FR2987847A1 - Vetement tricote elastique de bas du corps gainant - Google Patents

Abstract

Vêtement de bas du corps comportant une culotte (1) en tricot élastique de base coopérant avec un réseau de lignes de résine (7) appliqué sur une face du tricot élastique de base de la culotte, à l'avant et/ou à l'arrière de la culotte, caractérisé en ce qu'une doublure élastique (20) tricotée plus légère que le tricot de base (5, 6) est prévue pour s'appliquer de manière libre sur ladite face du tricot de base (5, 6) au moins à l'endroit dudit réseau de lignes de résine (7).

Description

Vêtement tricoté élastique de bas du corps gainant La présente invention concerne un article de lingerie tricoté élastique 5 constituant un vêtement de bas du corps gainant, qu'il soit de type culotte ou incorporé dans un vêtement plus long tel qu'un collant. Les vêtements gainants ont pour but d'apporter confort, bien-être et plaisir lors du porter des vêtements, tout en gommant les bourrelets disgracieux, en lissant et remodelant le corps sans le contraindre dans ses 10 mouvements. Dans le but de procurer un meilleur soutien au ventre à l'avant du vêtement et aux fesses à l'arrière, il est connu par le document US 5465594 de tricoter (par exemple sur métier circulaire) la partie de culotte avec des mailles et/ou des fils différents notamment au niveau du plastron, ce qui 15 entraîne une complication certaine du tricotage et une modification de l'aspect du tricot qui n'est pas toujours souhaitée. On connaît aussi, par le document EP 2181613, un vêtement du bas comportant une partie de culotte sur laquelle a été déposé un réseau serré de résine formant un anneau élastique tout autour du bassin à des fins 20 orthopédiques ou d'exercice physique. D'une part, il ne s'agit pas d'un vêtement gainant. D'autre part, le réseau de lignes de résine modifie considérablement l'aspect du vêtement, ce qui ne convient pas nécessairement aux utilisatrices. Le but de l'invention est de proposer un vêtement de bas du corps 25 gainant d'apparence moderne, lisse, sans plastron visible. Le but de l'invention est atteint grâce à un vêtement de bas du corps comportant une culotte en tricot élastique de base coopérant avec un réseau de résine élastique appliquée sur une face du tricot élastique de base de la culotte, à l'avant et/ou à l'arrière de la culotte, caractérisé en ce qu'une 30 doublure élastique tricotée plus légère que le tricot de base est prévue pour s'appliquer de manière libre sur ladite face du tricot de base au moins à l'endroit dudit réseau de résine, et de préférence sur toute la face, avant ou arrière, sur laquelle le réseau de résine est déposé. Par réseau de résine élastique ou élastomère déposée sur une face du 35 vêtement, on entend que la résine a été déposée de manière à former des lignes plus ou moins larges, des surfaces plus ou moins allongées, qui donnent une certaine contention élastique dans une direction préférentielle. Ces lignes et surfaces forment un réseau qui peut être plus ou moins dense par endroits et être absent sur certains endroits de la surface du vêtement.

En tout cas, la résine n'est pas disposée uniformément sur toute la surface du vêtement, mais uniquement sur une partie de celui-ci. La face où la résine est appliquée est de préférence la face interne et la doublure est alors interne, mais on peut aussi créer un effet de style en déposant le réseau de résine sur la face externe du tricot de base et en le P) couvrant d'une doublure externe. Grâce à cette constitution, notamment en cas de doublure interne, le vêtement garde une apparence parfaitement homogène de l'extérieur, le réseau de résine n'étant pas directement visible. La doublure intérieure n'a pas pour but de cacher le réseau de résine mais augmente considérablement 15 le confort et écarte les risques d'allergie ou d'irritation. Cette maille de doublure très légère, par exemple d'un poids spécifique autour de 85 g/m2, peut même être translucide. La doublure intérieure ou extérieure est avantageusement appliquée avec beaucoup de liberté contre la couche de tricot de base, à savoir qu'elle 20 n'est pas collée sur elle sur toute sa surface, mais simplement fixée essentiellement périphériquement par exemple sur quelques points ou lignes, et par exemple de préférence sur les bordures de la culotte (ceinture, passages de jambes). Grâce à cette doublure légère, il est possible d'employer de manière 25 assez importante des résines qu'on évite généralement d'employer dans le contexte de la lingerie et notamment des caoutchoucs de silicone de type assez taquant. En effet, le caoutchouc de silicone est une matière intéressante par sa mise en oeuvre et par son élasticité naturelle ; mais jusque là, son adhérence assez grande en rendait les utilisations en face extérieure 30 du sous-vêtement indésirables pour éviter d'accrocher avec le vêtement extérieur, et les utilisations en face intérieure du sous-vêtement également indésirables à cause des contacts désagréables avec la peau, des problèmes d'allergies et de transpiration. La doublure extérieure ou intérieure résout ces difficultés.

Le réseau de résine comprend un réseau de lignes ou de surfaces de résine disposées à l'avant et/ou à l'arrière de la culotte. De manière particulièrement avantageuse, lorsque le réseau n'est prévu que d'un côté (avant ou arrière) de la culotte, il est complété sur l'autre côté par une bande de contention qui permet de créer autour de la culotte un d'anneau continu de lignes de tension et d'obtenir des effets de tirage et de « push-up » intéressants. Cette bande de contention peut avantageusement être une bande textile thermocollée. Les lignes de résine élastique disposées sur une face de la culotte forment avantageusement un réseau qui aboutit sur les deux bords latéraux de la face en question, au moins dans une région (généralement moyenne et/ou supérieure) du bord ; les extrémités de la bande rejoignent sur les bords de la face de la culotte la région d'aboutissement des lignes de résine disposées sur l'autre face. De cette manière, l'effet d'anneau évoqué plus haut est obtenu. Les lignes du réseau de résine élastique sont avantageusement courbes plutôt que droites. En face avant, le réseau de lignes courbes est constitué par deux ensembles symétriques de lignes allant de l'avant de la cuisse à la hanche 20 opposée, sur le bord de la face avant, les deux ensembles se croisant sur le ventre. En face arrière, le réseau de lignes courbes est constitué de lignes entourant et encadrant les deux zones intérieures du gluteus maximus pour joindre un bord à l'autre de la face arrière de la culotte. 25 Le tricot de base de l'article, au niveau de la culotte, est réalisé en maille jersey à base de polyamide et d'élasthanne (de préférence entre 10% et 30% en poids d'élasthanne par rapport au poids total du tricot). Il présente avantageusement un allongement à 15 Newtons (selon la norme BS 4952) égal ou supérieur à 110%, au moins en longueur. Le poids spécifique 30 du tricot au niveau de la culotte est avantageusement de l'ordre de 150 à 200 g/m2 (norme ISO 3801). La doublure est avantageusement une maille légère dont le poids spécifique est compris en 60 et 100 g/m2, et l'allongement, au moins dans un sens, est égal ou supérieur à celui du tricot de base.

Le silicone est avantageusement un silicone bicomposant HTV. Sa dureté Shore A est avantageusement comprise entre 10 et 40. D'autres caractéristiques et avantages de l'invention ressortiront de la description suivante de deux exemples particuliers de réalisation. Il sera fait 5 référence aux dessins annexés sur lesquels : -Les figures lA et 1B sont des vues de face et de dos d'un premier exemple de réalisation de culotte conforme à l'invention, les lignes de résine et bandes contentives étant représentées visibles comme si le tricot de base était transparent. 10 -Les figures 2A et 2B sont des vues de face et de dos d'un second exemple de réalisation de culotte conforme à l'invention, les lignes de résine et bandes contentives étant représentées visibles comme si le tricot de base était transparent. -La figure 3 est une vue schématique en coupe des couches 15 constituant la culotte de l'invention. Les figures lA et 1B montrent l'avant et l'arrière d'une culotte 1 conforme à l'invention, qui comprend de manière classique une ouverture supérieure 2 pour le torse et deux ouvertures inférieures 3 de passage de cuisse (ou de jambe). La culotte 1 peut être tricotée dans un métier 20 circulaire et peut être sans couture (sauf éventuellement au niveau de la pièce d'entre-jambe 4) ; en alternative, elle peut être constituée de deux panneaux avant et arrière tricotés dans un métier rectiligne et cousus. Le tricot est élastique. L'ouverture supérieure 2 comporte une ceinture élastique non représentée, qui peut être elle-même obtenue de toute manière 25 connue, par exemple par tricotage intégral ou en cousant, collant, thermocollant une pièce élastique rapportée, textile ou non, ou en appliquant une résine élastique. La culotte 1 est par exemple tricotée dans une charmeuse en mailles jersey avec de rangées de fils de polyamide guipé d'élasthanne alternant 30 avec des rangées de polyamide non guipé. La proportion la proportion d'élasthanne dans le tricot est d'environ 21% et le poids spécifique du tricot est de 185 g/m2 et son allongement de 130% dans le sens correspondant à la largeur de la culotte. L'avant 5 de la culotte est couvert par endroits d'un réseau de 35 caoutchouc de silicone selon une géométrie particulière dans laquelle on distingue essentiellement deux ensembles croisés de lignes courbes plus ou moins larges 7 allant de la région supérieure et moyenne d'un bord latéral 8 de la culotte 1 au passage de cuisse opposé 3, sensiblement vers le milieu de l'avant du passage de cuisse. Ces lignes 7 obliques et croisées peuvent avoir plusieurs largeurs et former un motif décoratif en même temps qu'elles assurent une certaine contention élastique. Ces lignes 7 peuvent éventuellement être complétées par un panneau ventral supérieur 9 qui s'étend sous la ceinture entre les deux bords latéraux 8 et descend en pointe vers le milieu.

En fait ces lignes 7 et ce panneau 9 qu'on a représentées visibles sur la figure 1 A sont appliqués sur la face interne de l'avant 5 et ne sont donc pas visibles de l'extérieur de la culotte. Les figures représentent en somme une culotte qu'on a retournée face dedans dehors. L'arrière 6 de la culotte 1 comporte une bande de matière contentive 10 qui va de bord 8 à bord 8, au niveau de la même partie moyenne et supérieure de bord 8 à laquelle aboutissent les lignes croisées 7 de l'avant et le panneau supérieur 9. Cette bande de matière contentive 10 peut être réalisée par un caoutchouc de silicone déposé, mais, de manière plus économique, elle peut être une bande de matière contentive textile contrecollée sur la surface 6 (par exemple avec des points de colle polyamide). Là encore, la bande contentive 10 a été représentée visible sur la figure 1B, mais elle est appliquée de préférence sur la face interne de l'arrière 6 et n'est pas visible de l'extérieur de la culotte 1. Cependant, il est aussi possible de la prévoir sur la face extérieure de l'arrière 6 dans la mesure où elle ne risque pas d'interférer avec les vêtements si elle réalisée en une bande textile et non en silicone. Dans un exemple de réalisation particulier, la bande contentive 10 est réalisée par encollage thermique d'un empiècement réalisé dans la même 30 matière que le tricot de base, dont il vient donc doubler l'épaisseur. L'ensemble des lignes croisées 7 et de la bande contentive arrière 10 forme une sorte de boucle croisée élastique qui agit efficacement pour maintenir l'abdomen. Les lignes 7 partent de la cuisse gauche, elles montent vers la taille dans une courbe fluide pour finir au coté droit. Les lignes 7 35 sont doublées en miroir pour adopter la même disposition symétriquement de la cuisse droite vers la taille du coté gauche. Comme représenté, les lignes 7 sont avantageusement courbes, par exemple concaves vers le bas, les lignes courbes étant en effet plus souples et conformables que des lignes droites. Les lignes courbes 7 se croisent sur le ventre où elles agissent au maximum puisque la quantité de caoutchouc de silicone déposée sur la matière y est alors plus concentrée. Les lignes 7 sont de largeur différentes (de 4mm à 4Omm) et espacées (de 2 à 6 mm), la ligne la plus large se trouvant dans l'exemple représenté au centre des lignes 7. La figure 3 montre schématiquement une coupe de l'avant de la culotte 1 avec le tricot formant l'avant 5 sur lequel sont appliquées des lignes ou surfaces 7 de caoutchouc de silicone, de préférence sur la face intérieure de l'avant. Ces applications s'enfoncent très faiblement dans le tricot 5 et ne le traversent pas, de sorte qu'elles ne sont pas directement visibles de l'autre côté du tricot 5. Au-dessus du tricot de base 5, on a disposé une doublure intérieure légère 20 libre sur l'essentiel de la surface, en tout cas en regard du réseau de lignes croisées 7. La doublure est fixée au tricot de base par exemple au niveau des bordures supérieures et inferieures correspondant au passage de torse 2 et au passage de jambe 3. La fixation peut se faire par exemple par collage de manière connue en soi, avec un collet rapporté 21 collé ou piqué, et/ou par surpiquage 22. De préférence, la doublure 20 est prévue sur toute la face avant, à l'intérieur, et peut aussi être prévue sur toute la face arrière quoiqu'elle ne soit pas techniquement indispensable là où il n'y a pas de silicone. La doublure est une maille comportant 10% d'élasthanne pour un 25 poids spécifique du tricot de 85 g/m2. Son allongement est de 145% dans le sens correspondant à la largeur de la culotte. Le caoutchouc de silicone est dans un exemple particulier un silicone (polydiméthylsiloxane avec des groupes vinyliques et auxiliaires) de marque Elastosil® et de grade LR 3003/10 de chez Wacker, réticulable à chaud, et 30 bicomposant (A+B). Le silicone est sérigraphié sur une face de culotte et polymérisé à chaud (par exemple 175°C pendant 30 secondes sous infrarouges, d'autres modes de chauffage étant bien entendu possibles). L'épaisseur de silicone déposée est d'environ 0,20 à 0,25 mm (une épaisseur de l'ordre de celle du tricot de base), ce qui pour les diverses 35 tailles de culottes envisagées représente un poids total de 16 g à 23 g.

On a procédé à diverses mesures de l'allongement maximal A (dans le sens de la largeur de la culotte, sauf précision contraire), de la force retour F, ainsi que de la force retour F30 à 30% d'allongement pour différentes combinaisons de couches comprenant le tricot de base (T), le doublure (D), le tricot de base + silicone (TS), le tricot de base + bande contentive (TC) : T A=130% F=425cN à 80% F30=200cN D A=145% F.195cN à 80% F30.100cN TS A=61% F.1191cN à 50% F30.1000cN TS+D A=47% F30=939cN TC A=40% F30=828cN Ces mesures montrent qu'avec l'application de silicone, le tricot de base conserve un allongement de 61% et est devenu cinq fois plus nerveux (ce qu'indique F30). La matière est donc loin d'être rigide. De ce fait, l'article est plus facile à enfiler et la matière accompagne les mouvements du corps tout en comprimant le ventre et la taille. L'influence du rajout de la doublure sur l'allongement et la nervosité de la matière première avec l'application du silicone est infime. Par contre, comme indiqué plus haut, son rôle protecteur est essentiel.

Les mesures de l'allongement et la nervosité du complexe sur le côté dos au niveau de la taille et les hanches sont dans la continuité de celles trouvées sur le cotés de devant du produit. Le tirage part de la cuisse gauche, monte, traverse le ventre vers le coté droit au niveau de la taille et rejoint l'empiècement du dos, qui prend le relais et fait le tour du dos. De l'autre coté de la taille (devant gauche) les nouvelles lignes de silicone prennent le relais pour tirer sur le ventre tel un bandage élastique et elles finissent sur la cuisse droite. Les figures 2A et 2B montrent un autre mode de réalisation où le silicone est appliqué à l'arrière de la culotte pour obtenir un effet de remontée des fesses. Dans ce cas, la partie arrière 6 de la culotte 1 comprend, sur sa face interne un réseau de lignes courbes 7' de caoutchouc de silicone qui sont ici disposées de manière à entourer la région 12 en forme d'osselet ou de rognon, et correspondant sensiblement à la zone intérieure du gluteus maximus. Certaines des lignes courbes 7' entourent presque complètement la zone 12, comme la ligne 7'a, d'autres bordent plus largement cette zone et joignent les bords opposés 8, comme les lignes 7'b. L'ensemble des lignes 7' aboutissant aux bords 8 y aboutissent dans une zone médiane du bord 8 où les efforts de traction élastique sont repris de l'autre côté de la culotte, c'est-à-dire à l'avant 5, par une bande contentive 10' analogue à la bande 10 de la figure 1B et éventuellement concave sur sa partie inférieure comme elle. Comme dans le mode de réalisation précédent, il est prévu une doublure légère destinée à être disposée avec liberté au moins devant les réseaux de lignes 7', c'est-à-dire sur la partie arrière de la culotte. La doublure peut s'étendre sur toute la culotte aussi.

La zone 12 (au moins sa partie inférieure) et les lignes de silicone 7' avoisinantes au bas de la zone 12 sont avantageusement disposées dans un moule galbé de thermoformage pour donner une forme à la partie arrière de culotte. Pendant cette opération, seul le textile prend la forme arrondie, le silicone conservant sa mémoire de forme antérieure.

Des tests de porter ont été réalisés avec les deux modes de réalisation et ont montré 100% de satisfaction de la part des utilisatrices. On a décrit ici une culotte indépendante mais l'invention peut s'appliquer à la partie culotte d'un vêtement plus long et même d'un collant.

Claims (11)

1. REVENDICATIONS1. Vêtement de bas du corps comportant une culotte (1) en tricot élastique de base coopérant avec un réseau de résine élastique (7) appliqué sur une face du tricot élastique de base de la culotte, à l'avant et/ou à l'arrière de la culotte, caractérisé en ce qu'une doublure élastique (20) tricotée plus légère que le tricot de base (5, 6) est prévue pour s'appliquer de manière libre sur ladite face du tricot de base (5, 6) au moins à l'endroit dudit réseau de résine (7).
2. 2. Vêtement selon la revendication 1, caractérisé en ce que la face du tricot de base (5, 6) sur laquelle le réseau de résine (7) s'applique est la face interne.
3. 3. Vêtement selon la revendication 1 ou 2, caractérisé en ce que la doublure (20) s'applique sur toute la face du tricot de base (5, 6) sur laquelle le réseau de lignes (7) est déposé.
4. 4. Vêtement selon l'une des revendications 1 à 3, caractérisé en ce que la doublure (20) est fixée essentiellement périphériquement à la face du tricot de base (5, 6).
5. 5. Vêtement selon l'une des revendications 1 à 4, caractérisé en ce que la doublure (20) est réalisée dans une maille légère de 60 à 100 g/m2.
6. 6. Vêtement selon l'une des revendications 1 à 5, caractérisé en ce que la résine élastique est un caoutchouc de silicone.
7. 7. Vêtement selon l'une des revendications 1 à 6, caractérisé en ce que le réseau de lignes de résine (7, 7') est prévu sur un côté de la culotte (1) et est complété sur l'autre côté par une bande de contention (10, 10') qui permet de créer autour de la culotte (1) un anneau continu de lignes de tension.
8. 8. Vêtement selon la revendication 7, caractérisé en ce que la bande de contention (10, 10') est une bande textile thermocollée.
9. 9. Vêtement selon l'une des revendications 7 à 8, caractérisé en ce que des lignes courbes de résine (7, 7') disposées sur une face de la culotte forment un réseau qui aboutit sur les deux bords (8) de la face en question, au moins dans une région du bord et en ce que les extrémités de la bande (10, 10') rejoignent sur les bords (8) de la face opposée de la culotte la région d'aboutissement des lignes de résine disposées sur la première face.
10. 10. Vêtement selon l'une des revendications 1 à 9, caractérisé en ce que en face avant (5), le réseau de lignes courbes est constitué par deux ensembles symétriques de lignes (7) allant de l'avant de la cuisse (3) à la hanche opposée, sur le bord (8) de la face avant, les deux ensembles se croisant sur le ventre.
11. 11. Vêtement selon l'une des revendications 1 à 9, caractérisé en ce que en face arrière (6), le réseau de lignes courbes est constitué de lignes (7') entourant et encadrant les deux zones intérieures (12) du gluteus maximus pour joindre un bord (8) à l'autre de la face arrière.