d'un exemple de réalisation, ladite description étant faite en relation avec les dessins joints, parmi lesquels: la Fig. 1 représente une vue latérale en coupe d’un corps de coffre selon l'invention, la Fig. 2 représente une vue latérale en coupe d’une première variante de réalisation d’un corps de coffre selon l'invention, la Fig. 3 représente une vue latérale en coupe d’une deuxième variante de réalisation d’un corps de coffre selon l'invention, la Fig. 4 représente une vue latérale en coupe d’une troisième variante de réalisation d’un corps de coffre selon l'invention, la Fig. 5 représente une vue latérale en coupe d’une quatrième variante de réalisation d’un corps de coffre selon l'invention, la Fig. 6 représente une vue latérale en coupe d’une cinquième variante de réalisation d’un corps de coffre selon l'invention et, la Fig. 7 représente une vue latérale en coupe d’une sixième variante de réalisation d’un corps de coffre selon l'invention.
Le corps de coffre 100 présenté sur la Fig. 1 est destiné à être implanté au-dessus d’une ouverture murale de réception d’un ouvrant, tel qu’une fenêtre, une porte. Le corps de coffre 100 comprend une paroi de voûte Pv destinée à être tournée vers le haut dans la position de pose du corps de coffre présentée sur cette Fig. 1, prolongée d’un bord par une paroi de jambage Pjl qui s’étend d’une manière quasi perpendiculaire par rapport à ladite paroi de voûte. La paroi de voûte Pv s’étend de manière quasi horizontale, alors que la paroi de jambage Pjl s’étend verticalement par le dessous depuis un bord longitudinal de la paroi de voûte Pv. La paroi de jambage
Pjl est destinée à être tournée vers l’extérieur de l’habitation, dans la position de pose du corps de coffre 100.
Un évidement longitudinal Ev est ainsi délimité à l’intersection de la projection de ces deux parois Pv et Pjl. Il permet de réceptionner un occultant, non représenté, destiné à descendre en vis-à-vis de l’ouvrant. Cet occultant prend la forme, notamment, d’un volet roulant, d’un store, d’une moustiquaire.
Dans l’invention, une seconde paroi de jambage Pj2 est fixée de manière amovible, par son côté intérieur et sur cette Fig. 1, par sa face intérieure Fit, sur le bord latéral libre B1 de la paroi de voûte Pv, en vis-à-vis de la première paroi de jambage Pjl. La seconde paroi de jambage Pj2 est destinée à être tournée vers l’extérieur de l’habitation. La face supérieure de la paroi de voûte Pv et la face supérieure de la seconde paroi de jambage Pj2 sont coplanaires, conférant ainsi au corps de coffre 100 une géométrie en U retourné, vu latéralement sur cette Fig. 1. L’évidement longitudinal Ev est alors délimité entre les deux parois de jambage Pjl, Pj2 et la paroi de voûte Pv.
Une plaque de fermeture Pf de l’ouverture longitudinale de l’évidement Ev peut être rapportée entre les deux parois de jambage Pjl et Pj2 au niveau de leurs bords libres. Cette plaque de fermeture Pf est communément appelée sous-face.
Des moyens de fixation Mf sont utilisés pour permettre la fixation et le démontage de cette seconde paroi de jambage Pj2 sur le bord latéral libre B1 de la paroi de voûte Pv.
Ainsi, il est possible de fermer latéralement l’évidement Ev à l’aide de cette seconde paroi de jambage Pj2. L’accès vers l’occultant installé dans ledit évidement devient possible en toute sécurité en retirant simplement cette paroi de jambage Pj2. Cette opération est réalisée, lorsque le corps de coffre est posé, depuis l’intérieur de l’habitation dans laquelle il est installé. L’habitation est préférentiellement un immeuble, c'est-à-dire un bâtiment de plusieurs étages. L’opération peut être réalisée sans risque pour l’intervenant, puisque l’ouvrant, c'est-à-dire la fenêtre, la porte, demeure fermé.
Les moyens de fixation Mf comprennent, sur cette Fig. 1, une pluralité de vis V traversant respectivement la seconde paroi de jambage Pj2 en prenant ancrage dans l’épaisseur de la paroi de voûte Pv depuis son bord latéral libre Bl.
Préférentiellement, chaque vis V traverse un insert In monté au travers de la paroi de la seconde paroi de jambage Pj2 et son extrémité filetée est vissée dans un insert taraudé It retenu dans l’épaisseur de la paroi de voûte Pv, depuis son bord latéral libre Bl. Le débouché de Γinsert taraudé It est préférentiellement coplanaire avec ledit bord latéral libre. En retirant les vis V, il devient possible de retirer la seconde paroi de jambage Pj2.
Dans une première variante de réalisation présentée sur la Fig. 2, l'insert taraudé It est prolongé par une plaque Pq ou est relié à une plaque Pq qui débouche au travers de la paroi de voûte Pv et par le dessus afin de pouvoir être solidarisée avec un linteau en surplomb, non représenté. On obtient ainsi un moyen de fixation rigidifié pour la seconde paroi de jambage Pj2, quand la plaque Pq est solidarisée avec le linteau. L'insert In est prolongé par une plaque Pq2 ou est relié à une plaque Pq2 qui s'étend radialement c'est-à-dire verticalement dans la seconde paroi de jambage Pj2 pour renforcer la structure de ladite seconde paroi de jambage et la lier avec l'insert In. Lorsque l'on fixe la seconde paroi de jambage Pj2 sur la paroi de voûte Pv, la rigidité de l'extrémité libre de ladite seconde paroi de jambage est accrue. On peut ainsi, avantageusement, y fixer la traverse haute d'un dormant qui est alors rigidifiée.
Dans une deuxième variante de réalisation présentée sur la Fig. 3, la première paroi de jambage Pj 1 est prolongée, depuis son bord inférieur, par une paroi inférieure Pi qui s’étend parallèlement à la paroi de voûte Pv sans toutefois atteindre la seconde paroi de jambage Pj2. L’espace E ainsi délimité entre le bord latéral libre Bl de la paroi de voûte Pv et le bord latéral libre de la paroi inférieure Pi est utilisé comme passage pour l’occultant.
Dans une troisième variante de réalisation présentée sur la Fig. 4, la partie haute de la paroi de voûte Pv se prolonge au-delà de son bord latéral libre Bl définissant ainsi un décrochement Dt et dans lequel vient prendre place la partie haute de la seconde paroi de jambage Pj2. La largeur de ce prolongement est pratiquement égale à l’épaisseur de la seconde paroi de jambage Pj2. La face intérieure Fit de la seconde paroi de jambage Pj2 est mise en appui contre le bord latéral libre Bl de la paroi de voûte Pv par l’intermédiaire des moyens de fixation Mf, alors que la face supérieure de la seconde paroi de jambage Pj2 est appliquée contre la face creusée du décrochement Dt.
Dans une quatrième variante de réalisation présentée sur la Fig. 5, la largeur de la paroi de voûte Pv est raccourcie depuis son bord latéral libre Bl qui est ainsi plus proche de la première paroi de jambage Pjl. En revanche la partie haute de la paroi de jambage Pj2 est prolongée par une portion de paroi de voûte Pv2 tournée vers l’autre portion de paroi de voûte Pv attenante à la première paroi de jambage Pjl. Son bord latéral libre B12 tourné en vis-à-vis du bord latéral libre B1 de la paroi de voûte Pv s’étend ainsi au-delà de la face intérieure Fit de ladite seconde paroi de jambage.
Dans une cinquième variante de réalisation présentée sur la Fig. 6, les moyens de fixation Mf comprennent un crochet supérieur Cs. Le crochet supérieur Cs est monté à cheval entre la paroi de voûte Pv et la seconde paroi de jambage Pj2, et préférentiellement depuis leurs faces supérieures Fsl et Fs2. Le crochet supérieur Cs se présente sous la forme d’un rail défini par une géométrie en C avec une aile centrale prolongée respectivement à ses deux extrémités par deux ailes latérales prenant ancrage dans deux rainures RI et R2 creusant respectivement la face supérieure Fsl de la paroi de voûte Pv et la face supérieure Fs2 de la seconde paroi de jambage Pj2, l’aile centrale formant une butée en limitant l’enfoncement du rail.
La pose et le retrait de la seconde paroi de jambage Pj2 sont obtenus par simple glissement vertical de celle-ci le long du bord latéral libre B1 de la paroi de voûte Pv, comme le suggèrent les flèches Fl et F2.
Pour parfaire la liaison mécanique, et en relation avec la Fig. 7 présentant une sixième variante de réalisation du corps de coffre 100, on peut utiliser un crochet inférieur Ci pour tenir la partie basse de la seconde paroi de jambage Pj2. Le crochet inférieur Ci se présente sous la forme d’un rail défini par une géométrie en L avec une aile centrale prolongée à une extrémité par une aile latérale prenant ancrage dans une rainure R3 creusant la face inférieure Fif de la seconde paroi de jambage Pj2. L’aile centrale du rail inférieur peut être fixée sur une traverse tenue dans l’ouverture murale.
La pose de la seconde paroi de jambage Pj2 est alors réalisée de la manière suivante. On amène la face supérieure Fs2 de la seconde paroi de jambage Pj2 sous la partie en déport du crochet supérieur Cs et on la remonte comme le suggère la flèche F3 de sorte à ce que la seconde rainure R2 puisse coiffer l’aile latérale extérieure dudit crochet supérieur, puis l’on fait descendre la seconde paroi de jambage Pj2, comme le suggère la flèche F4, pour amener sa rainure R3 à coiffer l’aile latérale du crochet inférieur Ci.
Une échancrure Ec est formée dans la face supérieure Fs2 de la seconde paroi de jambage Pj2, du côté de sa face intérieurE Fit et d’un bord de la seconde rainure R2, pour pouvoir faire remonter ladite seconde paroi de jambage, et dégager la troisième rainure R3 de l’aile latérale du crochet inférieur Ci.
Le retrait de la seconde paroi de jambage Pj2 s’effectue en procédant de manière inverse.
Claims (10)
- REVENDICATIONS 1) Corps de coffre (100) destiné à être implanté au-dessus d’une ouverture murale de réception d’un ouvrant dans une habitation pour contenir un occultant pour ledit ouvrant, ledit corps de coffre comprenant une paroi de voûte (Pv) prolongée d’un bord par une première paroi de jambage (Pj 1) destinée à être tournée vers l’extérieur de ladite habitation, une seconde paroi de jambage (Pj2) disposée en vis-à-vis de la première paroi de jambage (Pj 1) et destinée à être tournée vers l’intérieur de l’habitation, ces trois parois (Pv, Pjl, Pj2) délimitant un évidement (Ev) de réception pour ledit occultant, caractérisé en ce que ladite seconde paroi de jambage (Pj2) est fixée, par l’intermédiaire de moyens de fixation (Mf), sur le bord latéral libre (Bl) de ladite paroi de voûte.
- 2) Corps de coffre (100) selon la revendication 1, caractérisé en ce que les moyens de fixation (Mf) comprennent une pluralité de vis (V) traversant la seconde paroi de jambage (Pj2) et prenant ancrage dans l’épaisseur de la paroi de voûte (Pv), depuis son bord latéral libre (Bl).
- 3) Corps de coffre (100) selon la revendication 2, caractérisé en ce que chaque vis (V) traverse un insert (In) monté au travers de la paroi de la seconde paroi de jambage (Pj2) et son extrémité filetée est vissée dans un insert taraudé (It) retenu dans l’épaisseur de la paroi de voûte (Pv), depuis son bord latéral libre (Bl).
- 4) Corps de coffre (100) selon la revendication 3, caractérisé en ce que l'insert taraudé (It) est prolongé par une plaque (Pq) ou est relié à une plaque (Pq) qui débouche au travers de la paroi de voûte (Pv) et par le dessus, dans la position de pose dudit corps de coffre, afin de pouvoir être solidarisée avec un linteau en surplomb.
- 5) Corps de coffre (100) selon la revendication 4, caractérisé en ce que l'insert (In) monté au travers de la seconde paroi de jambage (Pj2) est prolongé par une plaque (Pq2) ou est relié à une plaque (Pq2) qui s'étend verticalement dans la seconde paroi de jambage (Pj2) pour renforcer la structure de ladite seconde paroi de jambage et la lier avec ledit insert (In).
- 6) Corps de coffre (100) selon l'une quelconque des revendications précédentes, caractérisé en ce que la partie haute de la paroi de voûte (Pv) se prolonge au-delà de son bord latéral libre (Bl) définissant ainsi un décrochement (Dt) et dans lequel vient prendre place la partie haute de la seconde paroi de jambage (Pj2).
- 7) Corps de coffre (100) selon la revendication 1, caractérisé en ce que les moyens de fixation (Mf) comprennent un crochet supérieur (Cs) monté à cheval entre la paroi de voûte (Pv) et la seconde paroi de jambage (Pj2), le crochet supérieur (Cs) se présentant sous la forme d’un rail défini par une géométrie en C avec une aile centrale prolongée respectivement à ses deux extrémités par deux ailes latérales prenant ancrage dans deux rainures (RI et R2) creusant respectivement la face supérieure (Fsl) de la paroi de voûte (Pv) et la face supérieure (Fs2) de la seconde paroi de jambage (Pj2).
- 8) Corps de coffre (100) selon la revendication 7, caractérisé en ce qu’il comprend un crochet inférieur (Ci) conçu pour tenir la partie basse de la seconde paroi de jambage (Pj2), le crochet inférieur (Ci) se présentant sous la forme d’un rail défini par une géométrie en L avec une aile centrale prolongée à une extrémité par une aile latérale prenant ancrage dans une troisième rainure (R3) creusant la face inférieure (Fif) de la seconde paroi de jambage (Pj2), l’aile centrale du rail inférieur étant destinée à être fixée sur une traverse tenue dans l’ouverture murale.
- 9) Corps de coffre (100) selon la revendication 8, caractérisé en ce qu’une échancrure (Ec) est formée dans la face supérieure (Fs2) de la seconde paroi de jambage (Pj2), du côté de sa face intérieure (Fit) et d’un bord de la seconde rainure (R2), pour pouvoir faire remonter facilement d’un simple geste ladite seconde paroi de jambage.
- 10) Corps de coffre (100) selon l'une quelconque des revendications précédentes, caractérisé en ce que la première paroi de jambage (Pjl) est prolongée, depuis son bord inférieur, par une paroi inférieure (Pi) qui s’étend parallèlement à la paroi de voûte (Pv) sans toutefois atteindre la seconde paroi de jambage (Pj2).
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