FR2959404A1 - Siege avec assise a appuis diffencies - Google Patents

Abstract

Siège avec une assise à appuis différenciés permettant aux personnes de grande et de petite taille de s'asseoir systématiquement à califourchon tout en appuyant le fessier à l'horizontale à une hauteur élevée pour s'attabler ( 570 mm ) et les cuisses en position inclinée à angle ouvert ( 110° ) favorable pour l'alignement de la colonne vertébrale avec les deux pieds posés à plat sur le sol et cela , sans les désagréments des sièges spéciaux existants ( compression des genoux , glissement corporel ) ; il comporte un « appui élevé d'entre-deux cuisses »(1) horizontal et un « appui élevé du fessier »(4) horizontal et deux « appuis fémoraux » ( 2 et 3 ) inclinés fixement ou variablement en étant séparément soumis à une poussée vers le haut (ressorts à gaz blocables ) en permettant des changements de postures asymétriques et des exercices actifs de dégourdissement des jambes , sa fabrication design est réalisable en bois ou en plastique par moulage.

Description

La présente invention concerne les sièges confortables courants qui comportent chacun une assise plane profonde (de l'ordre de 420 à 460 mm) et large (de l'ordre de 460 mm) ; ce sont : les chaises ordinaires à quatre pieds à s'asseoir à une seule hauteur basse correspondante à la hauteur des genoux des personnes de petite taille (de l'ordre de 470 mm) et les chaises simples de travail à hauteur réglable par ressort à gaz ( de l'ordre de 470 à 570 mm ) , Lesdits sièges confortables courants ne permettent pas , aux personnes assises correctement avec le dos appuyé contre le dossier , de prendre la position dite à angle ouvert (de l'ordre de 105° à 120°) entre les cuisses et le dos qui évite selon les études (http : www.cchst.ca/oshanswers/ergonomics/office/sloping chair.html 2007-06-06 ) les douleurs chroniques au bas du dos invalidantes et coûteuses pour la société ; deux causes empêchent la position à angle ouvert : - le fait que les assises planes appuyent , en les immobilisant dans le même plan que celui de l'appui fessier , les deux cuisses des personnes assises correctement et cela , à l'horizontale (90° ) - et le fait que les assises planes des chaises ordinaires à quatre pieds ont des hauteurs basses (de l'ordre de 470 mm ) inférieures à la hauteur des genoux des personnes de taille moyenne ( 1,75 m) et de grande taille ( 1,95 m) en excluant la possibilité de leurs abaissements et des inclinaisons respectives des cuisses vers l'avant et vers le bas .

Le but à atteindre de l'invention consiste à permettre , à toutes les personnes de petite et de grande taille , de s'asseoir sur des sièges confortables courants à coût modéré en position favorable dite à angle ouvert avec les avantages mais sans les désavantages des sièges spéciaux : - l'un à appui-genoux ( avec le fessier en pente ( de l'ordre de 120°) procurant un très bon alignement de la colonne vertébrale mais avec la compression des genoux et des chevilles et de plus des difficultés à prendre place ) - et l'autre à basculement frontal ( avec le fessier et les cuisses en pente ( de l'ordre de 115°) améliorant l'alignement de la colonne vertébrale mais nécessitant une force musculaire permanente pour contenir la force de glissement corporel vers l'avant) , il s'ensuit que l'objectif à atteindre implique la condition d'horizontalité et d'élévation de tous les appuis réalisables de la région fessière à une hauteur minimale (de l'ordre de 570 mm) et en finalité la condition d'inclinaison de chacune des deux régions fémorales et alors de leurs appuis 2959404 - 2

fémoraux spécifiques selon l'invention et cela , en permettant aux personnes de petite taille ( 1,60 m) de s'asseoir systématiquement en position favorable dite à angle ouvert sur des chaises élevées non réglables en hauteur avec les pieds posés à plat sur le sol et aussi en permettant aux personnes de plus en plus nombreuses de grande taille 5 ( 1,85 à 2,00 m) de ne plus devoir replier les jambes sous les assises courantes trop basses ( 460 à 470 mm) . Le siège avec une assise à appuis différenciés permet de s'asseoir en position confortable à angle ouvert en remédiant aux inconvénients des sièges spéciaux et cela , en offrant de plus des possibilités de changer de postures , à cet effet 10 • il comporte, selon une première caractéristique,une « assise à appuis différenciés » formée : © par un « appui élevé du fessier » qui est positionné invariablement à l'horizontale sur une profondeur du fond morphologique (de l'ordre de 180 à 200 mm) , sur une largeur confortable (de l'ordre de 460 mm) et à une hauteur élevée minimale ( de l'ordre de 570 mm ) 15 et par un « appui élevé d'entre-deux cuisses » qui est positionné invariablement à l'horizontale en prolongation avancée del' »appui du fessier » et à une même hauteur ( de l'ordre de 570 mm) ou invariablement en pente vers l'avant et vers le haut en étant plat ou incurvé et alors avec un bord frontal surélevé ( de l'ordre de 590 mm) , qui a une profondeur avancée ( de l'ordre de 240 mm) et une largeur 20 étroite (de 80 à 120 mm) évasée ou non vers l'avant sur une épaisseur supérieure minimale pour pouvoir être chevauché sans mal par les adultes et enfants attablés et par deux « appuis fémoraux » qui sont respectivement positionnés de part et d'autre de 1' « appui élevé d'entre-deux cuisses », qui ont des profondeurs avancées (de l'ordre de 240 mm) inférieures aux longueurs des cuisses des personnes 25 de petite taille et des largeurs confortables ( de l'ordre de 190 mm) ; •ils sont , selon une première variante statique de 1«< assise à appuis différenciés » , inclinés invariablement vers l'avant et vers le bas et alors leurs bords frontaux respectifs ont des hauteurs abaissées (de l'ordre de 470 mm ) par rapport à la hauteur du bord frontal (de l'ordre de 570 mm) de 1«< appui élevé d'entre-deux 30 cuisses » , cet écart (de l'ordre de 100 mm) correspondant à une inclinaison de 23° pour des profondeurs avancées de 240 mm , les personnes de petite taille (de l'ordre de 1,60 m ) peuvent , dans ce cas , s'asseoir stablement à l'horizontale sur 1«< appui élevé du fessier » (H : 570 mm) à califourchon avec les cuisses appuyées de part et d'autre de 1«< appui élevé d'entre-deux cuisses » et cela , systématiquement en position favorable pour le bon alignement de la colonne vertébrale dite à angle ouvert ( de l'ordre de 113°) avec les pieds posés sur le sol et de plus , les personnes de grande taille (de l'ordre de 1,75 m à 1,98 m ) peuvent s'asseoir sans devoir replier les jambes sous l'assise ni devoir les étendre à angle fermé et cela , en utilisant des chaises aux coûts modérés (à quatre pieds , sans articulations et en réalisant l'assise à appuis différenciés d'un seul tenant par moulage ) • ou ils sont ,selon une seconde variante dynamique, inclinables limitativement(113° permettant 4 pieds)ou très variablement vers l'avant et vers le bas et alors séparément articulés par deux « articulations combinées d'écartement et d'inclinaison » qui s'intercalent respectivement entre 1«< appui élevé du fessier » et les deux « appuis fémoraux » et qui appuyent sur une faible profondeur ( de l'ordre de 40 mm) chacun des deux plis fessiers de la personne assise idéalement avec le dos appuyé contre le dossier ; cesdites « articulations combinées » sont formées par deux « tubes-appuis » en plastique technique qui tournent et coulissent sur un « axe tubulaire commun » qui transperce en y étant solidarisé 1«appui élevé d'entre-deux cuisses » (L : 80mm ) et qui renferme un « ressort hélicoïdal commun de rappel d'écartement » (L :460 mm) tendu entre les deux « embouts de terminaison » desdits deux « tubes-appuis » (L :190 mm , D : 40 mm) ; lesdits deux « appuis ûfémoraux » (L : 190mm , P : 240 mm) qui sont respectivement solidarisés auxdits deux « tubes-appuis » coulissants et tournants sont soumis chacun à la force d'attraction commune dudit « ressort hélicoïdal de rappel d'écartement » et alors attirés séparément vers les flancs de l'« appui élevé d'entre-deux cuisses » et cela , en provoquant leurs états respectifs d'immobilisation d'inclinaison ( blocages ) par l'intermédiaire de deux dispositifs existants d'immobilisation mécaniques (embrayages à dents chanfreinées) ou pneumatiques ( commandes sur les têtes de deux ressorts à gaz blocables par leviers ou par terminaisons de câbles de Bouwden) ; chaque changement d'inclinaison de l'un desdits deux « appuis fémoraux » étant conditionné par son écartement préalable provoquant le déblocage de l'un des dispositifs d'immobili- sation ; lesdits deux « appuis fémoraux » sont soumis , par surcroît , à deux forces respectives de poussée vers le haut provoquées par l'intermédiaire de dispositifs existants de poussée mécaniques ou pneumatiques : par deux ressorts de compas de relevage ou par deux ressorts à gaz blocables fixés entre leurs bases respectives et 2959404 - 4-

la base de 1' « appui élevé du fessier » et cela , en permettant de changer de posture sans intervention manuelle tout en restant en place ( attablé) : ledit changement de posture est alors obtenu : • par l'écartement préalable de 1«appui fémoral à changer d'inclinaison par la force musculaire de la cuisse appuyée sans glissement possible 5 (revêtement antidérapant) exercée en antagonisme avec l'attraction élastique dudit « ressort hélicoïdal de rappel d'écartement » • et ensuite , tout en maintenant l'écartement nécessaire au déblocage ( écart de l'ordre de 10 mm) , par son abaissement conditionnel par la force musculaire de la cuisse appuyée exercée en antagonisme avec la force de poussée vers 10 le haut de l'un desdits ressorts de compas de relevage ou desdits ressorts à gaz • et enfin par le relâchement des deux forces musculaires fémorales coexistantes d'écartement et d'abaissement et cela , au moment précis de l'acquisition de l'inclinaison voulue destinée à être immobilisée par le blocage (de la tête de l'un des deux ressorts à gaz blocable) . 15 Il s'ensuit que les multiples états respectifs d'immobilisation symétriques et asymétriques d'inclinaison de chacun desdits « appuis fémoraux » qui appuyent chacun une cuisse , permettent , aux personnes assises correctement , de prendre de nombreuses postures différentes et cela , avec des inclinaisons favorables dites à angle ouvert ajustables en continu ( ressorts à gaz blocables ) qui sont praticables (de 90° à 120° ) 20 et aussi avec des inclinaisons habituelles ( croisement des jambes) moins favorables à angle fermé ( de 80° à 90°) mais sans altération de la circulation sanguine et encore à angle droit à l'horizontale ( 90°) ; ils permettent en outre sans appuyer les cuisses , de prendre des postures stables à califourchon après avoir escamoté manuellement vers le bas à la verticale lesdits deux « appuis fémoraux » et cela , avec les jambes 25 libres de tous mouvements de part et d'autre de l'« appui élevé d'entre-deux cuisses » Il s'ensuit également que les personnes assises correctement sur ladite « assise élevée à appuis différenciés » peuvent faire des exercices actifs tout en étant attablées par des mouvements répétitifs asymétriques d'abaissement et d'élévation des deux cuisses soumises aux forces antagonistes d'attraction et de poussée vers le haut 30 ( comparables aux efforts de pédalage ) • et il comporte , selon une seconde caractéristique , un piètement qui est adapté à chacune des différentes variantes de réalisation des «assises à appuis différenciés » : • un « piètement ordinaire » ( entre autres à quatre pieds ) lorsque lesdites assises comportent chacune deux « appuis fémoraux » inclinés invariablement ( fig 1 ) • ou un « piètement fourchu » qui est ouvert à l'avant lorsque lesdites assises comportent chacune deux « appuis fémoraux » inclinables variablement ( fig 2 ) il est alors formé : r par une « structure montante d'entre-deux jambes » (P : 420 mm) qui est essentiellement portante , qui a sur toute sa hauteur , la même délimitation en largeur ( de l'ordre de 80 mm) que 1' « appui élevé d'entre-deux cuisses » , qui est susceptible , pour les sièges à hauteur fixe , d'être réalisé esthétiquement en bois , en métal ou en d'autres matières et qui est réalisé , pour les sièges à hauteur réglable en forme de double té par une « armature médiane étroite » (L : 80 mm , P : 420 mm) de 1«assise à appuis différenciés » , un « ressort à gaz blocable » avec une colonne non pivotante ( existante) ou pivotante avec rappel en position de départ en relevant les deux pieds du sol ( existe par la suppression de charge au départ de l'occupant) et un « longeron médian étroit de base » qui repose sur le sol par l'intermédiaire de deux pieds ou de deux roulettes pivotantes fixés à ses extrémités et par une « structure périphérique de base » en forme de U qui est essentiellement stabilisatrice , qui est solidarisée directement ou par un raccord élastique (silenbloc) à l'extrémité arrière du « longeron médian étroit de base » de ladite « structure montante d'entre-deux jambes » et qui repose sur le sol par l'intermédiaire de deux pieds ou de deux roulettes pivotantes fixés à ses deux extrémités avancées libres • et il comporte , selon une troisième caractéristique , un « dossier » qui a une position invariable ou qui est réglable en profondeur et cela , en donnant la possibilité à la personne assise de pouvoir ajuster la superposition de son pli fessier sur la ligne transversale de séparation entre 1«< appui du fessier » et les deux « appuis fémoraux » et alors de pouvoir appuyer très correctement son dos ; des réalisations différentes de réglages en profondeur des dossiers sont existantes. Les dessins annexés illustrent l'invention : 0 la figure 1 représente en perspective , l'enveloppe de la coque d«< assise à appuis différenciés » selon sa première variante statique décrite ci-avant , elle comprend un « appui élevé d'entre-deux cuisses » (1) horizontal , deux « appuis fémoraux » (2 et 3 ) inclinés à angle ouvert ( 123°) , un « appui élevé du fessier » (4 ) horizontal et un ensemble de quatre flancs périphériques ( 5 ) ; lesdites coques d'assises à appuis différenciés sont réalisables d'un seul tenant en plastique industriel , ont une 2959404 -6

épaisseur et des nervures non représentées en fonction de la résistance des matériaux et du poids des utilisateurs ; elles sont utilisables comme partie intégrante des chaises courantes et d'autres sièges destinés à être occupés pendant de longs laps de temps et ou par des personnes de toutes tailles mais aussi comme partie détachée amovible de 5 rehaussement des chaises courantes et autres sièges en tant que « rehausseur amovible de sièges d'adultes » 9 la figure 2 représente en perspective , le siège élevé avec un «piètement fourchu » décrit ci-avant , avec un « dossier non réglable » et avec une « assise à appuis différenciés » réalisée selon sa seconde variante dynamique 10 0 la figure 3 représente en coupe , les deux « articulations combinées d'écartement et d'inclinaison » ainsi que deux dispositifs d'immobilisation mécanique , la figure 2 comprend : - un « piètement fourchu » formé par une « structure montante d'entre-deux jambes » comportant les deux « montants étroits » (15 et 16) et un « longeron médian étroit de base » (17) et par une « structure périphérique de 15 base » en forme de U comportant la « traverse du fond »(18) et les deux « longerons latéraux » (19 et 20) - et un « dossier fixe » (6) - et une « assise à appuis différenciés » formée par un « appui élevé d'entre-deux cuisses » (1 ,fig 2 et fig 3) horizontal et par un « appui élevé du fessier » (4 ) horizontal et creusé et par un « ensemble de flancs périphériques » (5 ) et par deux « appuis fémoraux » (2 et 3) 20 inclinables et par deux « articulations combinées d'écartement et d'inclinaison » comportant respectivement deux « tubes d'appui » ( let 8, fig 2 et fig 3 ) et un « axe tubulaire commun »(11, fig 2 et fig3 ) et un « ressort hélicoïdal commun de rappel d'écartement » (12 fig 3 ) et deux « embouts de terminaison » (13 et 14 ,fig 3 ) et par deux « dispositifs d'immobilisation mécanique » comportant respectivement 25 deux « embrayages à dents chanfreinées » (9 et10 fig 3 ) qui sont logés dans 1«< appui d'entre-deux cuisses » (1) et par deux « dispositifs de poussée vers le haut » comportant respectivement deux « ressorts à gaz » (21 et 22 fig 2) et deux « attaches coulissantes latéralement » (23 et 24 fig2 ) qui sont fixes et localisées sous 1«< appui élevé du fessier » (4) et deux « attaches coulissantes latéralement » 30 (25 et 26 fig 2) qui sont mobiles et fixées respectivement sous les « appuis fémoraux » (2 et 3 fig 2) . 2959404 - 7

Le siège avec une assise à appuis différenciés utilisée comme partie intégrante ou comme partie détachée de rehaussement des sièges , selon l'objet de l'invention , est destiné à être utilisé massivement pour lutter contre les maux du bas du dos et cela , par l'inclinaison systématique des cuisses appuyées à angle ouvert favorable 5 pour le bon alignement de la colonne vertébrale avec le fessier appuyé à l'horizontale des personnes de tailles très variées (de l'ordre de 1,50 à 2 mètres ) qui sont assises régulièrement pendant de longs laps de temps ; les assises existantes indifférenciées qui auraient une hauteur favorable pour les grandes personnes (de l'ordre de 570 mm pour pouvoir s'attabler) obligeraient les personnes de petite 10 taille à s'asseoir avec les jambes ballantes , c'est ainsi que les sièges courants ont encore aujourd'hui des hauteurs (de l'ordre de 470 mm) qui obligent les personnes de grande taille à s'asseoir avec les cuisses à angle fermé défavorable pour le dos et avec le repli des jambes défavorable pour la circulation sanguine. Lesdits sièges avec une assise à appuis différenciés réalisée avec des mécanismes 15 selon la variante dynamique décrite ci-avant , permettent de surcroît de changer à volonté de posture en élevant séparément à des hauteurs différentes les deux genoux et permettent encore d'abaisser et d'élever répétitivement les cuisses en antagonisme avec des poussées séparées vers le haut ( ressorts à gaz) en faisant donc des exercices actifs modérés tout en étant attablé ; ils permettent en outre de 20 prendre des postures stables à califourchon sans appuyer les cuisses après avoir escamoté manuellement vers le bas à la verticale lesdits deux « appuis fémoraux » et cela donc , avec les jambes libres de tous mouvements de part et d'autre de 1«< appui élevé d'entre-deux cuisses » .

Claims (7)

1. REVENDICATIONS1) Siège avec une assise à appuis différenciés pour permettre aux personnes de tailles différentes de s'asseoir à table en position stable à califourchon avec les deux cuisses appuyées tout en étant inclinées à angles ouverts invariablement égaux (de l'ordre de 113° fig 1) ou variablement inégaux (de l'ordre de 95° à 120° fig
2. 2 ) par rapport au tronc aligné continuellement à la verticale et cela , avec les pieds posés à plat sur le sol même , caractérisé en ce que son assise à appuis différenciés est formée par un « appui élevé du fessier » (4 ) qui a une profondeur ( fesse û pli fessier de l'ordre de 260 mm) déterminée par les mesures corporelles des personnes de grande taille , une largeur confortable habituelle (de l'ordre de 460 mm) et qui est supporté invariablement à l'horizontale fixement ( fig 2) ou élastiquement par son piètement commun à une hauteur élevée maximale en considération favorable de l'inclinaison des cuisses sous le plan de travail ( informatisé) pour pouvoir abaisser à suffisance le niveau des creux poplités par rapport au niveau du fessier des personnes de grande taille chaussées (de l'ordre de 550 mm pour les chaises ordinaires et de 500 mm à 580 mm pour les chaises à hauteur réglable ) et par un « appui élevé d'entre-deux cuisses » (1) qui a une largeur étroite (de l'ordre de 80 mm ) pour pouvoir être chevauché en équilibrant la position assise , qui s'étend à l'horizontale ou en pente vers l'avant et vers le haut sur une profondeur avancée (de l'ordre de 240 mm) dans le prolongement de 1«< appui élevé du fessier » (4 ) et qui est supporté fixement par son piètement commun ( fig 2 ) et par deux « appuis fémoraux » (2 et
3. 3 ) qui ont chacun une profondeur avancée ( pli fessier û creux poplité de l'ordre de 230 mm) et une hauteur de bord frontal , en correspondance pour les sièges ordinaires à quatre pieds , avec la hauteur ( creux poplité û sol de l'ordre de 450 mm) ; ces deux valeurs étant déterminées par les mesures corporelles des personnes de petite taille non chaussées , qui ont chacun une largeur confortable ( de l'ordre de 190 mm) et qui sont chacun supportés élastique-ment ou fixement ( fig 2 ) par 1«< appui élevé d'entre û deux cuisses » (1) de part et -9- d'autre de ses côtés latéraux ( axe tubulaire commun 11 fig 3 ) , qui sont , pour les chaises ordinaires à quatre pieds , invariablement inclinés à angles égaux ouverts ( fig 1) ou qui sont , pour les chaises de poste de travail , variablement inclinables et blocables à de multiples inclinaisons égales ou inégales ( fig 2) en permettant de fréquents changements de posture fémorale tout en gardant un bon alignement de la colonne vertébrale 2) Siège selon la revendication 1 caractérisé en ce que son assise à appuis différenciés comporte deux « appuis fémoraux » (2 et 3 ) invariablement inclinés à angles égaux ouverts et est constitué d'un seul tenant sous forme d'une coque (figl ) qui est à fabriquer en relief particulier par moulage en matière industrielle existante sur le marché (le plastique) et qui est rigidifiée par des nervures non représentées aboutissantes aux quatre flancs périphériques ( 5 ) 3 ) Siège selon la revendication 1 caractérisé en ce que son assise à appuis différenciés comporte deux « appuis fémoraux » (2 et 3 ) variablement inclinables et blocables qui sont séparément : • articulés ( fig 2 ) par deux « articulations combinées d'écartement et d'inclinaison » dont les deux « tubes-appuis » (7 et 8 ) tournent et coulissent tout en appuyant respectivement les deux zones de pli fessier de la personne assise • et poussés vers le haut par deux « dispositifs de 20 poussée vers le haut » à deux ressorts mécaniques non représentés ou à deux ressorts pneumatiques ( ressorts à gaz 21 et 22 ) • et attirés vers 1«< appui élevé d'entre-deux cuisses » (1) par la force du « ressort hélicoïdal commun de rappel d'écartement » ( 12 fig 3 ) agissante sur les deux « dispositifs d'immobilisation » mécaniques 25 ( embrayages 9 et 10 fig 3 ) ou pneumatiques ( têtes des ressorts à gaz blocables 21 et 22 ) et cela , pour pouvoir exécuter , par la force musculaire des deux cuisses bien appuyées avec adhérence sans devoir distraire l'activité en cours en position attablée , leurs mouvements séparés d'écartement en antagonisme avec l'attraction du « ressort hélicoïdal commun » (12 ) provoquant leurs déblocages respectifs en 30 autorisant alors leurs mouvements séparés d'élévation et d'abaissement à angles ouverts en antagonisme avec la poussée vers le haut des « ressorts à gaz » (21 et 22 ) et en finalité leurs mouvements séparés de rappel d'écartement par le relâchement musculaire de chacune des deux cuisses au moment de l'obtention des inclinaisons fémorales symétriques ou asymétriques du changement de posture fémorale visé ;- 10- des exercices actifs sont ainsi praticables sans devoir quitter son poste de travail ( informatisé ) par la répétition desdits changements de posture , tout en maintenant leurs écartements de déblocage
4. 4) Siège selon les revendications 1 et 3 caractérisé en ce que les deux « articulations combinées d'écartement et d'inclinaison » ( fig 3 ) sont formées respectivement par deux « tubes-appuis » (7 et 8 ) qui tournent et coulissent sur un « axe tubulaire commun » (11) qui transperce en y étant solidarisé 1«< appui élevé d'entre-deux cuisses » ( 1 ) et qui renferme le « ressort hélicoïdal commun de rappel d'écartement » (12 ) tendu entre les deux « embouts de terminaison » (13 et 14 ) desdits deux « tubes-appuis » ( 7 et 8 ) , en ce que les deux « dispositifs d'immobilisation » mécaniques comportent , aux extrémités respectives rentrantes des deux « tubes-appuis » (7 et 8) , les deux parties mobiles (9 et 10) des « embrayages à dents chanfreinées »
5. 5 ) Siège selon les revendications 1 et 3 caractérisé en ce que le piètement commun adaptable à l' « assise à appuis différenciés » ( fig 2 ) qui comporte deux « appuis fémoraux » (2 et 3 ) variablement inclinables et blocables , est fourchu et formé : • par une « structure montante d'entre-deux jambes » qui est essentiellement portante , qui repose sur le sol par l'intermédiaire d'un « longeron médian étroit de base » (17 fig 2) Z qui comporte , pour les sièges à hauteur fixe , un assemblage de pièces de formes esthétiques variables à l'envi en bois , en métal ou en d'autres matières ( deux « montants étroits » 15 et 16 fig 2 ) Z ou qui comporte , pour les sièges à hauteur réglable , un ressort à gaz blocable non représenté avec une colonne non pivotante ( existante) ou pivotante par la force musculaire des jambes tournoyantes de la personne assise à califourchon et cela , en antagonisme avec un couple de force élastique de rappel de l'assise en position normale de départ •et par une « structure périphérique de base » en forme de U ouvert vers l'avant , qui repose sur le sol , qui est essentiellement stabilisatrice , qui comporte une « traverse du fond » (18 fig 2) , qui est solidarisée fixement ou élastiquement à l'extrémité arrière du « longeron médian étroit de base » (17) , et deux « longerons latéraux » (19 et 20 fig 2) ; ledit piètement commun en forme de fourche ouverte à l'avant du siège , autorise l'escamotage à la verticale à angle ouvert à 180° des deux « appuis fémoraux » (2 et 3 ) et ainsi une position assise stable en hauteur et à califourchon avec les jambes libres , depuis le niveau du sol , de tous mouvements 11- longitudinaux amples
6. 6) Siège selon les revendications 1 et 2 caractérisé en ce que le piètement commun adaptable à l'«assise à appuis différenciés » ( fig 1) qui comporte deux « appuis fémoraux » (2 et 3 ) invariablement inclinés à angles égaux ouverts , est ordinaire et formé par quatre pieds
7. 7) Siège selon la revendication 1 caractérisé en ce que son dossier est fixe (6 fig 2 ) ou réglable en profondeur ( non représenté) selon la technique existante , en permettant l'ajustement de la superposition entre les plis de la région fessière de la personne assise et les deux « tubes-appuis » (7 et 8 fig 2 et fig 3 )